Residanat en Poche - 2011-Tome i - Qcm - Qcs - Exclusivité
May 1, 2017 | Author: Amibenya | Category: N/A
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Recueil de qcm pour la préparation du Résidanat....
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RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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Question à compléments multiples. Parmi les affirmations suivantes, quelle est celle ou quelles sont celles qui s'applique(nt) à une anémie par inflammation chronique? A - L'anémie peut être macrocytaire B - Le taux de saturation de la transferrine est normal ou modérément diminué C - L'anémie est habituellement régénérative D - Le traitement martial améliore le chiffre d'hémoglobine E - L'hyposidérémie est constante Bonne(s) réponse(s) : B A : Non, microcytaire ou normocytaire. B : Oui puisque Fer sérique et capacité totale de fixation sont abaissés. C : Non, arégénérative. D : Inutile. E : Non, uniquement en cas d'inflammation prolongée.
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Question à complément simple. Quel est le médiateur de l'inflammation libéré par les macrophages à la suite d'une transformation de l'acide arachidonique par la voie de la cyclooxygénase? A - Lysozyme B - Prostaglandine E2 C - Leucotriène B4 D - PAF (facteur d'activation plaquettaire) E - Cachectine Bonne(s) réponse(s) : B L'acide arachidonique donne naissance, sous l'influence d'une enzyme. La cyclo-oxygénase, aux PG. C : substance libérée par les neutrophiles et les polynucléaires, sous l'influence d'une enzyme, la lipo-oxygénase, dérive de l'acide arachidonique.
Question à complément simple. Cette interleukine (IL) est produite notamment par les monocytes-macrophages ; elle est capable d'activer les lymphocytes T ; elle est un facteur de croissance fibroblastique et inducteur des protéines de l'inflammation. Il s'agit de : A - ILl B - IL2 C - IL3 D - IL4 E - IL5 Bonne(s) réponse(s) : A Classique (# 6/88/I) IL1 est : . produite par les macrophages . participe à l'induction de l'expression du récepteur d'IL2 au niveau des LT . participe à l'induction de la production d'IL2/les LT auxilliaires . produite dans les réactions d'immunité cellulaire sans spécificité d'antigène
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40 Question à complément simple. Quel pourcentage de la totalité des cancers de l'endomètre représentent les adénocarcinomes ? A - 20 % B - 30 % C - 50 % D - 70 % E - 90 % Bonne(s) réponse(s) : E Les tumeurs malignes développées aux dépens de l'épithélioma glandulaire représentent plus de 95 % des cancers du corps utérin (autres formes : adénoacanthome, carcinome adénosquameux, adénocarcinome à cellules claires et sarcome de l'endomètre.
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1 Question à complément simple. Une des inflammations suivantes n'est pas aiguë. Laquelle ? A - Inflammation hémorragique B - Inflammation tuberculoïde C - Inflammation gangréneuse D - Inflammation fibrineuse E - Inflammation oedémateuse Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
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94 94 Question à compléments multiples. Quelles sont en France les lésions précancéreuses les plus fréquentes de l'oesophage qui nécessitent une surveillance endoscopique ? A - Oesophagite caustique B - Mégaoesophage idiopathique C - Endobrachyoesophage secondaire à une oesophagite peptique D - Syndrome de Plummer-Vinson (ou de Kelly-Paterson) E - Syndrome de Mallory-Weiss Bonne(s) réponse(s) : A B C A - Un cancer de l'oesophage peut se développer sur le rétrécissement cicatriciel séquellaire d'une brûlure caustique (3% des cancers de l'oesophage). Temps moyen entre la survenue de la lésion caustique et le cancer de l'oesophage est de 40 ans. Cancer de type malpighien. B - Délai d'apparition de 20 ans. Risque de survenue d'un cancer sur le mégaoesophage est de 3%. De plus rareté du mégaoesophage. C - Un oesophage de Barett se définit par le remplacement de la muqueuse malpighienne normale du bas oesophage par une muqueuse glandulaire cylindrique. Considéré comme un processus de cicatrisation des lésions oesophagiennes secondaires au reflux gastro-oesophagien d'où nécessité d'opérer ces reflux pour stabiliser voire faire régresser ces lésions. Prévalence d'adénocarcinomes oesophagiens sur les endobrachyoesophages est de 10 à 20%. Absence de certitude que le risque soit suffisamment important pour justifier une surveillance endoscopique régulière. D - Dysphagie sidéropénique est susceptible de se cancériser. Répandue dans les pays scandinaves. Le cancer de l'oesophage compliquerait 5% des syndromes de Plummer-Vinson. Très rare en France. E - Dilacération du bas oesophage sous l'effet de traumatismes variés responsables d'hémorragies digestives.
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37 Question à complément simple. Un malade est porteur de lésions de tuberculose pulmonaire nécrotique. Quelle est la nature de la nécrose ? A - Fibrinoïde B - Ischémique C - Caséeuse D - Purulente E - Hyaline Bonne(s) réponse(s) : C Sans problème.
24 Question à complément simple. Au cours de la tuberculose, quelle est la variété de lésion histologique ne renfermant qu'exceptionnellement des B.K. ? A - Exsudative non spécifique B - Purement caséeuse C - Purement follicullaire D - Caséo-folliculaire E - Caséo-fibreuse Bonne(s) réponse(s) : C C - Le BK est rare dans les lésions folliculaires. B - La nécrose caséeuse est caractérisée par l'abondance et la virulence du BK. A - Le BK peut être mis en évidence par la coloration de Ziehl, au niveau de la lésion exsudative non spécifique.
38 Question à complément simple. Tous ces éléments sont en faveur d'un diagnostic histologique de tuberculose sauf un. Lequel ? A - Présence de cellules géantes type langhans B - Présence de nombreux polynucléaires C - Présence de nécrose caséeuse D - Présence de cellules épithélioïdes E - Présence de lymphocytes Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
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102 Question à compléments groupés.
40 Question à compléments multiples.
Les tumeurs bénignes sont habituellement : 1 - Bien encapsulées 2 - Dépourvues de nécrose 3 - D'évolution lente 4 - Faites de cellules à noyaux hyperchromatiques Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les tumeurs ci-dessous, indiquez celle(s) née(s) à partir d'un épithélium pavimenteux ? A - Carcinome épidermoïde différencié B - Cystadénocarcinome végétant C - Carcinome malpighien immature D - Carcinome transitionnel excréto-urinaire E - Choriocarcinome
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A C
L'hyperchromasie est un signe suspect de malignité.
Les cystadénocarcinomes se développent à partir d'un épithélium glandulaire, carcinome transitionnel à partir d'un épithélium transitionnel, choriocarcinome à partir du revêtement trophoblastique.
45 Question à compléments multiples. Des caractères ci-dessous, quel(s) est ou sont celui ou ceux qui s'appliquent aux tumeurs bénignes épithéliales ? A - Structure proche du tissu normal homologue B - Evolution lente C - Essaimage à distance D - Caractère multifocal possible E - Régression spontanée possible Bonne(s) réponse(s) : A B D E Adénomes coliques multiples multifocaux. Les verrues peuvent regresser spontanément.
47 Question à complément simple. Une seule des propriétés suivantes oppose constamment les tumeurs bénignes aux tumeurs malignes. Laquelle ? A - Vitesse de croissance B - Degré de différenciation C - Potentiel à métastaser D - Encapsulation E - Index mitotique Bonne(s) réponse(s) : C C'est le seul critère absolu en faveur de la malignité d'une tumeur.
37 Question à compléments multiples.
41 Question à complément simple.
Parmi les tumeurs suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui peut(peuvent) avoir un aspect macroscopique de polype ? A - Une tumeur bénigne conjonctive B - Une tumeur maligne conjonctive C - Une tumeur maligne épithéliale D - Une tumeur bénigne épithéliale E - Une tumeur bénigne épithéliale et conjonctive Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Une des affirmations suivantes concernant les tumeurs malignes est fausse. Laquelle ? A - Elles envahissent les tissus B - Elles métastasent C - Elles récidivent fréquemment D - Leur vitesse de croissance est toujours lente E - Les caractères cellulaires sont plus ou moins normaux Bonne(s) réponse(s) : D
Le terme de polype est macroscopique ; il peut correspondre à tout sur le plan histologique.
49 Question à compléments multiples.
Le caractère évolutif des tumeurs malignes est la croissance rapide contrairement aux tumeurs bénignes.
114 Question à compléments multiples.
Parmi les cinq caractères suivants, quel est celui ou quels sont ceux propre(s) aux tumeurs malignes : A - Durée de croissance illimitée B - Vascularisation faible C - Nécrose fréquente D - Démarcation nette avec les tissus normaux E - Activité mitotique élevée
Sont des tumeurs épithéliales : A - Les condylomes B - Les léiomyomes C - Les papillomes D - Les lipomes E - Les adémones
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Les tumeurs malignes sont hypervasculaires et infiltrantes.
Sans commentaire.
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15 Question à compléments multiples.
114 Question à compléments multiples.
Laquelle(lesquelles) des propositions suivantes concernant les tumeurs bénignes est(sont) exacte(s) : A - Elles peuvent être constituées de cellules épithéliales B - Elles ne donnent pas de métastases C - Elles peuvent être mortelles en raison de leur localisation D - Elles envahissent les organes avoisinants E - Elles sont habituellement constituées de tissu bien différencié
Parmi les propriétés suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) qui oppose(nt) constamment les tumeurs malignes aux tumeurs bénignes ? A - Vitesse de croissance élevée B - Degré de différenciation élevé C - Potentiel à métastaser D - Encapsulation E - Index mitotique bas Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A B C E Critère majeur de différenciation entre tumeur maligne et bénigne. A - Plus fréquemment pour tumeur maligne mais peut être applicable à une tumeur bénigne. B D E - Critères habituels des tumeurs bénignes.
C - Par compression du fait de leur volume. D - C'est un caractère des tumeurs malignes.
48 Question à complément simple. Une seule des propriétés suivantes est particulière aux tumeurs malignes. Laquelle ? A - Vitesse de croissance élevée B - Degré de différenciation faible C - Potentiel à métastaser D - Encapsulation E - Index mitotique élevé Bonne(s) réponse(s) : C C - C'est le facteur qui confère le caractère malin à une tumeur. A B D E - Sont des caractères variables et peuvent exister dans certaines tumeurs non malignes.
106 Question à compléments multiples. Parmi les tumeurs ci-dessous, indiquez celle(s) née(s) à partir d'un épithélium pavimenteux ? A - Carcinome épidermoïde différencié B - Cystadénocarcinome végétant C - Carcinome malpighien immature D - Carcinome transitionnel excréto-urinaire E - Chorio-carcinome Bonne(s) réponse(s) : A C D A - Epithélium pavimenteux = Epithelioma ou carcinome épidermoïde. C - Quand peu différencié. D - L'épithélium excreto-urinaire est pseudo-pavimenteux. E - Tumeur germinale maligne.
119 Question à compléments multiples. Parmi les cinq caractères suivants, quel est celui ou quels sont ceux propre(s) aux tumeurs malignes : A - Durée de croissance illimitée B - Vascularisation faible C - Nécrose fréquente D - Démarcation nette avec les tissus normaux E - Activité mitotique élevée Bonne(s) réponse(s) : A C E B - Généralement élevée. D - C'est l'inverse. E - Variable en fonction de la tumeur, peut exister dans un tissu non tumoral, en cas de réparation tissulaire.
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46 Question à compléments multiples.
100 Question à complément simple.
Le ou les facteurs suivants favorisent la formation d'une thrombose : A - Lésion de la paroi vasculaire B - Ralentissement du courant sanguin C - Prise d'oestroprogestatifs D - Insuffisance hépatique aigu% E - Déficit en anti-thrombine III
Parmi les évolutions possibles d'une thrombose veineuse, quelle est celle qui n'est pratiquement jamais réalisée ? A - Mobilisation B - Restitution "ad integrum" de la structure vasculaire C - Suppuration par développement d'un germe D - Réorganisation du caillot avec "réperméabilisation" E - Liquéfaction enzymatique du caillot
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : B
L'insuffisance hépatique favorise les hémorragies.
Il existe toujours une altération pariétale secondaire à la thrombose.
40 Question à compléments multiples.
115 Question à compléments multiples.
Dans les thromboses artérielles : A - Le rôle des plaquettes est essentiel B - Le thrombus n'a aucune tendance à l'embolie C - Les anti-vitamines K sont très efficaces D - L'évolution spontanée se fait toujours vers la dissolution E - Une lésion vasculaire initiale est nécessaire
Quel(s) est(sont) parmi les propositions suivantes le(s) facteur(s) favorisant la constitution d'une thrombose ? A - L'insuffisance ventriculaire droite B - L'athérome C - L'enceinte septique d'une paroi veineuse D - Un déficit en antithrombine III E - La polyglobulie
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Adhésion, agrégation plaquettaire et release sont indispensables dans la thrombogénèse.
91 Question à complément simple.
Facteurs thrombogènes : hypercoagulabilité (D,E), stase (A), lésion endothéliale (B,C).
82 Question à compléments multiples.
Toutes les causes suivantes peuvent favoriser la survenue d'une thrombose veineuse des membres inférieurs sauf une. Laquelle ? A - Déficit en anti-thrombine III B - Décubitus prolongé C - Anti-coagulant, anti facteur VIII D - Prise d'oestro-progestatif E - Déficit en protéine C Bonne(s) réponse(s) : C
Une thrombose veineuse, survenant chez un sujet jeune, sans cause favorisante mais avec des antécédents familiaux thrombotiques, doit faire rechercher un déficit congénital en : A - Fibrinogène B - Antithrombine III C - Facteur IX (antihémophilique B) D - Protéine C E - Facteur XIII (facteur stabilisant de la fibrine) Bonne(s) réponse(s) : B D
L'anti-facteur VIII est responsable de syndrome hémorragique. A, C - Sont responsables de syndromes hémoragiques.
36 Question à complément simple.
102 Question à compléments groupés.
Tous les facteurs suivants favorisent la survenue d'une thrombose veineuse sauf un. Lequel ? A - Le rétrécissement de la lumière du vaisseau B - L'exercice physique C - La stase par insuffisance cardiaque D - L'altération de la paroi endothéliale E - L'hypercoagulabilité sanguine Bonne(s) réponse(s) : B
Les thromboses veineuses sont favorisées par : 1 - Alitement prolongé 2 - Varices des membres inférieurs 3 - Syndrome néphrotique 4 - Déficit constitutionnel en antithrombine III Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 1,2,3,4=E
4=D
Bonne(s) réponse(s) : E L'exercice physique diminue la stase et le risque de la thrombose. Stase (1,2) hypercoagulabilité (fuite urinaire d'antithrombine III dans le syndrome néphrotique,(4)) lésions endothéliales, favorisant les thromboses veineuses.
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44 Question à complément simple. Parmi les différentes évolutions possibles d'une thrombose veineuse, laquelle est à la fois fréquente et grave ? A - Calcification B - Surinfection C - Mobilisation D - Lyse puriforme E - Rupture vasculaire Bonne(s) réponse(s) : C Accident évolutif majeur, surtout pour les thrombus récents, et peu adhérents à la paroi.
45 Question à complément simple. La conséquence tissulaire la plus fréquente et la plus grave d'une thrombose artérielle est : A - La nécrose ischémique B - La congestion active C - L'oedème transsudatif D - L'infarcissement hémorragique E - La congestion passive Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
35 Question à compléments multiples. Les facteurs étiologiques majeurs d'une thrombose veineuse comportent : A - Les lésions anoxiques de l'endothélium B - L'hypercoagulabilité sanguine C - L'existence de lésions athéromateuses D - Le ralentissement du courant circulatoire E - Aucun des facteurs ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : A B D Pas de lésion athéromateuse au niveau des veines.
11 Question à complément simple. La lésion cérébrale secondaire à une thrombose d'une branche de l'artère sylvienne est : A - Un infarctus rouge B - Un infarcissement hémorragique C - Un ramollissement cérébral D - Un abcès E - Une lacune Bonne(s) réponse(s) : C A - Poumons, tube digestif. C - Ou infarctus blanc. D - Collection purulente.
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39 Question à compléments multiples.
31 Question à complément simple.
Parmi les évolutions suivantes d'un thrombus artériel, quelle(s) est(sont) celle(s) qui peut(peuvent) avoir des conséquences générales graves ? A - Calcification B - Organisation C - Surinfection D - Reperméabilisation E - Migration
Des lésions suivantes, quelle est celle qui ne se rencontre pas dans l'évolution d'un thrombus veineux de stase ? A - Fibrinolyse B - Organisation conjonctive C - Calcification D - Nécrose fibrinoïde E - Mobilisation Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C E Le risque majeur de la thrombose est l'embolie, qu'elle soit septique ou cruorique.
La nécrose fibrinoïde ne se voit jamais dans l'évolution d'un thrombus de stase ; on observe par contre une hyalinisation du thrombus.
52 Question à compléments multiples.
41 Question à complément simple.
Quel(s) élément(s) microscopique(s) observe-t-on dans le corps d'un thrombus veineux de moins de 24 heures ? A - Fibrine seule B - Capillaires néoformés C - Plaquettes agglutinées D - Leucocytes disposés dans un réseau de fibrine E - Hématies
Le temps que met à se constituer un thrombus mixte oblitérant une veine est : A - Quelques secondes B - Quelques minutes C - Quelques heures D - Quelques jours E - Quelques semaines
Bonne(s) réponse(s) : C D E
Bonne(s) réponse(s) : C Thrombus blanc = surtout des plaquettes. Thrombus rouge = riche en hématies auxquelles s'ajoutent des globules blancs et des plaquettes.
Sans commentaire.
46 Question à compléments multiples.
43 Question à complément simple.
Parmi les propositions suivantes, Iaquelle(lesquelles) s'applique(nt) à un thrombus artériel ? A - Il peut être oblitérant B - Il peut être mural C - Il peut évoluer vers la lyse spontanée D - Il peut se reperméabiliser E - Il peut subir des remaniements fibreux
Un thrombus est : A - Un caillot post-mortem B - Un caillot in vitro C - Un caillot agonique D - Un embol sanguin migrant dans la circulation E - Le résultat de la coagulation sanguine in vivo dans les cavités vasculaires
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : Remaniements fibreux par le biais de l'organisation. QUESTION ANNULEE
100 Question à compléments multiples.
39 Question à complément simple.
Le thrombus évolue habituellement vers l'organisation fibreuse. Parmi les évolutions suivantes, laquelle (lesquelles) est(sont) aussi possibles ? A - Fonte purulente septique B - Ramollissement puriforme aseptique C - Calcification D - Fibrinolyse E - Fragmentation et migration
Parmi les modalités évolutives suivantes d'un thrombus, laquelle est la plus fréquente ? A - Ramollissement puriforme aseptique B - Suppuration septique C - Mobilisation du caillot D - Thrombolyse E - Organisation
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : E
Cinq évolutions des thromboses en dehors de la hyalinisation, organisation fibreuse, et réperméation.
Sans commentaire.
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98 Question à compléments multiples. Le thrombus évolue habituellement vers l'organisation fibreuse. Parmi les évolutions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) aussi possibles ? A - Fonte purulente septique B - Ramollissement puriforme aseptique C - Calcification D - Fibrinolyse E - Fragmentation et migration Bonne(s) réponse(s) : A D E A - Thrombophlébite suppurée. B - Evolution d'un infarctus cérébral.
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41 Question à compléments multiples. Parmi ces lésions, laquelle(lesquelles) est(sont) précancéreuse(s) ? A - Polypes digestifs B - Papillomatose vésicale C - Verrues séborrhéiques D - Polypes vésicaux E - Leucoplasies buccales Bonne(s) réponse(s) : A B D E C - Lésion toujours bénigne.
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79 Question à complément simple.
26 Question à compléments multiples.
Toutes ces propositions concernant l'athérosclérose sont exactes sauf une : A - Elle prédomine dans l'intima des artères B - Elle peut détruire la lame élastique interne dans les lésions très évoluées C - Elle forme des plaques qui peuvent s'ulcérer D - Elle touche surtout les grosses veines E - Elle peut être à l'origine d'anévrismes
Une sclérose jeune est caractérisée par : A - Richesse en fibroblastes B - Hypervascularisation C - Calcification D - Hyalinisation E - Présence de cellules inflammatoires
Bonne(s) réponse(s) : D
1
Bonne(s) réponse(s) : A B E Ce sont les vieilles scléroses qui se calcifient et se hyalinisent.
Anévrisme athéroscléreux par destruction de la média.
37 Question à compléments multiples.
46 Question à compléments multiples.
Une sclérose en voie de constitution est caractérisée par : A - La richesse en fibres de collagène B - Un oedème interstitiel C - La pauvreté de la vascularisation D - De nombreux fibroblastes E - Une faible cellularité
La ou les complications locales de l'athérosclérose coronarienne peuvent être : A - Une thrombose oblitérante B - Une rupture C - Une calcification D - Une hémorragie intra-pariétale E - Un granulome adventitiel
Bonne(s) réponse(s) : B D Les scléroses jeunes sont oedémateuses, vasculaires et cellulaires, pauvres en fibres.
Bonne(s) réponse(s) : A C D La thrombose peut être oblitérante dans les artères de moyen calibre ; il n'existe pas de rupture spontanée (cas de rupture sous angie plastie) ; l'hémorragie intra-pariétale est liée à la dissection de la plaque athéroscléreuse ; les réactions granulomateuses adventicielles se voient uniquement au niveau des artères de gros calibre (aorte).
104 Question à compléments groupés. Les lésions de l'athérosclérose : 1 - Se voient dans les veines et dans les artères 2 - Débutent dans l'intima 3 - Prédominent dans le sexe féminin avant l'age de 50 ans 4 - Contiennent des macrophages Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C Lésion intimale avec macrophages ou cellules musculaires lisses de la média chargées de graisse.
41 Question à compléments multiples. La sclérose d'un organe peut se traduire par un ou plusieurs des caractères suivants : A - Une atrophie B - Une évolution réversible C - Une induration D - Une insuffisance fonctionnelle E - Une augmentation de volume Bonne(s) réponse(s) : A C D E La sclérose collagène n'est pas réversible ; elle peut donner une insuffisance cardiaque suite à une sclérose cicatricielle d'infarctus myocardique.
94 Question à compléments multiples. Une sclérose ancienne est caractérisée par : A - Une infiltration inflammatoire polymorphe B - De nombreux capillaires néoformés C - Une grande cellularité D - De nombreux trousseaux de collagène épais E - Un oedème interstitiel Bonne(s) réponse(s) : D Les scléroses anciennes sont riches en fibres, peu vasculaires, peu cellulaires, peu oedémateuses.
117 Question à compléments groupés. La sclérose est : 1 - Une induration anormale d'un tissu ou d'un organe 2 - Un processus différent de la fibrose 3 - Une augmentation du contingent fibrillaire du conjonctif 4 - Une augmentation du contingent cellulaire du conjonctif Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B Sclérose signifie fibrose.
30 Question à compléments multiples. Une sclérose cicatricielle ancienne peut être : A - Rétractile B - Hypertrophique C - Oedémateuse D - Dure E - Inflammatoire Bonne(s) réponse(s) : A B D L'oedème et l'inflammation se voient à la phase aiguë.
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37 Question à complément simple.
34 Question à compléments multiples.
Dans le système carotidien du sujet européen, l'athérosclérose touche préférentiellement : A - L'origine de la carotide interne B - La carotide interne intrapétreuse C - Le siphon carotidien D - L'origine de l'artère cérébrale moyenne E - Les premières branches de division de l'artère cérébrale moyenne
Quelle(s) proposition(s) s'applique(nt) aux scléroses cicatricielles ? A - Elles peuvent être de type collagène B - Elles sont habituellement mutilantes C - Elles succèdent habituellement au stade chronique de l'inflammation D - Elles sont réversibles E - Elles contiennent une substance fondamentale anormale
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : Sans commentaire ; ne pas confondre le sinus carotidien à l'origine de la carotide interne et le siphon carotidien, situé à l'intérieur du sinus caverneux.
QUESTION ANNULEE
49 Question à complément simple.
28 Question à compléments multiples. L'athérosclérose est caractérisée par : A - Des plaques chondroïdes et des stries lipidiques B - Une atteinte intimale des artérioles C - Une localisation fréquente au niveau des artères du cou et du cerveau D - Une accumulation dans la média d'une substance myxoïde E - Sa fréquence accrue chez les alcooliques
Le constituant essentiel de la sclérose est : A - L'histiocyte B - Le granulome C - La fibre collagène D - La substance hyaline E - La fibre élastique Bonne(s) réponse(s) : C C : particulièrement abondante dans l'organisme.
Bonne(s) réponse(s) : A C Intéressent les artères de gros et moyen calibre, et non les artérioles. L'accumulation de substance myxoïde dans la média est une lésion élémentaire de la maladie de la média (exemple : Marfan).
48 Question à compléments multiples. Parmi les facteurs qui influent sur la constitution des lésions d'athérosclérose ou d'athérome vous retenez : A - Les hypercholestérolémies héréditaires B - Le diabète C - L'insuffisance thyroïdienne D - Les tumeurs malignes E - L'hypertension artérielle
97 Question à compléments multiples. Avec le temps, un foyer de sclérose mutilante peut se remanier ; on peut alors observer : A - Une hyalinisation B - Une calcification C - Une fonte purulente D - Une dégénérescence fibrinoïde E - Une ossification Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B E L'hypothyroïdie (myxoedème) potentialise les conséquences de l'athérome mais n'influe pas directement sur la constitution des lésions.
17 Question à compléments multiples. Parmi les lésions suivantes quelle(s) est(sont) celle(s) témoignant d'une athérosclérose débutante non fibreuse : A - Elevure gélatiniforme B - Plaque chondroïde C - Strie lipidique D - Aspect réticulé E - Pustule athéromateuse
37 Question à complément simple. Une des propositions suivantes concernant l'athérosclérose est fausse : laquelle ? A - Débute dans l'intima B - Intéresse les artères de la grande circulation C - Localisation préférentielle aux bifurcations et aux points de départ des collatérales D - Richesse en lipides E - Ne favorise pas les thromboses Bonne(s) réponse(s) : E La thrombose est une complication de l'athérosclérose.
Bonne(s) réponse(s) : A C D Les lésions initiales de l'athérosclérose débutante non fibreuse sont : - les coussinets intimaux - les élevures gélatiniformes - les stries graisseuses (qui, confluantes donnent l'aspect "réticulé").
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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3
53 Question à compléments multiples.
120 Question à compléments multiples.
Les lésions microscopiques de l'athérosclérose : A - Comportent des dépôts lipidiques B - Peuvent se calcifier C - Débutent dans l'intima artérielle D - Sont riches en polynucléaires E - Sont réversibles au stade initial
La sclérose : A - A pour synonyme le terme de fibrose B - Résulte de l'augmentation des fibres de collagène C - Peut s'accompagner d'une néogénèse élastique D - Résulte volontiers d'une inflammation chronique E - N'a pas de traduction macroscopique
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Par définition - cf Anapath Générale JB Baillère Paris J. Diebold J.P. Camilleri.
E - La sclérose est la traduction macroscopique de la fibrose, qui est une anomalie quantitative du métabolisme des composants fibrillaires matriciels.
57 Question à compléments multiples.
53 Question à compléments multiples.
Les images initiales de l'athérosclérose comportent : A - Une plaque d'oedème intimal B - Une nécrose fibrinoïde sous-intimale C - Un dédoublement de la limitante élastique interne D - Une accumulation de cellules spumeuses E - Une fibrose de la média Bonne(s) réponse(s) : A D
Une sclérose élastique peut se développer dans : A - Le poumon B - Le derme C - Le myomètre D - L'endocarde E - La prostate Bonne(s) réponse(s) : A B D
B - Grade III. C - C'est un critère histologique de la maladie de Horton. D - Stade réversible, les cellules sont chargées de lipides et il existe un oedème de la matrice conjonctive sous endothéliale.
40 Question à compléments multiples.
33 Question à compléments multiples. Parmi les lésions suivantes de l'athérosclérose, laquelle ou lesquelles est (sont) réversible(s) ? A - Points lipidiques B - Stries lipidiques C - Pustules athéromateuses D - Plaques d'athérome E - Plaques gélatineuses (ou mucoïdes) Bonne(s) réponse(s) : B
Parmi les propositions suivantes concernant l'athérosclérose, indiquez celle(s) qui est (sont) exacte(s) : A - Elle lèse les artères de moyen et de gros calibre B - Elle rétrécit progressivement la lumière artérielle C - Elle représente le point d'appel d'une thrombose D - La migration d'un fragment de plaque d'athérome est responsable d'embolie pulmonaire E - Elle fragilise la paroi artérielle et donne alors naissance à un anévrysme Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Sans commentaire.
A - Par définition. C - C'est une complication majeure. D - Faux, c'est une embolie systémique artérielle.
14 Question à complément simple. Certaines scléroses s'effectuent en accentuant la charpente intérieure d'un organe. On appelle ce type de sclérose ? A - Sclérose mutilante B - Sclérose hyaline C - Sclérose jeune D - Sclérose systématisée E - Sclérose rétractile Bonne(s) réponse(s) : D C'est la définition. A - Détruit les éléments nobles d'un organe (cirrhose du foie). E - C'est une sclérose atrophique et extensive du tissu conjonctif.
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La fibrose élastique s'observe dans les organes riches en fibres élastiques : poumon, peau, endocarde, vaisseaux.
102 Question à compléments multiples. Une sclérose ancienne est caractérisée par : A - Une infiltration inflammatoire polymorphe B - De nombreux capillaires néoformés C - Une grande cellularité D - De nombreux trousseaux de collagène épais E - Un oedème interstitiel Bonne(s) réponse(s) :D A C E - Caractères d'une sclérose jeune.
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84 Question à compléments multiples.
99 Question à compléments multiples.
Les conséquences de l'ischémie secondaire à une embolie artérielle oblitérante varient en fonction : A - De l'origine de l'embol B - Du calibre du vaisseau oblitéré C - Du type de circulation de l'organe considéré D - De l'existence d'un réseau d'anastomoses E - De la sensibilité tissulaire à l'anoxie
Un viscère soumis à une ischémie incomplète et prolongée peut subir une ou plusieurs des modifications suivantes : A - Atrophie B - Sclérose C - Infarctus blanc D - Oedème interstitiel E - Nécrose parcellaire
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A D
Le calibre détermine l'étendue du territoire ischémié ; la sensibilité du tissu à l'anoxie, l'état fontionnel du tissu, l'architecture vasculaire (circulation terminale, double circulation, collatéralité), la rapidité d'installation, la durée de l'ischémie, interviennent dans l'intensité des altérations.
Sans commentaire.
31 Question à compléments multiples. Indiquez la(les) conséquence(s) d'une ischémie d'installation lente et progressive : A - Infarctus B - Survenue d'une sclérose dystrophique C - Constitution d'une circulation collatérale de suppléance D - Constitution d'un oedème E - Aggravation par une thrombose brutale Bonne(s) réponse(s) : B C E
22 Question à complément simple. L'ischémie désigne : A - La nécrose tissulaire secondaire à une oblitération vasculaire B - La diminution ou l'arrêt du retour veineux d'un territoire de l'organisme C - La diminution ou l'arrêt de l'apport sanguin artériel dans un territoire de l'organisme D - La diminution ou l'arrêt de l'apport d'oxygène dans un territoire de l'organisme E - L'augmentation de la consommation d'oxygène dans un territoire de l'organisme Bonne(s) réponse(s) : C
Sclérose et atrophie sont les complications classiques de l'ischémie lente et progressive. Dans ces conditions hémodynamiques précaires, il est évident qu'une thrombose aggrave brutalement les conséquences tissulaires, mais l'item E est très mal posé.
A - C'est une définition de l'infarctus. B - Définition de la congestion passive. D - Définition de l'hypoxie. E - Aucun rapport.
49 Question à compléments multiples. Indiquez la(les) conséquence(s) possible(s) d'une ischémie d'installation lente et progressive : A - Infarctus B - Survenue d'une sclérose dystrophique C - Constitution d'une circulation collatérale de suppléance D - Constitution d'un oedème E - Amyotrophie progressive Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
61 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes quelle(s) est(sont) la(les) cause(s) possible(s) d'une ischémie ? A - Thrombose B - Embolie C - Anévrisme D - Compression extrinsèque E - Spasme artériel prolongé Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Les causes peuvent être : - embolies - athérosclérose - thromboses - sténoses artérielles - spasme artériel prolongé - compression tumorale - torsion pédiculaire - hypotension artérielle brutale RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS - troubles respiratoires.
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47 Question à complément simple. L'oedème inflammatoire a tous les caractères suivants, sauf un : A - Il est lié à une augmentation de la perméabilité des capillaires B - Il peut se collecter dans une cavité naturelle C - Il peut évoluer vers la fibrose D - Il est dû à une congestion passive E - Il est riche en protéines Bonne(s) réponse(s) : D La congestion dans l'inflammation est active.
55 Question à complément simple. Le facteur étiologique essentiel de l'oedème inflammatoire est l'un des éléments suivants. Lequel ? A - Augmentation de la pression veineuse B - Hypoprotéinémie C - Rétention hydrosodée D - Augmentation de la perméabilité vasculaire des capillaires et des veinules E - Augmentation de la pression artérielle Bonne(s) réponse(s) : D L'augmentation de la perméabilité vasculaire est le facteur étiologique essentiel, et à un moindre degré, l'augmentation de la pression hydrostatique.
49 Question à compléments multiples. L'oedème inflammatoire est dû à : A - L'augmentation de la pression hydrostatique du plasma B - La baisse de la pression oncotique du plasma C - L'augmentation de la perméabilité vasculaire D - Un obstacle au retour lymphatique E - Des modifications de la composition protéique du sang Bonne(s) réponse(s) : C Evident.
36 Question à compléments multiples. L'oedème inflammatoire : A - Comporte très peu de protéines B - Peut être associé à une érythrodiapédèse C - Se développe à la phase chronique d'une inflammation D - Permet la dilution des toxines microbiennes E - Peut favoriser une sclérose ultérieure Bonne(s) réponse(s) : B D E A - Riche en protéines. B - Par augmentation de la perméabilité capillaire. C - Faux, se développe à la phase aiguë (vasculo-sanguine).
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106 Question à compléments groupés.
104 Question à compléments multiples.
L'évolution d'un foyer d'infarctus viscéral peut se faire vers : 1 - Une abcédation 2 - Un enkystement 3 - Une résorption avec cicatrice rétractile 4 - Une fibrose systématisée Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
A l'examen anatomique d'un organe remanié par un infarctus récent de moins de 5 jours, on retrouve : la ou les lésion(s) suivante(s) : A - Nombreux macrophages B - Nécrose de coagulation C - Fibrose D - Infiltrat à polynucléaires E - Nécrose fibrinoïde
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : B D Transformation en pseudokyste des ramollissements cérébraux. La fibrose est plus tardive, elle survient après deux semaines. Les macrophages sont présents à partir du 3e, 4e jour jusqu'au 7e jour où ils sont nombreux.
106 Question à compléments groupés. Un infarctus peut être déterminé directement par : 1 - Une embolie cruorique 2 - Une thrombose artérielle 3 - Une sténose athéromateuse brusquement aggravée 4 - Une varice thrombosée Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A L'embolie cruorique peut être à point de départ artériel.
48 Question à complément simple. L'évolution habituelle d'un infarctus est : A - La suppuration B - La calcification C - Le ramollissement D - La sclérose E - Le kystisation Bonne(s) réponse(s) : D C'est la sclérose mutilante.
39 Question à compléments multiples.
31 Question à compléments multiples.
Les infarctus rouges : A - S'observent dans la rate B - Sont dûs à une oblitération artérielle C - Sont infiltrés de sang D - Ressemblent aux lésions provoquées par une oblitération veineuse E - S'observent dans le poumon
L'infarctus blanc : A - Peut siéger au niveau du cerveau B - Peut siéger au niveau de la rate C - A des limites nettes macroscopiques D - A la période d'état, est formé d'une nécrose centrale E - Peut se surinfecter
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Les infarctus rouges se voient dans les organes à double circulation (poumons, intestin) et ressemblent aux infarcissements (en rapport avec une thrombose veineuse) tout en étant mieux limités.
A, B - Organe à circulation terminale. C - A différencier d'un infarcissement.
97 Question à compléments multiples.
50 Question à compléments multiples.
Un infarctus rouge : A - A pour cause habituelle au niveau des poumons, une embolie de l'artère pulmonaire B - Peut se voir au niveau de l'intestin grêle C - Siège essentiellement dans les reins D - Est le résultat d'une hypoxie chronique E - Evolue parfois vers un infarctus blanc
L'évolution d'un foyer d'infarctus viscéral peut se faire vers : A - Une abcédation B - Une fibrose systématisée C - Une sclérose cicatricielle rétractile D - Une résorption complète E - Une rupture lorsqu'il se situe dans certains organes
Bonne(s) réponse(s) : A B L'infarctus rouge se voit au niveau d'organes à double circulation (poumons, intestin). C'est le résultat d'une hypoxie aiguë.
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Bonne(s) réponse(s) : A C D E C'est une sclérose mutilante ; on peut avoir une rupture pariétale dans l'évolution d'un infarctus du myocarde transmural.
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37 Question à compléments multiples.
98 Question à compléments multiples.
L'évolution d'un foyer d'infarctus viscéral peut se faire vers : A - Une abcédation B - Une fibrose systématisée C - Une sclérose cicatricielle rétractile D - Une résorption complète E - Une rupture lorsqu'il se situe dans certains organes
On peut observer dans un foyer d'infarctus viscéral une ou plusieurs des évolutions suivantes : A - Abcédation B - Enkystement C - Résorption avec cicatrice rétractile D - Fibrose systématisée E - Retour à la normale
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire. E - Très exceptionnellement (infarctus hépatique).
32 Question à compléments multiples.
111 Question à compléments multiples.
Les organes dont les infarctus sont définis comme infarctus rouge d'emblée incluent : A - Poumon B - Intestin grêle C - Hémisphère cérébral D - Rate E - Reins Bonne(s) réponse(s) : A B
Parmi les viscères suivants, quels sont ceux qui sont le siège d'infarctus blanc ? A - Poumon B - Rein C - Myocarde D - Rate E - Cerveau Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Les infarctus blancs à l'opposé siègent dans les organes à circulation terminale : myocarde, rein, rate, encéphale.
101 Question à compléments multiples.
Annulée. A - Rouge.
113 Question à compléments multiples.
Un infarctus rouge : A - A pour cause habituelle au niveau des poumons, une embolie de l'artère pulmonaire B - Peut se voir au niveau de l'intestin grêle C - Siège essentiellement dans les reins D - Est le résultat d'une hypoxie chronique E - Evolue parfois vers un infarctus blanc Bonne(s) réponse(s) : A B
A l'examen anatomique d'un organe, 3 jours après un infarctus, on retrouve : A - Nombreux macrophages B - Nécrose de coagulation C - Fibrose D - Infiltrat à polynucléaires E - Nécrose fibrinoïde Bonne(s) réponse(s) : A
D - Foyer de nécrose circonscrit, secondaire à l'arrêt brutal de l'irrigation sanguine dans un organe. C - Infarctus blanc. E - C'est l'inverse.
C'est la troisième phase de l'infarctus : la détersion. B D - Deuxième phase : 6-48 heures. C - Dernière phase : deuxième, troisième semaine. E - Aucun rapport.
24 Question à complément simple. Toutes les propositions sur l'infarctus sont vraies sauf une : A - Est une nécrose ischémique B - Peut exister sans sténose des artères irriguant le territoire correspondant C - Est parfois provoqué par une embolie D - Est consécutif à une ischémie lente E - Est parfois provoqué par une thrombose oblitérante Bonne(s) réponse(s) : D Par définition.
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47 Question à complément simple.
53 Question à complément simple.
L'oedème inflammatoire a tous les caractères suivants, sauf un : A - Il est lié à une augmentation de la perméabilité des capillaires B - Il peut se collecter dans une cavité naturelle C - Il peut évoluer vers la fibrose D - Il est dû à une congestion passive E - Il est riche en protéines
La durée de vie d'un polynucléaire neutrophile dans un foyer inflammatoire est de : A - Quelques minutes B - Quelques heures C - Quelques jours D - Plusieurs semaines E - Plusieurs mois Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : D Durée de vie du polynucléaire : 24-48 heures. La congestion dans l'inflammation est active.
55 Question à complément simple.
66 Question à complément simple.
Le facteur étiologique essentiel de l'oedème inflammatoire est l'un des éléments suivants. Lequel ? A - Augmentation de la pression veineuse B - Hypoprotéinémie C - Rétention hydrosodée D - Augmentation de la perméabilité vasculaire des capillaires et des veinules E - Augmentation de la pression artérielle
Des lipides insaturés cycliques (prostaglandines leucotriènes) interviennent dans le déroulement du processus inflammatoire : A - Au cours de la phase vasculo-sanguine B - Au cours de la phase cellulaire C - En amplifiant le processus de macrophagie D - Au cours de la néogenèse vasculaire E - Au cours de la régénération épithéliale
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A L'augmentation de la perméabilité vasculaire est le facteur étiologique essentiel, et à un moindre degré, l'augmentation de la pression hydrostatique.
Agissent surtout sur la perméabilité vasculaire.
43 Question à complément simple.
49 Question à compléments multiples.
Parmi les cellules des foyers inflammatoires, quelle est celle qui mérite le qualificatif de "macrophage" ? A - Polynucléaire neutrophile B - Polynucléaire éosinophile C - Lymphocyte D - Histiocyte E - Plasmocyte
L'oedème inflammatoire est dû à : A - L'augmentation de la pression hydrostatique du plasma B - La baisse de la pression oncotique du plasma C - L'augmentation de la perméabilité vasculaire D - Un obstacle au retour lymphatique E - Des modifications de la composition protéique du sang
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C
Evident.
Evident.
102 Question à compléments groupés.
107 Question à compléments groupés.
Une inflammation chronique est caractérisée par : 1 - Phénomènes exsudatifs absents ou modérés 2 - Granulome inflammatoire formé essentiellement de Iymphocytes et de plasmocytes 3 - Présence fréquente de macrophages 4 - Importantes lésions de sclérose Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les cellules suivantes, lesquelles sont retrouvées dans les granulomes inflammatoires ? 1 - Fibroblastes 2 - Lymphocytes 3 - Plasmocytes 4 - Histiocytes Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : E
L'exsudation appartient à la phase initiale de l'inflammation.
Lymphoplasmocytes, histiocytes et fibroblastes sont les principales cellules de l'inflammation.
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49 Question à complément simple.
50 Question à complément simple.
On peut observer dans une inflammation tuberculeuse toutes les lésions suivantes sauf une. Laquelle ? A - Afflux de polynucléaires B - Congestion C - Nécrose suppurée D - Présence de cellules épithélioïdes E - Sclérose
Dans l'inflammation tuberculeuse, la nécrose caséeuse peut évoluer vers toutes les situations ci-dessous sauf une. Laquelle ? A - Ramollissement B - Calcification C - Evacuation par un conduit naturel D - Sclérose d'enkystement E - Résorption spontanée
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : E
La congestion fait partie de la phase vasculo-exsudative de l'inflammation et peut apparaître dans l'évolution d'un follicule tuberculeux ; la nécrose caséeuse peut se ramollir et contenir polynucléaires mais n'est jamais supprimée.
La nécrose caséeuse n'est jamais résorbable spontanément.
82 Question à complément simple. 12 Question à compléments multiples. Parmi les lésions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) des inflammations suppurées ? A - Abcès froid B - Furoncle C - Anthrax D - Gangrène sèche E - Phlegmon Bonne(s) réponse(s) : B C E L'abcès froid est fait de nécrose caséeuse ; la gangrène sèche n'est pas surinfectée.
32 Question à complément simple.
Dans la première phase du processus inflammatoire, quelle est la cellule siègeant dans le tissu conjonctif qui est capable de libérer des substances vasoactives ? A - Polynucléaire neutrophile B - Fibroblaste C - Mastocyte D - Plasmocyte E - Histiocyte Bonne(s) réponse(s) : C L'histiocyte intervient à la phase cellulaire tardive de la réaction inflammatoire. Le mastocyte secrète histamine, sérotonine, leucotriènes et prostaglandines, et est présent dans le tissu conjonctif à la différence du polynucléaire.
115 Question à compléments groupés.
Les propositions suivantes sont des médiateurs chimiques intervenant plus particulièrement dans la phase vasculosanguine de la réaction inflammatoire sauf une. Laquelle ? A - Sérotonine B - Histamine C - Prostaglandines D - Kinines E - Lymphokines Bonne(s) réponse(s) : E
Dans un foyer inflammatoire les polynucléaires neutrophiles peuvent : 1 - Phagocyter des agents microbiens 2 - Elaborer une barrière fibrineuse 3 - Libérer des enzymes protéolytiques 4 - Résorber les corps étrangers minéraux volumineux Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B
Les lymphokines sont des médiateurs cellulaires intervenant dans la phase cellulaire.
3 Question à compléments multiples. Dans une inflammation chronique on observe surtout : A - Des Iymphocytes B - Des fibroblastes C - Des plasmocytes D - Des histiocytes E - Des polynucléaires Bonne(s) réponse(s) : A B C D Evident.
Les polynucléaires phagocytent les petits corps étrangers (pinocytose) ; la barrière de fibrine dérive du plasma et de l'exsudation dans le foyer inflammatoire.
55 Question à complément simple. Parmi les lésions suivantes, laquelle est la plus évocatrice de l'inflammation tuberculeuse ? A - Exsudat B - Sclérose C - Granulome épithélioïde et gigantocellulaire D - Nécrose caséeuse E - Calcifications Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire. L'histoplasmose et de rares autres mycoses américaines, ainsi que les mycobactéries sont les seuls agents capable de produire une nécrose caséeuse en dehors de la tuberculose.
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45 Question à compléments multiples.
49 Question à compléments multiples.
Dans un infiltrat inflammatoire, quelle(s) est(sont) la(les) cellule(s) ayant une origine locale ? A - Polynucléaires B - Mastocytes C - Lymphocytes D - Monocytes E - Histiocytes
Parmi les lésions suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) qui corresponde(nt) à une inflammation granulomateuse ? A - Sarcoïdose B - Abcès staphylococcique C - Maladie de Crohn D - Silicose E - Tuberculose
Bonne(s) réponse(s) : B E
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Ce sont les cellules présentes dans le tissu conjonctif, en l'absence de réaction inflammatoire.
La sclérose entraîne des nodules avec importante fibrose au niveau pulmonaire.
48 Question à compléments multiples.
29 Question à complément simple.
La réaction inflammatoire à corps étranger : A - Peut être associée à une suppuration B - Régresse toujours spontanément C - Est une inflammation à prédominance cellulaire D - Comporte des Iymphocytes à noyaux multiples E - Est provoquée uniquement par les corps étrangers exogènes
Une des cellules inflammatoires suivantes est évocatrice d'une inflammation allergique. Laquelle ? A - Lymphocyte B - Polynucléaire neutrophile C - Polynucléaire éosinophile D - Plasmocyte E - Polynucléaire basophile
Bonne(s) réponse(s) : A C
Bonne(s) réponse(s) : C
Le caractère pseudotumoral est en rapport avec la richesse cellulaire de ce type de réaction inflammatoire ; il n'existe pas de lymphangite à noyaux multiples mais des macrophages à noyaux multiples (cellules géantes)
Les polynucléaires éosinophiles ont une activité antibactérienne et sont surtout impliqués dans l'inflammation allergique.
36 Question à compléments multiples.
30 Question à compléments multiples. Quelles sont la ou les propositions exactes parmi les suivantes ? Dans une inflammation bactérienne les polynucléaires neutrophiles : A - Emigrent du courant sanguin vers les tissus lésés B - Sécrètent des enzymes protéolytiques C - Phagocytent les bactéries D - Sécrètent des anticorps antibactériens E - Peuvent se transformer en cellules géantes plurinucléés Bonne(s) réponse(s) : A B C Les anticorps ne sont pas produits par les polynucléaires ; les cellules géantes proviennent de la lignée macrophagique.
48 Question à complément simple. L'inflammation : A - Est l'envahissement de l'organisme par un agent pathogène vivant B - Est synonyme d'infection C - A une correspondance morphologique précise D - Est définie par la présence de pus E - Peut se produire dans tous les tissus
L'oedème inflammatoire : A - Comporte très peu de protéines B - Peut être associé à une érythrodiapédèse C - Se développe à la phase chronique d'une inflammation D - Permet la dilution des toxines microbiennes E - Peut favoriser une sclérose ultérieure Bonne(s) réponse(s) : B D E A - Riche en protéines. B - Par augmentation de la perméabilité capillaire. C - Faux, se développe à la phase aiguë (vasculo-sanguine).
46 Question à compléments multiples. Parmi les caractères suivants, indiquez celui(ceux) qui caractérise(nt) la phase exsudative de l'inflammation : A - Congestion active B - Oedème C - Multiplication des fibroblastes D - Diapédèse des leucocytes E - Présence de Iymphocytes et de plasmocytes Bonne(s) réponse(s) : A B D C et E - Phase cellulaire de l'inflammation.
Bonne(s) réponse(s) : E Question discutable ; les autres propositions étant fausses (inflammation pouvant être tumorale, ou liée à un agent étranger inerte non suppurée) ; elle peut se produire dans tous les tissus en principe, à condition qu'ils soient vascularisés ; toutefois on répondra (E) car si l'inflammation ne débute jamais dans un épithélium ou dans un cartilage, elle peut l'atteindre par contiguité.
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116 Question à compléments multiples.
46 Question à complément simple.
Morphologiquement l'inflammation aiguë se traduit par la présence de : A - Fibrose B - Congestion active C - Afflux d'histiocytes macrophagiques D - Oedème E - Afflux de polynucléaires
Lors d'une réaction inflammatoire, toutes les propositions suivantes concernant l'histamine sont exactes, sauf une : A - C'est le premier médiateur libéré B - Elle est libérée par dégranulation des macrophages C - Elle entraîne une stase capillaire majeure D - Elle augmente la perméabilité capillaire E - Elle entraîne un oedème local
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Bonne(s) réponse(s) : B
Sans commentaire.
B - L'histamine est libérée des granulations des polynucléaires éosinophiles, des basophiles et des mastocytes et en faible quantité des plaquettes.
23 Question à compléments multiples. Quelle(s) cellule(s) peut(peuvent) se transformer en macrophage(s) au cours d'un processus inflammatoire ? A - Lymphocyte B - Monocyte C - Plasmocyte D - Histiocyte E - Cellule de Kupfer du foie Bonne(s) réponse(s) : B D E Ce sont les cellules du système réticulo-endothélial, ainsi que les ostéoclastes et les éléments de la microglie.
120 Question à compléments multiples. Parmi les cellules suivantes quelle est (ou quelles sont) celles qui est (sont) impliquée(s) dans la réaction inflammatoire ? A - Mastocyte B - Fibroblaste C - Polynucléaire D - Lymphocyte E - Plasmocyte Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
52 Question à compléments multiples. Parmi les caractères suivants, indiquez celui (ceux) qui caractérise(nt) la phase exsudative de l'inflammation : A - Congestion passive B - Oedème C - Mobilisation et multiplication des histiocytes (macrophages) D - Diapédèse des polynucléaires E - Infiltration Iympho-plasmocytaire Bonne(s) réponse(s) : B
97 Question à compléments multiples. Parmi les lésions suivantes, laquelle (lesquelles) est (ou sont) des inflammations suppurées ? A - Abcès froid B - Furoncle C - Anthrax D - Gangrène sèche E - Phlegmon Bonne(s) réponse(s) : B C E
A - Congestion active : première phase de l'inflammation. B - Deuxième phase c'est la phase exaudative caractérisée par l'oedème. D - Commence avec la 2ème phase mais est considérée comme la 3ème phase. - Réf. Camilleri Diebold Anapath Générale Baillère. C E - 4ème phase, réaction cellulaire.
A - Lésion caséuse et gigantocellulaire. B - Infection du follicule pilo-sébacé. C - Infection de plusieurs appareils pilo-sébacés. E - Suppuration diffuse ne se collectant pas.
44 Question à complément simple
2 Question à complément simple.
L'infiltrat cellulaire initial, lors d'une réaction inflammatoire induite par des complexes immuns précipitants, est essentiellement composé d'un type cellulaire. Lequel ? A - Mastocyte B - Lymphocyte C - Polynucléaire D - Macrophage E - Aucune des cellules citées
Parmi les propositions suivantes indiquez celle qui désigne la population cellulaire d'un foyer inflammatoire : A - Botryomycome B - Blastème de régénération C - Granulome inflammatoire D - Bourgeon charnu E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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A = B = D. Constitué par un tissu conjonctif ; une comprenant des fibroblastes, des capillaires néoformés, des myofibroblastes et un granulome riche en P.N.
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3 Question à complément simple. A la phase initiale du processus inflammatoire, quelle est la cellule siégeant dans le tissu conjonctif, qui est capable de libérer des substances vaso-actives ? A - Polynucléaire neutrophile B - Fibroblaste C - Mastocyte D - Plasmocyte E - Histiocyte Bonne(s) réponse(s) : C Origine histiomonocytaire, naissant dans les tissus, libérant l'histamine.
113 Question à compléments multiples. Parmi les affections suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) une (des) inflammation(s) chronique(s) ? A - Réaction à corps étrangers B - Alvéolite fibrinoleucocytaire C - Nodule tuberculeux calcifié D - Cholécystite gangreneuse E - Cirrhose du foie Bonne(s) réponse(s) : A C E B D - Inflammation aiguë. E - Processus de dégénérescence, de régénération et de fibrose (stade ultime de l'inflammation).
102 Question à compléments multiples. Dans la liste suivante, quels sont les facteurs susceptibles de déclencher une réaction inflammatoire ? A - Un traumatisme B - Des radiations ionisantes C - Une nécrose tissulaire D - Un conflit immunitaire E - La suppression de l'innervation motrice Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire.
12 Question à complément simple. Dans l'inflammation tuberculeuse, la nécrose caséeuse peut évoluer vers toutes les situations ci-dessous, sauf une. Laquelle ? A - Ramollissement B - Calcification C - Evacuation par un conduit naturel D - Sclérose d'enkystement E - Résorption spontanée Bonne(s) réponse(s) : E Par définition.
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38 Question à complément simple. Quelle est la cause la plus fréquente d'une fibrose ? A - Fibrose post-inflammatoire B - Fibrose post-radique C - Fibrose du stroma des cancers D - Fibrose idiopathique E - Fibrose médicamenteuse iatrogène Bonne(s) réponse(s) : A C'est la plus fréquente.
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50 Question à complément simple. Indiquez la variété de cellule la plus sensible à l'hypoxie : A - Fibre myocardique B - Fibroblaste C - Neurone D - Hépatocyte E - Cellule intestinale Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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111 Question a compléments multiples. Un adénome est une tumeur : A - Souvent bénigne B - Formée par la prolifération d'un épithélium glandulaire C - Qui peut se transformer parfois en tumeur maligne D - Qui peut prendre l'aspect macroscopique d'un polype E - Sécrétant parfois des hormones Bonne(s) réponse(s) : B C D E A - Toujours. B - Par définition épithélium = Papillome. C - Par dégénérescence. Ex : Adénome villeux du côlon. D - Ex : Polyadénome colique. E - Ex : Adénome hypophysaire.
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21 Question à compléments multiples. Habituellement on pratique un examen cytologique sur : A - Un produit de curetage B - Un frottis C - Un culot de centrifugation D - Un étalement E - Une apposition Bonne(s) réponse(s) : B C D E Le produit de curetage fournit un matériel tissulaire et non cytologique.
113 Question à compléments multiples. Le ou les aspect(s) suivant(s) peu(ven)t être observé(s) lors de l'examen cytologique de cellules cancéreuses : A - Inégalité de taille des cellules B - Inégalité de taille des noyaux C - Répartition inégale de la chromatine D - Absence d'anomalie cytonucléaire E - Nucléole volumineux Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Il ne faut pas oublier qu'une tumeur très bien différenciée (thyroïde) peut n'avoir aucun signe cytologique suspect de malignité et c'est sur l'histologie (caractère infiltrant, embols vasculaires) qu'on affirmera le diagnostic.
97 Question à compléments multiples. Les critères cytologiques de malignité concernant le noyau cellulaire comprennent : A - Inégalité de taille B - Chromatine en amas irréguliers C - Altérations des contours D - Nucléoles multiples et volumineux E - Diminution du rapport nucléo-plasmatique Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'anisocytose, la chromatine en mottes, l'irrégularité des noyaux, les volumineux nucléoles, l'augmentation du rapport nucléo-cytoplasmique sont des critères habituels de malignité.
99 Question à compléments multiples. Habituellement on pratique un examen cytologique sur : A - Un produit de curetage B - Un frottis C - Un culot de centrifugation D - Un étalement E - Une apposition Bonne(s) réponse(s) : B C D E A - Prélèvement histologique.
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13 Question à complément simple.
2 Question à compléments multiples.
L'embolie paradoxale est : A - Un embol à partir d'un myxome B - Un embol provenant de l'oreillette gauche chez un patient en fibrillation auriculaire C - Survient seulement en présence d'une fistule artérioveineuse D - Un thrombus venant de la circulation veineuse et passant à travers un défaut septal congénital pour gagner une artère systémique E - Un embol de nature non cruorique
Les embolies graisseuses peuvent être la conséquence : A - De la fièvre typhoïde B - De la maladie des caissons C - De l'hypercholestérolémie D - D'une intervention de chirurgie orthopédique E - D'une fracture Bonne(s) réponse(s) : D E Evident. Embol gazeux de la maladie des caissons.
Bonne(s) réponse(s) : D C'est la définition.
51 Question à compléments multiples.
44 Question à compléments multiples. Les embolies graisseuses peuvent s'observer dans une ou plusieurs des circonstances suivantes : A - Massage cardiaque B - Maladie des caissons C - L'hypercholestérolémie D - Intervention de chirurgie orthopédique E - Fracture de jambe
Une embolie artérielle fibrino-cruorique dans la grande circulation a pour origine(s), en dehors d'une malformation cardiaque : A - Une phlébite des membres inférieurs B - Un infarctus du myocarde C - L'ulcération d'une plaque d'athérome D - Un rétrécissement mitral E - Un anévrisme de l'aorte Bonne(s) réponse(s) : B D E
Par le biais d'une fracture et d'embols de moelle adipeuse. L'hypercholestérolémie ne donne pas d'embols graisseux. La maladie des caissons donne des embols gazeux.
C - L'ulcération de plaque est responsable d'embols plaquettaires et non fibrino-cruoriques ; c'est secondairement par le biais d'une thrombose sur cette ulcération qu'il pourra y avoir des embols fibrino-cruoriques. D - Par le biais de la stase secondaire du RM et de troubles du rythme auriculaire.
58 Question à complément simple.
79 Question à compléments multiples.
L'embolie pulmonaire peut avoir toutes les conséquences suivantes sauf une ? A - Mort subite B - Infarctus C - Abcès du poumon D - Scléro-emphysème diffus E - Métastases tumorales
Une embolie gazeuse peut survenir : A - Au décours des fractures des os longs B - Au cours de la chirurgie cardiaque à coeur ouvert C - Par injection intra-veineuse accidentelle de substance huileuse D - Au cours de l'accouchement normal E - Par ouverture accidentelle de cathéter veineux sousclavier
Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B E
Les embols pulmonaires peuvent être tumoraux (lâcher de ballons), et peuvent se surinfecter.
21 Question à compléments multiples.
Cause d'embols gazeux (plaies veineuses, plaies vasculaires, chirurgie cardiaque, CEC, avortement avec rupture des sinus veineux utérins, traumatisme throracique avec déchirure pulmonaire).
84 Question à compléments multiples.
Une embolie peut survenir en cas de : A - Suppuration d'un thrombus B - Lyse spontanée d'un thrombus C - Fragmentation d'un thrombus D - Organisation d'un thrombus E - Réperméation d'un thrombus Bonne(s) réponse(s) : A C La fibrinolyse physiologique ne donne pas d'embolies de même que l'organisation aboutissant à une meilleure attache du thrombus à son point d'ancrage.
Les conséquences de l'ischémie secondaire à une embolie artérielle oblitérante varient en fonction : A - De l'origine de l'embol B - Du calibre du vaisseau oblitéré C - Du type de circulation de l'organe considéré D - De l'existence d'un réseau d'anastomoses E - De la sensibilité tissulaire à l'anoxie Bonne(s) réponse(s) : B C D E Le calibre détermine l'étendue du territoire ischémié ; la sensibilité du tissu à l'anoxie, l'état fontionnel du tissu, l'architecture vasculaire (circulation terminale, double circulation, collatéralité), la rapidité d'installation, la durée de l'ischémie, interviennent dans l'intensité des altérations.
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49 Question à complément simple. Quelle est la variété d'embolie la plus fréquente ? A - Gazeuse B - Parasitaire C - Suppurée D - Graisseuse E - Cruorique Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
47 Question à compléments multiples. Parmi les affections suivantes, quel est (ou quelles sont) celle(s) qui est(sont) susceptible(s) de se compliquer d'embolies : A - Infarctus du myocarde B - Athérosclérose C - Lipomatose D - Fracture de jambe E - Amylose rénale Bonne(s) réponse(s) : A B D Les embolies peuvent être cruoriques (en regard d'infarctus, d'ulcération de plaque).
12 Question à complément simple. Plusieurs causes possibles d'embolies graisseuses sont connues, quelle est la plus fréquente ? A - Contusion du tissu adipeux B - Fracture osseuse C - Brûlure D - Stéatose hépatique E - Cirrhose alcoolique Bonne(s) réponse(s) : A Evident.
86 Question à compléments multiples. Les embolies graisseuses peuvent être la conséquence : A - De la fièvre typhoïde B - De la maladie des caissons C - De l'hypercholestérolémie D - D'une intervention de chirurgie orthopédique E - D'une fracture Bonne(s) réponse(s) : D E A - Embolies septiques. B - Gazeuse. C - Cholestérol par fragmentation d'une bouillie athéromateuse.
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33 Question à compléments multiples.
104 Question à compléments multiples.
L'angine de poitrine doit faire évoquer un spasme coronaire en cas de : A - Survenue au cours de l'effort B - Survenue au décours immédiat de l'effort C - Survenue exclusivement nocturne D - Répétition des crises à horaire fixe E - Inefficacité de la Trinitrine
Parmi les médicaments ci-dessous, lequel(lesquels) est(sont) susceptible(s) d'augmenter la fréquence des crises d'angine de poitrine chez des patients ayant une insuffisance coronarienne non traitée ? A - Propranolol (Avlocardyl®) B - Pindolol (Visken®) C - Hydralazine (Népressol®) D - Amphétamine E - Nifédipine (Adalate®)
Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
42 Question à compléments multiples. Parmi les médicaments ci-dessous lequel(lesquels) est (sont) susceptible(s) d'augmenter la fréquence des crises d'angine de poitrine chez des patients ayant une insuffisance coronarienne non traitée ? A - Propranolol (Avlocardyl®) B - Pindolol (Visken®) C - Isoprénaline (Isuprel®) D - Amphétamine E - Nifédipine (Adalate®) Bonne(s) réponse(s) : C D L'Isuprel® et les amiphétamines sont tachycardisants et donc augmentent la consommation d'oxygène. L'Adalate® est aussi plutôt tachycardisant mais son effet sur la post-charge est prépondérant et diminue donc le travail du coeur.
14 Question à compléments multiples. Au cours d'une crise d'angine de poitrine, l'ECG peut montrer : A - Un sous-décalage du segment ST B - Un sus-décalage du segment ST C - Des modifications isolées de l'onde T D - Aucune modification de ST et de T E - Une onde "ischémique" transitoire Bonne(s) réponse(s) : A B C A - C'est l'aspect le plus typique avec lésion sous-endocardique. B - C'est l'aspect visible en cas de spasme. C - On peut voir une ischémie sous-endocardique ou sous épicardique.
39 Question à compléments multiples. L'angine de poitrine doit faire évoquer un spasme coronaire en cas de : A - Survenue au cours de l'effort B - Dyspnée associée C - Survenue exclusivement nocturne D - Répétition des crises à horaire fixe E - Inefficacité de la Trinitrine Bonne(s) réponse(s) : C D Les dérivés nitrés gardent leurs places dans le traitement curatif et préventif des crises d'angor spastique.
53 Question à complément simple. Chez un malade adulte atteint d'un rétrécissement aortique serré et chez qui surviennent des douleurs d'angine de poitrine, l'un des examens suivants est contre-indiqué, lequel ? A - Une coronarographie B - Un test d'effort sur bicyclette ergométrique C - Une ventriculographie gauche D - Un enregistrement Holter E - Une scintigraphie au thallium sensibilisée par le Dipyridamole Bonne(s) réponse(s) : B L'épreuve d'effort est classiquement contre-indiquée en cas de sténose aortique serrée, et également en cas de myocardiopathie obstructive.
38 Question à compléments multiples. Chez un sujet suspect de faire des crises d'angine de poitrine de type Prinzmetal, la prescription thérapeutique appropriée comporte : A - Trinitrine B - Antagonistes du calcium C - Bêta-bloquants D - Méthyl-ergométrine (Méthergin®) E - Quinidiniques Bonne(s) réponse(s) : A B Les bêta-bloquants sont théoriquement à éviter en raison de leur pouvoir vasoconstricteur potentiel. Le Méthergin (dérivé de l'ergot de seigle), utilisé pour déclencher les spasmes, est donc contre-indiqué. E n'a aucune place ici.
94 Question à compléments multiples. Au cours d'une crise d'angine de poitrine, on peut observer : A - Une baisse de la pression télédiastolique du ventricule gauche B - Une diminution du taux des lactates dans le sang du sinus coronaire C - Un sus-décalage du segment ST sur l'ECG D - Une diminution de la consommation d'oxygène du myocarde E - Un sous-décalage du segment ST sur l'ECG Bonne(s) réponse(s) : C D E A - Anomalie de la relaxation des fibres myocardiques avec élévation des pressions de remplissage du ventricule gauche. B - Au contraire, production de lactates.
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110 Question à compléments multiples. Au cours d'une crise d'angine de poitrine, l'ECG peut montrer : A - Un sous-décalage du segment ST B - Un sus-décalage du segment ST C - Des modifications isolées de l'onde T D - Aucune modification de ST et de T E - Une onde Q ischémique transitoire Bonne(s) réponse(s) : A B C D - L'absence de modifications ECG au cours d'une "crise d'Angor" doit faire remettre en cause ce diagnostic.
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115 Question à compléments multiples.
102 Question à compléments multiples.
La claudication intermittente ischémique des membres inférieurs : A - Est une sensation de crampe douloureuse B - Est le plus souvent unilatérale C - Apparaît dès le démarrage ou la mise en charge du membre D - Oblige à ralentir ou à arrêter la marche E - Peut être localisée à la fesse
Une claudication intermittente fessière peut témoigner d'une lésion : A - De l'artère iliaque externe B - De l'aorte C - De l'artère fémorale profonde D - De l'artère iliaque primitive E - De l'artère iliaque interne Bonne(s) réponse(s) : B D E
Bonne(s) réponse(s) : A B D E La distance parcourue entre le démarrage et l'apparition de la douleur définit le périmètre de marche.
111 Question à compléments multiples. L'apparition récente d'une claudication intermittente unilatérale à 500 m chez un adulte de 60 ans présentant un pouls fémoral normal et des pouls sous-jacents abolis justifie : A - L'arrêt des facteurs favorisant l'athérome B - Une hospitalisation pour traitement héparinique C - L'hospitalisation pour sympathectomie D - L'hospitalisation pour pontage E - La prescription de marches quotidiennes Bonne(s) réponse(s) : A E La correction des facteurs de risque de l'athérome et notamment la suppression définitive du tabac, ainsi que l'exercice physique régulier (marche, bicyclette) pour développer la circulation collatérale sont les principaux éléments du traitement (avec les vasodilatateurs) chez ce patient présentant une artériopathie de classe II peu sévère et permettant la marche.
Les claudications hautes (fesse) traduisent en général des lésions hautsituées (aorte, artère iliaque primitive, artère iliaque interne ou hypogastrique dont une des branches extrapelvienne donne l'artère fessière).
85 Question à compléments multiples. Quelles premières mesures thérapeutiques devez-vous préconiser à un sujet de 50 ans fumeur, présentant une claudication stade II fort d'installation récente d'un membre inférieur par thrombose de la fémorale superficielle avec un bon réseau d'aval : A - Rééducation de la marche B - Suppression de l'intoxication tabagique C - Sympathectomie lombaire D - Pontage fémoro-poplité E - Traitement antiagregant Bonne(s) réponse(s) : A B D E A - La marche est indiquée pour augmenter la circulation collatérale.
81 Question à complément simple. En présence d'une claudication intermittente unilatérale du mollet, la lésion la plus fréquemment rencontrée est une oblitération : A - Du carrefour aortique B - De l'artère fémorale superficielle C - De l'artère iliaque interne D - De l'artère fémorale profonde E - De l'artère tibiale antérieure Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
99 Question à compléments multiples. La claudication intermittente peut être due à : A - L'artérite des membres inférieurs B - L'anévrysme artériel poplité C - Des séquelles de phlébite D - Des varices des membres inférieurs E - Une séquelle d'embolie artérielle Bonne(s) réponse(s) : A B E Toutes ces pathologies sont susceptibles d'être responsables d'une ischémie des membres inférieurs à l'effort.
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98 Question à compléments groupés.
93 Question à compléments groupés.
Après un infarctus du myocarde, une réponse anormale à l'effort est possible dans les circonstances suivantes (citez la(les) proposition(s) qui vous semblent correcte(s)) : 1 - Une atteinte de deux artères coronaires 2 - Une atteinte de trois artères coronaires 3 - Une zone ventriculaire akinétique 4 - Une zone ventriculaire dyskinétique Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les effets suivants, quel(s) est(sont) celui(ceux) que l'on peut observer sous l'influence de la dihydralazine (Népressol®) : 1 - Inhibition de l'enzyme de conversion 2 - Tachycardie 3 - Agueusie 4 - Vasodilatation artériolaire. Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C
Sans commentaire.
Le Népressol® est un vasodilateur artériel musculaire qui provoque une tachycardie réflexe.
107 Question à compléments groupés. Le(s) symptôme(s) suivant(s) est (sont) en faveur d'un ulcère de jambe de cause artérielle : 1 - Douleurs de décubitus 2 - Fond escarrotique 3 - Mise à nu des tendons 4 - Indolence à l'exploration de l'ulcère avec un stylet Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A Les ulcères artériels sont très douloureux.
94 Question à compléments groupés. Parmi les propriétés suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) impliquée(s) dans l'action antiangineuse des antagonistes calciques (type nifédipine-Adalate®) : 1 - Diminution de la fréquence cardiaque 2 - Diminution de la précharge 3 - Protection du coeur vis à-vis des décharges de catécholamines 4 - Vasodilatation coronaire Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : D
95 Question à compléments groupés. Le souffle d'insuffisance mitrale : 1 - Siège à la pointe et irradie habituellement vers l'aisselle 2 - Débute habituellement dès le premier bruit 3 - Peut être suivi d'un troisième bruit protodiastolique 4 - A une intensité maxima en mésosystole Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A Le souffle est typiquement holosystolique.
104 Question à compléments groupés. Le souffle d'insuffisance aortique : 1 - Est diastolique 2 - Débute dès le deuxième bruit 3 - Peut s'accompagner d'un roulement télédiastiolique de pointe 4 - Est toujours organique Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
L'Adalate® est plutôt tachycardisant. C'est un vasodilatateur artériel donc sans action sur la précharge. Enfin, il n'a aucune interaction avec les catécholamines.
98 Question à compléments groupés. Devant un tableau d'insuffisance ventriculaire droite, sans étiologie évidente, on retient en faveur d'une insuffisance respiratoire chronique : 1 - Souffle systolique d'insuffisance tricuspidienne 2 - Gros foie douloureux 3 - Sur l'ECG, onde T négative en V1, V2, V3 4 - PCO2 du sang artériel à 48 mmHg (6,4 Kpa) Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : E Le roulement télédiastolique de Flint traduit la gêne à l'ouverture mitrale par le flux de régurgitation. Le roulement protodiastolique de Flint est dû à l'affrontement entre la régurgitation aortique et le remplissage rapide ventriculaire.
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105 Question à compléments groupés.
95 Question à compléments groupés.
Parmi les propositions suivantes concernant le flutter auriculaire, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? 1 - Les ondes de flutter en D2. D3 et VF sont séparées par des intervalles de retour à la ligne iso-électrique 2 - Le flutter auriculaire peut être réduit par une stimulation électrique endo-auriculaire 3 - Un flutter auriculaire 2/1 donne habituellement un rythme ventriculaire de 120 battements par minute 4 - Le flutter auriculaire peut survenir chez un sujet indemne, apparemment, de toute cardiopathie organique Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les effets suivants, lequel(lesquels) peut (peuvent) être rapporté(s) aux glucosides cardiotoniques chez l'insuffisant cardiaque : 1 - Augmentation du temps de remplissage diastolique 2 - Allongement de l'espace PR de l'ECG 3 - Augmentation du taux de Ca ++ intracellulaire 4 - Diminution de la précharge Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E
La stimulation électrique peut être endo-cavitaire ou bien par voie oesophagienne. Elle permet la réduction parfois après passage en fibrillation auriculaire dans 75% des cas.
1 - C'est l'effet chronotrope négatif. 2 - C'est l'effet dromotrope négatif. 3 - L'augmentation du calcium intra-cellulaire est responsable de l'effet intrope positif. 4 - Les digitaliques provoquent une dilatation par levée du tonus sympathique.
83 Question à compléments groupés.
119 Question à compléments groupés.
Parmi les effets indésirables suivants, quel (quels) est (sont) celui (ceux) que l'on peut observer avec la clonidine ? 1 - Sédation-somnolence 2 - Sécheresse de la bouche 3 - Hypotension orthostatique 4 - Crise de glaucome Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Le(s) médicament(s) suivant(s) allonge(nt) la phase de repolarisation ventriculaire et peu(ven)t ainsi engendrer des torsades de pointes : 1 - Quinidine (hydroquinidine®) 2 - Sotalol (Sotalex®) 3 - Amiodarone (Cordarone®) 4 - Pindolol (Visken®) Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A
La clonidine est un antihypertenseur d'action centrale pouvant donc donner une somnolence, une sécheresse de la bouche ; l'hypertension orthostatique se voit dans la plupart des antihypertenseurs.
Ces trois médicaments augmentent la durée du potentiel d'action et la période réfractaire.
87 Question à compléments groupés.
117 Question à compléments groupés.
La clonidine (Catapressan®) possède le(les) effet(s) indésirable(s) suivant(s) : 1 - Effet presseur immédiat (par voie parentérale) 2 - Somnolence 3 - Sécheresse de la bouche 4 - Tachycardie réflexe Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
L'Amiodarone (Cordarone®) peut éventuellement entraîner comme effet(s) secondaire(s) : 1 - Dépôts intra-épithéliaux cornéens 2 - Erythème de photosensibilisation 3 - Dysfonctionnement thyroïdien 4 - Fibrose pulmonaire Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : E La clonidine est plutôt bradycardisante. Parmi les propositions données, seuls les dépôts cornéens ne contreindiquent pas le traitement.
104 Question à compléments groupés. Une insuffisance aortique pure et modérée se traduira par : 1 - Un souffle systolique d'accompagnement 2 - Un fluttering diastolique de la grande valve mitrale sur l'échocardiogramme 3 - Des chiffres tensionnels de l'ordre de 16/4 4 - Un souffle diastolique Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C 1-3 - Traduisent une IA importante.
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108 Question à compléments groupés.
109 Question à compléments groupés.
Parmi les propositions suivantes concernant la dissection aortique aiguë, citez celle(s) qui est (sont) correcte(s) : 1 - Devant un syndrome douloureux thoracique, une insuffisance coronarienne aiguë (électrique et enzymatique) élimine le diagnostic de dissection aortique 2 - La rupture intra-péricardique du néo-canal est la principale cause de décès 3 - L'athérome coronarien favorise les dissections 4 - La dissection aortique aiguë peut être favorisée par une grossesse Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Lors de l'auscultation d'une sténose mitrale, le(s)quel(s) de ces signes s'attend-on à trouver ? 1 - Un troisième bruit 2 - Un claquement d'ouverture 3 - Une diminution d'intensité du premier bruit 4 - Un roulement diastolique Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C L'HTA, la grossesse, les maladies du tissus élastique (maladie de Marfan), les causes iatrogéniques (circulation extra-corporelle aortographie), la coarctation aortique, la bicuspidie aortique sont les principaux facteurs de risque de la dissection aortique. La principale cause de décès (80% de décès spontanés à un mois) est due à une tamponnade. Les infarctus du myocarde sont vus dans 10% des cas.
120 Question à compléments groupés. Une insuffisance aortique se caractérise sur les dérivations V5 V6 de l'ECG par un aspect d'hypertrophie avec surcharge diastolique du ventricule gauche, c'est-à-dire : 1 - Une onde R de grande amplitude 2 - Une onde à fine et profonde 3 - Une onde T positive et de grande amplitude 4 - Un sous-décalage du segment ST Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A Les surcharges diastoliques se caractérisent par un indice de Sokolow supérieur à 35 min, une onde T positive de grande amplitude.
94 Question à compléments groupés. Parmi les affirmations suivantes la(lesquelles) vous paraît(ssent) exacte(s) ? 1 - L'ischémie aiguë est d'autant plus grave qu'elle entraîne des troubles sensitivo-moteurs 2 - L'ischémie aiguë menace le pronostic vital par le biais d'une acidose hyperkaliémique 3 - Une thrombose veineuse peut être responsable d'une ischémie 4 - Le pronostic d'une ischémie aiguë est dominé par l'état du lit vasculaire périphérique Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
110 Question à compléments groupés. Dans l'insuffisance aortique pure et importante, on peut retrouver parmi les signes suivants : 1 - Un élargissement de la tension artérielle différentielle 2 - Une hyperpulsatilité artérielle 3 - Un roulement diastolique de pointe 4 - Un souffle systolique au foyer aortique Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E 3 - C'est le roulement présystolique de Flint. 4 - C'est un souffle systolique d'accompagnement.
119 Question à compléments groupés. Un oedème aigu pulmonaire cardiogénique peut être traité par : 1 - Furosémide 2 - Métaraminol 3 - Nitroglycérine 4 - Propanolol Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B Le métaraminol est un bêta sympathominétique rarement utilisé actuellement.prescrit dans 1 choc cardiogénique, il accroît considérablement les résistances artérielles périphériques.
116 Question à compléments groupés. L'insuffisance ventriculaire gauche dans l'évolution de l'infarctus du myocarde à la phase aiguë : 1 - Se manifeste préférentiellement dans les formes de localisation antérieure 2 - Constitue la seule cause possible du choc cardiogénique 3 - Peut traduire la survenue d'une complication mécanique telle qu'une rupture de pilier de la valve mitrale 4 - N'influence pas le pronostic à distance Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B Le choc cardiogénique peut-être primaire (en rapport avec l'étendue de la névrose myocardique) ou secondaire à des complications mécaniques.
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118 Question à compléments groupés.
115 Question à compléments groupés.
Le rétrécissement mitral pur : 1 - Est habituellement d'origine rhumatismale 2 - Est souvent responsable d'insuffisance ventriculaire gauche 3 - Comporte habituellement une dilatation artérielle pulmonaire sur la radiographie thoracique 4 - Constitue un point d'appel fréquent de l'endocardite bactérienne Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
La survenue d'une élévation des chiffres tensionnels peut faire suite à la prise de : 1 - Anti-inflammatoires stéroïdiens 2 - Réglisse 3 - Contraceptifs oestroprogestatifs 4 - Vasoconstricteurs nasaux Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : E L'effet hypertenseur de la réglisse vient de la glycirrhizine.
Le RM constituant un barrage en amont du ventricule gauche n'entraîne donc pas d'lVG. Par ailleurs, il se complique exceptionnellement d'endocardite bactérienne lorsqu'il est pur.
108 Question à compléments groupés. Parmi les signes suivants, quel est celui (ou quels sont ceux) qui doivent faire évoquer une dissection aiguë de l'aorte chez un patient souffrant d'une douleur thoracique ? 1 - Electrocardiogramme inchangé 2 - Abolition des pouls au niveau d'un membre inférieur 3 - Existence d'une insuffisance aortique 4 - Antécédents d'hypertension artérielle Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
109 Question à compléments groupés. La dissection de l'aorte thoracique descendante peut être responsable de : 1 - Insuffisance aortique 2 - Hémothorax 3 - Hémopéricarde 4 - Paraplégie Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C La paraplégie peut être en rapport avec la dissection de l'artère d'Adam Kiewicz.
110 Question à compléments groupés. Au cours de l'oedème pulmonaire d'origine hémodynamique : 1 - On note souvent à l'auscultation, la présence d'un bruit de galop 2 - La pression capillaire pulmonaire est élevée 3 - Le traitement d'urgence fait appel aux diurétiques 4 - Le développement secondaire de fibrose pulmonaire est fréquent Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A L'apparition d'une fibrose pulmonaire fait suite aux oedèmes pulmonaires lésionnels.
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35 Question à compléments multiples.
36 Question à complément simple.
Chez une accouchée, indiquer le(les) examens qui est(sont) utile(s) au diagnostic d'embolie pulmonaire : A - Electrocardiogramme B - Dosage des C.P.K C - Scintigraphie pulmonaire D - Taux de prothrombine E - Dosage des gaz du sang
Voici cinq cardiopathies emboligènes, qelle est celle qui est susceptible de donner lieu à des embolies calcaires ? A - La fibrillation auriculaire idiopathique B - Le RM C - Le prolapsus valvulaire mitral D - Le rétrécissement aortique E - L'anévrisme du ventricule gauche
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : D
A - L'ECG peut être normal dans un cas sur deux. Mais sa normalité n'élimine pas le diagnostic. Il peut montrer une tachycardie sinusale, des troubles du rythme supraventriculaire, une rotation axiale droite avec aspect classique S1Q3, un bloc de branche droite, des troubles de la repolarisation dans les précordiales droites. C - C'est un examen sensible peu spécifique. Normale, elle élimine le diagnostic, mais les faux positifs sont nombreux, toute atteinte pulmonaire pouvant la positiver. E - La gazométrie révèle une hypoxie hypocapnie.
Les embolies calcaires oculaires, artérielles périphériques ou coronaires sont des complications rares du rétrécissement aortique.
35 Question à complément simple. Quel est, parmi les examens suivants, le plus fiable pour le diagnostic d'embolie pulmonaire ? A - Le dosage de la LDH B - La mesure des gaz du sang C - L'électrocardiogramme D - La scintigraphie pulmonaire E - L'angiographie pulmonaire
1 Question à compléments multiples. Une embolie pulmonaire peut avoir pour conséquence(s) : A - Augmentation de l'index cardiaque B - Dilatation de l'infundibulum de l'artère pulmonaire C - Augmentation de volume du ventricule gauche D - Augmentation de la pression capillaire pulmonaire E - Augmentation de la pression veineuse périphérique Bonne(s) réponse(s) : B E La pression capillaire pulmonaire est le reflet des pressions de remplissage du ventricule gauche et n'est donc pas augmentée (contrairement à la pression artérielle pulmonaire) en l'absence de cardiopathie gauche.
Bonne(s) réponse(s) : E Cet examen fait le diagnostic, permet d'évaluer la sévérité de l'atteinte pulmonaire : degré d'obstruction ; perfusion capillaire. La mortalité est de 0,01% à 0,2%. Les contre-indications sont une hypertension artérielle pulmonaire : PAP supérieure à 60 mm Hg; une pression ventriculaire droite télédiastolique supérieure à 20 mm hg. Les autres examens proposés ne montrent pas d'anomalies spécifiques dans l'embolie pulmonaire. La scintigraphie permet cependant d'éliminer le diagnostic si elle est normale, mais les faux positifs sont fréquents.
25 Question à compléments multiples. Parmi les cardiopathies suivantes choisissez celle(celles) pouvant être à l'origine d'une embolie cérébrale à point de départ cardiaque : A - Prolapsus de la valve mitrale B - Insuffisance aortique C - Maladie d'Osler D - Infarctus récent du myocarde E - Communication interauriculaire isolée
107 Question à compléments multiples. Il est nécessaire de poser un dispositif d'interruption de la veine cave après diagnostic de phlébite du membre inférieur droit et d'embolie pulmonaire si : A - Il s'agit d'une femme enceinte de 2 mois B - La malade a fait une hémorragie méningée la veille C - L'embolie a provoqué une obstruction vasculaire de 60 % D - Il existe un caillot dans la veine surale gauche E - L'embolie a récidivé malgré un traitement héparinique bien conduit Bonne(s) réponse(s) : B E L'indication d'interruption de la veine cave inférieure est la contreindication absolue aux anticoagulants ou l'échec d'un traitement anticoagulant bien conduit. La pose systématique de filtre cave en cas d'embolie supérieure à 50% est une attitude discutée et non reconnue par toutes les équipes.
Bonne(s) réponse(s) : A C D A - Les embolies systémiques sont décrites (3% des prolapsus). Etant donné la rareté de ces complications en regard de la grande fréquence du prolapsus (6% de la population), la découverte de cette anomalie n'impose pas la mise sous anticoagulant.
55 Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) le(s) signe(s) hémodynamique(s) caractéristique(s) d'une embolie pulmonaire grave ? A - Elévation de la pression systolique dans le ventricule droit B - Elévation de la pression systolique dans le tronc de l'artère pulmonaire C - Elévation de la pression capillaire pulmonaire D - Elévation de la pression systolique dans le ventricule gauche E - Diminution du débit cardiaque Bonne(s) réponse(s) : A B E
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Les signes d'hypertension artérielle pulmonaire avec bas débit cardiaque apparaissent en règle dans les embolies pulmonaires obstruant plus de 50% 43 du lit vasculaire. By NADJI 85
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46 Question à complément simple.
7 Question à complément simple.
Une embolie paradoxale est : A - La migration dans l'artère pulmonaire d'un embol veineux B - Le déplacement d'un embol à contre courant dans les plexus veineux pelviens C - Une éclipse cérébrale à répétition D - La migration d'un embol veineux vers le cerveau par une communication interauriculaire ou une communication interventriculaire E - Une embolie coronarienne par migration d'un thrombus cardiaque
Quel est le signe éléctrocardiographique le plus fréquemment rencontré dans une embolie pulmonaire aiguë ? A - Le S1 Q3 B - Le bloc de branche droit complet C - La tachycardie sinusale D - L'onde T négative en D3 VF E - L'onde T négative de V1 à V4
Bonne(s) réponse(s) : D L'embolie paradoxale est la migration d'un embol du versant veineux ou des cavités droites vers les cavités gauches et la circulation systémique par l'intermédiaire d'une communication inter-auriculaire ou interventriculaire. L'inversion du shunt de gauche-droit à droit-gauche peut se faire à la faveur d'une HTAP, d'un obstacle sur la voie pulmonaire ou d'un effort de toux par exemple.
8 Question à compléments multiples. Le point de départ d'une embolie pulmonaire peut être : A - Veine tibiale postérieure B - Veine jugulaire C - Veine porte D - Veine cave inférieure E - Tronc spléno-mésaraïque Bonne(s) réponse(s) : A B D Une embolie pulmonaire ne peut avoir pour point de départ la veine porte ou le tronc spléno-mésaraïque qui est une veine d'origine de la veine porte, en raison du barrage représenté par le foie.
10 Question à complément simple. Une embolie dans une artère humérale peut avoir pour origine une des causes ci-dessous : A - Myxome de l'oreillette gauche B - Arythmie C - Anévrisme de l'aorte thoracique descendante D - Phlébite iliaque E - Compression par côte cervicale Bonne(s) réponse(s) :
Bonne(s) réponse(s) : C La tachycardie sinusale est de loin le signe ECG le plus fréquent puisqu'il est noté dans environ 50 % des cas (pour mémoire, l'aspect S1 Q3 environ 10 % des cas, le bloc de branche droit complet 10 %).
25 Question à complément simple. L'embolie pulmonaire entraîne des perturbations des gaz du sang caractérisées par l'association : A - Hypoxie - Hypercapnie - Acidose B - Hypoxie - Hypocapnie - Acidose C - Hypoxie - Hypocapnie - Alcalose D - Normoxie - Hypocapnie - Acidose E - Hypoxie - Normocapnie - Acidose Bonne(s) réponse(s) : C L'hypoxie - hypocapnie - alcalose est la conséquence de l'effet shunt et de l'hyperventilation.
8 Question à complément simple. Chez un malade suspect d'embolie pulmonaire, l'examen des gaz du sang montre : A - Une hypoxie avec hypercapnie B - Une hypoxie avec normocapnie C - Une hypoxie avec hypocapnie D - Une normoxie avec hypercapnie E - Aucune de ces perturbations Bonne(s) réponse(s) : C L'hypoxie hypocapnie est secondaire à l'effet shunt et à l'hyperventilation provoquées par l'obstruction du lit vasculaire pulmonaire.
49 Question à complément simple.
QUESTION ANNULEE
4 Question à compléments multiples. Devant une embolie pulmonaire, l'électrocardiogramme effectué immédiatement peut révéler : A - Image S1 Q3 B - Déviation droite de l'axe électrique du coeur C - Onde de Pardee en V3 V4 D - Bloc de branche droit incomplet E - Microvoltage
Parmi les causes suivantes d'embolie pulmonaire, quelle est la plus fréquente ? A - Embolie gazeuse B - Embolie parasitaire C - Embolie graisseuse D - Embolie cruorique E - Embolie néoplasique Bonne(s) réponse(s) : D Les embolies cruoriques sont de très loin les plus fréquentes.
Bonne(s) réponse(s) : A B D L'aspect S1 Q3 en dérivations standards avec déviation axiale droite et bloc de branche incomplet droit sont les signes ECG classiques d'embolie pulmonaire, avec les troubles de la repolarisation en précordiales droites et la tachycardie sinusale.
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50 Question à complément simple.
8 Question à complément simple.
Quel est le seul examen susceptible de vous apporter la certitude diagnostique devant une suspicion d'embolie pulmonaire ? A - Scintigraphie pulmonaire au technetium B - Echocardiographie bidimensionnelle C - Phlébocavographie D - Angiopneumographie E - Scintigraphie ventilation/perfusion au xénon
Voici cinq atteintes valvulaires plus ou moins emboligènes; la plus susceptible de se compliquer d'embolies calcaires est : A - L'insuffisance mitrale rhumatismale B - Le rétrécissement mitral C - Le prolapsus valvulaire mitral D - Le rétrécissement aortique E - L'insuffisance aortique
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D
L'angiographie pulmonaire est la méthode diagnostique la plus spécifique (absence de faux positifs) ; elle est néanmoins un peu moins sensible que la scintigraphie pulmonaire pour les embolies de faible étendue (moins de 15 % d'obstruction du lit vasculaire). La scintigraphie pulmonaire est sensible (puisqu'une scintigraphie normale élimine le diagnostic) mais peu spécifique (nombreux faux positifs).
C'est une complication classique, mais en fait rare du rétrécissement aortique.
46 Question à complément simple. Chez un homme de 69 ans, 48 heures après une prothèse totale de hanche, on constate : dyspnée, douleur thoracique. Quel examen réalisé en urgence vous permettra d'éliminer le diagnostic d'embolie pulmonaire, s'il est normal ? A - Electrocardiogramme B - Phlébographie des membres inférieurs C - Radiographie thoracique face et profil D - Scintigraphie pulmonaire de perfusion sous 4 incidences E - Rhéopléthysmographie d'impédance Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
79 Question à complément simple. Quel est l'aspect éléctrocardiographique le plus fréquent dans l'embolie pulmonaire ? A - Electrocardiogramme normal B - Bloc de branche droit complet C - Coeur pulmonaire aigu D - Tachycardie sinusale E - S1 Q3 isolé
59 Question à complément simple. Lequel de ces signes radiologiques vous évoque le mieux le diagnostic d'une embolie pulmonaire d'un gros tronc artériel ? A - Opacité arrondie basale B - Atélectasies en bandes C - Déformation en tente d'un diaphragme D - Epanchement pleural E - Poumon clair unilatéral Bonne(s) réponse(s) : E A B D sont également des signes radiologiques rencontrés dans l'embolie pulmonaire mais E est plus caractéristique de l'interruption d'un gros tronc artériel pulmonaire.
83 Question à complément simple. Une embolie pulmonaire peut être éliminée devant l'un des éléments suivants : A - Une radiographie thoracique normale B - Un ECG normal C - Des gaz du sang artériel normaux D - Une scintigraphie pulmonaire de perfusion normale E - L'absence de thrombophlébite clinique Bonne(s) réponse(s) : D Une scintigraphie pulmonaire de perfusion normale permet d'éliminer le diagnostic d'embolie pulmonaire mais l'inverse n'est évidemment pas vrai. C'est donc un examen sensible mais non spécifique.
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
39 Question à compléments multiples. Parmi les lésions suivantes, indiquez celle(s) qui peut(peuvent) être à l'origine d'une embolie pulmonaire : A - Endocardite bactérienne mitro-aortique B - Thrombose sur plaque d'athérome C - Thrombose des veines profondes d'un membre inférieur D - Anévrisme de l'aorte abdominale E - Thrombose murale du ventricule gauche Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
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56 Question à compléments multiples. Parmi les lésions suivantes, indiquez celle(s) qui est (sont) à l'origine d'une embolie pulmonaire : A - Endocardite bactérienne mitro-aortique B - Thrombose sur plaque d'athérome C - Thrombose des veines profondes d'un membre inférieur D - Thrombose d'une veine du petit bassin chez un opéré ou une accouchée E - Thrombose murale du ventricule gauche Bonne(s) réponse(s) : C D Une embolie pulmonaire ne peut être la conséquence que d'une pathologie thrombotique située sur le versant veineux ou dans les cavités droites du coeur.
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115 Question à compléments multiples.
112 Question à compléments multiples.
Parmi les examens suivants, quel est ou quels sont ceux dont la normalité, observée dans les 24 premières heures, permet d'éliminer l'hypothèse d'une embolie pulmonaire ? A - E. C.G . B - Radiographie pulmonaire C - Scintigraphie pulmonaire de perfusion D - Angiographie pulmonaire E - Artériographie bronchique
Parmi les veines suivantes, quelles sont celles dont la thrombose peut être à l'origine d'embolies pulmonaires ? A - Veine du triceps sural B - Veine rénale C - Veine cave inférieure D - Tronc splénomésentérique E - Veine pulmonaire Bonne(s) réponse(s) : A B C
Bonne(s) réponse(s) : C D La scintigraphie de perfusion est encore plus sensible que l'angiographie notamment pour les embolies pulmonaires (EP) de petite taille ( 25 mmHg C - Un débit cardiaque normal D - Un débit cardiaque abaissé E - Une pression veineuse centrale élevée
Après un infarctus du myocarde, la constitution d'un anévrysme ventriculaire peut être suspectée par : A - Une réaction péricardique précoce et prolongée B - Une réélévation des CPK C - Une tachycardie ventriculaire D - Un sous décalage persistant de ST à l'ECG dans le territoire correspondant à la nécrose E - Un sus décalage persistant de ST à l'ECG dans le territoire correspondant à la nécrose
Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Il se différencie ainsi du choc cardiogénique où la pression capillaire est élevée. La pression capillaire et la pression veineuse sont en règle abaissées.
A - Traduit en règle un infarctus étendu avec un risque plus grand d'évolution vers l'anévrisme. C - Est une complication classique des anévrismes. E - Surtout si le sus-décalage persiste au-delà de la troisième semaine.
38 Question à compléments multiples. Une tamponnade cardiaque par rupture d'un infarctus du myocarde en paroi libre se traduit habituellement par : A - Un tableau d'arrêt circulatoire B - Un tracé ECG plat C - Une activité mécanique conservée D - Une activité électrique conservée E - Une activité mécanique non perceptible cliniquement Bonne(s) réponse(s) : A D E La tamponnade par rupture de la paroi libre du coeur au cours d'un infarctus du myocarde est responsable d'un tableau de dissociation électromécanique avec absence d'activité hémodynamique et persistance de complexes électriques normaux. C'est une complication pratiquement toujours mortelle. Le drainage péricardique associé au remplissage et une intervention chirurgicale de réparation permettent dans de rares cas de sauver le malade.
48 Question à complément simple. Parmi les enzymes suivantes indiquer celle dont la concentration sérique est augmentée le plus précocément après la crise initiale d'un infarctus du myocarde. A - Créatine phosphokinase B - Lactico deshydrogénase C - Hydroxybutyrate deshydrogénase D - Transaminase glutamate oxaloacétate E - Transaminase glutamate pyruvate Bonne(s) réponse(s) : A A s'élève dans les 6 heures, D dans les 10-12 heures, et B dans les 24 heures.
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16 Question à complément simple. Parmi les thérapeutiques ci-dessous, quelle est la mieux adaptée chez un patient ayant des extrasystoles ventriculaires fréquentes (plus de 5 par minute) pendant les premières heures d'un infarctus du myocarde : A - Digitaliques IV B - Dopamine IV C - Dérivés nitrés IV D - Entraînement électrosystolique E - Lidocaïne IV Bonne(s) réponse(s) : E Dose de charge de xylocaïne en bolus (1 mg/kg) en une minute suivie d'une perfusion continue de 1,2 à 2 g/24 h.
98 Question à compléments multiples. Au cours de son évolution, l'infarctus du myocarde peut présenter la ou les lésions suivantes : A - Infiltration par des polynucléaires B - Nécrose caséeuse C - Organisation fibreuse D - Thrombose cavitaire de voisinage E - Rupture Bonne(s) réponse(s) : A C D E A - Après la 24ème heure. B - Lésion de tuberculose. D - Thrombus intra-cavitaire au contact de la zone infarcie.
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8 Question à complément simple. La correspondance entre les dérivations ECG et le siège d'un infarctus du myocarde est la suivante, sauf dans un cas. Lequel ? A - D2 - D3 - VF : Infarctus inférieur B - D1 - VL - V1 - V2 - V3 : Infarctus latéral C - D2 - D3 - VF - V2- V3 : Infarctus septal profond D - V1 - V2 - V3 - V4 : Infarctus antéro-septo-apical E - D2 - D3 - VF - V5 - V6 : Infarctus inféro-latéral Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
93 Question à compléments multiples. A propos de l'infarctus du myocarde antéroseptal choisir les propositions exactes : A - Les signes électriques directs sont observés dans les dérivations précordiales droites (V1-V2-V3) B - Il correspond habituellement à une thrombose de l'artère inter-ventriculaire antérieure C - Il peut se compliquer de rupture myocardique D - Il peut se compliquer d'un syndrome péricardique aigu plusieurs semaines après le début E - Il entraîne souvent un dysfonctionnement de la valve mitrale Bonne(s) réponse(s) : A B C D D - Syndrôme de Dressler survenant à la deuxième ou troisième semaine. E - Complique les infarctus inférieurs par atteinte ischémique du pilier postérieur.
119 Question à compléments multiples. Au cours de l'infarctus du myocarde, le syndrome vagal : A - Survient habituellement vers le 3ème jour B - Comporte une tachycardie ventriculaire C - Est plus fréquent en cas d'infarctus inférieur D - Comporte une bradycardie importante E - Est amélioré par l'atropine Bonne(s) réponse(s) : C D E Le syndrome vagal est contemporain de la phase aiguë de l'infarctus du myocarde. Il s'accompagne d'une bradycardie, voire de troubles de conduction et d'une hypotension qui sont améliorés par l'atropine.
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38 Question à complément simple.
110 Question à compléments groupés.
Quelle est la donnée hémodynamique qui permet d'apprécier l'importance d'une insuffisance aortique ? A - Elévation de la pression auriculaire droite B - Abaissement de la pression diastolique aortique C - Abaissement de la pression systolique de l'artère pulmonaire D - Egalisation des pressions systoliques gauches et droites E - Inégalité des pressions systoliques entre membres inférieurs et membres supérieurs
Dans l'insuffisance aortique pure et importante, on peut retrouver parmi les signes suivants : 1 - Un élargissement de la tension artérielle différentielle 2 - Une hyperpulsatilité artérielle 3 - Un roulement diastolique de pointe 4 - Un souffle systolique au foyer aortique Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : E 3 - C'est le roulement présystolique de Flint. 4 - C'est un souffle systolique d'accompagnement.
Il existe un élargissement de la différentielle.
104 Question à compléments groupés. Le souffle d'insuffisance aortique : 1 - Est diastolique 2 - Débute dès le deuxième bruit 3 - Peut s'accompagner d'un roulement télédiastiolique de pointe 4 - Est toujours organique Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E
22 Question à complément simple. Un patient de 48 ans, hypertendu ancien, présente une douleur thoracique rétrosternale avec irradiations dorsales. L'ECG est normal. L'auscultation cardiaque révèle un souffle diastolique d'insuffisance aortique. Quel diagnostic évoquezvous en priorité ? A - Infarctus du myocarde B - Embolie pulmonaire C - Dissection aortique D - Péricardite aiguë E - Endocardite aiguë Bonne(s) réponse(s) : C
Le roulement télédiastolique de Flint traduit la gêne à l'ouverture mitrale par le flux de régurgitation. Le roulement protodiastolique de Flint est dû à l'affrontement entre la régurgitation aortique et le remplissage rapide ventriculaire.
104 Question à compléments groupés. Une insuffisance aortique pure et modérée se traduira par : 1 - Un souffle systolique d'accompagnement 2 - Un fluttering diastolique de la grande valve mitrale sur l'échocardiogramme 3 - Des chiffres tensionnels de l'ordre de 16/4 4 - Un souffle diastolique Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Le tableau est typique avec notion d'HTA ; douleur thoracique irradiant dans le dos, souffle d'insuffisance aortique et ECG normal.
47 Question à complément simple. Quel est le principal élément du diagnostic positif à l'échoTM d'une insuffisance aortique pure, quelle que soit son étiologie ? A - Epaississement des sigmoïdes aortiques B - Fluttering systolique mitral C - Dilatation ventriculaire gauche D - Crochetage systolique de l'écho sigmoïdien pulmonaire E - Fluttering diastolique mitral Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C 1-3 - Traduisent une IA importante.
Il s'agit de vibrations induites par le jet de régurgitation sur la grande valve mitrale.
120 Question à compléments groupés.
56 Question à complément simple.
Une insuffisance aortique se caractérise sur les dérivations V5 V6 de l'ECG par un aspect d'hypertrophie avec surcharge diastolique du ventricule gauche, c'est-à-dire : 1 - Une onde R de grande amplitude 2 - Une onde à fine et profonde 3 - Une onde T positive et de grande amplitude 4 - Un sous-décalage du segment ST Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les techniques d'auscultation suivantes, quelle est la plus adéquate pour rechercher une insuffisance aortique ? A - Patient assis, penché en avant et en expiration forcée B - Patient en décubitus latéral gauche et après effort C - Patient en décubitus latéral droit, en inspiration forcée D - Patient en décubitus dorsal E - Patient assis, penché en avant et en inspiration forcée
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Les surcharges diastoliques se caractérisent par un indice de Sokolow supérieur à 35 min, une onde T positive de grande amplitude.
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53 Question à compléments multiples.
37 Question à compléments multiples.
Un malade présente une insuffisance aortique. Parmi les signes suivants, deux sont caractéristiques d'une importante régurgitation, lesquels ? A - Pression télédiastolique VG à 10 mm Hg B - Pression artérielle à 150/40 mm Hg C - 2ème bruit aboli au foyer aortique D - Roulement de Flint E - Fluttering mitral échographique
Quelle(s) est(sont) la(les) donnée(s) hémodynamique(s) qui permet(tent) d'apprécier l'importance d'une insuffisance aortique ? A - Elévation de la pression capillaire B - Elévation de la pression télédiastolique ventriculaire gauche C - Abaissement de la pression télésystolique ventriculaire gauche D - Abaissement de la pression diastolique aortique E - Elévation de la pression systolique aortique
Bonne(s) réponse(s) : B D Le roulement présystolique de Flint traduit une sténose mitrale fonctionnelle en rapport avec une régurgitation aortique importante.
46 Question à complément simple. Le souffle diastolique de l'insuffisance aortique modérée doit être recherché en priorité : A - Au deuxième espace intercostal droit B - Au deuxième espace intercostal gauche C - A la pointe, en décubitus latéral gauche D - A l'appendice xiphoïde E - Au bord gauche du sternum, à hauteur des troisièmes et quatrièmes espaces Bonne(s) réponse(s) : E Le souffle diastolique d'insuffisance aortique siège classiquement au foyer aortique c'est-à-dire au 2ème espace intercostal droit, mais son foyer d'audibilité maximale, notamment lorsque la fuite est modérée, est plus souvent latéro-sternal gauche.
55 Question à complément simple. Une insuffisance aortique peut compliquer toutes les affections suivantes, sauf une, laquelle ? A - Spondylarthrite ankylosante B - Traumatisme thoracique C - Syphilis tertiaire D - Dissection de l'aorte descendante E - Maladie de Marfan Bonne(s) réponse(s) : D La dissection aortique de l'aorte descendante (type III) épargne l'anneau aortique ; seules les dissections de type I ou II peuvent s'accompagner d'insuffisance aortique.
Bonne(s) réponse(s) : A B D E La réponse à cette question est difficile : en effet, dans l'insuffisance aortique, il faut bien différencier les signes qui témoignent de l'importance du volume de régurgitation de ceux qui rendent compte du retentissement ventriculaire gauche. La pression diastolique aortique diminuée et la pression systolique aortique augmentée témoignent de l'importance de la régurgitation, E étant secondaire à l'augmentation du volume d'éjection systolique. L'augmentation de la pression capillaire pulmonaire et de la pression télédiastolique du VG se rencontrent à un stade tardif de l'évolution, mais ces indices témoignent du retentissement sur le ventricule gauche. Donc, les réponses A et B sont ambiguës dans la mesure où elles ne sont que des indices indirects de l'importance de la fuite.
115 Question à compléments multiples. Le souffle d'insuffisance aortique : A - Est diastolique B - Débute dès la fin du premier bruit C - S'accompagne d'un claquement d'ouverture mitrale D - Est toujours organique E - Peut s'accompagner d'un roulement télédiastolique à la pointe Bonne(s) réponse(s) : A D E Le souffle d' IA débute dès le B2. Le roulement télédiastolique de Flint correspond aux turbulences réalisées par le flux régurgitant et le flux de remplissage sur la valve mitrale. Le claquement d'ouverture mitral fait partie de l'auscultation du RM.
83 Question à compléments multiples. Un patient de 48 ans, hypertendu ancien, a une douleur thoracique rétrosternale avec irradiations dorsales. L'auscultation cardiaque révèle un souffle diastolique d'insuffisance aortique. L'ECG est normal. Quel(s) examen(s) est (sont) utile(s) au diagnostic ? A - Radio pulmonaire B - Echocardiographie C - Scintigraphie myocardique au thallium D - ECG d'effort E - Tomodensitométrie Bonne(s) réponse(s) : A B E Le premier diagnostic à évoquer est celui de dissection de l'aorte.
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98 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant l'insuffisance aortique chronique, laquelle ou lesquelles est (sont) exacte(s) ? A - Est le plus souvent d'origine rhumatismale B - Est habituellement d'origine syphilitique lorsque le 2ème bruit est aboli au foyer aortique C - Entraîne plutôt un angor nocturne que diurne D - Se complique fréquemment d'une fibrillation auriculaire E - Se traduit d'abord par une hypertrophie ventriculaire gauche diastolique puis systolique sur l'électrocardiogramme Bonne(s) réponse(s) : A E A - Les formes rhumatismales représentent encore la première cause mais les formes dystrophiques sont de plus en plus fréquentes. E - Surcharge en volume, puis en pression.
109 Question à compléments multiples. La gravité d'une insuffisance aortique peut s'apprécier par : A - La morphologie de l'onde P sur l'ECG en D2 D3 VF B - L'intensité du souffle diastolique C - La valeur de la pression artérielle minimale D - La mesure des diamètres ventriculaires gauches à l'échocardiogramme E - La valeur de l'index cardiothoracique Bonne(s) réponse(s) : B C D E L'intensité du souffle diastolique n'est pas un très bon gravité d'insuffisance aortique. Néanmoins, un souffle diastolique intense et persistant longtemps dans la diastole traduit en général une fuite plus importante qu'un souffle minime. L'abaissement de la PAD et l'augmentation de pression différentielle sont des bons critères de gravité. Enfin, D et E traduisent le retentissement sur les cavités gauches.
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38 Question à complément simple.
37 Question à complément simple.
Le carotidogramme d'un rétrécissement aortique orificiel pur, sans insuffisance cardiaque, est caractéristique par l'existence d'une des anomalies suivantes. Laquelle ? A - Hauteur de l'ascension anormalement élevée B - Hauteur de l'ascension anormalement basse C - Temps de demi-ascension supérieur à 3/100 de sec D - Temps de demi-ascension supérieur à 5/100 de sec E - Aspect de la courbe en double sommet
L'insuffisance cardiaque droite ne comporte pas de façon habituelle : A - Une hépatomégalie molle et douloureuse B - Une distension veineuse C - Un épanchement pleural D - Un reflux hépatojugulaire E - Des oedèmes des membres inférieurs Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : D L'hépatomégalie du foie cardiaque est ferme, lisse et douloureuse. Il traduit le caractère serré du rétrécissement aortique quand il est supérieur à 6/100ème de seconde. Le temps d'éjection corrigée est alors également augmenté, supérieur à 110% en l'absence d'insuffisance ventriculaire gauche.
27 Question à compléments multiples. L'hépatomégalie de l'insuffisance cardiaque droite est : A - Dure avec surface irrégulière B - Lisse et douloureuse à la palpation C - Totalement indolore à la palpation D - Généralement associée à une vésicule palpable E - Parfois expansive à la systole Bonne(s) réponse(s) : B E
89 Question à compléments multiples. Une insuffisance cardiaque à débit élevé est compatible avec certaines étiologies. Indiquer la(les) réponse(s) exacte(s). : A - Hyperthyroïdie. B - Myocardiopathie obstructive C - Fistule artério-veineuse D - Béri-béri cardiaque (myocardiopathie thiaminoprive) E - Anémie Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'insuffisance cardiaque survenant dans l'évolution des myocardiopathies obstructives est marquée par une baisse de débit cardiaque.
L'expansion systolique signe l'insuffisance tricuspidienne.
66 Question à complément simple. Parmi les traitements utilisables dans l'insuffisance cardiaque congestive, quel est celui qui est formellement contre-indiqué ? A - Digitaliques B - Dérives nitrés C - Bêta-bloqueurs D - Diurétiques E - Prasozine
58 Question à complément simple. Toutes les affections suivantes sauf une peuvent être à l'origine d'une insuffisance cardiaque à débit élevé. Laquelle ? A - Fistule artério-veineuse B - Avitaminose B1 C - Hyperthyroïdie D - Insuffisance mitrale rhumatismale E - Anémie sévère Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C Les bêta-bloqueurs sont inotropes négatifs.
32 Question à complément simple. Un patient en arythmie complète par fibrillation auriculaire présente une insuffisance cardiaque, secondaire à une myocardiopathie primitive dilatée. Les éléments de l'auscultation peuvent être les suivants, sauf un, lequel ? A - Insuffisance mitrale fonctionnelle B - Insuffisance tricuspidienne fonctionnelle C - Galop présystolique D - Galop proto-diastolique E - Eclat de B1 après les diastoles longues Bonne(s) réponse(s) : C
A B C E sont toutes des étiologies d'insuffisance cardiaque à débit élevée. L'insuffisance cardiaque au cours d'une insuffisance mitrale se caractérise en général par une baisse du débit cardiaque.
47 Question à complément simple. Parmi ces 5 médicaments vasodilatateurs utilisés dans le traitement de l'insuffisance cardiaque congestive, lequel agit essentiellement sur le secteur artériolaire ? A - Dilhydralazine (Népressol®) B - Enalapril (Rénitec®) C - Prazosine (Minipress®) D - Captopril (Lopril®-Captolane®) E - Isosorbide dinitrate (Risordan®) Bonne(s) réponse(s) : A
Le galop présystolique ou B4, engendré dans le ventricule par la systole auriculaire, est absent en cas de fibrillation auriculaire.
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La dihydralazine agit essentiellement sur le versant artériolaire, le dinitrate d'isosorbide essentiellement sur le versant veineux. La prazosine (alpha1 bloquant ) , le captopril et l'énalapril (inhibiteur de l'enzyme de conversion) sont des vaso-dilatateurs mixtes (versant veineux et artériel).
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111 Question à compléments multiples. L'hépatomégalie de l'insuffisance cardiaque droite est : A - Dure et irrégulière B - Lisse et douloureuse à la palpation C - Indolore à la palpation D - Parfois expansive à la systole E - Régressive sous traitement Bonne(s) réponse(s) : B D E L'expansion systolique du foie cardiaque traduit la présence d'une insuffisance tricuspide.
83 Question à compléments multiples. Parmi les étiologies suivantes, laquelle (ou lesquelles) peut (ou peuvent) entraîner une insuffisance cardiaque à débit cardiaque augmenté : A - Béri-Béri B - Splénomégalie myéloïde C - Hyperthyroïdie D - Fistule artério-veineuse E - Infarctus du myocarde Bonne(s) réponse(s) : A C D Les autres causes classiques sont la maladie de Paget, l'anémie...
78 Question à complément simple. Diverses cardiopathies peuvent entraîner une insuffisance cardiaque. Quelle est la réponse fausse ? A - Sténose pulmonaire valvulaire B - Tétralogie de Fallot C - Transposition des gros vaisseaux D - Coarctation aortique E - Communication inter-ventriculaire Bonne(s) réponse(s) : B B représente 10 % des cardiopathies congénitales, associe : - CIV - sténose pulmonaire - dextroposition de l'aorte - hypertrophie du ventricule droit. C'est une cardiopathie cyanogène qui ne s'accompagne pas d'insuffisance cardiaque.
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95 Question à compléments groupés.
31 Question à complément simple.
Le souffle d'insuffisance mitrale : 1 - Siège à la pointe et irradie habituellement vers l'aisselle 2 - Débute habituellement dès le premier bruit 3 - Peut être suivi d'un troisième bruit protodiastolique 4 - A une intensité maxima en mésosystole Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
L'insuffisance mitrale par ballonisation de la petite valve (syndrome de Barlow) est caractérisée par : Toutes les propositions suivantes sont exactes sauf une, laquelle ? A - Une dégénérescence myxomateuse de la valve mitrale B - Une plus grande fréquence chez la femme jeune C - Un click protosystolique D - Une grande fréquence de troubles du rythme E - Un aspect en hamac sur l'échocardiogramme
Bonne(s) réponse(s) : A Le souffle est typiquement holosystolique.
56 Question à complément simple. Chez un patient agé de 65 ans, dont l'auscultation cardiaque était normale quelques jours auparavant, on constate l'apparition d'un souffle systolique intense témoignant d'une insuffisance mitrale dans un contexte par ailleurs normal (pas de fièvre, pas de douleur, électrocardiogramme normal...). Quelle cause doit on évoquer en priorité ? A - Endocardite bactérienne B - Prolapsus mitrale C - Rupture de cordage mitral D - Infarctus du myocarde E - Rupture d'un pilier mitral Bonne(s) réponse(s) : C La rupture de cordage mitral est suggéré par le contexte "nu" du souffle. Elle est due à une sénéscence de la valve mitrale.
Bonne(s) réponse(s) : C Le click est méso-télésystolique et souvent suivi d'un souffle télésystolique. Les troubles du rythme sont fréquents auriculaires et ventriculaires : les extrasystoles ventriculaires fréquentes sont retrouvées dans 30 % des cas. On leur attribue les morts subites. A l'échographie, on retrouve deux aspects typiques en TM qui sont l'aspect en hamac et l'aspect en louche des valves mitrales en systole, en bidimensionel un bombement d'une ou des deux valves vers l'oreillette gauche.
89 Question à complément simple. Le caractère volumineux d'une insuffisance mitrale peut être affirmé par l'auscultation : A - D'un souffle systolique B - D'un click mésosystolique C - D'une abolition du deuxième bruit D - D'un troisième bruit suivi d'un roulement diastolique E - D'un galop présystolique (B4) Bonne(s) réponse(s) : D
53 Question à complément simple. Parmi les causes habituelles suivantes d'insuffisance mitrale aigue, I'une est inexacte : A - Le rhumatisme articulaire aigu B - Le traumatisme C - L'endocardite bactérienne D - La rupture de cordages E - L'infarctus du myocarde Bonne(s) réponse(s) : A L'insuffisance mitrale se constitue au fil des années avec fusion commissurale, rétraction des cordages et calcification. Le traumatisme donne une désinsertion annulaire. L'endocardite bactérienne, une rupture de cordage ou une déchirure valvulaire, l'infarctus du myocarde une rupture de pillier ou de cordage par ischémie. La rupture spontanée se voit sur valve myxoïde ou chez les vieillards.
Une insuffisance mitrale peut s'accompagner d'un bruit protodiastolique (B3) (remplissage rapide) et d'un roulement méso-diastolique de sténose fonctionnelle par hyperdébit, lorsqu'elle est volumineuse.
56 Question à complément simple. Quel est le signe stéthacoustique qui permet, indépendamment de l'intensité du souffle ou d'un galop associé éventuel, d'affirmer qu'une insuffisance mitrale pure est importante ? A - Eclat et dédoublement du deuxième bruit B - Click protosystolique éjectionnel C - Roulement présystolique D - Claquement d'ouverture de la mitrale E - Roulement protodiastolique Bonne(s) réponse(s) : E Le roulement protodiastolique au cours d'une insuffisance mitrale peut traduire un hyperdébit en diastole à travers l'orifice mitral (débit cardiaque + débit régurgité dans l'oreillette gauche) et donc une fuite volumineuse.
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51 Question à complément simple.
5 Question à complément simple.
Parmi les signes échocardiographiques de l'insuffisance mitrale par rupture de cordage, on peut retrouver tous les éléments suivants sauf un, lequel ? A - Une dilatation du ventricule gauche B - Une dilatation de l'oreillette gauche C - Une hyperkinésie des parois du ventricule gauche D - Une grande amplitude des mouvements d'un des feuillets de la valve mitrale E - Une diminution de la pente EF (fermeture mitrale) de la valvule mitrale
L'insuffisance mitrale par ballonisation de la petite valve (syndrome de Barlow) est caractérisée par toutes les propositions suivantes sauf une, laquelle ? A - Un risque de greffe d'une endocardite bactérienne B - Une plus grande fréquence chez la femme jeune C - Un click protosystolique D - Une grande fréquence de troubles du rythme E - Un souffle mésotélésystolique
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C C - Le click est mésosystolique. D - Il s'agit en règle d'ESV.
La diminution de la pente EF est un signe de sténose mitrale ou de diminution de la compliance du ventricule gauche.
45 Question à complément simple. Citez,parmi les propositions ci-dessous, celle qui permet de rapporter un souffle holosystolique de pointe a une insuffisance mitrale importante : A - B3 avec roulement diastolique B - Click mésosystolique C - Eclat de B1 D - Claquement d'ouverture mitrale E - Renforcement télésystolique du souffle Bonne(s) réponse(s) : A Un B3 et un roulement protodiastolique sont évocateurs d'une insuffisance mitrale importante, en présence d'un souffle holosystolique de pointe, irradiant dans l'aisselle.
19 Question à complément simple. Parmi les causes habituelles suivantes d'insuffisance mitrale aiguë, l'une est exacte : A - La myocardiopathie hypertrophique et obstructrice B - Le traumatisme C - L'endocardite bactérienne D - La rupture de cordages E - L'infarctus du myocarde Bonne(s) réponse(s) : A La question était sans doute: quelle est la proposition inexacte ? La myocardiopathie chronique obstructive est une cause d'insuffisance mitrale chronique; B C D et E peuvent être responsables d'une IM aiguë, E par rupture de pilier par exemple.
80 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes relatives à une insuffisance mitrale importante, une seule est exacte, laquelle ? A - Le souffle est à prédominance méso-systolique B - Il existe un B3 de remplissage rapide C - La pression artérielle diastolique est basse avec pression différentielle élargie D - Le VG peut demeurer normal radiologiquement par hypertrophie concentrique E - Une hypertrophie auriculaire droite est évocatrice Bonne(s) réponse(s) : B L'existence d'un B3 au cours d'une insuffisance mitrale témoigne d'une fuite importante. De même, un bref roulement mésodiastolique d'hyperdébit peut également être entendu dans les IM importantes.
4 Question à complément simple. Toutes les propositions suivantes, constituent des étiologies possibles d'insuffisance mitrale organique, sauf une ; laquelle ? A - Rupture de cordage B - Rhumatisme articulaire aigu C - Dyskinésie de pilier D - Endocardite E - Cardiomyopathie dilatée primitive Bonne(s) réponse(s) : E IM fonctionnelle par dilatation de l'anneau mitral.
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36 Question à compléments multiples.
12 Question à compléments multiples.
Au cours du rétrécissement mitral pur, la saillie et l'allongement de l'arc moyen gauche à la radio sont dues à : A - La dilatation du tronc de l'artère pulmonaire B - La dilatation de la crosse de l'aorte C - La réduction du volume ventriculaire gauche avec abaissement consécutif du point D - La stase veineuse dans le hile gauche E - La dilatation de l'auricule gauche
Au cours d'un rétrécissement mitral pur, on pratique un examen hémodynamique. On peut observer : A - Augmentation de la pression systolique du ventricule droit B - Augmentation de la pression capillaire pulmonaire C - Gradient de pression diastolique entre le capillaire pulmonaire et le ventricule gauche D - Gradient de pression systolique entre le ventricule droit et l'artère pulmonaire E - Diminution de la pression aortique systolique
Bonne(s) réponse(s) : A E L'arc moyen gauche est formé dans sa partie supérieure par l'artère pulmonaire gauche, dans la partie inférieure par l'auricule gauche.
Bonne(s) réponse(s) : A B C Le cathétérisme est rarement utile au diagnostic de rétrécissement mitral.
73 Question à complément simple.
118 Question à compléments groupés.
Une femme de 35 ans est atteinte d'un rétrécissement mitral en arythmie complète par fibrillation auriculaire. Elle ressent brutalement une douleur vive du mollet qui s'accompagne bientôt d'un engourdissement puis d'une impotence complète. A l'examen, la jambe et le pied sont froids. Quel est votre diagnostic ? A - Thrombose artérielle B - Phlébite C - Embolie artérielle D - Accès de goutte E - Arthrite rhumatismale
Le rétrécissement mitral pur : 1 - Est habituellement d'origine rhumatismale 2 - Est souvent responsable d'insuffisance ventriculaire gauche 3 - Comporte habituellement une dilatation artérielle pulmonaire sur la radiographie thoracique 4 - Constitue un point d'appel fréquent de l'endocardite bactérienne Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B
L'embolie artérielle périphérique est une complication classique, la fibrillation auriculaire favorisant la stase sanguine et la formation de thrombus auriculaire gauche.
Le RM constituant un barrage en amont du ventricule gauche n'entraîne donc pas d'lVG. Par ailleurs, il se complique exceptionnellement d'endocardite bactérienne lorsqu'il est pur.
15 Question à compléments multiples.
39 Question à complément simple.
Au cours d'un rétrécissement mitral pur, on pratique un examen hémodynamique. On observe : A - Augmentation de la pression télédiastolique du ventricule gauche B - Augmentation de la pression capillaire pulmonaire C - Gradient de pression diastolique entre le capillaire pulmonaire et le ventricule gauche D - Gradient de pression systolique entre le ventricule droit et l'artère pulmonaire E - Diminution de la pression aortique diastolique
Au cours du rétrécissement mitral pur, toutes les complications suivantes peuvent être observées, sauf une. Laquelle ? A - Embolie pulmonaire B - Embolies systémiques C - Fibrillation auriculaire D - Insuffisance ventriculaire droite E - Tachycardies ventriculaires
Bonne(s) réponse(s) : B C D - Se verrait en cas d'obstacle à l'éjection pulmonaire. E - Se verrait en cas d'insuffisance aortique. A - Se voit s'il y a insuffisance ventriculaire gauche.
64 Question à complément simple. Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparait lorsqu'apparait une arythmie complète par fibrillation auriculaire ? A - Eclat du premier bruit B - Claquement d'ouverture mitrale C - Renforcement présystolique du roulement diastolique D - Roulement diastolique E - Frémissement cataire
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
32 Question à compléments multiples. Dans le rétrécissement mitral pur, les signes échocardiographiques peuvent comporter : A - Aspect en créneau du feuillet antérieur mitral avec pente EF horizontalisée B - Mouvement anormal antérieur en diastole du feuillet postérieur mitral C - Dilatation du ventricule gauche D - Dilatation de l'oreillette gauche E - Hypertrophie des parois ventriculaires gauches Bonne(s) réponse(s) : A B D La sténose mitrale est un obstacle situé en amont du ventricule gauche et par conséquent ne retentit pas sur ce ventricule.
Bonne(s) réponse(s) : C Le renforcement présystolique correspond à la systole auriculaire qui
RESIDANAT Tome auriculaire. " I "- QCM - QCS n'existe plusEN en POCHE cas de fibrillation
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48 Question à compléments multiples. Quel est(sont) le(les) élément(s) de l'auscultation d'un rétrécissement mitral pur et peu serré ? A - Claquement d'ouverture mitral B - Eclat de B1 C - Roulement diastolique avec renforcement présystolique D - Eclat du deuxième bruit au foyer pulmonaire E - Souffle holo-systolique au foyer xiphoïdien Bonne(s) réponse(s) : A B C L'éclat du B2 au foyer pulmonaire traduit l'existence d'une hypertension artérielle pulmonaire qui n'est pas constante, surtout lorsque le RM est peu serré. De même, une insuffisance tricuspide associée (E) et souvent fonctionnelle, n'est pas constante en cas de RM peu serré, car elle traduit le retentissement sur les cavités cardiaques droites.
107 Question à compléments multiples. Au cours du rétrécissement mitral pur, la saillie et l'allongement de l'arc moyen gauche à la radio sont dues à : A - La dilatation du tronc de l'artère pulmonaire B - La dilatation de l'artère pulmonaire gauche C - La dilatation de l'auricule gauche D - La réduction du volume ventriculaire gauche avec abaissement consécutif du point G E - La stase veineuse dans le hile gauche Bonne(s) réponse(s) : A C L'aspect en double bosse parfois réalisé correspond à la saillie du tronc de l'artère pulmonaire en haut et de l'auricule gauche en bas. Le plus souvent, l'arc moyen gauche est globalement convexe.
82 Question à compléments multiples. Quelles solutions thérapeutiques préconisez-vous devant une ischémie aiguë datant de moins de 6 heures par oblitération de la fémorale superficielle chez un sujet porteur d'un rétrécissement mitral en fibrillation auriculaire : A - Mise en route d'un traitement héparinique B - Mise en route d'un traitement fibrinolytique C - Mise en route d'un traitement vasodilatateur D - Embolectomie à la sonde de Fogarty E - Réalisation d'un pontage fémoro-poplité Bonne(s) réponse(s) : A C D L'héparinothérapie et le traitement vasodilatateur (papavérine) sont toujours de mise, mais D représente le traitement radical devant cette ischémie d'origine embolique.
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64 Question à complément simple. Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparait lorsqu'apparait une arythmie complète par fibrillation auriculaire ? A - Eclat du premier bruit B - Claquement d'ouverture mitrale C - Renforcement présystolique du roulement diastolique D - Roulement diastolique E - Frémissement cataire Bonne(s) réponse(s) : C Le renforcement présystolique correspond à la systole auriculaire qui n'existe plus en cas de fibrillation auriculaire.
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73 Question à complément simple.
38 Question à compléments multiples.
Tous les signes suivants sont très évocateurs de tamponnade cardiaque sauf un, lequel ? A - Turgescence des veines jugulaires B - Silhouette cardiaque peu mobile en scopie C - Signes d'oedème pulmonaire D - Diminution inspiratoire de la pression artérielle systolique E - Pouls paradoxal
Une tamponnade cardiaque par rupture d'un infarctus du myocarde en paroi libre se traduit habituellement par : A - Un tableau d'arrêt circulatoire B - Un tracé ECG plat C - Une activité mécanique conservée D - Une activité électrique conservée E - Une activité mécanique non perceptible cliniquement Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) réponse(s) : C Il n'y a pas d'oedème pulmonaire du fait de la prédominance de la compression sur les cavités droites avec obstacle au retour veineux. D et E - (diminution du pouls à l'inspiration). Traduisent le même phénomène : le ventricule droit comprimé ne se remplit correctement qu'à l'inspiration, avec bombement du septum interventriculaire vers le ventricule gauche gênant son remplissage et donc diminution du débit systémique.
99 Question à complément simple.
La tamponnade par rupture de la paroi libre du coeur au cours d'un infarctus du myocarde est responsable d'un tableau de dissociation électromécanique avec absence d'activité hémodynamique et persistance de complexes électriques normaux. C'est une complication pratiquement toujours mortelle. Le drainage péricardique associé au remplissage et une intervention chirurgicale de réparation permettent dans de rares cas de sauver le malade.
106 Question à compléments multiples.
La tamponnade étant éliminée, quel accident évolutif caractérise la péricardite aiguë idiopathique bénigne ? A - Insuffisance cardiaque B - Rechute C - Infarctus du myocarde D - Péricardite constrictive E - Aucune des propositions ci-dessus
Devant une péricardite, la constatation d'une tamponnade est évoquée devant : A - Une augmentation de la douleur thoracique B - Un pincement de la différentielle de la pression artérielle C - Une turgescence jugulaire D - Un pouls paradoxal E - Une augmentation de l'intensité du frottement péricardique
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : B C D
Les rechutes sont classiquement favorisées par la corticoïdes. Les péricardites aiguës bénignes n'évoluent jamais vers la constriction et rarement vers la tamponnade. La tamponnade se voit en cas d'hémopéricarde, de péricardite purulente, tuberculeuse néoplasique, chez l'insuffisant rénal chronique terminal, post-radique, péricardite des maladies de système. La constriction se voit essentiellement après tuberculose parfois après péricardite purulente post radique et après hémopéricarde.
D - Pouls paradoxal = diminution du pouls à l'inspiration.
18 Question à complément simple. Le traitement médical de la tamponnade péricardique en attendant le drainage du péricarde repose sur : A - Les diurétiques B - La ventilation assistée C - Les bêta-bloquants D - La trinitrine intraveineuse E - L'expansion volémique Bonne(s) réponse(s) : E L'expansion volémique permet de maintenir le remplissage du coeur.
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23 Question à complément simple. Une femme de 40 ans ayant un rétrécissement mitral en fibrillation auriculaire fait une embolie artérielle fémorale superficielle. Quelle attitude thérapeutique vous paraît la plus judicieuse dans l'immédiat ? A - Prescription d'antivitamine K B - Commissurotomie mitrale sous circulation extracorporelle C - Vasodilatateur intra-artériel D - Streptokinase intraveineuse pendant 3 jours E - Désobstruction artérielle par Fogarty en urgence Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
10 10 Question à compléments multiples. Devant une suspicion d'embolie pulmonaire, sur quel bilan paraclinique minimal pose-t-on l'indication d'une interruption partielle de la veine cave inférieure ? A - Doppler veineux des membres inférieurs B - Pléthysmographie C - Rhéopléthysmographie D - Phlébographie des membres inférieurs avec cavographie E - Angio-pneumographie Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
33 Question à compléments multiples. Quels sont les examens dont la normalité permet d'éliminer le diagnostic d'embolie pulmonaire ? A - L'E.C.G. B - La phlébo-cavographie C - La scintigraphie pulmonaire D - L'angiographie pulmonaire de perfusion E - Les gaz du sang Bonne(s) réponse(s) : C Une scintigraphie pulmonaire de perfusion normale permet d'éliminer le diagnostic d'embolie pulmonaire mais pas une angiographie pulmonaire.
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54 Question à compléments multiples. Quelles sont les affirmations vraies à propos des endocardites du toxicomane ? A - L'association d'un glycopeptide à un antibiotique actif sur Pseudomonas aeruginosa paraît indispensable en cas de traitement empirique B - L'endocardite tricuspidienne se traduit par des manifestations pulmonaires à répétition C - L'échocardiographie transoesophagienne n'est pas plus performante que la traditionnelle dans le diagnostic de l'endocardite tricuspidienne D - Le pronostic de l'endocardite chez le toxicomane est le plus souvent mauvais à court terme E - L'indication chirurgicale pour la localisation tricuspidienne est surtout hémodynamique Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
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23 Question à complément simple. Une femme de 40 ans ayant un rétrécissement mitral en fibrillation auriculaire fait une embolie artérielle fémorale superficielle. Quelle attitude thérapeutique vous paraît la plus judicieuse dans l'immédiat ? A - Prescription d'antivitamine K B - Commissurotomie mitrale sous circulation extracorporelle C - Vasodilatateur intra-artériel D - Streptokinase intraveineuse pendant 3 jours E - Désobstruction artérielle par Fogarty en urgence Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
36 Question à compléments multiples. Cette patiente présente une fibrillation auriculaire qui peut être soupçonnée sur un ou plusieurs éléments positifs de la clinique : A - Rôle favorisant de la contraception orale B - Tremblement des extrêmités C - Irrégularité du rythme cardiaque D - La variabilité d'amplitude des bruits du coeur E - Aucun de ces éléments n'évoque la fibrillation auriculaire Bonne(s) réponse(s) : C D C : La fibrillation auriculaire (FA) est le seul trouble rythmique responsable d'une arythmie ventriculaire complète (+++). D : Des modifications d'intensité du 1er bruit et un petit souffle d'insuffisance mitrale peuvent être entendus du seul fait de l'arythmie. Une femme de 40 ans vous consulte pour des palpitations et une dyspnée d'effort apparues brutalement depuis 24 heures sans douleur thoracique. Elle signale dans ses antécédents un R.A.A. à l'âge de 8 ans avec rechute à 17 ans. Elle ne prend habituellement aucune thérapeutique en dehors d'une contraception orale. L'état général est marqué par une asthénie et un amaigrissement de 6 kg en deux mois malgré un appétit conservé. L'examen clinique note un pouls rapide, irrégulier, d'amplitude variable ; les bruits du coeur sont rapides, d'amplitude inégale ; l'auscultation ne perçoit pas de souffle ni de bruit supplémentaire. La tension artérielle est à 13/8; il existe un tremblement fin des extrémités. Il n'y a pas de signe de phlébite aux membres inférieurs. L'E.C.G. montre les éléments suivants : - disparition des ondes P, trémulations irrégulières et rapides de la ligne de base - rythme ventriculaire irrégulier voisin de 150/mn - axe de QRS à + 20° - aplatissement des ondes T dans l'ensemble des dérivations.
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98 Question à compléments multiples. Parmi les causses suivantes d'insuffisance aortique aigüe, lesquelles sont possibles ? A - Maladie de Monckeberg B - Endocardite bactérienne C - Endocardite rhumatismale D - Traumatisme fermé du thorax E - Dissection aortique Bonne(s) réponse(s) : B D E L'insuffisance aortique (IA) aiguë correspond à une régurgitation volumineuse hémodynamiquement mal tolérée (baisse du débit cardiaque, élévation de la pression télédiastolique du ventricule gauche oedème pulmonaire) car d'installation brutale ne permettant pas la mise en jeu des mécanismes d'adaptation ventriculaire gauche (dilatation...). Le remplacement valvulaire s'impose rapidement. Endocardite infectieuse, dissection de l'aorte ascendante, rupture traumatique de sigmoïde aortique en sont les 3 étiologies. Le terme de maladie de Monckeberg désigne le rétrécissement aortique dégénératif du sujet âgé. L'endocardite rhumatismale est à l'origine d'une IA chronique.
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35 Question à complément simple.
87 Question à compléments multiples.
Quel est parmi les signes stéthacoustiques suivants celui qui permet d'affirmer qu'une insuffisance mitrale pure est importante ? A - Dédoublement du deuxième bruit B - Click protosystolique éjectionnel C - Eclat du premier bruit D - Claquement d'ouverture de la mitrale E - Souffle mésodiastolique de basse tonalité
Parmi les étiologies possibles d'insuffisance mitrale chez l'adulte, vous retenez : A - Rupture d'un cordage B - Endocardite rhumatismale C - Rupture d'un pilier au cours d'un infarctus du myocarde D - Endocardite bactérienne E - Ballonisation de la valve mitrale Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A Existance d'un B3.
62 Question à complément simple. Notez la seule affirmation inexacte. Dans l'insuffisance mitrale pure : A - Le souffle est systolique B - Il peut s'accompagner dans certains cas d'un roulement diastolique C - Il peut s'entendre dans le dos D - La tension artérielle différenteille est élargie E - Le signe fonctionnel majeur est la dyspnée d'effort
Il existe deux grandes formes cliniques d'insuffisance mitrale (IM) : IM aiguë : endocardite infectieuses, phase aiguë d'infarctus du myocarde (rupture ou dysfonction du pilier postérieur en cas d'infarctus inférieur) rupture idiopathique de cordage survenant sur une valve déjà altérée (altération d'origine rhumatisnale, dégénérative...), rupture de cordage après traumatisme thoracique. IM chronique rhumatismale, dystrophique (valve épaissie ballonnisée) ou dégénérative, dysfonction ischémique de pilier, calcification de l'anneau mitral à part l'IM fonctionnelle secondaire à une dilatation du VG et de l'anneau mitral.
Bonne(s) réponse(s) : D B : Roulement protodiastolique de débit (IM importante) C : Souffle intense inodiant largement (IM en règle importante) D : Oriente vers une IA
93 Question à compléments multiples. Parmi ces lésions anatomiques de l'appareil valvulaire et sous valvulaire mitral, laquelle ou lesquelles peu(ven)t être responsable(s) d'une insuffisance mitrale pure ? A - Dilatation de l'anneau B - Symphyse commissurale C - Ballonisation mitrale D - Rupture de cordage E - Perforation valvaire Bonne(s) réponse(s) : A C D E B : La fusion commissurale véritable signature du rhumatisme articulaire aigu, limite les mouvements valvulaires entraînant rétrécissement ou maladie mitrale.
94 Question à compléments multiples. Le souffle d'insuffisance mitrale : A - Siège à la pointe et irradie habituellement vers l'aisselle B - Peut irradier préférenciellement vers le bord gauche du sternum et vers le haut C - Débute habituellement dès le premier bruit D - Peut être suivi d'un troisième bruit protodiastolique E - Est proportionnel à l'intensité de la régurgitation Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'auscultation cardiaque affirme le diagnostic d'insuffisance mitrale quand elle retrouve le souffle holosystolique apexien irradiant habituellement dans l'aisselle gauche mais aussi parfois à l'endapex et dans certaines étiologies (prolapsus de la petite valve) vers la base. Un souffle intense traduit généralement une fuite volumineuse mais l'inverse n'est pas toujours vrai. Les signes diastoliques (3e bruit, roulement protodiastolique bref) sont secondaires à l'hyper débit transmitral et témoignent donc d'une régurgitation importante.
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23 Question à complément simple. Une femme de 40 ans ayant un rétrécissement mitral en fibrillation auriculaire fait une embolie artérielle fémorale superficielle. Quelle attitude thérapeutique vous paraît la plus judicieuse dans l'immédiat ? A - Prescription d'antivitamine K B - Commissurotomie mitrale sous circulation extracorporelle C - Vasodilatateur intra-artériel D - Streptokinase intraveineuse pendant 3 jours E - Désobstruction artérielle par Fogarty en urgence Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
18 Question à complément simple. En présence d'un rétrécissement mitral, tous les arguments suivants suggèrent son caractère serré sauf un, lequel ? A - Oedème pulmonaire associé B - Eclat du deuxième bruit au foyer pulmonaire C - Claquement d'ouverture de la mitrale proche du 2e bruit D - Fibrillation auriculaire à l'électrocardiogramme E - Pression capillaire pulmonaire supérieure à 20 mm Hg Bonne(s) réponse(s) : D L'éclat du 2e brut au foyer pulmonaire est un signe indirect d'hypertension artérielle pulmonaire. Un intervalle B2 claquement d'ouverture mitral court (auscultation et phonocardiogramme) est en faveur d'un rétrécissement mitral serré. La fibrillation auriculaire peut compliquer un RM non serré. Elle constitue néanmoins un tournant évolutif du RM : son installation coïncide habituellement avec l'apparition de signes congestifs pulmonaires, voire systémiques et elle expose notamment aux complications thromboembolique systémiques (thrombose intrauriculaire G et embolies artérielles).
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Question à compléments multiples. Au 10e jour post-opératoire, la malade, toujours sous héparine à la même dose, présente une embolie pulmonaire. Aucun membre de la famille n'est joignable pour effectuer une enquête familiale. Dix jours après avoir commencé le traitement de l'embolie pulmonaire vous redemandez un dosage d'antithrombine III : 65 % et de protéine C : 35 %. Vous concluez que : A - Le taux d'antithrombine III, discrètement perturbé, est en rapport avec l'héparinothérapie B - On est en présence d'un anticoagulant circulant non thérapeutique C - Le taux bas de protéine C est lié à l'héparinothérapie D - Le taux bas de protéine C est la conséquence d'une hypovitaminose K résiduelle E - Il pourrait s'agir d'un déficit constitutionnel en protéine C Bonne(s) réponse(s) : A E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. Quelle est la localisation de l'infarctus du myocarde? A - Inférieur B - Antéro-septal C - Antéro-latéral D - Septal profond E - Postérieur pur ou postéro-basal Bonne(s) réponse(s) : B - sus-décalage du segment ST = signe direct d'un infarctus transmural à la phase aiguë - diagnostic topographique : * IDM antérieur, soit antéro-septal (V1V2V3 = septal) soit apical (V3V4), soit antéro-latéral (V4V5D1VL = latéral), soit antérieur étendu (V1 à V6 +D1VL) * IDM postérieur, soit postéro-diaphragmatique (D2D3VF = inférieur), soit postéro-basal (V7V8V9 = basal), soit postérieur étendu (D2D3VF + V7V8V9 = inféro-basal) * IDM septal profond = antéro-septal + postéro-diaphragmatique (V1V2V3 + D2D3VF)
Un patient de 50 ans, fumeur (20 cigarettes/jour depuis 30 ans) présente comme seul antécédent un angor d'effort sensible à la trinitrine. A 6 heures du matin, il présente une douleur constrictive rétrosternale en barre, intense, irradiant dans les deux bras, ne cédant pas sous trinitrine. Il arrive aux urgences à 7h45. L'E.C.G. objective un sus-décalage du segment ST concave vers le bas en V2 V3. L'examen clinique est sans particularité. Le diagnostic d'infarctus du myocarde est retenu.
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Question à compléments multiples. Un malade présente une insuffisance aortique. Parmi les signes suivants, deux sont caractéristiques d'une importante régurgitation. Lesquels? A - Pression télédiastolique du VG à 10 mm Hg B - Pression artérielle à 150/40 mm Hg C - 2e bruit aboli au foyer aortique D - Roulement de Flint E - Fluttering mitral échographique Bonne(s) réponse(s) : B D A : Valeur normale de la pression télédiastolique du VG : 6 à 12 mmHg ! C : Est en faveur d'une altération importante des valves E : ne préjuge pas de l'importance de la régurgitation D : Roulement de Flint (roulement apexien ou apexoaxillaire habituellement présystolique, audible en l'absence de toute pathologie mitrale organique) et signes artériels périphériques francs (PAD inférieure à 50 mmHg) sont le fait des insuffisances aortiques volumineuses
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Question à compléments multiples. Parmi les antiarythmiques suivants, citez celui (ceux) qui est (sont) contre-indiqué(s) en cas d'insuffisance cardiaque : A - Xylocaïne® IV B - Cordarone® per os C - Flécaïne® per os D - Bêtabloquants E - Isoptine Bonne(s) réponse(s) : C D E Pour certains pharmacologues, réponses D et E seulement car inotropes négatifs.
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Question à compléments multiples. Devant une péricardite, la constatation d'une tamponnade est évoquée devant : A - Une augmentation de la douleur thoracique B - Un pincement de la différentielle de la pression artérielle C - Une turgescence jugulaire D - Un pouls paradoxal E - Une augmentation de l'intensité du frottement péricardique Bonne(s) réponse(s) : B C D Le tableau clinique d'une tamponnade cardiaque associe des signes de bas débit (T.A. basse et pincée) et des signes d'insuffisance cardiaque droite (essentiellement turgescence jugulaire et hépatomégalie sensible avec reflux hépatojugulaire) classiquement sans signes d'insuffisance cardiaque gauche. D : Un pouls paradoxal (réduction inspiratoire de la pression artérielle systolique d'au moins 10 mmHg) est présent dans la moitié des cas
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Question à compléments multiples. Quels sont parmi ces signes, ceux qui doivent faire rechercher une embolie pulmonaire chez un patient atteint d'insuffisance cardiaque : A - Hémoptysie B - Troubles du rythme C - Décompensation de la cardiopathie D - Fièvre à 38°C E - ƒpanchement pleural séro-hémorragique Bonne(s) réponse(s) : A B C D E L'embolie pulmonaire doit être systématiquement évoquée et recherchée. E : Evoque un infarctus pulmonaire
Question à compléments multiples. L'image artériographique de l'embolie artérielle aiguë récente d'un membre se distingue de celle de la thrombose artérielle aiguë de celui-ci par : A - Le désert artériographique sous-jacent qui l'accompagne B - L'aspect régulier et souvent cupuliforme du pôle supérieur de l'obstacle C - L'importance notable du développement des voies de suppléance D - Son niveau qui affecte constamment une bifurcation artérielle E - L'aspect souvent normal des axes artériels sus-jacents à l'obstacle Bonne(s) réponse(s) : A B E Le caractère pathologique des axes artérielles ainsi que l'importance de la circulation collatérale orientent plutôt vers une thrombose artérielle aiguë sur une artériopathie chronique préexistante.
Question à compléments multiples. Une embolie artérielle d'un membre peut résulter de : A - Myxome de l'oreillette gauche B - Rétrécissement mitral C - Endocardite bactérienne D - Fibrillation auriculaire E - Anévrysme de l'aorte thoracique Bonne(s) réponse(s) : A B C D E IR : 2/90 A, B, D : Par migration d'un thrombus intra-auriculaire gauche C : Par embolie septique E : Par migration d'un thrombus intra-anévrysmal
Question à compléments multiples. A l'origine d'une embolie pulmonaire, on peut retrouver : A - Endocardite bactérienne mitro-aortique B - Thrombose intraventriculaire droite C - Thrombose des veines profondes d'un membre inférieur D - Anévrysme de l'aorte abdominale E - Thrombose murale du ventricule gauche Bonne(s) réponse(s) : B C IR : 7/88 Les lésions causales d'une embolie pulmonaire peuvent se situer sur le trajet veineux et/ou le "coeur droit". A, D, E : Cause d'embolies artérielles
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Question à compléments multiples. La survenue d'un bloc complet de la branche droite du faisceau de His à la phase aiguë de l'infarctus du myocarde antérieur étendu : A - Précède la rupture du coeur B - Est un élément de mauvais pronostic C - Nécessite l'arrêt des dérivés nitrés D - Fait craindre la survenue prochaine d'un bloc auriculoventriculaire complet E - Est une contre-indication aux bêta-bloqueurs Bonne(s) réponse(s) : B D E B D ou B D E (selon les "ƒcoles") B, D : Les troubles de la conduction au cours des IDM antérieurs imposent une montée de Sonde d'Entraînement Electro-Systolique (SEES). E : A éviter, en pratique, si on craint la survenue d'un BAV complet
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Question à complément simple. Les embolies artérielles rétiniennes trouvent leur point de départ le plus fréquent dans une lésion de : A - L'artère ophtalmique B - L'artère carotide interne C - L'artère carotide externe D - Le système vertébro-basilaire E - L'aorte ascendante Bonne(s) réponse(s) : B Elles sont dans la majorité des cas liées à l'existence d'une plaque d'athérome siégeant au niveau de la carotide interne.
Question à complément simple. L'embolie pulmonaire peu sévère entraîne des perturbations des gaz du sang caractérisées par l'association : A - Hypoxie - Hypercapnie - Acidose B - Hypoxie - Hypocapnie - Acidose C - Hypoxie - Hypocapnie - Alcalose D - Normoxie - Hypocapnie - Acidose E - Hypoxie - Normocapnie - Acidose Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Le point de départ d'une embolie pulmonaire peut être : A - Veine tibiale postérieure B - Veine jugulaire C - Veine porte D - Veine cave inférieure E - Tronc veineux spléno-mésaraïque Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
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Question à complément simple. Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparaît lorsqu'apparaît une arythmie complète par fibrillation auriculaire? A - ƒclat du premier bruit B - Claquement d'ouverture mitrale C - Renforcement présystolique du roulement diastolique D - Roulement diastolique E - Frémissement cataire Bonne(s) réponse(s) : C Par disparition de la systole auriculaire.
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Question à complément simple. Parmi les troubles de conduction suivants, qui peuvent tous modifier les aspects électrocardiographiques habituels de l'infarctus du myocarde, I'un est plus particulièrement gênant pour le diagnostic. Lequel? A - Bloc de branche droit complet B - Hémibloc antérieur gauche C - Bloc de branche gauche incomplet D - Bloc de branche gauche complet E - Hémibloc postérieur gauche Bonne(s) réponse(s) : D Un BBG complet se traduit par un élargissement des complexes QRS associé à des troubles importants de la repolarisation masquant les signes électriques d'infarctus.
Question à compléments multiples. Au cours de l'infarctus du myocarde, le syndrome vagal : A - Survient habituellement vers le 3e jour B - Comporte une défaillance ventriculaire gauche C - Est plus fréquent en cas d'infarctus inférieur D - Comporte une bradycardie E - Est amélioré par l'atropine Bonne(s) réponse(s) : C D E Survient à la phase aiguë de l'IDM et associe bradycardie et vasoplégie sans défaillance cardiaque à proprement parlé.
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Question à complément simple. Toutes les pathologies suivantes peuvent être responsables d'une insuffisance aortique, sauf une. Laquelle? A - Syphilis B - Maladie de Marfan C - Spondylarthrite ankylosante D - Traumatisme thoracique E - Insuffisance coronaire Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à complément simple. Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparaît lorsqu'apparaît une arythmie complète par fibrillation auriculaire? A - ƒclat du premier bruit B - Claquement d'ouverture mitrale C - Renforcement présystolique du roulement diastolique D - Roulement diastolique E - Frémissement cataire Bonne(s) réponse(s) : C Par disparition de la systole auriculaire.
Question à complément simple. Le rétrécissement mitral peut donner diverses complications évolutives. L'une d'entre elles est réputée rare, voire exceptionnelle : laquelle? A - Oedème aigu du poumon B - Fibrillation auriculaire C - Embolie artérielle périphérique D - Accident gravido-cardiaque E - Endocardite bactérienne Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à complément simple. 27 Quel est le médicament anti-arythmique utilisé spécialement dans l'intoxication digitalique ? A - La quinidine (Longacor®) B - La procaïnamide (Pronestyl®) C - La mexilétine (Mexitil®) D - La diphénylhydantoïne (Dihydan®) E - La lidocaïne (Xylocaïne®) Bonne(s) réponse(s) : D La diphénylhydantoine lutte contre les deux problèmes majeur de l'intoxication digitalique : elle déprime l'hyperexcitabilité myocardique et elle peut améliorer la conduction auriculoventriculaire.
Question à compléments multiples. 41 Les dérives digitaliques à doses thérapeutiques possèdent chez l'insuffisant cardiaque des effets communs sur le myocarde. Le(s)quel(s) ? A - Ils augmentent le temps de remplissage cardiaque B - Ils diminuent la durée de contraction isovolumétrique C - Ils freinent la conduction intracardiaque nodo-hissienne D - Ils n'augmentent pas ou peu la consommation d'oxygène du myocarde E - Ils diminuent la fréquence cardiaque Bonne(s) réponse(s) : A E Les digitaliques diminuent la consommation en oxygène du myocarde. L'augmentation de la durée de la diastole entraîne l'augmentation du temps de remplissage. La fréquence cardiaque diminue et la disparition de la tachycardie après instauration du traitement digitalique est un bon indice clinique d'efficacité. L'effet dromotrope négatif s'exerce au niveau du noeud auriculoventriculaire mais il n'y a pas d'action sur la conduction intraventriculaire. Au niveau des cellules des faisceaux de His il y a augmentation de la vitesse de dépolarisation diastolique, diminution de la durée du potentiel d'action et de la période réfractaire, diminution de l'amplitude du potentiel d'action, ce qui explique le risque d'hyperexcitabilité des surdosages.
Question à compléments multiples. 62 Une intoxication par les digitaliques se manifeste : A - Par des nausées B - Par des troubles psychiques C - Par des troubles de la vue D - Par l'apparition sur l'E C G d'une "cupule digitalique" E - Par un bigéminisme Bonne(s) réponse(s) : A B C E A - Confusion. B - Dyschromatopsie (vision colorée en jaune). D - Signe d'imprégnation mais pas d'intoxication.
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87 Question à compléments multiples. Traitement du psoriasis par les rétinoïdes: quelle(s) réponse(s) est(sont) exacte(s)? A - Les rétinoïdes sont formellement contre-indiqués chez la femme enceinte B - Les rétinoïdes sont contre-indiqués chez l'insuffisant hépatique C - La posologie habituelle est de 1mg/kg/jour D - Les rétinoïdes sont contre-indiqués en cas de psoriasis pustuleux E - Les rétinoïdes peuvent se prescrire en association avec la PUVA-thérapie Bonne(s) réponse(s) : A B C E Chez la femme en âge de procréer, les rétinoïdes sont strictement contre-indiqués en cas de grossesse pour causes de malformations in utéro voire de mort foetale. Aussi, les rétinoïdes doivent être prescrits sous couverture controceptive efficace, débutée au moins 1 mois avant la prise de la contraception. Un test de grossesse doit être négatif au début du traitement par les rétinoïdes et la négativité doit être contrôlée à chaque retard menstruel. Cette contraception devra être poursuivie 2 ans après l'arrêt des rétinoïdes. La prescription des rétinoïdes nécessite l'absence de toute dyslipidémie ou maladie hépatique, aussi un bilan biologique : cholestérol total, triglycérides, transaminases, phosphatases alcalines est demandé avant toute prescription. Ce bilan sera redemandé mensuellement pendant toute la durée du traitement ; toute anomalie importante imposera l'arrêt. L'association rétinoïdes et puvathérapie s'appelle RE-PUVA et a pour avantage de potentialiser l'action des rétinoïdes mais aussi de la puvathérapie et donc de réduire les doses des deux thérapies. Cette REPUVA est conseillée dans le psoriasis pustuleux et l'érythrodermie psoriasique
22 Question à complément simple. Psoriasis : quelle est la proposition exacte ? A - Est une dermatose érythémato-vesiculeuse B - Respecte les muqueuses C - L'atteinte psoriasique du cuir chevelu est responsable d'une alopécie localisée D - Peut s'observer chez le nourrisson E - L'exposition solaire est en général un facteur d'aggravation Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
64 Question à compléments multiples. L'ensemble des examens est normal vous reprenez l interrogatoire et vous découvrez un psoriasis du cuir chevelu. Vous évoquez donc un rhumatisme psoriasique. Sur cette liste d examens quelles réponses positives attendez-vous ? A - V.S. élevée B - Latex Waler Rose positifs C - HLA B27 positifs D - Augmentation des alpha 2 globulines E - Anémie à 8,5 g/dl Bonne(s) réponse(s) : A C Sans commentaire.
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Quelles lésions peuvent être observées au cours du psoriasis? A - Erythème B - Squame C - Pustule D - Vésicule E - Ulcération Bonne(s) réponse(s) : A B C A : Le psoriasis est une dermatose érythémato-squameuse o la squame ou bien l'érythème peut être prédominant (face à un érythème, il faut toujours gratter la lésion avec une pointe mousse afin de rechercher une squame associée) C : Il existe une forme particulière, le psoriasis pustuleux (palmoplantaire ou diffus) se traduisant par des pustules plates, blanc laiteux
Parmi ces propositions concernant le psoriasis, vous retenez : A - C'est une éruption érythémato-vésiculeuse B - C'est une dermatose alopéciante C - Il peut atteindre le visage D - Les zones électives sont les plis des coudes et les creux poplités E - Il peut se compliquer de pustules Bonne(s) réponse(s) : C E E : Le psoriasis peut se compliquer de pustules en cas de surinfection microbienne ou candidosique et surtout sur les plis, les paumes et les plantes. Par contre, il existe une forme pustuleuse (amicrobienne) de psoriasis qui n'est pas une complication mais une forme clinique particulière. D : L'atteinte des zones électives : (plis des coudes et creux poplités), est observée lors d'une dermatite atopique
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Question à complément simple. La plaque de psoriasis est caractérisée par : A - Son manque de limitation B - Sa desquamation importante C - Sa vésiculation D - Son infiltration profonde E - Sa localisation préférentielle sur le visage Bonne(s) réponse(s) : B A : Faux, bien limité C : Non, pustules amicrobiennes possibles D : Non, il s'agit d'un érythème (infiltration profonde : papules, nodules) E : Non, face d'extension des membres, région lombosacrée
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53 Question à compléments multiples.
56 Question à compléments multiples.
Un psoriasis peut se compliquer de : A - Une érythrodermie, B - Survenue de pustules amicrobiennes C - Une atteinte rénale D - Un rhumatisme E - Une transformation néoplasique
Le psoriasis vulgaire peut se compliquer de : A - Erythrodermie B - Arthropathies C - Atteinte cardiaque D - Atteinte rénale E - Transformation pustuleuse
Bonne(s) réponse(s) : A B D
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Les 3 complications majeures du psoriasis sont : l) L'érythrodermie psoriasique 2) Le psoriasis pustuleux 3) Le rhumatisme psoriasique (arthrite, spondylarthrite).
L'arthropathie s'observe plus fréquemment chez les sujets HLA B27 (rhumatisme axial) ou B13, B17, B38, DR7, (Rhumatisme périphérique). La transformation pustuleuse est parfois déclenchée par l'utilisation de corticoïdes par voie générale,.d'anti-paludéens de synthèse ou de topiques irritants.
74 Question à complément simple.
54 Question à compléments multiples.
Le psoriasis du cuir chevelu a toutes les caractéristiques suivantes, sauf une. Laquelle ? A - Il est parfois isolé B - Il est érythémato-squameux C - Il est source d'alopécie D - Il peut siéger à n'importe quel endroit du cuir chevelu E - Il est parfois prurigineux Bonne(s) réponse(s) : C
Quel(s) traitement(s) préconisez-vous pour des lésions de psoriasis limitées aux coudes et aux genoux : A - Puvathérapie B - Corticoïdes locaux C - Etrétinate (Tigason®) D - Méthotrexate intramusculaire E - Vaseline salicylée Bonne(s) réponse(s) : B E
L'atteinte du cuir chevelu est très fréquente et peut être isolée. Le psoriasis occipital est souvent prurigineux et lichénifié. Classiquement, le psoriasis respecte le cheveu et ne donne pas d'alopécie.
La vaseline salicylée a pour but de décaper les squames épaisses.
58 Question à complément simple.
106 Question à compléments groupés. Parmi les description cliniques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(celles) qui est(sont) compatible(s) avec le diagnostic de psoriasis ? 1 - Nappes érythémateuses dans les plis inguinaux 2 - Ongle déformé, soulevé par une hyperkératose sousunguéale 3 - Poussées de pustules des paumes et des plantes 4 - Erythrodermie Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Les localisations cutanées habituelles du psoriasis vulgaire sont les genoux, les coudes, la région lombo-sacrée. Quelle autre localisation est très fréquente ? A - Ongles B - Cuir chevelu C - Plis génitaux D - Région palmaire E - Muqueuse génitale Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : E
L'atteinte des ongles se voit dans 20 à 50 % des cas ; elle est rarement isolée. L'atteinte du cuir chevelu est également très fréquente et peut être isolée.
Paradoxalement, le psoriasis peut siéger dans les plis et prend le nom de psoriasis inversé. L'ongle psoriasique peut être atteint au niveau de la matrice ou au niveau du lit et de l'hyponychium déterminant une onycholyse ou une hyperkératose sous unguéale avec pachyonychie.
79 Question à complément simple.
36 Question à compléments multiples. Au cours du psoriasis, on peut observer : A - Bulles B - Plaques érythémato squameuses C - Vésicules D - Nodules E - Pustules Bonne(s) réponse(s) : B E
La plaque de psoriasis est caractérisée par un des signes suivants : A - Son manque de limitation B - Sa desquamation importante C - Sa vésiculation D - Son infiltration profonde E - Sa localisation préférentielle sur le visage Bonne(s) réponse(s) : B Les plaques de proriasis érythémato-squameuses, sont très bien limitées, non infiltrées et épargnent le visage ; par contre l'atteinte du cuir chevelu est fréquente.
Les pustules du psoriasis sont des pustules non folliculaires amicrobiennes.
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47 Question à complément simple.
111 Question à compléments multiples.
Dans le psoriasis pustuleux localisé, les pustules ont ces caractères sauf un : A - Sont amicrobiennes B - Atteignent souvent les paumes et les plantes C - Atteignent souvent le cuir chevelu D - Peuvent s'accompagner d'une atteinte articulaire E - Sont sensibles aux rétinoïdes
Parmi ces propositions concernant le psoriasis, vous retenez : A - C'est une éruption érythémato-vésiculeuse B - C'est une dermatose alopéciante C - Il peut atteindre le visage D - Les zones électives sont la saignée des coudes et les creux poplités E - Il peut se compliquer de pustules
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) :
Les psoriasis pustuleux localisés sont le plus souvent palmo-plantaines ; il existe une forme généralisée grave. Les rétinoïdes ont considérablement amélioré le traitement de ces formes pustuleuses.
Dermatose érythémato-squameuse chronique, le psoriasis touche électivement les coudes, les genoux, les bords cubitaux des avant-bras, la région sacrée, le cuir chevelu, les ongles. L'atteinte du visage (sauf les oreilles) est très rare. Il existe des formes pustuleuses, localisées ou généralisées.
113 Question à compléments multiples. Chez une patiente suspecte d'un psoriasis des plis sous mammaires, quels sont les territoires où vous devez rechercher d'autres lésions psoriasiques pour conforter votre diagnostic ? A - Cuir chevelu B - Ombilic C - Ongles D - Sillon interfessier E - Paumes et plantes des pieds
CE
91 Question à complément simple. Parmi ces examens complémentaires, lequel est le plus utile au diagnostic de psoriasis pustuleux ? A - Etude bactériologique du pus B - Etude des immunoglobulines sériques C - Histologie de la pustule D - Groupage HL-A E - Recherche d'une polynucléose sanguine
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Bonne(s) réponse(s) : C
Il faut le rechercher dans les sites préférentiels du psoriasis des plis (dit psoriasis inversé) : plis inguinaux, inter-fessiers, région génitale, ombilic, espaces interdigitaux plantaires, plis sous-mammaires. L'atteinte des ongles peut s'observer dans tous les types de psoriasis, voire être isolée. Il existe des psoriasis palmo-plantaires.
Les pustules sont amicrobiennes. L'histologie montrant les aspects de psoriasis permet de confirmer le diagnostic (hyperkératose, hyperacanthose, micro-abcès fait de polynucléaires dans l'épiderme).
114 Question à compléments multiples.
116 Question à compléments multiples. Parmi les médicaments suivants administrés per os, quels sont ceux qui sont susceptibles d'aggraver le psoriasis ou de révéler un psoriasis latent ? A - Les sels de lithium B - Les sels d'or C - Les béta-bloquants D - Les inhibiteurs calciques E - La D-pénicillamine
Quelles sont les localisations observées au cours du psoriasis ? A - Ongle B - Cuir chevelu C - Paume D - Avant-bras E - Lombes Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Toutes ces régions peuvent être atteintes.
Bonne(s) réponse(s) : A C Sans commentaire.
47 Question à compléments multiples.
86 Question à complément simple.
Ces lésions dermatologiques sont nettement en faveur du psoriasis car : A - Elles siègent aux faces antérieures des genoux B - Elles siègent aux faces antérieures des coudes C - Elles sont source de plaques alopéciques D - Elles s'accompagnent de ponctuations unguéales E - Elles s'accompagnent d'intertrigo interfessier
Au cours du psoriasis on peut observer : A - Bulles. B - Vésicules C - Nodules D - Pustules E - Aucune des lésions ci-dessus Bonne(s) réponse(s) :
Bonne(s) réponse(s) : A D E
D
Il existe des formes pustuleuses de psoriasis (psoriasis pustuleux palmoplantaire, psoriasis pustuleux généralisé) avec des pustules amicrobiennes.
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Les localisations les plus typiques sont les genoux, les coudes et la région sacrée. Les ongles doivent être systématiquement inspectés dans l'examen d'un psoriasis. L'atteinte du pli interfessier fait partie du psoriasis inversé.
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50 Question à compléments multiples. Quel sont le(les) aspect(s) clinique(s) compatible(s) avec le diagnostic de psoriasis : A - Nappe érythémateuse rouge vif des plis B - Le respect du visage C - Ongles ponctués de dépression D - L'alopécie des golfes temporaux E - La kératodermie plantaire Bonne(s) réponse(s) : A B C E "A" témoigne d'un psoriasis inversé. Le psoriasis respecte le visage, en revanche l'oreille est un siège fréquent de psoriasis (replis du pavillon, conduit auditif externe). Le psoriasis atteint le cuir chevelu, sans atteindre le cheveu (pas d'alopécie). La kératodermie palmoplantaire est sèche et fissuraire.
48 Question à complément simple. Chez ce patient quel élément permet d'éliminer formellement un psoriasis du cuir chevelu ? A - Caractère grisâtre des squames B - Prurit C - Alopécie D - Squames fines E - Lésions bien limitées Bonne(s) réponse(s) : C Le psoriasis ne donne jamais d'alopécie, par contre, toute lésion squameuse du cuir chevelu agace la patiente, qui touche sa lésion ; un prurit peut en résulter.
13 Question à complément simple. Chez ce patient quel élément permet d'éliminer formellement un psoriasis du cuir chevelu ? A - Caractère grisâtre des squames B - Prurit C - Alopécie D - Squames fines E - Lésions bien limitées Bonne(s) réponse(s) : C Le psoriasis du cuir chevelu n'est jamais responsable d'alopécie.
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37 Question à compléments multiples.
22 Question à compléments multiples.
Concernant l'eczéma de contact : A - Il survient 24 à 48 heures après l'exposition au produit suspect B - Il reste strictement localisé aux zones d'exposition C - L'éradiction de l'allergène n'est pas toujours possible D - Le test épicutané permet habituellement le diagnostic étiologique E - Il peut sièger sur les muqueuses Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Devant un eczéma, sur quel(s) élément(s) affirmez-vous son caractère professionnel ? A - Topographie des lésions B - Tests épicutanes C - Interrogatoire évocateur D - Dosage des immunoglobulines E E - Epreuve de reprise Bonne(s) réponse(s) : B
- L'eczéma de contact n'est jamais strictement localisé aux zones d'exposition contrairement à la dermite irritative ou orthïrgique. - En cas d'eczéma des muqueuses, il existe souvent une atteinte cutanée avoisinante permettant de porter le diagnostic.
16 Question à complément simple. Le diagnostic étiologique de l'eczéma de contact repose sur la pratique: A - Du dosage des IgE totales B - Du dosage des IgE spécifiques C - Des prick-tests (ou des scratch-tests) D - Des épidermotests (ou tests épicutanés) E - Du test de transformation Iymphoblastique Bonne(s) réponse(s) : D
24 Question à compléments multiples.
L'eczéma de contact et une réaction d'hypersensibilité retardée (type IV dans la classification de Gell et Coombs). Le prick-test est utilisé pour la détermination d'allergènes à l'origine de réactions de type I (anaphylaxie).
61 Question à complément simple.
Question "piège" compte tenu de l'intitulé de l'énoncé qui emploie le terme d'affirmation. La topographie des lésions (proposition A), l'interragatoire évocateur (proposition C) et l'épreuve de reprise (proposition E) sont des éléments importants d'orientation pour suspecter le caractère professionnel d'un eczéma. Ce sont cependant les tests épicutanés qui en affirment le caractère professionnel en recherchant la responsabilité éventuelle d'un ou plusieurs allergènes manipulés durant l'exercice professionnel. Ces tests visent à reproduire un "eczéma expérimenal" ou "eczéma en miniature" à l'endroit du tegument où le produit suspect est appliqué.
Une jeune femme ayant un eczéma des zones de contact des boucles d'oreilles du bracelet-montre et des attaches métalliques des v tements est probablement sensibilisée par : A - Chrome B - Cobalt C - Cuivre D - Formaldéhyde E - Aucun des allergènes ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : E Il s'agit d'un eczéma de contact au nickel.
L'eczéma marginé de Hebra peut-être dû à : A - Candida albicans B - Un dermatophyte C - Cryptococcus néoformans D - Bacille pyocyanique E - Une allergie cutanée Bonne(s) réponse(s) : B Il n'est dû qu'a un dermatophyte.
43 Question à complément simple. Parmi les substances suivantes, quelle est celle qui n'entraîne pas d'eczéma de contact ? A - Chrome B - Fer C - Nickel D - Colbalt E - Résines époxydiques Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
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49 Question à compléments multiples.
30 Question à complément simple.
L'eczéma se caractérise par : A - Le polymorphisme clinique des lésions B - Le prurit C - Une spongiose épidermique à l'histologie D - La sensibilité aux corticoïdes locaux E - La guérison avec cicatrice
Un eczéma localisé aux lobules des deux oreilles et à la face dorsale du poignet gauche est évocateur d'un eczéma de contact : A - Au chrome B - Au nickel C - Au caoutchouc D - Au baume du Pérou E - Aux parfums
Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'eczéma évolue par poussées comportant typiquement 4 stades : érythème, vésicule, suintement, desquamation. Les lésions histologiques comportent : une spongiose, une exosérose, un infiltrat lymphocytaire et polynucléaire et, à un stade tardif, une parakératose.
56 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : B La topographie aux lobules de l'oreille et la face antérieure du poignet gauche (montre) est absolument typique d'une allergie aux bijoux de fantaisie contenant du nickel, auquel environ 10 % des femmes occidentales sont allergiques.
60 Question à complément simple.
Au cours de l'eczéma on peut observer : A - Un suintement B - Une desquamation C - Un oedème D - Une érythrodermie E - Un prurit
L'eczéma marginé de Hébra est causé par : A - Une bactérie B - Une levure C - Un dermatophyte D - Un acarien E - Aucun des agents ci-dessus
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Les aspects cliniques de l'eczéma sont polymorphes.
Bonne(s) réponse(s) : C 3 dermatophytes anthropophiles sont le plus souvent en cause : tr. Rubrum, e. floccossum, tr. interdigitale.
37 Question à complément simple. La structure histologique de l'eczéma se définit essentiellement par : A - L'oedème papillaire B - L'infiltrat péri-vasculaire C - La spongiose épidermique D - La vacuolisation des cellules épithéliales E - Aucun de ces signes
9 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : C La spongiose est la lésion histologique la plus constante, résultant d'un oedème interkératinocytaire (exosérose).
Parmi les localisations suivantes, indiquez celle(s) qui est(sont) très évocatrice(s) de l'eczéma atopique ? A - Sillons sous-lobulaire du pavillon de l'oreille B - Creux poplités C - Paumes des mains D - Sillons naso-géniens E - Plis des coudes Bonne(s) réponse(s) : A B E
112 Question à compléments groupés. Parmi les professions suivantes, quelle(s) est(sont) celle(celles) où le risque d'eczéma professionnel est particulièrement important ? 1 - Coiffure 2 - Tissage de coton 3 - Infirmières hospitalières 4 - Fonderie de plomb Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B Les coiffeurs sont principalement exposés au risque des dermites par irritation (thiaglycolates des permanentes et des shampooings) qui sont beaucoup plus fréquentes que les eczémas allergiques (teinture ayant une amine en para, gants de caoutchouc, nickel). Les allergies du personnel soignant proviennent des sulfamides, des phénothiazines, des antiseptiques (mercuriels, formol, ammonium quaternaire).
La dermatite atopique détermine chez le nourrisson une atteinte des zones convexes du visage. L'atteinte des plis de flexion se voit surtout chez l'adulte et le grand enfant. Parakératoses achromiantes, pâleur du visage, pigmentation de la région orbitaire, deuxième pli palpébral inférieur (signe de Denny-Morgan), dermographisme blanc etc...
56 Question à complément simple. Une jeune femme présentant un eczéma au niveau des zones de contact des boucles d'oreilles, du bracelet-montre et des attaches métalliques est probablement sensibilisée par : A - Nickel B - Chrome C - Cobalt D - Cuivre E - Formaldéhyde Bonne(s) réponse(s) : A Les bijoux de fantaisie contiennent du nickel, auquel environ 10% des femmes occidentales sont allergiques
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29 Question à complément simple.
96 Question à complément simple.
Le meilleur moyen de rechercher l'étiologie d'un eczéma de contact est de faire pratiquer : A - Une recherche du pouvoir histaminopexique du sérum B - Un dosage des IgE C - Une biopsie D - Des tests épicutanés E - Des intra dermo-réactions
Lequel de ces examens permet le mieux de découvrir la cause d'un eczéma de contact ? A - Les épidermotests B - Les tests intra-dermiques C - Le dosage des IgE D - Le nombre d'éosinophiles sanguins E - La vitesse de sédimentation
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A
Les tests épicutanés utilisent dans un premier temps "une batterie standard" puis dans un second temps "une batterie orientée". Ceux-ci se pratiquent en dehors de toute poussée, sur peau saine (sous peine de réaction très violente: "Angry Back").
Les épidermotests (patchtests) permettent de mettre la peau au contact des allergènes suspectés, d'observer les réactions (érythème, vésicules...) à un allergène donné, et d'affirmer une sensibilisation à cet allergène.
47 Question à compléments multiples.
110 Question à complément simple.
Un eczéma localisé aux lobules des deux oreilles et à la face dorsale du poignet gauche est évocateur d'un eczéma de contact : A - Au chrome B - Au nickel C - Au caoutchouc D - Au baume du Pérou E - Aux parfums
Dans l'eczéma, l'impétiginisation survient le plus souvent au cours de la phase : A - Erythémateuse B - Vésiculeuse C - Suintante D - Desquamative E - De réparation Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B Le nickel est un composant habituel des bijoux fantaisies (boucles d'oreille, bracelet montre).
C'est à la phase suintante et croûteuse que les surinfections surviennent le plus souvent.
58 Question à complément simple.
18 Question à complément simple. Parmi les allergènes suivants, quel est celui qui est couramment responsable d'un eczéma péri-buccal avec chéilite ? A - Nickel B - Caoutchouc C - Formol D - Baume du Pérou E - Chrome
Quel métal est le plus souvent responsable d'un eczéma de contact ? A - Le fer B - L'or C - L'argent D - Le cuivre E - Le nickel Bonne(s) réponse(s) : E
Le baume du pérou est contenu dans les rouges à lèvres.
Le nickel est responsable d'un grand nombre d'eczémas de contact ; on peut citer : eczéma aux bijoux fantaisies (boucles d'oreilles, montre), ou bouton de Jean.
43 Question à complément simple.
93 Question à compléments multiples.
Le moyen le plus fiable de chercher l'étiologie d'un eczéma de contact est de faire pratiquer : A - Une recherche du pouvoir histaminopexique du sérum B - Un dosage des immunoglobulines E C - Une biopsie D - Des tests épicutanés E - Des intradermo-réactions
Pour traiter un eczéma apparu autour d'une plaie de jambe, quel(s) traitement(s) est (sont) indiqué(s) ? A - Néomycine crème B - Pommade antiprurigineuse (type Phénergan®) C - Application d'eau micronisée D - Corticothérapie générale E - Application d'un dermocorticoïde
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) :
Les tests épicutanés se présentent sous la forme de patch contenant les allergènes, qui sont disposés en général sur le tégument du dos, laissés en place et observés à 48 et 96 heures pour dépister érythème, infiltration, papules, vésicules.
A et B sont allergisants et non nécessaires (la corticothérapie locale est antiprurigineuse).
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31 Question à complément simple.
42 Question à compléments multiples.
Au cours de la dermatite atopique (eczéma constitutionnel), les propositions suivantes sont exactes sauf une, laquelle ? A - Début vers l'âge de 3 mois B - Topographie flexurale chez le grand enfant C - Evolution chronique D - Elévation inconstante des IgE sériques totales E - Histologie spécifique
Parmi les propositions suivantes concernant la physiopathologie de l'eczéma de contact, il est exact que : A - L'allergie se manifeste dans les 3 heures qui suivent le premier contact de l'allergène avec la peau B - L'allergène est reconnu par les cellules de Langerhans C - Les polynucléaires éosinophiles sont porteurs d'une "mémoire" spécifique pour l'allergène D - La fixation d'IgE sur les Iymphocytes "sensibilisé E - Lors du contact déclenchant apparait un afflux de lymphocytes dermiques
Bonne(s) réponse(s) :
ABCD
L'histologie est celle d'un eczéma quelqu'en soit l'origine (constitutionnel ou acquis).
Bonne(s) réponse(s) : B Les cellules de Langerhans porteuses des antigènes HLA-DR captent l'allergène puis le présentent aux lymphocytes T. La phase de sensibilisation dure environ une semaine. En cas de nouveau contact, les lymphocytes sensibilisés affluent dans le derme dans les 48 heures, responsables d'une réaction d'allergie retardée.
111 Question à compléments multiples. L'eczéma atopique : A - Débute en général au cours de la deuxième enfance B - Disparait souvent avant l'âge adulte C - Se surinfecte rarement D - Ne doit pas être traité par dermocorticoïdes E - Est une contre-indication à la vaccination par BCG Bonne(s) réponse(s) : B Les corticoïdes sont la thérapeutique élective des poussées. Les soins antiseptiques associés essaient d'éviter les surinfections. L'âge moyen d'apparition des symptômes est de 8 mois ; dans environ 1/3 des cas, les symptômes apparaissent vers l'âge de 3 mois.
43 Question à complément simple. Chez cette malade, quel est le métal responsable de l'eczéma de contact ? A - Le chrome B - Le cobalt C - Le nickel D - Le cuivre E - Le fer Bonne(s) réponse(s) : C
39 Question à compléments multiples.
Le nickel est contenu dans les bijoux fantaisies, pièces métalliques de certains vêtements, matériel de cuisine, certaines lessives, amalgames dentaires.
En faveur du diagnostic clinique d'eczéma, vous retenez : A - Le prurit B - L'absence d'adénopathies C - L'âge de la malade D - La présence de vésicules E - L'existence d'un suintement Bonne(s) réponse(s) : A D E Les propositions B et C n'orientent pas spécifiquement vers le diagnostic d'eczéma. Une femme de 18 ans consulte pour des lésions érythémateuses et prurigineuses des lobules des oreilles, non calmées par les antihistaminiques. A l'examen, la surface des plaques est couverte de vésicules, certaines d'entre elles sont rompues et donnent lieu à un suintement clair. Il n'existe pas d'adénopathies pré-auriculaires. Cette dermite auriculaire est apparue quelques jours après le port de nouvelles boucles d'oreilles métalliques. La malade avait d'ailleurs constaté des poussées identiques après le port de divers accessoires vestimentaires (boucles d'oreilles, bracelet de montre). Dans les antécédents, il faut noter une rhinite saisonnière chez la patiente et un asthme chez son frère. Le diagnostic de dermite de contact est posé et les métaux sont soupçonnés comme allergènes.
