s organiser pour réussir
May 11, 2017 | Author: Stephane Audureau | Category: N/A
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s organiser pour réussir
À propos de l’auteur
David Allen est l’un des théoriciens de la productivité et de l’efficacité professionnelle les plus influents du monde. Son livre « s’organiser pour réussir » a été publié dans le monde entier. Partie 1 : l’art de bien faire les choses
Toutes les méthodes décrites dans le livre ont pour but de répondre à deux grands objectifs : Recenser toutes les tâches que vous avez à accomplir et les recenser dans un système auquel vous pouvez vous fier dans le but de ne plus focaliser votre attention dessus. Prendre sans délai une décision quant aux nouvelles tâches qui vous incombent. Le problème des ressources insuffisantes pour répondre aux nouveaux besoins
Force de constater qu’on a tous trop de choses à faire, jamais le temps de tout faire. Cette situation st pour le moins stressante. De plus, la majorité des employés sont polyvalents et ne font pas seulement ce qu’ils sont censés faire à cause d’un manque d’organisation au sein de leur entreprise. Le problème c’est que personne n’est habitué à ça. Aucune formation, aucune étude, rien. Les évolutions technologiques censées nous aider dans nos travaux changent tellement vite qu’on est sans cesse obligé de se former à apprendre les nouveautés dans le but d’être plus performant. C’est un cercle vicieux. La liste des choses à faire s’allonge de plus en plus et le temps dont on dispose pour les faire raccourci. Le principe : gérer efficacement ses « engagements internes »
Le point soulevé ici par l’auteur est sûrement l’un des plus importants du livre. Il explique que la majeure partie du stress que subissent les gens est dû à une mauvaise gestion des engagements qu’ils prennent ou qu’ils acceptent. L’auteur parle des questions « non résolues » de notre vie. Par engagements l’auteur parle des obligations liées aux questions ouvertes ou non résolues de notre vie et particulièrement celles qui nous taquinent l’esprit. Elles vont de nos grandes réflexion sur le monde en général (la faim dans le monde, etc.) à des tâches plus modestes comme remplacer une ampoule électrique, téléphoner à un ami, etc. Le problème, c’est qu’on a tendance à vouloir gérer tous nos engagements et tout de suite. Hélas, ça ne fonctionne pas. Quelques règles de base pour gérer ses engagements
David Allen donne quelques conseils pour gérer ses engagements : Plus quelque chose vous préoccupe, moins vous y verrez clair. L’auteur ne nous donnera pas la suite des outils faciles à mettre en œuvre pour traiter ce genre de problèmes. Vous devez clarifier ce que sont vos engagements. Une fois une décision prise, il faut consigner et organiser les « rappels » des actions à exécuter.
David Allen explique comment mettre en place ce modèle. Simple mais efficace :) Ce qu’exige réellement le travail du savoir
Le conseil qui suit est vraiment fondamental dans l’application de ce livre. Toutes les tâches que vous devez accomplir doivent être préalablement définies. Vous devez savoir quel résultat vous souhaitez en obtenir et ce qu’il faudra faire pour y arriver.