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Question à compléments multiples. L'eczéma atopique : A - Débute en général au cours de la deuxième enfance B - Disparaît souvent avant l'âge adulte C - Se surinfecte rarement D - Ne doit pas être traité par dermocorticoïdes E - Est une contre-indication à la vaccination par BCG Bonne(s) réponse(s) : B QCM : IR 6/90 A : Non, première enfance (classiquement, après la 10ème semaine de vie) B : Evident (question de cours) C : Non, c'est fréquent (surinfection bactérienne mais aussi virale) D : C'est le traitement E : On doit vacciner en dehors des poussées
Question à compléments multiples. Pour traiter un eczéma apparu autour d'une plaie de jambe, il est indiqué de prescrire : A - Néomycine crème B - Pommade antiprurigineuse (type Phénergan®) C - Application d'eau micronisée D - Corticothérapie générale E - Application d'un dermocorticoïde Bonne(s) réponse(s) : E Traitement de l'eczéma provoqué par les détergeants et autres produits actifs sur une plaie. A et B sont deux topiques pouvant être cause d'eczéma de contact. En dehors des réponses proposées, il faut bien sžr supprimer, avant tout, la cause, c'est-à-dire le produit mis sur la plaie de la jambe.
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101 Question à compléments groupés.
17 Question à compléments multiples.
Dans l'acromégalie, la séméiologie radiologique liée à l'hypersécrétion de GH consiste en : 1 - L'amincissement du dorsum sellaire 2 - L'hypertrophie des apophyses clinoïdes 3 - La calcification des noyaux gris centraux 4 - L'hypertrophie des sinus du crâne Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Dans l'acromégalie : A - La phosphorémie est abaissée B - Il existe assez souvent un diabète sucré C - La concentration plasmatique de somathormone s'effondre lors de l'épreuve d'hyperglycémie provoquée par voie orale D - Il existe parfois une hypersécrétion associée de prolactine E - L'expression 'bec acromégalique' désigne l'augmentation de volume des os propres du nez
Bonne(s) réponse(s) : C 1- C'est un signe d'adénome hypophysaire et non pas d'hypersécrétion de GH. 3 - Sans rapport.
109 Question à compléments groupés. On observe souvent dans l'acromégalie : 1 - Des céphalée 2 - Une perte de poids massive 3 - Une transpiration excessive 4 - Des épisodes d'hypoglycémie Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B 1 - Rapportées au syndrome tumoral, souvent rebelles, 2 - Au contraire, prise de pids en rapport avec la croissance osseuse et l'infiltration des tissus mous. 3 - Signe d'évolution de la maladie 4 - Au contraire, intolérance aux hydrates de carbone, voire diabète patent.
Quel est le signe clinique le plus évocateur d'acromégalie : A - Gonflement des doigts B - Prise de poids C - Chute des poils D - Prognathisme de la mâchoire inférieure E - Exophtalmie Sans commentaire.
84 Question à compléments multiples. Dans l'acromégalie, il existe : A - Un prognatisme B - Un diabète C - Une hypertension artérielle D - Des vergetures pourpres E - Des sinus frontaux géants Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
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Une hyperphosphorémie existe dans 20 % des cas, l'anomalie la plus fréquente du métabolisme phosphocalcique est l'hypercalcémie (50 % des cas). Le plus souvent il n'existe qu'une formation partielle de la G.H. lors de l'H.G.P.O., parfois on retrouve une ascension paradoxale. L'hyperprolactinémie peut s'expliquer par un adénome mixte ou par la compression de la tige pituitaire qui lève l'inhibition hypothalamique des cellules prolactiniques. Le "bec acromégalique" désigne la saillie du tubercule de la selle turcique.
90 Question à complément simple. Parmi les moyens thérapeutiques suivants, quel est celui qui n'est pas adapté au traitement de l'acromégalie ? A - Utilisation des analogues de la somatostatine B - Utilisation de la déxaméthasone a dose freinatrice C - Utilisation des agents dopaminergiques (type Bromocripine, Parlodel®) D - Chirurgie par voie transphénoïdale E - Cobaltothérapie hypophysaire Bonne(s) réponse(s) : B
52 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B D
A - Analogue retard permettant de baisser voir normaliser les taux plasmatiques de LH et dans certains cas de réduire le volume tumoral. B - Traitement de l'hyperplasie congénitale des surrénales. C - Moins souvent efficace que les analogues de la somatostatine.
1 Question à compléments multiples. Dans l'acromégalie : A - La phosphorémie est abaissée B - Il existe souvent une diminution de tolérance au glucose C - L'épreuve d'hyperglycémie provoquée freine la sécrétion de somathormone D - Il existe souvent une insuffisance gonadotrope E - Une hypersécrétion de prolactine n'est pas rare Bonne(s) réponse(s) : B D E A - Parfois hyperphosphorémie par augmentation de réabsorption tubulaire du phosphore. B - La GH stimule l'insulinosécrétion et diminue l'effet de l'insuline sur le tissu musculaire et adipeux. C - Contrairement au sujet normal chez qui l'HGPO baisse le taux plasmatique de GH, chez l'acromégale, la GH reste élevée lors du test. D - Par compression des cellules gonadotropes par l'adénome à GH. E - Tumeur mixte (GH et prolactine) ou levée du tonus inhibiteur dopaminergique par compression de la tige pituitaire.
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104 Question à compléments multiples.
52 Question à compléments multiples.
Dans l'acromégalie, on peut observer cliniquement : A - Un prognathisme B - Un trouble de l'articulé dentaire C - Un élargissement du périmêtre crânien D - Un développement excessif des arcades sourcilières E - Un développement excessif de la protubérance occipitale externe
Quel(s) élément(s) de l'anamnèse est(sont) en faveur d'une acromégalie ? A - La grande taille B - Le syndrome du canal carpien C - La multiparité D - L'hyperglycémie E - Les céphalées
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) Réponse(s) : B D E
L'ensemble des lésions citées sont acquises, ont une traduction radiologique et contribuent à donner au visage du patient le classique aspect chevalin du visage à l'inspection.
Sans commentaire.
111 Question à compléments multiples. Indiquez, parmi les propositions suivantes, celle(s) qui est(sont) exacte(s). En cas d'acromégalie : A - L'hypertension artérielle est fréquente B - Le rétrognathisme est une déformation habituellement observée C - Une augmentation de la prolactinémie n'est pas rare D - La survenue des coliques néphrétiques signe une hyperparathyroïdie associée E - Un des tests pour affirmer la guérison est l'épreuve d'hypoglycémie insulinique avec dosage de la somathormone Bonne(s) réponse(s) : A C B - Prognathisme... C - Par adénome mixte ou compression de la tige pituitaire. D - L'hypercalciurie est classique et peut entraîner des lithiases. E - L'hyperglycémie provoquée peut être utile en montrant si l'acromégalie persiste une absence de freination de la GH.
Une femme de 55 ans consulte pour asthénie et douleurs rhumatismales diffuses. Dans ses antécédents, on relève 6 grossesses, la dernière survenue à 33 ans. Aménorrhée depuis l'âge de 38 ans, sans bouffées de chaleur. Céphalées traitées sans succès par diverses médications symptomatiques depuis 3 ans. Intervention bilatérale pour décompression du nerf médian au canal carpien 2 ans avant la consultation. Douleurs rhumatismales traitées par indométhacine depuis 4 ans, hyperglycémie détectée un an auparavant, aucun traitement particulier n'ayant été prescrit. A l'examen, malade en surcharge pondérale (83 kg pour 1m79) avec syndrome dysmorphique associant un prognatisme majeur, une augmentation de taille des mains et des pieds (l'alliance a été élargie à 2 reprises en 5 ans). On note la présence de nombreuses vergetures non pigmentées et d'une discrète hypertrichose. La TA est de 18/10.
53 Question à compléments multiples. Quel(s) signe(s) clinique(s) viendra (viendront) renforcer la suspicion d'acromégalie ? A - Une galactorrhée B - Une hémianopsie latérale homonyme C - Une cyphose D - Des vergetures E - Une voix bitonale Bonne(s) Réponse(s) : A C
114 Question à compléments multiples. L'acromégalie peut comporter 4 des symptômes suivants : A - Hypertension artérielle B - Céphalées C - Syndrome du canal carpien D - Amaigrissement E - Impuissance sexuelle Bonne(s) réponse(s) : A B C E
A - En cas d'hyperprolactinémie de déconnexion hypothalamohypophysaire (voir plus loin). C - Aspect au maximum en "polichinelle", il faut, bien entendu, préciser le caractère acquis.de ces troubles.
54 Question à compléments multiples. Quel(s) signe(s) radiologique(s) vous permettra(permettront) d'étayer le diagnostic d'acromégalie ? A - Une dysgénésie épiphysaire B - Une hypertrophie des sinus frontaux C - Une déformation de la selle turcique D - Des calcifications des noyaux gris centraux E - Tous les signes précédents
Sans commentaire.
118 Question à compléments multiples. Chez un sujet atteint d'acromégalie, quel(s) signe(s) témoigne(nt) du caractère évolutif de la maladie ? A - Céphalées B - Hypersudation C - Hyperphosphorémie D - Elargissement de la selle turcique E - Aggravation d'un diabète
Bonne(s) Réponse(s) : B C La radiographie de la selle turcique mettra en évidence : - des éléments en faveur de la tumeur de la selle turcique - des éléments en faveur de l'acromégalie.
Bonne(s) réponse(s) : B C E A, D - En rapport avec le syndrome tumoral et non l'hypersécrétion de G.H. C - Par augmentation de la réabsorption tubulaire du phosphore.
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55 Question à compléments multiples.
57 Question à compléments multiples.
Parmi ces signes biologiques, le(s)quel(s) est(sont) compatible(s) avec le diagnostic d'acromégalie ? A - Un hyperprolactinisme B - Une hypophosphorémie C - Un taux d'hormone somatotrope (GH) s'élevant après injection Intraveineuse de 200 microg de TRH D - Une baisse d'hormones thyroïdiennes fT3 et fT4 avec TSH élevée E - Une absence de freinage de la GH au cours de l'hyperglycémie provoquée
Quel(s) élément(s) de l'anamnèse est (sont) en faveur d'une acromégalie ? A - La grande taille B - Le syndrome du canal carpien C - La multiparité D - L'hyperglycémie E - Les céphalées
Bonne(s) Réponse(s) : A C E L'hyperprolactinémie peut avoir deux origines : - par déconnexion hypothalamohypophysaire (en cas d'adénome comprimant la tige pituitaire et empêchant le passage du PIF), levant donc le tonus inhibiteur normalement exercé par le PIF sur les cellules à prolactine - par adénome mixte (sécrétion de GH et de prolactine).
58 Question à compléments multiples. Vous revoyez la patiente 6 mois après l'intervention neurochirurgicale : quel(s) élément(s) du bilan biologique de contrôle est(sont) en faveur d'une acromégalie toujours évolutive ? A - Le taux de base de l'hormone somatotrope est normal B - La phosphorémie est élevée C - Le taux d hormone somatotrope (GH) s'élève après injection de TRH D - Le taux d hormone somatotrope (GH) s'élève sous bromocriptine (2 cp à 2,5 mg per os) E - Le taux de base de la prolactine est normal Bonne(s) Réponse(s) : B C Sans commentaire.
4 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : B D E A - S'observe dans la giganto-acromégalie en cas d'adénome somatotrope chez l'enfant. B - Caractère bilatéral très évocateur. D - Diabète présent dans 1/3 des cas. E - Syndrome tumoral. Une femme de 55 ans consulte pour asthénie et douleurs rhumatismales diffuses. Dans ses antécédents on relève 6 grossesses. la dernière survenue à 33 ans. Aménorrhée depuis l'âge de 38 ans, sans bouffées de chaleur. Céphalées traitées sans succès par diverses médications symptomatiques depuis 3 ans. Intervention bilatérale pour décompression du nerf médian au canal carpien deux ans avant la consultation. Douleurs rhumatismales traitées par indométhacine depuis 4 ans, hyperglycémie détectée un an auparavant, aucun traitement particulier n'ayant été prescrit. A l'examen, malade en surcharge pondérale (83 kg pour 1 ,79 m) avec syndrome dysmorphique associant un prognatisme majeur, une augmentation de la taille des mains et des pieds (l'alliance a été élargie à deux reprises en 5 ans). On note la présence de nombreuses vergetures non pigmentées et d'une discrète hypertrichose. La tension artérielle est de 18/10.
58 Question à compléments multiples. Quel(s) signe(s) clinique(s) viendra(viendront) renforcer la suspicion d'acromégalie ? A - Une galactorrhée B - Une hémianopsie latérale homonyme C - Une cyphose D - Des vergetures E - Une voix bitonale Bonne(s) réponse(s) : A C
Quelle(s) anomalie(s) est(sont) observée(s) en cas d'acromégalie ? A - Augmentation de la réabsorption tubulaire des phosphates B - Hypercalciurie C - Anomalies du système rénine-angiotensine-aldostérone D - Syndrome du canal carpien E - Aucune des propositions ci-dessus
A - Adénome mixte (GH + prolactine) ou compression de la tige pituitaire. B - Hémianopsie bitemporale dans les tumeurs hypophysaires. C - Spondylose d'Erdheim. D - Signe d'hypercorticisme. E - La voix bitonale se voit dans les compressions du nerf récurrent
59 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
Quel(s) signe(s) vous permettra(tront) d'étayer le diagnostic d'acromégalie ? A - Une dysgénésie épiphysaire B - Une hypertrophie des sinus frontaux C - Une déformation de la selle turcique D - Des calcifications des noyaux gris centraux E - Aucun des signes précédents Bonne(s) réponse(s) : B C B, C - Signes radiologiques classiques d'acromégalie. La selle turcique pouvant présenter un épaississement et une condensation de la paroi sellaire (bec acromégale) sous l'effet de la GH et/ou un agrandissement voire une destruction du plancher sous l'effet du volume tumoral.
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60 Question à compléments multiples. Parmi ces signes biologiques, le(s)quel(s) est (sont) compatible(s) avec le diagnostic d'acromégalie ? A - Une hyperprolactinémie B - Une hyperphosphorémie C - Un taux d'hormone somatotrope (GH) s'élevant après injection intraveineuse de 200 microg de TRH D - Une baisse d'hormones thyroïdiennes fT3 et fT4 avec TSH élevée E - Une absence de freinage de la GH au cours de l'hyperglycémie provoquée Bonne(s) réponse(s) : B C E A - Item discutable : adénome mixte et compression de la tige pituitaire pouvant causer une hyperprolactinémie mais il ne s'agit plus d'une acromégalie au sens restrictif. B - Augmentation réabsorption tubulaire du phosphore. C - Elévation "paradoxale" alors que le test est négatif chez le sujet normal. E - Très évocateur.
63 Question à compléments multiples. Vous revoyez la patiente 6 mois après l'intervention neurochirurgicale. Quel(s) élément(s) du bilan biologique de contrôle est (sont) en faveur d'une acromégalie toujours évolutive ? A - Le taux de base de l'hormone somatotrope est normal B - La phosphorémie est élevée C - Le taux d'hormone somatotrope s'élève après injection de TRH D - Le taux d'hormone somatotrope (GH) s'élève sous bromocriptine (2 cp à 2.5 mg per os) E - IGF1 (somatomédine) élevée Bonne(s) réponse(s) : B C E B - Classique. C - Signe la persistance de tissus adénomateux échappant aux mécanismes de régulations normaux (voir QCM 9). D - La bromocriptine baisse la GH et est parfois utilisée dans le traitement de l'acromégalie. E - Un traitement efficace normalise l'IGF 1 (très bon témoin).
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1 Question à compléments multiples.
8 Question à complément simple.
Parmi les propositions suivantes concernant le diabète de type I, quelle est celle qui est inexacte ? A - Il existe une prédisposition génétique que l'on peut apprécier par le typage HLA B - Lorsqu'un enfant dans une famille a un diabète de type I, tous ses frères et soeurs feront le même type de diabète C - Le diabète de type I est une maladie auto-immune D - Le diabète de type I peut se révéler par un coma diabétique E - Le diabète de type I peut être d'installation progressive et simuler un type II
Parmi ces médicaments utilisés dans le traitement des leucémies aiguës Iymphoblastiques, lequel peut entraîner comme effets secondaires un diabète, des troubles allergiques et une hypofibrinémie ? A - Cyclosphosphamide (Endoxan®) B - Daunorubicine (Cérubidine®) C - Vincristine (Oncovin®) D - Asparaginase (Kidrolase®) E - Prédnisolone (Solupred®) Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Sans commentaire.
Certains allèles HLA sont plus fréquents dans les diabètes autoimmuns de type I en particulier DR3 DR4. Le diabète de type I d'installation progressive est aussi appelé le diabète de type I lent.
98 Question à compléments multiples.
65 Question à compléments multiples. Lors de la découverte d'un diabète sucré non insulinodépendant chez un adulte de poids excessif, quelle(s) est (sont) la (les) prescription(s) adaptée(s) ? A - Prescription d'emblée d'un sulfamide hypoglycémiant avant toute adaptation diététique B - Enqu te alimentaire avant prescription de la diététique C - Diététique hypocalorique D - Restriction des glucides en laissant libre l'apport en viandes, fromages et oeufs E - Prescription d'un biguanide si persistance d'une hyperglycémie après mesures diététiques Bonne(s) réponse(s) : B C E Le premier traitment d'un DNID avec surpoids est la diététique. Les antidiabétiques oraux sont indiqués après échec de 3 mois de diététique adaptée. Les sulfamides hypoglycémiants favorisent la prise de poids par leur action insulino secretrice. Les apports de viandes, fromages et oeufs doivent être controlés car riches en acides gras saturés. Les biguanides seront préférés en première intention après échec des mesures diététiques car ils améliorent l'insulinoreéistance périphérique et n'influencent pas l'insulinosécrétion.
87 Question à compléments multiples. Le diabète non insulino dépendant : A - Est généralement cétosique B - Survient chez des sujets porteurs des antigènes HLA DR3 et/ou DR4 C - Est favorablement influencé par la restriction glucidique D - Est habituellement associée à un état d'insulino résistance E - Survient sous l'influence de facteurs héréditaires
Parmi les propositions suivantes concernant le diabète insulino-nécessitant (DIN) quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) excacte(s) ? A - Terminologie qui est synonyme du diabète insulinoprive B - Diabète non insulinodépendant qui demeure hyperglycémique sous sulfamide, indépendamment de l'apport diététique C - Diabète non insulinodépendant qui demeure hyperglycémique, malgré une dose maximale de sulfamide + biguanide, la diététique étant idéale D - Une insulinothérapie définitive est d'emblée conseillée dans le DIN E - Une insulinothérapie optimisée transitoire peut permettre le retour de l'activité des antidiabétiques oraux Bonne(s) réponse(s) : C E Ce terme est réservé aux diabètes initialement non insulinodépendant. Ce type de diabète peut être transitoirement insulino-nécessitant ( ex : pathologie infectieuse intercurrente). La validité de la dernière proposition s'appuie sur le concept de glucotoxicité (hyperglycémie qui en elle même altère les capacités sécrétoires de la cellule bêta et aggrave l'insulino résistance tissulaire).
100 Question à compléments multiples. Le diabète : A - Peut être responsable d'une multinévrite B - Peut être responsable d'une mononévrite du moteur oculaire commun C - Peut être révélé par une neuropathie périphérique D - Peut être responsable d'une polynévrite sensitive E - Peut être associé à une neuropathie végétative Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C D E Les antigènes HLA DR3/DR4 sont fréquents dans les diabètes de type I.
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60 Question à complément simple.
20 Question à compléments multiples.
Dans les explorations biologiques d'un diabète insipide néphrogénique complet, quelle est la proposition exacte ? A - Osmolalité urinaire (Osmu) augmentée, supérieure à 500 mOsm/kg d'eau B - Osmu encore accrue lors de l'épreuve de restriction hydrique C - Clairance de l'eau libre nettement négative D - Hormone antidiurétique augmentée dans le plasma E - Efficacité du DDAVP (analogue de l'hormone antidiurétique) qui concentre les urines
Vous pouvez apprécier le résultat obtenu sur l'équilibre du diabète en demandant : A - Une HbA1c B - Un cycle glycémique C - Un dosage de C-peptide D - Un dosage d'insuline E - Un test au glucagon Bonne(s) réponse(s) : A B
Bonne(s) réponse(s) : D
L'HbA1C reflètera la glycémie moyenne des 6-8 semaines écoulées. Le cycle glycémique appreciera les glycémies à jeun et post prandiales.
Le défaut de concentration des urines entraîne une perte d'eau libre (clearance de l'eau libre positive) et des urines hypoosmotiques. La restriction hydrique et la DDAVP sont inefficaces car le tubule est insensible à l'hormone antidiurétique.
34 Question à compléments multiples.
24 Question à compléments multiples. Parmi les éléments suivants, quel(s) est (sont) le(s) facteur(s) responsable(s) de l'hyperglycémie au cours du diabète sucré, non insulinodépendant ? A - Elévation du débit hépatique du glucose B - Diminution de l'utilisation musculaire du glucose C - Insulinopénie relative des cellules bêta du pancréas D - Diminution du Glucagon E - Insulinorésistance
Certaines endocrinopathies sont également susceptibles de déséquilibrer un diabète, mais la patiente n'en présente pas de signe clinique. De quelle(s) endocrinopathie(s) s'agit-il ? A - Panhypopituitarisme B - Acromégalie C - Phéochromocytome D - Hypothyroïdie E - Maladie de Cushing Bonne(s) réponse(s) : B C E Les GH, les catécholamines et le cortisol sont des hormones hyperglycémiantes.
Bonne(s) réponse(s) : A B C E L'hyperglycémie chronique du diabète de type II est la resultante : - du déficit sécrétoire de la cellule bêta, absolu ou relatif (baisse du rapport insulinémie sur glycémie). - de la résistance tissulaire (foie, muscle et tissu adipeux) à l'action de l'insuline.
65 Question à compléments multiples. Dans le diabète de type I insulinoprive : A - L'étiologie peut être virale B - Il peut exister des anticorps anti-ilots de Langherans C - Le C-peptide est bas D - Il existe des facteurs génétiques liés aux facteurs HLA E - L'acidose lactique est fréquemment révélatrice Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'acidocétose est parfois révélatrice du diabète de type I.
35 Question à compléments multiples. En l'absence de cause évidente à ce déséquilibre, vous concluez à un diabète insulino-requérant et vous décidez d'instituer une insulinothérapie. Quelle(s) est (sont) I'(es) autre(s) indication(s) de mise à l'insuline transitoire ou définitive chez le diabétique non insulino-dépendant ? A - Age supérieur à 75 ans B - Grossesse C - Décompensation hyperosmolaire D - Apparition d'une insuffisance rénale chronique (créatininémie supérieure à 200 mcmol/l) E - Apparition d'une insuffisance hépatique sévère Bonne(s) réponse(s) : B C D E L'insuffisance rénale chronique. L'insuffisance hépatique sévères et la grossessesont trois contre-indications formelles à l'emploi des antidiabétiques oraux. L'âge en soi n'est pas une contre indication absolue mais une contre indication relative liée à un état physiologique du sujet.
90 Question à compléments multiples. Quelles sont les explorations, parmi les suivantes, qui sont utiles pour apprécier l'équilibre d'un diabète non insulinodépendant ? A - Dosage de l'hémoglobine glycosylée tous les 15 jours B - Dosage de la glycémie à jeun C - Dosage des glycémies post-prandiales D - Surveillance de la glycosurie E - Dosage des triglycérides Bonne(s) réponse(s) : B C L'hémoglobine glycosylée apprécie l'équilibre glycémique des 6 à 8 semaines précédant le dosage. La disparition du pic précoce d'insulinosécrétion (élévation de la glycémie post prandiale) et l'augmentation de la production hépatique de glucose (élévation de la glycémie à jeun) sont deux caracetéristiques du diabète non insulinodépendant. RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS La glycosurie est absente tant que la glycémie est inférieure à 1,80 g/l.
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24 Question à compléments multiples.
67 Question à compléments multiples.
A côté d'un dosage systématique de la glycémie, un diabète non insulinodépendant peut-être révélé par : A - Un coma hyperosmolaire B - Une rétinopathie proliférante C - Un infarctus du myocarde D - Une névralgie crurale E - Une mycose des plis (intertrigo)
Quelles sont parmi les propositions suivantes, celles qui sont en faveur d'un diabète de type I (insulino-dépendant) ? A - La présence d'anticorps anticellules bêta B - La présence d'anticorps anti-insuline C - Le groupe HLA de la malade D - L'épisode fébrile avant le diabète E - Le diabète de la mère pendant la gestation
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Sans commentaire.
Sans commentaire.
Un homme âgé de 50 ans est traité depuis 1 an avec 2 comprimés de metformine (Glucophage retard®) pour un diabète non insulinodépendant découvert à l'occasion d'un bilan biologique systématique (glycémie à jeun = 2,43 g/l). Il n'a jamais fait de régime. L'interrogatoire retrouve la notion de crampes survenant dans la jambe droite lors de la marche. Examen clinique : 92 kg pour une taille de 1,76 m, TA = 17/9,5, rythme cardiaque sinusal 75/mn, auscultation thoracique normale, abolition des pouls tibiaux postérieurs et pédieux droits, réflexes rotuliens présents et réflexes achilléens abolis, troubles de la sensibilité vibratoire.
Un diabète aigu est décelé chez une jeune fille de 18 ans. Elle a perdu 4 à 5 kg en une dizaine de jours, avec un syndrome polyuro-polydipsique et conservation de l'appétit. La glycémie est à 4 g/l (22,24 mmol/l), elle a une glycosurie, une cétonurie, elle n'a pas d'acidose. Elle pèse 50 kg pour une taille de 1,65m. Elle a présenté, un mois avant la découverte du diabète, un épisode fébrile. Elle signale que l'on a découvert un diabète chez sa mère lorsqu'elle était enceinte, avant sa naissance et qu'elle était traitée par l'insuline. Avant la mise en route du traitement : cette jeune fille a des anticorps anti-cellules bêta et anti-insuline à des taux significativement élevés. Son groupage HLA révèle qu'elle est DR3-DR4. Elle n'a pas d'antécédent d'obésité familiale, sa mère est la seule diabétique connue, elle a un frère de 15 ans et une soeur de 13 ans. Elle est mise sous pompe à insuline et sous antidiabétiques oraux (sulfamides et biguanides) et deux mois plus tard, elle est équilibrée, en l'absence d'insuline, par les seules médications orales.
Le cliché du thorax est normal. Bilan biologique : - Glycémie à jeun = 2,54 g/l, glycémie post-prandiale = 2,82 g/l - Hémoglobine A1c = 9,4 % - Absence d'acétonurie - Créatinémie = 90 mcmol/l - Electrophorèse des protides normales - Microalbuminurie = 106 mg/24h - ECBU négatif
68 Question à compléments multiples.
25 Question à compléments multiples. Parmi les examens suivants, indiquer celui (ceux) que vous demandez systématiquement pour compléter le bilan de ce diabète : A - Electrocardiogramme B - Examen doppler des artères des membres inférieurs C - Ponction lombaire D - Urographie intra-veineuse E - Fond d'oeil Bonne(s) réponse(s) : A B E
Que peut-on penser de l'évolution de ce diabète ? A - Un traitement transitoire par la cyclosporine aurait pu assurer une guérison totale B - Ce diabète en insulinorémission a toutes les chances de guérir définitivement C - Cette insulino-rémission permet d'exclure un diabète de type I D - Cette insulinorémission est probablement transitoire E - L'évolution vers l'insulinodépendance est probable Bonne(s) réponse(s) : D E Le déficit en insuline est rarement complet au début, et peut même transitoirement régresser après le diagnostic de la maladie (phase de "lune de miel").
Sans commentaire.
70 Question à compléments multiples. Si vous aviez la possibilité d'explorer son frère et sa soeur, quelles sont parmi les explorations suivantes celles qui pourraient déceler une prédisposition au diabète de type I ? A - Le groupage HLA de classe I B - Le dosage des anticorps anti-ilots bêta C - Le dosage des anticorps anti-insuline D - L'étude de l'insulinosécrétion E - L'échographie pancréatique Bonne(s) réponse(s) : B C D D - Chez un sujet HLA semblable à un frère et une soeur DID, la phase aiguë de la réponse insulinique à une injection intraveineuse de glucose était accrue. Si cette hyperactivité n'est peut-être pas systématiquement une manifestation de prédiabète, elle risquerait un status métabolique susceptible de favoriser la destruction des cellules bêta.
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10 Question à compléments multiples. Vous devez donner d'autres conseils à ce patient pour mieux équilibrer son diabète et pour atténuer le risque de complications. Parmi les recommandations suivantes, indiquer celle(s) qui est (sont) adaptée(s) : A - Interrompre le tabagisme B - Corriger les erreurs diététiques favorisant l'hypercholestérolémie C - Surveiller plusieurs fois par jour la glycèmie capillaire D - Abandonner la surveillance des urines avec les bandelettes Kétodiastix® E - Veiller quotidiennement au maintien d'une bonne hygiène des pieds Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
11 Question à complément simple. Vous demandez un contrôle de l'hémoglobine A1c à distance de cette hospitalisation. Quel est le délai le mieux adapté pour évaluer l'effet de la modification du schéma d'insulinothérapie sur l'équilibre du diabète ? A - 2 semaines B - 3 semaines C - 4 semaines D - 5 semaines E - 6 semaines Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
12 Question à complément simple. Le groupe tissulaire de ce patient est le suivant : A2 - A3 - Bl 4 - B27 - DR4. Indiquer quel est l'antigène d'histocompatibilité dont l'association au diabète insulinodépendant est la plus significative : A - A2 B - A3 C - B14 D - B27 E - DR4 Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Parmi les syndromes suivants, lequel contre-indique formellement la prescription de biguanides au cours du diabète sucré?
Si la prévalence P du diabète sucré est égale à 5 %, quelle est la valeur prédictive positive, c'est-à-dire la probabilité du diabète sucré pour un sujet dont la glycémie est égale ou supérieure à X?
A - L'obésité B - L'insuffisance rénale C - Le diabète insulino-dépendant D - L'angor E - Une neuropathie périphérique
A - 0,2 B - 0,3 C - 0,4 D - 0,5 E - 0,6
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B : Est une contre-indication formelle C : En complément de l'insulinothérapie bien sžr D : Peut présenter une contre-indication relative car correspond à un état d'anoxie cellulaire
Test + Test -
Diabète 45 5 50
Non Malades 190 760 950
1000
La valeur prédictive positive : probabilité qu'un sujet soit malade si le test est positif = 45 / 190 + 45 = 45 / 235 = 0,19 = 0,2.
Question à compléments multiples. Le traitement d'un diabète au cours d'une grossesse est incompatible avec la ou les propositions suivantes. Indiquez laquelle ou lesquelles :
Question à compléments multiples. Si ce même test, avec cette même valeur X était utilisé dans une population o la prévalence du diabète est deux fois plus élevée:
A - Apport glucidique réduit B - Traitement par un biguanide C - Trois injections quotidiennes d'insuline D - Traitement par une sulfonylurée E - Insulinothérapie par pompe portable
A - La sensibilité du test serait augmentée B - La spécificité du test serait diminuée C - La valeur prédictive positive serait augmentée D - La valeur prédictive négative serait diminuée E - Sensibilité et spécificité seraient augmentées
Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C D Si la prévalence du diabète est deux fois plus élevée :
Question à compléments multiples. Test+ Test
L'atteinte glomérulaire au cours du diabète : A - S'observe aussi bien dans le diabète de type I que dans le diabète de type II B - Peut être détectée très tôt par la recherche d'une microalbuminurie C - Peut être aggravée par une augmentation de la pression artérielle systémique D - S'accompagne, en début d'évolution, d'une diminution du flux plasmatique rénal E - Contre-indique, en cas d'évolution vers l'insuffisance rénale terminale, la transplantation rénale
Diabète 95 -5 100
Non Malades 180 720 900
1000
A : Sensibilité = idem = 95 %. B : Spécificité = idem = 80 %. C : Valeur prédictive positive = 95 / 275 = augmentée. D : Valeur prédictive négative = 720 / 725 = diminuée. E : Faux.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D : Au contraire, le flux plasmatique rénal augmente au début de l'évolution du diabète. E : La transplantation rénale n'est pas contre-indiquée et peut même être associée dans les diabètes de type I à une transplantation pancréatique.
Question à compléments multiples. Est ou sont classique(s) au cours d'une neuropathie périphérique du diabète de la maturité : A - La paralysie radiale B - L'atteinte du moteur oculaire commun C - Les troubles de déglutition D - L'impuissance sexuelle E - L'hypotension orthostatique Bonne(s) réponse(s) : B D E D, E : Traduisent une neuropathie végétative fréquente dans le diabète.
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Question à compléments multiples. Le diabète non insulinodépendant avec obésité doit être traité en première intention par : A - Un régime hypocalorique B - Un sulfamide hypoglycémiant C - De l'insuline à faible dose D - De l'insuline à forte dose E - Un biguanide Bonne(s) réponse(s) : A Un régime hypocalorique, équilibré, avec restriction des sucres d'absorption rapide constitue le premier temps du traitement. Les antidiabétiques ne sont utilisés que si le régime est insuffisant pour contrôler le diabète.
Question à complément simple. Dans les explorations biologiques d'un diabète insipide néphrogénique complet, quelle est la proposition exacte? A - Osmolalité urinaire (Osmu) augmentée, supérieure à 500 mOsm/kg d'eau B - Osmu encore accrue lors de l'épreuve de restriction hydrique C - Clairance de l'eau libre (CH2O) nettement négative D - Hormone antidiurétique (HAD ou AVP) augmentée dans le plasma E - Efficacité du DDAVP (analogue de l'AVP) qui concentre les urines Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit d'une insensibilité rénale à l'hormone antidiurétique.
Question à compléments multiples. Parmi les examens complémentaires suivants, citez ceux qui peuvent avoir une utilité avant une éventuelle intervention de cataracte (compte tenu de l'existence d'un diabète) : A - ƒchographie B - Angiographie fluorescéinique C - Examen de la périphérie rétinienne D - Scanner E - Potentiels évoqués visuels Bonne(s) réponse(s) : A B C B, BC ou ABC
(3 réponses possibles)
A: . L'échographie A mesure la longueur axiale du globe oculaire permettant le calcul de la puissance de l'implant. . L'échographie B permet l'étude de la rétine si la cataracte empêche la visibilité du fond d'oeil. B : L'angiographie à fluoresceïne serait le seul examen à pratiquer chez un diabétique, si le fond d'oeil le permet. La rétinopathie diabétique doit être absolument stable avant l'intervention chirurgicale. C : A la recherche de lésions prédisposantes au décollement de rétine (palissades, trou, déchirures rétiniennes).
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Question à complément simple. Quel est l'examen permettant de faire le diagnostic de certitude de diabète gestationnel après 24 semaines d'aménorrhée? A - Glycosurie B - Glycémie à jeun C - Glycémie post prandiale D - Hyperglycémie provoquée par voie orale E - Mesure de l'hémoglobine glycosylée AlC Bonne(s) réponse(s) : D B et C associés : Dépistage E : Surveillance sous traitement
Question à compléments multiples. Les contre-indications à l'emploi des biguanides dans le diabète non insulino-dépendant comportent : A - L'insuffisance hépato-cellulaire B - L'insuffisance respiratoire chronique C - L'insuffisance cardiaque congestive D - L'insuffisance rénale chronique E - L'insuffisance gonadique Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire.
Question à complément simple. Si la prévalence P du diabète sucré est égale à 5%, quelle est la valeur prédictive positive, c'est-à-dire la probabilité de diabète sucré pour un patient dont la glycémie à jeun est égale ou supérieure à C? A - 0,13 B - 0,15 C - 0,30 D - 0,50 E - 0,85 Bonne(s) réponse(s) : A C'est la probabilité qu'un sujet soit malade si le test est positif. VPP = 85Ö85+570=0,13
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15 Question à compléments multiples.
56 Question à complément simple.
En cas de syndrome de Conn, il est logique d'utiliser le (ou les) diurétique(s) suivant(s) : A - Chlorthalidone (Hygroton®) B - Spironolactone (Aldactone®) C - Phanurane (Canrénone®) D - Furosémide (Lasilix®) E - Hydrochlorothiazide (Esidrex®)
Indiquez, parmi les paramètres biochimiques suivants celui qui évoque l'existence d'un adénome de Conn chez un hypertendu : A - Hypernatrémie B - Hypokaliémie C - Acidose métabolique D - Hyperglycémie E - Activité rénine normale dans les veines périphériques
Bonne(s) réponse(s) : B C
Bonne(s) réponse(s) : B Il faut utiliser des diurétiques anti-aldostérone. A E - Thiazidiques. D - Diurétique de l'anse.
Il s'agit d'une hypokaliémie avec alcalose métabolique.
55 Question à complément simple.
108 Question à compléments groupés. La première constatation d'une réaction positive à l'acétest chez un diabétique connu : 1 - Impose l'injection immédiate de quelques (4 à 8) unités d'insuline ordinaire 2 - Doit faire interroger le malade sur la nature de son alimentation dans les 24 heures précédentes 3 - Justifie l'hospitalisation d'urgence 4 - Doit être confirmée par un nouvel examen d'urine pratiqué 1/2 heure à 1 heure plus tard avant d'entraîner une décision. Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C 1 - Non, il faut commencer par vérifier s'il y a toujours une cétonurie sur une urine fraîche (c'est-à-dire une urine nouvellement fabriquée, et non pas une urine récemment émise !). En effet, il peut s'agir d'une cétose de jeûne, n'imposant pas de supplément d'insuline ordinaire. 2 - Il faut rechercher une modification de l'alimentation qui aurait pu entraîner une hypoglycémie. En effet celle-ci entraîne également une cétonurie, en rapport avec un déficit en glucose intra-cellulaire (comme dans le cas d'un carence en insuline). 3 - Absolument pas. 4 - Ce nouvel examen permet, outre la vérification de la présence de la cétonurie, également la mesure de la glycosurie pendant cet intervalle de temps d'une 1/2 heure.
23 Question à complément simple.
Parmi les propositions suivantes, indiquez celle qui est exacte : L'HTA d'un syndrome de Conn non opéré doit être traitée par : A - Le furosémide B - Les thiazidiques C - Les bêta-bloquants D - Les spironolactones E - L'alpha méthyl DOPA Bonne(s) réponse(s) : D Les antialdostérones sont les médicaments les plus adaptés pour traiter la sécrétion excessive d'aldostérone par un adénome de la corticosurrénale (syndrome de Conn) ; en règle ils sont donnés avant l'intervention chirurgicale, permettant de corriger l'hypokalémie et de prévoir la réussite du traitement chirurgical suivant la normalisation de la kaliémie.
109 Question à compléments multiples. Devant une perte de connaissance chez un diabétique traité, quel(s) signe(s) clinique(s) est (sont) en faveur d'une hypoglycémie ? A - Signe de Babinski fugace B - Mydriase bilatérale C - Crise convulsive D - Sueurs E - Agitation Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Indiquez parmi les éléments cliniques suivants, celui qui n'appartient pas au syndrome de Conn : A - Hypertension systolo-diastolique B - Asthénie C - Syndrome polyuro-polydypsique D - Accès tétanique E - Surcharge liquidienne
Lors de l'hypoglycémie il existe des signes d'hyperadrénergie en particulier au niveau de l'oeil, des signes de neuroglucopénie avec possibilités d'irritation pyramidale.
20 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : E L'absence de surcharge liquidienne et d'oedème est un signe négatif très important dans le diagnostic d'un syndrome de Conn.
Le syndrome de Conn est caractérisé par les signes biologiques suivants, sauf un. Lequel ? A - Hypokaliémie B - Hyponatrémie C - Alcalose métabolique D - Aldostéronurie accrue E - Cortisol plasmatique normal Bonne(s) réponse(s) : B B - Dans le syndrome de Conn la natriurèse est avant tout fonction des apports en sel. La natrémie est le plus souvent normale ou parfois discrètement élevée. A, C - L'hypokaliémie avec alcalose métabolique est classique avec élévation de la kaliurèse.
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104 Question à compléments multiples.
57 Question à compléments multiples.
Un patient agité et confus arrive aux urgences. On ne connait pas ses antécédents. Il est dyspnéique et cyanosé. La gazométrie immédiatement réalisée montre : PaO2 58 mm de mercure, PaCO2 65 mm de mercure, pH 7,30 , SaO2 86 %, CO3H : 26 mEq. Il s'agit de : A - Acidose respiratoire aiguë B - Effet shunt pur C - Acidose respiratoire compensée D - Hypoventilation alvéolaire E - Acidose métabolique non compensée
La natrémie de cette jeune fille pouvait être en relation avec une ou plusieurs perturbations métaboliques connues ou à rechercher. Laquelle ou lesquelles ? A - Hyperprotidémie B - Hémoconcentration C - Hypophosphorémie D - Hypertriglycéridémie E - Fuite urinaire du Na+
Bonne(s) réponse(s) : A D Tableau d'acidose respiratoire aiguë (hypoxie, hypercapnie non encore corrigée par une élévation des bicarbonates) avec hyperventilation alvéolaire (PCO2 + PO2 > 120).
Bonne(s) réponse(s) : D E Il existe au cours de l'acidocétose une fuite urinaire de sodium que l'on peut apprécier à 10 meq/kg liée en particulier à l'élimination des corps cétoniques sous forme de sel de sodium, à la diurèse amniotique. La carence en insuline entraîne un dysfonctionnement de la lipoprotéine lipase avec défaut du catabolisme des VLDL et des chylomicrons avec possibilité de type I ou V, sérum lactescent, ceci rajoute une composante de fausse hyponatrémie à cette hyponatrémie avec osmolarité élevée et donc déshydratation intracellulaire.
13 Question à compléments multiples. Parmi les médicaments éventuellement responsables d'une hyperprolactinémie, on connait : A - Le Largactil® (chlorpromazine) B - Le Primperan® (métoclopramide) C - Le Parlodel® (bromocriptine) D - Le Dogmatil® sulpiride) E - Le Tagamet® (cimétidine) Bonne(s) Réponse(s) : A B D E De nombreux médicaments sont responsables d'une hyperprolactinémie, d'où la nécessité de toujours pratiquer un interrogatoire précis pour s'enquérir des médicaments absorbés. Le Parlodel® est par contre le traitement médical de premier choix d'une hyperprolactinémie.
87 Question à compléments multiples. Les examens pouvant permettre de différencier hyperplasie bilatérale et adénome de Conn sont : A - Le dosage de l'activité rénine dans le sang des veines surrénales B - Le dosage de l'aldostérone dans le sang des veines surrénales C - Le test de freination de l'hyperaldostéronisme par du soluté salé isotonique D - Le dosage de l'hémoglobine glycosylée E - La scintigraphie surrénalienne au iodo cholestérol Bonne(s) réponse(s) : B C E A - Effondrée dans les deux cas. B - Gradiant d'aldostérone latéralisé du côté de l'adénome. C - Freination en cas d'hyperplasie uniquement. D - Hyperfixation latéralisée du côté de l'adénome.
46 Question à compléments multiples. Parmi les éléments suivants, rapportés dans l'observation, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peu(ven)t expliquer la perte de connaissance ? A - La fréquence cardiaque B - Le niveau de la tension artérielle C - Le taux de la glycémie D - Le taux de la kaliémie E - Le taux des bicarbonates Bonne(s) Réponse(s) : B C Au cours de l' ISA., une perte de connaissance peut être due à une hypoTA s'aggravant en orthostatique, à une hypoglycémie, à une hyponatrémie. La tachycardie est un mécanisme de compensation de l'état de choc. Une étudiante de 21 ans, en vacances, est amenée aux urgences inconsciente à 21 heures. Le seul renseignement est qu'elle jouait au tennis pendant une grande partie de la journée et se plaignait de nausées. Elle a vomi à plusieurs occasions, s'est plaint de vertiges, puis est devenue confuse avant de perdre conscience. A l'examen, elle est confuse mais consciente, avec un bronzage important. Sa pression artérielle est à 8,5/4 cm Hg avec une fréquence cardiaque à 130/mn. Sa température est normale. Il existe un pli cutané. Les muqueuses sont sèches mais les globes oculaires sont souples. La pigmentation est accrue au niveau des mamelons. Les appareils cardio-vasculaire, pulmonaire, abdominal et génital sont normaux. Aucune anomalie n'est retrouvée à l'examen neurologique. L'ECG montre une tachycardie sinusale avec grandes ondes T. A la numération : Hb = 160 g/l, Ht = 50 %, GB = 12 400 avec 50 % de Iymphocytes, 41 % de polynucléaires neutrophiles et 9 % d'éosinophiles, radio de thorax normale. Glycémie à 2,5 mmol/l, Na = 120 mmol/l, K = 6,1 mmol/l, bicarbonates = 20 mmol/l. Il n'y a pas d'antécédents pathologiques connus, ni de prise thérapeutique. Le diagnostic d'insuffisance surrénale aiguë est évoqué. Il est demandé des explorations hormonales : - la cortisolémie est basse RESIDANAT POCHE Tome " est I "-élevé. QCM - QCS - le dosage EN de l'ACTH plasmatique
88 Question à compléments multiples. Les examens pouvant permettre de localiser l'adénome de Conn comportent : A - L'examen tomodensitométrique B - L'artériographie rénale C - Les tomographies des loges rénales D - La radiographie sans préparation de l'abdomen E - La résonance magnétique nucléaire Bonne(s) réponse(s) : A E A, E - Bonne résolution. B - Phlébographie des veines surrénales. C, D - Résolution insuffisante.
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60 Question à compléments multiples.
55 Question à compléments multiples.
Dans le diabète sucré non insulino-dépendant pléthorique il est faux que : A - La pléthore est due au diabète B - Le diabète est souvent une conséquence de la surcharge pondérale C - L'insulinosécrétion est souvent augmentée en valeur absolue D - La mise en route du traitement doit commencer par un régime hypocalorique E - La mise en route du traitement doit commencer par les sulfamides hypoglycémiants
Concernant les comas métaboliques du diabète : A - Le coma céto-acidosique s'installe généralement en quelques minutes B - Dans le coma hyperosmolaire la déshydratation est à prédominance cellulaire C - Dans le coma céto-acidosique, la kaliémie a tendance à augmenter sous l'influence de l'insulinothérapie D - Dans le coma céto-acidosique, la décroissance de la fréquence respiratoire est grossièrement correlée à celle de l'acidose E - Dans le coma hyperosmolaire, le pH sanguin est toujours normal
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : B D A - L'obésité est la cause et non la conséquence du diabète mais il est vrai que l'hyperinsulinémie empêche l'amaigrissement ( traitement par sulfamides ou insuline). B - L'obésité entraîne une insulino résistance, nécessitant une sécrétion accrue d'insuline et démasquant donc les patients incapables d'augmenter leur insulinémie. C - Voir réponse B. D E - Les sulfamides hypoglycémiants ne sont introduits qu'après échec ou contre-indication du régime seul puis associés aux biguanides.
61 Question à compléments multiples.
A - Non, il survient progressivement, en quelques heures ou quelques jours. Par définition, I'hyperosmolarité est le reflet d'une déshydratation intra-cellulaire. Cependant la déshydratation atteint les deux secteurs, intra et extra vasculaires. C - Non, la kaliémie est artificiellement majorée par l'acidose. En fait, la déplétion potassique est importante et est encore aggravée par l'insulinothérapie qui fait rentrer le potassium dans les cellules D - La fréquence respiratoire est proportionnelle à la sévérité de l'acidose, sauf dans les cas extrême où l'acidose est majeure, responsable d'une dépression respiratoire métabolique.
22 Question à complément simple.
Au cours du diabète non insulino-dépendant traité : A - L'autosurveillance glycémique est indispensable B - Le poids est un élément de surveillance capital C - Les sulfamides hypoglycémiants sont contre-indiqués formellement en cas d'insuffisance respiratoire D - Les biguanides agissent essentiellement en faisant sécréter de l'insuline E - Les biguanides sont contre-indiqués en cas d'insuffisance hépatique Bonne(s) réponse(s) : B E
D'après les recommandations de l'organisation Mondiale de la Santé en 1980, on porte le diagnostic de diabète lorsque la glycémie à jeun, mesurée sur du plasma veineux, est trouvée au moins à deux reprises égale ou supérieure à : A - 4,5 mmol/l (0,80 g/l) B - 5,6 mmol/l (1 g/l) C - 6,7 mmol ( 1, 20 g/l) D - 7,2 mmol/l (1,30 g/l) E - 7,8 mmol/l (1,40 g/l) Bonne(s) réponse(s) : E
C - Ce sont les biguanides qui sont contre-indiqués en cas d'insuffisance rénale en raison d'un risque d'acidose lactique lors d'une anoxie tissulaire. D - C'est le cas des sulfamides hypoglycémiants, et non des biguanides. Les biguanides diminuent l'absorption digestive du glucose, la néoglucogénèse hépatique, et, augmente l'utilisation périphérique du glucose. C - Là encore, à cause du risque d'acidose lactique.
107 Question à compléments groupés. Un ou plusieurs des éléments proposés sont exacts. Répondre lequel ou lesquels. Le coma acido-cétosique du diabète comporte : 1 - Hypotonie 2 - Respiration de Küssmaul 3 - Une déshydratation 4 - Un signe de Babinski Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Il existe une différence de 0,2 g/l (1,1 mm/l) entre le plasma veineux et le sang total. (Le dosage sur plasma veineux étant supérieur).
106 Question à complément simple. Toutes les affections suivantes comportent fréquemment un diabète sucré, sauf une. Indiquez laquelle ? A - Acromégalie B - Pancréatite chronique C - Panhypopituitarisme D - Maladie de Cushing E - Phéochromocytome Bonne(s) réponse(s) : C Au contraire, les sujets atteints de panhypopituitarisme ont tendance à faire des hypoglycémies.
Bonne(s) réponse(s) : A 2- En rapport avec l'acidose,à moins que le pH ne soit très bas, responsable alors d'une dépression respiratoire. 3 - Signe fondamental de l'acidocétose, la phase de coma est précédée, plus ou moins longtemps auparavant, d'un syndrome polyuropolydipsique. 4 - Absent, au contraire du coma hypoglycémique où on le retrouve souvent.
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110 Question à compléments groupés.
47 Question à compléments multiples.
Le bon équilibre d'un diabète traité par l'insuline s'apprécie sur : 1 - Hémoglobine glycosylée normale 2 - Absence de cétonurie 3 - Cycle glycémique normal 4 - Chiffre normal de C peptide urinaire. Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
HTA et diabète peuvent être associés en cas de : A - Acromégalie B - Adénome thyroïdien toxique C - Phéochromocytome D - Syndrome de Turner E - Syndrome de Cushing
Bonne(s) réponse(s) : A Le taux de C-peptide sanguin est bas en cas de diabète, par carence insulinique.
20 Question à compléments multiples. Le diabète insipide par carence en ADH se caractérise par : A - Un test de restriction hydrique négatif B - Une réponse positive à la pitressine C - Une élévation de la densité urinaire après restriction hydrique D - Une hyponatrémie en cas de décompensation E - Une hyperosmolarité plasmatique en cas de réduction des boissons Bonne(s) réponse(s) : A B E Le test de restriction hydrique est la principale épreuve diagnostic du diabète insipide : on constate une absence de sécrétion réactionnelle d'ADH : la clairance de l'eau libre reste positive tout au long de l'épreuve. Le risque en est la déshydratation globale majeure.
58 Question à complément simple. Le diabète insipide par carence en ADH se caractérise par : A - Une hyperosmolarité urinaire B - Une hyponatrémie de dilution C - Une polyurie freinable par la restriction des boissons D - Une clairance de l'eau libre négative E - Une hyperosmolarité sanguine par déshydratation en cas de restriction des boissons Bonne(s) réponse(s) : E La clairance de l'eau libre est positive et le reste, lors de l'épreuve de restriction hydrique, mais l'osmolalité urinaire s'élève après l'injection en fin d'épreuve de vasopressine ou de DDAVP.
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Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A. Le diabète est lié surtout à une insulinorésistance et l'HTA à l'hypervolémie circulante. C. Les catécholamines induisent l'HTA et un diabète : a) par augmentation du débit glucosé hépatique par stimulation de la glycogénolyse hépatique (abéta2), du glucose par les muscles (béta2) c) pas stimulation de la glycogénolyse musculaire (béta2) et de la lipolyse (béta1) d) par inhibition de la sécrétion d'insuline et stimulation de la sécrétion de glucagon. E. Le cortisol stimule la production hépatique de glucose et induit une insulinorésistance périphérique ; son action minéralocorticoïde et favorisant la sécrétion d'angiotensinogène pourrait expliquer l'HTA. D. Le syndrome de Turner fait partie des nombreux syndromes génétiques causes de diabètes secondaires ; l'hypertension artérielle est fréquente avec ou sans coarctation. B. L'intolérance aux hydrates de carbone est plus fréquente que le diabète vrai dont l'incidence est de 2 ou 3 % lors de la thyrotoxicose. L'hyperthyroïdie aggrave le diabète pré-existant, en raison de l'élévation de l'absorption glucosée et du raccourcissement de la demi-vie plasmatique de l'insuline. L'hyperthyroïdie entraîne une HTA systolique.
52 Question à compléments multiples. Le coma hyperosmolaire du diabète sucré : A - Survient presque exclusivement sur un terrain de diabète insulino-dépendant B - S'installe généralement en quelques heures C - Se traduit par une déshydratation à maximum cellulaire D - Ne s'accompagne jamais d'acidose E - Est de pronostic en moyenne plus favorable que le coma céto-acidosique Bonne(s) réponse(s) : C Le coma hyperosmolaire possède un début insidieux progressif sur plusieurs jours et survient dans 95 % des cas chez des diabétiques non insulinodépendants. D. cf commentaire[205].
37 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes concernant les complications du diabète sucré, une est fausse. Laquelle ? A - La neuropathie diabétique peut être pseudo-tabétique B - L'hypotension orthostatique est une des formes cliniques de la neuropathie diabétique C - La cataracte endocrinienne est spécifique du diabète D - Les artères du diabétique peuvent être le siège de calcifications (médiacalcose) E - La maladie de Dupuytren est plus fréquente chez le diabétique Bonne(s) réponse(s) : C Les hypoparathyroïdies et pseudohypoparathyroïdies sont d'autres causes endocriniennes. La cataracte au cours du diabète est volontiers sous capsulaire postérieur.
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98 Question à complément simple.
54 Question à complément simple.
Un diabète peut être secondaire aux maladies endocriniennes suivantes, sauf une. Indiquez laquelle ? A - Acromégalie B - Phéochromocytome C - Syndrome de Conn D - Syndrome de Cushing E - Adénome chromophobe de l'hypophyse
Quelle est la proposition, parmi les suivantes, qui permet de dire avec certitude qu'un sujet a un diabète sucré ? A - Présence d'une glycosurie B - Présence d'une cétonurie C - Glycémie a jeun à 1,30 g/l (7,22 mmol/l) D - Glycémie a jeun à 1,20 g/l (6,67 mmol/l) s'élevant à 1,80 g/l (10 mmol/l) une heure après l'absorption de 75 g de glucose E - Glycémie à jeun à 1,20 g/l (6,67 mmol/l) s'élevant a 2,20 g/l (11,67 mmol/l) deux heures après l'absorption orale de 75 g de glucose
Bonne(s) réponse(s) : E Cf commentaire [207]
Bonne(s) réponse(s) : E
109 Question à complément simple. Dans les propositions suivantes concernant le diabète insipide vrai, toutes les propositions sont exactes, sauf une. Laquelle ? A - L'osmolalité urinaire est inférieure à l'osmolalité plasmatique B - Les urines sont hypodenses avec une clairance de l'eau libre positive C - L'epreuve de restriction hydrique est bien supportée D - L'épreuve à la post-hypophyse est positive (concentration urinaire) E - Il peut survenir après un traumatisme crânien Bonne(s) réponse(s) : C Evident.
44 Question à complément simple. Le moyen le plus adapté pour le diagnostic entre diabète insipide par lésion hypothalamo-hypophysaire et potomanie ancienne est : A - La mesure de la clairance de l'eau libre B - Le test à la nicotine C - Le dosage de l'ADH D - L'epreuve de déconditionnement E - Le test au Minirin (1 di amino 8 D arginine vasopressine) Bonne(s) réponse(s) : D La potomanie suscite après un certain temps d'évolution un diabète insipide induit par mise au repos de l'appareil neurohypophysaire sous l'effet d'une hypotonie plasmatique. Le principe de l'épreuve de déconditionnement est l'emploi initial d'extraits post-hypophysaires et la substitution progressive de placébo : si la polyurie disparaît, le diagnostic de potomanie est posé ; si la polyurie ne se modifie pas du tout, il s'agit d'un diabète insipide organique vrai ; si la polyurie s'améliore incomplètement, il peut s'agir d'un diabète insipide vrai partiel ou avec composante de potomanie.
22 Question à complément simple. Chez le diabétique, sans autre facteur de risque vasculaire que son diabète la localisation la plus fréquente de la maladie artérielle est : A - Aortique B - Fémorale profonde C - Fémorale superficielle D - Jambière E - Coronarienne
On parle de diabète si par la technique à la glucose oxydase sur plasma veineux on obtient deux glycémies à jeun > 7,7 mmoles/l ou si lors de l'HGPO, la glycémie à jeun est < 7 mmole/l mais > à 11 mmoles/l à la deuxième heure. L'intolérance aux hydrates de carbone est définie par une glycémie entre 7,7 et 11 mmoles/l à la deuxième heure de l'HGPO.
98 Question à compléments multiples. A propos des complications dégénératives du diabète sucré, il est exact que : A - Le mal perforant plantaire du diabète est très douloureux B - La survenue d'altérations du fond d'oeil est sans rapport avec l'équilibre du diabète C - La nécrose papillaire témoigne d'une néphropathie interstitielle très sévère D - Les accidents cardiaques des diabétiques sont souvent coronariens E - L'éjaculation rétrograde est une complication neurovégétative classique du diabète Bonne(s) réponse(s) : D E Les maux perforants plantaires comme l'ostéoarthropathie diabétique sont insensibles. La survenue de la microangiopathie diabétique est bien corrélée à l'équilibre glycémique. L'éjaculation rétrograde est liée à une atteinte sympathique du sphincter interne. La nécrose papillaire est la séquestration ischémique en règle de papille rénale en aval de la jonction cortico-médullaire ; elle est associée dans la moitié des cas à une glomérulosclérose, et est favorisée par l'infection, l'ischémie rénale et l'obstruction.
78 Question à complément simple. Quelle est la variété la plus fréquente du diabète sucré : A - Diabète non insulino-dépendant de l'obèse B - Hémochromatose C - Diabète insulino-dépendant D - Diabète secondaire à une endocrinopathie extrapancréatique (acromégalie, cushing - etc...) E - Diabète secondaire à une pancréatite calcifiante Bonne(s) réponse(s) : A A - L'obésité est présente dans 60 à 80% des diabètes non insulinodépendants. C - Représente 15% des diabétiques en France.
Bonne(s) réponse(s) : E Cf commentaire [237]
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19 Question à compléments multiples.
29 Question à compléments multiples.
Concernant le diabète non insulino-dépendant : A - Le Glutril® est un sulfamide hypoglycémiant B - L'acidose lactique est une complication du traitement par les sulfamides hypoglycémiants C - Le Glucophage retard® n'entraîne pas d'accidents hypoglycémiques D - L'association sulfamide hypoglycémiant-biguanide est contre-indiquée E - La grossesse contre-indique l'usage des antidiabétiques
Parmi les antigènes du groupe HLA suivants, quel est celui (ou quels sont ceux) qui prédispose(nt) au diabète insulinodépendant : A-B7 B-B8 C - B 14 D - DR 2 E - DR 4 Bonne(s) réponse(s) : B E
Bonne(s) réponse(s) : A C E 95 % des sujets diabétiques de type I sont HLA DR3 ou DR4. L'association HLA B8 est liée à l'association DR3 et HLA B8.
A - Action intermédiaire (12 heures). B - Complication des biguanides. C - Les biguanides ne jouent pas sur l'insulinosécrétion. D - Association parfois proscrite si échec d'une monothérapie. E - Tératogènes chez l'animal.
23 Question à complément simple.
38 Question à complément simple. Une seule des affirmations suivantes concernant le diabète insipide (Dl) est vraie. Laquelle ? A - Le Dl est fréquent après adénomectomie hypophysaire par voie nasale B - Le Dl idiopathique est très rare C - La lésion neuro-hypothalamique tumorale primitive la plus fréquente à l'origine d'un Dl est le glioblastome D - Le Dl familial central est rare : moins de 1 % de l'ensemble des Dl E - Le Dl est fréquent dans les tumeurs hypophysaires sans expansion supra-sellaire
Un diabète modéré et non cétosique survenant chez une femme enceinte de poids normal, peut être traité par : A - Les sulfamides hypoglycémiants de durée de demi-vie courte B - N'importe quels sulfamides hypoglycémiants C - Les biguanides D - L'insuline E - Un régime à l'exception de toute thérapeutique médicamenteuse Bonne(s) réponse(s) : D Les antidiabétiques oraux sont contre-indiqués durant la grossesse. E - Item mal formulé car un régime seul peut être préconisé si le diabète est modéré ; mais il faut exiger un équilibre glycémique strict sinon l'insulinothérapie s'impose.
Bonne(s) réponse(s) : D A - Pas très fréquent lors des interventions par voie transphénoïdale et alors généralement transitoire. B - Représente 25 à 50% des diabètes insipides acquis. C - Crâniopharyngiome. D - Le diabète insipide néphrogénique congénital est par contre plus fréquent (par insensibilité du tubule rénal à l'ADH). E - Le diabète insipide est exceptionnel dans les adénomes non opérés.
51 Question à compléments multiples.
113 Question à compléments multiples. Le diabète insipide par déficit en ADH est caractérisé par : A - Une glycosurie B - Une hyponatrémie lors de la restriction hydrique C - Une acidose métabolique D - Une pitresso-sensibilité E - Une étiologie tumorale probable si s'associe un retard statural Bonne(s) réponse(s) : D E
Peut(peuvent) être à l'origine d'un diabète insipide : A - Une hypocalcémie B - Une hyperkaliémie C - Une glomérulopathie D - Une sarcoïdose E - Aucune de ces causes
B - Au contraire hémoconcentration avec deshydratation intracellulaire par perte du pouvoir de concentration des urines. D - A la différence du diabète insipide néphrogénique.
6 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : D A, B - Le diabète insipide néphrogénique peut s'observer dans les hypercalcémies et les hypokaliémies importantes par néphropathies secondaires. C - Non, à la différence de certaines néphropathies interstitielles chroniques. D - Central par localisation hypothalamo-hypophysaire ou néphrogénique par hypercalcémie.
Parmi les propositions suivantes, indiquez celle(s) qui est (sont) exacte(s) : Lors de la découverte d'un diabète non insulino-dépendant de la cinquantaine, on peut observer comme complication(s) : A - Une rétinopathie B - Une insuffisance rénale C - Une artérite des membres inférieurs D - Une insuffisance coronaire E - Une HTA Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le diagnostic du diabète non-insulino dépendant est souvent tardif par rapport au début de l'hyperglycémie chronique. Ceci explique la présence possible de complications du diabète lors de sa découverte.
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7 Question à compléments multiples.
75 Question à complément simple.
Parmi les pertubations (hormonales, métaboliques, enzymatiques) suivantes, laquelle (lesquelles) jou(en)t un rôle dans l'hyperglycémie du diabète non encore traité ? A - Un déficit absolu ou relatif en insuline B - Une moindre efficacité de l'insuline C - Un déficit absolu ou relatif en acylcarnitine transferase hépatique D - Une augmentation de la néo glucogénèse E - Une augmentation de la production glucosée hépatique
Dans l'interprétation de l'H.G.P.O, quel chiffre de glycémie du plasma veineux retenez-vous 2 heures après l'ingestion de glucose pour affirmer le diagnostic de diabète ? A - 7,30 mmol/l B - 9,40 mmol/l C - 10 mmol/l D - 11,50 mmol/l E - Aucune des valeurs précités Bonne(s) Réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B D E Valeur de l'OMS est supérieure ou égale à 11 mmol/I. A - Surtout dans le diabète de type I. B - Insulinorésistance. D, E - Anomalies clairement démontrées dans le diabète de type II.
78 Question à complément simple. 9 Question à compléments multiples.
Sur laquelle des propositions suivantes, le diagnostic de diabète sucré est-il affirmé ? A - Les seules données cliniques B - L'existence d'une glycosurie C - L'existence d'une cétonurie D - La notion d'une hyperglycémie à jeun constatée à 3 reprises E - Aucune de ces 4 propositions. Il est nécessaire de réaliser une HGPO
Un diabète peut être secondaire à : A - Un phéochromocytome B - Une hyperparathyroïdie C - Une insuffisance surrénale D - Une acromégalie E - Un syndrome de Cushing Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) Réponse(s) : D
A - Lié à l'accès de catécholamines, hormones hyperglycémiantes. B - L'hyperparathyroïdie n'est pas associé au diabète. Cependant un hyperinsulinisme secondaire à l'hypercalcémie peut s'observer chez ces patients. D - S'accompagne dans 60 à 70 % des cas d'un trouble de la tolérance glucidique et dans 6 à 25 % des cas d'un diabète. Références : Diabetes Mellitus par H. Rifkin chez Elsevier.
Les critères OMS permettant de porter le diagnostic de diabète sucré sont : - glycémie à jeun supérieure ou égale à 7,7 mmol/l (1,4 g/l) ou post prandiale supérieure ou égale 11,1 mol/l (2 g/l) sur plasma veineux.
4 Question à compléments multiples. Quel est (quels sont) le(s) facteur(s) de risque cardiovasculaire fréquemment associé(s) au diabète non insulinodépendant ? A - L'obésité B - La goutte C - Le stress D - L'HTA E - L'hyperlipidémie Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Un homme de 24 ans sans antécédents familiaux ou personnels particuliers vous est adressé pour un amaigrissement de 8 kg en 3 mois. L'interrogatoire met en évidence : - un syndrome polyuro-polydipsique installé depuis 3 semaines - une asthénie physique sans anorexie - des vomissements alimentaires depuis 48 heures. L'examen somatique retrouve : - un poids de 59 kgs pour une taille de 1,77 m - une TA à 12/7 cm de Hg aux deux bras - un état d'hydratation correct alors que l'examen systématique se révèle par ailleurs tout à fait normal. L'enquête alimentaire objective des apports spontanés à 3120 Kcal/jour dont 390 g de glucides, 120 g de lipides et 120 g de protéines. Les premiers examens biologiques fournissent les éléments suivants : - glycosurie au clinitest à + + + + - glycosurie des 24 heures à 130 g soit 990 mM - glycémies à jeûn des trois jours précédents : 2,27 g/l soit 12,5 mM/l, 2,94 g/l soit 16,1 mM/l, 1,76 g/l soit 9,7 mM/l - acétonurie a l'Acétest à + +.
B - N'est pas un facteur de risque cardio-vasculaire bien que souvent présent chez le DNID en surpoids.
79 Question à complément simple. 5 Question à compléments multiples. Indiquer les autres facteurs étio-pathogéniques susceptibles de jouer un rôle dans l'apparition d'un diabète non insulinodépendant : A - L'obésité B - Une prédisposition héréditaire liée au système HLA C - Des mécanismes auto-immuns D - Certains virus E - Un déficit en glucose 6 phosphatase
Une des propositions suivantes est en faveur du caractère insulinodépendant de ce diabète : laquelle ? A - L'absence d'antécédents infectieux récents B - L'importance des valeurs glycémiques C - L'importance de la glycosurie D - L'absence de déshydratation massive E - La présence de corps cétoniques dans les urines Bonne(s) Réponse(s) : E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B, C, D - Sont incriminés dans le diabète insulino-dépendant.
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57 Question à compléments multiples.
60 Question à compléments multiples.
Parmi les facteurs suivants, le(s)quel(s) est(sont) susceptible(s) d'avoir joué un rôle dans la montée récente du diabète ? A - Facteurs psychologiques liés à la retraite B - Diminution de l'activité physique C - Relâchement du régime alimentaire D - Prise de poids survenue depuis 1 an E - Traitement hypotenseur
Pour rééquilibrer ce diabète, vous allez conseiller à ce malade : A - Un régime pratiquement sans glucides B - Un régime hypocalorique global C - La reprise progression d'un exercice physique adapté D - Une augmentation des doses d'hypoglycémiants oraux E - Un passage à l'insulinothérapie Bonne(s) Réponse(s) : B C
Bonne(s) Réponse(s) : A B C D Le régime et l'exercice physique sont les bases du traitement du DNID. Le Catapressan®, ainsi que les autres antihypertenseurs centraux, ne modifie pas l'équilibre glycémique, au contraire des diurétiques (Lasilix®thiazidiques). Les béta-bloquants ne déséquilibrent pas un diabète mais doivent être employés avec prudence (béta-bloquants cardiosélectifs) car ils masquent les signes d'hypoglycémie. Une femme de 75 ans, traitée depuis deux ans pour un diabète, est retrouvée chez elle à midi par sa fille qui l'avait quittée à 8 h, avant qu'elle prenne son petit déjeuner, mais après avoir pris ses médicaments habituels et une dragée de Trinitrine®, car elle ne se sentait pas très bien. Le médecin appelé fait le diagnostic de coma hypoglycémique et pratique une injection intraveineuse de sérum-glucosé qui réveille aussitôt la malade. Celle-ci continue son traitement habituel mais s'alimente légèrement. L'interrogatoire nous apprend que le malaise a dû survenir de façon assez brutale sans aucun prodrome classique habituel : pas de palpitation, pas de transpiration, mais chute relativement brutale dans sa cuisine. Le lendemain matin, à 8 h, le médecin est rappelé pour récidive du coma et il adresse la malade à l'hôpital. A l'arrivée, un bilan d'urgence est pratiqué qui montre une glycémie à 1,6 mmol/l, une urée à 14 mmol/l, une creatininémie à 200 mmol/l. Le bilan neurologique et vasculaire est strictement normal, en dehors d'une hypertension artérielle à 16/9. La malade est aussitôt traitée par sérum-glucosé et reprend très rapidement conscience. Il s'agit d'une femme de 86 kgs pour 1m63 qui présente son ordonnance habituelle et celle-ci comporte : - un régime hypocalorique hypoglucidique mal suivi. - Avlocardyl® 40 : 2/jour. - Daonil® : 1 comprimé le matin, midi et soir, de prescription récente - Catapressan® : 1 comprimé et demi par jour - digitaliques : 5 Jours par semaine. Le diagnostic de son médecin traitant était celui de diabète non insulinodépendant chez une obèse avec hypertension artérielle relativement importante associée à une coronarite et à une insuffisance cardiaque modérée.
61 Question à compléments multiples. Pour surveiller dans l'avenir l'équilibre de son diabète, vous lui conseillez de : A - Ne rien changer à ce qu'il faisait B - Lors des contrôles glycémiques, faire en pus une glycémie post-prandiale C - Doser tous les 3 à 6 mois l'hémoglobine A1C D - Faire tous les ans une hyperglycémie provoquée par voie orale E - Faire tous les ans un dosage d'anticorps anti-insuline Bonne(s) Réponse(s) : B C Il faut aussi conseiller au patient de surveiller ses glycémies capillaires.
6 Question à compléments multiples. L'argument (les arguments) suivant(s) permet(tent) d'affirmer le diagnostic de diabète chez ce patient : A - La glycémie à jeun est à deux reprises à 7,80 mmol/l B - Il est obèse C - Il est obèse donc en hypo insulinisme D - Il est obèse donc il a probablement une pancréatite chronique E - La glycémie à 30 mn lors de l'HGPO est supérieure à 11 mmol/l Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
58 Question à compléments multiples. Pour faire le point du diabète de ce malade, il est utile de demander : A - Un dosage d'insuline et de C-peptide B - Un fond d'oeil C - Une recherche de protéinurie D - Une urographie intraveineuse E - Un dosage de cortisol et d'ACTH Bonne(s) Réponse(s) : A B C B C - Sont effectués dans le cadre de la surveillance des complications du diabète. A - Dosage apportant peu de renseignements, car il ne présente pas de signes de carence en insuline = réponse litigieuse.
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Le bilan biologique systématique d'un homme de 55 ans, pesant 91 kg pour 170 cm et dont l'examen clinique est normal, met en évidence une glycémie à jeun dans le plasma veineux de 7,80 mmol/l (chiffre confirmé par un second examen dans les mêmes conditions). L'épreuve d'hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO), faite avec 75 g de glucose dilués dans 350 ml d'eau, donne les résultats suivants : - au temps O = 7,90 mmol à - à 30 minutes = 13,70 mmol/l - à 60 minutes = 12,50 mmol/l - à 90 minutes = 12,30 mmol/l - à 120 minutes = 11,50 mmol/l. Entre chaque prélèvement sanguin réalisé avec une nouvelle aiguille, le sujet est allé à son domicile, situé à 300 mètres du laboratoire. Le Peptide C à jeun est de 1,50 nmol/l et de 2,60 nmol/laprès stimulation par le glucagon (valeurs normales : 0,6 nmoI/I à jeun et 1,50 nmol/l après stimulation). La cholestérolémie est de 7 mmol/l, la triglycéridémie de 2,50 mmol/l
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7 Question à compléments multiples.
6 Question à complément simple.
Il s'agit d'un diabète : A - Insulino-dépendant B - Non insulino-dépendant C - Dont le diagnostic ne peut être affirmé qu'après HGPO D - Avec insulinorésistance E - Dont le diagnostic ne peut être affirmé qu'après dosage du peptide C
Après lecture de cette observation, quelle est l'étiologie probable de ce diabète qui a débuté dans l'enfance ? Une seule des propositions suivantes est exacte. Laquelle ? A - Diabète gestationnel B - Diabète de type II, non insulino-dépendant, à début précoce (type M.O.D.Y.), devenu rapidement insulinorequérant C - Diabète de type I, juvénile, insulinoprive et insulinodépendant D - Diabète nutritionnel, par malnutrition au cours de la première enfance E - Diabète endocrinien, d'origine hypophysaire ou surrénalienne
Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
8 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : C
A partir de quel chiffre de glycémie du plasma veineux dans l'épreuve d'HGPO à 120 minutes peut-on affirmer le diagnostic de diabète ? A - 7 mmol/l B - 8 mmol/l C - 9 mmol/l D - 11 mmol/l E - 13 mmol/l Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
56 Question à compléments multiples. Les manifestations abdominales de cette jeune fille pouvaient correspondre à un syndrome pseudoappendiculaire en relation avec la décompensation du diabète sucré. Parmi les signes suivants, quel est celui ou quels sont ceux qui ne pouvai(en)t pas être en rapport avec l'appendicite aiguë ? A - Soif antérieure à l'épisode aigu B - Douleurs abdominales C - Vomissements D - Hyperthermie modérée E - Dyspnée Bonne(s) réponse(s) : A E A. Par déshydratation. D. Provoquée par l'acidose lors de cette décompensation diabétique.
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A - Le diabète gestationnel survient chez la mère durant la grossesse. B - Le diabète "M.O.D.Y." survient plus tard et n'est pas insulinodépendant d'emblée. C - Tableau typique. D - Ne donne pas un diabète d'emblée insulino-dépendant. E - Habituellement non insulino-dépendant et tableau différent. Une jeune femme de 26 ans, d'origine française, est atteinte d'un diabète sucré depuis l'âge de 5 ans. Le diabète a été révélé par une céto-acidose et depuis elle est insulino-traitée. La malade a été réglée à l'âge de 14 ans et depuis elle conserve des cycles réguliers. Elle ne se connaît pas d'antécédents familiaux de diabète. Elle poursuit depuis de nombreuses années la même insulinothérapie. Elle fait chaque matin, avant le petit déjeuner, toujours la même dose d'insuline, soit une injection souscutanée de 40 unités d'une insuline lente au zinc. Elle change chaque jour le lieu d'injection de l'insuline : cuisse, abdomen et bras Le matin, la glycémie à jeun est voisine de 2 g/l (11,12 mmol/l). Elle a parfois des hypoglycémies en fin de matinée, qu'elle perçoit bien et qu'elle corrige par absorption de sucre. Elle a une activité physique variable d'un matin à l'autre. Elle pèse 54 kg pour une taille de 1 m 65. Elle a réduit son apport glucidique à 130 g/j pour éviter d'être glycosurique. Elle prend uniquement du fromage lors de ses collations ; midi et soir, l'apport est riche en viande et en oeufs. A l'examen, la TA est à 16/10 en position debout et couchée, les pouls périphériques sont bien perçus, les réflexes achilléens sont absents, il n'y a pas de trouble du rythme cardiaque, le transit digestif est normal. Au fond d'oeil il existe quelques microanévrysmes et des exsudats ponctués ; l'acuité visuelle est normale. Vue récemment par un diabétologue, il a été demandé les explorations biologiques suivantes : - présence d'une microalbuminurie à 150 mg/l - taux d'hémoglobine glycosée HbAl à 13 % (N : 5 à 8) - créatinine plasmatique à 10 mg/l - cholestérol à 2,80 g/l - triglycérides à 2,50 g/l Cette jeune femme est adressée en hospitalisation car, mariée depuis peu, elle désire une grossesse. Elle n'est pas inscrite à une association de diabétiques et n'a jamais mesuré sa glycémie sur sang capillaire au moyen d'une bandelette hémoréactive. Elle n'a pas actuellement de moyen contraceptif.
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7 Question à complément simple.
49 Question à compléments multiples.
Que pensez-vous de l'équilibre du diabète, de sa thérapeutique et de sa diététique ? Une seule des propositions suivantes est exacte. Laquelle ? A - L'alimentation est hyperlipidique B - La ration glucidique est suffisante C - Le diabète est équilibré D - Le type d'insuline utilisé est adapté aux besoins du diabète E - Le schéma d'injection de l'insuline est valable
Quel(s) résultat(s) attendre de l'épreuve de restriction hydrique dans le cas d'un diabète insipide ? A - A la 8ème heure : le poids a diminué de 200 g et la TA est passée de 13 à 12 B - A la 6ème heure la densité urinaire passe de 1001 à 1002 C - Pas de modification du poids et de la TA après l'épreuve D - Hyperthermie et polyurie pendant la restriction E - Pas d'intérêt à réaliser cette épreuve
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : B D A, B - La patiente n'étant pas en surcharge pondérale, doit suivre un régime normo-calorique (1600 à 2000 cal/jour). La ration glucidique est donc insuffisante au profit des graisses (viande, oeuf). C - Non, glycémie à jeun : 2g/l et HbA1 = 13%. D, E - Mauvais équilibre glycémique justifiant une insulinothérapie reposant sur 2 voire 3 injections par jour d'une insuline semi-lente et/ou rapide.
A - Perte de poids plus importante (polyurie). B - Absence de concentration des urines. D - Déshydratation par polyurie d'où hyperthermie. Surveillance hospitalière indispensable.
50 Question à complément simple.
8 Question à complément simple. Que pensez-vous de ce diabète et de son évolution ? Une seule des propositions suivantes est exacte. Laquelle ? A - Il s'agit d'un vrai diabète instable B - Il existe une neuropathie végétative C - Il existe une rétinopathie proliférante D - Il existe une glomérulopathie diabétique de type Kimmelstiel-Wilson E - Il existe une hypertension artérielle
Quelle est l'épreuve qui permet d'apprécier l'origine néphrogénique du diabète insipide ? A - Test de la restriction hydrique B - Test à la nicotine C - Test à l'éthanol D - Epreuve de surcharge salée E - Test à la post hypophyse ou LVP Bonne(s) réponse(s) : E
A, B - Pas d'arguments dans l'observation. C - Le fond d'oeil montre quelques anomalies pouvant au plus correspondre à une rétinopathie non-proliférante. D - Glomérulopathie à forme nodulaire s'observant à un stade de lésions diffuses avancées. E - HTA à traiter impérativement chez une diabétique présentant un début de rétinopathie et néphropathie.
A - Ne permet pas de différencier un diabète insipide central et néphrogénique. B - Stimule l'ADH (test de Cortes et Ganod) et réduit la diurèse (diagnostic différentiel avec la potomanie). C - Inhibe l'ADH : utilisé dans le syndrome de sécrétion inapproprié d'ADH. D - Augmente l'osmolarité plasmatique et donc l'osmolarité urinaire chez le sujet normal. E - Négativation de la clairance de l'eau libre dans le diabète insipide central, pas d'effet dans le diabète insipide néphrogénique.
47 Question à compléments multiples.
51 Question à compléments multiples.
Quel(s) est (sont) I'(les) examen(s) en faveur d'un diabète insipide ? A - Densité urinaire inférieure à 1005 B - Glycosurie : 200 g/24h C - Calcémie 130 mg - Calciurie très élevée D - Natriurèse inférieure à 20 mEq/24h E - Diurèse des 24 heures supérieure à 3 litres
Les étiologies possibles d'un diabète insipide central comportent : A - Lupus B - Sarcoïdose C - Histiocytose D - Syndrome de Kallmann de Morsier E - Cranio-pharyngiome
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : B C E
A, E - Clairance de l'eau libre positive. B - Diabète sucré. C - Néphropathie calcique. D - Natriurèse fonction des apports.
B, C, E - Connaissances. D - Hypogonadisme hypognadotrope avec anosmie par agénésie du diencéphale.
Bonne(s) réponse(s) : E
Une jeune femme de 35 ans, sans antécédents particuliers sinon un petit accident de la circulation avec simple contusion crânienne, consulte pour une polyurie.
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57 Question à compléments multiples. Le régime (peut-être mal suivi) n'ayant pas permis d'obtenir un équilibre satisfaisant du diabète, vous proposez un traitement médicamenteux. Vous récusez les biguanides parce que : A - C'est un diabète héréditaire B - C'est un diabète avec surcharge pondérale C - Il existe une hépathopathie. Monsieur B. continue à boire du vin en quantité importante D - La créatininémie constitue une contre-indication E - L'uricémie constitue une contre-indication Bonne(s) réponse(s) : C D B - Au contraire, c'est l'indication de choix. C - Contre-indication relative en l'absence d'insuffisance hépatique mais association à l'alcool déconseillée. D - Contre-indication absolue car risque d'acidose classique.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
A la suite d'une chute de cheval, une jeune femme présente un traumatisme crânio-facial sans perte de connaissance avec impact au niveau du menton. L'examen neurologique est normal. On trouve une limitation d'ouverture buccale et un trouble d'articulé dentaire avec contact molaire prématuré droit. De quelle fracture peut-il s'agir?
Parmi ces paramètres, quel est celui qui vous manque pour calculer la spécificité d'un test de dépistage, si vous connaissez le nombre de faux positifs obtenus avec ce test?
A - Fracture de l'apophyse coronoïde de la mandibule B - Fracture de l'arcade zygomatique C - Fracture de l'étage antérieur de la base du crâne D - Fracture mandibulaire de la région symphysaire E - Fracture du condyle mandibulaire droit
A - Nombre de faux négatifs B - Prévalence de la maladie C - Effectif total de l'échantillon D - Nombre de vrais négatifs E - Nombre de vrais positifs Bonne(s) réponse(s) : D IR : 4/88. Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : E Déjà tombé en IR : 7/88 Devant l'impact au niveau du menton, il faut rechercher systématiquement une fracture condylienne et une fracture symphysaire ou parasymphysaire. Mais le trouble de l'articulé et le contact molaire prématuré évoquent la fracture condylienne.
Question à complément simple. Un homme de 50 ans, obèse, connu pour avoir des poussées d'arthrite goutteuse, s'est plaint récemment d'une crise douloureuse du flanc droit. Sa fonction rénale est normale, l'échographie met en évidence un calcul de 1,5 cm du rein gauche sans distension pyélocalicielle, l'ASP ne montre aucune calcification. Quel traitement faut-il envisager?
Question à complément simple. Dans l'attente du résultat des examens réclamés, après vous être assuré de l'absence d'allergie connue aux antibiotiques, quel traitement proposez-vous en première intention? A - Erythromycine IV + Tétracycline per os B - Péfloxacine per os C - Amoxicilline per os D - Pénicilline G IV + Nétilmycine lM x 2 E - Vancomycine IV Bonne(s) réponse(s) : D Association (indispensable) active sur ce germe. L'antibiothérapie n'est pas urgente. Elle sera instaurée après les prélèvements bactériologiques et l'échocardiographie, si le diagnostic d'endocardite subaiguë paraît le plus vraisemblable.
A - Lithotritie extra-corporelle B - Néphrolithotomie percutanée C - Montée d'une sonde dans le rein pour réaliser une irrigation par bicarbonate D - Cure de diurèse par boissons alcalines E - Cure de Zyloric® Bonne(s) réponse(s) : D E : Doit être associé, mais il s'agit d'un QCM simple. A, B, C : Actuellement patient asymptomatique.
Question à compléments multiples. L'existence de résistance plasmidique est connue pour : A - L'ampicilline B - Les aminosides C - L'érythromycine D - La rifampicine E - Les quinolones Bonne(s) réponse(s) : A B C Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. La rupture rétropéritonéale d'un anévrisme aorto-iliaque préalablement connu doit être évoquée en cas de : A - Douleurs lombaires vives B - Signes de choc C - Anémie D - Souffle abdominal continu à renforcement systolique E - Hémorragie digestive haute Bonne(s) réponse(s) : A B C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Devant une perte de connaissance chez un diabétique traité, indiquez le ou les notion(s) en faveur d'une hypoglycémie? A - Insulinothérapie B - Mydriase bilatérale C - Crise convulsive D - Sueurs E - Agitation Bonne(s) réponse(s) : A C D E : Le coma hypoglycémique est habituellement calme. Mais de toutes façons, toute perte de connaissance, tout trouble du comportement chez un diabétique traité par insuline ou sulfamide hypoglycémiant est une hypoglycémie jusqu'à preuve du contraire.
Question à compléments multiples. Un malade porteur d'un myélome connu, insuffisant rénal, en traitement polychimiothérapique discontinu, présente 10 jours après sa dernière cure, une fièvre à 39°C avec frissons. L'hémogramme montre une leucopénie à 2 200 dont 10 % de polynucléaires. Vous pensez que : A - Fièvre et leucopénie sont probablement liées B - La leucopénie est probablement secondaire au traitement C - La leucopénie est probablement en rapport avec une poussée de la maladie D - La fièvre impose la réalisation d'hémocultures E - Le malade doit être hospitalisé en secteur stérile Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
Question à complément simple. Indiquer parmi les signes suivants, celui qui, en présence d'une plaie d'un doigt permet de reconnaître l'existence d'une section du nerf collatéral : A - Extrémité digitale froide B - Absence de mobilité active en flexion du doigt C - Perte de la sensibilité d'une hémipulpe D - Perte de l'extension active de la 2ème et 3ème phalange E - Hyperesthésie pulpaire Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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54 Question à compléments multiples.
70 Question à compléments multiples.
Quelle(s) manifestation(s) peut(vent) être observées au cours d'un phéochromocytome ? A - Une courbe d'HGPO plate B - Une hypotension orthostatique C - Une mort subite par collapsus cardiovasculaire D - Une baisse de la tension artérielle après administration de sulpiride (Dogmatil®) E - L'association à une neurofibromatose de Recklinghausen
L'hypertension du phéochromocytome . A - Peut être permanente B - S'accompagne d'un diabète biologique C - Comporte une volémie élevée D - Peut s'accompagner de crises d'extra-systoles E - Peut s'accompagner de céphalées
Bonne(s) réponse(s) : B C A - Au contraire, intolérance aux hydrates de carbone fréquente B - En rapport avec une hypovolémie, très fréquente, elle-même due à l'hypertonie artérielle sympathique C - Conséquence de B, peut se voir à l'occasion d'une intervention chirurgicale ou d'un traumatisme D - Aucun rapport. E - Cette proposition devrait être retenue, puisqu'elle est associée à 5% des phéocromocytomes.
30 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A C E B - Evocatrice d'hyperaldostéronisme primaire. C - En rapport avec l'hypovolémie; très évocatrice de phéochromocytome chez un hypertendu non traité. D - Evocateur d'HTA rénovasculaire. E - La neurofibromatose de Recklinghausen touche 5% des sujets porteurs de phéochromocytome.
Le syndrome de Sipple est l'association d'un phéochromocytome avec : A - Une tumeur du corpuscule carotidien B - Un cancer médullaire de la thyroïde C - Un insulinome pancréatique D - Une neurofibromatose E - Un adénome antéhypophysaire Bonne(s) réponse(s) : B B - Ou néoplasie endocrinienne multiple de type II, il associe : - phéochromocytome - cancer médullaire de la thyroïde - hyperparathyroïdie dans 50% des cas.
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A - Elle est le plus souvent permanente (60 %), avec ou sans crises paroxystiques surajoutées. B - Intolérance aux hydrates de carbone par : - diminution de la libération d'insuline, médiée par les récepteurs alphaadrénergiques - augmentation de la production hépatique de glucose, médiée par les récepteurs bétaadrénergiques. C - Au contraire, hypovolémie souvent responsable d'une hypotension orthostatique. D - Divers types de troubles du rythme peuvent s'observer par un effet adrénergique. E - C'est le symptôme le plus fréquent, présent dans 80% des cas.
113 Question à compléments multiples.
Au cours d'une hypertension artérielle (180-120 mmHg) le diagnostic de phéochromocytome est suggéré par la constatation de : A - Accès sudoraux B - Crampes musculaires C - Hypotension orthostatique D - Souffle épigastrique E - Taches cutanées café au lait
10 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A B D E
Pour le traitement d'un phéochromocytome malin inopérable, il est inutile de recourrir à : A - Radiothérapie B - Traitement par alpha-méthylparatyrosine C - Traitement par corticostéroïdes D - Chimiothérapie antimitotique E - Traitement par bêta-bloquants Bonne(s) réponse(s) : A C D B - Inhibe la synthèse des catécholamines, en bloquant l'hydroxylation de la tyrosine en Dopa, à la dose de 1 à 4 g par jour E - A ne donner qu'après administration d'alpha-bloquant car il y a un risque de crise hypertensive, cela, par bloquage de la vasodilatation médiée par les récepteurs béta Les bétabloquants sont utiles contre les troubles du rythme et la tachycardie.
97 Question à complément simple. Parmi les éléments biologiques suivants concernant le phéochromocytome, tous sont vrais, sauf un : Lequel ? A - Elévation du taux de l'AVM (acide vanyl mandélique) urinaire B - Mauvaise tolérance glucidique avec hyperinsulinisme C - Elévation du taux de l'hématrocrite correspondant à une pseudopolyglobulie D - Possibilité d'hypercalcémie (polyadénomatose) E - Possibilité d'hypokaliémie Bonne(s) réponse(s) : B L'hyperglycémie est possible au cours des phéochromocytomes, mais elle s'associe à une insulinémie normale ou basse (inhibition de la sécrétion d'insuline par les catécholamines). NB: L'hypokaliémie n'est pas de règle mais est possible.
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60 Question à compléments multiples.
33 Question à complément simple.
Une hypertension artérielle paroxystique est d'autant plus évocatrice d'un phéochromocytome que les poussées s'accompagnent : A - D'une sensation de malaise intense B - De sueurs profuses C - De troubles vasomoteurs en particulier au niveau du visage D - D'une bradycardie E - De céphalées
Au cours d'une poussée de phéochromocytome on peut constater : A - Une bradycardie sinusale B - Une diarrhée motrice C - Une vasodilatation périphérique D - Un ralentissement psychomoteur E - Aucun de ces signes
Bonne(s) réponse(s) : A B C E Avec la classique triade associant: céphalées, palpitations, sueurs et pâleur. HTA paroxystique, douleurs thoraciques constrictives, angoisse, tremblements.
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
5 Question à compléments multiples. Un phéochromocytome peut être associé à : A - Une neurofibromatose B - Une hyperparathyroïdie primitive C - Un cancer médullaire de la thyroïde D - Des névromes muqueux E - Une angiomatose rétino-cérébelleuse
18 Question à compléments multiples. Parmi les signes suivants, le(s) quel(s) oriente(nt), à l'interrogatoire d'un hypertendu, vers un diagnostic de phéochromocytome ? A - Céphalées par poussées B - Polyurie C - Crises sudorales D - Douleur constrictive thoracique E - Palpitations
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Dans le cadre du NEM : type IIa (syndrome de Sipple) associant hyperparathyroïdie, cancer médullaire de la thyroïde, phéochromocytome ; NEM type IIb associant cancer médullaire de la thyroïde, névromes muqueux, anomalies de squelette au phéochromocytome (syndrome dysmorphique). Il existe une forme associée à la maladie de Von-LippelLindau.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E Sans commentaire.
86 Question à complément simple.
117 Question à compléments multiples. Indiquez, parmi les suivants, le(s) élément(s) permettant d'affirmer formellement la malignité d'un phéochromocytome : A - Existence de plusieurs localisations au niveau d'organes chromaffines B - Présence de tumeurs endocriniennes multiples C - Hypervascularisation anarchique à l'artériographie D - Anomalies cytonucléaires à l'histologie E - Métastases à distance des zones chromaffines Bonne(s) réponse(s) : E Les données histologiques n'ont pas de valeur formelle.
En présence d'une hypertension artérielle, il faut penser à la possibilité d'un phéochromocytome dans toutes les circonstances suivantes, sauf une, laquelle ? A - Une hypertension artérielle associée à des taches cutanées "café au lait" B - Une hypertension permanente avec paroxysmes hypertensifs C - Une hypertension artérielle avec hypokaliémie et alcalose métabolique D - Une hypertension artérielle avec accès de céphalées et de sueurs E - Une hypertension artérielle avec accès d'hypotension artérielle orthostatique Bonne(s) réponse(s) : C L'HTA avec hypokaliémie et alcolose métabolique doit faire évoquer un hyperaldostéronisme primaire. Le phéochromocytome peut être associé à des phacomatoses, au cancer médullaire de la thyroïde (syndrome de Sipple).
31 Question à compléments multiples. Un phéochromocytome peut être évoqué sur : A - Des malaises associant céphalées, sueurs et palpitations B - Un diabète sucré C - Une hypertension artérielle paroxystique D - Une abolition des pouls fémoraux E - Une hypotension orthostatique Bonne(s) réponse(s) : A B C E Il faut savoir qu'une hypotension orthostatique peut révéler un phéochromocytome et que l'hypertension artérielle paroxystique, quoique classique et évocatrice, ne constitue qu'un des troubles tensionnels possible.
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3 Question à compléments multiples.
7 Question à compléments multiples.
Quel(s) est (sont) le(s) critère(s) de malignité d'un phéochromocytome ? A - L'examen anapath extemporané de la surrénale B - L'examen anapath définitif de la surrénale C - Une deuxième localisation surrénalienne D - Une localisation ganglionnaire E - Une localisation hépatique
Parmi les éléments suivants du tableau clinique indiquez celui(ceux) qui est(sont) particulièrement évocateur(s) du phéochromocytome ? A - Jeune âge de la malade B - Céphalées violentes C - Accès de faiblesse musculaire des membres inférieurs D - Phénomènes de sudation abondante et généralisée E - Accès de vertiges
Bonne(s) réponse(s) : E
3
Bonne(s) Réponse(s) : B D C - Peut correspondre à une localisation multiple d'une phéochromocytome bénin. D - Peut correspondre à une localisation ectopique (paragangliome). E - Le seul critère est la présence de métastase dans un tissu où il n'y a pas de tissu sympathique. Référence : Abrégé d'Endocrinologie par J. Hazard chez Masson.
112 Question à compléments multiples. Lors de l'interrogatoire d'un sujet hypertendu, quel(s) est (sont) le(s) signe(s) qui oriente(nt) vers un diagnostic de phéochromocytome ? A - Céphalées B - Polyurie C - Crises sudorales D - Palpitations E - Crampes musculaires Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
11 Question à complément simple.
Sans commentaire.
Une femme de 30 ans est hospitalisée en raison de la survenue de malaises répétés associant céphalées avec vertiges, des douleurs violentes, abdominales et thoraciques, des crampes musculaires. Ces malaises durent quelques minutes, s'accompagnent de sueurs abondantes, de pâleur généralisée, et s'atténuent progressivement. La mesure de la pression artérielle au cours d'un malaise retrouve des chiffres à 250/130 alors que la pression est à 130/70 en dehors des malaises. Le diagnostic de phéochromocytome est évoqué.
10 Question à complément simple. Les examens effectués ont précisé qu'il s'agissait d'un phéochromocytome de l'organe de Zuckerkandi. Où se trouve-t-il situé ? A - Dans la région pré-coccygienne B - Au niveau du pédicule rénal C - Au niveau de la terminaison aortique D - Dans le médiastin postérieur E - Au niveau de la bifurcation carotidienne Bonne(s) Réponse(s) : C
Au cours d'une hypertension artérielle paroxystique liée à un phéochromocytome le sujet se plaint des symptômes suivants, sauf un. Lequel ? A - Céphalées B - Sudations C - Palpitations D - Douleurs abdominales E - Diarrhée Bonne(s) réponse(s) : E
Ces crises typiques sont présentes dans 30 à 50 % des cas. Le jeune âge du malade est évocateur, mais peut-on dire que c'est un élément particulièrement évocateur
Sans commentaire
11 Question à compléments multiples. Vous recherchez une atteinte associée. Parmi les suivantes, quelles sont les 2 qui sont fréquemment associées au phéochromocytome ? A - Adénome hépatique B - Adénome antéhypophysaire C - Adénome thyroïdien D - Tumeur des ilôts de Langerhans du pancréas E - Cancer vésiculaire du corps thyroïde Bonne(s) Réponse(s) : B D Ces tumeurs dérivent toutes du système APUD.
12 Question à compléments multiples. L'exérèse chirurgicale d'un phéochromocytome peut être compliquée par un ou plusieurs des incidents per-opératoires suivants ; indiquez le(s)quel(s) : A - Troubles du rythme cardiaque B - Phénomènes de bronchospasme C - Poussées hypertensives D - Collapsus vasculaire E - Accidents d'hypoglycémie Bonne(s) Réponse(s) : A C D
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L'intervention sur un phéochromocytome, très délicate, doit être effectuée dans un service spécialisé (préparation préopératoire 127 By NADJI 85 précautions anesthésiques - réanimation postopératoire).
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15 Question à compléments multiples. En cas de syndrome de Conn, il est logique d'utiliser le (ou les) diurétique(s) suivant(s) : A - Chlorthalidone (Hygroton®) B - Spironolactone (Aldactone®) C - Phanurane (Canrénone®) D - Furosémide (Lasilix®) E - Hydrochlorothiazide (Esidrex®) Bonne(s) réponse(s) : B C Il faut utiliser des diurétiques anti-aldostérone. A E - Thiazidiques. D - Diurétique de l'anse.
23 Question à complément simple. Indiquez parmi les éléments cliniques suivants, celui qui n'appartient pas au syndrome de Conn : A - Hypertension systolo-diastolique B - Asthénie C - Syndrome polyuro-polydypsique D - Accès tétanique E - Surcharge liquidienne Bonne(s) réponse(s) : E L'absence de surcharge liquidienne et d'oedème est un signe négatif très important dans le diagnostic d'un syndrome de Conn.
55 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes, indiquez celle qui est exacte : L'HTA d'un syndrome de Conn non opéré doit être traitée par : A - Le furosémide B - Les thiazidiques C - Les bêta-bloquants D - Les spironolactones E - L'alpha méthyl DOPA Bonne(s) réponse(s) : D Les antialdostérones sont les médicaments les plus adaptés pour traiter la sécrétion excessive d'aldostérone par un adénome de la corticosurrénale (syndrome de Conn) ; en règle ils sont donnés avant l'intervention chirurgicale, permettant de corriger l'hypokalémie et de prévoir la réussite du traitement chirurgical suivant la normalisation de la kaliémie.
20 Question à complément simple. Le syndrome de Conn est caractérisé par les signes biologiques suivants, sauf un. Lequel ? A - Hypokaliémie B - Hyponatrémie C - Alcalose métabolique D - Aldostéronurie accrue E - Cortisol plasmatique normal Bonne(s) réponse(s) : B B - Dans le syndrome de Conn la natriurèse est avant tout fonction des apports en sel. La natrémie est le plus souvent normale ou parfois discrètement élevée. A, C - L'hypokaliémie avec alcalose métabolique est classique avec élévation de la kaliurèse.
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59 Question à complément simple.
10 Question à compléments multiples.
Parmi les 5 symptômes suivants, lequel doit faire rechercher, chez l'enfant, un corps étranger des fosses nasales méconnu ? A - Eternuements B - Dyspnée C - Conjonctivite D - Epistaxis bilatérales E - Rhinorrhée purulente unilatérale
Parmi les propositions suivantes concernant les maladies infectieuses reconnues comme maladies professionnelles indemnisables laquelle ou lesquelles est ou sont exacte(s) ? A - La liste des agents infectieux est limitée B - Le délai de prise en charge est fonction du tableau clinique C - Le délai de prise en charge est fonction de l'agent infectieux D - La liste des métiers est indicative E - La reconnaissance nécessite un délai d'exposition au risque
Bonne(s) réponse(s) : E QCM classique qui tombe depuis 7 ans !
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
63 Question à complément simple. Chez un garçon de 6 ans, soupçonné cliniquement de présenter une ostéochondrite de hanche, la radiographie du bassin est normale. Pour ne pas méconnaître ce diagnostic, quel examen proposez-vous ? A - Une nouvelle radiographie du bassin dans six mois B - Dans les jours suivants, une scintigraphie osseuse C - Dans les jours suivants, une tomodensitométrie du bassin et des hanches D - Dans les jours suivants, une artériographie de la tête fémorale E - Dans les jours suivants, une échographie comparative des hanches Bonne(s) réponse(s) : B A - Un peu trop tard. B - Hypofixation par ischémie. C - Inutile.
27 Question à compléments multiples. Parmi les causes d'infection urinaire chez l'enfant, l'échographie vésicale peut reconnaître : A - Un méga-uretère primitif B - Un urétérocèle C - Un calcul vésical D - Une méga vessie E - Un diverticule vésical Bonne(s) réponse(s) : A B C D C : A l'avantage de voir les calculs non radioopaques : leur taille doit être > 10 mm. E : Vu par urographie et urétocystographie mictionnelle.
41 Question à complément simple.
79 Question à compléments multiples. L'hypoperfusion tissulaire d'un choc peut être reconnue grâce aux signes suivants : A - Une oligo-anurie B - Une confusion mentale C - Des marbrures cutanées au niveau des genoux D - Une acidose lactique E - Des extrémités froides et cyanosées
Dans la surveillance d'une fracture de la voûte crânienne, avec perte de connaissance brève, certains éléments font particulièrement penser à un hématome extradural, sauf un : A - Aggravation de l'état de conscience après la 4e heure B - Notion d'un trait de fracture temporal C - Coma grave d'emblée D - Mydriase unilatérale E - Hémiplégie d'installation retardée Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Un état de choc se traduit cliniquement par une hypotension artérielle (chute de la pression artérielle systolique au dessous de 80 mm Hg) avec signes d'hypoperfusion tissulaire (peau, rein, cerveau) dont l'acidose métabolique lactique est la conséquence. Toutefois, à la période initiale, la tension artérielle peut être conservée (vasoconstriction extrême) les extrémités peuvent être chaudes (choc anaphylactique, phase initiale du choc septique...).
99 Question à compléments multiples. Un retard global de maturation osseuse peut reconnaître comme cause : A - Un myxoedème congénital B - Un corticosurrénalome C - Un déficit en hormone somatotrope hypophysaire D - Une cardiopathie congénitale cyanogène E - Une maladie coeliaque méconnue
L'aggravation de l'état neurologique survient typiquement après un intervalle libre.
33 Question à compléments multiples. La survenue d'un syndrome confusionnel chez un éthylique, en l'absence d'antécédent traumatique connu, peut faire évoquer : A - Une intoxication aiguë par l'alcool B - Un accident de sevrage C - Un hématome sous-dural chronique D - Une complication métabolique de l'éthylisme E - Une encéphalopathie carentielle Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A B C - Age osseux < âge statural. D E - Age osseux = âge statural < âge chronologique.
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99 Question à compléments multiples.
63 Question à complément simple.
Chez un cirrhotique connu, quel(s) examen(s) permet(tent) la recherche de signes d'hypertension portale ? A - Fibroscopie oesogastro-duodénale B - Fond d'oeil C - Echographie abdominale D - Mesure de la pression E - Radiographie pulmonaire
Un patient de 60 ans consulte une semaine après une perte de connaissance à début et fin brutaux ayant duré 30 secondes ; l'examen cardiaque ne retrouve en tout et pour tout qu'un hémibloc gauche antérieur et un bloc complet de la branche droite. Quel est l'examen complémentaire que vous demandez en priorité pour chercher l'étiologie de cette perte de connaissance ? A - Enregistrement continu de l'électrocardiogramme selon la méthode de Holter B - Echocardiographie C - Enregistrement endocavitaire du potentiel hisien D - Epreuve d'effort E - Doppler cervical
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
37 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : C
Un patient vous explique que ses pensées sont parasitées, devinées, lui sont volées. Ses sentiments sont commentés, ses actes lui sont imposés. Vous reconnaissez : A - Un délire de possession B - Une obsession idéative C - Un syndrome d'influence D - Un syndrome d'automatisme mental E - Une confusion mentale Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
33 Question à complément simple. Une femme de 50 ans est amenée aux urgences à la suite d'une perte de connaissance qui aurait duré 10 à 15 minutes d'après son mari ; six mois auparavant un malaise analogue a comporté au debut une rotation de la tête et des yeux vers la gauche, avant la perte de connaissance. A l'examen, la patiente paraît un peu joviale et agitée. Il n'y a pas de trouble de la mémoire ou de l'orientation temporo-spatiale. On note par ailleurs des réflexes exagérés à gauche et un signe de Babinski gauche. La localisation du processus pathologique est vraisemblablement : A - Temporale droite B - Frontale gauche C - Pariétale droite D - Frontale droite E - Thalamo-pédonculaire droite Bonne(s) réponse(s) : D
La conjonction d'une perte connaissance évocatrice de syncope d'Adams Stokes (PC à l'emporte pièce, de survenue inopinée, sans prodromes, à début et fin busques, de durée brève en règle inférieure à 30 secondes sans obnubilation ni déficit neurologique post-critique) et d'un ECG de surface intercritique inscrivant un trouble conductif intraventriculaire (bloc bifasciculaire) oriente d'emblée vers un bloc auriculoventriculaire de haut degré paroxystique infranodal. Compte tenu du contexte (âge, pas de prise de médicamenteuse...), celui-ci est probablement dégénératif (maladie de Lenègre) chronique. Le Holter n'est pas un examen adapté : le caractère capricieux et parfois l'extrême rareté des épisodes de BAV expliquent les nombreux faux négatifs. C'est à l'exploration électrophysiologique endocavitaire que l'on demandera de trancher Sont en faveur d'un BAV paroxystique à l'origine de la syncope : - l'existence d'un trouble de conduction infranodal à l'état basal intervalle HV supérieur à 60 ms ou allongement et/ou de doublement du potentiel hisien. - l'allongement de l'intervalle HV qui devient supérieur à 100 ms après administration IV codifiée d'ajmaline - la création d'un BAV du 2e ou du 3e degré infranodal pour des fréquences de stimulation auriculaire inférieures à 150/mim ou après administration IV d'ajmaline.
89 Question à compléments multiples. Chez un patient artéritique connu, les signes de gravité d'une ischémie aiguë récente (6 premières heures) sont : A - Absence de pouls distaux B - Disparition de la sensibilité cutanée C - Diminution de la motricité D - Douleur calmée par la position debout E - Aspect cyanique de la peau Bonne(s) réponse(s) : B C
Le siège frontal droit de la lésion est affirmé en raison de l'existence d'une crise d'épilepsie partielle motrice (en l'occurrence de type versive) secondairement généralisée, d'une jovialité excessive (fait partie du syndrome frontal) et d'un syndrome pyramidal gauche. Les crises versives sont généralement en rapport avec une lésion du cortex prémoteur (lobe frontal). La déviation des yeux peut se faire soit vers la lésion soit du côté opposé à la lésion comme c'est le cas ici.
La résistance des tissus à l'ischémie est variable. La souffrance nerveuse est précoce (fibres sensitives puis motrices) irréversible après 6-12 h. La souffrance musculaire (masses musculaires indurées douloureuses) est plus tardive au-delà de 36-48 heures. La souffrance cutanée (marbrures lividité phlyctènes) est tardive et témoigne d'une ischémie sévère à un stade avancé. Toute ischémie sensitivomotrice met en jeu le pronostic local (du déficit neurologique irréversible à la gangrène conduisant à l'amputation) et vital (rhabdomyolyse avec acidose hyperkaliémique, nécrose tubulaire aiguë) et doit donc être solutionnée dans les 6-12 heures.
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35 Question à complément simple.
25 Question à complément simple.
Connaissant les risques et les effets secondaires des vaccinations, cocher celle qui devra être dorénavant proscrite chez cet enfant : A - Vaccination anti-rougeoleuse B - Vaccination anti-diphtérique, anti-tétanique C - Vaccination anti-coquelucheuse D - Vaccination anti-poliomyélite E - B.C.G.
Quel examen pouvez-vous pratiquer à l'oeil gauche à la recherche a une hémorragie du vitré méconnue ? A - Examen du champ visuel B - Electrorétinogramme C - Potentiels évoqués visuels D - Angiographie fluorescéinique E - Echographie Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C L'échographie en mode B permet l'étude du vitré et de la rétine lorsque le FO est impossible (cataracte obturante).
Connaissance
44 Question à compléments multiples. Le ou les examens permettant de différencier hyperplasie bilatérale et adénome de Conn est ou sont : A - Dosage de la rénine dans les veines surrénales B - Dosage de l'aldostérone dans les veines surrénales C - Test de freination par le sérum salé isotonique D - Test de freination par l'inhibiteur de l'enzyme de conversion E - Test à la métopirone Bonne(s) réponse(s) : B C D Classiquement, l'autonomie sécrétoire de l'adénome est supérieure à celle de l'hyperplasie bilatérale des surrénales : ainsi l'absence de baisse de l'aldostérone plasmatique après ingestion de Captopril® ou perfusion de sérum salé isotonique plaide plutôt en faveur d'un adénome, l'hyperplasie bilatérale restant elle sensible aux tests de freination. En fait la gestion de l'imagerie est actuellement essentielle (le scanner avec coupes fines des loges surrénaliennes constitue le meilleur test d'imagerie suivi par la phlébographie surrénalienne avec dosages sélectifs de l'aldostérone dans les veines surrénaliennes, la scintigraphie surrénalienne à l'iodo cholestérol marqué a peu d'intér t).
55 Question à complément simple. Après 48 heures de traitement médicamenteux, le malade fait une perte de connaissance avec hypotension sévère. Quelle est l'origine la plus probable ? A - Maladie d'Addison B - Tentative de suicide C - Crise d'angoisse aiguë D - Complication de traitement E - Phénomène de conversion Bonne(s) réponse(s) : D L'hypotension orthostatique est l'un des effets secondaires les plus fréquents des tricycliques. On prévient cet effet par des précautions (lever progressif du lit avec position assise pendant 2 minutes) et un traitement par DHE ou yohimbine.
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Un patient âgé de 60 ans, porteur d'un diabète non-insulinodépendant traité par hypoglycémiants par voie orale, sans hypertension artérielle ni néphropathie associées, consulte pour une baisse d'acuité visuelle brutale, récente de l'oeil droit. L'interrogatoire retrouve la notion d'une baisse d'acuité visuelle progressive de l'oeil gauche liée à la présence d'une cataracte. Les éléments recueillis à l'examen sont les suivants : 1 ) acuité visuelle avec correction : 2/10e à l'oeil droit, inférieur à 1/20e à l'oeil gauche 2) examen du segment antérieur : présence à l'oeil droit d'une néovascularisation irienne et d'une cataracte sénile débutante; présence à l'oeil gauche d'une cataracte sénile évoluée 3) tonus oculaire : 14 mm Hg aux deux yeux 4) examen du fond d'oeil : présence à l'oeil droit d'une hémorragie du vitré modérée laissant deviner la présence de néovaisseaux prépapillaires; I'examen du fond d'oeil est impossible à gauche du fait de la présence de la cataracte. L'hémorragie du vitré de l'oeil se résorbe en quelques jours avec une acuité visuelle qui remonte à 8/10es ; l'examen du fond d'oeil confirme la présence de néovaisseaux prépapillaires associés à une prolifération fibreuse débutante.
49 Question à complément simple. Quelques mois après, Monsieur X présente un tableau clinique associant désorientation spaciale, fausses reconnaissances, amnésie antérograde et anosognosie. Quel diagnostic faites-vous ? A - Encéphalopathie de Gayet-Wernicke B - Mélancolie confuse C - Syndrome confusionnel D - Délire chronique E - Syndrome de Korsakoff Bonne(s) réponse(s) : E E : L'association, dans les suites d'un delirium tremens, d'un tableau associant : - Fausses reconnaissances - Amnésie antérograde. - Désorientation spatiale (mais aussi temporelle) - Anosognosie (le plus souvent partielle). Caractérise le syndrome de Korsakoff (atteinte spécifique de la mémoire).
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14 Question à complément simple. L'évolution d'une otite aiguë purulente vers la mastoïdite aiguë se reconnaît par tous les signes suivants sauf un. Lequel ? A - Persistance d'une otorrhée purulente après 21 jours d'évolution B - Déformation en pis de vache de la membrane tympanique C - Baisse de l'état général de l'enfant D - Décollement du pavillon de l'oreille E - Tuméfaction mastoïdienne avec conservation du sillon rétro-auriculaire Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
64 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant la prévention de la rage chez un homme victime d'une morsure récente par un chien inconnu indiquer celle(s) qui est(sont) exacte(s) : A - Lavage de la morsure avec de l'eau savonneuse B - Traitement vaccinal antirabique C - Acyclovir (Zovirax®) : 5 comprimés par jour pendant 7 jours D - Application sur les plaies de gentamicine (Gentalline®) E - Injections d'immunoglobulines standard (0,3ml/kg) Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
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Question à complément simple. Parmi ces indications, quelle est celle la plus reconnue des sels de lithium? A - La prévention de l'accès maniaque B - Le traitement de l'accès dépressif C - La prévention des attaques d'angoisse D - Le traitement des troubles obsessionnels compulsifs E - Le traitement de la névralgie du trijumeau Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Question à complément simple. Deux mois après le début de votre traitement, votre malade présente un mælena en rapport avec un ulcère de l'estomac méconnu. Vous êtes obligé de changer de thérapeutique au profit de la ticlopidine (Ticlid®). Quel examen de laboratoire vous paraît nécessaire pour surveiller la tolérance de ce médicament? A - Numération des plaquettes B - Hémogramme C - Temps de Quick D - Temps de céphaline activée E - Glycémie Bonne(s) réponse(s) : A NFS avant le traitement puis tous les 15 jours pendant 3 mois en raison du risque d'agranulocytose.
Question à compléments multiples. Compte tenu des renseignements déjà connus, quel(s) examen(s) peut-on demander chez ce patient? A - Recherche de BK B - Cytologie urinaire quantitative C - Urographie intraveineuse D - Cystoscopie E - Aucun des examens précédents Bonne(s) réponse(s) : B C D L'UIV et la cystoscopie sont indispensables et la cytologie urinaire peut être importante en particulier pour le diagnostic de carcinome in situ dont l'aspect cystoscopique est parfois proche de la normal.
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86 Question à complément simple.
98 Question à complément simple.
La complication la plus fréquente du traitement des hyperthyroïdies par l'I 131® est : A - La survenue d'un cancer thyroïdien ultérieur B - La crise aiguë thyréotoxique C - Le choc à l'iode D - L'hypothyroïdie secondaire E - L'hypoparathyroïdie
Une femme de 35 ans, traitée pour une hyperthyroïdie, a des épisodes de palpitations (type Maladie de Bouveret) fréquents, prolongés et invalidants. L'un des antiarythmiques ci-dessous est contre-indiqué. Lequel ? A - Vérapamil (Isoptine®) B - Disopyramide (Rythmodan®) C - Amiodarone (Cordarone®) D - Hydroquinine "retard" (Sérécor®) E - Propranolol (Avlocardyl®)
Bonne(s) réponse(s) : D A - N'a jamais été prouvé pour la dose d'I131 radioactif utilisée dans le traitement de l'hyperthyroïdie B - Ou thyroïdite radique, surtout 10 à 15 jours après l'administration d'IRA, à prévenir par les antithyroïdiens de synthèse. D - Incidence maximale pendant les deux premières journées après le traitement, puis incidence annuelle d'environ 3 % ensuite, en moyenne 30 % à 5 ans. E - Rarement patente.
16 Question à compléments multiples. On pose une indication opératoire dans une hyperthyroïdie : A - Après échec d'un traitement médical bien conduit B - Parce qu'il y a rechute à l'arrêt d'un traitement médical de 2 ans C - De principe chez tous les sujets jeunes D - En raison de l'apparition d'une granulopénie sous traitement médical E - En raison de difficultés à s'astreindre à un traitement médical (raisons professionnelles...) Bonne(s) réponse(s) : A B D A - Logique. B - La récidive est fréquente avec le traitement médical. C - Les complications sont trop fréquentes pour la poser systématiquement en première intention chez le sujet jeune. D - Logique. E - Discutable, la non adhérence à un traitement long est également à prendre en compte pour poser l'indication opératoire.
59 Question à compléments multiples. Dans quel(s) type(s) d'hyperthyroïdie une absence complète de fixation isotopique est observée à la scintigraphie ? A - Maladie de Basedow B - Adénome toxique C - Hyperthyroïdie à l'iode D - Thyroïdite subaiguë E - Thyrotoxicose factice
Bonne(s) réponse(s) : C L'amiodarone est contre-indiquée chez les sujets porteurs de dysthyroïdie (que ce soit une hyper ou hypothyroïdie).
107 Question à compléments multiples. La coexistence d'une hyperthyroïdie, d'une hypertrophie thyroïdienne diffuse et d'un nodule thyroïdien : A - Permet d'affirmer qu'il s'agit d'un nodule toxique B - Elimine formellement l'existence d'une lésion thyroïdienne maligne C - Peut être une forme particulière de la maladie de Basedow D - Peut être traitée par l'administration d'iode radioactif E - Est une indication chirurgicale formelle Bonne(s) réponse(s) : C E Forme rare de certains goitres basedowiens. La chirurgie est préconisée pour être sûre qu'il n'existe pas de cancer thyroïdien sur Basedow.
111 Question à compléments groupés. Parmi les signes cliniques et biologiques suivants, quel est celui ou quels sont ceux qui permettent de rattacher une hyperthyroïdie à une maladie de Basedow ? 1 - Valeur basse de TSH non stimulable par TRH 2 - Présence d'une exophtalmie 3 - Présence d'un goître 4 - Présence d'un facteur thyréostimulant anormal d'origine antigénique (type TSI ou LATS) Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C D E A - Hyperfixation homogène. B - Nodule hyperfixant. C D E - Scintigraphie blanche.
12 Question à complément simple. L'hyperthyroïdie basedowienne peut entraîner les troubles suivants à l'exception d'un seul. Lequel ? A - Amaigrissement B - Tachycardie C - Hyperémotivité D - Frilosité E - Diarrhée Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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34 Question à complément simple.
49 Question à complément simple.
L'hyperthyroïdie peut comporter les symptômes suivants sauf un. Lequel ? A - Amaigrissement B - Soif C - Mains sèches et froides D - Tachycardie E - Diarrhée
Pour traiter simultanément l'hyperthyroïdie et l'HTA, vous prescrivez : A - Alpha méthyl dopa B - Inhibiteur de l'enzyme de conversion C - Diurétique thiazidique D - Alpha-bloquant E - Bêta-bloquant
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) Réponse(s) : E
Evident, mains moites et chaudes.
Sans commentaire.
52 Question à compléments multiples.
69 Question à compléments multiples.
Parmi les éléments cliniques suivants, le(s)quel(s) est(sont) classiquement rencontré(s) dans une hyperthyroïdie périphérique ? A - Macroglossie B - Crampes musculaires C - Diarrhée D - Hirsutisme E - Acroparesthésies
Les irrégularités menstruelles et l'aspect de la courbe thermique notés chez cette patiente avant toute hyperthyroïdie décelable : A - Peuvent avoir été influencées par la thyrotoxicose B - Doivent faire pratiquer une enquête sur les prises médicamenteuses antérieures C - Evoquent une anorexie mentale D - Sont compatibles avec une hyperprolactinémie E - Sont liées au vitiligo
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) Réponse(s) : B D A, B, E - Se rencontre dans l'hypothyroïdie. Erreur probable dans l'énoncé de ce QCM à compléments multiples, le terme hypothyroïdie devrait sans doute remplacer celui d'hyperthyroïdie.
Sans commentaire.
119 Question à compléments multiples. Indiquez la (les) proposition(s) exacte(s) concernant la constatation d'une fixation thyroïdienne d'iode radioactif effondrée, chez un sujet présentant un petit goître diffus et une symptomatologie clinique évocatrice d'hyperthyroïdie : A - Elimine le diagnostic de thyrotoxicose B - Peut se voir au stade initial d'une thyroïdite subaiguë C - Affirme le diagnostic de thyrotoxicose factice D - Evoque fortement un adénome toxique E - Peut se voir dans une maladie de Basedow chez un patient saturé en iode Bonne(s) réponse(s) : B E C - Le goitre est en règle absent.
47 Question à complément simple. Quelle est la fréquence de la tachycardie dans l'hyperthyroïdie ? A - Elle est toujours présente B - 50 % des cas C - 30 % des cas D - 10 % des cas E - Elle n'est jamais présente Bonne(s) Réponse(s) : A A - La tachycardie est un très bon élément de diagnostic, de surveillance. Elle est permanente, persiste au repos, augmente à l'effort, est généralement sinusale à l'ECG.
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70 Question à compléments multiples. En présence d'une HTA secondaire, quels signes évoquent un phéochromocytome ? A - Une HTA permanente isolée B - Une HTA avec hypotension orthostatique C - L'association HTA, céphalées, tachycardie, sueurs D - Des épisodes de flush avec diarrhée E - Des malaises per-mictionnels avec poussées tensionnelles Bonne(s) réponse(s) : B C E La triade céphalées-palpitations-sueurs est évocatrice de phéochromocytome chez un patient hypertendu. L'excès de catécholamines se traduit par des accès de pâleur et non de flush. La dernière proposition suggère une localisation ectopique vésicale du phéochromocytome.
6 Question à complément simple. Les signes et symptômes suivants sont évocateurs de phéochromocytome, sauf un. Précisez lequel ? A - Sueurs B - Céphalées C - Prise de poids D - Hypotension orthostatique E - Palpitations Bonne(s) réponse(s) : C Il existe à l'inverse une tendance à la perte de poids.
83 Question à compléments multiples. Au cours d'HTA à 200/120 mmHg, le diagnostic de phéochromocytome est suspecté devant : A - Accès de sueurs B - Souffle hypogastrique C - Taches cutanées café au lait D - Hypotension orthostatique E - Crampes musculaires Bonne(s) réponse(s) : A C D E Le phéochromocytome peut être associé à des phocomatoses telle la maladie de Recklinghausen (taches cutanées café au lait).
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Question à complément simple. Parmi les étiologies des hyperthyroïdies, quel est le diagnostic le plus probable? A - Adénome toxique B - Goitre multinodulaire toxique C - Maladie de Basedow D - Goitre induit par l'iode E - Aucune de ces réponses Bonne(s) réponse(s) : C A : Non, car augmentation modérée et homogène du corps thyroïde B : Non, pour la même raison qu'en A C : Tableau typique D : Tableau clinique compatible, mais ne prend aucun médicament et est moins fréquent, sur ce terrain, que le Basedow
Une femme de 24 ans, mère de 2 enfants, sans antécédents et ne prenant aucun traitement a vu apparaître en 3 mois : énervement, palpitations, amaigrissement, diarrhée. A l'examen clinique, vous constatez un tremblement, une tachycardie à 110/min, une vivacité des réflexes ostéotendineux et une augmentation modérée et homogène du corps thyroïde. Vous suspectez une hyperthyroïdie.
Question à compléments multiples. Ayant choisi le traitement médical devant cette première poussée d'hyperthyroïdie, que prescrivez-vous? A - Antithyroïdiens de synthèse B - Toni-cardiaques C - Diurétiques D - Bêtabloquants E - Contraception efficace Bonne(s) réponse(s) : A D E A D : Traitement de première intention chez une femme jeune B, C : Aucun intérêt E : Conseillée. En effet, une grossesse n'est pas souhaitable au cours de l'hyperthyroïdie en raison du retentissement possible de la dysthyroïdie maternelle sur le fÏtus.
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Question à compléments multiples. Une femme de 25 ans est en hyperthyroïdie. Parmi les signes suivants, quels sont ceux qui sont en faveur d'une thyroïdite subaiguë? A - Fièvre B - Douleurs cervicales C - Exophtalmie D - Vitesse de sédimentation élevée E - Présence de nodules thyroïdiens Bonne(s) réponse(s) : A B D C : En faveur maladie de Basedow. E : En faveur d'un goitre toxique.
Question à compléments multiples. Dans la maladie de Basedow avec hyperthyroïdie on retrouve habituellement A - Diminution de la cholestérolémie B - ƒlévation de la T4 libre C - ƒlévation de la T3 libre D - ƒlévation de la TSH "ultrasensible" E - Présence d'anticorps antirécepteurs de TSH Bonne(s) réponse(s) : A B C E Evident.
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61 Question à complément simple.
46 Question à complément simple.
Parmi les médications ci-après, quelle est celle susceptible d'engendrer une hypothyroïdie ? A - Lithium B - Extraits thyroïdiens C - Diurétiques D - Phénobarbital E - Delta-cortisone
L'association d'un goître et d'une hypothyroïdie s'observe dans : A - Maladie de Basedow B - Goître simple C - Adénome toxique de Plummer D - Thyroïdite d'Hashimoto E - Cancer de la thyroïde
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : D
A - Avec goître chez la femme de plus de 40 ans, par inhibition de la libération hormonale par la thyroïde (inhibition de l'action de l'AMPc). B - Hyperthyroïdie. C D E - Pas d'incidence sur le métabolisme thyroïdien.
A - Hyperthyroïdie avec goitre. B, E - Euthyroïdie. C - Hyperthyroïdie.
112 Question à compléments multiples.
57 Question à compléments multiples.
L'hypothyroïdie néonatale : A - Est le déficit endocrinien néonatal le plus fréquent B - A une incidence en France de l'ordre de 1 cas pour 4000 naissances C - Touche trois fois plus de garçons que de filles D - Est grave car la thyroxine joue un rôle prépondérant dans le développement du système nerveux central E - Est une maladie systémique auto-immune
Le coma hypothyroïdien est caractérisé par : A - Hypothermie B - Hypoglycémie C - Hyponatrémie D - Hypercapnie E - Décès fréquent Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'hyponatrémie est secondaire à une séquestration liquidienne qui entraîne une hyperhydratation intracellulaire par hypoosmolarité sanguine. L'hypercapnie est secondaire à l'hypoventilation ; l'hypoglycémie est rare, surtout présente si l'origine de l'hypothyroïdie est hypophysaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B D A, D - D'où le dépistage systématique. E - Les étiologies sont - agénésie de la glande thyroïde (3/4), trouble congénital de l'hormonogénèse (1/5), origine iatrogène.
18 Question à complément simple.
16 Question à complément simple.
Parmi ces examens, quel est celui qui permet de suspecter l'origine médicamenteuse d'une hypothyroïdie périphérique ? A - Une TSH plasmatique élevée B - La présence d'anticorps antithyroïdiens circulants C - Un test au TRH négatif D - Une iodurie totale élevée E - Une élévation du cholestérol total
Parmi les causes habituelles d'hypothyroïdies dépistées à la naissance, quelle est la plus fréquente ? A - Ectopie B - Athyréose C - Troubles de l'hormono-synthèse D - Insuffisance anté-hypophysaire thyréotrope E - Traitement substitutif thyroïdien chez la mère
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A
L'hypothyroïdie médicamenteuse secondaire à une prise de produits contenant de l'iode (cordarone, produits de contraste...) s'associe à une iodémie totale élevée, des taux de T3 et T4 effondrés, une fixation nulle à la scintigraphie.
Représente environ 50 % des hypothyroïdies congénitale suivi par l'athyréose (30 %) et les troubles de l'hormonogenèse (15 %).
53 Question à complément simple. L'association d'un goître avec hypothyroïdie évoque : A - Une maladie de Basedow B - Un cancer de la thyroïde C - Une thyroïdite auto-immune D - Un adénome de Plummer E - Un nodule hypofixant Bonne(s) réponse(s) : C Le goitre de la thyroïdite auto-immune apparaît en général progressivement, sans douleur, sans signe de compression ; il est hétérogène voire multinodulaire dans 20 % des cas, de consistance ferme voire même franchement dure. L'hypothyroïdie de cette forme de thyroïdite est inévitable et progressive succédant à une phase d'hyperthyroïdie fugace et transitoire puis à une phase d'euthyroïdie plus ou moins prolongée.
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51 Question à complément simple.
66 Question à complément simple.
Le tableau clinique et l'anamnèse permettent d'évoquer une hypothyroïdie : A - Périphérique idiopathique (involution simple de la thyroïde) B - Centrale (hypothalamo-hypophysaire) C - Périphérique iatrogénique D - Par ectopie thyroïdienne E - Secondaire à une thyroïdite chronique de Hashimoto
L'étiologie la plus vraisemblable de l'hypothyroïdie chez cette patiente est : A - Thyroïdite subaiguë de De Quervain B - Thyroïdite chronique de Ridel C - Thyroïdite chronique de Hashimoto D - Trouble congénital de l'hormonosynthèse thyroïdienne à révélation tardive E - Adénome hypophysaire thyréotrope
Bonne(s) Réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : C
L'élément évocateur d'une origine iatrogène est la prise de Cordarone® (permet d'évoquer le diagnostic mais non de le confirmer).
On est en présence d'une hypothyroïdie primaire avec des anticorps antimicrosomes positifs, thyroïdite autoimmune à la phase involutive. Les anticorps antithyroglobuline sont négatifs dans 10 à 20% des thyroïdites de Hashimoto prouvé histologiquement.
Une femme de 62 ans consulte pour les signes suivants, apparus progressivement au cours des 6 derniers mois : asthénie, apathie, frilosité, crampes musculaires, hypoacousie, et prise de poids de 6 kg. Le visage est arrondi, la peau est froide, les aisselles sont sèches, le rythme cardiaque régulier à 64/mn ; absence d'oedème malléolaire. La patiente, dont la voix est rauque et lente, vous apprend qu'elle a été traitée pendant 4 ans par isosorbide dinitrate (Risordan®) et par Cordarone® (amiodarone) pour une angine de poitrine, mais qu'elle n'a plus eu de crise depuis près d'un an et que ce traitement a été alors interrompu. Il n'existe pas de goître. Au terme de cet examen, le diagnostic d'hypothyroïdie est hautement probable.
Madame B. âgée de 64 ans consulte pour asthénie progressive, prise de 5 kg au cours des deux dernières années et frilosité excessive, récente. L'examen clinique montre une pâleur et une infiltration diffuse des téguments qui sont secs. Le poids est de 65 kg pour 1m60. La TA est à 14/8. Le corps thyroïde est discrètement augmenté de volume. Le diagnostic de myxoedème est confirmé par les dosages hormonaux : TSH 48.4 µU/mI (normale 1-4 µU/ml), T3 libre 1.4 pg/ml I(normale 2.65.2 pg/ml), T4 libre 4.2 pg/ml (normal 5.7-15.2 pg/ml). Les anticorps antimicrosomiaux sont positifs au 1/12500e alors que les anticorps antithyroglobulines sont négatifs. La cholestérolémie est à 10.5 mmol/l(normale 3.8-6.2). La scintigraphie thyroïdienne au technetium montre un corps thyroïde atrophique hypofixant de façon homogène.
71 Question à complément simple. La malade étant au carbimazole (Néomercazole® depuis 2 mois, 30 mg, puis 20 mg par jour), le goitre augmente de volume. L'état clinique est celui d'une discrète hypothyroïdie. Quelle est la décision logique à prendre en attendant les résultats du bilan hormonal ? A - Arrêter le traitement B - Augmenter le traitement C - Diminuer le traitement D - Prescrire du Lugol® E - Aucune Bonne(s) Réponse(s) : C
73 Question à complément simple. Le tableau clinique et l'anamnèse permettent d'évoquer une hypothyroïdie : A - Périphérique idiopathique (involution simple de la thyroïde) B - Centrale (hypothalamo-hypophysaire) C - Périphérique iatrogénique D - Par ectopie thyroïdienne E - Secondaire à une thyroïdite chronique de Hashimoto Bonne(s) réponse(s) : C
Il semble que la malade soit passée en hypothyroïdie : certains diminuent le traitement. Par la suite, certains adjoignent des hormones thyroïdiennes, le Néomercazole® ayant peut-être une action immunosuppressive.
A - Signes apparus trop rapidement (6 mois). B - Déficit thyréotrope rarement aussi complet et isolé, sans atteinte des autres fonctions antihypophysaires. C - La rapidité d'installation des troubles et la prise de cordarone sont en faveur d'une hypothèse iatrogénique chez cette patiente sans goitre. D - Age trop tardif. E - Absence de goitre. Une femme de 62 ans consulte pour les signes suivants apparus progressivement au cours des six derniers mois : asthénie, apathie, frilosité, crampes musculaires et prise de poids de 6 kg. Le visage est arrondi, la peau est froide, les aisselles sont sèches, le rythme cardiaque à 64/mn, il n'y a pas d'oedème malléolaire. La patiente, dont la voix est rauque et lente, vous apprend qu'elle a été traitée pendant 4 ans par isosorbide dinitrate (Risordan®) et par Cordarone® (amiodarone) pour une angine de poitrine, mais qu'elle n'a plus eu de crise depuis près d'un an et que ce traitement a été alors interrompu. Il n'existe pas de goitre. Au terme de cet examen, le diagnostic d'hypothyroïdie est hautement probable.
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57 Question à compléments multiples.
32 Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes concernant l'hypothyroïdie de l'adulte, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A - Elle s'accompagne souvent d'une réaction myotonique avec lenteur de la décontraction B - Elle peut se révéler par une anémie C - L'athérome, surtout coronarien, est fréquent D - L'hypothyroïdie peut aboutir au coma E - L'étiologie auto-immune est fréquente
Quel(s) examen(s) demandez-vous dans un premier temps pour affirmer le diagnostic d'hypothyroïdie primitive ? A - Dosage de T3 - T4 - TSH B - Dosage de thyroglobuline C - Test au TRH D - Test à la métopyrone E - Recherche d'anticorps antithyroïdiens Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E C - Le test au TRH est interressant dans les déficits thyréotropes. A - Explique l'allongement du temps de déconcentration sur le réflexogramme achilléen. E - Thyroïdite de Hashimoto ou traitement par iode ou chirurgie d'une maladie de Basedow. Une femme de 61 ans vient consulter pour asthénie et se plaint en outre de constipation et de frilosité. Elle est plus lente, plus maladroite. Sa peau est sèche, un peu infiltrée, le coeur est régulier à 60, la TA à 15/8. L'examen clinique est par ailleurs négatif. Un tel ensemble évoque fortement une hypothyroïdie.
58 Question à compléments multiples.
34 Question à complément simple. Pour traiter cette hypothyroïdie, vous allez prescrire : A - Thyroxine B - Lugol C - Néomercazole D - Lithium E - Aldostérone Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Parmi les propositions suivantes concernant le diagnostic de l'hypothyroïdie primitive, lesquelles sont exactes ? A - L'effondrement de la fixation thyroïdienne suffit à affirmer le diagnostic B - Un taux plasmatique de T3 abaissé suffit à affirmer le diagnostic C - Il n'y a pas d'hypothyroïdie primitive sans élévation de la TSH D - La prolactine peut être élevée E - La FSH est basse et s'élève sous métopirone Bonne(s) réponse(s) : D Peut s'observer dans de nombreuses pathologies (syndrome de base T3) en l'absence d'hypothyroïde véritable. De plus un taux abaissé de T3 peut se voir dans les hypothyroïdes centrales comme périphériques. C - L'élévation de la TSH est très précoce mais peut manquer en cas de dysfonctionnement hypothalamo-hypophysaire associé. D - Effet stimulant du TRH sur la sécrétion de prolactine.
35 Question à complément simple. Vous apprenez que cette malade a été traitée il y a 8 ans et pendant 18 mois par Néomercazole pour une maladie de Basedow avec goitre et exophtalmie. Cette notion oriente vers quelle étiologie de l'hypothyroïdie actuelle ? A - Une agénésie thyroïdienne B - Un effet prolongé de l'antithyroïdien de synthèse C - Une ectopie thyroïdienne D - Une thyroïdite subaiguë type de Quervain E - Une maladie de Hashimoto Bonne(s) réponse(s) : E Basedow et thyroïdite de Hashimoto sont deux pathologies autoimmunes parfois difficiles à différencier.
59 Question à compléments multiples. Parmi les situations suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) une cause classique d'hypothyroïdie ? A - Thyroïdite chronique auto-immune (maladie de Hashimoto) B - Thyroïdite sub-aiguë type de Quervain C - Maladie de Basedow traitée par iode radio-actif D - Traitement par amiodarone (Cordarone) E - Epithélioma thyroïdien à stroma amyloïde Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire.
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19 Question à compléments multiples.
29 Question à compléments multiples.
Quel(s) est (sont) le(s) signe(s) que l'on peut retrouver chez un sujet en hyperthyroïdie sévère ? A - Arythmie complète par fibrillation auriculaire B - Diarrhée C - Hypercalcémie D - Episode pseudo-maniaque E - Hypothermie
Quels sont les signes en faveur d'une hyperthyroïdie ? A - Troubles thymiques atypiques B - Accident cardiaque (fibrillation auriculaire rapide, récidivante) sans atteinte cardiaque retrouvée C - Existence de tremblements fins des extrémités D - Amaigrissement rapide de dix kilos E - Trouble du sommeil
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Sans commentaire.
Sans commentaire.
17 Question à compléments multiples.
10 Question à compléments multiples.
Tous les paramètres suivants sont attendus dans la maladie de Basedow avec hyperthyroïdie, sauf un lequel ? A - Diminution de la cholestérolémie B - Elévation de la T4 libre C - Elévation de la T3 libre D - Elévation de la TSH "ultrasensible" E - Présence d'anticorps antirécepteurs à TSH
Le diagnostic de thyroïdite sub-aiguë retenu quels traitements peut-on proposer en phase d'hyperthyroïdie ? A - Antithyroïdiens de synthèse B - B ta-bloquants C - Iode radio-actif D - Hormones thyroïdiens à visée freinatrice E - Anti-inflammatoires
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : B E
La TSH ultrasensible est basse et "bloquée" (non stimulable par le TRH) dans l'hyperthyroïdie de la maladie de Basedow. La présence d'anticorps antirecepteurs à TSH suggère l'atteinte dimminutaire liée à la maladie de Basedow.
Sans commentaire.
46 Question à complément simple. Parmi les étiologies d'hyperthyroïdie suivantes, indiquer celle qui est la plus probable : A - Goitre hétéromultinodulaire toxique B - Thyroïdite de De Quervain C - Hyperthyroïdie induite par l'iode D - Maladie de Basedow E - Adénome toxique Bonne(s) réponse(s) : D Le caractère vasculaire du goitre est très évocateur de maladie de Basedow Une femme âgée de 46 ans est hospitalisée pour le bilan d'un amaigrissement (6 kg en 8 mois) associé à une polyphagie et une asthénie. Elle pèse 54 kg pour une taille de 1,67 m. L'examen clinique objective une hyperexcitabilité, un tremblement fin des mains, une tachycardie sinusale à 110/mn et une faiblesse musculaire rhizomélique caractérisée par l'impossibilité de se relever d'une position accroupie. Le corps thyroïde est augmenté de volume de façon diffuse et homogène, de consistance élastique, frémissant et soufflant. Le diagnostic d'hyperthyroïdie est confirmé par les dosages hormonaux.
49 Question à compléments multiples. Parmi les manifestions cardio-vasculaires suivantes, indiquer celle(s) qui est (sont) souvent observée(s) dans l'hyperthyroïdie : A - Hypertension artérielle systolo-diastolique B - Arythmie complète par fibrillation auriculaire C - Péricardite D - Bloc auriculo-ventriculaire E - Insuffisance cardiaque Bonne(s) réponse(s) : B E La tension artérielle est souvent normale, avec parfois une élévation modérée de la systolique.
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Question à compléments multiples. Parmi les signes suivants, quel est celui ou quels sont ceux qui entre(nt) dans le tableau classique de l'hypothyroïdie de l'adulte? A - Exophtalmie B - Amaigrissement C - Frilosité D - Asthénie E - Paresthésies des extrémités Bonne(s) réponse(s) : C D E Sans commentaire.
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34 Question à complément simple.
58 Question à complément simple.
L'étiologie la plus fréquente de l'obésité chez la femme après la ménopause est : A - L'hypothyroïdie B - La carence oestrogénique C - Le déséquilibre alimentaire D - L'hypercorticisme E - L'hypoglycémie
Les signes cliniques suivants peuvent se voir au cours de l'obésité commune, sauf un. Lequel ? A - Vergetures rosées B - Obésité facio-tronculaire C - Faciès coloré D - Amyotrophie E - Hypertension artérielle
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : D
En particulier on note une plus grande consommation de sucres rapides.
Sans commentaire.
32 Question à complément simple.
61 Question a compléments multiples.
Dans l'obésité commune, non compliquée, par surcharge alimentaire, les propositions suivantes sont exactes, sauf une. Indiquez laquelle : A - L'obésité a souvent un caractère familial B - Il y a un hyperinsulinisme à jeun, alors que la glycémie est normale C - L'eau totale (ET) exprimée en pourcentage du poids du corps, est augmentée D - L'obésité peut apparaître lors d'un choc psycho-affectif E - Le retard pubertaire simple est fréquent chez l'adolescent obèse
La (les) anomalie(s) hormonale(s) le plus souvent rencontrée(s) dans les obésités non endocriniennes non traitées est (sont) : A - Diminution de l'insulinémie à jeûn B - Elévation du peptide C sérique à jeûn C - Diminution de la cortisolémie à jeûn D - Perte du rythme circadien de la sécrétion de cortisol E - Diminution de la T3 sérique
Bonne(s) réponse(s) : C Augmentation de la masse grasse et non de l'eau totale.
73 Question à compléments multiples. L'obésité "commune" de l'adulte peut être en relation avec : A - Une obésité dans l'enfance B - Une hérédité familiale d'obésité C - Un dysfonctionnement ovarien D - Un allaitement artificiel pendant les six premiers mois de la vie E - Des habitudes familiales d'hyperphagie Bonne(s) réponse(s) : A B E Sans commentaire.
77 Question à compléments multiples. L'obésité est un facteur indépendant : A - D'insuffisance cardiaque B - D'insuffisance coronarienne C - D'hyperlipoprotéinémie D - D'artérite des membres inférieurs E - D'hypertension artérielle
Bonne(s) Réponse(s) : B A, B - Hyperinsulinisme que reflète l'élévation du peptide C. C, D - On peut observer chez le sujet obèse une élévation de la cortisolémie sans perte du rythme circadien. E - Les taux de T3 dépendent plus des apports nutritifs que du poids de l'individu. Chez les sujets suralimentés la T3 sérique s'élève et baisse lors du jeûne.
74 Question à complément simple. Parmi les résultats suivants, lequel rechercheriez-vous comme argument le plus significatif en faveur de l'étiologie secondaire à l'obésité de l'hypercortisolémie ? A - Cycle nycthéméral du cortisol aboli B - Excrétion urinaire des 17 cétostéroïdes normale C - Test au synacthène positif (augmentation de l'excrétion urinaire des 17 hydroxystéroïdes) D - Cortisolémie de 8 heures inférieure à 25 microgrammes/l après prise de 2 comprimés de Dexaméthasone (Décadron®) à 22 heures E - Cortisol salivaire relativement plus élevé que le cortisol plasmatique Bonne(s) Réponse(s) : D L'hypercortisolisme secondaire à l'obésité répond aux freinages rapides et faibles. Le cycle nycthéméral est le plus souvent non aboli.
Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
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95 Question à compléments multiples.
64 Question à compléments multiples.
Que fait évoquer la survenue d'une hypothyroïdie primitive, 10 ans après la "guérison" d'une maladie de Basedow traitée par antithyroïdien de synthèse, comme étiologie de cette hypothyroïdie ? A - L'effet tardif de l'antithyroïdien de synthèse B - Une thyroïdite subaiguë type de Quervain C - Une thyroïdite chronique (maladie de Hashimoto) D - Saturation iodée E - Un cancer thyroïdien
Parmi les manifestations cardio-vasculaires de l'hypothyroïdie, laquelle(lesquelles) est(sont) habituelle(s) ? A - Augmentation de débit cardiaque B - Bradycardie C - Vaso-dilatation périphérique D - Microvoltage des complexes à l'E.C.G. E - Elargissement de la silhouette cardiaque
Bonne(s) réponse(s) :
Bonne(s) réponse(s) : B D E Sans commentaire.
QUESTION ANNULEE.
19 Question à complément simple. Quelle est la circonstance qui peut expliquer un dépistage négatif en France chez un enfant authentiquement hypothyroïdien ? A - L'allaitement maternel B - Le traitement de la mère par des hormones thyroïdiennes C - Le traitement de la mère par des antithyroïdiens de synthèse D - Une intoxication iodée lors de la grossesse E - Un panhypopituitarisme chez l'enfant Bonne(s) réponse(s) : E Il se fait par dosage de TSH donc dépiste les hypothyroïdies périphériques.
3 Question à complément simple. Parmi les méthodes thérapeutiques de la maladie de Basedow, indiquez celle qui présente le plus grand risque d'hypothyroïdie définitive : A - Antithyroïdiens de synthèse B - Thyroïdectomie subtotale C - Iode radioactif D - Lugol E - Lithium Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
63 Question à compléments multiples. Parmi les signes cliniques suivants, le(s)quel(s) est(sont) observé(s) dans une forme typique d'hypothyroïdie ? A - Pâleur du visage B - Crampes musculaires C - Sécheresse de la peau D - Hypoacousie E - Perte de la mémoire Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire. Une femme de 40 ans consulte pour une fatigabilité, un ralentissement psycho-moteur, une frilosité, une prise de poids. Les examens biologiques confirment l'insuffisance thyroïdienne.
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Question à complément simple. Dans le cas o vous suspectez une hypothyroïdie périphérique, quel est le premier examen à demander? A - Dosage de TSH B - Dosage de la thyroxine libre C - Dosage de la triiodothyronine D - Dosage des anticorps antithyroïdiens E - ƒchographie thyroïdienne Bonne(s) réponse(s) : A ƒvident.
Question à compléments multiples. Devant une hypothyroïdie, les arguments en faveur d'une maladie de Hashimoto comportent : A - Goitre B - Association avec une anémie de Biermer C - VS très accélérée D - Présence d'anticorps antithyroïdiens à un titre élevé E - Signes d'inflammation aiguë de la thyroïde Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire
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2 Question à complément simple. Parmi les causes de mortalité suivantes, toutes ont une prévalence augmentée dans l'obésité sauf une, indiquez laquelle : A - Accident vasculaire cérébral B - Lithiase biliaire C - Diabète D - Hypertension artérielle E - Suicide Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. L'obésité peut être considérée comme un facteur de risque de : A - Hypertension artérielle B - Varices des membres inférieurs C - Apnées du sommeil D - Gonarthrose E - Lithiase vésiculaire Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. Deux des caractéristiques suivantes sont le fait des obésités gynoïdes : A - Prédominance dans la région sous-ombilicale B - Rapport taille/hanche > 0,9 C - Index de masse corporelle supérieur à celui d'une obésité androïde de même degré D - Faible incidence des complications cardiovasculaires E - Forte incidence du diabète et des dyslipidémies Bonne(s) réponse(s) : A D B : C'est l'inverse C : L'index de masse corporelle est indépendant de la répartition des graisses [poids (Kg) / Taille2 (m)] D : Contrairement aux obésités androïdes E : C'est le fait des obésités androïdes
Question à compléments multiples. Le diabète non insulinodépendant avec obésité doit être traité en première intention par : A - Un régime hypocalorique B - Un sulfamide hypoglycémiant C - De l'insuline à faible dose D - De l'insuline à forte dose E - Un biguanide Bonne(s) réponse(s) : A Un régime hypocalorique, équilibré, avec restriction des sucres d'absorption rapide constitue le premier temps du traitement. Les antidiabétiques ne sont utilisés que si le régime est insuffisant pour contrôler le diabète.
Question à compléments multiples. La diététique de l'obésité implique que : A - La ration calorique globale est réduite d'un tiers environ au début B - La ration glucidique ne doit pas excéder 30 % de l'apport calorique C - Il faut conserver un apport protidique voisin de 1 g/kg de poids D - Le fractionnement des repas est souhaitable E - Les régimes "dissociés" sont déconseillés car ils peuvent conduire à des carences et n'ont pas de "valeur éducative" quant au comportement alimentaire Bonne(s) réponse(s) : C D E A : Très variable. Tout dépend de la consommation calorique habituelle, de l'âge, de l'activité physique, de la motivation, etc... B : Doit représenter 50 % de l'apport calorique.
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77 Question à complément simple.
105 Question à compléments multiples.
Parmi les cas de découverte récente chez les français de souche, quelle est la cause la plus fréquente d'insuffisance surrénale lente ? A - Rétraction corticale B - Métastases d'un cancer pulmonaire C - Tuberculose D - Déficit enzymatique E - Accident des anticoagulants
Les deux causes les plus fréquentes de l'insuffisance surrénale primaire de l'adulte sont en France : A - L'hémorragie des surrénales B - La tuberculose C - Les métastases surrénaliennes D - La rétraction corticale auto-immune E - Les états septicémiques Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : A A - Mécanisme auto-immun. B - Celles-ci ne sont que rarement symptomatiques. C - Cause la plus fréquente jusque vers 1960, plus rare maintenant chez les français "de souches". D - Plutôt un tableau d'insuffisance surrénale aigue chez l'enfant ou de trouble des règles chez la femme adulte. E - L'hémorragie surrénalienne doit être bilatérale et si elle est symptomatique, elle entraîne le plus souvent une insuffisance surrénalienne aigue.
51 Question à compléments multiples. Parmi les thérapeutiques ci-dessous, laquelle ou lesquelles sont dangereuses en présence d'une insuffisance surrénale primitive ? A - Pénicilline B - Hydrocortisone C - Potassium D - Régime sans sel E - 9 alpha Fluorohydrocortisone Bonne(s) réponse(s) : C D B E - C'est au contraire son traitement. C - Risque d'hyperkaliémie. D - Risque de décompensation d'une insuffisance surrénale aiguë par le biais d'une déplétion sodée. A - Sans rapport.
28 Question à complément simple.
113 Question à complément simple. Le test permettant d'apprécier la réactivité de la sécrétion d'Aldostérone lors de la suspicion d'insuffisance surrénale est : A - Test de la Métopirone B - Test à la T R H C - Test à la Régitine D - Test à la dexaméthasone E - Aucune de ces réponses Bonne(s) réponse(s) : E La réactivité de la sécrétion d'aldostérone s'apprécie lors de la mise en orthostatisme.
32 Question à complément simple. Parmi les thérapeutiques suivantes, laquelle est formellement contre-indiquée dans le traitement d'une insuffisance surrénale aiguë ? A- Chlorure de Sodium B - Chlorure de Potassium C - Syncortyl® (Désoxycortisone) D - Glucose E - Antibiotique Bonne(s) réponse(s) : B
Une malade de 42 ans est traitée depuis 5 ans pour une authentique insuffisance surrénale chronique. Elle reste fatiguée et hypertendue. Une erreur importante dans la prescription de son traitement précisé ci-dessous est probablement responsable de ce mauvais résultat : A - Hydrocortisone 10 mg : un comprimé le matin, à midi et le soir B - Flurocortisone 50 mg : un comprimé le matin C - Vitamine C 50 mg : un comprimé le matin et à midi D - Traitement à maintenir en permanence, doses à tripler en cas d'épisode infectieux intercurrent E - Maintient d'une alimentation très peu salée en raison de la corticothérapie Bonne(s) réponse(s) : E Au contraire, le régime doit être normalement salé. C'est dans le cas d'une corticothérapie à visée anti-inflammatoire que le régime doit être désodé pour éviter une rétention hydrosodée.
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La tuberculose était auparavant la cause la plus fréquente, actuellement, c'est la rétraction corticale auto-immune.
Jamais de K+ au début du traitement d'une insuffisance surrénalienne aiguë. Les antibiotiques peuvent être utiles dans le cas d'une éventuelle infection, responsable de la décompensation.
59 Question à compléments multiples. L'insuffisance surrénale périphérique se caractérise par : A - Cortisol bas et A.C.T H. basse B - Cortisol bas et A.C.T.H. normale C - Cortisol bas et A.C.T H. élevée D - Aldostérone basse et rénine basse E - Aldostérone basse et rénine élevée Bonne(s) réponse(s) : C E Sans commentaire.
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34 Question à compléments multiples.
60 Question à compléments multiples.
Devant une insuffisance surrénale chronique quel(s) argument(s) retenez-vous en faveur d'une étiologie tuberculeuse de la maladie ? A - Il existe des antécédents de tuberculose ostéoarticulaire B - La radiographie de l'abdomen montre des calcifications surrénales C - La médullosurrénale est atteinte D - La pigmentation est plus prononcée que dans les surrénalites auto-immunes E - L'intradermo-réaction à la tuberculine est négative
Parmi les circonstances suivantes, Iaquelle (lesquelles) peut (peuvent) entraîner une insuffisance surrénale aiguë chez un addisonien, en l'absence de traitement préventif ? A- Grippe B - Accouchement C - Diarrhée prolongée D - Régime sans sel E - Intervention chirurgicale
Bonne(s) réponse(s) : A B C La tuberculose surrénale n'est pas l'apanage des calcifications surrénaliennes bilatérales. L'atteinte médullosurrénale se manifeste par l'absence de réponse hyperadrénalurique lors de l'épreuve au 2. désoxyglucose.
46 Question à compléments multiples. Le traitement de l'insuffisance surrénale lente associe de l'hydrocortisone et de la 9 alpha-fluorohydrocortisone. Le régime à suivre doit être : A - Désodé B - Normosodé C - Avec apport de sels de potassium D - Sans apport de sels de potassium E - Riche en calcium
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Toute agression (infection, stress...) ou déperdition sodée (sudation, perte digestive...) doit faire doubler la dose d'hydrocortisone et de 9 alpha-fluorocortisone.
46 Question à compléments multiples. L'insuffisance surrénale aiguë se caractérise par : A - Une hypernatrémie B - Une hyperkaliémie C - Une hypoglycémie D - Une diminution du taux des protides plasmatiques E - Une elévation de l'hématocrite Bonne(s) réponse(s) : B C E A - Déficit sodé avec hyponatrémie, hypernatriurèse. B, C - Par déficit en gluco et minéralo-corticoïdes. D, E - Déshydratation avec hyperprotidémie et hémoconcentration.
Bonne(s) réponse(s) : B D Il s'agit d'un traitement substitutif à vie et non d'une corticothérapie au long cours ! Le traitement doit prescrire tout diurétique, laxatif et apport de potassium.
14 Question à complément simple. La dose moyenne quotidienne d'hydrocortisone permettant d'équilibrer une insuffisance surrénale primaire chez un adulte est de l'ordre de : A - 10 mg B - 30 mg C - 60 mg D - 100 mg E - 150 mg
91 Question à compléments multiples. Parmi les signes suivants lequel (lesquels) est (sont) habituel(s) dans l'insuffisance surrénale aiguë ? A - Déshydratation B - Hyperglycémie C - Hypotension artérielle D - Douleurs abdominales E - Diarrhée
Bonne(s) Réponse(s) : B Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E Les douleurs abdominales peuvent faire suspecter un tableau chirurgical mais le ventre reste souple.
59 Question à compléments multiples. La(les) conduite(s) suivante(s) est(sont) indiquée(s) pour le traitement de l'insuffisance surrénale lente (Addison) : A - Prise de Cortancyl (Prednisone) B - Régime sans sel C - Prise d'hydrocortisone un jour sur deux D - Prise quotidienne de 9 alphafluorohydrocortisone E - Prise quotidienne d'hydrocortisone
75 Question à complément simple. Préciser le test dynamique permettant d'apprécier la réactivité de la sécrétion du cortisol lors de la suspicion d'une insuffisance surrénale primaire : A - Test à la régitine B - Test à la déxaméthasone C - Test au T R H D - Test au Synacthène E - Aucune de ces réponses Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D E B - Régime normo-salé. C, E - 2 à 3 prises quotidiennes (20 à 60mg/jour). D - 25 à 100mg/jour.
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116 Question à compléments multiples.
19 Question à compléments multiples.
L'insuffisance surrénale aiguë peut entraîner le (les) désordre(s) biologique(s) suivant(s) : A - Hypokaliémie B - Hyponatrémie C - Hyperprotidémie D - Hypocalcémie E - Réserve alcaline diminuée
Devant cette suspicion d'insuffisance surrénale, quel(s) signe(s) va (vont) vous orienter pour confirmer le diagnostic ? A - Cicatrices pigmentées B - Episodes d'hypoglycémie à jeun C - Hypotension artérielle D - Douleurs osseuses E - Tendance à la constipation
Bonne(s) réponse(s) : B C E
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
A - Au contraire, hypokaliémie. B - Souvent importante avec hypochlorémie. C - Secondaire à la déshydratation. D - Acidose tubulaire par défaut de régénération des bicarbonates.
La mélanodermie touche aussi les zones découvertes, points de frottement (coudes, genoux), les plis de flexion palmaires. C - Orthostatique initialement qui aussi observée en décubitus par la suite. E - Observée chez 1/5 des patients.
22 Question à complément simple. L'origine tuberculeuse d'une insuffisance surrénale peut être envisagée devant : A - Le jeune âge du malade B - Le sexe féminin C - La positivité des anticorps antisurrénaliens D - La prédominance de l'insuffisance gluco-corticoïde (au début de l'évolution tout au moins) E - Aucun de ces arguments Bonne(s) réponse(s) : E C - Ces anticorps sont en faveur d'une rétraction corticale des surrénales et sont en principe négatifs dans une tuberculose. D - L'atteinte est globale. E - Des antécédents de tuberculose ou une autre localisation de la tuberculose et la présence de calcification surrénaliennes à l'ASP seraient en faveur de cette étiologie.
Une femme âgée de 25 ans consulte son médecin pour asthénie depuis plusieurs mois, asthénie croissante au cours de la journée. Au cours des dernières semaines, cette asthénie s'est accentuée, associée à une anorexie et, parfois à un état nauséeux. L'amaigrissement est chiffré à 5 kgs et l'entourage a noté que la patiente avait bronzé beaucoup plus que les étés précédents et s'en étonne puisqu'elle n'est pas beaucoup sortie de chez elle.
21 Question à complément simple. L'insuffisance surrénale étant confirmée, quel élément clinique ou biologique affirmera l'origine primitivement surrénalienne ? A - Valeur de la kaliémie B - Asthénie C - Nausées D - Mélanodermie E - Hypotension orthostatique Bonne(s) réponse(s) : D
45 Question à complément simple. Devant cette insuffisance surrénale confirmée, quel élément clinique retrouvé dans l'observation et/ou quel élément biologique ultérieur affirmeront (ou affirmera) la nature primitive ? A - La valeur de la kaliémie B - L'asthénie C - Les nausées D - L'hypotension orthostatique E - La mélanodermie
A - Une élévation franche de la kaliémie serait cependant en faveur d'un déficit primitif car le déficit minéralocorticoïde est absent ou modéré dans les insuffisances secondaires. D - La mélanodermie est liée à l'augmentation de synthèse de l'ACTH et ne s'observe pas dans les déficits surrénaliens secondaires.
Bonne(s) Réponse(s) : E La mélanodermie est témoin d'une hypersécrétion d'ACTH, témoin ellemême d'une IS primitive.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Parmi les examens suivants, il faut demander pour porter le diagnostic d'insuffisance surrénale lente?
Quelle(s) est (sont) la (les) modalité(s) du traitement de l'insuffisance surrénale aiguë?
A - Dosage de cortisol plasmatique à 8h du matin B - Dosage de cortisol plasmatique à 8h et à 16h C - Dosage de la cortisolurie des 24h D - Dosage des 17 OH corticostéroïdes des 24h E - Dosage de cortisol plasmatique à 8h et 60 mn après Synacthène® immédiat
A - Apport de 100 mg/24h d'hydrocortisone en intramusculaire B - Apport de 300 à 400 mg/24h d'hydrocortisone en intramusculaire C - 2 à 31/24h de sérum glucosé et 8g de KC1/24h D - 2 à 31/24h de sérum glucosé et 10 à 20 g de NaC1/24h E - 5 à 10 mg/24h de Syncortyl®
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B D E Le test au Synacthène immédiat permet à lui seul de faire le diagnostic d'insuffisance surrénale (ou de l'éliminer). Dans la majorité des cas, le cortisol avant Synacthène est effondré, pas ou très peu stimulable par l'injection (les sujets normaux ont un cortisol qui s'élève au moins à 20µg/dl).
Sans commentaire.
Le dosage de la cortisolurie des 24 heures est de moindre intérêt, les valeurs basses normales se superposant aux valeurs de certaines insuffisances surrénales.
Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les précautions qu'il faut enseigner à un patient atteint d'une insuffisance surrénale lente? A - Multiplier les doses d'hydrocortisone par 3 en cas d'infection ou de stress B - Suivre un régime normalement salé C - Ne jamais interrompre son traitement D - Avoir une carte d'addisonien E - Avoir au réfrigérateur les médicaments d'une décompensation aiguë Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Parmi les circonstances suivantes, laquelle (lesquelles) peut (peuvent) entraîner une insuffisance surrénale aiguë chez un addisonien, en l'absence de traitement préventif? A - Arrêt du traitement substitutif B - Accouchement C - Diarrhée prolongée D - Régime sans sel E - Intervention chirurgicale Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
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56 Question à complément simple. Les modifications ioniques constatées dans l'insuffisance surrénale aiguë sont : A - Hyponatrémie avec natriurèse conservée B - Hyponatrémie avec natriurèse effondrée C - Hypernatrémie avec natriurèse augmentée D - Hypernatrémie avec natriurèse effondrée E - L'insuffisance surrénale aiguë ne modifie pas le métabolisme du sodium Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
88 Question à compléments multiples. Quels sont les signes qui font partie du tableau classique d'insuffisance surrénale aiguë révélatrice d'une maladie d'Addison d'origine tuberculeuse ? A - Perte de poids B - Hypokaliémie C - Anorexie D - Hyponatrémie E - Calcifications surrénaliennes Bonne(s) réponse(s) : A C D E Il existe à l'inverse une tendance à l'hyperkaliémie avec kaliurèse basse. Les calcifications surrénaliennes sont quasi pathognomoniques de l'étiologie tuberculeuse d'une insuffisance surrénale périphérique.
93 Question à compléments multiples. La (les) pertubation(s) biologique(s) rencontrée(s) au cours d'une poussée aiguë d'insuffisance surrénale de la maladie d'Addison est (sont) : A - Hypokaliémie B - Hyponatrémie C - Hyperglycémie D - Natriurèse élevée E - Augmentation de l'hématrocrite Bonne(s) réponse(s) : B D E Le déficit hormonal s'accompagne d'une hyperkaliémie avec kaliurèse basse ainsi que d'une hypoglycémie. L'augmentation de l'hématocrite et de l'urée sanguine signe l'hypovolémie par fuite urinaire de sodium et stock sodé bas.
50 Question à compléments multiples. Dans l'insuffisance surrénale aiguë périphérique, on peut observer : A - Asthénie physique B - Syndrome confusionnel C - Collapsus D - Pigmentation cutanée E - Polyurie Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le déficit en cortisol s'accompagne d'un retard à l'élimination de l'eau libre (ppsiurie).
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Question à compléments multiples. Quels signes biologiques peuvent être rencontrés dans une insuffisance surrénale aiguë? A - Hypernatrémie B - Hyponatrémie C - Hyperkaliémie D - Hypoglycémie E - Elévation de l'hématocrite Bonne(s) réponse(s) : B C D E E : Par hémoconcentration liée à la déshydratation extracellulaire
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Question à compléments multiples. Quelle(s) est (ou sont) la (les) modalité(s) du traitement de l'insuffisance surrénale aiguë? A - Apport de 300 à 400 mg/24 h d'hydrocortisone, per os B - Apport de 300 à 400 mg/24 h d'hydrocortisone en intraveineux C - 2 à 3 l/24 h de sérum glucosé et 8 g de KCl/24 h D - 2 à 3 l/24 h de sérum glucosé et 10 à 20 g de NaCl/24 h E - 5 à 10 mg/24 h de Syncortyl® ( déoxycorticostérone) Bonne(s) réponse(s) : B D E C : Pas d'apport de potassium du fait de l'hyperkaliémie existante dans l'insuffisance surrénale aiguë La recherche et le traitement d'un facteur déclenchant sont fondamentaux.
Question à compléments multiples. Une insuffisance surrénale aiguë peut se manifester par : A - Une diarrhée B - Un syndrome douloureux abdominal aigu C - Un tableau d'anasarque D - Un état d'agitation E - Des crampes musculaires Bonne(s) réponse(s) : A B D E B : Parfois tableau pseudo-chirurgical D : Dž à l'oedème cérébral secondaire à l'hyponatrémie E : Très rare. S'intègre dans le syndrome des contractures musculaires, observé exceptionnellement au cours de l'insuffisance surrénale aiguë.
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66 Question à complément simple.
29 Question à complément simple.
L'association hypercalcémie-hypophosphorémie est caractéristique : A - De l'hyperparathyroïdie primitive B - De l'hyperparathyroïdie secondaire C - Du myélome multiple D - Du cancer secondaire osseux d'origine mammaire E - De la sarcoïdose
Au cours d'une hypercalcémie, les traitements suivants peuvent être employés, sauf un. Lequel ? A - Diurétiques de l'anse (furosémide, Lasilix®) B - Mithramycine (Mithracine®) C - Prednisone D - Digitaline E - Indométhacine (Indocid®)
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : D
Lors de l'hyperparathyroïdie secondaire à l'insuffisance rénale, la phosphorémie est normale ou haute par trouble de l'excrétion des phosphates. Dans le cadre des hypercalcémies des cancers on peut distinguer deux types : le premier où l'hypercalcémie est liée à la présence de métastases osseuses, la phosphorémie est normale, l'AMPc urinaire est bas ; le second appelé "hypercalcémie humorale maligne" où les métastases osseuses sont absentes ou peu étendues, l'hypercalcémie s'accompagne d'hypophosphorémie, d'un AMPc urinaire élevé mais il existe une alcalose hypochlorémique hypokaliémique et non l'acidose hyperchlorémique de l'hyperparathyroïdie primaire, elle est liée au PTHrp : parathormone related peptide (ou parathormone like peptide). Le granulome sarcoïdien est capable d'hydroxyler la vitamine D, l'hypercalcémie de la sarcoïdose est liée à cette hypervitaminose D et se révèle souvent à l'occasion d'une exposition solaire.
Tous les médicaments proposés peuvent être utilisés pour traiter une hypercalcémie sauf les digitaliques. La digitaline est au contraire contreindiquée dans les hypercalcémies comme dans les hypokaliémies.
94 Question à compléments multiples. L'hypercalcémie chronique doit être recherchée devant un ou plusieurs des signes suivants : A - Soif B - Polyphagie C - Tachycardie D - Constipation E - Asthénie Bonne(s) réponse(s) : A D E
73 Question à complément simple.
A - Syndrome polyuro-polydipsique fréquent mais en général modéré. B, D - Anorexie, nausées, constipation et vomissements sont fréquents.
La (les) manifestation(s) suivante(s) se rencontre(nt) dans les hypercalcémies aiguës : A - Confusion mentale B - Hypertension artérielle C - Polyurie D - Tachycardie E - Asthénie Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Il faut noter que la pression artérielle est le plus souvent abaissée.
65 Question à compléments multiples.
96 Question à compléments multiples. Parmi les causes suivantes d'hypercalcémie, quelle est ou quelles sont celle(s) comportant une hyperabsorption digestive du calcium ? A - Hyperparathyroïdie primitive B - Cancer osseux métastatique C - Hypervitaminose D D - Immobilisation E - Sarcoïdose Bonne(s) réponse(s) : C E
En présence d'une hypercalcémie, les éléments en faveur d'un hyperparathyroïdisme comportent : A - Hypophosphorémie B - Acidose métabolique C - Hypocalciurie D - Hyperactivité ostéoclasique E - Signes de résorption sous périostée Bonne(s) réponse(s) : A B D E B - Acidose tubulaire distale. C - Au contraire hypercalciurie (lithiase). E - Bien visible sur la 2ème phalange des mains. Référence - "Néphrologie" par M. LEGRAIN (Abrégés, Masson).
C, E - S'accompagnent d'une hypercalcémie avec hypercalciurie par hyperabsorption intestinale du calcium.
98 Question à compléments multiples. Pour traiter une hypercalcémie, vous pouvez envisager : A - Diurétique de l'anse (furosémide) B - Diurétiques du groupe thiazide C - Prednisone pour inhiber l'absorption calcique D - Thyrocalcitonine E - Mithramycine (mithracine®) Bonne(s) réponse(s) : A C D E B - Les thiazidiques sont anticalciuriques par augmentation de la réabsorption tubulaire du calcium.
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21 Question à complément simple. Lorsqu'on suspecte cliniquement une insuffisance antéhypophysaire chez une femme âgée de 55 à 60 ans, quel est l'examen le plus utile au diagnostic ? A - Glycémie B - TSH C - ACTH D - FSH-LH E - Prolactine Bonne(s) réponse(s) : D FSH et LH, normalement élevées chez une femme ménopausée (cas probable chez cette patient de 55 à 60 ans), sont, dans le contexte d'insuffisance antéhypophysaire, normales ou abaissées.
31 Question à complément simple. L'hypoglycémie de l'insuffisance antéhypophysaire est la conséquence de : A - Déficits somatotrope et thyréotrope B - Déficits somatotrope et corticotrope C - Déficit thyréotrope D - Déficit prolactinique E - Déficit gonadotrope Bonne(s) réponse(s) : B Dans cette circonstance, il est contre-indiqué d'avoir recours au test d'hypoglycémie insulinique pour faire la preuve de la carence en ACTH, cortisol et GN.
87 Question à complément simple. Dans l'insuffisance antéhypophysaire globale, l'asthénie et l'opsiurie sont la conséquence de : A - L'insuffisance thyréotrope B - L'insuffisance gonadotrope C - L'insuffisance corticotrope D - L'insuffisance somatotrope E - L'insuffisance prolactinique Bonne(s) réponse(s) : C Il existe au niveau du tubule rénal un antagonisme cortisol-ADH qui ne fonctionne plus lors d'une insuffisance corticotrope.
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60 Question à compléments multiples.
38 Question à complément simple.
Retenez parmi les propositions suivantes, la ou les causes possibles d'hypercalcémie : A - Sarcoïdose B - Hyperparathyroïdisme para néoplasique C - Myélome D - Cancer secondaire des os E - Ostéomalacie
Le résultat biologique le plus évocateur pour le diagnostic étiologique de l'hypercalcémie est : A - VS 11 mm à la première heure B - Glycémie = 1,05 g/l C - Sodium = 139 mmol/l D - Potassium = 4,6 mmol/l E - Phosphorémie = 22 mg/l
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Bonne(s) réponse(s) : E
E : Elle donne des hypocalcémies !
Sans commentaire.
40 Question à compléments multiples.
Un homme de 67 ans, sans antécédent pathologique personnel ou familial, est hospitalisé en urologie pour une lithiase urétérale droite révélée par une hématurie macroscopique. Le patient signale une asthénie et une perte de poids de 8 kg depuis 3 mois. Il pèse 59 kg pour une taille de 1,61 m. Sa tension artérielle est à 11/7. L'examen somatique est normal.
Une hypercalcémie peut être secondaire à : A - Un syndrome néphrotique B - Une hyperparathyroïdie C - Une immobilisation prolongée D - Une intoxication par la vitamine D E - Un traitement par la calcitonine
Le bilan biologique montre les résultats suivants: hémogramme normal, VS 11 mm à la première heure, électrophorèse des protides normales, créatininémie 95 mcmol/l, glycémie 1,04 g/l, sodium 139 mmol/l; potassium 4,6 mmol/l, calcémie 128 mg/l (3,2 mmol/l), phosphorémie 22 mg/l (10,73 mmol/l).
Bonne(s) réponse(s) : B C D
La calcémie est mesurée une seconde fois à 122 mg/l (3,05 mmol/l).
Le syndrome néphrotique s'accompagne d'une hypoalbuminémie et donc d'une diminution de la calcémie totale. La calcitonine est une hormone hypocalcémiante.
80 Question à compléments multiples.
42 Question à complément simple. Parmi les modalités d'explorations suivantes, indiquer celle qui est la plus fiable pour localiser la lésion responsable de l'hypercalcémie : A - Tomodensitométrie de l'abdomen B - Echotomographie cervicale C - Tomodensitométrie du cou D - Cervicotomie exploratrice E - Scintigraphie osseuse
Sont compatibles avec une hypercalcémie : A - Crise de tétanie B - Vomissements C - Polyurie D - Soif E - Troubles du sommeil
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B C D E La certitude biologique d'une hyperparothyroïdie doit conduire à une cervicotomie exploratrice par un chirurgien entraîné. D'authentiques adénomespara thyroïndiens mais également l'hyperplasie des parathyroïdes échappent au diagnostic topographique par échotomographie ou tomodensitométrie cervicales.
A : Dans les hypocalcémies au contraire.
100 Question à compléments multiples. 43 Question à compléments multiples.
Une hypercalcémie peut être causée par : A - Maladie de Kahler B - Maladie de Hodgkin C - Sarcoïdose D - Hémochromatose E - Pseudo hypoparathyroïdie Bonne(s) réponse(s) : A B C B : Rarement E : Au contraire tableau d'hypocalcémie (insensibilité tubulaire à la PTH).
Parmi les médicaments suivants, indiquer celui (ceux) que l'on peut utiliser dans le traitement médical de l'hypercalcémie aiguë: A - Diurèse forcée au furosémide (Lasilix®) B - Vitamine D C - Spironolactone (Aldactone®) D - Calcitonine E - Diphosphonate Bonne(s) réponse(s) : A D E Le traitement d'une hypercalcémie commence toujours par la correction de la dépletion hydrosodée qui aggrave en elle-même l'hypercalcémie. Le Lasilix® induit une calciurèse. De la calcitonine et les diphosphonates inhibent la résorption osseuse.
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44 Question à complément simple.
76 Question à compléments multiples.
Parmi les endocrinopathies suivantes indiquer celle qui peut être également responsable d'une hypercalcémie: A - Cancer médullaire sporadique de la thyroïde B - Hyperthyroïdie C - Maladie de Cushing D - Diabète insipide E - Hyperprolactinémie
Quelle(s) mesure(s) thérapeutique(s) peu(ven)t être envisagée(s) pour traiter l'hypercalcémie ? (sans tenir compte de la grossesse) A - Diurèse forcée induite par le furosémide + chlorure de sodium B - Diurèse forcée induite par les thiazidiques + chlorure de sodium C - Administration de thyrocalcitonine D - Corticothérapie, prednisone 100 mg/jour E - Résine échangeuse d'ions type Kayexalate®
Bonne(s) réponse(s) : B Une hypercalcémie modera peut être observée à l'inverse dans l'insuffisance surrénale.
Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
8 Question à compléments multiples. 77 Question à compléments multiples.
L'hypercalcémie peut s'accompagner de la(des) manifestation(s) clinique(s) suivante(s) : A - Crises convulsives B - Troubles de la conscience C - Douleurs abdominales D - Prurit cutané intense E - Polyurie
Comment s'expliquent les hypercalcémies associées à des cancers ? A - Synthèse d'un facteur activant l'ostéoclastose B - Production de protides inhibant la prathormone C - Destruction osseuse par les métatases D - Production de prostaglandines E - Synthèse de vitamine D (1-25 OH D3)
Bonne(s) réponse(s) : B C D E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A C Sans commentaire.
74 Question à compléments multiples. Parmi les symptômes et signes suivants, l'hypercalcémie peut être à l'origine de : A - abolition d'un réflexe ostéotendineux B - polyurie C - confusion mentale D - raccourcissement de l'espace QT sur l'électrocardiogramme E - douleur névralgique Bonne(s) réponse(s) : B C D A - Pas d'un seul. Une jeune femme de 27 ans est enceinte de 7 mois. Depuis 5 mois, elle se plaint de violentes douleurs que l'analyse clinique permet d'identifier comme d'origine sciatique. Ces douleurs l'obligent à s'aliter en permanence. L'examen montre une abolition du réflexe achilléen gauche, et 2 nodules mammaires. La gravidité est normale. Les deux radiographies (face + profil) de la colonne dorso-lombaire montrent un tassement de L5. Les radiographies du crâne et des mains sont normales, la radiographie pulmonaire également. La calcémie est à 3,25 mmol/l.
75 Question à complément simple. Quelle étiologie possible de l'hypercalcémie retenez-vous chez cette malade ? A - Etat gravidique B - Métastase osseuse d'un néoplasme C - Immobilisation prolongée D - Acromégalie E - Sarcoïdose Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
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Question à complément simple. 39
Question à compléments multiples. 48
Pour un homme de 65 ans atteint de dépression sévère depuis plusieurs semaines et qui présente un bon état général a part un diabète bien équilibré par des sulfamides hypoglycémiants et une hypertrophie prostatique. quel est parmi les 5 traitements suivants, celui qu'il faut choisir ? A - Imipramine (Tofranil®) B - Carbonate de lithium (Téralithe®) C - Méprobamate (Equanil®) D - Viloxazine (Vivalan®) E - Chlorpromazine (Largactil®)
A propos des risques d'incidents et d'accidents des sulfamides hypoglycémiants vous retenez : A - Risque d'une action tératogène pendant la grossesse B - Risque d'une intoxication par l'eau avec le chlorpropamide C - Pas de risque d'utilisation chez l'insuffisant rénal D - Accident toxo-allergique possible E - Risque d'acidose lactique
Bonne(s) réponse(s) : D Le traitement d'une dépression fait appel à des antidépresseurs et l'adénome prostatique contre-indiqué les imipraminiques.
Question à complément simple. 86 La plupart des anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent majorer dangereusement l'effet des anticoagulants oraux et des hypoglycémiants sulfamidés. Cela s'explique par : A - Une induction enzymatique B - une inhibition enzymatique C - La défixation protéique par compétition D - L'augmentation de la biodisponibilité E - La diminution de l'effet de premier passage hépatique Bonne(s) réponse(s) : C Les anticoagulants oraux sont très fixés sur les protéines sériques, seul un très faible pourcentage (2 à 3 %) circule sous forme libre dans le sang. L'introduction d'une substance avec une affinité supérieure peut multiplier par 2 ou par 3 le taux de la forme libre.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le risque d'acidose lactique se voit au cours des traitements par les biguanides, mais pas avec les sulfamides. L'intoxication par l'eau est exceptionnelle. Utilisation prudente voire contre-indiquée en cas d'insuffisance rénale (chlorpropamide). Tous les sulfamides sont allergisants.
Question à complément simple. 13 Parmi les médicaments hypoglycémiants oraux suivants, lequel devez-vous de préférence prescrire à un diabétique non insulino-dépendant insuffisant rénal ? A - Glucophage retard® B - Glucidoral® C - Stagid® D - Daonil® E - Minidiab® Bonne(s) réponse(s) : E A C - Biguanides : contre-indication formelle de l'insuffisance rénale. Il faut choisir celui qui a la demi-vie la plus courte pour éviter au maximum le surdosage, soit le Glibénèse®, soit le Minidiab®.
Question à complément simple. 94 L'action hypoglycémiante des sulfamides antidiabétiques peut être potentialisée par l'un des médicaments suivants. Lequel ? A - Tétracycline B - Pénicilline G C - Noramidopyrine D - Antivitamines K E - Hormones thyroïdiennes Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à complément simple. 96 Les médicaments suivants renforcent l'action hypoglycémiante des sulfamides hypoglycémiants, sauf un. Lequel ? A - Salicylés B - Phénylbutazone C - Benzodiazépines D - Bêta-bloquants non sélectifs E - Diurétiques thiazidiques Bonne(s) réponse(s) : C Les AINS déplacent les sulfamides hypoglycémiants de l'albumine à laquelle ils se lient. Tous les sulfamides (anti-infectieux, diurétiques) sont capables de potentialiser l'effet des sulfamides hypoglycémiants. Les bêta-bloquants non sélectifs augmentent l'incidence et la sévérité de l'hypoglycémie (dont ils masquent les signes à médiation adrénergique).
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Question à complément simple. 54 Parmi les insulines suivantes, commercialisées en France, laquelle est utilisable dans le traitement par pompe à insuline ? A - Insuline Monotard® B - Insuline Ultratard® C - Insuline NPH® D - Insuline endopancrine ordinaire E - Insuline Rapitard® Bonne(s) réponse(s) : D C'est la seule insuline rapide parmi les insulines proposées. L'intérêt de l'insuline à la pompe réside dans la grande facilité de modifications des posologies adaptées sur les fréquents contrôles de la glycémie au doigt. Ceci implique donc une insuline d'action rapide et peu prolongée.
Question à complément simple. 88 Le dosage le plus courant des préparations commerciales d'insuline est de : A - 5 UI/mI B - 10 UI/ml C - 20 UI/mI D - 40 UI/mI E - 100 UI/mI Bonne(s) réponse(s) : D On trouve cependant des flacons d'insuline Actrapid® à 5 UI/ml et des flacons d'insuline pour pompes Endopancrine® à 100UI/ml.
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57 Question à complément simple.
60 Question à complément simple.
Un allongement du temps de Quick peut s'observer dans : A - Maladie de Willebrand B - Hémophilie A majeure C - Hémophilie B majeure D - Héparinothérapie à dose curative E - Aucune de ces circonstances
Parmi les facteurs plasmatiques de coagulation suivants, quel est celui dont le déficit isolé majeur s'accompagne d'un allongement important du temps de céphaline avec activateur, alors que le temps de Quick reste normal ? A - Prothrombine (II) B - Proaccélérine (V) C - Proconvertine (Vll) D - Facteur anti-hémophilique B (IX) E - Facteur Stuart (X)
Bonne(s) réponse(s) : D A - TS augmenté, TCA augmenté. B - TCA augmenté. C - TCA augmenté. D - TCA augmenté, TP augmenté (facteurs communs aux deux voies).
43 Question à compléments multiples. Indiquez, parmi les affections suivantes, celle(celles) s'accompagnant d'un allongement du temps de saignement : A - Purpura rhumatoïde B - Maladie de Willebrand C - Hémophilie B majeure D - Insuffisance rénale chronique E - Maladie hémorragique du nouveau-né Bonne(s) réponse(s) : B D A - Pas d'anomalie de l'hémostase. B - TS allongé par déficit en facteur Willebrand. C - Pas d'atteinte de l'hémostase primaire. D - Régressive après dialyse. E - Hypovitaminose K. Pas d'atteinte de l'hémostase primaire.
Bonne(s) réponse(s) : D Devant un TCA allongé avec TP normal, évoque un déficit en facteur VIII (hémophilie A) puis, si le VIII est normal, en facteur IX (hémophilie B).
67 Question à compléments multiples. Un allongement du temps de Quick associé à un allongement du temps de céphaline activé peut avoir pour cause : A - Un déficit constitutionnel en proconvertine (VII) B - Une hypovitaminose K C - Une insuffisance hépatique D - Une hémophilie A ou B E - Une maladie de Willebrand Bonne(s) réponse(s) : B C A - Donne un allongement isolé du TQ. B - Touche la voie intrinsèque et extrinsèque de la coagulation. C - Idem, item B. Le diagnostic différentiel se fait sur la correction (hypovitaminose K) ou non des anomalies après injection de vitamine K (test de Kohler).. D - N'allongent pas le TQ (voie intrinsèque uniquement concernée). E - Idem item D.
34 Question à compléments multiples. Un allongement du temps de céphaline avec activateur est observé lors : A - De la présence d'un anti-coagulant circulant antifacteur huit B - D'une hémophilie B C - D'une maladie de Willebrand D - D'une thrombocytose sévère E - D'un traitement héparinique à dose hypocoagulante Bonne(s) réponse(s) : A B C E D - Affecte l'hémostase primaire et non la voie intrinsèque de coagulation.
95 Question à complément simple. Un allongement du temps de saignement avec numération plaquettaire peut être expliqué par les circonstances suivantes, sauf une. Laquelle ? A - Purpura rhumatoïde B - Prise d'acide acétyl-salicylique C - Thrombopathie constitutionnelle D - Dysglobulinémie monoclonale E - Insuffisance rénale Bonne(s) réponse(s) : A
106 Question à compléments groupés.
Par vascularite.
Quel(s) est(sont) le (les) facteur(s) de l'hémostase à faire doser en présence d'un allongement du temps de céphaline Kaolin ? 1 - Facteur IX 2 - Facteur VIII 3 - Facteur XI 4 - Facteur VII Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A 4 - Fait partie de la voie extrinsèque, explorée par le temps de Quick, les autres font partie de la voie intrinsèque de la coagulation.
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24 Question à compléments multiples. L'administration parentérale de vitamine K peut normaliser le temps de Quick quand l'allongement en est dû à : A - Hépatite virale B - Ictère par obstruction de la voie biliaire principale C - Déficit constitutionnel en facteur VII D - Cirrhose du foie E - Intoxication par la Coumarine Bonne(s) réponse(s) : B E L'administration de vitamine K corrige l'allongement du TP lorsque celuici est lié à une carence en vitamine K agissant sur les facteurs II, VII + IX et X. Les causes de carence en vitamine K sont schématiquement : les carences d'apport en vitamine K, les défauts d'absorption de la vitamine K et l'utilisation des Antagonistes de la vitamine K.
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57 Question à compléments multiples.
80 Question à complément simple.
Un allongement du temps de saignement doit évoquer : A - Un déficit congénital en facteur VIII (hémophilie A) B - Une thrombopénie C - Un déficit en protéine C D - Une thrombopathie E - Un déficit congénital en facteur IX (hémophilie B)
Parmi les facteurs plasmatiques de coagulation suivants, quel est celui dont le déficit isolé majeur s'accompagne d'un allongement important du temps de céphaline avec activateur, alors que le temps de Quick reste normal ? A - Prothrombine (II) B - Pro accélérine (V) C - Pro convertine (VII) D - Facteur anti-hémophilique B (IX) E - Facteur Stuart (X)
Bonne(s) réponse(s) : B D Une thrombopénie < 80 000/mm3 entraîne une augmentation du TS. Les déficits en facteur VIII et IX n'entraînent pas d'augmentation du TS puisqu'il n'y a pas d'atteinte de l'hémostase primaire. Toute thrombopathie se caractérise entre autre anomalie par un allongement du TS. La protéine C activée a pour rôle essentiel l'inhibition de l'activité procoagulante des facteurs Va et VIIIa. Il n'y a pas d'atteinte de l'hématose primaire.
69 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) correspond(ent) à un allongement du temps de céphaline + activateur et à un temps de Quick normal ? A - Déficit en fibrinogène B - Déficit en facteur antihémophilique A (facteur Vlllc) C - Déficit en proaccélérine (facteur V) D - Déficit en facteur Hageman (facteur Xll) E - Traitement aux anti-vitamines K au long cours
Bonne(s) réponse(s) : D Le temps de Quick explore : VII X V II accessoirement fibrinogène.
110 Question à compléments multiples. Dans quelle(s) affections(s) observe-t-on un allongement du temps de Quick avec abaissement du facteur V ? A - Insuffisance hépatocellulaire B - Maladie de Willebrand C - Intoxication aux anti-vitamines K D - Coagulation intravasculaire disséminée E - Afibrinogénèmie congénitale
Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : A D
A et C - Le fibrinogène et le facteur V font partie du tronc commun de la coagulation. Leur déficit affecte les deux voies de la coagulation. E - Affecte les deux tests car la diminution du VII vitmino-K dépendant, allonge le temps de Quick. B et D - Le VIII c et le XII font partie uniquement de la voie intrinsèque explorée spécifiquement par le TCK.
On notera que : - L'afibrogénémie congénitale comme l'hypofibrinogénémie et les dysfibrinémies se caractérisent par un allongement du temps de thrombine. - L'intoxication aux AVK entraine une baisse des facteurs de coagulation II, VII, IX, X et des anticoagulants physiologiques : protéine C et protéine S. - On retiendra que le facteur V est soit normal soit modérément diminué dans les fibrinolyses aiguës primitives isolées.
33 Question à complément simple. Le déficit isolé en l'un des facteurs suivants se traduit par un allongement du temps de Quick, alors que le temps de céphaline active reste normal. Indiquez ce facteur : A - Prothrombine (II) B - Proaccélérine (V) C - Proconvertine (VII) D - Facteur antihémophilique A (VIII) E - Facteur antihémophilique B (IX) Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
87 Question à compléments multiples. Un allongement isolé du Temps de Céphaline + Activateur dans un bilan de coagulation peut révéler : A - Une hémophilie A B - Une insuffisance hépatique modérée C - Une maladie de Willebrand D - Un inhibiteur pathologique de la coagulation E - Une hypofibrinémie marquée Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
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25 Question à compléments multiples. L'allongement du temps de Quick, observé chez ce malade, peut s'expliquer par un déficit en : A - Facteur antihémophilique B (facteur IX) B - Prothrombine (facteur II) C - Proaccélérine (facteur VI) D - Proconvertine (facteur VII) E - Facteur Stuart (facteur X) Bonne(s) réponse(s) : B C D E Les modifications de l'hémostase chez les insuffisants hépatiques sont dues au défaut de production des facteurs synthétisés dans le foie: II, VII, IX, X, l'fibrinogène, protéine C, antithrombine III, antiplasmines. BCDE.- Influencent le TQ.
26 Question à compléments multiples. Cet allongement du temps de Quick dû à l'insuffisance cellulaire hépatique, peut être corrigé par : A - Etamsylate (Dicynone®) B - Transfusion de concentrés plaquettaires C - Transfusions de plasma frais D - Vitamine K1 E - Transfusion de facteur VIII Bonne(s) réponse(s) : C A - Sans rapport, diminue la perméabilité vasculaire. B - Sans influence sur le TQ. C - Apporte tous les facteurs de la coagulation, présents à un taux supérieur à 70. D - Inefficace (diagnostic différentiel avec les carences en vitamine K). E - N'influence pas le TP.
59 Question à compléments multiples. Dans ce cas précis, l'allongement du TCA est consécutif à : A - Déficit en facteur VII B - Déficit en facteur II C - Déficit en facteur IX D - Hyperfibrinémie E - Héparinothérapie Bonne(s) réponse(s) : C E L'allongement du TCA est lié à l'avitaminose K par le biais du déficit en F IX qui est un facteur vitamine K dépendant synthétisé au niveau du foie.
60 Question à complément simple. Parmi les éléments suivants capables d'allonger le temps de thrombine, indiquez celui qu'il faut invoquer en premier pour expliquer l'allongement du temps de thrombine dans ce cas particulier : A - Présence d'héparine B - Présence de PDF C - Dysfibrinogénémie D - Hyperfibrinémie E - Dysglobulinémie Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
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46 Question à compléments multiples.
10 Question à compléments multiples.
Parmi le(s) caractère(s) suivant(s) quel(s) est (sont) celui (ceux) rencontré(s) au cours d'une anémie hémolytique autoimmune ? A - Microcytose B - Test de coombs positif C - Diminution du fer sérique D - Augmentation du nombre des réticulocytes E - Bilirubine libre augmentée
Parmi les maladies suivantes, quelles sont celles qui se compliquent fréquemment d'une anémie hémolytique autoimmune ? A - Leucémie aiguë myéloblastique B - Leucémie Iymphoïde chronique C - Leucémie myéloïde chronique D - Hémochromatose E - Lupus érythémateux disséminé
Bonne(s) réponse(s) : B D E
Bonne(s) réponse(s) : E
A - Non, anémie normo ou macrocytaire (par régénération). B - Permet le diagnostic différentiel avec les anémies immuno allergiques. C - Anémies par carence martiale et inflammatoire. D - Caractérise la régénération présente dans l'AHAI. E - Conséquence de l'hémolyse extra-vasculaire.
A - Insuffisance médullaire avec anémie. B - Ainsi que les lymphomes ou la maladie de Waldenström. C - Anémie peu fréquente dans le tableau initia.l D - Atteinte de l'érythropoïèse. E - A rechercher systématiquement devant D AHAI.
20 Question à compléments multiples.
83 Question à complément simple. Un homme de 56 ans consulte pour anémie. Les premiers résultats hématologiques sont les suivants : Hématies : 2 M/mm3 Hématocrites : 24 % Hémoglobine : 8g/100 ml Il existe une anémie : A - Normochrome normocytaire B - Normochrome microcytaire C - Hypochrome microcytaire D - Normochrome macrocytaire E - Aucune de ces propositions n'est exacte
Une anémie normochrome normocytaire régénérative peut être d'origine : A - Inflammatoire B - Hypoplasique C - Hémorragique D - Endocrinienne E - Hémolytique Bonne(s) réponse(s) : C E A - Pas de régénération, micro ou normocytose. B - Pas de régénération, normocytose, normochromie. D - Anémies normocytaires ou macrocytaires arégénératives (hypophyse, thyroïde).
Bonne(s) réponse(s) : D VGM = Ht/GR = 120 µ3. CCMH = Hb/Ht = 0,33.
27 Question à compléments multiples.
72 Question à complément simple. Au cours d'une anémie microcytaire par saignement dont la cause est traitée et qui recoit un traitement martial, quelle est l'anomalie témoin de la carence martiale qui persiste le plus longtemps ? A - Diminution du nombre de globules rouges par mm3 B - Diminution de l'hématocrite C - Diminution de la concentration de l'hémoglobine D - Diminution de la concentration du fer sérique E - Augmentation de la sidérophiline Bonne(s) réponse(s) : E
Une anémie profonde normochrome normocytaire accompagnée d'une leucopénie et d'une thrombopénie sévères doit faire évoquer : A - Une leucémie myéloïde chronique B - Une leucémie aiguë C - Une carence martiale sévère D - Une aplasie médullaire E - Une maladie de Hodgkin II B Bonne(s) réponse(s) : B D A - Anémie modérée, hyperleucocytose, plaquettes normales ou augmentées (en phase chronique). C - Anémie microcytaire, GB normaux, thrombocytose. E - Anémie discrète, hyperleucocytose modérée, thrombocytose modérée possible.
Se normalise en 3 mois environ, sinon impose la poursuite pendant un mois du traitement martial.
97 Question à complément simple. Une macrocytose modérée (VGM a 106 fl) sans anémie chez un éthylique chronique doit conduire à : A - Faire un dosage des folates sériques B - Faire un dosage du fer sérique C - Faire un dosage de la vitamine B 12 sérique D - Faire un myélogramme E - Aucune des attitudes précédentes Bonne(s) réponse(s) : E A C - Macrocytose associée à une anémie.
RESIDANAT POCHE Tome " I "- QCM - QCS B - Anémie EN microcytaire.
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D - Non nécessaire dans ce contexte clinique évocateur.
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32 Question à complément simple.
108 Question à compléments groupés.
L'hémogramme d'un homme de 45 ans comporte les résultats suivants : - hématies : 1,8 10 exposant 12/l - Hémoglobine 7,7 g/dl - hématocrite : 0,23 I/I - Réticulocytes 35 10 exposant 9/l
Chez un sujet en bonne santé apparente, qui consomme régulièrement 120 g d'alcool par jour, une macrocytose des globules rouges sans anémie : 1 - Est l'expression d'une mégaloblastose médullaire 2 - Est le témoin de la toxicité hépatique de l'alcool 3 - Est la seule conséquence d'une carence en vitamine B 12 4 - Régresse après le sevrage d'alcool Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Il s'agit d'une anémie : A - Normochrome, macrocytaire, régénérative B - Normochrome, normocytaire, arégénérative C - Hypochrome, microcytaire, arégénérative D - Normochrome, macrocytaire, arégénérative E - Hypochrome, macrocytaire, régénérative
Bonne(s) réponse(s) : D La macrocytose isolée ne nécessite aucune exploration complémentaire et se traite par sevrage alcoolique en quelques mois.
Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit d'une anémie (Hb = 7,7 gr/DL) normochrome car CCMH = Hb/HT = 0,33, macrocytaire car VGM = Ht/GR>100 ; arégénérative car les réticulocytes sont < 150 000/mm3.
64 Question à complément simple. Parmi les affections malignes suivantes, quelle est celle qui se complique le plus volontiers d'anémie hémolytique autoimmune ? A - Maladie de Hodgkin B - Leucémie Iymphoïde chronique C - Myélome multiple D - Leucémie aiguë Iymphoblastique E - Leucémie myéloïde chronique Bonne(s) réponse(s) : B A - Avec immunité humorale conservée, cellulaire déprimée. B - La plus fréquente, parfois associée à une thrombopénie immunologique. CDE - Ne fait pas partie des complications de ces affections.
Lors d'une anémie par saignement chronique, quel est (quels sont) le(s) propositions vraies ? A - Fer sérique diminué B - Volume globulaire moyen diminué C - Transferrine sérique diminuée D - Ferritine sérique diminuée E - Vitamine B12 sérique diminuée A - Apparaît après baisse de la ferritinémie. B - Après baisse du fer sérique. C - Anémies inflammatoires. D - Première anomalie dans la constitution de l'anémie. E - Pas de rapport.
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Au bout de trois mois de traitement par la vitamine B 12 pour une anémie de Biermer, tous ces signes disparaissent sauf un, lequel ? A - Macrocytose B - Elevation des LDH C - Présence de métamyélocytes géants D - Mégaloblastose médullaire E - Achlorhydrie gastrique Bonne(s) réponse(s) : E L'achlorhydrie gastrique est la cause et non la conséquence de la carence en vitamine B12 observée au cours du Biermer, ceci par le biais du défaut de sécrétion de facteur intrinsèque consécutif à la gastrite. L'anomalie de l'hémogramme qui disparait le plus tardivement est la polysegmentation des leucocytes.
36 Question à complément simple.
48 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B D
35 Question à complément simple.
Parmi les propositions suivantes, laquelle est la plus compatible avec le diagnostic d'anémie inflammatoire ? A - Hémoglobine : 6 g/dl ; volume globulaire moyen : 60 fl ; réticulocytes : 20.10 exposant 9/l B - Hémoglobine : 9 g/dl ; volume globulaire moyen : 110 fl ; réticulocytes : 20.10 exposant 9/l C - Hémoglobine : 9 g/dl ; volume globulaire moyen : 80 fl ; réticulocytes : 20.10 exposant 9/l D - Hémoglobine : 9 g/dl ; volume globulaire moyen : 95 fl ; réticulocytes : 200 10 exposant 9/l E - Hémoglobine : 9 g/l ; volume globulaire moyen : 110 fl ; réticulocytes : 200.10 exposant 9/l Bonne(s) réponse(s) : C L'anémie inflammatoire est initialement normochrome, normocytaire, arégénérative. Elle devient ensuite microcytaire (le diagnostic différentiel avec l'anémie par carence martiale se fait alors à l'aide du coefficient de saturation de la sidérophilline et le dosage de la férritinémie).
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37 Question à complément simple.
63 Question à compléments multiples.
Indiquer, parmi les caractères suivants, celui qui est commun à toutes les anémies arégenératives : A - Taux d'hémoglobine inférieur à 8 g/dl B - Macrocytose C - Réticulocytopénie D - Sidérémie normale E - Myélogramme de densité appauvrie
Une anémie hémolytique à autoanticorps froids de classe IgM : A - Peut s'observer au cours d'un Iymphome B - Peut s'observer au cours d'une mononucléose infectieuse C - Peut s'observer au cours d'une infection à mycoplasmes D - Peut être due à une immunoglobuline monoclonale E - S'accompagne d'un test de Coombs direct positif de type complément
Bonne(s) réponse(s) : C Régénération si réticulocytes > ou égal à 120 à 150 000/mm3
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Elle s'accompagne d'une positivité du test de Coombs direct de type "complément" (l'IgM est souvent difficile à détecter à la surface des hématies, car elle ne se fixe qu'à 4°C), les IgM dirigées contre les antigènes du groupe I,i. Elle peut s'observer chez l'adulte, au cours de la maladie des agglutinines froides (idiopathique, IgM souvent monoclonale de titre élevé) ou des hémopathies malignes (LLC, Waldenström, Iymphome), ou chez l'enfant, au décours d'infections (virales: MNI, grippe, oreillons, hépatite, rougeole, CMV, etc...; des pneumonies atypiques à mycoplasme, des rhinopharyngite)s.
39 Question à complément simple. L'anémie rencontrée au cours de l'insuffisance rénale chronique est le plus fréquemment de type : A - Macrocytaire, normochrome, régénérative B - Normochrome, normocytaire, régénérative C - Hypochrome, microcytaire, hyposidérémique D - Hypochrome, microcytaire, hypersidérémique E - Normochrome, normocytaire, arégénérative Bonne(s) réponse(s) : E C'est un symptôme fréquent, le plus souvent bien toléré car d'installation progressive, lié à plusieurs mécanismes: - diminution de synthèse de l'érythropoïétine - hémolyse extra-corpusculaire par accumulation de produits toxiques normalement épurés par le rein - peuvent aussi intervenir: carence en folates, carence en fer.
71 Question à complément simple. La découverte d'une anémie à 3 g/dl, macrocytaire (112 fl), non régénérative chez un adulte non éthylique doit conduire en premier lieu à : A - Un test thérapeutique par vitamine Bl2 B - Un test thérapeutique par l'acide folique C - Un examen de la moelle osseuse D - Un test de Coombs direct E - Transfuser des hématies
69 Question à complément simple. Sur l'hémogramme suivant : Hématies : 2.10 exposant 12/l Hématocrite : 0,24 l/ll Hémoglobine : 8g/100 ml Il existe une anémie : A - Normochrome normocytaire B - Normochrome microcytaire C - Hypochrome microcytaire D - Normochrome macrocytaire E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : D VGM = Ht/Nb GR = 120 µ3. CCMH = Hb/Hte= 0,33. Il s'agit donc d'une anémie normochrome (CCMH entre 30 et 36%) et macrocytaire (VGM > 100 µ3).
Bonne(s) réponse(s) : C En dehors des étiologies ne nécessitant pas de ponction sternale (alcoolisme chronique, insuffisance thyroïdienne ou antéhypophysaire), la découverte d'une anémie macrocytaire non régénérative impose la pratique d'un myélogramme à la recherche d'une étiologie carentielle (folates ou B12) ou non (anémies réfractaires, chimiothérapies, congénitales).
118 Question à compléments multiples. Dans quelle(s) situation(s) peut-on rencontrer une fausse anémie par hémodilution ? A - Grossesse au cours des trois derniers mois B - Maladie de Waldenström C - Traitement diurétique D - Splénomégalie volumineuse par hypertension portale E - Myélome multiple des os à chaînes légères Bonne(s) réponse(s) : A B D A - A partir du 2ème trimestre, le volume plasmatique et le volume globulaire augmentent, mais le premier plus vite que le second, entraînant une "anémie" fausse, physiologique. B - Etiologie classique avec augmentation du volume plasmatique et une baisse du taux d'hémoglobine sans anémie vraie, liés à l'hyperprotidémie importante (immunoglobuline monoclonale). C - Au contraire, risque d'hémoconcentration par déshydratation extracellulaire. D - Par augmentation parfois considérable du volume plasmatique. E - Ne comporte généralement pas d'hémodilution en raison du faible taux de chaînes légères dans le sang (pas d'hyperprotidémie, hypogammaglobulinémie franche).
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49 Question à compléments multiples.
85 Question à complément simple.
Le traitement d'une anémie par carence en fer due à un saignement chronique chez l'adulte repose, outre le traitement de la cause, sur : A - Un sel de fer per os à la dose de 150 mg de fer métal par jour B - Un sel de fer per os à la dose de 60 mg de fer métal par jour C - Le fer injectable (100mgx10 I.M.) D - Un régime alimentaire riche en fer E - Un traitement combiné per os par sel de fer et acide folique
Quel est le principal site d'élimination des hématies chez un malade présentant une anémie hémolytique auto-immune causée par des anticorps IgG ? A - La rate B - Le foie C - Les vaisseaux sanguins (lyse intravasculaire) D - La moelle osseuse E - Les ganglions Iymphatiques Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A
Il s'agit d'une lyse intratissulaire prédominant dans la rate, le second organe concerné est le foie.
B - Posologie insuffisante (100 à 250 mg/jour). C - Indication exceptionnelle (grande malabsorption). D - Contrôle exact des apports impossible. E - L'acide folique est indiqué dans les anémies par hémolyse chronique.
88 Question à complément simple.
39 Question à complément simple. L'étiologie la plus fréquente des anémies ferriprives de l'adulte en France est : A - Un régime alimentaire carencé en fer B - Un trouble de l'absorption du fer C - Une hémolyse D - Un saignement chronique E - Une inflammation Bonne(s) réponse(s) : D Le saignement chronique est la cause de 90% environ des anémies ferriprives en France. L'inflammation n'est pas responsable d'une anémie "ferriprive".
51 Question à compléments multiples. Parmi les anémies observées chez les cancéreux, l'anémie hémolytique auto-immune est anormalement fréquente, seulement au cours de certaines affections malignes. Laquelle(lesquelles) parmi les suivantes ? A - Myélome multiple B - Cancer de l'estomac C - Leucémie Iymphoïde chronique D - Thymome E - Neuroblastome Bonne(s) réponse(s) : C A - Anémie normochrome normocytaire arégénérative avec hématies en rouleaux (liée en partie à l'hémodilution). B - Non, plutôt tumeurs ovariennes. C - Complications classiques, anémie hémolytique à Coombs positif type IgG, traitement: corticothérapie. D - Association non classique. E - Association non classique.
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Dans une maladie de Biermer, après correction de l'anémie par la vitamine B 12, le traitement : A - Doit être interrompu pour éviter une surcharge en vitamine B 12 B - Doit être poursuivi par voie orale (10 microgrammes par jour) jusqu'à normalisation du taux de vitamine B 12 du sérum C - Doit être poursuivi par voie parentérale (1 000 microgrammes par mois) jusqu'à normalisation du taux de vitamine B 12 du sérum D - Doit être poursuivi par voie orale (10 microgrammes par jour) à vie E - Doit être poursuivi par voie parentérale (1 000 microgrammes par mois) à vie Bonne(s) réponse(s) : E La maladie de Biermer est une maladie auto-immune caractérisée par une malabsorption de B12 par tarissement de la sécrétion en facteur intrinsèque. Le traitement se fait donc par voie parentérale (attaque: 1000 kg/jour pendant 10 jours pour reconstituer les réserves, puis entretien par une injection de 1000 kg/mois), et à vie.
31 Question à complément simple. Le traitement d'attaque habituel d'une anémie hémolytique auto-immune à test de Coombs positif de type IgG est chez une femme de 40 ans : A - La corticothérapie : 0,5 mg/kilo/jour B - La corticothérapie : 1,5 mg/kilo/jour C - La splénectomie D - L'azathioprine (Imurel®) E - La cyclosporine Bonne(s) réponse(s) : B Le traitement est: - causal si possible (arrêt d'un médicament, intervention si kyste de l'ovaire) - corticothérapie à la dose de 1 à 2 mg/kg pendant quelques semaines avec baisse progressive à la normalisation de l'hémoglobine, puis entretien à faible dose - en cas de corticorésistance: splénectomie (si destruction splénique pure ou prédominante à l'épreuve isotopique) - sinon: discussion d'immunosuppresseurs = chloraminophène, endoxan.
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44 Question à complément simple.
62 Question à complément simple.
Indiquez parmi les propositions suivantes, le délai où pourra être surement retrouvée la crise réticulocytaire qui apparait après l'administration adéquate du facteur vitaminique manquant dans une anémie mégaloblastique : A - 6 heures B - 24 heures C - 48 heures D - 8 jours E - 20 jours
Une anémie macrocytaire non régénérative avec paresthésies et troubles de la sensibilité profonde au niveau des membres inférieurs évoque en premier lieu : A - Une coïncidence pathologique B - Une carence en vitamine B 12 C - Une carence en acide folique D - Un éthylisme chronique E - Une double carence en vitamine B 6 et en vitamine B 12 Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : D Evident. Lors du traitement par vitaminothérapie B12, la mégaloblastose disparait en quelques heures, et la crise réticulocytaire dure du 6ème jour au deuxième mois.
57 Question à compléments multiples. 110 Question à compléments multiples. 5 causes d'anémie non traitées sont proposées ci-dessous. Une réticulocytose élevée s'observe habituellement dans : A - Méno-métrorragies de longue date B - Sphérocytose héréditaire C - Leucémie aiguë D - Maladie de Biermer E - Insuffisance rénale chronique Bonne(s) réponse(s) : B A - Il s'agit d'une anémie arégénérative par carence martiale. B - La plus fréquente des anémies héréditaires (corpusculaire) avec hyperhémolyse régénérative. C - Non, bien sur, insuffisance médullaire sans possibilité de régénération par envahissement blastique. D - Il s'agit d'une anémie normochrome macrocytaire arégénérative (avec érythropoïèse inefficace). E - Il s'agit d'une anémie normochrome normocytaire arégénérative, due principalement à la baisse de synthèse de l'érythropoïétine et à une hémolyse extracorpusculaire par accumulation.
65 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes qui concernent l'étiologie des anémies hémolytiques auto-immunes de type IgG, laquelle(lesquelles) est(sont) correcte(s) ? A - Elles peuvent être secondaires à un traitement par l'Aldomet® B - Elles peuvent compliquer une pneumonie atypique à mycoplasma C - Elles sont idiopathiques dans environ 50 % des cas D - Elles peuvent être secondaires à un syndrome lymphoprolifératif E - Elles peuvent être secondaires à une maladie lupique Bonne(s) réponse(s) : A C D E A - Le traitement est bien sûr, l'arrêt du médicament. B - Il s'agit d'anémie hémolytique à IgM froides fixant le complément. C - Est d'évolution chronique, de bon pronostic (corticosensibilité, amélioration par splénectomie). D - Type LLC. E - Ainsi qu'au cours de la PR.
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La découverte d'une anémie hémolytique avec test de Coombs direct positif doit faire rechercher : A - Une leucémie lymphoïde chronique B - Un cancer de l'estomac C - Un lupus érythémateux disséminé D - Une prise médicamenteuse d'Aldomet® (Alpha Méthyl Dopa) E - Une leucémie myéloïde chronique Bonne(s) réponse(s) : A C D A. L'anémie hémolytique est fréquente dans la LLC, 6 % au moment du diagnostic et plus de 7 % en cours de maladie. Dans les 2/3 des cas, le Coombs est positif Iy GG+C ou complément seul. B. Il n'intègre pas le cancer de l'estomac comme une des causes à rechercher devant une AHAI, cependant il existe dans la littérature quelques observations de cancers épithéliaux ou d'autres types associés à une AH à Coombs positif. C. Le LED est une cause classique d'AHAI, s'intégrant parfois en cas de thrombopénie associée dans un tableau de syndrome d'Evans (thrombopénie immunologique . Le test de Coombs est généralement de type complément ou IgG +complément et exceptionnellement IgG+IgM+complément. D. L'Aldomet® donne des tests de Coombs positifs dans 20 % des cas mais seuls 3 % développent une véritable anémie hémolytique. Le médicament induit un anticorps qui se pose sur le GR. Il s'agit d'une véritable AHAI et non d'une anémie immunoallergique. L'anticorps responsable dans les cas hémolysants est une Ig M chaude non agglutinante fixant le complément. E. Il y a dans la littérature quelques observations d'AHAI au cours de LMC. Il faut le savoir mais il s'agit d'une situation exceptionnelle.
43 Question à complément simple. Le caractère ferriprive (carence en fer) d'une anémie est défini par un des critères suivants : A - Microcytose hypochromie B - Hyposidérémie C - Hyposidérémie D - Hyposidérémie et augmentation de la capacité totale de transferrine E - Hyposidérémie et diminution de la capacité totale de transferrine Bonne(s) réponse(s) : D Evident, connaissances de base.
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11 Question à compléments multiples.
18 Question à complément simple.
L'anémie de Biermer avant toute tentative de traitement est : A- Microcytaire B - Normocytaire C - Macrocytaire D - Régénérative E - Arégénérative
Parmi les affections ou états suivants. quel est celui qui ne provoque pas d'anémie macrocytaire ? A - Gastrectomie B - Ankylostomiase C - Anse borgne jéjunale D - Maladie coeliaque E - Myélodysplasie
Bonne(s) réponse(s) : C E
Bonne(s) réponse(s) : B QCM évident.
25 Question à complément simple. Le caractère mégaloblastique d'une anémie repose sur l'interprétation du résultat de l'une des analyses suivantes. Laquelle ? A - Détermination du volume globulaire moyen B - Examen microscopique des frottis sanguins C - Examen microscopique des frottis médullaires D - Coloration de Perls appliquée aux frottis médullaires E - Dosage de la vitamine B12 et des folates sériques Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
39 Question à compléments multiples. L'hémogramme d'une anémie de Biermer typique et non traitée peut associer : A - Une thrombopénie B - Un VGM (volume globulaire moyen) élevé C - Une hyperleucocytose avec myélémie D - Des réticulocytes bas. E - Une hypersegmentation des polynucléaires neutrophiles Bonne(s) réponse(s) : A B E A. La thrombopénie est fréquente, en général modérée aux alentours de 100.000/mm3. B L'anémie est macrocytaire. Cette macrocytose (augmentation du VGM) est en général franche supérieure à 120 mm3. Elle explique que les sujets ayant déjà un taux abaissé de GR tolèrent encore bien leur anémie. C. Il existe une leucopénie modérée. D. Le taux de réticulocytes est normal ou même légèrement augmenté en pourcentage. En valeur absolue, il est normal, inférieur à 100.000/mm3. E. Les granulocytes sont de grande taille et leurs noyaux sont hypersegmentés. Cette anomalie est précoce et c'est la dernière à disparaître sous traitement.
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L'ankylostomiase entraîne une anémie par carence martiale, liée à la consommation intraluminale de fer. C'est le bothriocéphale qui est responsable de carence en vitamine B12 et d'anémie macrocytaire par consommation par le taenia. La gastrectomie donne une carence en vitamine B12 obligatoire en 2 à 9 ans et est donc cause d'anémie mégaloblastique. La maladie coeliaque entraîne une carence en folates isolée par malabsorption digestive. Les anses borgnes jéjunales entraînent une carence en folates. Les myélodysplasies type anémie réfractaire donnent souvent une macrocytose.
33 Question à complément simple. Quel examen peut être demandé pour étayer un diagnostic d'anémie hémolytique auto-immune à partir d'un échantillon de sérum ? A - Test de Coombs direct B - Test de Coombs indirect C - lmmunofluorescence directe D - Néphélométrie E - Réaction d'Ouchterlony Bonne(s) réponse(s) : A Evident.
56 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes se rapportant aux anémies hémolytiques auto-immunes aux anticorps chauds, une seule est fausse. Laquelle ? A - Le test de Coombs direct est positif B - L'hémolyse est habituellement intratissulaire C - Les anticorps sont dirigés contre les antigènes A B O D - Les anticorps sont de type IgG E - La corticothérapie et le traitement de choix Bonne(s) réponse(s) : C Les anémies hémolytiques liées à des anticorps reconnaissants les antigènes du système ABO sont liés aux accidents transfusionnels. Les anticorps (ac anti A, ac anti B ) sont des ac "naturels", "réguliers" et "agglutinants". Cette dernière propriété est liée à leur appartenance à la classe des IgM. Ils sont responsables d'anémies hémolytiques intravasculaires. Dans les AHAI à autoanticorps chauds, l'AC est de type IgG appartenant dans 80 % des cas à la sous classe des IgG1 et fixe généralement le complément. L'hémolyse est intratissulaire. Le test de Coombs direct est positif traduisant la présence de l'AC sur les globules rouges. Les antigènes reconnus par les autoanticorps chauds font généralement partie du système Rhésus. Le traitement initial est la corticothérapie à doses initiales de 1 à 1,5 mg/kg/j voire 2 mg/kg/j avec une efficacité jugée après 3 semaines à 1 mois de traitement.
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66 Question à compléments multiples.
19 Question à complément simple.
Une malade présente une anémie microcytaire par carence martiale Il faut rechercher : A - Ménométrorragies favorisées par un stérilet B - Grossesses répétées et rapprochées C - Hématurie microscopique D - Ulcère gastro-duodénal E - Cancer colique
Parmi les maladies suivantes, quelle est celle au cours de laquelle on rencontre fréquemment une anémie hémolytique auto-immune ? A - Leucémie aiguë myéloblastique B - Maladie de Kahler C - Leucémie myéloïde chronique D - Hémochromatose primitive E - Maladie lupique
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : E Il faut rechercher toute cause de saignement chronique. Item C - Il faut rechercher une hémosidérinurie chronique dans le cadre d'hémolyse intra-vasculaire (prothèses cardiaques, microangiopathie, maladie de Marchia Faver Micheli).
68 Question à compléments multiples.
Dans les grandes séries publiées d'AHAI, l'association à un LED est retrouvée dans 1,6 à 24,4 % des cas. La présence de l'hémolyse chronique dans le lupus (8 %) est inférieure à celle du Coombs positif (43 %).
42 Question à complément simple.
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) au cours d'une anémie inflammatoire typique ? A - Macrocytose érythrocytaire B,- Hyperchromie C - Fer sérique diminué D - Réticulocytes bas E - Capacité totale de fixation de la transferrine augmentée Bonne(s) réponse(s) : C D A et B - Anémie normochrome normocytaire le plus souvent, parfois hypochrome et/ou microcytaire. D - Il s'agit d'une anémie arégénérative. E - La capacité totale de saturation est abaissée avec un fer sérique abaissé. Le coefficient de saturation est normal.
55 Question à compléments multiples. Une fausse anémie par hémodilution peut provenir de : A - Grossesse à partir du second trimestre B - Déficit en fer C - Maladie de Waldenström D - Maladie de Kahler E - Volumineuse splénomégalie
Une anémie sévère chez un enfant de 2 ans avec réticulocytose à 250.109/l doit évoquer l'une des affections suivantes. Précisez laquelle : A - Bêta-thalassémie majeure B - Drépanocytose homozygote C - Leucémie aiguë D - Syndrome hémolytique et urémique ou maladie de Moschcowitz E - Immunisation foeto-maternelle à l'antigène Rhésus D Bonne(s) réponse(s) : Réponse impossible. Face à une anémie très régénérative évoquent une hémolyse chez un enfant de 2 ans, plusieurs diagnostics peuvent être retenus. A - Le diagnostic se fait habituellement entre 3 et 18 mois. B - Révélation de l'affection entre 3 mois et 3 ans (en règle entre 6 et 18 mois). C - Non, car pas de régénération du fait de l'envahissement médullaire. D - Maladie surtout du nourrisson (82 % des cas avant 2 ans et demi, 55 % entre 3 et 9 mois) chez le grand enfant le début peut être insidieux révélé par l'anémie. E - Maladie néonatale.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
16 Question à compléments multiples.
A - A partir du 2ème trimestre, le volume globulaire et le volume plasmatique augmentent mais le volume plasmatique augmente plus vite que le volume globulaire d'où anémie par hémodilution. B - Il s'agit d'une véritable anémie. C et D - Certaines immunoglobulines monoclonales en particulier les IgM de la maladie de Waldenström peuvent entraîner une augmentation du volume plasmatique et une baisse de taux d'hémoglobine sans anémie vraie. C - Le volume plasmatique augmente de façon parfois considérable sans doute par augmentation de la sécrétion d'aldostérone.
Les anémies hémolytiques médicamenteuses : A - Sont toujours d'origine immunologique B - Sont parfois dues à la présence d'anticorps antimédicaments C - Sont parfois dues à la présence d'anticorps anti-Rhésus D - Peuvent apparaître lors d'un traitement par l'alphaméthyl-dopa (Aldomet) E - Peuvent apparaître lors d'un traitement par la pénicilline Bonne(s) réponse(s) : B C D E A - Non. Par exemple anémie hémolytique déclenchée par certains médicaments dans les déficits en G6PD. B - Oui, l'hémolyse étant provoquée par un anticorps dirigé contre un antigène médicamenteux fixé sur l'hématie ou par un complexe antigène médicamenteux - anticorps se fixant sur l'hématie et activant le complément. C et D - Le traitement par ALDOMET peut induire des IgG antirhésus (dans 10 % des cas après 6 mois de traitement à 1 g/j). E - Hémolyse à Coombs de type anti IgG. Anticorps dirigé contre un antigène médicamenteux fixé sur l'hématie, liée à la dose, progressive et extra-vasculaire.
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24 Question à complément simple.
101 Question à complément simple.
Une femme de 30 ans est atteinte d'anémie ferriprive (hémoglobine 7 g/dl) par ménorragies ; un traitement hormonal réduit les pertes génitales. Quel schéma thérapeutique doit être préféré pour guérir l'anémie et éviter sa récidive ? A - Transfusion (2 concentrés érythrocytaires ) B - Transfusion (2 concentrés érythrocytaires) puis fer intramusculaire (10 ampoules de 100 mg sur cinq semaines) C - Fer intramusculaire (10 ampoules de 100 mg sur cinq semaines) D - Fer oral, 200 mg Fe2+ par jour, pendant 4 mois E - Fer oral, 200 mg Fe2+ pendant un mois
Toutes les situations suivantes, sont responsables d'anémie par carence martiale par le biais des ménorragies qu'elles déclenchent, sauf une; indiquez laquelle : A - Fibrome B - Grossesse extra-utérine C - Dispositif intra-utérin anticonceptionnel D - Thrombopénie chronique E - Maladie de Willebrand
Bonne(s) réponse(s) : D A et B - Les transfusions dans le traitement des anémies ferriprives ne sont réalisées qu'en cas d'anémie très sévère et surtout mal supportées cliniquement (angor) ce que l'on ne craint pas chez une femme jeune avec une anémie qui n'est pas majeure. C - Thérapeutique agressive, qui peut laisser des tatouages aux points d'injections. La voie orale lui est bien préférable. E - Le traitement d'une carence martiale est prolongé (supérieur ou égale à 3 mois).
62 Question à compléments multiples. Les anémies hémolytiques d'origine médicamenteuse peuvent être dues : A - A l'action d'anticorps sur un complexe médicamentglobule rouge B - Au dépôt sur le globule rouge de complexes médicament-anticorps C - A la production d'autoanticorps anti-érythrocytaires D - A un mécanisme non-immunologique E - A la présence d'agglutinines irrégulières Bonne(s) réponse(s) : A B C D A - Hémolyse de type pénicilline (antigène médicamenteux fixé sur l'hématie, Coombs de type IgG). B - Hémolyse de type rifampicine, quinine, sulfacides, phénacétine, isoniazide. Coombs de type complément. C - Anémie hémolytique auto-immune induite par l'ALDOMET (IgG antirhésus). D - Exemple : hémolyse par antipaludéens dans les déficits en G6PD. E - Non. N'intervient que dans les immunisations transfusionnelles.
Bonne(s) réponse(s) : B Une grossesse extra-utérine entraîne une anémie aiguë par hémorragie importante et rapidement évolutive. On n'entre pas dans le cadre des saignements chroniques qui déplétent progressivement le capital martial.
23 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes, laquelle est la plus compatible avec le diagnostic d'anémie inflammatoire ? A - Hémoglobine : 6 g/dl. Volume globulaire moyen : 60 fl réticulocytes : 20 x 10 exposant 9/l B - Hémoglobine : 9 g/dl. Volume globulaire moyen : 110 fl réticulocytes : 20 x 10 exposant 9/l C - Hémoglobine : 9 g/dl. Volume globulaire moyen : 80 fl réticulocytes : 20 x 10 exposant 9/l D - Hémoglobine : 9 g/dl. Volume globulaire moyen : 95 fl réticulocytes : 200 x 1O exposant 9/l E - Hémoglobine : 9 g/dl. Volume globulaire moyen : 110 fl réticulocytes : 200 x 10 exposant 9/l Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
14 Question à compléments multiples. Lors d'une anémie par saignement chronique, on observe une diminution : A - Du fer sérique B - Du volume globulaire moyen C - De la transferrine sérique D - De la ferritine sérique E - Du nombre des plaquettes Bonne(s) réponse(s) : A B D
53 Question à complément simple.
La transferrine est la protéine qui fixe le fer au pôle sanguin de la cellule intestinale. En cas de carence martiale, c'est le pourcentage de saturation de la transferrine et le coefficient de saturation qui sont modifiés et pas le taux de transferrine sérique.
Une anémie microcytaire avec fer sérique normal ou augmenté se rencontre dans : A - La sphérocytose héréditaire B - La maladie de Biermer C - La thalassémie D - Les anémies hémolytiques auto-immunes E - Les leucémies aiguës
15 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : C Une thalassémie entraîne une anémie microcytaire avec un fer sérique augmenté ou normal. A, D, E - Anémies normocytaires normochromes. B - Anémie macrocytaire.
Parmi les maladies suivantes, quelles sont celles qui se compliquent fréquemment d'une anémie hémolytique autoimmune ? A - Leucémie aiguë myéloblastique B - Leucémie Iymphoïde chronique C - Leucémie myéloïde chronique D - Hémochromatose E - Lupus érythémateux disséminé Bonne(s) réponse(s) : B E Sans commentaire.
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32 Question à complément simple.
23 Question à compléments multiples.
L'hémogramme d'un homme de 45 ans comporte les résultats suivants : - hématies : 1,8. 10 exposant 12/l - hémoglobine : 7,7 g/dl - hématocrite : 23 % - réticulocytes : 35. 10 exposant 9/l. Il s'agit d'une anémie : A - Normochrome, Macrocytaire, Régénérative B - Normochrome, Normocytaire, Arégénérative C - Hypochrome, Microcytaire, Arégénérative D - Normochrome, Macrocytaire, Arégénérative E - Hypochrome, Macrocytaire, Régénérative
Une ou plusieurs des propositions suivantes concernant les anémies chroniques sévères sont exactes : A - Augmentation du débit cardiaque même au repos B - Angor d'effort possible même en l'absence de lésions coronariennes associées C - Souffle systolique D - Dyspnée de type asthmatiforme et non provoquée par l'effort E - Tachycardie de repos Bonne(s) réponse(s) : B C E
Bonne(s) réponse(s) : D La VGM est ici à plus de 120 µ3. On rappelle que le VGM se calcule selon la formule f(Ht;nbre de GR)
6 Question à compléments multiples. Parmi les affirmations suivantes, quelle est celle ou quelles sont celles qui s'applique(nt) à une anémie par inflammation chronique ? A - L'anémie peut être macrocytaire B - Le taux de saturation de la transferrine est normal ou modérément diminué C - L'anémie est habituellement régénérative D - Le traitement martial améliore le chiffre d'hémoglobine E - L'hyposidérémie est constante Bonne(s) réponse(s) : B E L'anémie inflammatoire est normochrome normocytaire arégénérative ou modérément hypochrome microcytaire arégénérative. Le taux de saturation de la sidérophiline est normal ou modérément diminué. Le fer sérique est bas mais les réserves en fer sont normales.
Les signes cliniques associés sont : - Pâleur cutanée et muqueuse - Polypnée d'effort - Tachycardie d'effort, tachycardie de repos ou au moindre effort - Crampes nocturnes, claudication intermittente selon le terrain - Crise d'angor pouvant disparaître avec la correction de l'anémie mais témoignant le plus souvent d'une insuffisance circulatoire cardiaque - Souffles systoliques à l'axe ou à l'origine pulmonaire avec orthopnée, oedèmes des membres inférieurs, cardiomégalie, bruit de galop - Fatigue, céphalées, bourdonnements d'oreilles, vertiges, rarement oedème papillaire au FO.
19 Question à complément simple. Lors du traitement d'une anémie par carence martiale dont la cause est corrigée, quel résultat d'examen vous permettra d'arrêter le traitement martial ? A - Retour à la normale du taux d'hémoglobine B - Fer sérique normal C - Capacité totale de saturation de la sidérophiline normale D - Retour du volume globulaire moyen à la normale E - Aucune de ces propositions Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
23 Question à complément simple. Toutes les situations cliniques suivantes sauf une sont capables de conduire à une anémie macrocytaire : A - Malnutrition chronique B - Anémie hémolytique régénérative C - Myxoedème D - Hernie hiatale E - Traitement anticomitial Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
21 Question à complément simple. Vous découvrez de façon fortuite chez une malade de 70 ans, une splénomégalie isolée. L'hémogramme montre une discrète anémie à 10,5 g/dl, une hyperleucocytose à 14 000/mm3 avec érythro-myélémie. Les plaquettes sont à 450 000/m3. Vous évoquez en premier lieu : A - Une leucémie aiguë B - Une leucémie myéloïde chronique C - Une splénomégalie myéloïde chronique D - Une leucémie lymphoïde chronique E - Une néoplasie profonde Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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35 Question à compléments multiples.
56 Question à compléments multiples.
Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) possible(s) de cette anémie ? A - Défaut de synthèse de l'hème B - Défaut de synthèse de l'ADN C - Défaut de synthèse de la globine D - Erythroblastopénie E - Hémorragie aiguë
En dehors de la carence en fer, quelle(s) autre(s) affection(s) pourrai(en)t induire une anémie du type de celle présentée par la malade ? A - Trouble de synthèse de l'hème B - Carence en acide folique C - Erythroblastopénie chronique D - Envahissement médullaire par des cellules néoplasiques E - Microsphérocytose héréditaire
Bonne(s) réponse(s) : A C A - Microcytose par ralentissement de production de l'Hb et CCMH atteint une mitose plus tard (permet la libération de l'hématie). B - Macrocytose. C - Microcytose idem A. DE - Ecartés devant l'absence de réticulocytose.
45 Question à complément simple. Quel est le mécanisme le plus probable de l'anémie ? A - Défaut de synthèse de l'hème B - Défaut de synthèse de l'ADN C - Défaut de synthèse de la globine D - Défaut de synthèse de la spectrine E - Défaut de synthèse de la G 6 P D
A - Dans le cadre d'une anémie sidéroblastique congénitale microcytaire, transmission récessive liée au sexe. B - Macrocytose. C - Normocytose. D - Donne une insuffisance médullaire avec normocytose et atteinte des autres lignées. E - Anémie normochrome normocytaire ou macrocytaire (hémolyse chronique ou en poussée).
57 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : B La macrocytose est la conséquence d'un asynchronisme de synthèse hémoglobine/ADN.
Quelle(s) étiologie(s) peu(ven)t être responsable(s) exclusifs de l'anémie ferriprive chez cette malade ? A - Carence d'apport en fer B - Hémorragies digestives C - Don du sang trisannuel D - Hémorragie abondante et brutale 15 jours auparavant E - Ménorragies chroniques Bonne(s) réponse(s) : B E
53 Question à complément simple. Au vu de l'hémogramme, comment définissez-vous l'anémie ? A - Normochrome macrocytaire B - Hypochrome normocytaire C - Microcytaire normochrome D - Normochrome normocytaire E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) :C VGM = Ht/Gr = 58 µ3. CCMH = Hb/Ht est normale. Une femme de 40 ans, d'origine française, consulte pour asthénie. Elle n'accuse aucun antécédent particulier. Elle n'a pas d'enfant et n'est pas enceinte. L'examen clinique retrouve un syndrome anémique isolé. Vous faites pratiquer un hémogramme qui vous donne les résultats suivants : - Erythrocytes : 4,6.10 exposant 12/l - Hémoglobine : 8,7 g/dl - Hématocrite : 27 % - Leucocytes : 9.10 exposant 9/l, dont : Polynucléaires neutrophiles : 64 % Polynucléaires éosinophiles : 6 % Lymphocytes : 24 % Monocytes : 6 % - Plaquettes : 540.10 exposant 9/l La VS est à 12/25. Le fer sérique est dosé ainsi que la capacité totale de fixation (CTE) et le coefficient de saturation de la sidérophiline (CSS). L'on aboutit ainsi au diagnostic d'anémie ferriprive.
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Bonne(s) réponse(s) : A
A - Pratiquement jamais en cause. B - Cause fréquente (100 ml = 50 mg de perte de fer). C - Peut aggraver mais non expliquer. D - Serait régénérative avec restauration du chiffre d'Hb. E - Cause classique à rechercher systématiquement chez la femme.
31 Question à complément simple. Comment caractérisez-vous cette anémie ? A - Normocytaire non régénérative B - Macrocytaire régénérative C - Hypochrome non régénérative D - Microcytaire non régénérative E - Macrocytaire non régénérative Bonne(s) réponse(s) : A VGM = Ht/GR = 90 µ3 = normocytaire. CCMH = Hb/Ht = 0,33 = normochrome. Réticulocytes < 120000 par mm3 = arégénérative. Fille âgée de six ans, sans antécédent. Epistaxis abondantes, gingivorragies et purpura depuis 48 h. A l'examen : pétéchies, ecchymoses, pâleur cutanéo muqueuse importante. Rate débordant de 4 cm le rebord costal. Polyadénopathies modérées, cervicales et axillaires. Apyrétique. Hémogramme : - Globules rouges : 3 200 000/mm3 - Hématocrite : 2 9 % - Hémoglobine : 9,6 g/dl - Réticulocytes : 0,8 % - Globules blancs : 2 600/mm3, Polynucléaires : 17 % Polynucléaires éosinophiles : 1% Lymphocytes : 72% Lymphoblastes : 10 % - Plaquettes : 10 000 Le myélogramme montre une moelle riche avec 90 % de lymphoblastes, 5 % d'érythroblastes, 5 % de granuleux, absence de mégacaryocytes.
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86 Question à complément simple.
58 Question à compléments multiples.
L'anémie peut être décrite comme : A - Microcytaire hypochrome arégénérative B - Microcytaire hypochrome régénérative C - Normocytaire normochrome arégénérative D - Macrocytaire normochrome régénérative E - Macrocytaire normochrome arégénérative
Le(s) argument(s) contre le diagnostic d'anémie inflammatoire est (sont) ? A - Hémoglobine : 9 g/dl B - Leucocytes : 7,9.10 exposant 9/l C - Fibrinogène : 3 g/l D - Gammaglobulines : 35 g/l E - Fer sérique : 20 micromol/l
Bonne(s) réponse(s) : E
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Bonne(s) réponse(s) : C E VGM = Ht/Gr, CCMH = Hb/Ht. VGM = 117 µ3 = macrocytose, CCMH = 0,33 normale. Réticulocytes < 150 000/mm3 donc arégénérative. Un homme de 70 ans est hospitalisé pour syndrome anémique à lnstallation progressive. Traité par gastrectomie des 2/3 vingt ans plus tôt pour ulcère, il n'a jamais plus souffert depuis. Le transit digestif est normal. Les selles de coloration normale Depuis six mois, son alimentation comporte essentiellement des pommes de terre, des pâtes et des conserves de viande et de poisson. L'examen montre un embonpoint conservé, un teint pâle. Hémogramme : - hémoglobine : 7 g/dl - hématocrite : 0.21 l/l - érythrocytes : 1,8 x 10 exposant 12/l - réticulocytes : 20 10 exposant 9/l - leucocytes : 3 x 10 exposant 9/l (neutrophiles : 40%, éosinophiles : 2%, lymphocytes : 50 %, monocytes : 8%), - plaquettes : 110.10 exposant 9/l - Sur le frottis, présence de polynucléaires hypersegmentés. Bilirubine non conjuguée : 30 mcmol/l, bilirubine conjuguée : 5 mcmol/l. - Sidérémie : 25 mcmol/l, coefficient de saturation de la sidérophiline : 0,50. Absence d'autoanticorps antiérythrocytes.
87 Question à complément simple.
Un homme de 60 ans consulte pour dyspnée d'effort. Il existe une pâleur modérée ; pas d'anomalie à l'examen du coeur et des poumons, pas d'adénopathie ou de splénomégalie. A l'hémogramme : - hémoglobine : 9 g/dl - VGM : 90 fl - leucocytes : 7.10 exposant 9/l (PN : 65 - PE : 2 - L : 30 - M : 3) - plaquettes : 255.10 exposant 9/l - Vitesse de sédimentation : 105 - 140 - fibrinogène : 3 g/l - fer sérique : 20 micromol/l - Protéinémie : 95 g/l dont 55 g/l de gammaglobulines en pic à base étroite. L'immunoélectrophorèse montre une importante augmentation monoclonale d'lgG kappa. On retient, comme probable, le diagnostic de myélome multiple.
35 Question à compléments multiples.
Quel mécanisme est principalement à l'origine de l'anémie ? A - Trouble de synthèse de l'hémoglobine B - Trouble de synthèse de l'ADN C - Raréfaction des cellules-souches hématopoïétiques D - Destruction excessive des érythrocytes circulants E - Pertes excessives par hémorragie Bonne(s) réponse(s) : B Cette anomalie entraîne, en l'absence d'anomalie de synthèse de l'Hb associée, un asynchronisme entre la maturation nucléocytoplasmique et une macrocytose. Il existe une insuffisance médullaire qualitative, car une grande partie des cellules souches mégaloblastiques n'arrive pas à terme (hémolyse intramédullaire). Toutes les cellules à renouvellement rapide sont touchées par les défauts de maturation.
89 Question à compléments multiples. On apprend que la moelle est mégaloblastique et que le test de Schilling est normal. Quels sont les deux facteurs qui, chez ce patient, peuvent contribuer à l'installation d'une anémie mégaloblastique ? A - Carence d'apport en vitamine B12 B - Trouble d'absorption de la vitamine B12 C - Carence d'apport en folates D - Trouble d'absorption des folates E - Trouble d'utilisation des folates Bonne(s) réponse(s) : C D Le régime pratiqué par le patient est riche en B12 (viande, poisson) mais pauvre en folates (absence de légumes verts, de fruits). La normalité du test de Schilling élimine un trouble d'absorption de la vitamine B12. Les troubles d'utilisation des folates sont extrêmement rares.
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Le dosage de la ferritinémie et du coefficient de saturation de la sidérophilline permettent de différencier anémies inflammatoires et ferriprives, où le fer sérique est chaque fois bas. Le fibrinogène est normal et non augmenté comme lors de syndromes inflammatoires.
Pour préciser l'étiologie de cette anémie, il est nécessaire de demander : A - Hématies leucocytes/minute B - Médullogramme C - Electrophorèse de l'hémoglobine D - Etude de la cinétique du 59 fer E - Aucun des examens précédents Bonne(s) réponse(s) : E Les étiologies des anémies ferriprives sont : - perte de fer: d'origine digestive ou gynécologique (90 % des cas) essentiellement - plus rarement: prélèvements de sang répétés, saignements provoqués, le contexte implique des examens mettant en évidence une perte de fer en particulier examen gynécologique - troubles de l'absorption: résection digestive, maladie coeliaque, pica - majorations des besoins : nourrisson, croissance, règles abondantes, grossesses répétées et rapprochées.
36 Question à compléments multiples. Parmi les données anamnésiques, quel(s) facteur(s) intervien(nen)t dans la genèse de l'anémie ? A - 4 grossesses B - Contraception par stérilet C - Dons du sang D - Prise de laxatifs E - Constipation Bonne(s) réponse(s) : A C D En période d'activité génitale, environ 40 % des femmes ont un bilan de fer négatif et 8 à 10 % une anémie ferriprive. Les grossesses surtout répétées, accentuent le risque de carence. Les hémorragies liées au stérilet et les dons de sang participent à la genèse de l'anémie. D.E 178- Sans rapport. By NADJI 85
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63 Question à complément simple.
23 Question à compléments multiples.
Malgré ces incidents, la malade a été opérée sans complication immédiate, quel traitement ultérieur de l'anémie proposez-vous ? A - Abstention thérapeutique B - Sel ferreux par voie orale C - Sel ferreux et acide folique per os D - Fer injectable E - Transfusions de sang total
Parmi les mécanismes pouvant intervenir dans la genèse de l'anémie chez ce malade, vous retenez : A - Hémolyse auto-immune B - Carence en vitamine B12 C - Hémosidérose D - Carence en folates E - Hypersplénisme Bonne(s) réponse(s) : B D E
Bonne(s) réponse(s) : B A - Il existe des hémolyses au cours de l'alcoolisme, mais non autoimmunes (par hypersplénisme, modifications corpusculaires acquises). B - Item discutable. L'anémie mégaloblastique de l'éthylique est due à une carence en folates avec défaut d'apport et troubles d'utilisation. L'éthylisme n'est pas une étiologie des carences en vitamines B12 (carence d'apport exceptionnelle), mais certains citent la possibilité de troubles de l'absorption entraînant des carences multi-vitaminiques, dont en B12.
Il faut recharger en fer la patiente, per os, bien sûr.
23 Question à compléments multiples. En dehors d'une anémie mégaloblastique, quelle(s) est (sont) I'(les) étiologie(s) qui peut (peuvent) expliquer l'ensemble de l'hémogramme ? A - Inflammation B - Leucémie aiguë myéloblastique C - Anémie réfractaire D - Myxoedème E - Erythroblastopénie Bonne(s) réponse(s) : B C A - Non, donne une anémie normochrome normo ou microcytaire avec thrombocytose. B - A évoquer devant les signes d'insuffisance médullaire, donnerait plutôt une anémie normocytaire ; diagnostic : myélogramme. C - Anémie normo ou macrocytaire, arégénérative avec parfois leucopénie, thrombopénie. D - Donne des anémies macrocytaires ou normocytaires normochromes isolées. E - Il s'agit d'un déficit quantitatif isolé en érythroblastes.
24 Question à compléments multiples. Indiquez, parmi les médicaments suivants, celui (ceux) qui risque(nt) d'aggraver l'anémie de ce malade, voire d'entraîner une grande pancytopénie : A - Spironolactone (Aldactone®) B - Triamtérène (Tériam®) C - Furosémide (Lasilix®) D - Cotrimoxazole (Bactrim®) E - Gentamicine (Gentalline®) Bonne(s) réponse(s) : B D B - Donne des anémies macrocytaires par carence en acide folique. D - Association : 1) triméthoprime: donnes des leucopénies, thrombopénies, anémiesmégaloblastiques. 2) sulfamide : agranulocytose, pancytopénie toxique, leucopénie, anémie hémolytique.
24 Question à compléments multiples. Le myélogramme montre une anémie mégaloblastique, quels sont, parmi les médicaments suivants, celui (ceux) qui peu(ven)t être responsable(s) d'une anémie mégaloblastique par carence en acide folique et dont il faut rechercher la prise à l'interrogatoire chez cette patiente ? A - Méthotréxate® B - Bactrim® C - Tériam® D - Rimifon E - Furosémide® Bonne(s) réponse(s) : A B C Ainsi que les barbituriques, les hydantoïnes, les contraceptifs oraux.
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36 Question à complément simple. Quel est le traitement de l'anémie à prescrire en première intention ? A - Gammaglobulines à fortes doses B - Corticothérapie C - Plasmaphérèses D - Chimiothérapie anti mitotique E - Splénectomie Bonne(s) réponse(s) : B La corticothérapie est le traitement d'attaque à instituer en cas d'AHAI à Ac chauds.
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31 Question à complément simple.
37 Question à complément simple.
Il existe une anémie : A - Normochrome normocytaire régénérative B - Normochrome macrocytaire arégénérative C - Hypochrome normocytaire arégénérative D - Hypochrome microcytaire arégénérative E - Hypochrome microcytaire régénérative
Dans le contexte clinique, quelle est l'étiologie qui vous paraît la plus probable pour expliquer l'anémie ? A - Hypervolémie plasmatique B - Carence en folate C - Syndrome inflammatoire D - Aplasie médullaire E - Hypersplénisme
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B Le VGM et la CCMH sont définis par les supports suivants : VGM = Ht /nb de GR = 70m3 ; CCMH = Hb/Ht = 0,30. Les réticulocytes sont à 30 000/mm3. Il s'agit donc d'une anémie hypochrome microcytaire arégénérative. Une femme de 32 ans se plaint depuis quelques mois de fatigabilité excessive et d'une discrète dyspnée d'effort, qui ne l'empêchent pas cependant de mener toutes ses activités, L'examen clinique ne décèle qu'une discrète pâleur. Il n'y a pas d'antécédent pathologique. Hémogramme : - hémoglobine. : 8,5 g/dl - hématocrite : 0,28 - érythrocytes : 4,0.10 exposant 12/l - réticulocytes : 30.10 exposant 9/l - leucocytes : 6,3 . 10 exposanr 9/l (PN 63 PE 2 L 30) - plaquettes : 400.10 exposant 9/l - sidérémie : 6 mcmol (0,34 mg/l) - capacité totale de fixation du fer mcmol (3,92 mg/l)
Aggravant l'anémie d'hypersplénisme et lui donnant son caractère macrocytaire.
2 Question à complément simple. Quel examen supplémentaire vous paraît le plus important pour expliquer l'anémie ? A - Test de Coombs B - Durée de vie des globules rouges C - Mesure isotopique du volume globulaire total D - Dosage du fer sérique E - Recherche d'agglutinine irrégulière Bonne(s) réponse(s) : C Anémie non régénérative centrale avec hémodilution par la globuline monoclonale abaissant artificiellement le chiffre d'Hb.
32 Question à complément simple. Cette anémie est liée à : A - Un trouble de synthèse des acides nucléiques B - Un trouble de synthèse de l'hème C - Un trouble de synthèse de la globine D - Une réduction du nombre des cellules souches myéloïdes E - Une destruction excessive des érythrocytes circulants Bonne(s) réponse(s) : C La microcytose signe une anomalie de la synthèse de l'hémoglobine.
39 Question à compléments multiples. En faveur du diagnostic d'anémie hémolytique régénérative vous retenez dans cet énoncé : A - Le degré de l'anémie B - La splénomégalie C - La réticulocytose D - Le taux de fer sérique E - L'ictère à bilirubine non conjugué Bonne(s) réponse(s) : B C E Sans commentaire.
34 Question à compléments multiples. Indépendamment d'un traitement étiologique éventuel, cette anémie est justiciable : A - De transfusions de concentrés érythrocytaires B - D'un traitement par la vitamine B12 C - D'un traitement par l'acide folique D - D'un traitement par le fer E - D'un traitement par corticoïde Bonne(s) réponse(s) : D Seul le traitement par fer est nécessaire. Le taux d'Hb étant > 8g % et le patient présentant une dyspnée modérée bien tolérée, il n'y a aucune indication transfusionnelle.
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Une femme de 37 ans, sans antécédent pathologique personnel ou familial, accuse un fléchissement de l'état général d'installation progressive, avec dyspnée d'effort, céphalées et palpitations. Son médecin, constatant une pâleur, un subictère et une splénomégalie palpable, prescrit des examens de laboratoire dont les résultats sont les suivants : - Hémogramme : Globules rouges = 2 000 000/mm3 Hémoglobine = 7 g/dl Hématocrite = 21 % Réticulocytes = 18 % Globules blancs = 10 500/mm3 avec pourcentages : 79 % polynucléaires neutrophiles 2 % éosinophiles 14 % Iymphocytes 5 % monocytes - Fer sérique = 25 micromol/l - Bilirubine = 40 micromol/l (dont 37 de bilirubine non conjuguée).
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41 Question à complément simple.
39 Question à complément simple.
A l'issue du bilan clinique et biologique, c'est le diagnostic d'anémie hémolytique auto-immune qui est retenu : forme apparemment idiopathique, à autoanticorps IgG. Parmi les attitudes thérapeutiques suivantes quelle est celle qui doit être envisagée en première intention ? A - Transfusion d'au moins deux concentrés érythrocytaires B - Vitaminothérapie associant acide folique et vit. Bl2 C - Corticothérapie D - Azathioprine E - Splénectomie
L'anémie peut être décrite comme : A - Microcytaire hypochrome arégénérative B - Microcytaire hypochrome régénérative C - Normocytaire normochrome arégénérative D - Macrocytaire normochrome régénérative E - Macrocytaire normochrome arégénérative
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
42 Question à compléments multiples. On découvre assez souvent un état pathologique associé à ce type d'anémie. Indiquez dans la liste ci-dessous celui (ou ceux) qui doit (doivent) être recherché(s) comme cause(s) d'anémie hémolytique auto-immune : A - Kyste de l'ovaire B - Ulcère gastro-duodénal C - Hémopathie Iymphoïde maligne D - Lupus érythémateux disséminé E - Kyste du rein Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
29 Question a compléments multiples.
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Bonne(s) réponse(s) : Un homme de 70 ans est hospitalisé pour syndrome anémique d'installation progressive.Traité par vagotomie-pyloroplastie vingt ans plus tôt pour ulcère il n'a jamais plus souffert depuis. Le transit digestif est normal, les selles de coloration normale. Depuis six mois, son alimentation comporte essentiellement des pommes de terre, des pâtes et des conserves de viande et de poisson . L'examen montre un embonpoint conservé, un teint pâle. Hémogramme : hémoglobine 7 g/dl, hématocrite G.R. = 1800000/mm3 ; réticulocytes 20000 par mcl. Leucocytes 3100/mm3 = 21 % (neutrophiles 40%, éosinophiles 2%, Iymphocytes 50 %, monocytes 8 %), plaquettes 110000/mm3. Sur le frottis, présence de polynucléaires hypersegmentés. Bilirubine non conjuguée 30 mcmol/l, bilirubine conjuguée 5 mcmol/l. Sidérémie 25 mcmol/l coefficient de saturation de la sidérophiline 0,50. Absence d'auto-anticorps antiérythrocytes.
40 Question à complément simple. Quel mécanisme est principalement à l'origine de l'anémie ? A - Trouble de synthèse de l'hémoglobine B - Trouble de synthèse de l'ADN C - Raréfaction des cellules-souches hématopoiétiques D - Destruction excessive des érythrocytes circulants E - Pertes excessives par hémorragie Bonne(s) réponse(s) :
Vous décidez de transfuser pour corriger l'anémie ; il s'agit d'une première transfusion : quelle(s) est (sont) la ou les détermination(s) que vous demanderez au préalable ? A - Groupage simple ABO et rhésus standard B - Phénotype érythrocytaire complet C - Groupage HLA D - Recherche d'anticorps irréguliers anti-érythrocytaires E - Recherche d'anticorps anti-leucocyto-plaquettaires Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
42 Question à compléments multiples. On apprend que la moelle est mégaloblastique et que le test de Schilling est normal. Quels sont les deux facteurs qui, chez ce patient, peuvent contribuer à l'installation d'une anémie mégaloblastique ? A - Carence d'apport en vitamine B12 B - Trouble d'absorption de la vitamine B12 C - Carence d'apport en folates D - Trouble d'absorption des folates E - Trouble d'utilisation des folates Bonne(s) réponse(s) :
35 Question à compléments multiples. L'(es) argument(s) contre le diagnostic d'anémie inflammatoire est (sont) ? A - Hémoglobine 9 g/dl B - Leucocytes 7 10 exposant 9/l C - Fibrinogène 3 g/l D - Gammaglobulines 35 g/l E - Fer sérique 20 micromol/l Bonne(s) réponse(s) : C E Sans commentaire. Un homme de 60 ans consulte pour dyspnée d'effort. Il existe une pâleur modérée, pas d'anomalie à l'examen du coeur et des poumons, pas d'adénopathie ou de splénomégalie. A l'hémogramme : hémoglobine 9 g/dl, VGM 90 fl, leucocytes 7.10 9/l, (PN 65 - PE 2 - L 30 - M 3), plaquettes 255.10 exposant 9/l. Vitesse de sédimentation 105 - 140; fibrinogène 3 g/l ; fer sérique : 20 micromol/l. Protéinémie 95 g/l dont 55 g/l de gammaglobulines en pic à base étroite ; l'immunoélectrophorèse montre une importante augmentation d'IgG Kappa. RESIDANAT ENmonoclonale POCHE Tome " I "- QCM - QCS On retient comme probable, le diagnostic de myélome multiple.
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59 Question à compléments multiples. On reconnait comme cause(s) d'aplasie médullaire ? A - Traitement par le Chloramphénicol B - Exposition professionnelle au risque benzénique C - Insuffisance rénale chronique D - Cancer métastatique de la moelle E - Hépatite virale Bonne(s) réponse(s) : A B E A - Classique. B - Idem. C - Donne une anémie et non une aplasie. D - Ne donne pas d'aplasie, mais une insuffisance médullaire par envahissement. E - Complication gravissime des hépatites virales B ou non A non B.
48 Question à complément simple. Devant une pancytopénie isolée sur le plan clinique, quel examen permet d'affirmer l'existence d'une aplasie médullaire ? A - Myélogramme B - Biopsie médullaire C - Etude cinétique isotopique au fer 59 D - Scintigraphie médullaire à l'iridium E - Dosage de l'érythropoïétine Bonne(s) réponse(s) : B C'est l'examen indispensable pour affirmer l'aplasie montrant une moelle hypocellulaire, voire désertique, avec de rares zones cellulaires entre les adipocytes et parfois des anomalies de la trame de soutien. A - Un myélogramme pauvre isolé n'est pas suffisant pour affirmer l'aplasie.
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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53 Question à complément simple.
25 Question à complément simple.
Un homme de 60 ans est hospitalisé en urgence pour céphalées et douleurs rétro-sternales avec épistaxis. L'hémogramme fait la veille est le suivant : - Hémoglobine : 21 g /100 ml - Hématocrite : 69% - Globules rouges : 7 500 000/mm3 - Globules blancs : 18 000/mm3 - Plaquettes : 600 000/mm3 Quelle attitude thérapeutique parmi les suivantes conseillezvous en urgence ? A - Chloraminophène : 6 comprimés / jour B - Misulban : 4 comprimés / jour C - Plasmaphérèses D - Saignées E - Transfusion de sang frais
Un hémogramme montre : - Hémoglobine : 140 g/l , volume globulaire moyen : 90 fl ; - Globules blancs : 15.10 exposant 9/L dont : Polynucléaires neutrophiles : 35 % monocytes : 4 % Polynucléaires éosinophiles : 1% lymphocytes : 35 % Lymphocytes d'aspect stimulé et hyperbasophiles : 25% - Plaquettes 175.109/ll
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : E
Il s'agit d'une polyglobulie avec signes fonctionnels indiquant un traitement d'urgence par saignée, d'autant que le chiffre des plaquettes est < à 800 000 (thrombocytose post saignée, facteur de thrombose).
L'hyperleucocytose modérée avec inversion de la formule sanguine et hyperlymphocytose composée de Iymphocytes normaux, de grands mononucléaires bleutés (hyperbasophiles), avec hémoglobine et plaquettes normales font évoquer le diagnostic de mononucléose infectieuse (sans complication auto-immune). La MNI peut parfois simuler une leucémie aiguë (angine, adénopathies, hyperleucocytose avec cellules d'allure blastique ; prennent alors toute leur valeur, la qualité du cytologiste et le respect des autres lignées. En cas de doute persistant, un myélogramme est nécessaire.
42 Question à complément simple. Chez un homme, la découverte sur un hémogramme systématique des résultats suivants : GR = 6.500.000/mm3, HB = 13g/100ml, HT = 43%, évoque : A - Une polyglobulie vraie B - Une hémoconcentration C - Une erreur de laboratoire D - Une carence en fer E - Une thalassémie Bonne(s) réponse(s) : E A - Non, hématocrite normal. B - Non, hématocrite normal. C - Non, taux d'hémoglobine normal. E - Le calcul du VGM HE/GR permet de mettre en évidence une pseudopolyglobulie microcytaire. évocatrice de thalassémie hétérozygote ou mineure.
Cet hémogramme suggère : A - Leucémie aiguë myéloïde B - Leucémie aiguë lymphoïde C - Leucémie myéloïde chronique D - Leucémie lymphoïde chronique E - Mononucléose infectieuse
70 Question à complément simple. La découverte sur un hémogramme systématique d'une augmentation du nombre des hématies, avec un VGM à 65 fl et un taux d'hémoglobine à 12g/dl évoque en premier : A - Une polyglobulie vraie B - Une hémoconcentration C - Une erreur de laboratoire D - Une maladie de Minkowski-Chauffard E - Une hémoglobinopathie Bonne(s) réponse(s) : E Il s'agit d'une pseudo-polyglobulie microcytaire hypochrome évoquant une thalassémie mineure (ou "trait thalassémique") dont le diagnostic se fait sur l'électrophorèse de l'hémoglobine. A - La définition est donnée par la mesure de la masse globulaire totale: > 36ml/kg chez l'homme, >32ml/kg chez la femme. B - Donne une augmentation de l'hémoglobine, du nombre de globules rouges, sans variation du VGM. C - Sans rapport. D - Donne une anémie normochrome, normocytaire, (VGM normal) régénérative.
32 Question à complément simple. L'hémogramme d'un homme de 45 ans comporte les résultats suivants : - hématies : 1,8 10 exposant 12/l - Hémoglobine 7,7 g/dl - hématocrite : 0,23 I/I - Réticulocytes 35 10 exposant 9/l
69 Question à complément simple.
Il s'agit d'une anémie : A - Normochrome, macrocytaire, régénérative B - Normochrome, normocytaire, arégénérative C - Hypochrome, microcytaire, arégénérative D - Normochrome, macrocytaire, arégénérative E - Hypochrome, macrocytaire, régénérative
Sur l'hémogramme suivant : Hématies : 2.10 exposant 12/l Hématocrite : 0,24 l/ll Hémoglobine : 8g/100 ml
Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit d'une anémie (Hb = 7,7 gr/DL) normochrome car CCMH = Hb/HT = 0,33, macrocytaire car VGM = Ht/GR>100 ; arégénérative car les réticulocytes sont < 150 000/mm3.
Il existe une anémie : A - Normochrome normocytaire B - Normochrome microcytaire C - Hypochrome microcytaire D - Normochrome macrocytaire E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : D
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
VGM = Ht/Nb GR = 120 µ3. CCMH = Hb/Hte= 0,33. Il s'agit donc d'une anémie normochrome (CCMH entre 30 et 36%) et 183 By NADJI 85 macrocytaire (VGM > 100 µ3).
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47 Question à compléments multiples.
39 Question à compléments multiples.
L'hémogramme d'un homme de 30 ans montre (bilan d'embauche) : - Hématies : 6,8.10 exposant 12/l, - Hémoglobine : 133 g/l, - hématocrite : 0,48 l/l, - Volume globulaire moyen : 70 fl, - Leucocytes : 7.10g/l, - Plaquettes : 270.10 exposant 9/l, - Fer sérique : 17 micromol/l (normale 10 à 30 micromol/l).
L'hémogramme d'une anémie de Biermer typique et non traitée peut associer : A - Une thrombopénie B - Un VGM (volume globulaire moyen) élevé C - Une hyperleucocytose avec myélémie D - Des réticulocytes bas. E - Une hypersegmentation des polynucléaires neutrophiles
Il peut correspondre à : A - Une hémoconcentration B - Une hémodilution C - Une thalassémie hétérozygote D - Une polyglobulie d'origine rénale E - Une polyglobulie d'insuffisance respiratoire chronique Bonne(s) réponse(s) : C A - Non, hématocrite normal. B - Non, il n'y a pas d'anémie. C - Oui, ou "pseudopolyglobulie microcytaire" avec environ, 6 millions de GR et taux d'Hb normal, fer sérique normal, caractéristique de la thalassémie mineure (ou trait thalassémique). D - Non, la définition de la polyglobulie repose sur la mesure de la masse globulaire totale. D'autre part, il existerait une normocytose. E - Non, pour les mêmes raisons que D, s'accompagnerait par ailleurs, plutôt d'une macrocytose.
65 Question à complément simple. Quel est le diagnostic le plus probable chez un homme de 65 ans traité par diurétique pour insuffisance cardiaque.Hémogramme : G.R. : 6.2 T/l, hémoglobine : 190 g/l, VGM : 88fl, hématocrite : 54 5 %, G.B.et plaquettes normaux. Volume sanguin total = 48 ml/kg. - érythrocytaire = 30 ml/kg. - plasmatique = 23 ml/kg. A - Erreur du laboratoire sur l'hémogramme B - Diminution du volume plasmatique C - Polyglobulie d'origine cardiaque D - Maladie de Vaquez E - Polyglobulie d'origine rénale Bonne(s) réponse(s) : B Le volume sanguin total est abaissé (N = 60 à 80 ml/kg),avec un volume érythrocytaire normal (25-35 ml/kg) et un volume plasmatique diminué (N = 40-50 ml/kg). Il s'agit donc d'une hémoconcentration consécutive au traitement diurétique sans polyglobulie vraie.
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Bonne(s) réponse(s) : A B E A. La thrombopénie est fréquente, en général modérée aux alentours de 100.000/mm3. B L'anémie est macrocytaire. Cette macrocytose (augmentation du VGM) est en général franche supérieure à 120 mm3. Elle explique que les sujets ayant déjà un taux abaissé de GR tolèrent encore bien leur anémie. C. Il existe une leucopénie modérée. D. Le taux de réticulocytes est normal ou même légèrement augmenté en pourcentage. En valeur absolue, il est normal, inférieur à 100.000/mm3. E. Les granulocytes sont de grande taille et leurs noyaux sont hypersegmentés. Cette anomalie est précoce et c'est la dernière à disparaître sous traitement.
62 Question à compléments multiples. L'hémogramme suivant : Hb 9 g/dl ; VGM 110 fl ; réticulocytes 20.109 /l ; leucocytes 2,7.109 /l (PN 30 %, PE 2 %, L 64 %, M 4 %) : plaquettes 75.109/l peut évoquer : A - Une anémie par hémorragies occultes chroniques B - Une maladie de Biermer C - Une sphérocytose héréditaire D - Une anémie réfractaire avec excès de blases E - Une anémie par carence folique Bonne(s) réponse(s) : B D E A. Il s'agit d'un tableau de carence martiale qui donnera au maximum : une anémie normochrome normocytaire arégénérative ou hypochrome microcytaire arégénérative, une thrombocytose modérée, une leuconeutropénie modérée. B.E. Le tableau hématologique est celui d'une pancytopénie avec anémie macrocytaire arégénérative avec taux de réticulocytes bas. Les carences en vitamine B12 et en folates peuvent donner un tableau hématologique de pancytopénie. Ces deux diagnostics sont à évoquer dans ce cas. Cependant, en général il faut noter que le VGM est plus augmenté qu'ici, supérieur à 120µ3 et que le taux de réticulocytes en valeur absolue est en général normal aux alentour de 80 à 100.000/mm3, exceptionnellement abaissé. D. Le tableau est compatible avec une AREB. Le tableau hématologique périphérique associe : - L'anémie est modérée ou franche normocytaire ou macrocytaire avec une réticulocytose en générale normale ou basse mais parfois augmentée. Sur lames, existence de macrocytes, schizocytes, microcytes, hématies hypochromes. - La thrombopénie est fréquente et s'aggrave avec l'évolution. Il existe souvent des anomalies cytologiques des plaquettes (micromégacaryocytes ou plaquettes géantes) avec trouble des fonctions plaquettaires. - Il existe dans 2/3 des cas une leuconeutropénie avec souvent une Monocytose modérée. Il existe plus souvent des formes hyperleucocytaires avec myélémie et quelques blastes circulants.
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40 Question à complément simple.
32 Question à complément simple.
Un bilan de santé découvre chez un homme de 40 ans, sans antécédent, une splénomégalie à 4 cm sous le rebord costal. A l'hémogramme, l'attention est attirée par un chiffre d'hémoglobine à 12,5 g/dl, un VGM à 103 fl et des réticulocytes à 260 000/mm3. Parmi les hypothèses diagnostiques suivantes, quelle est la première vers laquelle vous vous orientez ? A - Splénomégalie par inflammation chronique B - Splénomégalie par hypertension portale liée à une cirrhose C - Syndrome lymophoprolifératif débutant D - Syndrome hémolytique E - Splénomégalie compliquant une maladie de Biermer
L'hémogramme d'un homme de 45 ans comporte les résultats suivants : - hématies : 1,8. 10 exposant 12/l - hémoglobine : 7,7 g/dl - hématocrite : 23 % - réticulocytes : 35. 10 exposant 9/l. Il s'agit d'une anémie : A - Normochrome, Macrocytaire, Régénérative B - Normochrome, Normocytaire, Arégénérative C - Hypochrome, Microcytaire, Arégénérative D - Normochrome, Macrocytaire, Arégénérative E - Hypochrome, Macrocytaire, Régénérative Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D D - Il s'agit d'une splénomégalie accompagnée d'une anémie très régénérative. La macrocytose est probablement en rapport avec la réticulocytose abondante, le volume des réticulocytes étant plus important que les globules rouges matures. On évoque en premier lieu une hémolyse. A - L'anémie inflammatoire n'est pas régénérative (Réticulocytes < 150 000 / mm3). B - On ne trouve pas non plus d'anémie régénérative dans l'hypertension portale. C - L'item est discutable en raison d'une possible anémie hémolytique auto-immune pouvant compliquer un syndrome lymphoprolyfératif. Mais ce n'est pas ce que l'on évoquera "en premier". D - L'anémie de Biermer n'est pas régénérative.
22 Question à complément simple.
La VGM est ici à plus de 120 µ3. On rappelle que le VGM se calcule selon la formule f(Ht;nbre de GR)
21 Question à complément simple. Vous découvrez de façon fortuite chez une malade de 70 ans, une splénomégalie isolée. L'hémogramme montre une discrète anémie à 10,5 g/dl, une hyperleucocytose à 14 000/mm3 avec érythro-myélémie. Les plaquettes sont à 450 000/m3. Vous évoquez en premier lieu : A - Une leucémie aiguë B - Une leucémie myéloïde chronique C - Une splénomégalie myéloïde chronique D - Une leucémie lymphoïde chronique E - Une néoplasie profonde Bonne(s) réponse(s) : C
Un hémogramme systématique chez une adulte révèle à une thrombocytopénie isolée à 80 x 10 exposant 9/l sans complication hémorragique. Que décidez-vous de faire en premier lieu ? A - Une étude isotopique de la durée de vie plaquettaire B - Une étude de la coagulation C - Un myélogramme D - Un contrôle sur lame de la thrombocytopénie E - Une recherche d'auto-anticorps anti-plaquettaires Bonne(s) réponse(s) : D Devant une thrombopénie isolée modérée sans signe clinique hémorragique, il conviendra d'éliminer les fausses thrombopénies à l'EDTA liées à une hyperagrégabilité des plaquettes (probablement par un mécanisme immunologique) en présence d'EDTA.
16 Question à compléments multiples.
Sans commentaire.
78 Question à complément simple. Un malade présente brutalement fièvre à 38°5C et angine. L'état général se dégrade rapidement, la fièvre persiste, l'hémogramme montre une hémoglobine à 12 g/dl, des plaquettes à 440 000/mm3, 2300/m3 leucocytes avec 80 % de Iymphocytes et 5 % de polynucléaires. Devant ce tableau, vous évoquez un diagnostic. Lequel ? A - Leucémie aiguë B - Aplasie médullaire C - Agranulocytose toxique D - Leucémie lymphode chronique E - Autre proposition Bonne(s) réponse(s) : C
Un malade porteur d'un myélome connu, insuffisant rénal, en traitement polychimio-thérapique discontinu, présente 10 jours après sa dernière cure, une fièvre à 39°C avec frissons. L'hémogramme montre une leucopénie à 2 200 dont 10 % de polynucléaires. Vous pensez que : A - Fièvre et leucopénie sont probablement liées B - La leucopénie est probablement secondaire au traitement C - La leucopénie est probablement en rapport avec une poussée de la maladie D - La fièvre impose la réalisation d'hémocultures E - Le malade doit être hospitalisé en secteur stérile
Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
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34 Question à complément simple.
82 Question à compléments multiples.
Parmi les descriptions suivantes, quelle est celle qui convient pour l'anomalie de l'hémogramme présentée par cette femme ? A - Anémie normochrome normocytaire arégenérative B - Anémie microcytaire normochrome arégénérative C - Anémie microcytaire hypochrome arégénérative D - Anémie microcytaire normochrome régénérative E - Anémie macrocytaire normochrome arégenérative
L'analyse de l'hémogramme reconnaît : A - Une anémie B - Une hyperleucocytose C - Une neutropénie D - Une hyperlymphocytose E - Une monocytose
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Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : B
Sans commentaire, évident.
VGM = Ht/Gr = 77 micron3. CCMH = Hb/Ht = 0,33. Réticulocytes = 42 000 < 120 000 donc absence de régénération.
Un homme de 68 ans, sans antécédent particulier, consulte pour une asthénie modérée. L'examen clinique révèle l'existence d'une splénomégalie non douloureuse, débordant le rebord costal de 4 cm en inspiration profonde, et d'adénopathies cervicales, axillaires et inguinales, symétriques, faites de ganglions d'environ 2 cm de diamètre, sans périadénite. Il n'existe ni signes inflammatoires, ni compression. La température est normale et le reste de l'examen est normal. L'hémogramme donne les résultats suivants : - Hématies : 4,4 x 1012/l - Hémoglobine : 13 g/dl - Hématocrite : 0, 38 l/l - Réticulocytes : 1 % - Leucocytes : 50 x 10 exposant 9/l : polynucléaires neutrophiles : 8 % Iymphocytes : 91 % monocytes : 1 % - Plaquettes : 235 x 10 exposant 9/ l - Vitesse de sédimentation : 1ère heure 6 mm, 2ème heure 10 mm.
Une femme de 34 ans, d'origine corse par son père, consulte pour asthénie et anémie. A l'examen, pâleur, pas d'autre anomalie, en particulier pas de splénomégalie. A l'interrogatoire, pas de prise médicamenteuse, deux grossesses avec des enfants de 6 ans et 3 ans bien portants. Dans la famille, deux soeurs bien portantes, père et mère bien portants. Hémogramme : - Hémoglobine : 9 g/dl - VGM : 77 microns 3 - CCMH : 33 % - Globules rouges : 4 200 000/mm3 - Réticulocytes : 1% - Globules blancs normaux - Plaquettes : 285 000 - VS : 20-40
53 Question à complément simple.
44 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes concernant cet hémogramme, laquelle est la plus exacte ? A - Anémie normochrome normocytaire régénérative, neutropénie, thrombopénie B - Anémie normochrome macrocytaire arégénérative, neutropénie, thrombopénie C - Anémie hypochrome macrocytaire arégénérative, neutropénie, thrombopénie D - Anémie normochrome microcytaire arégénérative, neutropénie E - Anémie normochrome macrocytaire arégénérative, thrombopénie Bonne(s) réponse(s) : B - VGM = Ht/Gr = 108 µ3. - CCMH = Hb/Ht = 0,33.. - PN = 1000 donc neutropénie. Un homme de 64 ans, sans antécédent particulier, vient consulter pour une asthénie avec dyspnée d'effort. L'examen clinique est normal. L'hémogramme donne : - Hb : 8.9 g/dl - CCMH : 33% - VGM : 108 fl - GB : 2 x 109/l - Plaquettes : 130 x 109/l - Formule leucocytaire : polyneutrophile 50 % ; lymphocytes 40 % ; monocytes 10 % ; réticulocytes : 24 x 109/l - VS : 35-60.
Au vu de l'hémogramme, comment définissez-vous l'anémie ? A - Normochrome macrocytaire B - Hypochrome normocytaire C - Microcytaire normochrome D - Normochrome normocytaire E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) :C VGM = Ht/Gr = 58 µ3. CCMH = Hb/Ht est normale. Une femme de 40 ans, d'origine française, consulte pour asthénie. Elle n'accuse aucun antécédent particulier. Elle n'a pas d'enfant et n'est pas enceinte. L'examen clinique retrouve un syndrome anémique isolé. Vous faites pratiquer un hémogramme qui vous donne les résultats suivants : - Erythrocytes : 4,6.10 exposant 12/l - Hémoglobine : 8,7 g/dl - Hématocrite : 27 % - Leucocytes : 9.10 exposant 9/l, dont : Polynucléaires neutrophiles : 64 % Polynucléaires éosinophiles : 6 % Lymphocytes : 24 % Monocytes : 6 % - Plaquettes : 540.10 exposant 9/l La VS est à 12/25. Le fer sérique est dosé ainsi que la capacité totale de fixation (CTE) et le coefficient de saturation de la sidérophiline (CSS). L'on aboutit ainsi au diagnostic d'anémie ferriprive.
55 Question à compléments multiples. Quel(s) autre(s) résultat(s) anorma(ux)l de l'hémogramme sont concordants avec une carence en fer ? A - Nombre des globules blancs B - Nombre des plaquettes C - Nombre des monocytes D - Nombre des éosinophiles E - Nombre des Iymphocytes Bonne(s) réponse(s) : B
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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La carence martiale est une étiologie classique des thrombocytoses.
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80 Question à compléments multiples.
17 Question à compléments multiples.
Quelle(s) est(sont) la(les) manifestation(s) clinique(s) expliquée(s) par les anomalies de l'hémogramme ? A - HTA B - Céphalées C - Erythrose D - Langue dépapillée E - Distension thoracique
Indépendamment de la clinique et du reste de l'hémogramme, l'anomalie présentée au niveau des plaquettes peut se rencontrer au cours : A - D'un cancer B - D'une polyarthrite rhumatoïde C - D'une carence martiale D - D'un syndrome myéloprolifératif E - Après une splénectomie
Bonne(s) réponse(s) : B C
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E B - Fait partie du syndrome d'hyperviscosité sanguine. C - Conséquence de la polyglobulie.
Ainsi qu'au cours des régénérations médullaires après hémorragie ou hémolyse, des stress, de l'exercice ou de la grossesse.
Un homme de 60 ans, gros fumeur, hypertendu, est hospitalisé pour malaise. Dans les antécédents, on retrouve des céphalées. L'examen met en évidence une hypertension artérielle à 18-12, une rate débordant de 5 cm sous le rebord costal, une distension thoracique avec une langue dépapillée, un foie de 13 cm de hauteur ferme, une érythrose des extrémités. L'examen neurologique est normal . L'hémogramme montre : - GR : 6 500 000/mm3 - Hématocrite : 60 % - Leucocytes : 16 000/mm3 dont 60 % de PN - 0 % de PB - 30 % de lymphocytes - 10 % de monocytes - Plaquettes : 600 000/mm3 - VS : 1-2
La quantité totale de fer élément à prescrire per os chez cette patiente pour corriger son hémogramme et restaurer un stock martial convenable est approximativement (dose cumulative pour la durée du traitement) : A - Cent milligrammes B - Un gramme C - Vingt grammes D - Cent grammes E - Deux cent grammes Bonne(s) réponse(s) : C
16 Question à compléments multiples.
Soit 200 mg de fer par jour pendant deux mois puis deux mois, à demidose pour reconstituer les réserves.
L'analyse de cet hémogramme révèle : A - Anémie normochrome normocytaire B - Anémie régénérative C - Polynucléose neutrophile D - Myélémie E - Thrombocytose
77 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E Par définition. Un homme de 63 ans consulte pour une gêne post-prandiale au niveau de l'hypochondre gauche. Il n a pas d'antécédent médical ou chirurgical particulier. Chez ce patient en bon état général, apyrétique, l'examen objective une splénomégalie régulière, indolore, débordant le gril costal de 10 cm. On ne trouve ni hépatomégalie, ni circulation veineuse collatérale. On note une pâleur modérée des conjonctives. Il n'y a pas d'adénopathies palpables et le reste de l'examen est normal. Hémogramme : - Hématies : 3 x 10 exposant 12/l - Hémoglobine : 10 g/dl - Hématocrite : 0,28 l/l - Volume globulaire moyen : 93,3 fl - CCHM : 35,7 % - Réticulocytes : 31 x 10 exposant 9/l - Leucocytes : 33 x 10 exposant 9/l - Formule leucocytaire : polynucléaires neutrophiles : 65 % polynucléaires éosinophiles : 1 % polynucléaires basophiles : 1 % Iymphocytes : 10 % monocytes : 2 % promyélocytes : 2 % myélocytes : 7 % métamyélocytes : 12 % - Plaquettes : 700 x 10 exposant 9/l - Vitesse de sédimentation : 15 mm à la première heure - Fibrinogène : 2,5 g/l
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
24 Question à complément simple.
Quelle(s) est(sont) la(les) manifestation(s) clinique(s) expliquée(s) par les anomalies de l'hémogramme ? A - Aucune B - Céphalées C - Erythrose D - Langue dépapillée E - Distension thoracique Bonne(s) réponse(s) : B C B - En relation avec l'hyperviscosité. C - Signe de polyglobulie. D - Sans rapport. E - Sans rapport. Un homme de 60 ans, gros fumeur, hypertendu, est hospitalisé pour malaise. Dans les antécédents, on retrouve des céphalées depuis quelques mois L'examen met en évidence une hypertension artérielle à 18-12, une rate débordant de 5 cm sous le rebord costal, une distension thoracique, un foie de 13 cm de hauteur ferme, une érythrose des extrémités, une langue dépapillée. L'examen neurologique est normal. L'hémogramme montre : - GR : 6 500 000/mm3 - hématocrite : 60 % - leucocytes : 16 000/mm3 dont 60 % de PN ; 0 % de PE ; 0 % de PB ; 30 % de L ; 10 % de M, - plaquettes : 600 000/mm3 - VS : 1-2.
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22 Question à compléments multiples.
22 Question à compléments multiples.
Quelle(s) est(sont) I'(les) anomalie(s) de cet hémogramme ? A - Anémie hypochrome B - Neutropénie C - Eosinophilie D - Lymphocytose E - Thrombopénie
L'analyse de l'hémogramme révèle : A - Anémie normocytaire B - Réticulocytopénie C - Neutropénie D - Thrombopénie E - Eosinophilie
Bonne(s) réponse(s) : B E
Bonne(s) réponse(s) : B C D
A - CCMH = Hb/Ht = 0,33 (N = 0,30 à 0,36) soit normochromie. B - PN = 1080/mm3 (N = 1800 à 7000). C - PE = 160/mm3 (N = 50 à 500). D - Lymphocytes = 2160 (N = 1000 à 4000). E - Normale = 150 à 400 000/mm3.
A - VGM = Ht/nbGR = 111µ3. B - Réticulocytes < 150 000/mm3. C - PN = 1280/mm3 (N = 1800-7000/mm3). D - Plaquettes :120 000/mm3 (N = 150 à 400 000/mm3). E - PE = 256/mm3 (N = 50 à 5OO/mm3).
Une femme de 70 ans est hospitalisée pour douleurs angineuses. Antécédents : infarctus du myocarde il y a trois ans. Pas de récidive des douleurs depuis cette date. Hystérectomie pour fibrome il y a 20 ans. A l'examen : pâleur, tachycardie 110/minute régulière, tension artérielle 137 cmHg, ECG signes de nécrose postéro-latérale ancienne, pas de changement par rapport aux ECG antérieurs, transaminases normales. NFS : GR = 1.380.000/mm3, Hb = 6 g/dl, Ht = 18,1 %, réticulocytes = 3 %, GB = 3600/mm3 dont 30 % PN, 5 % PE, 60 % L, 5 % M - plaquettes : 110.000/mm3 - VS : 35-60
Un homme de 50 ans, éthylique notoire, consulte pour une asthénie d'aggravation progressive. L'examen clinique retrouve une discrète pâleur cutanéo-muqueuse, un ictère conjonctival, une hépatosplénomégalie (la rate débordant de 3 cm le rebord costal), une lame d'ascite, des oedèmes et quelques ecchymoses des membres inférieurs. L'hémogramme est le suivant : - Erythrocytes : 2,7 x 10 exposant 12/l - Hémoglobine : 10,5 g/dl - Hématocrite : 30 % - Réticulocytes : 15.x 10 exposant 9/l - Leucocytes : 3,2 x 10 exposant 9/l dont polynucléaires neutrophiles : 40 %, polynucléaires éosinophiles : 8 %, lymphocytes : 45 %, monocytes : 7 % - Plaquettes : 120 x 10 exposant 9/l La VS est à 60 mm à la première heure, 110 mm à la deuxième heure. Le myélogramme montre une richesse médullaire normale : 35 % d'érythroblastes avec tendance mégaloblastique ; la lignée granulocytaire, de composition normale, comporte des myélocytes et métamyélocytes de grande taille ; la lignée mégacaryocytaire est indemne. Le temps de Quick est à 55 %. Il existe une hyperbilirubinémie à 35 micromol/l de formule mixte, avec élévation des transaminases et de la gamma GT sérique. La sidérémie est à 210 microg/100 ml avec un coefficient de saturation de la transferrine à 80 %. Il existe à l'électrophorèse des protéines sériques une hypergammaglobulinémie.
23 Question à compléments multiples. En dehors d'une anémie mégaloblastique, quelle(s) est (sont) I'(les) étiologie(s) qui peut (peuvent) expliquer l'ensemble de l'hémogramme ? A - Inflammation B - Leucémie aiguë myéloblastique C - Anémie réfractaire D - Myxoedème E - Erythroblastopénie Bonne(s) réponse(s) : B C A - Non, donne une anémie normochrome normo ou microcytaire avec thrombocytose. B - A évoquer devant les signes d'insuffisance médullaire, donnerait plutôt une anémie normocytaire ; diagnostic : myélogramme. C - Anémie normo ou macrocytaire, arégénérative avec parfois leucopénie, thrombopénie. D - Donne des anémies macrocytaires ou normocytaires normochromes isolées. E - Il s'agit d'un déficit quantitatif isolé en érythroblastes.
72 Question à compléments multiples. Cet hémogramme révèle : A - Une anémie normocytaire B - Une anémie mégaloblastique C - Une anémie macrocytaire D - Une pancytopénie E - Une leucopénie et une anémie Bonne(s) réponse(s) : C
27 Question à complément simple.
QCM évident de connaissances générales.
Le diagnostic de Biermer retenu, la patiente traitée, on la revoit 3 mois plus tard avec un hémogramme normal. Quel examen faut-il demander régulièrement ? A - Réticulocytes B - Anticorps anti-facteur intrinsèque C - Taux du facteur intrinsèque D - Fibroscopie gastrique E - Vitesse de conduction nerveuse Bonne(s) réponse(s) : B La gastrite biermérienne est un terrain à haut risque carcinologique et nécessite une surveillance fibroscopique annuelle.
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Une femme de 45 ans, mère de 3 enfants, sans antécédent pathologique particulier, consulte pour une asthénie marquée évoluant depuis plusieurs mois. L'état général reste satisfaisant, l'examen clinique est négatif en dehors d'une pâleur des téguments et des muqueuses et d'un subictère conjonctival. L'hémogramme montre : - Hémoglobine : 9,5 g/dl. VGM = 110 micro3. CCMH = 33 % - Leucocytes : 4,5 x 10 exposant 9/l - Formule leucocytaire : - polynucléaires neutrophiles : 60 % - polynucléaires éosinophiles : 2 % - lymphocytes : 33 % - monocytes : 5 % - plaquettes : 160 x 10 exposant 9/l - réticulocytes : 300 x 10 exposant 9/l - VS : 60 mn à la première heure
188 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE24
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19 Question à complément simple.
78 Question à compléments multiples.
Le diagnostic retenu est celui de leucémie aiguë lymphoblastique (L.A.L.). Quel autre diagnostic pouvait être discuté au vu de l'hémogramme et du myélogramme, devant un tel tableau clinique ? A - Une aplasie médullaire B - Une mononucléose infectieuse C - Un état d'hypersplénisme D - Une leucémie lymphoïde chronique E - Aucune de ces affections
Sous réserve d'un traitement d'urgence adapté, et après retour à la normale de l'hémogramme, quelle est l'évolution prévisible ? A - Guérison sans séquelles B - Guérison avec persistance d'une sensibilité accrue aux infections bactériennes C - Evolution secondaire vers une aplasie médullaire D - Rechute si reprise du toxique E - Guérison avec risque différé d'éclosion d'un syndrome myélodysplasique
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : A D Sans commentaire. Sans commentaire. Un garçon de 11 ans, sans antécédent pathologique, vous est adressé pour syndrome hémorragique et hyperthermie. La température est entre 39 et 40°C depuis 48 heures et l'examen retrouve un purpura pétéchial et ecchymotique au niveau des membres inférieurs, des gingivorragies et des bulles hémorragiques endobuccales. Il existe une splénomégalie de 2 travers de doigt, une pâleur cutanéo-muqueuse, un souffle systolique de pointe à l'auscultation cardiaque. Le fond d'oeil montre une petite hémorragie près de la papille de l'oeil droit. Le cliché thoracique est normal. L'hémogramme révèle : - Hémoglobine : 6 g/100ml - Leucocytes : 0,5.10 exposant 9/l dont : - polynucléaires neutrophiles : 20 % - lymphocytes : 80% - Plaquettes : 10.10 exposant 9/l. Le T.P., le T.C.A., le dosage du fibrinogène sont normaux. Le myélogramme retrouve, dans une moelle riche, 85 % de cellules blastiques peu différenciées, à rapport nucléocytoplasmique élevé, sans grains cytoplasmiques.
31 Question à compléments multiples. Un hémogramme comparable à celui qui accompagne cette observation peut s'observer dans une ou plusieurs des situations ci-dessous ; laquelle ou lesquelles ? A - Leucémie myéloïde chronique B - Hémolyse aiguë C - Leucémie aiguë D - Aplasie médullaire E - Infection bactérienne aiguë Bonne(s) réponse(s) : B E Il s'agit des causes étiologiques d'hyperleucocytose avec myélémie. La LMC n'est pas à retenir ici car le tableau typique n'a aucune raison de comporter une anémie régénérative.
75 Question à compléments multiples Cet hémogramme met en évidence comme anomalie(s) : A - Anémie normochrome normocytaire B - Réaction mononucléosique C - Agranulocytose D - Hyperlymphocytose E - Thrombopénie Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Cet hémogramme révèle : A - Une anémie normocytaire B - Une anémie mégaloblastique C - Une anémie macrocytaire D - Une pancytopénie E - Une leucopénie et une anémie Bonne(s) réponse(s) : C
Un homme de 65 ans, sans antécédents notables présente un syndrome infectieux assez banal, d'allure grippale, traité de façon symptomatique. Quelques jours plus tard, le tableau s'aggrave brutalement avec majoration de la fièvre qui devient oscillante, frissons, baisse tensionnelle. L'examen clinique retrouve quelques petites lésions d'allure ulcéro-nécrotique au niveau de la cavité buccale. Il n'existe ni adénopathie, ni splénomégalie. Un hémogramme réalisé en urgence donne les résultats suivants : - Erythrocytes : 4,5 10 exposant 12/l - Hémoglobine : 13 g/dl - Hématocrite : 40 % - Leucocytes : 1,5. 10 exposant 9/l dont : Polynucléaires neutrophiles :5 % Polynucléaires éosinophiles : 1 % Lymphocytes : 86 % Monocytes : 8 % - Plaquettes : 160.10 exposant 9/l La VS est à 80 mm à la première heure.
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
1 Question à complément simple.
Sans commentaire. Une femme de 45 ans, mère de 3 enfants, sans antécédent pathologique particulier, consulte pour une asthénie marquée évoluant depuis plusieurs mois. L'état général reste satisfaisant, l'examen clinique est négatif en dehors d'une pâleur des téguments et des muqueuses et d'un subictère conjonctival. L'hémogramme montre : - Hémoglobine : 9,5 g/dl . VGM = 105 micron-cube - CCMM = 33 % - Leucocytes : 4, 5 x 10 exposant 9/l - Formule leucocytaire : * Polynucléaires neutrophiles : 60 % * Polynucléaires éosinophiles : 2 % * Lymphocytes : 33 % * Monocytes : 5 % - Plaquettes : 160 x 10 exposant 9/l - Réticulocytes : 300 x 10 exposant 9/l - VS : 60 mm à la première heure
189 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE25
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21 Question à complément simple.
92 Question à compléments multiples.
Le diagnostic retenu est celui de leucémie aiguë Iymphoblastique (LAL). Un autre diagnostic pourrait-il être évoqué, au vu du tableau clinique, de l'hémogramme et du myélogramme ? A - Aplasie médullaire B - Mononucléose infectieuse C - Etat d'hypersplénisme D - Leucémie Iymphoïde chronique E - Aucune des propositions ci-dessus
Quelle(s) est (sont) I'(les)étiologie(s) qui peut (peuvent) expliquer l'ensemble de l'hémogramme ? A - Inflammation B - Anémie mégaloblastique C - Anémie réfractaire D - Myxoedème E - Erythroblastopénie
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire. Un garçon de 11 ans, sans antécédents pathologiques, vous est adressé pour syndrome hémorragique et hyperthermie. La température est entre 39 et 40° C depuis 48 heures et l'examen retrouve un purpura pétéchial et ecchymotique au niveau des membres, des gingivorragies et des bulles hémorragiques endobuccales. Il existe une splénomégalie de 2 travers de doigt, une pâleur cutanéomuqueuse, un souffle systolique de pointe à l'auscultation cardiaque. L'étude du fond d'oeil montre une petite hémorragie près de la papille de l'oeil droit. L'hémogramme révèle : - Hémoglobine : 6 g/dl - Leucocytes : 2,5 . 10 exposant 9/l dont : Polynucléaires neutrophiles : 20 % Lymphocytes : 75 % Monocytes : 5 % - Plaquettes : 10 . 10 exposant 9/l Le taux de prothrombine, le temps de céphaline activé, le dosage du fibrinogène sont normaux. Les explorations biologiques usuelles hépatiques, rénales et métaboliques sont normales Le myélogramme révèle, dans une moelle riche, 85 % de cellules peu différenciées, à rapport nucléo-cytoplasmique élevé, sans granulations cytoplasmiques.
Bonne(s) réponse(s) : B C - L'anémie du myxoedème est normochrome normocytaire ou macrocytaire avec une réticulocytose normale ou abaissée et les globules blancs et les plaquettes sont en nombre normal. - L'érythroblastopénie ne touche par définition que la lignée rouge. - L'inflammation entranerait essentiellement une thrombocytose et une hyperleucocytose.
96 Question à complément simple. Le diagnostic de Biermer retenu, la patiente traitée, on la revoit 3 mois plus tard avec un hémogramme normal. Que faut-il surveiller régulièrement par la suite ? A - Réticulocytes B - Anticorps anti-facteur intrinsèque C - Taux du facteur intrinsèque D - Fibroscopie gastrique E - Vitesse de conduction nerveuse Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
91 Question à compléments multiples. Quelle(s) est (sont) I'(les) anomalie(s) de cet hémogramme ? A - Anémie hypochrome B - Neutropénie C - Eosinophilie D - Lymphocytose E - Thrombopénie Bonne(s) réponse(s) : B E Sans commentaire. Une femme de 70 ans est hospitalisée pour douleurs angineuses. Antécédents : infarctus du myocarde il y a trois ans. Pas de récidive des douleurs depuis cette date. Hystérectomie pour fibrome il y a 20 ans. A l'examen : pâleur, tachycardie 110/minute régulière, tension artérielle 13-7 cmHg, ECG signes de nécrose postéro-latérale ancienne, pas de changement par rapport aux ECG antérieurs, transaminases normales. NFS : 1.380.000/mm3 GR, Hb 6 g/dl, Hte 18,1 %, réticulocytes 3%, GB 3.600/mm3, PN 30 %, PE 5 %, Iymphocytes 60 %, monocytes 5 %, plaquettes 110.000/mm3, VS 35-60/mm.
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190 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE26
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101 Question à compléments groupés.
47 Question à complément simple.
Dans l'hémophilie A majeure, l'exploration biologique met en évidence : 1 - Temps de Quick normal 2 - Temps de céphaline avec activateur fortement allongé 3 - Temps de trombine normal 4 - Activité coagulante du facteur huit inférieure à 10% mais supérieure à 5% Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Les manifestations hémorragiques suivantes sont d'observation courante dans l'hémophilie, sauf une. Laquelle ? A - Hémarthrose du genou B - Hématurie C - Purpura pétéchial spontané généralisé D - Hématome du psoas E - Hémorragie prolongée après morsure de la langue Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A 4 - Définit l'hémophilie mineure (5 - 25 %), hémophilie majeure: taux de facteur < 1%.
26 Question à compléments multiples.
Il n'y a pas de purpura pétéchial au cours des déficits acquis ou congénitaux en facteurs de la coagulation. Le purpura pétéchial doit faire rechercher une pathologie de la lignée plaquettaire et en premier lieu une thrombopénie.
4 Question à compléments multiples.
Chez un hémophile A, le bilan d'hémostase montre typiquement : A - Un temps de saignement très allongé B - Un déficit de l'agrégation des plaquettes C - Un temps de Quick normal D - Un temps de thrombine allongé E - Un temps de céphaline active allongé
Chez l'hémophile A, les risques de complications du traitement substitutif comportent : A - L'hépatite virale B - L'hypofibrinogénémie C - L'apparition d'un anticoagulant circulant D - Le paludisme E - L'infection par le V I H
Bonne(s) réponse(s) : C E
Bonne(s) réponse(s) : A C A.B. - Se voient dans la maladie de Willebrand C - Le déficit en facteur VIII n'affecte pas la voie exogène D - Explore la fibrinoformation E - Déficit en facteur VIII retentit sur la voie endogène et allonge le TCA.
Le risque d'infection par le virus HIV des hémophiles à l'occasion des traitements substitutifs a disparu totalement depuis 1985 avec la mise au point de nouvelles techniques de préparation du F VIII.
120 Question à compléments multiples.
17 Question à compléments multiples.
Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) concernant l'hémophilie ? A - Les gènes de l'hémophilie A et B ne sont pas allèles B - La mère d'un hémophile n'est pas une hétérozygote obligatoire C - Un hémophile ne peut en aucun cas avoir des garçons hémophiles D - L'hémophile sporadique s'explique par un défaut de pénétrance E - Le dosage du facteur anti-hémophilique ne détecte pas toutes les hétérozygotes
Quels sont les tests de coagulation dont le résultat est anormal au cours de l'hémophilie A : A - Temps de Céphaline Kaolin B - Temps de saignement C - Temps de Quick D - Temps de thrombine E - Dosage du facteur VIII coagulant Bonne(s) réponse(s) : A E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B E A - Il s'agit de 2 gènes différents (synthèse du facteur vm et IX). B - Les femmes ayant un enfant atteint (male) peuvent être hétérozygotes (XXh) ou malades (XhXh). C - Si, si la femme est conductrice ou malade. D - Pas d'explication actuellement à l'apparition d'hémophiles dans des familles sans antécédents hémorragiques. E - L'expressivité de l'affection est très variable, et parfois indétectable.
61 Question à complément simple. L'une des anomalies suivantes est commune à l'hémophilie et à la maladie de Willebrand. Laquelle ? A - Allongement du temps de saignement B - Défaut d'agrégation plaquettaire à la ristocétine C - Diminution d'activité coagulante du facteur VIII (VIII c) D - Diminution de l'antigène lié au facteur VIII (VIII R Ag) E - Allongement du temps de thrombine Bonne(s) réponse(s) : C Question deEN connaissance générale. RESIDANAT POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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4 Question à compléments multiples. Une hémophilie A peut expliquer l'ensemble de ce tableau. Quelle(s) donnée(s), déjà recueillies ou restant à recueillir est (sont) en faveur de ce diagnostic plutôt que de celui de la maladie de Willebrand ? A - Temps de saignement normal B - Absence de thrombopénie C - Résistance capillaire normale D - Activité coagulante du facteur VIII (VIII c) à 1% E - Normalité du taux de facteur Willebrand Bonne(s) réponse(s) : A B D E - Le temps de saignement dans la Maladie de Willebrand est augmenté en raison de la diminution du taux du facteur Willebrand ou à des anomalies qualitatives de ce facteur. - Il existe des formes de maladie de Willebrand avec thrombopénie notamment dans les formes II B de la maladie, caractérisées par une augmentation de l'aggrégation plaquettaire induite à la ristocétine. - Le taux du F VIII est diminué dans la maladie de Willebrand mais en général en 10 et 40%. - Le taux du Facteur Willebrand est normal dans l'hémophilie A. Cependant, il peut être également normal dans les formes II A, II B et II C de la maladie de Willebrand ou l'anomalie est qualitative.
5 Question à compléments multiples. Parmi les règles suivantes, indiquer celle(s) qu'il conviendra d'appliquer chez ce sujet hémophile : A - Interdiction de toute activité sportive, même réduite B - Interdiction des antalgiques salicylés C - Interdiction des injections intramusculaires D - Contre-indication de toute vaccination E - Surveillance clinique articulaire et musculaire à intervalles réguliers Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
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94 Question à complément simple.
47 Question à compléments multiples.
Quelle est la fréquence de survenue d'une transformation aiguë dans la leucémie myéloïde chronique ? A-5% B - 15 % C - 35 % D - 50 % E - 80 %
La rémission complète d'une leucémie aiguë myéloblastique : A - Est régulièrement obtenue par l'association VincristinePrednisone B - Fait suite à une phase quasi-obligatoire d'aplasie médullaire C - Est obtenue chez moins de 50% des sujets jeunes D - Autorise, quand elle survient, un espoir de guérison E - Aucune des propositions ci-dessus n'est exacte
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B D Transformation presque inévitable, avec survie brève. A - Traitement des leucémies myéloblastiques et non lymphoblastiques. B - Est obligatoire pour obtenir une rémission complète. C - Le jeune age est un facteur de bon pronostic et permet d'obtenir jusqu'à 80 % de rémission. D - Nécessite un recul de 5 ans.
73 Question à complément simple. Une des propositions suivantes concernant les leucémies aiguës myéloblastiques est exacte : A - L'étude cytogénétique met souvent en évidence une trisomie 21 B - Les atteintes méningées et testiculaires sont les deux localisations extra-hématopoiétiques les plus fréquentes C - Elles peuvent être induites par des chimiothérapies de type alkylants D - Il n'y a jamais de bâtonnets d'Auer dans cette forme cytologique E - Aucune des propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : C A - Les leucémies aiguës Iymphoïdes et non myéloblastiques sont plus fréquentes. B - C'est une caractéristique des leucémies aiguës lymphoblastiques. C - Complication de pronostic très sombre, très peu sensible aux traitements. D - Faux ; caractéristiques des LAM1, LAM2, LAM3.
29 Question à compléments multiples. Indiquez la(les) proposition(s) exacte(s) à propos des leucémies aiguës myéloblastiques : A - Elles se rencontrent préférentiellement avant 15 ans B - Elles peuvent s'accompagner d'un chiffre de leucocytes normal C - Elles sont rarement tumorales sur le plan clinique D - Certaines cellules blastiques peuvent comporter des corps d'Auer dans leur cytoplasme E - La coloration cytochimique des myéloperoxydases est habituellement positive dans les cellules blastiques
61 Question à compléments multiples. La leucémie myéloïde chronique classique comporte : A - La présence d'un chromosome Philadelphie B - Une splénomégalie C - Une anisopoïkilocytose importante des hématies D - Une myélémie E - Un acide urique souvent élevé Bonne(s) réponse(s) : A B D E C - Est observé habituellement dans les splénomégalies myéloïdes.
71 Question à complément simple. Tous les caractères suivants sauf un peuvent caractériser une leucémie Iymphoïde chronique. Lequel ? A - Atteinte préférentielle en dessous de l'age de 25 ans B - Adénopathies superficielles dans de multiples territoires C - Infiltration lymphocytaire pathologique de la moelle osseuse D - Fréquence des complications infectieuses E - Symétrie des adénopathies superficielles Bonne(s) réponse(s) : A La LLC touche de façon prédominante les hommes de plus de 50 ans, avec une altération de l'état général modérée, des polyadénopathies diffuses, une moelle riche avec infiltration lymphocytaire, et comporte des complications infectieuses liées au déficit immunitaire cellulaire et humoral.
Bonne(s) réponse(s) : B C D E A - Plus fréquente chez le sujet âgé. B - Témoin d'une insuffisance médullaire. C - Contrairement aux L.A. lymphocytaires. D - Evocateur de promyélocytes (association avec CIVD). E - PAS (LAL = PAS +, peroxydase - ).
72 Question à complément simple. Quelle est la survie médiane d'une leucémie myéloïde chronique traitée ? A - 2 mois. B - 1 an C - 4 ans D - 10 ans E - 20 ans Bonne(s) réponse(s) : C Variable de 1 à 10 ans, en moyenne 4 ans.
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35 Question à complément simple.
62 Question à compléments multiples.
Le diagnostic positif de leucémie aiguë est basé sur : A - La lymphographie B - La scintigraphie médullaire C - La splénomégalie D - Le myélogramme E - L'etude cytogénétique
Au cours de l'évolution d'une leucémie myéloïde chronique traitée par chimiothérapie, le(les) signe(s) qui fait (font) craindre une transformation est (sont) : A - L'apparition d'adénopathies B - L'augmentation progressive du taux d'acide urique C - Une fièvre durable D - Une augmentation du taux des myélocytes sanguins E - La survenue d'une thrombose
Bonne(s) réponse(s) : D Ponction iliaque chez l'enfant, sternale chez l'adulte, montre un frottis très riche avec infiltration majeure par prolifération homogène de blastes. Le reste des lignées est en faible pourcentage. La L.A est affirmée pour une valeur de 30% de blastes. Si le frottis est pauvre, la BM est parfois nécessaire. Elle permet en outre un caryotype, et de préciser le type cytologique en cause.
25 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A C A - Syndrome tumoral blastique. B - Reflète l'hypercellularité, non spécifique de l'acutisation. C - Signe évocateur de transformation. D - L'acutisation est définie par l'augmentation des blastes (et non des myélocytes). E - Complication évolutive de la L.M.C. en phase chronique.
33 Question à compléments multiples.
Au cours d'une leucémie myéloïde chronique, lequel(lesquels) de ces symptômes est(sont) évocateur(s) d'une transformation aiguë ? A - Prurit B - Douleurs osseuses C - Adénopathies superficielles D - Diarrhée E - Tachycardie
La(lesquelles) de ces complications peu(ven)t survenir dans l'évolution d'une leucémie myéloïde chronique : A - Infarctus splénique B - Priapisme C - Crise de colique néphrétique D - Compression médiastinale par adénopathie E - Lithiase vésiculaire pigmentaire
Bonne(s) réponse(s) : A B C
Bonne(s) réponse(s) : A B C
Acutisation progressive ou brutale, évoquée devant une fièvre, une altération de l'état général, un prurit, une augmentation de volume de la rate ou du foie, des signes évocateurs de localisation blastique (douleurs osseuses, adénopathies, nodules cutanés). L'affirmation du diagnostic est biologique, définie par la présence de plus de 30% de blastes dans le sang ou dans la moelle.
Les adénopathies n'existent que lors de l'acutisation. Les autres complications sont la rupture de la rate, les thromboses artérielles ou veineuses, les hémorragies, l'insuffisance médullaire, la myélofibrose, et enfin, l'acutisation et les complications liées au traitement.
L'argument qui peut faire craindre la transformation aiguë d'une leucémie myéloïde chronique est : A - Hyperleucocytose 100 000/mm3 B - Splénomégalie C - Thrombopénie D - Translocation 9-22 chromosome philadelphie caryotype médullaire E - Hémoglobine = 12g/100ml
42 Question à complément simple. Parmi les éléments suivants, lequel est constamment présent lors du diagnostic de leucémie aiguë ? A - Blastes dans le sang B - Splénomégalie C - Blastes dans la moelle D - Hyperleucocytose E - Hyperuricémie
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : C La L.A. est définie par une prolifération blastique médullaire supérieure à 30 %. A - N'est pas constant. B - Fait partie du syndrome tumoral. D - Dépend de l'insuffisance médullaire liée à l'envahissement blastique. E - Complication métabolique liée à toute hypercellularité.
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27 Question à complément simple.
A - Fait partie du tableau initial. B - Argument du diagnostic initia.l C - Spécifique de la maladie, l'apparition de nouvelles anomalies fait craindre l'acutisation. E - Non évocateur.
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113 Question à compléments groupés.
115 Question à compléments multiples.
Parmi les affirmations suivantes concernant la leucémie Iymphoïde chronique la (lesquelles) est (sont) vraie(s). 1 - La LLC ne touche jamais l'enfant 2 - La LLC est une pathologie maligne concernant le plus souvent la lignée lymphocytaire B 3 - Il peut exister une anémie et une thrombopénie 4 - L'évolution habituelle se fait vers la transformation en leucémie aiguë Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Les propositions suivantes concernent la leucémie myéloïde chronique. Indiquez la ou les propositions exactes : A - Survie moyenne supérieure à 10 ans B - La greffe médullaire est souhaitable mais elle ne doit être tentée qu'en phase d'acutisation C - Pendant la phase chronique et après réduction de l'hyperleucocytose initiale, le malade est capable de travailler normalement D - La médiane de survie après acutisation est de quelques mois E - La splénomégalie disparait le plus souvent grâce au traitement initial
Bonne(s) réponse(s) : A 1 - C'est une maladie "de la retraite" touchant l'adulte de plus de 50 ans le plus souvent, n'existant pas chez l'enfant. 2 - C'est un syndrome lymphoprolifératif par prolifération monoclonale des Iymphocytes matures de type le plus souvent B. 3 - Ce sont des éléments de mauvais pronostic. 4 - Les complications possibles sont: - avant tout, les infections (cause première de la mortalité), liées au déficit immunitaire de la maladie et à l'insuffisance médullaire - les infiltrations tumorales - les complications de l'insuffisance médullaire - l'hypersplénisme - les complications auto-immunes - l'apparition d'une autre pathologie maligne: syndrome de Richter (survenue d'un lymphome), cancers, la transformation en leucémie aiguë est exceptionnelle.
62 Question à compléments multiples. Dans une leucémie myéloïde chronique traitée, quels sont, parmi les signes biologiques suivants, les deux qui ne se voient pas en phase chronique et qui doivent faire suspecter une transformation aiguë : A - Un chiffre plaquettaire à 30 x 10 exposant 9/l B - La présence du chromosome Philadelphie dans les cellules du sang périphérique C - 25 % de myélocytes sur la formule leucocytaire D - 15 % de blastes sur la formule leucocytaire E - Un chiffre leucocytaire à 150 x 10 exposant 9/l avec 52 % neutrophiles
Bonne(s) réponse(s) : C D E La médiane de survie d'une LMC est de l'ordre de 3 - 4 ans ; tous les traitements, en l'absence d'allogreffe de moelle ne modifient pas cette évolution naturelle. L'allogreffe osseuse à partir d'un donneur familial HLA compatible doit être réalisée de préférence en phase chronique. C'est la seule approche thérapeutique susceptible de guérir le patient. La greffe peut être réalisée actuellement jusqu'à un âge limite de 50 ans. La survie à 4 ans pour les patients greffés, en phase chronique est de 60 % alors qu'elle n'est que de 15 - 30 % dans les greffes réalisées plus tardivement.
20 Question à complément simple. Parmi les substances chimiques suivantes, quelle est celle susceptible de provoquer une leucémie ? A - Plomb B - Benzène C - Arsenic D - Chlorure de vinyl E - Toluène Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
15 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : B
Parmi les leucémies aiguës. Quel est le type le plus fréquent chez l'adulte à 60 ans ? A - Myéloblastique B - Lymphoblastique C - Monoblastique D - Promyélocytaire E - Erythroleucémie
A - Non, donne un allongement du TT, du TQ, du TCA. B - Oui, TCA allongé, TQ normal, TT normal, TS normal. C - Non, TCA allongé, TQ normal, TT normal, TS allongé. D - Non, allonge le TCA, le TT, TQ, TS normal. E - Non, allonge le TCA, le TQ, TT normal, TS normal.
Bonne(s) réponse(s) : A
21 Question à complément simple. Quel est le traitement qui permet d'espérer une guérison de la leucémie myéloïde chronique ? A - Misulban® B - Polychimiothérapie C - Autogreffe de moelle osseuse D - Allogreffe de moelle osseuse E - Hydroxy-urée (Hydréa®)
La fréquence des leucémies dans la population est d'environ 9/100.000/an. L'incidence annuelle rapportée à l'âge de la leucémie dans la population d'âge supérieur à 60 ans est d'environ 69/100.000. L'incidence et la prévalence de la leucémie continuent à augmenter après 60 ans. L'incidence est égale chez l'homme et la femme en fonction de l'âge. La leucémie la plus fréquente à cet âge est la leucémie aiguë myéloblastique dont l'incidence est d'environ 7 fois supérieure à celle de la leucémie aiguë lymphoblastique.
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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90 Question à complément simple.
54 Question à complément simple.
Parmi les leucémies aiguës, quel est le type le plus fréquent chez l'enfant ? A - Myéloblastique B - Lymphoblastique C - Monoblastique D - Promyélocytaire E - Erythroleucémie
Après mise en rémission complète au cours d'une leucémie aiguë lymphoblastique chez un sujet de 58 ans, le traitement ultérieur qui lui sera le plus utile est : A - Une surveillance simple B - Une allogreffe de moelle C - Une chimiothérapie d'entretien avec réinductions D - Un traitement immunosuppresseur E - Un traitement par interféron
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : C Les leucémies aiguës les plus fréquentes dans la population générale sont les leucémies myéloblastiques. Les LAL sont moins fréquentes que les LAM sauf chez l'enfant de moins de 15 ans.
55 Question à complément simple. Au cours de l'évolution de la leucémie myéloïde chronique, tous ces symptômes sont de mauvais pronostic, sauf un, lequel ? A - Elévation des polynucléaires basophiles sanguins B - Résistance au traitement C - Persistance du chromosome philadelphie D - Myélémie avec blastes sanguins > 10 % E - Thrombopénie non liée au traitement Bonne(s) réponse(s) : C A - Une élévation de la basophilie peut accompagner la transformation aiguë. B - Elément de mauvais pronostic. D - Dans la forme chronique, ils sont inférieurs à 5 %. Leur élévation traduit une transformation aiguë ou subaiguë. E - Traduit un envahissement médullaire important, lors d'une TA. C - Il s'agit d'une anomalie constitutive de la maladie qui persiste tout au long de son évolution. Il faut noter que l'on a observé quelques cas de disparition du chromosome Ph sous traitement par Interféron. Cette notion rend la QCM discutable.
A - Expose à un risque de rechute rapide. B - Le sujet est trop âgé pour une allogreffe qui n'est plus indiqué après l'âge de 50 ans du fait un taux de complications extrêmement élevé. D - Contre-indiqué. E - Pas dans le traitement d'une leucémie aiguë, traitement classique de la LMC.
68 Question à compléments multiples. La leucémie aiguë lymphoblastique entraîne avec prédilection l'infiltration de : A - Thyroïde B - Testicule C - Myocarde D - Surrénales E - Méninges Bonne(s) réponse(s) : B E Il s'agit des deux sanctuaires leucémiques classiques de la LAL. Les localisations testiculaires sont traitées par la chimiothérapie générale. Les localisations méningées nécessitent des traitements par voie intrathécale.
36 Question à compléments multiples. 5 Question à compléments multiples. Le risque évolutif de la leucémie Iymphoïde chronique comporte : A - Complications infectieuses bactériennes B - Transformation en leucémie aiguë C - Manifestations auto-immunes, causes d'hémolyse ou de thrombopénie D - Anémie par insuffisance médullaire E - Transformation lymphomateuse immunoblastique des adénopathies Bonne(s) réponse(s) : A C D E A - Il s'agit de la première cause de mortalité. B - N'existe pas. C - Anémie hémolytique sont des complications classiques. D - Signe de gravité de la maladie (Stade C). E - Il s'agit du syndrome de Richter à suspecter devant une aggravation brutale (altération de l'état général, ganglion grossissant et comprimant).
Les examens biologiques au cours de la leucémie myéloïde chronique non traitée, à sa phase chronique, montrent : A - Une myélémie B - Une augmentation des phosphatases alcalines leucocytaires C - Une hyperuricémie D - Une augmentation de la vitesse de sédimentation des hématies E - Une anémie avec déformations érythrocytaires Bonne(s) réponse(s) : A C A - Signe caractéristiques, rares hiatus. B - Au contraire, elles sont nulles ou très diminuées. C - Accompagne une myéloprolifération, donc une augmentation du métabolisme des acides nucléiques. D - Il n'y a pas de syndrome inflammatoire associé. E - Une anémie normochrome normocytaire arégénérative est très inconstante.
16 Question à compléments multiples. La ou lesquelles de ces complications peuvent survenir dans l'évolution d'une leucémie myéloïde chronique : A - Infarctus splénique B - Priapisme C - Crise de goutte D - Compression médiastinale par adénopathie E - Lithiase vésiculaire pigmentaire Bonne(s) réponse(s) : A B C
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Sans commentaire.
Annales INTERNAT HEMATOLOGIE32
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79 Question à complément simple.
21 Question à complément simple.
Le diagnostic de leucémie myéloïde chronique est retenu, quelle est la durée médiane de survie dans cette affection ? A - Identique à la population saine du même âge B - 3 à 6 mois C - 1 à 2 ans D - 2 à 4 ans E - 5 à 10 ans
Le diagnostic retenu est celui de leucémie aiguë Iymphoblastique (LAL). Un autre diagnostic pourrait-il être évoqué, au vu du tableau clinique, de l'hémogramme et du myélogramme ? A - Aplasie médullaire B - Mononucléose infectieuse C - Etat d'hypersplénisme D - Leucémie Iymphoïde chronique E - Aucune des propositions ci-dessus
Bonne(s) réponse(s) : Médiane de survie : 3 ans (peut aller jusqu'à 10 ans).
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
19 Question à complément simple. Le diagnostic retenu est celui de leucémie aiguë lymphoblastique (L.A.L.). Quel autre diagnostic pouvait être discuté au vu de l'hémogramme et du myélogramme, devant un tel tableau clinique ? A - Une aplasie médullaire B - Une mononucléose infectieuse C - Un état d'hypersplénisme D - Une leucémie lymphoïde chronique E - Aucune de ces affections Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire. Un garçon de 11 ans, sans antécédent pathologique, vous est adressé pour syndrome hémorragique et hyperthermie. La température est entre 39 et 40°C depuis 48 heures et l'examen retrouve un purpura pétéchial et ecchymotique au niveau des membres inférieurs, des gingivorragies et des bulles hémorragiques endobuccales. Il existe une splénomégalie de 2 travers de doigt, une pâleur cutanéo-muqueuse, un souffle systolique de pointe à l'auscultation cardiaque. Le fond d'oeil montre une petite hémorragie près de la papille de l'oeil droit. Le cliché thoracique est normal. L'hémogramme révèle : - Hémoglobine : 6 g/100ml - Leucocytes : 0,5.10 exposant 9/l dont : - polynucléaires neutrophiles : 20 % - lymphocytes : 80% - Plaquettes : 10.10 exposant 9/l. Le T.P., le T.C.A., le dosage du fibrinogène sont normaux. Le myélogramme retrouve, dans une moelle riche, 85 % de cellules blastiques peu différenciées, à rapport nucléocytoplasmique élevé, sans grains cytoplasmiques.
Un garçon de 11 ans, sans antécédents pathologiques, vous est adressé pour syndrome hémorragique et hyperthermie. La température est entre 39 et 40° C depuis 48 heures et l'examen retrouve un purpura pétéchial et ecchymotique au niveau des membres, des gingivorragies et des bulles hémorragiques endobuccales. Il existe une splénomégalie de 2 travers de doigt, une pâleur cutanéomuqueuse, un souffle systolique de pointe à l'auscultation cardiaque. L'étude du fond d'oeil montre une petite hémorragie près de la papille de l'oeil droit. L'hémogramme révèle : - Hémoglobine : 6 g/dl - Leucocytes : 2,5 . 10 exposant 9/l dont : Polynucléaires neutrophiles : 20 % Lymphocytes : 75 % Monocytes : 5 % - Plaquettes : 10 . 10 exposant 9/l Le taux de prothrombine, le temps de céphaline activé, le dosage du fibrinogène sont normaux. Les explorations biologiques usuelles hépatiques, rénales et métaboliques sont normales Le myélogramme révèle, dans une moelle riche, 85 % de cellules peu différenciées, à rapport nucléo-cytoplasmique élevé, sans granulations cytoplasmiques.
50 Question à complément simple. Le diagnostic de leucémie myéloïde chronique est retenu, quelle est la durée médiane de survie dans cette affection ? A - Identique à la population saine du même âge B - 3 à 6 mois C - 1 à 2 ans D - 2 à 4 ans E - 5 à 10 ans Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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72 Question à complément simple. Parmi les 5 localisations primitives suivantes des lymphomes malins non hodgkiniens, quelle est la plus fréquente : A - Amygdale B - Parenchyme pulmonaire C - Cortex cérébral D - Rein E - Testicule Bonne(s) réponse(s) : A Les localisations les plus fréquentes sont ORL et digestives (fonction de la richesse en éléments lymphoïdes).
39 Question à compléments multiples. Les lymphomes malins non Hodgkiniens ont des manifestations souvent proches de celles de la maladie de Hodgkin. Quelle(s) est (sont) la (les) manifestation (s) qui leur est (sont) propre(s) ? A - Propagation leucémique B - Méningite spécifique C - Splénomégalie D - Pleurésie spécifique E - Adénopathie médiastinale Bonne(s) réponse(s) : A B D A - Les LNH s'étendent par voie sanguine au contraire des Hodgkin qui se propagent de proche en proche, par voie Iymphatique B - Cette localisation est évocatrice de lymphome Iymphoblastique T de haute malignité. C - Atteinte fréquente au cours des Hodgkin et des LNH. D - Atteinte pleurale rare dans le Hodgkin, plus fréquente dans les LNH. E - Mode de découverte fréquent de l'une et l'autre affection.
49 Question à complément simple. Quelle est la plus fréquente des localisations des lymphomes malins non hodgkiniens primitifs ? A - Rein B - Thyroïde C - Estomac D - Testicule E - Cerveau Bonne(s) réponse(s) : C Les présentations extraganglionnaires des LNH sont surtout des tumeurs digestives, en particulier l'estomac ou des tumeurs de la sphère ORL.
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16 Question à compléments multiples.
61 Question à compléments multiples.
Un malade porteur d'un myélome connu, insuffisant rénal, en traitement polychimio-thérapique discontinu, présente 10 jours après sa dernière cure, une fièvre à 39°C avec frissons. L'hémogramme montre une leucopénie à 2 200 dont 10 % de polynucléaires. Vous pensez que : A - Fièvre et leucopénie sont probablement liées B - La leucopénie est probablement secondaire au traitement C - La leucopénie est probablement en rapport avec une poussée de la maladie D - La fièvre impose la réalisation d'hémocultures E - Le malade doit être hospitalisé en secteur stérile
Chez ce malade, le diagnostic de myélome multiple sera confirmé au vu d'un ou de plusieurs des résultats suivants, lequel(lesquels) ? A - Présence de lésions ostéolytiques sur les radiographies du squelette B - Hyperuricémie C - Hypocalcémie D - Protéinurie : 0,50 g/24 h, non sélective à l'électrophorèse E - Plasmocytose médullaire supérieure à 20 %
Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
97 Question à complément simple. Le myélome multiple comporte habituellement : A - Un important déficit de l'immunité humorale B - Un important déficit de l'immunité cellulaire C - Une néphropathie glomérulaire dite rein myélomateux D - L'excrétion urinaire de chaînes lourdes isolées E - Des lésions osseuses ostéocondensantes Bonne(s) réponse(s) : A La réponse est A. Il existe fréquemment une baisse des taux des immunoglobulines polyclonales de mécanisme non élucidé, en partie responsable des complications infectieuses plus fréquentes rencontrées dans le myélome avec un risque accru d'infections bactériennes à germes encapsulés et notamment à pneumocoque. N.B. : Les lésions habituelles radiologiques osseuses du myélome sont : aspect "oestéoporotique", lésions lytiques à "l'emporte pièce", fractures. Il existe cependant des myélomes à lésions osseuses ostéocondensantes. Ces myélomes sont rares, parfois associés à d'autres signes cliniques très inhabituels : neuropathies périphériques, troubles endocriniens, organomégalie.
11 Question à complément simple. Dans la forme typique du myélome ou maladie de Kahler, on observe dans le sang : A - Une plasmocytose B - Une éosinophilie C - Une hyperlymphocytose D - Une polynucléose neutrophile E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A E Les critères diagnostiques sont les suivants : - radiologiques (présence de géodes) - protidiques (Ig monoclonale, baisse des autres Ig, PBJ) - médullaire (plasmocytes > 15 %). B - Non spécifique. C - Non, hypercalcémie (n'est pas un critère diagnostique, mais pronostique). D - La PBJ est formée de chaînes légères à l'électrophorèse.
62 Question à compléments multiples. Le diagnostic de myélome multiple a été confirmé. Un traitement associant melphalan (Alkeran®) et prednisone est instauré. Ce traitement expose à une ou plusieurs des complications suivantes. La(les)quelle(s) ? A - Insuffisance médullaire B - Neuropathie périphérique C - Insuffisance cardiaque D - Hyperglycémie E - Leucémie aiguë secondaire Bonne(s) réponse(s) : A D E A - Toxicité médullaire réversible en 10 à 20 jours. B - Concerne la vincristine. C - Concerne les anthracyclines (Adriamycine®). D - Complication de la corticothérapie. E - Complication des alkylants (mélphalan).
81 Question à compléments multiples. Le diagnostic de myélome à chaînes légères résulte des données de : A- Myélogramme B - Biopsie ganglionnaire C - Scintigraphie osseuse D - Electrophorèse des protides urinaires E - Immuno-électrophorèse des protides urinaires Bonne(s) réponse(s) : A D E Sans commentaire.
37 Question à compléments multiples. Parmi les éléments suivants, quels sont ceux qui contribuent au diagnostic entre myélome et maladie de Waldenström ? A - Vitesse de sédimentation B - Hémogramme C - Myélogramme D - Electrophorèse E - Immunoélectrophorèse Bonne(s) réponse(s) : C E Sans commentaire.
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Madame X..., 60 ans, est hospitalisée en urgence pour hyperthermie, frissons. Chez cette patiente, le diagnostic de myélome à chaîne légère Kappa de stade III à été posé trois mois auparavant. Trois cures de chimiothérapie associant vincristine, melphalan, cyclophosphamide et prednisone ont été réalisées dont la dernière dix jours avant l'hospitalisation actuelle. Un hémogramme réalisé deux jours avant l'hospitalisation objective les données suivantes : - Hémoglobine = 105 g/l - Globules blancs = 0,9.10 exposant 9/l - Plaquettes = 75 . 10 exposant 9/l - Polynucléaires neutrophiles = 30 % - Lymphocytes = 70 % A l'entrée, la température est à 39 °C, la tension artérielle à 90/60 mmHg, le pouls à 120/min. L'auscultation pulmonaire met en évidence un foyer de crépitants de la partie-moyenne du champ pulmonaire droit. La gorge est propre. Il n'y a pas de symptomatologie fonctionnelle 199 On ne palpe ni adénopathie, ni splénomégalie. By NADJI 85 urinaire.
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38 Question à compléments multiples. Chez ce malade, le diagnostic de myélome multiple sera confirmé au vu d'un ou de plusieurs des résultats suivants : lequel ou lesquels ? A - Présence de lésions ostéolytiques sur les radiographies du squelette B - Hyperuricémie C - Hypocalcémie D - Protéinurie 0,50 g/24 h, non sélective à l'électrophorèse E - Plasmocytose médullaire supérieure à 20 % Bonne(s) réponse(s) : A E Sans commentaire.
39 Question à compléments multiples. Le diagnostic de myélome multiple a été confirmé. Un traitement associant Melphalan (Alkeran®) et Prednisone® est instauré. Ce traitement expose à une ou plusieurs des complications suivantes, la ou lesquelles ? A - Insuffisance médullaire B - Neuropathie périphérique C - Insuffisance cardiaque D - Hyperglycémie E - Leucémie aiguë secondaire Bonne(s) réponse(s) : A D E Les complications du Melphalan sont : - hématologiques touchant toutes les lignées - gastro-intestinales à type de nausées, vomissements, mucites, diarrhées - alopécie - rénales rares à type d'augmentation de l'urée - pulmonaires avec des cas de fibrose pulmonaire extensive - des réactions d'hypersensibilité au Melphalan IV sont décrites - risque de leucémies aigues secondaires.
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42 Question à compléments multiples.
98 Question à compléments multiples.
La présence d'un purpura vasculaire se rencontre habituellement au cours d'une : A - Septicémie à méningocoque B - Aplasie médullaire C - Endocardite lente d'Osler D - Hémophilie E - Purpura rhumatoïde
Au cours d'un purpura thrombopénique, quels sont les deux gestes à effectuer en priorité ? A - Transfuser des plaquettes B - Faire un fond d'oeil C - Instituer une corticothérapie D - Faire un myélogramme E - Rechercher des anticorps antiplaquettes
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : B D
B - Purpura secondaire à la thrombopénie D - Purpura très rare, secondaire aux troubles de l'hémostase.
A - Uniquement si thrombopénie profonde et/ou symptomatique. B - Permet d'apprécier le risque de saignement méningé Doit s'associer à la recherche de bulles intra buccales hémorragiques pour apprécier la gravité. C - Uniquement en fonction de l'étiologie. D - Premier geste à visée diagnostique (permet de différencier les atteintes centrales et périphériques). E - Uniquement si origine périphérique (après avoir fait D).
85 Question à complément simple. Parmi les critères suivants, indiquez lequel ne fait pas partie du tableau habituel du purpura thrombopénique idiopathique : A - La thrombopénie est la seule anomalie de l'hémogramme B - Présence d'une splénomégalie C - Augmentation du nombre des mégacaryocytes médullaires D - Diminution de la durée de vie des plaquettes marquées par le radiochrome E - Présence d'un taux augmenté d'lgG à la surface des plaquettes
97 Question à compléments multiples. Un purpura pétéchial peut-être observé dans : A - Une hémophilie B - Une maladie de Willebrand typique C - Une thrombopénie D - Une fragilité capillaire E - Une cryoglobulinémie mixte
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : C
Oriente vers une cause secondaire.
A - Pas de purpura. B - Purpura extrêmement rare.
40 Question à compléments multiples.
44 Question à compléments multiples.
Le purpura rhumatoïde : A - Atteint avec prédilection les filles B - Réalise de vastes placards ecchymotiques des membres inférieurs. C - Est amélioré par l'orthostatisme. D - S'accompagne de troubles de la crase sanguine E - Peut simuler une urgence abdominale
Parmi les caractères du purpura rhumatoïde, il faut retenir : A - Prurigineux B - Maculo-papuleux C - Persistance à la vitro-pression D - Déclive E - Souvent accompagné d'arthralgies
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
A - Pas d'atteinte préférentielle des sexes. B - Il s'agit d'un purpura déclive, touchant les membres inférieurs, pétéchial, symétrique, favorisé par l'orthostatisme avec éléments d'âges différents, parfois associé à de l'oedème. C - Non, favorisé. D - Non, il s'agit d'un purpura vasculaire. E - Oui, et se compliquer d'hémorragies digestives.
B - Purpura pétéchial souvent en relief. Existence d'éléments d'âges différents, d'érythème, d'urticaire, d'oedème inflammatoire. Pas d'hémorragies muqueuses associées.. C - Définition du purpura. D - Proche des grosses articulations des membres inférieurs, bilatéral, grossièrement symétrique, évoluant par poussées favorisées par l'orthostatisme. E - Gonflement et arthralgies des grosses articulations des membres inférieurs, mobiles et fugaces.
55 Question à compléments multiples. Parmi les affections suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) qui peut(vent) être la cause d'un purpura pétéchial : A - Syndrome de Mosckowitz B - Cryoglobulinémie mixte C - Hémophilie B D - Maladie de Rendu Osler E - Avitaminose K Bonne(s) réponse(s) : A B A - Ou purpura thrombotique thrombocytopénique chez l'adulte (SHU chez l'enfant. n s'agit d'une microangiopathie thrombotique. B - Le purpura vasculaire est un des symptômes les plus fréquents. C - Pas de modification de l'hémostase primaire. D - S'accompagne de télangiectasies et non de purpura. E - Pas de modifications de l'hémostase primaire.
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96 Question à compléments multiples.
13 Question à compléments multiples.
Au cours du purpura rhumatoïde, on peut observer : A - Pétéchies B - Hémarthrose C - Epistaxis D - Entérorragies E - Ménométrorragies
Un enfant de 7 ans, présente des épistaxis et un purpura écchymotique. Parmi les propositions suivantes, laquelle, (lesquelles) devez-vous évoquer ? A - Une hémophilie B sévère B - Une thrombopénie C - Une carence majeure en vitamine K D - Une thrombopathie congénitale E - Un déficit en facteur Hageman (facteur Xll)
Bonne(s) réponse(s) : A D A - Purpura pétéchial, parfois maculopapuleux,déclive, parfois associé à des érythèmes, plaques urticariennes, oedèmes inflammatoires. B - Peut s'accompagner d'arthralgies ou d'oedèmes articulaires et non d'hémarthrose. C - Pas d'anomalie de l'hémostase. D - Fait évoquer une invagination intestinale aiguë, une sténose duodénale, une perforation intestinale.
Bonne(s) réponse(s) : B C D Ce QCM est mal posé car nous n'avons aucune notion de l'ancienneté du trouble hémorragique, ce qui serait très important pour évoquer le diagnostic de thrombopathie congénitale où les signes cliniques hémorragiques sont en général très précoces.
114 Question à compléments multiples.
22 Question à compléments multiples. Parmi les affections suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) qui peut(vent) être la cause d'un purpura pétéchial : A - Syndrome de Mosckowitz B - Cryoglobulinémie mixte C - Avitaminose K D - Maladie de Willebrand E - Hémophilie B
Un purpura pétéchial peut-être observé dans : A - Une hémophilie B - Une maladie de Willebrand typique C - Une thrombopénie D - Une fragilité capillaire E - Une cryoglobulinémie mixte Bonne(s) réponse(s) : C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B
Sans commentaire.
A - Donne une thrombopénie périphérique par excès de consommation. B - Purpura par vascularite nécrosante. C - Donne un syndrome hémorragique sans purpura. D - Il existe des ecchymoses, mais classiquement pas de purpura pétéchial. E - Ne donne pas de purpura.
9 Question à compléments multiples.
56 Question à compléments multiples. Un purpura vasculaire peut être lié à : A - Septicémie à méningocoques B - Aplasie médullaire C - Hémophilie D - Cryoglobulinémie E - Purpura rhumatoïde
Bonne(s) réponse(s) : B C La maladie de Mosckowitz est une microangiopathie thrombotique de l'enfant avec atteinte rénale prédominante. Il existe à la fois des signes hémorragiques et thrombotiques. Il n'y a pas de troubles hémorragiques classiquement dans le scorbut mais une anémie normochrome qui se corrige sous vitamine C.
Bonne(s) réponse(s) : A D E A - A évoquer devant tout purpura fébrile, ainsi que l'Osler, les syndromes malins des maladies infectieuses éruptives. B - Non, purpura thrombopénique. C - Ne donne pas de purpura. D - Par vascularite nécrosante. E - Vascularite par immuns complexes à IgA
63 Question à compléments multiples.
58 Question à compléments multiples. Un purpura pétéchial et ecchymotique, cutanéo-muqueux, diffus et hémorragique doit faire discuter : A - Une thrombopénie B - Une hémophilie C - Un déficit en vitamine K D - Un déficit en facteur V E - Un déficit en facteur Willebrand Bonne(s) réponse(s) : A Les déficits acquis ou constitutionnels en facteurs de la coagulation ne donnent pas une symptomatologie clinique de purpura pétéchial et ecchymotique. Ce type depurpura est évocateur de thrombopénie.
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Dans quelle(s) situation(s) peut-on observer habituellement un purpura pétéchial ? A - Scorbut B - Thrombopénie inférieure à 50 000 mm3 C - Maladie de Moschcowitz D - Maladie de Willebrand E - Surdosage en Héparine
Parmi ces éléments cliniques, le(s) quel(s) est(sont) en faveur de l'origine vascularitique de ce purpura ? A - L'absence d'effacement à la vitropression B - La présence d'éléments papuleux C - La présence d'éléments bulleux D - L'existence d'éléments à distance E - L'absence de fièvre Bonne(s) réponse(s) : B C A - Définition du purpura. D.E - En faveur d'une autre cause (par exemple : thrombopénie). Une femme de 35 ans, sans antécédent particulier, présente un purpura des membres inférieurs apparu brutalement depuis une semaine, sans fièvre. A l'examen, les lésions ne s'effacent pas à la vitropression ; certains éléments sont palpables, papuleux ; d'autres sont bulleux ; d'autres enfin nécrotiques, et on retrouve à distance, sur les membres supérieurs et l'abdomen, quelques rares éléments purpuriques de petite taille.
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64 Question à compléments multiples.
58 Question à compléments multiples.
Parmi ces examens complémentaires, le(s) quel(s) par leur modification peut(peuvent) vous apporter un élément diagnostique en faveur du purpura vascularitique ? A - Bilan de coagulation B - Taux de plaquettes C - NFS D - Biopsie cutanée E - Test du lacet
S'il s'agit d'un purpura thrombopénique idiopathique, l'étude de l'hémostase doit montrer : A - TP normal B - TCA normal C - Fibrinogène normal D - Test à l'éthanol positif E - Temps de thrombine allongé Bonne(s) réponse(s) : A B C
Bonne(s) réponse(s) : D La coagulation n'est pas perturbée. Seule l'hémostase primaire sera altérée.
A - Doit être normal en ce qui concerne l'hémostase primaire. B - Normal dans les purpuras vasculaires. D - Permet la caractérisation histologique des lésions des petits vaisseaux.
61 Question à compléments multiples. 35 Question à compléments multiples. Le diagnostic finalement retenu est celui de purpura thrombopénique auto-immun. Dès lors vous prescrivez : A - Transfusion de plasma frais B - Injection intramusculaire de vitamine C - Prednisone 1,5 mg/kilo/jour D - Transfusion de plaquettes E - Plasmaphérèses
Parmi les médicaments reconnus comme responsables d'un purpura de même type (moelle riche) vous retenez : A - Misulban® B - Quinidine C - Aminosides D - Digitoxine E - Corticoïdes Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C A - N'apporte pas de plaquettes. B - IM formellement contre indiquées. C - Traitement symptomatique permettant de passer un cap (peu efficace) hémorragique inutile en dehors de l'urgence. E - Pas en première intention, efficacité transitoire.
37 Question à compléments multiples. La splénectomie est réalisée, et entraîne une rémission du purpura thrombopénique. On peut voir en relation avec la splénectomie : A - Présence de corps de Jolly intra-érythrocytaire B - Excès de basophiles circulants C - Thrombocytose à 600 000 plaquettes/mm3 D - Méningococcémie E - Lymphopénie Bonne(s) réponse(s) : A C D A - Ordinairement détruits par la rate, leur présence témoigne d'une atrophie splénique ou d'une asthénie. B - Sans rapport ; étiologies: syndromes myéloprolifératifs, grands hypercipémies, hypothyroïdie. C - Entraîne une augmentation immédiate des plaquettes qui régresse en quelques mois. D - Les infections méningococciques foudroyantes pouvant se déclarer chez le sujet splénectomisé (idem sensibilité des splénectomisés au pneumocoque). E - Non, une splénomégalie peut entraîner en revanche une lymphopénie par hémodilution.
82 Question à compléments multiples. Le diagnostic finalement retenu est celui de purpura thrombopénique auto-immun. Dès lors vous prescrivez : A - Transfusion de plasma frais B - Injection intramusculaire de vitamine K1 C - Prednisone 1,5 mg/kilo/jour D - Transfusion de plaquettes E - Plasmaphérèses Bonne(s) réponse(s) : C Il s'agit d'une forme grave. Il serait logique d'associer à la corticothérapie d'emblée un traitement pur gammaglobulines polyvalentes intraveineuse à la dose de 400 mg/kg/jour, 4 jours de suite.
83 Question à compléments multiples. La splénectomie est réalisée, et entraîne une rémission du purpura thrombopénique. On peut voir en relation avec la splénectomie : A - Présence de corps de Jolly intra-érythrocytaire B - Excès de basophiles circulants C - Thrombocytose à 600 000 plaquettes/mm3 D - Augmentation des réticulocytes E - Lymphopénie Bonne(s) réponse(s) : A C La splénectomie s'accompagne d'hyperlymphocytose.
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203 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE39
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24 Question à compléments multiples. Parmi les signes suivants, indiquez celui ou ceux qui compatibles avec le diagnostic de Bêta-thalassémie hétérozygote : A - Anémie modérée B - Microcytose importante (VGM < 70 fl.) C - Diminution de la résistance globulaire à l'hypotonie D - Hyposidérémie franche (fer sérique < 0,5 mg/l) E - Augmentation de l'Hb A2 à l'électrophorèse de l'hémoglobine Bonne(s) réponse(s) : A B E Le tableau des bêta thalassémies hétérozygotes associée : - Une psuedopolyglobulie ou une anémie discrète (110 g ± 10g Hb les femmes, 130 ± 10g hommes) - Une microcytose (65 ± 5 Fl) - Une hypochromie avec taux de méticuloytes normal ou peu augmenté - Un taux d'HbA2 supérieur à 3,5%, parfois un taux d'HbF supérieur à 1% et inférieur à 3% - Le bilan du fer sérique est normal. En cas de sidéropénie associée, il peut y avoir normalisation du taux d'HbA2.
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74 Question à compléments multiples.
9 Question à compléments multiples.
Un sujet présente une hémolyse intravasculaire par incompatibilité transfusionnelle. Quel ou quels symptômes pouvez-vous observer dans les : A - Hémoglobinémie B - Hémoglobinurie C - Augmentation des réticulocytes D - Augmentation de la bilirubine non conjuguée E - Diminution de l'haptoglobine
Chez un malade transfusé sous anesthésie générale, quels sont le ou les symptômes d'alerte qui doivent faire arrêter immédiatement la transfusion en cours, en raison de la suspicion d'une hémolyse intravasculaire par incompatibilité de groupe sanguin ? A - Chute tensionnelle B - Hypothermie C - Hyperthermie D - Hémorragie en nappe E - Agitation
Bonne(s) réponse(s) : A B E A. L'hémoglobinémie est instantanée et traduit la libération d'hémoglobine dans la circulation. Elle signe l'hémolyse intravasculaire. B. L'hémoglobinurie est la conséquence de l'hémoglobinémie et signe une hémolyse intravasculaire grave car elle n'est détectée que si l'hémoglobinémie est supérieure à 150 mg/ml. Elle apparaît très rapidement après l'accident. C. L'augmentation des réticulocytes est un phénomène secondaire, maximum 6 à 8 jours après l'accident hémolytique aigu. D. L'augmentation de la bilirubine libre survient dans un second temps et reste souvent très modérée. Une bilirubinémie normale n'élimine pas le diagnostic d'anémie hémolytique. E. L'hémoglobine libérée dans la circulation est immédiatement captée par l'haptoglobine qui la transforme en cellules macrophagiques. La baisse de l'haptoglobine est donc un phénomène précoce et constant. Elle est très vite consommée et l'hémoglobine passe alors dans le plasma puis essentiellement dans les urines.
34 Question à compléments multiples. Un sujet sans allo immunisation antérieure présente une hémolyse intravasculaire aiguë par incompatibilité transfusionnelle de type ABO. Six heures après l'accident, quel(s) est (sont) les propositions qui vous paraissent exactes ? A - Augmentation de l'hémoglobine plasmatique B - Augmentation de la bilirubine indirecte C - Augmentation des réticulocytes sanguins D - Chute de l'haptoglobine E - Test de Coombs direct IgG positif Bonne(s) réponse(s) : A B C D A - Hyperhémoglobinémie. Libération d'hémoglobine dans le plasma par lyse aiguë des globules rouges. B - La bilirubine libre (ou indirecte) est augmentée dans l'hémolyse dans les heures qui suivent. C - Les réticulocytes augmentent fortement dans les heures qui suivent. D - L'haptoglobine est effondrée dans l'hémolyse intravasculaire car elle capte l'hémoglobine libre. A et D - Sont des signes très précoces d'hémolyse aiguë. B et C - Apparaissent dans les heures qui suivent (ici après 6 heures). E - Les hémolyses par incompatibilités transfusionnelles ABO chez un sujet non immunisé sont médiées par les hémolysines régulières, prééxistantes à l'immunisation de type IgM.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E Les signes et symptômes des anémies hémolytiques immunologiques par incompatibilité ABO incluents : fièvre, frissons, douleur thoracique, hypotension, nausées, dyspnées, douleur au site d'infusion et dans la région lombaire, hémoglobinurie et choc. Chez le sujet anesthésié, les seuls signes peuvent consister en agitation, hypotension artérielle, saignement généralisé ou au point de ponction lié à une CIVD. L'oligurie s'installe plus tardivement.
92 Question à compléments multiples. La transfusion de plaquettes : A - Peut être réalisée à partir d'un seul donneur après cytaphérèse B - Est dépourvue du risque de transmettre une infection par le virus de l'immunodéficience humaine C - Peut provoquer l'apparition d'anticorps anti-HLA D - Est utile lors du traitement des coagulations intravasculaires disséminées E - Est utile lors du traitement du purpura thrombopénique idiopathique Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
5 Question à complément simple. Une transfusion de sang massive et rapide peut être à l'origine des manifestations suivantes, sauf une, laquelle ? A - Hyperkaliémie. B - Hyponatrémie. C - Hypocalcémie. D - Hypothermie. E - Oedème pulmonaire Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
91 Question à complément simple. Avec un traitement substitutif correct, et en dehors de toute transfusion, on peut s'attendre à la normalisation (12-13 g/dl) du taux d'hémoglobine aux : A - 5ème jour B - 10ème jour C - 20ème jour D - 50ème jour E - 100ème jour Bonne(s) réponse(s) : D Durée = environ 2 mois.
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61 Question à complément simple. En cas de nouvelle transfusion en cours d'intervention, quel produit sanguin conseillez-vous ? A - Sang total standard isogroupe B - Concentré érythrocytaire déleucocyté C - Concentré érythrocytaire choisi après test de comptabilité fait au laboratoire (Cross-match) D - Concentré érythrocytaire décongelé E - Albumine humaine Bonne(s) réponse(s) : C Il s'agit de culots érythrocytaires phénotypés compatibles avec le sang de la patiente permettant d'éviter les accidents d'hémolyse mineurs.
29 Question a compléments multiples. Vous décidez de transfuser pour corriger l'anémie ; il s'agit d'une première transfusion : quelle(s) est (sont) la ou les détermination(s) que vous demanderez au préalable ? A - Groupage simple ABO et rhésus standard B - Phénotype érythrocytaire complet C - Groupage HLA D - Recherche d'anticorps irréguliers anti-érythrocytaires E - Recherche d'anticorps anti-leucocyto-plaquettaires Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
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58 Question à compléments multiples.
66 Question à complément simple.
Parmi les conséquences d'une polyglobulie primitive (ou maladie de Vaquez), on retrouve : A - Insuffisance respiratoire B - Céphalées C - Adénopathies superficielles D - Hémorragies E - Thrombose vasculaire
Tous ces symptômes sont compatibles avec la maladie de Vaquez sauf un. Lequel ? A - Splénomégalie B - Augmentation du volume globulaire total C - Plaquettes pouvant être supérieures à 400 giga/l D - Vitesse de sédimentation basse. inférieure à 10 mm E - Saturation oxygénée du sang artériel inférieure à 92 %
Bonne(s) réponse(s) : B D E
Bonne(s) réponse(s) : E
B - Signe d'hyperviscosité. D - Par hyperviscosité. E - Par thrombopathie.
A - Argument clinique majeur en faveur du Vaquez devant une polyglobulie. B - Permet le diagnostic de polyglobulie vraie si supérieur à 32ml/cg chez la femme, 36ml chez l'homme. C - Fréquente dans ce syndrome myéloprolifératif. D - Par impossibilité de formation de rouleaux érythrocytaires responsables de la sédimentation. E - Evocateur d'une polyglobulie secondaire.
20 Question à compléments multiples. Chez un sujet polyglobulique (mesure isotopique), quel(s) est (sont) parmi les signes suivants, celui (ceux) à retenir en faveur de diagnostic de la maladie de Vaquez : A - Erythrose du visage B - Céphalées fréquentes C - Splénomégalie D - Hématocrite à 57% E - Hyperplaquettose Bonne(s) réponse(s) : C E A - N'est pas un argument d'orientation. B - Idem (signe fonctionnel de PG). C - Argument clinique majeur mais non constant. D - N'est pas un argument d'orientation. E - Elément du syndrome myéloprolifératif, peut s'accompagner d'une hyperleucocytose, avec myélémie discrète, basophilie modérée possible.
Dans la liste des propositions suivantes, laquelle (lesquelles) peu(ven)t s'observer au cours d'une polyglobulie primitive ou maladie de Vaquez ? A - Erythrose B - Prurit disséminé C - Polyadénopathie superficielle D - Abaissement de la saturation oxygénée de l'hémoglobine en dessous de 80 % E - Splénomégalie Bonne(s) réponse(s) : A B E A - Touche les paumes, les muqueuses, le visage. B - Classiquement déclenché par l'eau. C - Ne fait pas partie du tableau. D - Evoque un polyglobulie secondaire. E - Elément clinique majeur du diagnostic, mais inconstante.
32 Question à complément simple. Toutes ces complications directes de la maladie de Vaquez sont possibles, sauf une. Laquelle ? A - Transformation en leucémie aiguë B - Myélofibrose avec anémie C - Transformation en leucémie Iymphoïde chronique D - Infarctus du myocarde E - Ischémie des membres inférieurs Bonne(s) réponse(s) : C Polyglobulie primitive appartenant aux syndromes myéloprolifératifs. Les complications propres à la maladie sont les thromboses par hyperviscosité sanguine : 1) Artérielles (cérébrales, coronaires, rétiniennes, membres inférieurs). 2) Veineuses (mésentériques, rénales, membres inférieurs, Budd-Chiari) : - hémorragies muqueuses ou viscérales - complication de l'hyperuricémie - HTA - l'ulcère gastroduodénal est plutôt une association qu'une complication. Les deux grands risques évolutifs sont : l) L'acutisation (favorisée par le Phosphore 32). 2) La myélofibrose avec métaplasie hépato-splénique.
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7 Question à compléments multiples.
48 Question à compléments multiples. Devant une polyglobulie vraie, vous retenez en faveur du diagnostic de maladie de Vaquez : A - Erythrose du visage B - Céphalées fréquentes C - Splénomégalie D - Hématocrite à 57 % E - Hyperplaquettose Bonne(s) réponse(s) : C E A - Evocateur de polyglobulie quelle qu'elle soit. B - Signe d'hyperviscosité non spécifique. C - Argument fondamental du diagnostic, mais inconstant. D - La seule définition de la polyglobulie vraie repose sur la mesure de la masse globulaire, et n'est, de toute façon, pas un élément d'orientation. E - Augmentation des autres lignées avec parfois myélémie discrète due au syndrome.
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66 Question à compléments multiples.
31 Question à complément simple.
Le tableau clinique de la maladie de Vaquez non traitée comporte : A - Une érythrose B - Une cyanose avec hippocratisme de doigts C - Un prurit au contact de l'eau D - Une spénomégalie E - De très fréquents accidents de thrombose
Tous ces symptômes sont ceux d'une la maladie de Vaquez sauf un. Lequel ? A - Splénomégalie B - Augmentation du volume globulaire total C - Plaquettes supérieures à 400 giga/l D - Vitesse de sédimentation basse, inférieure à 10 mm E - Saturation oxygénée du sang artériel inférieure à 92%
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Bonne(s) réponse(s) : E
Evident.
Pour retenir le diagnostic des maladies de Vaquez, il faut les critères suivants : A1 + A2 + A3 ou A1 + A2 + 2 critères du groupe B. Groupe A : A1 = volume globulaire total >ou = 36 ml/kg chez l'homme et > ou = 32 ml/kg chez la femme. A2 = saturation artérielle en oxygène > 92 %. A3 = splénomégalie. Groupe B : B1 = plaquettes > 400000/mm3. B2 = GB > 12000/mm3. B3 = score des PAL > 100. B4 = vitamine B12 sérique > ou = 900 pg/ml.
58 Question à compléments multiples. Quel(s) signe(s) clinique(s) ou biologique(s) suivant(s) observé(s) au cours d'une polyglobulie vraie, est(sont) évocateurs d'une maladie de Vaquez : A - Polyadénopathie B - Splénomégalie C - Polynucléose neutrophile D - Thrombocytose E - Erythrose faciale importante Bonne(s) réponse(s) : B D
24 Question à complément simple.
La splénomégalie est un des critères majeurs qui devant une polyglobulie vraie permet d'évoquer le diagnostic de polyglobulie primitive. La thrombocytose > 400 000/mm3 est également un des éléments retenus. C'est l'hyperleucocytose > 12 000 mm3 (en l'absence d'information) qui est évocatrice de polyglobulie primitive (item très discutable). L'érythrose faciale importante n'est que la conséquence de la polyglobulie et n'oriente pas le diagnostic.
Le P32 proposé pour le traitement de la polyglobulie de Vaquez : A - A une durée d'action inférieure à 6 mois B - Est contre-indiqué chez une femme C - Favorise la transformation en myélosclérose D - Peut être leucémogène E - Touche électivement la lignée érythrocytaire Bonne(s) réponse(s) : D
67 Question à compléments multiples.
Le risque d'évolution de la maladie de Vaquez vers une leucémie aiguë est de 10 % après traitement par phosphore 32 radioactif. Ce risque de leucémie aiguë est très faible en cas de traitement par les seules saignées.
Une polyglobulie primitive (ou maladie de Vaquez) peut provoquer un ou plusieurs des signes suivants : A - Insuffisance respiratoire chronique B - Céphalées C - Adénopathies superficielles D - Hémorragies E - Thrombose vasculaire
96 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : B D E Sémiologie classique. A - L'insuffisance respiratoire chronique peut entraîner une polyglobulie secondaire.
Toutes ces complications directes de la maladie de Vaquez sont possibles sauf une. Laquelle ? A - Transformation en leucémie aiguë B - Myélofibrose avec anémie C - Transformation en leucémie lymphoïde chronique D - Hémiplégie E - Ischémie des membres inférieurs Bonne(s) réponse(s) : C
51 Question à compléments multiples. Le tableau de maladie de Vaquez typique comporte : A - Erythrose faciale B - Prurit à l'eau C - Polyadénopathies D - Splénomégalie E - Cyanose Bonne(s) réponse(s) : A B D Question de sémiologie simple. Pas d'autres commentaires.
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Les complications de la Maladie de Vaquez sont : - Complications thromboemboliques veineuses et artérielles cause du décès dans 10 à 40% des cas. - Hémorragies cause du décès de 6 à 30% des patients. - Maladie ulcéreuse gastroduodénale. - Evolution secondaire vers une myélofibrose médullaire avec métaplasie médullaire chez 3 à 10% des sujets. - Leucémies aiguës dont l'incidence est de 1% si le traitement a été constitué de saignées, et de 10 à 13% en cas de traitement du Vaquez par chlorambucil au phosphore radioactif (P32). Il s'agit en général de LA myéloblastiques. - Autres maladies malignes : les traitements par chlorambucil au P32 exposent au risque accru de tumeurs du tractus gastro-intestinal et de la peau.
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2 Question à complément simple.
38 Question à complément simple.
Parmi les examens suivants, indiquer celui qui est nécessaire pour affirmer le diagnostic de polyglobulie de Vaquez chez ce malade : A - Le score des phosphatases alcalines leucocytaires B - Le caryotype médullaire C - Le myélogramme D - La scintigraphie médullaire E - Aucun des précédents
Vous avez posé chez ce malade le diagnostic de polyglobulie primitive de Vaquez. L'anomalie de taille des globules rouges s'explique très probablement par : A - L'hypoxie liée à l'hyperviscosité sanguine B - Un trouble acquis de synthèse des chaînes de globine C - Un saignement digestif occulte D - Une anomalie du métabolisme de la vitamine B12 E - Un éthylisme chronique
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C
Permet seule le diagnostic de syndrome myéloprolifératif et au contraire du myélogramme permet d'apprécier l'architecture de la moelle.
L'étiologie la plus probable est une carence martiale en relation avec une perte de sang chronique occulte.
3 Question à compléments multiples.
39 Question à compléments multiples.
Parmi les thérapeutiques suivantes, Iaquelle (lesquelles) est (sont) utilisable(s) dans la maladie de Vaquez ? A - Chimiothérapie par voie orale B - Saignées répétées C - Phosphore radioactif D - Chrome radioactif E - Polychimiothérapie séquentielle
Parmi les anomalies suivantes, présentes chez ce malade, quelle(s) est (sont) celle(s) qui permet(tent) de suspecter que cette polyglobulie est une maladie de Vaquez ? A - Splénomégalie B - Globules rouges supérieurs à 6,5 x 10 exposant 12 par litre C - Globules blancs supérieurs à 12 x 10 exposant 9 par litre D - Plaquettes supérieures à 600 x 10 exposant 9/l E - Erythrose faciale
Bonne(s) réponse(s) : A B C Le traitement dépend de l'âge du patient, du taux de plaquettes et du degré d'urgence (hyperviscosité imposant les saignées).
Bonne(s) réponse(s) : A C D A - Elément fondamental du diagnostic, mais inconstant. B - Ne permet ni d'affirmer la polyglobulie, ni d'orienter vers une cause primitive ou secondaire. C - Il s'agit d'un syndrome myéloprolifératif. D - Idem item C. E - Signe clinique de polyglobulie sans valeur d'orientation.
28 Question à compléments multiples. Quel(s) élément(s) de l'observation retenez vous en faveur du diagnostic de maladie de Vaquez ? A - Erythrose du visage B - TA : 19-10 C - Hématocrite : 60% D - Plaquettes : 390 x 10 exposanrt 9/l E - Rate palpable Bonne(s) réponse(s) : E ABC - Signes de polyglobulie non spécifiques. D - Plutôt en défaveur. E - Argument majeur mais inconstant.
19 Question à compléments multiples. Quels sont dans l'observation le ou les élément(s) en faveur du diagnostic de maladie de Vaquez ? A - Le chiffre des plaquettes B - Le taux de l'hématocrite C - Le chiffre des globules blancs D - La vitesse de sédimentation E - L'importance de l'hypervolémie Bonne(s) réponse(s) : A
36 Question à compléments multiples. Parmi les données suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) plutôt en faveur d'une maladie de Vaquez que d'une polyglobulie secondaire ? A - Valeur du volume globulaire total B - Données de l'étude morphologique de la moelle C - Le résultat de la biopsie médullaire D - Taux des leucocytes E - Valeur de la vitesse de sédimentation Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit d'un syndrome myéloprolifératif avec atteinte de toutes les lignées (hyperleucocytose, thrombocytose). La valeur du volume globulaire total définit la polyglobulie vraie mais ne donne aucune orientation étiologique. La VS est basse, mais ce n'est pas un signe spécifique.
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Une thrombocytose > 400 000/mm3 est évocatrice du diagnostic de maladie de Vaquez. L'hyperleucocytose > 120 000/mm3 (en l'absence d'infection) est également un des critères retenus par le groupe d'étude des polyglobulies primitives. Quelque soit l'étiologie d'une polyglobulie vraie, la VS est diminuée. Ni l'importance de l'hypovolémie ni l'augmentation importante de l'hématocrite ne sont des éléments orientant vers le diagnostic de la maladie de Vaquez. On retiendra cependant que la moyenne du VGT dans la maladie de Vaquez est de 49 ml/kg. Un patient de 50 ans dont l'hémogramme était normal un an auparavant, a l'hémogramme suivant : - hématocrite : 60 % - globules rouges : 6 500 000/mm3 - hémoglobine : 20 g/dl - globules blancs : 11 900 mm3 - polynucléaires neutrophiles : 75 % - lymphocytes : 15 % - monocytes : 10 % - plaquettes : 1 000 000/mm - VS : 1-2 Le volume globulaire isotopique est à 50 ml/kg. L'examen clinique en particulier neurologique est normal.
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20 Question à compléments multiples. Parmi les autres signes et symptômes suivants, quel est celui(ceux) qui est(sont) compatible(s) avec le diagnostic de maladie de Vaquez ? A - Détection d'une splénomégalie par échographie B - SaO2 92 % C - Présence d'une myélofibrose réticulinique à la biopsie médullaire D - Taux abaissé d'érythropoïétine plasmatique E - Caryotype médullaire normal Bonne(s) réponse(s) : A C D E A) Evident (clinique, scintigraphique ou échographique), - la saturation artérielle en O2 doit être strictement > 92 % pour affiner le diagnostic de maladie de Vaquez. - La myélofibrose réticulinique à la BM est compatible, en général absente aux stades précoces de la maladie. - La baisse du taux d'EP plasmatique par dosage radio-immunologique n'est pas de pratique courante mais pourrait être très sensible pour différencier polyglobulies primitives et secondaires. - Le caryotype médullaire peut être normal. Il existe cependant des anomalies fréquentes non spécifiques récemment décrites.
21 Question à complément simple. Parmi les examens suivants, lequel est utile dans le cas de ce patient, compte tenu des résultats déjà en votre possession, pour confirmer le diagnostic de maladie de Vaquez ? A - Dosage de la vitamine B12 B - Dosage des phosphatases alcalines leucocytaires C - Dosage de l'uricémie D - Myélogramme E - Aucun de ces examens Bonne(s) réponse(s) : Attention : il est impossible de répondre à ce QCM avec les données en notre possession car : si on retient les données du QCM n°20 et notamment une saturation à 72 % (il y a un gribouillage), il faut alors chez ce patient avoir comme critères pour retenir le diagnostic de polyglobulie primitive : un VGMO> 30ml/g (critère présent ici), une splénomégalie (critère présent ici) et 2 critères parmi : - thrombocytose > 400 000mm3 (présent ici) - score des PAL > 100 - vitamine B12 sérique > 900pg/ml ou capacité de liaison de la vitamine B12 > 2 200 pq/ml. Aucun de ces deux critères n'est prépondérant sur l'autre et on ne peut donc répondre par un QCM simple.