Se demander quel résultat on souhaite obtenir par rapport à une tâche donnée est un des moyens les plus efficaces de transformer nos désirs en réalité. Pourquoi l’esprit reste préoccupé
Si quelque chose vous préoccupe c’est sûrement parce que : Vous n’avez pas clarifié le résultat obtenu Vous n’avez pas décidé de la première action à poser Vous n’avez pas noté un rappel du résultat voulu et de l’action requise dans un système fiable. Le cerveau : pas toujours très futé
Notre cerveau n’est pas très futé. En effet, lorsqu’on doit se souvenir de quelque chose, c’est généralement quand on est face à ce qu’on doit faire ou se souvenir qu’on s’en rappelle. Pas très efficace. Et c’est la même chose avec toutes les tâches qu’on doit accomplir. Le traitement des affaires en suspens
Les affaires en suspens représentent le cœur central de l’objet du livre. Ce sont toutes les choses auxquelles nous pensons mais pour lesquelles nous n’avons pas défini de résultat ni de première
action à poser. Comme ce sont des questions qui ne sont pas résolues, elles reviennent sans cesse dès que l’opportunité se présente. Lorsque vous êtes face à une affaire en suspens, vous devez en dégager et préciser sa signification. Le processus : gérer les actions
Voici quelques phrases qui devraient vous permettre de méditer. (Je trouve cet exercice vraiment bien) : Ce n’est pas parce que vous gérez votre temps correctement que vous en aurez plus. L’excès d’information ne demande pas à être géré. Les priorités n’exigent pas non plus de gestion car ce sont elles qui s’imposent à vous. Gérer les actions
La chose la plus importante que vous aurez à faire pour réussir à vous organiser correctement c’est de savoir comment vous allez gérer vos actions. C’est rarement par manque de temps qu’on n’arrive pas aux résultats qu’on veut, c’est souvent parce qu’on a pas défini le déroulement des actions. La gestion horizontales et la gestion verticale des actions
Les gestions horizontales concernent toutes les choses auxquelles vous pensez. Ce sont toutes les tâches que vous devez accomplir. Et la gestion verticale consiste à analyser une tâche en particulier afin de trouver des solutions pour répondre aux questions en suspens dans l’immédiat.
L’objectif des deux mécanismes est le même : vous aider à faire les choses. Diriger votre vie : cinq étapes pour maîtriser le flux du travail
David Allen explique 5 étapes pour travailler dans un esprit de « contrôle dans la détente » : Collecter des sujets qui retiennent l’attention Traiter leur contenu et déterminer l’action qu’ils exigent Organiser les actions concrètes à exécuter Revoir les actions et évaluer les options Agir en fonction des options choisies
Etape 1 : la collecte
La première chose à faire est de se vider la tête avec toutes les choses qui vous préoccupent. Pour cela, il faut vous assurer d’avoir recensé et nommé tout ce qui pourrait représenter une tâche à faire. Il ne faudra pas oublier de consulter régulièrement les éléments collectés afin de les traiter. Les outils de collecte
Pas besoin de haute technologie, voici quelques outils proposé par David Allen : Corbeille à courrier Supports papier Supports électronique Courrier électronique Etc. Les conditions d’une collecte réussie
Une boite de collecte ne vous servira à rien si elle n’est pas fonctionnelle. Voici les 3 conditions nécessaires pour mener à bien l’étape de la collecte : Vous ne devez pas avoir d’affaires en suspens en tête. Elles doivent être intégrées à votre système de collecte. Vous ne devez pas avoir plus de boites de collecte qu’il n’en faut. Vous devez vider celles-ci régulièrement. Etapes 2 : le traitement
Cette étape permet de vider la boite de collecte. Pour cela, vous devez vous reposer sur un système en lequel vous avez confiance. Pour se faire, David Allen propose un arbre décisionnel qui est séparé en deux parties. Une partie « traitement » et une autre partie « organisationnelle ».
David Allen explique comment fonctionne cet arbre pour le processus du « traitement ». Le principe consiste à se poser des questions sur les chaque élément « affaires en suspens » afin de connaitre les actions à organiser. Etape 3 : l’organisation
Dans cette partie, David Allen explique en détails comment fonctionne la seconde partie de l’arbre décisionnel représenté dans le livre.
David Allen fait la différence entre un projet et une tâche. Un projet est quelque chose de plus complexe qu’il faudra découper en plusieurs tâches afin de le compléter.
L’idée de cette partie du livre est de faire une liste avec toutes les choses que vous avez à faire sans nécessairement y mettre des priorités. Ensuite, il faut utiliser l’arbre décisionnel pour savoir comment gérer votre liste de chose à faire. Les premières actions
Ce point et très important car David Allen explique quelque chose de semblable à Tim Ferriss dans le livre de « la semaine de 4 heures » (voir « chrono rêve ») : la décision sur la première action physique, visible, doit être appliquées sans exception, à toutes les questions non résolues.