22 Question à complément simple. Le diagnostic de maladie de Vaquez est affirmé. Quel traitement de fond doit être proposé chez ce patient en tenant compte des données cliniques et biologiques ? A - Saignées seulement B - Saignées + hydroxyurée C - Saignées + phosphore 32 D - Aspirine à petites doses E - Surveillance et traitement en cas d'aggravation Bonne(s) réponse(s) : B Les saignées sont le traitement d'urgence chez ce patient de 50 ans avec augmentation très importante du VGT et des risques hémorragiques, thrombotiques et cardiovasculaires non négligeables. L'hydréa est le traitement de choix (agent non radiomimétique non mutagène) et sera préféré à cet âge au P 32. Il doit être associé d'emblée, du fait du risque de thrombocytose, potentialisée par la carence martiale induite par les saignées seules.
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66 Question à compléments multiples. Un allongement important du temps de saignement s'observe généralement au cours : A - D'un purpura thrombopénique B - D'une hémophilie A sévère C - D'une maladie de Willebrand typique D - D'une thrombasthénie de Glanzman E - D'une afibrinogénémie congénitale Bonne(s) réponse(s) : A C D E B - TS normale.
20 Question à complément simple. Cet allongement du temps de Quick pourrait être corrigé par l'administration de : A - Etamsylate (Dicynone®) B - Acide epsilon amino-caproïque (Hemocaprol capramol) C - Extraits de foie D - Vitamine K1 E - Fraction plasmatique PPSB Bonne(s) réponse(s) : D Evident.
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16 Question à complément simple.
19 Question à complément simple.
Un malade de 30 ans consulte pour une pesanteur de l'hypochondre gauche. Vous découvrez une volumineuse spénomégalie. L'hémogramme montre une hyper leucocytose à 350 000/mm3 avec myélémie, sans anémie. Le taux des plaquettes est à 550 000/mm3. La VS est à 5 mm à la première heure. Quel est votre diagnostic ? A - Une leucémie aiguë B - Une leucémie myéloïde chronique C - Une splénomégalie myéloïde chronique D - Une leucémie Iymphoïde chronique E - Une thrombocytémie essentielle
Au bout de trois mois de traitement par la vitamine B 12 pour une anémie de Biermer, tous ces signes disparaissent sauf un, lequel ? A - Macrocytose B - Elévation des LDH C - Présence de métamyélocytes géants D - Mégaloblastose médullaire E - Achlorhydrie gastrique
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : E E - Elle est définitive.
9 Question à compléments multiples.
Diagnostic évident.
70 Question à complément simple. Les manifestations neurologiques de l'anémie de Biermer sont les suivantes, sauf une : A - Déficit moteur avec réflexe cutané plantaire en extension B - Chute en position debout à l'occlusion des yeux C - Aréflexie achilléenne D - Dissociation thermo-algésique E - Troubles psychiques
Parmi les affections suivantes, indiquer la ou lesquelles se compliquent volontiers d'une anémie hémolytique autoimmune : A - Lupus érythémateux disséminé B - Leucémie Iymphoïde chronique C - Cancers ORL D - Maladie de Kahler E - Leucémie myéloïde chronique Bonne(s) réponse(s) : A B D A B D - Connaissances. C - Non. E - Exceptionnel.
Bonne(s) réponse(s) : C A : Forme sévère : cordon, latéraux B : Signe cérébelleux se voit également D : Paresthésies = cordons dorsaux E : Se voit jusqu'au délire maniaque "la folie mégaloblastique".
90 Question à compléments multiples.
38 Question à complément simple.
Devant une anémie hémolytique autoimmune à anticorps IgG chez une femme de 44 ans, I'enquète étiologique devra comporter la recherche : A - D'une prise médicamenteuse B - D'un Iymphome C - D'un lupus érythémateux disséminé D - D'un épithélioma digestif E - D'un fibrome utérin
Tous les résultats biologiques suivants, sauf un, sont compatibles avec une anémie hémolytique auto-immune chez un homme de 55 ans, auvergnat d'origine, exempt de carence martiale : A - Plaquettes = 2 50 000/mm3 B - Volume globulaire moyen = 75 fl C - Réticulocytes = 550 000/mm3 D - Bilirubine non conjuguée = 45 µmol/l E - Test de Coombs direct positif de type IgG Bonne(s) réponse(s) : B Il existe plutôt une macrocytose liée à une régénération médullaire active. Les plaquettes sont retrouvées dans les valeurs normales dans un AHAI.
18 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B C Connaissances.
29 Question à complément simple. La spécificité des autoanticorps d'une anémie hémolytique auto-immune à test de Coombs de type IgG est : A - Une spécificité du type ABH B - Une spécificité de type rhésus C - Une spécificité de type P D - Une spécificité de type li E - Une spécificité de type MN Bonne(s) réponse(s) : B
Il est logique de rechercher une anémie hémolytique autoimmune au cours du bilan fait chez un malade atteint de : A - Myélome multiple B - Plasmocytome osseux solitaire C - Leucémie aiguë myéloblastique D - Leucémie Iymphoïde chronique E - Lupus érythémateux disséminé
Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A D E Sans commentaire.
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46 Question à complément simple.
53 Question à complément simple.
Quel est l'élément clinique ou biologique parmi les suivants qui donne une indication sur la gravité d'une anémie hémorragique aiguë ? A - Pâleur B - Niveau de la tension artérielle C - Taux de l'hémoglobine D - Nombre des réticulocytes E - Nombre des hématies
Une anémie macrocytaire non régénérative avec paresthésies et troubles de la sensibilité profonde des membres inférieurs évoque : A - Une dysmyélopoïèse B - Une carence en vitamine B12 C - Une carence en acide folique D - Un éthylisme chronique E - Une carence en Vitamine B6
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : B
A - Signe subjectif de gravité. B - La chute tensionnelle traduit le degré de spoliation sanguine. C E - Modifications différées de quelques heures. D - Modification différée de quelques jours.
Les signes neurologiques sont en faveur d'une carence en vitamines B12.
60 Question à complément simple.
51 Question à complément simple. Une malade de 40 ans consulte pour fièvre a 38°C. L'etat général s'est rapidement dégradé. L'examen clinique montre une angine érythémato-pultacée et un muguet lingual. Il existe par ailleurs une discrète splénomégalie. L'hémogramme montre une anémie à 8 g/dl, un chiffre de globules blancs à 3800/mm3 dont 10 % de polynucléaires. Les plaquettes sont à 38 000/mm3. Vous évoquez en premier lieu : A - Une leucémie aiguë B - Une agranulocytose toxique C - Une spénomégalie myéloïde chronique D - Une aplasie médullaire E - Une néoplasie profonde Bonne(s) réponse(s) : A A - Pancytopénie associée à un syndrome tumoral : splénomégalie. B - Non, car atteinte des autres lignées. C - Syndrome myéloprolifératif avec myélémie et forte splénomégalie. D - La splénomégalie n'est pas retrouvée.
Sur quel critère décidez-vous d'arrêter le traitement d'une anémie par carence martiale ? A - Fer sérique normalisé B - Hémoglobine normalisée C - Capacité totale de fixation du fer normalisée D - VGM normalisé E - CCMH normalisé Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
5 Question à compléments multiples. Le traitement correct d'une anémie de Biermer fait disparaître : A - Les anomalies de l'hémogramme B - La mégaloblastose C - La gastrite atrophique D - Le risque de cancer gastrique E - La glossite Bonne(s) réponse(s) : A B E
38 Question à complément simple.
C - Elle est définitive. D - D'o^la nécessité de faire une fibroscopie digestive annuelle.
Un patient présente de la diarrhée, une hypo-albuminémie, une anémie, une perte de poids avec stéatorrhée. Le test au D-xylose est nettement pathologique. Le transit du grêle montre une dilatation du jéjunum et de l'iléon proximal. L'étape diagnostique suivante la plus importante est : A - Une étude de la motilité oesophagienne B - Un breath-test au glycocholate marqué au carbone 14 C - Un test de Shilling D - Une biopsie jéjunale E - Aucune de ces propositions Bonne(s) réponse(s) : E Ce tableau évoque une maladie coeliaque. Il faut donc effectuer des biopsies duodénales au cours d'une fibroscopie oesogastroduodénale afin de rechercher une atrophie villositaire.
4 Question à compléments multiples. Dans la leucémie lymphoïde chronique, une anémie peut relever de deux mécanismes principaux : A - Carence martiale B - Anémie de mécanisme inflammatoire C - Carence en folates D - Hémolyse auto-immune E - Insuffisance de production Bonne(s) réponse(s) : D E D et E : Evident.
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23 Question à complément simple.
39 Question à complément simple.
Compte-tenu du caractère chronique mais souvent profond de l'anémie et de l'âge de la patiente, la transfusion nécessite : A - Le réchauffement préalable du sang B - Une filtration des agrégats leucoplaquettaires par filtres spéciaux C - Une transfusion lente pour éviter les surcharges volémiques éventuellement précédée de l'administration de diurétique D - L'apport simultané de plasma frais congelé E - L'apport systématique d'un antihistaminique
Quelle est l'affirmation exacte concernant ce type d'anémie ? A - C'est l'anémie la plus fréquemment rencontrée en France B - Une carence alimentaire est souvent retrouvée C - Une malabsorption est souvent retrouvée D - Le traitement supplétif doit être poursuivi indéfiniment E - L'évolution peut se faire vers une anémie réfractaire sidéroblastique Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C Le risque le plus important reste à cet âge la surcharge volémique.
66 Question à compléments multiples. En fait, la réaction de Coombs directe est positive, de type complément. Indiquer la ou lesquelles des maladies suivantes doit ou doivent être recherchée(s) comme responsable(s) ou associée(s) à cette anémie hémolytique : A - Un lupus érythémateux disséminé B - Une maladie de Waldenström C - Un Iymphome malin non hodgkinien D - Une méthémoglobinémie E - Une infection à mycoplasma pneumoniae
19 Question à complément simple. Quel est le mécanisme probable de l'anémie ? A - Carence martiale B - Hyperhémolyse C - Envahissement médullaire D - Saignement chronique E - Hémodilution Bonne(s) réponse(s) : B AHAI dans le cadre d'un LLC haptoglobine effondrée, bilirubine NC augmentée anémie macrocytaire avec légère myélémie
Bonne(s) réponse(s) : A C E
20 Question à complément simple.
B : Exceptionnel à 5 ans !
67 Question à compléments multiples. Ce type d'anémie hémolytique est lié à la présence probable à la surface des hématies : A - D'agglutinines froides B - D'auto-anticorps incomplets chauds C - D'anticorps de type IgM D - D'anticorps anti-érythrocytaires induits par l'antibiothérapie E - D'anticorps anti-HLA
Quel est l'examen permettant de préciser l'étiologie de l'anémie ? A - Epreuve au chrome 51 B - Test de Shirmer C - Test de Coombs direct D - Test de Coombs indirect E - Numération des réticulocytes Bonne(s) réponse(s) : C A : Rarement nécessaire au diagnostic B : Aucun rapport D : Pas de signification E : Peut être augmentées, normales, basses.
Bonne(s) réponse(s) : A C A : Une anémie à 9gr est tout à fait tolérable. B : Incomplets : ne fixent pas le complément.
37 Question à compléments multiples. Quelle(s) thérapeutique(s) envisagez-vous pour corriger cette anémie ? A - Transfusion de concentré érythrocytaire B - Corticothérapie à dose faible (0, 2 mg/kg/j) C - Sels de fer par voie orale D - Association de sels ferreux, vitamines B et folates E - Aucun traitement avant que l'étiologie ne soit précisée Bonne(s) réponse(s) : C Evident.
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56 Question à complément simple. Parmi les antibiotiques suivants, lequel peut provoquer des aplasies médullaires ? A - Gentamycine B - Chloramphénicol C - Kanamycine D - Pénicilline E - Pristinamycine Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
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16 Question à complément simple.
51 Question à complément simple.
Un malade de 30 ans consulte pour une pesanteur de l'hypochondre gauche. Vous découvrez une volumineuse spénomégalie. L'hémogramme montre une hyper leucocytose à 350 000/mm3 avec myélémie, sans anémie. Le taux des plaquettes est à 550 000/mm3. La VS est à 5 mm à la première heure. Quel est votre diagnostic ? A - Une leucémie aiguë B - Une leucémie myéloïde chronique C - Une splénomégalie myéloïde chronique D - Une leucémie Iymphoïde chronique E - Une thrombocytémie essentielle
Une malade de 40 ans consulte pour fièvre a 38°C. L'etat général s'est rapidement dégradé. L'examen clinique montre une angine érythémato-pultacée et un muguet lingual. Il existe par ailleurs une discrète splénomégalie. L'hémogramme montre une anémie à 8 g/dl, un chiffre de globules blancs à 3800/mm3 dont 10 % de polynucléaires. Les plaquettes sont à 38 000/mm3. Vous évoquez en premier lieu : A - Une leucémie aiguë B - Une agranulocytose toxique C - Une spénomégalie myéloïde chronique D - Une aplasie médullaire E - Une néoplasie profonde
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A
Diagnostic évident.
A - Pancytopénie associée à un syndrome tumoral : splénomégalie. B - Non, car atteinte des autres lignées. C - Syndrome myéloprolifératif avec myélémie et forte splénomégalie. D - La splénomégalie n'est pas retrouvée.
29 Question à compléments multiples. Chez le nourrisson normal de 6 mois, l'hémogramme, par rapport à celui de l'adulte normal, le caractérise par : A - Une polyglobulie franche B - Un nombre inférieur de plaquettes/mm3 C - Une hyperleucocytose à 10-12 000/mm3 D - Une prédominance de lymphocytes sur la formule leucocytaire E - Une éosinophilie Bonne(s) réponse(s) : C D C : jusqu'à 2 ans D : Jusqu'à 2 à 5 ans.
25 Question à complément simple. Chez un homme la découverte sur un hémogramme systématique des résultats suivants : GR = 6 500 000/mm3 Hb = 13g/100ml Ht = 43%, évoque : A - Une polyglobulie vraie B - Une hémoconcentration C - Une erreur de laboratoire D - Une carence en fer E - Une thalassémie Bonne(s) réponse(s) : E Microcytose très importante avec pseudopolyglobulie.
29 Question à complément simple. Un, homme de 60 ans est hospitalisé pour céphalées et épistaxis. L'hémogramme montre : - Hémoglobine : 21 g/100 ml - Hématocrite : 69 % - Globules Rouges : 7 500 000/mm3 - Globules Blancs : 18 000/mm3 - Plaquettes : 600 000/mm3. Quelle attitude thérapeutique parmi les suivantes conseillezvous en urgence ? A - Chloraminophène : 6 comprimés / jour B - Misulban : 4 comprimés / jour C - Plasmaphérèses D - Saignées E - Injection de phosphore 32 Bonne(s) réponse(s) : D
70 Question à complément simple. Afin de préciser le mécanisme à l'origine de l'anomalie observée sur l'hémogramme, quel est l'examen que vous pratiquez parmi ceux cités ci-dessous ? A - Une scintigraphie osseuse B - Un myélogramme C - Une numération des réticulocytes D - Une radiculographie E - Un dosage du fer sérique Bonne(s) réponse(s) : B Il faut séparer les causes centrales et périphériques en regardant le nombre de mégacaryocytes.
Evident : le syndrome d'hyperviscosité est une urgence, les autres traitements ont un délai d'action trop long.
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16 Question à compléments multiples. Relevez les anomalies de l'hémogramme : A - Anémie normocytaire B - Hyperréticulocytose C - Neutropénie D - Thrombopénie E - Hyperéosinophilie Bonne(s) réponse(s) : C D C'est une anémie macrocytaire arégénérative. Un homme de 50 ans, éthylique notoire, consulte pour une asthénie d'aggravation progressive. L'examen clinique retrouve une discrète pâleur cutanéo-muqueuse, un ictère conjonctival, une hépatosplénomégalie (la rate déborde de 3cm le rebord costal, une lame d'ascite, des oedèmes et quelques ecchymoses des membres inférieurs. L'hémogramme est le suivant : Erythrocytes : 2,7.1012/l ; hémoglobine : 10,5 g/dl ; hématocrite : 30%; Réticulocytes : 20.109/l ; leucocytes : 3,2. 109/l (polynucléaires neutrophiles : 40%, polynucléaires éosinophiles : 8%, Iymphocytes : 45%, monocytes : 7%) ; plaquettes : 120.109/l. La VS est à 60 mm à la première heure. Le myélogramme est de richesse normale ; on note 35% d'érythroblastes avec tendance mégaloblastique; la lignée granulocytaire, de composition normale, comporte des myélocytes et métamyélocytes de grande taille; la lignée mégacaryocytaire est indemne. Le temps de Quick est à 55%. Il existe une hyperbilirubinémie à 35 mg/l, de formule mixte, avec élévation des transaminases et de la gamma GT sérique. La sidérémie est à 210 microg/100 ml avec un coefficient de saturation de la transferrine à 80%. La ferritinémie est à 500 ng/ml. Il existe à l'électrophorèse des protéines sériques une hypergammaglobulinémie.
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70 Question à complément simple. Irène est la fille d'un homme atteint d'hémophilie B. Elle est enceinte. Quel est le risque pour l'enfant d'être atteinte ? A-1 B - 1/2 C - 1/4 D - 1/8 E-0 Bonne(s) réponse(s) : E Dans le texte l'enfant est une fille puisque "atteint" est accordé au féminin ! vicieux !
61 Question à compléments multiples. Si les examens complémentaires précisent qu'il s'agit d'une hémophilie B, quel(s) geste(s) thérapeutique(s) vous semble(nt) convenir à cet état ? A - Injection de Minitrin® (DDAVP) B - Perfusion de PPSB C - Perfusion de facteur VIII concentré D - Ponction évacuatrice E - Abstention thérapeutique Bonne(s) réponse(s) : B A C - Utiles dans l'hémophilie A. Le DDAUP entraine un relargage de facteur VIII dans les hémophilies modérées. D - Dangereux.
62 Question à complément simple. Toujours dans l'hypothèse d'une hémophilie, quelle sera pour la mère la probabilité de transmettre l'anomalie génétique à ses garçons ? A-0% B - 25 % C - 50 % D - 75 % E - 100 % Bonne(s) réponse(s) : C C - Evident, car on ne nous donne pas d'autre information sur la famille.
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16 Question à complément simple.
47 47 Question à complément simple.
Un seul des signes suivants est constant dans la leucémie Iymphoïde chronique. Lequel ? A - Anémie B - Hyperlymphocytose médullaire C - Thrombopénie D - Adénopathies E - Hypogammaglobulinémie
Toutes ces complications sont fréquentes dans la leucémie Iymphoïde chronique, sauf une, laquelle ? A - Méningite leucémique B - Complications infectieuses pulmonaires C - Anémie hémolytique à auto anticorps D - Hypogammaglobulinémie E - Anémie par insuffisance médullaire
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A
B : C'est la définition. Il existe une hyperlymphocytose medullaire dans n'importe quel stade de la LLC. Pour les adénopathies, elles n'apparaisent qu'au stade 1.
A : Elle s'observe dans la LAL et LAMS B, C et D : Complications fréquentes E : Rare mais se voit des 15 % des cas.
55 Question à complément simple.
43 Question à compléments multiples.
Parmi les éléments suivants, lequel est constamment présent lors du diagnostic de leucémie aiguë ? A - Blastes dans le sang B - Splénomégalie C - Blastes dans la moelle D - Hyperleucocytose E - Thrombocytopénie
Les éléments suivants sont habituels au cours d'une leucémie Iymphoïde chronique : A - Hyperlymphocytose sanguine B - Hyperplasmocytose sanguine C - Myélémie D - Hypogammaglobulinémie E - Hyperlymphocytose médullaire
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A D E
C : Evident, c'est la définition.
Connaissance.
51 Question à compléments multiples.
19 Question à complément simple.
Dans une leucémie myéloïde chronique, quels sont, parmi les signes biologiques suivants, les deux qui ne se voient pas en phase chronique et qui doivent faire suspecter une transformation aiguë ? A - Un chiffre plaquettaire à 600 x 109/l B - Une thrombocytopénie C - 25 % de myélocytes sur la formule leucocytaire D - 12 % de blastes sur la formule leucocytaire E - Un chiffre leucocytaire à 150 x 109/l avec 52 % de polynucléaires neutrophiles
Parmi les éléments suivants, lequel est constamment présent lors du diagnostic de leucémie aiguë ? A - Pancytopénie B - Hyper leucocytose C - Leucoblastes dans le sang D - Leucoblastes dans la moëlle E - Hyperuricémie Bonne(s) réponse(s) : D Evident, fait partie de la définition.
Bonne(s) réponse(s) : B D B : par insuffisance médullaire.
59 Question à compléments multiples.
8 Question à complément simple. Parmi ces médicaments utilisés dans le traitement des leucémies aiguës Iymphoblastiques, lequel peut entraîner comme effets secondaires un diabète, des troubles allergiques et une hypofibrinémie ? A - Cyclosphosphamide (Endoxan®) B - Daunorubicine (Cérubidine®) C - Vincristine (Oncovin®) D - Asparaginase (Kidrolase®) E - Prédnisolone (Solupred®)
Dans une leucémie lymphoïde chronique, sont considérées comme de mauvais pronostic : A - Une grosse rate isolée qui dépasse du rebord costal de plus de 12 cm B - Une hyperleucocytose supérieure à 100 000/mm3 C - Une anémie arégénérative à 89 d'hémoglobline/100 ml D - Une thrombopénie inférieure à 100 000/mm3 E - Une hypogammaglobulinémie Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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74 Question à complément simple.
2 Question à compléments multiples.
Virus jouant un rôle dans la pathogenèse des leucémies T de l'adulte : A - EBV B - HIV C - HTLV-1 D - Papovavirus E - Herpès
Sur le plan immunologique, la leucémie Iymphoïde chronique : A - Consiste en règle générale en une prolifération lymphoïde monoclonale T B - Consiste parfois (10 à 15 % des cas) en une prolifération lymphoïde polyclonale B C - Peut s'accompagner d'hypogammaglobulinémie D - Peut s'accompagner de manifestations d'auto-immunité E - Peut s'accompagner aux études électrophorétiques sériques d'un petit composant monoclonal de type IgM
Bonne(s) réponse(s) : C C - Le HTLV1 est un oncovirus appartenant à la famille des retrovividae. Il est à l'origine de deux pathologies : - la paraplégie spastique tropicale, - certaines leucémies T de l'adulte.
78 Question à compléments multiples. Au cours de l'évolution d'une leucémie myeloïde chronique traitée par chimiothérapie, le ou les signe(s) qui fait (font) craindre une transformation aiguë est(sont) : A - L'apparition d'adénopathies B - L'augmentation progressive du taux d'acide urique C - Une fièvre durable D - Une augmentation du taux des myélocytes sanguins E - La survenue d'une thrombose
Bonne(s) réponse(s) : C D E A : Non, car lymphocytes B B : Non, la prolifération lymphoïde est beaucoup plus importante.
3 Question à compléments multiples. Certaines complications sont habituelles dans le cours de l'évolution d'une leucémie lymphoïde chronique : A - Anémie B - Thrombopénie C - Infections bactériennes D - Transformation en leucémie aiguë lymphoblastique E - Survenue d'une insuffisance rénale chronique
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : A B C
B - Non. D - Plutôt des blastes sans hiatus.
A et B : Par insuffisance médullaire C : Souvent revelateur de la maladie. D : Non, c'est exceptionnel voire jamais, c'est plutôt une transformation en lymphomes. E : Non, exceptionnel par le biais d'une gammapahtie.
1 Question à complément simple. En dehors d'une leucémie lymphoïde chronique, les données cliniques et hématologiques chez ce malade étaient également compatibles avec : A - Une leucémie à tricholeucocytes B - Une leucémie aiguë Iymphoblastique C - Une maladie de Hodgkin D - Une mononucléose infectieuse E - Aucune de ces affections Bonne(s) réponse(s) : E
4 Question à compléments multiples. Dans la leucémie lymphoïde chronique, une anémie peut relever de deux mécanismes principaux : A - Carence martiale B - Anémie de mécanisme inflammatoire C - Carence en folates D - Hémolyse auto-immune E - Insuffisance de production
A : Non car absence de splenomégalie et de pancytopénie B : Non, absence de signe d'insuffisance médullaire, de syndrome tumoral et infiltratif C : Non, pas le tableau D : Non, car ici on a des petits lymphocytes malins.
Bonne(s) réponse(s) : D E
Un homme de 65 ans vous consulte pour une asthénie, apparue depuis quelques mois. Vous lui découvrez des adénopathies de petit volume (1 à 2 cm de diamètre) en situation latéro-cervicale et axillaire bilatérale. Ces adénopathies sont rénitentes, indolores, mobiles à la palpation. Il n'y a pas de splénomégalie. L'hémogramme montre : - Numération rouge : 4,3. 1012/l - Hémoglobine : 12,5g/dl - Hématocrite : 38 % - Leucocytes : 35.109/l avec 10 % de polynucléaires neutrophiles, 1% de polynucléaires éosinophiles, 85 % de Iymphocytes (d'aspect mature) et 49% de monocytes - Plaquettes : 160. 109/l La vitesse de sédimentation globulaire est à 12 mm à la première heure, 20 mm à la deuxième heure. Le myélogramme comporte, dans une moelle de densité normale, 60 % de lymphocytes morphologiquement normaux. Le diagnostic de leucémie lymphoïde chronique est affirmé après une consultation hématologique spécialisée.
5 Question à compléments multiples.
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D et E : Evident.
Les facteurs essentiels de mauvais pronostic dans une leucémie Iymphoïde chronique sont : A - Un syndrome tumoral (adénopathies, splénomégalie) B - L'apparition d'une myélémie C - Une anémie inférieure à 10 g d'hémoglobine/dl D - Une thrombopénie inférieure à 100.109/l E - La survenue d'une insuffisance rénale chronique Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
220 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE56
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20 Question à compléments multiples.
53 Question à compléments multiples.
Un myélome sans atteinte rénale peut se compliquer : A - D'amylose B - D'anasarque par hypoalbuminémie C - D'infection à pneumocoque D - De microanévrysmes des artères mésentériques E - D'hypercalcémie
Les critères suivants permettent d'évaluer l'importance de la masse tumorale dans le bilan d'un myélome : A - Le taux pondéral de l'immunoglobuline monoclonale B - La calcémie C - Le taux sanguin d'hémoglobine D - Le nombre de géodes osseuses aux radiographies E - Le taux de la protéinurie de Bence-Jones
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : A B C E A : Amylose de type AL C : Une susceptibilité aux infections est fréquente dans le myélome : par leucopénie (insuffisance médullaire par envahissment) ou baisse des immunoglobulines normales.
D : Pas le nombre de géodes mais le caractère isolé ou multiple des lésions osseuses radiologiques.
50 Question à compléments multiples.
86 Question à complément simple.
Dans un myélome multiple, certaines complications sont fréquentes et attendues. Lesquelles ? A - Fracture pathologique B - Localisation cérébrale C - Pericardite D - Amylose E - Infections bactériennes
Complication du myélome la plus fréquente en cas de protéinurie de Bence-Jones importante: A - Compression médullaire B - Infection respiratoire C - Rein myélomateux D - Hypervolémie plasmatique E - Hyperviscosité
Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) réponse(s) : C B - Localisation osseuse du crâne. C - Non. A D E - Il s'agit des complications fréquentes.
Par précipitation tubulaire de l'Ig-monoclonale.
73 Question à compléments multiples.
56 Question à complément simple.
Parmi les paramètres suivants, lequel(s) a(ont) une valeur pronostique dans le myélome ? A - Vitesse de sédimentation B - Taux de plasmocytes médullaires C - Dosage de l'hémoglobine D - Créatinémie E - Importance à la protéïnurie de Bence Jones Bonne(s) réponse(s) : C D E C, D et E : Ces facteurs servent à évaluer la masse tumorale et donc le pronostic.
Le diagnostic suspecté étant celui de myélome multiple, pour réaliser le bilan de l'extension osseuse de la maladie, on utilisera : A - Scanner B - Scintigraphie au technetium C - Scintigraphie au gallium D - Biopsie ostéo-médullaire E - Radiographies du squelette complet Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
77 Question à complément simple.
57 Question à complément simple.
Un patient suivi pour myélome multiple des os présente brutalement un syndrome confusionnel. Parmi les examens suivants, quel est celui qui doit être pratiqué en urgence ? A - Radiographie du crâne F + P B - V.S. C - Calcémie D - Dosage de la bêta2 microglobuline sérique E - Dosage pondéral des immunoglobulines Bonne(s) réponse(s) : C L'hypercalcémie est une complication classique du myélome, responsable de syndromes confusionnels, qu'il faut rapidement diagnostiquer et traiter.
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Parmi les complications suivantes des ostéopathies déminéralisantes diffuses, quelle est celle qui ne s'observe qu'au cours du myélome : A - Fractures spontanées B - Syndrome d'hyperviscosité C - Tassements vertébraux D - Déformations des os longs E - Cyphose dorsale à grand rayon Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
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13 Question à compléments multiples. Dans la liste des propositions suivantes, laquelle(lesquelles) peu(ven)t s'observer au cours d'une polyglobulie primitive ou maladie de Vaquez ? A - Erythrose B - Prurit C - Polyadénopathie superficielle D - Abaissement de la saturation oxygénée de l'hémoglobine en dessous de 80 % E - Splénomégalie Bonne(s) réponse(s) : A B E Evident.
36 Question à complément simple. Devant une polyglobulie le signe suivant oriente vers une maladie de Vaquez : A - Splénomégalie B - Hépatomégalie C - Adénopathies périphériques D - Accident ischémique transitoire E - Gingivite hypertrophique Bonne(s) réponse(s) : A A : Dans 70 % des cas. Mr P... Marcel, 60 ans, commerçant, est hospitalisé pour des douleurs de décubitus en rapport avec l'artériopathie des membres inférieurs. Il ne fume pas, n'a pas d'antécédent connu d'HTA, de diabète ni de dyslipidémie. Le bilan biologique permet de découvrir une polyglobulie : Hématies 7,4x1012/l, hémoglobine 190 g/l, hématrocite 60 %, réticulocyte 2 %, leucocytes 15,5x 109 (p. neutro 75 %, éosino 4 %, lympho 12 %, mono 9 %), plaquettes 475x109/l, VS 1 mm à la première heure.
37 Question à compléments multiples. Parmi les signes cliniques suivants le(s)quel(s) est(sont) fréquent(s) au cours de la maladie de Vaquez ? A - Prurit à l'eau B - Hipprocratisme digital C - Cyanose D - Erythrémalgies plantaires E - Céphalées Bonne(s) réponse(s) : A D E C : Non c'est l'érythrose faciale
40 Question à complément simple. Quel traitement d'urgence faut-il mettre en oeuvre pour faire baisser rapidement l'hématocrite au cours de la maladie de Vaquez ? A - Saignées itératives B - Hémodilution au rhéomacrodex C - Hydréa® (hydroxyurée) D - Phosphore radioactif E - Misulban® (busulfan) Bonne(s) réponse(s) : A A : En urgence +++ C, D et E : Traitement possible mais pas en urgence
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53 Question à complément simple.
76 Question à compléments multiples.
Une anémie par dysérythropoïèse (érythropoïèse inefficace) s'observe au cours des affections suivantes, sauf une. Laquelle?
Parmi les affirmations suivantes, quelle est celle ou quelles sont celles qui s'applique(nt) à une anémie par inflammation chronique?
A - Anémie réfractaire sidéroblastique B - Anémie réfractaire simple non sidéroblastique C - Aplasie médullaire globale D - Carence en vitamine B12 E - Carence en folates
A - L'anémie peut être macrocytaire B - Le taux de saturation de la transferrine est normal ou modérément diminué C - L'anémie est habituellement régénérative D - Le traitement martial améliore le chiffre d'hémoglobine E - L'hyposidérémie est constante
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B Dans l'aplasie, il s'agit d'un déficit quantitatif alors que dans tous ces autres cas, il s'agit bien d'une dysérytropoïèse.
A : Non, microcytaire ou normocytaire. B : Oui puisque Fer sérique et capacité totale de fixation sont abaissés. C : Non, arégénérative. D : Inutile. E : Non, uniquement en cas d'inflammation prolongée.
46 Question à compléments multiples. Quelles maladies se compliquent souvent d'anémie hémolytique auto-immune? A - Leucémie myéloïde chronique B - Leucémie lymphoïde chronique C - Cirrhoses éthyliques D - Lupus érythémateux aigu disséminé E - Pneumopathie aiguë à pneumocoques Bonne(s) réponse(s) : B C D B et C : Classiques. E : Non, pneumopathie à mycoplasme. D : Comme toute maladie auto-immune. A : Sans rapport.
63 Question à compléments multiples. L'anémie de l'insuffisance rénale chronique est : A - Normochrome (concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine normale) B - En rapport avec un déficit de l'absorption intestinale du fer C - Parfaitement corrigée simplement par les hémodialyses itératives D - Bien corrigée chez les malades qui reçoivent de l'érythropoïétine E - D'autant plus importante que l'insuffisance rénale est plus importante Bonne(s) réponse(s) : A D E
58 Question à compléments multiples. On peut rencontrer une anémie macrocytaire : A - Chez un malade ayant une carence en fer B - Chez un malade ayant une carence en vitamine D C - Chez un malade ayant une maladie de Biermer D - Chez un malade ayant une maladie cÏliaque E - Chez un gastrectomisé total
L'anémie de l'insuffisance rénale chronique est normochrome, normocytaire arégénérative. Elle est due essentiellement à un défaut de sécrétion d'érythropoïétine par le rein. C : Elle n'est pas du tout corrigée par l'hémodialyse seule. D : L'érythropoïétine recombinante permet de la corriger complètement. B : Le fer sérique est normal ou augmenté au cours de l'insuffisance rénale chronique. Une carence en fer doit faire rechercher une perte sanguine digestive (gastrite, ulcère) ou gynécologique.
Bonne(s) réponse(s) : C D E A : Non, microcytaire. B : Plutôt microcytaire. E : Par carence en absorption de B12.
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223 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE59
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30 Question à compléments multiples. Dans une aplasie médullaire existe(nt) : A - Une grosse rate B - Une anémie régénérative C - Une neutropénie D - Une myélémie E - Une lymphocytose Bonne(s) réponse(s) : C A : Evoque une pancytopénie à moëlle riche type leucose plutôt qu'une aplasie. B : Arégénérative par définition. D : Exclu par définition. E : Discutable, elle peut être relative.
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224 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE60
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60 Question à complément simple. Un hémogramme systématique chez une adulte révèle une thrombocytopénie isolée à 80 x 109/l sans complication hémorragique. Que décidez-vous de faire en premier lieu? A - Une étude isotopique de la durée de vie plaquettaire B - Une étude de la coagulation C - Un myélogramme D - Un contrôle sur lame de la thrombocytopénie E - Une recherche d'auto-anticorps anti-plaquettaires Bonne(s) réponse(s) : D Pour éviter le piège de l'agrégation.
42 Question à compléments multiples. L'hémogramme suivant : Hb 9 g/dl ; VGM 110 fl ; réticulocytes 20 x 10e9 /l ; leucocytes 2.7 x 10e9 /l (PN 30%, PE 2%, L 64%, M 4%) ; plaquettes 75 x 10e9 /l peut évoquer : A - Une anémie par hémorragies occultes chroniques B - Une maladie de Biermer C - Une sphérocytose héréditaire D - Une anémie réfractaire avec excès de blastes E - Une anémie par carence en acide folique Bonne(s) réponse(s) : B D E A : Microcytose. C : Non car régénérative. B et E : Tableau évocateur. D : Peut se voir également, limite du programme.
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16 Question à compléments multiples. Au cours d'une leucémie lymphoïde chronique, une thrombopénie peut être due à : A - Un hypersplénisme B - Un mécanisme auto-immun C - Un surdosage médicamenteux D - Une C. I. V. D. E - Une infiltration lymphocytaire médullaire Bonne(s) réponse(s) : A B C E A et B : Sont classiques dans la leucémie lymphoïde chronique. C : Chimiothérapie. E : Facteur pronostic essentiel. D : Sans rapport.
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39 Question à complément simple. Parmi les examens biologiques suivants, lequel est le plus évocateur du lupus érythémateux aigu disséminé? A - Hypergammaglobulinémie B - Baisse du complément C - Présence d'anticorps anti-nucléaires D - Présence d'anticorps anti-Sm E - Présence d'un anticoagulant circulant Bonne(s) réponse(s) : D D : l'anticorps anti-Sm est le plus spécifique du lupus, mais il n'est retrouvé que dans 30 % des lupus
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64 Question à compléments multiples. Les deux manifestations cliniques les plus fréquentes d'un myélome multiple sont : A - Des douleurs osseuses diffuses B - Une lombo-sciatalgie chronique C - Des manifestations articulaires fluxionnaires D - Une fracture pathologique E - Des cervico-brachialgies Bonne(s) réponse(s) : A B D : Discutable avec B.
53 Question à compléments multiples. Lorsque ce patient est examiné, plusieurs pathologies s'intriquent ; lesquelles peuvent être en rapport avec le myélome lui-même? A - Dilatation des bronches B - Syndrome du canal carpien C - Hyperparathyroïdie D - Insuffisance rénale E - Glaucome Bonne(s) réponse(s) : B D B : Lié à l'amylose du myélome D : Complication fréquente, liée aux chaînes légères ou iatrogène (injection d'iode) ou métabolique (déshydratation, hypercalcémie...)
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17 Question à complément simple. En présence d'un purpura pétéchial d'apparition récente chez une jeune fille de 18 ans, vous demandez en première intention dans un but diagnostique : A - Un taux de prothrombine B - Une numération de plaquettes C - Un bilan de coagulation intravasculaire disséminée D - Un dosage de facteur Willebrand E - Une sérologie de la mononucléose infectieuse Bonne(s) réponse(s) : B Devant tout purpura, il faut réaliser une numération plaquettaire afin d'infirmer ou d'affirmer son caractère thrombopénique. Chez les adolescents, la cause la plus fréquente de purpura est le purpura thrombopénique idiopathique.
8 Question à complément simple. Le pronostic à long terme du purpura rhumatoïde dépend avant tout de : A - L'atteinte digestive B - L'atteinte cutanée C - L'atteinte articulaire D - L'atteinte rénale E - L'atteinte cardiaque Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
2 Question à compléments multiples. Parmi les manifestations hémorragiques suivantes, quelle est celle ou quelles sont celles qui peut(vent) se produire au cours du purpura rhumatoïde chez l'enfant? A - Epistaxis B - Hématurie C - Hémorragie intestinale D - Hémarthrose E - Hématome sous dural Bonne(s) réponse(s) : B C A et D : Non, pas de trouble de la coagulation. B : Atteinte rénale classique. C : Complication digestive. E : Non, les complications neurologiques du purpura rhumatoïde sont plus liées à une vascularite.
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8 Question à compléments multiples. Quels sont les arguments cliniques en faveur d'une polyglobulie primitive type maladie de Vaquez? A - Splénomégalie B - Dyspnée C - Cyanose D - Prurit à l'eau E - Tachycardie Bonne(s) réponse(s) : A D B, C et E : Sont en faveur d'une polyglobulie secondaire.
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38 Question à complément simple.
44 Question à compléments multiples.
Dans une maladie de Biermer, après correction de l'anémie par la vitamine B12, le traitement :
Une malade présente une anémie microcytaire par carence martiale. Il faut rechercher :
A - Doit être interrompu pour éviter une surcharge en vitamine B 12 B - Doit être poursuivi par voie orale (10 microgrammes par jour) jusqu'à normalisation du taux de vitamine B 12 du sérum C - Doit être poursuivi par voie parentérale (1 000 microgrammes par mois) jusqu'à normalisation du taux de vitamine B 12 du sérum D - Doit être poursuivi par voie orale (10 microgrammes par jour) à vie E - Doit être poursuivi par voie parentérale (1 000 microgrammes par mois) à vie
A - Ménométrorragies favorisées par un stérilet B - Grossesses répétées et rapprochées C - Hématurie microscopique D - Ulcère gastro-duodénal E - Cancer colique
Bonne(s) réponse(s) : E Défaut de facteur intrinsèque persistant, empêche l'absorption de vitamine B12 par voie entérale, d'o la nécessité d'une supplémentation à vie.
Bonne(s) réponse(s) : A B D E L'enquête étiologique doit comporter (dans l'ordre d'importance et en dehors de l'examen clinique complet comportant un T.R.) : - Examen gynécologique - Hémoculture pendant 3 jours - Fibroscopie oeso-gastro-duodénale - Rectoscopie - Coloscopie totale - Transit baryté du grêle IR : 2/89
57 Question à compléments multiples.
96 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s) au cours d'une anémie inflammatoire typique? A - Macrocytose érythrocytaire B - Hyperchromie C - Fer sérique diminué D - Réticulocytes bas E - Capacité totale de fixation de la transferrine augmentée Bonne(s) réponse(s) : C D
Une anémie hémolytique auto-immune complique fréquemment l'évolution de : A - Leucémie aiguë myéloblastique B - Leucémie Iymphoïde chronique C - Leucémie myéloïde chronique D - Hémochromatose E - Lupus érythémateux disséminé Bonne(s) réponse(s) : B E A, C, D : Il n'y a pas de manifestation d'auto-immunité IR : 4/86
IR : 2/89 Donc, c'est une anémie arégénérative microcytaire hypochrome avec une CTS normale ou diminuée.
51 Question à compléments multiples. 33 Question à compléments multiples.
L'(es) argument(s) contre le diagnostic d'anémie inflammatoire est (sont) :
Dans quelle(s) situation(s) peut-on rencontrer une fausse anémie par hémodilution? A - Grossesse au cours des trois derniers mois B - Maladie de Waldenstršm C - Traitement diurétique D - Splénomégalie volumineuse par hypertension portale E - Myélome multiple des os, à chaînes légères Bonne(s) réponse(s) : A B D E IR : 3/89 A : A partir du 2ème trimestre, le volume globulaire et le volume plasmatique augmentent mais le volume plasmatique augmente plus vite que le volume globulaire d'o anémie par hémodilution B, E : Certaines immunoglobulines monoclonales, en particulier les IgM de la maladie de Waldenstršm, peuvent entraîner une augmentation du volume plasmatique et une baisse du taux d'hémoglobine sans anémie vraie C : Donne plutôt une hémoconcentration D : Par hémodilution. Dž à la dérivation vers la rate d'une fraction élevée du débit cardiaque, il y a donc une baisse de la volémie efficace et stimulation des systèmes rénine-angiotensine, aldostérone
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A - Hémoglobine 9 g/dl B - Leucocytes 7.9 10e9/l C - Fibrinogène 3 g/l D - Gammaglobulines 35 g/l E - Fer sérique 20 micromol/l Bonne(s) réponse(s) : C E C : L'absence d'augmentation du taux de fibrinogène va, en effet, contre le diagnostic d'une anémie inflammatoire (o la fibrinogénie est augmentée) E : L'absence de diminution du taux du fer sérique va contre le diagnostic d'une anémie inflammatoire
Un homme de 60 ans consulte pour dyspnée d'effort. Il existe une pâleur modérée ; pas d'anomalie à l'examen du coeur et des poumons, pas d'adénopathie ou de splénomégalie. A l'hémogramme : hémoglobine 9 g/dl, VGM 90 fl, leucocytes 7.10e9/l, (PN 65 - PE 2 - L 30 - M 3), plaquettes 255.109/l. Vitesse de sédimentation 105-140 ; fibrinogène 3 g/l ; fer sérique : 20 micromol/l. Protéinémie 95 g/l dont 55 g/l de gammaglobulines en pic à base étroite ; l'immunoélectrophorèse montre une importante augmentation monoclonale d'IgG Kappa. On retient comme probable, le diagnostic de myélome multiple.
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11 Question à complément simple. Un malade présente brutalement fièvre à 38,5°C et angine. L'état général se dégrade rapidement, la fièvre persiste, l'hémogramme montre une hémoglobine à 12 g/dl, des plaquettes à 440 000/mm3, 2 300/mm3 leucocytes avec 80 % de lymphocytes et 5 % de polynucléaires. Devant ce tableau, vous évoquez un diagnostic, lequel? A - Leucémie aiguë B - Aplasie médullaire C - Agranulocytose toxique D - Leucémie lymphoïde chronique E - Autre proposition Bonne(s) réponse(s) : C QCM : 7/90/I L'hémogramme ne montre que 115 neutrophiles. A : sur la formule, dans ce cas, pas de blastes circulants. Mais une leucémie aiguë peut se révéler par une insuffisance médullaire associant anémie, thrombopénie, leucopénie
47 Question à complément simple. Une femme de 70 ans présente une volumineuse splénomégalie sans altération de l'état général. L'hémogramme montre une hyperleucocytose à 22 000/mm3, une discrète myélémie ; une érythroblastose sanguine et une granulocytose ; hémoglobine à 11 g/dl, plaquettes à 450 000/mm3. Vous évoquez prioritairement : A - Une splénomégalie myéloïde B - Une leucémie myéloïde chronique C - Une leucémie aiguë D - Un lymphome E - Une leucémie lymphoïde chronique Bonne(s) réponse(s) : A IR : 6/90 Age + Splénomégalie + Erythromyélémie + Granulocytose Tous ces signes font évoquer une splénomégalie myéloïde.
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99 Question à compléments multiples. La ou lesquelles de ces complications peuvent survenir dans l'évolution d'une leucémie myéloïde chronique : A - Infarctus splénique B - Priapisme C - Crise de goutte D - Compression médiastinale par adénopathie E - Lithiase vésiculaire pigmentaire Bonne(s) réponse(s) : A B C IR : 3/86 B : Par thrombose vasculaire C : Hyperuricémie chronique E : C'est le cas des anémies hémolytiques chroniques
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69 Question à compléments multiples. Un diagnostic de lupus est évoqué chez une malade. Quels sont les éléments que vous retenez pour confirmer le diagnostic? A - Femme jeune B - Comitialité C - ƒpanchement pleural D - Terrain atopique E - Hyperleucocytose Bonne(s) réponse(s) : A B C A : Terrain de prédilection B : Un des critères de l'ARA C : Un des 11 critères de l'ARA D : Non E : C'est plutôt une leucopénie NB : moyen mnémotechnique UN PAPI PæCHE (11 critères de l'ARA) . Ulcérations buccales ou nasopharyngées . Neuro psy : convulsion ou psychose . Photosensibilité . Anticorps antinucléaire présent . Pleurésie ou péricardite . Immunologique : - présence de cellule LE - Anticorps anti-DNA natif - Anticorps anti-SM - fausse sérologie syphilitique . Polyarthrite non érosive . Eruption malaire en aile de papillon . Cylindres urinaires ou protéinurie > 0,5 g/24 h . Hématologie : - Anémie hémolytique avec hyperréticulocytose - Leucopénie < 4 000/mm3 - Lymphopénie < 1 500/mm3 - Thrombopénie < 100 000 mm3 . Eruption de lupus discoïde L'association de 4 critères, simultanément ou successivement chez un patient donné, permet de porter le diagnostic.
43 Question à compléments multiples. Quel(s) est (sont) l'(es) examen(s) utile(s) pour suivre l'évolution d'un malade atteint de lupus érythémateux disséminé : A - Dosage du complément sérique B - Dosage des anticorps anti-ADN natif C - Dosage de la protéinurie des 24 heures D - Titrage des anticorps anti-muscles lisses E - Titrage des anticorps anti-centromère Bonne(s) réponse(s) : A B C Sans commentaire.
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95 Question à compléments multiples. Parmi les complications suivantes du myélome, laquelle ou lesquelles est(sont) dépendante(s) de l'immunoglobine monoclonale? A - Allongement du temps de thrombine B - Insuffisance rénale C - Ostéolyse D - Hypercalcémie E - Amylose Bonne(s) réponse(s) : A B E A : Due à l'activité biologique propre de l'Ig B : Par précipitation intra-tubulaire des chaînes légères E : Surtout de type AL, produit de dégradation des chaînes légères des Ig C, D : Sont dus à l'hyperactivité ostéoclastique et au plasmocytome
54 Question à compléments multiples. Chez ce malade, le diagnostic de myélome multiple sera confirmé au vu d'un ou de plusieurs des résultats suivants. Lequel ou lesquels? A - Présence de lésions ostéolytiques sur les radiographies du squelette B - Hyperuricémie C - Hypocalcémie D - Protéinurie 0,50 g/24 h, non sélective à l'électrophorèse E - Plasmocytose médullaire supérieure à 20 % Bonne(s) réponse(s) : A E B, C: Non spécifiques A : Images lacunaires ayant pour siège le crâne, le rachis, le bassin, la diaphyse des os longs E : Infiltration médullaire par des plasmocytes cytologiquement malins à un taux supérieur à 10 % D : Discutable. En effet, le myélome peut être responsable, par le biais d'une amylose, d'une glomérulopathie qui peut donner une protéinurie non sélective. Mais classiquement, la protéinurie du myélome est une protéinurie sélective due à l'excrétion des chaînes légères (protéinurie de Bence-Jones) ± excrétion du composant monoclonal entier
55 Question à compléments multiples. Le diagnostic de myélome multiple a été confirmé. Un traitement associant Melphalan (Alkeran®) et Prednisone est instauré. Ce traitement expose à une ou plusieurs des complications suivantes, la ou lesquelles? A - Insuffisance médullaire B - Neuropathie périphérique C - Insuffisance cardiaque D - Hyperglycémie E - Leucémie aiguë secondaire Bonne(s) réponse(s) : A D E Complications du Melphalan® : . Hématologiques touchant toutes les lignées : insuffisance médullaire . Gastro-intestinales à type de nausées, vomissements, mucites, diarrhées . Alopécie . Rénales : rare (augmentation de l'urée) . Pulmonaires : fibrose pulmonaire extensive . Réaction d'hypersensibilité au Melphalan IV . Risque de leucémies aiguës secondaires B : complications des alcaloïdes de la pervenche : Vincristine C : complications des anthracyclines surtout D : complication de la corticothérapie à forte dose RESIDANAT EN POCHE Tome " I "QCM - QCS
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22 Question à complément simple. Un purpura bulleux et nécrotique des membres inférieurs chez un homme de 65 ans évoque en premier lieu, un des 5 diagnostics suivants : A - Dysglobulinémie B - Purpura rhumatoïde C - Fibrinolyse aiguë D - Purpura thrombopénique E - Purpura par thrombopathie Bonne(s) réponse(s) : A IR : 5/90 Il s'agit d'un purpura vasculaire ce qui élimine C, D, E. Le caractère nécrotique et le terrain évoquent la dysglobulinémie. B : Maladie de l'enfant. Adultes atteints très exceptionnellement
28 Question à compléments multiples. Retenez les propositions exactes concernant le purpura rhumatoïde : A - L'atteinte rénale est présente dans environ 80 % des cas B - L'atteinte rénale se traduit le plus souvent par une hématurie et/ou une protéinurie isolée(s) C - Une évolution vers l'insuffisance rénale chronique existe dans moins de 10 % des cas D - Peut s'accompagner de manifestations neurologiques et notamment de convulsions E - Peut s'accompagner d'atteinte inflammatoire des organes génitaux externes chez les garçons Bonne(s) réponse(s) : B C D E A, B, C : L'atteinte rénale est fréquente (25 - 50 %), elle doit être systématiquement recherchée, non péjorative si isolée et transitoire (hématurie microscopique ou/et protéinurie modérée). L'évolution vers l'insuffisance rénale chronique se fait dans environ 5 % des cas. Les éléments faisant discuter une PBR sont : hématurie macroscopique, syndrome néphrotique, syndrome néphritique aigu, insuffisance rénale organique et l'HTA. D : Par vascularite cérébrale. E : Tableau d'orchite aiguë pouvant simuler une torsion testiculaire.
30 Question à complément simple. Un purpura des membres inférieurs chez un enfant avec fébricule et bon état général évoque en premier : A - Leucémie aiguë B - Macroglobulinémie de Waldenstršm C - Piqžres de puce D - Angine à monocytes E - Purpura rhumatoïde Bonne(s) réponse(s) : E (QCM : 3/87/1 - 1/89/1) E : Seule proposition plausible, évident. Nota : Les complications les plus fréquentes du purpura rhumatoïde : . IIA : Invagination intestinale aiguë, . Crise convulsive généralisée (due à une vascularite), . Syndrome néphrotique, . Orchite aiguë torsion du testicule.
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99 Question à compléments multiples. Parmi les signes suivants, indiquez celui ou ceux qui sont compatibles avec le diagnostic de Bêta-thalassémie hétérozygote : A - Anémie sévère B - Microcytose importante (VGM < 70 fl.) C - Diminution de la résistance globulaire à l'hypotonie D - Hyposidérémie franche E - Augmentation de l'Hb A2 à l'électrophorèse de l'hémoglobine Bonne(s) réponse(s) : B D E Sans commentaire.
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237 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE73
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48 Question à complément simple. Tous ces symptômes sont ceux d'une maladie de Vaquez sauf un, lequel? A - Splénomégalie B - Augmentation du volume globulaire total C - Plaquettes pouvant être supérieures à 400 giga/l D - Vitesse de sédimentation basse, inférieure à 10 mm E - Saturation oxygénée du sang artériel inférieure à 92 % Bonne(s) réponse(s) : E E : afin d'éliminer les P6 secondaires à une hypoxie chronique entraînant une élévation de la sécrétion d'érythropoïétine Critères de Vaquez du PVSG : 1) Masse globulaire totale : . strictement > 36 ml/Kg (Á) . strictement > 32 ml/Kg (ª) 2) Saturation en O2 artérielle > 92 % 3) Soit : . Splénomégalie . 2 à 4 critères suivants : GB > 12 000 PLQ > 400 000 PAL > 100 Vitamine B12 > 900 pg/ml
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238 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE74
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2 Question à complément simple. Parmi les médicaments suivants l'un d'entre eux peut être la cause d'une anémie hémolytique auto-immune. Lequel? A - Chloramphénicol B - Phénacétine C - Cotrimoxazole D - Quinidine E - Alphaméthyldopa Bonne(s) réponse(s) : E L'Aldomet® reste la cause la plus classique.
76 Question à compléments multiples. Une anémie avec un taux d'Hb à 8 g/dl chez un insuffisant rénal chronique est en général : A - Exceptionnelle B - Liée au déficit en érythropoïétine C - Hyper-réticulocytaire en cas d'hémolyse D - Bien tolérée E - Microcytaire en cas de carence martiale Bonne(s) réponse(s) : B C D E A : Non, très fréquente. D : Bonne tolérance clinique habituelle.
66 Question à compléments multiples. L'anémie de l'insuffisance rénale chronique est : A - Liée à un déficit en érythropoïétine B - Normochrome C - Peu régénérative D - Corrigée par l'épuration extra-rénale E - A demi-vie des hématies diminuée Bonne(s) réponse(s) : A B E C : Arégénérative.
65 Question à compléments multiples. Une semaine plus tard, il n'y a plus d'hémorragie mais l'hémogramme montre une anémie à 9 g d'hémoglobine pour 100 ml. Quelles attitudes vous paraissent logiques? A - Dosage de la férritinémie B - Transfusion de trois concentrés de globules rouges C - Prescription d'érythropoïétine D - Vitamine B 12 E - Nouveau dosage de l'hémoglobine un mois plus tard Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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239 Annales INTERNAT HEMATOLOGIE75
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64 Question à complément simple. La découverte sur un hémogramme systématique d'une augmentation du nombre des hématies, avec un VGM à 65 fl et un taux d'hémoglobine à 12g/dl évoque en premier : A - Une polyglobulie vraie B - Une hémoconcentration C - Une erreur de laboratoire D - Une maladie de Minkowski-Chauffard E - Une thalassémie Bonne(s) réponse(s) : E Tableau de pseudopolyglobulie microcytaire évoquant une thalassémie.
2 Question à compléments multiples. Un malade porteur d'un myélome connu, insuffisant rénal, en traitement polychimiothérapique discontinu, présente 10 jours après sa dernière cure, une fièvre à 39°C avec frissons. L'hémogramme montre une leucopénie à 2 200 dont 10 % de polynucléaires. Vous pensez que : A - Fièvre et leucopénie sont probablement liées B - La leucopénie est probablement secondaire au traitement C - La leucopénie est probablement en rapport avec une poussée de la maladie D - La fièvre impose la réalisation d'hémocultures E - Le malade doit être hospitalisé en secteur stérile Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
65 Question à compléments multiples. Une semaine plus tard, il n'y a plus d'hémorragie mais l'hémogramme montre une anémie à 9 g d'hémoglobine pour 100 ml. Quelles attitudes vous paraissent logiques? A - Dosage de la férritinémie B - Transfusion de trois concentrés de globules rouges C - Prescription d'érythropoïétine D - Vitamine B 12 E - Nouveau dosage de l'hémoglobine un mois plus tard Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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62 Question à complément simple. L'hémophilie A et la maladie de Willebrand n'ont en commun qu'une seule des anomalies suivantes : A - Allongement du temps de saignement B - Défaut d'agrégation plaquettaire à la ristocétine C - Diminution d'activité coagulante du facteur Vlll (Vlll c) D - Diminution de l'antigène lié au facteur Vlll (Vlll R Ag) E - Allongement du temps de thrombine Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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9 Question à complément simple. Parmi les facteurs suivants, quel est celui qui a une valeur très péjorative pour le pronostic d'une leucémie Iymphoïde chronique? A - Age supérieur à 70 ans B - Leucocytose supérieure à 30 x 10e9/l C - Présence d'une anémie D - Lymphocytose médullaire supérieure à 15 % E - Diminution des IgM sériques Bonne(s) réponse(s) : C Témoin de l'insuffisance médullaire (cf. classification de Binet : le stade C = présence d'une anémie 15 E : Non. La natriurèse est basse de l'ordre de 5 à 15 mmoles/24 h, avec un rapport Na+/K+ urinaire inférieur à 1. Ce Q.C.M. est discutable ! Tous les chiffres peuvent être discutés !
Question à compléments multiples. Une insuffisance rénale aiguë peut être consécutive à : A - Une septicémie à bacilles Gram négatif B - Une glomérulonéphrite C - Un traitement par la Gentamycine D - Une hépatite HBs + E - Une urographie intraveineuse Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Les mécanismes sont différents : A, C : Nécrose tubulaire aiguë des états de choc septiques ou due aux aminosides. B : Glomérulonéphrite aiguë post-infectieuse. D : Angéite nécrosante au cours des infections à virus HBS. E : Les produits de contraste radiologique peuvent donner une néphrose osmotique et une nécrose tubulaire aiguë, particulièrement en cas de diabète ou de myélome.
Question à compléments multiples. L'anémie de l'insuffisance rénale chronique est : A - Normochrome (concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine normale) B - En rapport avec un déficit de l'absorption intestinale du fer C - Parfaitement corrigée simplement par les hémodialyses itératives D - Bien corrigée chez les malades qui reçoivent de l'érythropoïétine E - D'autant plus importante que l'insuffisance rénale est plus importante Bonne(s) réponse(s) : A D E L'anémie de l'insuffisance rénale chronique est normochrome, normocytaire arégénérative. Elle est due essentiellement à un défaut de sécrétion d'érythropoïétine par le rein. C : Elle n'est pas du tout corrigée par l'hémodialyse seule. D : L'érythropoïétine recombinante permet de la corriger complètement. B : Le fer sérique est normal ou augmenté au cours de l'insuffisance rénale chronique. Une carence en fer doit faire rechercher une perte sanguine digestive (gastrite, ulcère) ou gynécologique.
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301 Annales INTERNAT NEPHROLOGIE
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Question à complément simple. Parmi ces différents diurétiques, quel est celui qui est indiqué au cours de l'insuffisance rénale sévère (clearance de la créatine < 15 ml/mn)? A - Thiazidiques B - Diurétiques osmotiques C - Spironolactones D - Furosémide E - Inhibiteurs de l'anhydrase carbonique Bonne(s) réponse(s) : D IR : 1/88 - 7/87 - 1/87 - 4/86 Les diurétiques de l'anse sont les seuls efficaces en cas d'insuffisance rénale sévère, à dose plus élevée.
Question à compléments multiples. Parmi les facteurs suivants, quel est ou quels sont ceux qui peuvent aggraver une insuffisance rénale chronique? A - Les pénicillines B - Une déshydratation extracellulaire C - Un obstacle sur les voies urinaires D - L'injection de produits iodés E - Des infections urinaires à répétition Bonne(s) réponse(s) : B C D E IR : 6/89 A : Contrairement aux aminosides, les pénicillines n'aggravent pas l'insuffisance rénale chronique.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Parmi les précautions suivantes permettant d'atténuer les risques d'une urographie intraveineuse chez un sujet atteint d'insuffisance rénale, indiquez la plus importante : A - Injecter une faible dose de produit de contraste B - Eviter la déshydratation C - Prescrire une restriction alimentaire D - Injecter un sel de sodium à la place d'un sel de méthylglucamine E - Eviter l'injection rapide du produit de contraste
Un sujet de 47 ans, porteur d'une polykystose et d'une hypertension artérielle moyenne, a une insuffisance rénale importante, créatininémie à 678 micromoles/litre. La natrémie est à 138 mmol/l. La kaliémie est à 5,2 mmol/l. La décision d'un traitement diurétique a été prise. Quelle médication doit être choisie ? A - Hydrochlorothiazide (Esidrex®) B - Association thiazide-modamine (Modurétic®) C - Antialdostérone (Aldactone®) D - Furosémide (Lasilix®) E - Tériam (Tériam®)
Question à complément simple. Une insuffisance rénale chronique avec une créatininémie de 820 micromoles par litre s'accompagne habituellement de : A - Une hypokaliémie B - Une fuite excessive de calcium urinaire C - Une polyglobulie D - Une hyperphosphorémie E - Une augmentation de la vitesse de conduction nerveuse
Question à compléments groupés. Une insuffisance rénale fonctionnelle peut être due à : 1 - Des vomissements abondants 2 - Une diarrhée abondante 3 - Des sueurs abondantes 4 - Un traitement diurétique Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Question à complément simple. Homme de 30 ans pesant 70 kgs, diabétique insulinodépendant, a un syndrome oedémateux et une insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine égale à 18 ml/mn). Les prescriptions diététiques suivantes sont toutes exactes sauf une. Laquelle ? A - Régime à 20% de glucides B - Apports de 2g de ClNa/jour C - Apports protidiques : 10 g/jour D - Boissons en fonction de la soif E - Suppression des aliments riches en potassium
Question à compléments groupés.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
Une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique : A - Peut s'observer dans une glomérulonéphrite aiguë B - Peut être consécutive à une transfusion compatible C - Peut être consécutive à un coma éthylique négligé D - Peut faire suite à une septicémie à colibacilles E - Peut compliquer une cholécystographie orale
Dans une insuffisance rénale chronique, on peut améliorer l'absorption calcique et la calcémie une réponse fausse, laquelle ? A - Par un apport de carbonate de calcium de plus de 3 g/24 heures B - Par l'emploi de gel d'alumine abaissant la phosphorémie C - Par l'emploi de résine échangeuse d'ions comme le Kayexalate® D - Par l'emploi de 1 OH D3 plutôt que de 25 OH D3 E - Par l'emploi de 1 25 OH D3 plutôt que de cholécalciférol
Question à complément simple. Tous les propositions sont exactes, sauf une. Dans l'insuffisance rénale aiguë fonctionnelle, les urines ont toutes les caractéristiques suivantes sauf une, laquelle ? A - Na+ inférieur à 15 mmol/l B - Rapport Na+/K+ inférieur à 1 C - Rapport U/P osmose supérieur à 1 D - Urée urinaire supérieure à 15 g/l (250mmol/l) E - Densité égale à 1,008
Question à compléments groupés. Une insuffisance rénale aiguë par obstacle est diagnostiquée sur : 1 - L'échographie 2 - L'urographie intraveineuse 3 - L'interrogatoire 4 - La ponction biopsie rénale Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
L'insuffisance rénale chronique s'accompagne le plus souvent de : 1 - Une anémie normochrome 2 - Une hyperuricémie 3 - Une hypocalcémie 4 - Une alcalose métabolique Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Question à complément simple. Dans une insuffisance rénale chronique, on observe habituellement : A - Une hypocalcémie B - Une hypophosphorémie C - Une polyglobulie D - Une alcalose métabolique E - Une hypouricémie
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Parmi ces différents antibiotiques, quel est celui qui peut provoquer une insuffisance rénale aiguë par un mécanisme immuno-allergique pur ? A - Gentamicine B - Chloramphénicol C - Amphotéricine B D - Doxycycline E - Rifampicine
Un patient en insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine égale a 15 ml/mn) et en insuffisance cardiaque avec syndrome oedémateux sera traité par : A - Lasilix® 20 mg/jour B - Lasilix® 250 mg/jour C - Aldactone® 50 mg/jour D - Diurilix® 500 mg/jour E - Aucune proposition exacte
Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
Dans une insuffisance rénale aiguë par nécrose tubulaire : A - Il existe une dyspnée proportionnelle à l'élévation de l'urée sanguine B - La récupération de la fonction antérieure est la règle C - L'hyperhydratation cellulaire peut entraîner des crises convulsives D - Il existe une tendance hémorragique lorsque le rétention azotée est importante E - Une hyperleucocytose peut exister en l'absence de foyer infectieux
Toutes les propositions suivantes sont exactes, sauf une, indiquez laquelle. Femme de 50 ans, pesant 60 kg, hypertendue, en insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine à 6 ml/mn), diurèse quotidienne moyenne : 1000 ml. On prescrit pour 3 semaines, en attendant le début de la dialyse périodique : A - Apport protéique quotidien de 50 g B - Augmentation des aliments glucidiques C - Suppression des aliments riches en potassium D - Restriction sodée à moins de 4g/jour de ClNa E - Boissons : 3,5 l d'eau par jour
Question à complément simple. Question à complément simple. Au cours de l'insuffisance rénale aiguë par nécrose tubulaire aiguë, non traitée par les diurétiques : indiquez la proposition juste : A - L'uricémie reste en permanence normale B - La diurèse est parfois conservée C - La concentration du Na urinaire est effondrée D - La protéinurie dépasse le plus souvent 3g/24h E - La taille des reins est diminuée
Au cours de l'insuffisance rénale chronique à un stade avancé, les anomalies biologiques suivantes sont habituelles à l'exception de l'une d'entre d'elles. Laquelle ? A - Hémoglobine à 7,8 g/l B - Bicarbonates plasmatiques à 20 mmol/l (20 mEq/l) C - Phosphorémie à 0,20 mmol/l (6mg/l) D - Azotémie à 42 mmol/l (2,46g/l) E - Uricémie à 550 µmol/l (92 mg/l)
Question à compléments multiples. Question à complément simple. Chez un patient en insuffisance rénale présentant un signe du pli cutané, une hypotension artérielle, un collapsus veineux périphérique et une natrémie à 120 mEq/l, quelle vous paraît être la thérapeutique adaptée ? A - Restriction hydrique et sodée B - Furosémide à fortes doses C - Hémodialyse en urgence D - Sérum salé E - Sérum glucosé
Un sujet adulte en insuffisance rénale chronique, non hypertendu, avec une diurèse de 2 litres par 24 heures, a le bilan sanguin suivant : pH = 7,28 ; CO3= 15 mmol/l ; Cl- = 99 mmol/l ; NA + = 125 mmol/l ; K+ = 5,0 mmol/l ; créatininémie = 220 µmol/pour mille, le traitement est : A - Soluté glucosé isotonique B - Soluté bicarbonaté hypertonique (30 pour mille) C - Epuration extrarénale D - Soluté isotonique (Cl Na 9 pour mille) E - Kayexalate (résine échangeuse d'ions) 50g
Question à complément simple. Un patient en insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine égale à 15 ml/mn), bien hydraté a une osmolalité urinaire à : A - 900 mmol/l B - 600 mmol/l C - 300 mmol/l D - 150 mmol/l E - 50 mmol/l
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Question à compléments multiples. L'insuffisance rénale chronique non traitée s'accompagne presque toujours de : A - Une anémie B - Des oedèmes C - Une hypocalcémie D - Une hypophosphorémie E - Une acidose métabolique
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Le décès d'un malade atteint d'une insuffisance rénale aiguë anurique vu 5ème jour est peut être consécutif à : A - L'hyperkaliémie B - L'hypercatabolisme azoté C - Un oedème pulmonaire D - Une acidose grave E - L'affection ayant entraîné l'anurie
Une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique : A - Peut s'observer dans une glomérulonéphrite aiguë B - Peut être consécutive à une transfusion incompatible C - Peut être consécutive à un coma éthylique négligé D - Peut faire suite à une septicémie à colibacilles E - Peut compliquer un examen artériographique
Question à compléments multiples. Question à complément simple. Parmi ces différents diurétiques, quel est celui qui est indiqué au cours de l'insuffisance rénale (clearance de la créatinine 15 ml/mn) ? A - Thiazidiques B - Diurétiques osmotiques C - Spironolactones D - Furosémide E - Inhibiteurs de l'anhydrase carbonique
Dans une insuffisance rénale aiguë par nécrose tubulaire : A - Il existe une dyspnée en rapport avec l'élévation de l'urée sanguine B - La récupération de la fonction antérieure est la règle C - L'hyperhydratation cellulaire peut entraîner des crises convulsives D - Il existe des reins de taille diminuée à l'échographie E - Une hyperleucocytose peut exister en l'absence de foyer infectieux
Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Au cours de l'insuffisance rénale aiguë fonctionnelle : A - Il existe une oligurie B - Le sodium urinaire est effondré, souvent 20 mmol/l C - Le rapport u/p créatinine est élevé D - La cause est souvent cliniquement décelable E - Elle est de bon pronostic si détectée précocement
Dans une insuffisance rénale aiguë organique : A - Le débit urinaire des 24 heures peut être supérieur à 1,500 litre B - Le chiffre d'urée sanguine n'est que proportionnel à l'importance du déficitfonctionnel rénal C - Le rythme d'élévation de la créatinine sérique est proportionnel au degré du catabolisme azoté D - L'ionogramme sérique montre souvent un trou anionique E - Il arrive que la kaliémie dépasse 7 mmol/l
Question à compléments multiples. Un malade présente une oligurie dans les suites d'une intervention chirurgicale (cholécystectomie). On est amené à penser qu'il s'agit d'une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle secondaire à une hydratation insuffisante si on constate : A - Urée urinaire élevée B - Natriurèse basse C - Tension artérielle basse D - Pression veineuse centrale basse E - Une osmolalité urinaire égale à 600 mmol/litre
Question à compléments multiples. On peut observer une insuffisance rénale aiguë anurique après : A - Une transfusion où la compatibilité dans le système ABO a été vérifiée B - Une pancréatite aiguë C - Un coma éthylique négligé D - Une overdose d'héroïne non hospitalisée E - Une urographie intraveineuse
Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples. En présence d'un lupus érythémateux aigu disséminé corticorésistant présentant une néphropathie lupique évolutive avec insuffisance rénale sous 1 mg/kg/jour de prednisone on peut induire des rémissions par la prescription de : A - Cyclophosphamide B - Globulines antilymphocytaires C - Azathioprine D - Aspirine E - Antipaludéens de synthèse (Nivaquine®)
Question à compléments multiples. Le décès d'un malade atteint d'une insuffisance rénale aiguë anurique au 5ème jour est peut-être consécutif à : A - L'hypokaliémie B - L'hypercatabolisme azoté C - Un oedème pulmonaire D - Une acidose grave E - L'affection ayant entraîné l'anurie
Une insuffisance rénale aiguë peut être consécutive à : A - Une septicémie à bacilles Gram négatif B - Une glomérulonéphrite C - Un traitement par la gentamicine D - Une hépatite HBs + E - Une urographie intraveineuse
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Une femme de 35 ans, sans antécédent pathologique, a eu une septicémie post-abortum, compliquée d'une insuffisance rénale aiguë anurique justifiant le recours à des hémodialyses répétées. Six semaines plus tard, la diurèse n'a toujours pas repris. Parmi les causes suivantes, quelle est celle qui vous paraît expliquer le-plus vraisemblablement la persistance de l'insuffisance rénale ? A - Néphrocalcinose B - Thrombose des veines rénales C - Nécrose corticale bilatérale D - Obstacle sur les voies urinaires E - Aucune des propositions n'est correcte
Parmi les éléments suivants, donnez celui qui ne représente pas une circonstance favorisante à l'apparition d'une hyperkaliémie dans l'insuffisance rénale aiguë : A - Hémolyse B - Rhabdomyolyse C - Hémorragie digestive D - Hyperhydratation E - Acidose
Question à complément simple. Quel est le paramètre qui ne correspond pas au tableau biologique d'une insuffisance rénale fonctionnelle ? A - Augmentation de l'urée sanguine B - Augmentation de la créatininémie C - Diminution de la natriurèse D - Diminution de la concentration urique urinaire E - Hématocrite augmenté
Question à compléments multiples. Chez un malade présentant une insuffisance rénale sévère, en fonction de quel(s) paramètre(s) ajuste-t-on habituellement la posologie des médicaments ? A - Clairance de la créatinine B - Volume de distribution du médicament C - Fixation protéique du médicament D - Clairance hépatique du médicament E - Demi-vie d'élimination du médicament chez le sujet normal
Question à compléments multiples. L'insuffisance rénale chronique non traitée s'accompagne presque toujours de : A - Une anémie B - Des oedèmes C - Une hypocalcémie D - Une hypophosphorémie E - Une acidose métabolique
Question à complément simple. Lors d'une insuffisance rénale aiguë le risque vital immédiat est lié à l'un des facteurs suivants : A - L'hyperuricémie B - L'hyperkaliémie C - L'élévation de l'urée D - La rétention hydrique E - L'hypotension artérielle
Question à complément simple. L'anémie de l'insuffisance rénale chronique présente les caractéristiques suivantes sauf une, laquelle ? A - Liée à un déficit en érythropoïétine B - Normochrome C - Peu régénérative D - Parfaitement corrigée par l'épuration extra-rénale RESIDANAT EN POCHE Tome "diminuée I "- QCM - QCS E - Demi-vie des hématies
Question à compléments multiples. Les facteurs pouvant décompenser une insuffisance rénale chronique comportent : A - Déplétion sodée B - Traitement diurétique C - Restriction hydrique D - Obstacle sur la voie excrétrice E - Toxicité médicamenteuse
Question à complément simple. Une de ces thérapeutiques est efficace en cas d'insuffisance rénale obstructive par adénome prostatique : A - La radiothérapie à haute énergie B - La castration C - L'adénomectomie prostatique D - Un traitement médical à base d'alpha bloqueurs E - Les diurétiques thiazidiques
Question à compléments multiples. L'apparition d'une insuffisance rénale aiguë anurique est fréquente après intervention réparatrice vasculaire effectuée tardivement dans les ischémies aiguës des membres. Indiquez, parmi les suivants, le(s) facteur(s) responsable(s) de l'apparition de cette insuffisance rénale : A - Myoglobinémie B - Choc septique C - Hypovolémie D - Hémolyse E - Facteurs thromboplastiques circulants
Question à compléments multiples. Parmi les facteurs suivants, quel est ou quels sont ceux qui peuvent aggraver une insuffisance rénale chronique ? A - Les pénicillines B - Une déshydratation extra-cellulaire C - Un obstacle sur les voies urinaires D - L'injection de produits iodés E - Des infections urinaires à répétition
Question à complément simple. La quantité minimum de protéine nécessaire pour maintenir une balance azotée chez les malades en insuffisance rénale chronique est : A - 0,5 g/kg de poids B - 1 g/kg de poids C - 2,25 g/kg de poids D - 3 g/kg de poids E - 4,15 g/kg de poids 306
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Question à compléments multiples.
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Le traitement habituel de l'insuffisance rénale primaire, non décompensée, comporte : A - Hydrocortisone B - Prednisone C - Fluorocortisone D - Dexaméthasone E - Régime sans sel
On apprend qu'au cours du bilan hospitalier une artériographie a également été pratiquée. Choisissez deux propositions exactes. La poussée d'insuffisance rénale peut être due à : A - Un obstacle excrétoire B - Au traitement antibiotique C - Aux examens radiologiques D - A l'infection urinaire E - A la précipitation de protéines myélomateuses
Question à compléments multiples. Chez un patient ayant une insuffisance rénale chronique sévère, pour éviter l'apparition d'une ostéodystrophie rénale, vous pouvez prescrire : A - Une supplémentation en phosphore B - Les dérivés de la vitamine D C - Des diurétiques thiazidiques D - Du carbonate de calcium E - Des gels d'alumine
Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui permettrait(ent) d'évoquer une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle ? A - Rapport urée urinaire/urée sanguine 10 B - Rapport créatininurie/créatininémie 10 C - Fraction d'élimination urinaire du sodium inférieur à 1 D - Natrémie inférieure à 130 E - Urée sanguine/créatininémie 10
Question à compléments multiples. Au cours de l'insuffisance rénale aiguë fonctionnelle : A - Il existe une oligurie B - Le sodium urinaire est effondré, souvent < 20 mmol/l C - Le rapport u/p de la créatinine est élevé D - La cause est souvent cliniquement décelable E - Le pronostic est bon si le dépistage est précoce
Question à compléments multiples. Quel(s) symptôme(s) clinique(s) en rapport avec une insuffisance rénale chronique peut-on observer ? A - Prurit B - Exophtalmie C - Pâleur D - Frottement péricardique E - Splénomégalie
Question à compléments multiples. Au cours d'une insuffisance rénale chronique avec filtration glomérulaire à 15 ml/mn, il est habituel de rencontrer : A - Une anémie normochrome B - Une hypocalcémie C - Une hypophosphorémie D - Une hypobicarbonatémie E - Une augmentation des gamma globulines
Question à compléments multiples. Ce malade présente une insuffisance rénale aiguë. Parmi les étiologies suivants, vous retenez : A - Néphroangiosclérose B - Toxicité rénale du kétoprofène C - Toxicité rénale de l'hydrochlorothiazide D - Toxicité rénale du chlorydrate d'amiloride E - Hypovolémie Un homme de 70 ans bénéficie d'une intervention pour arthrose de hanche. Dans ces antécédents on retient un tabagisme (1 paquet de cigarettes/jour) et une hypertension artérielle apparue il y a 20 ans, stabilisée à 180/100 mm de Hg par un traitement quotidien qui associe 5 mg de chlorydrate d'amiloride et 50 mg d'hydrochlorothiazide (Modurétic®). L'examen clinique préopératoire est sans particularité. Des examens paracliniques, on retient les éléments suivants : créatinine 105 micromol/l, cardiomégalie modérée sur la radiographie thoracique et un ECG sans particularité à l'exception d'un indice de Sokolow à 45. En post-opératoire le malade est laissé au même traitement hypotenseur. Il reçoit de plus du kétoproféne 5 gélules à 50 mg/j (Profénid®). Au 10ème jour post-opératoire l'examen clinique et l'électrocardiogramme ne sont pas modifiés. La tension artérielle est à 140/80 en position couchée et à 90/60 en position assise. Le bilan biologique met en évidence les éléments suivants : créatinine à 610 mic mol/l, Na+ 128 mmol/l, K+ 6,1 mmol/l, protidémie 80 g/l, Cl 92 mmol/l, bicarbonates 32 micromol/l, uricémie 582 micromol/l, hématocrite 0,52. La protéinurie des 24 heures est à 0,58 g. Il n'existe pas d'hématurie.
Question à compléments multiples. Question à compléments multiples. Un malade devient oligurique dans les suites d'une intervention chirurgicale (cholécystectomie). On est amené à penser qu'il s'agit d'une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle secondaire à une déshydratation extracellulaire si l'on constate : A - Urée urinaire élevée B - Natriurèse basse C - Tension artérielle basse D - Pression veineuse centrale basse E - Une soif vive
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Le traitement de cette insuffisance rénale repose dans les 12 premières heures sur : A - Perfusion du soluté salé isotonique B - L'hémodialyse C - L'arrêt du kétoprofène D - L'arrêt de l'hydrochlorothiazide E - La prescription de furosémide (Lasilix®)
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Cette insuffisance rénale aiguë pourrait avoir pour origine : A - Un choc toxi-infectieux B - L'administration d'un médicament néphrotoxique C - L'hyperkaliémie D - L'acidose métabolique E - Aucune des causes ci-dessus
Quelles sont parmi les suivantes les deux causes les plus probables d'insuffisance rénale ? A - Hypertension avec néphroangiosclérose B - Glomérulonéphrite chronique C - Néphropathie toxique due à l'usage des AINS D - Syndrome héréditaire de tubulopathie E - Rein goutteux chronique par hyperuricémie
Un homme de 73 ans est opéré d'une cholécystectomie pour lithiase vésiculaire. En pré-opératoire, le poids est de 70 kg, la pression artérielle à 180/110 mmHg. L'interrogatoire retrouve une pollakiurie avec trois mictions nocturnes, tous les autres éléments cliniques et paracliniques et le toucher rectal sont normaux. Au deuxième jour post-opératoire, survient un accès fébrile avec frissons. Deux hémocultures sont positives à colibacille. Le traitement immédiatement entrepris comprend quotidiennement l'administration de 240 mg de gentamicine par voie IM et la perfusion de 2000 ml de soluté glucosé isotonique. Alors que la diurèse est à 1800 ml/24 h au 2ème jour post-opératoire, elle chute progressivement pour n'être qu'à 300 ml/24 h le 5ème jour. Le poids est alors de 73 kg, il n'y a eu ni vomissements, ni diarrhée, la pression artérielle est a 150/90 mmHg. Le bilan biologique révèle les résultats suivants : Sang (mmol/l) urée 40, chlore 92, sodium 126, potassium 7,5, bicarbonates 18, paCO2 28 mmHg, créatinine 700 umol/l, protides totaux 52 g/l, pH artériel 7,27. Urines volume/24 h 300 ml, sodium 80, potassium 30, urée 100 (mmol/litre).
Question à compléments multiples. Le traitement de cette insuffisance rénale aiguë comprend : A - Une restriction des boissons à 500 ml/24 h B - La perfusion de 2500 ml de soluté bicarbonate isotonique par jour pendant 48 h C - La perfusion de 500 ml de soluté glucosé à 30 % + 20 unités d'insuline D - La baisse de la posologie de la gentamicine à 180 mg/jour E - Transport dans une unité d'épuration (extra) rénale
Question à complément simple. Après trois mois d'évolution, le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 gr/24 h, hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr pour mille, pas d'insuffisance rénale. Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion sera trouvé ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'lgA C - Artériolite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Rein optiquement normal
Un sujet de 58 ans présente depuis 5 ans, régulièrement, des crises de goutte du gros orteil qu'il s'est contenté de traiter par le repos et des antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS) pris 2 à 3 jours à chaque crise. Le sujet a présenté en moyenne 4 à 5 crises par an. Il n'a pas de manifestation évoquant une pathologie rénale, sauf une hématurie signalée 3 ans auparavant et non retrouvée ensuite. La pression artérielle est à 155/105 mm de mercure en moyenne. Les données biologiques révèlent une hyperuricémie importante, une créatinine sanguine à 195 micromol pour mille stable depuis 4 mois. La cytologie urinaire est normale et il n'est pas noté de protéinurie. Le taux de phosphore est légèrement élevé, le potassium est normal, il n'y a pas d'hyperaminoacidurie, ni de glycosurie.
Question à compléments multiples. On assiste à une aggravation de l'insuffisance rénale. Pour prévenir les troubles osseux, vous conseillez : A - Une diminution des apports calciques B - Une diminution des apports glucidiques C - Une alcalinisation des urines D - Des gels d'alumine pour abaisser le phosphore E - Une prescription de vitamine D (dérivé dihydroxylé)
Question à compléments multiples. Ne font pas partiedu tableau habituel d'une insuffisance rénale sévère le(s) élément(s) suivant(s) : A - Elévation de l'azote uréique B - Elévation de la créatinine C - Hypophosphorémie D - Hypokaliémie E - Anémie hypochrome
Question à compléments multiples. A ce stade de l'insuffisance rénale, quelle(s) est(sont) parmi les suivantes la(les) mesure(s) diététique(s) qui vous parai(ssen)t recevable(s) ? A - Diminution modérée de l'apport protéique B - Supplémentation calcique C - Restriction de fruits et de légumes D - Restriction liquidienne à 500 ml par 24 heures E - Malgré le poids normal restriction calorique globale
Question à compléments multiples. En faveur de la nature fonctionnelle de l'insuffisance rénale. Vous retenez : A - La natriurèse à 12 mmoles/l B - Le rapport U/P créatinine élevé C - La fièvre D - La créatininémie à 180 micromoles/l E - Les données du toucher rectal
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Le patient ne suit pas vos conseils et ne se traite pas. Il voit un ami radiologue qui pratique une urographie intraveineuse. Celle-ci révèle un petit rein droit de 7.5 cm de diamètre vertical. Le rein gauche est apparemment de taille normale. Il existe un retard de sécrétion des deux reins. L'insuffisance rénale s'explique par : A - Une tuberculose rénale B - Une gloménulonéphrite chronique C - Une tubulopathie au niveau du rein droit D - Une lithiase obstructive E - L'atrophie du rein droit avec néphroangiosclérose du rein gauche
L'on observe très fréquemment au cours d'une glomérulonéphrite chronique avec insuffisance rénale chronique : A- Une protéinurie B - Une hématurie microscopique C - Une hypertension artérielle D - Une hypercalcémie E - Une infection urinaire
Question à compléments multiples. Après plusieurs mois d'hémodialyse, l'aggravation et la répétition des épisodes hématuriques fait proposer une binéphrectomie. Le bilan d'hémostase pré-opératoire peut montrer en rapport avec l'insuffisance rénale : A - Allongement du temps de saignement B - Allongement du temps de céphaline activée C - Allongement du temps de Quick D - Hypofibrinogénémie E - Raccourcissement du temps de Iyse des euglobulines
Question à compléments multiples. Dans le but de prévenir les complications ostéo-articulaires de l'insuffisance rénale, la ou les mesure(s) suivante(s) vous paraît (paraissent) adéquate(s) : A - Régime appauvri en phosphore B - En cas d'hyperphosphorémie, prescription de gels d'alumine C - Supplémentation calcique per os D - Correction de l'hyperkaliémie E - Prescription de dérives actifs de la vitamine D
Question à compléments multiples. Quelle(s) anomalie(s) associée(s) à l'insuffisance rénale aiguë paraît(ssent) présente(s) chez ce patient ? A - Déshydratation intracellulaire B - Hyperhydratation globale C - Hyperkaliémie D - Hypertension artérielle maligne E - Oedème pulmonaire
Question à complément simple. L'on observe de façon constante au cours d'une polykystose rénale de l'adulte au stade de l'insuffisance rénale chronique : A - Des petits reins avec kystes bilatéraux B - Des gros reins avec kystes bilatéraux C - Une hypertension artérielle D - Une protéinurie E - Une note familiale de polykystose
Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) qui permettrait(ent) d'évoquer une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle ? A - Rapport urée urinaire/urée sanguine > 15 B - Rapport créatininurie/créatininémie > 15 C - Fraction d'élimination urinaire du sodium inférieure à 1 D - Natrémie inférieure à 130 E - Urée sanguine/créatininémie > 10
Question à compléments multiples Une insuffisance rénale chronique peut être aggravée par : A - Une déplétion calcique B - Une déplétion sodée C - Une insuffisance cardiaque D - Un obstacle sur la voie excrétrice E - Une hypovolémie Un insuffisant rénal chronique par polykystose rénale vous consulte pour aggravation récente et brutale de son hyperazotémie. Le malade avait été vu en consultation deux mois auparavant avant son départ en vacances. Poids : 68 kilos, pour 1,75 m T.A. à 140/80, créatinine à 3 50 micromol/l, urée à 0,80 g/l, natrémie à 140 mmol/l, kaliémie à 3,8 mmol/l, diurèse : 2 litres par 24 h, pas d'oedème des membres inférieurs. En vacances, il consulte pour un syndrome grippal et se voit prescrire : - Totapen 2 g par jour pendant 8 jours - Aspirine 500 mg par jour 2 fois - Régime désodé strict avec 60 g de protides Prescription que ce malade méticuleux, suit à la lettre. Lorsqu'il consulte 8 jours plus tard, il paraît fatigué : Poids : 63 kilos, T.A. : 10/6, pas d'oedème, signe du pli, biologiquement : Créatinine à 475 micromol/l, urée à 2 g par litre, natrémie à 130, kaliémie à 5 mEq par litre. Diurèse des 24 dernières heures : 500 cc.
Question à compléments multiples. En l'absence d'insuffisance rénale le traitement symptomatique des oedèmes peut comporter : A - Repos au lit B - Régime sans sel C - Spironolactone (Aldactone) D - Diurétique de l'anse (Lasilix) E - Diurétique thiazidique (Diurilix )
Question à compléments multiples. Quels sont les arguments biologiques en faveur du caractère chronique de l'insuffisance rénale ? A - Protidémie à 60 g/l B - Natrémie à 140 mmol/l C - Calcémie à 1,65 mmol/l D - Hémoglobinémie à 7.8 g/100 ml E - Kaliémie à 5,1 mmol/l
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Question à complément simple. Les reins sont diminués de taille (8cm x 4cm), réguliers et symétriques. Il n'y a pas de dilatation pyélocalicielle. L'étiologie la plus vraisemblable de l'insuffisance rénale de Monsieur D. est : A - Une polykystose rénale B - Une glomérulopathie diabétique C - Une amylose D - Une pyélonéphrite chronique E - Une néphro-angiosclérose
Question à compléments multiples. Monsieur D. a une insuffisance rénale chronique arrivée au stade terminal. Après avoir résolu les problèmes actuels il va falloir envisager la méthode de suppléance la mieux adaptée à son cas. Quelles sont les deux méthodes vraisemblablement les mieux appropriées ? A - Dialyse péritonéale continue ambulatoire B - Transplantation rénale C - Hémodialyse en centre D - Hémodialyse à domicile E - Il est beaucoup trop âgé pour bénéficier d'une des méthodes précédentes
Question à complément simple. La malade refusant toute hospitalisation, il a été décidé en l'absence d'hématurie ou d'insuffisance rénale associées de faire un traitement actif. Quel est le schéma choisi parmi les suivants ? A - Cyclosporine 10 mg/kg/jour pendant six mois B - Cyclophosphamide 3 mg/kg/jour pendant trois mois C - Prednisone 0,10 mg/kg/jour pendant six mois D - Prednisone 0,10 mg/kg/jour pendant quatre semaines E - Prednisone 1,5 mg/kg/jour pendant quatre semaines
Question à complément simple. Le patient ne suit pas vos conseils et ne se traite pas. Il voit un ami radiologue qui pratique une urographie intraveineuse. Celle-ci révèle un petit rein droit, 7,5 cm de diamètre vertical. Le rein gauche est apparemment de taille normale. Il existe un retard de sécrétion des deux reins. L'insuffisance rénale s'explique par : A - L'atteinte du rein droit B - Une glomérulonéphrite chronique C - Une tubulopathie au niveau du rein droit D - Une lithiase obstructive E - L'atrophie du rein droit avec néphro-angiosclérose du rein gauche
Question à complément simple. Après trois mois d'évolution, sous traitement le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 g/24 h hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr 0/00, pas d'insuffisance rénale. Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion peuton s'attendre à trouver ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'IgA C - Vascularite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Lésions glomérulaires RESIDANAT EN POCHE Tome minimes " I "- QCM - QCS
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
L'anémie de l'insuffisance rénale chronique est :
L'insuffisance rénale en l'absence d'examen complémentaire peut être due à :
A - Liée à un déficit en érythropoïétine B - Normochrome C - Peu régénérative D - Corrigée par l'épuration extra-rénale E - A demi-vie des hématies diminuée
A - Une néphrotoxicité du diurétique B - Une glomérulopathie C - Une pathologie des gros vaisseaux rénaux D - Une tubulopathie E - Une néphroangiosclérose
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Bonne(s) réponse(s) : B E C : Arégénérative. L'hématurie microscopique isolée ancienne, associée à l'HTA et à l'insuffisance rénale évoque une glomérulonéphrite chronique (à dépôts mésangiaux d'IGA notamment). Une néphroangiosclérose associée est fort probable. Une sténose des artères rénales pourrait expliquer l'HTA mais non l'hématurie.
Question à complément simple. Chez l'homme de 50 ans, qui présente une insuffisance rénale aiguë, quel est l'examen de choix dans le contexte de l'urgence, pour rechercher un obstacle des voies excrétrices? A - Radiographie sans préparation des aires rénales B - Tomodensitométrie C - Urétéro-pyélographie rétrograde D - Urographie intraveineuse E - ƒchographie rénale Bonne(s) réponse(s) : E E : La mise en évidence d'une dilatation des cavités pyélo-calicielles permet de faire le diagnostic d'IRA par obstacle. Attention ! L'absence de dilatation ne permet pas d'exclure un obstacle.
Question à compléments multiples. Au cours d'une insuffisance rénale chronique avec filtration glomérulaire à 15 ml/min, il est habituel de rencontrer : A - Une anémie hyperchrome B - Une hypocalcémie C - Une hypophosphorémie D - Une hypobicarbonatémie E - Une augmentation des gamma globulines Bonne(s) réponse(s) : B D L'anémie de l'insuffisance rénale chronique est normochrome, normocytaire arégénérative.
Question à complément simple. Si cette jeune femme, enceinte, avait en outre une insuffisance rénale, vous pourriez prescrire, en première intention : A - La nouvelle bêta-lactamine B - L'ampicilline (Totapen®) C - La nitrofurantoïne (Furadantine®) D - La gentamycine (Gentalline®) E - La doxycycline (Vibramycine®) Bonne(s) réponse(s) : B A : Médicament nouveau. C, D : Contre-indiqués par l'insuffisance rénale. E : Contre-indiqué pendant la grossesse.
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Question à complément simple. Deux mois après un syndrome néphritique aigu postinfectieux, un garçon de 17 ans est revu en consultation. L'examen clinique est normal, la pression artérielle est à 100/60 mm Hg. Parmi les examens paracliniques suivants, quel est celui qui a une signification péjorative ? A - Protéinurie = 0,50 g/24 h B - CH 50 = 20 U (N = 50 + ou - 10) C - Hématurie + + D - ASLO = 1 200 U (N < 400) E - Azotémie = 0,45 g/l (7 mmol/l)
Question à compléments multiples. Le syndrome néphritique aigu comporte : A - Une prise de poids B - Une natriurèse faible C - Une réduction de la filtration glomérulaire D - Une hypovolémie E - Une hématurie
Question à complément simple. Le syndrome néphritique aigu est caractérisé par tous les éléments sémiologiques suivants, sauf un, lequel ? A - H TA modérée B - Hypoprotidémie < 60 g par litre C - Hématurie avec cylindrurie D - Oedèmes des membres inférieurs E - Protéinurie permanente
Question à compléments multiples. Le syndrome néphritique aigu comporte : A - Rétention hydrosodée B - Hypercholestérolémie C - Hypertension artérielle D - Réduction du débit de la filtration glomérulaire E - Hypogammaglobulinémie
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Question à complément simple. Les syndromes néphrotiques persistants, en l'absence de tout traitement peuvent provoquer des complications suivantes, sauf une, laquelle ? A - Thromboses veineuses périphériques B - Infections ORL et pulmonaires C - Crises de goutte D - Thromboses des veines rénales E - Crises abdominales aiguës pseudoappendiculaires
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Un sujet de 53 ans aux antécédents tuberculeux multiples présente un Ïdème important du cou, des bras et des membres inférieurs. Il présente une protéinurie à 0,80 g/24 h, un gros foie avec tests fonctionnels hépatiques normaux. Le diagnostic le plus probable est :
Concernant les protéinuries, quelle(s) affirmation(s) est (sont) exacte(s)?
ABCDE-
Glomérulonéphrite aiguë Syndrome néphrotique Insuffisance cardiaque congestive Cytolyse hépatique aiguë Symphyse péricardique
Bonne(s) réponse(s) : E
A - Toutes les protéinuries signent une lésion glomérulaire B - La protéinurie de Bence-Jones n'est pas détectée par les bandelettes C - La protéinurie de Bence-Jones n'est détectée que par l'acide sulfosalicylique D - La protéinurie tubulaire est caractérisée par la présence d'IgG E - La microalbuminurie se definit par un taux inférieur à 300 mg/24 heures Bonne(s) réponse(s) : B D E
B : La protéinurie est massive au cours du syndrome néphrotique (> 3,5 g/24 heures) E : Il faut d'emblée évoquer chez ce malade une péricardite chronique constrictive d'étiologie tuberculeuse, s'exprimant cliniquement par des signes d'hypertension veineuse
Question à complément simple.
B : Les bandelettes détectent seulement l'albumine (Albustix®). La protéinurie de Bence Jones est composée de chaînes légères d'immunoglobulines = elles précipitent à la chaleur et se redissolvent à 56°C. Elle est au mieux caractérisée par l'immuno-électrophorèse des protéines urinaires (chaînes légères kappa ou lambda). E : La microalbuminurie correspond à une excrétion minime (< 300 mg/24 h) mais supérieure à la normale de l'albumine (c'est-à-dire plus de 150 mg/24 h). Elle doit être dosée spécifiquement, par exemple par dosage radio-immunologique. Elle fait partie du bilan d'une néphropathie diabétique débutante.
Chez une jeune femme de 25 ans, polyarthralgique et fébrile, la découverte d'une protéinurie à 4 g/24 h avec hématurie microscopique et créatinine à 180 µmol/l, 3 mois après un accouchement normal, fait évoquer surtout : A - Une glomérulonéphrite virale B - Une maladie périodique familiale C - Une pyélonéphrite D - Les suites d'une toxémie gravidique E - Une glomérulonéphrite lupique Bonne(s) réponse(s) : E Protéinurie abondante et hématurie évoquent une atteinte glomérulaire ; le diagnostic de glomérulonéphrite lupique est évoqué chez cette femme jeune, avec atteinte extra-rénale (articulations). La grossesse favorise les poussées lupiques.
Question à complément simple. Indiquez parmi les investigations ci-dessous, la plus appropriée chez un patient de 30 ans chez lequel ont été découvertes une protéinurie à 2 g/24h et une hématurie microscopique. La P.A. est à 130/80 mmHg, la clairance de la créatinine à 1,7 ml/s (100 ml/mn). Il n'y a pas d'anomalie morphologique des reins et des voies excrétrices urinaires à l'U.I.V. A - Echographie B - Scintigraphie rénale C - Biopsie rénale D - Urétéro-pyélographie rétrograde E - Aucune des investigations ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : C L'association protéinurie-hématurie évoque une atteinte glomérulaire qui ne peut être identifiée précisement que par la biopsie rénale. En l'absence de signes extrarénaux, on peut évoquer une maladie de Berger (dépôts mésangiaux d'IgA) et alors hésiter avec la réponse E car aucun traitement ne serait nécessaire. En présence de signes extrarénaux (cutanés, articulaires, neurologiques...), l'indication de la biopsie rénale est formelle.
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Question à complément simple. Sans antécédent clinique évocateur, quel signe évoque plutôt une glomérulonéphrite chronique devant un tableau de protéinurie isolée? A - Présence en abondance de bêta 2 microglobuline B - Tous les paramètres d'exploration fonctionnelle rénale sont normaux sauf l'épreuve d'acidification C - La protéinurie est toujours supérieure à 2,5 g/24 heures D - A l'urographie intraveineuse, il existe des signes focaux de rétraction et de nécrose papillaire E - La patiente a fait pendant la période d'observation une hématurie terminale Bonne(s) réponse(s) : C Ce QCM était déjà tombé en 7/87/II avec le même énoncé en multiple. La réponse des différents correcteurs fut C, D. A : Protéine de faible PM. B : Evoque une tubulopathie. C : Définition d'une glomérulonéphrite (protéinurie ³ 3 g/24 h). D : A l'UIV, des reins SYMƒTRIQUES et RƒGULIERS sont en faveur d'une glomérulonéphrite chronique. E : Plutôt une atteinte vésicale.
Question à complément simple. Un sujet de 17 ans, sujet aux amygdalites, se présente à la consultation avec un visage bouffi et un léger oedème malléolaire. L'examen clinique montre en outre une pression artérielle à 155/105 mm de mercure. Dans le sang, les antistreptolysines sont à 600 unités, la créatinine à 220 micromol/l. A la cytologie urinaire une hématurie abondante d'origine glomérulaire avec de nombreux cylindres. La protéinurie est à 2 g/24 h. Il s'agit de : A - Syndrome néphrotique pur B - Syndrome néphrotique impur C - Hépatite aiguë D - Glomérulonéphrite post-streptococcique E - Glomérulonéphrite hématurique avec dépôts d'IgA mésangiaux Bonne(s) réponse(s) : D Association d'oedème, d'HTA, d'insuffisance rénale et de protéinurie glomérulaire dans un contexte évocateur. E : La maladie de Berger est surtout contemporaine des infections O.R.L.
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Question à complément simple. Chez un sujet de 58 ans (105 kg -1,70m) sans antécédent, on découvre une pression artérielle à 155/98 mmHg, une protéinurie, de 3 g/24 heures alors que la recherche à la bandelette est négative ; le taux de protéines sanguines est à 82g/l et la calcémie à2,65 mmol/l. Quelle hypothèse diagnostique, choisir? A - Glomérulopathie diabétique B - Lupus polyviscéral C - Purpura rhumatoïde D - Vascularite E - Myélome Bonne(s) réponse(s) : E E : Les chaînes légères d'immunoglobines ne sont pas détectées à la bandelette. L'hyperprotidémie et l'élévation de la calcémie évoquent aussi ce diagnostic.
Question à complément simple. Un sujet de 25 ans a été opéré dans l'enfance d'un reflux vésico-urétéral bilatéral laissant des séquelles d'hypoplasie visibles à l'échographie rénale. Alors que la protéinurie n'était jamais supérieure à 0,20 gr/l, elle atteint brusquement 2 gr, puis 3 gr/24 h. Cette protéinurie traduit : A - Une aggravation des lésions inflammatoires de néphrite interstitielle B - La constitution d'une sclérose du tissu interstitiel C - Une dégénérescence tubulaire D - Une intolérance aux anti-infectieux urinaires E - Une atteinte glomérulaire de type hyalinose passive Bonne(s) réponse(s) : E L'abondance de la protéinurie est en faveur d'une atteinte glomérulaire. Une hyalinose segmentaire et focale peut compliquer l'évolution d'un reflux vésico-urétéral bilatéral, même après chirurgie réparatrice.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Parmi ces différentes affirmations concernant les hyponatrémies, quelle est celle que vous retenez ? A - L'hyponatrémie est due à un hyperaldostéronisme B - L'hyponatrémie est liée à une diminution du capital sodé de l'organisme C - L'hyponatrémie entraîne une hyperhydratation cellulaire D - Quelqu'en soit le mécanisme, l'hyponatrémie se corrige par des apports sodés E - La baisse de la natrémie stimule la sécrétion d'ADH
Dans quelle(s) circonstance(s) parmi les suivantes peut on rencontrer une hyponatrémie ? A - Hyperlipidémie B - Syndrome de Conn C - Glycémie élevée D - Hypercalcémie E - Traitement par thiazides
Bonne(s) réponse(s) : C Il existe dans la formulation de ce QCM des erreurs qui le rendent critiquable. En effet toute diminution de l'osmolarité plasmatique entraînera en proportion inverse une diminution de l'hydratation intracellulaire, le nombre d'osmoles du milieu intracellulaire étant fixe, équilibré, l'osmolarité intracellulaire ne peut varier qu'en fonction de l'hydratation intracellulaire. L'ambiguïté dans le QCM, ici, vient du terme hyponatrémie. Habituellement, la natrémie et l'osmolarité évoluent de façon parallèle, cependant il existe des cas où il y a dissociation entre la natrémie et l'osmolarité (on utilise parfois les termes de fausse hyponatrémie). Ces cas surviennent lorsqu'il existe d'autres agents osmotiquement actifs en grande quantité (acidocétose, coma hyperosmolaire, dysprotéinémie monoclonale, dyslipidémies extrêmes, utilisation de mannitol etc...). A cette réserve près, la seule réponse possible est la C. L'aldostérone entraîne une rétention hydrosodée, jouant sur le secteur extracellulaire et non sur le secteur intracellulaire, donc sans modification de la natrémie. La diminution du capital sodé entraîne par contre une déshydratation extracellulaire. Les apports sodés corrigent une diminution du volume extracellulaire et ne jouent pas sur le secteur intracellulaire. Le stimulus principal de la sécrétion d'ADH est la déshydratation intracellulaire, habituellement associée une hypernatrémie.
Question à compléments multiples. Une hyponatrémie à 125 mmol/l associée à une hypochlorémie à 70 mmol/l et une alcalose métabolique fait suspecter chez un malade déshydraté : A - L'abus de diurétiques et/ou de laxatifs B - Une cirrhose alcoolique C - Une insuffisance cardiaque D - Une sténose pylorique E - Une insuffisance rénale organique Bonne(s) réponse(s) : A D A la réserve suivante : l'abus de diurétiques thiazidiques ou de diurétiques de l'anse peut être responsable de tels tableaux ; par contre, l'abus de laxatifs entraîne beaucoup plus rarement une alcalose.
Bonne(s) réponse(s) : A C E A C - Représentent des cas de "fausses hyponatrémies", où la natrémie n'est plus le reflet de l'osmolarité plasmatique en raison de l'existence d'autres osmoles. Dans le cas des hyperglycémies, ce tableau se rencontre dans les comas hyperosmolaires. Au cours du traitement par un diurétique il peut y avoir hyponatrémie lorsque la perte en sel excède la perte en eau. Cela correspond au tableau d'hyponatrémie par déplétion. Dans le syndrome de Conn, il y a rétention hydrosodée avec hyperhydratation extracellulaire pure et le secteur intracellulaire est normal ; il peut même y avoir hypernatrémie, en raison de l'activité "hydrourétique". c'est à dire anti ADH des corticoïdes. Un homme de 65 ans est hospitalisé pour dyspnée d'apparition récente et troubles confusionnels. Sont également cliniquement notés : - des antécédents de bronchite chronique sur un tabagisme ancien - une HTA évoluant depuis 10 ans et traitée par Modurétic® et Catapressan® - une altératIon récente de l'état général - la T.A. est à 130/85, la T° à 37° - à l'auscultatIon pulmonaire, diminution du murmure vésiculaire à gauche et râles bronchiques. Le reste de l'examen clinique est normal. Dans le sang : hémoglobine 11,8 g/100ml, hématocrite 37 %, G.B 9 800, urée 0,20 g/l, créat 10 mg/l, uricémie 30 mg/l, protidémie 70 g/l, cholestérol 2,6 g/l, natrémie 115 mEq/l, chlore 80 mEq/l, kaliémie 4,5 mEq/l, osmolalite plasmatique 230 mOsm/kg, cortisolémie normale, bicar 28 mEq/l. Dans les urines : prot 0, glycosurie 0, densité 1020, osmolalité 496 mOsm/kg. La radiographie du thorax montre une atélectasie lobaire supérieure gauche avec épanchement pleural du même côté.
Question à complément simple. La correction de l'hyponatrémie dans ce contexte nécessite : A - La prise d'antialdostérone B - Un apport de soluté salé à 9 g pour mille intraveineux (deux litres) C - Un apport de soluté bicarbonaté a 14 g pour mille intraveineux (deux litres) D - Des coticoïdes en flash intraveineux, 1 g de prednisone E - Une ultrafiltration par une technique d'hémodialyse Bonne(s) réponse(s) : E Le traitement de l'insuffisance rénale chronique arrivée au stade ultime de son évolution. Notons que l'administration d'antialdostérone est formellement contre-indiquée en raison du risque d'hyperkaliémie... qui est de toute façon déjà constituée. L'apport de soluté salé isotonique ne ferait qu'accroître l'hypervolémie extracellulaire de cette patiente. Le soluté bicarbonaté isotonique aurait le même effet. L'administration de prednisone n'a jamais constitué le traitement d'une hyponatrémie.
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Question à complément simple.
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Une protéinurie est dite glomérulaire sélective lorsque l'électrophorèse des protéines urinaires permet de mettre en évidence dans les urines des protéines de poids moléculaires compris entre : A - 5 et 50 000 B - 50 000 et 90 000 C - 90 000 et 200 000 D - 200 000 et 300 000 E - Supérieur à 300 000
Un sujet de 43 ans à présenté à trois reprises une hématurie macroscopique importante. La dernière a duré trois jours avec des douleurs modérées lombaires gauches. Il n'y a pas de protéinurie. Une urographie intraveineuse, faite il y a deux ans, est normale. L'échographie montre un gros pôle inférieur du rein gauche sans cône d'ombre. Vous évoquez prioritairement : A- Glomérulonéphrite subaiguë B - Néphrite tubulaire toxique C - Cancer du rein D - Lithiase pyélique E - Bilharziose vésicale
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à complément simple. Une protéinurie orthostatique chez une fille de 12 ans : A - A toutes les chances d'être bénigne B - Indique une maladie rénale sérieuse C - Est un signe habituel d'une glomérulonéphrite D - Dépasse 10g par jour E - Est associé à une hyperazotémie Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Question à complément simple. Chez un enfant de 4 ans, à l'occasion d'une visite systématique, on découvre une protéinurie à 0,20 g/24h. L'examen cytobactériologique des urines pratiqué donne les résultats suivants : leucocytes : 20 000/ml, E. Coli 10 exposant 6 Après traitement, toutes les anomalies urinaires disparaissent : Quelle prescription faites-vous ? A - Doser la protéinurie, 2 mois après B - Faire une clairance de la créatinine C - Rechercher l'hématurie D - Faire une urographie intraveineuse E - Aucun examen à prescrire Bonne(s) réponse(s) : D Toute infection urinaire de l'enfant impose la mise en oeuvre d'une enquête étiologique.
Question à complément simple. Un sujet de 17 ans présente une protéinurie permanente avec cytologie urinaire normale. Le dosage pondéral est de 7,3 g/24 heures. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique B - Glomérulonéphrite subaiguë C - Protéinurie de Bence-Jones D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale
Question à complément simple. Chez une jeune femme de 32 ans, chez qui a été découverte une association protéinurie-hématurie, les éléments cliniques suivants sont notés : état sub-fébrile de 37 à 38°C, syndrome polyarticulaire migrateur. On note une leucopénie à 3500 globules blancs. Parmi les diagnostics proposés, quel est celui qui, à priori, est le plus vraisemblable ? A - Amylose B - Lupus érythémateux disséminé C - Intoxication au plomb D - Pyélonéphrite aiguë E - Automédication à l'aspirine Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Question à complément simple. Un sujet de 28 ans présente le lendemain du début d'une sinusite fébrile. une hématurie macroscopique avec protéinurie à 1g 0/00 : un épisode identique un an et trois ans auparavant après une angine. La protéinurie avait disparu en 48 heures. La tension artérielle et le taux plasmatique de la créatinine sont normaux. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique par hyalinose segmentaire et focale B - Glomérulonéphrite à dépôts d'IgA de type maladie de Berger C - Myélome à chaînes légères D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale Bonne(s) réponse(s) : B Il s'agit d'un syndrome néphritique, déclenché au décours immédiat d'un épisode infectieux.
Bonne(s) réponse(s) : A Les deux diagnostics à discuter devant une protéinurie aussi importante sont syndrome néphrotique ou protéinurie monoclonale. L'age du patient plaide contre cette seconde hypothèse. L'électrophorèse des protéines urinaires lèvera les derniers doutes.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Un homme de 58 ans commerçant rapatrié de Thio, présente une hématurie microscopique et macroscopique à trois reprises. La créatininémie est à 198 micromoles/l. La pression artérielle est élevée, il y a des oedèmes et une protéinurie à ++++. Il y a un an, bilan de santé normal. Vous évoquez prioritairement : A - Glomérulonéphrite B - Thrombose veineuse rénale C - Cancer du rein D - Tumeur vésicale papillomateuse E - Tuberculose vésicale
Une protéinurie à 0,15 g/24 heures rend peu probable(s) le(s) diagnostic(s) de : A - Néphrose lipoïdique B - Glomérulonéphrite post-streptococcique en période aiguë C - Néphropathie toxique des analgésiques D - Polykystose rénale E - Glomérulonéphrite chronique Bonne(s) réponse(s) : A B E Les néphropathies glomérulaires s'accompagnent le plus souvent de protéinurie supérieure ou égale à 1 g/jour.
Bonne(s) réponse(s) : A Là également, les éléments d'un syndrome néphritique : hématurie, protéinurie, HTA et insuffisance rénale sont réunis.
Question à compléments multiples. Parmi ces différentes propositions concernant les protéinuries, quelle(s) est(sont) celle(s) qui vous parai(ssen)t exacte(s) ? A - L'orthostatisme renforce toutes les protéinuries B - La protéine de Bence Jones est méconnue par la technique des bandelettes C - La protéinurie orthostatique s'accompagne d'une hématurie microscopique D - La protéine de Tamm-Horsfall est un des constituants de la protéinurie physiologique E - L'existence d'une protéinurie implique la prescription d'un régime hyperprotidique Bonne(s) réponse(s) : A B D A - L'orthostatisme et l'effort modifient la protéinurie, à la fois en modifiant la perméabilité, glomérulaire et le débit de filtration glomérulaire. B - Le bleu de bromophénol est un réactif coloré spécifique de l'albumine. C - Par définition, l'existence d'une anomalie urinaire associée doit faire réfuter le diagnostic de protéinurie orthostatique. D - Protéine sécrétée par le tubule et responsable en particulier de la formation des rouleaux. E - Le régime hyperprotidique n'est conseillée que lorsque la protéinurie est importante, réalisant le syndrome néphrotique. En cas d'insuffisance rénale, de nombreux auteurs estiment qu'un excès d'apports protidiques peut accélérer l'évolution de l'insuffisance rénale. En cas d'insuffisance rénale sévère, un apport supérieur à 1 g/kg/jour entraîne une hyperphosphorémie, une acidose et une élévation de l'urémie.
Question à complément simple. Un adulte de 60 ans présente une protéinurie qui n'est pas détectée à la bandelette, elle apparaît à la chaleur, puis disparaît à l'ébullition. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique B - Glomérulonéphrite subaiguë C - Protéinurie de Bence-Jones D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale Bonne(s) réponse(s) : C L'énoncé rappelle la définition initiale chimique du phénomène de Bence Jones.
Question à compléments multiples. Un diabétique traité à l'insuline depuis 25 ans est porteur d'une rétinopathie diabétique. Il n'a pas de protéinurie. On trouve une hypertrophie prostatique avec un résidu de 100 ml. Il existe une bactériurie importante à E.Coli. Parmi les affirmations suivantes, cochez celle(s) qui est(sont) exacte(s) : A - Le risque de pyélonéphrite aiguë est important B - L'infection urinaire est facilitée par les troubles de vidange vésicale C - Les troubles de tonicité vésicale liés au diabète peuvent favoriser l'infection ascendante D - En cas de pyélonéphrite aiguë, le risque de nécrose papillaire est important E - Une poussée d'infection urinaire aiguë peut décompenser le diabète Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Tous les items sont exacts, le diabétique prostatique étant un sujet à haut risque pour l'infection urinaire.
Question à complément simple. Un sujet de 58 ans ne présente aucun antécédent, pression artérielle à 155/98 mmHg. A un dosage pondéral de protéinurie, la réponse est 3 g/24 heures. La recherche à la bandelette est négative, le taux de protéines sanguines est a 82g/l et la calcémie à 2,65 mmol/l. Quelle hypothèse diagnostique choisissez-vous pour orienter les investigations ? A- Polykystose rénale B - Lupus polyviscéral C - Purpura rhumatoïde D - Reflux vésico-urétéral E - Myélome Bonne(s) réponse(s) : E Seule une protéinurie monoclonale peut en première approche, expliquer une protéinurie à 3 g/jour, non détectée par le bleu de bromophénol, spécifique de l'albumine.
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Question à compléments multiples. Sans antécédent clinique évocateur, quel(s) est(sont) le(s) signe(s) qui pour vous, évoque(nt) plutôt une glomérulonéphrite chronique devant un tableau de protéinurie isolée ? A - Présence en abondance de bêta 2 microglobuline B - Tous les paramètres d'exploration fonctionnelle rénale sont normaux sauf l'épreuve d'acidification C - La protéinurie est toujours supérieure à 2,5 g/24 heures D - A l'urographie intraveineuse, il existe des signes focaux de rétraction et de nécrose papillaire E - La patiente a fait pendant la période d'observation une hématurie terminale Bonne(s) réponse(s) : C D A - Protéine de faible PM. B - Evoque une tubulopathie. E319 - Plutôt atteinte vésicale.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
A propos de la protéinurie orthostatique il est exact que : A - Elle débute dans la première année de la vie B - Elle n'est jamais présente après une position de clinostatisme prolongée (position couchée) C - Elle apparaît en orthostatisme D - Elle ne doit pas empêcher de réaliser les vaccinations utiles E - L'immunoélectrophorèse indique qu'elle est riche en préalbumine et en bêta 2 microglobuline
La protéinurie orthostatique de l'enfant est caractérisée par : A - L'âge de détection est habituellement antérieur à 5 ans B - Elle est une manifestation mineure d'une maladie rénale chronique C - Elle est majorée en position verticale D - Elle disparaît en décubitus E - Elle s'accompagne d'une hématurie microscopique Bonne(s) réponse(s) : C D
Bonne(s) réponse(s) : B C D
Il n'y a jamais d'hématurie au cours d'une protéinurie orthostatique.
A. Non, la protéinurie orthostatique débute à la puberté et se poursuit pendant la croissance. B.C.D. Evidents. E. Non, cette protéinurie est constituée en majorité d'albumine.
Question à complément simple.
Question à compléments multiples. La protéinurie orthostatique est caractérisée par le(s) fait(s) suivant(s) : A - L'âge de détection usuel est la 2ème décennie de la vie B - C'est habituellement une manifestation mineure de maladie rénale chronique C - Il y a majoration de la protéinurie quand le patient est en position verticale D - Il y a disparition de la protéinurie en décubitus E - La protéinurie de 24 h n'excède que rarement 1 g
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On découvre lors d'un examen systématique d'urine chez une fillette de 12 ans en bonne santé apparente, une protéinurie modérée de l'ordre de 0,60 g/l, I'examen cytologique urinaire montre la présence de 50 hématies et de 9 leucocytes/mm3. Quelle est la proposition fausse ? A - Une protéinurie orthostatique B - Une forme fruste de glomérulonéphrite aiguë C - Une néphropathie hématurique familiale D - Une glomérulonéphrite chronique idiopathique E - Une néphropathie lupique Bonne(s) réponse(s) : A A - Ne s'accompagne pas d'hématurie microscopique. Néanmoins, B et surtout E sont très peu vraisemblables.
Bonne(s) réponse(s) : A D E QCM dont le libellé est discutable. C : Difficile de dire qu'il y a majoration de la protéinurie en orthostatisme, puisque par définition, il n'y a pas de protéinurie en clinostatisme (réponse D).
Question à compléments multiples. La protéinurie orthostatique : A - Apparaît dès la naissance et persiste toute la vie B - Entraîne un syndrome néphrotique C - Est le premier signe d'une maladie glomérulaire de mauvais pronostic D - Nécessite la pratique d'une biopsie rénale E - Est de bon pronostic Bonne(s) réponse(s) : E Elle apparaît à la puberté et disparaît vers l'âge de 20 ans, surtout chez des adolescents longilignes. De bon pronostic, elle ne nécessite pas de P.B.R. sauf si la protéinurie persiste à l'âge adulte.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple. Un sujet de 58 ans ne présente aucun antécédent, pression artérielle à 155/95 mmHg. La protéinurie est de 3 g/24 heures. La recherche à la bandelette est négative, le taux de protéines plasmatiques est à 82 g et la calcémie à 2,65 mmol %°. Compte tenu de l'orientation diagnostique choisie, quel examen pratiquez-vous en priorité ? A - Artériographie rénale B - Scanner C - Biopsie rénale sous échographie D - Myélogramme E - Urographie intraveineuse avec triple dose et clichés d'urétro-cystographie Bonne(s) réponse(s) : D La constatation d'une protéinurie sur le recueil des urines des 24 heures, alors que la bandelette est négative, signifie qu'il s'agit de chaînes légères et impose la recherche d'un myélome par une ponction sternale dans un premier temps, puis si besoin par une biopsie médullaire.
Question à compléments multiples.
La protéinurie orthostatique : A - Se rencontre surtout chez les jeunes entre 12 et 16 ans B - Entraîne parfois un syndrome néphrotique C - Est sans gravité D - Nécessite une dispense d'activité sportive E - S'accompagne souvent d'une hématurie macroscopique Bonne(s) réponse(s) : A C Elle n'est pas liée à une maladie rénale, mais probablement à un trouble de la perméabilité capillaire, spontanément régressif.
Une femme enceinte de 7 mois et demi a une pression artérielle de 16/10 cm de Hg, des oedèmes malléolaires, une uricémie élevée,une protéinurie à 2 g/24 h. L'auscultation cardiopulmonaire est normale. Parmi les traitements suivants lequel (ou lesquels) vous paraissent devoir être envisagé(s) ? A - Aldomet® B - Zyloric® (Allopurinol) C - Lasilix® D - Repos E - Césarienne Bonne(s) réponse(s) : A D
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L'Aldomet® est le traitement classique de l'HTA gravidique associé au repos en décubitus latéral gauche, pour favoriser la croissance du bébé. Le zyloric et le lasilix sont dangereux et n'ont pas d'indication. La césarienne ne s'imposera qu'en cas d'échec du repos associé à l'Aldomet® (retard de croissance in utéro, souffrance foetale, 320 ByHTA NADJI 85 incontrôlable).
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Un sujet de 58 ans ne présente aucun antécédent, pression artérielle à 155/95 mmHg. La protéinurie, est de 3 g/24 heures. La recherche à la bandelette est négative, le taux de protéines sériques est à 82 g/l et la calcémie à 2,65 mmol/l. Quelle hypothèse diagnostique choisir ? A - Polykystose rénale B - Lupus polyviscéral C - Purpura rhumatoïde D - Reflux vésico-urétéral E - Myélome
La découverte d'une protéinurie orthostatique chez un adolescent nécessite : A - La prescription d'un régime sans sel B - La prescription d'un régime modérément hypoprotidique C - L'arrêt de toute activité sportive D - L'interruption des vaccinations entreprises E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : E E - Une seule bonne réponse semble possible. L'interruption des vaccinations entreprises n'est plus une notion classique.
Bonne(s) réponse(s) : E Même commentaire que pour la question 1.1.QUESTION N°40.
Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples. Un taux de protéinurie à 0,15 g/24 heures rend peu probable le(s) diagnostic(s) de : A - Néphrose lipoïdique B - Glomérulonéphrite post streptococcique en période aiguë C - Néphropathie toxique des analgésiques D - Polykystose rénale E - Glomérulonéphrite chronique Bonne(s) réponse(s) : A B E Une protéinurie à 150 mg/24 h est presque à la limite de la protéinurie physiologique (100 mg/24 h).
Question à complément simple. Un adulte de 60 ans présente une protéinurie qui n'est pas détectée à la bandelette, elle apparait à la chaleur, puis disparait à l'ébullition. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique B - Glomérulonéphrite subaiguë C - Protéinurie de Bence-Jones D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale Bonne(s) réponse(s) : C C - Il s'agit d'une protéinurie composée de chaînes légères.
Question à compléments multiples. Parmi ces différentes propositions concernant les protéinuries, quelle(s) est ou sont celle(s) qui vous parai(ssen)t exacte(s) ? A - L'orthostatisme renforce toutes les protéinuries B - La protéine de Bence Jones est méconnue par la technique des bandelettes C - La protéinurie orthostatique s'accompagne d'une hématurie microscopique D - La protéine de Tamm-Horsfall est un des constituants de la protéinurie physiologique E - L'existence d'une protéinurie implique la prescription d'un régime hyperprotidique
Chez une patiente qui a eu de nombreux épisodes d'infection du haut appareil urinaire, la présence d'une protéinurie permanente à 0,6 g/24 heures avec créatinémie normale, une fois traitée la bactériurie avec efficacité : A - Est en faveur d'une pyélonéphrite chronique B - Est due à un effet toxique des anti-infectieux C - Impose une urographie intra-veineuse D - Est liée au type bactériologique de l'infection E - Justifie un nouveau traitement anti-bactérien Bonne(s) réponse(s) : A C A - La néphropathie tubulo-interstitielle chronique par pyélonéphrite chronique ne donne classiquement pas de protéinurie supérieure à 1 g/24 heures. B - La toxicité rénale des aminosides utilisés dans le traitement des pyélonéphrites se caractériserait par une élévation de la créatininémie. C - L'UIV est importante car elle permet de faire le diagnostic d'une éventuelle uropathie malformative (reflux vésico-urétéral, lithiase, etc...) qui pourrait nécessiter un traitement propre.
Question à complément simple. Indiquez parmi les investigations ci-dessous, la plus appropriée chez un patient de 30 ans chez lequel ont été découvertes une protéinurie à 2 g/24 h et une hématurie microscopique. La P.A. est à 130/80 mmHg, la clairance de la créatinine à 1,7 ml/sec (100 ml/mn). Il n'y a pas d'anomalie morphologique des reins et des voies excrétrices urinaires à l'U.I.V. A - Echographie B - Scintigraphie rénale C - Biopsie rénale D - Urétéro-pyélographie rétrograde E - Aucune des investigation ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : C C - Néanmoins, la PBR sera toujours précédée d'une échographie rénale bilatérale afin d'éliminer formellement des kystes rénaux.
Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Après trois mois d'évolution, le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 gr/24 h, hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr pour mille, pas d'insuffisance rénale.
Quel(s) est(sont) à votre avis le(s) élément(s) qui est(sont) en faveur d'une protéinurie tubulaire ? A - Faible taux par litre et par 24 heures B - Présence d'une hématurie microscopique associée C - Abondance de bêta 2 microglobuline D - Protéinurie non sélective E - Présence d'haptoglobine et d'immunoglobuline
Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion sera trouvé ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'lgA C - Artériolite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Rein optiquement normal Bonne(s) réponse(s) : D Par argument de fréquence, c'est parmi les items proposés celui qui est le plus souvent responsable de syndrome néphrotique, souvent impur chez l'adulte. A noter que l'histologie la plus fréquemment retrouvée au cours des syndromes néphrotiques de l'adulte est la hyalinose segmentaire et focale.
Question à compléments multiples. Devant une protéinurie massive de ce type avec oedème, un certain nombre de complications sont envisageables. Laquelle ou lesquelles dans ce contexte ? A - Embolie pulmonaire B - Insuffisance cardiaque C - Choc hypovolémique D - Ascite et épanchement pleural E - Hypolipémie importante Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
Question à complément simple. La patiente a été traitée. Au bout de dix ans, la créatinine est à 125 micromoles pour mille, la protéinurie est à 3,5 g/24 heures, les oedèmes sont discrets sans traitement. Devant cette notion évolutive, quel est votre choix diagnostic (il peut être différent ou identique du diagnostic initial) ? A - Rupture rénale incomplète B - Rupture intima des artères rénales C - Blessure, puis sténose urétérale D - Syndrome néphrotique E - Thrombose des veine sus-hépatiques Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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Bonne(s) réponse(s) : A C Les protéinuries tubulaires se caractérisent par leur taux relativement modeste (A) et par la large prédominance de protéines de bas poids moléculaire, qui normalement, après avoir été filtrées par le glomérule doivent être réabsorbées par le tubule. Leur présence dans l'urine traduit l'altération de cette fonction tubulaire. La bêta 2 microglobuline est une de ces protéines de poids moléculaire inférieur à celui de l'albumine (C). La présence d'une hématurie associée est un élément militant en faveur d'une origine glomérulaire avec sans doute des lésions de prolifération. Le caractère sélectif ou non de la protéinurie, quand celle-ci est composée en majorité d'albumine est un indice permettant de différencier lésions glomérulaires minimes ou lésions glomérulaires histologiquement décelables. Mais il s'agit toujours de protéinurie glomérulaire (D). L'item E est également un indice de non sélectivité. Mademoiselle G, est suivie depuis l'enfance dans un service de néphrologie pédiatrique. Elle a suivi les indications thérapeutiques jusqu'à l'âge de 15 ans où elle a fait une fugue. Elle refuse depuis 2 ans l'avis de sa mère pour consulter en médecine d'adulte. Elle présente une insuffisance rénale : dernier dosage il y a 1 an à 196 micromol pour mille de créatinine. La protéinurie est de faible taux : 20 cg pour mille, diurèse moyenne de 2500/24 heures.
Question à complément simple. Le traitement s'est avéré efficace. Il survient trois rechutes dans les six mois suivants. La derniere rechute s'avère résistante. La protéinurie et les oedémes persistent. Quelle est l'attitude à adopter ? A - Traitement symptômatique des oedèmes B - Traitement symptômatique des oedèmes et antiagrégants plaquettaires C - Poursuite du traitement corticoïde à faible dose D - Poursuite du traitement corticoïde à forte dose E - Néphrectomie bilatérale Bonne(s) réponse(s) : B La poursuite de la corticothérapie étant inefficace, le traitement étiopathogénique devra être guidé par les résultats de la PBR. Par ailleurs il convient de poursuivre un traitement symptomatique (restriction sodée, alimentation hyperprotidique et enrichie en potassium, sauf si insuffisance rénale, diurétique) associé à un traitement préventif de la survenue d'accidents thromboemboliques, car une des grandes complications des syndromes néphrotiques est la survenue de phlébothrombose, le risque étant corrélé à l'importance de la protéinurie et de l'hypoprotidémie.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
La protéinurie dans le tableau fourni est compatible avec le diagnostic suivant : A - Syndrome néphrotique pur (néphrose lipoïdique) B - Hypertension artérielle malignisée C - Glomérulosclérose diabétique D - Toxicité des diurétiques thiazidiques E - Trouble de perméabilité glomérulaire
Après trois mois d'évolution, sous traitement le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 g/24 h hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr 0/00, pas d'insuffisance rénale. Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion peuton s'attendre à trouver ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'IgA C - Vascularite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Lésions glomérulaires minimes
Bonne(s) réponse(s) : E Par définition, un syndrome néphrotique comporte une protéinurie > 3 g/24h. On ne peut donc cocher A. Aucun argument pour une HTA maligne dans cette observation. La glycémie à jeun est normale, ce qui élimine un rein diabétique qui survient lors de diabètes anciens déséquilibrés. La toxicité rénale des thiazides ne donne pas de protéinurie. Un sujet de 64 ans est adressé à la consultation pour une protéinurie de découverte récente : 2,6 g/24 h sans hématurie microscopique ni bactériurie. Il existe une hypertrophie prostatique à l'examen clinique non compliquée. Il n'y a pas de symptômes cliniques à l'interrogatoire, le sujet est obèse, sa glycémie à jeun est normale. L'échographie rénale montre une lithiase pyélique gauche sans dilatation en amont, il n'y a pas d'anomalie de la voie excrétrice ou de la morphologie rénale, le sujet est traité depuis trois ans pour hypertension modérée par association Aldactone® + diurétique thiazique. Ce jour, à l'examen, la pression artérielle est à 158/94 mm de mercure. Le taux de protéines sanguines est à 81g/l, la VS est élevée, la créatinine à 178 micromol/l.
Bonne(s) réponse(s) : D La glomérulonéphrite extramembraneuse est le plus souvent corticorésistante.
Question à compléments multiples. Devant une protéinurie massive de ce type avec oedème, un certain nombre de complications sont prévisibles. Laquelle ou lesquelles peuvent survenir dans ce contexte ? A - Embolie pulmonaire B - Insuffisance cardiaque C - Choc hypovolémique D - Ascite et épanchement pleural E - Hypolipémie importante
Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Parmi les examens suivants, quel est ou quels sont celui ou ceux qui vous paraît(ssent) utile(s) au diagnostic étiologique de la protéinurie ? A - Cytologie en contraste de phase B - Dosage de l'hémoglobine glycosylée C - Immuno-électrophorèse des protéines plasmatiques et urinaires D - Echographie hépatique E - Myélogramme
QUESTION ANNULEE. Le syndrome néphrotique expose aux complications thromboemboliques, à l'hypovolémie par hypoalbuminurie et aux épanchements séreux.
Bonne(s) réponse(s) : C E C - Permet la caractérisation du pic monoclonal et sa quantification. E - Pose le diagnostic de myélome en montrant plus de 15 % de plasmocytes dystrophiques.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple. La patiente a été traitée. Au bout de dix ans, la créatinine est à 125 micro- moles par litre, la protéinurie est à 3,5 g/24 heures, les oedèmes sont discrets, sans traitement. Devant cette notion évolutive, quel est votre choix diagnostique ? (il peut être différent ou identique du diagnostic initial). A - Rupture rénale incomplète B - Rupture intima des artères rénales C - Blessure, puis sténose urétérale D - Syndrome néphrotique E - Thrombose des veines sus-hépatiques Bonne(s) réponse(s) : D
Le traitement s'est avéré inefficace. La protéinurie et les oedèmes persistent Quelle est l'attitude à ce moment là ? A - Traitement symptomatique des oedèmes B - Traitement symptomatique des oedèmes et antiagrégants plaquettaires C - Poursuite du traitement corticoïde à faible dose et hypolipémiant si nécessaire D - Poursuite du traitement corticoïde à forte dose E - Ponction biopsie rénale
La persistance du syndrome néphrotique après 10 ans d'évolution et l'apparition d'une petite insuffisance rénale sont très en faveur d'une glomérulonéphrite extramembraneuse.
Bonne(s) réponse(s) : A E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. L'hyponatrémie peut expliquer : A - L'obnubilation B - L'hypertension artérielle C - Les céphalées D - Les nausées E - Les Ïdèmes Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
Question à complément simple. Pour corriger l'hyponatrémie de cette malade, il faut dès son arrivée : ABCDE-
Passer un litre de soluté salé isotonique en 3 heures Passer en 3 heures 500 ml de plasma Donner per os 8 grammes de Cl + Na Donner un diurétique thiazidique Faire une séance de rein artificiel
Bonne(s) réponse(s) : E Les signes de surcharge interdisent la perfusion de soluté salé isotonique, de plasma, d'apport sodé. Les diurétiques thiazidiques sont inefficaces en cas d'insuffisance rénale importante. Seul le rein artificiel permettra de corriger les troubles ioniques et de réaliser dans le même temps une déplétion hydrosodée.
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Question à complément simple. Il faut exclure en cas d'hyponatrémie avec dilution plasmatique : A - Les diurétiques thiazidiques B - Le FUROSEMIDE° C - Le LASILIX° à 40 mg D - Le mannitol à 20 % E - Le bumétanide (BURINEX°) Bonne(s) réponse(s) : A A : Les diurétiques thiazidiques agissent sur le segment cortical de dilution. Ce sont les diurétiques qui inhibent le plus les capacités de dilution du rein.
Question à compléments multiples. Une hyponatrémie à 125 mmol/l associée à une hypochlorémie à 70 mmol/l et à une hypokaliémie (2,8 mmol/l) fait suspecter chez un malade déshydraté en extracellulaire : A - Un excès de diurétiques B - Une cirrhose alcoolique C - Une insuffisance cardiaque congestive D - Une insuffisance surrénale aiguë E - Une sténose pylorique Bonne(s) réponse(s) : A E Un trou anionique normal (12 à 16 mmol/l) permet d'estimer un taux de bicarbonates entre 35 et 40 mmol/l. Déshydratation extra-cellulaire, hypochloronatrémie et alcalose hypokaliémique peuvent être džes aux diurétiques (pertes rénales) ou à une sténose du pylore (vomissements). L'insuffisance surrénale aiguë s'accompagne d'acidose hyperkaliémique.
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Question à complément simple. 102 L'inversion du flux dans l'artère ophtalmique à l'examen doppler lors du bilan d'un accident ischémique transitoire témoigne d'une lésion artérielle de : A - La carotide interne cervicale B - La cérébrale antérieure C - La sylvienne D - La sous-clavière en amont de la vertébrale E - Le tronc basilaire Bonne(s) réponse(s) : A Sténose serrée occlusive.
Question à complément simple. 11 L'inversion du flux dans l'artère ophtalmique à l'examen Doppler lors du bilan d'un accident ischémique transitoire témoigne d'une lésion artérielle : A - La carotide interne cervicale B - La cérébrale antérieure C - La sylvienne D - La sous-clavière en amont de la vertébrale E - La vertébrale Bonne(s) réponse(s) : A L'artère ophtalmique naît de la carotide interne avant sa division.
Question à compléments multiples. 59 Les accidents transitoires de l'ischémie carotidienne comportent volontiers : A - Des accidents aphasiques pour l'artère carotide gauche B - Des troubles visuels unilatéraux C - Des troubles visuels unilatéraux droits associés à des troubles aphasiques D - Des troubles visuels unilatéraux gauches associés à des troubles moteurs déficitaires droits E - Des troubles de mémoire transitoire Bonne(s) réponse(s) : A B D Les troubles visuels (amaurose) sont ipsilatéraux à la lésion (artère ophtalmique) contrairement aux signes hémisphériques. Des troubles de la mémoire nécessitent une souffrance bilatérale du circuit de Papez. Ils peuvent être en rapport avec des ischémies du territoire vertébrobasilaire, jamais carotidien.
Question à complément simple. 56 L'ischémie transitoire a intéressé : A - Le territoire sylvien droit B - Le territoire carotidien gauche C - Le territoire carotidien droit D - Le territoire cérébral postérieur gauche E - Le territoire cérébral postérieur droit Bonne(s) réponse(s) : B L'association amaurose oeil gauche et paresthésies brachiofaciales droites trouble du langage, signe le diagnostic topographique. Une femme de 65 ans, droitière homogène présente brutalement et simultanément une amaurose totale de l'oeil gauche, des paresthésies de la main et de l'hémiface droites. des difficultés du langage. En 20 minutes, tout rentre dans l'ordre. L'examen neurologique, 2 heures plus tard, est normal.
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Question à compléments multiples. 36
Question à compléments multiples. 54
L'algie vasculaire de la face est marquée par : A - Une douleur péri-orbitaire B - Une douleur pulsatile C - Une douleur strictement unilatérale D - Une hydrorrhée nasale unilatérale E - Une vasodilatation des vaisseaux au fond d'oeil
L'évolution habituelle d'une algie vasculaire de la face est marquée par : A - Aggravation par apparition d'une douleur continue B - Répétition des accès douloureux pendant quelques semaines C - Evolution vers une migraine typique D - Répétition de périodes de crises douloureuses séparées par des intervalles de plusieurs mois E - Une crise douloureuse tous les 2 ou 3 mois
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaires.
Bonne(s) réponse(s) : B D
Question à compléments multiples. 30
Sans commentaire.
Une algie vasculaire de la face : A - Comporte des signes vasomoteurs B - Est de siège bilatéral C - Est toujours soulagée par le Tégrétol D - Comporte un fond douloureux continu E - Réalise des douleurs durant de 15 à 60 minutes Bonne(s) réponse(s) : A - Le siège est péri orbitaire unilatéral. - Le Tégrétol® est le traitement des névralgies du V. - Le fond douloureux continu appartient au tableau des névralgies secondaires. - Classiquement la durée est de 1 à 3 heures.
Question à compléments multiples. 77 Une algie vasculaire de la face peut comporter : A - Des signes vasomoteurs B - Des douleurs fulgurantes provoquées par le contact C - Une hypoesthésie cornéenne D - Un fond douloureux continu E - Des douleurs bilatérales Bonne(s) réponse(s) : A B - Névralgies faciales éventuelles. C - Névralgies V2 et autres atteintes du V. D - C'est une douleur qui survient par accès périodiques. E - Elle est strictement unilatérale.
Question à compléments multiples. 96 Vous pouvez évoquer une algie vasculaire devant : A - Topographie péri-orbitaire B - Crise de durée inférieure à 5 minutes C - Larmoiement unilatéral D - Evolution cyclique E - Hypoesthésie faciale Bonne(s) réponse(s) : A C D L'algie vasculaire est caractérisée par des accès douloureux périorbitaires strictement unilatéraux, survenant toujours du même côté, durant de 30 à 180 mn, accompagnés de signes neurovégétatifs homolatéraux (le larmoiement étant le plus fréquent), survenant pendant des périodes de plusieurs semaines, de façon cyclique, à un moment fixe de la journée. Il peut exister une hyperesthésie faciale.
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Question à complément simple. 61 Parmi les éléments suivants, citez celui qui évoque plutôt une origine ischémique qu'hémorragique d'un accident vasculaire cérébral : A - Survenue en pleine activité B - Existence de signes méningés C - Antécédents d'accidents vasculaires transitoires D - Céphalées brutales E - Antécédents d'hypertension artérielle Bonne(s) réponse(s) : C A B - Evoque un accident hémorragique. E - HTA facteur de risque, de l'athénosclérose. HTA principale cause d'accident hémorragique.
Question à compléments multiples. 82 Vous êtes amené à examiner un patient venant de présenter un accident vasculaire cérébral. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles plaide(nt) pour le diagnostic de lacune cérébrale ? A - Sujet hypertendu B - Déficit précédé par des accidents ischémiques transitoires C - Constatation d'une aphasie à l'examen clinique D - Déficit sensitif isolé de l'hémicorps droit E - Important foyer de souffrance temporal à l'E.E.G. Bonne(s) réponse(s) : A D Les lacunes surviennent électivement chez l'hypertendu ; la précession par des A.I.T. peut se voir mais n'est pas un argument en faveur d'une lacune. Comme il s'agit de lésions très limitées le déficit est moteur pur ou, plus caractéristique encore, sensitif pur : il n'y a pas d'aphasie et l'EEG est normal.
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Question à complément simple. 95 Un sujet de 30 ans accuse brutalement une céphalée frontoorbitaire droite tandis que s'installe en 24 heures une paralysie du nerf moteur oculaire commun droit. L'examen neurologique est par ailleurs normal. Quelle étiologie focale devez-vous évoquer en priorité ? A - Gliome du tronc cérébral B - Neurinome de l'acoustique C - Méningiome rétro-orbitaire D - Anévrisme du siphon carotidien E - Tumeur de la pointe du rocher Bonne(s) réponse(s) : D Tableau de rupture d'un anévrysme de la carotide interne au niveau du sinus caverneux, où elle est proche du III. A B C E - Pas de manifestations aussi brutales.
Question à complément simple. 77 Vous êtes amené à voir en garde une femme de 70 ans pour des céphalées sus-orbitaires violentes. s'accompagnant de vomissements et d'un état de choc modéré. La patiente se plaint de ne plus voir d'un oeil. brutalement depuis quelques heures. A l'examen, cet oeil est rouge de façon diffuse. Ces seuls signes orientent vers : A - Une occlusion intestinale B - Une méningite bactérienne C - Une crise de glaucome aigu D - Une névralgie faciale E - Aucune des propositions précédentes Bonne(s) réponse(s) : C Tableau typique. La présence de signes oculaires élimine A, B et D.
Question à complément simple. 105 Quelle est la caractéristique principale de la céphalée d'une hémorragie méningée ? A - Situation occipitale B - Installation progressive C - Répétitive D - Installation très brutale E - Accompagnée de vomissements Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 87 Chez un sujet migraineux, les accès de céphalées : A - Peuvent s'accompagner de troubles visuels B - Durent habituellement moins d'une heure C - Intéressent toujours le même côté du crâne D - Sont parfois accompagnés de vomissements E - Peuvent s'accompagner de modifications de l'humeur Bonne(s) réponse(s) : A D E Les migraines durent de quelques heures à quelques jours, sont classiquement à bascule, s'accompagnent souvent de modification de l'humeur (irritabilité).
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Question à complément simple. 89
Question à compléments multiples. 108
Un patient dans le coma présente une hyperventilation neurogène centrale à 25 c/minute, un signe de Babinski bilatéral, des pupilles larges, non réactives, une paralysie de la verticalité du regard. A quel niveau se situe la lésion : A - Cortex frontal bilatéral B - Mésencéphale C - Protubérance D - Bulbe E - Glande pinéale
Dans les comas dépassés : A - Il n'y a plus de respiration spontanée B - Il y a un arrêt circulatoire à l'angiographie carotidienne C - Il n'y a plus de réflexe cornéen D - On observe une hypertonie de décérébration E - L'E.E.G. est toujours plat
Bonne(s) réponse(s) : B La paralysie de la verticalité du regard situe la lésion au niveau de la région des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Les autres signes sont compatibles avec une atteinte pédonculaire.
Question à compléments multiples. 35 Chez un patient gravement hypertendu, présentant brutalement une hémiplégie droite avec coma. la présence à l'examen tomodensitométrique du cerveau pratiqué (le 2è jour), d'une image hypodense fronto-pariéto-temporale gauche est compatible avec le(s) diagnostic(s) suivant(s) : A - Hématome hémisphérique gauche B - Ramollissement sylvien gauche C - Thrombose du tronc basilaire D - Thrombose de la carotide interne gauche E - Thrombose de l'artère sylvienne gauche
Bonne(s) réponse(s) : A B C E Une hypertonie de décérébration peut se voir au début de façon très transitoire, mais le coma dépassé devient très vite hypotonique et aréflexique. L'EEG est plat. L'absence d'injection à l'angiographie carotidienne est un argument formel de mort cérébrale, mais elle n'est pas constante (il peut exister une reperméation après un phénomène de blocage sur un cerveau complètement détruit).
Question à complément simple. 13 Les examens cliniques et paracliniques permettent de penser à un neurinome chez un malade porteur d une phacomatose. Comment expliquez-vous l'hypoesthésie cornéenne ? A - La tumeur comprime le nerf facial dans le conduit auditif B - La tumeur comprime le tronc cérébral C - La tumeur comprime le nerf trijumeau vers le haut D - La tumeur se développe aux dépens du ganglion de Gasser E - Le volume tumoral entraîne une diminution du reflexe photo-moteur
Bonne(s) réponse(s) : B D E
Bonne(s) réponse(s) : C
A - Image hyperdense. E - Clinique et topographie différente (coma, syndrome cérébelleux, atteinte nerfs craniens (syndromes moteurs et sensitifs).
Le V est classiquement le premier nerf atteint avec le VIII.
Question à complément simple. 69 Question à compléments multiples. 59 Un collapsus chez un polytraumatisé crânien comateux peut être dû à : A - Une contusion cérébrale sévère B - Un hémopéritoine C - Un hématome extra-dural D - Un hémothorax E - Une hypercapnie Bonne(s) réponse(s) : B D
Les examens cliniques et paracliniques permettent de penser à un neurinome chez un malade porteur d'une phacomatose. Comment expliquez-vous l'hypoesthésie cornéenne ? A - La tumeur comprime le nerf facial dans le conduit auditif B - La tumeur comprime le tronc cérébral C - La tumeur comprime le nerf trijumeau vers le haut D - La tumeur se développe aux dépens du ganglion de Gasser E - Le volume tumoral entraîne une paralysie du III Bonne(s) réponse(s) : C
Une contusion cérébrale même sévère ne peut à elle seule être responsable d'un collapsus, du même pour l'hématome extradural. Une hypercapnie se traduit classiquement par une augmentation de la TA, des sueurs, une tachycardie, une confusion mentale et même un coma.
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Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. 28
Question à compléments multiples. 10
Quels sont le(s) produit(s) parmi les suivants qui entre(nt) dans la classe des antiépileptiques ? A - Ethosuximide (Zarontin®) B - Valproate de sodium (Dépakine®) C - Dextromoramide (Palfium®) D - Sulpiride (Dogmatil®) E - Halopéridol (Haldol®)
Parmi les crises épileptiques suivantes. quelles sont (ou quelle est) celle(s) qui sont des crises généralisées ? A - Crise somato-motrice Bravais-Jacksonnienne B - Crise grand mal C - Crise petit mal D - Spasmes en flexion E - Crise adversive
Bonne(s) réponse(s) : A B
Bonne(s) réponse(s) : B C D
C - Morphinique. D - Neuroleptique. E - Neuroleptique.
A - Aire frontale ascendante. D - Syndrome de West hypsarythmie. E - Partie antérieure du lobe frontal.
Question à compléments groupés. 98
Question à complément simple. 27
Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) vraie(s) à propos du phénobarbital (Gardénal®) utilisé comme antiépileptique : 1 - Le phénobarbital doit être administré en 3 prises quotidiennes 2 - Le dosage du phénobarbital dans le plasma est un dosage de pratique courante 3 - Le phénobarbital est un traitement d'urgence de la crise d'épilepsie 4 - Le plateau d'équilibre des taux plasmatiques de phénobarbital est atteint en 15 à 21 jours Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Un sujet de 28 ans a présenté une crise d'épilepsie généralisée certaine. L'entourage relate la survenue, avant la perte de connaissance, d'une élévation du membre supérieur droit, avec déviation de la tête et des yeux du côté droit et une vocalisation répétée. Quelle zone cérébrale peut être incriminée à l'origine de la crise ? A - Aire oculomotrice frontale B - Cortex rolandique C - Cortex frontal orbitaire D - Aire motrice supplémentaire E - Cortex temporal interne Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C La demi-vie du phénobarbital est longue (57 j), une à deux prises quotidiennes suffisent, le plateau d'équilibre est atteint en 16 et 21 jours.
Question à complément simple. 103 Un sujet de 28 ans a présenté une crise d'épilepsie généralisée certaine. L'entourage relate la survenue avant la perte de connaissance, d une élévation du membre supérieur droit, avec déviation de la tête et des yeux du côté droit et une vocalisation répétée. Quelle zone cérébrale peut être incriminée à l'origine de la crise ? A - Aire oculomotrice frontale B - Cortex rolandique C - Cortex occipital D - Aire motrice supplémentaire E - Cortex temporal interne Bonne(s) réponse(s) : D
Il s'agit d'une crise partielle à symptomatologie élémentaire, versive, secondairement généralisée.
Question à compléments multiples. 92 Parmi les propositions suivantes concernant le dosage plasmatique des médicaments antiépileptiques, retenez celle ou celles qui répond(ent) à un objectif satisfaisant : A - Il permet en cas de doute de vérifier si le traitement est bien pris B - Il doit être réalisé systématiquement tous les mois pour prévenir les surdosages thérapeutiques C - Lors de l'installation du traitement, il doit être réalisé après un certain délai fonction de la demi-vie du médicament D - Il permet en cas de polythérapie d'apprécier d'éventuelles interactions thérapeutiques E - Il est logique de la réaliser lorsqu'il y a recrudescence des crises malgré un traitement bien pris Bonne(s) réponse(s) : A C D E
C'est une crise adversive : la décharge naît de l'aire motrice supplémentaire contro-latéral.
Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 76
Question à complément simple. 88
Parmi les médicaments anti-épileptiques suivants. quel(s) est celui(ou ceux) à utiliser dans le traitement des absences Petit Mal ? A - Tégrétol® (Carbamazépine) B - Dépakine® (acide Valproïque) C - Zarontin® (Ethosuxinimide) D - Dihydan® (phénytoïne) E - Mysoline® (primidone)
Parmi ces médications anti-épileptiques. il en est une qui est active uniquement sur le Petit mal. Indiquez la réponse exacte. : A - Phénytoïne (Di-Hydan®) B - Ethosuximide (Zarontin®) C - Clonazépam (Rivotril®) D - Phénobarbital (Gardénal®) E - Carbamazépine (Tégrétol®)
Bonne(s) réponse(s) : B C
Bonne(s) réponse(s) : B
Sans commentaire.
Sans commentaire.
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Question à complément simple. 23
Question à compléments multiples. 117
Parmi les médicaments anti-épileptiques ci-après. lequel se transforme partiellement dans l'organisme en phénobarbital ? A - La diphénylhydantoïne (Dihydan®) B - La carbamazépine (Tégrétol®) C - La primidone (Mysoline®) D - Le clonazépam (Rivotril®) E - Le progabide (Gabrène®)
Parmi les propositions suivantes, retenez celle(s) qui plaide(nt) en faveur du diagnostic d'épilepsie généralisée primaire : A - Les crises sont des absences petit mal B - Il existe des antécédents de souffrance néo-natale C - L'électroencéphalogramme objective des anomalies paroxystiques bilatérales synchrones D - L'examen clinique intercritique est normal E - Il existe des antécédents familiaux d'épilepsie
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 10 On considère comme étant de nature épileptique la ou les manifestations suivantes : A - Clonie B - myoclonie d'endormissement C - accès de somnambulisme D - trémor mentonnier E - Myoclonies globales avec projection au sol Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 11
Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'épilepsie généralisée primaire repose sur différents caractères : crise convulsives généralisée (grand mal) ou non convulsives (absences typiques), anomalies bilatérales et symétriques intercritiques à l'EEG (inconstant), ATCD familiaux relativement fréquents, surtout aucun signe clinique ou EEG en rapport avec une lésion cérébrale.
Question à compléments multiples. 86 L'épilepsie à paroxysmes rolandiques : A - Provoque le plus souvent des crises à localisation orofaciale B - A une survenue liée au sommeil C - Touche le nourrisson avant 2 ans D - Comporte un foyer de pointes lentes rolandiques à l'EEG E - Evolue souvent vers l'épilepsie généralisée de type grand mal Bonne(s) réponse(s) : A B D
L'épilepsie à pointes rolandiques de l'enfant est caractérisée par : A - La fréquence des états de mal B - La fréquence des crises oro-faciales C - Un pronostic favorable D - Des anomalies spécifiques à la scannographie E - Sa résistance aux anti-épileptiques Bonne(s) réponse(s) : B C 15 à 20 % des épilepsies d'âge scolaire, partielle dans 70 % des cas (face 21 %) (face + MS 26 %, face + MS + MI 21 %). Evolution bénigne : disparition avant 14 ans.
Question à compléments multiples. 33 Chez un épileptique la survenue d'anomalies irritatives sur les traces encéphalographiques peut être favorisée par : A - L'hyperpnée B - L'injection intraveineuse d'une benzodiazépine C - Le sommeil D - La stimulation lumineuse intermittente E - L'absorption d'un bêta bloquant une heure avant l'enregistrement
Les crises orofaciales représentent 75% des E.P.R. Les E.P.R surviennent presque toujours pendant le sommeil, exclusivement pendant la seconde enfance et guérissent à la puberté sans évolution vers tout autre type d'épilepsie.
Question à compléments multiples. 25 Indiquez parmi les médicaments suivants celui(ceux) qui est (sont) actif(s) dans toutes les formes d'épilepsie autres que le petit mal. : A - Dépakine® (Acide valproïque) B - Dihydan® (Phénytoïne) C - Zarontin® (Ethosuximide) D - Tégrétol® (Carbamazépine) E - Barbituriques Bonne(s) réponse(s) : A B D E Phénytoïne, carbamazépine et phénobarbital sont efficaces dans toutes les épilepsies à l'exception du petit mal. L'acide valproïque est efficace dans toutes les épilepsies, y compris le petit mal. Le Zarontin® (éthosuximide) n'est efficace que dans le petit mal.
Bonne(s) réponse(s) : A C D B - Sans commentaire. A D - sont utilisés pour faire apparaitre des anomalies irritatives à l'EEG. C - Le sommeil de façon générale tend à synchroniser les neurones corticaux, il est cependant activateur efficace des foyers épileptiques temporaux.
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Question à compléments multiples. 80
Question à complément simple. 66
Parmi les paramètres suivants, indiquez celui ou ceux qui incitent à réaliser un scanner pour rechercher une cause cérébrale organique dans l'enquête étiologique d'une première crise d'épilepsie : A - Foyer paroxystique frontal gauche à l'électroencéphalogramme B - Absence petit mal typique C - Sujet âgé de 40 ans D - Antécédents familiaux d'épilepsie E - Anomalies bilatérales synchrones à type de pointesondes à l'électroencéphalogramme
Quel médicament anti-épileptique est actif uniquement sur le petit mal ? A - Ethosuccimide (Zarontin®) B - Clonazepam (Rivotril®) C - Phénobarbital (Gardenal®) D - Carbamazépine (Tégrétol®) E - Valproate de sodium (Dépakine®) Bonne(s) réponse(s) : A Depakine® et Rivotril® sont actifs sur toutes les épilepsies, y compris le petit mal. Gardenal® et Tegretol® sont inefficaces dans le petit mal.
Bonne(s) réponse(s) : A C Les items B D E sont en faveur d'une épilepsie généralisée primaire. L'existence d'un foyer EEG et un début tardif (40 ans) sont en faveur d'une épilepsie lésionnelle.
Question à compléments multiples. 117 Quelle est ou quelles sont parmi les suivantes, la ou les proposition(s) exacte(s) concernant l'épilepsie à pointes rolandiques ? A - Elle apparait souvent entre 8 et 10 ans B - Elle disparait le plus souvent spontanément à la puberté C - Les manifestations sont volontiers nocturnes D - Des crises bucco-faciales sans trouble de conscience sont fréquentes E - Le traitement habituellement recommandé est le TEGRETOL (Carbamazépine) Bonne(s) réponse(s) : A B C D E L'Item E est un peu ambigu : on peut ne pas traiter ou traiter jusqu'à la puberté. Le Tégrétol® et le Depakine® sont dans ce cas les deux médicaments de choix.
Question à compléments multiples. 74 Parmi les crises d'épilepsie suivantes quelle(s) est (sont) celle(s) dont la survenue conduirai(en)t à remettre en cause un diagnostic d'épilepsie généralisée idiopathique (primaire) ? A - Myoclonies massives du réveil B - Crises Bravais-Jacksoniennes C - Crises grand mal D - Absences petit-mal E - Crises partielles complexes
Question à compléments multiples. 76 Retenez parmi les propositions ci-dessous celle (ou celles) qui est (ou sont) conforme(s) au cadre de l'épilepsie généralisée primaire : A - Normalité de la TDM encéphalique B - Antécédents familiaux d'épilepsie C - Crises consistant en absence petit mal typiques D - Foyer de pointes-ondes temporal unilatéral à l'E.E.G. E - Notion d'une souffrance néonatale Bonne(s) réponse(s) : A B C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 31 Les manifestations suivantes peuvent se rencontrer au cours ou à la suite des crises d'épilepsie comme des syncopes vagales : A - Sensation prémonitoire de malaise durant quelques secondes B - Morsure latérale de la langue C - Perte des urines D - Confusion mentale E - Vomissements après la perte de connaissance Bonne(s) réponse(s) : A B C A - Les prodromes sont plutôt en faveur d'un malaise vagal mais peuvent se voir dans les crises camitiales. B - Dans les crises comitiales ou les syncopes convulsantes. C - La perte d'urine est fréquente dans les deux (syncope mictionnelle). D - Confusion mentale traduisant un état post-critique = épileptique. E - Les vomissements se voient dans les syncopes vagales.
Bonne(s) réponse(s) : B E Les myoclonies du réveil précèdent souvent de quelques années les crises tonicocloniques ("épilepsie myoclonique juvénile bénigne").
Question à compléments multiples. 119
Parmi les anti-épileptiques lequel ou lesquels est ou sont efficace(s) dans les absences ? A - Gardénal® B - Tégrétol® C - Dépakine® D - Zarontin® E - Dihydan®
A propos des antiépileptiques : A - La phénytoïne (Dihydan®) peut induire son propre catabolisme B - La primidone (Mysoline®) est métabolisée en phénobarbital C - Le valproate de sodium (Depakine®) est actif sur toutes les formes d'épilepsie D - La phénytoïne (Dihydan®) peut causer une hypertrophie gingivale E - L'éthosuximide (Zarontin®) est utilisé comme traitement du petit mal-absence
Bonne(s) réponse(s) : C D
Bonne(s) Réponse(s) : A B C D E
Question à compléments multiples 30
- Gardénal®, Tégrétol® et Dihydan® sont efficaces dans toutes les épilepsies, sauf le petit mal. - Le Zarontin® est actif uniquement dans le petit mal. RESIDANAT EN POCHE Tome " I les "- QCM - QCS - Le Dépakine® est actif dans toutes épilepsies.
Sans commentaire.
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Question à complément simple. 55
Question à compléments multiples. 58
En faveur d'une crise d'épilepsie grand mal vous retiendrez : A - La précession par une sensation de malaise avec flou visuel B - Une blessure liée à la chute C - La morsure de la langue D - L'amnésie totale de l'épisode critique E - L'observation par l'entourage d'une phase tonique puis d'une phase clonique
Chez ce patient vous avez finalement conclu à une épilepsie généralisée primaire non traitée présentant tous les arguments de la question Numéro 2, en faveur de ce diagnostic. Votre attitude thérapeutique comporte : A - Une simple surveillance en contrôlant tous les deux mois l'E.E.G B - 0,10 gramme de Phénobarbital quotidien per os en une prise C - 1 gramme de Valproate de Sodium (Dépakine) quotidien en deux prises D - 0, 5 gramme d'Ethosuximide en deux prises quotidiennes E - Des principes d'hygiène de vie avec temps de sommeil suffisant et tempérance
Bonne(s) réponse(s) : B C D E B - Est compatible avec une crise d'épilepsie mais n'oriente pas nécessairement vers ce diagnostic. Un homme de 40 ans est amené pour une perte de connaissance brutale sur la voie publique.
Question à compléments multiples. 56 Parmi les éléments cités ci-dessous vous retenez en faveur d'une épilepsie généralisée primaire : A - Existence à distance de la crise d'un signe de Babinski bilatéral B - L'association à des absences petit mal C - Existence d'absence dans la fratrie D - Découverte de pointes ondes à 3 Hz généralisées a l'E.E G E - Le fait qu'une crise grand mal traduit forcément une épilepsie généralisée
Bonne(s) réponse(s) : C E Le choix porte sur la Dépakine® devant l'association à des crises type petit mal. D Le Zarontin® n'est pas efficace sur les crises type grand mal.
Question à compléments multiples. 71 L'épilepsie généralisée tardive est : A - Toujours essentielle B - Souvent secondaire à une lésion cérébrale acquise C - Caractéristique du petit mal D - Parfois associée à des crises focales E - Justiciable d'un scanner
Bonne(s) réponse(s) : B C D
Bonne(s) réponse(s) : B D E
Sans commentaire.
B - 25% des cas d'epilepsie de l'adulte ont pour étiologie l'alcoolisme D - Toute crise focale peut secondairement se généraliser E- - Evident dans ce contexte
Question à compléments multiples. 57
Monsieur B..., 40 ans éthylique chronique est représentant de commerce. Dans les antécédents on retrouve une première crise d'épilepsie généralisée il y a 6 ans : E E.G. et scintigraphie cérébrale s'étaient avérés normaux à l'époque. Un traitement par Orténal (15 cg/jour) est depuis irrégulièrement suivi. Quatre nouvelles crises généralisées sont rapportées depuis. La consultation actuelle est motivée par les faits suivants : depuis 8 mois le malade a présenté de courts épisodes d'environ 1 minute pendant lesquels le patient ressent comme une boule dans la gorge, il se met à mâchonner, interrompt la conversation puis la reprend après l'épisode. Il présente des céphalées. A l'examen neurologique on retrouve une hémianopsie latérale homonyme gauche en quadrant supérieur et un oedème papillaire au fond d'oeil.
Parmi les éléments ci-dessous vous retenez en faveur d'une épilepsie lésionnelle : A - La notion d'un accouchement difficile B - L'association avec des crises partielles motrices C - L'existence de pointes ondes et de polypointes bilatérales à l'E.E.G D - Une antécédent de traumatisme crânien sévère E - L'existence d'une obnubilation post-critique Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
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Question à compléments groupés. 114
Question à compléments multiples. 18
L'hématome intra cérébral de l'hypertension artérielle admet pour caractère(s) : 1 - Topographie frontocalleuse habituelle 2 - Topographie capsulo-thalamique habituelle 3 - Post-traumatique. le plus souvent 4 - Spontané, le plus souvent Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Un hématome sous dural chronique hémisphérique droit peut se manifester par : A - Des troubles confusionnels B - Une obnubilation C - Un déficit controlatéral D - Une hémianopsie latérale homonyme droite E - Des céphalées Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire. Les hémorragies hémisphériques représentent 80 % de H C dues à l'HTA : le plus fréquemment dans la région des noyaux.gris capsulolenticulaires le plus souvent (45 % des HC sont dues à l'HTA), thalamiques plus rarement.
Question à compléments multiples. 41 L'hématome sous-dural post-traumatique se rencontre avec une fréquence particulière en cas de : A - Ethylisme chronique B - Traitement par anticoagulants C - Traitement par le dipyridamole D - Diabète E.- Age avancé Bonne(s) réponse(s) : A B E A E - Sont les terrains de choix. B - Evident car hypocoagulabilité. D - N'entraîne pas d'augmentation de fréquence des HSD.
Question à compléments multiples. 101 L'hématome sous dural chronique de l'adulte : A - Se traduit par une hyperdensité spontanée sur la scannographie B - Est plus fréquent chez l'adulte âgé C - Est favorisé par l'éthylisme chronique D - Peut provoquer une confusion mentale E - Se résorbe habituellement spontanément en quelques semaines Bonne(s) Réponse(s) : B C D A - Hypodensité. B C - Favorisé par les âges extrêmes de la vie, l'alcoolisme, les anticoagulants. Les signes de localisation sont tardifs. A - Tendance à augmenter le volume.
Question à compléments multiples. 83 L'hématome sous-dural chronique : A - Survient souvent chez le vieillard B - Se résorbe habituellement spontanément C - Nécessite le plus souvent un traumatisme crânien violent D - Peut récidiver après cure chirurgicale E - Peut être bilatéral Bonne(s) réponse(s) : A D E L'hématome sous-dural chronique survient le plus souvent sur un cerveau atrophié (vieillard, alcoolique). Dans ce cas la déchirure des veines qui traversent l'espace sous-dural peut survenir à l'occasion d'un traumatisme minime, réalisant une hémorragie à faible pression, d'autant mieux tolérée que le cerveau est atrophique. Habituellement, l'HSD tend à augmenter de volume, expliquant l'intervalle libre (parfois prolongé). Il est bilatéral dans 15 à 20 % des cas parce que survenant aussi bien au point d'impact que par contre-coup.
Question à compléments multiples. 93 Lorsqu'un scanner montre un hématome intracérébral, quand faut-il poursuivre le bilan par une artériographie ? A - Hématome dû aux anticoagulants B - Hématome de la capsule interne C - Sujet jeune D - Hématome de la vallée sylvienne E - Hématome interhémisphérique frontal Bonne(s) réponse(s) : C D E Il faut rechercher une malformation (anévrisme ou malformation artérioveineuse) chez le sujet jeune quand l'hématome est cortical : vallée sylvienne (anévrisme sylvien ou carotidien), interhémisphérique (anévrisme de la communicante antérieure). On sera plus réticent dans le cas d'hématome de la capsule interne en général dûs à l'hypertension, ou survenant par anticoagulation massive.
Question à compléments multiples. 82 L'hématome extradural peut être dû à : A - Une rupture de l'artère méningée moyenne B - Une rupture de la carotide interne intracrânienne C - Une simple fracture de l'écaille du temporal D - Une plaie de la paroi d'un sinus veineux E - La complication d'une intervention neurochirurgicale Bonne(s) réponse(s) : A C E Une rupture de l'artère méningée moyenne provoque une hémorragie à haute pression dans l'espace extradural. Une plaie d'un sinus veineux produit un hématome sous-dural. Une rupture de la carotide interne intracrânienne produit une hémorragie méningée.
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Question à compléments multiples. 117 L'hématome sous-dural chronique de l'adulte : A - Est plus fréquent chez le sujet âgé B - Peut provoquer une hémiplégie C - Peut provoquer une confusion mentale D - Est favorisé par l'éthylisme chronique E - Est dû à la rupture d'une artère au cours d'un traumatisme crânien Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'H.S.D chronique est due à une rupture d'une veine durale, d'autant plus vulnérable que l'espace entre le cortex et la table osseuse est important, donc qu'il existe une atrophie cérébrale (sujet âgé, éthylique).
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Question à compléments multiples. 19
Question à compléments multiples. 22
Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) rencontre-t-on dans un tableau d'hématome sous dural chronique : A - Il s'agit de sujets âgés ( 50 ans) B - Le tableau clinique se constitue progressivement C - On retrouve un antécédent traumatique violent D - Il existe un tableau d'hypertension intracrânienne sévère E - Il existe volontiers des troubles de coagulation
En fonction de l'ancienneté de l'hématome, le SCANNER sans injection de produit de contraste intraveineux peut montrer : A - Déplacement des structures médianes isolée B - Hyperdensité périphérique entre la voûte et le parenchyme C - Hypodensité parenchymateuse D - Hyperdensité biconvexe périphérique en regard d'un trait de fracture E - Hyperdensité intra-parenchymateuse
Bonne(s) réponse(s) : A B E C - Il s'agit de petits traumatismes répétés. D - S'il existe une HIC elle est le plus souvent modérée se limitant à des céphalées. Un homme de 70 ans, viticulteur, est adressé dans le service de neurochirurgie pour l'apparition depuis une dizaine de jours - d'une confusion mentale avec difficultés à la marche. A l'examen, on retouve un homme apathique, somnolent, répondant avec lenteur aux questions, présentant une désorientation temporo-spatiale. Sa démarche est raide, un peu hésitant avec tendance aux rétropulsions. Il a un signe de la main creuse à la manoeuvre des bras tendus, au membre supérieur gauche Les réflexes ostéotendineux sont vifs et diffusés aux quatre membres. Le reflexe cutané plantaire est Indifférent à droite et en extension à gauche. Le fond d oeil est normal. L'interrogatoire de la famille n'apprend pas d' antécédents importants, sinon que c'est -un bon vivant-, c'est normal, vu son métier et que de temps en temps il est un peu -éméché- et se cogne dans la porte basse de sa cave, sans autre conséquence qu'une bosse sur le front.
Bonne(s) réponse(s) : A B B - Exclut C et D D - Evoque un HED
Question à complément simple. 23 Quelle est la complication la plus fréquente de la cure chirurgicale d'un hématome sous dural chronique ? A - Hémiplégie B - Ramollissement C - Hydrocéphalie D - Récidive de l'hématome E - Abcès Bonne(s) réponse(s) : D
Question à compléments multiples. 20
Sans commentaire.
En dehors de l'hématome sous dural chronique, citez le (ou les) autre (s) diagnostic(s) qui pourrai(en)t être envisagé(s) ? A - Tumeur frontale B - Tumeur temporale gauche C - Hydrocéphalie à pression normale D - Démence sénile E - Hématome extra-dural Bonne(s) réponse(s) : A C B - Examen clinique non compatible = A. E - Signes de localisation plus nets, évolution plus aiguë.
Question à compléments multiples. 21 En dehors du scanner quel (s) autre(s) examen(s) complémentaire (s) permet (tent) de faire le diagnostic positif d'hématome sous dural chez un adulte ? A - La cisternographie isotopique B - L'angiographie cérébrale C - La gamma-anglo-encéphalographie Isotopique D - L'échographie B E - Les radiographies simples du crâne Bonne(s) réponse(s) : B C B - Image de refoulement des vaisseaux corticaux. C - Zone d'hyperfixation au niveau de l'hématome. D - Ne permet pas de diagnostic étiologique.
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Question à compléments multiples. 64
Question à compléments multiples. 7
Parmi les médicaments suivants. quel est ou quels sont ceux qui peut ou peuvent être utilisé(s) dans le traitement de fond des migraines : A - Gynergène B - Gynergène caféine C - Migwell® D - Dihydroergotamine E - Avlocardyl
Au cours de la migraine accompagnée : A - La survenue d'une hémiplégie est fréquente B - Les phénomènes d'accompagnement durent pendant toute la durée du mal de tête C - S'il existe des paresthésies, elles prédominent au niveau de la bouche et de la main et sont unilatérales D - Il peut exister des phénomènes aphasiques temporaires E - L'EEG en cours de crise peut être perturbé
Bonne(s) réponse(s) : D E
Bonne(s) réponse(s) : C D E
A B C - Sont des traitements de la crise.
La migraine hémiplégique est exceptionnelle et représente une entité à part. Les phénomènes d'accompagnement précèdent généralement la céphalée. L'EEG peut être perturbé de façon très importante, mais sans valeur diagnostique ni pronostique.
Question a compléments multiples. Filière/Option : PSYCHIATRIE 93 Une crise migraineuse peut se manifester par : A - Des nausées B - Un scotome scintillant C - Des paresthésies d'un hémicorps D - Une aphasie E - Un oedème papillaire avec exsudats et hémorragies rétiniennes Bonne(s) réponse(s) : A B C D A - Dans la crise commune. B C D - Migraine accompagnée. E - Sans commentaires.
Question à compléments multiples. 60 Le traitement de la crise de migraine fait habituellement appel : A - A l'Avlocardyl® (propranolol) B - Au Gynergène® caféiné (Tartrate d'Ergotamine) C - Au Désernil® (Méthysergide) D - Au Sanmigran® (Pizotifène) E - A l'Anafranil®(Clomipramine) Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Question à complément simple. 68 Chez un patient de 30 ans, présentant des accès de migraine commune. à la fréquence de 2 par semaine en moyenne, et certains suffisamment intenses pour entraîner un arrêt de travail de 24 heures, lequel de ces éventuels traitements per os n'est pas adapté pour une prescription au long cours ? A - Dihydro-ergotamine® 9 mg/j (3 comprimés ou 90 gouttes/j) B - Tartrate d'Ergotamine 3 mg/j (Gynergène Caféiné® 3 comprimés/j) C - Amitriptyline 75 mg/j (Laroxyl 25®, 3 comprimés/j) D - Propranolol 120 mg/j (Avlocardyl® 3 comprimés /j) E - Pizotifène 150 mg/j (Sanmigran® 3 comprimés/j) Bonne(s) réponse(s) : B Le tartrate d'ergotamine n'est pas un traitement de fond de la migraine mais un traitement de la crise migraineuse. Donc prescrire 1 cp en cas de crise sans dépasser 4 mg par jour et 10 mg par semaine.
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Question à compléments multiples. 16 Une crise de migraine accompagnée : A - Peut comporter des troubles aphasiques lors de la phase déficitaire B - Comporte successivement un déficit neurologique puis une céphalée C - Révèle habituellement une malformation artérioveineuse cérébrale D - Peut poser un problème de diagnostic différentiel avec un accident vasculaire cérébral ischémique transitoire E - Peut comporter des manifestations déficitaires intéressant le territoire vertébro-basilaire Bonne(s) réponse(s) : A B D E C - La malformation artérioveineuse fait partie du diagnostic différentiel de la crise de migraine. A - L'aphasie est rare. E - On peut voir des vertiges, une diplopie, une obnubilation, une instabilité à la marche évoquant une atteinte du tronc basilaire = migraine basilaire. En fait, l'aura "classique" évoque une souffrance du territoire cérébral postérieur (troubles visuels hémianopsiques, paresthésies) donc du territoire vertébrobasilaire : en ce sens, la migraine accompagnée habituelle est aussi "basilaire".
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Question à compléments multiples. 28
Question à complément simple. 38
Parmi les médicaments suivants, lequel ou lesquels est (ou sont) adapté(s) au traitement de fond de la migraine ? A - Pizotifène (Sanmigran®) B - Méthysergide (Désernil®) C - Oxetorone (Nocertone®) D - Tartrate d'ergotamine (Migwell®) E - Propranolol (Avlocardyl®)
Tous les médicaments suivants sont utilisés dans le traitement de fond de la maladie migraineuse, sauf un, lequel ? A - Tegretol® (Carbamazepine) B - Désernil® (methysergide) C - Avlocardyl® (Propranolol) D - Sanmigran® (Pizotifene) E - Dihydroergotamine® (DHE)
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : A Le tartrate d'ergotamine est un traitement de la crise. Le Tégrétol® est utilisé dans l'épilepsie, les névralgies du trijumeau, la psychose maniaco-dépressive.
Question à compléments multiples. 87 Chez un sujet migraineux, les accès de céphalées : A - Peuvent s'accompagner de troubles visuels B - Durent habituellement moins d'une heure C - Intéressent toujours le même côté du crâne D - Sont parfois accompagnés de vomissements E - Peuvent s'accompagner de modifications de l'humeur Bonne(s) réponse(s) : A D E Les migraines durent de quelques heures à quelques jours, sont classiquement à bascule, s'accompagnent souvent de modification de l'humeur (irritabilité).
Question à compléments multiples. 55 Parmi les médicaments suivants, quels sont ceux utilisés dans le traitement de fond d'une migraine ? A - Méthysergide (Désernil®) B - Propranolol (Avlocardyl®) C - Carbamazépine (Tégrétol®) D - Pizotifen (Sammigran®) E - Phénobarbital (Gardénal®) Bonne(s) réponse(s) : A B D Tégrétol® et Gardénal® sont des anti-épileptiques. Le Tégrétol® est en outre efficace dans les névralgies du trijumeau et la psychose maniacodépressive.
Question à compléments multiples. 33 La migraine ophtalmique se caractérise par une ou plusieurs des éventualités suivantes : A - Scotomes scintillants précédant la céphalée B - Scotomes hémianopsiques précédant la céphalée C - Diplopie par paralysie du III suivant la céphalée D - Diplopie par la paralysie du VI suivant la céphalée E - Cécité binoculaire transitoire Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. 29
Question à compléments multiples. 74
Le syndrome myasthénique : A - Comporte toujours une amyotrophie B - Est variable au cours de la journée C - Comporte une aggravation par l'effort musculaire en dehors du territoire intéressé D - Comporte une aggravation par l'effort uniquement dans le territoire intéressé E - Peut frapper les muscles masticateurs
Parmi les signes oculomoteurs suivants, le (les) quel(s) peut (peuvent) se voir au cours d'une myasthénie ? A - Myosis B - Enophtalmie C - Ptosis D - Diplopie E - Paralysie de la latéralité du regard Bonne(s) réponse(s) : C D E
Bonne(s) réponse(s) : B C E Par atteinte de la musculature extrinsèque. A - Exceptionnel. B - Moins marqué au réveil, s'accentue en fin de journée. C - Réaction de Mary-Walker : contractions répétées des muscles de la main après pose d'un garrot aux bras entramant un ptosis par exemple. D - Incompatible avec C. E - Assez fréquents.
Question à compléments multiples. 72 La myasthénie se manifeste par : A - Des troubles de la déglutition B - Un ptosis C - Une diplopie D - Une mydriase E - Des troubles sphinctériens Bonne(s) réponse(s) : A B C
Question à compléments multiples. 65 A propos de la myasthénie : A - La diminution de la force à la le signe majeur B - La diplopie est exceptionnelle C - Une dysarthrie. après un certain temps d'élocution, se voit dans les formes hautes D - Les anti-cholinestérasiques font régresser la fatigabilité E - La mesure des vitesses de conduction motrice est l'examen qui confirme le diagnostic Bonne(s) réponse(s) : C D A - Au fur et à mesure que le testing se déroule. B - Fréquente par atteinte des muscles extrinsèques. E - L'existence d'un bloc neuro musculaire sensible au tensilon.
Il peut exister une faiblesse sphinctérienne dans la myasthénie mais classiquement il n'y a pas de trouble sphinctériens dans cette maladie.
Question à compléments multiples. 88 Question à compléments multiples. 75 Chez un myasthénique une détresse respiratoire peut être entraînée par : A - La prise de phénobarbital B - La prise d'atropiniques C - Une anesthésie avec usage de curarisant D - Une surinfection respiratoire E - Un excès en anticholinestérasiques Bonne(s) réponse(s) : A C D E
A propos de la myasthénie : A - La diminution de la force à la première contraction est le signe majeur B - La diplopie est exceptionnelle C - Une dysarthrie, après un certain temps d'élocution, se voit dans les formes hautes D - Les anti-cholinestérasiques font régresser la fatigabilité E - La mesure des vitesses de conduction motrice est l'examen qui confirme le diagnostic Bonne(s) réponse(s) : C D
Agit sur les récepteurs muscariniques : non contre-indiqué dans la myasténie.
La fatigabilitité, avec diminution de la force au fur et à mesure que l'on répète les contractions est un signe essentiel. La diplopie est, avec le ptosis, le signe le plus fréquent.
Question à complément simple. 89
Question à compléments multiples. 78
Toutes les propositions suivantes s'appliquent à la myasthénie sauf une. Indiquez laquelle : A - Concerne la jonction myoneurale B - Résulte d'un désordre immunitaire C - S'accompagne toujours d'une tumeur thymique D - Provoque une fatigabilité anormale à l'effort E - Frappe avec prédilection l'oculomotricité
Parmi les signes oculomoteurs suivants le(les)quel(s) peu(ven)t se voir au cours d'une myasthénie ? A - Myosis B - Enophtalmie C - Ptosis D - Diplopie E - Nystagmus
Bonne(s) réponse(s) : C La tumeur thymique est présente 1 fois sur 6.
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Bonne(s) réponse(s) : C D La myasthénie ne touche pas la motricité oculaire intrinsèque.
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Question à compléments multiples. 81
Question à compléments multiples. 50
Le syndrome myasthénique : A - Comporte une amyotrophie B - Est variable au cours de la journée C - Comporte une aggravation par l'effort musculaire en dehors du territoire intéressé D - Peut comporter une atteinte du myocarde E - Peut frapper les muscles masticateurs
Le traitement médicamenteux de la myasthénie peut faire appel à : A - Des anticholinestérasiques B - Des corticoïdes C - Des immunosuppresseurs D - Des vasodilatateurs artériolaires E - Des anabolisants protidiques
Bonne(s) réponse(s) : B C E
Bonne(s) réponse(s) : A B C
Comme dans tout syndrome myogène d'atteinte cardiaque. Contrairement à d'autres syndromes myogènes, il n'y a pas d'amyotrophie.
Plus la thymectomie et après échec de toutes ces mesures, dans les formes graves les plasmaphérèses.
Question à compléments multiples. 86 Une myasthénie peut être responsable de : A - Ptosis B - Myosis C - Mydriase D - Diplopie E - Scotome central Bonne(s) réponse(s) : A D La myasthénie ne touche pas la motricité oculaire intrinsègue.
Question à compléments multiples. 62 Concernant les mécanismes physiopathologiques de la myasthénia gravis, il s'agit : A - D'une dystrophie musculaire B - D'une maladie autoimmune C - D'un blocage des récepteurs cholinergiques présynaptiques de la jonction neuromusculaire D - D'une affection héréditaire E - D'un blocage des récepteurs cholinergiques postsynaptiques de la jonction neuromusculaire Bonne(s) réponse(s) : B E C - C'est le cas du syndrome de Lambert-Eaton.
Question à complément simple. 14 Un malade est atteint de myasthénie et de plus est porteur d'une masse médiastinale visible à la radiographie. Quel est le diagnostic de tumeur le plus probable ? A - Tumeur carcinoïde B - Mésothéliome C - Maladie de Hodgkin D - Thymome médiastinal E - Lymphome malin non hodgkinien Bonne(s) réponse(s) : D Toute myasthénie doit faire pratiquer un TDM thoracique à la recherche d'une tumeur thymique (15 à 35 % des cas).
Question à complément simple. 48 Dans la myasthénie l'atteinte musculaire la plus évocatrice siège habituellement au niveau : A - Des sphincters striés B - De l'oesophage C - Des petits muscles thénariens D - De la musculature oculaire extrinsèque E - De la musculature oculaire intrinsèque
Une jeune femme de 30 ans consulte pour des épisodes de diplopie transitoire associée à une asthénie. L'interrogatoire ne trouve aucun antécédent notable, aucune prise médicamenteuse. Les troubles remontent à 6 mois environ, soit 2 mois après sa première grossesse, et ont débuté de façon insidieuse. La patiente allègue des troubles visuels en fin de journée, avec une chute des paupières. Elle est gênée dans ses activités ménagères quotidiennes, en particulier pour soulever des poids, l'ensemble des signes se majorant en fin de semaine. On relève enfin une perte de poids de 3 kgs en 3 mois. L'examen clinique standard, réalisé en fin de matinée, ne retrouve qu'une diplopie dans les regards extrêmes, et une très discrète diplégie faciale. Le reste de l'examen neurologique et général est normal. Vous évoquez une myasthénie.
Question à compléments multiples. 63 Citez, parmi les examens complémentaires suivants, ceux qui permettent d'affirmer le diagnostic de myasthénie : A - Electromyographie B - Potentiels évoqués sensitifs C - Test à la prostigmine D - Scanner cérébral E - Dosage des anticorps anti-récepteurs à l'acétylcholine Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D La musculature intrinsèque est respectée, il peut exister une faiblesse sphinctérienne mais de traduction clinique exceptionnelle. Devant une gène à la mastication, s'accentuant au cours des repas. on a porté chez Mr R 28 ans le diagnostic de myasthénie Malgré une thymectomie les troubles musculaires persistent et le patient va être traité médicalement et régulièrement surveillé.
Question à compléments multiples. 64 La découverte d'une myasthénie impose : A - Un scanner cérébral B - Un scanner thoracique C - La recherche d'une affection auto-immune associée D - Un arbre généalogique E - Des potentiels évoqués visuels Bonne(s) réponse(s) : B C
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A la recherche d'une tumeur thymique, fréquente, qui impose son 342 By NADJI 85 exérèse.
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Question à complément simple. 65 Parmi les traitements suivants, quel est celui qui est utilisé dans le traitement symptomatique d'une myasthénie ? A - Corticoïdes au long cours B - Plasmaphérèses C - Anticholinestérasiques D - Thymectomie E - Immunosuppresseurs Bonne(s) réponse(s) : C A B D E - Font tous partie du traitement de fond de la maladie.
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Question à complément simple. 28
Question à complément simple. 88
Parmi les éléments suivants, lequel impose la remise en question du diagnostic de névralgie faciale essentielle ? A - Abolition du réflexe cornéen B - Douleur déclenchée par une zone gâchette (triggerzone) C - Douleur soulagée par la carbamazépine D - Douleur systématisée à une branche du nerf trijumeau E - Caractère paroxystique de la douleur
La douleur d'une névralgie cervico-brachiale C6 affecte la zone cutanée suivante : A - La face postérieure de l'avant-bras B - Le cinquième doigt C - Le pouce D - Le bord interne de l'avant-bras E - Le médius Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire. Une anomalie à l'examen clinique est un argument contre le caractère essentiel d'une névralgie. Toutes les autres propositions font partie du tableau de névralgie essentielle.
Question à complément simple. 57 Parmi les éléments suivants, lequel impose la remise en question du diagnostic de névralgie faciale essentielle ? A - Abolition du réflexe cornéen B - Douleur déclenchée par une zone gâchette C - Douleur soulagée par la carbamazépine D - Douleur systématisée à une branche du nerf trijumeau E - Caractère paroxystique de la douleur Bonne(s) réponse(s) : A L'exament clinique et classiquement normal dans une névralgie faciale essentielle. Les autres propositions sont classiques.
Question à complément simple. 82 La névralgie crurale est une complication particulièrement fréquente dans : A - L'acromégalie B - La tétanie C - Le diabète sucré D - Le diabète insipide E - L'hypothyroïdie Bonne(s) réponse(s) : C Les mononeuropathies sont une complication fréquente du diabète sucré en particulier celle-ci.
Question à compléments multiples. 36 La névralgie du trijumeau dite essentielle : A - Comporte des douleurs en éclair B - Comporte des douleurs diffusant d'emblée aux trois branches du trijumeau C - Débute très souvent par l'atteinte du territoire ophtalmique D - Entraîne un écoulement nasal et lacrymal E - Est déclenchée par des stimuli faciaux minimes Bonne(s) réponse(s) : A E - La douleur en éclair est unilatérale, intéresse au début le territoire d'une seule branche du trijumeau : nerf maxillaire supérieur (V2) ou inférieur (V3) jamais l'ophtalmique (V1). - Facteurs déclenchants : parole, mastication, zone gâchette (un simple souffle d'air parfois).
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Question à compléments multiples. 59 Parmi les propositions suivantes. quelle est celle (ou quelles sont celles) qui peut (ou peuvent) s'appliquer à la névralgie faciale essentielle : A - La douleur ne déborde jamais le territoire du trijumeau B - Le réflexe cornéen peut être aboli C - Il peut exister un signe de Charles Bell D - L'affection intéresse plus souvent l'enfant que le sujet âgé E - Les douleurs peuvent être contrôlées par la carbamazépine (Tégrétol®) Bonne(s) réponse(s) : A E B - Fait rechercher une cause : névralgie secondaire. D - L'affection touche le plus souvent la femme âgée.
Question à complément simple. 81 Parmi les propositions suivantes, retenir celle qui est compatible avec une névralgie cervicobrachiale C7 typique : A - Trajet douloureux sur la face antérieure de l'avant-bras B - Abolition du réflexe bicipital C - Déficit de l'extension des doigts D - Troubles sensitifs objectifs au niveau du pouce E - Déficit de la flexion du coude Bonne(s) réponse(s) : C B - C5 ou C6. D - C6. E - C6.
Question à complément simple. 80 Chez un malade souffrant de névralgies cervico-brachiale. les clichés de trois quart du rachis cervical peuvent mettre en évidence toutes les anomalies suivantes sauf une : laquelle ? A - Visualisation d'une sténose d'un canal de conjugaison par l'uncarthrose B - Visualisation d'une lyse pédiculaire par une métastase rachidienne C - Visualisation d'un élargissement pédiculaire par une métastase rachidienne D - Visualisation d'une hernie discale cervicale E - Visualisation d'une sténose d'un canal de conjugaison par une arthrose, inter-apophysaire postérieure Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. 92
Question à complément simple. 79
Une névralgie essentielle du trijumeau A - A un fond douloureux continu B - S'accompagne d'un déficit sensitif facial C - Est provoquée par la stimulation d'une zone gâchette D - Est paroxystique E - S'installe brusquement
Une femme de 72 ans présente une névralgie faciale essentielle. Parmi ces traitements, quel est le meilleur choix thérapeutique ? A - Glafénine B - Acide acétyl salicylique C - Carbamazépine D - Paracétamol E - Diazépam
Bonne(s) réponse(s) : C D E A B - Excluent le caractère essentiel d'une névralgie du V.
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 87 La névralgie faciale essentielle : A - Se caractérise par une douleur unilatérale B - Touche préférentiellement la branche ophtalmique du trijumeau C - Evolue par salves de durée brève D - Laisse une hypoesthésie entre les accès E - Peut être déclenchée par un contact cutané ou muqueux précis Bonne(s) réponse(s) : A C E
Question à compléments multiples. 24 Le traitement de la névralgie faciale essentielle peut faire appel à : A - Thermocoagulation B - Antalgiques du tableau B C - Paracétamol D - Tégrétol® E - Aspirine® Bonne(s) réponse(s) : A B C D
B - Commence par le V2 ou le V3, jamais (classiquement) par le V1. D - N'est plus essentielle.
Question à compléments multiples. 6 Devant une douleur paroxystique de l'hémiface droite, quels sont parmi les éléments suivants, celui ou ceux qui est ou sont compatibles avec le diagnostic de névralgie essentielle du trijumeau ? A - Douleur limitée à une seule branche du V droit B - Douleur déclenchée par la mastication C - Examen neurologique normal D - Abolition du réflexe cornéen droit E - Manifestations motrices sous forme de tics douloureux de la face Bonne(s) réponse(s) : A B C E La névralgie essentielle (ou tic douloureux de la face) intéresse une ou plusieurs branches du V, est déclenchée par la stimulation de certaines zones cutanés (zones gâchettes) ou certains mouvements (mastication, élocution, rasage...). Fait important : il n'existe aucun signe déficitaire dans le territoire du V.
Question à complément simple. 46 Toutes les propositions suivantes caractérisent la névralgie essentielle du trijumeau, sauf une. Laquelle ? A - A un fond douloureux continu B - Ne s'accompagne jamais d'un déficit sensitif facial C - Est provoquée par la stimulation d'une zone gâchette D - Est paroxystique E - S'installe brusquement Bonne(s) Réponse(s) : A
Les anticholinergiques peuvent être utilisés avec précaution en cas d'insuffisance coronarienne.
Question à compléments multiples. 119 La névralgie essentielle du trijumeau : A - Réalise des crises douloureuses en décharges B - Peut être déclenchée par l'attouchement d'une "zone gâchette" C - Comporte un examen neurologique normal D - N'est pas soulagée par le TEGRETOL E - Comporte un fond douloureux entre les crises Bonne(s) Réponse(s) : A B C Par définition, l'examn neurologique est noraml et il n'y a pas de fond douloureux entre des crises dans la névralgie essentielle. Sinon, il s'agit probablement d'une nébralgie symptomatique d'une affection focale (tumeur, malformation, SEP...).
Question à compléments multiples. 11 Parmi les propositions suivantes, retenir celle ou celles qui est ou sont compatible(s) avec une névralgie cervicobrachiale C7 typique : A - Abolition du réflexe tricipital B - Troubles sensitifs objectifs au niveau du médius C - Déficit de la flexion du coude D - Trajet douloureux sur la face antérieure de l'avant-bras E - Déficit de l'extension des doigts Bonne(s) réponse(s) : A B E Les items C et D se rapportent à une atteinte C5.
L'existence d'une douleur continue (comme du déficit sensitif facial) exclue le diagnostic de névralgie essentielle et doit faire rechercher une étiologie.
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Question à complément simple. 11
Question a compléments multiples. 47
Le seul élément caractéristique d'une névralgie essentielle du trijumeau est : A - Le début brusque de la crise B - La terminaison brusque de la crise C - Le fond douloureux permanent D - La sensibilité normale de la face E - La zone gâchette de déclenchement
Une névralgie cervicobrachiale de C7 peut être responsable de : A - Abolition du réflexe tricipital B - Hypoesthésie du moignon de l'épaule C - Atteinte motrice du deltoïde D - Hypoesthésie du dos de la main et des 3ème et 4ème doigts E - Hypoesthésie du pouce et de l'index
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : A D En fait, il peut exister une zone gâchette dans des névralgies symptomatiques (en particulier d'une S.E.P.).
Question à compléments multiples. 72 La névralgie faciale dite essentielle : A - Atteint d'emblée les 3 branches du V B - Est continue, diurne et nocturne C - S'accompagne d'une anesthésie du V D - S'accompagne d'une atteinte du nerf facial E - Est traitée par la Carbamazépine (Tégrétol®) Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
B C - C4-C5. E - C6.
Question à compléments multiples. 46 Au cours de la névralgie faciale essentielle (Maladie de Trousseau) : A - La douleur peut n'intéresser que le territoire d'une branche du trijumeau B - La douleur peut déborder le territoire du trijumeau C - Le cornéen peut être diminué ou aboli D - On peut observer un signe de Charles Bell E - Il existe habituellement une zone gâchette ("triggerzone") Bonne(s) réponse(s) : A E
Question à compléments multiples. 81 Un traitement adapté d'une névralgie faciale essentielle, peut faire appel à : A - Aspirine (acide salicylique) B - Béta-bloquants C - Anxiolytique D - Thermo-coagulation du ganglion de Gasser E - Tégrétol (carbamazépine) Bonne(s) réponse(s) : D E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 59 Parmi les propositions suivantes concernant la névralgie essentielle du trijumeau, quelle(s) est (ou sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? A - L'examen neurologique est normal B - La douleur ne concerne habituellement qu'une branche du trijumeau C - Il n'y a pas de fond douloureux permanent D - La douleur survient en salves très brèves E - Il n'y a jamais de zone-gachette
Un cornéen diminué traduit un déficit du trijumeau, et donc une névralgie secondaire (tumeur, SEP...) où généralement on ne retrouve pas de zone gâchette. Le signe de Charles Bell traduit l'origine périphérique d'une paralysie faciale (= non occlusion de l'oeil, globe oculaire dirigé en haut et en dehors).
Question à compléments multiples. 68 La névralgie du trijumeau : A - Survient plus volontiers après 50 ans B - S'accompagne d'une hypoesthésie cornéenne C - Peut être secondaire à une sclérose en.plaques D - Se traite par les morphiniques E - Est souvent améliorée par la carbamazépine (Tégrétol®) Bonne(s) réponse(s) : A C E - La névralgie essentielle du trijumeau survient plutôt chez la femme âgée, et ne s'accompagne pas de signes déficitaires. - La névralgie peut ainsi être secondaire à une SEP ou une tumeur : il peut rester dans ce cas une hypoesthésie cornéenne.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les caractères A et C et la présence d'une zone gachette permettent de différencier la névralgie essentielle de la névralgie secondaire (SEP, tumeur).
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Question à compléments multiples. 36 Une névralgie faciale peut être révélatrice de : A - Cancer du sinus maxillaire B - Sclérose en plaques C - Neurinome du nerf facial D - Cancer du cavum E - Tumeur parotidienne Bonne(s) réponse(s) : A B C D Toute lésion au contact du noyau du V (intra-axiale) comme dans la SEP, ou au contact de ses branches (neurinome du nerf facial, cancer du cavum, cancer du sinus maxillaire venant au contact du nerf sousorbitaire) peut déclencher une névralgie du V symptomatique. La parotide n'est pas au contact d'une branche du V. Une femme de 65 ans consulte pour des algies faciales gauches : - celles-ci se produisent depuis trois mois environ - elles surviennent par crises très aiguës, de très courte durée (quelques secondes) - ont un caractère très aigu, d'intensité insupportable - se produisent plusieurs fois par jour et en particulier dès qu'un aliment entre en contact avec la région gingivale supérieure gauche - elles affectaient initialement de manière exclusive le domaine du nerf orbitaire gauche mais intéressent maintenant également le territoire mandibulaire. Vous évoquez le diagnostic de névralgie du trijumeau.
Question à compléments multiples. 37 Parmi les signes suivants le(s)quel(s) accompagne(nt) la névralgie essentielle du trijumeau ? A - Anesthésie cornéenne B - Anesthésie sous-orbitaire C - Trismus D - Hydrorrhée nasale E - Aucun de ces signes Bonne(s) réponse(s) : E Un peu discutable : la névralgie faciale peut s'accompagner d'une congestion de l'oeil ou de la muqueuse nasale, mais classiquement l'absence de ces signes l'oppose à l'algie vasculaire de la face. Il n'y a pas de trismus mais une contraction de l'hémiface qui a fait surnommer cette affection tic douloureux de la face. Par définition l'examen neurologique est normal dans la névralgie essentielle.
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Question à compléments multiples. 16
Question à compléments multiples. 3
Anatomiquement et biochimiquement la maladie de Parkinson idiopathique est caractérisée par : A - Dégénérescence du locus niger B - Dégénérescence du striatum C - Baisse des concentrations de dopamine dans le locus niger D - Baisse des concentrations de dopamine dans le striatum E - Dégénérescence du cortex occipital
Indiquez deux produits parmi les suivants utilisés comme antiparkinsoniens : A - Clomipramine (Anafranil®) B - Trihexyphénidyle (Artane®) C - Lévomépromazine (Nozinan®) D - Lévodopa (Larodopa®) E - Sulpiride (Dogmatil®)
Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
Question à complément simple. 50 Parmi les 5 propositions suivantes concernant la maladie de Parkinson, laquelle est inexacte ? A - Il n'existe pas de détérioration mentale nette B - La force musculaire et les réflexes sont normaux C - L'écriture est souvent modifiée très tôt D - La marche est très longtemps normale E - Il existe une hypertonie plastique Bonne(s) réponse(s) : D A - Il existe un certain degré de détérioration intellectuelle (grace au progrès thérapeutique qui a prolongé la durée d'évolution de la maladie). La marche peut être conservée au début (le tremblement est le motif de consultation le plus fréquent) mais est vite altérée par l'akinésie.
Question à compléments multiples. 17 L'association à la L. DOPA d un inhibiteur de la Décarboxylase périphérique facilite le traitement de la maladie de Parkinson parce que : A - Elle permet de diminuer la dose de L dopa administrée B - Elle permet de réduire la fréquence des prises de L.dopa C - Elle supprime le risque d'accidents par hypotension artérielle orthostatique D - Elle réduit le risque d'accidents digestifs E - Elle augmente l'efficacité de L. dopa sur le tremblement
Bonne(s) réponse(s) : B D A - Antidépresseur tricyclique. B - Anticholinergique à action centrale, diminue le tremblement et la rigidité. C - Antiparkinsonien action sur akinésie et hypertonie. D - Neuroleptique.
Question à compléments multiples. 28 Parmi les médicaments usuels suivants, un syndrome parkinsonien peut être provoque par la prise de : A - Largactil® B - Halopéridol C - Valium® D - Torécan® E - Dogmatil® Bonne(s) réponse(s) : A B D E A B E - Classiques car neuroleptiques. D - Traitement de fond des vertiges pouvant entraîner une hyperkinésie précoce.
Question à compléments groupés. 115 Parmi les symptômes suivants de la maladie de Parkinson, sur lequel (lesquels) les antiparkinsoniens anticholinergiques agissent-ils principalement ? 1 - Akinésie 2 - Tremblements 3 - Dépression 4 - Hypertonie Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) : C
L'inhibiteur de la décarboxylase périphérique permet à une plus grande quantité de L Dopa de passer la barrière hémato-encéphalique. En réduisant la transformation périphérique de L-Dopa en Dopamine, il entraîne une diminution des effets périphériques dus à celle-ci.
Sans commentaire.
Question à complément simple. 47 Quelle partie du corps n'est pratiquement jamais intéressée par le tremblement de repos chez le parkinsonien ? A - Le pied B - La main C - La tête D - Les lèvres E - L'avant-bras
Question à complément simple. 78 Les lésions responsables de la maladie de Parkinson siègent au niveau de : A - La moelle B - Les olives bulbaires C - La substance noire des pédoncules cérébraux D - Le cervelet E - Le cortex cérébral Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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Question à complément simple. 83
Question à compléments multiples. 82
La maladie de Parkinson entraîne de façon progressive un handicap moteur Les symptômes peuvent être améliorés par : A - Les benzodiazépines B - Les phénothiazines C - La L.DOPA D - Le phénobarbital E - Aucun des médicaments précédents
Le syndrome Parkinsonien peut comporter : A - Un tremblement B - Une hypertonie spastique C - Des kinésies paradoxales D - Un piétinement E - Une voix scandée et explosive
Bonne(s) réponse(s) : C
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Bonne(s) réponse(s) : A C D B - Syndrome pyramidal. E - Syndrome cérébelleux.
Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 62
Question à complément simple. 96
Le tremblement parkinsonien : A - Disparaît au repos B - Peut être uni ou bilatéral C - Peut persister dans l'attitude D - Peut s'accompagner d'une hypertonie extra-pyramidale E - Peut entraîner une dysmétrie
Quelle partie du corps n est pratiquement jamais intéressée par le tremblement de repos chez le Parkinsonien ? A - Le pied. B - La main. C - La tête. D - Les lèvres. E - L'avant-bras.
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) : C
A - C'est un tremblement de repos E - Syndrome cérébelleux.
Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 75 L'hypertonie du syndrome parkinsonien : A - Augmente à l'activité musculaire dans un autre territoire B - Est élastique C - Est plastique D - Cède par à-coup E - S'accompagne d'une hyperréflectivité ostéo-tendineuse
Question à compléments multiples. 21 Le tremblement parkinsonien est : A - Un tremblement d'attitude B - De repos C - D'intention et d'action D - Accentue par l'occlusion des yeux E - Accentué par l'émotion Bonne(s) réponse(s) : B D E
Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire. A - Diminution du ballottement passif d'1 membre lorsque le patient effectue un mouvement du membre controlatéral. B - Syndrome pyramidal E - ROT normaux, augmentation des réflexes de posture.
Question à compléments multiples. 22 Les mouvements anormaux involontaires induits par le L. Dopa dans la maladie de Parkinson : A - Sont habituellement de type choréique B - Ne s'observent que dans les formes tremblantes de la maladie C - Surviennent en général lors de la 1ère année du traitement D - Sont en général améliorés par l'augmentation de posologie de L. Dopa E - Peuvent persister jusqu'à 1 semaine après l'arrêt de la dopathérapie
Question à compléments multiples. 119 Le syndrome parkinsonien secondaire aux neuroleptiques : A - Est dû à un blocage de la sécrétion de dopamine B - Est dû à une inhibition de la recapture de la dopamine C - Est dû à un blocage des récepteurs post-synaptiques dopaminergiques D - Est prévenu par les traitements anticholinestérasiques E - Est prévenu par les traitements anticholinergiques Bonne(s) réponse(s) : C E Les neuroleptiques, en se fixant sur les récepteurs dopaminergiques synaptiques, diminuent la transmission dopaminergique au niveau nigrostrié. Les anticholinergiques sont efficaces, contrairement à la L-dopa.
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à complément simple. 30
Question à compléments multiples. 85
Pour traiter la maladie de Parkinson, l'utilisation d'un inhibiteur de la décarboxylase associé à la L-dopa permet : A - De réduire le risque d'accidents psychiques B - De réduire le risque de survenue de mouvements anormaux C - De réduire le nombre de prises quotidiennes de L-dopa D - D'associer un anticholinergique E - De limiter les effets secondaires digestifs
Le syndrome parkinsonien comporte : A - Un ralentissement des gestes alternés rapides B - Un tremblement de la tête C - Une hypertonie plastique D - Une micrographie E - Une voix scandée et explosive Bonne(s) réponse(s) : A C D
Sans commentaire.
Le parkinsonien ne tremble pas de la tête (contrairement au tremblement essentiel). E - se rapporte au syndrome cérébelleux.
Question à compléments multiples. 64
Question à compléments multiples. 71
Les anticholinergiques prescrits dans la maladie de Parkinson sont : A - Actifs sur le tremblement B - Peu actifs sur l'akinésie C - Efficace pour corriger les syndromes induits par !es neuroleptiques D - Responsables de syndromes confusionnels chez les sujets âgés E - Contre-indiqués en cas d'insuffisance coronarienne
La maladie de Parkinson : A - Est d'étiologie vasculaire B - Peut rester longtemps cliniquement unilatérale C - Peut entraîner des chutes D - Est due à un manque de dopamine au niveau du striatum E - Peut se traiter en donnant de la dopamine injectable
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les anticholinergiques peuvent être utilisés avec précaution en cas d'insuffisance coronarienne.
Question à compléments multiples. 22 Dans le cadre sémiologique de l'akinésie parkinsonnienne, on retrouve : A - Une exagération des réflexes de posture B - La rareté du clignement des paupières C - Une exploration du champ de vision par les seuls mouvements des globes oculaires, sans bouger la tête D - La réduction du balancement d'un ou des 2 bras à la marche E - Une difficulté à exécuter de façon rapide les mouvements alternatifs Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : B C D La dopamine ne passe pas la barrière hemato-encéphalique.
Question à compléments multiples. 75 Les mouvements anormaux involontaires induits par la L Dopa dans la maladie de Parkinson : A - S'observent surtout dans les formes tremblantes de la maladie B - Sont améliorés par l'augmentation de la posologie de LDopa C - Peuvent affecter le segment céphalique D - S'accompagnent d'une hypotonie E - Surviennent surtout lors des premières années de la maladie Bonne(s) réponse(s) : C D L'item D est discutable : les mouvements anormaux peuvent s'accompagner d'une hypotonie mais parfois d'une hypertonie (quand ils sont à type de dystonie, de choréoathétose).
La relative préservation de la motricité oculaire contraste avec l'akinésie de la face.
Question à compléments multiples. 29 Question à compléments multiples. 33 Le diagnostic de maladie de Parkinson est compatible avec la constatation de : A - Signe de Babinski bilatéral B - Hypertonie plastique C - Tremblement d'attitude isolé D - Aphasie E - Festination Bonne(s) réponse(s) : B E
Pour le traitement de la maladie de Parkinson, on peut utiliser : A - Un agoniste direct dopaminergique B - Un agoniste direct cholinergique C - Un antagoniste sérotoninergique D - Un précurseur de la dopamine E - La dopamine Bonne(s) réponse(s) : A D La dopamine ne passe pas la barrière hémato-encéphalique.
C - Le tremblement parkinsonien est un tremblement de repos.
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Question à compléments multiples. 56
Question à complément simple. 82
Le syndrome parkinsonien peut comporter le ou les signes suivants : A - Akinésie B - Micrographie C - Réflexe naso-palpébral inépuisable D - Phénomènes de piétinements (enrayages cinétiques) E - Spasticité
L'association d'akinésie et d'hypertonie fait évoquer une maladie de Parkinson. Cependant ce malade ne présente pas de tremblement : quelle est la proposition exacte ? A - Il ne s'agit en aucun cas d'une maladie de Parkison B - Il s'agit d'une forme akinéto-hypertonique de maladie de Parkinson C - Il faut évoquer un syndrome parkinsonien des neuroleptiques D - Il faut évoquer un syndrome pseudo-bulbaire E - Aucune proposition n'est exacte
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E - La spasticité définit l'hypertonie pyramidale (contrairement à la rigidité "plastique" du parkinsonien).
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 57 Dans les médicaments de la maladie de Parkinson on trouve : A - Des anticholinergiques B - Des neuroleptiques C - Des précurseurs du gaba D - Des agonistes dopaminergiques directs E - Un précurseur de la dopamine
Monsieur S... âgé de 66 ans. a été hospitalisé il y a une dizaine de jours pour faiblesse généralisée. En fait depuis un an environ il présente des difficultés de plus en plus grandes à se déplacer à effectuer les actes de la vie quotidienne à se retourner dans son lit à se laver sans aide et est devenu totalement dépendant de son entourage. A l'examen la marche se fait lentement à petits pas, le buste penché en avant les bras collés au corps et on note une hypertonie importante des quatre membres avec signe de la roue dentée. Il n'y a pas de déficit moteur pas d'anomalie des réflexes. pas d'atteinte des sensibilités : bon état général : pas d'atteinte des fonctions supérieures.
Bonne(s) réponse(s) : C D E A - Actif, surtout sur les formes tremblantes. B - Aggravent la maladie de Parkinson en induisant une délétion en Dopamine. D E - Sx : la L-Dopa. La Bromocriptine est un agoniste indirect (postsynaptique).
Question à complément simple. 56 Un parkinsonien traité depuis plusieurs années par L-DOPA présente après une amélioration de ses troubles des mouvements anormaux. Parmi les propositions suivantes, quelle en est la cause plausible ? A - Insuffisance du traitement B - Troubles intestinaux C - Epuisement thérapeutique D - Surdosage E - Sans rapport avec la prescription de L-DOPA Bonne(s) Réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 55 Le syndrome parkinsonien : A - Comporte une perte du balancement du bras à la marche B - S'accompagne de rire et de pleurer spasmodique C - S'accompagne d'une exagération du réflexe nasopalpébral D - S'accompagne d'une augmentation du réflexe mentonnier E - S'accompagne d'un faciès figé
Question à complément simple. 83 L'hypertonie de la maladie de Parkinson est qualifiée de plastique ceci veut dire : A - Une augmentation du tonus de repos disparaissant au mouvement B - Une augmentation du tonus se renforçant avec la répétition du mouvement C - Une augmentation du tonus se renforçant avec l'amplitude du mouvement D - Une augmentation du tonus constante pendant la durée du mouvement E - Aucune proposition n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 84 Parmi les propositions suivantes concernant le tremblement de la maladie de Parkinson, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A - Le tremblement augmente au froid et à l'émotion B - Le tremblement est un tremblement de repos C - Le tremblement est souvent à prédominance unilatérale D - Le tremblement n'est presque jamais isolé E - Le tremblement disparaît pendant le sommeil Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
Bonne(s) Réponse(s) : A C E B D se voient dans les syndromes pseudobulbaires (atteinte bilatérale de la voie pyramidale cortico-nucléraire).
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Question à complément simple. 85
Question à compléments multiples. 71
Comment sont les réflexes ostéotendineux dans la maladie de Parkinson ? A - Normaux B - Augmentés C - Diminués D - Abolis E - Pendulaires
Parmi les propositions suivantes concernant le tremblement de la maladie de Parkinson, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A - Le tremblement augmente à l'émotion. B - Le tremblement est un tremblement de repos. C - Le tremblement est souvent à prédominance unilatérale, D - Le tremblement n'est pas augmente par le calcul mental E - Le tremblement disparaît pendant le sommeil.
Bonne(s) réponse(s) : A Peuvent être augmentés sans signification précise.
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Question à complément simple. 69
Le tremblement parkinsonien est le type même du tremblement de repos ; il est augmenté par l'émotion, la concentration (calcul mental), disparaît pendant le sommeil. La maladie de Parkinson est presque toujours asymétrique, rarement unilatérale.
L'association d'akinésie et d'hypertonie fait évoquer une maladie de Parkinson Cependant ce malade ne présente pas de tremblement ; vous en conclue que : A - Il ne s agit en aucun cas d'une maladie de Parkison. B - Il s'agit d'une forme akinéto-hypertonique de maladie de Parkinson. C - Il s'agit d'un syndrome pyramidal D - Il faut évoquer un syndrome pseudo-bulbaire E - Aucune proposition n'est exacte. Bonne(s) réponse(s) : B Un syndrome pseudobulbaire (dans le cadre d'un état lacunaire de l'hypertendu) pourrait simuler un Parkinson akinéto-hypertonique mais il existe alors un syndrome pyramidal : or dans ce cas, les réflexes sont notés normaux. Monsieur S... âgé de 66 ans, a été hospitalisé il y a une dizaine de jours pour faiblesse généralisée. En fait depuis un an environ il présente des difficultés de plus en plus grandes à se déplacer, à effectuer les actes de la vie quotidienne, à se retourner dans son lit, à se laver sans aide et est devenu totalement dépendant de son entourage. A l'examen la marche se fait lentement, à petits pas, le buste penche en avant les bras collés au corps et on note une hypertonie importante des quatre membres avec signe de la roue dentée. Il n'y a pas de déficit moteur, pas d'anomalie des réflexes, pas d'atteinte des sensibilités ; bon état général ; pas d'atteinte des fonctions supérieures.
Question à compléments multiples. 70 L'hypertonie de la maladie de Parkinson est qualifiée de plastique. Ceci veut dire : A - Une augmentation du tonus de repos disparaissant au mouvement.
Question à complément simple. 72 Comment sont les réflexes ostéotendineux dans la maladie de Parkinson ? A- Normaux. B - Augmentés. C - Diminués. D - Abolis. E - Pendulaires. Bonne(s) réponse(s) : A Il sont augmentés en cas de syndrome pyramidal, diminués ou abolis en cas d'atteinte périphérique, pendulaires dans l'hypotonie du syndrome cérébelleux.
Question à complément simple. 36 La survenue de fluctuations d'action dans la maladie de Parkinson se situe en moyenne par rapport au début du traitement au bout de : A - Quelques mois B - 2 ans C - 5 ans D - 8 ans E -10 ans Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
B - Une augmentation du tonus constante pendant la durée du mouvement C - Une augmentation du tonus se renforçant avec l'amplitude du mouvement D - Une augmentation du tonus se renforçant avec la répétition du mouvement D - Une augmentation du tonus se renforçant avec la vitesse de mouvement passif E - Une augmentation du tonus se renforçant avec la vitesse de mouvement passif Bonne(s) réponse(s) : B L'hypertonie spastique (pyramidale) au contraire se renforce avec l'amplitude du mouvement. L'hypertonie oppositionnelle (frontale) se renforce avec la vitesse du mouvement et disparaît au repos.
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Question à compléments multiples. 72 Parmi les arguments cliniques énumérés ci-dessus, trois viennent appuyer la suspicion d'une maladie de parkinson. Lesquels ? A - L'unilatéralité des symptômes B - L'exagération des réflexes osteo-tendineux C - La perte des mouvements automatiques D - La présence de troubles de l'équilibre E - Le ralentissement des gestes Bonne(s) réponse(s) : A C E La maladie de Parkinson débute presque toujours de façon unilatérale et demeure asymétrique. En revanche, un début par des troubles de l'équilibre (non mentionnés ici) doit faire récuser ce diagnostic, les chutes peuvent cependant apparaître tard dans l'évolution. Mr L. 65 ans, est gêné depuis 6 à 8 mois pour les gestes précis de la main droite. Son écriture est petite et se rétrécit encore davantage au cours d'une même ligne d'écriture. Il met beaucoup plus de temps à se raser. Quand il marche, son bras droit ne balance pas, mais parfois sa main se met alors à trembler. Il a remarqué que ce tremblement se produit également lorsqu'il regarde la télévision avec attention, le moindre mouvement faisant disparaître ce tremblement.
Question à complément simple. 75 Dans l'observation ainsi décrite, à quel anti-parkinsonien donnez-vous la priorité ? A - Artane® B - Disipal® C - Eldéprine® D - Modopar® E - Trivastal® Bonne(s) réponse(s) : D L'akinésie apparaît comme le symptôme majeur dans cette forme (micrographie) ; la L.DOPA est sans conteste à donner en première intention. L'artane® et le Trivastal® sont intéressant dans les formes tremblantes "pures".
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Question à compléments multiples. 70
Question à compléments multiples. 74
Choisissez le ou les examens complémentaires dont les résultats peuvent donner des arguments positifs pour le diagnostic de sclérose en plaques : A - Ponction lombaire B - Doppler cervical C - Radiographie du crâne D - Potentiels évoqués visuels E - Examen du champ visuel
Le traitement corticoïde de la sclérose en plaques : A - Doit être continué en permanence B - Doit être raison aux poussées C - Ne doit jamais être mis en oeuvre D - Est capable de prévenir les récidives E - Peut comporter des doses massives de manière transitoire Bonne(s) réponse(s) : B E
Bonne(s) réponse(s) : A D E A - Protéinorrachie légèrement augmentée à une dizaine de lymphocytes. Augmentation des gammaglobulines avec profil oligoclonal. D - P E V pathologiques. E - Signes ou séquelles de NORB.
Cures d'1 à 2 mois puis diminution progressive. Diminue la sévérité et la durée de la poussée.
Question à complément simple. 57 Question à compléments multiples. 32 A propos de la sclérose en plaques : A - La protéinorachie est en règle supérieure à 1 g/l B - La névrite optique rétrobulbaire est habituellement symétrique C - La névralgie du trijumeau est rare D - L'euphorie est un signe tardif E - La diplopie peut être révélatrice
Chez un jeune patient suspect de sclérose en plaques, l'examen montre un syndrome pyramidal des quatre membres, un syndrome cérébelleux. un nystagmus et une diplopie. Ce tableau permet d'éliminer un des diagnostics différentiels suivants de la S.E.P., lequel ? A - Tumeur de la fosse postérieure B - Malformation angiomateuse du tronc cérébral C - Compression de la moelle cervicale D - Malformation de la charnière occipito-vertébrale E - Hérédodégénération spinocerébelleuse
Bonne(s) réponse(s) : C D E
Bonne(s) réponse(s) : C
A - La protéinorachie est en règle inférieure à 1 g/l. B - L'atteinte est habituellement asymétrique. C - La névralgie du V est rare mais caractéristique. D - L'euphorie est en général observée tardivement. E - Le plus souvent atteinte du VI, parfois du III de façon dissociée, très rarement le IV.
Ce diagnostic peut être éliminé car il existe des signes topographiques situées au-dessus du niveau lésionnel.
Question à compléments multiples. 71 A propos de la sclérose en plaques il est généralement admis que : A - la maladie est rare dans les zones sub-tropicales B - il existe une corrélation entre l'incidence de la maladie et les antigènes du système d'histo-compatibilité C - une Iymphocytose modérée sans élévation de la protéinorachie est évocatrice D - la première poussée ne survient habituellement pas après l'age de 50 ans E - les troubles de l'oculo-motricité sont exceptionnels Bonne(s) réponse(s) : A B C D A - La maladie est d'autant plus rare que l'on se rapproche de l'équateur. C - Discrète Iymphocytose 2 fois sur 3, discrète protéinorachie 1 fois sur 3. D - Survient habituellement entre 20 et 40 ans. E - Les troubles de l'oculo motricité sont fréquents.
Question à compléments multiples. 65 Au cours de la sclérose en plaques. quel(s) symptôme(s) est (sont) très rarement observé(s) : A - Troubles de la sensibilité profonde B - Hémianopsie latérale homonyme C - Syndrome cérébelleux D - Surdité unilatérale E - Diplopie
Question à compléments multiples. 41 Parmi les symptômes suivants, quels sont les trois qui par leur fréquence, ont une valeur pour le diagnostic de sclérose en plaques ? A - Paraparésie spasmodique B - Hypoacousie unilatérale C - Hypertonie extra-pyramidale D - Névrite optique rétro-bulbaire E - Ophtalmoplégie internucléaire Bonne(s) réponse(s) : A D E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 91 Au cours de la Sclérose en Plaques. les potentiels évoqués visuels : A - Permettent d'ajuster la thérapeutique B - Peuvent Etre anormaux en l'absence de tout phénomène visuel clinique C - Sont symétriques D - Leur altération traduit essentiellement l'existence de plaques périventriculaires postérieures E - Apportent un argument pronostique Bonne(s) réponse(s) : B Atteinte du nerf optique. Permettre de détecter une atteinte infraclinique. Peuvent être symétrique, l'asymétrie est évocatrice.
Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire. RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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Question à compléments multiples. 17
Question à compléments multiples. 76
Le liquide céphalorachidien d'un sujet atteint de sclérose en plaques comporte typiquement : A - Une hypercytose lymphocytaire discrète B - Une hyperprotéinorachie supérieure à 19/l C - Une polynucléose D - Une distribution oligo-clonale du profil électrophorétique des protéines E - Une hypoglycorrachie
Parmi les formules de liquide céphalorachidien ci-dessous, deux sont compatibles avec le diagnostic de sclérose en plaques; lesquelles ? A - Protéines 0,30 g/l, cytologie nulle B - Protéines 1,80 g/1, cytologie nulle C - Protéines 0,30 g/l, 15 Iymphocytes/mm3 D - Protéines 0,80 g/l, 500 Iymphocytes/mm3 E - Protéines 0, 60 g/l, 90 polynucléines/mm3
Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : A C
A - Typiquement < 10/mm3. B - Typiquement 0,7 à 0,8 g/l. D - Hyper gammaglobulinorachie avec répartition oligoclonale.
La protéinorachie est exceptionnellement supérieure à 1 gramme/l dans la SEP ; elle est souvent normale. La lymphocytose est inférieure à 50/mm3.
Question à compléments multiples. 85
Question à compléments multiples. 25
Dans la sclérose en plaques : A - Une hémianopsie latérale homonyme est souvent constatée B - L'augmentation des gammaglobulines dans le L.C.R. s'accompagne d'une distribution oligoclonale C - Il peut exister des troubles sphinctériens D - Le traitement repose sur les corticoïdes au long cours E - La vitesse de sédimentation globulaire est habituellement augmentée
Au cours de la sclérose en plaques : A - Les anomalies des potentiels évoqués visuels sont habituelles B - Il existe souvent une sécrétion intrathécale d'immunoglobulines C - La protéinorachie est en règle supérieure à 1 g/l D - Il existe une Iymphocytose du LCR en règle supérieure à 100 éléments par mm3 E - L'imagerie en résonance magnétique du cerveau est souvent anormale
Bonne(s) réponse(s) : B C
Bonne(s) réponse(s) : A B E L'HLH est tout à fait exceptionnelle dans la SEP. Les corticoïdes ne sont donnés que de façon discontinue, lors des poussées, dont ils ne visent qu'à réduire la durée. L'inflammation est limitée au SNC.
Question à compléments multiples. 42 Au cours d'une sclérose en plaques on peut retrouver : A - Signe de Lhermitte B - Opthalmoplégie internucléaire C - Paresthésies constrictives D - Impuissance E - Syndrome du canal carpien Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 73 La sclérose en plaques est caractérisée par : A - Une hyper-gamma-globulinorachie oligoclonale B - La normalité habituelle de l'I R M (imagerie par résonance magnétique) C - La visualisation quasi-constante des plaques récentes au scanner X après injection de produiT de contraste D - Une augmentation de l'amplitude des potentiels évoqués visuels E - Une majoration des symptômes par la chaleur Bonne(s) réponse(s) : A E - Alors que le scanner est souvent normal, l'IRM montre le plus souvent des hypersignaux de la substance blanche. - L'amptitude des potentiels évoqués est diminuée. - La chaleur majore parfois les troubles (d'où le test diagnostic "du bain chaud").
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La protéinorachie est exceptionnellement supérieure à 1 gramme et la lymphocytose est modérée (ou normale).
Question à complément simple. 83 Le diagnostic de sclérose en plaques peut être argumenté de façon positive par : A - L'étude du L.C.R. B - L'examen par ultrasonographie Doppler des vaisseaux du cou C - L'examen campimétrique du champ visuel D - L'électroencéphalogramme E - L'électromyogramme Bonne(s) réponse(s) : A - Le LCR peut montrer une réaction cellulaire modérée (< 50 éléments lymphocytaires), une protéinorachie normale ou peu augmentée (< 1 g/l), surtout une augmentation oligocionale des immunoglobuline. - Le champ visuel peut montrer un scotome central (séquelle de NORB).
Question à complément simple. 63 La névrite rétrobulbaire de la sclérose en plaques se caractérise par un des signes suivants. Indiquez lequel ? A - Une violente douleur orbitaire B - Une baisse rapide et passagère de la vision d'un oeil C - Une rougeur de l'oeil atteint D - Une polynévrite des membres inférieurs E - L'apparition brusque d'un strabisme chez un jeune de moins de 16 ans Bonne(s) Réponse(s) : B Sans commentaire.
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Question à complément simple. 56
Question à compléments multiples. 85
Le meilleur argument en faveur d'un diagnostic de sclérose en plaques dans cette observation est : A - Le signe de Romberg B - Le signe de Lhermine C - L'âge de la patiente D - La caractère multifocal des lésions E - Le nystagmus multidirectionnel
Dans l'hypothèse où la scène clinique initialement décrite correspond à une sclérose en plaques, ce diagnostic pourrait être conforté par : A - Radiographie de la colonne dorsale B - Potentiels évoqués visuels C - Scanner cérébral D - Electromyogramme E - Electrophorèse des protéines sanguines
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B C Sans commentaire.
Question à complément simple. 57 Les résultats des examens complémentaires suivants sont compatibles avec le diagnostic de sclérose en plaques sauf un lequel ? A - Cytochimie du L C.R normale B - Latences augmentées aux potentiels évoqués visuels C - Hypodensité paraventriculaire prenant le contraste au scanner D - 15 lymphocytes : 0.50 9/1 de proteinorachie dans le L.C.R E - 2 éléments blancs 2 g/l de protéinorachie dans le L.C.R Bonne(s) réponse(s) : E A - Le L.C.R. peut être normal B - Permet un diagnostic infraclinique C - Aspect d'une "plaque" au scanner D - Compatible.
A - Ne montre pas de signe en rapport avec une SEP. B - Peut montrer une atteinte infraclinique très évocatrice C _ En montrant une "plaque de démyélisnisation" dans la substance blanche = hypodensité rehaussée par le produit de contraste si récente. D - Inutile si suspiscion de SEP E - Electrophorèse des protéines du LCR.
Question à compléments multiples. 5 Sur quel(s) argument(s) essentiel(s) le diagnostic de sclérose en plaques peut-il être étayé ? A - La radiographie du canal optique B - Les antécédents familiaux C - Les atteintes neurologiques de poussées antérieures ou concomitantes D - L'hyperpression du liquide céphalo-rachidien E - L'hypergammaglobulinorachie Bonne(s) réponse(s) : C E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 84 Ajoutés à ceux de la présentation, quel(s) élément(s) peu(ven)t plaider fortement en faveur du diagnostic de sclérose en plaques A - Notion d'un trouble visuel unilatéral régressif deux ans plus tôt B - Abolition des réflexes du membre supérieur C - Anesthésie en selle D - Crise d épilepsie généralisée il y a quatre ans E - Surdité progressive unilatérale de transmission
Question à compléments multiples. 6 La sclérose en plaques n'est pas la seule étiologie à évoquer Quel(s) est(sont) le(s) diagnostic(s) étiologique(s) compatible(s) avec le tableau présenté ? A - L'intoxication alcoolo-tabagique B - Une neuropathie carentielle C - Une neuropathie optique de Leber D - Une neuropathie optique type Devic E - Une arachnoïdite opto-chiasmatique
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : D
A - Très évocateur B - Exceptionnel dans une SEP C - Atteinte de la queue de cheval D - 3 à 5 % d'épilepsie dans une SEP E - Mécanisme non central.
Question discutable : le diagnostique de SEP est quasi certain devant ce tableau. - Le syndrome de Devic (neuromyélite aiguë) est une double névrite optique avec atteinte médullaire sévère : l'étiologie la plus fréquente en est la sclérose en plaque, et, de plus, le tableau présenté par la patiente est peu évocateur de ce diagnostic. - La maladie de Leber est une neuropathie optique familiale d'origine mitochondriale se manifestant par une baisse de l'acuité visuelle. Elle est est bilatérale et progressive en quelques mois.
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Question à compléments multiples. 20
Question à complément simple. 78
Le diagnostic de sclérose en plaques est généralement étayé par les examens complémentaires suivants : A - Mesure du débit sanguin cérébral B - Etude du liquide céphalo-rachidien C - Angiographie D - Imagerie par résonance magnétique (IRM) E - Electromyographie
S'il s'agit d'une sclérose en plaques par quel mécanisme peut on expliquer la baisse d'acuité visuelle unilatérale droite ? A - Atteinte du chiasma B - Atteinte de la bandelette optique gauche C - Atteinte du cortex occipital gauche D - Atteinte du nerf moteur oculaire externe droit E - Aucune des réponses précédentes n'est exacte
Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : E B - Le LCR peut montrer une protéinorachie normale ou discrètement augmentée (< 1 g/l), une discrète réaction cellulaire (< 50 éléments), une augmentation oligoclonale des gamma-globulines. D - L'IRM montre généralement des hypersignaux de la substance blanche en T2.
Atteinte du nerf optique.
Question à complément simple. 79 Question à compléments multiples. 21 Une ponction lombaire est alors réalisée. Citez les éléments biologiques qui seraient compatibles avec le diagnostic de sclérose en plaques : A - 8 Lymphocytes par mm3 B - Protéinorachie : 3 g/l C - Protéinorachie : 0, 70 g/l D - Glycorachie : 0, 60 mmoles/l E - Pic oligoclonal des immunoglobulines
S'il s'agit d'une sclérose en plaques le champ visuel réalisé chez cette patiente, montrera de façon très probable : A - Un scotome central unilatéral au niveau du champ visuel de l'oeil droit B - Une hémianopsie bitemporale C - Une hémianopsie binasale D - Une hémianopsie latérale homonyme droite E - Une hémianopsie latérale homonyme gauche Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 80 Question à compléments multiples. 22 Concernant l'imagerie par résonance magnétique (IRM), dans la sclérose en plaques, citez la ou les réponses justes : A - Il existe une étroite relation entre le siège des plaques et la symptomatologie clinique B - Le nombre de plaques de sclérose a une valeur pronostique C - L'IRM permet à elle seule de faire le diagnostic de sclérose en plaques D - Des images radiologiques identiques à celles observées dans la sclérose en plaques peuvent révéler d'autres affections E - Ces images siègent n'importe où au niveau de la substance blanche du système nerveux central
Parmi les examens suivants, quel est celui ou quels sont ceux qui seront perturbés s'il s'agit d'une sclérose en plaques ? A - Potentiels évoqués visuels B - Electrorétinogramme C - Angiographie fluorescéinique D - Echographie oculaire E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 81
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 23 Le traitement de la poussée de sclérose en plaques fait appel à: A - Corticothérapie au long cours B - D-Pénicillamine C - Cyclophosphamide (Endoxan®) D - Aziathioprine (Imurel®) E - Corticothérapie pendant la poussée
Hormis la baisse de l'acuité visuelle unilatérale, on peut rencontrer au cours de l'évolution d'une sclérose en plaques : A - Une cataracte B - Une baisse d'acuité visuelle bilatérale C - Un nystagmus D - Une diplopie E - Une conjonctivite Bonne(s) réponse(s) : B C D B - Oui, mais en général un oeil après l'autre.
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à complément simple. 88 Les fistules carotido caverneuses secondaires à un traumatisme crânien s'accompagnent habituellement des signes suivants sauf un. Lequel ? A - Exophtalmie pulsatile B - Douleurs dans le territoire du nerf trijumeau C - Crises d'épilepsie temporale D - Atteinte des nerfs oculo moteurs E - Perception d'un souffle intra crânien Bonne(s) réponse(s) : C Lésion trop antérieure pour provoquer des crises temporales. A - Est quasi pathognomonique. E - Est un signe important accompagnant habituellement les céphalées. B D - Peuvent appartenir à la séméologie.
Question à compléments multiples. 92 L'apparition progressive d'une confusion 3 mois après un traumatisme crânien avec contusion cérébrale doit faire évoquer le ou les diagnostic(s) suivant(s) : A - Un hématome extradural B - Une dissection carotidienne C - Une hydrocéphalie à pression normale D - Un hématome sous dural chronique E - Un hématome intracérébral Bonne(s) réponse(s) : C D La latence permet d'écarter un hématome extradural et intracérébral ; une dissection carotidienne se serait manifestée par des accidents ischémiques.
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23 Question à compléments multiples.
73 Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles s'applique(nt) aux plasmides de résistance aux antibiotiques ? A - Peuvent être responsables de la résistance simultanée à plusieurs antibiotiques B - Peuvent être transférés entre bactéries d'une même espèce C - Peuvent être transférés entre bactéries d'espèces différentes D - Se répliquent indépendamment du chromosome E - Sont toujours présents à un seul exemplaire par cellule bactérienne
Il est logique de rechercher dans un prélèvement de selles les virus suivants : A - Les coxsackie virus B - Les rotavirus C - Les arbovirus D - Les virus influenzae E - Les virus parainfluenzae
Bonne(s) réponse(s) : A B C D A. Les plasmides codent pour différents types de caractère parmi lesquels la résistance aux antibiotiques. Cette résistance (acquise) peut s'exprimer vis à vis d'un ou plusieurs antibiotiques, appartenant même à des familles différentes. B.C. Le transfert plasmidique est intergénérique ou interspécifique. Il s'effectue soit par conjugaison (plasmides conjugatifs) soit par mobilisation (plasmides non conjugatifs). La très large spécificité d'hôte des plasmides conjugatifs des bacilles gram négatif explique la dissémination des caractères de résistance bactérienne aux antibiotiques : "épidémie de résistance plasmidique ". D. Par définition : cet ADN bicaténaire et circulaire est extrachromosomique et doué de réplication autonome. E. Deux plasmides capables de coexister de façon stable dans la même cellule bactérienne sont dits compatibles (classification des plasmides par groupes d'incompatibilité). D'autre part, lors d'un transfert par mobilisation, le plasmide non conjugatif est transféré par un autre plasmide (conjugatif) présent dans la même bactérie.
Bonne(s) réponse(s) : A B A. Les coxsackies appartiennent au genre entérovirus. Excrétion abondante dans les selles durant des semaines, transmission fécaleorale. B. Rotavirus : responsables de la majorité des gastro-entérites aiguës virales des nourrisson et très jeunes enfants. C. L'isolement du virus, uniquement à partir du sang total prélevé en phase aiguë. D.E. Viroses localisées à la sphère respiratoire ; exceptés les virus des oreillons et de la rougeole qui réalisent des viroses généralisées. La présence d'une enveloppe virale explique fragilité des virus influenza ou parainfluenza, et leur absence dans les selles.
74 Question à compléments multiples. Les cellules transformées par un virus : A - Peuvent se diviser un nombre illimité de fois in vitro B - Obéissent à l'inhibition de contact C - Ont un cytosquelette désorganisé D - N'ont plus 2N chromosomes E - Expriment souvent à leur surface des antigènes nouveaux Bonne(s) réponse(s) : A C D E
72 Question à compléments multiples. Le prélèvement de sang tait partie des prélèvements pratiqués pour la détection du virus ou des antigènes au cours : A - Des infections à virus parainfluenza B - Des infections à virus respiratoire syncytial C - De l'hépatite B D - De la fièvre jaune E - De la fièvre de Lassa Bonne(s) réponse(s) : C D E A.B. La recherche de virus ne présente pas d'intérêt diagnostique ou pronostique. Mais si nécessaire, elle peut être pratiquée au niveau des sécrétions rhinopharyngées et bronchiques, ainsi que dans le liquide pleural. C. Recherche surtout d'antigènes associés au virus : Ag Hbs Hbe, delta. D. Hépatonéphrite hémorragique due au virus amaril (famille : Loga viridae) transmise comme toute arbovirose par un arthropode hématophage. L'isolement du virus se fait à partir du sang total prélevé en phase aiguë. E. Fièvre hémorragique due à un arena virus. La principale lésion est une nécrose hépatocytaire qui contient de nombreuses particules virales.
A. Dans une interaction de type intégratif, la transformation cellulaire est possible. La cellule acquiert la propriété de se diviser in vitro, un nombre illimité de fois. B. Dans certaines situations, lorsqu'il y a interaction de type intégratif, il existe une perte de l'inhibition de contact. C. Le cytosquelette est désorganisé par la présence d'inclusions virales cytoplasmiques (dans le cas d'une interaction de type productif). D. Dans l'interaction de type intégratif, le génome viral peut persister sous forme plasmidique libre, épisomique. La cellule garde ainsi 2N chromosomes. E. Les néoantigènes de la surface cellulaire sont des glycoprotéines d'information virale qui confèrent de nouvelles propriétés antigéniques.
24 Question à complément simple. Indiquez le point d'impact de la pénicilline G sur les germes sensibles : A - Membrane bactérienne B - Synthèse protéique ribosomale C - Mitochondries D - Capsule E - Noyau Bonne(s) réponse(s) : A Les bêta lactamines inhibent la synthèse du peptidoglycane, constituant de la paroi des bactéries gram positif comme à gram négatif. Elles empêchent l'action de la transpeptidase, enzyme-clé de la synthèse du peptidoglycane. La perte de la paroi bactérienne entraîne la lyse bactérienne par hypertonie. Attention : l'action des bêta lactamines se fait au niveau de la paroi et non de la membrane bactérienne (seules les polymyxines agissent au niveau de celle-ci). La réponse A est donnée par approximation et élimination.
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84 Question à complément simple.
17 Question à compléments multiples.
La toxine tétanique a les propriétés suivantes sauf une. Laquelle ? A - Pyrogène B - Antigénique C - Protéique D - Neurotrope E - Thermolabile
Indiquez la ou les propositions exactes concernant l'acycloguanosine ou acyclovir (Zovirax®) : A - Il n'a d'activité anti-herpétique qu'après phosphorylation en acycloguanosine-triphosphate B - Il agit par inhibition de la synthèse de l'ADN viral C - Il agit sur les herpès simplex virus de type 1 et 2 et sur le virus de la varicelle et du zona D - Il élimine l'infection virale latent du ganglion nerveux sensitif E - Il est moins cytotoxique que l'IdU ou Iduviran®
Bonne(s) réponse(s) : A Clostridium Létani produit essentiellement deux exoprotéines : - une hémolysine (tétanolysine) - une toxine (tétanospasmine ou toxine tétanique) A. Le tétanos est une maladie apyrétique, sauf complications. B. Ces propriétés antigéniques sont exploitées lors de la réalisation de l'anatoxine (préparée à partir d'une toxine purifiée et détoxifiée) qui sert de base au vaccin antitétanique. D. La tétanospasmine a un transport principalement, sinon exclusivement, axonal (intra-neuronal). Elle est responsable du syndrome tétanique. Les gangliosides hydrosolubles des tissus cérébraux sont responsables de la fixation de la toxine au niveau du système nerveux central. E. Toute toxine protéique est thermolabile, par opposition aux endotoxines glucido-lipidoprotéique qui, elles, sont thermostables.
15 Question à compléments multiples. L'infection herpétique latente qui sous-tend l'herpès récurrent a un ou plusieurs des caractères suivants : A - Elle a pour siège principal les ganglions lymphatiques du territoire de la primo-infection B - Elle peut durer toute la vie C - Elle est sujette à des réactivations qui aboutissent à une excrétion du virus D - Elle peut être éliminée par les antiviraux de type acyclovir E - Elle peut être éliminée par les immunostimulants de type isoprinosine Bonne(s) réponse(s) : B C A. Entre la primo-injection et les récurrences, le virus reste latent dans l'organisme, dans le corps cellulaire des neurones sensitifs périphériques innervant le territoire de la primo-infection, pour les herpès viridae neurotropes comme les herpès simplex virus (HSV1 et 2) et le virus de la varicelle et du zona (VZV). D. Les antiviraux de type aciclovir sont des virostatiques. Ils sont incapables d'éradiquer l'infection latente. En tant qu'inhibiteurs de la synthèse des acides nucléiques viraux, ces substances ne manifestent leur activité que sur des virus en phase de multiplication. Ils peuvent enrayer ou prévenir le développement d'une infection aiguë, mais dès l'arrêt du traitement l'infection pourra reprendre si l'immunodépression ou les facteurs déclenchants, les récurrences réapparaissent.
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Bonne(s) réponse(s) : A B C E L'acycloguanosine, comme tout nucléoside, n'entre dans le métabolisme des acides nucléiques qu'après trois phosphorylations successives conduisant à l'acycloguanosine triphosphate (ACV TP). B. L'ACV-TP inhibe l'ADN polymérase virale, ou bien celle-ci incorpore l'ACV-TP à la place d'une guanosine dans l'ADN en formation : dans ce cas, la chaîne hydrocarbonée de l'ACV-TP est incapable d'accrocher un autre nucléoside, de sorte que l'incorporation d'ACV-TP termine la chaîne d'ADN viral. C. Interaction obligatoire avec deux enzymes viro-induites : l'ADN polymérase (commune à tous les herpès viridae) et la thymidine kinase qui elle n'est présente que chez les herpès simplex (HSV1 et 2), et le virus varicelle zona (VZV) D. Virostatique. De plus, il n'agit qu'en phase aiguë sur les virus en phase de multiplication. E. Le passage par deux enzymes constitue deux mécanismes de sécurité qui sauvegardent les synthèses cellulaires normales. L'aciclovir est véritablement un inhibiteur spécifique de la synthèse de l'ADN viral. L'iduviran interfère lui avec l'ADN viral et l'ADN cellulaire.
19 Question à compléments multiples. Indiquez la ou les propositions exactes concernant les cassures antigéniques des virus grippaux : A - Elles intéressent les virus influenza A et B B - Elles mènent à l'apparition de nouveaux sous-types C - Elles donnent chaque hiver une épidémie de grippe D - Elles ont pour substrat génétique des mutations ponctuelles liées à des changements de bases nucléiques dans le génome E - Elles sont responsables du glissement antigénique qui affecte des virus Bonne(s) réponse(s) : B A.B.D. Les cassures antigéniques ne surviennent que chez les virus influenza de type A. Le mécanisme de réassortiment génique entraîne des modifications antigéniques majeures et l'apparition de nouveaux sous-types A. C.E. Elles sont responsables de pandémies survenant tous les 10 ou 20 ans.
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23 Question à compléments multiples.
69 Question à compléments multiples.
L'anatoxine tétanique est pratiquement applicable : A - A la vaccination préventive des sujets sains B - A la protection immédiate d'un blessé non vacciné C - Au traitement curatif d'un sujet atteint de tétanos D - Au moyen d'identification du tétanos chez un sujet suspect E - A la protection d'un blessé antérieurement vacciné depuis 3 ans
Le facteur sexuel F des bactéries F+ : A - Est composé d'ARN bicaténaire B - Est toujours intégré au chromosome C - Gouverne la formation des pili sexuels D - Change la polarité sexuelle des bactéries auxquelles il est transféré E - Est capable de replication Bonne(s) réponse(s) : C D E
Bonne(s) réponse(s) : A E A.E. La toxine dénaturée par formolage et incubation à la chaleur ne conserve que son pouvoir antigénique et immunisant. D. Pas de diagnostic biologique du tétanos. B.C. Utilisation de l'antitoxine (efficacité nette pour B, moins nette pour C).
A. Constitué d'ADN, associé ou non au chromosome. Les souches bactériennes qui contiennent l'agent infectieux appelé facteur sexuel F sont dit mâles. C. Les pilis sexuels jouent un rôle essentiel dans le phénomène de reconnaissance entre bactéries mâles et femelles, et ensuite dans le phénomène de transfert de DNA. D. Lorsqu'au cours d'une conjugaison, un facteur F nouvellement répliqué par la bactérie mâle passe dans la bactérie femelle, celle-ci devient alors mâle.
24 Question à compléments multiples. Le staphylocoque doré coagulase + peut être responsable de : A - Acné B - Impétigo C - Psoriasis pustuleux D - Nécrolyse épidermique (Lyell du nourrisson) E - Epidermolyse bulleuse congénitale Bonne(s) réponse(s) : B D B. L'impétigo est dû le plus souvent à un streptocoque du groupe A, rarement à un staphylocoque doré (coagulase +). D. La nécrolyse épidermique est due à une toxine staphylococcique nécrosante : toxine épidermolytique ou exfoliatine.
27 Question à compléments multiples. Parmi les caractères suivants, lequel(lesquels) concerne(nt) le gonocoque ? A - Sa culture est facile sur milieux ordinaires B - Il peut sécréter une bêta-lactamase C - Il est souvent intraleucocytaire à l'examen microscopique D - Sa culture ne nécessite pas de CO2 E - C'est un pathogène de l'homme, jamais rencontré chez l'animal Bonne(s) réponse(s) : B C E A.D. La culture est difficile, exige des milieux spéciaux enrichis en dioxyde de carbone et en facteurs de croissance. C. Excellent signe à rechercher qui oriente le diagnostic. B. La sécrétion d'une lactamase est due à la présence de plasmides dans le gonocoque. La recherche d'une lactamase est maintenant systématique lorsque l'antibiogramme montre une résistance aux bêta lactamines.
71 Question à compléments multiples. Quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) concernant Staphylococcus aureus ? A - Il peut élaborer une exotoxine protéique B - Est en cause dans l'ostéomyélite aiguë C - Toutes les souches élaborent un pigment doré D - Il résiste à l'action de toutes les bêta-lactamines E - Il est constamment pathogène pour l'homme Bonne(s) réponse(s) : A B A. Qui est le plus fréquemment une entérotoxine. C. L'élaboration de pigment doré participe à l'identification bactériologique du staphylocoque doré, mais il vaut mieux s'intéresser à la présence ou non d'une enzyme : coagulase. E. Il existe un portage sain cutané.
95 Question à complément simple. Le vaccin BCG correspond à : A - Une souche de Mycobacterium tuberculosis hominis atténuée B - Des extraits de bacilles tuberculeux chauffés C - Une souche tuée de Mycobacterium bovis D - Une souche de Mycobacterium bovis vivante mais atténuée E - Un mélange de Mycobacterium bovis et de Mycobacterium tuberculosis Bonne(s) réponse(s) : D La souche avirulente, capable de vacciner contre la tuberculose, a été obtenue par Calmette et Guérin par culture d'une souche de mycobactérium bovis repiquée. Tous les vaccins utilisés dans le monde en sont issus.
42 Question à compléments multiples. Le diagnostic de gale repose sur : A - La présence d'un sillon sinueux entre les doigts B - L'apparition de folliculites du cuir chevelu C - L'existence de nodules infiltrés des régions génitales D - L'existence d'un érythème noueux E - L'absence de prurit familial Bonne(s) réponse(s) : A C Non commentée : évidence.
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96 Question à complément simple.
54 Question à compléments multiples.
Parmi les cinq propositions suivantes, une seule est exacte. Laquelle ? A - Par vieillissement la toxine tétanique se transforme en anatoxine B - L'action de la chaleur sur la toxine tétanique permet d'obtenir l'anatoxine C - L'injection d'anatoxine est suivie d'une immunité passive D - Le traitement de la toxine tétanique par le formol et la chaleur permet d'obtenir une anatoxine E - L'injection d'anatoxine tétanique confère également une immunité contre les autres infections à bactéries anaérobies strictes d'origine tellurique
Parmi les affections suivantes, laquelle ou lesquelles peuvent être dues à Candida albicans ? A - Vulvovaginite B - Perlèche C - Teigne D - Herpès circiné E - Septicémie
Bonne(s) réponse(s) : D
77 Question à compléments multiples.
A. La toxine tétanique résiste remarquablement au vieillissement. C. L'injection d'anatoxine est suivie d'une immunité active. A la différence de l'antitoxine suivie d'une immunité passive.
97 Question à complément simple. Taenia saginata se contracte : A - Par ingestion d'aliments souillés B - Par marche dans la boue C - Par ingestion de viande peu cuite ou crue D - Par les mains sales E - Par inhalation de poussières Bonne(s) réponse(s) : C Taenia saginata par ingestion de viande de boeuf (taenia solium : par ingestion de viande de porc).
98 Question à complément simple. L'effet cytopathique (ou cytopathogène) d'un poliovirus est défini par l'une des propositions suivantes : A - C'est l'arrêt des synthèses normales de la cellule B - C'est l'apparition d'une inclusion cytoplasmique refoulant le noyau, visible en microscopie optique C - C'est l'apparition dans le cytoplasme de particules virales visibles en microscopie électronique D - C'est le bourgeonnement de virus à travers la membrane cytoplasmique E - C'est l'orientation des synthèses de la cellule vers la fabrication de composants viraux par l'intervention des messagers viraux Bonne(s) réponse(s) : B En microscopie optique : altération de la masse cellulaire : les cellules infectées sont plus arrondies et plus réfringentes que les cellules normales ; après coloration, le cytoplasme contient une vaste inclusion éosinophile qui refoule et plisse le noyau à la périphérie de la cellule. En microscopie électronique : dans le cytoplasme, apparaissent des vacuoles, des vésicules limitées par des membranes, et des virus, libres ou agrégés sous forme de cristaux. Attention : dans ce Q.C.M. à complément simple, B s'impose. Dans un Q.C.M. à compléments multiples, C pourrait faire partie des items vrais.
Bonne(s) réponse(s) : A B E C. Teigne : dermatophytie du cuir chevelu. D. Herpès circiné : dermatophytie de la peau glabre.
A propos du vaccin contre la grippe : A - C'est en France un vaccin inactivé ("tué") B - Il suscite une bonne protection locale au niveau de l'arbre respiratoire C - La survenue d'une cassure antigènique oblige toujours à en modifier la composition D - Il comporte actuellement 2 souches de virus grippal A et une souche de virus grippal B E - Les insuffisants cardiaques ou respiratoires et les vieillards font partie des sujets à qui l'on conseille la vaccination Bonne(s) réponse(s) : A C D E B. Confinée à l'arbre respiratoire, l'infection grippale échappe aux anticorps circulants suscités par l'injection périphérique, souscutanée ou intramusculaire, des vaccins grippaux inactivés.
78 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant le vaccin grippal inactivé, quelle est celle ou quelles sont celles que vous retenez ? A - Il contient classiquement 3 virus antigéniquement différents B - Le(s) virus vivant(s) a(ont) été atténué(s) par passages successifs C - On le fabrique sur l'oeuf de poule embryonné D - Il contient toujours le virus influenzae B E - Il donne une bonne immunité locale Bonne(s) réponse(s) : A C D B. Le vaccin grippal est un vaccin inactivé (tué). E. Administré par voie périphérique, sous-cutanée ou intramusculaire, l'immunité est générale.
102 Question à compléments groupés. Un accès pernicieux peut être provoqué par : 1 - Plasmodium malariae 2 - Plasmodium ovale 3 - Plasmodium vivax 4 - Plasmodium falciparum Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : D
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1. La fièvre quarte, et parfois, complications rénales. 2.3. Fièvre tierce bénigne. 4. En dehors d'accès pernicieux dont il est le seul responsable, plasmodium falciparum peut provoquer fièvre tierce maligne et 364indirectement, fièvre bilieuse hémoglobinurique. By NADJI 85
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3 Question à complément simple.
27 Question à complément simple.
Devant une image ronde de la base pulmonaire chez un nord-africain, on soupçonne un kyste hydatique. Quelle méthode proposeriez-vous pour étayer le diagnostic ? A - Echographie hépatique B - Cytoponction du kyste C - Immunoélectrophorèse D - Numération formule sanguine E - Artériographie bronchique
Parmi les affirmations concernant la toxoplasmose congénitale, retenez celle qui est exacte : A - Elle est plus fréquente au cours du troisième trimestre de la grossesse B - Elle est exceptionnelle au cours du premier trimestre de la grossesse C - Elle est plus grave si la contamination se fait durant le troisième trimestre de la grossesse D - La toxoplasmose de la femme enceinte doit être traitée par pyriméthamine E - La lésion oculaire caractéristique chez le nouveauné atteint est la fibroplasie rétro-lentale
Bonne(s) réponse(s) : C A. Recherchera une localisation associée, très évocatrice, mais sans valeur diagnostique. B. Formellement contre-indiquée dès qu'il y a suspicion d'hydatidose. Les examens paracliniques (radiologie et immunologie) permettent d'écarter l'éventualité d'une hydatidose. C. Les réactions séro-immunologiques font le diagnostic spécifique : réaction d'immuno-précipitation (immunoélectrophorèse et électrosynérèse) avec identification d'un arc de précipitation spécifique (arc S), réaction d'immunofluorescence indirecte, réaction immuno-enzymatique (Elisa). D. L'hyperéosinophilie, habituelle dans les helminthiases, n'a qu'une valeur d'orientation. Elle est souvent peu élevée, sauf quelquefois après fissuration ou rupture du kyste.
16 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes, cochez la seule exacte. Orthomyxovirus influenzae type A présente, d'une année à l'autre, de légères modifications (dérive ou glissement) qui sont liées à : A - Une recombinaison génétique avec un virus aviaire B - Une recombinaison génétique avec un virus équin C - Une mutation ponctuelle modifiant légèrement la structure de l'hémagglutinine D - Une mutation modifiant légèrement la structure de la replicase constitutive E - Aucune des explications précédentes n'est valable
Bonne(s) réponse(s) : A D. Le traitement électif est la spiramycine. Attention : pyriméthamine, antifolique, et foetotoxique. E. Observée dans les hyperoxies iatrogènes en réanimation néonatale. A.B.C. Au cours du premier trimestre, la transmission au foetus du parasite est rare (environ 5 % des cas) mais l'atteinte est grave, aboutissant à une interruption de grossesse ou à des lésions sévères. Au dernier trimestre, la transmission de l'infection au foetus est la plus fréquente (période où le placenta est le plus perméable aux toxoplasmes) mais la foetotoxicité est moindre. L'item A s'impose dans ce Q.C.M. à complément simple. L'item B est discutable sur l'interprétation que le lecteur fera de l'adjectif "exceptionnelle".
28 Question à complément simple. Le zona est une récurrence ou une forme clinique de : A - L'herpès récurrent B - La varicelle C - L'impétigo de Bockhart D - La pemphigoïde bulleuse E - Aucune de ces affections
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B
A.B. Dans les réassortiments géniques responsables des cassures antigéniques, des recombinaisons génétiques avec les virus influenza A animaux seraient impliqués.
Evident : Non commenté.
92 Question à complément simple. Au retour d'un voyage en zone d'endémie palustre, la chimioprophylaxie du paludisme doit se prolonger après le retour : A - 4 jours B - 15 jours C - 60 jours D - 90 jours E - 120 jours Bonne(s) réponse(s) : C C'est la durée maximale de l'incubation de plasmodium falciparum, seul responsable des accès pernicieux. Ceux-ci seront donc évités par cette chimioprophylaxie.
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93 Question à complément simple.
28 Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes, indiquez celle qui s'applique aux plasmides : A - Ils sont transférés d'une cellule bactérienne à l'autre par conjugaison B - Ce sont des fragments d'ARN cytoplasmiques C - Ils sont uniquement des médiateurs de la résistance aux antibiotiques D - Ils sont spécifiques des seules entérobactéries E - Aucune de ces propositions
Parmi les éléments de conduite d'une chimioprophylaxie du paludisme pour un européen se rendant 1 mois en Afrique tropicale, retenez la ou les propositions exactes : A - Prendre 100 mg (1 cp) de Nivaquine® par jour B - Commencer la prophylaxie une semaine avant le départ C - La poursuivre pendant toute la durée du séjour D - L'interrompre pendant 3 semaines après le retour E - S'il s'agit d'une femme enceinte, donner seulement 50 mg de Nivaquine® par jour
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A B E Les plasmides conjugatifs auto-transmissibles sont transférés par conjugaison. Les plasmides non conjugatifs peuvent être transférés, avec également duplication de l'ADN selon un mécanisme de mobilisation: soit par donation (transfert sans association physique entre le plasmide conjugatif complémentant et le plasmide mobilisé), soit par conduction (transfert avec co-intégration des deux structures par recombinaison homologue ou par transposition).
8 Question à compléments multiples. A quelle(s) étape(s) de la réplication virale peuvent intervenir les anticorps neutralisants ? A - L'attachement du virus B - La réplication du génome C - La production des messagers viraux D - La synthèse des enzymes viro-induites E - L'assemblage Bonne(s) réponse(s) : A Les anticorps neutralisants ont pour cible le virus libre extracellulaire, donc, soit en phase de virémie, soit au moment de l'attachement du virus à la cellule.
10 Question à compléments multiples. Toxoplasma gondii existe dans l'organisme humain sous différents aspects morphologiques. Indiquez le(s) quel(s) ? A - Kyste B - Oocyste C - Sporozoïte D - Trophozoïte E - Sporocyste
B. Commencer le jour du départ. D. La durée conseillée est actuellement de 30 jours après le retour (période d'incubation maximale du Plasmodium falciparum). E. Pas de toxicité chez la femme enceinte. La prophylaxie sera donc réalisée normalement.
70 Question à compléments multiples. Par ingestion de viande insuffisamment cuite on peut contracter : A - Taeniasis à Tania saginata B - Toxoplasmose C - Cysticercose D - Hydatidose E - Trichinose Bonne(s) réponse(s) : A B E A. Viande de boeuf (T. saginata), de porc (T. solium). B. Surtout viande de mouton. C. Cestodose due au développement de la larve de Laenia solium, l'homme se substitue alors au porc comme hôte intermédiaire. Elle se contracte par absorption de végétaux souillés par les déjections humaines contenant des embryophores, mais aussi et surtout par auto-infestation (digestion d'anneaux remontés dans l'estomac par antipéristaltisme ou fautes d'hygiène après défécation). D. Infestation par ingestion d'oeufs, recueillis sur le pelage des chiens infestés, ou absorbés sur des végétaux souillés par les déjections d'animaux malades. E. Par absorption de porc, dont la cuisson est le plus souvent insuffisante. Exceptionnelle contamination à partir de viande de cheval.
71 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A D A. Leur ingestion est responsable de l'infestation à partir de la viande d'animaux, eux-mêmes parasités. D. Forme végétative à multiplication intra-macrophagique. B. Forme responsable de l'infestation des herbivores lors de l'ingestion d'aliments humides. C.E. L'oocyste coccidien contient huit sporozoïtes groupés quatre par quatre dans deux sporocystes accolés à l'intérieur de l'enveloppe oocystique. Aboutissement du cycle sexué chez le chat. B.C.E. Ne sont jamais retrouvés chez l'homme mais uniquement dans les cycles animaux.
Chez un malade présentant un accès palustre pernicieux, quel est ou quels sont le ou les traitements et leur voie d'administration à utiliser de toute urgence ? A - Chloroquine per os B - Sulfadoxine et pyriméthamine per os C - Quinine intraveineuse D - Chloroquine intramusculaire E - Sulfadoxine et pyriméthamine intramusculaires Bonne(s) réponse(s) : C Seul traitement de l'accès pernicieux : à la posologie de 25 mg/kg/jour (maximum 1,50 g à 2 g chez l'adulte) pendant trois à six jours consécutifs. Relayée par la chloroquine (Nivaquine®) per os, ou par le Fansidar® ou la méfloquine (Lariam®) s'il existe une possibilité de résistance.
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72 Question à compléments multiples.
83 Question à complément simple.
Les formes latentes des agents du paludisme dans les érythrocytes : A - Se manifestent par des poussées fébriles à intervalles fixes B - Se manifestent seulement si elles sont en nombre important C - Ne peuvent évoluer que dans la cavité digestive de l'anophèle D - Se détruisent par vieillissement et disparaissent en quelques jours E - Peuvent se mettre à proliférer après piqûre d'anophèle
Un des caractères suivants concernant la mutation bactérienne est faux. Lequel ? A - Rareté B - Spontanéité C - Stabilité D - Irréversibilité E - Spécificité
Bonne(s) réponse(s) : C Les formes quiescentes, plutôt latentes, du paludisme dans les érythrocytes sont les gamétocytes. Absorbés lors du repas sanguin de l'anophèle, les gamétocytes se transforment en gamètes dans l'estomac du moustique et donnent les sporozoïtes infestants. Contenus dans les glandes salivaires du moustique infesté, ils seront injectés lors de la piqûre dans la plaie.
20 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : D A.B.C.E. Sont les quatre caractéristiques fondamentales des mutations bactériennes. D. La mutation inverse est toujours possible. Ce phénomène ne va pas contre la stabilité des mutations.
65 Question à compléments multiples. Sarcoptes Scabiei hominis est un acarien : A - Hématophage B - Parasite strict de l'homme C - Responsable de la gale D - Visible à l'oeil nu E - Sensibles aux antibiotiques Bonne(s) réponse(s) : B C
Le glissement antigènique observé chez les virus de la grippe a les caractères suivants sauf un. Indiquez lequel : A - Concerne les virus influenza A et B B - Donne des modifications antigèniques de l'hémagglutinine C - Est marqué par l'apparition de nouveaux variants à l'intérieur du même sous-type D - A pour origine probable des échanges de gènes entre souches humaines et souches animales E - Oblige à reconsidérer la composition des vaccins tous les ans ou tous les 2 ans environ Bonne(s) réponse(s) : D D. Cette hypothèse concerne les réassortiments de gènes, responsables des cassures antigéniques, survenant avec le virus influenza A, et à l'origine de pandémies.
82 Question à complément simple. Parmi les différents facteurs de défense, indiquez celui qui est mis en jeu par la cellule dans les heures qui suivent son infection par un virus : A - Interféron B - Anticorps C - Macrophages D - Complément E - Immunoglobulines A sécrétoires Bonne(s) réponse(s) : A A. La sécrétion d'interféron fait partie des moyens de défense rapide que l'organisme met en jeu dans les heures qui suivent l'infection. Il inhibe la multiplication virale dans les cellules, protège les cellules voisines sans en altérer le fonctionnement. B.C.D.E. Réponse immunitaire spécifique mais son délai de mise en oeuvre se chiffre en jours, que la réponse soit primaire ou secondaire.
D. Non, puisque la taille des femelles est de 330 microns, celle des mâles de 220 microns. E. Le traitement (le plus connu et utilisé est le benzoate de benzyle ou Ascabiol®).
66 Question à compléments multiples. Parmi les parasitoses suivantes, laquelle ou lesquelles sont secondaires à une porte d'entrée cutanée dans l'organisme humain ? A - Amibiase B - Ascaridiose C - Giardiase D - Paludisme E - Ankylostomose Bonne(s) réponse(s) : D E A.B.C. Contamination par voie digestive (ingestion de kyste pour l'amibiase et la giardiase, ingestion d'oeuf renfermant une larve infestante pour l'ascaridiose). D. Infestation par piqûre cutanée par un arthropode hématophage. E. Contamination trans-cutanée, par pénétration active de la larve à travers la peau.
20 Question à complément simple. Le lysosyme est : A - Une endotoxine bactérienne B - Un médiateur de l'hypersensibilité immédiate C - Une enzyme antibactérienne des larmes et de la salive D - Une organelle intracytoplasmique riche en enzymes lytiques E - Une lymphokine Bonne(s) réponse(s) : C Non commentée : évidence.
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27 Question à complément simple.
93 Question à complément simple.
Quelle est, concernant le transfert génétique par conjugaison chez les bactéries, la seule proposition exacte ? A - Nécessite l'intervention d'un bactériophage B - Nécessite qu'une des deux bactéries héberge un plasmide C - Ne nécessite pas qu'il y ait contact entre les bactéries D - Consiste en un transfert d'ARN d'une bactérie à une autre E - Ne concerne que les caractères de résistance aux antibiotiques
La chloroquine (Nivaquine®) est conseillée pour le traitement d'un accès palustre aigu, sauf lorsqu'il a été contracté : A - En Afrique du Nord B - Au Moyen Orient C - En Amazonie D - En Afrique de l'Ouest E - En Europe Orientale
Bonne(s) réponse(s) : B A. La transduction est le transfert de matériel génétique d'une bactérie à une autre par l'intermédiaire d'un bactériophage à ADN bicaténaire, après lysogénie. B. Le transfert génétique par conjugaison peut concerner du matériel chromosomique ou plasmidique. Il nécessite la formation de pili de contact, sous la dépendance d'un facteur J sexuel, F de fertilité. C. Ce contact est indispensable pour la conjugaison et réalisé grâce au pili. D. Toujours un transfert d'ADN. E. Concerne les différents types de caractères portés par les plasmides.
32 Question à complément simple. Les cassures antigéniques observées chez les virus de la grippe ont les caractères suivants sauf un. Lequel ? A - Ne concernent que les virus influenza A B - Sont à l'origine des pandémies de grippe C - Donnent notamment des modifications antigèniques majeures de l'hémagglutinine D - Sont dues à des mutations ponctuelles portant sur quelques bases du génome viral E - Surviennent environ tous les 10 ans Bonne(s) réponse(s) : D C. Parfois des modifications antigéniques majeures de la neuraminidase, (souvent associées à celles de l'hémagglutinine). D. Les glissements antigéniques sont dûs à des mutations ponctuelles, les cassures antigéniques sont provoquées par des réassortiments de gènes.
55 Question à complément simple. Parmi les infections suivantes observées au retour des tropiques, indiquez celle qui ne comporte pas de diarrhée : A - Paludisme de primo-invasion B - Typhoïde C - Lambliase D - Arbovirose méningée E - Trichinose
Bonne(s) réponse(s) : C Les zones actuelles de chloroquino-résistance sont l'Asie du SudEst, l'Amérique Centrale et l'Amérique du Sud, l'Afrique de l'Est. Récemment étaient décrits des foyers de résistance en Afrique de l'Ouest.
100 Question à complément simple. Les parasitoses suivantes sont secondaires à une contamination transcutanée, sauf une. Laquelle ? A - Bilharziose B - Ankylostomiase C - Anguillulose D - Nécatorose E - Distomatose Bonne(s) réponse(s) : E E. Contamination par ingestion de métacercaires avec leur support végétal : le plus fréquent en cause est le cresson sauvage ; les pissenlits et les chicorées cueillis dans les patûrages humides sont aussi à l'origine de fasciolase. Attention : le mouton et le boeuf sont les réservoirs de la maladie, mais la consommation de foies parasités même crus n'induit pas la maladie.
101 Question à complément simple. Parmi les caractères suivants, indiquez celui qui ne s'applique qu'au vaccin B.C.G. : A - Souche de Mycobacterium tuberculosis atténuée B - Extraits de bacilles de Koch chauffés C - Souche tuée de Mycobacterium bovis D - Souches de Mycobacterium bovis vivante mais atténuée E - Extraits protéiques de Mycobacterium tuberculosis provenant de tuberculines purifiées Bonne(s) réponse(s) : D D. Souche de Calmette et Guérin, mycobactérium bovis vivant mais atténué par repiquages successifs sur milieu glycériné à la bile de boeuf. Tous les vaccins vivants BCG utilisés dans le monde proviennent de cette souche initiale.
Bonne(s) réponse(s) : D A. Seule la primo-invasion peut comporter une diarrhée. B. Diarrhée jus de melon" du deuxième septennaire. C. Selles pâteuses, plus rarement diarrhéiques accompagnées de douleurs abdominales vagues et de nausées. E. A la phase initiale, dans les 48 premières heures, la diarrhée correspond à l'installation de vers adultes dans l'intestin (catarrhe intestinal).
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10 Question à compléments multiples.
72 Question à compléments multiples.
L'immunité engendrée chez l'homme par l'antitoxine tétanique est : A - D'effet immédiat B - A support humoral C - A support cellulaire D - Durable E - Utilisable en vaccination préventive
La résistance plasmidique aux antibiotiques est le mode de résistance le plus redoutable en médecine humaine. Parmi les 5 propositions suivantes, indiquez celle(s) que vous retenez : A - L'administration d'un seul antibiotique peut sélectionner une souche bactérienne multi-résistante B - La transmission de la résistance est héréditaire C - La transmission de la résistance aux bactéries sensibles se fait sur un mode épidémique D - La résistance peut être transférée d'un Escherichia coli à un Pseudomonas aeruginosa E - La résistance plasmidique concerne la plupart des grandes familles antibiotiques
Bonne(s) réponse(s) : A B A.B. Injection d'immunoglobulines sériques, c'est une sérothérapie qui procure ainsi une immunité passive, d'effet immédiat, de durée d'action, courte de trois semaines environ. D.E. Concerne l'anatoxine utilisée comme préparation vaccinale.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
52 Question à compléments multiples. L'herpès circiné trichophytique : A - Est dû à un dermatophyte B - Atteint la peau glabre C - Est à extension centrifuge D - Est aggravé par la corticothérapie E - Peut être traité par la nystatine
B. Les plasmides sont des molécules d'ADN bicaténaire, circulaire, extrachromosomique douées de réplication autonome, et qui sont transmises de façon stable au cours des générations. E. Sauf certaines familles : polypeptides - quinolones, ou certaines molécules rifampicine vancomycine.
73 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D A.B. C'est la lésion la plus fréquente des épidermophyties de la peau glabre. Les genres microsporum, trichophyton et épidermophyton en sont responsables. C. Tache érythémato-squameuse superficielle qui s'étend rapidement d'une façon excentrique, centrifuge avec typiquement une guérison centrale. D. Comme toutes les dermatoses infectieuses. E. La Nystatine est active uniquement sur les levures. Traitement local souvent suffisant par les dérivés imidazolés, éconazole (Pévaryl®)
40 Question à compléments multiples. On n'a encore jamais observé de phénomènes de résistance d'origine plasmidique pour : A - Chloramphénicol B - Colistine C - Pénicilline G D - Gentamicine E - Acide nalidixique Bonne(s) réponse(s) : B E Aucune résistance plasmidique n'a jusqu'ici été rencontrée avec les quinolones, mais aussi avec les polypeptides, la rifampicine, la vancomycine.
Lors d'un accès fébrile faisant craindre un accès pernicieux à Plasmodium falciparum, quel est ou quels sont le ou les examens à prescrire d'urgence pour un diagnostic de certitude ? A - Sérologie du paludisme B - Frottis sanguins C - Hémoculture D - Coproculture E - Numération globulaire Bonne(s) réponse(s) : B B. Le diagnostic du paludisme repose sur la mise en évidence de l'hématozoaire. La recherche du parasite s'effectue sur frottis minces colorés au May-Grunwald-Giemsa. Le résultat peut être obtenu en urgence. La goutte épaisse permet de mettre en évidence les parasites lorsqu'ils sont relativement dans une plus grande quantité de sang, coloré au Giemsa. Les quelques heures de séchage nécessaire ne permettent pas de l'interpréter en urgence, dans le cadre d'une suspicion d'accès palustre.
96 Question à compléments groupés. Quelle(s) est(sont) la(les) affection(s) qu'un touriste se rendant aux Antilles peut contracter : 1 - Ankylostomiase 2 - Bilharziose à Schistosoma hematobium 3 - Syndrome de larva migrans cutané 4 - Filariose à loa-loa Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B 1. Parasitose ubiquitaire en zone inter-tropicale. 2. Cette forme, urinaire, est exclusivement africaine, avec quelques foyers asiatiques. Aux Antilles, existe shistosoma mansoni responsable de bilharziose intestinale. 3. Ou toxocarose, parasitose ubiquitaire en zone intertropicale, due à la pénétration transcutanée chez l'homme de larves d'ankylostomes parasitant normalement les canidés. 4. Se rencontre uniquement en Afrique de l'Ouest et Afrique centrale.
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34 Question à complément simple.
16 Question à compléments multiples.
Le réservoir anatomique du virus au cours d'un zona est : A - La corne antérieure de la moelle épinière B - La racine antérieure motrice de la moelle épinière C - Le ganglion de la racine sensitive postérieure de la moelle épinière D - Les ganglions lymphatiques E - Les nerfs périphériques
Le vaccin antigrippal utilisé en France : A - Est préparé sur oeuf B - Est polyvalent grippes A et B C - Sa composition est adaptée aux souches les plus actuelles D - Est administré par voie sous-cutanée E - Nécessite un rappel tous les 5 ans
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Non commentée : connaissance.
A. Le vaccin grippal est préparé sur oeuf embryonné. Il est donc contre-indiqué s'il existe une allergie à l'oeuf (Ceci s'applique aussi au vaccin de la rougeole). B. L'antigène ribonucléoprotéine RNP, antigéniquement stable, a une spécificité large sur laquelle repose la classification des virus influenza en type A, B ou C. Les vaccins inactivés sont polyvalents comportant plusieurs souches A et une souche B. C. Les modifications antigéniques des virus influenza obligent à changer constamment la composition des vaccins pour y introduire toute souche nouvelle échappant aux anticorps développés contre les souches précédentes. Ce réajustement nécessaire des vaccins (selon les instructions de l'OMS) ne saurait prévenir les glissements et les cassures antigéniques, qu'il ne fait que suivre. D. Vaccination par une ou deux injections sous-cutanées de 1 ml chez l'adulte. Protection suffisante mais relativement courte (de six à neuf mois). E. Vaccination répétée tous les ans (et adaptée aux nouvelles souches) pour couvrir la période froide automne-printemps.
119 Question à compléments multiples. Chez l'homme une infection virale latente peut être provoquée par : A - Myxovirus influenzae B - Herpès simplex virus C - Virus rabique D - Virus de la varicelle E - Poliovirus Bonne(s) réponse(s) : B D Les virus appartenant à la famille des herpès virus sont caractérisés par la présence du virus dans l'organisme après la primo-infection : phase de latence. Durant l'infection herpétique latente, l'ADN des herpès virus présent dans le noyau de la cellule n'exprime qu'une faible partie de son information génétique. Le site de latence pour les virus dermoneurotropes (herpès simplex virus 1 et 2, herpès varicelle-zona) est le neurone sensitif, pour les virus, leucotropes (cytomégalovirus, Epstein-Barr virus) c'est le leucocyte.
12 Question à compléments multiples. Un enfant dont la mère a fait une séroconversion toxoplasmique au cours de la grossesse, est né cliniquement sain. Indiquez le ou les examen(s) clinique(s) ou paraclinique(s) qui sont couramment mis en oeuvre pour le surveiller ? A - Examen neurologique et du fond d'oeil B - Radiographie du crâne C - Sérodiagnostic spécifique D - Myélogramme E - Electromyographie Bonne(s) réponse(s) : A B C A. Permet de mettre en évidence les formes neurologiques évolutives (secondaires à une contamination en milieu de grossesse) et les formes neuro-oculaires séquellaires (contamination en fin de grossesse). Le fond d'oeil : recherche la choriorétinite pigmentaire maculaire, uni ou bilatérale qui peut apparaître tardivement (dans l'enfance ou l'adolescence, parfois même à l'^âge adulte). B. Calcifications intra-crâniennes, presque pathognomoniques, atteintes classiques dans les formes neuro-oculaires séquellaires. C. Les immunoglobulines M affirment l'infection de l'enfant. Les anticorps maternels Ig G transmis passivement persistent trois à neuf mois et gênent l'interprétation des Ig G de l'enfant. On peut tenir compte du taux des immunoglobulines G s'il est très élevé et de la charge immunitaire (taux du Dye-Test sur le taux des immunoglobulines G plasmatiques).
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18 Question à compléments multiples. La toxine tétanique est une des toxines protéiques ; ces toxines protéiques : A - Ont une action pyrogène B - Sont thermostables C - Sont détoxifiables D - Sont antigéniques E - Font élaborer des anticorps protecteurs Bonne(s) réponse(s) : C D E Non commentée: connaissance.
50 Question à compléments multiples. La primo-infection herpétique génitale de la femme : A - Est le plus souvent à virus HSV 1 B - Est hyperalgique C - S'accompagne d'un frisson inaugural D - Est habituellement secondaire à un contage vénérien E - Est souvent associée à une infection à cytomégalovirus Bonne(s) réponse(s) : B D A. Il existe deux types d'herpès simplex virus humains : HSV type 1 responsable des herpès survenant au-dessus de la ceinture, HSV type 2 provoquent des lésions au-dessous. Mais il existe des herpès génitaux à HSV.1. B. L'infection génitale chez la femme est inapparente dans 70 % des cas, sinon elle détermine des vésicules douloureuses qui siègent sur le vagin ou la vulve et s'ulcèrent rapidement. C. La primo-infection peut être accompagnée de fièvre et d'adénopathies inguinales, mais il n'y a pas de frisson inaugural. D. La primo-infection herpétique génitale est vénérienne, sexuellement transmissible. Elle survient habituellement lors des premiers rapports.
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66 Question à compléments multiples.
68 Question à compléments multiples.
Concernant les Myxovirus influenzae de type A, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) ? A - Ont un ARN segmenté B - Peuvent présenter des mutations de leurs antigènes d'enveloppe C - Ont un antigène interne commun avec les Myxovirus influenzae B D - Entrent dans la composition des vaccins grippaux E - Toutes ces propositions sont justes
La recherche du bacille de Koch à l'examen microscopique d'une expectoration chez un sujet suspect de tuberculose pulmonaire se fait : A - Par immunofluorescence directe B - Par immunofluorescence indirecte C - Par coloration de Ziehl-Neelsen D - Par coloration fluorescente à l'auramine E - Par coloration de Gram Bonne(s) réponse(s) : C D
Bonne(s) réponse(s) : A B D A. Myxovirus influenza : virus enveloppé à capside tubulaire, à symétrie hélicoïdale dont le génome est un ARN monocaténaire, à polarité négative, divisé en huit fragments dont chacun correspond à un gène. B. Les mutations des antigènes d'enveloppé peuvent être soit des variations de sous-type ou cassure antigénique (modifications majeures et radicales de la structure des antigènes de surface), soit des variations intra-sous typique ou glissement antigénique (modifications mineures progressives des antigènes de surface). C. Le RNP, antigène nucléocapsidique, stable, a une spécificité large sur laquelle repose la classification des virus influenza en trois types A,B,C. L'antigène RNP (fixant le complément) est donc spécifique de type. D. Le vaccin grippal inactivé peut être soit monovalent (une seule souche A) soit polyvalent (plusieurs souches A et une souche B).
67 Question à compléments multiples.
Après homogénéisation, décontamination par la soude, centrifugation et neutralisation. A partir du culot, préparation de frottis sur lame colorée par Ziehl-Nielsen à chaud : bacilles fins, grêles, rectilignes et rouges, alcoolo-résistants car ils conservent le colorant (la fuschine) malgré l'action d'acide et d'alcool (B.A.A.R.) En fluorescence à l'auramine, les germes apparaissent fluorescents en jaune sous le microscope.
69 Question à compléments multiples. Parmi les caractères suivants indiquez celui ou ceux qui s'appliquent aux streptocoques : A - Ce sont des cocci B - Ils sont Gram négatif C - Ils sont aérobies stricts D - Ils se présentent en chaînettes E - Ils possèdent une oxydase Bonne(s) réponse(s) : A B C
Indiquez la ou les diverses façons pour l'Homme de se contaminer par Toxoplasma gondii : A - Consommation de viande de mouton peu cuite B - Transmission placentaire C - Consommation de crudités souillées par la terre D - Griffure de chat E - Consommation de poisson fumé Bonne(s) réponse(s) : A B C A. Le toxoplasma gondii a une multiplication sexuée qui s'effectue dans l'intestin du chat, les oocystes émis avec les excréments deviennent infestants après maturation dans le milieu extérieur et peuvent le rester un an en sol humide. Ces oocystes sont responsables d'un mode d'infestation humaine accessoire par ingestion de fruits ou de crudités souillés par les excréments. L'homme s'infeste le plus souvent en consommant des viandes insuffisamment cuites provenant d'un animal parasité (boeuf mouton). B. Le risque de toxoplasmose congénitale n'existe que si l'infection est contractée pendant la grossesse. Dans les deux premiers trimestres la contamination est rare mais grave. Pendant troisième trimestre, la contamination est plus fréquente (meilleure perméabilité du placenta) mais elle est souvent latente.
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Sans commentaire.
24 Question à complément simple. Le tétanos chez l'homme : A - Est dû à la sécrétion par le germe d'une hémolysine B - Est dû à la diffusion par voie sanguine d'une exotoxine C - L'hémoculture y est positive dans 60% des cas environ D - Les produits provenant de la destruction des cellules par le germe au niveau de la plaie sont très toxiques E - La lyse des germes microbiens amène une intoxication générale de l'organisme Bonne(s) réponse(s) : B Le tétanos est une toxi-infection. La toxine tétanique est sécrétée pendant la phase de multiplication des germes, et diffuse dans tout l'organisme. C'est une exotoxine protéique, très active à doses minimes, antigénique, thermolabile et fragile (détruite par la lumière, les oxydants, l'oxygène, les acides et bases fortes). Elle comporte deux exoprotéines : - la tétanolysine, hémolysine oxygène-labile, antigénique, hémolytique, activité cardiotoxique et nécrosante. - la tétanospasmine ou toxine tétanique, c'est elle qui provoque le syndrome tétanique. Le site de l'action paralytique centrale serait la jonction synaptique entre les inter-neurones spécifiques de la voie inhibitrice d'une part, et les neurones moteurs d'autre part. Les paralysies observées résultent d'une inhibition spinale abolie ou diminuée, d'où activité non contrôlée des réflexes post-synaptiques. La toxine tétanique bloque spécifiquement la neurotransmission cholinergique.
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84 Question à complément simple.
18 Question à compléments multiples.
Les propositions suivantes sont exactes sauf une. Laquelle ? A - L'injection d'anatoxine tétanique confère une immunité active B - L'administration d'une seule injection de sérum antitétanique donne une immunité passive immédiate C - La vaccination antitétanique est obligatoire en France D - Le vaccin antitétanique doit être injecté à l'homme dans des conditions strictes d'anaérobiose E - Après une primo-vaccination, un rappel doit être effectué au bout de 5 ans pour maintenir l'état d'immunité
Par l'étude du frottis sanguin on peut mettre en évidence : A - Toxocara canis B - Larve rhabditoïde d'anguillule C - Plasmodium vivax D - Microfilaire de loa-loa E - Enterobius vermicularis
Bonne(s) réponse(s) : D Vaccination obligatoire en France : 3 injections à 1 mois d'intervalle avec rappel un an après puis tous les cinq ans. Vaccin antitétanique se conserve au frais (+4°), s'injecte à température ambiante en souscutané profond dans la fosse sous-épineuse ou l'espace interscapulo-vertébral.
85 Question à complément simple. Le vecteur de la filariose Loa est : A - Un moustique : le culex B - Un crustacé d'eau douce : le cyclops C - Un mollusque : le planorbe D - Un taon : le chrysops E - Aucun des précédents Bonne(s) réponse(s) : D D. Le vecteur est un diptère tabanidé, le chrysops, dont la femelle hématophage pique surtout le jour. A. Le culex est le vecteur de la filariose de Bancroft, et de l'arbovirose au virus West Nile. B. Le cyclops, petit crustacé d'eau douce, est le vecteur de la filariose de Médine (dracunculose). C. Le planorbe est l'hôte intermédiaire de Schistosoma haematobium et de la distomatose intestinale.
17 Question à compléments multiples. Parmi les affirmations suivantes, laquelle(lesquelles) peut(peuvent) caractériser le vaccin anti-grippal ? A - Vaccin obligatoire B - Mélange de virus A et B inactivé C - Confère une immunité définitive D - S'administre par voie sous cutanée E - Est contre-indiquée en cas d'allergie à l'oeuf Bonne(s) réponse(s) : B D E A. Uniquement pour but de protéger les populations à risque : sujets âgés de plus de 65 ans, tares respiratoires, cardiaques, rénales, fumeurs, immuno-déprimés. C.D. Administration par injection sous-cutanée mais revaccination chaque année, adaptée à la nouvelle souche circulante. Efficacité du vaccin obtenue en 10 à 15 jours. Protection excellente si la vaccination est adaptée à la souche circulante et administrée à l'automne. E. Deux contre-indications : - allergie vraie à l'oeuf (car vaccin préparé sur oeuf embryonné) - affection aiguë évolutive. Incidents : parfois syndrome grippal à minima, d'où contre-indiquée par certains chez les insuffisants respiratoires ou cardiaques très sévères.
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Bonne(s) réponse(s) : C D A. Agent de larva migrans viscérale ascaridienne transmise par les chiens. Le diagnostic repose sur la sérologie : Elisa, immunofluorescence, immunoélectrophorèse, malgré d'importantes réactions croisées. La découverte des larves à la biopsie hépatique est aléatoire. B. Diagnostic de certitude : la découverte de larves rhabditoïdes de strongyloïdes stercoralis dans les selles fraîchement émises. C. Frottis et goutte épaisse systématiquement demandés devant tout sujet présentant fièvre, ictère, diarrhée, splénomégalie, signes neurologiques, douleurs abdominales, et revenant d'un séjour en outre-mer. Dans le cas de plasmodium vivax : ce sont les réticulocytes et les hématies jeunes qui sont parasités ; celles-ci sont déformées, agrandies, contiennent un hématozoaire sous forme, trophozoïtique ou de schizonte amiboïde. Parfois, on rencontre des formes annulaires, des corps en rosace, et des gamétocytes. L'hématie parasitée est facile à repérer sur le frottis par son aspect hétérogène dû à la présence de granulations de Schüffner. D. Le diagnostic de certitude est apporté par la recherche des microfilaires dans la peau, le urines, l'oeil et le sang périphérique prélevé à midi. Sur les gouttes épaisses, les microfilaires colorées ont une attitude caractérisée par des courbures irrégulières et tortillées. E - Ver nématode, agent de l'oxyurose. Diagnostic sur le scotch-test ou la découverte spontanée de vers à la marge anale.
28 Question à compléments multiples. La gale humaine de l'adulte est caractérisée par : A - Des lésions interdigitales B - L'absence de prurit C - La contagiosité importante D - L'atteinte du visage E - L'atteinte des organes génitaux externes Bonne(s) réponse(s) : A C E A. Rechercher les lésions caractéristiques de la gale : sillons et vésicules perlées, notamment au niveau des plis interdigitaux et à la face antérieure des poignets. B. Dermatose très prurigineuse. Evoquer la gale devant tout prurit surtout s'il se caractérise par une recrudescence vespéro-nocturne. Le prurit, parfois familial ou collectif touche les espaces interdigitaux, les faces antérieures des poignets, les fesses, les emmanchures antérieures. Attention : dans la gale norvégienne (infestation massive chez un hôte aux défenses altérées), le prurit souvent intense peut manquer. D. Le prurit épargne le visage, le cuir chevelu (sauf chez le nourrisson) et le dos. A la différence des pédiculoses humaines, le prurit de la gale présente une topographie antérieure. E. Présence de nodules scabieux pouvant persister plusieurs semaines ou mois après la stérilisation.
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63 Question à compléments multiples.
66 Question à compléments multiples.
Indiquez la ou les réponses exactes concernant l'herpès du nouveau-né : A - Il est plus souvent consécutif à une infection herpétique génitale de la mère B - La cause la plus fréquente en est une primoinfection génitale maternelle apparente contractée durant le mois précédant l'accouchement C - Il est le plus souvent sans manifestations cliniques D - Il a pour manifestation clinique la plus fréquente des malformations congénitales E - Le taux de mortalité peut en être réduit par chimiothérapie antivirale
On isole plus souvent le type 1 de l'herpès simplex virus que le type 2 au cours de : A - La kératite herpétique B - L'encéphalite aiguë nécrosante de l'adulte C - L'herpès du nouveau-né D - L'herpès labial E - L'herpès génital
Bonne(s) réponse(s) : A E A.D. L'herpès génital est une maladie sexuellement transmissible touchant 1 à 3 % des femmes enceintes. La contamination foetale est le plus souvent directe lors de l'accouchement, au passage du foetus dans la filière génitale, ou par voie ascendante lors d'une rupture des membranes supérieure à 6 heures, parfois encore après la naissance par contact du nouveau-né avec un sujet porteur d'herpès cutanéo-muqueux. La voie transplacentaire est rare, responsable d'avortements et de malformations congénitales (retard de croissance, choriorétinite, microcéphalie...). B. La cause la plus fréquente est la récurrence herpétique, asymptomatique, avec le risque d'être ignorée. L'excrétion virale sans lésions manifestes explique le danger de contagion présenté par les sécrétions cervicales et/ou vaginales, et aussi la prépondérance des contaminations directes. En effet, les récurrences herpétiques ne sont pas accompagnées de virémie d'où la rareté des contaminations par voie transplacentaire. On recherche systématiquement une récurrence herpétique chez la femme avec des antécédents récents ou anciens d'herpès génital, ou dont le partenaire a un herpès génital. Si les récurrences sont plus souvent que les primo-infections, pendant la grossesse, responsables d'herpès du nouveau-né, en revanche, ce sont les primo-infections qui font courir le plus grand risque au foetus aussi bien par contamination par voie transplacentaire (existence d'une virémie) que par contamination directe (les lésions de primo-infection sont particulièrement riches en virus, et si la primo-infection a été contractée en fin de grossesse, l'enfant risque de naître sans que des anticorps maternels anti-HSV aient pu lui être transmis). C. L'herpès récurrent de la mère est asymptomatique. L'herpès néonatal asymptomatique est exceptionnel. E. L'adénine arabinoside (ARA-A) ou Vidarabine® a fait ses preuves en réduisant la mortalité de l'herpès néonatal dans ses formes disséminées ou localisées au système nerveux central.
64 Question à compléments multiples. Les agents du paludisme : A - Sont présents dans les hépatocytes obligatoirement au début de l'infestation B - Peuvent rester vivants dans les hépatocytes pendant plusieurs mois C - Peuvent rester vivants dans les hépatocytes pendant plusieurs années D - Se multiplient dans l'hépatocyte E - Font éclater l'hépatocyte Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A.D.E. Chez l'homme existent deux cycles asexués schizogoniques : l'un intra-érythrocytaire, l'autre exo-érythrocytaire primaire qui est intra-tissulaire (foie). Les sporozoïtes infestants injectés lors de la piqûre par la salive de l'anophèle gagnent, après une demi-heure de circulation, le foie où débute ce cycle intra-tissulaire. Leur développement et leur multiplication intra-hépatocytaires finissent par constituer une masse appelée corps bleu. Bientôt la cellule éclate libérant de nombreux mérozoïtes. La plupart passe dans la circulation sanguine. B.C. Certains parasites restent quiescents dans l'hépatocyte, sans se transformer en corps bleu. Après un temps variable, génétiquement déterminé, ils entrent en division. Ce phénomène ne semble exister que dans les espèces P.vivax et P.ovale expliquant RESIDANAT POCHE Tome " I "- QCM - QCS les EN accès de reviviscence.
Bonne(s) réponse(s) : A B D A.B.D. Herpès simplex virus 1 : responsable typiquement d'affections "au dessus de la ceinture", sphère ORL (gingivostomatite, rhinite, angine), oculaires (conjonctivite, kératite, blépharite), cutanées (vésicules en bouquet, faux panaris herpétiques), méningo-encéphalites, sphère génitale rarement. Herpès simplex virus 2 : affections "au dessous de la ceinture" : herpès génital chez l'homme, vulvo-vaginite, cervicite avec possible contamination lors du passage du foetus dans la filière génitale, chez la femme.
67 Question à compléments multiples. Lors du diagnostic sérologique de la syphilis, Treponema pallidum est utilisé comme antigène au cours d'une ou plusieurs des réactions sérologiques suivantes : A - TPHA B - Kline C - VDRL D - FTA E - Test de Nelson Bonne(s) réponse(s) : A D E Deux groupes de réactions sérologiques sont appliqués au diagnostic de la syphilis et à la surveillance des maladies traitées : 1) réactions à antigènes cardiolipidiques - fixation du complément (Kolmer) - agglutination sur lame (Kline-VDRL) 2) réactions à antigènes tréponémiques - hémagglutination passive (TPHA) - immunofluorescence indirecte (FTA-ABS) - test d'immobilisation de tréponème de Nelson.
94 Question à compléments multiples. Parmi les parasitoses suivantes, laquelle(lesquelles) s'accompagne(nt) d'une éosinophilie sanguine ? A - Ankylostomiase B - Distomatose C - Paludisme D - Trypanosomiase africaine E - Onchocercose Bonne(s) réponse(s) : A B E C.D. Il n'existe pas d'hyperéosinophilie dans les parasitoses dues aux protozoaires (sauf la toxoplamose à la phase aiguë). A.B.E. Les causes d'hyperéosinophilie parasitaire sont surtout les helminthiases qu'elles soient à vers ronds et cylindriques (némathelminthes) telles que oxyurose, ascaridiose. ankylostomose, anguillulose, trichinose, filarioses, ou à vers plats (plathelminthes) telles que bilharzioses, distomatoses, cestodoses, hydatidoses.
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118 Question à compléments groupés.
82 Question à complément simple.
Dans la liste suivante, quelles sont les bactéries fréquemment impliquées dans les syndromes diarrhéiques et dont l'action pathogène résulte de la sécrétion d'une toxine entérotrope ? 1 - Vibrion cholérique 2 - Staphylocoque doré 3 - Certains Escherichia coli 4 - Shigella Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Les phlébotomes possèdent les caractères communs suivants, sauf un. Lequel ? A - Les femelles sont hématophages B - Leur piqûre est douloureuse C - Ils transmettent les leishmanioses D - Les adultes ont une activité surtout nocturne E - Les larves sont aquatiques
Bonne(s) réponse(s) : A A.C. Bactéries entérotoxinogènes capables de sécréter une entérotoxine responsable d'une fuite importante d'eau et d'électrolytes. Les bactéries se multiplient dans les parties hautes de l'intestin (duodénum-jéjunum), n'altèrent pas la muqueuse et provoquent des diarrhées acqueuses. B. Certaines souches de staphylocoques sécrètent une entérotoxine responsable de manifestations pathologiques digestives : intoxications alimentaires et entérocolites aiguës. D. Bactérie invasive capable d'envahir la muqueuse intestinale et de la détruire, s'accompagnant d'une intense réaction inflammatoire. Elles se multiplient dans les parties basses du tube digestif (iléon terminal, côlon) et provoquent des dysenteries.
43 Question à complément simple. L'injection de B.C.G. a pour effet de : A - Prévenir la contamination par le bacille de Koch B - Empêcher la contagion des malades C - Conférer une totale immunité de surinfection D - Protéger contre la méningite tuberculeuse E - D'induire des anticorps protéiques protecteurs Bonne(s) réponse(s) : D La vaccination par le BCG lyophilisé protège contre la tuberculose disséminée (miliaire, méningite) et réduit de 80 % la morbidité tuberculeuse globale par rapport aux sujets non vaccinés. Le but et le seul effet du BCG est de susciter le développement d'une immunité à médiation cellulaire, protectrice de l'infestation par le bacille tuberculeux. L'item D : devra être coché tout en sachant qu'il correspond à un résultat de la vaccination et non pas à son effet. B. La contagion peut être limitée en supprimant l'agent causal par un diagnostic et traitement précoces de toutes les tuberculoses dépistées ou reconnues, ainsi qu'une surveillance bactériologique répétée des porteurs de séquelles. C. L'immunité est seulement partielle. Elle agit par le ralentissement de la dispersion bacillaire de surinfection et leur destruction accrue. Non absolue, elle peut se laisser "déborder". Cette immunité acquise ou immunité de surinfection s'oppose à l'essaimage bacillaire et préserve donc de l'évolution vers la tuberculose maladie. E. Anticorps existant mais non protecteurs.
Bonne(s) réponse(s) : E Diptères hématophages, vivent essentiellement sous climats chauds. Leur activité est le plus souvent nocturne. Les larves se développent sur le sol, dans les terriers, les crevasses des vieux murs, les recoins obscurs des habitations. Seule la femelle est hématophage et sa piqûre est très douloureuse. Les maladies transmises sont les leishmanioses et la bartonellose.
83 Question à complément simple. Parmi les germes suivants, quel est celui qui élabore une exotoxine protéique ? A - Staphylococcus epidermidis B - Salmonella typhi C - Proteus vulgaris D - Corynebacterium diphteriae E - Hémophilus influenzae Bonne(s) réponse(s) : D A. Ces trois germes ne sécrètent pas de toxine protéique. Attention : staphylococcus aureus secrète lui une entérotoxine qui est une exotoxine protéique. B. Salmonella typhi : le lipopolysaccharide de la paroi est une endotoxine thermostable. Cette exotoxine protéique soluble et thermolabile est synthétisée par certaines souches de corynebacterium diphteriae lysogénisées par un bactériophage. L'identification de la toxine se fait en 2 à 3 jours grâce à son pouvoir pathogène expérimental sur le cobaye ou à une mise en évidence immunologique (test d'Elek).
28 Question à compléments multiples. Dans l'hydatidose humaine, le mode de contamination se fait : A - Lors de contacts avec un chien porteur de taenia B - Lors de l'abattage de bovins ou ovins parasités C - Par l'ingestion d'aliments souillés par les déjections d'un chien parasité D - Par l'ingestion de membrane hydatique ou de scolex dans une viande parasite E - En dépeçant un renard mort Bonne(s) réponse(s) : A C
58 Question à complément simple. Les affirmations suivantes concernant la primo-infection herpétique sont justes, sauf une, laquelle ? La primoinfection herpétique : A - Est fréquemment asymptomatique B - Peut se traduire par une gingivo-stomatite aiguë C - Peut se traduire par une septicémie herpétique D - Peut être à l'origine d'algies résiduelles E - Peut déterminer une atteinte neuro-méningée Bonne(s) réponse(s) : D
C. L'hydatidose est due à la larve hydatique du taenia échinococcus granulosus. Ces petits ténias vivent dans l'intestin grêle du chien qui s'est contaminé par ingestion de scolex contenus dans les viscères parasités d'herbivores, eux-mêmes contaminés par l'herbe ingérée souillée par les déjections du chien. L'homme constitue dans ce cycle une impasse parasitaire. Hôte intermédiaire accidentel, la contamination, comme pour l'herbivore, se fera par ingestion d'oeufs ou d'embryophores, soit par infestation directe au contact du chien infesté recueillant des oeufs sur son pelage, soit par infestation indirecte par l'intermédiaire d'aliments souillés par les excréta de chien infesté. B.D. Présentent des risques pour le chien (hôte définitif) en cas d'ingestion de viande parasitée (proximité des abattoirs). Aucun risque pour l'homme.
D. Les algies résiduelles sont rencontrées dans le zona qui sont dûs à un autre herpès virus : l'herpès varicillae virus.
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40 Question à compléments multiples.
101 Question à compléments groupés.
Indiquez la ou les propositions exactes concernant l'herpès génital récurrent : A - Est sous-tendu par une infection latente des ganglions sacrés B - Est dû plus souvent à l'herpès simplex virus de type 2 qu'au type 1 C - Peut être temporairement suspendu par un traitement continu à l'acycloguanosine (acyclovir ou Zovirax®)
Un examen parasitologique des selles peut être faussement négatif bien qu'il y ait parasitose du tractus digestif pour une ou plusieurs des raisons suivantes : 1 - L'examen a été pratiqué pendant la phase de maturation du parasite 2 - L'examen a été pratiqué pendant une période dite muette 3 - Le parasite n'existe qu'en un seul exemplaire, de sexe mâle 4 - Les oeufs pondus par le parasite ne sont pas émis dans le milieu extérieur avec les selles Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
D - Peut se manifester sous forme d'ulcérations chroniques extensives chez les sujets immunodéprimés E - Ne s'observe que chez des sujets présentant à des degrés divers un état d'immunodépression caractérisé
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Non commentée : évidence. C. Acycloguanosine ou aciclovir (ACV, Zovirax®) : son succès est dû à son interaction obligatoire avec deux enzymes viro-induites, la thymidine-kinase (TK) et l'ADN-polymérase des herpès simplex virus 1 et 2, et des herpès varicillae virus. E. L'herpès génital récurrent est fréquent dans la population générale.
50 Question à compléments multiples. Quels sont les deux gîtes habituels du staphylocoque doré ? A - Cicatrices d'anciens furoncles B - Cuir chevelu C - Narines D - Epiderme palmo-plantaire E - Lésion d'acné Bonne(s) réponse(s) : A C Les principaux gîtes microbiens du staphylocoque doré sont les vestibules narinaires, les cicatrices d'anciens furoncles, la région péri-anale, la gorge et la peau. La désinfection de ces gites est un des meilleurs piliers du traitement des furonculoses.
73 Question à compléments multiples.
106 Question à compléments groupés. Quelle est ou quelles sont la ou les parasitose(s) qui peu(ven)t provoquer une anémie hémolytique ? 1 - Ankylostomiase 2 - Leishmaniose viscérale 3 - Bothriocéphalose 4 - Paludisme viscéral évolutif Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : D 1. L'ankylostomiase est la principale parasitose responsable d'une anémie par carence martiale. Les parasites hématophages se fixent à la muqueuse duodénale. 2. La splénomégalie volumineuse et indolore de la leishmaniose viscérale est à l'origine d'anémie normochrome normocytaire arégénérative. 3. La bothriocéphalose est une cestodose rencontrée dans les régions tempérées ou froides, responsable d'une anémie macrocytaire avec mégaloblastose médullaire due à une consommation de la vitamine B12. 4. Le développement intra-érythrocytaire du plasmodium explique l'hémolyse sanguine et médullaire rencontrées lors de l'accès palustre. Il s'agit d'une anémie normochrome régénérative avec anisocytose et poïkilocytose.
Concernant l'anatoxine et l'antitoxine tétaniques : A - L'anatoxine tétanique a un pouvoir toxique identique à celui de la toxine tétanique B - L'anatoxine tétanique induit l'apparition d'antitoxine tétanique C - L'anatoxine tétanique est beaucoup plus instable que la toxine tétanique D - La prévention à long terme du tétanos repose sur la vaccination par l'anatoxine tétanique E - La protection contre le tétanos repose sur la présence dans l'organisme d'antitoxine tétanique à un taux suffisant Bonne(s) réponse(s) : B D E A. La toxine tétanique est détoxifiée par l'action du formol et de la chaleur. La transformation est irréversible et son innocuité est absolue. B.D.E. Non commentées : connaissance.
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21 Question à complément simple.
14 Question à compléments multiples.
La trichomonase génitale de la femme. Désignez dans la liste suivante la proposition inexacte : A - Est une maladie vénérienne B - Se diagnostique aisément sur des frottis effectués au niveau du col l'utérus C - Répond bien à un traitement par le Flagyl® par voies orale et locale D - Nécessite de traiter simultanément le partenaire E - Peut être associée à une candidose vaginale
L'éruption due au virus simplex hominis type 1 : A - Siège le plus souvent "à cheval" sur la jonction cutanéo-muqueuse B - Est constituée de fines vésicules, claires au début C - Est regroupée en "bouquet" D - Est souvent associée à une adénopathie satellite E - Ne peut pas être l'objet d'une surinfection bactérienne Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Bonne(s) réponse(s) : B A. Trichomonase urogénitale : maladie vénérienne, bénigne, fréquente et sexuellement transmissible, strictement humaine. B. Vulvo-vaginite aiguë : leucorrhées spumeuses, aérées, jaune verdâtre, continuelles associées à un prurit vulvaire avec sensation de brûlure et parfois dyspareunie. Au spéculum, muqueuse inflammatoire avec souvent piqueté hémorragique évocateur. Diagnostic biologique : repose sur la mise en évidence et l'identification du parasite dans les prélèvements vaginaux, et non pas cervicaux, grâce à l'examen d'un frottis coloré ou de cultures. C. Traitement par Flagyl® (métronidazole) par voie orale en comprimés. Chez la femme, prescrire en plus un comprimé gynécologique de Flagyl® tous les soirs. Traitement pour dix jours D. Comme dans toute maladie vénérienne, sexuellement transmissible. E. Fréquence de l'association trichomonas vaginalis - candida albicans, et la coexistence possible avec le gonocoque ou des pyogènes banals.
49 Question à complément simple.
L'aspect clinique est évocateur. L'éruption précédée d'une sensation de cuisson est faite de vésicules hémisphériques de 2 à 3 mm de diamètre, claires puis troubles, groupées en bouquet à contours polycycliques reposant sur une base érythémateuse. Les vésicules forment secondairement des érosions puis des croûtes arrondies dont la disposition groupée est caractéristique. L'herpès récurrent nasolabial est le type même de lésion herpétique à cheval sur la jonction cutanéomuqueuse. L'adénopathie satellite est très souvent présente.
24 Question à compléments multiples. L'herpès récurrent présente le ou les caractère(s) sémiologique(s) suivant(s) : A - Métamérique B - Vésiculeux C - En bouquet D - Nodulaire E - Récidivant in situ Bonne(s) réponse(s) : B C E
La conjugaison est le transfert de matériel génétique après contact entre deux bactéries. Donnez la proposition exacte : A - Ce transfert ne peut se faire qu'entre bactéries d'une même espèce B - Seul l'ADN extrachromosomique peut être transféré C - Ce phénomène est rare chez les entérobactéries D - Ce phénomène n'a aucune incidence en bactériologie médicale E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte
Après la primo-infection, manifeste ou apparente, l'infection persiste à vie, latente dans les ganglions nerveux sensitifs pour les herpès virus dermoneurotropes (herpès simplex virus varicelle-zona virus) mais si le virus varicelle-zona se manifeste lors de la réinfection endogène (qui représente en fait aussi une récurrence en soi) selon un territoire métamérique, les récurrences de l'infection à herpès simplex virus se font dans le territoire de la primo-infection. Le Q.C.M. est tendancieux : tous les herpès viridae sont susceptibles de réinfections endogènes. Il fallait sous-entendre dans l'énoncé que l'on parlait de l'herpès récurrent d'herpès similex virus.
Bonne(s) réponse(s) : E La conjugaison est le transfert de matériel génétique chromosomique ou extra-chromosomique (plasmidique) d'une bactérie donatrice à une bactérie réceptrice par contact direct grâce au pilus sexuel entre les deux bactéries. Ce phénomène est interspécifique et intergénérique. Fréquent chez les entérobactéries, il explique la dissémination des gènes plasmidiques de résistance aux antibiotiques parmi les différentes espèces d'entérobactéries.
41 Question à compléments multiples. Les parasites peuvent être parfois mis en évidence à l'examen direct du L.C.R. Lequel(lesquels) parmi les suivants ? A - Ascaris B - Filaire de Médine C - Leishmanie D - Cryptococcus neoformans E - Lamblia Bonne(s) réponse(s) : D Les champignons pathogènes parfois retrouvés au niveau du LCR sont (candida albicans, cryptococcus néoformans, aspergillus fumigatus) responsables de méningites subaiguës à liquide clair chez les immunodéprimés. Ils sont recherchés par examen direct avec coloration à l'encre de Chine (reconnaître la présence de capsule de cryptococcus néoformans) et par culture sur milieu de Sabouraud. Les rares parasites parfois retrouvés au niveau du LCR, sont les cénures (larve de Laenia multiceps), les cysticerques (larve de Laenia solium).
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55 Question à compléments multiples.
79 Question à compléments multiples.
Parmi les manifestations suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) habituellement provoquée(s) par Herpès simplex virus type II ? A - Herpès labial B - Kératite herpétique C - Herpès vaginal D - Herpès généralisé néo-natal E - Méningo-encéphalite herpétique de l'adulte
Le méningocoque est transmissible d'un sujet à l'autre : A - Par les selles B - Par les animaux familiers C - Par les sécrétions rhinopharyngées D - Par les aliments souillés E - Par l'eau de boisson
Bonne(s) réponse(s) : C D L'herpès virus type II, est celui habituellement, mais pas toujours, responsable de l'infection génitale et donc de la contamination du nouveau-né, d'autant plus grave qu'il s'agit d'une primo-infection. A B.E. Sont dûs au type 1.
56 Question à compléments multiples. Dans la liste suivante, quelles sont la ou les enzymes qui peuvent être élaborées par Staphylococcus aureus : A - Hyaluronidase B - Exfoliatine C - ADN ase D - Fibrinolysine E - Coagulase Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Le staphylocoque doré est le seul staphylocoque à élaborer une coagulase, qui collabore activement d'ailleurs à la formation de thrombophlébite suppurée. Mais il élabore aussi toutes sortes de substances : - des toxines : les hémolysines alpha, bêta, delta, gamma, la leucocidine, l'exfoliatine ou épidermolysine et l'entérotoxine - des enzymes : la coagulase déjà citée, la fibrinolysine ou staphylokinase, les désoxyribonucléases, la hyaluronidase, des lipases et estérases, des phosphatases, parfois des bêtalactamases.
57 Question à compléments multiples. Le prélèvement d'urines fait partie des prélèvements pratiqués pour la détection du virus dans : A - La grippe B - Les oreillons C - L'infection à cytomégalovirus D - L'infection à rotavirus E - L'infection à virus R.S. (Respiratoire syncytial) Bonne(s) réponse(s) : B C A.E. Viroses localisées, sans virémie, donc sans virurie. Le virus grippal et le virus respiratoire syncitial se recherchent au début de la maladie par prélèvement au niveau des voies aériennes supérieures. C. Le cytomégalovirus se recherche dans le sang et les urines. D. Le rotavirus se recherche dans les selles. B. Le virus ourlien se recherche dans la salive, le LCR, et les urines.
Bonne(s) réponse(s) : C Le méningocoque, coque à gram négatif est un germe extrêmement fragile. La transmission est aérienne interhumaine directe. A partir d'un porteur sain ou malade, les méningocoques sont véhiculés par les gouttelettes de Pflügge et vont coloniser le rhinopharynx d'un autre individu. Ce mode de transmission justifie l'antibioprophylaxie par la Rovamycine® dans l'entourage, d'un malade.
103 Question à compléments groupés. Au cours du cycle évolutif de Plasmodium falciparum : 1 - L'homme est contaminé par inoculation de sporozoïtes 2 - La transmission de la maladie est saisonnière en pays tempéré 3 - Le cycle sporogonique se déroule chez l'insecte vecteur 4 - Le parasite donne chez l'homme un cycle exoérythrocytaire tardif hépatique Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A 1. Au cours de la piqûre, l'anophèle infesté injecte dans le sang des sporozoïtes, formes infestantes contenues dans les glandes salivaires de l'arthropode vecteur. 2. La transmission n'existe qu'à la saison printemps-été dans les zones tempérées chaudes. 3. Chez l'homme existent deux cycles : asexués ou schizogoniques, l'un exo-érythrocytaire, intra-tissulaire, l'autre intra-érythrocytaire. Chez l'anophèle, cycle est sexué ou sporogonique. 4. Le plasmodium falciparum expose à l'accès pernicieux, mais n'est jamais responsable d'accès de reviviscence tardif.
105 Question à compléments groupés. Quand l'acarien de la gale Sarcoptes scabiei ne peut pas être mis en évidence, le diagnostic positif de la gale repose sur : 1 - Le séro-diagnostic parasitaire 2 - La notion de contagion 3 - Le dosage de l'immunoglobuline E (IgE) 4 - Le traitement d'épreuve Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C 1.3. N'existent pas. 2. Très important, notion de prurit généralisé, familial ou collectif. 4. Parfois le seul moyen de diagnostiquer rétrospectivement la gale. D'autres éléments peuvent orienter le diagnostic : le prurit à recrudescence vespéronocturne, l'existence de sillons aux poignets et aux espaces interdigitaux, et de nodules scabieux aux organes génitaux ou aux aisselles.
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57 Question à complément simple.
105 Question à complément simple.
Une plaque brunâtre d'un pli inguinal, finement squameuse, bien limitée, sans bordure vésiculeuse, peu ou pas prurigineuse, dont l'examen en lumière de Wood montre une fluorescence rouge, fait évoquer avant tout le diagnostic de : A - Erythrasma B - Trichophytie inguinale C - Candidose D - Psoriasis inversé E - Pityriasis versicolor
Devant une contusion rénale, l'urographie intraveineuse est demandée : A - En urgence systématiquement B - Au 2ème jour C - Seulement si l'hématurie persiste plus de 48 heures D - Seulement s'il existe les signes d'hématome périrénal E - Seulement s'il existe des signes de choc
Bonne(s) réponse(s) : A A. Erythrasma : tache homogène, rouge sombre, brune ou chamois, finement squameuse, bien limitée, sans bordure vésiculeuse, non prurigineuse, le plus souvent siègeant dans les plis inguinaux ou les aisselles ; l'examen en lumière de Wood montre une fluorescence rouge corail des lésions, caractéristique mais inconstante. B. Les intertrigos à dermatophytes s'entourent typiquement d'une bordure circiné en relief papuleuse ou papulo-vésiculeuse, rarement pustuleuse, squameuse, tandis que les lésions centrales s'atténuent. Ils sont très prurigineux. Dans le pli inguinal il réalise l'eczéma marginé de Hébra. C. L'intertrigo candidosique : fissure blanchâtre, douloureuse, au fond du pli, au sein d'un érythème inflammatoire, avec une collerette épidermique décollée et de petites pustules superficielles en périphérie. D. Le psoriasis est une des étiologies des intertrigos non infectieux. E. Lésions à type de taches brun clair, chamoisées ou dépigmentées, non prurigineuses, en peau libre, jamais au niveau des plis.
78 Question à complément simple. Candida albicans peut réaliser les différents aspects anatomocliniques suivants, sauf un. Lequel ? A - Périonyxis B - Muguet C - Herpès circiné D - Intertrigo E - Vaginite Bonne(s) réponse(s) : C L'herpès circiné est une dermatophytie de la peau glabre réalisant une plaque érythémateuse à bordure nette, saillante, vésiculeuse caractéristique. Le micro-organisme le plus souvent en cause est microsporum canis.
80 Question à complément simple. Les transferts génétiques par conjugaison : A - Concernent toutes les bactéries B - Concernent les cocci à Gram positif C - Concernent les bacilles à Gram positif D - Concernent les cocci et les bacilles à Gram positif E - Concernent les bacilles à Gram négatif
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
14 Question à compléments multiples. La résistance chromosomique aux antibiotiques : A - Est acquise par mutation B - Représente 80 à 90 % des résistances rencontrées en clinique C - Est brusque et discontinue D - Est non spontanée, provoquée par l'antibiotique E - Est une justification de l'association des antibiotiques Bonne(s) réponse(s) : A C E A.C.E. Le phénomène d'acquisition de résistance chromosomique bactérienne aux antibiotiques (à ne pas confondre avec la résistance naturelle de certaines familles de bactéries à certaines familles d'antibiotiques : exemple streptocoques résistants naturels aux aminosides à basses concentrations, par défaut de transfert actif efficace de l'aminoside à travers la membrane interne) est un phénomène mutationnel. La mutation est le changement spontané et brutal d'un caractère chromosomique héréditairement transmissible. Les mutations bactériennes sont stables, spécifiques, spontané et rares (10-6 à 108), et représentent 10 à 20 % des mécanismes de résistance acquise aux antibiotiques. Les antibiotiques ne déterminent pas la résistance chromosomique mais sélectionnent des bactéries déjà résistantes. Une monothérapie antibiotique exerce une pression de sélection importante sur la population bactérienne visée. La probabilité d'apparition d'une mutation double (lors d'une bithérapie) est très faible, puisqu'égale au produit des probabilités de chaque mutation simple soit 10-7x10-7 = 10-14. On comprend aisément que la perspective d'une résistance, mutationnelle spontanée, préexistante au traitement antibiotique au sein d'une population bactérienne, risque de faire émerger une nouvelle population résistante à l'antibiotique utilisé, donc une inefficacité de la thérapeutique. Ainsi est justifiée l'association d'antibiotiques. B.D. L'autre type principal de résistance génétique est la résistance plasmidique qui représente 80 à 90 % des résistances bactériennes aux antibiotiques. Non spontanée, transmissible par conjugaison, spécifique, pouvant porter sur plusieurs caractères génétiques à la fois, elle est responsable de la plupart des polyrésistances aux antibiotiques rencontrées surtout chez les bacilles à gram négatif.
Bonne(s) réponse(s) : E Le transfert de matériel génétique (chromosomique ou plasmidique) par conjugaison n'a été observé à ce jour qu'entre bacilles à gram négatif. Ce processus de transfert nécessite un contact direct entre bactéries, réalisé grâce aux pili sexuel porté par ces bactéries et génétiquement déterminé par un plasmide appelé facteur de conjugaison. La conjugaison plasmidique explique la dissémination du phénomène de résistance, acquise, plasmidique. aux antibiotiques, rencontrée chez les bacilles gram négatif.
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32 Question à compléments multiples.
23 Question à complément simple.
La résistance plasmidique aux antibiotiques : A - Concerne la plupart des antibiotiques utilisés en médecine B - Est rencontrée chez les bacilles à Gram négatif C - Peut se transférer entre bactéries d'espèces différentes D - Ne fait pas intervenir la pression de sélection des antibiotiques E - Représente environ 10 a 20 % des résistances rencontrées en milieu hospitalier
Parmi les sièges suivants, lequel est peu fréquent au cours de la gale ? A - Face interne des poignets B - Espaces interdigitaux C - Verge D - Cuir chevelu E - Fesses
Bonne(s) réponse(s) : A B C D La résistance plasmidique aux antibiotiques concerne 80 à 90 % des résistances bactériennes, rencontrées surtout en milieu hospitalier. Souvent le plasmide code pour une résistance à plusieurs antibiotiques. La transmission inter-bactérienne se fait par conjugaison, faisant intervenir la notion de pili sexuel. La résistance chromosomique se fait par mutations. Sensible à la pression de sélection des antibiotiques (sélection et émergence des mutants résistants par l'antibiotique qui élimine les bactéries sensibles).
59 Question à compléments multiples. La culture sur systèmes cellulaires est couramment pratiquée pour isoler : A - Virus de l'hépatite A B - Virus de l'hépatite B C - Poliovirus D - Echovirus E - Rotavirus Bonne(s) réponse(s) : C D A. Le virus de l'hépatite A (HAV) est l'entérovirus type 72. Récemment, a pu être obtenue la réplication du virus dans des cultures primaires ou dans des lignées continues d'origine simiennes. Mais, actuellement la seule méthode possible est la détection du virus dans les selles et le sérodiagnostic par tests radioimmunologiques et immuno-enzymatiques (Elisa). B - Le diagnostic direct d'une infection à HBV repose sur la mise en évidence du virus (particules de Dane en microscopie électronique) ou de ses antigènes (Hbs, Hbe) dans le sérum des sujets. Le diagnostic indirect repose sur la mise en évidence d'anticorps sériques (tests radio immunologiques, immuno-enzymologie). C. Les poliovirus (famille des picornavirus) se multiplient seulement dans les cultures cellulaires issues de primates et donnent un effet cytopathogène caractéristique. L'isolement du virus en culture cellulaire et l'ascension du titre des anticorps sériques signent l'infection par un poliovirus. D. Les échovirus appartiennent comme les poliovirus et les coxsackies virus au genre des enterovirus (famille des picornavirus). L'isolement se fait pour tous par inoculation des prélèvements à des cultures cellulaires. E. Rotavirus : techniques directes de détection par microscopie électronique et technique ; Elisa ainsi qu'un sérodiagnostic rarement utilisé en clinique.
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Bonne(s) réponse(s) : D Les localisations caractéristiques de la gale sont les faces latérales des doigts (espaces interdigitaux), les faces postérieures et internes des poignets, les coudes, le nombril, les seins et l'abdomen, les cuisses où on rechechera les sillons terminés par une vésicule perlée. Sans oublier les nodules scabieux palmoplantaires, axillaires, et au niveau des organes génitaux externes. Des chancres scabieux existent parfois au niveau du fourreau de la verge. La gale respecte le visage et le cuir chevelu.
54 Question à complément simple. Parmi ces facteurs favorisant une vaginite mycosique, un est inexact. Lequel ? A - Grossesse B - Contraception orale C - Antibiothérapie D - Diabète E - Injections vaginales alcalines Bonne(s) réponse(s) : E Les vulvo-vaginites mycosiques à candida sont favorisées par un pH vaginal acide (grossesse, savons acidifiants), l'hyperoestrogénie (contraception orale oestrogéno-progestative), les traitements antibiotiques et corticoïdes, le diabète. Le traitement avant tout local, consiste en toilette avec savons alcalins, voire injections vaginales alcalines. Le pH vaginal alcalin et l'hypo-oestrogénie favorise plutôt les infections à Lrichomonas vaginalis.
56 Question à complément simple. Les leucorrhées en relation avec une vaginite mycosique sont : A - Favorisées par un pH alcalin B - Abondantes C - Généralement verdâtres D - Spumeuses E - Caractérisées par l'aspect très évocateur à l'examen direct entre lame et lamelle Bonne(s) réponse(s) : E A.B.C.D. Assez caractéristiques des leucorrhées dues aux vulvovaginites à trichomonas. E. L'examen extemporanné direct après traitement à la potasse 5 % permet la découverte de filaments mycéliens, en faveur d'une vulvovaginite à candida albicans.
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70 Question à complément simple.
72 Question à complément simple.
La toxine tétanique a toutes les propriétés suivantes sauf une. Laquelle ? A - Pyrogène B - Antigénique C - Protéique D - Neurotrope E - Thermolabile
La réaction de TPHA (Treponema pallidum hémagglutination) : A - Met en jeu le même antigène anticorps que la réaction de Kline ou VDRL B - Donne des résultats comparables à ceux de la réaction de Nelson (immobilisation) C - Met en jeu un antigène non spécifique du tréponème pâle (on le retrouve sur les leptospires) D - Permet de distinguer la syphilis du Pian E - Aucune de ces propositions n'est valable
Bonne(s) réponse(s) : A A. L'endotoxine des bactéries à gram négatif est pyrogène. Le tétanos sauf complications de surinfection ne dorme pas de fièvre. B.C.D.E. La toxine tétanique est une exotoxine protéique à tropisme neuronal, très fragile. Elle comporte deux facteurs qui sont la tétanolysine hémolytique, cardiotoxique et nécrosante, et la tétanospasmine responsable du syndrome tétanique par fixation sur les gangliosides du système nerveux central. La toxine, soumise à l'action de la chaleur et du formol, perd son pouvoir toxique mais conserve son pouvoir antigénique : c'est l'anatoxine utilisée dans la vaccination antitétanique.
Bonne(s) réponse(s) : E A. La réaction de Kline ou VDRL sont des réactions d'agglutination qui utilisent l'antigène, cardiolipidique non spécifique. Le TPHA est une réaction d'hémagglutination utilisant un lysat de tréponèmes pâles fixés sur les globules rouges. Réaction de référence en pratique courante par sa sensibilité et sa spécificité. B. Le test d'immobilisation de Nelson demeure la réaction la plus spécifique de la syphilis et constitue l'arbitre des cas les plus litigieux, sans toutefois permettre de distinguer les diverse tréponématoses (syphilis, pian, pinta, bejel).
71 Question à complément simple. La mise en évidence de bacilles acido-alcoolo-résistants dans l'expectoration d'un sujet signe la tuberculose : A - Dans tous les cas B - Si les bacilles acido-alcoolo-résistants sont présents à la culture de l'expectoration C - S'il y a des signes radio-cliniques de suspicion de tuberculose D - Si le bacille acido-alcoolo-résistant est identifié à Mycobacterium.tuberculosis E - Si le bacille acido-alcoolo-résistant est visible à l'examen microscopique Bonne(s) réponse(s) : C D Les BAAR (Bacilles Acido-Alcoolo Résistants) sont des mycobactéries. Seuls mycobactérie tuberculosis hominis et M. bovis sont responsables de tuberculose humaine. Les mycobactéries non tuberculeuses, dites atypiques, sont des espèces telluriques commensales de l'homme et de l'animal, mais leur rôle pathogène est possible. Attention : la présence de BAAR dans une expectoration ne signifie pas qu'il existe une infection tuberculeuse. Seule la corrélation de cet examen avec l'aspect radio-clinique permet d'orienter vers le diagnostic sans le prouver formellement. Il est difficile de répondre C, car il n'existe pas la preuve de l'identification du BAAR mis en évidence dans l'expectoration. En pratique, dans un contexte évocateur, la présence de BAAR en nombre suffisant, suffirait à poser le diagnostic et à mettre en route le traitement antituberculeux aussitôt. Ce diagnostic serait corrigé ou non quelques semaines plus tard lors de l'identification précise et définitive du BAAR. Attention : si l'item D est plus évident d'emblée à retenir, il faut savoir que la mise en évidence de M. tuberculosis en très faible nombre (la numération sur lame est toujours indispensable et permet d'avoir une idée quantitative) est parfois rencontrée chez des sujets sains, sans atteinte radio-clinique évocatrice de tuberculose. Conclusion : la meilleure réponse associerait C et D.
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73 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes concernant l'herpès simplex virus type II, toutes sont exactes, sauf une. Laquelle ? A - Il est considéré comme le principal virus responsable des infections herpétiques génitales B - Il est responsable des kératites herpétiques à évolution grave de l'adulte C - Il diffère de l'herpès simplex virus type I par des caractères antigéniques D - Il diffère de l'herpès simplex virus type I par son tropisme E - Il y a une relation entre la fréquence des infections génitales à herpès simplex virus type II et les cancers du col utérin Bonne(s) réponse(s) : B L'herpès simplex de type I à tropisme céphalique, s'oppose au type II à tropisme génital. Les kératites herpétiques sauf exception, sont dues à l'HSV type I. La manifestation oculaire néonatale la plus fréquente, due à HSV type II est non pas une kératite, mais une choriorétinite.
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5 Question à compléments multiples.
67 Question à compléments multiples.
Après traitement scabicide d'une gale, la persistance du prurit peut être : A - D'origine psychogène B - Liée à l'irritation par le traitement C - Due à une réinfestation D - Liée à une persistance de la parasitose E - Due à l'hépatotoxicité des scabicides
Parmi les virus suivants, indiquez celui ou ceux qui possède(nt) une hémagglutinine et offre(nt) ainsi la possibilité d'examens sérologiques en inhibition de l'hémagglutination : A - Virus de la grippe B - Virus de la rougeole C - Poliovirus D - Virus de la varicelle E - Virus de la rubéole
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Quand le prurit persiste ou réapparait rapidement après traitement scabicide, il faut évoquer : - l'insuffisance du traitement : d'où persistance des parasites - un traitement excessif avec irritation cutanée par des applications itératives de l'acaricide - une origine psychogène : l'acarophobie chez les anxieux et les obsessionnels - une réinfection précoce par défaut de traitement simultané des sujets contacts. - l'existence de nodules post-scabieux pouvant persister des semaines ou des mois et ne nécessitant pas la reprise d'un traitement - l'existence d'une dermite eczématiforme probablement allergique nécessitant parfois le recours à une brève corticothérapie locale - l'existence d'une autre cause de prurit, ayant été momentanément masquée par la gale.
66 Question à compléments multiples. Le diagnostic d'une infection génitale récurrente à Herpès simplex virus peut être fait par : A - Détection d'antigène viral par immunofluorescence dans les cellules d'une ulcération génitale suspecte B - Observation d'un titre élevé d'anticorps neutralisant (> ou = 64) dans le sérum prélevé au décours de l'infection C - Détection d'antigène viral par inhibition de l'hémagglutination dans le sang, au cours de la phase aiguë de l'infection D - L'isolement du virus en culture de cellules suivi de son typage, à partir de contenu des vésicules E - L'examen simultané d'un sérum précoce et d'un sérum tardif à la recherche d'une augmentation de titre des anticorps en inhibition de l'hémaglutination
Bonne(s) réponse(s) : A B E Non commentée : connaissance.
68 Question à compléments multiples. Les mutations bactériennes sont provoquées naturellement par : A - Les antibiotiques B - Les antiseptiques C - Certaines conditions de croissance rencontrées chez l'hôte D - Les plasmides de résistance aux antibiotiques E - Aucune des quatre propositions précédentes Bonne(s) réponse(s) : E Ce sont des phénomènes spontanés, stables, spécifiques et rares. Les antibiotiques n'exercent qu'une pression de sélection (émergence des mutants résistants par l'antibiotique qui élimine les bactéries sensibles).
16 Question à complément simple. Quel est le mécanisme génétique permettant la synthèse de la toxine érythrogène par le streptocoque ? A - Transduction spéciale B - Transfert d'ADN chromosomique C - Conversion lysogénique D - Mutation chromosomique E - Transformation
Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : C
A. Recherche directe du virus dans certains types de prélèvement, le liquide de vésicule ou les biopsies d'organes infectés, sur lesquels on pratique des examens de microscopie électronique ou d'immunofluorescence. B.E. Le titrage des anticorps spécifiques n'a de valeur diagnostique que dans les primo-infections pour déceler une élévation significative. En revanche, les récurrences se font presque toujours à titre d'anticorps stables. De plus, la possibilité de réactions croisées entre les différents herpès viridae, fait que les examens sérologiques apparaissent décevants et s'effacent devant la recherche directe par microscopie électronique ou immunofluorescence, et devant l'isolement. C. Les herpès simplex virus n'hémo-agglutinant pas, l'inhibition de l'hémagglutination est impossible. D. L'isolement du virus est facilité par la multiplication rapide des deux types d'HSV dans les cultures cellulaires courantes: un effet cytopathogène évocateur est obtenu dans les trois jours. Il reste à typer le virus, par exemple par immunofluorescence.
A. Transduction : transfert de matériel génétique d'une bactérie à une autre par l'intermédiaire d'un bactériophage à ADN bicaténaire qui joue le rôle de vecteur. B. Quatre mécanismes differents : transformation, conjugaison, transduction et conversion. Les deux premiers ne mettent en jeu que les éléments bactériens, les deux derniers font intervenir en plus le bactériophage. C. Toxine érythogène synthétisée que par certains streptococoques A qui ont subi une conversion lysogénique par un bactériophage spécifique, c'est donc une protéine d'information virale. Sa présence est exceptionnelle chez certains streptocoques du groupe. La conversion est l'acquisition par une bactérie de matériel génétique provenant du génome d'un phage intégré sous forme de prophage. D. Changement spontané d'un caractère héréditairement transmissible. E. Transformation : introduction dans une bactérie réceptrice d'un fragment d'ADNlibre q purifié d'une bactérie génotypiquemnt différente, permettant l'expresion d'un caractère de la bactérie donatrice.
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75 Question à complément simple.
78 Question à complément simple.
L'une des propositions suivantes est fausse. Laquelle ? La viande de porc peut transmettre : A - Le taenia saginata B - La trichinose C - Une salmonellose D - La toxoplasmose E - Le botulisme
Comment vaccine-t-on contre le tétanos ? A - Avec une culture de germes atténués par la chaleur B - Avec une suspension de spores tétaniques tuées C - Avec des gammaglobulines humaines antitétaniques D - Avec le sérum d'un animal protégé E - Avec la toxine tétanique modifiée par formol, chaleur et vieillissement
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : E Le taenia saginata est transmis par le boeuf. Transmis par le porc, il s'agit du taenia solium plus rare mais plus grave que le taeniasis à taenia saginata.
E. Vaccination par l'anatoxine, toxine ayant perdu son pouvoir pathogène par détoxification mais conservé son pouvoir antigénique.
76 Question à complément simple.
79 Question à complément simple.
Parmi les vecteurs suivants, un est responsable de la transmission du paludisme. Lequel ? A - Phlébotome B - Glossine C - Anophèle D - Chrysops E - Cyclops
Les caractères suivants s'appliquent au pneumocoque, sauf un. Lequel ? A - C'est un diplocoque Gram positif B - Il est capsulé C - Il est responsable de méningites purulentes D - Il est généralement résistant à la pénicilline G E - C'est une bactérie très fragile
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : D
A. Phlébotomes : petits diptères, agents vecteurs des leishmanioses. B. Mouches Tsé-Tsé, diptères vecteurs de la trypanosomose africaine (maladie du sommeil). C. De la famille des moustiques. D. Chrysops : taon vecteur de la loase, helminthiase africaine cutanéo-dermique due à une filaire spécifiquement humaine : Loa loa. E. Cyclops : crustacé hôte intermédiaire de la dracunculose (filaire de Médine).
Morphologie : diplocoque gram positif, lancéolé, capsulé. Germe extrêmement fragile, survit peu de temps hors de l'organisme, très sensible aux températures inférieures à 37°. Responsable avec le méningocoque et l'hémophilus influenzae de la majorité des méningites purulentes de l'enfant et l'adulte. Le streptocoque pneumoniae se comporte vis à vis des B lactamines et notamment de la pénicilline comme le streptocoque A, c'est-à-dire très sensible.
77 Question à complément simple. Mycobacterium tuberculosis : A - Est une bactérie anaérobie B - Donne des colonies visibles en 48 heures sur milieu de Loewenstein C - Est mis en évidence par la coloration de Ziehl Neelsen D - Est un parasite cellulaire obligatoire E - Cultive sur gélose au sang frais Bonne(s) réponse(s) : C A. Aérobie stricte. B. Colonies visibles en 4 à 8 semaines sur les cultures, en milieu solide de Loewenstein-Jensen. C. Coloration de Ziehl-Nielsen : sous l'action de la fuschine à chaud, le bacille se colore en, rouge et n'est pas décoloré par l'acide nitrique et par l'alcool. Ce caractère bacillaire acido-alcoolo résistant est spécifique des bactéries du genre mycobactérium. D. Bactérie atypique intra et extracellulaire. E. Cultivé sur milieu solide de Loewenstein-Jensen.
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5 Question à compléments multiples. Parmi les infections superficielles suivantes du nouveauné, indiquez celle(s) qui peu(ven)t être due(s) au staphylocoque : A - Folliculite B - Pemphigus de l'abdomen et des cuisses C - Périonyxis D - Mammite suppurée E - Omphalite Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Infections staphylococciques du nouveau-né : omphalite, coryza staphylococcique, abcès du rein et du cuir chevelu, panaris et périonyxis, impétigo, nécrose cutanée extensive, pemphigus, épidermique.
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17 Question à compléments multiples.
50 Question à complément simple.
Quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) correcte(s) concernant l'onyxis dermatophytique ? A - Absence de péri-onyxis B - Atteint toujours un seul ongle C - Débute habituellement par le bord libre de l'ongle D - Peut faire discuter un psoriasis E - Peut faire discuter un érythème polymorphe
Quelle est, concernant les mutations bactériennes, la seule proposition exacte ? A - Nécessitent pour se produire l'addition aux cultures de susbstances appelées mutagènes B - Sont induites par l'utilisation d'antibiotiques quand elles concernent la résistance à ceux-ci C - Résultent d'un changement dans la séquence de bases de l'ADN D - Sont réversibles quand elles résultent d'une délétion E - Sont toujours exprimées par un changement au niveau du phénotype
Bonne(s) réponse(s) : A C D A C. L'onyxis dermatophytique débute par une atteinte du bord libre de l'ongle, sans périonyxis (contrairement à l'atteinte candidosique), par la formation d'une tache jaunâtre s'étendant lentement sous l'ongle et correspondant à l'épaississement des lames unguéales. Quelle que soit sa localisation, l'attaque unguéale se fait à contrecourant de la poussée, du bord libre vers la matrice. D. Le psoriasis unguéal est particulièrement polymorphe : souvent un ou plusieurs ongles ponctués avec quelques dépressions en dé à coudre. L'épaississement pseudo-mycosique de la table unguéale est rencontré parfois dans les formes importantes.
45 Question à compléments multiples. La ou les suspensions des pneumocoques suivantes peuvent entraîner la mort après injection à la souris (expérience de Griffith) : A - Pneumocoques en phase S vivants B - Pneumocoques en phase R tués + pneumocoques en phase R vivants C - Pneumocoques en phase S tués D - Pneumocoques en phase R vivants E - Pneumocoques en phase S tués + pneumocoques en phase R vivants Bonne(s) réponse(s) : A E La transformation est une modification de caractère obtenue par l'introduction dans une bactérie réceptrice d'un fragment d'ADN d'une bactérie génotypiquement différente. Phénomène découvert par Griffith : son expérience montre que l'inoculation à la souris de pneumocoques vivants mais dépourvus de capsule et donc avirulents (mutants rough "R") associés à des pneumocoques capsulés (type Smooth "S") mais tués, détermine la mort de l'animal et permet d'isoler à partir de celui-ci des pneumocoques virulents de type Smooth "S".
95 Question à compléments multiples. Un voyageur part en Thaïlande pour 15 jours. Quel ou quels gestes sont inutiles ? A - Prise régulière de Nivaquine® B - Vaccination antiamarile (fièvre jaune) C - Prise régulière de nifuroxazide (Ercéfuryl®) D - Injection intramusculaire de Lomidine® (antitrypanosome) E - Usage d'Hydroclonazone® dans l'eau de boisson Bonne(s) réponse(s) : A E A. Chimioprophylaxie impérative, mais en Thaïlande présence de résistance totale du plasmodium falciparum aux amino-4-quinoléines (les autres Plasmodium y sont sensibles). B. La fièvre jaune est limitée à l'Afrique et à l'Amérique du Sud. C. Inutile, pas de chimioprophylaxie efficace des dysenteries bacillaires, de la fièvre typhoïde, et des entérocolites aiguës infectieuses bactériennes. D. Déconseillée car dangereuse, elle risque de décapiter une véritable trypanosomose. E. Utile contre les germes bactériens à transmission fécale-orale, susceptibles de contaminer l'homme par voie digestive à partir de l'eau de boisson.
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Bonne(s) réponse(s) : C La mutation bactérienne est le changement spontané d'un caractère héréditairement transmissible. Elles se caractérisent par leur rareté (10 exposant -6 à 10 exposant -8), leur spécificité, leur stabilité leur spontanéité, leur irréversibilité sauf exceptionnelle mutation réverse. Les antibiotiques ne déterminent pas la résistance mais sélectionnent des bactéries déjà résistantes. Les mutations ou variations génotypiques sont à distinguer des variations phénotypiques, réversibles et non transmissibles héréditairement, qui proviennent d'une adaptation de l'ensemble d'une population bactérienne aux conditions extérieures.
51 Question à complément simple. Les staphylocoques peuvent être à l'origine de toxiinfections alimentaires, le mécanisme de ces intoxications est le suivant : A - Libération d'une endotoxine pyrogène consécutive à la lyse des corps bactériens B - Sécrétion d'une exotoxine thermolabile C - Sécrétion d'une exotoxine thermostable D - Production de ptomanes toxiques dans l'aliment E - Production d'histamine Bonne(s) réponse(s) : C A. Phénomène rencontré chez les bactéries à gram négatif (exemple : salmonella). B.C. Cette entérotoxine protéique thermostable et insensible aux sucs digestifs n'est sécrétée que par certaines souches de staphylocoques dorés. Les intoxications alimentaires particulières par l'absence de fièvre et la courte incubation (2 à 4 heures) sont dues à cette entérotoxine préalablement développée dans l'aliment. Le diagnostic de cette toxi-infection se fait donc par la mise en évidence de la toxine dans les aliments et non pas par la recherche de S. aureus dans les féces (rarement retrouvé à la coproculture).
75 Question à complément simple. La symptomatologie du tétanos est causée par : A - La diffusion d'un germe dans le sang B - La fixation d'une toxine sur le système nerveux C - La localisation d'un microbe sur l'encéphale D - Un trouble métabolique E - Aucune de ces propositions Bonne(s) réponse(s) : B Après contamination à la faveur d'une effraction cutanée ou muqueuse, les spores tétaniques subissent une germination favorisée par l'anaérobiose. Le germe clostridium tétani reste localisé au niveau de la porte d'entrée et sécrète localement la tétanospasmine qui est une exotoxine protéique neurotrope. Celle-ci diffuse rapidement par voie sanguine, lymphatique axonale et se fixe au niveau des gangliosides des tissus cérébraux du système nerveux central.
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84 Question à complément simple.
2 Question à compléments multiples.
Toutes les affirmations suivantes concernant Streptococcus pneumoniae sont vraies sauf une. Laquelle ? A - Ce sont des cocci Gram positifs en diplocoques B - Ils sont souvent responsables de pneumopathies aiguës graves C - Qui peuvent être prévenues par une vaccination D - Ils peuvent être totalement résistants à l'érythromycine dans plus de 5 % des cas E - Ils peuvent être totalement résistants à la pénicilline G dans plus de 5 % des cas
Quelle est ou quelles sont la(les) réponse(s) exacte(s) concernant la réaction du V.D.R.L. ? A - C'est une réaction de micro-agglutination B - Elle utilise l'antigène protéique C - Elle se positive 12 à 15 jours après le début du chancre D - Elle détecte les réagines E - Elle peut se négativer spontanément avec le temps
Bonne(s) réponse(s) : E D. 15 à 20 % de résistance à l'érythromycine. E. Des souches de pneumocoques résistantes à plusieurs antibiotiques dont les pénicillines des niveaux élevés ont été responsables d'épidémies meurtrières en Afrique du Sud. Depuis type de résistance a été rencontré dans de nombreux pays dont la France. Cette résistance (fréquence 1 %) est d'origine chromosomique, non transférable par conjugaison, non liée à la production de bêta-lactamase, mais due à des modifications multiples des protéines de liaison à la pénicilline. C. La vaccination antipneumococcique est recommandée chez les sujets à risque: : splénectomisés, sujets de plus de 65 ans. bronchopathes chroniques. Le vaccin Pneumo 14 Imovax® contient les 14 sérotypes (sur 84 au total) responsables de 80 % des infections pneumococciques graves.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E VDRL : réaction d'agglutination passive utilisant les antigènes cardiolipidiques, mettant en évidence les réagines, anticorps anticardiolipides non spécifiques des tréponématoses. Les résultats sont soit qualitatifs, soit quantitatifs exprimés en dilution. La positivation au cours de la syphilis est relativement tardive : vers le 15ème jour du chancre, définissant la période présérologique de la syphilis primaire. Réaction simple, rapide et peu chère, utilisée surtout pour le dépistage des sujets mais aussi pour la surveillance des syphilis traitées. La spécificité est mauvaise : il existe de nombreuses fausses réactions transitoires liées à des infections bactériennes, virales ou parasitaires, à la grossesse, aux collagénoses, aux vaccinations. E. Le titre de ces réagines diminue progressivement avec le temps et peut se négativer en 6 mois à 2 ans.
31 Question à compléments multiples. 1 Question à compléments multiples. Parmi les atteintes cutanéo-muqueuses suivantes, quelle est celle ou quelles sont celles qui ne sont jamais dues à Candida albicans ? A - Eczéma marginé de Hébra B - Teigne tondante C - Muguet buccal D - Onyxis avec périonyxis E - Intertrigo Bonne(s) réponse(s) : A B A. Intertrigo dermatophytique des grands plis, habituellement au niveau du pli inguinal, lié à des dermatophytes anthropophiles : épidermophyton floccosum, trichophyton rubrum, plus rarement trichophyton mentagrophytes. B. Teignes tondantes, sèches, dermatophytiques liées à des trichophytes (T. Violaceum et T soudanense) ou à microsporum canis. C. Candidose buccale rencontrée surtout chez le nouveau-né et l'enfant. D. Périonyxis candidosique évoluant par poussées successives de périonyxis inflammatoire, parfois purulent. Secondairement, apparaît un onyxis des doigts atteints. E. Les principales étiologies des intertrigos sont infectieuses, dues à des mycoses candidoses, dermatophyties) ou à des bactéries (staphylocoque, streptocoque, bacilles gram négatif). Parmi les étiologies non infectieuses: le psoriasis, la dermite séborrhéique, l'eczéma de contact, la dermatite atopique et le pemphigus bénin familial de Hailey.
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Parmi les antibiotiques suivants, lequel(lesquels) est(sont) généralement bactériostatique(s) ? A - Chloramphénicol B - Ampicilline C - Colistine D - Pénicilline G E - Gentamicine Bonne(s) réponse(s) : A Les familles d'antibiotiques bactériostatiques sont les phénicolés, les cyclines, les macrolides et l'éthambutol. Les familles bactéricides sont les bêta-lactamines, les aminosides, les synergistines, les polypeptides, la vancomycine, et les antituberculeux à l'exclusion de l'éthambutol.
32 Question à compléments multiples. La bilharziose urinaire se rencontre : A - Au Maghreb B - En Afrique inter-tropicale C - A Madagascar D - Aux Antilles E - En Guyanne française Bonne(s) réponse(s) : A B C La bilharziose urinaire est liée à shistosoma haematobium qui sévit au Maghreb, en Afrique inter-tropicale, à Madagascar mais aussi dans la vallée du Nil, le Yémen, l'Irak et l'Iran. La seule bilharziose rencontrée sur le continent américain est la forme intestinale due à shistosoma mansoni.
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33 Question à compléments multiples.
11 Question à complément simple.
L'antitoxine tétanique : A - Est la toxine détoxifiée par le formol B - Confère une immunité de longue durée C - Est vaccinante D - S'utilise à titre préventif E - Peut être utilisée en cas de plaie tétanigène
Quelle est la substance produite par Staphylococcus aureus et qui réagit avec le fibrinogène de façon directe ou indirecte ? A - Acide lipoteichoique B - Acide teichoique C - Protéine A D - Clumping facteur E - Staphylokinase
Bonne(s) réponse(s) : D E A.B.C. Il s'agit de l'anatoxine. D.E. L'antitoxine tétanique, utilisée en injections intramusculaires, le plus rapidement possible en cas de plaie tétanigène, confère une immunité passive, immédiate et de courte durée.
34 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes laquelle ou lesquelles s'applique(nt) aux dosages sériques des antibiotiques ? A - Permettent de mesurer l'efficacité du traitement B - Permettent de mesurer l'activité bactéricide C - Permettent d'adapter la posologie de l'antibiotique D - Permettent de déterminer si le traitement fait courir un risque toxique au malade E - Permettent de mesurer la toxicité du traitement Bonne(s) réponse(s) : C D A. La surveillance du traitement antibiotique est avant tout clinique et bactériologique. Le dosage sérique des antibiotiques permet de mesurer l'efficacité du traitement à la seule condition d'être rapporté à la concentration minimale inhibitrice ou bactéricide (le taux sérique devra leur être supérieur). C. La posologie est susceptible d'être adaptée, soit en augmentant la dose, soit en espaçant les prises, en fonction de l'étude cinétique des taux sériques (pic sérique, concentration résiduelle comparés au CMB et CMI. D. Lorsque le seuil de toxicité est connu pour certains antibiotiques, les taux sériques doivent rester en deça. E. Impossible car la toxicité dépend de l'antibiotique administré mais aussi de la sensibilité individuelle. Cette toxicité pourra être seulement appréciée en évaluant l'effet toxique (exemple : mesure de la clairance de la créatinine au cours d'un traitement par aminoside ou par vancomycine). I
92 Question à compléments multiples. Parmi les antibiotiques suivants, lequel ou lesquels est ou sont habituellement actif(s) sur le staphylocoque doré ? A - Pénicilline G B - Méthicilline C - Colimycine D - Ampicilline E - Pristinamycine Bonne(s) réponse(s) : B E A.D. 80 % des staphylocoques produisent des pénicillinases codées par un plasmide, qui inactivent les pénicillines G et A ; restent souvent sensibles à l'Augmentin® (amoxicilline associée à l'acide clavulanique qui est inhibiteur de bêta-Lactamase), aux pénicillines du groupe M et aux céphalosporines en général. B. Près de 20 % des staphylocoques dorés expriment une résistance hétérogène d'origine chromosomique aux pénicillines du groupe M (Métilcilline® oxacilline et ses dérivés). C. Les cocci gram positif et gram négatif, protéus, providencia, serratia et les anaérobies expriment une résistance naturelle à la Colimycine®. E. Les synergistines (pristanamycine et virginiamycine) sont d'excellents antistaphylococciques.
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Bonne(s) réponse(s) : D D. Clumping factor : ou coagulase liée, fixée à la paroi bactérienne, libérée après antolyse, réagit avec le fibrionogène et les monomères de fibrine, entraînant l'agglutination des staphylocoque et la formation d'une coque autour des germes les rendant résistants à la phagocytose. E. Staphylokinase ou fibrinolysine, sécrétée par les germes S.aureus ayant colonisé le noyau, elle contribue à sa dislocation et à la formation de micro-embols suppurés responsables de métastases septiques.
41 Question à complément simple. Les récidives de l'herpès récurrent sont dues à la persistance du virus : A - Dans les cellules de l'épiderme B - Dans les cellules lymphoïdes au niveau des ganglions régionaux C - Dans les synapses des nerfs moteurs D - Dans les ganglions sensitifs E - Dans les macrophages au niveau du derme Bonne(s) réponse(s) : D Non commentée : évidence.
54 Question à complément simple. L'inefficacité d'un traitement antibiotique peut être liée aux causes suivantes sauf une. Laquelle ? A - Résistance de la bactérie traitée B - Déficit de l'immunité cellulaire C - Posologie insuffisante D - Mauvaise diffusion de l'antibiotique dans le foyer infectieux E - Substitution d'un germe de surinfection résistant au germe initial Bonne(s) réponse(s) : B Les antibiotiques sont des agents antibactériens exerçant une action pharmacologique au niveau moléculaire. Selon qu'elle est réversible ou non, leur action sera bactériostatique ou sera bactéricide, en général par interférence avec des métabolismes énergétiques ou de synthèse de la bactérie. Les déficits de l'immunité cellulaire et/ou humorale fragilise l'organisme et favorise les infections bactériennes et autres. Mais l'antibiotique agit seul sur sa cible bactérienne. Celleci malgré le déficit immunitaire reste sensible à une antibiothérapie adaptée.
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16 Question à compléments multiples.
32 Question à compléments multiples.
Sarcoptes scabiei hominis : A - Est un insecte de petite taille à corps ovalaires grisâtres entre 220 et 330 microns B - Est un ectoparasite dont la femelle creuse un tunnel dans la peau entre la couche cornée et la couche de Malpighi C - Toute l'évolution du parasite depuis la ponte de l'oeuf jusqu'au stade adulte qui dure environ 4 semaines se fait à l'intérieur du sillon D - La nutrition des différents stades se fait à partir d'un histosiphon qui permet d'aspirer la lymphe cutanée E - Est l'agent de la gale, la contamination se fait habituellement par contact direct peau à peau
Quel(s) vaccin(s) contienne(nt) des micro-organismes vivants ? A - Antipoliomyélitique oral B - Anti-grippal C - B.C.G. D - Anti-méningococcique E - Anti-rougeoleux
Bonne(s) réponse(s) : A B D E C. Chaque jour, la femelle fécondée de sarcoptes scatiei hominis pond deux ou trois oeufs qui sont déposés dans le tunnel. Ils éclosent en trois ou quatre jours pour libérer des larves qui quittent le tunnel. Arrivées sur la peau, celles-ci creusent une poche, ou se réfugient à la base des follicules pileux. Par des mues successives, elles se transforment en nymphes puis en adultes.
30 Question à compléments multiples. Les dermatophytes : A - Sont des champignons atteignant indifféremment épiderme, phanères et tissus profonds B - Appartiennent aux genres : Epidermophyton, Microsporum et Trichophyton C - Produisent des microconidies à l'exclusion d'autre types de spores (arthrospores, chlamydospores) D - Sont kératinophiles et kératinolytiques E - Sont exclusivement anthropophiles et anthropozoophiles car ce sont de vrais champignons parasites Bonne(s) réponse(s) : A B C D A. Très exceptionnellement, les tissus profonds (maladie dermatophytique de Hadida et Schousboe). C. Les trois genres épidermophyton, trichophyton et microsporum sont caractérisés par les macroconidies, différentes pour chacun des genres. Seuls trichophyton et microsporum produisent aussi des micronidies. D. Kératinophiles, certains sont aussi kératinolytiques (T. Rubrum et T. Mentagrophytes donnent des onyxis avec destruction importante de l'ongle). E. A côté des groupes d'espèces anthropophiles et anthropozoophiles, il existe un groupe d'espèces géophiles qui se trouvent sur le sol : microsporum gypseum.
Bonne(s) réponse(s) : A C E A. Vaccin atténué vivant, fait de poliovirus vivants sélectionnés qui ont perdu leur neurovirulence du fait de mutations : ainsi la souche Sabin. Administré par voie buccale à partir de l'âge de 3 mois à raison de 3 prises à 1 mois d'intervalle et de rappels 1 an après et à l'age de 6 à 7 ans. Contrairement au vaccin inactivé injectable (Sarklépine), le vaccin antipoliomyélitique oral induit une bonne réponse humorale et surtout une immunité locale au niveau du tube digestif sous forme d'IgA sécrétoires qui s'opposeront efficacement à la réinfection par les poliovirus sauvages. B. Vaccin inactivé préparé sur embryon de poulet. C. Vaccin vivant atténué obtenu par Calmette et Guérin à partir d'une souche bovine avirulente (230 repiquages). D. Préparés à partir d'extraits antigéniques méningococciques. E. Vaccin vivant atténué.
18 Question à complément simple. On appelle effet cytopathique viral : A - L'apparition de néoantigènes sur la membrane cellulaire B - L'altération morphologique des cellules infectées. visible en microscopie optique C - L'apparition d'un phénomène d'hémadsorption par les cellules infectées D - L'apparition de lésions macroscopiques chez l'animal infecte E - L'apparition de particules virales visibles en microscopie électronique dans les cellules infectées Bonne(s) réponse(s) : B L'ECP se définit par un changement de l'aspect des cellules en culture, inoculées par un prélèvement viral, visible en microscopie optique. L'hémadsorption est une propriété de la surface des cellules infectées par un virus à la fois hémagglutinant et muni d'une enveloppe. En effet, la membrane des cellules infectées porte spinales hémagglutinantes de cette catégorie de virus et acquiert la propriété de fixer les hématies.
22 Question à complément simple. La protection d'un sujet lors d'une infection à Corynebacterium diphteriae est assurée efficacement par : A - Anticorps opsonisants B - Anticorps agglutinants C - Anticorps antitoxiques D - Interféron E - Lymphokines Bonne(s) réponse(s) : C Non commentée : connaissance.
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49 Question à complément simple.
113 Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes, laquelle s'applique le mieux à l'ampicilline ? A - Spectre très large, réservé au traitement des infections à Pseudomonas aeruginosa B - Spectre large détruit par la pénicillinase du staphylocoque C - Spectre moyen résistant à la pénicillinase du staphylocoque D - Spectre moyen peu actif sur les bactéries à Gram négatif, détruit par la pénicillinase du staphylocoque E - Spectre très large, résistant à la pénicillinase du staphylocoque
Orthomyxovirus influenza type A présente, d'une année à l'autre, de légères modifications antigéniques (dérive ou glissement) qui sont liées à : A - Une recombinaison génétique avec un virus aviaire B - Une recombinaison génétique avec un virus équin C - Une mutation ponctuelle modifiant légèrement la structure de l'hémagglutinine D - Une modification de l'ARN génomique E - Une recombinaison avec un virus influenza
Bonne(s) réponse(s) : B Ampicilline : pénicilline semi-synthétique du groupe A à large spectre actif sur un grand nombre de germes : gram positif tels que staphylocoques non producteurs de pénicillinase, streptocoques, clostridies, listéria monocytogènes, et gram négatif tels que méningocoques gonocoques, colibacilles, protéus mitabilis, salmonelles, shygelles, hémophiles influenza non producteurs de bêta lactamases.
77 Question à complément simple. Dans quelle partie du corps humain les bactéries Gram négatif peuvent-elles échanger leur plasmides avec le plus de facilité ? A - Peau B - Gorge C - Intestin D - Sang E - Appareil génital Bonne(s) réponse(s) : C Les bactéries gram négatif constituent la majeure partie de la flore bactérienne très importante qui colonise l'intestin humain. Cette colonisation en grand nombre est un facteur favorisant les échanges plasmidiques inter-bactériens.
78 Question à complément simple. Indiquez la maladie qui ne peut pas bénéficier d'une prophylaxie par vaccination : A - Poliomyélite B - Variole C - Rougeole D - Herpès E - Grippe Bonne(s) réponse(s) : C Non commentée : connaissance.
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Bonne(s) réponse(s) : C D C.D. Les glissements antigéniques sont des modifications antigéniques mineures réalisées, par petites touches successives. Elles intéressent aussi bien les virus influenza de type A en deux cassures, que les virus influenza de type B. Les modifications antigéniques des virus résultent de modifications génétiques. Celles-ci portent sur un ou quelques acides aminés et s'expliquent parfaitement par des mutations ponctuelles portent sur un ou quelques bases de l'ARN génomique du virus influenza. A.B.E. En revanche, les modifications antigéniques majeures qui définissent les cassures antigéniques et caractérisent les nouveaux sous-types A avec changement complet des structures de l'hémogglutinine et de la neuraminidase suppose un changement complet des fragments génomiques correspondants. Il pourraît s'agir d'échange de fragments génomiques entre souches humaines et souches animales de virus influenza de type A à l'occasion d'infections mixtes, au cours desquelles deux virus différents infecteraient la même cellule, intervetiraient certains de leurs huit fragments génomiques.
1 Question à compléments multiples. Les herpès simplex virus : A - Sont des virus à ADN B - Sont des virus nus C - Ont un acide nucléique qui persiste dans l'organisme après la primo-infection D - Résistent plusieurs semaines dans le milieu extérieur E - Donnent des infections graves chez le sujet immuno-déprimé Bonne(s) réponse(s) : A C E A.B. Virus à ADN, à symétrie cubique, et enveloppés. C. La physiologie de l'infection à herpès simplex virus est dominée par les phénomènes de latence et de récurrence. Après la primoinfection manifeste ou inapparent seon les sujets, l'infection persiste à vie, latente en un gîte profond dans les ganlions nerveux sensitifs. Malgré la réponse immunitaire et notamment les anticorps sériques résultant de la primoinfection, l'infection latente peut être réactivée. La réinfection endogène qui en résulte peut avoir une expression clinique : la récurrence. D. Les virus enveloppés sont fragiles et ne résistent pas dans le milieu extérieur. En découle aussi un mode de contamination par contat direct cutanéo-muqueux. E. Lésions cutanéo-muqueuses extensives et creusantes, trachéite, oesophagite, parfois dissémination de l'infection aboutissant à des lésions viscérales graves : hépatite, pneumonie ou encéphalite.
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9 Question à compléments multiples.