Note importante : je ne suis pas d’accord avec David Allen quand il dit qu’il faut abolir la liste des tâches quotidiennes à réaliser. David Allen explique que ce genre de système ne donne aucun résultat pour les deux raisons suivantes : Notre travail quotidien est toujours reconfiguré à cause des nouvelles tâches entrantes ainsi que les priorités. Si une action qui figure sur une liste quotidienne ne doit pas être absolument faite, elle détourne de l’objectif.
Or, c’est justement pour cela qu’il faut prioriser les tâches que vous avez à faire. Or, David Allen dit que les tâches se priorise d’elles-mêmes. Je suis d’accord avec lui mais le problème, c’est que beaucoup de tâche sont prioritaires. Pour m’aider tous les jours, à chaque fois que je suis face à une question, je me pose la question suivante : « est-ce que cette tâche va me rapprocher d mon objectif ? Si oui, je la fais, si non, je la reporte ou je l’annule.
Pour en savoir plus sur comment je gère une journée de travail, cliquez sur ce lien. J’y reprends une méthode personnelle qui provient de la fusion de tous les livres que j’ai lus et formations que j’ai suivie sur ce sujet. Les éléments non activables
Le système que vous allez mettre en place doit servir à traiter aussi bien les éléments qui exigent ou qui n’exigent pas d’actions. Pour les éléments qui n’exigent pas d’action, vous avez le choix entre les supprimer, les conserver dans le but de les reporter, et de les référencer (dans ce cas ils deviendront une source d’information consultable mais qui ne demandent aucune action spécifique). Etape 4 : l’examen
Ce point consiste à réactualiser votre système afin de voir ou vous en êtes. En fonction de la planification de vos tâches, vous effectuerez cette tâche plus ou moins régulièrement. David Allen conseille de revoir notre système une fois par semaine. Etape 5 : l’action
David Allen nous propose 3 modèles pour décider de l’action à entreprendre. Un modèle à 4 critères pour décider de l’action à exécuter à un moment précis
Comment décider de ce que vous devez faire tel jour à tel heure ? Pour cela vous devez prendre en compte les 4 critères suivants : Contexte : le lieu et les outils à portée de main peuvent-t-ils vous aider à accomplir ce que vous devez faire ? Disponibilité : de combien de temps disposez-vous avant de devoir effectuer votre tâche suivante ? Niveau d’énergie : vous sentez-vous suffisamment bien pour réaliser cette tâche ? Priorité : en fonction de votre niveau d’énergie et de votre disponibilité, quelle action sera la plus rentable.
Notez que David Allen dit de ne pas prioriser mais il en parle quand même ici :) Un modèle à trois volets pour évaluer le travail quotidien
Ce système consiste à : Définir des tâches prédéfinies Exécuter les tâches qui se présentent au fur et à mesure de la journée Définir votre travail
Un modèle à six paliers pour définir la vraie nature de votre travail
Pour déterminer vos priorités, vous devez connaitre la nature de votre travail. David Allen donne une technique intéressante sur l’image de notre travail selon six niveaux de vue différents (il représente ça sous forme de vue aérienne) : 50.000 pieds et plus : plan de vie 40.000 pieds : projections sur trois à cinq ans 30.000 pieds : objectifs sur un à deux ans 20.000 pieds : responsabilités courantes 10.000 pieds : projet en cours Piste de décollage : actions en cours Mettre en route des projets : les étapes de planification de projets
Pour avoir le contrôle de ce que vous devez faire, vous devez maitriser deux éléments : Des résultats clairement définis et des premières actions. Des rappels qui se font via un système fiable sur lequel vous pouvez vous appuyer.