20 Question à compléments multiples.
Parmi les caractères suivants, lequel(lesquels) concerne(nt) le gonocoque : A - Sa culture est facile sur milieux ordinaires B - Il peut sécréter une bêta-lactamase C - Il est souvent intraleucocytaire à l'examen microscopique D - Confère une immunité protectrice E - C'est un pathogène de l'homme, jamais rencontré chez l'animal
Le traitement d'une candidose intestinale fait appel à : A - Amphotéricine B par voie intraveineuse B - Amphotéricine B par voie orale C - 5-fluorocytosine per os D - Nystatine per os E - Kétoconazole per os
Bonne(s) réponse(s) : B C E Parasite strict de l'organisme humain, il apparaît dans les produits pathologiques sous forme de diplocoques accolés par une face aplatie, gram négatif intra et/ou extracellulaire (grain de café). Sa culture est difficile en milieu ordinaires et l'isolement se fait par culture sur milieu enrichi (gélose chocolat polyvitaminée) à 10 %, CO2 en atmosphère humidifiée à 37° pendant 24 à 48 heures. D. N'existe pas d'immunité protectrice, un sujet guéri de gonococcie peut à nouveau contracter la maladie. Depuis 1979 en France, sont apparues des souches de gonocoques productrices de lactamases plasmidiques (pénicilline de type TEM). La recherche de bêta lactamases sera systématique de l'identification du germe afin d'adapter en conséquence le traitement antibiotique.
13 Question à compléments multiples. Candida albicans peut être responsable d'une (ou de plusieurs) des affections suivantes : A - Vulvo-vaginite B - Perlèche C - Balanite D - Stomatite E - Septicémie Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Non commentée : connaissance.
Bonne(s) réponse(s) : A B D E L'énoncé du Q.C.M. permet d'écarter les autres candidoses digestives que sont les candidoses buccales et oesophagienne. Les candidoses digestives sont la porte d'entrée de candidoses septicémiques ou viscérales chez les sujets à haut risque. L'administration systématique de polyènes (Mycostatine®, Fungizone®) par voie orale exerce un effet prophylactique sur la dissémination. Pour une colonisation simple de l'intestin par candida albicans, la thérapeutique doit comporter un antifongique administré per os, peu ou pas réabsorbé au niveau intestinal afin d'augmenter l'action locale, de diminuer la toxicité du produit. Ainsi des médicaments tels que Nizoral® (kétoconazole), absorbé au niveau intestinal et présentant des troubles hépatotoxiques, ou l'Ancotil® (flucytosine) absorbé lui aussi et dont le métabolite principal SF-U est myélotoxique, sont ici déconseillés. Il en va de même pour l'amphotéricine B par voie IV qui présente de nombreux effets indésirables dont une néphrotoxicité importance En revanche, pour une colonisation candidosique avec invasion muqueuse (souvent associée à une symptomatologie clinique), il est préférable d'utiliser des molécules qui gardent une concentration intraluminale efficace mais sont partiellement réabsorbées, exerçant alors une action antifongique au niveau de la muqueuse. Le meilleur produit serait alors l'amphotéricine B per os. (la négastatine n'est pas réabsorbée au niveau digestif). . L'énoncé ne précise pas le type d'infection candidosique intestinale et l'action désirée à ce niveau. Les réponses les plus logiques sont B et D.
23 Question à compléments multiples. Le pneumocoque : A - Est un cocci Gram positif B - Est un commensal du rhinopharynx C - Est très sensible aux aminosides D - En cas d'infection pneumococcique, un antigène capsulaire peut être décelé dans les urines E - Est habituellement sensible à la pénicilline G Bonne(s) réponse(s) : A B D E A.B. Hôte normal commensal de l'oropharynx chez l'homme. C. La famille des streptocoques à laquelle appartient le pneumocoque présente une résistance naturelle aux basses concentrations d'aminosides. La sensibilité est donc faible vis à vis de cette classe d'antibiotiques. Toutefois, pour rappel, l'association aux bêta lactamines (action au niveau de la paroi bactérienne) facilite la pénétration de l'aminoside dans le streptocoque et entraîne une synergie bactéricide. D. Présence d'antigènes capsulaires solubles dans le sang circulant, les urines et le LCR, dont la recherche par technique d'électrosymérèse ou agglutination passive permet d'établir très rapidement le diagnostic étiologique d'une méningite.
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70 Question à compléments multiples.
40 Question à complément simple.
Le bacille diphtérique présente un ou plusieurs des caractères suivants. Lequel ou lesquels ? A - Est un bacille à Gram positif B - Est toxinogène lorsqu'il porte un prophage spécifique C - Sa toxine agit en bloquant les synthèses cellulaires D - Doit être recherché dans la gorge E - Donne fréquemment une bactériémie
L'une des affirmations suivantes est fausse. Laquelle ? A - Au cours d'un parasitisme par taenia saginata, les anneaux mûrs sont éliminés de façon active B - Taenia saginata est cosmopolite C - Taenia saginata vit généralement seul dans l'intestin grêle D - Le diagnostic d'un taeniasis à taenia saginata peut s'effectuer par scotch-test anal E - Les hôtes intermédiaires de taenia saginata sont les porcins
Bonne(s) réponse(s) : A B C D A. Germe immobile, encapsulé, en forme de bâtonnet à bouts arrondis ou renflés en massue, gram positif, facilement décoloré, avec granulation métachromatiques. B. Exotoxine protéique soluble thermolabile. Corynebactérie diphteriae ne devient toxinogène qu'après exposition au phage bêta (conversion lysogénique). C. La toxine diphtérique est élaborée in situ au niveau de la fausse membrane par le germe et diffusant seule par voie sanguine sur les principaux viscères vitaux. La toxine bloque les synthèses cellulaires, sa cible étant la transférase II, elle empêche, au niveau des ribosomes, l'ARN de transfert de passer d'un site donneur à un site receveur. D. Le bacille est recherché, en cas d'angine, dans la gorge à la limite et de la fausse membrane de la muqueuse saine. E. Pas de bactériémie, mais une toxinémie.
72 Question à compléments multiples. Parmi les bactéries suivantes laquelle(lesquelles) est(sont) toujours résistante(s) à la pénicilline G ? A - Staphylococcus aureus B - Streptocoque du groupe A C - Méningocoque D - Salmonella typhi E - Treponema pallidum Bonne(s) réponse(s) : D Antibiotique bactéricide actif sur de nombreux cocci gram positif (staphylocoque doré non sécréteur de pénicillinase, streptocoques) et gram négatif (méningocoque, gonocoque), bacilles gram positifs aérobies et anaérobies (corynebactéries, clostridies) et spirochètes (treponema pallidum). Salmonelle typhi est un bacille gram négatif de la famille des entérobactéries. Elle présente une résistance naturelle à la pénicilline C mais elle est sensible à la pénicilline A (ampicilline).
17 Question à complément simple. Au cours d'une réinfection rubéolique, on constate la présence : A - Seulement d'lgM rubéoliques B - Seulement d'lgG rubéoliques C - Simultanément d'lgG et d'lgM rubéoliques D - D'abord d'lgM puis 1 mois après d'lgG rubéoliques E - D'lgE rubéoliques Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : E Les taenias à l'âge adulte sont spécifiques de l'homme. Ils vivent dans l'intestin grêle. Les derniers anneaux de l'extrémité de la chaîne, arrivés à maturité, se détachent de celle-ci et sont rejetés dans le milieu extérieur. En ce qui concerne T. sapinah, le diagnostic, en dehors de l'examen des anneaux émis, peut être également fait par prélèvement anal à la cellophane adhésive qui ramène les embryonphores collés à la marge anale, abandonnés là par l'anneau lors du passage sphinctérien. Les hôtes intermédiaires de T. sapinah sont les bovins, ceux de T. solium sont les porcins.
57 Question à complément simple. L'eczéma marginé de Hébra peut être dû à l'un des agents pathogènes suivants : A - Candida albicans B - Nocardia minutissima C - Dermatophyte D - Pyocyanique E - Staphylocoque doré Bonne(s) réponse(s) : C Intertrigo dermatophytique des grands plis, habituellement au pli inguinal pouvant déborder sur le scrotum ou l'abdomen; les agents responsables sont des dermatophytes anthropophiles : épidermophyton floccosum, trichophyton rubrum, rarement T. mentagrophytes.
1 Question à compléments multiples. On observe une réplication d'ADN viral dans le noyau des cellules infectées par : A - Herpès simplex virus B - Adénovirus C - Myxovirus influenza D - Entérovirus E - Virus des oreillons Bonne(s) réponse(s) : A B A.B. La replication des virus à ADN se fait toujours dans le noyau de la cellule, sauf les poxvirus dont la réplication est intracytoplasmique. C.D.E. Virus à ARN dont la réplication se fait généralement dans le cytoplasme cellulaire, mis à part le virus de la grippe (myxovirus influenza) dont l'ARN est répliqué dans le noyau de la cellule.
Evident : réponse anamnestique secondaire ne comportant que des IgG.
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3 Question à compléments multiples.
9 Question à compléments multiples.
Chez l'homme une infection virale latente réactivable peut être provoquée par : A - Myxovirus influenza B - Herpès simplex virus C - Virus rabique D - Virus de la varicelle E - Poliovirus
Le prélèvement sanguin est un des prélèvements à effectuer pour isoler le virus pendant la période aiguë de la maladie en cas de : A - Grippe B - Arboviroses C - Poliomyélite D - Rage E - Pneumonie à cytomégalovirus chez un immunodéprimé
Bonne(s) réponse(s) : A C D La physiologie de l'infection par un virus de la famille des herpès viridae est dominée par les phénomènes de latence et de récurrence. En effet, après la primo-infection manifeste ou apparente selon les sujets, l'infection persiste à vie, latente, en un gîte profond dans les ganglions nerveux sensitifs pour les herpès virus dermoneurotropes (herpès simplex virus et varicelle-zonavirus) et dans les leucocytes pour les herpès virus leucotropes (cytomégalovirus et Epstein-Barr virus).
6 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles s'applique(nt) aux plasmides de résistance aux antibiotiques ? A - Peuvent être responsables de la résistance simultanée à plusieurs antibiotiques B - Peuvent être transférés entre bactéries par un bactériophage C - Peuvent être transférés entre bactéries d'espèces différentes D - Se répliquent indépendamment du chromosome E - Sont toujours présents à un seul exemplaire par cellule bactérienne
Bonne(s) réponse(s) : B C E Le prélèvement sanguin, qui a pour but d'isoler le virus n'est intéressant que dans les viroses comportant une virémie. Parfois. il est effectué afin de titrer les anticorps sériques. C. L'isolement du virus et l'ascension dans le sérum des anticorps homologues signent l'infection par le poliovirus. Les poliovirus sont habituellement recherchés dans les selles, le pharynx, le LCR, et rarement dans le sang. B. Le diagnostic d'arbovirose fait appel à l'isolement du virus à partir du sang prélevé e phase aiguë, et au titrage des anticorps sériques dans un laboratoire spécialisé. D. Les techniques d'immunofluorescence ou d'immunopacroxydase permettent un diagnostic rapide en visualisant les antigènes viraux accumulés dans les cellules infectées. Ce diagnostic rapide est complété par une recherche du virus en inoculant des souriceaux par voie intracérébrale. Un diagnostic virologique est praticable par l'isolement du virus dans les différentes sécrétions, salive, larmes, mucus respiratoire, LCR, urines ou par la détection d'antigène dans les cellules de biopsie cérébrale, de biopsie cutanée, de calque cornéen, de frottis conjonctival ou nasal. E. Le moyen diagnostic le plus courant est l'isolement du virus par inoculation à des cellules de fibroblastes humains. Les prélèvements les plus productifs sont les urines, les leucocytes totaux du sang (et non les lymphocytes) et bien sûr, les biopsies ou les lavages alvéolaires, cas de pneumonie.
Bonne(s) réponse(s) : A C D A. Les plasmides codent pour différents types de caractère parmi lesquels la résistance aux antibiotiques. Cette résistance peut s'exprimer vis à vis d'un ou plusieurs antibiotiques, appartenant même à des familles différentes. B. Par conjugaison (plasmides dits conjugatifs) ou par mobilisation (plasmide dits non conjugatifs), le transfert ne se fait qu'après contact entre les deux bactéries. Le transfert plasmidique par transduction (action d'un bactériophage jouant le rôle d'agent vecteur de gène) n'a pas été encore observé. C. Le transfert plasmidique est intra ou intergénérique, ou intra ou interspécifique. D. ADN bicaténaire, circulaire, extrachromosomique et doué de réplication autonome. E. Deux plasmides capables de coexister de façon stable dans la même cellule bactérienne sont dits compatibles ; à l'origine de la classification des plasmides par groupes d'incompatibilité.
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18 Question à compléments multiples.
112 Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes concernant la réplication des virus à ADN, il est exact que : A - La réplication de l'ADN viral ne peut avoir lieu que dans le noyau de la cellule B - La réplication de l'ADN de certains virus peut être l'oeuvre d'enzymes codées par le génome cellulaire C - La transcription de l'ADN viral en ARN messagers est une étape obligatoire au cours du cycle de réplication des virus à ADN D - D'une manière générale, toutes les protéines codées par le génome viral sont synthétisées en même temps E - Certains virus acquièrent leur enveloppe en bourgeonnant à la membrane nucléaire
Parmi les propositions suivantes concernant le virus grippal, laquelle ou lesquelles sont exactes ? A - L'hémagglutinine et la neuraminidase sont les antigènes stables B - Les cassures antigéniques n'intéressent qu'une protéine interne (protéine M) C - Les glissements antigéniques reflètent les mutations ponctuelles D - L'apparition des nouveaux sous-types de virus est responsable de pandémies E - Après une infection par virus grippal, on est à l'abri de la grippe pour au moins 20 ans
Bonne(s) réponse(s) : B C E A.B. Pour les virus à ADN, la réplication se fait suivant un mode semi-conservatif mais les modalités de l'initiation de la progression de la fourette de réplication varient suivant le virus. La polymérase responsable peut être l'enzyme cellulaire, par exemple pour les adénovirus, en revanche, il s'agit d'une enzyme codée par le virus chez les poxvius dont la multiplication intracytoplasmique, et également pour les herpès virus dont la multiplication est intranucléaire. C.D. Pour les virus à ADN, une première transcription conduit à la synthèse d'un lot de protéines dites précoces, intervenant en particulier dans la synthèse de l'ADN viral mais généralement non incorporées dans la particule virale : on parle de protéines non structurale. L'ADN répliqué, une transcription tardive aboutit à la synthèse de protéines de structure, dites tardives, incorporées dans l'édifice viral, appelées aussi protéines virioniques. E. La libération, hors de la cellule-hôte, des virus nus se fait par éclatement cellulaire. Celle des virus enveloppés se fait par bourgeonnement à travers la membrane cellulaire. Dans le cas des herpès viridae (à ADN) dont l'enveloppe dérive de la membrane nucléaire, le virus sort du noyau par bourgeonnement puis gagne le milieu extérieur en empruntant les canalicules du réticulum endoplasmique.
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Bonne(s) réponse(s) : C D A. Les modifications antigéniques caractéristiques des virus de la grippe portent pour l'essentiel sur les deux antigènes de surface : l'hémagglutinine et la neuraminidase. B. Les antigènes internes tels que la RNP (ribomuléoprotéine) et la protéine M de matrice sont stables. Les cassures antigéniques sont des modifications majeures qui intéressent l'hémagglutinine seule ou associée à la neuraminidase. C. A l'inverse des cassures antigéniques qui procèdent de réassortiment de gènes. D. Les conséquences des cassures antigéniques qui ne surviennent que dans le type A de la grippe sont taxonomiquement l'apparition de nouveaux sous-types A distincts antigéniquement des précédents quant à l'hémagglutinine voir la neuraminidase. Le nouveau soustype trouve une population humaine pleinement réceptive puisque dépourvue d'anticorps neutralisants anti-hémagglutinine. Il en résulte une épidémie planétaire ou pandémie qui marque l'émergence de chaque nouveau sous-type. E. Les glissements antigéniques, intéressant aussi bien les virus influenza de type A entre deux cassures que les virus influenza de type B, provoquent l'apparition de variants consécutifs qui conservent entre eux un certain degré de protection croisée. Ceci explique que la composition des vaccins soit changée constamment pour y introduire toute souche nouvelle échappant aux anticorps développés.
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9 Question à compléments multiples.
20 Question à compléments multiples.
Concernant les transferts génétiques d'une bactérie donatrice à une bactérie réceptrice, indiquez la ou les propositions exactes : A - Certains plasmides possèdent les gènes leur permettant de se transférer lors d'un contact interbactérien B - Certains plasmides peuvent être transférés par l'intermédiaire d'un bactériophage C - Il est possible de transférer des caractères génétiques en utilisant de l'ADN purifié D - Quelle que soit la technique de transfert utilisée les gènes transférés ne peuvent s'exprimer que s'ils sont intégrés dans le chromosome bactérien E - Une fois transféré un plasmide s'intègre dans le chromosome pour pouvoir être répliqué
A propos de Mycobacterium tuberculosis : A - Ce bacille pousse en 48 heures à 3 jours sur des milieux spéciaux B - La multiplication du bacille tuberculeux dans un organisme neuf entraîne l'apparition d'une hypersensibilité retardée C - La multiplication du bacille tuberculeux entraîne aussi l'apparition d'une immunité antituberculeuse partielle et imparfaite D - Le support de l'immunité antituberculeuse n'est pas humoral. mais cellulaire E - Une réaction négative après intradermo-réaction à la tuberculine élimine formellement une tuberculose actuelle Bonne(s) réponse(s) :B C D
Bonne(s) réponse(s) :A C A. Ce sont les plasmides auto-transférables qui possèdent un facteur de transfert, et sont capables d'organiser leur propre transfert par conjugaison. C. Transfert par transformation : introduction dans une bactérie réceptrice d'un fragment d'ADN (préalablement purifié) d'une bactérie donatrice génotypiquement différente. D.E. L'acquisition de gènes plasmidiques ou transposables entraîne la synthèse de protéines nouvelles sans que soit nécessaire l'intégration au chromosome bactérien. Cet ADN extrachromosomique est totalement autonome pour la réplication et sa régulation, et l'expression des gènes qui le constituent. B. La transduction est le transfert d'ADN d'une bactérie à une autre par l'intermédiaire d'un bactériophage à ADN bicaténaire. Il existe des phages tempérés dont l'ADN s'intègre au chromosome bactérien et se réplique en même temps que lui. Le matériel génétique intégré s'appelle le prophage et la bactérie, qui en est porteuse, une bactérie lysogène.
11 Question à compléments multiples. Concernant les transposons, indiquez la ou les réponses exactes : A - Un transposon est un ensemble de gènes B - Un transposon code uniquement la résistance aux antibiotiques C - Les transposons se rencontrent uniquement dans les staphylocoques D - Un transposon est un fragment d'ADN E - Les transposons sont localisés uniquement dans les plasmides
A. Culture lente sur milieux spéciaux : les colonies apparaissent à partir du 14ème jour, la culture n'est jamais déclarée négative avant le 28ème jour. Le milieu solide de Loewenstein-Jensten est le plus employé et le meilleur pour l'isolement du bacille de Koch (mycobactérium tuberculosis). B. Les protéines bacillaires libérées dans l'organisme confère à celuici la propriété de répondre à l'arrivée de nouveaux bacilles : c'est l'hyper sensibilité tuberculinique ou allergie tuberculinique. Cette hypersensibilité est cellulaire (il n'y a pas d'anticorps circulants) et retardée (lecture de la réaction cutanée tuberculinique à la 72ème heure). C. A partir du 15ème jour après le contact, se forme un état d'immunité antibacillaire qui limite la diffusion. Cette immunité acquise ou immunité de surinfection agit par le ralentissement de la dispersion bacillaire de surinfection, la destruction accrue en l'enkystement de ceux-ci. Cette immunité antituberculeuse est donc partielle et imparfaite. Elle n'est qu'un appoint de résistance et peut se laisser déborder. D. Le macrophage est le principal vecteur. Les anticorps sériques existent dès le 14ème jour après contact avec le BK, mais non protecteurs, ils ne constituent pas le support de cette immunité, qui est à médiation cellulaire. E. La réaction cutanée tuberculinique peut être négative, malgré une infection tuberculeuse réelle dans diverses circonstances : - période anté-allergique : 4 à 12 semaines après le contact infectant lors de la constitution de l'allergie tuberculinique - maladies anergisantes : grippe, rougeole, hodgkin, lymphomes, hypotrophie du nourrisson, états cachectiques - traitements immuno-dépresseurs - erreurs techniques : lors de l'exécution ou la lecture du test.
Bonne(s) réponse(s) :D Les plasmides R (résistance aux antibiotiques) auto-transférables sont structuralement et fonctionnellement constitués d'un facteur de transfert et des déterminants de la résistance. Le facteur de transfert fournit l'information pour la réplication et son contrôle, la mobilisation et le transfert. C'est une structure relativement stable. Les gènes de résistance, au contraire, sont souvent portés par des séquences d'ADN de petite taille, capables de passer (se transposer ) d'un réplicon à un autre, et désignés transposons. Ces déterminants de la résistance sont capables de "sauter" de plasmide à plasmide, de chromosome à plasmide, et de plasmide à chromosome. Ce phénomène participe à la dissémination de la résistance aux antibiotiques, et est responsable de la présence de gènes homologues sur des plasmides d'origine très différente. Tout gène peut être situé sur un transposon pourvu que s'exerce des pressions de sélection suffisantes. Des transposons codants pour la résistance aux métaux lourds, la production de toxines et la capacité d'utiliser certains métabolites ont été décrits.
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21 Question à compléments multiples.
92 Question à compléments multiples.
Le B.C.G. : A - Est un bacille tuberculeux vivant atténué B - Est pathogène pour les bovidés C - Peut occasionner chez l'homme des suppurations spontanément curables D - Résiste à l'action de tous les antibiotiques antituberculeux E - Induit des anticorps sériques protecteurs
Le virus de l'herpès : A - Est sensible à l'action de l'éther B - Le génome est constitué par un ADN bicaténaire non segmenté C - Occasionne une primo-infection le plus souvent inapparente ou bénigne D - Donne lieu à la formation d'inclusions intranucléaires E - Comporte deux types 1 et 2
Bonne(s) réponse(s) :A C
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A.B. La souche avirulente, capable de vacciner contre la tuberculose, obtenue par Calmette et Guérin, par culture d'une souche bovine (mycobactérie bovis) repiquée 230 fois, a définitivement perdu toute virulence pour l'homme et les animaux, mais elle fait apparaître un état de "prémonition" et une allergie tuberculinique. Le BCG est donc un vaccin vivant atténué. C. Les incidents secondaires sont d'ordre local et de fréquence faible (1 pour mille) : ulcération superficielle guérissant spontanément en quelques semaines. Les adénopathies régionales se voient surtout en cas de surdosage ou d'erreur technique (injection non intradermique), souvent spontanément curable, sans prescription d'antibiotique. La fistulisation d'une adénopathie ramollie et suppurée peut être évitée par ponction du ganglion. De même pour l'abcès sous-cutané fluctuant dû à une injection trop profonde. E. L'immunité acquise ou immunité de surinfection, obtenue par la vaccination par le BCG, est une immunité à médiation cellulaire. Certes, le contact avec le bacille tuberculeux atténué ou non, entraîne l'apparition d'anticorps sériques, mais ceux-ci ne sont jamais protecteurs. D. Le BCG est toujours résistant à la cyclosérine, très rarement à l'isoniazide et au P.A.S.
91 Question à compléments multiples. Le pou : A - Est un ectoparasite B - Est hématophage C - Est un parasite strict de l'homme D - Est un parasite temporaire E - Est un parasite obligatoire Bonne(s) réponse(s) : A B E A.B.E. Les anoploures plus connus sous le nom de poux sont hématophages, de spécificité très stricte, vivant exclusivement en potoparasites (il n'y a donc pas de stades libres non parasites) aux dépens des mammifères. Deux genres (pédicules et phtirius) parasitent l'homme : - pédicules humanus, pou de corps et pédiculus capitis, pou de tête - pthirius pubis, pou du pubis ou morpion. C. Il existe des pédiculoses animales, qui ne se transmettent pas à l'homme.
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A. Tout virus de la famille des herpès viridae possède une enveloppe ou peplos, qui est une membrane dérivée des membranes biologiques cellulaires cytoplasmiques ou nucléaires selon les virus. La double couche lipidique présente explique la fragilité de ces virus qui sont dégradés par les solvants des graisses (éther, sels biliaires). B. ADN bicaténaire linéaire, de poids moléculaire élevé. Il existe deux segments liés de façon covalente, l'un est appelé (S) l'autre long (L). Chaque segment étant limité par de courtes séquences répétitives inversées. C.E. 85 % de formes inapparentes pour les primo-infections d'herpès simplex virus type I 70% pour les primo-infections d'HSV type II. D. La réplication intranucléaire de l'herpès virus (virus à ADN) explique la présence d'inclusions intranucléaires, visibles après coloration des cultures cellulaires infectées par l'herpès virus.
99 Question à compléments multiples. Concernant l'antitoxine tétanique, il est exact que : A - Elle est obtenue par hyperimmunisation B - L'immunité conférée est passive C - L'immunité qu'elle entraîne est effective pendant plusieurs années D - Elle entraîne chez le receveur la production d'anticorps protecteurs spécifiques E - Les anticorps protégeant contre le tétanos sont neutralisants Bonne(s) réponse(s) : A B E A. Les immunoglobulines humaines spécifiques antitétaniques sont obtenues à partir du sang veineux de donneurs hyperimmunisés par le vaccin antitétanique. Elles remplacent actuellement l'antitoxine tétanique obtenue par hyperimmunisation de chevaux (sérum hétérologue) à l'aide d'anatoxine purifiée, puis de toxine purifiée quand l'animal a atteint un certain taux d'immunité. C.D. Immunité active retardée et durable due au vaccin ; se manifeste par la production d'anticorps protecteurs spécifiques, et par une protection immunitaire pendant plusieurs années (répétition du vaccin chez l'adulte tous les dix ans). B.E. Comme toute sérothérapie, et immunité passive, immédiate, et de courte durée (durée d'une vie de l'immunoglobuline dans l'organisme de 3 à 4 semaines). Dans le tétanos, la sérothérapie a pour but la neutralisation de la toxine.
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100 Question à compléments multiples.
59 Question à complément simple.
La primo-infection herpétique de type 1 : A - Entraîne toujours des manifestations cliniques B - S'exprime souvent par une gingivo-stomatite C - Peut atteindre la cornée D - Survient rarement avant 5 ans E - Est prédominante dans les classes aisées
Lequel des tableaux suivants vous paraît évoquer un diagnostic de teigne tondante microscopique ? A - Alopécie hippocratique B - Pelade C - Squames épaisses traversées par le cheveu D - Alopécie de l'enfant avec squames E - Alopécie diffuse de l'adulte
Bonne(s) réponse(s) : B C
Bonne(s) réponse(s) : C A.B.D. C'est vers 1 an, après la perte des anticorps maternels que la plupart des sujets s'infectent à l'herpès simplex virus type I. Cette primo-infection est le plus souvent inapparente. 10 à 15 % des sujets souffrent d'une gingivostomatite, qui représente la forme primo-infection herpétique la plus fréquente à HSV1. C. Parfois, la primo-infection touche l'oeil : simple conjonctivite folliculaire avec parfois extension de la cornée, siège d'une ulcération dendritique très évocatrice. L'atteinte du stroma sous forme de kératite disciforme est plus rare.
114 Question à compléments groupés. La survenue d'une amibiase hépatique : 1 - Est toujours précédée par des manifestations intestinales aiguës 2 - S'accompagne d'une élévation franche des anticorps sériques 3 - S'accompagne toujours de la présence de kystes d'Entamoeba histolytica dans les selles 4 - S'accompagne d'une augmentation franche de la vitesse de sédimentation globulaire Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C 1. Au dessous d'une amibiase intestinale aiguë ou semble d'emblée primitive (les manifestations initiales ayant été négligées ou tellement atténuées qu'elles sont passées inaperçues). 2. Les réactions sérologiques inconstamment positives dans les atteintes purement intestinales, sont en revanche pratiquement toujours positives à des taux élevés en cas d'amibiase trombaire où elle sont indispensables au diagnostic (immunofluorescence, électrosynérèse). 3. Seule la forme entamoeba histolytica est pathogène hématophage et nécrosante. Son identification lors de l'examen parasitologique des selles est un argument de certitude pour le diagnostic d'amibiase. Parfois, cette forme peut revenir au stade minuta non pathogène qui n'existe que dans la lumière intestinale et qui, sous diverses influences (variation de pH), peut donner des formes kystiques, éliminés avec les selles. 4. Les deux phases successives d'hépatite amibienne diffuse présuppurative et d'abcès hépatique amibien collecté s'accompagnent d'une accélération franche de la VS.
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L'énoncé veut probablement sous-entendre teigne tondante microscopique. B. L'affection fréquente chez l'enfant, de cause inconnue, réalisant des plaques totales alopéciques non squameuses, à limite nette, d'évolution spontanément favorable en quelques mois avec repousse complète des cheveux. C. Les teignes microscopiques réalisent des plaques alopéciques au niveau du cuir chevelu, de grande taille (4 à 7 cm), peu nombreuses (I à 4), de forme arrondie, avec une surface "sale", recouverte de squames grisâtres. La plaque squameuse est hérissée de cheveux cassés, courts, mais encore visibles. Elle diffère de la plaque squameuse des teignes sèches trichophytiques, où le cheveu est cassé, plus court, à ras du cuir chevelu, à peine visible, englué dans de nombreuses squames qui le masquent. D - Les teignes sont la seconde étiologie des alopécies non cicatricielles, après la pelade. Elles sont l'apanage de l'enfant, et se distinguent de la pelade par leur caractère constamment squameux. On distingue 4 teignes différentes : teignes tondantes trichophytiques ou microsporiques, teigne suppurée trichophytique, et teigne favique.
77 Question à complément simple. Une seule des affections ou manifestations suivantes n'est jamais due à un dermatophyte. Laquelle ? A - Eczéma marginé de Hébra B - Herpès circiné C - Onyxis D - Oesophagite E - Teigne Bonne(s) réponse(s) : D Les dermatophyties de la peau glabre comportent l'herpès circiné (en dehors des plis) et les intertrigos des grands plis (dont l'eczéma marginé de Herdra au niveau inguinal) et des espaces interdigitoplantaires. Les dermatophytes des régions pileuses comportent les dermatophyties du cuir chevelu ou teigne et les dermatophytes de la barbe, de la moustache ou sycosis. Enfin, les dermatophyties des ongles qui réalisent un onyxis ne s'accompagnant jamais de périonyxis (diagnostic différentiel avec le périonyxis à levure). D. Les dermatophyties sont des mycoses cosmopolites intéressant la peau et les phanères, très exceptionnellement les tissus profonds. Il n'existe pas de lésions digestives comme dans les candidoses.
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78 Question à complément simple.
30 Question à compléments multiples.
Plasmodium falciparum répond à toutes les propositions suivantes sauf une. Laquelle ? A - Se rencontre dans les pays tropicaux B - Agent de la fièvre tierce C - Responsable des complications graves du paludisme D - Longévité supérieure à 2 ans E - Schizogonie dans les capillaires cérébraux
Dans la liste suivante, indiquez le ou les caractère(s) qui s'applique(nt) aux mutations génotypiques chez les bactéries : A - Stabilité B - Indépendance C - Rareté D - Spontanéité E - Transmission héréditaire
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
A. Plasmodium falciparum est des quatre aspects pathogènes du paludisme le plus redoutable et le plus intensément implanté. Il est l'agent des tropiques, celui qui tue. Il sévit toute l'année dans les pays tropicaux où il subit des recrudescences saisonnières, mais il ne survient qu'à la période chaude et humide dans les régions subtropicales. B. Il est responsable de la fièvre tierce maligne, de l'accès pernicieux et indirectement de la fièvre bilieuse hémoglobinurique. C.E. Surtout l'accès pernicieux qui constitue le drame du paludisme. Encore appelé neuropaludisme, il réalise une encéphalite fébrile aiguë. Il est dû au tropisme cérébral de P.Falciparum (schizogonie dans les capillaires cérébraux). L'autre complication grave, la fièvre bilieuse hémoglobinurique survient chez un ancien paludéen à P.Falciparum autrefois soumis à la chimioprophylaxie par la quinine naturelle. Le pronostic est fatal dans 30 % des cas. Elle est aujourd'hui exceptionnelle. D. La longévité de cet hématozonine est inférieure à 1 an, contrairement aux trois espèces plasmodiales qui peuvent présenter des rechutes (accès de reviviscence) à plus ou moins brève échéance.
La mutation est le changement spontané d'un caractère héréditairement transmissible. Les mutations génotypiques consistent en l'apparition, au sein d'une population jusque là homogène, d'une bactérie présentant un caractère différent qu'elle transmet indéfiniment à sa descendance. Les mutations bactériennes se traduisent par leur rareté (probabilité de mutation par génération = 10 exposant 6 à 10 exposant 8), leur spécificité (mutation affectant un caractère déterminé), leur stabilité (transmission indéfinie de génération en génération, mais la mutation réverse est possible vers le caractère d'origine), leur spontanéité et leur indépendance (pour un mutant isolé par un agent sélecteur, la mutation se produit toujours indépendamment de cet agent). E. Les mutations en variations génotypiques sont à distinguer des variations phénotypiques réversibles et non transmissibles héréditairement qui proviennent d'une adaptation de l'ensemble d'une population bactérienne aux conditions extérieures.
4 Question à compléments multiples. L'infection herpétique latente qui sous-tend l'herpès récurrent a un ou plusieurs des caractères suivants : A - Elle a pour siège principal les ganglions lymphatiques du territoire de la primo-infection B - Elle peut durer toute la vie C - Elle peut être réactivée par un traitement immunodépresseur D - Elle peut être éliminée par les antiviraux de type acyclovir E - Elle peut être éliminée par les immunostimulants de type isoprinosine Bonne(s) réponse(s) : B C A. Faux. Il s'agit des ganglions neurosensitifs du territoire de la primo-infection. C. On reconnait à la réactivation certains facteurs déclenchants, pathologiques ou non comme les états d'immuno-dépression ou la grossesse. D. Les anti-viraux de type aciclovir sont, comme la plupart des produits, utilisés en chimiothérapie anti-virale, des virostatiques. Ces antiviraux ont pour cible, non pas les particules virales (comme pour les produits virulicides réservés à un usage externe), mais la cellule infectée où elle prétend bloquer la déviation métabolique caractéristique de l'infection virale, tout en respectant le fonctionnement cellulaire normal. E. L'utilisation des immuno-stimulants s'est révélé bien décevante. Un essai contrôlé récent conclut à l'échec de l'isoprinosine dans l'herpès labial et l'herpès génital hautement récidivant.
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40 Question à compléments multiples. Parmi les caractères suivants, relevez celui(ceux) qui peu(ven)t être observé(s) chez un nourrisson de 4 mois atteint de rubéole congénitale : A - Purpura thrombopénique B - Surdité C - Persistance du canal artériel D - Présence du virus dans les sécrétions nasopharyngées E - Périostite Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les symptômes de la rubéole congénitale sont classés en deux rubriques : - les malformations, témoins de l'infection au cours de l'embroygenèse, touchant principalement trois organes : le coeur (persistance du canal artériel, hypoplasie de l'artère pulmonaire), l'oeil (cataracte, microphtalmie, rétinopathie) et l'oreille interne (surdité de perception) - la foetopathie avec les signes traduisant l'infection des organes déjà formés, infection qui persiste au-delà de la naissance : retard de la croissance intra-utérin, hépatosplénomégalie, purpura thrombopénique, adénopathies, anémie, encéphalite, pneumonie interstitielle, transparence anormale des os à la radiographie (bandes claires métaphysaires). D. Les nouveaux-nés atteints de rubéole congénitale excrètent le virus en abondance dans les sécrétions nasopharyngés, les larmes, les urines et le sang, durant des mois voire des années.
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45 Question à compléments multiples.
105 Question à compléments multiples.
Pour traiter efficacement une candidose, par voie générale ou par voie locale, vous pouvez utiliser : A - Le ketoconazole (Nizoral®) B - Le miconazole (Daktarin®) C - La griséofulvine (Fulcine®) D - L'éconazole (Pevaryl®) E - La nystatine (Mycostatine®)
Les candidoses de la cavité buccale : A - Peuvent être induites par la prise d'antibiotiques B - Peuvent être en relation avec une immunodépression C - Peuvent évoluer vers des lésions hyperkératosiques D - Peuvent s'associer à une perlèche bilatérale E - Sont difficiles à diagnostiquer car le prélèvement mycologique retrouve très rarement le candida
Bonne(s) réponse(s) : A B D E
Bonne(s) réponse(s) : A B D A.B.D. Dérivés imidazolés à spectre antifongique large : levures et dermatophytes. C. Action limitée aux dermatophytes. E. Spectre d'action limitée aux levures.
75 Question à compléments multiples. Dans quelle(s) parasitose(s) un hôte intermédiaire est indispensable pour assurer le cycle naturel de transmission de la maladie à l'homme ? A - Amibiase B - Pédiculose C - Paludisme D - Taeniasis E - Gale sarcoptique Bonne(s) réponse(s) : C D L'hôte intermédiaire est l'être qui héberge le parasite sous sa forme non sexuée. Pour parler d'hôte intermédiaire (H.I.), il faut que le parasite exige le passage chez cet hôte pour assurer sa maturation ou une véritable multiplication et souvent les deux. Les formes infestantes n'apparaissent qu'au terme du passage, biologiquement indispensable, chez cet hôte intermédiaire. A. Ingestion de kystes au contact d'un sujet malade, plus souvent par consommation d'eau et d'aliments souillés. B. Parasite obligatoire de l'homme pour les pédiculoses spécifiquement humaines. C. Les vecteurs sont les agents transmetteurs des parasites : - soit des vecteurs purement mécaniques qui on un simple rôle de transport non indispensable au cycle vital du parasite (exemple : transport par insectes de kystes d'amides) - soit des vecteurs purement biologiques indispensables au cycle vital du parasite : ce sont les HI actifs (orthropodes hématophages). Cependant, dans le paludisme, bien que les formes sexuées se développent chez l'anophèle, du point de vue pratique épidémiologique (et non parasitologique), on considère l'homme comme hôte définitif des plasmodium, et donc l'anophèle comme hôte intermédiaire-vecteur, ce qui est un abus de langage. E. Cycle uniquement chez l'homme.
76 Question à compléments multiples. Parmi les toxines suivantes, indiquez la ou les toxine(s) qui peut(peuvent) être élaborée(s) par Staphylococcus aureus : A - Entérotoxine B - Toxine érythrogène C - Exfoliatine D - Leucocidine E - Hémolysine Bonne(s) réponse(s) : A C D E B. Toxine du streptocoque des groupes A, parfois C et G, responsables de la scarlatine.
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A.B.D. De nombreux facteurs favorisent cette fréquente localisation de la maladie : âges extrêmes de la vie, antibiothérapie, immunodépression, médicaments anticancéreux, diabète, prothèse dentaire, drogues psychotropes. On distingue : le muguet (spécifique du candida albicans), la langue noire, la glossite érythémateuse, la perliche, la chéilite, la stomatite des prothèses dentaires et les formes leucoplasiques de la langue ou de la muqueuse jugale. La perlèche est une érouillure des commissures labiales, bilatérales, à fond blanchâtre, parfois croûteux. Elle est en règle associée à une atteinte buccale interne. C. Les candidoses cutanéo-muqueuses chroniques sont rares, survenant surtout chez l'enfant, persistantes, avec lésions muqueuses agressives et placards cutanés parfois papillomateux, hyperkératosiques (granulome moniliaxique) témoignant essentiellement d'un déficit de l'immunité cellulaire et/ou d'une anomalie endocrinienne. De part la nature des épithéliums, seules les lésions cutanées peuvent évoluer vers l'hyperkératose. E. Faux. En revanche, il n'est pas possible d'affirmer la nature exacte de la levure.
17 Question à complément simple. Quatre des vaccins suivants sont constitués par des suspensions virales virulentes : le virus vaccin se multiplie dans l'organisme de l'individu vacciné ; un seul est un vaccin à virus inactivé : lequel ? A - Vaccin antipoliomyélitique type sabin B - Vaccin contre la rougeole C - Vaccin contre la grippe D - Vaccin contre la fièvre jaune E - Vaccin contre la rubéole Bonne(s) réponse(s) : C Il existe à l'heure actuelle trois vaccins préparés à partir de virus inactivé. Administrés par injections sous-cutanées, ce sont les vaccins inactivés rabique, grippal polyvalent (2 souches A + 1 souche B) et polomyélitique de Salk-Lépine.
29 Question à complément simple. En présence de bacilles acido-alcoolo-résistants dans une expectoration, il s'agit : A - De Mycobacterium tuberculosis B - De n'importe quelle mycobactérie C - De mycoplasme D - Obligatoirement d'une mycobactérie E - De rickettsie Bonne(s) réponse(s) : B Les mycobacteriaceae constituent une vaste famille de microorganismes comportant un seul genre, mycobactérien. Il s'agit de petits bâtonnets, caractérisés par l'aptitude à conserver un colorant malgré l'action combinée des acides forts, des bases et de l'alcool. Ces bactéries sont dits alcoolo-acido résistants. La coloration de Ziehl-Nielsen est spécifique des bactéries du genre mycobactérium : sous l'action de la fuschine à cahude, le bacille se colore en rouge et n'est pas décoloré par l'acide nitrique au 1/3 et par l'alcool à 95°.
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92 Question à complément simple.
8 Question à compléments multiples.
Parmi les antigènes streptococciques suivants, quel est celui sur lequel est basée la classification de Lancefield ? A - Protéine M B - Streptokinase C - Polyoside C D - Hyaluronidase E - Streptolysine O
La surveillance thérapeutique d'un traitement antibiotique par le laboratoire peut consister à doser les antibiotiques dans le sérum du malade : indiquez dans la liste suivante, les deux antibiotiques pour lesquels le dosage est le plus souvent pratiqué : A - Pénicilline G B - Minocycline C - Gentamicine D - Cotrimoxazole E - Tobramycine
Bonne(s) réponse(s) : C A. Protéine M, antigène capital des streptocoques A qui est spécifique du type de streptocoque A et permet le sérotypage de ceux-ci. Elle existe aussi dans la paroi des streptocoques pneumoniae mais ne permet pas de définir une spécificité de type. B. Ou fibrinolysine, enzyme des groupes streptococciques A,C, et G ; transforme le plasminogène en plasmine et empêche ainsi la formation d'une barrière de fibrine autour du foyer infectieux. C. Antigène C de la paroi cellulaire, caractérise chaque groupe (espèce) streptococcique de A à U (sauf groupes D et N). Le groupage des streptocoques passe donc nécessairement par l'extraction du polyoside C (technique de Lancefield à 100°C) D - Enzyme des groupes A,B,C, et G ; protéine antigénique qui dépolymérise la substance fondamentale du tissu conjonctif. E - Hémolysine cytotoxique et antigénique, oxygénolabile, existant dans les groupes A,C,G, et chez le streptocoque pneumoniae.
1 Question à compléments multiples. L'examen des selles peut permettre de mettre en évidence : A - Virus Echo B - Adénovirus C - Myxovirus influenza D - Virus de la fièvre jaune E - Virus hépatite HA Bonne(s) réponse(s) : A B E A. Echovirus (genre : entérovirus, famille : picorna viridae), agent étiologique de certaines diarrhées virales. L'isolement du virus se fait à partir de la gorge et des selles, systématiquement. B. Adénovirus non cultivables, responsables de gastro-entérites. L'isolement viral se fait à fois à partir des sécrétions respiratoires et des selles puisque les adénovirus sont des virus nus capables de se multiplier dans l'arbre respiratoire et le tube digestif. C. Les virus enveloppés comme le myxovirus influenza, agent de la grippe, s'inactivent dans le milieu extérieur et dans les selles. D. Genre flavivirus (arbovirus du groupe B), famille des togaviridae qui possèdent une enveloppe virale. L'isolement se fait pendant la phase aiguë car la virémie est brève (deux ou trois premiers jours) à partir du sang ou du LCR. E. Entérovirus type 72, nu, résistant dans le milieu extérieur et dans les selles, responsable de l'hépatite virale A, à contamination fécaleorale. La recherche du virus dans les selles par immuno-électromicroscopie ou radio-immunologie est possible mais guère satisfaisante.
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Bonne(s) réponse(s) : C E Les taux sériques de l'aminoside sont contrôlés afin d'éviter de dépasser de façon prolongée le seuil toxique pour l'appareil cochléovestibulaire. De même, des taux sériques résiduels élevé sont à éviter. Parmi les antibiotiques dont le dosage plasmatique est pratiqué : outre les aminosides (streptomycine, gentamycine, kanamycine, tobramycine, nétilmycine, amikacine) Vancomycine et chloramphénicol.
22 Question à compléments multiples. La toxine tétanique : A - Est toxique à faible dose B - N'est toxique que chez les sujets non immunisés C - Agit sur la transmission acétylcholinergique de l'influx nerveux D - Est titrable dans le sang des sujets atteints de tétanos E - Provoque une immunisation solide chez les sujets atteints de tétanos Bonne(s) réponse(s) : A B C A. Le pouvoir toxique des exotoxines protéiques est en général très élevé surtout pour les toxines diphtérique, botulinique et tétanique. La dose minimale mortelle des toxines protéiques est infime et varie suivant les toxines et les animaux inoculés entre 1/1000 et 1/1000 000 de mg. B. Les sujets immunisés possèdent une antitoxine tétanique qui neutralise la toxine en se combinant spécifiquement avec elle. Le complexe antigène-anticorps formé précipite et n'est plus toxique. D'où l'intérêt immense de la vaccination antitétanique qui permet une immunisation spécifique, active et durable (rappel chez l'adolescent tous les 5 ans, chez les adultes tous les 10 ans). C. La toxine tétanique (tétanospasmine) bloque spécifiquement la neurotransmission cholinergique. Le site de l'action paralytique centrale serait la jonction synaptique entre les interneurones spécifiques de la voie inhibitrice d'une part, et les neurones moteurs d'autre part. D. La toxine tétanique est titrée en présence de quantités variables de sérum antitétanique ayant un titre connu, (test de floculation de Ramon). Mais, en raison de la grande affinité de la toxine tétanique pour le tissu nerveux, la phase toxémique est très transitoire et la recherche d'une toxémie par titrage chez un malade est sans intérêt pour le diagnostic. E. Dans les pays où la vaccination n'est pas obligatoire, il est recommandé de vacciner tous les malades guéris d'un tétanos. En effet, la maladie ne confère pas l'immunité : risque de tétanos itératif.
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30 Question à compléments multiples.
91 Question à compléments multiples.
Clostridium perfringens : A - Est présent à l'état normal dans le tube digestif B - Peut être présent à l'état normal dans la flore vaginale C - Est une bactérie aéro-anaérobie D - Est un bacille tellurique E - Peut être à l'origine d'intoxications alimentaires
Parmi les agents infectieux ci-dessous, quel ou quels est(sont) celui(ceux) qui peu(ven)t survivre ou se multiplier à l'intérieur des macrophages ? A - Toxoplasme B - Pneumocoque C - Leishmanie D - Bacille de Koch E - Streptocoque hémolytique
Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) réponse(s) : A C D A. Clostridrium, le plus habituel de l'intestin humain. L'homme peut se contaminer directement à partir de son tube digestif. C. Bacilles gram positif, capables de sporuler. Développement en anaérobiose stricte. D. Les clostridrium se multiplient essentiellement dans le tube digestif de l'homme et des animaux, d'où ils peuvent se retrouver dans le sol, les eaux et leurs sédiments. E - Responsables de gangrènes gazeuses, d'appendicite et d'entérites nécrosantes, de septicémies graves et d'intoxications alimentaires.
A. Les formes végétatives appelées trophozoïtes ou tachyzoïtes sont toujours endocellulaires. Elles se développent et se multiplient dans les macrophages et échappent à l'action des processus de digestion cellulaire. C. La forme amastigote (appelée autrefois leishmania) est immobile à l'intérieur des cellule du système réticulo-histiocytaire des vertébrés. Ces éléments sont le plus souvent intracellulaires sauf lorsqu'il y a éclatement de la cellule-hôte. D. Au niveau de l'alvéole pulmonaire, les bacilles sont aussitôt captés par les macrophages. Selon l'importance de leur multiplication à l'intérieur de ceux-ci, l'infection tuberculeuse évoluera vers la maladie ou restera latente.
59 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant la toxoplasmose, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? A - Les adénopathies ne suppurent jamais B - L'hémogramme montre une leucocytose avec augmentation relative des polynucléaires C - Le diagnostic est fait habituellement par l'isolement et l'identification du toxoplasme dans les humeurs (urines, LCR, salive) D - Il existe des femmes, porteuses saines, qui peuvent contaminer plusieurs enfants au cours de grossesses successives E - Le traitement d'une toxoplasmose chez une femme enceinte doit être spécialement actif et associer spiramycine, sulfadiazine et pyriméthamine
93 Question à compléments multiples. On n'a encore jamais observé de phénomènes de résistance d'origine plasmidique pour : A - Chloramphénicol B - Colistine C - Pénicilline G D - Amikacine E - Quinolones Bonne(s) réponse(s) : A D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A A. Adénopathies presque toujours cervicales (chaîne moyenne ou postérieure) peu volumineuses, non empâtées, légèrement douloureuses. Parois d'autres territoires sont atteints, aires axillaires. inguinales, ou même ganglions profonds (médiastineux ou abdominaux). B. Faux, il s'agit d'un syndrome mononucléosique : hyperlymphocytose sanguine avec hyperbasophilie, des lymphocytes et grands mononucléaires bleutés typiques. Toutefois, ce syndrome mononucléosique peut manquer dans le tableau de toxoplasmose. C. Les kystes ingérés lors de consommation de viande infestée crue ou saignante, restent vivants dans les tissus pendant très longtemps. Ils produisent des antigènes qui traversent la membrane kystique et entretiennent l'immunité qui est totale et protectrice. Elle empêche toute nouvelle infestation. Les kystes ingérés libèrent des toxoplasmes (forme végétatives ou trophozoïtes) qui se reproduisent rapidement par multiplication sexuée. Les parasites fils sont libérés dans la circulation après éclatement des cellules hôtes. Durant cette courte phase de parasitémie, les parasites sont sensibles à l'action des anticorps circulants qui apparaissent dès le 7ème au 10ème jour après l'infestation. Passé ce délai, la dissémination parasitaire est arrêtée et seules persistent les formes kystiques. La contamination placentaire n'est possible que pendant la très courte phase parasitémique de la mère (7 à 10 jours). E. Traitement par spiramycine seule (3 g/jour) sans interruption jusqu'à la fin de la grossesse. sulfadiazine et puriméthamine, tératogènes sont contre-indiqués pendant la grossesse.
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103 Question à compléments multiples. L'herpès simplex virus type II : A - Se transmet par contact sexuel B - Est souvent responsable d'une infection récurrente C - Est responsable de l'herpangine D - Son réservoir est humain et animal E - Est responsable d'encéphalites néonatales Bonne(s) réponse(s) : A B E A. L'HSV type II se trouve dans les sécrétions génitales, la primoinfection survient habituellement à l'âge des premiers rapports sexuels. Elle est inapparente dans deux tiers des cas. B. Les récurrences qui frappent certains sujets ont une symptomatologie moins intense. L'HSV type II reste latent dans les ganglions sacrés et il peut exister comme pour l'herpès oral, une excrétion intermittente du virus sans lésions manifestes (risque de contagion). C. Non, c'est l'herpès simplex virus type I D. Cinq herpès virus sont strictement humains : les herpès simplex virus type I et type II, le virus varicelle-zona, le cytomégalovirus et le virus Epstein-Barr. E. L'HSV type II est prépondérant parmi les souches d'herpès néonatal à l'origine de formes généralisées avec ou sans atteinte du système nerveux central, ou de formes localisées au système nerveux central. Très rarement sont trouvées à l'herpès néonatal une origine extragénitale telle qu'une primo-infection orale de la mère, tel l'herpès labial d'un adulte de l'entourage. Rappel : l'encéphalite herpétique post-natale frappant les adultes bien portants est une forme gravissime de l'infection à HSV type I.
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108 Question à compléments groupés.
68 Question à complément simple.
Quelle(s) est(sont) la(les) affection(s) qu'un touriste se rendant aux Antilles peut contracter ? 1 - Ankylostomose 2 - Paludisme 3 - Bilharziose à Schistosoma mansoni 4 - Filariose à loa-loa Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
L'hématozoaire du paludisme est inoculé à l'homme par l'anophèle femelle sous l'une des formes suivantes. Laquelle ? A - Gamétocyte B - Schizonte C - Sporozoïte D - Mérozoïte E - Trophozoïte
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : C
1. Nécaton américanus, un des deux agent de l'ankylostome a été introduit aux Antille et en Amérique intertropicale par la traite des Noirs. 2. Dans la mer des Caraïbes, seuls Haïti et quelques côtés de la République dominicaine sont touchés par le paludisme. Par contre, les Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique) sont indemnes. 3. Rappel : S. Mansoni est le seul shistosome connu sur le continent américain. Il est notamment présent dans la mer des Caraïbes, au Vénézuela, en Guyanne et au Brésil. 4. La loase n'existe qu'en Afrique et dans une région limitée de l'Afrique seulement : Afrique centrale de l'Ouest.
Au cours de la piqûre, un anophèle femelle infesté injecte dans la plaie les sporozoïtes, formes infestantes contenues dans les glandes salivaires. En 24 heures, ils gagnent le foie et se localisent dans les hépatocytes. Leur développement et leur multiplication dans l'hypatocyte finit par constituer une masse appelée schizonte. Bientôt, la culture éclate libérant de nombreux mérozoïtes. Ceux-ci gagnent la circulation sanguine, prénètrent dans une hématie et deviennent chacun un trophozoïte. Celui-ci se développe, grossit, et son noyau se divise aboutissant à un schizonte. Après plusieurs schizogonies, apparaissent dans les hématies des éléments à potentiel sexué, les gamétocytes qui ne se développeront que s'il sont absorbés par un anophèle femelle.
16 Question à complément simple. Quelle est, concernant le transfert génétique par conjugaison chez les bactéries, la seule proposition exacte ? A - Nécessite l'intervention d'un bactériophage B - Nécessite qu'une des deux bactéries héberge un plasmide C - Ne nécessite pas qu'il y ait contact entre les bactéries D - Consiste en un transfert d'ARN d'une bactérie à une autre E - Concerne les bactéries à Gram positif et à Gram négatif Bonne(s) réponse(s) : E La conjugaison est le transfert de matériel génétique (ADN) d'une bactérie donatrice à une bactérie réceptrice par contact direct entre les deux bactéries. Le matériel génétique transféré peut être chromosomique ou extra-chromosomique (plasmidique). Transduction et conversion lysogénique nécessitent l'intervention du bactériophage.
42 Question à complément simple. En pratique quotidienne, le diagnostic biologique de certaines maladies infectieuses se fait à la fois par culture de la bactérie responsable et par la recherche d'anticorps sériques. Cela s'applique : A - Aux infections à streptocoques A B - Aux infections à Streptococcus pneumoniae C - Aux méningites à méningocoques D - A la syphilis E - A la diphtérie Bonne(s) réponse(s) : A A. Diagnostic holopique direct : isolement par culture sur gélose au sang frais à partir de prélèvements et identification du germe. Diagnostic indirect par recherche d'élévation du titre des anticorps sériques antistreptococciques : antistreptolysines O (ASLO), antistreptokinases (ASK) et antihyaluronidases (ASH). B.C. Pas de recherche d'anticorps sériques. D. Treponema pallidum n'est pas cultivable. E. L'identification de corynébactérium diphteriae est fondée sur les caractères biochimiques après culture de la bactérie, mais essentiellement sur la détection de la toxine (par inoculation au cotaize par le test d'Elek) RESIDANAT EN ou POCHE Tome " I "- QCM - QCS
112 Question à compléments multiples. A quel!e(s) étape(s) de la réplication virale interviennent les anticorps neutralisants ? A - L'attachement du virus B - La réplication du génome C - La production des messagers viraux D - La synthèse des enzymes viro-induites E - L'encapsidation Bonne(s) réponse(s) : A Les anticorps neutralisants (assimilés aux anticorps protecteurs) sont dirigés contre les antigènes de surface du virus (de capside pour les virus nus, de péplos pour les virus à péplos). En effet, seules sont infectieuses les parties virales intactes qui n'exposent aux anticorps que leur surface. Les anticorps dirigés contre les antigènes internes du virus ne sont pas protégés et témoignent simplement de l'infection. Les anticorps neutralisants agissent en perturbant les premiers temps de la multiplication virale : l'attachement (par interposition entre la surface virale et les récepteurs cytoplasmiques), la pénétration, voire la décapsidation. Les anticorps ne pénètrent pas dans les cellules et sont donc sans action sur la réplication et synthèse de protéine ou enzymes viroinduites. Les anticorps neutralisants ont pour cible les rus extracellulaires.
114 Question à compléments multiples. Parmi les toxines suivantes, indiquez celle(s) qui peut(peuvent) être produite(s) par Staphylococcus aureus : A - Hémolysines B - Streptolysine O C - Entérotoxines D - Exfoliatine E - Toxine(s) responsable(s) du syndrome de choc toxique Bonne(s) réponse(s) : A C D A. Les hémolysines delta, bêta, b, et j. La présence de l'alpha hémolysine est un caractère essentiel des souches à potentiel pathogène chez l'homme. B. Hémolysine cytotoxique et antigénique du streptocoque du groupe A. C. Responsable d'intoxication alimentaire et d'entérocolites aiguës. D. Appelée aussi toxine épidermolytique, c'est une exotoxine 399protéique responsable de clivage intradermique et formation By NADJI 85 de lésions cutanées bulleuses.
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5 Question à compléments multiples.
15 ans.
Parmi les propositions suivantes concernant la vaccination B.C.G., quelle est celle ou quelles sont celles qui sont exactes ? A - Le B.C.G. doit être pratiqué dès le 1er mois de vie B - La vaccination B.C.G. induit une immunité humorale vis à vis de la tuberculose C - Le résultat de la vaccination B.C.G. doit être contrôlé par les tests cutanés tuberculiniques effectués 15 jours après la vaccination D - Il est nécessaire de revacciner les enfants chez qui les réactions tuberculiniques sont redevenues négatives E - La vaccination B.C.G. est légalement obligatoire en France à l'âge de 6 ans Bonne(s) réponse(s) : E A. La vaccination par le BCG a été rendue obligatoire par la loi du 5 janvier 1950 pour les enfants âgés de 6 ans et pour diverses autres catégories de la population, notamment : les enfants du 1er et du 2ème âge placés en maison maternelle, crèches, pouponnières ou en nourrice, les enfants de tous âges vivant dans leur foyer en contact avec un tuberculeux qui reçoit des prestations, les enfants de personnes qui gardent des enfants à domicile, tous les enfants d'âge scolaire. De plus sont "assujettis" à la vaccination, dans ces catégories, tous les sujets antérieurement vaccinés ou non qui présentent encore une réaction tuberculinique négative ; les personnes de plus de 25 ans ne sont plus soumises à cette obligation légale. Bien que couramment pratiqué dans le premier mois de la vie, le BCG n'est pas obligatoire pour les nouveaux-nés. Cependant, pour les enfants susceptibles d'appartenir aux catégories de la population déjà énoncés, la loi rend obligatoire cette vaccination, et une présentation du carnet de crèche. La vaccination du BCG prévient en très grande partie la dissémination hématogène du bacille de la tuberculose consécutive à la primo-infection spontanée et donc la méningite tuberculeuse. Les statistiques montrent que la vaccination BCG, rendue obligatoire en France chez les nouveaux-nés, préviendrait quinze méningites tuberculeuses chez l'enfant de 0 à 4 ans. Mais la répartition des cas de méningites tuberculeuses chez l'enfant de 0 à 4 ans. Mais la répartition des cas de méningites tuberculeuses de l'enfant concerne surtout des groupes à risque (milieux défavorisés, contact avec un tuberculeux...). Le BCG présente une efficacité, vérifiée par l'allergie post-vaccinale, de 10 à 15 ans. Les épidémiologistes français préfèrent une date de vaccination, tardive, mais légale, c'est à dire avant l'âge de 6 ans. B. L'immunité tuberculeuse, comme le montre le phénomène de Koch, est surtout une immunité de surinfection. Elle n'est pas à médiation humorale mais cellulaire, et consiste en une activation de macrophages par les T-lymphocytes sensibilisés spécifiquement aux antigènes du bacille tuberculeux. Après inoculation tuberculeuse, l'immunité apparaît en même temps ou un peu plus tard que l'hypersensibilité mais persiste après effacement de celleci. Bien qu'exerçant principalement ses effets sur les bacilles de surinfection, elle s'exerce également sur les bacilles de primoinfection. Chez l'homme, elle est responsable de l'arrêt de la multiplication bacillaire de la primo-infection et du caractère latent de la majorité des infections tuberculeuses spontanées. Elle est cependant imparfaite. Le BCG est, à l'heure actuelle, le vaccin vivant le plus immunisant et aussi le moins pathogène, dont on dispose pour créer l'état d'immunité de surinfection. C. Le contrôle de l'allergie post-vaccinale se fait 4 à 6 mois après la vaccination BCG par réaction cutanée tuberculinique (le plus souvent intradermo réaction à 10 UI/ml de tuberculine) qui précisera la présence et l'intensité de l'allergie tuberculinique. D. Faux. La pénétration des BK provoque dans l'organisme deux états biologiques particuliers : l'immunité acquise (ou vaccinale en cas de BCG) et l'allergie tuberculinique, toutes deux à médiation cellulaire. Les protéines bacillaires libérées diffusent à tout l'organisme, et confèrent à tous les points de celui-ci la propriété de répondre à l'arrivée de nouveaux bacilles -ou à l'application de la tuberculine par une réaction précoce vivement inflammatoire-. Cette propriété nouvelle acquise est dite hypersensibilité tuberculinique ou allergie tuberculinique. La réaction cutanée tuberculinique peut êre négative dans différentes circonstantces notamment : les maladies anergisantes transitoires : grippe, rougeole, etc..., les traitements immno-dépresseurs, les erreurs techniques de réalisation ou de lecture du test. Il faut donc penser à éliminer les causes d'erreur avant de conclure à la négativité de la réaction cutanée tuberculinique et refaire le test 4 à 6 semaines après la disparition RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS d'un cas possible d'anergie. Une vaccination BCG avec contrôle positif de la réaction cutanée tuberculinique a une efficacité de 10 à
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25 Question à compléments multiples.
80 Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes, choisissez celle ou celle qui sont vraies : A - La rage est une infection qui n'est pas transmissible par les animaux domestiques B - Les ammoniums quaternaires sont les antiseptiques de choix des morsures par animaux C - La vaccination antirabique thérapeutique n'est pas praticable par un médecin généraliste D - La vaccination préventive antirabique est praticable par un médecin généraliste E - L'injection intramusculaire de 2 millions de pénicilline G protège contre le risque rabique
A propos du diagnostic bactériologique d'une angine diphtérique : A - Devant une angine suspecte de diphtérie, le prélèvement de gorge est pratiqué par écouvillonage à la périphérie des fausses membraneS B - Au cours d'une diphtérie, le bacille diphtérique est isolé dans les hémocultures C - Les souches de bacille diphtérique responsables de la maladie produisent une toxine D - La mise en route du traitement d'une angine suspecte de diphtérie peut attendre la confirmation du laboratoire de bactériologie E - La mise en culture d'un prélèvement de gorge à la recherche du bacille diphtérique se pratique sur sérum de boeuf coagulé
Bonne(s) réponse(s) : B C D A. La rage est essentiellement une maladie de mammifères soit sauvages, en général des canidés : loups, renards, parfois des chiroptères : chauve-souris, vampires, soit enfin des animaux domestiques : chiens, chats. B. Le traitement local d'un sujet mordu par un animal enragé est à pratiquer le plus tôt possible, dans les minutes suivant la morsure : lavage minutieux et prolongé au savon de Marseille, rinçage soigneux et abondant, désinfection par dérivés d'ammoniums quaternaires (ou eau de javel, éther, alcool), couverture antibiotique et éventuellement protection antitétanique. Si la morsure est grave, infiltration des lésions avec sérum antirabique. C.E. La base du traitement spécifique antirabique est un traitement vaccinal qui met à profit la longue période d'incubation périphérique de la maladie, avant toute atteinte du système nerveux central, pour déclencher le processus d'immunisation active de l'organisme. Le vaccin rabique inactivé à visée thérapeutique est réservé aux centres antirabiques. D. Le principe de la vaccination préventive doit être posé essentiellement pour les catégories professionnelles exposées à des contaminations fréquentes (vétérinaires, personnel des abattoires, gardes-chasse...).
79 Question à compléments multiples. Les streptocoques hémolytiques du groupe A de Lancefield présentent une ou plusieurs de ces propriétés. Laquelle ou lesquelles ? A - Sont alpha-hémolytiques B - Produisent des exoenzymes (streptolysines, DNAases, streptokinases) C - Comportent plusieurs espèces différenciées par leurs caractères biochimiques (S. faecalis, S. faecium, S. bovis, S. durans) D - Sont responsables de la scarlatine lorsqu'ils produisent une toxine érythrogène E - Sont très sensibles aux aminosides Bonne(s) réponse(s) : B D A. Les colonies de streptocoque A sont entourées d'une grande zone d'hémolyse totale à limites nettes, rendant le milieu incolore et transparent = bêta - hémolytiques. B. Ainsi que hyaluronidases et streptodornase. C. Appartiennent au streptocoque du groupe D (S.facalis, S.faccium et S.durans sont des entérocoques). D. La toxine érythogène n'est synthétisée que par certaines souches de streptocoques A qui ont subi une conversion lysogénique par un bactériophage spécifique. Sa présence exceptionnelle chez certains streptocoques des groupes C et G s'explique par le même mécanisme. E. Résistance naturelle à bas niveau aux aminosides due à un problème de perméabilité des antibiotiques au niveau de la membrane interne des streptocoques. Les bactéries anaérobies comme les streptocoques ont une chaînes de transporteurs d'élections incomplète qui ne permet pas un bon rendement du transport actif des aminosides au niveau de membrane interne. Rappel : les aminosides sont des inhibiteurs bactéricides de la synthèse protéique au niveau des ribosomes.
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Bonne(s) réponse(s) : A C E A. Zone privilégiée réelle en corynebacterium diphteriae. B. Pas de bactériémie mais une toxininémie. Le germe reste localisé au niveau de l'amygdale. La toxine élaborée localement in situ au niveau de la fausse membrane par le germe, diffuse seule par voie sanguine vers les principaux viscères vitaux où elle se fixe sur les cellules sensibles. C. Le mécanisme par lequel une souche de C. diphtériae non toxinogène devient toxinogène, et donc responsable de la maladie, après exposition au phage bêta spécifique, est appelé conversion lysogénique. D. Les 48 à 72 heures nécessaires à la confirmation du diagnostic d'angine diphtérique par l'identification bactériologique de C. diphtériae et de la production de toxine peuvent être fatales en l'absence de traitement antibiotique. Toute suspicion de diphtérie devant une angine à fausses membranes impose en urgence sans attendre les résultats du laboratoire un traitement antibiotique. E. Cultivé sur milieu enrichie de Loefflen au sérum de boeuf coagulé, et isolé par ensemencement sur milieu de Tinsdale (tellurite).
81 Question à compléments multiples. Le sérodiagnostic de la toxoplasmose doit réglementairement être effectué : A - Lors du certificat prénuptial B - Lors de la déclaration de grossesse C - Au 3ème mois de la grossesse D - Au 5ème jour de vie E - A n'importe quel moment de la grossesse en cas de sérologie antérieure négative connue Bonne(s) réponse(s) : A B A. Obligatoire lors de l'examen prénuptial, de même que le sérodiagnostic de rubéole. B. Les sérodiagnostics (rubéole + toxoplasmose) sont demandés obligatoirement dès le premier examen prénatal, qui permet la déclaration de grossesse, sauf en cas de certitude absolue de leur positivité antérieure. C.E. Négatifs à la déclaration, ils seront contrôlés pour écarter tout séroconversion ultérieure : au moins trois fois pendant la grossesse en ce qui concerne la toxoplasmose (donc à chaque examen prénatal légal, 6ème, 8ème et 9ème mois) et si possible tous les mois. L'énoncé de l'item E est ambigu et prête à confusion. D. Lors de l'accouchement, un dernier contrôle est fait pour les femmes non immunisées ; chez le nouveau-né en cas d'atteinte ou de doute, la recherche se fait par sérodiagnostics répétés.
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26 Question à complément simple.
72 Question à compléments multiples.
Le calcium lié à l'albumine plasmatique représente par rapport au calcium plasmatique, le pourcentage suivant : A - Proche de 10 % B - Proche de 20 % C - Proche de 40 % D - Proche de 80 % E - 100 %
Indiquez parmi les propositions suivantes celle(s) qui s'applique(nt) au virus Delta : A - Il s'agit d'un virus à ARN B - Il peut exister en l'absence de l'Ag HBs sérique C - Il peut infecter l'organisme en même temps que le virus B D - Il est habituellement responsable d'une évolution défavorable de l'hépatite B E - L'infection à virus Delta est prévenue par la vaccination antivirale B
Bonne(s) réponse(s) : C Le pool calcique est ainsi réparti : - 55 % calcium ionisé - 10 % chélaté (citrate, oxalate...) - 35 % lié aux protéines : 30 % albumine + 5 % globulines. A remarquer : l'ambiguïté du QCM car le calcium lié aux protides, non ultrafiltrable représente à peu près 40 % du calcium plasmatique, mais la fraction liée à l'albumine est juste comprise entre 20 et 40 %.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'agent delta ne peut infecter une cellule que si celle-ci a été préalablement infectée par le virus B. Il ne peut donc pas exister en l'absence de l'Ag HBs sérique sauf cas rares d'hépatites à virus B, HBs négatives. La vaccination anti-B en prévenant l'hépatite B évite l'infection par l'agent delta. Cette vaccination ne saurait par contre prévenir l'infection par l'agent delta si les vaccinés ont déjà contracté une hépatite B.
87 Question à complément simple. Quel est l'examen qui permet d'affirmer la primo-infection herpétique ? A - Le prélèvement à la recherche du virus B - L'apparition d'anticorps anti-herpétiques C - Le cytodiagnostic D - La biopsie des lésions E - Aucun des examens ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : B Ce QCM est mal formulé. L'apparition des anticorps anti-herpétiques n'est pas un examen. La mise en évidence des IgM peut être utile. Il est à noter que les récurrences n'entraînent qu'occasionnellement l'ascension du titre des anticorps.
115 Question à compléments multiples. La résistance plasmatique aux antibiotiques est : A - Le plus souvent une multirésistance B - Rencontrée chez plusieurs espèces bactériennes C - Transmissible entre bactéries de la même espèce D - Transmissible entre bactéries d'espèces différentes E - Etendue à toutes les familles d'antibiotiques Bonne(s) réponse(s) : A B C D La résistance plasmidique résulte d'une pression de sélection de l'environnement, et en cas d'utilisation de polyantibiothérapie, les résistances sont multiples. Les plasmides peuvent être transférés d'une espèce à une autre.
114 Question à compléments multiples. Parmi les parasites qui peuvent être mis en évidence par l'étude du frottis sanguin, vous retenez : A - Dicrocelium lanceolatum B - Trypanosoma gambiense C - Necator americanus D - Sarcoptes scabieux E - Plasmodium malariae Bonne(s) réponse(s) : B C Le dicrocelium est un vers plat, n'infectant l'homme qu'exceptionnellement. Necator americanus ou ankylostome est un petit némathelminthe (vers rond). Sarcoptes scabiei est un acarien, ectoparasite responsable de la galle.
5 Question à complément simple. Indiquez, parmi les germes suivants, celui qui est le plus fréquemment rencontré dans les arthrites septiques à germes banals de l'adulte : A - Pseudomonas B - Staphylocoque C - Escherichia coli D - Streptocoque A E - Entérocoque Bonne(s) réponse(s) : B Il convient de souligner le tropisme particulier du staphylocoque pour l'os et les articulations.
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19 Question à complément simple.
45 Question à complément simple.
Parmi les propositions suivantes concernant le bacille du tétanos (Clostridium tetani), laquelle est inexacte ? A - Bacille Gram (+) anaérobie, capable de sporuler, présent dans le sol et les excrétions des animaux B - Sécrète des exotoxines protéiques dont la tétanospasmine tétanisante qui se lie aux gangliosides des membranes synaptiques et altère l'inhibition C - La bactérie pénètre à l'occasion d'une effraction du revêtement cutané et muqueux et dissémine par voie sanguine D - La prophylaxie du tétanos repose sur la vaccination par l'anatoxine diphtérique E - La protection contre le tétanos est assurée essentiellement par la présence d'antitoxine dans le sérum à titre suffisant
Quel est dans la liste suivante le virus (ou la catégorie de virus) le plus souvent à l'origine de méningites lymphocytaires de l'enfant ? A - Echovirus B - Herpès C - Adénovinus D - Virus de la grippe E - Virus de la rougeole Bonne(s) réponse(s) : A Les entérovirus sont les virus les plus souvent incriminés, en particulier les Coxsackies A et B et les virus Echo. L'autre agent viral le plus souvent responsable, en particulier chez l'enfant, est le virus ourlien.
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
20 Question à complément simple. Parmi les syndromes cliniques suivants, lequel est lié à l'infection par le virus respiratoire syncytial ? A - Herpangine B - Panencéphalite sclérosante subaiguë (PESS) de Von Bogaert C - Diarrhée aiguë hivernale du nourrisson D - Molluscum contagiosum E - Bronchiolite aiguë du nourrisson Bonne(s) réponse(s) : E La gravité de la maladie serait en partie liée au conflit immunologique entre les anticorps maternels, activant le complément et le antigènes viraux fixés au niveau du poumon. L'herpangine est en rapport avec les coxsackies virus du groupe A, la PESS avec le virus de la rougeole, les diarrhées aiguës hivernales du nourrisson avec le rotavirus et le Molluscum contagiosum avec papovavirus.
30 Question à complément simple. Parmi les champignons suivants, lequel se caractérise par la présence de chlamydospores sur milieu PCB ? A - Candida tropicalis B - Candida albicans C - Microporum canis D - Trichophyton rubrum E - Aucun des champignons précédents Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
84 Question à complément simple. Mycobacterium tuberculosis est caractérisé par toutes les propositions suivantes, sauf une. Laquelle ? A - Une bactérie aérobie stricte très résistante B - Un bacille acido-alcoolo-résistant mis en évidence par coloration de Ziehl-Neelsen C - Un parasite intracellulaire obligatoire D - Une bactérie qui cultive sur milieu de Lowenstein en trois semaines à trois mois E - Une bactérie pathogène pour le cobaye Bonne(s) réponse(s) : C Les mycobactéries peuvent survivre à l'intérieur des macrophages, par contre elles peuvent également survivre dans le milieu extracellulaire.
88 Question à complément simple. Parmi les streptocoques suivants identifiés par leur appartenance à l'un des 18 groupes de Lancefield, quel est celui qui déploie la plus grande résistance aux antibiotiques ? A - Streptocoque du groupe A B - Streptocoque du groupe B C - Streptocoque du groupe D D - Streptocoque du groupe F E - Streptocoque du groupe H Bonne(s) réponse(s) : D Ou entérocoque.
92 Question à complément simple. Dans la liste suivante, indiquez la bactérie qui ne fait pas partie de la flore intestinale normale : A - Clostridium perfringens B - Staphylococcus aureus C - Streptococcus faecium D - Shigella sonnei E - Proteus mirabilis Bonne(s) réponse(s) : D Shigella ne se retrouve que dans les selles des malades et celle des porteurs qui doivent être traités.
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98 Question à complément simple.
116 Question à compléments multiples.
Parmi les bactéries suivantes, laquelle correspond au bacille pyocyanique ? A - Pseudomonas fluorescence B - Pseudomonas aeruginosa C - Pseudomonas maltophilia D - Pseudomonas putida E - Pseudomonas multivorans
La mise en évidence du virus dans le sang est essentielle au diagnostic virologique des infections à : A - Virus de la fièvre jaune B - Cytomégalovirus C - Virus de la grippe D - Virus de l'hépatite A E - Virus respiratoire syncytial
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A
Sans commentaire.
Le virus amaril, comme tous les arbovirus, est présent pendant les 4 ou 5 premiers jours de la maladie. L'isolement du CMV à partir du sang ne signifie pas de façon certaine qu'il soit la cause du tableau pathologique ayant motivé l'examen. La présence de cellules infectées, révélées par immunofluorescence est beaucoup plus significative. Les prélèvements viraux dans la grippe s'effectuent au niveau du nasopharynx ou des expectorations. Il en est de même pour le virus respiratoire syncytial. Le virus de l'hépatite A est retrouvé au niveau des selles. Soulignons l'ambiguïté de ce QCM, car si pour les items A,C,D,E la réponse est aisée, pour l'item B la discussion est possible. Le diagnostic d'infection à cytomégalovirus est un diagnostic délicat qui ne repose pas sur un examen décisif mais sur un faisceau d'arguments cliniques et paracliniques. La mise en évidence du virus dans le sang est un des arguments, mais ce n'est pas le plus important. A ce titre on peut dire qu'il n'est pas "essentiel" au diagnostic.
3 Question à compléments multiples. Une infection humaine à Clostridium perfringens peut bénéficier du(des) procédé(s) de diagnostic suivant(s) : A - Prélèvement au siège même de l'infection B - Sérodiagnostic C - Ensemencement en atmosphère anaérobie stricte D - Hémoculture E - Intradermo-réaction Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
21 Question à compléments multiples.
37 Question à complément simple.
L'étude au laboratoire de l'activité synergique des associations d'antibiotiques est conseillée dans la ou les circonstances cliniques suivantes : A - Endocardite à streptocoques D B - Bactériémie à Hémophilus influenzae C - Septicémie à Salmonella typhi D - Septicémie à Staphylococcus aureus E - Bactériémie à Clostridium perfringens
Parmi les propositions suivantes concernant la réplication des virus, une seule est inexacte. Laquelle ? A - La réplication de l'acide nucléique viral peut avoir lieu dans le noyau ou dans le cytoplasme de la cellule B - Des enzymes codées par le génome viral qui assurent la transcription et la réplication de l'acide nucléique viral peuvent apparaître lors de l'infection C - L'énergie nécessaire à la réplication virale est fournie par des enzymes codées par le génome viral D - La synthèse des protéines virales se fait sur les ribosomes de la cellule hôte E - Certaines protéines codées par le génome viral ne sont pas constitutives de la particule virale
Bonne(s) réponse(s) : A C Les septicémies à salmonella ne justifient pas d'une bithérapie. Les antibiotiques efficaces contre la salmonella étant les phénicolés, les pénicillines du groupe A, le triméthoprime-sulfaméthoxazole.
Bonne(s) réponse(s) : C Le virus est un parasite cellulaire obligatoire. L'énergie nécessaire à la réplication virale est fournie par les enzymes de la cellule hôte. Par ailleurs le génome viral est reproduit dans la cellule, dans le cytoplasme pour les virus à ARN, dans le noyau pour ceux à ADN (schématiquement), les enzymes nécessaires à cette réplication étant codées par le génome viral, mais non obligatoirement constitutives du virion (E). Elles sont traduites par le matériel de la cellule (D).
12 Question à compléments multiples. Parmi les caractères énoncés, certain(s) convien(nen)t à Plasmodium falciparum : A - Gamétocytes en forme allongée B - Granulation de Schüffner (dans l'hématie parasitée) C - Gracilité des trophozoïtes D - Schizontes étirés (en corps amiboïdes) E - Taches de Maurer (dans l'hématie parasitée) Bonne(s) réponse(s) : A C E Les granulations de Schüffner caractérisent l'infestation à P. Vivax au à P.Ovale. Les shizontes étirés sont plus évocateurs de P. Ovale.
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21 Question à compléments multiples.
69 Question à complément simple.
L'oxyde de carbone a une fixation préférentielle sur : A - Les muscles striés B - Le rein C - Le myocarde D - Le foie E - Les muscles lisses
Parmi les prélèvements suivants, citez celui qui permet en pratique l'isolement d'un virus grippal : A - Selles B - Urines C - Sécrétions rhinopharyngées D - Liquide céphalo-rachidien E - Lymphocytes T
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : C La fixation est privilégiée dans les organes riches en myoglobine. Sans commentaire.
47 Question à compléments multiples. Les oncogènes cellulaires sont : A - Des métabolites cellulaires capables de transformer une cellule saine en cellule cancéreuse B - Des fragments de virus oncogènes qui, insérés dans le génome des cellules saines, les transforment en cellules tumorales C - Des facteurs de croissance sécrétés par les cellules cancéreuses D - Des gènes normaux des cellules saines dont l'expression dans certaines conditions entraîne leur transformation en cellules cancéreuses E - Des fragments de l'ADN cellulaire modifiés par des facteurs cancérigènes
12 Question à compléments multiples. Le pneumocoque : A - Se cultive facilement sur milieu ordinaire B - Est un hôte habituel des voies respiratoires C - Est éliminé dans les selles D - Peut être recherché sous forme d'antigène soluble dans des liquides biologiques E - Ne peut pas être isolé dans une hémoculture Bonne(s) réponse(s) : B D E Le pneumocoque nécessite une gélose enrichie au sang et sa culture est délicate. C'est un hôte habituel de l'oropharynx.
Bonne(s) réponse(s) : Ambiguë.
76 Question à compléments multiples. Le taux de carboxyhémoglobine dans le sang : A - Est stable pendant 24 heures en l'absence de traitement B - Est influencé par l'effort physique C - Dépend de la consommation de cigarettes D - Dépend de la pression alvéolaire en O2 E - Est différent avant traitement, dans le sang veineux et dans le sang artériel
15 Question à compléments multiples. Les streptocoques du groupe A : A - Se présentent comme des cocci à Gram positif isolés ou disposés en chaînettes B - Possèdent une protéine de structure (protéine M) permettant de différencier plus de 50 sérotypes C - Peuvent être responsables de gloménulonéphrites D - Sont habituellement résistants aux antibiotiques de la famille des bêta-lactamines E - Sont responsables de l'érysipèle Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : Ambiguë. QCM ambiguë par ailleurs, on ne sait pas dans quelles circonstances. - Après une intoxication aiguë, au cours d'une intoxication chronique etc...
66 Question à complément simple. Parmi les toxines produites par les bactéries suivantes, laquelle est une endotoxine libérée par la lyse bactérienne ? A - Salmonella typhi B - Corynebacterium diphteria C - Streptocoque A responsable de la scarlatine D - Clostridium perfringens E - Clastridium tetani
16 Question à compléments multiples. Neisseria meningitidis : A - Possède un antigène capsulaire qui détermine le groupe B - En France. Ie sérotype B est le plus fréquemment isolé C - Ne peut être isolé que chez l'homme D - La mise en évidence d'antigènes spécifiques dans le LCR est un bon moyen diagnostique des méningites E - Toutes les propositions ci-dessus sont fausses Bonne(s) réponse(s) : A B C D Neuf groupes sont actuellement décrits : A, B, C, D, X, Y, Z, 29E, W135. L'antigène est un polysaccharide capsullaire.
Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
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33 Question à compléments multiples.
59 Question à complément simple.
Concernant le bacille tuberculeux : A - Sa multiplication dans un organisme neuf peut entraîner l'apparition d'une hypersensibilité retardée B - C'est une bactérie anaérobie stricte C - Les lipides de la paroi sont responsables en partie de l'acido-alcool-résistance D - Les anticorps IgM induits par l'infection sont recherchés pour poser le diagnostic étiologique E - Le bacille tuberculeux pousse en 48 heures environ
Parmi les prélèvements de pus suivants, quel est celui où la présence de bactéries anaérobies n'a pas de signification pathologique ? A - Abcès sous-phrénique B - Escarre sacrée C - Pyosalpinx D - Ostéite chronique E - Abcès de la marge anale Bonne(s) réponse(s) :
Bonne(s) réponse(s) : A C QUESTION ANNULEE Sans commentaire.
39 Question à compléments multiples. L'histamine est sécrétée : A - Par les mastocytes B - Par les lymphocytes C - Par les fibroblastes D - Par les éosinophiles E - Par les polynucléaires basophiles Bonne(s) réponse(s) : A E
68 Question à complément simple Parmi les prélèvements suivants, quel est celui où l'on peut mettre en évidence le tréponème au stade primaire de l'infection syphilitique : A - Sang B - Liquide céphalo-rachidien C - Plaques muqueuses D - Chancre E - Eruption cutanée Bonne(s) réponse(s) : D
L'histamine peut également être libérée par les plaquettes. Le stade primaire de la Syphilis est un stade localisé au point d'inoculation.
56 Question à compléments multiples. Des oncogènes : A - Sont présents dans l'ARN des rétrovirus sarcomatogènes B - Sont présents dans l'ADN des cellules infectées par les rétrovinus sarcomatogènes C - Sont présents dans l'ADN cellulaire d'animaux sains D - Sont présents dans l'ADN de l'HIV E - Codent pour une transcriptase reverse Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
84 Question à complément simple. Si l'analyse d'un échantillon des urines des 24 heures montre une élévation de l'acide homovanilique (HVA), il s'agit le plus probablement : A - D'une leucémie B - D'une tumeur de Wilms C - D'un neuroblastome D - D'un hépatoblastome E - D'une maladie de Gaucher Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
18 Question à complément simple. L'état d'hydratation intracellulaire est déterminé par : A - La kaliémie B - L'osmolalité extracellulaire C - La protidémie D - ph sanguin E - La natriurie Bonne(s) réponse(s) : B Osmolalité intra et extracellulaire sont en équilibre. Le nombre d'osmoles intracellulaires étant fixe, toute variation de l'osmolarité extra et donc intracellulaire entraîne une variation inverse de l'hydratation intracellulaire. Osmoles intracellulaires./volume intracellulaires : = osmolarité intracellulaire = osmolarité extracellulaire = osmoles extracellulaire/volume extracellulaire.
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38 Question à compléments multiples. Indiquez la(les) proposition(s) qui s'applique(nt) au virus B: A - Origine volontiers alimentaire B - Virus à ADN C - Fréquence de survenue plus grande en Afrique qu'en Europe D - Association privilégiée à l'alcoolisme chronique E - Rôle privilégié dans le développement du carcinome hépatocellulaire Bonne(s) réponse(s) : B C E Lors de l'utilisation de souche d'ADN complémentaire, spécifique de l'ADN du virus de l'hépatite B, le matériel génomique viral a été retrouvé quasi systématiquement au sein de l'ADN des cellules cancéreuses (carcinome hépatocellulaire) même si les patients ne présentait aucun élément sérologique évoquant une infection par le virus B.
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73 Question à compléments multiples.
58 Question à complément simple.
Parmi les entités suivantes, quelle est celle ou quelles sont celles qui s'accompagne(nt) volontiers d'une polynucléose neutrophile ? A - Polyarthrite rhumatoïde B - Lupus érythémateux C - Tabagisme D - Hémolyse aiguë E - Coqueluche
Parmi les germes suivants, lequel ne se multiplie pas à l'intérieur des macrophages ? A - Listéria monocytogènes B - Streptococcus pneumoniae C - Chlamydia trachomatis D - Brucella melitensis E - Leishmania donovani Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A C D E Sans commentaire. La polyarthrite rhumatoïde entraîne habituellement une augmentation des cellules neutrophiles lors des poussées, sauf en cas d'atteinte hématologique (Sd de Felty).
20 Question à compléments multiples. 75 Question à compléments multiples. Parmi les toxines produites par les bactéries suivantes, vous considérez comme exotoxine(s) protéique(s) neurotrope(s) ? A - Salmonella typhi B - Corynebacterium diphteria C - Streptocoque A responsable de la scarlatine D - Clostridium perfringens E - Clastridium tetani
Dans quel(s) type(s) d'échantillon biologiques peut-on isoler le méningocoque ? A - Liquide céphalo-rachidien B - Sang C - Urines D - Prélèvement naso-pharyngé E - Liquide pleural Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Discutable entre la théorie et la pratique.
Bonne(s) réponse(s) : B E Pour Salmonella c'est une endotoxine. Pour le strepto A, le Clostridium.perfringens, c'est une exotoxine non neurotrope.
98 Question à compléments multiples. L'augmentation de volume des globules rouges (macrocytose) : A - Est un stigmate biologique souvent observé au cours de l'alcoolisation chronique B - Est toujours associée à une anémie C - Est habituellement rapportée, au cours de l'alcoolisme chronique, à une carence en folates D - Peut s'observer dans les suites éloignées d'une gastrectomie totale E - Est un bon test de sevrage chez l'alcoolique chronique Bonne(s) réponse(s) :A C D Au cours des gastrectomies, c'est la non absorption de la vitamine B12 par déficit de facteur intrinsèque qui est responsable de la macrocytose.
40 Question à complément simple.
55 Question à compléments multiples. Parmi les maladies ou situations suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui peu(ven)t s'accompagner d'une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles ? A - Corticothérapie au long cours B - Hypersplénisme C - Leucémie aiguë myéloblastique D - Polyglobulie primitive E - Infection virale Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
46 Question à compléments multiples. Légionella pneumophila est sensible à : A - Pénicilline G B - Erythromycine C - Rifampicine D - Gentamycine E - Streptomycine Bonne(s) réponse(s) : B C Question ambiguë car l'on ne précise pas s'il s'agit de sensibilité in vivo ou in vitro. Les réponses proposées correspondent à la sensibilité in vivo.
Un prélèvement pour étude en microscopie électronique nécessite : A - Une fixation immédiate dans un liquide spécial B - Une étude à l'état frais C - Une fixation dans le formol salé isotonique D - Une fixation immédiate dans le liquide de Bouin E - Un étalement sur lame Bonne(s) réponse(s) : Ambiguë. Tout dépend du type de microscopie électronique que l'on désire RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS pratiquer.
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114 Question à compléments multiples.
22 Question à compléments multiples.
Une ponction lombaire a été pratiquée chez un sujet présentant un syndrome méningé. Parmi les anomalies du liquide céphalo-rachidien, quelle(s) est(sont) celle(s) qui oriente(nt) vers l'étiologie bactérienne ? A - Liquide hypertendu B - Hypoglycorachie C - Protéinorachie normale D - Formule leucocytaire faite de polynucléaires en amas E - Présence d'hématies
L'existence de résistance plasmidique est connue pour : A - L'ampicilline B - Les aminosides C - L'érythromycine D - La rifampicine E - Les quinolones
Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
105 Question à compléments multiples. A propos du genre Trichophyton : A - Les macroconidies sont en fuseau à paroi épaisse, à logettes bien visibles à surface échinulée B - Les macroconidies sont rares ou absentes sur milieu de Sabouraud + chloramphénicol + actidione C - Les espèces du genre Trichophyton attaque la peau, les ongles, les poils et les cheveux D - Trichophyton rubrum, Trichophyton interdigitale sont des espèces anthropophiles E - Trichophyton mentagrophytes, Trichophyton ochraceum, responsables de teignes suppurées sont des espèces zoophiles
Bonne(s) réponse(s) : A B C La résistance à la rifampicine et aux quinolones résultent de mutations chromosomiques affectant le gène codant pour le site d'action de l'antibiotique. Ainsi les mutations responsables de la résistance à la rifampicine affectent-elles le gène codant la RNA polymérase DNA dépendante.
24 Question à compléments multiples. L'identification d'un dermatophyte nécessite la réalisation de : A - Test de Blastèse B - Inoculation et l'animal C - Examen direct du prélèvement D - Isolement et identification sur milieu de culture E - Auxanogramme et zymogramme Bonne(s) réponse(s) : C D L'examen direct et les cultures sur Sabouraud mettent en évidence les colonies en 5 à 21 jours et leurs aspects caractéristiques.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E Les conidies sont des spores externes et asexuées produites par les rameaux mycéliens.
63 Question à complément simple. L'uricémie chez l'homme est normalement inférieure à : A - 18 micromol/l B - 36 micromol/l C - 180 micromol/l D - 360 micromol/l E - 1 800 micromol/l Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
13 Question à compléments multiples. Le syndrome biologique d'insuffissance hépato-cellulaire comporte : A - Elévation des ALAT B - Hypoalbuminémie C - Chute du facteur V D - Hypergammaglobulinémie E - Elévation des phosphatases alcalines Bonne(s) réponse(s) : B C Le syndrome biologique d'insuffisance hépatocellulaire se caractérise par une diminution des produits synthétisés par le foie.
71 Question à compléments multiples. Les méningocoques : A - Sont des diplocoques à Gram négatif B - Présentent plusieurs types antigéniques distincts C - Peuvent être en situation intracellulaire D - Sont sensibles aux bêta-lactamines E - Survivent dans l'échantillon de L.C.R. transporté sans précautions particulières Bonne(s) réponse(s) : A B C D Il existe neuf sérotypes définis par le polysaccharide capsulaire, les trois premiers étant les trois plus fréquents : A, B, C, D, X, Y, Z, 29E et W135. A. Etant responsable d'épidémies en Afrique s'étendant parfois en Europe. B.En Europe. C. Aux Amériques. La culture de Neisseria meningitis est délicate et le LCR doit être acheminé le plus rapidement possible au laboratoire. En dépit de cela la culture sera négative dans environ 40 % des cas.
22 Question à complément simple. Le diagnostic de toxoplasmose se fait le plus souvent sur : A - Une recherche directe du parasite dans le sang B - Une recherche directe du parasite à partir d'une ponction ganglionnaire C - Une recherche directe du parasite à partir d'une ponction splénique D - Une recherche directe du parasite dans le LCR E - Les résultats d'un examen sérologique Bonne(s) réponse(s) : E Le diagnostic parasitologique direct est exceptionnellement réalisé.
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30 Question à complément simple.
64 Question à compléments multiples.
Quelle espèce plasmodiale n'est observée dans le sang périphérique que sous forme d'anneaux intraérythrocytaires et de gamétocytes en forme de bananes : A - P. falciparum B - P. malariae C - P. vivax D - P. ovale E - P. berghei
Une leucocyturie de 300/mm3 et une bactériurie inférieure à 103/ml sont compatibles avec : A - Une infection urinaire par le B.K. B - Une infection urinaire mycosique C - Une infection urinaire sous traitement à son début D - Une infection génitale E - Une lithiase rénale Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D : on observe également des schizontes âgés et des corps en rosace. E : pas pathogène chez l'homme.
34 Question à complément simple. La forme plasmodiale injectée à l'homme par l'anophèle est : A - Le sporozoïte B - Le schizonte C - L'ookinète D - Le mérozoïte E - Le gamétocyte
Il faut également évoquer : une prostatite, une urétrite, une néphropathie interstitielle, une tumeur de l'arbre urinaire.
89 Question à complément simple. Parmi ces affirmations concernant Neisseria meningitidis laquelle est fausse ? A - Cette bactérie est responsable de la méningite cérébrospinale B - C'est la seule Neisseria pathogène C - C'est un germe fragile D - C'est un coque à Gram négatif E - Cette espèce comprend plusieurs sérogroupes Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A Les sporozoïtes vont se localiser dans les hépatocytes en moins de 24 heures.
55 Question à complément simple. Dans le résultat suivant de l'analyse d'un liquide synovial, un résultat est discordant. Lequel ? A - Aspect trouble B - Faible viscosité C - Présence de staphylocoques D - Présence de polynucléaires altérés E - Présence de 300 cellules par mm3 Bonne(s) réponse(s) : E A B C et D correspondent à une arthrite septique au cours de laquelle on s'attend à observer plusieurs milliers de cellules par mm3.
B : Neisseria gonorrhea est l'agent de la gonococcie. C : Sa fragilité impose sa recherche immédiate. E : Le sérogroupe B représente environ 75 % des méningocoques responsables d'infections en France.
109 Question à complément simple. Parmi les bactéries suivantes, il en est une qui ne peut cultiver sur milieux acellulaires car elle est incapable de synthétiser l'ATP. Laquelle ? A - Listeria monocytogénès B - Mycobacterium tuberculosis C - Mycobacterium intracellulaire D - Chlamydia trachomatis E - Mycoplasma pneumoniae Bonne(s) réponse(s) : D Les chlamydiae sont des bactéries à parasitisme intracelluraire obligatoire.
19 Question à compléments multiples. La recherche d'antigènes solubles permet généralement de reconnaître le germe en cause lors d'une méningite aiguë à : A - Listeria B - Pneumocoque C - Méningocoque du groupe A D - Méningocoque du groupe B E - Hemophilus Bonne(s) réponse(s) : B D E (C) le groupe A représente moins de 2 % des infections à méningocoques en France (groupe B environ 75 % ; groupe C environ 20 %).
23 Question à complément simple. Quel délai minimum doit-on attendre pour qu'un laboratoire de bactériologie puisse confirmer un diagnostic de tuberculose par l'obtention en culture de la bactérie responsable (Mycobacterium tuberculosis) ? A - 3 semaines B - 8 semaines C - 10 jours D - 3 jours E - 6 jours Bonne(s) réponse(s) : A Mycobacterium tuberculosis se divise en 10 à 20 heures.
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31 Question à complément simple.
64 Question à compléments multiples.
Parmi la liste des vaccins suivants, l'un d'entre eux est un vaccin vivant lequel ? A - Anti-méningococcique B - Anti-rabique C - Anti-coqueluche D - BCG E - Anti tétanos
Parmi les espèces bactériennes suivantes, la ou lesquelles sont naturellement résistantes aux Macrolides ? A - Staphylocoque doré B - Escherichia coli C - Salmonella typhi D - Streptococcus pneumoniae E - Clostridium perfringens
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B C
A : Vaccin polysaccharidique B : Vaccin inactivé C : Vaccin inactivé E : Anatoxine
Les entérobactéries sont naturellement résistantes aux macrolides.
28 Question à complément simple. 65 Question à complément simple. L'apparition d'épidémies de grippe A est due à une modification de l'information génétique du virus grippal. A quelle modification attache-t-on les grandes pandémies grippales ? A - A une mutation ponctuelle intéressant un acide aminé de l'hémagglutinine et/ou de la neuraminidase B - A l'acquisition de plasmides C - A un changement total de la composition de l'hémagglutinine et/ou de la neuraminidase D - A une transformation cellulaire E - A une modification d'une protéine virale interne Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
27 Question à compléments multiples. Quelle(s) est (sont) les propositions exactes concernant les méningocoques : A - Sont des diplocoques à Gram (-) B - Peuvent exister à l'état de portage sain C - Se rencontrent chez l'homme et les animaux D - Sont sensibles aux variations de température E - Ne présentent qu'un seul sérogroupe capsulaire
Parmi les substances suivantes, indiquer celle qui n'est pas élaborée par le staphylococcus aureus : A - Leucocidine B - Exfoliatine C - Endotoxine D - Coagulase E - Hyaluronidase Bonne(s) réponse(s) : C Les endotoxines font partie de la paroi des bacilles à Gram négatif.
40 Question à complément simple. Indiquer la réponse exacte concernant les transposons : A - Les transposons sont de nature glucido-lipidopolypeptidique B - Les transposons sont uniquement responsables de la résistance aux antibiotiques C - Les transposons sont des protéines de transport D - Les transposons sont des ensembles capables de s'insérer dans les plasmides E - Les transposons sont localisés dans la paroi bactérienne Bonne(s) réponse(s) : D Les transposons sont constitués de matériel génétique.
Bonne(s) réponse(s) : A B D B : l'existence de porteurs sains justifie la prophylaxie de l'entourage des patients atteints de méningite cérébrospinale C : l'homme est l'hôte exclusif D : ce sont des germes très fragiles E : les sérogroupes A B et C sont les plus importants
63 Question à compléments multiples. La pénicilline G est active sur : A - Streptococcus pneumoniae B - Bacillus anthracis C - Clostridium perfringens D - Mycoplasma pneumoniae E - Treponema pallidum
28 Question à compléments multiples. La résistance bactérienne aux bêta-lactamines peut être due à : A - Une imperméabilité au niveau des porines B - Une hydrolyse de la bêta-lactamine C - Un blocage non hydrolytique par une céphalosporinase chromosomique D - Une modification d'affinité d'une protéine liée à la pénicilline (PLP) E - Une mutation rendant les ribosomes insensibles à la bêta-lactamine Bonne(s) réponse(s) : A B D Les ribosomes ne sont pas une cible des bêta lactamines.
Bonne(s) réponse(s) : A B C E Les bêta lactamines sont inefficaces sur les mycoplasmes.
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69 Question à compléments multiples.
62 Question à complément simple.
Parmi les examens biologiques suivants, quel(s) est (sont) celui(ceux) qui permet(tent) l'identification de Candida albicans ? A - Isolement sur milieu de Sabouraud glucosé B - Test de filamentation en sérum C - Inoculation à la souris D - Test à l'encre de Chine E - Formation de chlamydospores en 24 à 48 heures sur milieu riz-agar-tween
Indiquer la réponse exacte concernant les transferts de plasmide d'une bactérie à une bactérie réceptrice : A - Aucun plasmide conjugatif ne possède des gènes de résistance aux antibiotiques B - Les plasmides de résistance ne peuvent pas être mobilisés par un plasmide conjugatif C - Il n'est pas possible de transférer un plasmide en utilisant l'ADN purifié correspondant D - Les gènes des plasmides transférés peuvent s'exprimer même s'ils ne sont pas intégrés dans le chromosome bactérien E - Une fois transféré, un plasmide s'intègre dans le chromosome pour pouvoir être répliqué
Bonne(s) réponse(s) : B E A : on utilise un milieu de Sabouraud tifomyciné. B : le test de filamentation en sérum, ou test de blastèse, permet le diagnostic de l'espèce de Candida 24 heures après l'ensemencement.
117 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant les substances élaborées par les staphylococcus aureus, indiquer celle ou cell,es qui est ou sont exacte(s) : A - La staphylolysine alpha induit la production d'anticorps spécifiques qui peuvent être recherchés par une réaction sérologique B - La leucocidine est toxique pour les granulocytes C - Les exfoliatines existent chez tous les staphylococcus aureus D - Les entérotoxines peuvent être à l'origine d'intoxications d'origine alimentaire E - La coagulase libre est impliquée dans l'origine de thrombophlébites suppurées Bonne(s) réponse(s) : A B D E A : Dosage des anti-staphylolysine alpha et gamma qui sont élevées au cours des staphylococcies chroniques C : les exfoliatines responsables des syndromes des enfants ébouillantés (Scalded Skin Syndrom) sont sécrétées surtout par les souches du groupe phagique II
15 Question à complément simple. Staphylococcus aureus secrète diverses enzymes. Une d'entre elles joue un rôle primordial dans la constitution de thrombophlébites : A - Leucocidine B - Entérotoxine C - Coagulase D - Désoxyribonucléase E - Staphylolysine Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D De nombreux plasmides ne s'intègrent pas dans le chromosome bactérien : ils restent autonomes pour leur expression et leur réplication.
63 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes concernant le diagnostic bactériologique d'une infection à gonocoque, indiquer celle qui est exacte : A - Les gonocoques sont des diplocoques à Gram positif, intra ou extra cellulaires B - Dans les formes chroniques et chez la femme, les germes sont très nombreux et faciles à mettre en évidence C - La culture n'est pas nécessaire au diagnostic des formes chroniques D - L'extrême fragilité du germe nécessite son ensemencement immédiat ou l'emploi de milieux de transport E - Le diagnostic sérologique par réaction de fixation du complément est sensible et spécifique Bonne(s) réponse(s) : D Les Neisseria pathogènes (N. meningitidis et N. gonorrhea) sont fragiles. A : Ce sont des diplocoques à gram négatif. B : Au cours de l'uréthrite chronique, et de ses complications fréquentes chez la femme, le diagnostic bactériologique est très difficile. Les prélèvements doivent être répétés (urèthre, glandes de Bartolin, col, anus, pharynx...). E : La gono-réaction (fixation du complément), les réactions d'immunofluorescence directe et d'hémagglutination passive sont peu spécifiques.
13 Question à compléments multiples. Quelles est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant le streptocoque du groupe A ? A - Cocci gram positif en chaînette B - Hémolyse alpha sur gélose au sang C - Identifié par le polysaccharide C de paroi D - Est sensible à la Pénicilline G E - Peut être responsable de complication post streptococciques non suppurées Bonne(s) réponse(s) : A C D E Les streptocoques du groupe A sont béta hémolytiques.
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81 Question à compléments multiples.
53 Question à complément simple.
Le genre Epidermophyton : A - Est caractérisé par des macroconidies à parois et cloisons minces groupées en régime de bananes B - Présente des microconidies C - En plus de la peau attaque les cheveux et les poils D - Est un dermatophyte zoophile E - La seule espèce pathogène est Epidermophyton floccosum
On doit rechercher les anti-corps anti-streptocoques type A dans ces maladies sauf une : A - Rhumatisme articulaire aigu B - Chorée de Sydenham C - Endocardite subaigüe D - Glomérulonéphrite aigüe E - Erythème noueux Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A E Le genre épidermophyton est caractérisé par des macroconidies en massue, à parois et cloisons minces, et par l'absence de microconidies. C'est un dermatophyte anthropophile, qui n'attaque que la peau.
82 Question à compléments multiples. Parmi ces streptocoques, le(s)quel(s) est (sont) toujours béta hémolytique(s) ? A - Streptococcus mitis B - Streptocoques du groupe A C - Streptocoques du groupe D D - Streptocoques du groupe G E - Streptococcus sanguis Bonne(s) réponse(s) : B D Les streptocoques A C et G sont toujours bêta-hémolytiques. Les streptocoques B sont alpha ou bêta-hémolytiques. Les enterococcus, les streptocoques bovis, equinus, viridans et pneumoniae sont alpha-hémolytiques.
50 Question à complément simple. Le méningocoque est transmissible d'un sujet à l'autre : A - Par les selles B - Par les animaux familiers C - Par les sécrétions rhinopharyngées D - Par les aliments souillés E - Par l'eau de boisson Bonne(s) réponse(s) : C Les germes sont portés dans le naso-pharynx. L'homme est l'hôte et le porteur exclusif.
A B D et E sont des pathologies streptococciques non suppuratives. C doit faire rechercher les streptocoques par des hémocultures répétées.
54 Question à complément simple. Le BCG : A - A été obtenu à partir d'une souche de Mycobacterium bovis B - Est un bacille qui a perdu son acidoalcoolorésistance C - Est pathogène pour la poule D - Est une souche vaccinale inactivée par la bêtapropiolactone E - A été obtenu à partir d'une souche de Mycobacterium avium Bonne(s) réponse(s) : A Le BCG provient d'une souche de mycobacterium bovis obtenu après 230 passages sur pomme de terre biliée glycérinée en 12 ans. La virulence s'est atténuée probablement par sélection d'un mutant avirulent.
72 Question à complément simple. Parmi les germes suivants, lequel est le plus souvent responsable d'endocardites aiguës ? A - Le pneumocoque B - Le gonocoque C - Le staphylocoque doré D - Le streptocoque viridans E - L'entérocoque Bonne(s) réponse(s) : D Il est responsable de 35 % des endocardites aiguës.
52 Question à complément simple. Quelle est la toxine de Staphylococcus aureus responsable des lésions cutanées bulleuses ? A - Staphylolysine B - Fibrinolysine C - Exfoliatine D - Leucocidine E - Entérotoxine Bonne(s) réponse(s) : C L'exfoliatine ou épidermolysine clive l'épiderme dans la couche granuleuse. Elle est responsable du Scalded Skin Syndrom (SSS).
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5 Question à compléments multiples. Certaines causes favorisent le développement des candidoses. Parmi elles, on relève : A - Des causes hormonales B - Des thérapeutiques (Antibiotiques) C - Une atteinte de l'état général D - Un manque d'hygiène, des facteurs locaux E - L'infection par le virus VIH Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
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85 Question à complément simple.
Mycobacterium tuberculosis présente un ou plusieurs des caractères suivants; le(s)quel(s) ? A - Anaérobie B - Temps de division de 20 minutes C - Mis en évidence à l'examen direct par la coloration de Gram D - Pousse en 7 jours sur milieu de Loewenstein E - Aucun de ces caractères
Le diagnostic de Candidose à C. Albicans peut être fait en 24 h au laboratoire par : A - L'aspect des colonies sur milieu SabouraudTetrazolium B - L'appréciation de la vitesse de pousse C - La morphologie des levures à l'examen microscopique D - Le test de blastèse E - L'agglutination par des antisérums spécifiques
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : D A : mycobacterium tuberculosis est un germe aérobie, ce qui justifiait la pratique thérapeutique ancienne de la collapsothérapie (réalisation d'un pneumothorax). C : les BAAR se colorent très difficilement au Gram. B : temps de division de 10 à 20 heures. D : pousse en 3 semaines.
72 Question à compléments multiples. Dans la toxoplasmose congénitale, la contamination du foetus se fait par : A - Le kyste de Toxoplasma gondii B - L'oocyste C - Le trophozoïte (forme végétative) D - Le sporozoïte E - Le schizonte
Voir QCM [18] et [34].
109 Question à compléments multiples. Staphylococcus aureus est une bactérie : A - Le plus souvent sensible à la Pénicilline B - Secrétant parfois une entérotoxine C - Produisant une coagulase D - Produisant parfois une toxine érythrogène E - Produisant parfois une toxine exfoliatrice (ou épidermolysine) Bonne(s) réponse(s) : B C E A : 90 % des staphylocoques sont résistants à la Pénicilline G ; 10 à 40 % sont également résistants à la pénicilline M.
Bonne(s) réponse(s) : C La contamination foetale ne se produit qu'au cours de la primoinfection de la mère.
73 Question à compléments multiples. Le diagnostic de levurose à Candida et en particulier Candida albicans, peut être porté sur le résultat de : A - Frottis muqueux coloré au Gram B - Culture sur milieu dit N N N C - Test de filamentation en sérum D - Assimilation et fermentation de certains sucres E - Coupe histologique colorée au P A S
37 Question à complément simple. Parmi les virus à ADN suivants, quel est celui qui se réplique dans le cytoplasme de la cellule ? A - Les herpesviridae B - Les adenoviridae C - Le virus de la vaccine D - Le virus de l'hépatite B E - Les papillomavirus Bonne(s) réponse(s) : C C - Corps de Guarmeri.
Bonne(s) réponse(s) : C D A : le diagnostic ne peut être porté qu'après examen des cultures. B : la culture s'effectue sur milieu de Sabouraud tifomyciné. C : le test de filamentation en sérum ou test de blastèse, peut permettre l'identification de Candida albicans au bout de 24 heures de culture. D : l'auxanogramme n'est réalisé qu'en cas de négativité du test de blastèse et de la production de chlamydospores sur milieu Riz-AgarTween afin de préciser l'espèce de Candida. E : Les Candidas sont colorés en rouge par le P.A.S. On ne peut spécifier l'espèce sur une coupe histologique.
46 Question à compléments multiples. Parmi les aspects cliniques suivants, quel est celui ou ceux pouvant être dus à Candida albicans ? A - Muguet B - Perlèche C - Intertrigo D - Herpès circinés E - Onyxis avec périonyxis Bonne(s) réponse(s) : A B C E D - Dû aux dermatophytes.
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47 Question à compléments multiples.
43 Question à complément simple.
Clostridium perfringens, est isolé chez un malade à partir de plusieurs hémocultures. Parmi les cinq portes d'entrée proposées, cocher les deux qui peuvent être reconnues. A - Endophtalmie B - Avortement septique C - Pyélonéphrite D - Bartholinite E - Perforation digestive
Indiquer la réponse exacte concernant la mutation chromosomique de la sensibilité à un antibiotique vers la résistance : A - Il s'agit du résultat d'une adaptation de la bactérie à l'antibiotique B - Elle ne peut avoir lieu que si il y a eu un contact préalable avec l'antibiotique C - Elle persiste en l'absence de l'antibiotique qui a servi à la sélection D - Lors de la division de la bactérie, elle n'est transmise qu'à une seule des cellules filles E - Lorsqu'elle apparaît, elle se manifeste simultanément dans un grand nombre de cellules bactériennes
Bonne(s) réponse(s) : B E Les C perfringens se multiplient dans le tube digestif.
48 Question à compléments multiples. Un enfant de deux ans présente une méningite. Dans les antécédents récents on note une rhino-pharyngite et une otite. Parmi les étiologies bactériennes suivantes, quelles sont les deux les plus probablement en cause ? A - Staphylocoque doré B - Steptocoque du groupe B C - Streptococcus pneumoniae D - Entérocoque E - Hemophilus influenzae Bonne(s) réponse(s) : C E B - Doit être évoqué en période néonatale.
49 Question à compléments multiples. Le pied d'athlète peut être dû à : A - Candida albicans B - Trichophyton rubrum C - Aspergillus fumigatus D - Trichophyton interdigitale E - Pityrosporum ovale
Bonne(s) réponse(s) : C La mutation est un évènement aléatoire rare, indépendant de la présence d'antibiotique, persistant, transmissible, spontané, réversible, spécifique d'un seul caractère, discontinu.
44 Question à complément simple. Une des enzymes suivantes, élaborées par les streptocoques du groupe A n'est pas immunogène chez l'homme. Laquelle ? A - Streptolysine O B - Streptolysine S C - Streptodornase B D - Hyaluronidase E - Streptokinase Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
45 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A B D C - Localisation le plus souvent pulmonaire. E - Agent du Pytiriasis versicolor.
2 Question à complément simple. Parmi les bactéries suivantes, quelle est celle qui élabore une exotoxine protéique ? A - Staphylococcus aureus B - Salmonella typhi C - Proteus vulgaris D - Streptococcus pneumoniae E - Hémophilus influenzae Bonne(s) réponse(s) : A Il s'agit de l'alpha-hémolysine ou alpha-toxine, ou de l'esgoliatine, ou encore des entérotoxines...
Mycobacterium tuberculosis : A - Est une bactérie anaérobie B - Donne des colonies visibles en 48 heures sur milieu de Loewenstein C - Est mis en évidence par la coloration de Ziehl Nielsen D - Est un parasite cellulaire obligatoire E - Pousse sur gélose au sang frais Bonne(s) réponse(s) : C A - C'est une bactérie aérobie stricte, d'où la pratique ancienne de la collapsothérapie. B - 3 semaines.
38 Question à compléments multiples. Chez une femme enceinte dont la sérologie de la toxoplasmose est négative vous devez conseiller de : A - Faire une sérologie de la toxoplasmose, une fois par mois jusqu'à l'accouchement B - Bien cuire la viande. C - Bien cuire les poissons D - Bien laver les fruits et les légumes E - Eviter la proximité des chats Bonne(s) réponse(s) : A B D E Toxoplasma gondii ne parasite pas les poissons.
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39 Question à compléments multiples.
41 Question à complément simple.
Parmi les antibiotiques suivants, le(s)quel(s) est(sont) généralement bactériostatique(s) : A - Chloramphénicol B - Ampicilline C - Colistine D - Pénicilline G E - Cyclines
Quelle est la toxine responsable des lésions bulleuses des staphylococcies cutanées ? A - Hémolysine alpha B - Hémolysine delta C - Leucocidine D - Exfoliatine E - Entérotoxine
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : D
Un antibiotique est dit bactériostatique quand la CMB est nettement supérieure à la CMI.
Sans commentaire.
40 Question à compléments multiples. Le prélèvement d'urines fait partie des prélèvements pratiqués pour la détection du virus dans : A - La fièvre jaune B - Les oreillons C - L'infection à cytomégalovirus D - L'infection à rotavirus E - L'infection à virus respiratoire syncytial Bonne(s) réponse(s) : C A - Sang, LCR. B - Sang, salive. C - Sang, urine. D - Selles.
41 Question à compléments multiples. L'élément parasitaire s'introduit chez l'homme par voie digestive pour : A - La dracunculose B - La bilharziose C - La distomatose D - L'ankylostomose E - L'oxyurose Bonne(s) réponse(s) : A C E A - Ingestion par l'homme du Cyclops qui est l'hôte intermédiaire. B - Pénétration transcutanée active. C - Ingestion de métacercaires avec du cresson sauvage. D - Pénétration transcutanée active. E - Ingestion d'oeufs.
21 Question à compléments multiples. Parmi les cinq enzymes suivantes élaborées par les staphylocoques, deux ont un intérêt pour le diagnostic au laboratoire en pratique courante de Staphylococcus aureus; lesquels ? A - Bêta-lactamase B - Hyaluronidase C - Fibrinolysine D - Coagulase E - Desoxyribonucléase Bonne(s) réponse(s) : D E E - La désoxyribonucléase thermostable caractérise l'espèce S. aureus.
22 Question à compléments multiples. Lors des toxi-infections alimentaires staphylococciques, il est exact que : A - Les malades présentent une fièvre en plateau B - Les malades peuvent présenter des vomissements C - Les malades présentent des signes cliniques survenant 18 à 24 h après l'ingestion des aliments incriminés D - C'est l'ingestion d'une entérotoxine thermostable préformée dans l'aliment qui est responsable de la pathologie observée E - il existe un seul sérotype d'entérotoxine staphylococcique Bonne(s) réponse(s) : B D A - La toxi-infection alimentaire staphylococcique est non fébrile, contrairement à l'infection alimentaire à Salmonelles. C - 2 à 4 heures après l'ingestion.
40 Question à complément simple. Les staphylococcus aureus résistants à la méticilline : A - Représentent 80% des staphylococcus aureus B - Sont résistants aux céphalosporines de 3ème génération C - Sont sensibles à l'imipeneme D - Sont généralement sensibles aux aminosides E - Leur résistance est de nature enzymatique Bonne(s) réponse(s) : B A - 20 % en milieu hospitalier. B C - La résistance à la méticilline est croisée avec toutes les autres bêta-lactamines. D - La résistance à la méticilline est un marqueur du phénotype multirésistant. E - Modification de la protéine liant les pénicillines.
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24 Question à compléments multiples. L'antitoxine tétanique : A - Est la toxine détoxifiée par le formol B - Confère une immunité de longue durée C - Est vaccinante D - S'utilise à titre préventif E - Peut-être utilisée en cas de plaie tétanigène Bonne(s) réponse(s) : D E A B C - Concernent l'anatoxine.
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106 Question à compléments multiples.
119 Question à compléments multiples.
La résistance hétérogène des Staphylococcus aureus visà-vis des pénicillines M présente un certain nombre de propriétés. Parmi les cinq propriétés, cocher celles qui sont justes : A - Est croisée entre oxacilline et méthicilline B - Est croisée entre oxacilline et céfalotine C - Est croisée entre oxacilline et céfotaxime D - Est croisée entre oxacilline et vancomycine E - Est due à une sécrétion de bêta-lactamase
Parmi les cellules suivantes certaines appartiennent à la lignée monocytaire macrophagique : A - Cellules de Küpffer B - Histiocytes C - Myocytes D - Cellules endothéliales E - Mastocytes
Bonne(s) réponse(s) : A B C Cf question [304]
Bonne(s) réponse(s) : A B Le système des phagocytes mononucléés est issu du monocyte et comprend macrophages, cellules de Küpfer du foie, histiocytes, microglie, cellules de Langerhans, ostéoclastes, cellules interdigitées des ganglions lymphatiques. E - Les mastocytes sont les équivalents tissulaires des basophiles circulants.
33 Question à complément simple. Candida albicans peut réaliser les différents aspects anatomocliniques suivants, sauf un. Lequel ? A - Périonyxis B - Muguet C - Herpès circiné D - Intertrigo E - Vaginite Bonne(s) réponse(s) : C L'herpès circiné est dû aux dermatophytes.
35 Question à complément simple. Parmi les virus à ARN suivants, quel est celui qui se réplique dans le noyau de la cellule ? A - Les entérovirus B - Le virus de la rage C - Le virus respiratoire syncytial D - Le virus de la grippe E - Les réoviridae
39 Question à complément simple. Indiquez l'affirmation exacte concernant le Concentré Erythrocytaire Standard : A - Contient les hématies de plusieurs donneurs de même phénotype B - Ne contient plus ni leucocytes ni plaquettes C - Peut se conserver jusqu'à 120 jours en chambre froide (4°C) D - Apporte environ 22 g d'hémoglobine pour 100 ml E - Ne se prescrit qu'en association avec du plasma frais congelé Bonne(s) réponse(s) : D A - Jamais. B - Il s'agit alors de culots globulaires déleucocytés et déplaquettés. C - 3 semaines avec conservateur CDP et 35 jours avec conservateur SAG.
52 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : D L'intervention du noyau de la cellule hôte est une étape rarement constatée au cours de la réplication des virus à ARN.
69 Question à complément simple. Haemophilus influenzae a toutes les caractéristiques sauf une : laquelle ? A - Est commensal de l'oro-pharynx B - Est responsable de méningite de l'enfant C - Est un cocci gram + D - Peut être résistant à l'ampicilline par production de bêta lactamase E - Le céfotaxime est toujours efficace sur lui Bonne(s) réponse(s) : C C'est un bacille Gram négatif.
Neisseria meningitidis a toutes les caractéristiques, sauf une; laquelle ? A - Possède un antigène capsulaire responsable du sérogroupe B - Le sérogroupe B est le plus fréquent en France C - Est généralement sensible à la pénicilline G D - Est un diplocoque gram E - La mise en évidence d'antigène soluble dans le LCR est un bon moyen de diagnostic pour le sérogroupe B Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
96 Question à compléments multiples. Parmi les facteurs suivants, quel est celui (quels sont ceux) qui entraîne(nt) de façon significative une élévation du taux de polynucléaires neutrophiles dans le sang : A - Le sommeil B - Le tabac C - Un traitement par les corticoïdes D - L'effort physique E - Un traitement digitalique Bonne(s) réponse(s) : B C D
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B - La polynucléose neutrophile peut s'accompagner d'une
après 85 416polyglobulie ; elle persiste plus longtemps que la polyglobulie By NADJI le sevrage.
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60 Question à compléments multiples.
38 Question à complément simple.
Quel(s) est (sont) le (les) caractère(s) exact(s) de la résistance bactérienne aux antibiotiques d'origine chromosomique ? A - Elle est liée à une mutation B - Elle concerne un seul antibiotique C - Sa fréquence est de 10 à 20 % de l'ensemble des résistances D - Elle s'établit en un seul échelon E - Elle est induite par la présence de l'antibiotique
Le vaccin antitétanique est composé : A - De bactéries tuées B - De bactéries vivantes C - De virus inactivés D - De virus vivants E - De toxine traitée par la chaleur et le formol Bonne(s) réponse(s) : E E - Anatoxine = toxine détoxifiée.
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
35 Question à complément simple. La réaction de TPHA (Treponema Pallidum Hémagglutination) : A - Met en jeu le même antigène anticorps que la réaction de Kline ou VDRL B - Donne des résultats comparables à ceux de la réaction de Nelson C - Met en jeu un antigène non spécifique du tréponème pâle (on le retrouve sur les leptospires) D - Permet de distinguer la syphilis du Pian E - Aucune de ces propositions n'est valable
77 Question à complément simple. Quel microorganisme peut survivre à l'intérieur des macrophages grâce à l'inhibition de la fusion phagosomelysosome ? A - Staphylococcus aureus B - Plectridium tétani C - Toxoplasma gondii D - Plasmodium falciparum E - Klebsiella pneumoniae Bonne(s) réponse(s) : C Les trophozoïtes se multiplient dans les macrophages des animaux à sang chaud et échappent aux mécanismes de digestion cellulaire par des processus encore mal connus.
Bonne(s) réponse(s) : E A - Le VDRL met en jeu l'antigène cardiolipidique. C - L'antigène est spécifique des tréponèmes. D - Aucun argument sérologique ne peut distinguer les tréponématoses entre elles.
38 Question à compléments multiples.
36 Question à complément simple.
Lors du diagnostic sérologique de la syphilis, Treponema pallidum est utilisé comme antigène au cours d'une ou plusieurs des réactions sérologiques suivantes : A - TPHA B - Kline C - V.D.R.L. D - F.T.A. E - Test de Nelson
Les propositions suivantes sont exactes, sauf une. Laquelle ? A - L'injection d'anatoxine tétanique confère une immunité active B - L'administration d'une seule injection de sérum antitétanique donne une immunité passive immédiate C - La vaccination antitétanique est obligatoire en France D - Le vaccin antitétanique doit être injecté à l'homme dans des conditions strictes d'anaérobiose E - Après une primo-vaccination un rappel doit être effectué au bout de 5 ans pour maintenir l'état d'immunité Bonne(s) réponse(s) : D A - C'est la vaccination.
37 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A D E B et C détectent l'antigène cardiolipide.
39 Question à compléments multiples. Parmi les parasitoses suivantes, quelles sont celles qui s'accompagnent le plus souvent d'une hyperéosinophilie ? A - Bilharziose (Schistosomoses) B - Trypanosomose africaine C - Larva migrans viscérale D - Paludisme E - Distomatose Bonne(s) réponse(s) : A C E B et D sont des protozooses.
Les staphylocoques peuvent être à l'origine de toxiinfections alimentaires. Le mécanisme de ces intoxications est le suivant : A - Libération d'une endotoxine pyrogène consécutive à la lyse des corps bactériens B - Sécrétion d'une endotoxine thermolabile C - Sécrétion d'une exotoxine thermostable D - Production de ptomaïnes toxiques dans l'aliment E - Production d'histamine Bonne(s) réponse(s) : C Cette exotoxine est présente dans l'aliment contaminé. RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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40 Question à compléments multiples.
116 Question à compléments multiples.
La transmission d'un virus herpès peut se faire : A - Par la salive B - Par les sécrétions vaginales C - Par les selles d'un excréteur asymptomatique D - Par des lésions cutanées herpétiques E - Par les eaux de baignade
Concernant l'anatoxine et l'antitoxine tétaniques il est exact que : A - L'anatoxine tétanique a un pouvoir toxique identique à celui de la toxine tétanique B - L'anatoxine tétanique induit l'apparition d'antitoxine tétanique C - L'anatoxine tétanique est beaucoup plus instable que la toxine tétanique D - La prévention à long terme du tétanos repose sur la vaccination par l'anatoxine tétanique E - La protection contre le tétanos repose sur la présence dans l'organisme d'antitoxine tétanique à un taux suffisant
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
97 Question à compléments multiples. Parmi les manifestations suivantes, quelle est (quelles sont) celle(s) qui peut(peuvent) être secondaire(s) à l'injection du vaccin, rougeole- oreillons - rubéole (ROR) ? A - Eruption B - Paralysie périphérique C - Fièvre D - Parotidite E - Syndrome de Lyell Bonne(s) réponse(s) : A B D A B - A partir de porteurs souvent asymptomatiques.
110 Question à compléments multiples. Parmi ces antibiotiques, le(s)quel(s) est (sont) actif(s) sur Mycoplasma pneumoniae ? A - Pénicilline G B - Cyclines C - Céphalosporines 3ème génération D - Macrolides E - Aminosides
Bonne(s) réponse(s) : B D E A - L'anatoxine est détoxifiée par la chaleur et le formol.
50 Question a compléments multiples. Le plasmide F ou facteur sexuel est impliqué dans la conjugaison bactérienne. Quelle(s) est (sont) sa (ses) propriété(s) exacte(s) ? A - Il peut se répliquer de façon autonome B - Il peut se transférer d'une bactérie à une autre C - Il code la synthèse des pili sexuels D - Il modifie le "sexe" de la bactérie réceptive E - Il est toujours intégré au chromosome Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le plasmide F est un plasmide conjugatif.
Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
112 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, concernant l'effet bactéricide des antibiotiques, lesquelles sont exactes ? A - La CMI (concentration minimale inhibitrice) d'un antibiotique définit son effet bactéricide B - Les aminosides sont des antibiotiques habituellement bactéricides C - Les macrolides sont des antibiotiques habituellement bactériostatiques D - Les pénicillines sont des antibiotiques habituellement bactériostatiques E - Les associations de bêta-lactamines aux aminosides sont habituellement bactéricides Bonne(s) réponse(s) : B C E A - La CMI étudie la bactériostase. D - Les pénicillines sont bactéricides.
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48 Question à complément simple.
49 Question à complément simple.
A propos des résultats de la sérologie toxoplasmique : A - Elle est positive et sûrement ancienne B - Elle est négative, il faudra refaire le dosage tous les mois jusqu'à la fin de la grossesse C - Elle est très positive, sûrement récente, et vous proposez un avortement thérapeutique D - Elle est positive mais à recontrôler E - Quelle que soit l'interprétation, un traitement par la Rovamycine® résoud tous les problèmes
La sérologie rubéolique : A - Est négative et à recontrôler tous les mois jusqu'à la fin de la grossesse B - Est à recontrôler afin d'observer I'ascension des anticorps en cas de rubéole récente C - Est positive, un seul examen suffit D - La protection est douteuse, il faut vacciner cette femme contre la rubéole E - On propose l'avortement thérapeutique
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B
A.B.C.D. Le test d'immunofluorescence des IgG a un seuil de positivité de 8 à 10 UI. Il est un peu moins spécifique mais de réalisation plus facile que le dye-test de Sabin Feldman (test de lyse des toxoplasmes). De 10 à 200 UI on parle de positivité faible compatible avec une infection ancienne comme avec un début d'augmentation. De 300 à 3000 UI, on parle de positivité forte toujours témoin d'une immunité ancienne. La sérologie de cette femme est positive faiblement, à recontrôler et à associer à la demande d'un dosage des IgM dont la positivité affirmerait le caractère récent de l'infection. La recherche des IgM est faite soit par immufluorescence (test de Remington) soit par test d'agglutination directe avec chute de la positivité du test après inhibition des IgM par le 2 mercapto éthanol. E. Un traitement par la Rovamycine® (3 g par jour) doit être entrepris d'urgence en cas de séroconversion ou même en cas de doute en attendant confirmation. Il sera poursuivi sans interruption jusqu'à la fin de la grossesse. Il est susceptible de réduire la fréquence et la gravité de l'atteinte foetale sans toutefois l'annihiler.
A.B.C. Il faut souligner la grande variabilité d'un sujet à l'autre de tous les paramètres de la réponse immunitaire : le délai entre l'apparition et le titre maximal des anticorps (3 jours à 3 semaines), le titre maximal au plateau (> ou égal à 1280 à 80, voire 40), le titre résiduel des années plus tard (élevé et proche du plateau, intermédiaire, au bas et proche du plancher). Il n'existe donc pas de titre élevé significatif d'une infection récente. Au cours d'une réinfection, l'élévation du titre des anticorps rubéoliques, ou sa remontée, sont plus précoces (7e au 11e jour). Il faut interpréter le résultat du titrage des anticorps en fonction de la chronologie du ou des prélèvements sériques et des événements ayant motivé l'examen, éruption, contage ou visite systématique. Dans ces conditions, une élévation significative du titre des anticorps rubéoliques à l'examen simultané des deux sérums suffit pour porter le diagnostic d'infection rubéolique actuelle. Attention : un titre d'anticorps élevé et stable à l'examen simultané des deux sérums ne permet pas d'éliminer une infection rubéolique, actuelle s'il y a eu quelque retard au prélèvement du 1er sérum : 1er et 2ème sérum peuvent correspondre au plateau de la courbe. Le sérodiagnostic standard est alors en défaut. Dans la situation actuelle, la sérologie doit être contrôlée afin d'observer l'ascension des anticorps en cas de primo-infection ou réinfection rubéolique, mais surtout associée à la recherche des IgM rubéoliques examen lourd et coûteux qui a des indications limitées et impératives. Parmi elles, la distinction chez une femme enceinte, entre primo-infection rubéolique, dangereuse pour l'enfant, et réinfection en principe sans danger. D. Le vaccin antirubéolique est atténué donc vivant. Formellement contre-indiqué pendant la grossesse (de plus le virus sauvage dont dérive le vaccin a des propriétés tératogènes). E. Si après information, le couple opte pour l'interruption de grossesse, il est essentiel que cette décision soit prise sans précipitation : il faut éliminer les erreurs diagnostiques fréquentes mais aussi sans retard. L'interruption de grossesse est techniquement et psychologiquement difficile après la 12ème semaine.
Une jeune femme de 25 ans enceinte de son premier enfant (12 semaines d'aménorrhée) revient d'Afrique noire où elle séjournait. Elle vous rapporte ses examens sérologiques : syphilis négative, toxoplasmose = 200 UI par immunofluorescence, rubéole = 100 UI par hémagglutination. Elle a présenté une angine il y a 15 jours traitée pendant 8 jours par 2 g d'ampicilline per os et pendant 3 jours d'acide acétyl-salicylique à raison de 1,50 g par jour. Elle a de plus pris pendant son séjour 1 cp/jour de Nivaquine®. Son examen actuel est strictement normal mais elle est inquiète.
50 Question à complément simple. La prise d'ampicilline : A - Est justifiée et non dangereuse pour le foetus B - Aurait dû être poursuivie jusqu'à la fin de la grossesse C - Nécessite une surveillance du foetus par échographies régulières D - Protège de l'éventualité d'une toxoplasmose évolutive E - Est dangereuse pendant la grossesse en raison du risque particulier de pancytopénie Bonne(s) réponse(s) : A A. Traitement standard classique d'une angine par une pénicilline A, sans danger pour le foetus. D. La spiramycine de la famille des macrolides est le médicament prescrit pour éviter une toxoplasmose évolutive chez le foetus mais cette protection est partielle.
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51 Question à complément simple.
55 Question à complément simple.
La prise d'aspirine : A - Est justifiée et non dangereuse pour le foetus B - Peut entraîner des complications hémorragiques chez la mère à ce stade de la grossesse C - Nécessite une surveillance du foetus par échographies régulières D - Protège de l'éventualité d'une toxoplasmose évolutive E - Ces 4 propositions sont fausses
Au sujet des vaccinations : A - Le vaccin contre la fièvre jaune est obligatoire B - Le vaccin contre la fièvre jaune peut se faire au cabinet du médecin traitant C - Le vaccin contre le choléra est un vaccin qui assure une protection supérieure à 80% D - Le vaccin contre l'hépatite B est conseillé mais il ne se trouve pas en pharmacie, il faut contacter l'hôpital E - Les vaccinations contre le tétanos et la poliomyélite ne sont pas indispensables
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A B. Bien qu'aucun effet tératogène n'ait été prouvé chez la femme enceinte, l'aspirine est à déconseiller au moins pendant les trois premiers mois de la grossesse et doit être évitée à la fin de celle-ci (cf.Vidal). Il s'agit là d'une précaution d'emploi. Il n'existe pas de complications hémorragiques chez la mère à ce stade de la grossesse qui pourraient être provoquées par l'aspirine. Cependant, chez l'adulte, l'effet anti-aggrégant plaquettaire de l'acide acétylsalicylique fait contre indiquer son emploi en cas d'antécédent de maladie hémorragique connue ou de risque hémorragique.
52 Question à complément simple. La prise de Nivaquine® : A - Est justifiée B - Comporte un risque d'avortement C - Nécessite une surveillance du foetus par échographies régulières D - Protège de l'éventualité d'une toxoplasmose évolutive E - Est dangereuse pendant la grossesse en raison du risque particulier de pancytopénie Bonne(s) réponse(s) : A A. Aux doses prophylactiques recommandées, la chloroquine (Nivaquine®) peut être prise en toute sécurité à tous les stades de grossesse. Ce qui peut vraiment menacer une grossesse, ce n'est pas la chimioprophylaxie antipaludique, mais bien le paludisme (relevé épidémiologique, hebdomadaire de l'O.M.S.).
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Deux solutions possibles : A ou rien. A. Le Gabon, pays d'Afrique, exige la vaccination contre la fièvre jaune des voyageurs en provenance des zones infectées, âgés de plus d'un an, ce qui ne serait pas le cas pour Mr R. et sa famille. Cependant, il est vivement recommandé, en raison du risque personnel de contracter la maladie mais aussi du fait qu'en pratique l'entrée peut être refusée par les autorités sanitaires aux postes frontières. B. Pratiquée dans des centres agréés par l'O.M.S. avec délivrance d'un certificat. Vaccination valable 10 ans à partir du 10ème jour après la primo-vaccination. C. Vaccin anticholérique : préparé à partir de bactéries inactivées par le phénol. Immunité relative 6 jours après la 2ème injection (ou la 3ème chez l'enfant) qui dure environ 6 mois. Protection dans seulement 50 à 70 % des cas. D. Le vaccin Hevac B® est vivement recommandé en Afrique où l'hépatite à virus B est extrêmement fréquente. E. Vaccination ou rappel doivent être faits impérativement (mais il n'y a pas d'obligation légale) afin d'assurer une protection efficace vis-àvis de maladies graves contractables en Afrique noire. Attention : l'item A semble être la seule réponse possible mais en toute rigueur, aucune réponse n'existe. Monsieur R. âgé de 37 ans, forestier de son métier, doit partir travailler pendant 2 ans au Gabon dans la région de Lambaréné. Monsieur R. a l'intention de se faire accompagner de son épouse âgée de 36 ans et de son fils âgé de 5 ans. Ils logeront à quelques kilomètres de la forêt mais Mr R., de par son métier, passera la plupart de son temps au milieu des bois. Ils consultent 4 mois avant le départ pour se renseigner au sujet des vaccinations et de la chimioprophylaxie du paludisme. Vous lui expliquez les conseils d'hygiène, les éléments de prévention essentiels et les différents modes de contamination des maladies présentes dans la région.
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56 Question à compléments multiples.
58 Question à complément simple.
Au sujet de la chimioprophylaxie contre le paludisme : A - Il est indispensable que la chimioprophylaxie commence 2 mois avant le départ B - Au bout de 6 mois passés en Afrique elle pourra être arrêtée C - Au retour il faut continuer la chimioprophylaxie pendant 2 mois D - Les amino-4-quinoléines seront administrées à raison de 100 mg/10 kg par semaine E - La Flavoquine® sera prescrite tous les jours sauf le dimanche
L'eau douce est souvent à l'origine de troubles : A - Vous conseillerez à cette famille de ne pas se baigner dans les marigots B - En effet, il faut un bain prolongé (supérieur à une heure) ou des bains répétés dans l'eau contenant des furco-cercaires C - Les glaçons de l'apéritif, du fait de leur température, sont sans danger D - L'ingestion de cyclops avec une eau de boisson non filtrée est le mode transmission de la filaire loa-loa E - La simulie, agent vecteur de l'onchocercose, se trouve surtout près des cours d'eau aérés et courants
Bonne(s) réponse(s) : C D
Bonne(s) réponse(s) : A E A.B.C. La chimioprophylaxie antipaludique doit être commencée le jour du départ, poursuivie tant qu'il existe un risque potentiel d'exposition au paludisme, et prolongée un mois après le retour. Ce mois de prolongation correspond au temps maximal d'incubation du Plasmodium falciparum, le seul dangereux responsable de l'accès pernicieux palustre. D. Chloroquine, Nivaquine®, le plus utilisé, prescrit à la dose de 100 mg/10 kg/semaine à raison d'un comprimé de 100 mg par jour sauf le dimanche. E. Amodiaquine, Flavoquine®, prescrit à la dose de trois comprimés à 200 mg une fois par semaine, à jour fixe, sauf la première semaine où la dose sera doublée, c'est-à-dire prise deux jours consécutifs, le jour de l'arrivée et le lendemain. Des cas d'hépatite et d'agranulocytose font actuellement préférer la chloroquine, moins pratique pourtant. Il existe des cas signalés en 1987 de foyers de résistance aux amino 4 quinoléines en Afrique de l'ouest (Côte d'Ivoire).
57 Question à compléments multiples. A propos de la chimioprophylaxie antipaludéenne : A - L'administration de chloroquine comporte un risque de rétinopathie si les doses sont très élevées et très prolongées B - Les amino-4-quinoléines sont contre-indiquées en cas de grossesse C - En cas de grossesse il vaut mieux traiter les accès palustres au coup par coup D - La Nivaquine® aux doses de chimioprophylaxie n'entraine pratiquement pas d'effets secondaires E - Le Fansidar® est susceptible d'entraîner une granulopénie ou un syndrome de Lyell Bonne(s) réponse(s) : A D E
A. L'infestation humaine se fait par la pénétration transcutanée active des furcocercaires libres (formes infestantes) dans l'eau, à l'occasion d'un bain ou d'une traversée de cours d'eau, même de courte durée. B. Les cercaires, émises par le mollusque hôte, sont attirées par l'homme : un chimiotactisme puissant les amène au contact de la peau où elles se fixent avant de la traverser. C. La fonte des glaçons peut libérer les larves parasitaires. D. La filaire loa loa est transmise par la piqûre d'une femelle hématophage chrysops, de la famille des taons. Le cyclops est un petit crustacé d'eau douce dont l'ingestion est le mode de transmission de la filaire de Médine ou dracunculose. E. Les larves aquatiques de simulie se développent seulement dans les eaux rapides et aérées. En Afrique la répartition centrée sur le réseau hydrographique est très irrégulière. Le foyer le plus important est en zone intertropicale. Attention : le Q.C.M. est à complément simple et deux réponses sont possibles.
59 Question à compléments multiples. A propos de la prévention contre les moustiques, mouches, arthropodes : A - L'agent vecteur des trypanosomiases humaines africaines est la glossine B - Il faut dormir la nuit sous des moustiquaires C - La moustiquaire évitera la piqûre du taon (Chrysops) qui est le vecteur de la filariose lymphatique D - La moustiquaire est très intéressante pour la prophylaxie de la leptospirose E - Le repassage du linge de corps à forte température permettra d'éviter le ver de Cayor Bonne(s) réponse(s) : A
A. Il faut atteindre une dose cumulée de 100 g pour observer ce risque soit environ trois ans de traitement continu. Ces accidents sont susceptibles d'être rencontrés dans les traitements continus à long terme par les antipaludéens, prescrits pour lupus érythémateux disséminé et polyarthrite rhumatoïde. B.C. Les amino 4 quinoléines ne sont ni tératogènes ni abortives. Le paludisme représente lui un risque pour la grossesse. L'absence de risque de la prophylaxie n'autorise pas à prendre le risque de l'accès pernicieux. Le paludisme de la femme enceinte peut mettre en danger la vie de la mère et celle de l'enfant.
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A. La glossine ou mouche "tsé-tsé" transmet la trypanosomiase africaine ou maladie du sommeil. C. La femelle du chrysops hématophage pique surtout le jour. D. La leptospirose se transmet par contamination acqueuse : bain ou consommation d'eau souillée par les animaux infestés ; il faut le plus souvent le contact avec une effraction cutanée ou muqueuse. E. Le ver de Cayor est une myiase (parasitose par des larves de mouches). La larve se développe au lieu de la pénétration (souvent contact avec le sol) et il apparait en 10 à 15 jours une lésion furonculoïde. Outre le sol des cases, le ver de Cayor vit sur les tissus humides (serviettes et vêtements).
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60 Question à compléments multiples.
68 Question à compléments multiples.
Mesure(s) d'hygiène générale à préconiser : A - Lorsque vous conseillerez de porter des chaussures, vous penserez ainsi éviter l'ankylostomiase B - Les fruits pelés et lavés sont sans danger C - La viande bien cuite permettra de diminuer le risque de trichinose D - La viande séchée est sans danger E - Lorsqu'on est à l'ombre, il est inutile de se couvrir la tête, le risque de coup de chaleur est faible
Parmi les examens complémentaires suivants retenez celui ou ceux qui vous paraissent utiles au diagnostic, en première intention : A - Hémocultures B - Sérodiagnostic de bilharziose C - Numération formule sanguine D - Sérodiagnostic du paludisme E - Examen parasitologique des selles Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : A B C A. La contamination de l'homme est transcutanée par pénétration active de la larve strongyloïde enkystée à travers la peau, au contact de laquelle elle s'est trouvée. Port de chaussures très conseillé surtout pour la marche sur des sols humides. B. Le lavage à l'eau désinfectée uniquement est sans danger. C. La contamination humaine ne survient que si le sujet est carnivore et friand de viande peu cuite. Les poux domestiques et sauvages sont les habituels hôtes intermédiaires dans le cycle de la trichinose humaine. E. Le coup de chaleur est une déshydratation essentiellement extracellulaire, la température ambiante est plus importante que l'ensoleillement proprement dit.
61 Question à compléments multiples. Une eau peut être rendue potable par : A - 3 gouttes d'eau de javel pour 1 litre d'eau B - 1 comprimé d'hydroclonazone dans 1 litre d'eau C - Le permanganate de potassium qui est un bon désinfectant, et actif sur le vibrion cholérique D - L'ébullition de l'eau pendant 5 mn E - Plusieurs couches de tissu dans une passoire Bonne(s) réponse(s) : A B D Attention. B. Laisser reposer une heure avant consommation après avoir écrasé le comprimé et agité.
A. Hémoculture systématique en première intention devant le tableau d'une altération de l'état général fébrile, avec diarrhée et notion de retour de séjour en pays tropical. B. Hépatomégalie et diarrhée peuvent évoquer une bilharziose intestinale à Schistosoma mansoni ou intercalatum. Le sérodiagnostic permet souvent une orientation diagnostique de bonne valeur mais le diagnostic de certitude repose sur la découverte des oeufs dans les selles C. Recherche d'une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles, ou à polynucléaires éosinophiles (helminthiases). D. Le diagnostic du paludisme repose sur le frottis sanguin et la goutte épaisse. Il doit être recommandé devant des manifestations telles que : fièvre, signes neurologiques, diarrhée, splénomégalie, hépatomégalie, anémie, ictère. Le tableau ici n'évoque pas une forme palustre quelconque. E. Recherche devant une diarrhée fébrile au retour d'Afrique, la présence d'amibes Entamoeba histolytica qui est la forme végétative hématophage, virulente pathogène. La forme minuta végétative non hématophage vit en saprophyte dans la lumière colique et peut être présente dans les selles de sujets apparemment sains. Le kyste sphérique s'élimine avec les selles, assurant ainsi la propagation de la maladie. Monsieur B., âgé de 40 ans, vient de participer à un safari en République Centre Africaine, où il a séjourné du 7 au 27 février 1984. Peu de temps avant son retour, il a présenté une diarrhée faite de 4 à 5 selles liquides par jour associée à des douleurs abdominales qui prédominaient dans le flanc gauche. Les troubles ont été traités par Intétrix® pendant 5 jours et la diarrhée a paru céder au début du traitement puis a repris. De retour en France, depuis 10 jours, le sujet est hospitalisé pour une altération de l'état général, avec une température à 38°, des douleurs de l'hypochondre droit et persistance de la diarrhée. La langue est saburale, l'abdomen météorisé. Le foie de volume normal est sensible à la palpation et douloureux à la percussion. Le reste de l'examen est normal. La chimioprophylaxie antipalustre a été régulièrement suivie.
69 Question à compléments multiples. Parmi les examens complémentaires suivants, retenez celui ou ceux au(x)quel(s) vous donnez la priorité pour affirmer le diagnostic : A - Echographie abdominale B - Sérodiagnostic de paludisme C - Sérodiagnostic de leptospirose D - Radiographie pulmonaire E - Scintigraphie splénique Bonne(s) réponse(s) : A A. Examen le plus performant pour rechercher un éventuel abcès amibien du foie (zone hypoéchogène hépatique) devant les signes d'appel cliniques sur l'hypochondre droit. D. Systématique lors du bilan d'entrée. Peut montrer une augmentation de volume du foie, un hémi diaphragme droit surélevé et immobile (image en "dôme", ou en "brioche"), en cas d'abcès amibien hépatique.
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70 Question à complément simple.
74 Question à complément simple.
Parmi les diagnostics évoqués, retenez celui qui vous paraît le plus probable : A - Accès palustre de primo invasion B - Fièvre typhoïde C - Amibiase D - Leishmaniose viscérale E - Hydatidose
A quel parasite a-t-on affaire ? A - Pou B - Punaise C - Tique D - Puce E - Sarcopte Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C C. La diarrhée précède le syndrome fébrile, l'altération de l'état général et la symptomatologie hépatique très évocatrice avec la douleur à la percussion du foie, d'une collection suppurée. Notion de retour d'Afrique. Attention : la fièvre typhoïde aurait pu être évoquée devant une diarrhée fébrile, au retour d'un séjour en pays tropical, mais il n'existe pas de symptomatologie hépatique telle que celle décrite dans l'énoncé. E. L'hydatidose hépatique : pas de diarrhée précédant l'hépatomégalie qui est isolée, indolore et bien tolérée.
71 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes retenez le ou les médicaments que vous prescrivez en première intention : A - Thiamphenicol (Thiophénicol®) B - Amino-4-quinoléine (Nivaquine®) C - Pamoate de pyrantel (Combantrin®) D - Praziquantel (Biltricid®) E - Aucune de ces propositions Bonne(s) réponse(s) : E A. Utilisé dans le traitement des fièvres typhoïdes. B. Dans le traitement du paludisme. C. Dans le traitement des helminthiases intestinales : notamment oxyurose, ascaridiose, ankylostomose. D. Un des traitements des schistosomiases. E. Le traitement d'une amibiase intestinale avec localisation tissulaire associe un amoebicide tissulaire très actif sur les formes histolytica (exemple Flagyl® métronidazole) et un amoebicide de contact actif dans la lumière intestinale contre les formes minuta (exemple : Bemarsal® diphetarsone ou Intetrix® tilbroquinol).
72 Question à compléments multiples. Retenez la ou les mesure(s) prophylactique(s) qui aurai(en)t pu éviter au patient la survenue de cette pathologie : A - Vaccination spécifique B - Chimioprophylaxie C - Hygiène des mains D - Hygiène alimentaire E - Aucune de ces propositions
La gale norvégienne est une forme particulière de la gale, qui atteint des sujets dont les défenses sont amoindries : maladies de système, déficits immunitaires, personnes âgées. La gale est une dermatose très prurigineuse et très contagieuse due à un acarien psorique à cycle cutané humain complet : Sarcoptes scabiei hominis. Le 31/12/81, Mme P., Philomène, 78 ans, hospitalisée depuis 5 ans pour maladie de Parkinson, présente des lésions érythématosquameuses et prurigineuses diffuses évoquant une parakératose ou des lésions eczématisées. On prescrit : pommade Betnévalnéomycine®. Le 07/01/82, apparition de nouvelles lésions papuleuses. Le 16/02/82, hospitalisation dans un service de dermatologie pour lésions prurigineuses et érythémateuses intéressant principalement le tronc. On diagnostique une "gale norvégienne" et le traitement est mis en route.
75 Question à compléments multiples. Quel(s) médicament(s) peut-on administrer ? A - Crotamiton (Eurax®) B - Lindane (Elenol®) C - Lindane (Elentol®) D - Benzoate de benzyle (Ascabiol®) E - Diméthyl-diphényl-dichloroéthane (Benzochloryl®) Bonne(s) réponse(s) : A D B.C.E. Sont essentiellement des traitements des pédiculoses.
76 Question à compléments multiples. Quelle(s) mesure(s) prophylactique(s) individuelle(s) conseillez-vous ? A - Lessivage des vêtements et de literie B - Stockage pendant une semaine du linge personnel dans un sac en plastique hermétique C - Eviter le contact des animaux domestiques D - Eviter le contact de l'herbe dans les prés E - Eviter les bains dans les eaux stagnantes Bonne(s) réponse(s) : A C. La gale est une parasitose strictement humaine à transmission interhumaine par contact.
Bonne(s) réponse(s) : C D Prophylaxie surtout importante dans les pays chauds. Désinfection de l'eau de boisson, consommation de légumes verts ou de fruits soigneusement lavés, propreté des mains. Il n'existe pas de chimioprophylaxie efficace et régulièrement utilisable. La contamination se fait sur le mode fécal-oral, soit direct au contact d'un malade, soit indirect par les eaux souillées.
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77 Question à compléments multiples.
78 Question à complément simple.
Quelle(s) mesure(s) prophylactique(s) sont généralement à envisager ? A - Traitement concomitant de tous les membres de la famille B - Maintien et isolement jusqu'à guérison dans le service de dermatologie C - Pulvérisations urbaines d'insecticides à effets rémanents D - Déclaration obligatoire E - Aspiration soigneuse des poussières sur le sol des maisons
A propos de l'agent pathogène responsable de la gale humaine sarcoptique : A - Sarcoptes scabiei adulte est un acarien d'une taille située entre 330 µ et 220 µ B - Sarcoptes scabiei hominis se développe dans l'épiderme chez l'homme une survie hors de l'être humain d'une semaine ou deux est possible C - Cette survie sur le sol ou dans la literie est à l'origine de la contamination indirecte qui est la forme de transmission la plus fréquente D - Le diagnostic est fait par la mise à nu des adultes à l'extrémité des sillons E - Cette recherche est facile et on isole presque toujours des adultes
Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D
77 Question à compléments multiples. La gale dont souffre ce patient : A - Est due à la présence de Sarcoptes scabiei hominis B - Sarcoptes scabiei hominis est très répandu dans la flore naturelle C - Est surtout transmise de manière indirecte D - Est transmise de manière directe, le contact est habituellement assez intime E - Est une maladie cosmopolite Bonne(s) réponse(s) : A D E A. La gale humaine est due à un acarien : Sarcoptes scabiei hominis. Transmission interhumaine uniquement, par contact cutané direct prolongé avec une personne infestée. Le parasite a un cycle humain complet : la femelle fertilisée sur la surface cutanée vit dans la couche cornée de l'épiderme où elle creuse un tunnel et y dépose ses oeufs. Les larves sont matures en 10 jours et migrent à la surface de la peau. D. Elle se transmet par contact direct surtout la nuit (essentiellement au lit), le contact indirect par le prêt de vêtements est plus rare. Le parasite ne survit que quelques jours en dehors de son hôte. E - Affection cosmopolite, qui touche plutôt les couches sociales défavorisées. Monsieur X, né le 28/12/61, vient vous voir en consultation pour des problèmes cutanés apparus depuis un mois. A l'interrogatoire, on apprend qu'il n'existe pas d'antécédents particuliers et que le patient vient de faire un voyage en Afrique d'octobre 1984 à avril 85. Parmi les pays traversés, on note des pays d'Afrique noire (Mali, Niger, Haute-Volta, Togo, Bénin, Côte-d'Ivoire, etc...). Le retour s'est effectué à travers l'Afrique du nord (Algérie, Tunisie, Maroc) puis l'Espagne. Les conditions d'hygiène ont été parfois difficiles (dortoirs communs, long voyage en bus). Depuis un mois, alors qu'il était au Togo, le patient a découvert des lésions cutanées au niveau des poignets, des doigts et des bords antérieurs des creux axillaires. Ces lésions sont de petits sillons blanchâtres, en zigzag de 1 à 2 cm, au bord desquels se trouve une vésicule perlée. Il existe de nombreuses lésions de grattage. Le reste de l'examen est normal. En reprenant l'interrogatoire, le patient dit avoir voyagé (10 jours avant) avec des gens ayant les mêmes lésions mais de manière plus étendue.
A. Les mâles mesurent environ 220 microns, les femelles 330 microns. B. Les femelles fécondées ne survivent en dehors des tég
79 Question à compléments multiples. Dans la gale : A - Le prurit est un signe capital B - Le prurit est surtout intense au moment du coucher C - La lésion initiale est le tunnel ou sillon qui traverse obliquement la couche de Malpighi D - La période d'incubation est en général de 8 à 15 jours E - Le prurit est responsable de lésions de grattage qui, parfois, masquent les lésions caractéristiques Bonne(s) réponse(s) : A B D E A.B. Le prurit est le signe capital de la gale. Il faut systématiquement évoquer le diagnostic devant un prurit à prédominance vespéronocturne et respectant la tête. La notion de prurit familial ou collectif est très évocateur de la gale. C. La femelle fécondée creuse le tunnel dans la couche cornée de l'épiderme et non dans la couche de Malpighi. D. Classiquement huit à quinze jours, parfois très variable. E. Savoir penser à la gale devant de nombreuses lésions de grattage avec ou sans surinfection. La topographie antérieure et symétrique de ces lésions est évocatrice.
80 Question à compléments multiples. Dans la gale : A - La période d'incubation est très raccourcie lors d'une réinfestation B - La période d'incubation est la période pendant laquelle le sujet se sensibilise aux sarcoptes C - Le prurit est dû aux phénomènes de sensibilisation D - L'affection est, en général, accompagnée d'une éosinophilie importante E - La gale est une affection qui disparaît avec le temps en l'absence de traitement Bonne(s) réponse(s) : A B C C. Les lésions de scabiose sont faites de lésions spécifiques (sillon et vésicule, nodules scabieux) peu nombreuses car en fait, l'hôte n'héberge qu'une dizaine d'acariens adultes, mais elles sont faites aussi de manifestations de sensibilisation allergique au parasite telle que le prurit. E. Il n'existe pas d'évolution spontanée vers la guérison. Une symptomatologie fruste réduite à un prurit persistant doit faire évoquer le diagnostic, et faire un traitement d'épreuve.
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81 Question à compléments multiples.
64 Question à compléments multiples.
Dans la gale du nourrisson : A - Les localisations sont fréquentes au niveau des doigts B - Dans les toutes premières semaines, I'atteinte caractéristique est le dos de la main C - Dans les toutes premières semaines, I'atteinte caractéristique est la plante des pieds D - Plus tard sont atteints les régions axillaires et l'ombilic E - La région du tendon d'Achille est parfois atteinte
Quel champignon est vraisemblablement responsable de ces symptômes ? A - Candida albicans B - Toxocara cati C - Epidermophyton floccosum D - Trichophyton schoenleini E - Microsporum canis
Bonne(s) réponse(s) : C D E A. Les localisations sont différentes, en particulier ne touchent pas les doigts. C. La localisation caractéristique des premières semaines est l'atteinte de la plante des pieds. Elle est particulière au nourrisson.
82 Question à compléments multiples. Dans le traitement de la gale : A - On peut utiliser l'Ascabiol® (benzoate de benzyle) en comprimés 100 mg (2 comprimés en une fois) B - L'Ascabiol® est en général appliqué par badigeonnage, tête comprise C - Le badigeonnage de I'Ascabiol® se fait au pinceau 1 ou 2 fois de suite à 15 mn d'intervalle chez l D- L'emploi de l'Ascabiol® ne pose aucun problème chez le nourrisson, la dilution est en effet inutile E - Les couvertures, les gants et les chaussures doivent être traités avec un insecticide et conservés dans une valise 48 h avant d'être utilisés. Bonne(s) réponse(s) : C E A. L'Ascabiol® est utilisé en solution à appliquer, après un bain avec savonnage, sur la peau séchée. B.C. Par badigeonnage au pinceau sur tout le corps en insistant sur les plis, les mains et les organes génitaux, en évitant le cuir chevelu et le visage ; deux fois de suite à quinze minutes d'intervalle. Au bout de 24 heures, lavage pour éliminer le produit. Certains font répéter l'opération. D. Le caractère irritant de ces produits acaricides sur les peaux fragiles peut entraîner des réactions allergiques avec prurit généralisé, parfois eczématisation. Chez l'enfant de moins de deux ans, il faut se limiter à une seule application d'une durée inférieure à deux heures.
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Bonne(s) réponse(s) : E A. Levure se reproduisant par bourgeonnement, parfois présente sous forme de filaments. Non kératophile. B. T.Cati parfois responsable d'une parasitose, larva migrans viscérale. C. Espèce anthropophile, parasites humains exclusifs, transmission interhumaine par contact direct ou indirect. D. Responsable de la teigne favique ou Favus, fréquent dans le pourtour méditerranéen. E. Microsporum canis transmis généralement par le chat est l'espèce la plus souvent isolée des espèces anthropozoophiles transmises à l'homme par le contact d'un animal contaminé. Responsable souvent en France de l'herpès circiné (lésions annulaires sur la joue) et de l'alopécie à grandes plaques squameuses (rétroauriculaires. Une petite fille de 11 ans se présente avec 5 lésions annulaires sur la joue droite et la face latérale du cou ainsi qu'une grande plaque alopécique rétroauriculaire droite. L'examen est par ailleurs normal. L'interrogatoire permet de retrouver dans l'entourage familial l'existence d'un chat qui présente de petites lésions dépilées au niveau du museau et des oreilles. Le diagnostic de dermatophytose d'origine féline est presque certain.
65 Question à compléments multiples. Pour confirmer le diagnostic, vous pouvez : A - Examiner la lésion du cuir chevelu en lumière de Wood B - Pratiquer un prélèvement au niveau des lésions cutanées à l'aide d'un écouvillon C - Prélever des cheveux encore longs en périphérie de la plaque alopécique D - Prélever des squames au niveau de cette même plaque E -Demander un sérodiagnostic Bonne(s) réponse(s) : A D A. Les teignes tondantes microsporiques entraînent des plaques alopéciques squameuses de grande taille (4 à 7 cm) peu nombreuses (1 à 4), hérissées de cheveux courts et fluorescentes en lumière de Wood. Les teignes tondantes trichophytiques diffèrent des précédentes par des plaques alopéciques beaucoup plus nombreuses, beaucoup plus petites, squameuses ; les cheveux sont cassés à ras du cuir chevelu. Il n'existe pas de fluorescence à la lumière de Wood. D. Le diagnostic mycologique de certitude repose soit sur l'examen direct qui recherche des filaments mycéliens mais ne permet pas l'identification du dermatophyte, (surtout intéressant pour le diagnostic et la surveillance des teignes sous traitement), soit sur la culture sur milieu de Sabouraud qui en 3 à 4 semaines permet l'identification du dermatophyte. Le prélèvement mycologique portera sur les squames, les débris d'ongles ou de cheveux.
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66 Question à compléments multiples.
68 Question à complément simple.
Quel(s) antifongique(s) pourriez-vous utilisez : A -Griséofulvine (Griséfuline®) per os. B - Griséofulvine en pommade C - 5-fluorocytosine (Ancotil®) per os. D - Miconazole en pommade (Daktarin®) E - Nystatine (Mycostatine®) en pommade
La dermatophytie présentée par Jean est : A - Un kérion B - Un eczéma marginé de Hebra C - Un herpès circiné D - Un onyxis E - Une teigne
Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : C
A. Le traitement des teignes tondantes sèches est mixte, par voie locale et par voie générale. Attention : la griséofulvine est le fongistatique spécifique des dermatophytes et n'a aucune action sur les Candida. Employée per os à la dose de 0,5 à 1 g par jour en deux prises quotidiennes au milieu des repas, de durée variable selon les localisations de l'atteinte dermatophytique. B.D. Dérivés de l'imidazole, il a l'avantage sur la griséofulvine pommade d'être à la fois actif sur les Candida et les dermatophytes. Le traitement mixte associe donc : miconazole en pommade (voie locale) pour son action décapante des croûtes, et griséofulvine en comprimés per os (voie générale). C.E. Traitements utilisés dans les candidoses.
A. Le kérion de Celse est une teigne suppurée qui réalise un macaron inflammatoire, surélevé, pustuleux et folliculaire dû à des champignons zoophiles : le plus souvent Trichophyton mentagrophytes. B. Dermatophytie de la peau glabre : intertrigo à localisation inguinale, parfois au niveau des aisselles ou des plis sousmammaires. C. Lésion la plus fréquente des épidermophyties de la peau glabre. Plaque arrondie, unique ou multiple, érythémato-squameuse ou érythémato-vésiculeuse, à bordure nette saillante vésiculeuse caractéristique dont l'extension est centrifuge avec typiquement une guérison centrale. D. Atteinte des ongles. Contrairement au candida, elle commence au bord distal et il n'existe pas de périonyxis. E. Atteinte du cuir chevelu : tondantes sèches, faviques ou suppurées.
67 Question à compléments multiples. Quelle est la durée de votre traitement ? A - 5 jours B - 1 semaine C - 2 semaines D - 1 mois E - Au moins 6 semaines Bonne(s) réponse(s) : E Les lésions de la peau glabre nécessite un traitement local pendant trois ou quatre semaines (intertrigo ou herpès circiné). Atteinte des ongles : meulage et traitement prolongé par voie générale pendant plusieurs mois. Teignes : traitement local et général d'au moins six semaines. Ne pas oublier : déclaration obligatoire, enquête épidémiologique, et éviction scolaire.
Une mère de famille vous amène en consultation ses deux fils à la fin de vacances passées à la campagne. L'aîné, Jean, 10 ans, présente sur la joue droite un médaillon à bordure nette et vésiculée, qui s'étend depuis plusieurs jours de façon centrifuge avec tendance à la guérison centrale. Le cadet, Pierre, 8 ans, présente, lui, une plaque alopéciante de la taille d'une pièce de 5 francs sur la région temporale droite. Vous retenez chez ses deux enfants, le diagnostic de dermatophytie. Le prélèvement mycologique que vous avez demandé dès cette première consultation confirme trois semaines plus tard votre diagnostic avec identification de Microsporum Canis sur les lésions présentées par ces deux frères.
69 Question à compléments multiples. En faveur d'une teigne chez Pierre vous retenez : A - Son âge B - L'existence de cheveux cassés courts sur la zone alopéciante par ailleurs squameuse C - L'existence de la lésion de la joue chez son frère D - Son sexe E - La localisation de la plaque alopéciante Bonne(s) réponse(s) : A B C A. Fréquence plus élevée chez les enfants en âge scolaire. B. Evocateur d'une teigne tondante sèche, plutôt microsporiques (cheveux cassés courts). C. Maladie très contagieuse, l'existence de lésions dermatophytiques dans l'entourage oriente le diagnostic.
70 Question à complément simple. La contamination de ces deux enfants s'est probablement effectuée à partir : A - De lésions d'un camarade de jeux B - D'un petit animal domestique C - Du lait consommé à !a ferme D - De la terre E - D'un bovin Bonne(s) réponse(s) : B Microsporum canis, espèce anthropozoophile la plus fréquente en France, transmise à l'homme par le contact d'un animal contaminé, le plus souvent un chat, parfois un chien ou un hamster.
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71 Question à compléments multiples.
6 Question à compléments multiples.
L'évolution de la teigne de Pierre pourrait être : A - La guérison sans alopécie séquellaire sous traitement B - La persistance d'une zone alopécique limitée définitive malgré le traitement correct à ce stade C - L'extension progressive des lésions avec, finalement, une alopécie totale et définitive, ne laissant persister que quelques cheveux frisotés D - Le risque de dissémination septicémique du germe avec localisation viscérale secondaire en l'absence de traitement E - La guérison spontanée à la puberté
Le prélèvement pour recherche mycologique : A - Est indispensable B - Doit être complété par un prélèvement endobuccal C - Doit être complété par un examen mycologique des selles D - Doit être fait par biopsie E - Est fragile et doit être examiné rapidement par le laboratoire
Bonne(s) réponse(s) : A E Les teignes tondantes, sèches, trichophytiques ou microsporiques sont exceptionnelles après la puberté, au moment où intervient une guérison spontanée. Le traitement des teignes doit être mixte, par voie locale et générale et prolongé au moins six semaines. Après éradication du champignon, la guérison se fait sans alopécie séquellaire, sauf dans le cas de favus qui peut laisser une alopécie définitive cicatricielle.
72 Question à compléments multiples. Quelle attitude thérapeutique adoptez-vous pour Jean ? A - Miconazole localement B - Mycostatine localement C - Kétoconazole per os D - Griséofuline per os E - Fungizone per os Bonne(s) réponse(s) : A D A.D. - Le traitement local par dérivés de l'imidazole ou griséofulvine peut suffire pour les dermatophyties superficielles, limitées, de la peau glabre. Dans la situation actuelle, le traitement mixte sera préféré chez Jean : griséofulvine en comprimés per os et miconazole en lotion et/ou pommade kératolytique pour la voie locale. Les dérivés de l'imidazole sont actifs par voie locale sur les dermatophytes et sur les Candida. B.E. La mycostatine et l'amphotéricine B sont des anticandidosiques. C. Nizora® est actif par voie orale sur les candida et les dermatophytes. Son hépatotoxicité le fait réserver aux mycoses graves, profondes, ou résistantes aux autres traitements antifongiques.
73 Question à compléments multiples. Quelle attitude thérapeutique adoptez-vous pour Pierre ? A - Miconazole local B - Mycostatine locale C - Radiothérapie superficielle D - Grisofulvine per os E - Abstention Bonne(s) réponse(s) : A D Cf question précédente
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A. Le diagnostic de candidose est difficile en raison des multiples aspects pouvant être réalisés. La certitude mycologique repose sur la mise en évidence de candida : examen direct et surtout culture sur milieu de Sabouraud. B. Rechercher un autre foyer associé buccopharyngé : glossite, foyer rétrocommissural C. Rechercher une candidose digestive associée. D. La biopsie permet de différencier candidose aiguë et candidose chronique et dans les formes kératosiques d'éliminer les autres étiologies de kératoses : lichen, leucoplasie, lupus chronique. Madame B., 76 ans, consulte pour une fissure de la muqueuse labiale, au niveau de l'angle commissural droit et qui la fait souffrir. A l'examen, cette patiente, qui porte une prothèse dentaire mal adaptée, présente une fissure humide de l'angle commissural droit. Cette lésion est entourée d'un halo érythémato-squameux mal délimité. Une seconde lésion débute du côté gauche.
7 Question à compléments multiples. Un antifongigramme sera demandé afin de prescrire un traitement adapté. De plus, un bilan à la recherche d'autres facteurs favorisants ou concomitants comportera : A - La recherche d'une infection bactérienne buccale (streptococcique surtout) B - Un bilan pour la recherche d'une maladie d'Addison C - Une recherche immunologique de candidose D - La recherche d'une candidose vaginale E - Un bilan pour la recherche de diabète Bonne(s) réponse(s) : A E La mycose résulte du passage à la virulence de levures saprophytes de la cavité buccale du sujet sain, sous l'effet de facteurs favorisants : Conditions générales : âge (vieillard, prématuré), thérapeutiques (antibiothérapie, corticothérapie, immunosuppresseurs, contraceptifs oraux, psychotropes), états pathologiques (diabète, endocrinopathie, hémopathies, cancers), états physiologiques particuliers (grossesse). Conditions locales : xérostomie, mauvais état dentaire, intoxication alcoolo-tabagique, infection buccale. Item D. Rare chez la femme ménopausée. Ne sera recherchée qu'en présence de symptômes cliniques.
8 Question à compléments multiples. Dans le cas d'une affection candidosique le traitement à effectuer : A - Peut être local à base de dérivés imidazolés B - Doit être accompagné d'un traitement par voie buccale pour traiter un foyer digestif C - Doit durer 3 mois au moins D - Sera efficace si l'antifongique choisi est actif in vitro E - Sera accompagné d'un curetage local Bonne(s) réponse(s) : A B D
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A. Le traitement local des lésions est le plus souvent suffisant : par voie externe, les dérivés imidazolés (Pévaryl®, Daktarin®) ou 427Nystatine® (mycostatine) ou Amphotéricine B (Fungizone®). By NADJI 85
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9 Question à compléments multiples.
72 Question à compléments multiples.
Une consultation chez le dentiste : A - Est nécessaire pour réadapter la prothèse B - Doit être envisagée avant tout traitement C - Doit être suivie d'une consultation dermatologique D - Doit être complétée par un bilan diététique E - Doit permettre de vérifier l'absence d'un foyer infectieux buccal
Outre le chloramphénicol qui reste le traitement classique, on peut utiliser dans le traitement de la fièvre typhoïde : A - La pénicilline B - L'ampicilline (Totapen®) C - L'érythromycine (Erythrocine®) D - La colistine (Colimycine®) E - Le Cotrimoxazole (Bactrim®)
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : B E A. Les prothèses dentaires mal adaptées ou les appareils dentaires de l'enfant sont souvent des facteurs favorisants locaux de la genèse de stomatites mycosiques. Ces causes locales seront recherchées systématiquement et traitées afin de permettre le traitement correct de la candidose et l'absence de récidives. B. Cette consultation sera envisagée dans le même temps que le traitement proposé afin d'augmenter les chances de réussite de celui-ci. E. Discutable, car ce n'est pas le travail du dentiste. Toutefois, cette consultation permet effectivement de vérifier l'absence d'un foyer infectieux évolutif au niveau buccopharyngé.
71 Question à compléments multiples.
Les quatre médicaments classiquement employés sont : le chloramphénicol, le thiamphénicol, l'ampicilline, le Bactrim®. La voie orale est recommandée car ces médicaments ont une bonne concentration au niveau des ganglions mésentériques, qui constituent le foyer tissulaire de multiplication microbienne. De ces foyers mésentériques, quelques bactéries peuvent gagner le sang par le canal thoracique et donner une septicémie. Le plus souvent, les bactéries restent dans les ganglions où leur lyse libère de grandes quantités d'endotoxine dans le sang avec possibilité de choc endotoxinique. Le traitement est poursuivi 10 à 15 jours après apyrexie.
73 Question à complément simple.
Salmonella typhi : A - S'appelle encore "bacille d'Eberth" B - Est Gram positif C - Fait partie des entérobactériaceae D - Possède toujours des antigènes somatiques de type O E - Peut posséder des antigènes Vi
Le sérodiagnostic de Widal et Félix est une réaction : A - De fixation du complément B - D'agglutination conditionnée (indirecte) C - De précipitation D - D'immunofluorescence E - D'agglutination directe
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Bonne(s) réponse(s) : E
Famille des entérobactéries donc bacille à Gram négatif aérobieanaérobie facultatif. Mobile grâce à une ciliature péritriche, non flagellée. L'endotoxine (ou L.P.S.) correspond à l'antigène somatique O, comme chez toutes les entérobactéries. C'est un antigène de paroi, contrairement à l'antigène Vi qui appartient aux antigènes d'enveloppe ou externes. L'antigène Vi peut masquer l'antigène O d'où inagglutination de la souche. Il existe une seule spécificité Vi. De rares sérotypes de Salmonella typhi, paratyphi C, et dublin le possèdent mais non obligatoirement.
Sans commentaire.
Monsieur E. D., âgé de 21 ans, libanais vivant en France depuis un an, est hospitalisé pour fièvre s'étant élevée progressivement jusqu'à 40°C. En outre, il souffre de céphalées intenses, de douleurs dans l'hypochondre droit, de nausées. Il est constipé. Les symptômes sont apparus 15 jours après le retour du patient de vacances passées au Liban. A l'examen, on note une angine érythémateuse, avec ulcérations des piliers antérieurs du voile du palais, l'abdomen est souple ; il n'y a pas d'hépatosplénomégalie ni d'adénopathies. La numération formule sanguine montre 4,6.109 leucocytes/litre avec 76 % de polynucléaires. Six hémocultures sont pratiquées sur 48 heures d'hospitalisation. Les 6 flacons donnent une culture positive en 24 à 48 heures, l'identification montre qu'il s'agit de Salmonella typhi. Le malade est traité par du chloramphénicol. La fièvre disparaît en 4 jours ; les signes cliniques rétrocèdent rapidement. Un sérodiagnostic de Widal et Félix est pratiqué au douzième jour de la maladie et donne les résultats suivants : TO = 1/400, TH = 1/800, AO = 0, AH = 0, BO = 1/200, BH = 0. Le malade sort de l'hôpital quand les coprocultures de contrôle se sont révélées négatives.
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74 Question à compléments multiples. Le séro-diagnostic de Widal et Félix distingue les anticorps dirigés d'une part contre les antigènes O, d'autre part, contre les antigènes H : A - Les anticorps anti-O sont de nature gammaglobulinique B - Les anticorps anti-H sont de nature alphaglobulinique C - Les antigènes H sont de nature protéique D - Les antigènes O sont liés au corps bactérien E - Les antigènes H constituent l'endotoxine Bonne(s) réponse(s) : A C D A.B. Les anticorps produits par l'organisme contre les antigènes O et H sont de nature gammaglobulinique. C. Antigène protéique due à la constitution de l'antigène flagellaire H faite de polymères de flagelline. D. Antigène O somatique, appartenant à la paroi donc lié au corps bactérien.
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75 Question à compléments multiples.
27 Question à complément simple.
La coproculture consiste à rechercher la présence de bactéries entéropathogènes dans les selles. Outre les Salmonella, elle peut révéler la présence de : A - Shigella B - Campylobacter C - Pneumocoque D - Rotavirus E - Yersinia enterocolitica
La dénomination très classique d'un intertrigo dermatophytique inguinal est : A - Eczéma numulaire B - Dermatite atopique C - Eczéma marginé D - Eczématide E - Dermite séborrhéique Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A B E La coproculture ne retrouve ni les virus digestifs (comme les rotavirus ou les entérovirus), ni les parasites digestifs, ni les bactéries anaérobies strictes. Elle permet l'isolement de germes pathogènes en 3 à 4 jours. Shigella, Campylobacter, Yersinia enterolitica sont des germes entéropathogènes, appartenant normalement à la flore digestive mais susceptible de pullulation.
76 Question à compléments multiples. Sur le plan physiopathologique et épidémiologique : A - Il n'existe pas de réservoir animal de Salmonella typhi B - La contamination est digestive C - Les bactéries traversent la muqueuse intestinale D - Les bactéries peuvent se lyser en libérant l'endotoxine E - Les porteurs sains ne jouent aucun rôle dans la dissémination de la maladie Bonne(s) réponse(s) : A B C D A.E. Salmonelloses strictement humaines : S. typhi, paratyphi A, sendaï, responsables de syndromes typhoïdiens plus ou moins accompagnés de septicémie. Le réservoir est représenté par les sujets malades, les convalescents et les porteurs sains. B. La transmission est fécale-orale : directe (mains sales) ou indirecte après consommation d'eau ou d'aliments souillés. C. Elles traversent la muqueuse intestinale sans la détruire, envahissent la sous-muqueuse, les plaques de Peyer et les ganglions mésentériques. D. Responsables, parfois lors de la mise en route brutale du traitement des chocs endotoxiniques rencontrés classiquement chez les bactéries bacilles Gram négatif.
A. Plaques arrondies, légèrement surélevées, couvertes de vésicules et de papulo-vésicules, souvent squameuses au centre, d'étiologie inconnue. L'eczéma de contact et la dermatite atopique peuvent prendre cet aspect. B. Synonyme : eczéma atopique ou constitutionnel. Manifestation cutanée de l'atopie, souvent familiale, de constitution héréditaire. C. Les dermatophyties des grands plis réalisent l'eczéma marginé de Hebra. D. L'eczématide est une affection voisine de l'eczéma mais s'en distingue par l'absence de vésicules. E. Dermite séborrhéique : lésions rouges jaunâtres, à squames grasses, dans les zones où prédominent la séborrhée, chez les adultes surtout de sexe masculin. Le cuir chevelu est la zone d'élection. Un homme de 42 ans vient consulter en juillet pour des lésions en plaques des zones inguinales, très prurigineuses. L'interrogatoire apprend qu'un prurit modéré intermittent, et une plaque érythémateuse étaient apparus l'été précédent. Quelques applications d'un corticoïde local avaient calmé ces manifestations. Celles-ci ont réapparu lors des fortes chaleurs. A l'examen on note deux plaques schématiquement symétriques situées sur les faces antérieures et latérales des cuisses, juste au dessous du pli inguinal. Elles sont érythémateuses, finement squameuses sur certaines parties. Le bord est légèrement en relief, plus inflammatoire parsemé de quelques vésicules ou de petites croutes. Un examen mycologique révèle la présence d'un dermatophyte.
28 Question à complément simple. Les causes les plus habituelles d'intertrigo inguinal sont les suivantes sauf une. Laquelle ? A - Un psoriasis B - Une candidose C - Une syphilis secondaire D - Un érythrasma E - Une trichophytie Bonne(s) réponse(s) : C L'intertrigo est une inflammation d'un pli. Affection fréquente favorisée par un frottement excessif s'accompagnant rapidement d'une surinfection liée en particulier à la macération. Tous les plis peuvent être le siège d'un intertrigo : les grands plis (axillaires, inguinaux, interfessiers, sous-mammaires), les petits plis (interdigitaux, rétro-auriculaires, ombilic), les plis à proximité d'une muqueuse (périlabiaux, nasogéniens, anaux ou génitaux). Le diagnostic étiologique des intertrigos est dominé par les infections mycosiques ou bactériennes. Mais d'autres dermatoses peuvent réaliser des intertrigos : psoriasis, dermite séborrhéique, eczéma de contact, dermatite atopique, pemphigus bénin familial de Hailey. C. La syphilis secondaire peut réaliser un intertrigo mais seulement au niveau des commissures labiales, appelé perlèche.
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29 Question à compléments multiples.
40 Question à compléments multiples.
Le diagnostic d'infection à dermatophyte peut être fait : A - En quelques minutes à l'examen direct B - Après 2 ou 3 jours de cultures sur milieu NNN C - Après 4 à 5 jours de culture sur milieu de Sabouraud D - Après 5 à 10 jours sur culture sur gélose au sang E - Après 15 à 21 jours de culture sur milieu de Sabouraud
Dans l'histoire clinique de cette patiente, quel(s) élément(s) est(sont) facteur(s) favorisant(s) de son intertrigo ? A - Diabète B - Excès pondéral C - Antécédent de bronchopathie D - Antécédent de phlébite E - Antécédent de pleurésie tuberculeuse
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : A B
A. Le diagnostic mycologique repose sur : - l'examen direct (en quelques minutes) après éclaircissement des squames à la potasse ou au lactophénol, qui recherche des filaments mycéliens mais ne permet pas l'identification du dermatophyte - et surtout sur les cultures (milieu de Sabouraud), longues, 2 à 4 semaines, qui permet l'identification spécifique du dermatophyte. L'actindione (Cycloheximide®) ajouté aux cultures est destiné à inhiber la pousse de la plupart des champignons contaminant notamment le candida.
Les facteurs favorisants sont responsables du passage de l'état saprophyte de Candida albicans à l'état pathogène. Les facteurs locaux : macération, humidité, contact avec un milieu riche en sucre, mauvaise hygiène. Les facteurs généraux : physiologiques (grossesse, nouveau-né) pathologiques (immunodépression, endocrinopathies telles que diabète, cushing, hypo ou hyperthyroïdie) et iatrogènes (antibiotiques, antiparasitaires, corticothérapie, immunosuppresseurs, oestrogènes oraux).
30 Question à complément simple. Chez ce patient on peut utiliser comme traitement : A - L'érythromycine per os B - La griséofulvine per os C - Le Bactrim® per os D - La nystatine (Mycostatine®) per os E - La doxycycline (Vibramycine®) per os Bonne(s) réponse(s) : B 2 solutions possibles : aucune réponse ou B. Les lésions de la peau glabre nécessitent seulement un traitement local (dérivés imidazolés : Pévaryl® ou Daktarin®) à poursuivre pendant trois ou quatre semaines. La Griséofuline® est spécifique des dermatophytes, inactive sur les candida. Elle est employée par certains, par voie orale, en association toujours avec le traitement local, dans le traitement des dermatophyties de la peau glabre.
31 Question à complément simple. On doit y associer un traitement local, qui peut être : A - Amphotéricine B (Fungizone®) B - Nystatine (Mycostatine®) C - Imidazolés D - Hexamidine (Hexomédine®) solution E - Solution alcoolique d'éosine à 2 % Bonne(s) réponse(s) : C Non commenté : Cf Question précédente
Une femme de 60 ans est hospitalisée pour bilan d'un diabète récemment découvert. L'interrogatoire retrouve comme antécédents pathologiques : une phlébite puerpérale à l'âge de 25 ans, une pleurésie tuberculeuse à l'âge de 32 ans. Trois mois avant l'hospitalisation actuelle, la patiente a eu une bronchite aiguë, traitée par tétracycline. Après 15 jours de traitement est survenue une diarrhée aiguë, qui a duré 4 jours et a guéri après traitement symptomatique et arrêt des antibiotiques. A cette occasion, on pratique entre autres examens une glycémie à jeun, qui est à 8 mmol/l (taux retrouvé à trois reprises). Il existe une glycosurie à 15 mmol/24 h. L'examen montre une femme en bon état général, pesant 82 kg pour 1,64 m. L'attention est attirée par des lésions cutanées, localisées dans la région périnéale (pli inter-fessier, plis inguinaux) et sous les seins. Ces lésions présentes depuis quelques semaines, sont modérément prurigineuses. Il s'agit de plaques érythémateuses luisantes, prédominant au fond des plis à partir desquels elles s'étendent de façon progressive. De nombreuses petites pustules blanchâtres sont visibles sur ces plaques, notamment à leur périphérie. Un prélèvement mycologique et bactériologique cutané au niveau d'un pli sous-mammaire montre la présence de nombreux staphylocoques dorés, des corynébactéries et de nombreux Candida albicans.
41 Question à compléments multiples. Parmi les interprétations suivantes de l'examen mycobactériologique, vous retenez : A - Tous ces germes sont des saprophytes de la peau B - Il peut s'agir d'un intertrigo à dermatophyte C - Il peut s'agir d'un intertrigo à Candida D - Il peut s'agir d'un intertrigo microbien E - Il peut s'agir d'un psoriasis surinfecté Bonne(s) réponse(s) : C D E Les trois germes retrouvés à l'examen bactériologique sont toujours pathogènes lorsqu'ils sont retrouvés sur la peau. La présence cutanée de candida albicans est toujours pathogène, mais d'autres candida peuvent être saprophytes : leur valeur pathogène est discutée en fonction du nombre. C.D.E. Le tableau clinique est évocateur d'un intertrigo à candida, mais il peut s'agir d'une dermatose surinfectée (ex : psoriasis), ou d'un intertrigo microbien : soit à staphylocoque doré souvent associé ou compliquant l'infection staphylococcique, soit à corynebacterium minutissimum (érythrasma).
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42 Question à compléments multiples.
45 Question à compléments multiples.
Parmi les caractères cliniques de cet intertrigo, le(s)quel(s) est(sont) en faveur d'une étiologie candidosique ? A - Localisation péri-anale et sous-mammaire B - Prurit modéré C - Présence de pustules D - Caractères érythémateux E - Ancienneté
Dans ces conditions il est logique de : A - Renouveler la sérologie 8 jours plus tard B - Attendre trois semaines pour renouveler la sérologie C - Traiter par Rovamycine® 3g/j pendant toute la grossesse D - Proposer l'interruption de grossesse E - Suivre la grossesse à intervalles rapprochés sans traitement
Bonne(s) réponse(s) : A C
Bonne(s) réponse(s) : B C
La lésion élémentaire de l'intertrigo candidosique des grands plis est une vésiculo-pustule. Les lésions partent du fond du pli, fissuré, parfois recouvertes d'un enduit blanchâtre, pour atteindre symétriquement les deux berges du pli sous forme d'une nappe érythémateuse lisse : rouge foncé vernisseuse. En périphérie, existe une collerette épidermique décollée, et de petites pustules superficielles qui peuvent essaimer sur la peau saine. L'atteinte est souvent bilatérale mais asymétrique et très prurigineuse.
Le taux positif d'IgG au dye-test associé à un taux faiblement positif d'IgM est en faveur d'une infection récente probable qu'il faudra confirmer par un examen simultané sérologique (IgG et IgM) de deux prélèvements. Le deuxième prélèvement sera fait à trois semaines d'intervalle du premier, dans le même laboratoire. Si le taux d'IgM est élevé, l'infection était très récente. Si le taux d'IgM a diminué, l'infection a eu lieu 3 à 4 mois auparavant, avant le début de la grossesse. En effet, les IgM atteignent leur maximum à la 3e ou 4e semaine de l'infection et disparaissent vers le 4e mois. Le risque est alors faible. De toute façon, devant toute suspicion d'infection toxoplasmique récente en cours de grossesse, mise immédiate sous Rovamycine® (3 grammes par jour, sans effet foetotoxique) jusqu'à la fin de la grossesse, avec une efficacité de 80 % environ.
43 Question à compléments multiples. Parmi les affections suivantes, laquelle ou lesquelles sont des causes d'intertrigos ? A - Candidose B - Dermatophytie C - Psoriasis D - Erythrasma E - Dermatite herpétiforme Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les étiologies des intertrigos sont dominées par les infections mycosiques (candida, dermatophytes) et bactériennes (staphylocoque, streptocoque, bacilles Gram négatif, treponema pallidum, Corynebacterium minutissimum agent de l'érythrasma). D'autres dermatoses peuvent prendre dans les plis des aspects trompeurs : psoriasis, dermite séborrhéique, eczéma de contact, dermatite atopique, pemphigus bénin familial de Hailey.
44 Question à compléments multiples. Parmi les médicaments suivants, lequel ou lesquels sont actifs sur le Candida albicans ? A - Nystatine B - Griséofulvine C - Miconazole D - 5 fluoro-cytosine E - Kétoconazole Bonne(s) réponse(s) : A C D E Griséofuline® spécifique des lésions dues à des dermatophytes. 5 Fluoro-cytosine (Ancotil®) existe sous forme injectable et orale. Kétoconazole (Nizoral®) récemment commercialisé est actif per os sur candida, dermatophytes et Pityrosporum orbiculare.
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Madame B., lors de son examen prénuptial, présentait une sérologie négative pour la toxoplasmose. Trois mois plus tard, présentant une aménorrhée de 6 semaines, sa sérologie toxoplasmique est positive à 200 UI en Dye test, avec IgM positives à 50 UI. On ne retrouve aucun signe clinique récent d'infection.
46 Question à complément simple. Parmi les affirmations suivantes, laquelle vous paraît exacte ? A - Le risque encouru est autant maternel que foetal B - Le risque malformatif est supérieur à 20 % C - Il n'y a aucun moyen de dépister les risques malformatifs au cours de la grossesse D - L'amniocentèse à 17 semaines est indispensable E - Une échographie mensuelle doit être proposée Bonne(s) réponse(s) : E Le risque majeur est la toxoplasmose congénitale, l'infection est bénigne chez la mère. Le risque foetal est pratiquement nul si la contamination a lieu dans les 2 premiers mois de grossesse ; du 3e au 5e mois le risque d'atteinte foetale est de 35 % avec atteintes embryofoetopathiques graves ; au dernier trimestre le risque est de 65 % mais avec fréquence des formes pauci-symptomatiques. Le diagnostic d'atteinte foetale peut être évoqué grâce à une surveillance échographique mensuelle qui recherche les anomalies embryofoetologiques. Récemment, un diagnostic anténatal par prélèvement de sang foetal au cordon avec cultures peut être effectué dans certains centres spécialisés.
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47 Question à compléments multiples.
54 Question à compléments multiples.
L'enfant à la naissance apparaissant normal sur le plan clinique, parmi les 5 examens suivants, il est utile de prescrire : A - Etude sérologique comparée du sang maternel et du sang foetal B - Scanner cérébral C - Echocardiographie D - Fond d'oeil E - Inoculation du placenta à la souris
Quel(s) autre(s) signes(s) d'examen pouvez-vous retrouver ? A - Desquamation fine B - Squames essentiellement périphériques C - Présence de vésicules D - Disparition de la pilosité E - Association à un pied d'athlète ou à un herpès circiné Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : A D E L'examen sérologique du nouveau-né et de la mère recherche en particulier un taux d'IgM élevé dans le sang du nouveau-né qui affirme la toxoplasmose congénitale. Le diagnostic parasitologique direct permet, par la découverte de toxoplasmose à l'examen anatomo-pathologique de coupes de palcenta ou l'isolement des parasites par inoculation de placenta à des souris, d'affirmer l'infection. De façon systématique, en cas de suspicion de toxoplasmose congénitale inapparente chez un nouveau né cliniquement normal, on prescrit un examen radiologique qui recherche les bandes claires métaphysaires au niveau du squelette, et des calcifications intracrâniennes sur les radios de crâne, un examen ophtalmologique avec fond d'oeil pour rechercher une choriorétinite, et un bilan biologique hépatique à la recherche d'un ictère biologique. L'échocardiographie serait prescrite en cas de rubéole congénitale pour rechercher la persistance du canal artériel.
48 Question à compléments multiples. Une éventuelle atteinte foetale aurait pu se traduire par : A - Hydrocéphalie B - Spina bifida C - Communication interauriculaire D - Choriorétinite E - Ascite Bonne(s) réponse(s) : A D E Les risques pour l'enfant, maximum au 3e et 4e mois de grossesse sont : - la mort foetale, et la mort du nouveau-né - les lésions du système nerveux central notamment hydrocéphalie ou microcéphalie, calcifications intracrâniennes, encéphalomyélite, crises convulsives et retard psychomoteur - les lésions oculaires avec microphtalmie, et choriorétinite pigmentaire qui parfois se révèle des mois ou des années plus tard - les lésions viscérales avec ictère, hépatosplénomégalie, ascite, des lésions cutanées (purpura, thrombopénique), une atteinte pulmonaire ou ganglionnaire.
A.B.C. Habituellement, au niveau du pli inguinal. Le placard prurigineux, parti du fond du pli, comparable à un herpès circiné à son début, uni ou bilatéral, va s'étendre progressivement sur l'une ou les deux berges par une bordure saillante vésiculo-squameuse polycyclique, à limites nettes, plus ou moins surélevée. D. Les teignes faviques à Trichophyton schonleinii et les teignes suppurées (kérion) entraînent une disparition de la pilosité. E. L'herpès circiné est parfois associé et réalise une plaque érythémato-squameuse, prurigineuse à bordure nette saillante et vésiculeuse caractéristique, dont l'extension est centrifuge et polycyclique avec typiquement une guérison centrale. Le pied d'athlète est un intertrigo des espaces interdigito-plantaires associé à des vésicules ou des pustules de la voûte plantaire ou des bords des pieds. Monsieur X. 15 ans, consulte pour une lésion bilatérale prurigineuse inguinocrurale. A l'examen vous observez un placard brun clair à bordure polycyclique, à limites nettes, sans aspect inflammatoire, s'étendant jusqu'au scrotum et à la face supéro-interne des cuisses. Vous évoquez un eczéma marginé de Hebra.
55 Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) le(s) ou les agent(s) responsable(s) de cet intertrigo ? A - Epidermophyton floccosum B - Trichophyton rubrum C - Microsporum canis D - Trichophyton schoenleini E - Trichophyton interdigitale Bonne(s) réponse(s) : A B A.B. Les agents responsables sont des dermatophytes anthropophiles : Epidermophyton fioccosum, Trichophyton rubrum, plus rarement Trichophyton mentagrophytes. C. Microsporum canis est le principal agent rencontré dans l'herpès circiné. D. Strictement anthropophile, responsable de la teigne favique ou favus, surtout dans le pourtour méditerranéen. E - Responsable des intertrigos interdigito-plantaires.
56 Question à compléments multiples. Comment confirmer ce diagnostic ? A - Prélèvement de squames B - Examen en lumière de Wood C - Culture sur milieu de Sabouraud D - Recherche des anticorps spécifiques E - Recherche d'une hypersensibilité cutanée immédiate Bonne(s) réponse(s) : A C A. L'examen direct des squames après éclaircissement à la potasse ou au lactophénol recherche des filaments mycéliens, mais ne permet pas l'identification du dermatophyte. B. Utile que dans les dermatophyties des régions pileuses, notamment les teignes. C. Culture sur milieu de Sabouraud, parfois lente, de 10 à 30 jours, permet l'identification du dermatophyte.
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57 Question à compléments multiples.
60 Question à compléments multiples.
Quel(s) autre(s) étiologie(s) d'intertrigo connaissez-vous ? A - Candidose à Candida albicans B - Bactériose a Corynebacterium minutissimum C - Dermatite séborrhéique D - Psoriasis E - Pemphiqus bénin
Quel(s) traitement(s) adoptez-vous ? A - Mycostatine® (nystatine) 12 dragées/jour en 3 prises pendant 21 jours B - Griséofulvine (griséofulvine) 10 mg/kg/j pendant 1 semaine C - Selsun® (sulfure de selonium) 3 applications par semaine pendant 3 semaines D - Pévaryl® (éconazole) lotion 2 applications par jour pendant 4 semaines E - Eviction du chat familial
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A. Surtout d'origine mycosique : à levures (candida) ou à dermatophytes. B. Mais il existe aussi des étiologies bactériennes : streptocoques, staphylocoques, bacilles Gram négatif. Corynébactérium minutissimum est responsable de l'érythrasma qui est l'intertrigo bactérien le plus fréquent et réalise une éruption chamois squameuse sans bordure vésiculeuse, d'évolution prolongée, non prurigineuse. C.D.E. D'autres dermatoses peuvent prendre dans les plis des aspects trompeurs : psoriasis, dermite séborrhéique, eczémas de contact, dermatite atopique, pemphigus benin familial de Hailey.
58 Question à compléments multiples. Vous récusez le diagnostic d'intertrigo candidosique devant : A - Bordure polycyclique à limite nette B - Absence d'aspect inflammatoire C - Extension importante D - Prurit E - Bilatéralité des lésions Bonne(s) réponse(s) : A B A.B. L'intertrigo candidosique réalise : une fissure blanchâtre, douloureuse, au fond du pli, au sein d'un érythème rouge vernissé, inflammatoire avec sensation de brûlure. En périphérie, existe une collerette épidermique décollée, pustulo-vésiculeuse, mal limitée et non polycyclique. C.D.E. Sont communs aux deux intertrigos candidosique et dermatophytique.
59 Question à compléments multiples. Cet eczéma marginé de Hebra : A - S'observe surtout chez l'homme jeune B - S'observe surtout chez l'obèse C - Ne se voit pas chez l'enfant D - Le dermatophyte responsable est ubiquitaire et zoophile E - Apparaît surtout en cas d'hygiène défectueuse Bonne(s) réponse(s) : A B C E A. Chez l'adulte jeune, plus souvent l'homme que la femme. B. Chez les obèses, et notamment au niveau des plis sousmammaires de la femme. D. Espèces anthropophiles, parasites humains exclusifs. E. Facteurs favorisants locaux : macération, frottement, humidité peuvent être dus à une hygiène défectueuse.
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Bonne(s) réponse(s) : D A. Antifongique spécifique des candidoses. B. Antifongique spécifique des dermatophytes, utilisé surtout dans le traitement par voie générale des teignes et des onyxis à dermatophytes. D. Pour les lésions de la peau glabre, seul est nécessaire un traitement local à poursuivre pendant trois ou quatre semaines par les dérivés de l'imidazole (Pévaryl®, Daktarin®). On évitera les pommades et les crèmes pour ne pas augmenter la macération locale et on utilisera ces préparations sous forme de lotions, lait, poudre ou spray.
68 Question à compléments multiples. La contamination de ce sujet peut être secondaire à : A - Un contact indirect B - Un rapport sexuel C - Une origine alimentaire D - Un contact avec un chien E - Une injection intraveineuse Bonne(s) réponse(s) : A B La maladie est transmise par contact interhumain direct. Du fait de la brève survie de l'acarien en dehors de l'hôte humain, la transmission nécessite des contacts intimes, prolongés, réalisés lors de rapports sexuels ou lors du partage du même lit. La contamination indirecte par la literie ou les vêtements est souvent alléguée mais reste une éventualité rare. Un jeune homme homosexuel, héroïnomane présente depuis 2 mois un prurit à recrudescence nocturne. Son affection a été initialement étiquetée allergie et traitée par corticothérapie générale sans résultats, puis par application locale d'antiseptiques. Les lésions qui se distribuent sur les mains, les aisselles, I'abdomen, les fesses, les organes génitaux externes et les racines des cuisses sont de plusieurs types : excoriations, lésions suintantes purulentes, lésions en placards érythémato-vésiculeux, squames. Le dos, la face et le cuir chevelu sont respectés. L'examen met en évidence une micropolyadénopathie diffuse. Dans l'entourage du patient plusieurs individus présentent une dermatose purigineuse. Un bilan biologique met en évidence une hématurie microscopique et une protéinurie. La recherche d'antigène HBs est positive ainsi que le TPHA. Le bilan biologique met en évidence un déficit de l'immunité cellulaire. Vous portez le diagnostic de gale sarcoptique.
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69 Question à compléments multiples.
72 Question à compléments multiples.
Quelle(s) est(sont) la(les) complications(s) que ce patient semble présenter ? A - Glomérulonéphrite post-infectieuse B - Eczématisation C - Impétiginisation D - Urticaire E - Immunodépression induite par le sarcopte
Comment allez-vous conduire votre traitement ? A - Bain unique de benzoate de benzyle (Ascabiol®) B - Deux badigeons d'Ascabiol® à 24 h d'intervalle C - Badigeons d'Ascabiol® tous les jours pendant 18 jours D - Corticothérapie générale E - Antibiothérapie générale
Bonne(s) réponse(s) : A B C
Bonne(s) réponse(s) : B E
A. Glomérulonéphrite post-streptococcique possible ; ce n'est pas une complication directe de la gale sarcoptique, mais une complication de l'impétiginisation fréquente de celle-ci. B. La présence des lésions érythémato-vésiculeuses, suintantes, avec desquamation permet d'évoquer une eczématisation secondaire, avec présence des différents stades successifs de l'eczéma. C. Avec ou sans eczématisation, la gale peut se compliquer d'impétiginisation, par surinfection streptococcique ou staphylococcique. Les formes disséminées d'impétigo, surtout chez l'adulte, doivent toujours faire rechercher une dermatose prurigineuse préexistante (eczéma, gale, varicelle...). E. C'est plutôt l'immunodépression qui favorise l'apparition de la gale. La gale norvégienne est une forme clinique grave qui survient chez les patients aux défenses immunitaires amoindries.
B. Bain désinfectant après savonnage de dix minutes, laisser sécher. Application au pinceau d'Ascabiol® sur tout le corps sauf sur la tête. Deuxième application 15 minutes après. Répéter l'opération 24 heures plus tard. E. Impératif pour traiter les surinfections cutanées. Sera suivi dès la 48ème heure par le traitement scabicide.
70 Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) le(s) moyen(s) qui peu(ven)t vous permettre d'établir le diagnostic de gale sarcoptique ? A - Sérologie spécifique B - Culture sur milieu spécifique C - Examen microscopique du produit de grattage d'une lésion D - Examen en immunofluorescence sur coupe congelée de peau lésionelle E - Test thérapeutique avec une solution de benzoate de benzyle (Ascabiol®) Bonne(s) réponse(s) : C E A. Il n'existe pas de sérologie. B. La culture d'un parasite est impossible. C. Le diagnostic positif est généralement aisé et repose sur les caractères du prurit, la topographie de l'éruption scabieuse, et si possible sur la mise en évidence du parasite femelle et/ou des oeufs pondus dans les sillons par examen microscopique du produit de grattage d'une lésion. E. Dans le cas où le parasite ne peut être trouvé, et c'est souvent le cas chez les gens propres, on est amené à proposer un traitement d'épreuve.
71 Question à compléments multiples. Quelle(s) peu(ven)t être la(les) modalité(s) évolutive(s) en l'absence de traitement efficace chez ce patient immunodéprimé ? A - Septicémie sarcoptique B - Eczéma atopique C - Persistance chronique de la gale D - Parasitisme intestinal E - Développement d'une gale norvégienne
73 Question à compléments multiples. Quelle(s) peu(ven)t être la(les) modalités(s) évolutive(s) après traitement efficace ? A - Persistance du prurit pendant quelques jours B - Recontamination par l'entourage C - Guérison D - Gloménulonéphrite chronique E - Persistance de nodules prurigineux pendant plusieurs semaines Bonne(s) réponse(s) : A B C E Parfois le prurit persiste ou réapparait rapidement après traitement. Plusieurs éventualités : insuffisance de traitement, traitement excessif avec irritation cutanée due à des applications itératives du scabicide, acarophobie chez les personnes anxieuses ou obsessionnelles, réinfection précoce par défaut de traitement simultané des sujets contacts, existence de nodules post-scabieux surtout chez le jeune enfant et pouvant persister des semaines ou des mois, existence d'une dermite eczématiforme probablement allergique, secondaire à la gale correctement traitée, autre étiologie de prurit ayant été momentanément masquée par la gale.
74 Question à compléments multiples. Quelle(s) mesure(s) complémentaire(s) vous parai(ssen)t nécessaires ? A - Traitement de l'entourage même en l'absence de prurit B - Désinfection des vêtements et sous-vêtements C - Vaccination antisarcoptique D - Traitement désensibilisant E - Traitement des animaux familiers Bonne(s) réponse(s) : A B A. Le traitement conjoint de tous les sujets contaminés est impératif, et représente la meilleure mesure prophylactique. B. Soit par ébullition, par repassage au fer chaud, ou par contact dans un endroit isolé pendant 48 heures avec de la poudre DDT ou Aphtiria®. E. Les gales animales n'infestent qu'exceptionnellement l'homme.
Bonne(s) réponse(s) : C E A.D. Pas de passage sanguin de la gale, ni de parasitisme intestinal. C. Sans traitement, l'infection persiste et passe à la chronicité. E. La gale norvégienne ou croûteuse est une érythrodermie croûteuse généralisée, très prurigineuse, caractérisée par une multiplication parasitaire extraordinaire, extrêmement contagieuse. Elle survient le plus souvent sur un terrain débilité (vieillard) ou immunodéprimé (héroïnomanie, hémopathies, cancers, maladies de RESIDANAT EN POCHE système, diabète).Tome " I "- QCM - QCS
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8 Question à complément simple.
10 Question à compléments multiples.
Dans ces conditions, quel est le test complémentaire essentiel à demander, sachant que s'il s'avère positif, il vous permettra de comprendre immédiatement l'évolution toxoplasmique sérologique survenue depuis la grossesse antérieure et de préciser le risque toxoplasmique chez cette femme ? A - Un nouveau contrôle sérologique de la toxoplasmose à 15 jours du précédent B - Un prélèvement de gorge C - Une recherche de facteur rhumatoïde D - Une ponction de ganglion avec recherche parasitologique directe de toxoplasme E - Une hémoculture sur milieu de NNN
Au cours de la grossesse, quelles seront la ou les mesures à adopter pour l'enfant, compte tenu de ce que vous savez au sujet de la mère ? A - Ponction de liquide amniotique B - Ponction de sang de cordon C - Echographie pour rechercher une complication toxoplasmique (hydrocéphalie) D - Absence de surveillance : aucun examen spécifique de toxoplasmose E - Inoculation du placenta à la naissance Bonne(s) réponse(s) : D Non commentée : cf question [76] et [77]
Bonne(s) réponse(s) : C A distance d'une toxoplasmose acquise, l'immunofluorescence et le dye-test restent indéfiniment positifs (5 à 10 UI/ml), ce qui traduit l'existence d'une immunité acquise définitivement protectrice. La notion d'une sérologie toxoplasmique positive et stable à 80 UI/ml sans IgM spécifiques, quatre ans auparavant, permet d'écarter l'éventualité d'une toxoplasmose actuelle et donc un risque de contamination foetale. Il existe de nombreux faux positifs du test de Remington (immunofluorescence des IgM) dus à la présence de facteurs rhumatoïdes ou d'anticorps antinucléaires. Les antécédents de polyarthrite rhumatoïde doivent faire rechercher la présence de facteur rhumatoïde qui est un auto-anticorps IgM anti-IgG. Ces causes d'erreurs seront peut-être éliminées par les nouvelles méthodes immunoenzymatiques dérivées du test ELISA. Une femme de 36 ans, enceinte de 4 semaines, vous est adressée pour avis thérapeutique. Son médecin traitant lui a déjà prescrit un certain nombre d'examens dans le cadre de sa déclaration de grossesse. Parmi ceux-ci, une sérologie de toxoplasmose révèle un taux d'anticorps IgG à 80 UI/ml en Immunofluorescence, avec test de Remington (recherche d'lgM spécifiques) positif au 1/50ème. En interrogeant la malade, vous notez dans ses antécédents : 1 - Une première grossesse, menée à terme, il y a quatre ans, et durant laquelle la sérologie toxoplasmique était positive et stable à 80 UI/ml en immunofluorescence, sans IgM spécifiques. 2 - Une polyarthrite rhumatoïde, découverte il y a deux ans. 3 - Une angine avec adénopathies cervicales, avec fièvre à 40°C, survenue il y a 3 semaines, traitée, et d'évolution apparemment favorable. Le test de Remington donne dans certaines situations pathologiques des résultats positifs non spécifiques.
9 Question à complément simple. Au vu du résultat positif de l'examen que vous avez demandé à bon escient, quelle sera, parmi les situations proposées ci-dessous, I'attitude que vous devrez choisir ? A - Prescription de 3 g,de Rovamycine® (spiramycine) par jour jusqu'à l'accouchement, en vue de protéger le foetus de toute infestation toxoplasmique B - Conseils alimentaires prophylactiques évitant l'ingestion de viande crue, et surveillance sérologique mensuelle obligatoire de toxoplasmose C - Prescription d'Oracilline® (3 millions d'unités par jour) pendant 10 jours D - Abstention thérapeutique et rassurer cette femme en lui indiquant qu'il n'existe pratiquement aucun risque toxoplasmique pour son foetus E - Interruption de grossesse Bonne(s) réponse(s) : D
11 Question à complément simple. Si cette femme décide d'avoir une nouvelle grossesse dans 2 ans, votre conseil sera : A - Sérologie toxoplasmique à contrôler régulièrement B - S'abstenir de côtoyer des chats C - Rassurer cette femme sur l'absence totale de risque toxoplasmique ultérieur D - Vérifier qu'il n'apparaît pas de ganglions E - Prévenir le risque toxoplasmique par 3 g de Rovamycine® (spiramycine) Bonne(s) réponse(s) : C L'immunité antitoxoplasmique maternelle est entretenue de façon définitive par la persistance dans l'organisme de toxoplasmes, sous forme de kystes essentiellement musculaires. Une nouvelle infestation toxoplasmique entraîne une légère augmentation des anticorps (phénomène de rappel) mais il n'existe pas de recontamination toxoplasmique.
58 Question à compléments multiples. Cette éosinophilie peut traduire : A - Une filariose à filaire loa loa B - Une bilhariose à S. hematobium C - Une anguillulose à S. sterconalis D - Une ankylostomose à N. americanus E - Une trypanosomose à T. gambiense Bonne(s) réponse(s) : A B C D Seules les infections par métazoaires (helminthes notamment) entraînent une hyperéosinophilie sanguine parmi les infections parasitaires. L'hyperéosinophilie sanguine (> 400/mm3) varie dans le temps, est à son maximum lors de la période d'infestation (invasion), surtout si une phase du cycle est tissulaire (douve, ascaris, filaire, trichine). Elle peut subir une réascension lors d'une thérapeutique antiparasitaire par libération massive d'antigènes, avant de disparaître complètement si le traitement a détruit le parasite. E. Agent de la trypanosomose africaine dans l'ouest africain, il appartient aux protozoaires et non aux helminthes. Monsieur M. René, 35 ans, est de retour depuis 10 jours du Gabon où il participe à la construction du "trans-gabonais". Il passe 10 mois par an en Afrique, et deux mois de vacances en France. Il vient en consultation à titre systématique. Il ne se plaint de rien. Il n'a séjourné dans aucun autre pays hors d'Europe. Il pèse 75 kg. L'hémogramme pratiqué à cette occasion montre : 45 % d'éosinophiles pour 8 giga/l de globules blancs.
Devant la certitude d'une sérologie positive antérieure à la grossesse actuelle et contrôlée à plusieurs reprises, la stabilité du taux des IgG et la confirmation du caractère non spécifique des IgM ayant positivé le test de Remington.
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59 Question à compléments multiples.
61 Question à compléments multiples.
Les données de l'interrogatoire permettent de retenir en faveur d'une bilharziose : A - Baignades en eau douce B - Episodes d'hématurie C - Travail en forêt D - Marche pieds nus E - Troubles respiratoires
Le diagnostic de bilharziose à Shistosoma hematobium étant porté, quelle est votre prescription sachant que ce sujet, en raison de ses activités, ne peut être hospitalisé ? A - Vansil® (oxamniquine) 2 cp le matin, 2 cp le soir (1 fois) B - Biltricide® (praziquantel) 2 cp le matin, 2 cp le soir 2 cp le lendemain matin (1 fois) C - Ambilhar® (niridazol) 3 cp/j pendant 7 jours D - Déhydroémétine 75 mg/jour pendant 10 jours E - Bilarcil® (métrifonate) 2 cp matin, 2 cp midi, 2 cp soir (1 fois), à répéter une deuxième fois 15 jours après
Bonne(s) réponse(s) : A B D Les cercaires, qui sont les larves infestantes libérées dans l'eau par le mollusque "hôte intermédiaire", nagent librement dans l'eau mais sont attirées par l'homme : un chimiotactisme puissant, basé sur les sécrétions cutanées, les amène à se fixer sur la peau qu'elles traversent ensuite. C'est à l'occasion d'un bain en eau douce, de la traversée d'un cours d'eau, de la marche pieds-nus dans les cultures irriguées que la contamination s'effectue. Si, au bout de quelques heures de sa courte vie libre, la cercaire n'a pas trouvé son hôte, elle meurt. Au cours de la bilharziose urogénitale à Shistosoma haematobium, l'hématurie est le signe d'appel essentiel et le plus fréquent. Cette bilharziose sévit en Afrique tropicale, au Maghreb, dans la Vallée du Nil, en Irak, à Madagascar.
60 Question à compléments multiples. Dans cette hypothèse, quel(s) examen(s) paraclinique(s) demandez-vous ? A - Filtration des urines B - Examen parasitologique des selles avec enrichissement (technique de Kato) C - Recherche d'lgE spécifiques D - Sérologie en immunofluorescence E - Biopsie vésicale Bonne(s) réponse(s) : A D Les techniques immunologiques permettent souvent une orientation diagnostique de bonne valeur, aboutissant même parfois à la décision thérapeutique, malgré l'absence de preuve parasitologique directe. L'immunofluorescence est, à l'heure actuelle, vu son coût, la seule technique économiquement compatible avec une utilisation de diagnostic courant. Elle complète utilement les moyens de diagnostic direct qui gardent toute leur valeur. La certitude diagnostique est toujours apportée par la recherche des oeufs qui n'est positive qu'à la phase d'état de la maladie. Dans les infestations d'intensité modérée, cette recherche peut s'avérer difficile par suite du nombre limité d'oeufs éliminés. Après filtration des urines, le filtre est examiné au microscope et permet de reconnaître à l'examen direct des oeufs éperonnés et de faire un comptage de ceux-ci.
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Bonne(s) réponse(s) : B E A. N'est efficace que dans la bilharziose à schistosomia mansoni. B. Praziquantel est un nouvel antihelmintique à large spectre, efficace contre les cinq espèces humaines de shistosomes. Il est administré per os en trois prises réparties en 24 heures à la dose de 40 mg/kg/jour pour les infections à schistosomia haematobium. C. Niridazole a marqué le début de l'ère thérapeutique dans les bilharzioses. La posologie normale est de 3 comprimés par jour pendant 7 jours. Le produit colore les urines en noir et est responsable de manifestations neuropsychiques secondaires qui le font peu à peu abandonner au profit de substances plus maniables et moins toxiques. D. Amoebicide tissulaire. E. Le métrifonate, actif uniquement sur les infections à schistosomia haematobium. Comme le praziquantel, il est administré (à la dose de 7,5 mg/kg/jour) en trois prises orales réparties en 24 heures mais ceci répété quinze jours plus tard. Le traitement de choix est actuellement le praziquantel, l'alternative le métrifonate.
62 Question à compléments multiples. Comment allez-vous surveiller l'efficacité de ce traitement ? A - Sérologies répétées à proximité du traitement B - Recherche d'oeufs dans les urines à la fin du traitement C - Recherche d'oeufs dans les urines à distance (6 semaines) du traitement D - Biopsie muqueuse vésicale après le traitement E - Urographie intraveineuse Bonne(s) réponse(s) : C Quel que soit le produit utilisé, le résultat du traitement doit toujours être contrôlé biologiquement, car aucun traitement de la bilharziose n'est efficace à 100%. Le contrôle ne devra jamais être trop précoce : un minimum de six semaines est nécessaire pour obtenir la négativation des examens directs (temps de traversée des tissus par les oeufs). Les réactions immunologiques sont également longues à se négativer, et manifestent bien souvent une augmentation transitoire des anticorps par un phénomène de rappel consécutif à la lyse des parasites.
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75 Question à complément simple.
77 Question à compléments multiples.
Quel est le diagnostic à évoquer en premier lieu ? A - Méningoencéphalite à arbovirus B - Fièvre tierce C - Accès pernicieux D - Paludisme viscéral évolutif E - Fièvre bilieuse hémoglobinurique
Quel(s) est(sont) le(s) examen(s) qui apportera(ront) la certitude diagnostique ? A - Découverte de l'hématozoaire sur frottis ou goutte épaisse B - Immunoélectrophorèse des gammaglobulines C - Contre-immunoélectrophorèse du L.C.R. D - Ponction hépatique à la recherche de formes intrahépatiques E - Sérodiagnostic des arbovirus
Bonne(s) réponse(s) : C C. L'accès pernicieux constitue le grand drame du paludisme. Encore appelé neuropaludisme, il réalise une encéphalite fébrile aiguë due au tropisme de Plasmodium falciparum. Il doit être évoqué en premier lieu, vu sa gravité clinique et son caractère d'urgence thérapeutique, devant tout malade hyperthermique de retour de séjour en pays tropical présentant des signes neurologiques divers (désorientation, confusion, hypotonie musculaire, abolition des réflexes ostéotendineux, signes biologiques méningés) et des manifestations viscérales (splénomégalie, hépatomégalie, ictère, anémie, collapsus, et insuffisance rénale). A. Parmi les diagnostics différentiels : les arboviroses. La notion de séjour en pays tropical, l'absence de vaccination contre la fièvre jaune, les deux phases cliniques : la phase "rouge" marquée par de la fièvre, des douleurs diffuses et des nausées, la phase "jaune" avec atteinte hépatonéphritique, manifestations hémorragiques et méningo-encéphalite. B. La fièvre tierce est un accès palustre comprenant des accès thermiques survenant toutes les 48 heures, due à P. vivax ou à P. ovale. Parfois maligne et irrégulière elle peut être due à P. falciparum. D. Le paludisme viscéral évolutif encore appelé paludisme chronique survient chez des sujets insuffisamment prémunis et exposés à des infestations répétées ; il associe fébricule, anémie, oedèmes et splénomégalie. E. La fièvre bilieuse hémoglobinurique est exceptionnelle, due à P. falciparum. Débutant brutalement, par des lombalgies violentes, associant fièvre, vomissements, anémie, ictère hémolytique, oligurie avec urines porto.
Bonne(s) réponse(s) : A Les frottis minces colorés par la méthode de May-Grunwald-Giemsa permettent un résultat en urgence. La goutte épaisse, technique permettant de mettre en évidence les parasites, lorsqu'ils sont relativement rares, dans une plus grande quantité de sang, sera colorée par la méthode de Giemsa. Les quelques heures de séchage nécessaires ne permettent pas de l'interpréter en urgence.
78 Question à compléments multiples. A l'examen du frottis quel(s) sera(seront) le(s) élément(s) en faveur de I'agent étiologique ? A - Frottis d'aspect monomorphe B - Hématies altérées avec de nombreux grains de Schuffner C - Aspect caractéristique des gametocytes "en faux" D - Présence de nombreuses rosaces E - Présence d'hématies parasitées par deux trophozoites Bonne(s) réponse(s) : A C E
Monsieur C..., 35 ans est rentré depuis 6 semaines d'un premier séjour en pays tropical (Afrique). Il est hospitalisé en urgence pour un tableau d'hyperthermie avec syndrome méningé. A l'entrée dans le service, le malade est couvert de sueur, désorienté et confus, se montrant agressif. Lors de l'examen on note : une hépatosplénomégalie, un subictère, une abolition des réflexes achilléens et rotuliens, et une discrète hypotonie des membres. Aucun épisode convulsif n'a été constaté. Il existe une hypotonie des globes oculaires avec pli cutané. L'examen cardiovasculaire objective un souffle systolodiastolique 2/6 mitro-aortique sans frémissement, un pouls à 160/mn, une TA à 16/6. La température est à 40°C. Les urines sont rares et foncées. L'examen pulmonaire et digestif est normal. Les premiers examens montrent : GR = 3,8 T/l ; Ht = 42 % ; Hb = 110 g/l ; GB = 4,5 giga/l ; plaquettes = 180 giga/l. La radiographie pulmonaire montre un coeur un peu augmenté de volume. La ponction lombaire objective une hyperlymphocytose modérée à 90 éléments/mm3 et une protéinorachie à 0, 50 g/l. Aucun germe n'est isolé à l'examen direct. On ne sait pas si le malade a été vacciné contre la fièvre jaune.
76 Question à complément simple.
A. Dans 75 % des cas, lors de l'accès thermique, le frottis est monotone fait uniquement trophozoïtes jeunes. D. Absence de stades schizontes mûrs visibles (corps en rosace) peut être parce que la schizogonie s'effectue dans les capillaires profonds. E. P. falciparum est l'espèce plasmodiale où le pluriparasitisme de l'hématie est le plus important et le plus fréquent. B. Les grains de Schüffner dans l'hématie parasitée caractérisent les espèces P. vivax et P. ovale. C. Les gamétocytes, ou corps en faux, apparaissent un peu plus tard que les trophozoïtes ou après traitement.
79 Question à compléments multiples. En faveur d'un mauvais pronostic vous retiendrez : A - Abolition du réflexe rotulien B - Pouls supérieur à 150/mn C - Présence d'une hépatomégalie D - Présence d'une splénomégalie E - Existence d'une hyperthermie Bonne(s) réponse(s) : A C E
Quel est l'agent étiologique le plus probable ? A - Plasmodium ovale B - Plasmodium falciparum C - Plasmodium knowlesi D - Arbovirus West Nile E - Listeria monocytogenes Bonne(s) réponse(s) : B D. Vecteur : moustique, réservoir : oiseaux (parfois le cheval en Camargue) ; localisation : Afrique, bassin méditerranéen, MoyenOrient ; responsable de syndromes fébriles algiques bénins, rarement d'encéphalites. E. Responsable de méningo-encéphalites de l'adulte et de l'enfant.
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Sont de mauvais pronostic dans l'accès pernicieux : - la température à plus de 40°C - le pouls à plus de 200 par minute - le coma d'emblée - l'hypertonie souvent paroxystique - l'état de mal convulsif - l'abolition du réflexe rotulien - la survenue d'une anémie avec hémoglobine inférieure à 8 g/dl - l'existence d'une hépatomégalie - des complications respiratoires infectieuses - une déshydratation d'emblée est de bon pronostic en revanche, la survenue d'une splénomégalie.
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80 Question à compléments multiples.
16 Question à compléments multiples.
Quelle(s) conduite(s) thérapeutique(s) faut-il adopter en première intention ? A - Quinine IV 25 mg/kg/j en perfusion continue B - Fansidar® 3 comprimés toutes les 6 heures C - Réhydratation D - Antibiothérapie systématique associée E - Quinine IV 10 mg/kg/j toutes les 4 heures
Si elle vous consulte le jour de l'apparition de l'exanthème quelle(s) prescription(s) faites-vous ? A - Le prélèvement d'un premier sérum le jour même, pour tirage des anticorps rubéoliques B - Le prélèvement d'un premier sérum 5 jours plus tard pour tirage des anticorps rubéoliques C - Le prélèvement d'un premier sérum 10 jours plus tard, pour tirage des anticorps rubéoliques D - Prélèvement de sang pour sérologie de la syphilis et de la toxoplasmose E - L'inoculation intramusculaire de 0,3 ml/kg d'une préparation de gammaglobulines à haut titre d'anticorps rubéoliques
Bonne(s) réponse(s) : A C D Urgence thérapeutique : - antiparasitaire : prescription de quinine intraveineuse à la posologie de 25 mg/kg/jour (maximum 1,50 g à 2 g chez l'adulte) en perfusion pendant 3 à 6 jours consécutifs, au moins jusqu'à disparition des troubles de la conscience. Relayée par la chloroquine per os ou par le Fansidar® ou la méfloquine (Lariam®) s'il existe une possibilité de résistance. - Symptomatique : anticonvulsif, anti-infectieux, rééquilibre hydroélectrolytique, oxygénation, transfusion, épuration extrarénale en fonction des troubles observés.
Bonne(s) réponse(s) : A D A. Au cours d'une primo-infection rubéolique avec éruption, (les réinfections rubéoliques, possibles, sont inapparentes, sans virémie et donc sans risque pour le foetus chez la femme enceinte) les anticorps rubéoliques inhibant l'hémagglutination apparaissent avec l'éruption, soit environ seize jours après le contage, s'élèvent jusqu'à un titre maximal qu'ils gardent des semaines ou des mois (courbe en plateau). Leur décroissance tardive survient très progressivement, d'une à deux dilutions par an jusqu'à un titre résiduel stable. Dans tous les cas, le premier sérum doit être prélevé le plus tôt possible, aussitôt l'évènement motivant l'examen, éruption ou contage. Le second prélèvement sérique est à faire à une date permettant d'obtenir, sinon le titre maximal, du moins une élévation significative du titre par rapport au premier sérum : c'est 15 jours après l'apparition de l'éruption, et pour un contage chez un sujet séronégatif, 3 à 4 semaines après le contage. Dans le cas actuel, ignorant de plus le délai entre la consultation et l'apparition de l'éruption, une première sérologie faite le jour même permettra, een cas de primo-infection rubéolique d'être peut-être dans la phase ascendante de montée des anticorps rubéoliques, après confrontation avec le deuxième sérum prélevé 15 jours plus tard. En effet, il existe une grande variabilité d'un sujet à l'autre de tous les paramètres de la réponse immunitaire : notamment le délai entre l'apparition et le titre maximal des anticorps varie entre 3 jours et 3 semaines. D. L'interrogatoire ne précise pas les antécédents relatifs aux sérologies de syphilis et de toxoplasmose. Les trois sérologies infectieuses (rubéole, toxoplasmose, syphilis) sont prescrites légalement ensemble lors du certificat prénuptial, et lors de la première consultation de grossesse. Il est vraisemblable que cette femme n'a eu aucune des trois. E. Les gammaglobulines ont un intérêt très contesté. Prescrites, elles ne perturbent pas le sérodiagnostic. Leur seule indication serait l'injection dans les 48 heures après le contage aux femmes qui ont une sérologie négative à ce moment là. Une femme de 23 ans, enceinte de 1 mois et demi, a un exanthème maculeux généralisé fait de petits éléments rose pâle de 1 mm de diamètre. Il s'accompagne d'une polyadénopathie superficielle et d'arthralgies. Cette femme n'a jamais eu d'examen sérologique de la rubéole et n'a pas été vaccinée contre la rubéole.
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17 Question à complément simple.
19 Question à compléments multiples.
Cette femme a subi deux prélèvements sériques, 10 et 25 jours après le début de l'exanthème. Leur examen en parallèle a montré un titre d'anticorps rubéoliques en inhibition de l'hémagglutination de 320 et 320. Que faitesvous ? A - Vous rejetez le diagnostic d'exanthème rubéolique B - Vous hésitez entre primoinfection et réinfection rubéolique C - Vous recherchez des IgM rubéoliques dans le premier prélèvement sérique D - Vous recherchez un taux anormalement élevé d'IgM sériques totales dans le premier sérum E - Vous recherchez dans un prélèvement sérique fait 10 jours après le 2ème prélèvement, une baisse significative du titre des anticorps rubéoliques
La recherche des IgM rubéoliques doit être réalisée dans la ou les circonstance(s) suivante(s) : A - Un titre élevé et stable d'anticorps rubéoliques totaux à l'examen systématique d'une femme en début de grossesse, sans notion de contage B - Un titre élevé et stable d'anticorps rubéoliques totaux 5 et 20 jours après une éruption suspecte chez une femme en début de grossesse C - Un titre élevé et stable d'anticorps rubéoliques totaux 5 et 20 jours après un contage rubéolique possible chez une femme en début de grossesse D - Une augmentation significative du titre des anticorps rubéoliques après un contage non suivi d'éruption E - Le diagnostic de rubéole congénitale chez un nouveau-né atteint de malformations cardiaques et oculaires.
Bonne(s) réponse(s) : C B. Il n'y a pas d'hésitation clinique devant l'éruption maculeuse entre primo-infection et réinfection toujours inapparente. Le problème ne se pose que devant l'examen simultané de deux sérologies faites à 2 ou 3 semaines d'intervalle. Tous les paramètres de la réponse immunitaire varient d'un sujet à l'autre : le délai entre l'apparition et le titre maximal des anticorps (3 jours à 3 semaines), le titre maximal du plateau (supérieur ou égal à 1280 à 80, voire 40), le titre résiduel des années plus tard (élevé et proche du plateau, intermédiaire, ou bas et proche du plancher). Il n'existe donc pas de titre élevé significatif d'une infection récente. Au cours d'une réinfection, I'élévation du titre des anticorps rubéoliques ou sa remontée sont plus précoces et atteignent rapidement leur taux maximal.
18 Question à complément simple. Le titrage des anticorps rubéoliques sériques totaux dans deux échantillons sanguins prélevés à deux semaines d'intervalle pour diagnostic d'une éruption, recherche : A - Une augmentation du titre de 4 fois ou plus B - Une augmentation de titre du simple au double C - Un titre élevé supérieur ou égal à 4 fois la normale D - Un titre élevé supérieur ou égal à 2 fois la normale E - Une baisse de titre d'au moins deux dilutions Bonne(s) réponse(s) : A Si à l'examen simultané des deux sérums prélevés et techniqués dans le même laboratoire (le premier est gardé à + 4°C), on note une variation du titre des anticorps de 1 à 4 ou plus, l'ascension est dite significative.
Bonne(s) réponse(s) : B D E B. Si le premier prélèvement a été fait plus de deux jours après le début de l'éruption ou de deux semaines après le contage, le sérodiagnostic standard peut être en défaut. A. Jamais devant un seul prélèvement sérologique. C. En faveur d'un taux résiduel élevé d'anticorps. D. L'ascension significative notée sur deux sérums prélevés précocement, dès la notion de contage pour le premier, 3 à 4 semaines après pour le second, permet d'affirmer l'infection rubéolique sans pouvoir distinguer primo-infection inapparente dangereuse pour le foetus, et réinfection.
57 Question à compléments multiples. A propos de la gale dont souffre ce patient, il est exact que : A - L'agent causal est Sarcoptes scabiei hominis B - Sarcoptes scabiei hominis est très répandu dans la flore naturelle C - Cette gale est surtout transmise de manière indirecte D - Cette gale est transmise de manière directe, le contact est habituellement assez intime E - Cette gale est une maladie cosmopolite Bonne(s) réponse(s) : A D E La gale est une dermatose très prurigineuse et très contagieuse due à un acarien : Sarcoptes scabiei. Le parasite obligatoire de l'homme est Sarcoptes scabiei hominis. La survie du parasite en dehors de l'homme est brève, au maximum de deux à trois jours. La contamination se fait par contact cutané direct prolongé avec une personne infestée : contamination familiale ou sexuelle. La transmission indirecte, rare, se fait par la literie et les vêtements. Monsieur X. né le 28/12/61, vient vous voir en consultation pour des problèmes cutanés apparus depuis un mois. A l'interrogatoire, on apprend qu'il n'existe pas d'antécédents particuliers et que le patient vient de faire un voyage en Afrique d'octobre 1984 à avril 85. Parmi les pays traversés, on note des pays d'Afrique noire (Mali, Niger, Burkina-faso, Togo, Bénin, Côte d'Ivoire, etc...). Le retour s'est effectué à travers l'Afrique du nord (Algérie, Tunisie, Maroc) puis l'Espagne. Les conditions d'hygiène ont été parfois difficiles (dortoirs communs, long voyage en taxi brousse). Depuis un mois, alors qu'il était au Togo, le patient a découvert des lésions cutanées au niveau des poignets, des doigts et des bords antérieurs des creux axillaires. Ces lésions sont de petits sillons blanchâtres, en zigzag de 1 à 2 cm, au bord desquels se trouve une vésicule perlée. Il existe de nombreuses lésions de grattage. Le reste de l'examen est normal. En reprenant l'interrogatoire, le patient dit avoir voyagé (10 jours avant) avec des gens ayant les mêmes lésions, mais de manière plus étendue.
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58 Question à compléments multiples.
61 Question à compléments multiples.
L'agent pathogène responsable de la gale humaine sarcoptique : A - Sarcoptes scabiei hominis adulte est un acarien d'une taille située entre 330 et 220 microns B - Sarcoptes scabiei hominis se développe dans l'épiderme chez l'homme, une survie hors de l'être humain d'une semaine ou deux est possible C - Cette survie sur le sol ou dans la literie est à l'origine de la contamination indirecte qui est la forme de transmission la plus fréquente D - Le diagnostic est fait par la mise à nu des adultes à l'extrêmité des sillons E - Cette recherche est facile et on isole presque toujours des adultes
Dans la gale : A - Dans la gale simple, les lésions cutanées sont principalement localisées au niveau de la face latérale des doigts et de la face antérieure.des poignets B - Dans la gale simple, les seins sont parfois atteints C - Il existe une forme de gale avec hyperkératose et parakératose aboutissant à la formation de cropûtes de 2 cm en l'absence de traitement D - Dans la gale norvégienne, les acaries sont peu nombreux au niveau des lésions cutanées contrairement à la gale simple E - La gale norvégienne atteint les sujets dont les défenses sont amoindries, la face et le cuir chevelu peuvent être atteints
Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Les femelles mesurent 330 microns, les mâles 220 microns. La femelle creuse un tunnel (appelé sillon) dans l'épiderme entre la couche cornée et la couche de Malpighi. Le diagnostic parasitologique de certitude est fait par la mise en évidence directe du parasite adulte femelle et/ou des oeufs pondus dans les sillons.
C.D.E. Gale norvégienne : atteint les sujets aux défenses amoindries, réalise une érythrodermie croûteuse généralisée très prurigineuse et contagieuse, caractérisée par une multiplication parasitaire extraordinaire. Les croûtes, et par endroit une véritable carapace blanc jaune soufré, se forment sur tout le corps, leur épaisseur peut atteindre 2 cm en l'absence de traitement. Une forte hyperkératose et une parakératose aboutissent à la formation de croûtes lamelleuses et spongieuses remplies (à l'inverse de la gale normale) de galeries contenant des acares très nombreux.
59 Question à compléments multiples. Dans la gale : A - Le prurit est un signe capital B - Le prurit est surtout intense au moment du coucher C - Le sillon traverse obliquement la couche de Malpighi D - La période d'incubation est en général de 8 à 15 jours E - Le prurit est responsable de lésions de grattage qui, parfois masquent les lésions caractéristiques Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
60 Question à compléments multiples.
62 Question à compléments multiples. Dans la gale du nourrisson : A - Les localisations sont fréquentes au niveau des doigts B - Dans les toutes premières semaines, l'atteinte caractéristique est le dos de la main C - Dans les toutes premières semaines, l'atteinte caractéristique est la plante des pieds D - Plus tard, sont atteintes les régions axillaires et l'ombilic E - La région du tendon d'Achille est parfois atteinte Bonne(s) réponse(s) : C D E Sans commentaire.
Dans la gale : A - La période d'incubation est très raccourcie lors d'une réinfestation B - La période d'incubation est la période pendant laquelle le sujet se sensibilise aux sarcoptes C - Le prurit est certainement dû aux phénomènes de sensibilisation D - L'affection est, en général, accompagnée d'une éosinophilie importante E - L'évolution est favorable avec le temps en l'absence de traitement Bonne(s) réponse(s) : A B C Le prurit est le signe capital de la gale et son origine est certainement due à des phénomènes de sensibilisation et non à l'action mécanique des larves. Autre argument en faveur des mécanismes immunitaires de la gale : l'incubation brève de 2 à 5 jours des premières manifestations prurigineuses lors d'une réinfection qui agit comme un rappel anamnestique. Il existe fréquemment une petite éosinophilie et une augmentation polyclonale transitoire des immunoglobulines, y compris les IgE. En l'absence du traitement, l'évolution spontanée peut quelquefois se faire vers la guérison en quelques mois. Plus souvent, il y a passage à une maladie chronique avec prurit féroce et insomniant, et lésions surinfectées et croûteuses.
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16 Question à complément simple. Quel est l'aliment en cause le plus probable ? A - La viande B - Les asperges C - Les carottes râpées D - Le gâteau E - L'eau de boisson Bonne(s) réponse(s) : C B se discute si les asperges sont consommées crues et si elles proviennent également du jardin. Après un repas réunissant 21 personnes, en milieu rural, 16 des convives présentent 48 heures plus tard un tableau d'entérite fébrile. Douze de ces malades sont des sujets de 5 à 20 ans. Le repas comprenait des carottes râpées (légumes cultivés dans le jardin de l'hôte), du gigot d'agneau, des asperges, des fromages, une tarte aux abricots. Les examens bactériologiques des restes d'aliments n'isolent aucun germe. Les coprologies permettent d'isoler après 7 jours seulement, Yersinia enterocolitica sérotype 03 chez 11 malades. La sérologie est positive chez tous les malades (même sérotype). Le diagnostic d'intoxication alimentaire à Yersinia enterocolitica est posé.
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17 Question à compléments multiples.
13 Question à compléments multiples.
Dans le cycle épidémiologique des toxi-infections à Yersinia enterocolitica, les réservoirs d'agent pathogène peuvent être : A - La terre B - Les lapins C - Les porcs D - Les chats E - Les chiens
La symptomatologie du tétanos est due à : A - Une suppuration locale importante B - La diffusion du germe dans le sang C - La fixation d'une toxine sur le système nerveux D - La localisation de la bactérie sur l'encéphale E - Un trouble métabolique
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E On peut y ajouter les hommes qui peuvent être porteurs sains.
18 Question à compléments multiples. La transmission de l'agent pathogène peut se faire par : A - Les excréments des animaux contaminés B - Les mains souillées C - La consommation de légumes ou fruits souillés D - La voie digestive E - La voie respiratoire Bonne(s) réponse(s) : A B C D La pénétration est exceptionnellement cutanée ou oculaire (griffure de chat).
19 Question à compléments multiples. Les causes favorisantes des toxi-infections alimentaires par Yersinia enterocolitica incluent : A - La conservation des aliments entre 4 et 10°C B - La congélation C - L'appertisation (mise en conserve) D - La consommation de végétaux crus E - La restauration collective Bonne(s) réponse(s) : A D E Les Yersinia se multiplient dans les réfrigérateurs. Elles sont détruites par les procédés de mise en conserve et par la congélation.
20 Question à compléments multiples. Les toxi-infections alimentaires sont des maladies : A - A déclaration facultative si elles sont collectives B - A déclaration facultative si un cas est isolé C - Sans déclaration si un cas est isolé D - A déclaration obligatoire si un cas est isolé E - A déclaration obligatoire si elles sont collectives
Bonne(s) réponse(s) : C Le germe reste localisé à la plaie mais la toxine diffuse par voie nerveuse (++) et par voie sanguine (faiblement). Monsieur F. , âgé de 65 ans,à la retraite depuis 6 mois, s'est blessé en taillant ses rosiers. 10 jours plus tard, il ressent une gêne à la mastication qui s'accentue progressivement et l'empêche de s'alimenter. Il consulte son médecin qui évoque le diagnostic de tétanos d'autant plus que la vaccination antitétanique de Monsieur F. date de son service militaire.
14 Question à compléments multiples. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant Clostridium tétani : A - C'est un bacille anaérobie B - Gram négatif C - Sporulé D - Commensal du tube digestif de certains animaux E - Produisant une endotoxine Bonne(s) réponse(s) : A C D B - Gram positif. D - Surtout les herbivores et l'homme. E - C'est une exotoxine.
15 Question a compléments multiples. Quelle(s) est(sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant la toxine tétanique ? A - C'est une toxine protéique B - Elle a une action pyrogène C - Elle est thermolabile D - Elle est antigénique E - Elle est détoxifiable Bonne(s) réponse(s) : A C D E B - La fièvre au cours du tétanos est souvent due à une surinfection (plaie, pneumopathie...). D - La dose nécessaire à une bonne immunisation est léthale, ce qui explique que la maladie naturelle ne confère pas une bonne immunité. C E - Détoxifiable par la chaleur et le formol.
Bonne(s) réponse(s) : C E Décret du 10 juin 1986 : les toxi-infections alimentaires collectives sont des maladies du premier groupe.
16 Question à compléments multiples. Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant l'antitoxine tétanique ? A - L'immunité conférée est immédiate B - L'immunité conférée est passive C - L'immunité engendrée est à support humoral D - L'immunité conférée est effective pendant plusieurs années E - Elle entraîne chez le receveur la production d'anticorps protecteurs spécifiques Bonne(s) réponse(s) : A B C
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D - Pendant un mois.
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17 Question à compléments multiples. Quelle aurait été l'attitude du médecin si le malade l'avait consulté aussitôt après sa blessure ? A - Nettoyage et désinfection de la plaie B - Injection de gamma globulines antitétaniques C - Traitement antibiotique par gentamicine D - Injection d'anatoxine en vue d'une vaccination complète E - Prescription d'un sérodiagnostic de tétanos Bonne(s) réponse(s) : A D - Les recommandations du Ministère de la Santé stipulent qu'une vaccination antérieure certaine et complète autorise à ne pratiquer qu'un rappel de vaccination (une injection) auquel il faut associer une injection d'antitoxine en cas de plaies graves.
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Question à complément simple. 50
Question à compléments multiples. 117
La relation existant entre l'âge chronologique, l'âge statural et l'âge osseux dans l'hypothyroïdie congénitale est : A - Age statural < âge osseux < âge chronologique B - Age osseux < âge chronologique < âge statural C - Age statural < âge chronologique < âge osseux D - Age osseux < âge statural < âge chronologique E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte
Les conséquences d'une hypothyroïdie néonatale non traitée comportent : A - Un décès des enfants atteints avant l'âge de la marche B - Un retard psychomoteur C - Une achondroplasie D - Un nanisme E - Une insuffisance respiratoire grave
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B D
Le trouble initial est une dysgénésie des points d'ossification.
D'où la nécessité du dépistage !
Question à compléments multiples. 25
Question à compléments multiples. 9
Une hypothyroïdie congénitale par athyréose peut se traduire par : A - Macroglossie B - Hernie ombilicale C - Hypotonie D - Dysgénésie épiphysaire de Wilkins E - Ictère néonatal prolongé
Parmi les propositions suivantes, qui concernent le dépistage néo-natal de l'hypothyroïdie congénitale en France, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? A - La fréquence moyenne est en France de 1/3 500 B - La méthode de dépistage couramment utilisée est le dosage radio-immunologique de thyroxine dans le sang circulant C - Le sang doit être prélevé par scarification du talon au 5ème jour de vie D - Parmi les différentes variétés d'hypothyroïdie congénitale, on observe 30 % d'athyréoses E - A l'âge de 5 ans le quotient de développement des enfants correctement traités est normal
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Mais D et E sont les premiers signes de l'hypothyroïdie.
Bonne(s) réponse(s) : A C
Question à compléments multiples. 42 Le diagnostic néonatal de l'hypothyroïdie congénitale : A - Est évident à l'examen clinique des nouveau-nés B - Est basé sur le dosage des hormones thyroïdiennes chez la mère C - Est basé sur le dosage de la T S H chez l'enfant D - Est appliqué à la quasi totalité des nouveau-nés E - Est proposé uniquement chez les enfants nés de mère hypothyroïdienne
A - 1/4000 plus exactement ! B - Non, on dose la TSH. D - Athyréose : 30 %, thyroïde ectopique : 50 %, position orthotopique : 20 %. E - Oui, d'où l'intérêt.du dépistage et du traitement.
Bonne(s) réponse(s) : C D A - Au contraire, d'où la nécessité du dépistage systématique. C - TSH augmentée, ne dépiste donc que les hypothyroïdies basses.
Question à compléments multiples. 92 Une hypothyroïdie néonatale est évoquée sur : A - Macroglossie et marbrure cutanée B - Fontanelle postérieure large C - Persistance d'un ictère néonatal D - Avance staturale E - Troubles de la succion Bonne(s) réponse(s) : A B C E D - Retard statural !
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445 Annales INTERNAT PEDIATRIE 1
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Question à compléments multiples. 34
Question à complément simple. 92
Quels sont, parmi les éléments énumérés ci-dessous, celui ou ceux qui expliquent la survenue de l'ictère simple chez le nouveau-né prématuré ? A - Immaturité hépatique B - Fragilité érythrocytaire C - Hypoalbuminémie D - Ralentissement du transit intestinal E - Retard du démarrage de l'alimentation
Parmi les signes suivants, un seul fait partie du tableau classique de l'ictère simple du nouveau-né à terme. Lequel ? A - Début clinique le second jour de vie B - Splénomégalie C - Pigmenturie D - Décoloration des selles E - Hépatomégalie Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A B D Les ictères pathologiques apparaissent avant 48 h. Il existe une immaturité hépatique portant sur la captation et la conjugaison ainsi qu'un cycle entéro hépatique augmenté. La production de bilirubine est 2 à 3 fois supérieure à celle de l'adulte. D. Intervient en augmentant le cycle entéro-hépatique de la bilirubine. E. Le jeûne a été accusé de favoriser l'ictère mais n'est pas un mécanisme physiopathologique.
Question à complément simple. 57 Parmi les causes de l'ictère néonatal, laquelle est le plus souvent rencontrée chez le prématuré ? A - Incompatibilité rhésus B - Immaturité hépatique C - Déficit en G6PD D - Maladie de Gilbert E - Atrésie des voies biliaires
Question à complément simple. 85 Parmi les causes de l'ictère néonatal, laquelle est le plus souvent rencontrée chez le prématuré ? A - Incompatibilité ABO B - Immaturité hépatique C - Déficit en G6PD D - Maladie de Gilbert E - Hépatite à virus A Bonne(s) réponse(s) : B L'immaturité de la glycuroconjugaison hépatique reste la cause la plus fréquente d'ictère néonatal chez le prématuré. Néanmoins cela ne dispense pas de la recherche d'autres causes d'ictère.
Bonne(s) réponse(s) : B
Question à compléments multiples. 67
Facile : l'immaturité hépatique est constante chez le prématuré.
Question à compléments multiples. 88 Un ictère est apparu avant la 12ème heure de vie chez un nouveau-né. La ou les cause(s) susceptible(s) d'expliquer cet ictère sont la ou les suivantes : A - Infection bactérienne septicémique B - Hémolyse par incompatibilité foeto-maternelle C - Obstruction des voies biliaires D - Hépatite virale E - Cholémie familiale
Une encéphalopathie hyperbilirubinémique (ictère nucléaire) peut compliquer l'évolution de : A - L'incompatibilité foeto-maternelle rhésus B - L'ictère du prématuré C - L'ictère au lait de femme D - L'ictère par déficit en G 6 P D E - L'ictère de la maladie de Crigler-Najjar Bonne(s) réponse(s) : A B D C et E sont aussi ictères à bilirubine non conjuguée mais plus tardifs et ne faisant pas généralement courir le risque d'ictère nucléaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B Les items C.D.E ainsi que l'ictère physiologique surviennent plus tardivement. Tout ictère survenant avant la 24 48ème heure est pathologique.
Question à compléments multiples. 106 L'ictère néonatal par incompatibilité Rhésus foeto-maternelle anti-D : A - Survient si la mère est rhésus positif et l'enfant rhésus négatif B - Est un ictère présent dès la naissance C - Est un ictère insensible à la photothérapie D - Peut être associé à une anémie, qui fait la gravité du pronostic immédiat E - Est un ictère à bilirubine libre
Question à complément simple. 49 L'ictère simple, dit physiologique, du nouveau-né à terme : A - Apparaît le plus souvent dans les 24 premières heures de vie B - Entraîne une décoloration des selles C - S'accompagne initialement d'une hépatomégalie D - S'accompagne initialement d'urines normalement colorées E - S'accompagne généralement d'une splénomégalie Bonne(s) réponse(s) : D A - Non, après 36 heures ; sinon évoquer une infection ou une hémolyse. B - Il ne s'agit pas d'une cholestase. C E - Sans rapport.
Bonne(s) réponse(s) : B D E L'ictère apparaissant au 2ème jour correspond à l'ictère "physiologique" par immaturité hépatique.
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446 Annales INTERNAT PEDIATRIE 2
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Question à complément simple. 31 Quel est le mécanisme principal de l'ictère ? A - Prématurité B - Alimentation au sein C - Incompatibilité ABO D - Polyglobulie E - Déficit en glycuronyl-transférase Bonne(s) réponse(s) : A L'ictère de B survient plus tard (3 à 5 j).
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447 Annales INTERNAT PEDIATRIE 3
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Question à complément simple. 23
Question à compléments multiples. 110
Des parents vous amènent leur petit garçon de 4 mois pour la vaccination D.T.C.P. (diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélitique). Le père a eu des crises d'asthme jusqu'à l'âge de 15 ans et le frère ainé est diabétique. Que faitesvous ? A - Vous demandez un dosage des Ig E sériques B - Vous attendez l'âge de un an pour vacciner C - Vous explorez l'allergie cutanée D - Vous faites le vaccin quadruple sollicité E - Vous contre-indiquez les anatoxines
La vaccination contre la rougeole : A - Est obligatoire en France avant l'âge de 2 ans B - Utilise un virus inactivé C - Peut être associée à la vaccination contre la rubéole D - Doit être pratiquée de préférence avant l'âge de un an E - Provoque une réaction fébrile dans 10 à 15 % des cas Bonne(s) réponse(s) : C E On utilise un vaccin vivant suratténué. Pour être pleinement efficace, il est préférable de ne pas vacciner avant 1 an.
Bonne(s) réponse(s) : D Le diabète et l'asthme chez les parents, la fratrie et même chez le propositus ne sont pas des contre-indications au D.T.C.P.
Question à complément simple. 85 Parmi ces vaccinations, laquelle ne doit pas être pratiquée pendant la 1ère année de la vie, si vous suivez le calendrier vaccinal proposé actuellement ? A - B.C.G. B - Diphtérie Tétanos C - Coqueluche D - Poliomyélite E - Rougeole Bonne(s) réponse(s) : E Q.C.M. un peu litigieuse : la vaccination contre la rougeole ne se fait pas avant 1 an car elle a peu de chance d'entrainer une séroconversion. Mais légalement le B.C.G. n'est obligatoire qu'avant l'entrée en collectivité.
Question à complément simple. 95 Quelle vaccination est en règle générale inefficace lorsqu'elle est entreprise avant le 9ème mois ? A - Vaccination antituberculeuse B - Vaccination antirougeoleuse C - Vaccination anticoquelucheuse D - Vaccination antitétanique E - Aucune des réponses ci-dessus n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : B
Question à complément simple. 16 Parmi les vaccinations suivantes laquelle ne doit pas être pratiquée pendant la 1ère année de la vie, parce qu'elle risque d'être inefficace ? A - Antipoliomyélitique B - B.C.G. C - Antimorbilleuse D - Anticoquelucheuse E - Antitétanique Bonne(s) réponse(s) : C A D E - Composants du tétracoque avec l'antidiphtérique, utilisés dès 4 mois. B - Le BCG peut être effectué à la naissance. C - Conseillé entre 12 et 15 mois.
Question à complément simple. 39 Quelle sera la vaccination à pratiquer à trois mois et demi ? A - Vaccin antivariolique B - BCG C - Vaccin antirougeoleux D - Vaccin D.T.C.P. E - Vaccin anticoquelucheux Bonne(s) réponse(s) : D A - N'est plus recommandé B - Possible mais légalement : avant l'entrée en collectivité C - Après 12 mois ; rarement seul le plus souvent associé au D.T.P : item D
B. Inactivation du vaccin par les anticoprs maternels transmis.
Question à compléments multiples. 42 Question à compléments multiples. 107 Actuellement en France et pour les enfants de moins de 2 ans, la ou les vaccination(s) obligatoire(s) est ou sont : A - Antivariolique B - Antidiphtérique C - Antitétanique D - Antitypho-paratyphoïdique E - Antipoliomyélitique Bonne(s) réponse(s) : B C E Le vaccin antiparatyphoïdique n'est non seulement pas obligatoire mais contre-indiqué chez l'enfant de moins de 2 ans en raison de sa mauvaise tolérance fréquente.
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Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant la vaccination antiourlienne ? A - Virus inactivé par le formol B - Nécessite une injection de rappel tous les 3 ans C - Obligatoire chez l'adolescente séronégative D - Est contre-indiquée chez le diabétique E - Peut être associée aux vaccins contre la rougeole et la rubéole Bonne(s) réponse(s) : A E Vaccin vivant atténué, éventuellement associé aux vaccins contre la rougeole et la rubéole (R.O.R.).
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Question à compléments multiples. 64 Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant la vaccination antiourlienne ? A - Virus inactivé B - Nécessite une injection de rappel tous les 3 ans C - Est conseillée chez les enfants après l'âge d'un an D - Est contre-indiquée chez le diabétique E - Peut être associée aux vaccins contre la rougeole et la rubéole Bonne(s) réponse(s) : C E Comme tous les virus vivants le vaccin s'administre après 1 an d'âge.
Question à compléments multiples. 69 Connaissant les risques et les effets secondaires des vaccinations cochez celle ou celles qui étant dangereuse(s) devra(devront) être dorénavant proscrite(s) chez cet enfant : A - Vaccination antirougeoleuse B - Vaccination antidiphtérique, antitétanique, antipoliomyélitique (D.T.P.) C - Vaccination anticoquelucheuse D - Vaccination antivariolique E - Vaccination antirubéolique Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 49 La mère demande de la conseiller au sujet des vaccinations. Parmi les propositions suivantes laquelle ou lesquelles est ou sont fausse(s) ? A - La vaccination contre la variole est obligatoire B - Le BCG doit être obligatoirement pratiqué avant 1 an C - La vaccination anti coquelucheuse est obligatoire D - La vaccination contre la poliomyélite doit de préférence utiliser le vaccin vivant par voie buccale lors de la primo vaccination E - La vaccination contre la rubéole ne doit être pratiquée que chez les filles Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A - Ne se fait plus. B - Avant 6 ans. D - C'est lors des rappels qu'on propose le vaccin vivant.
Question à complément simple. 38 Connaissant les risques et les effets secondaires des vaccinations, cocher celle qui devra être dorénavant interdite chez cet enfant. A - Vaccination anti-rougeoleuse B - Vaccination anti-diphtérique, anti-tétanique C - Vaccination anti-coquelucheuse D - Vaccination anti-poliomyélitique E - B.C.G. Bonne(s) réponse(s) : C - Le vaccin anticoqueluche est responsable d'une hyperthermie majeure. - A noter, pour certains il faut aussi contre-indiquer le vaccin antirougeole.
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Question à complément simple. 67 Quel qualificatif s'applique à l'hypertension artérielle de cette enfant ? A - Labile B - Limite C - Confirmée D - Menaçante E - Aucun des qualificatifs proposés Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. 14 Une hypertension intracrânienne par tumeur vermienne, survenue chez un enfant de 3 ans, entraîne généralement : A - Des céphalées B - Une attitude en torticolis C - Des vomissements le matin à jeun D - Une hémiplégie E - Un syndrome polyuro-polydipsique Bonne(s) réponse(s) : A B C L'attitude en torticolis témoigne de l'atteinte sous-tentorielle de la lésion.
Question à compléments multiples. 112 Les radiographies de crâne chez un enfant atteint d'hypertension intracrânienne peuvent montrer : A - Une accentuation des empreintes osseuses cérébrales B - Une disjonction des sutures C - Un élargissement de la selle turcique D - Une hyperostose frontale interne E - Un amincissement du dorsum sellae Bonne(s) réponse(s) : A B "Les impressions digitiformes" se voient à partir de 2 ans mais sont souvent physiologiques. La disjonction des sutures est un bon signe, surtout chez le nourrisson. L'élargissement de la selle turcique et l'amincissement du dorsum sellae se voient chez l'adulte, pas chez l'enfant.
Question à compléments multiples. 26 Ce tableau évoque une hypertension intracrânienne (HTIC). Quel(s) examen(s) permette(nt) de la confirmer ? A - Un fond d'oeil B - Une échographie trans-fontanellaire C - Une radiographie du crâne (face-profil) D - Une ponction lombaire E - Un électro-encéphalogramme Bonne(s) réponse(s) : A C A - Oedème papillaire. B - Pas à cet âge. C - Disjonction des sutures, empreintes digitiformes... D - Certainement pas. E - Sans rapport. Un enfant de 4 ans, qui ne présente pas d'antécédent particulier et dont le développement psychomoteur a été normal se plaint depuis une quinzaine de jours de céphalées de plus en plus intenses, survenant au réveil. Depuis trois jours, sont apparus des vomissements d'horaire matinal, se répétant une à deux fois et soulageant la céphalée.
Question à compléments multiples. 27 Le scanner cérébral met en évidence des signes d'hypertension intracrânienne et une formation tumorale au niveau du vermis-cérébelleux. Quels sont les 2 diagnostics à évoquer en priorité ? A - Un astrocytome cérébelleux B - Un médulloblastome C - Un gliome infiltrant D - Un épendymome E - Un pinéalome Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
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Question à complément simple. 101
Question à compléments multiples. 27
Quelle est,.en milligramme par kilo de poids, la posologie du Diazepam (Valium®) à administrer par voie rectale à un nourrisson qui convulse ? A - 0,1 à 0,2 mg/kg B - 0,5 à 1mg/kg C - 2 à 4 mg/kg D - 5 à 10 mg/kg E - 11 à 15 mg/kg
Les convulsions hyperthermiques avant l'âge de 3 ans : A - Ont leur diagnostic affirme par la présence d'anomalies spécifiques de l'EEG B - Peuvent être unilatérales C - Justifient dans tous les cas un traitement antiépileptique systématique D - Apparaissent surtout au début des épisodes fébriles E - Peuvent avoir un caractère familial
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : B D E
La voie intrarectale est la voie d'élection dans ce cas. L'injection de 0,5 à 1 mg/kg/j de Valium® peut être répétée 1 ou 2 fois en cas de persistance des convulsions.
L'EEG est le plus souvent normal. Le traitement anti-épileptique n'est indiqué que dans certains cas où il existe un risque notable de récurrence (âge inférieur à 1 an, durée supérieure à 15 minutes, déficit moteur post critique transitoire, ATCD familiaux, récidive....).
Question à compléments multiples. 99 Parmi les éléments suivants, indiquez celui(ceux) qui est(sont) nécessaire(s) pour retenir le diagnostic de crise convulsive hyperthermique vraie (ou simple) : A - Hyperthermie supérieure à 38°5 B - Absence de toute récidive C - Première crise avant l'âge de 8 mois D - Infection n'affectant pas directement le système nerveux E - Absence d'encéphalopathie préexistante Bonne(s) réponse(s) : A D E
Question à compléments multiples. 8 Une crise convulsive chez un nourrisson peut être dans certains cas due à : A - Une hypocalcémie B - Une hypoglycémie C - Une anoxie D - Une méningite purulente E - Un épanchement sous-dural Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
B. Récidive dans 10 à 40 % des cas. C. Les crises surviennent entre 6 mois et 5 ans. D E. Font partie de la définition. A. Est classique mais faux, car c'est la rapidité de la variation thermique (élévation ou diminution) qui compte.
Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 45 Question à complément simple. 27 Quelle est, en milligramme par kilo de poids, la posologie du diazépam (Valium®) à administrer par voie rectale à un nourrisson qui convulse ? A - 0,5 à 1 mg/kg B - 2 a 3 mg/kg C - 4 à 6 mg/kg D - 7 à 10 mg/kg E - 11 à 15 mg/kg Bonne(s) réponse(s) : A
Le pronostic d'une convulsion chez un nourrisson est aggravé si : A - La température est élevée avant la crise B - La perte de conscience est immédiate et complète C - Les clonies sont généralisées D - La crise dure 30 minutes E - La survenue intervient avant 12 mois d'âge Bonne(s) réponse(s) : D Une crise tonicoclonique de plus de 15 minutes est toujours sérieuse avec risque de séquelles. En ce qui concerne la réponse E tout dépend de la cause de la convulsion : hypocalcémie, hyperthermie....
Connaissances.
Question à compléments multiples. 88
Question à complément simple. 45 Quelle est la cause la plus fréquente des convulsions chez l'enfant entre 6 mois et 4 ans ? A - Spasmes en flexion B - Convulsions hyperthermiques C - Hypoglycémie D - Tumeur cérébrale E - Hypocalcémie
Une hémicrise convulsive en climat fébrile chez un enfant de 1 an : A - Peut évoluer vers une hémiplégie B - Témoigne obligatoirement d'une lésion focalisée C - Est susceptible de se prolonger vers un état de mal D - Doit être suivie d'un traitement anti-comitial prophylactique E - Peut être révélatrice d'une encéphalite herpétique
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Elles sont de très bon pronostic.
Toujours avoir à l'esprit qu'il peut s'agir de la première manifestation d'un syndrome H.H.E. (Hémiconvulsion Hémiplégie Epilepsie). Il faut pratiquer une PL et un EEG.
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Question à compléments multiples. 114
Question à compléments multiples. 90
A propos des convulsions fébriles : A - Elles peuvent survenir à tout âge de la naissance à 5 ans B - Elles peuvent revêtir toutes les formes sémiologiques des crises convulsives hormis les spasmes axiaux C - Elles sont toujours bénignes quelle que soit la durée de la crise D - Une réaction albuminocytologique du LCR y est constamment retrouvée E - Le risque de récidive est plus important si la première crise survient avant un an
Les convulsions hyperthermiques : A - Elles surviennent entre 6 mois et 4 ans B - La fièvre est le plus souvent en rapport avec une infection ORL C - Elles sont le plus souvent bilatérales, cloniques, de durée brève D - La récidive s'observe dans plus de la moitié des cas E - L'évolution vers l'épilepsie est la règle
Bonne(s) réponse(s) : E
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Bonne(s) réponse(s) : A B C A - 6 mois à 4-5 ans. D - Non : 40 % 2 crises, 10 % 3 crises.
A - Non, de 6 mois à 1 an. B - Non, elles sont toujours motrices jamais sensitives. C - Faux, elles peuvent réaliser un véritable état de mal. D - Pas constamment. E - Classique.
Question à compléments multiples. 95
Question à complément simple. 66
Parmi les médicaments anticonvulsivants suivants, lequel ou lesquels a (ont) une activité certaine sur le petit mal ? A - Dipropyl acétate de sodium (Dépakine®) B - Carbamazépine (Tégrétol®) C - Diphénylhydantoïne (Dihydan®) D - Phénobarbital (Gardénal®) E - Ethosuximide (Zarontin®)
Vous êtes appelé en urgence auprès d'un enfant pesant 10 kg qui convulse encore à votre arrivée. Quel traitement prescrire ? A - 5 cg de Phénobarbital IM B - Un suppositoire de Prénoxan (Aspirine + Phénobarbital) 2 cg C - 10 ml de Diazepam par voie intra-rectale D - 5 mg de Diazepam par voie intra-rectale E - Un comprimé de Diphénylhydantoïne écrasé dans une cuillerée d'eau Bonne(s) réponse(s) : D Initialement : 0,5 mg/kg de valium intrarectal.
Question à compléments multiples. 112 Parmi les conditions étiologiques ou particularités symptomatiques des convulsions fébriles communes qui aggravent pour une crise donnée le risque de séquelle, vous retenez : A - L'âge de survenue entre 1 et 2 ans B - L'existence d'antécédents de souffrance cérébrale C - L'existence d'une révulsion oculaire au cours de la crise D - Une durée de la crise supérieure à 30 minutes E - L'existence d'une discrète anomalie électroencéphalographique diffuse 6h après la crise Bonne(s) réponse(s) : B D A - Age le plus fréquent. C - Banal lors d'une convulsion. E - Banal d'où le peu d'intérêt de l'EEG.
Bonne(s) réponse(s) : A E QCM déjà tombé et qui tombera encore...
Question à compléments multiples. 68 Si vous avez posé le diagnostic de convulsions hyperthermiques, cela implique : A - Une possibilité de récidive dans 30 à 40 % des cas B - La possibilité d'un rachitisme hypocalcémique associé C - La prophylaxie de récidive chez les enfants ayant une crise unilatérale D- La prescription de Gardenal® ou d'acide valproïque en cas de prophylaxie jusqu'au moins l'âge de 4 ans E - Un examen tomodensitométrique systématique Bonne(s) réponse(s) : A C D D - Uniquement en cas de facteur de risques : crise longue, unilatérale, survenue avant 12 mois, antécédents neurologiques personnels ou familiaux. En cas de récidive, on peut soit traiter au coup par coup la fièvre en y associant du valium, soit faire cette prophylaxie.
Question à compléments multiples. 49 Une crise convulsive du nourrisson peut comporter : A - Une modification du tonus B - Une révulsion oculaire C - Un changement de couleur de l'enfant D - Un trouble respiratoire E - Des mouvements saccadés des 4 membres Bonne(s) réponse(s) : A B C D E La majorité des crises communes du nourrisson sont des crises motrices bilatérales presque toujours cloniques dans les convulsions hyperpyrétiques et toniques dans les lésions cérébrales.
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Un petit garçon de 13 mois est trouvé grognon, vers 15h30, après sa sieste. Il refuse son goûter. Au moment du change,sa mère le trouve très chaud. Quelques minutes plus tard, il présente des secousses des 4 membres. Cet épisode dure environ 30 secondes, puis, après une brève phase de somnolence, l'enfant se réveille. La mère prend alors la température : 39° C. Elle fait avaler à l'enfant un demi-comprimé d'aspirine à 0,5 g, et appelle son médecin traitant. Celui-ci diagnostique 453crise convulsive et adresse l'enfant à l'hôpital : By NADJI 85 une
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Question à compléments multiples. 50
Question à compléments multiples. 75
Dans le cas de ce nourrisson, le diagnostic de convulsion hyperthermique simple pourra être posé si : A - Il n'y a pas d'antécédent neurologique important B - Si le LCR est normal C - Si l'EEG montre une hypsarythmie D - Si la glycémie est normale E - Si la calcémie est basse
Si une convulsion était survenue lors de l'épisode fébrile à 39.7 degrés quel(s) traitement(s) auriez-vous fait à domicile ? A - Gardenal® : 6 cg per os B - Valium® : 15 mg intrarectal C - Valium® : 4 mg intrarectal D - Valium® : 4 mg intramusculaire E - Gardenal® : 3 cg IM
Bonne(s) réponse(s) : A B D
Bonne(s) réponse(s) : C
La ponction lombaire est faite au moindre doute clinique, ou si l'enfant est d'âge inférieur à 18 mois.
Sans commentaire.
Question à complément simple. 65
Question à compléments multiples. 51 Les convulsions dites hyperthermiques : A - Touchent l'enfant de 6 mois à 5 ans B - Sont toujours des clonies C - Peuvent se prolonger en un état de mal convulsif D - Peuvent être dues à une encéphalite aiguë E - Comportent un risque d'hémiplégie séquellaire
Parmi les sémiologies suivantes, indiquez celle qui ne fait pas partie du tableau des crises convulsives fébriles ? A - Crise hémiclonique B - Crise tonique pure généralisée C - Crise hypotonique D - Spasmes en flexion E - Etat de mal généralisé tonicoclonique
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : D
Ce type de convulsion peut se prolonger en état de mal convulsif, quand les convulsions généralisées ou latéralisées durent plus de 30 minutes. Les convulsions de longue durée (supérieures à 15 minutes) peuvent être à l'origine de séquelles.
Sans commentaire.
Question à complément simple. 52 Dans la liste suivante, indiquez le facteur qui a une certaine influence sur le taux de récidive des convulsions hyperthermiques de l'enfant : A - Le caractère partiel ou généralisé de la crise B - Le degré de l'hyperthermie C - L'âge inférieur à 1 an D - La longueur de la crise E - La normalité de l'EEG intercritique
Vous êtes appelé auprès d'un enfant de 15 mois qui présente une crise convulsive depuis 10 minutes. Le tableau que vous constatez est celui d'une crise hémiclonique droite typique avec perte de conscience et révulsion oculaire. Spontanément, quelques minutes après votre arrivée, la crise cède et l'examen postcritique montre, l'enfant restant inconscient, une hémiplégie droite, une hyperthermie à 39° avec, comme seul élément infectieux, une otite purulente spontanément fistulisée, évoluant depuis 3 jours : l'hyperthermie qui l'accompagne est rendue oscillante par le traitement en cours, uniquement antithermique. Les antécédents personnels et familiaux sont absolument libres le développement de l'enfant a été normal, il n'a jamais présenté de crises auparavant.
Question à compléments multiples. 66
Bonne(s) réponse(s) : C La récurrence des crises existe dans 40% des cas, surtout chez les filles et d'autant plus que la première crise a été plus précoce.
Question à compléments multiples. 53 Face à une crise convulsive fébrile qui se prolonge plus de 10 minutes chez un nourrisson, quelle(s) mesure(s) thérapeutique(s) mettez-vous en oeuvre ? A - Mise en position latérale de sécurité B - Injection IM de gardénal C - Bain D - Administration orale d'aspirine E - Injection intrarectale de Valium®
Une crise hémiconvulsive durant moins d'1/4 d'heure ne fait en général pas courir de risques. Au-delà d'une demi-heure (état de mal) les risques se multiplient. Cochez celui ou ceux que vous pensez réel(s) ? A - Hématome sous-dural B - Oedème cérébral et engagement C - Auto-entretien convulsif rebelle au traitement D - Séquelles hémiplégiques E - Aucune proposition n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire.
Question à complément simple. 70
Bonne(s) réponse(s) : A C D E En urgence A et E sont nécessaires. Mais dès la fin de la crise : bain et administration orale d'aspirine.
La décision éventuelle du traitement préventif des récidives convulsives chez ce malade pourrait découler d'un seul élément de son histoire clinique. Indiquez-le : A - L'âge B - Le caractère de première crise fébrile C - Le caractère hémiconvulsif de la crise D - La durée de la crise E - Signes déficitaires postcritiques transitoires Bonne(s) réponse(s) : E
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Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. 34 Parmi les présentations suivantes, indiquer celle ou celles qui ne fait ou ne font pas partie du tableau des crises convulsives fébriles : A - Crises hémicloniques B - Crises toniques pures généralisées C - Crises hypotoniques D - Spasmes en flexion E - Etat de mal, généralisé tonico-clonique Bonne(s) réponse(s) : D Les formes sensitives pures ne font pas partie non plus du tableau. B - Les crises toniques pures éliminent les convulsions du 5ème jour mais pas les convulsions hyperthermiques. Vous êtes appelé auprès d'un enfant de 18 mois qui présente une crise convulsive depuis 10 minutes. Le tableau que vous constatez est celui d'une crise clonique, hémicorporelle droite, avec perte de connaissance et révulsion oculaire. Spontanément, à votre arrivée, la crise cède et l'examen postcritique montre un enfant inconscient, une hémiplégie droite, une hyperthermie à 39 degrés. Par ailleurs, l'examen clinique montre comme seul élément infectieux, une otite purulente. Les antécédents personnels et familiaux sont absolument libres et le développement de l'enfant a été normal. Il n'a jamais présenté de crise convulsive auparavant.
Question à compléments multiples. 35 Une hémicrise convulsive durant 10 mn ne fait en général. pas courir de risques. Au-delà d'une demi-heure, les risques se multiplient. Cocher celui ou ceux que vous pensez réel(s) ? A - Hématome extra-dural B - Hyperthermie maligne C - Oedème cérébral et engagement D - Auto-entretien convulsif rebelle aux traitements E - Séquelles hémiplégiques Bonne(s) réponse(s) : C D E A - Cause possible et non conséquence. B - Sans rapport. E - Se voit lors du syndrome hémiplégie-hémiconvulsion et épilepsie.
Question à complément simple. 39 La décision éventuelle du traitement préventif des récidives convulsives chez ce malade pourrait découler d'un seul élément de son histoire clinique. Indiquez-le : A - L'âge B - Le caractère clonique de la 1ère crise fébrile C - Le caractère hémi-convulsif de la crise D - La durée de la crise E - L'importance de l'hyperthermie Bonne(s) réponse(s) : C A - Il aurait fallu un âge inférieur à 9 mois. D - Il aurait fallu une crise d'une durée supérieure à 15-30 minutes. Les autres critères de mise sous traitement préventif sont : existence d'un déficit post-critique et récidives.
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Question à complément simple. 86 Lequel des examens suivants est le plus utile au diagnostic de maladie coeliaque ? A - Test au xylose B - Dosage du chlore sudoral C - Dosage de la vitamine B12 D - Dosage des immunoglobulines E - Parasitologie des selles Bonne(s) réponse(s) : A Le test au D xylose explorant l'absorption au niveau de la partie proximale du grêle est perturbé dans 90 % des cas de maladie coeliaque. En fait le seul test spécifique est la biopsie du grêle.
Question à compléments multiples. 36 La maladie coeliaque de l'enfant comporte habituellement : A - Début dès l'introduction des farines sans intervalle libre B - Cassure de la courbe de poids C - Augmentation du volume de l'abdomen D - Atrophie et hypotonie musculaire E - S'accompagne d'une anorexie Bonne(s) réponse(s) : B C D E A - Non, il existe en général un intervalle libre.
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456 Annales INTERNAT PEDIATRIE 12
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Question à complément simple. 23
Question à compléments multiples. 18
Des parents vous amènent leur petit garçon de 4 mois pour la vaccination D.T.C.P. (diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélitique). Le père a eu des crises d'asthme jusqu'à l'âge de 15 ans et le frère ainé est diabétique. Que faitesvous ? A - Vous demandez un dosage des Ig E sériques B - Vous attendez l'âge de un an pour vacciner C - Vous explorez l'allergie cutanée D - Vous faites le vaccin quadruple sollicité E - Vous contre-indiquez les anatoxines
Ultérieurement les crises d'asthme récidivent de façon fréquente, deux fois par mois. Quel est votre conduite ? A - Rechercher un terrain allergique B - Faire un autocontrôle régulier quotidien par mesure du débit de pointe C - S'assurer qu'il n'y a pas de signe obstructif pendant l'intervalle libre entre les crises D - Peut justifier un traitement au long cours par la Théophylline retard E - Rassurer car l'asthme guérit à la puberté
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Le diabète et l'asthme chez les parents, la fratrie et même chez le propositus ne sont pas des contre-indications au D.T.C.P.
A C - Sont évidents. B - Est discutable du fait du mot "quotidien". D - Il s'agit du traitement. E - Eviter de rassurer inutilement.
Question à compléments multiples. 42 Quel(s) est(sont) parmi ces états pathologiques celui(ceux) qui est(sont) susceptible(s) de venir compliquer une crise d'asthme chez l'enfant : A - Etat de mal B - Emphysème sous-cutané C - Pneumothorax D - Pneumomédiastin E - Infection bronchique Bonne(s) réponse(s) : A B C D E L'existence d'une augmentation de pression intra alvéolaire avec rupture d'une bulle ou d'alvéoles, soit au niveau de la plèvre pariétale, soit au niveau du médiastin explique les items B.C.D. A E. Sont logiques.
Question à compléments multiples. 52 Après une bronchiolite sévère chez un nourrisson, on peut craindre l'évolution vers un asthme à long terme, s'il présente : A - Un eczéma associé B - Des épisodes de bronchites récidivantes C - Une élévation des IgE D - Des antécédents allergiques familiaux E - Une intolérance aux protéines du lait de vache Bonne(s) réponse(s) : A C D A C D. Evoquent un terrain atopique. B. Serait exact si il était précisé bronchites "sifflantes". E. Est discutable car pouvant survenir chez un atopique.
Question à compléments multiples. 79 Parmi les propositions suivantes, indiquez les trois allergènes responsables de crises d'asthme les plus fréquemment mis en évidence : A - Candida albicans B - Salive de chat C - Streptocoque A D - Dermatophagoïdes ptéronyssinus E - Pollen de dactyle Bonne(s) réponse(s) : B D E D E - Sont classiques. B - Un peu moins (mais l'allergène majeur au chat (cat 1 ) est surtout contenu dans la salive.
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Question à compléments multiples. 25 Parmi ces signes de déshydratation aiguë du nourrisson, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui évoquent une déshydratation intracellulaire ? A - Pli cutané B - Hypotension artérielle C - Fièvre D - Dépression de la fontanelle E - Sécheresse des muqueuses Bonne(s) réponse(s) : C.E. A B D. Sont des signes de déshydratation extracellulaire de toute façon le diagnostic se fait sur l'existence d'une hypernatrémie.
Question à compléments multiples. 32 Parmi ces signes de déshydratation aiguë du nourrisson, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui évoquent une déshydratation intracellulaire ? A - Pli cutané B - Yeux enfoncés et cernés C - Fièvre D - Soif E - Sécheresse des muqueuses Bonne(s) réponse(s) : C D E Les autres signes sont ceux de la déshydratation extracellulaire.
Question à compléments multiples. 68 Une déshydratation extra-cellulaire aiguë du nourrisson se manifeste typiquement par : A - Une hypotension artérielle B - Une soif vive C - Une persistance du pli cutané abdominal D - Une sécheresse du sillon gingivo-jugal E - Des cernes sous-oculaires marqués Bonne(s) réponse(s) : A C E B et D sont des risques de déshydratation intracellulaire.
Question à compléments multiples. 49 Dans le bilan pratiqué à l'admission à l'hôpital parmi les altérations sanguines suivantes, indiquez celle(s) qui tradui(sen)t une hémoconcentration par déshydratation : A - Elévation de la calcémie B - Hypernatrémie C - Hyperprotidémie D - Elevation de l'hématocrite E - Hyperchlorémie Bonne(s) réponse(s) : C D B - Traduit une déshydratation intracellulaire.
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Question à compléments multiples. 82
Question à complément simple. 109
Chez un enfant de 4 ans, les germes habituellement rencontrés au cours des méningites purulentes, sans traumatisme préalable, sont les suivants : A - Méningocoques B B - Hémophilus influenzae C - Staphylocoques D - Pneumocoques E - Streptocoques D
Un enfant est hospitalisé en raison d'une méningite lymphocytaire de type viral, alors qu'il existe une épidémie d'oreillons dans son école. Parmi les examens biologiques suivants, lequel vous permet d'affirmer immédiatement l'étiologie ourlienne de cette méningite ? A - Hémogramme B - Dosage des amylases sanguines et urinaires C - Glycémie D - Isolement du virus ourlien dans le liquide céphalorachidien E - Aucun des examens précédents
Bonne(s) réponse(s) : A B D Le staphylocoque est rare sans contexte traumatique. Les streptocoques D sont surtout responsables de méningites en période néonatale.
Bonne(s) réponse(s) : B L'hyperamylasémie et l'hyperamylasurie sont dans ce contexte très évocatrices. Cependant seul l'isolement du virus (D) permettrait d'affirmer (mais de façon retardée) le diagnostic.
Question à complément simple. 56 Au cours d'une méningite purulente chez l'enfant, la dose quotidienne d'ampicilline que vous devez prescrire par voie veineuse et par jour est la suivante : A - 10 mg/kg B - 25 mg/kg C - 50 mg/kg D - 200 mg/kg E - 400 mg/kg Bonne(s) réponse(s) : D La posologie (pour les germes sensibles à l'ampicilline bien sûr) est de 200 mg/kg/j en 4 à 6 injections.
Question à compléments multiples. 47 Quels sont parmi les germes suivants, celui ou ceux qui est ou sont le plus fréquemment responsable(s) en France des méningites purulentes du nourrisson ? A - Pneumocoque B - Pyocyanique C - Méningocoque D - Hémophilus influenzae E - Staphylocoque Bonne(s) réponse(s) : A C D Question de cours, pyocyanique et staphylocoque surviennent lors de circonstances particulières (traumatisme, terrain particulier etc...).
Question à compléments multiples. 67 Parmi les propositions suivantes concernant l'examen du liquide céphalorachidien (LCR) pratiqué en urgence chez un enfant présentant un syndrome méningé, indiquez celle(s) qui plaiderait(nt) en faveur d'une méningite à méningocoque : A - Présence de diplocoques à Gram négatif à l'examen direct du LCR B - Une réaction inflammatoire dans le LCR inférieure à 200 cellules/mm3 C - La présence d'antigènes solubles détectés dans le LCR D - Une glycorrachie normale E - Une protéinorachie supérieure à 2 g/l
Question à complément simple. 37 Une méningite suppurée du nourrisson s'accompagne en règle des éléments suivants sauf un. Lequel ? A - Un état fébrile B - Une tension excessive de la fontanelle C - Un ballonnement abdominal D - Un plafonnement intermittent du regard E - Une hypotonie de la nuque
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : C
Typiquement (et excepté dans le purpura fulminans) la réaction inflammatoire est plus élevé souvent supérieure à 1000 éléments/ml La glycorrachie est en règle abaissée. C. Bien que rarement retrouvée, est très évocatrice en particulier si une antibiothérapie préalable a décapité la méningite.
A B D E. Sont des signes classiques. D. Est un signe de souffrance neurologique.
Question à complément simple. 74 Une méningite chez un enfant ayant une otite chronique est habituellement due au : A - Méningocoque B - Streptocoque C - Colibacille D - Pneumocoque E - Staphylocoque Bonne(s) réponse(s) : D Q.C.M. très litigieuse : les germes responsables des otites chroniques sont surtout le pyocyanique, le proteus et les anaérobies (on peut aussi retrouver le staphylocoque et le streptocoque dont, le plus souvent, le pneumocoque). En fait aucun des 5 items proposés n'est valable, si il s'agissait d'une otite aiguë la réponse serait D.
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Question à compléments multiples. 14
Question à compléments multiples. 107
Parmi les symptômes suivants, le(s)quel(s) ne fait(font) pas partie de la sémiologie des méningites purulentes chez le nourrisson ? A - Convulsions B - Bombement de la fontanelle C - Paralysie flasque des extrémités D - Hypotonie axiale E - Hyperesthésie cutanée
Parmi les séquelles des méningites à pneumocoque du nourrisson les plus à craindre, vous retenez : A - Cécité B - Strabisme C - Surdité D - Hydrocéphalie E - Toutes les réponses sont exactes Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire. Il y a toujours une irritation pyramidale.
Question à compléments multiples. 117
Question à compléments multiples. 26 Chez un nouveau-né de 8 jours, les 3 germes les plus fréquemment responsables d'une méningite purulente sont : A - Eschérichia coli B - Hémophilus influenzae C - Listéria monocytogènes D - Méningocoque B E - Streptocoque B
Concernant les méningites suppurées du nourrisson et de l'enfant, au delà de l'âge de 2 mois, les 3 germes volontiers en cause sont : A - Neisseria Meningitidis B - Streptococcus pneumoniae C - Streptocoque du Gr. B D - Listeria monocytogénès E - Hemophilus influenzae
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Cette forme de méningite à révélation tardive est appelé "méningite du 8ème jour".
Streptocoque B et listeria se rencontrent chez le nouveau-né, ainsi que l'E. Coli.
Question à complément simple. 27
Question à complément simple. 88
Quel est le traitement d'une méningite purulente d'un enfant de plus de 6 mois, en l'absence de toute orientation concernant l'identité du germe, et en l'absence de purpura ? A - Céphalosporine de 3ème génération (par exemple Cefotaxime®) B - Ampicilline parentérale C - Céphalosporine de 3ème génération avec aminoside D - Ampicilline parentérale avec aminoside E - Chloramphénicol
Quelques jours après une parotidite ourlienne, un enfant de 6 ans présente un syndrome méningé. En ce qui concerne le liquide céphalo-rachidien, les propositions suivantes sont exactes, sauf une. Laquelle ? A - Liquide clair B - Nombreux Iymphocytes C - Protéinorachie augmentée au delà de 1,5 g/l D - Glycorachie normale E - Chlorurorachie normale
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : C
Intérêt de la synergie, obtenue par l'association des 2 antibiotiques.
- Il s'agit d'une méningite lymphocytaire virale. - Une protéinorachie supérieure à 1,5 g/l est évocatrice d'une méningite bactérienne. - Dans la méningite onilienne, la protéinorachie peut être augmentée mais de façon modérée.
Question à complément simple. 62 Parmi les streptocoques suivants identifiés par leur appartenance à l'un des 18 groupes de Lancefield, quel est celui qui est le plus souvent responsable des septicémies et méningites du nouveau-né ? A - Streptocoque du groupe A B - Streptocoque du groupe B C - Streptocoque du groupe D D - Streptocoque du groupe F E - Streptocoque du groupe H Bonne(s) réponse(s) : B Connaissances.
Question à compléments multiples. 11 Une méningite suppurée du nourrisson peut s'accompagner de : A - Un état fébrile B - Une tension excessive de la fontanelle C - Des convulsions D - Un plafonnement intermittent du regard E - Une hypotonie de la nuque Bonne(s) réponse(s) : A B C D E E - On rappelle que l'hypotonie est nettement plus fréquente que la raideur méningée dans la méningite du nourrisson.
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Question à compléments multiples. 107
Question à compléments multiples. 54
Parmi les manifestations neurologiques suivantes, quelle(s) est (sont) celle (s) fréquemment observée(s) à la phase initiale d'une méningite aiguë suppurée chez un nourrisson ? A - Abolition des réflexes ostéo-tendineux B - Babinski uni ou bilatéral C - Troubles de conscience D - Paralysie du VI E - Convulsions
Parmi les germes cités précédemment, quels sont les trois germes les plus fréquemment responsables de méningite purulente chez un tel nourrisson de sept mois ? A - Neisseria meningitidis B - Listeria monocytogènes C - Streptococcus pneumoniae D - Hémophilus influenzae E - Staphyloccus aureus
Bonne(s) réponse(s) : C E
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Réponse très discutable, le terme "fréquemment" est très subjectif. Tous ces signes peuvent être observés lors de la méningite suppurée. C E - Sont les plus fréquents.
Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 55
Question à compléments multiples. 119
Parmi les antibiotiques suivants. cochez ceux dont le passage dans le liquide céphalo-rachidien est suffisant pour permettre le traitement de première intention d'une méningite purulente: A - Erythromycine ou Erythriocine® I.V. B - Gentamicine ou Gentalline® I.M. C - Cefalotine ou Keflin® I.V. D - Cefotaxime ou Claforan® I.V. E - Ampicilline ou Totapen® I.V.
Les deux causes bactériennes les plus fréquentes des méningites néonatales sont : A - Streptocoque B B - Méningocoque C - Pneumocoque D - Escherichia coli E - Staphylococcus epidermidis Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : D E
De même, les trois germes les plus fréquemments responsables d'infection néonatale sont : E Coli K1, streptocoque B et listeria.
Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 73
Question à compléments multiples. 72 Si c'est une méningite à méningocoque, quelle(s) est (sont) la (les) mesure(s) d'hygiène à prendre obligatoirement : A - Désinfecter l'habitation B - Faire une déclaration de maladie contagieuse C - Fermer l'école D - Faire un prélèvement de gorge à tous les élèves de la même école E - Ne prendre aucune mesure particulière Bonne(s) réponse(s) : B Déclaration obligatoire n°13. A C - Aucun intérêt : contamination interhumaine directe, le germe est très fragile. Le portage pharyngé n'est pas forcément pathologique.
L'infirmière de l'établissement vous demande des renseignements sur l'épidémiologie de la méningite à méningocoques. Vous répondez que : A - Les méningocoques résistent bien dans l'air ambiant B - Ils colonisent le rhinopharynx C - La transmission se fait par voie aérienne D - La transmission peut être manuportée E - En France, 80 % des méningocoques sont de type C Bonne(s) réponse(s) : B C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. 58 Question à compléments multiples. 52 Un L.C.R. de méningite purulente peut avoir un ou plusieurs des caractères suivants : A - Hyperprotéinorachie B - Hypochlorurachie C - Hypoglycorachie D - Abaissement de l'acide lactique E - Augmentation de la LDH et de ses iso-enzymes Bonne(s) réponse(s) : A C E
Vous suspectez une méningite. Une ponction lombaire est pour l'instant contre-indiquée par : A - Calcémie à 50 mg/l B - Taux de plaquettes à 150 000/mm3 C - Tension artérielle systolique à 40 mm Hg D - Anémie à 9,5 g HB % Ml E - Tension de la fontanelle Bonne(s) réponse(s) : C QUESTION ANNULEE. En ce cas, l'urgence est au remplissage.
Sans commentaire. Cet enfant de sept mois, sans antécédent particulier,.a fait une otite paracentésée 3 jours plus tôt. Il a été traité par Josacine®, mais il vomit, reste fébrile. Le médecin appelé constate un bombement de la fontanelle antérieure. L'interne de garde effectue une rachicentèse qui retire un liquide franchement trouble. En urgence, le laboratoire donne les résultats suivants : cytologie innombrable, avec 90 % de polynucléaires, présence à l'examen de petits bacilles à Gram négatif.
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Question à compléments multiples. 59 Dans une méningite purulente on observe couramment dans le LCR : A - 250 éléments blancs/mm3 B - Présence de polynucléaires altérés C - Protéinorrachie à 1,80 g/l D - Glycorrachie à 0,9 mmol/l E - Diminution de l'acide lactique Bonne(s) réponse(s) : A B C D Connaissances.
Question à compléments multiples. 25 Le diagnostic de méningo-encéphalite étant évoqué, quel sont les deux microorganismes les plus fréquemment responsables ? A - Méningocoque B - Virus C - Bacille de Koch D - Borrelia burgdorferi E - Escherichia coli Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
Question à compléments multiples. 26 Parmi les virus suivants lequel ou lesquels est ou sont habituellement responsables de telles méningoencéphalites ? A - Herpès Simplex B - Morbillivirus C - Myxovirus influenzae D - Herpès zoster varicellae E - Adénovirus Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
Question à compléments multiples. 27 Dans l'hypothèse d'une méningoencéphalite herpétique quel est ou quels sont l'(es) examen(s) complémentaire(s) décisif(s) qui vous apporte(nt) en 48 heures des arguments positifs ? A - Les données de l'E.E.G B - Un sérodiagnostic herpétique par ELISA C - Un scanner cérébral D - Le dosage d'interféron dans le sang et le L.C.R. E - Une recherche virale par culture dans le L.C.R. Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
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Question à compléments multiples. 22
Question à compléments multiples. 102
Radiologiquement, le rachitisme commun peut se traduire par : A - Elargissement de l'extrémité antérieure des côtes B - Retard d'apparition des points d'ossification C - Aspect élargi et bordure floue des épiphyses radiales D - Déminéralisation diffuse E - Une coxa-valga
Le rachitisme commun carentiel du jeune nourrisson se manifeste par : A - Craniotabès B - Retard de fermeture de la fontanelle antérieure C - Hypotonie musculaire D - Nouures épiphysaires E - Chapelet costal
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E B - Après 15-18 mois. D - Hypertrophie du tissu ostéoide. E - Hypertrophie des jonctions chardorcostales.
Connaissances.
Question à complément simple. 3
Question à complément simple. 38
Quelle est la posologie adaptée pour la prescription quotidienne de vitamine D, à titre prophylactique, du rachitisme commun en France, chez le nourrisson né à terme, de race blanche ? A - 50 à 100 unités B - 200 à 300 unités C - 800 à 1 200 unités D - 2 000 à 4 000 unités E - 5 000 à 10 000 unités Bonne(s) réponse(s) : C On rappelle : 1 goutte de Sterogyl correspond à 400 unités.
Après avoir expliqué l'intérêt de prévenir le rachitisme, vous rédigez l'ordonnance. Parmi ces prescriptions, quelles sont celles adaptées à ce nourrisson. Pour assurer la prophylaxie au rachitisme chez ce nourrisson, la posologie quotidienne de vitamine D à lui donner est de : A - 200 U.I. B - 1000 U I. C - 500 U.I. D - 10 000 U.I. E - 20 000 U.I. Bonne(s) réponse(s) : B Classiquement 800 à 2 000 U.I, suivant la coloration de la peau et l'exposition au soleil, en moyenne 1200 U.I = 3 gouttes de stérogyl®.
Question à compléments multiples. 119 Concernant la prévention du rachitisme carentiel par administration quotidienne de vitamine D, indiquez la ou les proposition(s) exacte(s) : A - Doit être entreprise à partir de l'âge de 2 mois B - Inutile en cas d'allaitement maternel C - Posologie moyenne de 2000 UI/24 heures D - Poursuite jusqu'à l'âge de 18 mois au moins E - Utilise le 1-25 (OH2) D3 Bonne(s) réponse(s) : D A - Dès les premiers jours de vie. B - Le lait maternel ne contient pas assez de vitamine D. C - 1200 UI/24H. E - On utilise le Sterogyl.
Question à compléments multiples. 71 Le rachitisme carentiel commun évolutif non traité du jeune nourrisson se manifeste sur une radio du poignet par : A - Elargissement transversal de la métaphyse B - Incurvation en cupule de la ligne métaphysaire C - Images en toit de pagode D - Aspect condensé de la ligne métaphysaire E - Aspect flou du squelette Bonne(s) réponse(s) : A B C E D - Non, aspect flou, dentelé. L'aspect condensé de la ligne métaphysaire est le premier signe radiologique de guérison.
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Question à complément simple. 17
Question à compléments multiples. 81
Au cours d'une bronchopneumopathie virale, que faut-il redouter en premier lieu chez le nourrisson ? A- Surinfection bactérienne B - Adiastolie C - Pneumothorax D - Insuffisance respiratoire aiguë E - Emphysème interstitiel
Devant des bronchopneumopathies récidivantes du nourrisson, quelle(s) est (sont) les facteurs favorisants que l'on doit systématiquement rechercher ? A - Mucoviscidose B - Troubles de déglutition C - Allergie D - Reflux gastro-oesophagien E - Un déficit en immunoglobulines
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Les formes graves réalisent un tableau d'insuffisance respiratoire aiguë pouvant nécessiter une ventilation assistée.
Egalement déficit en antitrypsine, corps étranger intrabronchique, compression par un arc vasculaire anormal.
Question à complément simple. 86 Un nourrisson présente un syndrome infectieux aigu avec développement rapide d'une détresse respiratoire. La radiographie révèle une pneumopathie bilatérale avec multiples cavités finement cerclées, et un pyopneumothorax droit refoulant le médiastin. Lequel des germes suivants est responsable de ce tableau ? A - Streptococcus pneumoniae B - Staphylococcus aureus C - Hemophilus influenzae D - Klebsiella pneumoniae E - Pseudomonas aeruginosa Bonne(s) réponse(s) : B La présence de bulles (cavités finement cerclées) et d'un pyopneumothorax est fortement évocatrice d'une staphylococcie pleuropulmonaire.
Question à compléments multiples. 55 Parmi les éléments suivants concernant la pneumopathie aiguë à mycoplasma pneumoniae de l'enfant, indiquer la ou les proposition(s) exacte(s) : A - Un diagnostic sérologique est possible B - Le meilleur moyen diagnostique chez le nourrisson est la recherche de mycoplasme par ponction transtrachéale et mise en culture C - Le traitement repose sur l'érythromycine : 50 mg/kg/jour D - La corticothérapie est indiquée E - L'utilisation de tétracycline est possible chez l'enfant de plus de 10 ans Bonne(s) réponse(s) : A C E A - Evident. B - Certainement pas. C - Les tétracyclies sont contre-indiquées avant 9 ans. D - Inutile. On recherchera également une anémie hémolytique, argument diagnostic majeur.
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Question à compléments multiples. 52
Question à complément simple. 77
Après une bronchiolite sévère chez un nourrisson, on peut craindre l'évolution vers un asthme à long terme, s'il présente : A - Un eczéma associé B - Des épisodes de bronchites récidivantes C - Une élévation des IgE D - Des antécédents allergiques familiaux E - Une intolérance aux protéines du lait de vache
Quel est l'examen complémentaire utile pour confirmer le diagnostic de bronchiolite : A - Radiographie pulmonaire B - Gaz du sang veineux C - Hémoculture D - Numération formule sanguine E - Prélèvement de gorge Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A C D Connaissances. A C D. Evoquent un terrain atopique. B. Serait exact si il était précisé bronchites "sifflantes". E. Est discutable car pouvant survenir chez un atopique.
Un nourrison de 12 mois est amené aux urgences pour une détresse respiratoire. L'examen révèle une fréquence respiratoire à 46/mn, un tirage sus-stermal et intercostal modéré, une expiration active, des râles sibilants à l'auscultation. La température est à 37°6C.
Question à complément simple. 77 Dans les bronchiolites aiguës du nourrisson quel est l'agent infectieux plus fréquemment responsable ? A - Adéno-virus B - Rhino-virus C - Virus respiratoire syncytial D - Haemophilus E - Myxovirus influenzae Bonne(s) réponse(s) : C Evident.
Question à compléments multiples. 105 Les bronchiolites aiguës du nourrisson : A - Sont en règle d'étiologie virale B - Surviennent essentiellement chez le nourrisson de < 1 an C - S'accompagnent habituellement d'une dyspnée inspiratoire D - Comportent à l'auscultation des sibilances E - S'accompagnent radiologiquement d'un aspect de distention thoracique Bonne(s) réponse(s) : A D E A - VRS le plus fréquemment. B - Il s'agirait d'un élément de gravité. C - Classiquement expiratoire. D E - Evidents.
Question à compléments multiples. 83 Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour confirmer le diagnostic de bronchiolite : A - Radiographie pulmonaire B - Gaz du sang veineux C - Hémoculture D - Numération formule sanguine E - Prélèvement de gorge Bonne(s) réponse(s) : A Celle-ci montrerait une distension pulmonaire et des opacités alvéolaires (parfois aussi interstitielles et bronchiques). Les items B,C,D,E ne confirment pas le diagnostic de bronchiolite (qui est essentiellement clinique). Un nourrison de 12 mois est amené aux urgences pour une détresse respiratoire. L'examen révèle une fréquence respiratoire à 46/mn, un tirage sus-sternal et intercostal modéré, une expiration active, des râles sibilants à l'auscultation La température est à 37,6 degrés C.
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Question à compléments multiples. 78
Question à complément simple. 58
L'évolution d'une staphylococcie pleuro-pulmonaire chez le nourrisson peut se compliquer de : A - Pyopneumothorax B - Quintes asphyxiantes C - Pneumopathie bulleuse D - Hémothorax E - Pleurésie séro-fibrineuse
Quelle est l'image radiologique typique de la staphylococcie pleuro-pulmonaire du nourrisson ? A - Alvéolaire systématisée B - Interstitielle bilatérale C - Bulleuse uni ou bilatérale D - Miliaire E - Lâcher de ballons
Bonne(s) réponse(s) : A C
Bonne(s) réponse(s) : C
Les quintes asphyxiantes sont un signe de coqueluche. Un épanchement hémorragique peut s'intégrer dans un hémopyopneumothorax. Enfin les pleurésies sont beaucoup plus souvent purulentes. E. Pleurésie séro-fibrineuse.
A - Evoque le pneumocoque. C - Evoque également le pyocyanique et Klebsiella Pneumoniae, explique le risque de rupture et de pyopneumothorax. D - Evoque la tuberculose. E - Métastases.
Question à compléments multiples. 50
Question à compléments multiples. 118
Au cours d'une staphylococcie pleuro-pulmonaire du nourrisson, la radiographie du thorax peut montrer : A - Des images bulleuses B - Des opacités linéaires hilifuges C - Une opacité triangulaire segmentaire et rétractile d'un sommet D - Une opacité pleurale E - Un pneumothorax
Concernant une staphylococcie pleuro-pulmonaire du nourrisson, il est exact que : A - Elle peut révéler une mucoviscidose B - Elle peut se compliquer d'une métastase septique C - Elle s'accompagne d'un météorisme abdominal D - Elle peut se compliquer d'un pyopneumothorax E - Elle peut avoir une porte d'entrée cutanée Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A D E Question de cours. B. Evoque une pneumopathie virale. C. Evoque une atélectasie. Les items A,D, et E sont classiques.
Question à compléments multiples. 61 Question à complément simple. 32 Dans une staphylococcie pleuropulmonaire du nourrisson, quel prélèvement permet le plus sûrement d'isoler le germe et d'en étudier la sensibilité aux antibiotiques : A - Pharyngé B - Urines C - Selles D - Liquide pleural E - Liquide gastrique Bonne(s) réponse(s) : D Positif en cas de pleurésie purulente associée.
Question à compléments multiples. 94
Bonne(s) réponse(s) : A C B - Au contraire, souvent altéré. C - Pôle digestif trompeur mais classique. D - Au contraire, bilatérale. E - Non, n'a pas de valeur pronostique. Une leucopénie peut être aussi grave.
Question à compléments multiples. 74
Quel(s) est(sont) parmi les éléments radiologiques cités, celui(ceux) pouvant évoquer une staphyloccocie pleuropulmonaire ? A - Pneumothorax B - Adénopathie médiastinale C - Image bulleuse D - Epanchement pleural liquidien E - Miliaire Bonne(s) réponse(s) : A C D
La staphyloccocie pleuro-pulmonaire du nourrisson comporte typiquement : A - Une dyspnée (d'intensité variable) B - Une conservation de l'état général C - Un ballonnement abdominal D - Des anomalies radiologiques unilatérales E - Une hyperleucocytose d'autant plus importante que la forme est plus grave
Deux éléments sur la radiographie du thorax doivent faire évoquer le diagnostic de staphylococcie pleuro-pulmonaire chez un nourrisson dyspnéique. Lesquels ? A - Adénopathies médiastinales B - Epanchement pleural C - Atélectasie systématisée D - Formations bulleuses E - Distension bilatérale Bonne(s) réponse(s) : B D
L'image bulleuse est la plus typique. Evident.
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Question à complément simple. 31 Quel est le signe radiologique le plus précoce de l'ostéoarthrite de hanche du nourrisson ? A - Flou métaphysaire B - Nécrose du noyau épiphysaire fémoral supérieur C - Lacune métaphysaire D - Excentration métaphysaire E - Réaction périostée fémorale Bonne(s) réponse(s) : D L'excentration métaphysaire est, avec le gonflement des parties molles, le 1er signe radiologique d'arthrite de hanche du nourrisson.
Question à compléments multiples. 120 Quelle(s) est(sont) le(s) anomalie(s) radiologique(s) le(s) plus fréquemment rencontrée(s) dans le diagnostic précoce d'une arthrite de hanche chez le nourrisson ? A - Aspect de sub-luxation de hanche B - Flou des parties molles péri-articulaires C - Image de lyse de la tête fémorale D - Pincement articulaire E - Réactions ostéo-périostées du col Bonne(s) réponse(s) : A B L'excentration métaphysaire et le gonflement des parties molles sont les deux grands signes radiologiques précoces de l'arthrite de hanche du nourrisson.
Question à complément simple. 2 Toutes les propositions suivantes concernant l'ostéo-arthrite du nouveau-né sont exactes, sauf une. Laquelle ? A - Le staphylocoque est le germe le plus souvent retrouvée à la ponction articulaire B - L'articulation de la hanche est la localisation la plus fréquente C - L'ostéo-arthrite a un meilleur pronostic que l'arthrite pure D - Les lésions osseuses sont très précoces à l'examen radiographique E - La porte d'entrée du germe est souvent iatrogène Bonne(s) réponse(s) : D L'affirmation C est discutable.
Question à compléments multiples. 93 Parmi les propositions suivantes concernant l'ostéo-arthrite du nourrisson, deux sont fausses. Lesquelles ? A - L'articulation de la hanche est la localisation la plus fréquente B - Les séquelles sont exceptionnelles C - Un épanchement articulaire est rapidement détectable par l'échographie D - L'ostéo-arthrite survient le plus souvent après l'âge de 6 mois E - Le germe atteint l'os par voie hématogène Bonne(s) réponse(s) : B D A - Classique à cet âge. B - Au contraire et c'est ce qui en fait toute la gravité. D - Après 6 mois, il s'agit le plus souvent d'une ostéomyélite.
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Question à complément simple. 9
Question à complément simple. 55
Parmi les affirmations suivantes concernant le néphroblastome, toutes sont exactes sauf une : A - C'est une tumeur rénale de type embryonnaire B - Il est surtout fréquent entre 5 et 8 ans C - Son développement est rapide D - Il est rarement calcifié E - Il métastase surtout au niveau pulmonaire
Quel est le signe clinique le plus souvent révélateur d'un néphroblastome chez l'enfant : A - Fièvre B - Hypertension artérielle C - Hématurie macroscopique D - Découverte d'une masse abdominale E - Découverte d'une métastase pulmonaire
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : D
Le néphroblastome ou tumeur de Wilms est une tumeur du blastème rénal à développement antérieur (masse abdominale) fréquente avant 6 ans (surtout 2 à 4 ans). Les calcifications évoquent plutôt un neuroblastome.
Sans commentaire.
Question à complément simple. 75 Question à complément simple. 15 Quel est actuellement la séquence habituelle du traitement d'un néphroblastome de l'enfant ? A - Chirurgie puis radiothérapie B - Chirurgie puis chimiothérapie C - Radiothérapie puis chirurgie puis éventuelle chimiothérapie D - Chimiothérapie, chirurgie puis éventuelle chimiothérapie E - Radiothérapie puis chirurgie Bonne(s) réponse(s) : D La chimiothérapie première est une chimiothérapie de réduction de la masse tumorale permettant une exérèse chirurgicale plus facile. En postopéroire chimiothérapie, radiothérapie, ou abstention peuvent ce discuter.
Question à complément simple. 112 Le signe révélateur habituel du néphroblastome de l'enfant est : A - L'hématurie totale B - La découverte d'une masse abdominale C - L'existence de douleurs abdominales D - L'anémie E - La fièvre
Quel est actuellement le pronostic de survie à 5 ans des néphroblastomes sans métastase initiale ? A - Inférieur à 10 % B - Environ 25 % C - Environ 50 % D - Supérieur à 80 % E - Imprévisible Bonne(s) réponse(s) : D C'est une tumeur fréquente de "bon" pronostic.
Question à complément simple. 58 Quel est actuellement le pronostic de survie à 5 ans des néphroblastomes sans métastase initiale ? A - Inférieur à 10% B - Environ 25 % C - Environ 50 % D - Supérieur à 80 % E - Imprévisible Bonne(s) réponse(s) : D 65 % si métastase initiale.
Bonne(s) réponse(s) : B En raison du développement antérieur de la masse. Les autres signes de découverte (moins fréquents) sont les items A,C,E puis D.
Question à compléments multiples. 97 Concernant le néphroblastome, il est exact que : A - C'est une tumeur rénale de type embryonnaire B - Il est surtout fréquent entre 5 et 8 ans C - Son développement est rapide D - Il est rarement calcifié E - Il métastase surtout au niveau pulmonaire Bonne(s) réponse(s) : A C E La calcification est le fait du neuroblastome.
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Question à compléments multiples. 112 La scintigraphie peut aider à suivre l'évolution d'une ostéomyélite et : A - Au technétium elle permet de localiser les différents foyers en évolution B - Au technétium elle permet de la différencier d'une tumeur osseuse C - Au technétium elle permet de suivre l'évolution d'un foyer connu D - Au gallium elle permet de soupçonner la nature septique de l'affection E - Aucune des propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : A C D Question difficile, pour spécialiste de médecine nucléaire seulement.
Question à complément simple. 10 Toutes les propositions suivantes concernant l'ostéomyélite aiguë de l'enfant sont exactes sauf une. Indiquez laquelle : A - L'ostéomyélite aiguë est l'infection par voie hématogène de l'os B - Le germe responsable est le plus souvent le staphylocoque doré C - L'ostéomyélite aiguë est généralement localisée près du genou et loin du coude D - L'ostéomyélite aiguë de l'enfant est généralement localisée à la région diaphysaire de l'os E - La radiographie simple. est normale au moment des premiers signes cliniques Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit de la région métaphysaire qui est richement vascularisée.
Question à compléments multiples. 20 L'ostéomyélite aiguë de l'enfant : A - Frappe électivement le garçon de 6 à 12 ans B - Est le plus souvent due à Hémophilus influenzae C - Se localise préférentiellement à l'extrémité supérieure du fémur D - Comporte un foyer d'hyperfixation à la scintigraphie osseuse E - Provoque une vive douleur métaphysaire "pseudofracturaire" Bonne(s) réponse(s) : A D E B - Il s'agit le plus souvent du staphylocoque doré. C - Près du genou et loin du coude.
Question à complément simple. 55 Chez un enfant antérieurement sain, quel est le germe le plus souvent en cause dans une ostéomyélite aiguë ? A - Salmonelle B - Pyocyanique C - Streptocoque D - Staphylocoque doré E - Pneumocoque Bonne(s) réponse(s) : D Chez l'enfant de moins de 3 ans, se méfier de l'Haemophilus.
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Question à compléments multiples. 46
Question à compléments multiples. 75
L'existence d'un neuroblastome chez un nourrisson peut être évoquée par la constatation de : A - Diarrhée chronique B - Hématurie récidivante C - Syndrome polyuro-polydipsique D - Syndrome ataxo-opso-myoclonique E - Hématome en lorgnette
Les neuroblastomes sont des tumeurs issues : A - Du squelette vertébral B - De la médullo-surrénale C - Du système sympathique pré-vertébral D - Du parenchyme rénal E - Des ganglions lymphatiques
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Bonne(s) réponse(s) : B C
Bonne(s) réponse(s) : A D E Question difficile, ces signes sont peu fréquents. Le plus souvent la découverte se fait devant l'existence d'une masse abdominale, d'une sémiologie métastatique (altération de l'état général, pâleur, fatigue, anorexie, douleurs osseuses, boiterie, fièvre, troubles digestifs) ou d'une masse à la radiographie thoracique.
Les neuroblastomes sont développés à partir du tissu nerveux végétatif sympathique.
Question à compléments multiples. 81 Les neuroblastomes peuvent s'accompagner d'une ou plusieurs des anomalies biologiques suivantes : A - Augmentation de l'alpha-foeto-protéine B - Augmentation des gonadotrophines chorioniques C - Augmentation de l'acide homovanilique (HVA) D - Augmentation de l'acide vanylmandélique urinaire E - Hypercholestérolémie Bonne(s) réponse(s) : C D Les neuroblastomes sont des tumeurs développées aux dépens des cellules chromaffines du système nerveux sympathiques. Dans 95 % des cas il existe une augmentation très anormale des cathécholamines et de leurs dérivés dans le sang et les urines (H.V.A. et V.M.A.).
Question à compléments multiples. 24 L'existence d'un neuroblastome chez un nourrisson peut être évoquée par la constatation de : A - Hématome sous-dural B - Hématurie récidivante C - Syndrome polyuro-polydipsique D - Syndrome ataxo-opso-myoclonique E - Hématome en lorgnette Bonne(s) réponse(s) : D Connaissances.
Question à complément simple. 20 Parmi les marqueurs biologiques suivants, indiquez celui du neuroblastome : A - Sérotonine B - Alphafoetoprotéine C - A.C.E. (Antigène carcino-embryonnaire) D - V.M.A. (acide vanyl-mandélique) E - Phosphatases acides Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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Question à compléments groupés. 118
Question à complément simple. 79
Au cours d'une pleurésie sérofibrineuse, on admet comme étant en faveur du diagnostic de tuberculose : 1 - Un taux d'albumine du liquide à 10 g/l 2 - Une cytologie du liquide avec 90 % Iymphocytes 3 - Un taux élevé d'acide hyaluronique 4 - Une biopsie pleurale positive avec présence de follicules épithélioïdes et giganto cellulaires Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Pour lutter contre la tuberculose, on emploie le B.C G. Celuici est : A - Un vaccin inactivé B - Un vaccin vivant atténué C - Une anatoxine D - Un sérum thérapeutique E - Une substance désensibilisante
Bonne(s) réponse(s) : C 1 - Non, il s'agit d'un transudat. Les pleurésies tuberculeuses sont exsudatives. L'association d'un taux de protides supérieur ou égal à 50 G/litre ou d'une lymphocytose élevée (90% de lymphocytes) est évocatrice (item 2). 3 - Souvent évocateur d'un mésothéliome pleural.
Question à complément simple. 103
Bonne(s) réponse(s) : B Le BCG est un bacille atténué. La souche obtenue par Calmette et Guérin (souche cultivée sur pommes de terre, biliées pendant 3 ans consécutifs, avec 230 repiquages) est devenue définitivement avirulente pour l'homme.
Question à compléments multiples. 94
Parmi les médicaments suivants, lequel n'a aucun intérêt dans le traitement d'une tuberculose pulmonaire ? A - Isoniazide B - Ethambutol C - Pyrazinamide D - Chloramphénicol E - Rifampicine
L'administration simultanée de plusieurs antibiotiques dans le traitement de la tuberculose pulmonaire excavée est nécessaire pour : A - Améliorer la pharmacocinétique de l'isoniazide B - Augmenter le spectre d'activité antibactérienne C - Diminuer les risques de toxicité D - Prévenir la sélection de mutants résistants aux antibiotiques E - Assurer la diffusion d'au moins un antibiotique dans les foyers caséeux
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B D
Connaissances.
L'administration simultanée de plusieurs antituberculeux permet d'augmenter le spectre d'activité anti-bactérien et de diminuer le risque de résistance secondaire lorsqu'on traite une tuberculose pour laquelle l'antibiogramme n'est obtenu qu'après un délai de 6 semaines au moins.
Question à complément simple. 102 Sur une radiographie pulmonaire standard, quel est l'aspect qui évoque avant tout la possibilité d'une tuberculose évolutive ? A - Atélectasie du lobe inférieur gauche B - Image claire finement cerclée du segment apical du lobe inférieur droit C - Opacités linéaires parahilaires D - Infiltrats excavés bi-apicaux E - Aspect réticulé des deux champs pulmonaires Bonne(s) réponse(s) : D Evident.
Question à complément simple. 90 L'examen bactériologique de l'expectoration a peu de valeur en dehors de la tuberculose pour identifier l'agent bactérien responsable d'une pneumopathie sauf pour un des germes suivants. Lequel ? A - Staphylococcus aureus B - Escherichia coli C - Legionella pneumophila D - Klebsiella pneumoniae E - Mycoplasma pneumoniae Bonne(s) réponse(s) : C Parmi ces germes, seule Legionella pneumophila n'est jamais saprohyte des voies respiratoires.
Question à compléments multiples. 20 Parmi les antituberculeux suivants, quels sont ceux qui sont recommandés dans le traitement d'une tuberculose de première intention en France en 1985 ? A - Streptomycine B - Rifampicine C - Kanamycine D - Ethambutol E - Isoniazide Bonne(s) réponse(s) : B D E Connaissances.
Question à compléments multiples. 78 Chez un malade sans domicile fixe, âgé de 27 ans, alcoolotabagique, ayant fait une tuberculose deux ans auparavant, dont il garde des séquelles radiologiques, la survenue d'une hémoptysie de sang rouge doit faire rechercher : A - Une récidive de tuberculose B - Une fibrose interstitielle C - Un aspergillome D - Un emphysème E - Une dilatation des bronches Bonne(s) réponse(s) : A C E
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Les hémoptysies dans ces trois circonstances sont dues à une hypervascularisation bronchique d'origine systémique.
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Question à compléments multiples. 99
Question à complément simple. 56
Une tuberculose pulmonaire évolutive est évoquée à la radiographie sur : A - Des infiltrats bilatéraux siègeant aux sommets B - Une opacité hilaire unilatérale C - Une opacité apicale, dense homogène, avec lyse de la 1ère cote D - Une cavité unique avec niveau liquide de la base gauche E - Des cavités multiples au sein d'infiltrats bilatéraux
Quel est l'argument décisif qui confirme la tuberculose chez ce patient et le fait mettre sous traitement ? A - L'IDR à la tuberculine est positive à 20 mm phlycténulaire B - L'association infiltrat-cavité à la radiographie du thorax C - La notion de sujet transplanté D - Les signes généraux et le tableau infectieux E - L'existence de quelques bacilles alcoolo-résistants à l'examen direct
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : E
La tuberculose pulmonaire classique se traduit par des infiltrats le plus souvent bilatéraux, à prédominance apicale et postérieure, associée à des cavernes.
Dans un contexte évocateur (terrain transplanté, altération de l'état général, infiltrat excavé du lobe supérieur droit), l'examen de certitude est l'obtention de BK. La découverte de bacilles alcoolo-résistants à l'examen direct dans ce contexte est l'argument décisif qui permet de porter le diagnostic et de mettre le patient sous traitement.
Question à compléments multiples. 104
Mr C, 28 ans, malien, vit en France, en foyer d'adultes depuis 3 ans. Antécédents : bilharziose urinaire traitée. Histoire de la maladie : depuis 2 mois, altération modérée de l'état général. Amaigrissement : 60 à 58 kg. Toux incessante mais peu productive. A l'examen clinique, on note : - température à 38°C - quelques sueurs - auscultations pulmonaire et cardiaque normales - pas d'adénopathie périphérique - rate, foie non palpés - abdomen souple - sphère ORL normale. Les premiers examens complémentaires montrent : - un infiltrat du lobe supérieur droit avec, en son sein, une cavité de 2 cm de diamètre - 6 000 GB/mm3 - VS : 45/mm à la 1ère heure - IDR à 10 unités à la tuberculine : 20 mm phlycténulaire - 1 à 9 bacilles alcoolo-résistants par champ au deuxième tubage gastrique alors que le premier et le troisième sont négatifs.
Parmi les médicaments suivants, lesquels peuvent être prescrits dans la tuberculose pulmonaire ? A - Isoniazide B - Ethambutol C - Pyrazinamide D - Pefloxacine (quinolone) E - Rifampicine Bonne(s) réponse(s) : A B C E A, B, C et E sont les quatre antituberculeux les plus prescrits. - Dans la trithérapie : Ionazide, Rifampicine, Ethambutol. - Dans la quadrithérapie : trithérapie plus pyrazinamide.
Question à complément simple. 53 Dans une tuberculose pulmonaire, quel prélèvement n'a aucun intérêt pour le diagnostic bactériologique ? A - Tubage gastrique B - Frottis de gorge C - Expectoration spontanée D - Expectoration sous fibroscopie E - Lavage bronchique Bonne(s) réponse(s) : B Il est inutile et non rentable de rechercher un BK dans la sphère ORL alors qu'il existe une tuberculose pulmonaire.
Question à compléments multiples. 12 Chez ce malade 3 diagnostics pouvaient être évoqués compte tenu des antécédents et des signes actuels : cancer, rechute de tuberculose, greffe aspergillaire. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui rende(nt) le diagnostic de cancer le plus probable ? A - Le traitement de la tuberculose a été correct B - Habitudes tabagiques C - Occupations professionnelles D - Absence de cavités résiduelles de la tuberculose E - Aspect radiologique du lobe supérieur droit Bonne(s) réponse(s) : A B D E A - Exact - Une triple association anti tuberculeuse (Rifampicine Isoniazide Ethambuthol) pendant 12 mois entraîne une guérison de la tuberculose dans près de 100 % de cas. B - Tabagisme chiffré ici à environ 30 paquets années. B - La tuberculose évolutive se caractérise par deux lésions élémentaires : les nodules (dont la confluence réalise des infiltrats ) et les cavernes C - Risque professionnel d'exposition à la silice (qui n'est pas un facteur favorisant des cancers bronchiques).
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Un homme de 48 ans, maçon, consulte pour hémoptysie. Dans ses antécédents, on note une tuberculose pulmonaire traitée 10 ans auparavant par une association rifampicine, isoniazide, éthambutol pendant 2 mois, puis rifampicine, isoniazide pendant 10 mois supplémentaires. Hygiène de vie : alcool environ 1 litre de vin par jour, tabac 15 à 20 cigarettes par jour depuis 30 ans. Etat général relativement conservé. A l'auscultation : submatité au niveau du sommet droit, quelques sibilances aux deux temps respiratoires. Examen radiologique : opacité systématisée et rétractile du lobe supérieur droit. Quelques opacités trabéculo-nodulaires dans la région rétroclaviculaire gauche. Pas de cavité visible.
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Question à compléments multiples. 1 Pour étayer le diagnostic de tuberculose, dès l'admission, vous demandez : A - NFS, VS B - Radiographie pulmonaire C - Recherche de B.K. dans les expectorations D - Intradermo-réaction à la tuberculine E - Fibroscopie bronchique Bonne(s) réponse(s) : B C D Il est probable que la radiographie pulmonaire montrera des infiltrats avec cavernes caractéristiques et que la recherche de BK sera positive dès l'examen direct, devant ce tableau clinique. Une patiente de 35 ans, au chômage, sans antécédent, est hospitalisée pour suspicion de tuberculose devant un décalage thermique à 38° C, des sueurs nocturnes, une altération de l'état général évoluant depuis 2 mois. Les jours qui ont précédé l'hospitalisation, elle a expectoré du sang à 3 reprises.
Question à compléments multiples. 86 Le diagnostic de tuberculose pulmonaire étant fortement évoqué, sa confirmation sera apportée par la ou les demande(s) suivante(s) : A - Recherche de B.K. dans l'expectoration B - Numération globulaire et formule sanguine C - Tubages gastriques si la recherche est négative sur l'expectoration D - Hémoculture E - Tubages gastriques demandés d'emblée Bonne(s) réponse(s) : A B D La miliaire tuberculeuse s'accompagne rarement d'expectoration mais celle-ci doit-être analysée si elle existe. La miliaire donne exceptionnellement des BAAR positifs dans l'expectoration ou les tubages, il faudra attendre les cultures dans la plupart des cas. Des hémocultures pour mycobactéries ont été récemment mises au point ; elles nécessitent des flacons de milieux spéciaux qui ne sont pas disponibles partout. Elles nécessitent également un long délai de culture. Elles trouvent leur meilleure indication dans les miliaires tuberculeuses puisque celles-ci paraissent relever d'un mécanisme hématogène. Dans cette QCM on regrette que la ponction lombaire ne soit pas évoquée. Elle apporterait en effet des arguments immédiats en faveur de la miliaire tuberculeuse si elle montrait une méningite lymphocytaire à liquide clair avec hypoglycorachie. Monsieur V. Paul, 75 ans, est hospitalisé pour fièvre et troubles du comportement récemment majorés. C'est un ouvrier du bâtiment retraité qui semble vivre assez misérablement. Il se plaint de maux de tête, de sueurs nocturnes, il aurait beaucoup maigri. L'examen des différents appareils relève peu de signes, sauf des râles dans les deux poumons. L'examen radiologique montre une miliaire diffuse des deux champs pulmonaires.
Question à complément simple. 88 La culture est positive à Mycobacterium tuberculosis. Une telle positivité est obtenue en : A - 24 heures B - 48 heures C - Une semaine D - De 2 à 4 semaines E - Les cultures de B.K., comme celles du bacille de la lèpre, sont toujours négatives Bonne(s) réponse(s) : D Le temps de multiplication des BK est long (24 heures environ), ce qui
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS explique l'apparition si lente des colonies en cultures.
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Question à compléments groupés. 116
Question à compléments multiples. 23
Une pleurésie néoplasique peut s'observer au cours de l'évolution de : 1 - Mésothéliome pleural 2 - Cancer de l'estomac 3 - Maladie de Hodgkin 4 - Cancer du sein Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Les pleurésies tumorales : A - Représentent la cause la plus fréquente des pleurésies hémorragiques non traumatiques B - Sont, lorsqu'elles sont primitives, souvent liées à une exposition à l'amiante C - Nécessitent, pour une certitude diagnostique, un examen histologique de la plèvre D - Sont souvent localisées aux petites scissures pleurales E - Sont le plus souvent de type adénocarcinome quand elles sont secondaires
Bonne(s) réponse(s) : E Evident.
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Question à compléments multiples. 23 En faveur d'une pleurésie d'origine tuberculeuse, on retient : A - Fièvre à 38 degrés depuis plusieurs jours B - Liquide sérofibrineux pauvre en albumine C - Présence de 80% de lymphocytes dans le liquide pleural D - Altération récente de l'état général E - Notion d'un virage récent des réactions cutanées à la tuberculine
A - L'étiologie des pleurésies hémorragiques est qualitativement identique à celle des exsudats séro fibrineux mais quantitativement la répartition en pourcentage des étiologies est modifiée, les étiologies néoplasiques étant largement en tête. B - Mésothéliome malin. La forme pleurétique se présente comme une pleurésie fréquemment hémorragique, se reproduisant rapidement, avec un liquide habituellement visqueux (riche en acide hyaluronique). C - L'argument de certitude repose sur la biopsie pleurale. Sa négativité n'est pas formelle en raison du caractère souvent focal de l'atteinte maligne de la plèvre. Dans le doute, il faut renouveler les biopsies, voire.proposer des biopsies sous pleuroscopie. D - Faux. E - Les adénocarcinomes du sein et du tube digestif sont les néoplasies primitives les plus fréquentes.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E B - Faux. Les pleurésies d'oirigne tuberculeuse sont des exsudats. En faveur d'une tuberculose pleurale ont retient la phase prodormique (avec fièvre item A et altération de l'état général item B), le terrain, l'anamnèse, la positivité voire un virage récent des réactions cutanées à la tuberculine, un liquide séro-fibrineux riche en protides (>50 g/litre) et lymphocytaire (80%). Le diagnostic est histologique (ponction pleurale), des Baar sont rarement retrouvés à l'examen direct du liquide pleural, l'isolement enculture est positif dans 30 à 60% des cas.
Question à compléments groupés. 118
Question à compléments multiples. 83 Le liquide d'une pleurésie liée à une insuffisance ventriculaire gauche, contient : A - De nombreuses hématies B - De nombreux polynucléaires neutrophiles altérés C - Un taux élevé d'acide hyaluronique D - Un taux élevé d'amylase E - Un taux de protéines inférieur à 30 g/litre Bonne(s) réponse(s) : E
Au cours d'une pleurésie sérofibrineuse, on admet comme étant en faveur du diagnostic de tuberculose : 1 - Un taux d'albumine du liquide à 10 g/l 2 - Une cytologie du liquide avec 90 % Iymphocytes 3 - Un taux élevé d'acide hyaluronique 4 - Une biopsie pleurale positive avec présence de follicules épithélioïdes et giganto cellulaires Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Les pleurésies par défaillance ventriculaire gauche sont transsudatives (protéines inférieures à 30 g/l) A - Les étiologies des pleurésies sérofibrineuses hématiques sont celles des pleurésies sérofibrineuses, mais la répartition en pourcentage des étiologies y est différente. Les causes néoplasiques sont les plus fréquentes. B - Pleurésies purulentes avec germes ou décapitées. C - Evoque un mésothéliome. D - Evoque une pancréatite.
Bonne(s) réponse(s) : C 1 - Non, il s'agit d'un transudat. Les pleurésies tuberculeuses sont exsudatives. L'association d'un taux de protides supérieur ou égal à 50 G/litre ou d'une lymphocytose élevée (90% de lymphocytes) est évocatrice (item 2). 3 - Souvent évocateur d'un mésothéliome pleural.
Question à compléments multiples. 93 Une pleurésie sérofibrineuse avec un taux de protides supérieur à 30 g/l peut résulter : A - D'une insuffisance cardiaque gauche B - D'une métastase pleurale C - D'un infarctus pulmonaire D - D'une cirrhose avec ascite E - D'une tuberculose pleurale Bonne(s) réponse(s) : B C E Une pleurésie sérofibrineuse contenant plus de 30 g/l de protides est un exsudat. Les causes les plus fréquentes en sont les infections dont la tuberculose et les épanchements néoplasiques.
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Question à complément simple. 19
Question à compléments multiples. 97
En présence d'une pleurésie sérofibrineuse, quel est l'examen le plus sensible pour assurer le diagnostic étiologique ? A - Recherche directe du BK dans les sécrétions bronchiques B - Recherche directe de BK dans le liquide pleural C - Dosage de l'acide hyaluronique dans le liquide pleural D - Biopsie pleurale à l'aiguille E - Examen cytologique du liquide pleural
Une pleurésie transsudative peut compliquer : A - Une insuffisance cardiaque globale B - Une cirrhose C - Un syndrome néphrotique D - Un mésothéliome pleural E - Une pneumopathie virale
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Bonne(s) réponse(s) : A B C
L'examen histologique montre soit une prolifération maligne soit un granulome tuberculeux. Il s'agit de deux des étiologies les plus fréquentes des pleurésies sérofibrineuses.
L'apparition d'une pleurésie transsudative est le résultat d'une augmentation du gradient de pression transpleurale (entre poumon et cavité pleurale). Cette modification de gradient est dûe soit à une augmentation de pression hydrostatique (insuffisance cardiaque) ou à une diminution de pression oncotique (syndrome néphrotique) ou les deux (cirrhose).
Question à compléments multiples. 102
Question à compléments multiples. 99
Le traitement d'une pleurésie purulente, vue au début, sans anomalie des gaz du sang, peut faire appel à : A - Un drainage pleural B - Des ponctions-lavages de plèvre C - Une décortication chirurgicale D - Une antibiothérapie par voie locale E - Une antibiothérapie par voie générale
La nature tuberculeuse d'une pleurésie est évoquée devant : A - Un liquide pleural contenant moins de 30g de protides par litre B - Un liquide pleural contenant plus de 10% de cellules mésothéliales C - Un liquide pleural contenant plus de 10% de cellules éosinophiles D - Un liquide pleural contenant plus de 90% de lymphocytes E - Un liquide hémorragique
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B D E Le traitement de la pleurésie purulente est d'abord médical et permet dans la grande majorité des cas d'éviter le recours à la décortication chirurgicale. Cette dernière ne devra être réalisée qu'en seconde intention et à distance, non pas au début. Le traitement comporte 2 volets : 1/ traitement local : - ponction-évacuatrices + lavages itératifs ou - drainage en fonction des possibilités locales (en particulier de surveillance) - l'injection locale d'antibiotiques est affaire d'école mais elle tend de plus en plus à être abandonnée. 2/ traitement général : l'antibiothérapie doit être large au début puis adaptée au germe. Elle est administrée par voie IV au début, au moins jusqu'à obtention de l'apyrexie puis per os pour une durée totale d'au moins 6 semaines.
Question à compléments multiples. 93
Bonne(s) réponse(s) : D La pleurésie tuberculeuse est dans la très grande majorité des cas un exsudat citrin très lymphocytaire.
Question à compléments multiples. 101 Parmi les signes suivants, le(s)quel(s) appartien(nen)t à la sémiologie radiologique d'une pleurésie de la grande cavité ? A - Opacité homogène B - Opacité à limite supérieure concave en haut et en dedans C - Ligne bordante axillaire D - Hyperclarté du parenchyme pulmonaire homolatéral E - Image de bronchogramme aérique Bonne(s) réponse(s) : A B C
Lors d'une pleurésie sérofibrineuse de la grande cavité, on retrouve à l'examen clinique : A - Une matité de la base B - Une abolition du murmure vésiculaire C - Un souffle amphorique D - Une abolition des vibrations vocales E - Une immobilité de l'hémithorax Bonne(s) réponse(s) : A B D E Remarques : 1) le souffle amphorique s'entend à l'auscultation des pneumothorax. 2) l'immobilité de l'hémithorax n'est franche que quand l'épanchement pleural est très abondant.
Sans commentaire.
Question à complément simple. 93 Chez un malade présentant une pleurésie hémorragique abondante et douloureuse, le diagnostic de mésothéliome peut être retenu de façon formelle : A - Si la cytologie pleurale montre des cellules malignes B - Si la biopsie de plèvre montre des follicules Iymphoépithélioïdes à cellules géantes C - Si la pleuroscopie montre des nodules irréguliers sur la plèvre viscérale D - Si le scanner montre un aspect de plaques hyalines calcifiées sur la plèvre pariétale E - Dans aucun des cas précédents Bonne(s) réponse(s) : E
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Le diagnostic de mésotheliome est un diagnostic histologique, souvent difficile qui nécessite dans la plupart des cas de larges biopsies pleurales sous pleuroscopie voire thoracotomie.
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Question à compléments multiples. 93
Question à complément simple. 53
La découverte au cours d'une pleurésie séro-fibrineuse d'un liquide contenant plus de 90% de lymphocytes oriente vers : A - Une pleurésie tuberculeuse B - Une pleurésie accompagnant une embolie pulmonaire C - Une pleurésie d'un Iymphome non Hodgkinien D - Une pleurésie cirrhotique E - Une pleurésie cardiaque
La radiographie confirme le diagnostic, en montrant, pour une pleurésie de moyenne abondance de la grande cavité, une opacité : A - Dense et inhomogène B - Dense et homogène C - Mal limitée D - Latéro-thoracique épargnant le cul-de-sac E - De tout le champ pulmonaire, refoulant le médiastin
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : B Commentaire : voir question [13] C'est une opacité dense et homogène (B vrai, A faux) dont la limite supérieure est floue (C faux), concave en haut et en dedans prolongée vers le haut et en dehors par une ligne bordante axillaire. E - Possible dans les épanchements de grande abondance.
Question à compléments multiples. 81 Devant une pleurésie, on peut retenir en faveur d'un épanchement de grande abondance : A - Hypertension artérielle systémique B - Tachycardie à 120/min C - Déplacement du médiastin du côté sain D - Fréquence respiratoire à 13 par minute E - Pincement des arcs costaux du côté de l'épanchement Bonne(s) réponse(s) : B C La PA chute et ne monte pas si un épanchement pleural est mal supporté.
Question à compléments multiples. 51 Vous suspectez une pleurésie abondante devant : A - Matité hémithoracique B - Abolition des vibrations vocales C - Frottements pleuraux D - Souffle pleurétique E - Hémithorax muet Bonne(s) réponse(s) : A E Souffle et frottement disparaissent si épanchement important.
Question à complément simple. 64
Un homme âgé, traité pour cancer prostatique par oestrogènes, présente une fièvre à 38° C, une dyspnée importante, une atteinte de l'état général.
Parmi les étiologies suivantes, une n'est pas classiquement reconnue comme cause d'une pleurésie chez l'adulte. Laquelle ? A - Virose B - Embolie pulmonaire C - Sarcoïdose D - Tumeur bénigne de l'ovaire E - Pancréatite chronique Bonne(s) réponse(s) : Formulation à revoir. Toutes ces étiologies peuvent être responsables de pleurésie, avec une fréquence variable : fréquente dans l'embolie, très rare dans la sarcoïdose ou la pancréatite chronique.
Question à complément simple. 76 Le traitement médical de cette pleurésie tuberculeuse par une association initiale comprenant rifampicine, isoniazide, éthambutol et pyrazinamide, puis rifampicine et isoniazide sera poursuivi : A - Jusqu'à disparition des signes cliniques de pleurésie B - Jusqu'à normalisation de la radiographie C - 6 mois D - 9 mois E - 12 mois Bonne(s) réponse(s) : C
Question à compléments multiples. 52
La quadrithérapie antituberculeuse ne se conçoit que dans un schéma thérapeutique de 6 mois comportant : INH-ETB-PZA pendant 2 mois puis INH-RF pendant les 4 mois suivants.
Vous évoquez cliniquement une pleurésie sur : A - Augmentation des vibrations vocales B - Pincement des espaces intercostaux C - Toux hémoptoïque D - Matité E - Abolition du murmure vésiculaire
Question à compléments multiples. 77
Bonne(s) réponse(s) : D E A - Faux, les vibrations vocales sont diminuées (ce qui distingue une matité d'origine pleurale d'une matité d'origine parenchymateuse). B - Faux, au contraire dans les épanchements de grande abondance,.il peut exister sur la radio de thorax une dilatation d'un hemithorax. C - Evident. D E - Vrai, avec parfois un souffle pleurétique (doux lointain, voilé, expiratoire) ou des frottements pleuraux (rythmés par la respiration et disparaissant en apnée). Un homme de 46 ans, fumeur, est hospitalisé pour douleur thoracique gauche et dyspnée . Les troubles se sont installés progressivement en 3 mois, au décours d'un épisode infectieux d'allure virale.
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Le traitement de cette pleurésie tuberculeuse comporte également une kinésithérapie ; celle-ci : A - Doit être prescrite dès la première ponction exploratrice B - Comporte une rééducation diaphragmatique C - A pour but un drainage des sécrétions bronchiques D - A pour but de réduire la symphyse pleurale E - Sera commencée après évacuation complète de l'épanchement Bonne(s) réponse(s) : B D E La kinésithérapie a pour but de réduire les séquelles pleurales qui peuvent être majeures en cas de pleurésie tuberculeuse.
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Question à complément simple. 7
Question à complément simple. 102
Devant la survenue pour la première fois, chez un adulte jeune, d'un pneumothorax spontané avec moignon pulmonaire rétracté au médiastin, indiquez la conduite à proposer : A - Ponction pleurale B - Drainage pleural C - Pleuroscopie avec talcage D - Thoracotomie pour création d'une symphyse pleurale E - Abstention sous surveillance
Parmi les propositions suivantes, laquelle correspond au traitement d'un premier pneumothorax spontané bénin, avec poumon rétracté au hile, chez un sujet jeune sans détresse respiratoire ? A - Kinésithérapie respiratoire B - Décortication chirurgicale C - Evacuation par drainage continu D - Pleurectomie E - Injection de talc dans la plèvre
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : C
C D - Réservés aux pneumothorax récidivants (homo ou controlatéraux). En fonction de la tolérance clinique on peut discuter deux attitudes. Pneumothorax bien toléré et premier épisode : exsufflation à l'aiguille au 3ème - 4ème jour sous surveillance. Pour certaines équipes, drainage pleural d'emblée si le pneumothorax est complet même bien toléré. L'indication en est systématique si hémopneumothorax, bride, déplacement du médiastin, pathologie pulmonaire pré-existante.
A - La kinésithérapie limite les séquelles fonctionnelles liées à la symphyse pleurale après drainage ou chirurgie. B et D - La pleurectomie assure la symphyse pleurale hémorragique lors du drainage qui suit : il faut parfois lui associer une décortication. Elle est indiquée en cas de non réexpansion après drainage, en cas de récidive (2e ou 3e récidive homolatérale, 1ère récidive controlatérale). E - L'injection d'irritants pleuraux (talc, cyclines) ou de colles biologiques est utilisée dans les pleurésies néoplasiques. C - Le drainage en continu est indiqué en cas de mauvaise tolérance clinique, en cas de bride ou d'hémopneumothorax, en cas d'échec de l'exsufflation et pour certaines équipes en cas de pneumothorax complet. Une autre solution (non indiquée dans les items ici) serait l'exsufflation à l'aiguille au 4e-5e jour à l'aide d'un appareil de KŸss.
Question à compléments multiples. 21 Un pneumothorax est mal supporté si : A - Il survient chez un adulte jeune B - Il est à soupape C - Il survient sur une maladie de Marfan D - Il existe une insuffisance respiratoire préalable E - Il s'agit d'une récidive
Question à compléments multiples. 80
Bonne(s) réponse(s) : B D Les facteurs de mauvaise tolérance d'un pneumothorax (PNO) sont : - les PNO suffocants : à soupape avec hyperpression (item B) ou bilatéraux - les PNO sur pathologie pulmonaire préexistante type insuffisance respiratoire chronique (item D) - les hémopneumothorax.
Chez un sujet jeune consultant pour une douleur thoracique droite brutale, vous évoquez un pneumothorax sur : A - Poumon droit hypersonore B - Abolition du murmure vésiculaire à droite C - Augmentation des vibrations vocales D - Diminution de l'ampliation thoracique droite E - Wheezing Bonne(s) réponse(s) : A B D L'examen physique retrouve un hémithorax dont l'ampliation est diminué (item D), un tympanisme (item A), une diminution des vibrations vocales et du murmure vésiculaire (item B), parfois un syndrome amphorométallique (souffle peu intense de tonalité élevée, de timbre métallique, à maximum expiratoire).
Question à complément simple. 113 La cause la plus fréquente de pneumothorax spontané est : A - Le cancer primitif de la plèvre B - La rupture de bulle d'emphysème sous-pleural C - La tuberculose pulmonaire D - Les malformations bronchiques E - Aucune de ces anomalies Bonne(s) réponse(s) : B Connaissances
Question à complément simple. 93
Question à complément simple. 12 Indiquez, parmi les suivantes, la cause la plus fréquente du pneumothorax de l'adulte jeune : A - La rupture d'une caverne tuberculeuse B - La rupture d'une bulle d'emphysème sous-pleurale C - Une pneumopathie aiguë virale D - Une embolie pulmonaire E - La sarcoïdose Bonne(s) réponse(s) : B
Quel doit être le traitement d'urgence d'un pneumothorax spontané de la grande cavité chez un insuffisant respiratoire décompensé ? A - Exsufflation à l'aiguille B - Drainage pleural C - Talcage pleural D - Capitonnage pleural E - Traitement médical + O2 Bonne(s) réponse(s) : B A - Le libellé de la question ne précise pas s'il s'agit d'un pneumothorax complet ou non. Néanmoins devant le terrain (décompensation d'une insuffisance respiratoire chronique) le drainage est préféré à l'exsufflation. Il permet RESIDANAT EN POCHE Tome " I risque "- QCM QCS un traitement d'emblée efficace sans de -récidive.
B - Ce ne sont pas au sens anatomopathologique du terme des bulles d'emphysème mais des dystrophies localisées liées à des atteintes du tissu élastique. Ces anomalies peuvent s'intégrer dans un contexte plus général de syndrome marfanoïde (morphologie longiligne, arachnodactylie, hyperélasticité ligamentaire, parfois insuffisance aortique ou subluxation du cristallin). A C D - La tuberculose (A), les bronchopneumopathies aiguës infectieuses non tuberculeuses (C), les bronchopneumopathies chroniques génératrices de dystrophies bulleuses (D), le cancer bronchique sont des étiologies possibles. E - Faux.
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Question à complément simple. 104
Question à complément simple. 25
Quel est le signe qui n'appartient pas au pneumothorax bénin ? A - Toux B - Expectoration C - Dyspnée D - Douleur E - Tympanisme
Quelle attitude thérapeutique proposez-vous en urgence pour le traitement d'un pneumothorax spontané de la grande cavité, responsable d'une décompensation respiratoire, chez un insuffisant respiratoire chronique ? A - Drainage pleural B - Thoracotomie avec avivement pleural C - Exsuflation à l'aiguille D - Ventilation assistée avec pression positive de fin d'expiration E - Surveillance médicale simple
Bonne(s) réponse(s) : B C - Dyspnée inconstante : c'est habituellement une dyspnée modérée peu invalidante transitoire. Une dyspnée intense est un signe de mauvaise tolérance. B - Traduit une surinfection bronchique ou une bronchopneumopathie infectieuse préexistante ou une bronchopathie chronique.
Bonne(s) réponse(s) : A La thoracotomie n'est certainement pas indiquée en urgence chez cet IRC en décompensation aiguë. L'exsufflation à l'aiguille est aléatoire donc insuffisante. La ventilation en pression positive est formellement contre-indiquée ne faisant qu'aggraver le pneumothorax.
Question à compléments multiples. 26 L'évolution d'un pneumothorax idiopathique de l'adulte jeune vers une forme compressive se traduit par : A - L'apparition d'une tachycardie B - Un déplacement médiastinal à la radiographie C - L'aggravation de la dyspnée D - Une aggravation de la douleur E - Une dyspnée laryngée Bonne(s) réponse(s) : A C A C - Sont des signes de mauvaise tolérance clinique. B - Traduit un pneumothorax compressif.
Toutes les propositions suivantes concernant le pneumothorax sont vraies, sauf une, laquelle ? A - Il réalise une hyperclarté thoracique B - Le poumon rétracté est visible au niveau du hile C - Le pneumothorax est mieux visible en inspiration qu'en expiration D - Il ne peut être visible qu'au sommet E - Abondant, il refoule le médiastin du côté opposé Bonne(s) réponse(s) : C Les pneumothorax sont mieux visibles en expiration quand le poumon est vide d'air, il se rétracte car il n'est plus solidarisé à la paroi.
Question à complément simple. 2 Devant un blessé porteur d'un volet thoracique latéral gauche engrené avec hémopneumothorax gauche à la radiographie et hypoxie malgré l'oxygénothérapie, vous prescrivez en premier lieu : A - Une intubation trachéale suivie de ventilation assistée B - La mise en place d'un drain pleural gauche C - Une ponction pleurale gauche D - Une bronchoscopie E - Une angiocardiographie d'urgence Bonne(s) réponse(s) : B
Question à complément simple. 9 La cause la plus fréquente du pneumothorax chez l'adulte jeune est : A - La rupture d'une caverne tuberculeuse B - La rupture d'une bulle d'emphysème sous-pleurale C - Une pneumopathie aiguë virale D - Une dilatation des bronches E - La sarcoïdose Bonne(s) réponse(s) : B
Cette détresse respiratoire aiguë est secondaire à un hémopneumothorax qui doit être draîné en urgence.
Le pneumothorax spontané de l'adulte jeune est habituellement appelé idiopathique. Il est en réalité lié à la rupture de petites bulles souspleurales appelées "Blebs" qui sont parfois visibles sur le scanner et au mieux en peropératoire s'il y a lieu d'intervenir.
Question à complément simple. 7 Chez un insuffisant respiratoire décompensé, quel doit être le traitement d'urgence d'un pneumothorax de la grande cavité ? A - Drainage pleural B - Exsufflation à l'aiguille C - Talcage pleural D - Pleurectomie chirurgicale E - Analeptique respiratoire Bonne(s) réponse(s) : A C'est le seul traitement qui soit efficace dans tous les cas en urgence. L'exsufflation à l'aiguille ne résout pas le problème des pneumothorax avec fistule bronchopleurale persistante.
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Question à complément simple. 63
Question à compléments multiples. 89 Quels sont les signes cliniques du pneumothorax bénin spontané ? A - Toux B - Expectoration C - Dyspnée D - Douleur E - Tympanisme Bonne(s) réponse(s) : A C D E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. 79
Question à compléments multiples. 48
Font évoquer une primo-infection tuberculeuse chez un enfant : A - Un érythème noueux B - Une diarrhée C - Une fébricule prolongée D - Une arthrite aiguë E - Une conjonctivite phlycténulaire
En dehors de la primo-infection tuberculeuse, quelle(s) est(sont) la(les) autre(s) étiologie(s) possible(s) de syndrome du lobe moyen ? A - Mucoviscidose B - Tumeur "bénigne" de la lobaire moyenne C - Adénopathie hilaire sarcoïdosique D - Coqueluche E - Aucune de ces étiologies
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : E La conjonctive peut être une localisation de primo-infection. Cependant, elle reste beaucoup moins fréquente que la localisation gangliopulmonaire (se voyait avec Mycobacterium Bovis surtout).
Question à compléments multiples. 46
A - Responsable de dilatations des bronches acquises diffuses. B - Une lésion endobronchique avec collapsus du lobe moyen n'est pas classée dans les syndromes du lobe moyen (voir question[24]). C - Classiquement adénopathies non compressives. D - Responsable d'un syndrome de Mac Leod avec altérations bronchiques et vasculaires.
Les examens pratiqués confirment l'existence d'un syndrome du lobe moyen secondaire à une primo-infection tuberculeuse de l'enfance. Parmi les éléments cliniques et paracliniques suivants, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui évoque(nt) cette affection ? A - Présence de bacilles tuberculeux à l'examen de l'expectoration B - Sténose partielle de la bronche lobaire moyenne C - Présence de bronchectasies lobaires moyennes D - Surinfection aspergillaire E - Hémoptysies Bonne(s) réponse(s) : B C B C - Un syndrome du lobe moyen est un collapsus lobaire moyen par obstruction bronchique proximale extrinsèque. Cette sténose est responsable d'une rétention puis d'ectasies bronchiques. A D E - Non évocateurs d'une localisation lobaire moyenne.
Question à compléments multiples. 47 Ce syndrome du lobe moyen est une complication lointaine de la primo-infection tuberculeuse de l'enfance. Parmi les manifestations cliniques suivantes quelle(s) est (sont) celle(s) qui peu(ven)t également survenir à titre de complication de sa primo-infection tuberculeuse ganglionnaire médiastinale ? A - Dysphonie B - Dilatation bronchique diffuse des deux lobes inférieurs C - Syndrome de Claude Bernard Horner D - Broncholithiase E - Aucune de ces manifestations Bonne(s) réponse(s) : D D - La broncholithiase résulte d'une calcification ganglionnaire posttuberculeuse juxta-bronchique qui a perforé la paroi. La perforation ou la migration entraînent hémoptysies, toux incoercible parfois suivie d'un rejet de concrétions.
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Question à compléments groupés. 118
Question à complément simple. 79
Au cours d'une pleurésie sérofibrineuse, on admet comme étant en faveur du diagnostic de tuberculose : 1 - Un taux d'albumine du liquide à 10 g/l 2 - Une cytologie du liquide avec 90 % Iymphocytes 3 - Un taux élevé d'acide hyaluronique 4 - Une biopsie pleurale positive avec présence de follicules épithélioïdes et giganto cellulaires Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Pour lutter contre la tuberculose, on emploie le B.C G. Celuici est : A - Un vaccin inactivé B - Un vaccin vivant atténué C - Une anatoxine D - Un sérum thérapeutique E - Une substance désensibilisante
Bonne(s) réponse(s) : C 1 - Non, il s'agit d'un transudat. Les pleurésies tuberculeuses sont exsudatives. L'association d'un taux de protides supérieur ou égal à 50 G/litre ou d'une lymphocytose élevée (90% de lymphocytes) est évocatrice (item 2). 3 - Souvent évocateur d'un mésothéliome pleural.
Question à complément simple. 103
Bonne(s) réponse(s) : B Le BCG est un bacille atténué. La souche obtenue par Calmette et Guérin (souche cultivée sur pommes de terre, biliées pendant 3 ans consécutifs, avec 230 repiquages) est devenue définitivement avirulente pour l'homme.
Question à compléments multiples. 94
Parmi les médicaments suivants, lequel n'a aucun intérêt dans le traitement d'une tuberculose pulmonaire ? A - Isoniazide B - Ethambutol C - Pyrazinamide D - Chloramphénicol E - Rifampicine
L'administration simultanée de plusieurs antibiotiques dans le traitement de la tuberculose pulmonaire excavée est nécessaire pour : A - Améliorer la pharmacocinétique de l'isoniazide B - Augmenter le spectre d'activité antibactérienne C - Diminuer les risques de toxicité D - Prévenir la sélection de mutants résistants aux antibiotiques E - Assurer la diffusion d'au moins un antibiotique dans les foyers caséeux
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : B D
Connaissances.
L'administration simultanée de plusieurs antituberculeux permet d'augmenter le spectre d'activité anti-bactérien et de diminuer le risque de résistance secondaire lorsqu'on traite une tuberculose pour laquelle l'antibiogramme n'est obtenu qu'après un délai de 6 semaines au moins.
Question à complément simple. 102 Sur une radiographie pulmonaire standard, quel est l'aspect qui évoque avant tout la possibilité d'une tuberculose évolutive ? A - Atélectasie du lobe inférieur gauche B - Image claire finement cerclée du segment apical du lobe inférieur droit C - Opacités linéaires parahilaires D - Infiltrats excavés bi-apicaux E - Aspect réticulé des deux champs pulmonaires Bonne(s) réponse(s) : D Evident.
Question à complément simple. 90 L'examen bactériologique de l'expectoration a peu de valeur en dehors de la tuberculose pour identifier l'agent bactérien responsable d'une pneumopathie sauf pour un des germes suivants. Lequel ? A - Staphylococcus aureus B - Escherichia coli C - Legionella pneumophila D - Klebsiella pneumoniae E - Mycoplasma pneumoniae Bonne(s) réponse(s) : C Parmi ces germes, seule Legionella pneumophila n'est jamais saprohyte des voies respiratoires.
Question à compléments multiples. 20 Parmi les antituberculeux suivants, quels sont ceux qui sont recommandés dans le traitement d'une tuberculose de première intention en France en 1985 ? A - Streptomycine B - Rifampicine C - Kanamycine D - Ethambutol E - Isoniazide Bonne(s) réponse(s) : B D E Connaissances.
Question à compléments multiples. 78 Chez un malade sans domicile fixe, âgé de 27 ans, alcoolotabagique, ayant fait une tuberculose deux ans auparavant, dont il garde des séquelles radiologiques, la survenue d'une hémoptysie de sang rouge doit faire rechercher : A - Une récidive de tuberculose B - Une fibrose interstitielle C - Un aspergillome D - Un emphysème E - Une dilatation des bronches Bonne(s) réponse(s) : A C E
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Les hémoptysies dans ces trois circonstances sont dues à une hypervascularisation bronchique d'origine systémique.
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Question à compléments multiples. 99
Question à complément simple. 56
Une tuberculose pulmonaire évolutive est évoquée à la radiographie sur : A - Des infiltrats bilatéraux siègeant aux sommets B - Une opacité hilaire unilatérale C - Une opacité apicale, dense homogène, avec lyse de la 1ère cote D - Une cavité unique avec niveau liquide de la base gauche E - Des cavités multiples au sein d'infiltrats bilatéraux
Quel est l'argument décisif qui confirme la tuberculose chez ce patient et le fait mettre sous traitement ? A - L'IDR à la tuberculine est positive à 20 mm phlycténulaire B - L'association infiltrat-cavité à la radiographie du thorax C - La notion de sujet transplanté D - Les signes généraux et le tableau infectieux E - L'existence de quelques bacilles alcoolo-résistants à l'examen direct
Bonne(s) réponse(s) : A E
Bonne(s) réponse(s) : E
La tuberculose pulmonaire classique se traduit par des infiltrats le plus souvent bilatéraux, à prédominance apicale et postérieure, associée à des cavernes.
Dans un contexte évocateur (terrain transplanté, altération de l'état général, infiltrat excavé du lobe supérieur droit), l'examen de certitude est l'obtention de BK. La découverte de bacilles alcoolo-résistants à l'examen direct dans ce contexte est l'argument décisif qui permet de porter le diagnostic et de mettre le patient sous traitement.
Question à compléments multiples. 104
Mr C, 28 ans, malien, vit en France, en foyer d'adultes depuis 3 ans. Antécédents : bilharziose urinaire traitée. Histoire de la maladie : depuis 2 mois, altération modérée de l'état général. Amaigrissement : 60 à 58 kg. Toux incessante mais peu productive. A l'examen clinique, on note : - température à 38°C - quelques sueurs - auscultations pulmonaire et cardiaque normales - pas d'adénopathie périphérique - rate, foie non palpés - abdomen souple - sphère ORL normale. Les premiers examens complémentaires montrent : - un infiltrat du lobe supérieur droit avec, en son sein, une cavité de 2 cm de diamètre - 6 000 GB/mm3 - VS : 45/mm à la 1ère heure - IDR à 10 unités à la tuberculine : 20 mm phlycténulaire - 1 à 9 bacilles alcoolo-résistants par champ au deuxième tubage gastrique alors que le premier et le troisième sont négatifs.
Parmi les médicaments suivants, lesquels peuvent être prescrits dans la tuberculose pulmonaire ? A - Isoniazide B - Ethambutol C - Pyrazinamide D - Pefloxacine (quinolone) E - Rifampicine Bonne(s) réponse(s) : A B C E A, B, C et E sont les quatre antituberculeux les plus prescrits. - Dans la trithérapie : Ionazide, Rifampicine, Ethambutol. - Dans la quadrithérapie : trithérapie plus pyrazinamide.
Question à complément simple. 53 Dans une tuberculose pulmonaire, quel prélèvement n'a aucun intérêt pour le diagnostic bactériologique ? A - Tubage gastrique B - Frottis de gorge C - Expectoration spontanée D - Expectoration sous fibroscopie E - Lavage bronchique Bonne(s) réponse(s) : B Il est inutile et non rentable de rechercher un BK dans la sphère ORL alors qu'il existe une tuberculose pulmonaire.
Question à compléments multiples. 12 Chez ce malade 3 diagnostics pouvaient être évoqués compte tenu des antécédents et des signes actuels : cancer, rechute de tuberculose, greffe aspergillaire. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui rende(nt) le diagnostic de cancer le plus probable ? A - Le traitement de la tuberculose a été correct B - Habitudes tabagiques C - Occupations professionnelles D - Absence de cavités résiduelles de la tuberculose E - Aspect radiologique du lobe supérieur droit Bonne(s) réponse(s) : A B D E A - Exact - Une triple association anti tuberculeuse (Rifampicine Isoniazide Ethambuthol) pendant 12 mois entraîne une guérison de la tuberculose dans près de 100 % de cas. B - Tabagisme chiffré ici à environ 30 paquets années. B - La tuberculose évolutive se caractérise par deux lésions élémentaires : les nodules (dont la confluence réalise des infiltrats ) et les cavernes C - Risque professionnel d'exposition à la silice (qui n'est pas un facteur favorisant des cancers bronchiques).
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Un homme de 48 ans, maçon, consulte pour hémoptysie. Dans ses antécédents, on note une tuberculose pulmonaire traitée 10 ans auparavant par une association rifampicine, isoniazide, éthambutol pendant 2 mois, puis rifampicine, isoniazide pendant 10 mois supplémentaires. Hygiène de vie : alcool environ 1 litre de vin par jour, tabac 15 à 20 cigarettes par jour depuis 30 ans. Etat général relativement conservé. A l'auscultation : submatité au niveau du sommet droit, quelques sibilances aux deux temps respiratoires. Examen radiologique : opacité systématisée et rétractile du lobe supérieur droit. Quelques opacités trabéculo-nodulaires dans la région rétroclaviculaire gauche. Pas de cavité visible.
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Question à compléments multiples. 1 Pour étayer le diagnostic de tuberculose, dès l'admission, vous demandez : A - NFS, VS B - Radiographie pulmonaire C - Recherche de B.K. dans les expectorations D - Intradermo-réaction à la tuberculine E - Fibroscopie bronchique Bonne(s) réponse(s) : B C D Il est probable que la radiographie pulmonaire montrera des infiltrats avec cavernes caractéristiques et que la recherche de BK sera positive dès l'examen direct, devant ce tableau clinique. Une patiente de 35 ans, au chômage, sans antécédent, est hospitalisée pour suspicion de tuberculose devant un décalage thermique à 38° C, des sueurs nocturnes, une altération de l'état général évoluant depuis 2 mois. Les jours qui ont précédé l'hospitalisation, elle a expectoré du sang à 3 reprises.
Question à compléments multiples. 86 Le diagnostic de tuberculose pulmonaire étant fortement évoqué, sa confirmation sera apportée par la ou les demande(s) suivante(s) : A - Recherche de B.K. dans l'expectoration B - Numération globulaire et formule sanguine C - Tubages gastriques si la recherche est négative sur l'expectoration D - Hémoculture E - Tubages gastriques demandés d'emblée Bonne(s) réponse(s) : A B D La miliaire tuberculeuse s'accompagne rarement d'expectoration mais celle-ci doit-être analysée si elle existe. La miliaire donne exceptionnellement des BAAR positifs dans l'expectoration ou les tubages, il faudra attendre les cultures dans la plupart des cas. Des hémocultures pour mycobactéries ont été récemment mises au point ; elles nécessitent des flacons de milieux spéciaux qui ne sont pas disponibles partout. Elles nécessitent également un long délai de culture. Elles trouvent leur meilleure indication dans les miliaires tuberculeuses puisque celles-ci paraissent relever d'un mécanisme hématogène. Dans cette QCM on regrette que la ponction lombaire ne soit pas évoquée. Elle apporterait en effet des arguments immédiats en faveur de la miliaire tuberculeuse si elle montrait une méningite lymphocytaire à liquide clair avec hypoglycorachie. Monsieur V. Paul, 75 ans, est hospitalisé pour fièvre et troubles du comportement récemment majorés. C'est un ouvrier du bâtiment retraité qui semble vivre assez misérablement. Il se plaint de maux de tête, de sueurs nocturnes, il aurait beaucoup maigri. L'examen des différents appareils relève peu de signes, sauf des râles dans les deux poumons. L'examen radiologique montre une miliaire diffuse des deux champs pulmonaires.