Dans cette partie l’auteur explique la différence entre différents systèmes de planification. Voici les différentes formes présentées : La planification naturelle : il s’agit de l’ensemble des processus qui nous pousse à mener une action de manière logique. Par exemple, vous habiller requiert le fait que vous devez choisir vos vêtements, aller les chercher là où ils sont, savoir ce qui va ensemble, etc. La planification artificielle : le processus consiste à traiter les questions complexes. Comme l’auteur le montre, généralement, on se trompe dans la manière de traiter un problème complexe car on ne se concentre pas sur ce qui est nécessaire pour faire avancer nos idées en action. La planification réactive : il s’agit de la planification des évènements dans l’urgence. Or vous n’êtes pas savoir que gérer les choses dans l’urgence n’est pas la meilleure solution.
Le livre explique en détail les 5 étapes de la planification naturelle : L’intention La vision et le résultat
Le brainstorming L’organisation Les premières actions
Note : le livre reprend exactement ce que j’explique dans un de mes articles sur le fait de se poser la question « pourquoi ?». Pour en savoir plus sur ce sujet, je vous invite à lire l’article suivant : Une méthode pour anticiper tous les problèmes dans vos projets.
Quel est le degré de planification qui répond à vos besoins ?
Le livre explique que si vous avez des projets qui vous préoccupent c’est très certainement parce que vous n’avez pas défini le résultat voulu ni les actions à mettre en place pour y arriver. Dans ce cas-là, il est nécessaire de revoir votre système de planification. Partie 2 : les pratiques de productivité sans stress Partie 4 : temps, espace et outils La mise en œuvre : une question d‘astuces
Pour se rappeler des choses qu’on a à faire, il est bon de trouver des astuces pour s’en souvenir. Par exemple, pour ne pas oublier d’ajouter des informations à la liste de vos courses, vous pourrez coller une feuille sur votre frigo avec un stylo afin de vous inciter à ne pas perdre votre temps au magasin à vous demander ce que vous devez acheter. Le temps
Pour réussir à mettre en place la méthode « s’organiser pour réussir », vous devrez vous accordez un peu de temps. Il s’agit vraiment d’un investissement pour l’avenir. Une fois que vous aurez mis votre système en place, vous serez beaucoup plus tranquille. L’espace
Vous aurez besoin de définir un espace de travail qui consiste à avoir un endroit pour écrire et une zone pour réceptionner les informations entrantes. En fonction de là où vous travaillez, vous aurez à multipliez ces endroits mais essayez de centraliser le tout là où vous pouvez accorder davantage de temps à la gestion de vos informations.
Les outils
Le livre reprend tous les outils dont vous aurez besoin pour aménager votre espace de travail et utiliser la méthode « s’organiser pour réussir » avec tout son potentiel. Les outils vont du papier, aux marqueurs de couleurs à des logiciels de gestion en ligne.
Note : je vous invite à lire l’article sur « Evernote ». il s’agit de l’outil que j’utilise pour centraliser toutes les actions que je dois mener. J’y explique en détails comment je l’utilise. Pour lire l’article, suivez le lien : à venir. Partie 5 : la collecte. Regrouper vos affaires en suspens
Le livre entre dans le vif du sujet au niveau organisationnel. Il s’agit de définir comment fonctionne votre système.
L’idée est d’accumuler dans un système fiable ce qui préoccupe votre esprit. Pour bien faire, le système devra nous aider à déterminer quand est-ce qu’on aura fini de traiter ces informations. Enfin, il faut se forcer à toujours utiliser le même système pour maitriser le flux d’information. La collecte physique
Commencez par collecter tout ce que vous voulez collecter. Ne vous embrassez de pas de choses inutiles où vous savez parfaitement que vous ne prendrez pas le temps de les traiter. Simplifiiez.
Le livre vous invite à noter tout ce qui vous préoccupe l’esprit afin de mieux organiser votre vie. Le travail est important mais ça en vaut la peine. Après avoir fait cela, vous y verrez beaucoup plus clair dans votre vie, et ce aussi bien au niveau professionnel que personnel. Le but est de vous vider l’esprit afin de savoir par quoi vous allez commencer et comment vous aller le faire. Partie 6 : Le traitement. Videz votre boite d’entrée
Maintenant que vous avez défini un système fonctionnel qui collecte vos informations et qui vous soulage l’esprit, il est nécessaire de trier ces informations et de savoir ce que vous allez en faire.
Ici, le livre propose un schéma d’organisation selon la méthodologie « s’organiser pour réussir ». Ce système ressemble à d’autres mais il n’en reste pas moins efficace.
Lignes directrices du traitement
Traitez les informations de votre boite d’entrée un par un et avec la même importance. N’essayez pas de vouloir gérer plusieurs éléments à la fois. Une règle d’or consiste à ne jamais remettre un élément dans votre boite d’entrée. Une fois que vous décidez de traiter un élément, vous devez avoir pris une décision concrète par rapport à celui-ci. Quelles est la première action à exécuter ?
Pour chaque élément de votre boite d’entrée, vous devez décider de la première action à exécuter. Cette action doit être physique et tangible. La plupart du temps, c’est à vous de définir cette première action. S’il n’y a rien à faire, vous pouvez la supprimer, la revoir plus tard ou la conserver.
Ensuite, lorsque vous aurez défini votre action, vous avez trois options : L’exécuter La déléguer La reporter
Chacun des points repris ci-dessus est détaillé dans le livre sur plusieurs pages. Partie 7 : l’organisation. Etablir les bonnes catégories
Ce chapitre explique comment vous devrez gérer tous les éléments qui figurent dans le système d’organisation que vous aurez établi. Pour se faire, vous devrez commencer par différencier les éléments par des catégories bien distinguées. L’organisation des rappels d’actions
Il sera nécessaire de mettre en place des systèmes qui vous rappelleront d’agir. Pour cela, vous n’aurez qu’à suivre les étapes du schéma qui se trouve dans le livre. Il s’agit d’un processus décisionnel qui définira quand et comment vous aurez à traiter un élément de votre liste.
N’hésitez pas à trier les actions que vous devez faire afin d’optimiser votre temps.
Note : cette idée est également présente dans le livre de Tim Ferriss : « la semaine de 4 heure ». L’idée est de regrouper les tâches semblables à un même moment afin de gagner du temps dans leur accomplissement. L’organisation des rappels à l’action
Quand vous aurez mis en place votre système d’organisation, vous devrez mettre en place des systèmes de rappels afin de ne pas oublier de consulter les documents qui se trouvent dans votre boité d’entrée afin de les traiter.
Il existe plusieurs solutions pour gérer votre organisation au niveau des rappels: Les actions à inscrire dans votre agenda
Trier les actions à exécuter aussi tôt que possible en fonction du contexte. De manière général, chaque type de tâche est plus facile à réaliser dans un certain cadre de travail. Par exemple, écrire un roman en voiture n’est peut-être pas le choix le plus judicieux pour accomplir cette tâche. Utilisation de l’objet comme descriptif.
Il s’agit de différencier les éléments qui sont activables de ceux qui ne le sont pas. L’organisation des rappels de projets
Ce point est sensiblement le même que le précédent. Il explique comment se rappeler des différents projets en cours et comment les organiser. Organiser les données non activables
Organiser les éléments non activables, c’est-à-dire ceux qui ne demandent pas d’action est aussi important que de gérer les autres éléments. En effet, si ces derniers ne sont pas gérés, votre système risque de subir des dysfonctionnements sévères au niveau de son efficacité.
Il existe deux catégories où on peut classer les éléments non activables : La documentation de référence. Ils représentent la majorité des éléments qui occupent notre surface de travail et qui ne sont pas immédiatement utile mais qu’il est nécessaire de conserver pour diverses raisons. Par exemple un magazine à lire, le catalogue des fournitures, etc.
Les actions à exécuter un jour… peut-être. Il s’agit de tous les éléments qui occupent vos pensées et pur lesquels vous accomplirez peut-être une action dans le futur. par exemple : réparer la porte du jardin, faire un voyage autour du Monde, vendre la maison, etc.
Le livre « s’organiser pour réussir« donne toutes les possibilités que vous pouvez utiliser pour mieux trier toutes ces questions restent en suspens dans votre esprit et qui vous empêchent d’avancer ou de poser clairement une action sur ces pensées. Des sources d’inspiration : les listes de contrôles
Les listes de contrôle représente le dernier point du système d’organisation présenté par le livre « s’organiser pour réussir ». Ce point a pour but de résoudre toutes les questions et les engagements qui ne sont pas clairs et définis comme par exemple : faire plus de sport, passer du temps avec mes enfants, etc.
La méthode consiste à fusionner les autres techniques qui ont déjà été décrites précédemment. Chapitre 8. L’examen : garantir la bonne marche de votre système
L’idée de GTD « s’organiser pour réussir » ne sous entend pas qu’on ne réfléchit plus. Au contraire, l’objectif est de maitriser nos pensées afin de mieux les organiser sur base d’un système fiable qu’on a mis en place. Que revoir et quand ?
Le système que vous aurez mis en place doit vous permettre de voir à n’importe quel moment quelles sont les actions qu vous pouvez exécuter. Pour bien appliquer cela, vous devrez vous référencer à votre agenda, à la liste de vos actions, et le contexte dans lequel vous êtes. Mettre à jour votre système
Votre système doit être en accord avec ce que vous faites dans votre vie. Pour que votre système soit en concordance avec votre votre vie, il est indispensable de le revoir régulièrement. La méthode « GTD : s’organiser pour réussir » préconise de revoir son système une fois par semaine. Quel est l’objectif de cette revue hebdomadaire ? regroupez les papiers éparpillés. traitez vos notes.
revoyez les données passées de votre agenda ou de votre calendrier électronique. Videz votre esprit. … Chapitre 9. L’action : faite le bon choix.
Peu importe votre système d’organisation. Au final, tout est une question de choix. Et pour cela, il n’y a pas de méthodes, vous devrez vous fier à vous même.
Dans cette partie du livre, l’auteur présente 3 modèles pour faciliter le processus décisionnel. Modèle 1 : modèle à quatre critères pour choisir l’action à exécuter au moment propice Le contexte La disponibilité le niveau d’énergie La priorité
Note : ce système est très certainement celui que je préfère. Simple et efficace. Modèle 2 : modèle à trois volets pour évaluer le travail quotidien Modèle 3: le modèle à six paliers pour définir la vraie nature de votre travail
Ce système a déjà été expliqué précédemment avec les différents paliers de vision de votre projet. L’auteur compare un projet à une vue arienne où chaque altitude représente une vision différente des étapes du projet. Chapitre 10 : la planification verticale de vos projets L’importance d’une planification informelle
La planification permet de mieux organiser les choses que nous avons à faire. Dans cette partie, l’auteur nous présente des outils et des techniques afin de faciliter le processus de planification naturelle et informelle. le but est de se munir de systèmes et d’astuces qui vous inciteront à réfléchir à vos projet de manière plus constante, plus aisée et plus poussée. Quels projets devez-vous planifier ?
Ceux qui retiennent encore votre attention, même lorsque les premières actions ont été déterminées. Ceux qui continuent de susciter des idées et que vous pourriez mettre à profit. Les principales étapes de planification
Voici les actions les plus communes qui sont relatives à la planification: Le brainstorming L’organisation Tenue de réunions Collecte de données Outils et structures à la conceptualisation de projets Les papiers pour écrire Les blocs-notes L’ordinateur … Comment appliquer ces principes à ma situation ?
S’il y a bien un seul conseil du livre que vous devez retenir c’est celui-ci. C’est quelque chose que j’ai compris en étudiant le phénomène du blogging :
» Faites le vide, créez un contexte et exercez-vous à produire des idées créatives sur votre projet. Cette pratique vous donnera une longueur d’avance sur la plupart des gens ». Partie 3 : les principes fondamentaux et leur impact Chapitre 11 : l’impact des pratiques de collecte Les bienfaits personnels
Appliquer la méthode « GTD : s’organiser pour réussir » peut provoquer un grand soulagement mais aussi une certaine anxiété à cause de ce soulagement.
Comment éviter de rompre les engagements envers soi-même. Il y a trois manière d’y arriver : Ne pas accepter l’accord Respecter l’accord Renégocier l’accord Chapitre 12 : l’impact de la décision sur la première action
Après n’importe quelle discussion ou n’importe quelle réunion, il est impératif que vous sachiez si vous devez entamer une action et si oui, déterminer qui en sera responsable et quels sont les résultats attendus. Se donner les moyens d’agir
Il n’est pas nécessairement bon d’avoir une liste de choses à faire. Essayer de vous constituer également une liste des premières actions à exécuter car ce sont elles qui vous permettront réellement d’avancer dans vos projets.
Et si la décision sur la première action devenait une norme opérationnelle
Dans cette partie, la méthode « s’organiser pour réussir » explique les différents bénéficies à appliquer une première action sur les choses que nous devons faire : La clarté La responsabilisation La productivité L’assurance Chapitre 13 : se concentrer sur le résultat
David Allen explique les bienfaits de la visualisation. Il dit que le fait visualiser les résultats qu’on souhaite obtenir nous aide très certainement à y arriver. Se concentrer pur aller plus vite
Une idée du livre intéressante est d’imaginer que tous les problèmes que nous rencontrons sont des tâches « incomplètes » pour lesquelles il est nécessaire de d’appliquer une première action de les considérer comme des projets à part entière. L’importance de la focalisation sur le résultat
L’auteur explique qu’il y a deux problèmes dans la vie : Vous savez ce que vous voulez mais vous ne savez pas comment l’obtenir. Vous ne savez pas ce que vous voulez.
Et pour cela il n’y a que deux solutions : imaginer et concrétiser. La gestion des résultats à tous les niveaux
L’auteur préconise d’appliquer la méthode GTD : « s’organiser pour réussir » aussi bien dans la vie rivée que dans la vie professionnelle. Le pouvoir de la planification naturelle
La phrase suivante est très vraie : « quand le résultat et l’action deviennent les principaux points de focalisation de nos activités quotidiennes, notre productivité monte d’un cran ». Vers une culture organisationnelle positive
Il n’est généralement pas nécessaire de tout remettre en question pour améliorer la productivité d’un système de fonctionnement. La première chose à faire est de commencer par se poser les bonnes questions.
Les individus qui se sentent responsabilisés par un projet auront tendance à focaliser leur énergie (positive) sur la réalisation et la concrétisation de ce projet. Conclusion
J’ai beaucoup aimé ce livre car il m’a permis de simplifier mon processus de rangement des mes affaires et j’ai également trouvé un moyen simple de toujours avoir l’esprit vide en notant tout ce
que je devais ou vouais faire dans un système d’organisation fiable. Pour moi, ce système est Evernote.
Par contre, si on entre dans les détails, je trouve que la méthode est vraiment trop compliquée. Je mets au défi quelqu’un d’utiliser à la lettre ce qui est dans le livre «GTD « s’organiser pour réussir ».
Ce que j’ai beaucoup aimé Les conseils donnés vous permettront de simplifier toutes les questions et les choses diverses qui hantent votre esprit. La méthode GTD vous permettra de trouver des solutions claires, simples et rapides à mettre en œuvre. Le livre est en français.
Ce que j’ai moins aimé Le livre se répète vers la fin. La méthode détaillée est très lourde à mettre en place.
Et vous, comment vous organisez-vous ? Arrivez-vous à tout gérer ? Connaissez-vous GTD ? L’avezvous déjà utilisé ?
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