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484 Annales INTERNAT PNEUMOLOGIE
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31 Question à compléments multiples. On peut décrire plusieurs formes cliniques de la schizophrénie : A - Emotive B - Paranoïaque C - Simple D - Paranoïde E - Héboïdophrénique Bonne(s) réponse(s) : C D E B : Faux, ne pas tomber dans le piège : paranoïque = paranoïde ! C : La forme simple associe : un début insidieux avec autisme, dissociation, ambilavence et bizarrerie. Rarement des productions délirantes. D : Forme paranoïde : activité délirante continue, polymorphe avec syndrome dissociatif. L'évolution se fait souvent vers l'apragmatisme et le repli autistique. E : Forme héboïdophrenique : c'est une schizophrénie pseudopsychopathique avec froideur affective dans les actes impulsifs qui paraissent étranges, inadaptés.
2 Question à complément simple. Quelle est la forme de schizophrénie évoluant avec des éléments psychopathiques ? A - Hébéphrénie B - Héboïdophrénie C - Schizophrénie paranoïde D - Hébéphréno-catatonie E - Schizophrénie simple Bonne(s) réponse(s) : B B - A ne pas confondre avec l'hébéphrénie. C'est une schizophrénie pseudo-psychopatique où on retrouve une froideur affective avec des conduites antisociales bizarres, inadaptées, stéréotypées.
52 Question à complément simple. Parmi les tableaux cliniques suivants, un seul n'appartient pas au groupe des schizophrénies, lequel ? A - Hébéphrénie B - Oligophrénie C - Heboïdophrénie D - Délire paranoïde E - Catatonie Bonne(s) réponse(s) : B L'oligophrénie est un état de déficit intellectuel congénital (arriération mentale).
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Question à complément simple. Parmi les délires suivants, lequel est caractérisé par une organisation en "secteur"? A - Paraphrénie B - Psychose hallucinatoire chronique C - Schizophrénie paranoïde D - Délire passionnel E - Délire chronique d'interprétation Bonne(s) réponse(s) : D A : Faux. Les délires paraphréniques, malgré l'adaptation du patient à la réalité extérieure (sociale, professionnelle, quotidienne) ne sont pas "caractérisés par une organisation en secteur". Autant la forme imaginative (paraphrénie confabulante de Kræplin) a un certain degré de systématisation, autant la forme fantastique l'est beaucoup moins : "cohérence dans l'extravagance". B : Faux. Là encore, la systématisation est pauvre malgré une cohérence du délire. C : Faux. Par définition, le délire est non systématisé : il n'y a aucun axe thématique précis, le discours est diffluent, incohérent, illogique. D : Vrai. Les délires paranoïaques sont divisés en 3 : * Les délires passionnels, * Les délires d'interprétation, * Les délires des sensitifs. Les délires paranoïaques sont tous systématisés à la différence des délires paranoïdes. La systématisation d'un délire se répartit ensuite en organisation, en secteur ou en réseau. Les délires passionnels sont toujours en secteur (secteur social : inventeur, réformateur, processif... secteur affectif : jalousie, érotomanie) comme les délires des sensitifs (secteur professionnel ou familial). En revanche, les délires d'interprétations sont en réseau : aucun secteur de la vie du patient n'est indemne d'interprétations délirantes. E : Faux, voir D.
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Question à complément simple. Quel est le signe en faveur du caractère atypique, suspect de schizophrénie, d'un état maniaque? A - Hyperactivité motrice désordonnée B - Délire mégalomaniaque C - Hallucinations auditives D - Agressivité verbale E - Hypersyntonie Bonne(s) réponse(s) : C C : Les hallucinations sont exceptionnelles dans la psychose maniacodépressive (manie ou mélancolie délirante). A, B, D et E : Ils sont tous typiques de l'accès maniaque.
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Question à compléments multiples. Le délire paranoïaque de revendication se manifeste par : A - Une tendance procédurière B - Un mécanisme généralement hallucinatoire C - Des interprétations délirantes D - Un risque de passage à l'acte agressif E - Une baisse du niveau intellectuel Bonne(s) réponse(s) : A C D - Les délires de revendication appartiennent aux délires paranoïaques de types passionnels (avec le délire de jalousie et l'érotomanie). A ce titre, ils sont dangereux aussi bien pour le sujet que pour les personnes identifiées comme gênantes ou dangereuses. - Les interprétations délirantes ne font que confirmer le postulat de base que représente la passion initiale. E : L'intelligence est mise au service du délire, à la différence des délires paranoïdes.
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Question à compléments multiples. La schizophrénie : A - Débute classiquement chez l'adulte jeune B - Peut se compliquer d'épisodes dépressifs C - Nécessite le plus souvent, une neuroleptisation au long cours D - Ne majore pas le risque suicidaire E - Laisse prédire une incapacité absolue de resocialisation Bonne(s) réponse(s) : A B C A : Apparition dès 15 ans jusqu'à 35 ans. Les formes précoces n'ont pas un bon pronostic. C : L'idéal est de trouver la dose minimale nécessaire qui permet : - D'être efficace sur la symptomatologie, - De minimiser les risques de dyskinésies tardives. D : Faux. Le risque suicidaire est important, il survient sous forme de raptus, le plus souvent suite à une thématique d'influence. E : L'évolution est variable selon les sujets et les traitements.
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Question à compléments multiples. 6 Parmi les incidents susceptibles de survenir au cours d'un traitement par les sels de lithium, on doit retenir : A - Des accès de diarrhée B - Un syndrome polyuro-polydipsique C - Un amaigrissement D - Des céphalées E - Un tremblement digital Bonne(s) réponse(s) : A B E A - Rare. B - Oui, classique. Il peut aussi induire des diabètes insipides. C - C'est le contraire - prise de poids sous lithium. E - Oui. S'il devient ample, signe de surdosage.
Question à complément simple. 75 Dans la prévention de rechutes des psychoses maniacodépressives, le taux thérapeutique de la concentration plasmatique de Lithium est : A - 0,1 à 0,3 millimoles/l B - 0,3 à 0,6 millimoles/l C - 0,6 à 1 millimole/l D - 1 à 1,5 millimoles/l E - 1,5 à 2,5 millimoles/l Bonne(s) réponse(s) : C C - A noter que l'effet thérapeutique curatif pour un accès maniaque peut aller jusqu'à 1,2 moles. Au-dessus, doses toxiques.
Question à compléments multiples. 74 Chez un malade traité par sels de lithium, on doit surveiller régulièrement : A - La fonction hépatique B - La fonction thyroïdienne C - La fonction rénale D - L'électroencéphalogramme E - La tension oculaire Bonne(s) réponse(s) : B C B C - Connaissances. On doit également surveiller la lithémie et le ionogramme (hyponatrémie).
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Parmi les tableaux pathologiques suivants quel est celui dans lequel on ne rencontre jamais de crise d'agitation d'une manière caractéristique ? A - névrose d'angoisse B - névrose obsessionnelle C - névrose hystérique D - névrose de caractère E - bouffée délirante
Devant un tel épisode d'agitation, quel est le diagnostic qui vous parait le plus probable ? A - Agitation paranoïaque B - Agitation hystérique C - Agitation maniaque D - Agitation psychopathique E - Agitation schizophrénique Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B Il est rare que "l'obsessionnel passe à l'acte". Par définition, on retrouve une intellectualisation des rapports.
Question à complément Simple. Une femme de 19 ans est agitée. logorrhéique et d'humeur très variable. L'agitation stéréotypée, l'absence d'adéquation permanente entre les idées exprimées et les émotions apparentes ainsi qu'une absence de contact réel avec l'environnement permettent de poser l'un des 5 diagnostics suivants : A - manie B - bouffée délirante C - forme aiguë de début de schizophrénie D - hystérie E - mélancolie anxieuse
C'est typique, on retrouve : - agitation, exaltation thymique - demi des troubles - logorrhée, tachypsuchie - jeux de mots, jovialité, familiarité - dépenses d'argent, accès de toute puissance - augmentation de la libido. Un médecin est appelé en consultation auprès d'un homme de 40 ans, consultation demandée par l'épouse car celui-ci se dit en parfaite santé et refuse tout soin. Depuis quelques jours, il est agité, parle sans cesse, ses idées s'enchaînent sans lien logique et il accumule les jeux de mots. Il rit beaucoup, annonce qu'il va se lancer dans de brillantes affaires. Il s'est rendu le matin même à la salle des ventes et dit avoir acheté 3 villas. Il reçoit le médecin sur un ton amusé et familier et se moque de son allure qu'il trouve "vieillotte". Sa femme apprend au médecin qu'il ne dort plus depuis 3 jours et qu'il lui fait des avances obscènes, ce qui contraste avec son caractère timide et réservé habituel. Il n'a pas pris de substance toxique ni d'alcool.
Bonne(s) réponse(s) : B La manie (A) est éliminée sur l'asyntonie (maniaque = hypersyntone). C - Ne peut pas être retenue, puisqu'il n'existe aucune notion de durée des symptômes. B - Est satisfaisant. Q.C.M. difficile.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple. Devant un tel épisode d'agitation, quel est le diagnostic qui vous parait le plus probable ? A - Agitation paranoïaque B - Agitation hystérique C - Agitation maniaque D - Agitation psychopathique E - Agitation schizophrénique Bonne(s) réponse(s) : C
L'agitation anxieuse de type névrotique : A - Est sensible à une relation psychothérapique B - Est peu sensible aux benzodiazépines injectables C - Peut être en relation avec un événement de l'existence D - S'accompagne d'angoisse somatique E - Nécessite en règle une hospitalisation psychiatrique Bonne(s) réponse(s) : A C D Q CM difficile et discutable. A. Est vrai sans aucun doute. B. Est discutable. C. Est vrai mais récemment prouvé. D. Bien sûr. E. En aucun cas, "en règle".
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Evident. Installation brutale. Logorrhée. Tachypsychie - "coq à l'âne". Idées de grandeur, de richesse. Familiarité. Anosognosie. Hypersexualité. Monsieur M. 35 ans, sans antécédent pathologique, est amené par son épouse en consultation pour un état d'agitation d'installation brutale. Le malade parle sans cesse, son discours est intarissable, ses idées s'enchaînent sans lien logique, changent constamment, les "coq à l'âne" sont nombreux. Il se prétend un génial inventeur, promis à un grand avenir scientifique a la gloire et à la richesse. Le malade est d'emblée familier avec son examinateur et répond de façon amusée ou ironique à ses questions. Il nie tout caractère pathologique à son comportement. Son épouse apprend au médecin qu'il ne dort plus depuis trois jours et qu'il lui fait de nombreuses avances sur un mode provocant et obscène qui contraste avec son caractère timide et réservé.Il n'a pas pris de substances toxiques et on ne note pas d'antécédent éthylique.
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Question à complément simple. Ce patient a été traité par Laroxyl 200 mg/j, Largactil 250 mg/j, Artane 10 mg/j. Sa symptomatologie s'est amendée, et a laissé la place à un tableau associant : insomnie, propos incohérents, agitation avec déambulation. Le patient ignore la date, le lieu. L'examen neurologique est normal. Quel diagnostic portez-vous ? A - Rechute du tableau initial B - Démence type Alzheimer C - Accident vasculaire ischémique D - Confusion iatrogène E - Dépersonnalisation hystérique Bonne(s) réponse(s) : D Désorientation temporo-spatiale, perplexité.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Parmi les délires suivants, lequel possède une organisation en "secteur" ? A - Paraphrénie B - Psychose C - Hébéphréno-catatonie D - Délire passionnel E - Etat maniaque
Parmi les délires suivants, quel est celui qui a une organisation en secteur ? A - Schizophrénie paranoïde évolutive B - Bouffée délirante aiguë C - Psychose hallucinatoire chronique D - Délire chronique interprétatif E - Délire paranoïaque passionnel
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : E
Le délire passionnel est un délire paranoïaque, donc, "en secteur" ce qui s'oppose à A et C (forme clinique de schizophrénie), qui présente une organisation en "Réseau".
Par définition on oppose : - délire en réseau - délire en secteur suivant qu'il envahit ou non tous les champs de la personnalité.
Question à compléments groupés.
Question à complément simple.
Quel est le mécanisme psychique conscient dominant qui caractérise la formation du délire paranoïaque ? 1 - Imagination 2 - Hallucination 3 - Illusion 4 - Interprétation Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les délires suivants, lequel possède une organisation en "secteur" ? A - Paraphrénie B - Psychose hallucinatoire chronique C - Schizophrénie paranoïde D - Délire passionnel E - Délire chronique d'interprétation
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D
1- Concerne les paraphrénies en particulier. 2 - N'est jamais présent dans le délire paranoïaque. 3 - N'est pas un élément de délire.
On oppose délire en réseau et délire en secteur, suivant qu'il envahit ou non les différents champs de la personnalité.
Question à compléments multiples. Question à compléments multiples. Le délire paranoïaque de revendication se manifeste par : A - une tendance processive B - un mécanisme généralement hallucinatoire C - des interprétations délirantes D - un risque de passage à l'acte agressif E - une baisse de niveau intellectuel
Parmi les propositions suivantes, laquelle(lesquelles) caractérise(nt) un délire paranoïaque passionnel ? A - L'âge de début à l'adolescence B - La coexistence de troubles thymiques de type dépressif C - La cohérence du délire D - Le mécanisme interprétatif prédominant E - La bonne réponse aux traitements neuroleptiques
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) : C D
A - Est évident. B - Fait partie de la psychose hallucinatoire chronique. D - C'est le danger de cette pathologie : geste, hétéro puis auto agressif.
A. Non, le délire paranoïaque est d'apparition plus tardive ce qui le différencie du délire schizophrénique. B. Non, les éléments thymiques existent dans la paranoïa sensitive. C. Par définition ; délire systématisé. D. Oui, cf : cours. E. Non ; très mauvaise réponse et c'est un des grands problèmes thérapeutiques.
Question à complément simple. Chez un sujet présentant un délire hallucinatoire, quel est le médicament que vous prescrivez de préférence ? A - Diazépam (Valium®) B - Halopéridol (Haldol®) C - Lévomépromazine (Nozinan®) D - Méprobamate (Equanil®) E - Miansérine (Athymil®) Bonne(s) réponse(s) : B Les deux seuls possibles étaient B et C, mais l'Haldol est, ici, le seul hallucinolytique.
Question à compléments multiples. Un délire paranoïaque de type passionnel se caractérise par : A - Sa construction logique et cohérente B - Un vécu dépressif permanent C - La prédominance des mécanismes interprétatifs D - Son évolution à long terme vers une démence E - Sa dangerosité pour autrui Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A. Délire systématisé. B. Non quasiment jamais. C. par définition. D. Non, contrairement à l'évolution déficitaire des schizophrénies. E. Bien sûr ; c'est le problème médico-légal. Le plus grave en psychiatrie.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes, laquelle ou lequelles caractérise(nt) un délire paranoïde : A - C'est un délire logique B - C'est un délire d'indignité C - Le mécanisme prédominant est interprétatif D - C'est un délire peu organisé, difficilement compréhensible E - Le mécanisme prédominant est imaginatif
Parmi les délires suivants, lequel(lesquels) possède(nt) une organisation "en secteur" ? A - Paraphrénie B - Délire mélancolique C - Délire dissociatif D - Délire passionnel E - Délire chronique d'interprétation Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D A. Non c'est le contraire. B. Rrien à voir. C. Bien sûr que non, c'est le cas du délire paranoïaque. D. Par définition. E. Non prédominant, il peut être hallucinatoire par exemple....
Question à compléments multiples. Parmi les thèmes délirants suivants, les délires paranoïaques passionnels sont caractérisés par les : A - Thèmes de persécution B - Thèmes d'érotomanie C - Thèmes de jalousie D - Thèmes de revendication procédurière E - Thèmes de filiation illustre Bonne(s) réponse(s) : B C
E - Il s'agit d'un délire paranoïaque , systématisé "en réseau". D - Délire paranoïaque passionnel systématisé en secteur. C - Délire paranoïde son systématisé, flou, rencontré chez le schizophrène. A - Délire chronique systématisé à forme imaginative ou fantastique, où les mécanismes utilisés sont essentiellement imaginatifs et/ou hallucinatoires.
Question à compléments multiples. Le délire paranoïaque survient habituellement chez une personnalité caractérisée par : A - La psychorigidité B - La fausseté du jugement C - L'obstination D - L'érotisation des rapport sociaux E - Le collectionnisme Bonne(s) réponse(s) : A B C
Erotomanie chez la femme. Jalousie chez l'homme. D et E. Sont des délires de revendications.
La personnalité paranoïaque est constituée de quatre traits fondamentaux : l'hypertrophie du moi, entraînant entre autre psychorigidité et obstination (A, C) ; la méfiance ; la fausseté du jugement (B) et l'inadaptation sociale C et E se retrouvent dans la personnalité obsessionnelle.
Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) concernant le délire onirique ? A - Délire vécu et agi B - Délire systématisé C - Hallucinations à dominance visuelle D - Délire interprétatif E - Hallucinations auditives seulement Bonne(s) réponse(s) : A C
Question à compléments multiples. Les délires paranoïaques : A - Débutent à l'adolescence B - Ont pour thème caractéristique des idées de culpabilité C - Sont de mécanisme interprétatif D - Ont une structure logique et cohérente E - Evoluent de façon périodique
Le délire onirique ou onirisme comporte surtout des hallucinations visuelles dont les contenus sont le plus souvent désagréable voire monstrueux. Les visions de scènes sont souvent de nature zoopsique. Les illusions sont fréquentes. Adhésion absolue du sujet, perception déformée de l'environnement, exacerbation par l'obscurité et le bruit.
Bonne(s) réponse(s) : C D
Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Dans les délires passionnels de jalousie : A - Les hallucinations visuelles sont fréquentes B - Le mécanisme prédominant est interprétatif C - L'évolution est habituellement aiguë et rapidement réversible D - La dangerosité est importante E - On retrouve souvent un alcoolisme chronique
Le délire paranoïaque : A - Débute à l'adolescence B - A une évolution chronique C - Est de mécanisme interprétatif prédominant D - Est logique, cohérent E - Répond rapidement sous traitement neuroleptique
Bonne(s) réponse(s) : B D E E - L'alcoolisme chronique joue également un rôle dans la jalousie pathologique non délirante, de loin la plus fréquente. Il s'accompagne dans la moitié ou les deux tiers des cas de manifestations de jalousie qui s'expriment par des scènes bruyantes et souvent violentes.
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Ils s'installent le plus souvent de façon insidieuse et progressive chez des sujets d'âge moyen (35 à 45 ans). Survenant sur des personnalités très diverses, pathologiques ou non.
Bonne(s) réponse(s) : B C D A - Début le plus souvent après 40 ans. E - Efficacité partielle des neuroleptiques. Permettent une mise à distance.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Parmi les formes cliniques des délires chroniques, lesquelles correspondent aux délires paranoïaques : A - Délire hallucinatoire B - Délire passionnel C - Délire sensitif de relation D - Délire fantastique E - Délire d'interprétation
Le(s) mécanisme(s) psychopathologique(s) invoqué(s) dans ce type de délire est ou sont : A - Le déplacement d'une anxiété d'origine inconsciente B - La projection C - L'isolation D - L'absence de limite du Moi E - La conversion
Bonne(s) réponse(s) : B C E
Bonne(s) réponse(s) : B
Les délires paranoïaques chroniques sont le plus souvent basés sur des interprétations. A - Correspond à la PHC (psychose hallucinatoire chronique). D - Ou paraphrénie.
E - Il faut le savoir.
Question à complément simple. Question à compléments multiples. La ou les caractéristique(s) de ce délire est ou sont : A - La systématisation B - Les mécanismes Hallucinatoires C - La structure paranoïde D - Les mécanismes interprétatifs E - Le caractère passionnel Bonne(s) réponse(s) : A D A - Evident, c'est un des caractères du délire paranoïaque. BC - Faux. D - Evident, interprétation délirante. E - Non, c'est ici un délire d'interprétation. Divorcé depuis de nombreuses années, Mr X. 60 ans, a de gros problèmes financiers dont il rend ses enfants responsables (ceux-ci cherchent à le déposséder de ses biens). Il fait un exposé de ses malheurs :sa mère pour se débarrasser de sa femme, aurait fait interner arbitrairement celle-ci avec la complicité d'un médecin. Ce dernier continue à lui nuire, dressant ses enfants contre lui, en essayant de le faire interner. Il soupçonne également sa bru de n'être pas étrangère à la mort accidentelle de son fils. Ne s'était -elle pas fait constituer une assurance vie à son profit quelques temps avant ?. Ces allégations sont sans fondements, Mr X est décidé à intéresser la justice à cette affaire, sinon il fera justice lui-même.
Question à compléments multiples. L'évolution spontanée de ces délires est caractérisée par : A - L'aggravation sur un mode déficitaire B - L'importance du risque suicidaire C - Le risque d'actes médico-légaux D - La mise à distance du délire et son enkystement sans véritable critique E - La chronicité avec conservation du caractère actif du délire mais sans déficit intellectuel
Le cadre nosographique auquel est rattaché ce type de délire est : A - Les psychoses hallucinatoires chroniques B - Les psychoses paranoïdes C - Les psychoses paranoïaques D - Les psychoses réactionnelles E - Les névroses obsessionnelles Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Classiquement la présence d'un délire élimine le diagnostic de : A - Paranoïa B - Mélancolie C - Psychose hallucinatoire chronique D - Schizophrénie E - Etat névrotique aigu Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire. Frédéric E. 22 ans, est hospitalisé après une tentative de suicide médicamenteuse. Il ne dort plus la nuit : des voix le menacent d'emprisonnement, lui promettent la mort. Il pense être suivi par des policiers en civil ; les vols d'oiseaux lui prédisent sa fin. Cela a commencé il y a un mois, peu après la lecture du journal qui relatait une noyade dont il s'est senti responsable. Ses traits sont figés, ses gestes lents. Il parle d'une voix monocorde. L'hospitalisation lui parait totalement inutile : seul un châtiment le soulagerait en lui permettant d'expier ses crimes. Il n'a jamais présenté de troubles psychiques auparavant.
Bonne(s) réponse(s) : C D E
Question à compléments multiples.
A - Le propre de la schizophrénie. B - Est possible, mais ce n'est pas un risque important (en fréquence), plutôt (C) (acte hétéro-agressif). D - On a, en général, une certaine cicatrisation du délire.
Parmi les propositions suivantes concernant le délire présenté par ce patient, la ou lesquelles est ou sont exacte(s) ? A - Il s'agit d'idées délirantes congruentes à l'humeur B - Les thèmes délirants principaux sont persécutifs C - Le délire est principalement sous-tendu par des hallucinations D - Il s'agit d'un délire de type paranoïaque E - Il s'agit d'un délire interprétatif
Question à compléments multiples. La personnalité préexistante à ce type de délire est caractérisée par : A - L'immaturité affective et la suggestibilité B - La méticulosité C - L'orgueil D - L'hypertrophie du Moi E - La méfiance
Bonne(s) réponse(s) : A C'est évident. D. Oui, ce sont des idées délirantes congruentes à l'humeur.
Bonne(s) réponse(s) : C D E Personnalité paranoïaque, on y ajoute la rigidité et la fausseté du
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Question à compléments multiples Parmi ces propositions la(lesquelles) caractérise(nt) ce délire ? A - Un syndrome d'influence B - Un syndrome de discordance C - Un délire passionnel D - Un délire systématisé E - Un délire mélancolique Bonne(s) réponse(s) : C D A,B - sont retrouvés dans les schizophrénies. E - Thèmes d'indignité, incurabilité, damnation, ruine..., non retrouvés ici. Voici six mois, à table, Manuel P..., 46 ans, à éprouvé le sentiment que ses enfants ne lui ressemblaient pas et donc n'étaient pas les siens. Depuis il n'a de cesse de démontrer que son épouse est adultère : taches sur les draps, fleurs à la fenêtre, regards appuyés en direction d'autres hommes. Celle-ci dément, se plaint d'être tyrannisée par les investigations de son mari. Les enfants confirment le comportement de leur père qui oscille entre la violence et les menaces, ou l'isolement et la prostration ; il a caché un fusil dans sa chambre et pense connaître son rival dont il ne révèle pas le nom; sa femme vient vous exprimer son inquiétude au centre médicopsychologique du secteur (CMP).
Question à compléments multiples. Les mécanismes générateurs du délire incluent dans ce cas : A - L'intuition B - L'imagination C - L'interprétation D - L'illusion E - L'hallucination Bonne(s) réponse(s) : A C Voir question suivante.
Question à complément simple Quelle est la nature du délire ? A - Confabulatoire B - Imaginatif C - Systématisé D - Hallucinatoire E - Oniroïde Bonne(s) réponse(s) : C A - Se voit dans la paraphrénie.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes, indiquez celle qui caractérise la schizophrénie : A - Des conduites agressives antisociales et la dangerosité B - Le syndrome dissociatif C - L'angoisse de castration D - L'existence d'une phobie spécifique E - Une névrose bénigne
Parmi les troubles suivants du cours et du contenu de la pensée, le(s)quel(s) est (sont) considéré(s) comme caractéristique(s) de la schizophrénie : A - l'enchaînement très rapide des idées. avec jeux de mots, associations diverses B - l'envahissement de l'intellect par une idée prévalente C - la suspension du discours en apparence immotivée, sans angoisse, sans émotion apparente D - l'obligation mentale de répéter des séries de mots E - le ralentissement et l'appauvrissement de la pensée
Bonne(s) réponse(s) : B C'est un des pôles cliniques des schizophrénies.
Bonne(s) réponse(s) : C
Question à complément simple. Parmi les symptômes suivants quel est celui qui est caractéristique de la schizophrénie ? A - Auto-accusation B - Discordance C - Angoisse D - Labilité affective E - Logorrhée Bonne(s) réponse(s) : B C'est le signe...
Question à complément simple Quelle est la fréquence minimale estimée de la schizophrénie au sein de la population (taux de prévalence) ? A - 1 pour 10 000 B - 1 pour 1 000 C - 0,5 pour 100 D - 1 pour 100 E - 5 pour 100
A - Manie. D - Palilalie. E - Débilité. C - Définit le barrage.
Question à complément simple. Tous les symptômes suivants peuvent se rencontrer dans la schizophrénie. Néanmoins parmi ceux qui sont énumérés cidessous, l'un d'entre eux est particulièrement évocateur de ce diagnostic. Lequel ? A - Agoraphobie B - Claustrophobie C - Phobie d'impulsion D - Phobie des microbes E - Dysmorphophobie Bonne(s) réponse(s) : E C'est une phobie limite. Conviction et peur d'être laid ou dysmorphique (asymétrique...). A B - Sont caractéristiques de la névrose phobique. C D Sont des obsessions phobiques volontiers rencontrées dans la névrose obsessionnelle.
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Parmi ces propositions concernant la schizophrénie. indiquez laquelle ou lesquelles sont exactes : A - La modification de la personnalité est toujours brutale B - Toutes les dimensions de la personnalité sont atteintes C - Le sentiment de l'unité interne de la personnalité à disparu D - Les capacités d'adaptation sont souvent altérées E - Le délire et la discordance sont exclusifs l'un de l'autre Bonne(s) réponse(s) : B C D Le début est rarement brutal, souvent insidieux, il peut être aigu (bouffée délirante polymorphe) mais pas toujours. E - Est totalement faux: la "triade" schizophrénique étant: dissociation, autisme, délire.
Question à compléments multiples. La symptomatologie de la schizophrénie comporte : A - autisme B - pensée logique C - pensée hermétique D - ambivalence E - psycho-rigidité Bonne(s) réponse(s) : A C D E - Fait partie de la lignée paranoïaque. C D - Font partie de la dissociation. A - Est un des pôles de la schizophrénie.
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Question à compléments multiples. Quand un état dépressif est suspecté de représenter le début d'une psychose schizophrénique, un ou plusieurs des signes suivants fait ou font évoquer la schizophrénie : A - L'humeur douloureuse et pénible B - L'agoraphobie C - Le détachement affectif D - L'insomnie d'endormissement E - La discordance mimique Bonne(s) réponse(s) : C E A - Est vrai dans toute dépression sévère. B - Sans objet. D - Est souvent vrai. Fait souvent partie des syndromes anxieux. C E - Sont des éléments de la lignée schizophrénique.
Question à compléments multiples. Parmi les signes cliniques, indiquez lequel (ou lesquels) est (sont) rencontré(s) dans la schizophrénie : A - expérience délirante d'étrangeté B - syndrôme de dépersonnalisation C - thèmes délirants d'influence D - affectivité inadaptée, paradoxale E - actes impulsifs Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
Devant un tableau délirant évoluant depuis plusieurs années, quel est ou quels sont les éléments qui oriente(nt) vers un diagnostic de schizophrénie ? A - Début avant 30 ans B - Existence de signes dissociatifs C - Thématique persécutive D - Cohérence du délire E - Mécanisme imaginatif du délire
Comment appelle-t-on la forme clinique de schizophrénie caractérisée par la présence de comportements psychopathiques ? A - Héboïdophrénie B - Schizophrénie dysthymique C - Schizophrénie paranoïde D - Hébéphrénie E - Schizophrénie simple
Bonne(s) réponse(s) : A B
Bonne(s) réponse(s) : A
A. Est discutable maintenant, mais reste classique à l'internat. B. Par définition. C et D. Concernent la paranoïa. E. Concerne plutôt la paraphrénie mais reste discutable.
B - Etat associant des symptômes thymiques, associatifs et délirants, évoluants par poussées aiguës, récurrentes, sans déficit marqué dans l'intervalle des épisodes. C - Forme la plus fréquente et la plus productive. D - Forme dominée par la dissociation, la discordance, l'indifférence et l'apragmatisme, 1/5 des schizophrénies.
Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes caractérisant la schizophrénie dysthymique, indiquez celle(s) qui est (sont) exacte(s) : A - Son évolution est intermittente B - Entre les poussées évolutives, la rémission est totale C - Les poussées comportent des troubles délirants associés à des troubles de l'humeur D - L'évolution est progressivement déficitaire E - Le lithium peut avoir un rôle préventif des rechutes
Question à complément simple. Les différentes formes cliniques de schizophrénie ont en commun : A - Le délire paranoïde B - La catalepsie C - La manie atypique D - La dissociation E - La schizophasie
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : D
La tendance actuelle est de rattacher la plupart des cas de schizophrénies dysthymiques à des formes délirantes périodiques de la psychose maniaco-dépressive.
La dissociation psychique est considérée comme le trouble fondamental. Elle désigne la perte d'unité de la personnalité de sujet et se traduit dans la pensée, l'affectivité et le comportement.
Question à complément simple.
Question à complément simple.
Dans la plupart des cas, les schizophrénies débutent : A - Dans la petite enfance B - Après cinquante ans C - Entre 15 et 30 ans D - Dans la période pré-pubertaire E - A la phase de latence du développement affectif
Les schizophrénies débutent habituellement : A - Avant la puberté B - Entre la puberté et la trentaine C - Entre 40 et 50 ans D - Après la cinquantaine E - A tout âge
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B
C - Donnée classique.
Dans 75 % des cas, se révèle entre 15 et 35 ans.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
Au cours du traitement d'une schizophrénie, les phénomènes dyskinétiques bucco-linguo-faciaux s'observent avec : A - Les faibles doses d'halopéridol (Haldol) B - Les fortes doses d'halopéridol (Haldol) C - Les fortes doses de diazepam (Valium) D - Les fortes doses d'imipramine (Tofranil) E - Les faibles doses de fluphénazine (Moditen)
Quelle est cette forme de schizophrénie où prédominent discordance, repli, appauvrissement de la personnalité ? A - Forme hébéphrénique B - Forme paranoïde C - Forme dysthymique D - Forme pseudonévrotique E - Forme schizophrénique simple
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Bonne(s) réponse(s) : A
Tous les neuroleptiques, quelle que soit la dose administrée, peuvent entraîner des dyskinésies aiguës ou tardives. C, D - Les benzodiazépines et antidépresseurs tricycliques ne donnent pas ce type d'effets secondaires.
Forme marquée par l'absence de délire, l'importance des symptômes déficitaires. Traitement : neuroleptiques incisifs (efficacité limitée).
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97 Question à compléments multiples.
69 Question à complément simple.
Un patient souffre d'angor. L'examen clinique révèle des signes d'insuffisance ventriculaire gauche. Quels antiangineux per os doivent être évités ? A - Dérivés nitrés B - B ta-bloquants C - Amiodarone D - Adalate® (Nifédipine) E - Isoptine® (Vérapamil)
Pour traiter une angine aiguë supposée streptococcique chez un garçon de 6 ans, allergique à la pénicilline G, quel antibiotique choisissez-vous en première intention ? A - Triméthroprime-sulfamétoxazole B - Céphalosporine C - Erythromycine D - Amoxicilline E - Gentamicine
Bonne(s) réponse(s) : B E
Bonne(s) réponse(s) : C
Très inotropes négatifs.
Sans commentaire.
58 Question à compléments multiples.
47 Question à complément simple.
A propos du diagnostic bactériologique d'une angine diphtérique quel est ou quels sont les énoncés exacts ? A - Devant une angine suspecte de diphtérie, le prélèvement de gorge est fait par écouvillonnage à la périphérie des fausses membranes B - Au cours de la diphtérie, le bacille diphtérique est isolé dans les hémocultures C - Les souches de bacille diphtériques responsables de la maladie produisent une toxine D - La mise en culture du prélèvement de gorge à la recherche du bacille diphtérique peut se faire sur sérum de boeuf coagulé (milieu de Loffler) E - La mise en route du traitement d'une angine suspecte de diphtérie peut attendre la confirmation du laboratoire de bactériologie
Chez un adulte jeune, vous suspectez une mononucléose infectieuse devant un syndrome mononucléosique avec angine et adénopathies. Pour confirmer ce diagnostic vous commencerez par demander l'un des examens suivants. Lequel ? A - Titrage des anticorps dirigés contre la capside du virus Epstein-Barr (VCA) dans le sérum, par immunofluorescence B - Recherche d'anticorps hétérophiles dans le sérum par agglutination sur lame (MNI test) C - Réaction de Paul Bunnell Davidsohn D - Recherche du virus Epstein-Barr dans la salive E - Recherche d'une élévation d'anticorps spécifiques du virus Epstein-Barr dans le sérum en fixation du complément
Bonne(s) réponse(s) : A C D D - Le diagnostic bactériologique de diphtérie est une urgence. Corynebacterium diphteriae est de culture difficile : cette bactérie est cultivée sur milieu de Loeffler au sérum de boeuf coagulé, et isolé sur milieu de Tindale (hémoglobine, cystéïne, tellurite) sur lequel les colonies apparaissent en 48 heures. Seul Corynebacterium diphteriae toxinogène est responsable de la diphtérie et le diagnostic de certitude est la mise en évidence de la toxine produite par la souche isolée (pouvoir pathogène chez le cobaye ou mise en évidence immunologique par le test d'Elek).
12 Question à compléments multiples. Parmi les circonstances suivantes, laquelle(lesquelles) peu(ven)t être à l'origine de douleurs angineuses chez un malade ayant une athérosclérose coronarienne ? A - Tachycardie ventriculaire B - Tachycardie par fibrillation auriculaire paroxystique C - Anémie avec taux d'hémoglobine à 60 g par litre D - Hypokaliémie sans trouble du rythme ni de la conduction E - Poussée tensionnelle à 25-13 cm de Hg Bonne(s) réponse(s) : A B C E A B - Augmentation des besoins myocardiques en oxygène en rapport avec la tachycardie. C - L'anémie augmente l'ischémie myocardique. D - Une poussée tensionnelle augmente le travail cardiaque.
Bonne(s) réponse(s) : B B - On commence par le test le plus simple de détection des anticorps hétérophiles, qui agglutinent les globules rouges de mouton ou de cheval (sérologie non spécifique). Le MNI test est positif chez environ 90 % des adultes jeunes ayant la MNI. C - La réaction Paul-Bunnell-Davidsohn est la réaction de référence pour détecter les anticorps hétérophiles. A E - La sérologie spécifique est indiquée : - chez le jeune enfant (< 5 ans), chez qui la réponse hétérophile est rarement positive, - chez environ 10 % des adultes, qui ne développent pas une réponse hétérophile détectable.
51 Question à complément simple. Une malade de 40 ans consulte pour fièvre a 38°C. L'etat général s'est rapidement dégradé. L'examen clinique montre une angine érythémato-pultacée et un muguet lingual. Il existe par ailleurs une discrète splénomégalie. L'hémogramme montre une anémie à 8 g/dl, un chiffre de globules blancs à 3800/mm3 dont 10 % de polynucléaires. Les plaquettes sont à 38 000/mm3. Vous évoquez en premier lieu : A - Une leucémie aiguë B - Une agranulocytose toxique C - Une spénomégalie myéloïde chronique D - Une aplasie médullaire E - Une néoplasie profonde Bonne(s) réponse(s) : A A - Pancytopénie associée à un syndrome tumoral : splénomégalie. B - Non, car atteinte des autres lignées. C - Syndrome myéloprolifératif avec myélémie et forte splénomégalie. D - La splénomégalie n'est pas retrouvée.
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26 Question à compléments multiples.
34 Question à compléments multiples.
Une telle angine peut se compliquer de: A - Thrombophlébite cervicale B - Glomérulonéphrite par dépôts d'lgA trois semaines plus tard C - Embolies pulmonaires septiques multiples D - Exanthème scarlatiniforme E - Kérato-conjonctivite
A propos de l'angine diphtérique, quelles sont les affirmations vraies ? A - Les paralysies précoces de la diphtérie ne sont pas extensives B - Les paralysies précoces de la diphtérie sont des paralysies de l'accomodation C - Une vaccination antidiphtérique récente élimine le diagnostic D - Le traitement antibiotique de la diphtérie doit avoir recours à une pénicilline résistante aux bêtalactamases E - L'angine diphtérique peut être érythémateuse
Bonne(s) réponse(s) : A C A : Complication rare des angines à anaérobies. B : Complication des angines à streptocoques C : Encore appelé syndrome angine-infarctus et dû dans la majorité des cas à Fusobacterium necrophorum
27 Question à compléments multiples. Citez la ou les réponse(s) exacte(s) concernant l'étiologie et la physiopathologle de cette angine: A - Est due à Clostridium Perfringens B - Est due à l'association de deux germes anaérobies C - Est une maladie hautement contagieuse D - Peut se compliquer de septicémie d'origine thrombophlébitique E - Atteint essentiellement les sujets immuno-déprimés Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : B E A - Les paralysies précoces de la diphtérie sont extensives : d'abord paralysie vélo-palatine et paralysie de l'accomodation, puis paralysie des muscles du larynx et du pharynx, puis paralysie extensive des muscles respiratoires. B - Les paralysies précoces de la diphtérie (3ème-14ème jour) touchent le voile du palais et la musculature intrinsèque de l'oeil (mydriase avec troubles de l'accomodation). C - Le développement d'une diphtérie chez les sujets vaccinés est possible (5 % des sujets vaccinés n'ont pas de taux protecteur d'antitoxine). Cependant, la diphtérie n'est grave qu'exceptionnellement chez les vaccinés. Par ailleurs, les sujets incomplètement immunisés font le plus souvent des formes bénignes. D : Le traitement antibiotique de choix de la diphtérie est l'érythromycine. La pénicilline G est active in vitro. E : Il existe de nombreuses variantes symptomatiques de l'angine diphtérique dont l'aspect ne fait pas évoquer d'emblée la diphtérie. Ainsi, l'angine diphtérique peut parfois être simplement érythémateuse.
B : Il s'agit de l'association d'une fusobactérie et d'une spirochète.
29 Question à complément simple. Quel est le traitement de choix de cette angine ? A - Gentamycine (Gentalline®) B - Ofloxacine (Oflocet®) C - Pénicilline G D - Oxacilline (Bristopen®) E - Doxycycline (Vibramycine®) Bonne(s) réponse(s) : C La pénicilline G est le traitement de choix de l'angine de Vincent, mais il ne faut pas négliger les soins dentaires.
30 Question à complément simple. Ce sujet conserve, au troisième mois, des manifestations à type de douleur angineuse pour des efforts modérés, des investigations complémentaires sont nécessaires sur le pronostic. Ils sont pris en charge par : A - L'employeur B - Sa mutuelle C - Le fond de garantie automobile D - Le régime accident du travail E - Le régime de l'invalidité Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire
31 Question à compléments multiples. Les angines érythémato pultacées peuvent être dues à A - Streptocoque groupe A B - Staphylocoque doré C - Streptococcus pneumoniae D - Fusobacterium necroforum E - Virus d'Epstein Barr Bonne(s) réponse(s) : A B C E D - Fusobacterium necroforum est responsable d'angine nécrotique avec thrombophlébite. E - La pharyngite est fréquente au cours de la MNI, en règle érythématopultacée. Un jeune homme de 16 ans présente depuis 48 heures une température à 40° avec douleurs vives à la déglutition. A l'examen vous retrouvez des adénopathies sous angulo-maxillaires bilatérales douloureuses et à l'ouverture de la bouche vous notez l'existence d'amygdales volumineuses tuméfiées recouvertes dans leur ensemble d'un enduit blanc qui s'enlève facilement en grattant avec l'abaisse langue. Vous envisagez deux diagnostics : - angine érythémato pultacée - angine à fausse membrane. RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
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95 Question à compléments multiples. Au cours d'une angine diphtérique commune, il est habituel de constater un ou plusieurs des symptômes suivants. Lequel ou lesquels? A - Pétéchies du voile du palais B - Fausses membranes C - Eruption cutanée D - Adénopathies cervicales E - Splénomégalie Bonne(s) réponse(s) : B D B : Devant une angine à fausses membranes, les 2 principaux diagnostics à évoquer sont la mononucléose infectieuse et la diphtérie. Les items A, C et E sont évocateurs de mononucléose infectieuse.
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11 Question à complément simple. Un malade présente brutalement fièvre à 38,5°C et angine. L'état général se dégrade rapidement, la fièvre persiste, l'hémogramme montre une hémoglobine à 12 g/dl, des plaquettes à 440 000/mm3, 2 300/mm3 leucocytes avec 80 % de lymphocytes et 5 % de polynucléaires. Devant ce tableau, vous évoquez un diagnostic, lequel? A - Leucémie aiguë B - Aplasie médullaire C - Agranulocytose toxique D - Leucémie lymphoïde chronique E - Autre proposition Bonne(s) réponse(s) : C QCM : 7/90/I L'hémogramme ne montre que 115 neutrophiles. A : sur la formule, dans ce cas, pas de blastes circulants. Mais une leucémie aiguë peut se révéler par une insuffisance médullaire associant anémie, thrombopénie, leucopénie
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40 Question à complément simple. Par quel mécanisme la trinitrine sublinguale interrompt-elle les crises angineuses? A - Diminution du tonus sympatique B - Diminution de la fréquence cardiaque C - Baisse du retour veineux D - Diminution de la contractilité myocardique E - Diminution de l'épaisseur ventriculaire gauche Bonne(s) réponse(s) : C C : Ce qui se traduit par une diminution de la pression intracardiaque avec redistribution du flux coronarien vers les couches sous endocardiques.
Madame G.; 67 ans, 71 kg, sans antécédents ni facteurs de risque particuliers est traitée depuis 7 ans pour un angor d'effort stable et peu sévère par : Trinitrine percutanée sous forme de timbre (NITRIDERM TTS® 10 mg), un timbre par jour laissé en place durant 24 heures. Trinitrine (NATISPRAY® fort), une bouffée sublinguale en cas de crise. Depuis la dernière consultation (six mois), les crises sont devenues très progressivement plus fréquentes et surviennent pour des efforts importants mais autrefois bien tolérés.
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Question à complément simple. 102
Question à complément simple. 37
Parmi les angines suivantes, indiquez celle qui est habituellement unilatérale : A - Angine diphtérique B - Angine de Vincent C - Angine de la mononucléose infectieuse D - Angine streptococcique E - Herpangine
Quel est parmi les caractères suivants, celui qui est en faveur de l'étiologie virale d'une angine érythémateuse ? A - Rougeur intense du pharynx B - Adénopathie sous angulo-maxillaire C - Trachéobronchite associée D - Fièvre élevée E - Absence d'élévation des antistreptolysines O (ALSO)
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A
Classiquement l'angine de Vincent est une angine unilatérale, ulcéromembraneuse, due à l'association obligatoire de spirilles et de bactéries fusiformes.
Schématiquement les angines rouges sont d'origine virale tandis que les angines blanches sont bactériennes, ceci devant cependant être nuancé. La fièvre élevée peut se voir dans les deux types d'angines. Si les adénopathies sous angulo-maxillaires, volumineuses, associées à la conjonctivite et l'angine évoquent une infection à virus adéno-pharyngoconjonctival (A.P.C.), les angines bactériennes s'accompagnent fréquemment d'adénopathies dans ce territoire. La trachéo-bronchite se voit plutôt à titre de complication sur des terrains fragiles.
Question à compléments groupés. 119 Devant une angine supposée streptococcique, il faut donner sa préférence à un traitement antibiotique par : 1 - Un aminoside 2 - Une pénicilline 3 - Une cycline 4 - Un macrolide Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : C Le traitement antibiotique de choix devant l'angine est la pénicilline en raison de son activité sur le streptocoque bêta-hémolytique, responsable du syndrome post-streptococcique. Les macrolides sont à utiliser en cas de contre-indication aux pénicillines.
Question à complément simple. 81 Un des antibiotiques suivants ne doit pas être prescrit lorsqu'on soupçonne une angine à monocytes. Lequel ? A - Pénicilline G B - Pénicilline V C - Ampicilline D - Macrolide E - Tétracycline Bonne(s) réponse(s) : C Une angine à monocytes évoque une mononucléose infectieuse où la prescription d'ampicilline risque de déclencher l'apparition d'un rash cutané.
Question à complément simple. 74 Parmi les 5 antibiotiques suivants, indiquez celui à utiliser en première intention pour traiter une angine streptococcique en cas d'allergie à la pénicilline : A - Tétracycline B - Macrolide C - Aminoglycoside D - Sulfamide E - Phénicolé
Question à complément simple. 11 Le diagnostic d'angine de Vincent repose sur un certain nombre de critères cliniques et biologiques. Quelle est, parmi les propositions suivantes, celle qui n'est pas compatible avec le diagnostic d'angine de Vincent. ? A - Ulcération siégeant sur une amygdale B - Angine peu fébrile C - Angine due à des anaérobies (association d'un bacille du genre Fusiformes et d'un spirochète du genre Borrellia) D - Confirmation bactériologique apportée par la culture du prélèvement de gorge E - Sensible à la pénicilline G Bonne(s) réponse(s) : D C'est en effet dans la proposition D que se situe le piège : le diagnostic est confirmé par l'examen direct du frottis et non pas à la culture. L'angine de Vincent est une angine ulcéro-membraneuse, généralement peu fébrile, liée à l'association obligatoire de deux anaérobies (bacille du genre Fusiformis, spirochète du genre Borrelia), sensibles à la pénicilline G.
Question à compléments multiples. 106 Indiquez la(les) proposition(s) en faveur de l'étiologie streptococcique d'une angine : A - Fièvre inférieure à 38,5°C B - Rougeur écarlate de la gorge C - Coryza associé D - Adénopathies diffuses E - Polynucléose sanguine importante Bonne(s) réponse(s) : B E A - La fièvre est plus volontiers élevée 39°-40°C. B - La muqueuse pharyngée est rouge vif et non rose. C - En faveur d'une atteinte virale. D - Les adénopathies sont modérées dans les angines streptococciques et moins diffuses que lors des atteintes virales. E - Alors qu'il existe une hyperlymphocytose dans les angines virales.
Bonne(s) réponse(s) : B Evident.
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Question à compléments multiples. 101 Devant une angine streptococcique avec adénite, quels sont les antibiotiques qui sont indiqués en première intention ? A - Pénicilline V B - Erythromycine C - Association triméthroprime-sulfamétoxazole (Bactrim® Eusaprim®) D - Gentamycine E - Streptomycine Bonne(s) réponse(s) : A B Le Bactrim est inconstamment efficace sur le streptocoque.
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Question à compléments multiples. 8
Question à complément simple. 86
Parmi les cinq propositions suivantes, quelle(s) est(sont)celle(s) que vous retenez ? L'otite moyenne aiguë de l'enfant : A - Est habituellement monomicrobienne B - Résulte en général d'une infection hématogène C - Est favorisée par une infection rhinopharyngée D - Se complique rarement de mastoïdite E - Peut se révéler par une surdité brusque
Que traduit habituellement l'apparition de vertiges au cours de l'évolution d'une otite moyenne aiguë ou chronique ? A - Cholestéatome de l'oreille moyenne B - Abcès du lobe temporal C - Labyrinthite D - Abcès péri-sinusien E - Aucune des affections ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A C D Dans 90 % des cas l'infection est monomicrobienne. La mastoïdite complique actuellement l'otite moyenne aiguë, mais alors souvent sous forme torpide. L'infection passe le plus souvent par voie tubaire et est donc favorisée par une rhinopharyngite. L'infection par voie hématogène est plus rare.
Question à complément simple. 38
La labyrinthite est une complication possible des otites moyennes simples, la diffusion des toxines se faisant par les fenêtres labyrinthiques. Au cours d'une otite cholestéatomateuse l'apparition d'une symptomatologie vestibulaire doit faire craindre une lésion du canal semicirculaire externe.
Question à compléments multiples. 70
L'otite moyenne chronique séro-muqueuse à tympan fermé se caractérise par l'une des propositions suivantes. Laquelle ? A - Une otalgie violente B - Un état fébrile marqué C - Un tympan bombant D - Un tympan très rouge inflammatoire E - Aucun des signes ci-dessus
Chez un sujet présentant une surdité de transmission par otite moyenne chronique cholestéatomateuse, quel(s) signe(s) doit(vent) faire craindre une complication, et impose(nt) un traitement d'urgence ? A - Otorrhée purulente B - Vertiges C - Céphalées D - Surdité de transmission E - Paralysie faciale périphérique
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B C E
Les autres propositions concernent l'otite moyenne aiguë.
A - C'est avec l'hypoacousie le motif le plus courant amenant à consulter et à découvrir le cholestéatome. B - Doit faire craindre une lyse du canal semi-circulaire externe. C - Peut traduire une méningite. D - Liée le plus souvent à une destruction de la branche descendante de l'enclume. E - Le canal facial peut être lysé par le cholestéatome.
Question à compléments groupés. 102 La persistance d'une otorrhée purulente au vingt et unième jour d'une otite moyenne aiguë : 1 - Atteste d'une atteinte labyrinthique 2 - Met à l'abri d'une complication évolutive 3 - Témoigne d'une atteinte de la chaîne des osselets 4 - Doit faire envisager la possibilité d'une mastoïdite Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : D Evident.
Question à compléments multiples. 93 L'otite moyenne aiguë est : A - Polymicrobienne B - Volontiers bilatérale chez le nourrisson C - D'origine rhinopharyngée D - Peu fréquente chez l'enfant E - Volontiers saisonnière
Question à compléments multiples. 107 Parmi les signes suivants, quels sont ceux qui sont en faveur d'une otite moyenne aiguë d'origine virale ? A - Otalgies extrêmement violentes chez un adulte B - Phlyctènes à l'otoscopie C - Otorragie D - Résolution spontanée en quelques heures E - Otorrhée purulente abondante soulageant le malade immédiatement Bonne(s) réponse(s) : B E B - Les bulles en se rompant peuvent entraîner une petite otorragie. E - En faveur d'une atteinte bactérienne. En fait, tout ceci est désuet et discutable : la douleur est un élément subjectif. Les phlyctènes peuvent être également provoquées par des germes pyogènes, l'otorragie n'a rien de spécifique. Aucun élément clinique en pratique ne permet de parler d'otite moyenne aiguë virale plutôt que d'otite moyenne aiguë bactérienne.
Bonne(s) réponse(s) : B C A. Habituellement liée à un seul germe (90% des cas). BC. La rhinopharyngite est le facteur majeur de survenue des otites moyennes. La propagation se faisant par la trompe d'Eustache, expliquant la fréquente bilatéralité. E. L'otite moyenne aiguë existe tout le long de l'année, un peu moins l'été. Il n'y a pas véritablement de rythme saisonnier.
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Question à compléments multiples. 74
Question à compléments multiples. 1
Quels sont les trois germes les plus fréquemment rencontrés dans l'otite moyenne aiguë purulente à cet âge ? A - Haemophilus influenzae B - Staphylococcus aureus C - Streptococcus pneumoniae D - Proteus mirabilis E - Mycoplasma pneumoniae
A l'origine de cette otite moyenne aiguë les 4 germes les plus fréquemment rencontrés sont : A - Streptocoque hémolytique A B - Staphylocoque C - Pneumocoque D - Hémophilus E - Proteus
Bonne(s) réponse(s) : A B C
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Evident.
L'otite aiguë est habituellement liée à un seul germe.
Un enfant de 2 ans présente depuis 24 heures une otalgie gauche, il existe une fièvre à 38°. C'est le premier épisode de ce type, et dans la semaine qui précédait, l'enfant avait été enrhumé. L'otoscopie faite le soir découvre une membrane tympanique congestive et bombée avec disparition des reliefs et du triangle lumineux. Le reste de l'examen est strictement normal. Le diagnostic d'otite moyenne purulente gauche est posé.
Un enfant de 4 ans est fébrile depuis quelques jours. Le médecin a diagnostiqué une rhinopharyngite et prescrit un traitement par paracétamol, aspirine et instillations nasales antibiotiques et vasoconstrictrices. Cet enfant chétif et hypotrophique est fréquemment sujet à de telles poussées de rhinopharyngites. Trois jours plus tard, le médecin est appelé à nouveau car depuis quelques heures, la température est réapparue à 39°C et l'enfant se plaint de douleurs au niveau de l'oreille droite, entraînant une insomnie la nuit précédente. L'otoscopie montre à droite un tympan rouge, bombant, pulsatile, ayant perdu ses reliefs. A gauche, le tympan est discrètement inflammatoire, rosé, hyperhémique. La palpation de la région mastoïdienne est indolore des deux côtés. Les fosses nasales sont encombrées d'une sécrétion mucopurulente. L'examen du pharynx montre une trainée mucopurulente sur la paroi postérieure et une importante hypertrophie des végétations adénoïdes.
Question à compléments multiples. 75 Quels sont, parmi les éléments cliniques de cette observation, les 2 qui ont permis de retenir le diagnostic d'otite moyenne aiguë purulente ? A - Tympan rouge B - Otalgie C - Tympan bombant D - Disparition du triangle lumineux E - Effacement des reliefs Bonne(s) réponse(s) : C E Le bombement est postéro-inférieur, car c'est le quadrant le plus déclive où doit se faire la paracentèse. A B D - Ne sont pas spécifiques.
Question à complément simple. 77 Quel est parmi les cinq antibiotiques suivants, celui dont le spectre d'activité concerne le plus grand nombre de germes responsables de l'otite moyenne aiguë purulente ? A - Pénicilline v B - Amoxicilline C - Rifampicine D - Tétracycline E - Gentamicine Bonne(s) réponse(s) : B En raison de la fréquence des germes rencontrés qui y sont sensibles habituellement : - pneumocoque - streptocoque - haemophilus (résistances croissantes).
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Question à compléments multiples. 11
Question à complément simple. 38
Face à une otite séromuqueuse unilatérale d'apparition récente chez un adulte, quel(s) examen(s) pratiquez-vous ? A - Radiographie de la mastoïde B - Paracentèse exploratrice C - Examen du cavum en rhinoscopie postérieure D - Dosage des immunoglobulines plasmatiques E - Aucun des examens précédents
L'otite moyenne chronique séro-muqueuse à tympan fermé se caractérise par l'une des propositions suivantes. Laquelle ? A - Une otalgie violente B - Un état fébrile marqué C - Un tympan bombant D - Un tympan très rouge inflammatoire E - Aucun des signes ci-dessus
Bonne(s) réponse(s) : B C
Bonne(s) réponse(s) : E A. Les radiographies de la mastoïde sont de peu d'apport ici, montrant une mastoïde éburnée ou non. B. La paracentèse permet d'aspirer l'exsudat séromuqueux. C. Surtout l'examen du cavum doit s'assurer de l'absence de tumeur. Il est capital de rechercher une cause d'obstruction de la trompe d'Eustache.
Question à complément simple. 101 Dans quel quadrant tympanique convient-il de pratiquer la paracentèse en cas d'otite aiguë suppurée ? A - Antéro-supérieur B - Postéro-inférieur C - Postéro-supérieur D - Antéro-inférieur E - Aucune des propositions ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : B En aucun cas dans le quadrant postéro supérieur.
Question à compléments multiples. 8 Parmi les cinq propositions suivantes, quelle(s) est(sont)celle(s) que vous retenez ? L'otite moyenne aiguë de l'enfant : A - Est habituellement monomicrobienne B - Résulte en général d'une infection hématogène C - Est favorisée par une infection rhinopharyngée D - Se complique rarement de mastoïdite E - Peut se révéler par une surdité brusque Bonne(s) réponse(s) : A C D Dans 90 % des cas l'infection est monomicrobienne. La mastoïdite complique actuellement l'otite moyenne aiguë, mais alors souvent sous forme torpide. L'infection passe le plus souvent par voie tubaire et est donc favorisée par une rhinopharyngite. L'infection par voie hématogène est plus rare.
Question à compléments groupés. 91 Parmi les signes suivants, lequel ou lesquels traduisent l'existence d'une otite aiguë ? 1 - Aspect congestif de la membrane tympanique 2 - Disparition du triangle lumineux 3 - Bombement de la membrane tympanique 4 - Rétraction du tympan Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A 4. Otite séreuse.
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Les autres propositions concernent l'otite moyenne aiguë.
Question à complément simple. 18 Un enfant de 3 ans présente une rhinorrhée mucopurulente permanente bilatérale, une obstruction nasale avec ronflement nocturne, une respiration bouche ouverte, et a présenté trois otites aiguës, dans les deux derniers mois. Quel diagnostic envisager ? A - Sinusite maxillaire B - Adénoïdite chronique C - Imperforation choanale D - Corps étranger E - Ethmoïdite Bonne(s) réponse(s) : B A. La sinusite maxillaire ne se voit pas à cet âge, le sinus maxillaire se formant plus tard vers 4 à 5 ans. B. Impose l'adénoïdectomie. C. Entraîne une détresse respiratoire néonatale précoce. D. La rhinorrhée purulente est unilatérale. E. L'ethmoïdite donne un tableau différent associant à la rhinorrhée des signes orbitaires dans un contexte d'hyperthermie.
Question à compléments groupés. 102 La persistance d'une otorrhée purulente au vingt et unième jour d'une otite moyenne aiguë : 1 - Atteste d'une atteinte labyrinthique 2 - Met à l'abri d'une complication évolutive 3 - Témoigne d'une atteinte de la chaîne des osselets 4 - Doit faire envisager la possibilité d'une mastoïdite Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : D Evident.
Question à compléments multiples. 112 L'otite externe peut entraîner : A - Une hypoacousie de perception B - Une obturation tubaire C - Une sténose du conduit D - Une perforation tympanique E - Une douleur à la mobilisation du pavillon Bonne(s) réponse(s) : C E La douleur à la palpation du tragus ou à la mobilisation du pavillon est évocatrice d'une otite externe. L'évolution itérative ou chronique peut aboutir à une sténose du conduit (ostéome des plongeurs).
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Question à compléments multiples. 73
Question à compléments multiples. 93
L'otite séreuse bilatérale du jeune enfant peut entraîner : A - Un retard du langage B - Une courbe plate à l'impédancemétrie C - Une paralysie faciale D - Une rhinorrhée aqueuse E - Une hypoacousie de transmission
L'otite moyenne aiguë est : A - Polymicrobienne B - Volontiers bilatérale chez le nourrisson C - D'origine rhinopharyngée D - Peu fréquente chez l'enfant E - Volontiers saisonnière
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Bonne(s) réponse(s) : B C
Due à un trouble de ventilation de la caisse du tympan par la trompe d'Eustache, elle entraîne une hypoacousie de transmission qui peut être responsable d'un retard de langage au même titre qu'une hypoacousie de perception. La courbe plate à l'impédancemétrie correspond à la diminution de la compliance du tympan.
A. Habituellement liée à un seul germe (90% des cas). BC. La rhinopharyngite est le facteur majeur de survenue des otites moyennes. La propagation se faisant par la trompe d'Eustache, expliquant la fréquente bilatéralité. E. L'otite moyenne aiguë existe tout le long de l'année, un peu moins l'été. Il n'y a pas véritablement de rythme saisonnier.
Question à compléments multiples. 91 On peut observer comme complication(s) au cours de l'évolution d'une otite chronique cholestéatomateuse non traitée : A - Méningite à pneumocoque B - Thrombophlébite du sinus latéral C - Labyrinthite D - Paralysie faciale E - La tympanosclérose
Question à compléments multiples. 97 Pour le traitement initial d'une otite séromuqueuse chronique à tympan fermé avec hypoacousie bilatérale de 20 dB vous retenez : A - Antibiothérapie locale par instillations auriculaires B - Paracentèse C - Ablation des végétations adénoïdes D - Mise en place d'aérateurs transtympaniques E - Mastoïdectomie Bonne(s) réponse(s) :
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Indirectement par réaction inflammatoire ou directement par son pouvoir d'ostéolyse, le cholestéatome peut entraîner paralysie faciale, labyrinthite, thrombophlébite du sinus latéral. A. La méningite, complication possible, est le plus souvent pneumococcique. Elle peut être le fait d'une contamination directe après destruction osseuse ou par des voies de passage (vaisseaux, nerfs) plus rarement par le labyrinthe. E. La tympanosclérose est une séquelle d'otite moyenne chronique.
Question à complément simple. 9 L'otite chronique cholestéatomateuse : A - Doit être traitée médicalement B - Est à l'origine d'une otorrhée toujours abondante non fétide C - Ne se complique jamais de surdité D - Donne une perforation tympanique marginale E - Ne se rencontre que chez l'adulte Bonne(s) réponse(s) : D A. Le traitement est médical au moment des surinfections : il peut être local, avec aspiration sous microscope de petits cholestéatomes facilement accessibles. Sinon le traitement est chirurgical. B. L'otorrhée peut être inexistante ou bien au contraire abondante et fétide, caractère évocateur. C. Peut se compliquer de surdité de transmission par lyse ossiculaire, ou de surdité de perception par destruction de l'oreille interne. D. Caractère fondamental. Il s'agit d'une perforation atteignant le cadre tympanal, haute, c'est à-dire au niveau de la parsflaccida ou de la région postéro-supérieure de la parstensa. E. Il peut survenir à tout âge.
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Réponse impossible, car il n'est pas précisé l'âge du sujet. Chez l'adulte le traitement est d'abord médical. Chez l'enfant l'ablation des végétations adénoïdes est à pratiquer en premier lieu. La mise en place d'aérateurs transtympaniques ne se discute qu'au delà d'une perte de 20 dB.
Question à complément simple. 9 Un homme de 17 ans consulte pour une surdité unilatérale droite. On découvre une otite séreuse droite et des adénopathies cervicales bilatérales. Quel diagnostic doit être évoqué ? A - Carcinome de l'oreille moyenne B - Carcinome indifférencié du cavum C - Carcinome de la base de langue D - Zona auriculaire E - Polypose naso-sinusienne Bonne(s) réponse(s) : B Il faut éliminer un carcinome nasopharyngé par un examen du cavum, au besoin sous anesthésie générale avec biopsies éventuelles. Il s'agit d'un cancer lymphophile touchant les sujets de moins de 25 ans dans 20% des cas (pour les pays du Maghreb). L'otite séreuse est la conséquence de l'obstruction de l'orifice tubaire dans le cavum. Si le carcinome de l'oreille peut se voir dans 20% des cas chez le sujet de moins de 20 ans, le tableau est celui d'une otorrhée chronique sanguinolante s'accompagnant d'otalgie. Le zona auriculaire est évoqué devant une otalgie vive, avec paroxysmes au cours d'un syndrome infectieux général, et suivie de l'apparition d'une éruption dans le territoire de Ramsay-Hunt. Un oedème du conduit peut entraîner une hypoacousie de transmission. Le carcinome de la base de la langue survient sur un tout autre terrain. Quant à la polypose naso-sinusienne elle se traduit essentiellement par une obstruction nasale, avec rhinorrhée, souvent anosmie, céphalées.
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Question à complément simple. 73
Question à compléments multiples. 67
Quel est le signe cardinal d'une otite séromuqueuse à tympan fermé ? A - L'otorrhée B - L'otalgie C - La surdité D - L'altération de l'état général E - La paralysie faciale
Parmi les signes suivants, quels sont ceux qui sont en faveur d'une otite purulente aiguë à tympan fermé, non compliquée ? A - Tympan bombant B - Effacement des reliefs du tympan C - Chute de la paroi postéro-supérieure du conduit auditif externe D - Tympan rétracté E - Phlyctènes sur le tympan
Bonne(s) réponse(s) : C L'otite séromuqueuse, non surinfectée, est indolore. Elle est responsable d'une hypoacousie de type transmissionnelle. Lors des dysfonctionnements tubaires, l'otorrhée apparaît en cas de perforation tympanique, qui est typiquement antéro-inférieure.
Question à complément simple. 86 Que traduit habituellement l'apparition de vertiges au cours de l'évolution d'une otite moyenne aiguë ou chronique ? A - Cholestéatome de l'oreille moyenne B - Abcès du lobe temporal C - Labyrinthite D - Abcès péri-sinusien E - Aucune des affections ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : C La labyrinthite est une complication possible des otites moyennes simples, la diffusion des toxines se faisant par les fenêtres labyrinthiques. Au cours d'une otite cholestéatomateuse l'apparition d'une symptomatologie vestibulaire doit faire craindre une lésion du canal semicirculaire externe.
Question à complément simple. 77 Quel, est parmi les suivants, le signe otoscopique rencontré dans une otite muqueuse, non dangereuse ? A - La perforation tympanique siège au niveau de la membrane de Schrapnell B - La perforation tympanique siège dans la région antéroinférieure de la pars tensa du tympan C - La perforation tympanique est marginale D - La perforation tympanique siège dans la région postérosupérieure de la pars tensa du tympan E - L'otorrhée est fétide Bonne(s) réponse(s) : B C'est le siège des perforations dites tubaires, l'otite muqueuse résultant d'un dysfonctionnement de la trompe d'Eustache. Les perforations marginales, les perforations de la membrane de Schrapnell, les perforations postéro-supérieures évoquent la possibilité d'un cholestéatome. Il en est de même de l'otorrhée fétide.
Question à compléments multiples. 29
Bonne(s) réponse(s) : A B C - Signe de mastoïdite aiguë. D - Traduit un dysfonctionnement tubaire. E - Otite phlycténulaire, classiquement d'origine virale.
Question à compléments multiples. 70 Chez un sujet présentant une surdité de transmission par otite moyenne chronique cholestéatomateuse, quel(s) signe(s) doit(vent) faire craindre une complication, et impose(nt) un traitement d'urgence ? A - Otorrhée purulente B - Vertiges C - Céphalées D - Surdité de transmission E - Paralysie faciale périphérique Bonne(s) réponse(s) : B C E A - C'est avec l'hypoacousie le motif le plus courant amenant à consulter et à découvrir le cholestéatome. B - Doit faire craindre une lyse du canal semi-circulaire externe. C - Peut traduire une méningite. D - Liée le plus souvent à une destruction de la branche descendante de l'enclume. E - Le canal facial peut être lysé par le cholestéatome.
Question à compléments multiples. 107 Parmi les signes suivants, quels sont ceux qui sont en faveur d'une otite moyenne aiguë d'origine virale ? A - Otalgies extrêmement violentes chez un adulte B - Phlyctènes à l'otoscopie C - Otorragie D - Résolution spontanée en quelques heures E - Otorrhée purulente abondante soulageant le malade immédiatement Bonne(s) réponse(s) : B E B - Les bulles en se rompant peuvent entraîner une petite otorragie. E - En faveur d'une atteinte bactérienne. En fait, tout ceci est désuet et discutable : la douleur est un élément subjectif. Les phlyctènes peuvent être également provoquées par des germes pyogènes, l'otorragie n'a rien de spécifique. Aucun élément clinique en pratique ne permet de parler d'otite moyenne aiguë virale plutôt que d'otite moyenne aiguë bactérienne.
Les 3 germes les plus fréquents dans l'otite aiguë de l'enfant de plus de 3 ans sont : A - Streptocoque hémolytique A B - Pneumocoque C - Pyocyanique D - Proteus mirabilis E - Hémophilus Bonne(s) réponse(s) : A B E Le pyocyanique et le proteus sont rarement en cause dan l'otite moyenne
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS aiguë après l'âge de 3 ans.
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Question à complément simple. 22
Question à compléments multiples. 75
L'otoscopie est le premier examen à effectuer ; dans l'hypothèse d'une otite séreuse résiduelle elle montrera : A - Des tympans normaux B - Des tympans rouges, violacés, bombants C - Des tympans ternes, sans tache lumineuse D - Une otorrhée bilatérale E - Des squames blanchâtres évoquant un cholestéatome
Quels sont, parmi les éléments cliniques de cette observation, les 2 qui ont permis de retenir le diagnostic d'otite moyenne aiguë purulente ? A - Tympan rouge B - Otalgie C - Tympan bombant D - Disparition du triangle lumineux E - Effacement des reliefs
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : C E B - Aspect d'otite suppurée. Enfant de 5 ans, sans antécédent autre que plusieurs rhinopharyngites dont trois se sont compliquées d'otites purulentes ayant nécessité paracentèses et antibiotiques. A été hospitalisé deux mois avant votre examen pour ce qui est décrit par la famille comme ayant été une méningite. L'hospitalisation a duré 15 jours et à la sortie l'enfant était considéré comme cliniquement guéri. Il semble bien, d'après les renseignements fournis par la famille que les signes méningés aient été précédés pendant 48 h par un épisode rhinopharyngé aiguë avec otalgie bilatérale. L'enfant vous est conduit parce que depuis son retour à domicile, il a changé de caractère ; il est devenu triste, renfermé, tend à s'isoler et ne prend plus volontiers part aux conversations de la famille et aux jeux de ses frères et soeurs. Il a précédemment subi un examen neuropédiatrique qui écarte toute séquelle endocrânienne de la méningite. On soupçonne une hypoacousie d'être à l'origine de ce changement de caractère. Cette hypoacousie peut être due : - soit à une otite séreuse bilatérale résiduelle (l'épisode a débuté par un épisode rhino-otitique) - soit à une atteinte des 2 nerfs auditifs.
Question à compléments multiples. 23 Dans l'hypothèse d'une otite séreuse bilatérale l'audiométrie tonale montrera : A - Une courbe osseuse meilleure que la courbe aérienne B - Une courbe osseuse moins bonne que la courbe aérienne C - Une courbe osseuse égale à la courbe aérienne D - Un tympanogramme plat E - Un tympanogramme normal Bonne(s) réponse(s) : A D La compliance du tympan est diminuée.
Le bombement est postéro-inférieur, car c'est le quadrant le plus déclive où doit se faire la paracentèse. A B D - Ne sont pas spécifiques.
Question à complément simple. 77 Quel est parmi les cinq antibiotiques suivants, celui dont le spectre d'activité concerne le plus grand nombre de germes responsables de l'otite moyenne aiguë purulente ? A - Pénicilline v B - Amoxicilline C - Rifampicine D - Tétracycline E - Gentamicine Bonne(s) réponse(s) : B En raison de la fréquence des germes rencontrés qui y sont sensibles habituellement : - pneumocoque - streptocoque - haemophilus (résistances croissantes).
Question à compléments multiples. 1 A l'origine de cette otite moyenne aiguë les 4 germes les plus fréquemment rencontrés sont : A - Streptocoque hémolytique A B - Staphylocoque C - Pneumocoque D - Hémophilus E - Proteus Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Question à compléments multiples. 74 Quels sont les trois germes les plus fréquemment rencontrés dans l'otite moyenne aiguë purulente à cet âge ? A - Haemophilus influenzae B - Staphylococcus aureus C - Streptococcus pneumoniae D - Proteus mirabilis E - Mycoplasma pneumoniae Bonne(s) réponse(s) : A B C Evident. Un enfant de 2 ans présente depuis 24 heures une otalgie gauche, il existe une fièvre à 38°. C'est le premier épisode de ce type, et dans la semaine qui précédait, l'enfant avait été enrhumé. L'otoscopie faite le soir découvre une membrane tympanique congestive et bombée avec disparition des reliefs et du triangle lumineux. Le reste de l'examen est strictement normal. Le diagnostic d'otite moyenne purulente gauche est posé.
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L'otite aiguë est habituellement liée à un seul germe. Un enfant de 4 ans est fébrile depuis quelques jours. Le médecin a diagnostiqué une rhinopharyngite et prescrit un traitement par paracétamol, aspirine et instillations nasales antibiotiques et vasoconstrictrices. Cet enfant chétif et hypotrophique est fréquemment sujet à de telles poussées de rhinopharyngites. Trois jours plus tard, le médecin est appelé à nouveau car depuis quelques heures, la température est réapparue à 39°C et l'enfant se plaint de douleurs au niveau de l'oreille droite, entraînant une insomnie la nuit précédente. L'otoscopie montre à droite un tympan rouge, bombant, pulsatile, ayant perdu ses reliefs. A gauche, le tympan est discrètement inflammatoire, rosé, hyperhémique. La palpation de la région mastoïdienne est indolore des deux côtés. Les fosses nasales sont encombrées d'une sécrétion mucopurulente. L'examen du pharynx montre une trainée mucopurulente sur la paroi postérieure et une importante hypertrophie des végétations adénoïdes.
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Question à complément simple. 5
Question à compléments multiples. 17
Quelle est la meilleure conduite prophylactique à proposer pour éviter la répétition d'une telle otite ? A - Antibiothérapie au long cours par voie générale B - Corticothérapie C - Instillations auriculaires régulières d'antibiotique D - Adénoïdectomie E - Mastoïdectomie
Au cours d'une otite, l'aspect du tympan peut être : A - Rosé B - Rouge et oedématié C - Bombant avec disparition des reliefs osseux D - Phlycténulaire E - Aucun de ces aspects n'est observé Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire. L'hypertrophie et l'infection chronique exposent une obstruction tubaire source d'otite séreuse se surinfectant.
Question à compléments multiples. 14 Parmi les complications des otites cholestéatomateuses, laquelle(lesquelles) nécessite(nt) un traitement chirurgical rapide ? A - Surdité B - Otorrhée C - Paralysie faciale D - Vertiges E - Abcès cérébral
Question à complément simple. 19 Tous les éléments suivants font partie du tableau d'otite séreuse sauf un. Lequel ? A - Diminution de la mobilité tympanique B - Aplatissement du tympanogramme C - Surdité de perception D - Hypoventilation tubaire E - Otalgie Bonne(s) réponse(s) : C C'est bien sûr une hypoacousie de transmission.
Bonne(s) réponse(s) : C D E C - Pour essayer de sauvegarder le nerf. D - Pouvant traduire une fistule labyrinthique. E - Présentant un risque vital.
Question à complément simple. 16 Dans une otite chronique, quelle est l'élément de la chaîne ossiculaire le plus fréquemment atteint ? A - Marteau B - Corps de l'enclume C - Branche descendante de l'enclume D - Jonction enclume-étrier E - Etrier
Question à compléments multiples. 20 Quelle est (ou quelles sont) l'(les) indication(s) justifiant une paracentèse en cas d'otite aiguë suppurée ? A - Fièvre élevée B - Angine associée C - Otalgie intense ne répondant pas au traitement D - Bronchopneumopathie associée E - Fièvre ne répondant pas au traitement Bonne(s) réponse(s) : C E A - Il faut d'abord essayer de faire baisser la fièvre médicalement.
Bonne(s) réponse(s) : C C'est la lyse de la branche descendante de l'enclume que l'on retrouve le plus souvent dans une otite cholestéatomateuse.
Question à compléments multiples. 73 Parmi les complications des otites cholestéatomateuses, laquelle(lesquelles) nécessite(nt) un traitement chirurgical rapide ? A - Surdité B - Otorrhée C - Paralysie faciale D - Vertiges E - Syndrome méningé Bonne(s) réponse(s) : A C D E - Une surdité, des vertiges doivent faire redouter une effraction de l'appareil cochléo-vestibulaire. - Le syndrome méningé s'explique par une érosion du tegmen ; la paralysie faciale peut être liée à une lyse du canal facial.
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Question à complément simple. 39
Question à compléments multiples. 48
Pour un homme de 65 ans atteint de dépression sévère depuis plusieurs semaines et qui présente un bon état général a part un diabète bien équilibré par des sulfamides hypoglycémiants et une hypertrophie prostatique. quel est parmi les 5 traitements suivants, celui qu'il faut choisir ? A - Imipramine (Tofranil®) B - Carbonate de lithium (Téralithe®) C - Méprobamate (Equanil®) D - Viloxazine (Vivalan®) E - Chlorpromazine (Largactil®)
A propos des risques d'incidents et d'accidents des sulfamides hypoglycémiants vous retenez : A - Risque d'une action tératogène pendant la grossesse B - Risque d'une intoxication par l'eau avec le chlorpropamide C - Pas de risque d'utilisation chez l'insuffisant rénal D - Accident toxo-allergique possible E - Risque d'acidose lactique
Bonne(s) réponse(s) : D Le traitement d'une dépression fait appel à des antidépresseurs et l'adénome prostatique contre-indiqué les imipraminiques.
Question à complément simple. 86 La plupart des anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent majorer dangereusement l'effet des anticoagulants oraux et des hypoglycémiants sulfamidés. Cela s'explique par : A - Une induction enzymatique B - une inhibition enzymatique C - La défixation protéique par compétition D - L'augmentation de la biodisponibilité E - La diminution de l'effet de premier passage hépatique Bonne(s) réponse(s) : C Les anticoagulants oraux sont très fixés sur les protéines sériques, seul un très faible pourcentage (2 à 3 %) circule sous forme libre dans le sang. L'introduction d'une substance avec une affinité supérieure peut multiplier par 2 ou par 3 le taux de la forme libre.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le risque d'acidose lactique se voit au cours des traitements par les biguanides, mais pas avec les sulfamides. L'intoxication par l'eau est exceptionnelle. Utilisation prudente voire contre-indiquée en cas d'insuffisance rénale (chlorpropamide). Tous les sulfamides sont allergisants.
Question à complément simple. 13 Parmi les médicaments hypoglycémiants oraux suivants, lequel devez-vous de préférence prescrire à un diabétique non insulino-dépendant insuffisant rénal ? A - Glucophage retard® B - Glucidoral® C - Stagid® D - Daonil® E - Minidiab® Bonne(s) réponse(s) : E A C - Biguanides : contre-indication formelle de l'insuffisance rénale. Il faut choisir celui qui a la demi-vie la plus courte pour éviter au maximum le surdosage, soit le Glibénèse®, soit le Minidiab®.
Question à complément simple. 94 L'action hypoglycémiante des sulfamides antidiabétiques peut être potentialisée par l'un des médicaments suivants. Lequel ? A - Tétracycline B - Pénicilline G C - Noramidopyrine D - Antivitamines K E - Hormones thyroïdiennes Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à complément simple. 96 Les médicaments suivants renforcent l'action hypoglycémiante des sulfamides hypoglycémiants, sauf un. Lequel ? A - Salicylés B - Phénylbutazone C - Benzodiazépines D - Bêta-bloquants non sélectifs E - Diurétiques thiazidiques Bonne(s) réponse(s) : C Les AINS déplacent les sulfamides hypoglycémiants de l'albumine à laquelle ils se lient. Tous les sulfamides (anti-infectieux, diurétiques) sont capables de potentialiser l'effet des sulfamides hypoglycémiants. Les bêta-bloquants non sélectifs augmentent l'incidence et la sévérité de l'hypoglycémie (dont ils masquent les signes à médiation adrénergique).
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Question à complément simple. 63
Question à compléments multiples. 3
Voici 5 affections pouvant être à l'origine d'une baisse brutale de l'acuité visuelle. L'une de ces affections provoque habituellement un cercle périkératique. Laquelle ? A - L'hémorragie du vitré B - La crise de glaucome aigu C - L'oblitération de l'artère centrale de la rétine D - La thrombose de la veine centrale de la rétine non compliquée E - Le décollement de rétine idiopathique
Devant une baisse d'acuité visuelle unilatérale récente quel(s) est(sont) le(s) élément(s) clinique(s) du fond d'oeil en faveur d'une occlusion du tronc de la veine centrale de la rétine ? A - Hémorragies disséminées du fond d'oeil B - Oedème papillaire C - Oedème rétinien D - Aspect rouge cerise de la macula E - Néovaisseaux prépapillaires
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B C
L'hémorragie du vitré, l'occlusion de l'artère ou de la veine centrale de la rétine, le décollement de rétine idiopathique n'entraînent ni douleur ni rougeur oculaire.
L'aspect rouge cerise de la macula est plutôt évocateur d'une occlusion de l'artère centrale de la rétine. Les néovaisseaux prépupillaires et prérétiniens se voient plus tardivement au cours des formes ischémiques de l'occlusion de la veine centrale de la rétine.
Question à compléments multiples. 13 L'acuité visuelle mesurée en clinique courante dépend : A - Des cônes B - Des bâtonnets C - De la macula D - De l'ora serrata E - De la périphérie rétinienne Bonne(s) réponse(s) : A C L'acuité visuelle mesure le fonctionnement de la macula, au centre de laquelle se trouve la fovéa, qui ne contient que des cônes.
Question à compléments multiples. 9 L'acuité visuelle mesurée peut dépendre : A - De l'âge du sujet B - De l'hyperhémie conjonctivale C - Du diamètre pupillaire D - Du contraste du test E - De l'ambiance lumineuse de la pièce Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'hyperhémie conjonctivale n'intervient pas du tout dans l'acuité visuelle mesurée.
Question à compléments multiples. 8 Parmi les affections suivantes, laquelle ou lesquelles associent à la fois rougeur oculaire et baisse de l'acuité visuelle ? A - Glaucome aigu B - Névrite optique rétrobulbaire C - Iridocyclite D - Kératite E - Décollement de rétine Bonne(s) réponse(s) : A C D Une baisse d'acuité visuelle avec rougeur oculaire doit faire rechercher un glaucome aigu, une uvéite antérieure (ou iridocyclite), une kératite. La névrite optique rétrobulbaire et le décollement de rétine ne s'accompagnent pas de rougeur.
Question à compléments multiples. 72 Devant un oeil rouge, douloureux avec atteinte de l'acuité visuelle, vous évoquez le ou les diagnostics suivants : A - Conjonctivite B - Uvéite antérieure C - Iridocyclite D - Glaucome aigu E - Hémorragie sous-conjonctivale Bonne(s) réponse(s) : B C D La conjonctivite s'accompagne d'un oeil rouge avec sécrétions, mais sans douleur ni baisse d'acuité visuelle. L'hémorragie sans-conjonctivite se traduit par un rouge, mais sans sécrétion, sans douleur ni baisse d'acuité visuelle.
Question à complément simple. 78 Voici 5 affections pouvant être a l'origine d'une baisse brutale de l'acuité visuelle, L'oeil y reste habituellement "blanc", sauf dans une des étiologies suivantes. Laquelle donne un oeil rouge ? A - Crise de glaucome aigu B - Hémorragie du vitré C - Oblitération de l'artère centrale de la rétine D - Thrombose de la veine centrale de la rétine E - Décollement massif de la rétine Bonne(s) réponse(s) : A Le glaucome aigu par fermeture de l'angle associe un oeil rouge, douloureux en semi mydriase aréflexique et une hypertonie oculaire.
Question à compléments multiples. 91 Chez un malade accusant une baisse unilatérale de l'acuité visuelle, quel(s) signe(s) permet(tent) de suspecter une neuropathie optique rétrobulbaire ? A - Douleurs lors des mouvements oculaires B - Fond d'oeil normal C - Scotome central au champ visuel D - Phosphènes E - Trouble de la vision des couleurs Bonne(s) réponse(s) : A B C E Les phosphènes évoquent des tractions vitréo-rétiniennes et doivent faire rechercher une déchirure ou un décollement de la rétine.
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Question à complément simple. 77
Question à complément simple. 21
Parmi ces cinq propositions, une seule est fausse. Laquelle ? Une baisse brutale d'acuité visuelle peut être due à : A - Une occlusion de l'artère centrale de la rétine B - Une occlusion de la veine centrale de la rétine C - Une cataracte sénile D - Un glaucome aigu E - Une hémorragie dans le vitré
Un malade de 65 ans, hypertendu, présente brutalement une baisse d'acuité visuelle unilatérale; l'examen du fond d'oeil montre un oedème rétinien postérieur, des artères grêles, et une macula bien colorée. Le diagnostic à évoquer en premier lieu est celui de : A - Décollement de rétine B - Glaucome aigu C - Occlusion de la veine centrale de la rétine D - Neuropathie optique oedémateuse aiguë E - Occlusion de l'artère centrale de la rétine
Bonne(s) réponse(s) : C La cataracte sénile entraîne une baisse progressive, pendant plusieurs mois ou plusieurs années, de l'acuité visuelle.
Question à complément simple. 1 Devant une baisse brutale unilatérale de l'acuité visuelle, sans douleur ni rougeur, vous évoquez les diagnostics suivants, sauf un. Lequel ? A - Hémorragie du vitré B - Occlusion de l'artère centrale de la rétine C - Neuropathie optique ischémique antérieure aiguë D - Occlusion de la veine centrale de la rétine E - Iridocyclite aiguë Bonne(s) réponse(s) : E L'iridocyclite aiguë s'accompagne d'une rougeur (cercle périkératique) et d'une douleur oculaire.
Question à compléments multiples. 42 Une baisse de l'acuité visuelle récente, brutale et unilatérale chez une jeune fille de 20 ans avec examen ophtalmologique objectif normal doit faire évoquer : A - Une hystérie B - Une sclérose en plaques C - Un glaucome chronique à angle ouvert D - Une toxicomanie à l'héroïne E - Une cécité corticale Bonne(s) réponse(s) : B L'examen objectif ne comprend pas l'acuité visuelle.
Question à compléments multiples. 34 Devant un oeil rouge, douloureux avec atteinte de l'acuité visuelle, vous évoquerez : A - Conjonctivite B - Sclérite C - Iridocyclite D - Glaucome aigu E - Hémorragie sous-conjonctivale
Bonne(s) réponse(s) : E C'est l'aspect clinique typique de l'occlusion de l'artère centrale de la rétine.
Question à compléments multiples. 78 Une rougeur oculaire spontanée de topographie périkératique, accompagnée de douleurs, d'une baisse de l'acuité visuelle, d'un larmoiement, d'une photophobie et d'un blépharospasme doit a priori faire évoquer le(s) diagnostic(s) suivant(s) : A - Conjonctivite virale aiguë muco-purulente B - Dacryocystite aiguë C - Hémorragie intra-oculaire massive compliquant une rétinopathie diabétique D - Kératite épithéliale herpétique E - Iridocyclite Bonne(s) réponse(s) : D E La conjonctivite aiguë entraîne une rougeur diffuse, sans douleur ni baisse d'acuité visuelle. La dacryocystite aiguë entraîne ni douleur oculaire, ni baisse d'acuité visuelle. L'hémorragie intra-oculaire entraîne une baisse d'acuité visuelle isolée.
Question à complément simple. 41 Dix jours après la première consultation, la jeune femme présente une baisse d'acuité visuelle très importante de l'oeil gauche. L'ophtalmologiste constate une hémorragie très abondante du vitré. Quel appareil peut-il utiliser pour affirmer qu'elle présente un décollement de la rétine bilatéral ? A - Ophtalmoscope direct B - Echographe C - Esthésiomètre D - Angiographe en fluorescence E - Verre à 3 miroirs Bonne(s) réponse(s) : B Pour affirmer qu'il existe un décollement de rétine de l'oeil gauche, l'échographie bidimensionnelle permet de préciser la position de la rétine, alors que l'ophtalmoscope est impossible en raison de l'hémorragie intravitréenne.
Bonne(s) réponse(s) : Sans commentaire
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Question à complément simple. 57 S'il s'agit d'une sclérose en plaques, par quel mécanisme peut-on expliquer la baisse d'acuité visuelle unilatérale droite ? A - Atteinte du chiasma B - Atteinte de la bandelette optique gauche C - Atteinte du cortex occipital gauche D - Atteinte du nerf moteur oculaire externe droit E - Aucune des réponses précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : E La baisse d'acuité visuelle est expliquée par une névrite optique rétrobulbaire (entre la lame criblée et le chiasma), et en particulier du faisceau pupille maculaire.
Question à compléments multiples. 60 Hormis la baisse de l'acuité visuelle unilatérale, on rencontre au cours de l'évolution d'une sclérose en plaques : A - Une cataracte B - Une baisse d'acuité visuelle bilatérale C - Un nystagmus D - Une diplopie E - Une conjonctivite Bonne(s) réponse(s) : B C D La baisse d'acuité visuelle peut être bilatérale en cas d'atteinte du nerf optique controlatéral au cours d'une poussée ultérieure. Le nystagmus et la diplopie traduisent une atteinte des nerfs crâniens ou des voies supra ou internucléaires.
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Question à compléments multiples. 80
Question à complément simple. 64
Une cataracte pathologique peut survenir à l'évolution de : A - Diabète B - Myotonie de Steinert (ou myopathie myotonique) C - Hypoparathyroïdie D - Hyperparathyroïdie E - Maladie de Horton (ou artérite temporale)
Parmi les signes suivants, citez le signe caractérisant la cataracte du diabétique : A - Cataracte unilatérale B - Cataracte bilatérale C - Cataracte nucléaire D - Cataracte corticale antérieure E - Cataracte équatoriale
Bonne(s) réponse(s) : A B C
Bonne(s) réponse(s) : B Ni l'hyperparathyroïdie ni la maladie de Horton n'entraînent ces caractères pathologiques. Le diabète, la myotonie de Steinert et l'hypoparathyroïdie entraînent, après plusieurs années d'évolution une cataracte surtout sous-capsulaire postérieure.
Question à complément simple. 48
Question à compléments groupés. 94 La cataracte sénile : 1 - Provoque un reflet rose de la pupille 2 - S'accompagne de phosphènes 3 - S'accompagne d'un cercle périkératique 4 - Entraîne une baisse visuelle progressive Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 1,2,3,4=E
Le diabète, maladie générale, entraîne la formation d'un cataracte bilatérale, sous capsulaire postérieure, ou nucléaire (présénile).
4=D
Bonne(s) réponse(s) : D La cataracte, quelle que soit sa cause, s'accompagne d'une lueur pupillaire grise, mais il n'y a pas de phosphène ni de cercle périkératique.
Question à complément simple. 94 Une cataracte compliquée peut survenir après toutes ces affections oculaires, sauf une Laquelle ? A - Luxation traumatique du cristallin B - Myopie forte C - Iridocyclite D - Conjonctivite aiguë E - Décollement de rétine après échec du traitement chirurgical Bonne(s) réponse(s) : D La conjonctivite est une affection qui guérit sans séquelle. La myopie forte, l'iridocyclite, le décollement de rétine (après échec du traitement chirurgical) et bien sur, la luxation traumatique du cristallin, peuvent entraîner une cataracte unilatérale.
Question à complément simple. 8 Voici 5 propositions concernant la cataracte, une seule est inexacte. Laquelle ? A - La corticothérapie générale au long cours impose la surveillance du cristallin B - Lors de la découverte d'une cataracte strictement unilatérale, de cause indéterminée, il faut rechercher un corps étranger intraoculaire C - La myotonie de Steinert se complique habituellement d'une cataracte D - L'électrorétinogramme sert à apprécier la valeur fonctionnelle de la rétine quand il existe une cataracte blanche totale E - L'opération de la cataracte rend l'oeil myope
Un nouveau-né, sur les antécédents duquel vous n'avez aucun renseignement, présente, parmi d'autres signes, une cataracte congénitale. Laquelle, parmi les 5 infections suivantes, que la mère a peut-être présentée au cours de la grossesse, vous paraît devoir être incriminée : A - Listériose B - Rubéole C - Toxoplasmose D - Syphilis congénitale E - Infection à Escherichia coli Bonne(s) réponse(s) : B La cataracte congénitale est la manifestation ophtalmologique la plus fréquente de la rubéole congénitale; elle s'associe souvent à une microphtalmie et à une rétinopathie rubéolique, toutes ces manifestations sont bilatérales. Les quatres autres infections n'entraînent pas de cataracte congénitale.
Question à complément simple. 97 La découverte d'une cataracte chez un nouveau-né porteur d'un souffle systolique est évocatrice : A - D'une trisomie 21 B - D'une embryopathie rubéolique C - D'une maladie des inclusions cytomégaliques D - D'une maladie métabolique E - Aucune des propositions précédentes Bonne(s) réponse(s) : B Seule l'embryopathie rubéolique associe une cataracte congénitale et des malformations cardiaques (canal artériel en cas de souffle continu, communication inter-ventriculaire en cas de souffle systolique).
Question à complément simple. 80 Un nouveau-né, sans hérédité malformative particulière, paraît légèrement microphtalme et est atteint de cataracte. Quelle est l'étiologie la plus probable de cette cataracte ? A - Toxoplasmose maternelle au début de la grossesse B - Rubéole maternelle au début de la grossesse C - Prise maternelle de médicaments pendant la grossesse D - Exposition maternelle aux rayons X pendant la grossesse E - Aucune des propositions ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : E L'opération de la cataracte consiste à enlever le cristallin, qui est une lentille convexe ; l'oeil devient donc fortement hypermétrope (l'image se forme nettement en arrière de la rétine), et doit être corrigé par une lentille convexe de lunette, contact ou cristallin artificiel). RESIDANAT EN (verre POCHE Tomelentille " I "- de QCM - QCS
L'association d'une cataracte congénitale et d'une microphtalmie est très évocatrice d'une rubéole congénitale. La toxoplasmose entraîne surtout des malformations neurologiques et une choriorétinite ; il peut exister un microphtalmie en cas de contamination précoce, mais il n y a pas de cataracte. 524 By NADJI 85
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Question à complément simple. 5
Question à compléments multiples. 85
Quelle est la plus fréquente des cataractes pathologiques ? A - La cataracte de l'eczéma B - La cataracte du diabétique C - La cataracte au Dinitral® D - La cataracte de la tétanie E - La cataracte de la maladie de Steinert
Quel(s) est(sont) le(s) produit(s) susceptible(s) de provoquer une cataracte ? A - Amiodarone B - Antipaludéens de synthèse C - Corticoïdes D - Antispasmodiques E - Phénothiazine
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B C E Toutes les maladies indiquées s'accompagnent de cataracte avec une fréquence variable. Mais le diabète reste la maladie la plus fréquente parmi la population, à l'origine d'une cataracte pathologique.
Les corticoïdes constituent la principale cause de cataracte iatrogène médicamenteuse.
Question à compléments multiples. 76
Question à compléments multiples. 87
Des cataractes "pathologiques" peuvent s'observer au cours : A - Des dermatoses atopiques B - Du diabète C - De la tétanie D - De la goutte E - Des hypercholestérolémies
Parmi les signes fonctionnels suivants, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut peu(ven)t faire évoquer le diagnostic de cataracte ? A - Baisse d'acuité visuelle B - Métamorphopsie C - Halos colorés D - Eblouissement E - Myodesopsie
Bonne(s) réponse(s) : A B C L'atopie (hypersensibilité cutanée), le diabète sucré et la tétanie (par hypoparathyroïde) entraînent l'apparition d'une cataracte.
Question à compléments multiples. 78 Devant une cataracte unilatérale après un traumatisme à globe ouvert. deux examens parmi les suivants sont indispensables. Lesquels ? A - Angiographie fluorescéinique B - Tomographie C - Radio oculo-orbitraire D - Potentiels évoqués visuels E - Echographie Bonne(s) réponse(s) : C E La cataracte empêchant l'examen du fond d'oeil, il faut pratiquer une échographie et des radios de l'oeil et de l'orbite à la recherche d'un corps étranger intraoculaire.
Question à compléments multiples. 100 Une cataracte congénitale pourra être suspectée chez l'enfant devant : A - Une buphtalmie (gros oeil) B - Un reflet noir de la pupille C - Un oeil rouge D - Un strabisme E - Une mydriase Bonne(s) réponse(s) : D E La buphtalmie (gros oeil) fait évoquer le diagnostic de glaucome congénital. Le reflet noir de la pupille est un aspect normal ; lors d'une cataracte, la pupille est au contraire blanche (on parle alors de leucocorie). L'oeil n'est pas rouge avec une cataracte congénitale ; mais il peut exister un strabisme (par amblyopie secondaire à la cataracte) ainsi qu'une mydriase (la lumière ne traversant plus du tout le cristallin.
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Bonne(s) réponse(s) : A D Les métamorphopsies évoquent un syndrome maculaire (avec la micropsie, et la dyschromatopsie). Les halos colorés évoquent des poussées d'hypertonie (crises à minima de glaucome aigu par fermeture de l'angle). Les myodésopsies doivent faire rechercher un décollement postérieur du vitré ou une hémorragie intra-vitréenne.
Question à compléments multiples. 100 Un patient de 70 ans présente un début de cataracte. Vous évoquez ce diagnostic sur : A - Une diplopie monoculaire B - Un larmoiement C - La perception de points noirs D - L'installation d'une myopie E - Une rougeur conjonctivale Bonne(s) réponse(s) : A D La diplopie monoculaire, l'installation d'une myopie (par "gonflement" du cristallin) et l'éblouissement à la lumière peuvent constituer les premiers signes d'une cataracte sénile.
Question à complément simple. 6 Une cataracte congénitale pourra être suspectée en présence de l'un des signes suivants. Lequel ? A - Une buphtalmie B - Une leucocorie C - Un oeil rouge D - Une mégalocornée E - Aucun des signes précédents Bonne(s) réponse(s) : B La leucocorie, ou pupille blanche, fait suspecter chez un enfant une cataracte congénitale. La buphtalmie fait suspecter un glaucome congénital ; l'oeil rouge fait rechercher une conjonctivite ou une kératite; la mégalocornée est une malformation congénitale (grande cornée, mais tonus oculaire normal, et pas d'aggravation dans le temps, à la différence du glaucome congénital).
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Question à complément simple. 13
Question à compléments multiples. 100
Tous les agents physiques suivants peuvent provoquer une cataracte, sauf un. Lequel ? A - La foudre B - L'électricité industrielle C - Les ultraviolets D - Les infrarouges E - Les rayons X
La cataracte peut entraîner : A - Des céphalées B - Une myopie C - Un astigmatisme D - Une baisse d'acuité visuelle E - Des phosphènes Bonne(s) réponse(s) : A B D
Bonne(s) réponse(s) : A La responsabilité des ultraviolets dans la survenue d'une cataracte est incertaine, les ultraviolets étant absorbés en quasi totalité dans la cornée. Mais les brûlures électriques (foudre, électricité industrielle) peuvent entraîner l'apparition d'une cataracte en quelques semaines, de même que les infrarouges (après plusieurs années d'exposition). Les rayons X sont directement cataractogènes si la dose reçue atteint ou dépasse 400 à 800 rad.; le cristallin est d'autant plus sensible aux rayons X quand le sujet est jeune.
Question à complément simple. 68 Quel examen doit-on impérativement faire en préopératoire avant de pratiquer une extraction de la cataracte ? A - Une angiographie B - Une vision des couleurs C - Une adaptométrie D - Un contrôle de la perméabilité des voies lacrymales E - Une pachymétrie cornéenne
Les céphalées sont évocatrices d'une hypertonie par blocage pupillaire ou par uvéite phakoantigénique. La myopie d'indice est secondaire à la modification de la forme du cristallin. L'astigmatisme apparaît en postopératoire, de même que les phosphènes et le décollement de la rétine.
Question à compléments multiples. 95 Parmi les causes suivantes, certaines peuvent être à l'origine d'une cataracte. Laquelle ou lesquelles ? A - Electrocution B - Brûlures par bases C - Contusion oculaire D - Radiations ionisantes E - Intoxication à l'éthambutol Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'intoxication à l'éthambutol provoque une neuropathie optique.
Bonne(s) réponse(s) : D C'est une question à complément simple. La perméabilité des voies lacrymales doit toujours être vérifiée avant d'intervenir sur une cataracte ; la stase des larmes en cas de sténose peut en effet favoriser la survenue d'une infection.
Question à compléments multiples. 98 Devant une cataracte unilatérale, que doit-on rechercher comme étiologie(s) ? A - Décollement de rétine B - Tumeur intra-oculaire C - Hypoparathyroïdie D - Diabète E - Traumatisme oculaire Bonne(s) réponse(s) : A B E L'hypoparathyroïdie et le diabète favorisent la survenue d'une cataracte bilatérale.
Question à compléments multiples. 99 Une cataracte peut se compliquer (avant tout geste chirurgical) de : A - Occlusion veineuse rétinienne B - Décollement de rétine C - Uvéite D - Hypertonie oculaire E - Blocage pupillaire
Question à compléments multiples. 91 On évoque une cataracte devant : A - Des phosphènes B - Une myopie récente C - Des éblouissements D - Une baisse d'acuité visuelle de loin et/ou de près E - Des mouches volantes Bonne(s) réponse(s) : B C D Les phosphènes évoquent des tractions du vitré sur la rétine (avec ou sans déchirure) ; les mouches volantes évoquent un décollement postérieur du vitré.
Question à compléments multiples. 94 Devant une cataracte unilatérale totale lorsqu'on ne connaît pas les antécédents du patient, il faut demander : A - Electrorétinogramme B - Potentiels évoqués visuels C - Bilan orthoptique D - Echographie B E - Glycémie Bonne(s) réponse(s) : A B D Le bilan orthoptique est impossible car la cataracte est totale. Le diabète se complique d'une cataracte bilatérale.
Bonne(s) réponse(s) : C D E L'uvéite phakoantigénique est liée à une perméabilité accrue de la capsule cristallinienne aux protéines (réaction antigénique immunitaire). L'hypertonie oculaire est provoquée par un blocage pupillaire secondaire à l'intumescence cristallinienne.
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Question à complément simple. 80
Question à compléments multiples. 107
Toutes les affirmations sont exactes, sauf une. La cataracte peut être secondaire à : A - Une hypocalcémie B - Un diabète C - La prise de corticoïdes D - La prise d'indométhacine E - Myotonie de Steinert
La cataracte sénile : A - Donne une lueur pupillaire rose B - S'accompagne de phosphènes C - S'accompagne d'un cercle périkératique D - Entraîne une baisse visuelle progressive E - Est en général unilatérale Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D De rares anomalies cornéennes et rétiniennes ont été rapportées après la prise prolongée d'indométacine.
La lueur pupillaire est grise en raison de l'opacité cristallinienne. Il n'y a pas de phosphènes (signe de traction sur la rétine) ni de rougeur. Elle est en général bilatérale, plus ou moins symétrique.
Question à complément simple. 81
Question à compléments multiples. 116
Quel est le principal risque évolutif de la cataracte congénitale ? A - La survenue d'un décollement de rétine B - L'intumescence cristallinienne C - L'atrophie du nerf optique D - L'amblyopie E - L'atrophie du globe oculaire
Devant une cataracte unilatérale après un traumatisme à globe ouvert, deux examens parmi les suivants sont indispensables : A - Angiographie fluorescéinique B - Tomographie C - Radiographie orbitaire D - Potentiels évoqués visuels E - Echographie
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C E Le risque d'amblyopie impose l'intervention chirurgicale ; elle seule permet de diminuer ce risque.
Question à compléments multiples. 83 La récupération fonctionnelle après opération de la cataracte est limitée en cas de : A - Dégénérescence maculaire B - Dégénérescence palissadique C - Glaucome chronique D - Gérontoxon E - Hyalite Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
Question à complément simple. 120 Quelle est la plus fréquente des cataractes pathologiques ? A - La cataracte de l'eczéma B - La cataracte du diabétique C - La cataracte cortisonique D - La cataracte de la tétanie E - La cataracte de la maladie de Steinert Bonne(s) réponse(s) : B Cette question est ambiguë. S'agit-il de la cause la plus fréquente (dans ce cas, il s'agit du diabète) ? Ou bien s'agit-il de la maladie qui entraîne le plus fréquemment une cataracte (toutes les propositions sont alors discutables) ?
Il faut suspecter et rechercher un corps étranger intra-oculaire qui peut être radio-opaque (visible en radio) ou radiotransparent (tel que le verre, visible en échographie).
Question à compléments multiples. 117 Une cataracte congénitale peut être suspectée chez l'enfant en présence de : A - Buphtalmie B - Leucororie C - Oeil rouge D - Strabisme E - Mydriase Bonne(s) réponse(s) : B D La leucocorie (=pupille blanche) peut être découverte par les parents, de même que le strabisme , conséquence de l'amblyopie provoquée par la cataracte.
Question à compléments multiples. 91 Une cataracte se traduit par : A - Baisse d'acuité visuelle brutale B - Diplopie monoculaire C - Douleur oculaire D - Disparition du reflet pupillaire E - Eblouissement Bonne(s) réponse(s) : B D E Au cours d'une cataracte la baisse d'acuité visuelle est progressive. Il n'y a ni rougeur ni douleur oculaire.
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Question à compléments multiples. 55 La cataracte sénile : A - Représente le type le plus fréquent de cataracte B - Provoque une baisse d'acuité visuelle progressive C - Doit être opérée rapidement de façon à éviter une amblyopie fonctionnelle D - Est une contre indication à la mise en place d'un implant cristallinien intra-oculaire E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : A C L'ulcère denditrique est typique de l'herpès, surtout lorsque l'épithélium présente des zones soulevées aux bords de l'ulcération.
Question à complément simple. 61 Quel est le signe subjectif le plus fréquent dans l'évolution d'une cataracte sénile ? A - La douleur à la palpation du globe B - La perte brutale de la vision d'un oeil C - Le rétrécissement progressif du champ visuel D - L'apparition de mouches volantes E - La vision brouillée avec éblouissement Bonne(s) réponse(s) : E La cataracte entraîne une vision brouillée d'apparition progressive, avec éblouissements (secondaire à la diffraction de la lumière dans la opacité cristallinienne).
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Question à complément simple. 97
Question à compléments groupés. 106
Une épidémie de conjonctivite à prédominance unilatérale se répand en deux semaines dans un service d'ophtalmologie Quelle est la nature de l'agent causal ? A - Virus de l'herpès B - Adénovirus C - Virus du trachome D - Pneumocoque E - Cytomégalovirus
Devant un tableau de conjonctivite aiguë, on retiendra comme argument(s) majeur(s) en faveur d'une étiologie virale : 1 - L'association à une rhinopharyngite 2 - La présence d'une adénopathie satellite 3 - La notion de contage 4 - L'importance des sécrétions conjonctivales Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A
L'adénovirus est l'agent responsable des épidémies de conjonctivites qui atteignent les communautés (crèche, militaire, milieu hopitalier). Les deux semaines correspondent à la durée habituelle d'incubation avant l'apparition des symptômes de la conjonctivite.
Devant une conjonctivite aiguë, l'étiologie virale (adénovirus) est évoquée devant l'association d'une notion de contage (8 à 10 jours avant le début des symptômes), l'association à une rhinopharyngite et la présente d'une adénopathie satellite prétragienne.
Question à complément simple. 93
Question à compléments multiples. 112
Devant un oeil rouge, un des signes suivant doit faire écarter le diagnostic de conjonctivite. Lequel ? A - Sécrétions B - Larmoiement C - Baisse d'acuité visuelle D - Rougeur diffuse E - Sensation de sable
La conjonctivite printanière : A - Est de nature allergique B - S'accompagne d'un oedème palpébral C - Est caractérisée par la présence de "pavés" au niveau de la conjonctive palpébrale supérieure D - S'exprime par une rougeur périkératique E - S'accompagne d'iridocyclite
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A B C
La conjonctivite s'accompagne d'une sensation de flou visuel par modification du film lacrymal, mais il n'y a pas de réelle baisse de l'acuité visuelle.
La conjonctivite printanière est une conjonctivite de l'enfant, avec oedème palpébral, la conjonctive palpétrale supérieure est parsemée de papilles plus ou moins volumineuses, réalisant un aspect de pavage. Elle peut éventuellement se compliquer de kératite, mais la conjonctivite seule ne s'accompagne ni de rougeur périkératique, ni d'iridocyclite.
Question à complément simple. 48 Un collyre corticoïde ne doit pas être prescrit dans les kératoconjonctivites causées par : A - Virus APC B - Entérovirus C - Herpès virus D - Moraxelles E - Pneumocoques Bonne(s) réponse(s) : C La kératite herpétique superficielle est une contre-indication formelle à la corticothérapie locale en raison du risque d'aggravation. D'une façon générale, les corticoïdes doivent être évités devant toute kératite.
Question à compléments multiples. 71 Quel(s) symptôme(s) n'appartien(nen)t pas au tableau clinique d'une conjonctivite aiguë ? A - Sensation de grains de sable B - Sécrétions purulentes C - Oeil larmoyant D - Baisse de l'acuité visuelle E - Hypertonie oculaire Bonne(s) réponse(s) : D E
Question à complément simple. 86 Parmi les propositions suivantes, une seule est fausse. L'adénovirus est responsable de kérato-conjonctivites : A - Très contagieuses B - Epidémiques C - Néonatales D - Aiguës E - Folliculaires Bonne(s) réponse(s) : C Les conjonctivites néonatales ne sont pas liées à l'adénovirus mais plutôt au gonocoque, ce qui explique leur traitement préventif systématique.
Question à compléments multiples. 99 Parmi les symptômes suivants, on retient comme appartenant à la série des conjonctivites : A - Douleur atroce B - Baisse de l'acuité visuelle C - Sécrétions abondantes D - Adénopathie prétagienne E - Cercle périkératique Bonne(s) réponse(s) : C D
Au cours d'une conjonctivite aiguë, il n'y a ni douleur, ni baisse de l'acuité visuelle, ni hypertonie.
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La douleur avec baisse d'acuité visuelle et cercle périkératique évoque le diagnostic de kératite.
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Question à complément simple. 72
Question à compléments groupés. 120
Devant un oeil rouge, un des signes suivants doit faire écarter le diagnostic de conjonctivite. Lequel ? A - Sécrétions B - Larmoiement C - Baisse d'acuité visuelle D - Rougeur diffuse E - Sensation de sable
Chlamydia trachomatis est une cause fréquente, dans le monde, de conjonctivite : 1 - Folliculaire 2 - D'évolution chronique 3 - Favorisée par de mauvaises conditions d'hygiène 4 - Responsable de cécité Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : E Lors d'une conjonctivite, il peut être observé une sensation de flou visuel, mais il n'y a pas de baisse de l'acuité visuelle.
Question à complément simple. 85 Le tableau clinique d'une conjonctivite est caractérisé par : A - Rougeur, douleur, baisse de l'acuité visuelle B - Rougeur, douleur, hypertonie C - Rougeur, hypersécrétion, cils collés le matin D - Rougeur, douleur et hypopion E - Aucune des propositions Bonne(s) réponse(s) : C L'association rougeur, douleur, baisse d'acuité visuelle peut évoquer une kératite, une uvéite antérieure ou un glaucome aigu. L'association rougeur, douleur, hypertonie évoque un glaucome aigu. L'association rougeur, douleur et hypopion évoque le diagnostic d'uvéite antérieure aiguë.
Le trachome est l'une des premières causes de cécité dans le monde avec l'onchocercose ; il se manifeste par une conjonctivite chronique, favorisée par les mauvaises conditions d'hygiène, aboutissant à une sécheresse oculaire et à un panus trachomateux qui recouvre progressivement la cornée.
Question à complément simple. 66 Une conjonctivite aiguë se manifeste par tous les signes suivants, sauf un. Lequel ? A - Une rougeur oculaire B - Une photophobie C - Une sécrétion lacrymale accrue D - Une diminution de l'acuité visuelle E - Une sensation de corps étranger sous les paupières Bonne(s) réponse(s) : D Il n'y a pas de baisse d'acuité visuelle, car pas d'atteinte de cornée au cours d'une conjonctivite aiguë non compliquée.
Question à compléments multiples. 37 Les conjonctivites à inclusions : A - Sont provoquées par les chlamydiae B - Epargnent le nouveau-né C - Peuvent être transmises par l'eau des piscines D - Peuvent être transmises sexuellement E - Sont sensibles aux cyclines Bonne(s) réponse(s) : A C D E Les conjonctivites à inclusions (infection à chlamydia) constituent l'ophtalmie du nouveau-né la plus fréquente, par contamination lors du passage dans la filière génitale à la naissance.
Question à complément simple. 76 Les conjonctivites aiguës de l'adulte dues aux adénovirus ont toutes les caractéristiques suivantes sauf une. Laquelle ? A - Epidémiques B - Transmises sexuellement C - Associées a des adénopathies cervicales D - Compliquées de kératite E - Sans traitement spécifique Bonne(s) réponse(s) : B La transmission des conjonctivites aiguës de l'adulte dues aux adénovirus ne sont pas particulièrement à transmission sexuelle.
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Question à compléments multiples. 113 Classiquement les conjonctivites se traduisent par : A - La sécrétion B - La douleur oculaire C - La photophobie D - Le larmoiement E - L'injection périkératique Bonne(s) réponse(s) : A C D Lorsque la conjonctivite ne se complique pas de kératite, il n'y a ni douleur ni cercle périkératique.
Question à compléments multiples. 14 Quel(s) symptôme(s) appartien(nen)t au tableau clinique d'une conjonctivite aiguë ? A - Sensation de grains de sable B - Sécrétions purulentes C - Oeil larmoyant D - Baisse de l'acuité visuelle E - Hypertonie oculaire Bonne(s) réponse(s) : A B C Le tonus oculaire est normal, et il n'y a pas de baisse d'acuité visuelle dans une conjonctivite non compliquée de kératite.
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Question à compléments multiples. 56 Une conjonctivite peut être secondaire à l'une ou plusieurs des affections de voisinage suivante : A - Un orgelet B - Un ectropion C - Un chalazion D - Une uvéite E - Un entropion Bonne(s) réponse(s) : A B C D E L'uvéite est une inflammation intra-oculaire qui peut aussi s'accompagner d'une rougeur oculaire.
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Question à complément simple. 86
Question à complément simple. 10
Parmi ces 5 propositions concernant les corps étrangers intraoculaires, une seule est inexacte. Laquelle ? A - Une métallose oculaire complique habituellement un corps étranger métallique non extrait B - Une sidérose oculaire complique habituellement un corps étranger en cuivre non extrait C - Un corps étranger métallique en fer doit être extrait à l'électro-aimant D - La présence d'un corps étranger intraoculaire fait courir le risque de panophtalmie E - La chalcose conduit à la cécité
L'examen à demander en priorité chez un patient suspect de corps étranger intraoculaire est : A - Un électrorétinogramme B - Un dosage du fer dans l'humeur C - Une radiographie de l'orbite D - Une échographie oculaire E - Une tomodensitométrie orbitaire
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : C La radiographie de l'orbite reste le premier examen à demander à la recherche d'un corps étranger intra-oculaire radio-opaque, avant l'échographie et le scanner.
Un corps étranger en cuivre non extrait se complique habituellement de chalcose oculaire (iris verdâtre, cataracte et dépôt de cuivre dans la cornée), un corps étranger en fer non extrait se complique habituellement de sidérose (iris de couleur rouille, cataracte et hypertonie oculaire).
Question à compléments multiples. 63
Question à complément simple. 5
Un corps étranger métallique intra-oculaire peut être responsable : A - Cataracte B - Hypertonie oculaire C - Décollement de la rétine D - Modification de la couleur de l'iris E - Altération de l'électro-rétinogramme
Parmi les signes oculaires suivants, indiquez celui qui s'applique à un corps étranger intraoculaire métallique oxydable méconnu : A - Atrophie optique B - Hétérochromie irienne C - Myosis D - Conjonctivite E - Kératite Bonne(s) réponse(s) : B Un corps étranger intraoculaire métallique oxydable méconnu entraîne une hétérochromie irienne de couleur rouille pour un corps étranger en fer (sidérose), ou de couleur verdâtre pour un corps étranger en cuivre (chalcose).
Question à complément simple. 78 Toutes les lésions oculaires récentes suivantes doivent faire rechercher un corps étranger intraoculaire, sauf une. Laquelle ? A - Plaie de cornée B - Opacité cristallinienne C - Hémorragie sous-conjonctivale D - Pâleur papillaire E - Hémorragie intraoculaire
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E La sidérose secondaire à un corps étranger intra-oculaire métallique comporte toutes les propositions.
Question à compléments multiples. 26 Dans ce contexte, la présence d'un corps étranger intraoculaire est suspectée devant : A - Une hémorragie sous-conjonctivale B - Une plaie cornéenne C - Une plaie conjonctivale D - Une baisse d'acuité visuelle E - Une hypotonie Bonne(s) réponse(s) : A B C E La baisse d'acuité visuelle n'est pas particulièrement évocatrice de ce diagnostic. Un homme de 35 ans vous est adressé à la suite d'un accident de travail. Il a reçu un éclat métallique dans l'oeil gauche, en frappant avec un marteau sur un burin. Il a une photophobie et un larmoiement modérés, l'acuité visuelle est de 1/10ème, non améliorable.
Bonne(s) réponse(s) : D La pâleur papillaire ne traduit pas une maladie oculaire récente, mais c'est plutôt un résultat secondaire et tardif.
Question à compléments multiples. 87 Quel(s) signe(s) clinique(s) est(sont) observé(s) dans le cas d'un corps étranger intra-oculaire en fer passé inaperçu depuis plus d'un an ? A - Myosis B - Signe de Seidel C - Hétérochromie irienne D - Oedème de cornée E - Atrophie optique
Question à compléments multiples. 29 Après extraction du corps étranger, l'évolution peut se compliquer de : A - Une baisse d'acuité visuelle B - Un décollement de la rétine C - Une infection D - Une cataracte E - Une exophtalmie Bonne(s) réponse(s) : A B C D La baisse d'acuité visuelle peut être secondaire à un décollement de rétine, à une cataracte ou à une infection (endophtalmie).
Bonne(s) réponse(s) : C E La sidérose oculaire au bout d'un an d'évolution s'accompagne d'une
hétérochromie et d'une atrophie RESIDANAT ENirienne POCHE Tome " I "-optique. QCM - QCS
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Question à compléments multiples. 1 Quel(s) signe(s) l'examen à la lampe à fente est-il susceptible d'objectiver pour confirmer la présence d'un corps étranger métallique intra-oculaire ? A - Rubéose irienne B - Sécclusion pupillaire C - Hétérochromie irienne D - Taie cornéenne, séquelle d'une plaie perforante punctiforme E - Pannus cornéen Bonne(s) réponse(s) : C E L'hétérochromie de l'iris peut traduire une surcharge en fer oxydé de l'iris. La séquelle de plaie perforante est très évocatrice du diagnostic de corps étranger intra-oculaire. Un homme de 35 ans, travailleur manuel, sans antécédent pathologique connu, remarque depuis quelques mois, une baisse progressive de la vision de l'oeil droit, à 2/10 - 3/10. Lorsqu'il consulte, l'examen, attentif et comparatif des yeux révèle une mydriase et une leucocorie droites, sans signes inflammatoires de la chambre antérieure. L'existence d'une cataracte avec corps étranger métallique intra oculaire est l'hypothèse diagnostique la plus probable.
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Question à complément simple. 55
Question à compléments multiples. 44
Parmi les cinq thérapeutiques par voie générale suivantes, quelle est celle qui n'est pas utilisée lors de la crise de glaucome par fermeture de l'angle 7 A - L'acétazolamide (Diamox®) B - L'urée C - Le mannitol D - Le glycérol E - La dexaméthasone
Parmi les traitements oculaires locaux suivants, quel(s) est celui(ceux) qui sera(ont) prescrit(s) dans une crise de glaucome aigu ? A - Atropine B - Pilocarpine C - Néosynéphrine D - Antibiotiques E - Pansement occlusif
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B
La déxaméthosone est utilisée localement, sous forme de collyre. L'acétazolamide, le mannitol sont utilisés par voie intraveineuse ; le glycérol est utilisé per os ; l'urée était utilisée par voie intraveineuse ; ces quatre thérapeutiques diminuent la pression intra oculaire.
La pilocarpine est un myotique parasympathomimétique indiqué dans la crise de glaucome aigu. L'atropine (parasympatholytique) et la néosynéphrine (sympathomimétique) sont formellement contre indiquées. Les antibiotiques et le pansement occlusif n'ont aucun intérêt.
Question à compléments groupés. 115
Question à compléments multiples. 78
Le ou les médicaments suivants sont susceptibles de provoquer l'apparition d'un glaucome aigu à angle fermé : 1 - Atropine 2 - Cordarone 3 - Anafranil® 4 - Avlocardyl® Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les éléments suivants, le(s)quel(s) favorise(nt) la survenue d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle ? A - Myopie B - Etroitesse de la chambre antérieure C - Petite taille du cristallin D - Instillation d'un collyre conicoïde E - Instillation d'un collyre néosynéphrine 5 % Bonne(s) réponse(s) : B E
Bonne(s) réponse(s) : B L'Atropine (parasympatholytique) et l'Anafranyl® (antidépresseur anticholinergique) provoquent une mydriase pouvant déclencher un glaucome aigu à angle fermé.
L'étroitesse de la chambre antérieure (comme on peut la voir chez l'hypermétrope) et la mydriase (provoquée par exemple par instillation d'un collyre mydriatique : néosynéphrine) sont deux facteurs favorisants la survenue d'une crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Question à complément simple. 8
Question à compléments groupés. 92
La crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle survient le plus souvent chez des sujets biométriquement prédisposés. Quelle est la nature de cette prédisposition ? A - Myopie B - Presbytie C - Hétérophorie D - Hypermétropie E - Astigmatisme
Un glaucome aigu par fermeture de l'angle ne devrait jamais recevoir de : 1 - Diurétiques 2 - Collyres mydriatiques 3 - Mannitol 4 - Injection atropinique Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C
L'hypermétrope possède un oeil "court", une chambre antérieure peu profonde et donc un angle iridocornéen étroit, ce qui prédispose à la survenue d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Les mydriatiques en collyre ou par voie générale (atropine) sont formellement contre indiqués au cours d'une crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle. Les diurétiques (Diamox) et le Mannitol sont au contraire indiqués.
Question à compléments multiples. 117 Dans un glaucome à angle étroit quel(s) médicament(s) administré(s) par voie générale vous parai(ssen)t contreindiqués ? A - Atropine B - Artane C - I.M.A.O. D - Antihistaminique de synthèse E - Dérivés nitrés Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Question à compléments multiples. 79 Parmi les signes suivants, quel(s) est(sont) celui(ceux) qui constitue(nt) une symptomatologie d'appel pouvant conduire au diagnostic de glaucome aigu par fermeture de l'angle ? A - Halos colorés B - Phosphènes C - Oeil rouge avec sécrétion D - Scotome scintillant E - Douleurs oculaires Bonne(s) réponse(s) : A E
L'atropine provoque une mydriase par son action parasympatholytique. L'artane provoque une mydriase par son action anticholinergique. Le mécanisme et la réalité de la contre indication des IMAO et des dérivés nitrés semblent plus discutable.
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS
Les phosphènes et la perception d'un scotome scintillant sont évocateurs de tractions rétinovitréennes, à l'origine d'un décollement de la rétine. L'oeil rouge avec sécrétion évoque une conjonctivite ou une kératite (selon l'absence ou non de douleurs oculaires).
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Question à complément simple. 87
Question à complément simple. 11
La crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle survient le plus souvent chez des sujets biométriquement prédisposés. Quelle est la nature de cette prédisposition ? A - Myopie B - Presbyte C - Hétérophone D - Hypermétropie E - Astigmatisme
Parmi les signes cliniques de la crise de glaucome aigu, l'un est inexacte. Lequel ? A - L'oeil est rouge B - L'oeil est douloureux C - L'acuité visuelle est abaissée D - La pupille est en myosis E - La cornée est oedémateuse Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D L'hypermétropie s'accompagne d'un raccourcissement de l'axe antéropostérieur du globe ; la chambre antérieure est peu profonde, l'angle iridocornéen étroit et un glaucome aigu par fermeture de l'angle peut survenir lors d'une mydriase.
Bien entendu, la pupille est en mydriase au cours d'une crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Question à complément simple. 14 Question à complément simple. 1 Tous ces médicaments sauf un peuvent déclencher une crise de glaucome aigu chez un sujet prédisposé. Lequel ? A - Les dérivés nitrés B - Les I M.A.O. C - L'éthambutol D - Les antiparkinsoniens anticholinéraïques E - La chlorpromazine Bonne(s) réponse(s) : C L'Ethambutol ne déclenche jamais de crise de glaucome aigu chez un sujet prédisposé ; il peut par contre entraîner une neuropathie optique.
Question à complément simple. 110 Un intrus s'est glissé dans cette série de troubles que l'on observe fréquemment dans la grande crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle iridocornéen. Quel est-il ? A - Céphalées B - Vomissements C - Cercle périkératique D - Cornée oedémateuse E - Myosis serré Bonne(s) réponse(s) : E Dans la crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle, la pupille est en 1/2 mydriase aréactive. Par contre, au cours d'une uvéite (qui peut s'accompagner d'une hypertonie), la pupille est en myosis.
Les facteurs anatomiques prédisposant à la crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle sont : A - Oeil myope, grande cornée, grande chambre antérieure, angle étroit B - Oeil hypermétrope, grande cornée, grande chambre antérieure. angle étroit C - Oeil hypermétrope, petite cornée, petite chambre antérieure, angle étroit D - Oeil hypermétrope, petite cornée, petite chambre antérieure, angle large E - Aucune des propositions précédentes Bonne(s) réponse(s) : C Les facteurs anatomiques prédisposant à la fermeture de l'angle iridocornéen sont l'oeil hypermétrope (oeil court), la petite cornée (associe à l'hypermétrie), la chambre antérieure peu profonde et l'angle iridocornéen étroit.
Question à compléments groupés. 114 Le ou les signes suivants appartiennent au glaucome aigu à angle fermé : 1 - Baisse d'acuité visuelle 2 - Douleur oculaire et péri orbitaire 3 - Rougeur oculaire 4 - Myosis Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A La pupille n'est pas en myosis, mais en 1/2 mydriase aréflexique au cours du glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Question à complément simple. 4 Voici 5 propositions concernant le glaucome aigu, une seule réponse est inexacte. Laquelle ? A - Le traitement médical repose, en l'absence de contreindication, sur les hypotonisants par voie générale B - Les myotiques sont formellement contre-indiqués C - Un traitement chirurgical secondaire est nécessaire D - L'iridectomie prophylactique sur l'autre oeil est indispensable E - Les crises hypertoniques subaiguës traduisent des épisodes de fermeture incomplètes de l'angle iridocornéen
Question à complément simple. 2 Dans une crise de glaucome par fermeture de l'angle, l'examen oculaire révèle : A - Oeil dur. rouge. chambre antérieure plate. mydriase B - Oeil dur. rouge, chambre antérieure plate. myosis C - Oeil dur, rouge, chambre antérieure normale. mydriase D - Oeil dur. rouge, chambre antérieure normale, myosis E - Aucune des propositions Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : B Au contraire les mydriatiques sont formellement contre indiqués, mais les myotiques sont indiqués, et constituent le traitement local du glaucome aigu.
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Lors d'une crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle, la chambre antérieure est peu profonde ou plate, et la pupille est en mydriase aréflexique.
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Question à complément simple. 10
Question à complément simple. 8
Le glaucome aigu survient sur des yeux à conformation anatomique prédisposante, c'est-à-dire sur des yeux avec : A - Angle iridocornéen trop large B - Rayon de courbure de la cornée trop grand C - Cristallin trop plat D - Chambre antérieure de profondeur réduite E - Mailles du trabeculum trop serrées
Le glaucome aigu par fermeture de l'angle survient le plus souvent chez : A - L'enfant B - Le fort myope C - L'aphake D - L'hypermétrope E - Les sujets de sexe masculin
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D
Le glaucome aigu par fermeture de l'angle survient sur des yeux à conformation anatomique prédisposante: oeil hypermétrope, avec chambre antérieure peu profonde et angle iridocornéen étroit.
L'hypermétrope, avec globe court, chambre antérieure peu profonde et angle iridocornéen étroit, regroupe les prédispositions anatomiques favorisant la survenue d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Question à compléments multiples. 95
Question à compléments multiples. 104
Parmi les éléments suivants, le(s)quel(s) favorise(nt) la survenue d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle ? A - Myopie B - Etroitesse de la chambre antérieure C - Petite taille du cristallin D - Instillation d'un collyre corticoïde E - Instillation d'un collyre mydriatique
Parmi les propositions suivantes concernant la grande crise de glaucome par fermeture de l'angle, primitive, laquelle(lesquelles) est(sont) exactes(s) ? A - Elle peut être déclenchée par l'instillation d'un collyre sympathomimétique B - Elle survient le plus souvent sur un oeil hypermétrope C - Elle s'accompagne toujours d'un blocage pupillaire D - L'examen du champ visuel n'est pas nécessaire au diagnostic E - Son traitement passe obligatoirement par la réalisation d'une iridectomie
Bonne(s) réponse(s) : B E L'hypermétropie, la chambre antérieure étroite avec un volumineux cristallin sont les prédispositions anatomiques qui favorisent la survenue d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle au cours d'une mydriase. L'instillation prolongée plusieurs mois d'un collyre corticoïde peut entraîner l'apparition d'un glaucome chronique.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Le traitement du glaucome aigu passe obligatoirement par la réalisation d'une iridectomie chirurgicale ou d'une iridotomie au laser ; faut-il considérer la proposition E comme fausse pour autant ?
Question à compléments multiples. 102 Indiquez le(s) facteur(s) qui intervien(nen)t dans le déclenchement de la crise de glaucome aigu : A - Le blocage pupillaire B - L'hypersécrétion de l'humeur aqueuse C - La sclérose du trabeculum scléral D - L'accolement de la base de l'iris à la face postérieure de la cornée E - L'hyperpression veineuse épisclérale Bonne(s) réponse(s) : A D C'est le blocage pupillaire, provoqué par l'accolement de la base de l'iris à la face antérieure du cristallin lorsque la pupille est en demi-mydriase, qui est à l'origine d'une crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Question à compléments multiples. 109 Le glaucome aigu à angle fermé est une affection : A - Qui s'observe à tout âge B - Plus fréquente chez la femme que chez l'homme C - A laquelle est prédisposé le fort myope D - Déclenchée par la prise de médicament parasympathicolytique E - Qui peut succéder à un choc émotionnel Bonne(s) réponse(s) : A B D E Le glaucome aigu par fermeture de l'angle s'observe surtout après 50 ans, chez la femme comme chez l'homme ; il est déclenché, chez un sujet prédisposé (hypermétrope fort) par un choc émotionnel ou par la prise de mydriatiques (sympathomimétiques ou parasympatholytiques).
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Question à complément simple. 10 Voici 5 propositions concernant la grande crise de glaucome aigu. Une seule est inexacte. Laquelle ? A - Il existe une constitution anatomique particulière de l'angle iridocornéen B - Le glaucome aigu est liée à l'accolement de la base de l'iris au trabéculum C - La baisse de l'acuité visuelle est majeure D - Il existe un myosis intense E - Le globe oculaire est "dur comme du bois" à la palpation Bonne(s) réponse(s) : D La pupille est en mydriase réflexique, ce qui permet le diagnostic avec l'uvéite hypertensive.
Question à compléments multiples. 99 Chez un sujet atteint de glaucome aigu par fermeture de l'angle vous pouvez prescrire : A - Acétazolamide (Diamox®) en comprimés B - Bêta-bloquant en collyre (Timoptol) C - Collyre de nitrate de Pilocarpine D - Collyre Isméline® (guanéthidine) E - Collyre Glauposine® (épinéphrine) Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le collyre Glauposine® est un sympathomimétique contre-indiqué chez un sujet atteint d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle en raison de son action mydriatique.
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Question à compléments multiples. 106
Question à compléments multiples. 103
Parmi les compléments proposés, le(s)quel(s) est(sont) correct(s) ? Les sujets atteints de glaucome aigu par fermeture de l'angle : A - Sont plus souvent des femmes que des hommes B - Ne sont jamais des enfants C - Sont hypermétropes D - Doivent être traités par des parasympathicolytiques E - Doivent bénéficier d'une iridectomie au laser
Quel(s) médicament(s) est(sont) susceptible(s) de provoquer l'apparition d'un glaucome à angle fermé ? A - Cordarone® B - Atropine C - Ethambutol D - Chlorpromazine E - Lomudal® Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : C D E Les enfants présentent plutôt une pathologie de glaucome congénital, le cristallin n'ayant pas encore atteint sa taille et sa forme normale, ce qui empêche tout blocage pupillaire.
Question à compléments multiples. 73 Un glaucome aigu par fermeture de l'angle peut être déclenché par la prise de : A - Médications antibiotiques B - Médications cortisonées C - Médications parasympathicomimétique D - Médications atropiniques E - Médications sympathicomimétiques
La cordarone entraîne l'apparition constante de dépôts cornéens. L'éthambutol peut entraîner l'apparition d'une neuropathie optique. Le Lomudal® ne s'accompagne d'aucun effet secondaire oculaire.
Question à compléments multiples. 104 Indiquer le(s) facteur(s) qui intervien(nen)t dans le déclenchement de la crise de glaucome aigu : A - La myopie B - L'aphakie C - Le blocage pupillaire D - L'hypersécrétion d'humeur aqueuse E - L'intumescence cristallinienne Bonne(s) réponse(s) : C D
Bonne(s) réponse(s) : D E L'hypersécrétion d'humeur aqueuse n'existe pas. Les sympathomimétiques (néosynéphrine) et les parasympatholytiques (Atropine) peuvent, en entraînant une mydriase, déclencher un glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Question à compléments multiples. 118 Question à compléments multiples. 101 Dans un glaucome à angle étroit, quel(s) médicament(s) administré(s) par voie générale vous parai(ssen)t contreindiqués ? A - Atropine B - Inhibiteur de l'anhidrase carbonique C - Inhibiteur de la monoamine-oxydase D - Antihistaminique de synthèse E - Dérivés nitrés
Certains collyres peuvent être à l'origine d'un glaucome aigu. Lequel ou lesquels ? A - Collyre à la novésine B - Collyre antibiotique C - Collyre à la fluorescéine D - Collyre mydriatique E - Collyre corticoïde Bonne(s) réponse(s) : D Les collyres corticoïdes peuvent entraîner un glaucome chronique.
Bonne(s) réponse(s) : A C E Les inhibiteurs de l'anhidrase carbonique constituent le traitement de choix du glaucome aigu par fermeture de l'angle : Diamox®, Neptazane®.
Question à complément simple. 9 Quel est le vice de réfraction susceptible de favoriser un glaucome aigu par fermeture de l'angle irido-cornéen ? A - Hypermétropie B - Emmétropie C - Myopie D - Astigmatisme E - Aphakie
Question à compléments multiples. 99 La symptomatologie d'appel pouvant conduire au diagnostic de glaucome par fermeture de l'angle ne comporte pas : A - Halo coloré B - Phosphènes C - Oeil rouge avec sécrétion D - Scotome scintillant E - Douleur oculaire Bonne(s) réponse(s) : B C D La perception de halos colorés traduit l'existence d'un oedème cornéen.
Bonne(s) réponse(s) : A L'hypermétropie s'accompagne d'une chambre antérieure peu profonde, facteur anatomique favorisant la survenue d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle.
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Question à compléments multiples. 100
Question à complément simple. 50
Concernant le glaucome aigu, il est exact que : A - Le traitement médical repose, en l'absence de contreindication, sur les hypotonisants par voie générale B - Les myotiques sont formellement contre-indiqués C - Un traitement chirurgical secondaire est nécessaire D - L'iridectomie prophylactique sur l'autre oeil est indispensable E - Les crises hypertoniques subaigües traduisent des épisodes de fermeture incomplète de l'angle irido-cornéen
Un oeil rouge, douloureux et dur peut faire suspecter une crise de glaucome aigu ou une uvéite antérieure hypertensive aiguë. Parmi les signes suivants, quel est celui qui permet de retenir sans hésitation le premier diagnostic ? A - L'oedème cornéen B - La baisse de vision C - La mydriase D - La photophobie E - Le larmoiement
Bonne(s) réponse(s) :
Bonne(s) réponse(s) : C
QUESTION ANNULEE.
La pupille est en mydriase au cours du glaucome aigu, et en myosis au cours de l'uvéite antérieure aiguë.
Question à compléments multiples. 113 En faveur de la crise de glaucome par fermeture de l'angle, vous retenez : A - Le myosis pupillaire B - La douleur C - La baisse de l'acuité visuelle D - L'oedème cornéen E - L'augmentation de la pression intra-oculaire Bonne(s) réponse(s) : B C D E La pupille est en mydriase aréflexique.
Question à compléments multiples. 88 Le ou les signes suivants appartiennent au glaucome aigu à angle fermé : A - Baisse d'acuité visuelle B - Douleur oculaire et péri-orbitaire C - Rougeur oculaire D - Myosis E - Oedème de cornée Bonne(s) réponse(s) : A B C E La pupille est en demi-mydriase aréflexique au cours du glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Question à compléments multiples. 113 Un glaucome chronique à angle ouvert se traduit par : A - Scotome de Bjerrum sur le champ visuel dynamique B - Excavation papillaire augmentée C - Tonus oculaire supérieur à 21 mmHg des deux côtés à l'aplanation D - Baisse d'acuité visuelle brutale E - Douleur oculaire lors de l'obscurité Bonne(s) réponse(s) : A B C Le glaucome chronique à angle ouvert associe : atteinte du champ visuel, excavation de la papille, hypertonie oculaire. Il n'entraîne ni douleur, ni rougeur. La baisse d'acuité visuelle est progressive.
Question à complément simple. 75 Les facteurs anatomiques prédisposant à la crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle sont : A - Oeil hypermétrope, petite cornée, petite chambre antérieure, angle large B - Oeil hypermétrope, petite cornée, petite chambre antérieure, angle étroit C - Oeil hypermétrope, grande cornée, grande chambre antérieure, angle étroit D - Oeil myope, grande cornée, grande chambre antérieure, angle étroit E - Aucune des propositions précédentes Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
Question à complément simple. 47 Parmi les circonstances suivantes, laquelle ne favorise pas la crise de glaucome aigu par fermeture de l'angle ? A - L'augmentation de la surface de contact entre l'iris et le cristallin B - Le blocage pupillaire total C - Le myosis D - L'instillation oculaire d'atropine E - La mise dans l'obscurité Bonne(s) réponse(s) : C Le myosis empêche la survenue d'une crise de glaucome aigu, en empêchant la fermeture de l'angle irido-cornéen.
Question à complément simple. 52 Une instillation d'une goutte d'un collyre à la néosynéphrine est sans danger chez un sujet atteint de glaucome primitif : A - Dans tous les cas sans exception B - Uniquement si l'angle est large et ouvert C - Uniquement si l'angle est étroit mais ouvert D - Uniquement si l'angle est étroit mais fermé E - Dans aucun de ces cas Bonne(s) réponse(s) : B Sinon, elle peut entraîner la survenue d'une crise de glaucome aigü par fermeture de l'angle.
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Question à complément simple. 53
Question à compléments multiples. 30
Parmi les signes cliniques de la crise de glaucome aigu, l'une de ces propositions est inexacte, laquelle ? A - L'oeil est rouge B - L'oeil est douloureux C - L'acuité visuelle est abaissée D - La pupille est en myosis E - La cornée est oedémateuse
Parmi les signes suivants, le(s)quel(s) est(sont) présent(s) au cours d'une crise de glaucome aigu ? A - Oedème cornéen B - Semi-mydriase C - Chambre antérieure profonde D - Aréflexie pupillaire E - Cercle périkératique
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B D E
La pupille est en mydriase aréflexique.
Au contraire, la chambre est très peu profonde.
Question à complément simple. 7
Question à compléments multiples. 31
Parmi les 5 propositions suivantes concernant le mécanisme physiopathologique à l'origine de cette crise de glaucome aigu, quelle est celle que vous retenez ? A - Une hypersécrétion d'humeur aqueuse B - Une hypoexcrétion d'humeur aqueuse par obstruction des veines aqueuses C - Une hypoexcrétion d'humeur aqueuse par sclérose du trabéculum scléral D - Une hypoexcrétion d'humeur aqueuse par fermeture de l'angle iridocornéen E - Une hypoexcrétion d'humeur aqueuse par augmentation de la pression veineuse
Parmi les médicaments suivants prescrits à la patiente, le(s)quel(s) est(sont) susceptible(s) de déclencher une crise de glaucome par fermeture de l'angle ? A - Antipaludéens de synthèse B - Antispasmodiques digestifs C - Oestrogènes D - Antiinflammatoire non stéroïdiens E - Antidépresseurs
Bonne(s) réponse(s) : D L'humeur aqueuse est sécrétée normalement, mais l'excrétion est diminuée en raison d'une fermeture de l'angle iridocornéen, qui survient sur une prédisposition anatomique : l'angle iridocornéen étroit avec chambre antérieure peu profonde.
Question à complément simple. 29 Le glaucome par fermeture de l'angle survient le plus souvent chez les sujets porteurs d'une amétropie. Laquelle ? A - Myopie B - Astigmatisme C - Hypermétropie D - Anisométropie E - Aphakie Bonne(s) réponse(s) : C L'hypermétropie peut s'accompagner d'une chambre antérieure peu profonde, d'un angle iridocornéen étroit, qui prédisposent à la survenue d'un glaucome aigu par fermeture de l'angle. Une femme de 50 ans, comptable, se plaint brutalement, en fin de journée, de douleurs importantes au niveau de l'oeil et de l'orbite gauches. Elle signale en outre une diminution de l'acuité visuelle de ce côté. A l'examen, la constatation d'un oeil rouge sans sécrétion permet d'évoquer une crise de glaucome aigu. L'interrogatoire révèle que cette patiente est traitée depuis plusieurs mois pour dépression nerveuse, ménopause précoce et rhumatisme chronique.
Bonne(s) réponse(s) : B E Les antispasmodiques et les antidépresseurs peuvent posséder un effet anticholinergique, à l'origine d'une demi-mydriase et donc d'une crise de glaucome aigu.
Question à compléments multiples. 32 En sachant que cette patiente présente une légère insuffisance rénale, parmi les produits suivants le(s)quel(s) proposez-vous pour réduire la crise de glaucome aigu ? A - Pilocarpine® collyre 2% B - Adrénaline® collyre 1% C - Acétazolamide® 500 mg en intraveineux D - Mannitol® 20% (2 g par kg de poids) en intraveineux E - Acéclidine® ou Glaucostat® collyre Bonne(s) réponse(s) : A E La pilocarpine et le glaucostat sont des myotiques qui permettent de lever le blocage pupillaire, et de rouvrir l'angle iridocornéen. L'acétazolamide et le mannitol doivent être employés avec précaution, à posologie réduite, en raison de la légère insuffisance rénale.
Question à complément simple. 5 Le glaucome par fermeture de l'angle survient le plus souvent chez les sujets porteurs d'une amétropie. Laquelle ? A - Myopie B - Astigmatisme C - Hypermétropie D - Anisométropie E - Aphakie Bonne(s) réponse(s) : C Par diminution de la profondeur de la chambre antérieure.
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Une femme de 50 ans, comptable, se plaint brutalement, en fin de journée, de douleurs importantes au niveau de l'oeil et de l'orbite gauches. Elle signale en outre une diminution de l'acuité visuelle de ce côté. A l'examen, la constatation d'un oeil rouge sans sécrétion permet d'évoquer une crise de glaucome aigu. L'interrogatoire révèle que cette patiente est traitée depuis plusieurs mois pour dépression nerveuse, ménopause précoce et rhumatisme 539 By NADJI 85 chronique.
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Question à compléments multiples. 6
Question à compléments multiples. 25
Parmi les signes suivants, le(s)quel(s) est sont présent(s) au cours d'une crise de glaucome aigu ? A - Oedème cornéen B - Semi mydriase C - Hypertonie oculaire D - Aréflexie pupillaire E - Cercle périkératique
L'examen ophtalmologique ayant révélé que l'oeil gauche présente une prédisposition anatomique au glaucome aigu, quelles sont les options thérapeutiques qui doivent être proposées à cette patiente ? A - Surveillance régulière de la pression intra-oculaire B - Instillation définitive d'un collyre bétabloquant C - Instillation définitive d'un collyre parasympathicomimétique D - Iridectomie périphérique chirurgicale E - Iridotomie au laser
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Tableau typique de glaucome aigu par fermeture de l'angle.
Bonne(s) réponse(s) : C D E
Question à compléments multiples. 7
La surveillance régulière de la pression intra-oculaire et le traitement par collyre bêta-bloquant concerne le glaucome chronique à angle ouvert.
Parmi les médicaments suivants prescrits à la patiente, le(s)quel(s) est(sont) susceptible(s) de déclencher une crise de glaucome par fermeture de l'angle ? A - Antipaludéen de synthèse B - Antispasmodique digestif C - Oestrogène D - Anti-inflammatoire non stéroïdien E - Antidépresseur Bonne(s) réponse(s) : B E Les antipaludéens de synthèse peuvent entraîner l'apparition d'une rétinopathie.
Question à compléments multiples. 56 Parmi les 5 propositions suivantes concernant le mécanisme physiopathologique à l'origine de cette crise de glaucome aigu, vous retenez comme vraisemblable(s) : A - Une hypersécrétion d'humeur aqueuse B - Une hyposécrétion d'humeur aqueuse par obstruction des veines aqueuses C - Une hyposécrétion d'humeur aqueuse par sclérose du trabéculum scléral D - Une hypoexcretion d'humeur aqueuse par fermeture de l'angle irido-cornéen E - Un blocage pupillaire Bonne(s) réponse(s) : D E Le blocage pupillaire entraîne la fermeture de l'angle iridocornéen, et l'hypertonie oculaire aiguë.
Question à compléments multiples. 23 D'autres circonstances déclenchantes que la mydriase médicamenteuse sont susceptibles de provoquer un glaucome aigu. Lesquelles ? A - Le choc affectif B - Une intervention chirurgicale C - L'instillation de Pilocarpine D - Le séjour dans l'obscurité E - L'instillation d'un collyre corticoïde Bonne(s) réponse(s) : A B D La pilocarpine prévient la survenue d'un glaucome aigu. Le collyre corticoïde peut entraîner un glaucome chronique à angle ouvert.
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Question à complément simple. 91 Parmi les collyres suivants, un seul ne doit jamais être instillé dans le traitement d'une kératite herpétique superficielle : A - Mydriatiques B _ Antibiotiques locaux C - Corticoïdes locaux D - Antiseptiques locaux E - Hypotonisants Bonne(s) réponse(s) : C Les corticoïdes locaux, en diminuant la réaction immunitaire au cours d'une kératite herpétique, peuvent entraîner une aggravation brutale des lésions : ils sont formellement contre-indiqués en cas de kératite superficielle.
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Question à complément simple. 93
Question à complément simple. 7
Devant un oeil rouge, un des signes suivant doit faire écarter le diagnostic de conjonctivite. Lequel ? A - Sécrétions B - Larmoiement C - Baisse d'acuité visuelle D - Rougeur diffuse E - Sensation de sable
En présence d'une hémicrânie d'apparition rapide, précédée de troubles visuels, accompagnée de nausées, d'un oeil rouge et d'une mydriase, vous évoquez en premier lieu : A - Une migraine ophtalmique B - Une paralysie du nerf moteur oculaire commun C - Un glaucome aigu D - Une névralgie du trijumeau E - Un zona ophtalmique
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : C La conjonctivite s'accompagne d'une sensation de flou visuel par modification du film lacrymal, mais il n'y a pas de réelle baisse de l'acuité visuelle.
Question à complément simple. 4 Voici 5 propositions concernant l'oeil rouge, une seule réponse est inexacte Laquelle ? A - Le cercle périkératique représente souvent un signe de gravité B - L'hypertension artérielle peut être à l'origine d'une hémorragie sous-conjonctivale C - La culture de larmes est indispensable en présence d'une conjonctivite bactérienne D - Les collyres corticoïdes sont indiqués en cas d'ulcère herpétique de la cornée E - La kératite est a l'origine d'un oeil rouge et douloureux
L'oeil rouge élimine les diagnostics de migraine ophtalmique, de paralysie du nerf moteur oculaire commun et de névralgie du trijumeau. L'association oeil rouge et mydriase élimine le diagnostic de zona ophtalmique.
Question à complément simple. 78 Voici 5 affections pouvant être a l'origine d'une baisse brutale de l'acuité visuelle, L'oeil y reste habituellement "blanc", sauf dans une des étiologies suivantes. Laquelle donne un oeil rouge ? A - Crise de glaucome aigu B - Hémorragie du vitré C - Oblitération de l'artère centrale de la rétine D - Thrombose de la veine centrale de la rétine E - Décollement massif de la rétine
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A
Les collyres corticoïdes sont formellement contre indiqués en cas d'ulcère herpétique de la cornée car ils en aggravent rapidement l'évolution, pouvant aboutir à la perforation de la cornée.
Le glaucome aigu par fermeture de l'angle associe un oeil rouge, douloureux en semi mydriase aréflexique et une hypertonie oculaire.
Question à complément simple. 93 Dans un oeil rouge et douloureux, un des collyres suivants ne doit jamais être employé sans examen préalable de la cornée : A - Myotique B - Mydriatique C - Antibiotique D - Corticoïde E - Antiviral
Question à complément simple. 85 Parmi les affections suivantes comportant un oeil rouge, laquelle est une contre-indication à l'instillation de collyre corticoïde ? A - Iridocyclite B - Kératite herpétique dendritique C - Conjonctivite D - Glaucome aigu E - Sclérite Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : D Les corticoïdes en collyre ne doivent pas être employés sans examen préalable de la cornée. Les mydriatiques ne doivent pas être employés sans contrôle préalable de la tension oculaire et de la profondeur de la chambre antérieure.
Question à compléments multiples. 72 Devant un oeil rouge, douloureux avec atteinte de l'acuité visuelle, vous évoquez le ou les diagnostics suivants : A - Conjonctivite B - Uvéite antérieure C - Iridocyclite D - Glaucome aigu E - Hémorragie sous-conjonctivale Bonne(s) réponse(s) : B C D
La kératite herpétique dendritique est une forme de Kératite herpétique superficielle, ce qui contre-indique formellement l'instillation de collyres corticoïdes (risque d'aggravation pouvant aboutir à la perforation).
Question à complément simple. 72 Devant un oeil rouge, un des signes suivants doit faire écarter le diagnostic de conjonctivite. Lequel ? A - Sécrétions B - Larmoiement C - Baisse d'acuité visuelle D - Rougeur diffuse E - Sensation de sable Bonne(s) réponse(s) : C Lors d'une conjonctivite, il peut être observé une sensation de flou visuel, mais il n'y a pas de baisse de l'acuité visuelle.
La conjonctivite s'accompagne d'un oeil rouge avec sécrétions, mais sans douleur ni baisse d'acuité visuelle. L'hémorragie sans-conjonctivite se traduit par un rouge, mais sans sécrétion, sans douleur ni baisse d'acuité visuelle.
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Question à compléments multiples. 34 Devant un oeil rouge, douloureux avec atteinte de l'acuité visuelle, vous évoquerez : A - Conjonctivite B - Sclérite C - Iridocyclite D - Glaucome aigu E - Hémorragie sous-conjonctivale Bonne(s) réponse(s) : Sans commentaire
Question à complément simple. 50 Un oeil rouge, douloureux et dur peut faire suspecter une crise de glaucome aigu ou une uvéite antérieure hypertensive aiguë. Parmi les signes suivants, quel est celui qui permet de retenir sans hésitation le premier diagnostic ? A - L'oedème cornéen B - La baisse de vision C - La mydriase D - La photophobie E - Le larmoiement Bonne(s) réponse(s) : C La pupille est en mydriase au cours du glaucome aigu, et en myosis au cours de l'uvéite antérieure aiguë.
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Question à complément simple. 45
Question à complément simple. 2
Parmi les 5 propositions suivantes concernant la rétinopathie diabétique, une seule est inexacte. Laquelle ? A - La rétinopathie diabétique se rencontre habituellement après 10 à 15 ans d'évolution de la maladie B - L'hémorragie du vitré est la complication des microanévrysmes C - La rétinopathie diabétique débute au fond d'oeil par un ou des microanévrysmes. D - La photocoagulation des zones d'hypoxie rétinienne peut empêcher l'évolution de la rétinopathie diabétique E - La rétinopathie proliférante correspond à l'apparition de néovaisseaux rétiniens.
Voici 5 propositions concernant la rétinopathie diabétique. Une seule est inexacte. Laquelle ? A - Une cataracte peut être associée à une rétinopathie diabétique B - La rétinopathie diabétique est la conséquence d'altérations des capillaires rétiniens C - L'apparition de néovaisseaux est liée à une hypoxie rétinienne D - L'angiographie rétinienne permet de mettre en évidence ou de confirmer l'existence de néovaisseaux E - L'équilibration correcte du diabète permet la guérison de la rétinopathie proliférante
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : E
Les micro anévrysmes ne se compliquent jamais d'hémorragies intravitréennes. L'hémorragie intravitréenne provient des néovaisseaux qui prolifèrent en avant de la rétine et en avant de la pupille, au cours des rétinopathies ischémiques étendues.
L'équilibre correct du diabète permet de prévenir l'apparition de la rétinopathie diabétique proliférante, ou, si elle est déjà installée, peut permettre sa stabilisation ; mais le meilleur équilibre de la glycémie ne permet pas la guérison de la rétinopathie diabétique proliférante.
Question à complément simple. 6
Question à complément simple. 92
En cas de rétinopathie diabétique, le traitement par photocoagulation au laser a pour but : A - de détruire les microanévrysmes B - d'éclaircir le vitré en cas d'hémorragie C - de détruire les zones de rétine ischémique D - d'éviter l'apparition d'une névrite optique E - aucune des propositions n'est exacte
Quelle est l'indication essentielle de la panphotocoagulation au laser dans la rétinopathie diabétique ? A - Rétinopathie proliférante B - Oedème maculaire C - Exsudats circinés D - Nodules dysoriques (exsudats cotonneux) E - Hémorragies rétiniennes
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A
En effet, la rétine ischémique provoque l'apparition de néovaisseaux prérétiniens et prépupillaires, se compliquant d'hémorragies intra vitriennes, de décollement de rétine, et à un stade ultime de glaucome néovasculaire.
En cas de rétinopathie proliférante, la pan-photocoagulation au laser permet de détruire les territoires de rétine ischémique, facteur d'entretien indispensable des néovaisseaux prérétiniens.
Question à compléments groupés. 98 L'examen du fond d'oeil dans la rétinopathie hypertensive au stade terminal peut mettre en évidence le(s) signe(s) suivant(s) : 1 - Exsudats secs 2 - Hémorragies rétiniennes 3 - Oedème papillaire 4 - Microanévrysmes Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A L'oedème pupillaire s'accompagne d'hémorragies rétiniennes et d'exsudats dans la rétinopathie hypertensive évoluée. Par contre les microanévrysmes surviennent au cours de l'évolution de la rétinopathie diabétique.
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Question à complément simple. 85 Une seule des assertions suivantes concernant la rétinopathie diabétique est exacte. Laquelle ? A - Elle entraîne au début de son évolution une atrophie optique B - Elle est indépendante de la régulation de l'équilibre glycémique C - L'apparition de la phase oedémateuse coïncide avec une diminution de la vision de près D - Elle s'accompagne toujours de l'apparition d'une cataracte E - Elle n'apparait qu'au bout de plusieurs années d'évolution de la maladie diabétique Bonne(s) réponse(s) : E La rétinopathie diabétique n'apparaît qu'au bout de plusieurs années d'évolution de la maladie diabétique ; mais elle est parfois révélatrice d'un diabète méconnu. Elle est dépendante de la régulation de l'équilibre glycémique, ne s'accompagne pas toujours de l'apparition d'une cataracte ; enfin la diminution de la vision de près traduit la présence d'un oedème maculaire.
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Question à compléments multiples. 106
Question à compléments multiples. 33
Le traitement local de la rétinopathie diabétique dans la forme ischémique a pour but(s) : A - De traiter un décollement de rétine B - De photocoaguler directement les néovaisseaux iriens C - De détruire les zones d'hypoxie rétinienne D - De faire disparaître les néovaisseaux E - De prévenir le glaucome néovasculaire
La rétinopathie diabétique est : A - Douleurs lors des mouvements oculaires B - Fond d'oeil normal C - Scotome central au champ visuel D - Phosphènes E - Trouble de la vision des couleurs Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) : C D E Le traitement local de la rétinopathie diabétique (photocoagulation au Laser) dans la forme ischémique consiste à détruire les zones d'hypoxie rétinienne, ce qui permet la régression, ou empêche l'apparition de néovaisseaux prérétiniens, prépupillaires, iriens et de l'angle iridocornéen (glaucome néovasculaire).
La rétinopathie diabétique peut pendant longtemps ne pas entraîner de baisse de l'acuité visuelle. Les protecteurs vasculaires n'ont aucun intérêt pour prévenir sa survenue.
Question à compléments multiples. 84 Question à complément simple. 100 Quelles sont les deux complications redoutables de la rétinopathie diabétique dans sa forme proliférante ? A - Exsudats durs B - Micro-hémorragies C - Microanévrysmes D - Décollement rétinien [148]4.2.QUESTION N° : 106 Question à compléments groupés. Devant un tableau de conjonctivite aiguë, on retiendra comme argument(s) majeur(s) en faveur d'une étiologie virale : 1 - L'association à une rhinopharyngite 2 - La présence d'une adénopathie satellite 3 - La notion de contage 4 - L'importance des sécrétions conjonctivales E - Hémorragie du vitré Bonne(s) réponse(s) : D E Dans sa forme proliférante (avec néovaisseaux prérétiniens) les deux complications sont le décollement de la rétine et l'hémorragie du vitré, auxquelles peut s'associer un glaucome néovasculaire. Les trois premières propositions ne sont pas des complications "redoutables".
La rétinopathie diabétique néovasculaire : A - Est toujours accompagnée d'une baisse importante de la vision B - Est le témoin d'une hypoxie rétinienne C - Peut compliquer un diabète non insulinodépendant D - Est une indication impérative au traitement par photocoagulation au laser E - Provoque des hémorragies dans le vitré Bonne(s) réponse(s) : A B C D E La rétinopathie avec néovascularisation est toujours accompagnée d'une baisse importante de la vision par ischémie de la macula. Elle est le témoin d'une hypoxie rétinienne étendue (diabète insulino-dépendant ou non insulino-dépendant, occlusion de la veine centrale de la rétine). La photocoagulation au laser permet de faire régresser la néovascularisation pour prévenir le risque d'hémorragie dans le vitré.
Question à compléments multiples. 30 La rétinopathie diabétique : A - Ne survient qu'en cas de diabète insulinodépendant B - Peut conduire au décollement de rétine par traction C - Peut se compliquer d'oedème maculaire D - Est aggravée par l'existence d'une hypertension artérielle concommitante E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : B C D La rétinopathie diabétique, qu'elle soit ischémique ou oedémateuse, peut survenir en cas de diabète insulino ou non insulino dépendant.
Question à complément simple. 79 Parmi les examens complémentaires suivants, citez celui qui objective l'ischémie capillaire au cours de la rétinopathie diabétique : A - L'ophtalmoscopie directe B - L'ophtalmoscopie indirecte C - L'angiographie fluorescéinique D - L'artériographie E - L'étude de la tension de l'artère centrale de la rétine Bonne(s) réponse(s) : C Seule l'angiographie rétinienne à la fluorescéine (ou fluorescéinique) permet d'objectiver les territoires d'ischémie rétinienne, et donc de guider le traitement par photocoagulation au Laser pour prévenir l'apparition de néovaisseaux prérétiniens.
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Question à compléments multiples. 101 Quels sont les 2 principaux moyens thérapeutiques dans le traitement de la rétinopathie diabétique ? A - Equilibration du diabète B - Anticoagulants C - Corticoïdes généraux D - Photocoagulation E - Vasodilatateurs Bonne(s) réponse(s) : A D L'équilibre du diabète, et la photocoagulation au laser des territoires ischémiques, constituent le seul traitement pour éviter une aggravation de la rétinopathie pouvant aboutir à la cécité.
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Question à compléments multiples. 71
Question à compléments multiples. 30
La rétinopathie diabétique ischémique : A - Est caractérisée par des occlusions capillaires rétiniennes B - Se diagnostique précocement à l'angiofluorographie C - Est favorisée par un diabète mal équilibré D - Se complique de néovaisseaux rétiniens E - Est une indication de photocoagulation au laser
L'examen du fond d'oeil dans la rétinopathie hypertensive évoluée met en évidence : A - Exsudats secs B - Hémorragies rétiniennes C - Oedème papillaire D - Micro-anévrysmes E - Nodules dysoriques
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
La rétinopathie diabétique ischémique se complique de néovaisseaux prérétiniens, prépapillaires, iriens (rubéole irienne) et de l'angle iridocornéen (glaucome néovasculaire).
Les microanévrysmes sont retrouvés autour des territoires ischémiques (rétinopathie diabétique, occlusion de la veine centrale de la rétine).
Question à complément simple. 32 Quelle est la principale complication de la rétinopathie diabétique non proliférante ? A - Hémorragie du vitré B - Oedème maculaire C - Décollement de la rétine D - Glaucome neurovasculaire E - Oedème papillaire Bonne(s) réponse(s) : B L'oedème maculaire peut devenir cystoïde, avec formation de logettes dans l'épaisseur de la rétine, entraînant une baisse de l'acuité visuelle.
Question à compléments multiples. 93 Parmi ces propositions concernant la rétinopathie diabétique, laquelle ou lesquelles sont exactes ? A - La rétinopathie diabétique se rencontre le plus souvent après une dizaine d'années d'évolution de la maladie B - La rétinopathie proliférante correspond à l'apparition des néovaisseaux rétiniens C - La lésion caractéristique au fond d'oeil de la rétinopathie est le micro-anévrysme D - La photocoagulation des zones d'hypoxie rétinienne peut empêcher l'apparition des néovaisseaux rétiniens E - La rétinopathie diabétique peut s'accompagner de néovaisseaux papillaires
Question à compléments multiples. 11 A propos de la rétinopathie diabétique : A - C'est une complication exclusive du diabète insulinodépendant B - Tout diabétique doit avoir un fond d'oeil par an C - La fluorographie complète les renseignements donnés par le fond d'oeil D - La rétinopathie diabétique est la principale cause de cécité en France E - La rétinopathie entraîne précocement des troubles de la vision Bonne(s) réponse(s) : B C D - La rétinopathie peut compliquer un diabète non insulinodépendant, et même être découverte en même temps que le diabète. - Les troubles visuels sont tardifs, ce qui explique l'évolution prolongée de la maladie avant de retentir sur la fonction maculaire.
Question à complément simple. 15 Tous les signes suivants peuvent être retrouvés à l'examen d'une rétinopathie diabétique isolée chez un sujet jeune, sauf un. Lequel ? A - Néovaisseaux B - Micro-hémorragies C - Exsudats cotonneux D - Micro-anévrysmes E - Signe du croisement artério-veineux
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : E
En fait les néovaisseaux sont prérétiniens et prépapillaires.
Le signe du croisement artérioveineux traduit une rigidité vasculaire. Elle est observée en cas d'athérome et d'hypertension artérielle prolongée.
Question à complément simple. 45 La lésion ophtalmoscopique initiale de la rétinopathie diabétique est : A - Le micro-anévrysme B - L'occlusion capillaire C - L'hémorragie rétinienne D - L'oedème rétinien E - La néovascularisation Bonne(s) réponse(s) : A
Question à compléments multiples. 65 Quelles sont les complications de la rétinopathie diabétique dans sa forme proliférante ? A - Exsudats durs B - Oedème maculaire C - Hyphéma D - Décollement rétinien E - Hémorragie du vitré Bonne(s) réponse(s) : C D E
L'occlusion capillaire n'est pas visible en ophtalmoscopie. La prolifération néo-vasculaire peut entraîner dans le vitré une hémorragie ou un décollement de rétine, ou bien un hyphéma dans la chambre antérieure.
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Question à compléments multiples. 45 A propos du trachome : quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) ? A - Est une kérato conjonctivite endémique B - Est provoqué par un parasite C - Se complique fréquemment d'un entropion-trichiasis D - Peut être traité par des tétracyclines par voie locale E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : A C D Le trachome est au début une viro conjonctivite endémique à chlamidia trachomatis ; l'atteinte de la conjonctive entraîne une cicatrice rétractile, avec frottement des cils sur la cornée (c'est le trichiasis) à l'origine du panus trachomateux. Le traitement local par tétracycline peut limiter l'évolution, et donc l'apparition de cicatrices rétractiles et d'endotrichiasis.
Question à compléments groupés. 120 Chlamydia trachomatis est une cause fréquente, dans le monde, de conjonctivite : 1 - Folliculaire 2 - D'évolution chronique 3 - Favorisée par de mauvaises conditions d'hygiène 4 - Responsable de cécité Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E Le trachome est l'une des premières causes de cécité dans le monde avec l'onchocercose ; il se manifeste par une conjonctivite chronique, favorisée par les mauvaises conditions d'hygiène, aboutissant à une sécheresse oculaire et à un panus trachomateux qui recouvre progressivement la cornée.
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104 Question à complément simple.
33 Question à complément simple
Devant une suspicion de spondylodiscite d'allure subaiguë, alors que les hémocultures sont négatives et que le début des symptômes cliniques semble remonter approximativement à quatre semaines, quelle est la démarche la plus utile à entreprendre ? A - Refaire des hémocultures B - Demander un examen scannographique C - Faire une ponction vertébrale en tenant compte de l'information fournie par les clichés tomographiques D - Mettre en oeuvre une antibiothérapie à large spectre sous couvert d'une immobilisation plâtrée E - Faire faire une scintigraphie osseuse
Devant une radiographie de spondylodiscite dorsale, quel est l'élément le plus en faveur d'un mal de Pott parmi les suivants ? A - Erosion marginale antérieure du corps vertébral B - Ostéocondensation des plateaux C - Fuseau paravertébral D - Ostéophytose E - Pincement discal Bonne(s) réponse(s) : C A et E - Sont non spécifiques. B et D - Témoignent d'une discarthrose.
Bonne(s) réponse(s) : C C - Ponction pour examen bactério, cyto, et anatomo pathologique. A - Les hémocultures peuvent rester négatives de façon répétée (spondylodiscite tuberculeuse). B - Le T D M a un grand intérêt d'autant plus que l'on peut faire des ponctions sous scanner. Il recherche l'abcès paravertébral, du psoas, précise l'étendue de l'atteinte discale et somatique. D - Il faut essayer d'adapter le traitement au germe isolé avant de traiter à l'aveugle. E - Pas le plus utile.
61 Question à compléments multiples.
103 Question à compléments multiples. Dans la spondylodiscite microbienne lombaire, la radiographie montre : A - Une ostéolyse des plateaux vertébraux B - Des géodes intraspongieuses C - Une diminution de la hauteur du disque D - Un pincement des articulaires apophysaires postérieures sur les radiographies de 3/4 E - Un fuseau paravertébral Bonne(s) réponse(s) : A B C
Devant un pincement discal isolé, on retient en faveur d'une spondylodiscite infectieuse : A - Un flou des plateaux vertébraux adjacents B - Un fuseau paravertébral C - Une géode intracorporéale D - Une calcification discale E - Une syndesmophytose
Le fuseau paravertébral est associé à une spondylodiscite dorsale. Au rachis lombaire, il existe un abcès, plus ou moins fusant, des psoas. Piège idiot.
84 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A B C ABC - Sont évocateurs de spondylodiscite. D - La calcification se voit plutôt dans la chondrocalcinose. E - Et la syndesmophystose dans la spondylarthrite ankylosante.
72 Question à compléments multiples. Une spondylodiscite bactérienne du rachis lombaire inférieur peut s'accompagner à son début : A - De fièvre B - De sciatalgie C - De raideur rachidienne D - D'une image radiographique normale E - D'un foyer d'hyperfixation à la scintigraphie
Un sujet de 60 ans se plaint d'une lombalgie basse d'allure inflammatoire, alors qu'il est traité depuis 15 jours pour une endocardite aortique à staphylocoque coagulase positive. Vous suspectez une spondylodiscite mais les clichés standard et tomographiques du rachis sont normaux. Quel examen demander pour tenter de confirmer la spondylodiscite ? A - Hémoculture B - Cytobactériologie des urines C - Scintigraphie osseuse D - Amipaque lombaire E - Ponction lombaire Bonne(s) réponse(s) : C La scintigraphie est l'examen proposé le plus utile. Il peut s'agir également de rachialgies inflammatoires satellites d'une endocardite.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E La sciatalgie est d'horaire inflammatoire. La radiographie est en retard sur la clinique et la scintigraphie peut permettre de montrer une hyperfixation du foyer infectieux.
29 Question à compléments multiples. Chez un dorsalgique, présentant une destruction radiographique des corps vertébraux de D9 et D10, indiquez parmi les propositions suivantes, celle(s) qui est (sont) plus en faveur d'une spondylodiscite infectieuse que d'un cancer secondaire des os : A - Caractère inflammatoire des douleurs B - Augmentation de la VS C - Hypercalcémie D - Pincement discal E - Hyperfixation D9-D10 à la scintigraphie osseuse au technetium Bonne(s) réponse(s) : D
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Une métastase respecte le disque (avasculaire).
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14 Question à compléments multiples. Parmi les examens suivants d'imagerie médicale, citez celui ou ceux permettant de faire en même temps que le diagnostic positif de spondylodiscite infectieuse le diagnostic d'abcès intrarachidien : A - Radiographie simple B - Tomographies C - Scintigraphie osseuse D - Tomodensitométrie E - I.R.M. Bonne(s) réponse(s) : D E En l'absence de myélographie associée, les tomographies ne matérialisent pas les abcès intracanalaires.
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75 Question à compléments multiples. Une fracture de l'extrémité inférieure du radius : A - Résulte plus souvent d'une chute en hyper-flexion qu'en hyper-extension du poignet B - Se complique fréquemment d'une paralysie par compression du nerf médian C - Entraîne, dans sa forme typique, un déplacement postérieur et externe de l'épiphyse radiale D - Donne souvent des pseudarthroses E - Peut évoluer vers l'algodystrophie Bonne(s) réponse(s) : C E Dans 75 % des cas, il s'agit d'un mécanisme en hyperextension du poignet. Les lésions vasculonerveuses immédiates sont exceptionnelles. A distance, les principales complications sont : - cal vicieux - instabilité du carpe - syndrome du canal carpien - algoneurodystrophie (16 % des cas) - ruptures tendineuses.
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Question à compléments multiples. L'instabilité des fractures de l'extrémité inférieure du radius est fréquente et la surveillance radiographique doit être stricte après réduction. Quels éléments doivent être vérifiés systématiquement sur les clichés de contrôle? A - L'orientation de la glène radiale sur le profil B - Les rapports scapho-lunariens C - Le rétablissement de l'obliquité de la ligne bistyloïdienne sur la tête D - La position du pyramidal E - Les rapports de l'articulation radio-cubitale inférieure Bonne(s) réponse(s) : A C E Ce sont effectivement les 3 critères à surveiller. A : De profil, la glène radiale regarde de 10° en avant C : La ligne bi-styloïdienne est oblique en bas et en dehors de 25° environ E : L'index radio-cubital est de + 2 mm
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Question à compléments multiples. Une fracture de l'extrémité inférieure du radius par compression-extension : A - Entraîne, lorsqu'elle est déplacée, une translation externe de la main et du poignet B - Crée au cours de son déplacement une bascule antérieure de l'épiphyse radiale inférieure C - Est très souvent aggravée par une compression du nerf médian dans le canal carpien D - Doit être réduite de manière à ce que la surface articulaire inférieure du radius soit à nouveau orientée en bas et en avant E - Est un facteur fréquent d'algodystrophie Bonne(s) réponse(s) : A D E C'est le mécanisme des fractures de Pouteau-Colles. B : non, bascule postérieure et supérieure avec horizontalisation de la ligne bistyloïdienne et engrènement postérieur C : complication possible mais pas TRéS fréquente et même exceptionnelle D : la qualité de la réduction conditionne les séquelles fonctionnelles (20 % d'algodystrophie)
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Question à compléments multiples. Une fracture de l'extrémité inférieure du radius par compression-flexion : A - Représente la variété habituelle des fractures de l'extrémité inférieure du radius B - Entraîne, lorsqu'elle est déplacée, une bascule postérieure de l'épiphyse radiale inférieure C - Est particulièrement instable et nécessite une ostéosynthèse après réduction D - Consolide entre 45 et 60 jours E - Est un facteur fréquent d'algodystrophie Bonne(s) réponse(s) : C D E A et B : Correspondent à la fracture en compression-extension.
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91 Question à complément simple. En pratique métropolitaine, indiquez la cause la plus fréquente d'arthrite septique de l'adulte : A - La fixation d'un germe lors d'une bactériémie B - L'inoculation iatrogène C - La propagation d'une ostéomyélite de voisinage D - Une plaie articulaire E - Une étiologie non retrouvée Bonne(s) réponse(s) : B L'inoculation iatrogène est le plus souvent une infiltration de corticoïdes qui rend d'ailleurs un peu plus difficile, le diagnostic (retard des signes infectieux)
44 Question à complément simple. Les signes radiologiques suivants appartiennent à l arthrite septique sauf un. Indiquez lequel : A - Ostéophytes B - Pincement articulaire C - Géodes en miroir D - Déminéralisation sous-chondrale E - Epaississement des parties molles Bonne(s) réponse(s) : A A - Se voit dans l'arthrose. - les signes sont retardés sur la clinique et par ordre chronologique apparaissent E, B, D et C.
72 Question à complément simple. Lequel de ces résultats d'examens paracliniques est difficilement compatible avec un diagnostic d'arthrite septique à staphylocoques ? A - La vitesse de sédimentation = 30 mn à la 1ère heure B - Les hémocultures négatives C - La numération globulaire du sang = 6.000 polynucléaires/mm3 D - La numération globulaire du liquide synovial = 700 polynucléaires/mm3 E - Les taux d'antistaphylolysines = 8 unités/l Bonne(s) réponse(s) : D Une arthrite à staphylocoque donne un liquide articulaire nettement inflammatoire (sauf en cas d'aplasie).
74 Question à complément simple. Chez un sujet suspect d'arthrite septique du genou dans les suites d'une infiltration de corticoïdes, quel est le premier geste à visée diagnostique que l'on doit réaliser : A - Faire une NFS, VS B - Faire des radiographies et en particulier des tomographies C - Evacuer l'articulation par ponction pour vérifier l'aspect puriforme du liquide d'épanchement D - Faire une scintigraphie osseuse E - Faire une ponction articulaire et demander un examen cytobactériologique du liquide d'épanchement Bonne(s) réponse(s) : E Il faut isoler le germe absolument (staphylocoque). L'arthrite septique survient généralement après la 24ème heure après l'infection. Avant, il s'agit plutôt d'une réaction à microcristaux de corticoïdes.
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13 Question à complément simple.
2 Question à complément simple.
Une fracture-séparation pure, sans tassement, intraligamentaire du plateau tibial interne, sans lésion associée du ligament latéral externe, a consolidé en position vicieuse d'abaissement du plateau. Toutes les complications suivantes peuvent être observées sauf une. Indiquez laquelle : A - Déformation en varus B - Raideur du genou C - Arthrose post-traumatique D - Ostéoporose post traumatique E - Laxité ligamentaire du genou
La déformation tibiale le plus fréquemment en cause dans la genèse d'une gonarthrose douloureuse est : A - En valgus B - En varus C - En flexum D - En recurvatum E - En torsion interne
Bonne(s) réponse(s) : E B C - Peuvent se voir dans toute fracture articulaire, surtout lorsqu'existe un calvicieux A - En charge l'appui se fera sur un plateau tibial interne abaissé, d'ou la déformation en varus E - Il peut y avoir une pseudolaxité, à composante osseuse. En effet, si le ligament latéral interne est resté intact, la hauteur du plateau tibial interne a diminué. Le mouvement de valgus forcé retend le L.L.I. et objective une pseudolaxité interne par enfoncement osseux. Mais il n'y a pas de laxité ligamentaire.
18 Question à compléments multiples. La recherche radiographique d'une fracture récente du plateau tibial externe peut exiger : A - Des incidences de 3/4 B - Une incidence fémoro-patellaire C - Des tomographies D - Un cliché en valgus forcé prudent E - Une arthrographie opaque Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) : B Le genu valgum est plus commun chez la femme et le genu varum chez l'homme. Ces déviations frontales sont une cause importante de gonarthrose mais elles peuvent être elles-mêmes secondaires à la gonarthrose. Le genu varum est beaucoup moins bien toléré que le genu valgum, il entraîne une hyperpression de la fémoro-tibiale interne qui aboutit souvent à une arthrose de ce compartiment.
97 Question à compléments multiples. Le pronostic d'une fracture articulaire du genou au niveau des compartiments fémoro-tibiaux dépend : A - De l'ouverture du foyer B - Du volume de l'hémarthrose initiale C - De la possibilité de rééducation précoce du genou D - De la régularité des surfaces articulaires obtenue en fin de traitement E - De l'importance de la comminution métaphysaire Bonne(s) réponse(s) : A C D E A - Détermine le risque septique. C - Prévient le risque de raideur, qui est majeur dans ces fractures articulaires du genou. Elle dépend du mode de traitement choisi : le plâtre l'empêche, une ostéosynthèse solide par contre l'autorise. D - Fondamental (vrai pour toute fracture articulaire ; du genou, exemple typique). E - Détermine l'axe mécanique des fractures des plateaux tibiaux : il faut relever le tassement métaphysaire).
Litigieuse Le diagnostic est posé sur les radiographies. - du genou F et profil. - des deux 3/4 : droit et gauche. - en cas de doute sur des tomographies de face et sur des clichés standards comparatifs des deux genoux. - le cliché en valgus forcé est dangereux : il peut aggraver un déplacement peu important (séparation, tassement) et rendre le traitement de cette fracture articulaire plus difficile. Mais il est vrai que la fracture est analysée au mieux dans son plus grand déplacement. B - Visualise la rotule et la trochlée fémorale. E - Etudie la pathologie méniscale, ligamentaire (croisés), capsulaire (kyste poplité), et non osseuse.
105 Question à compléments multiples.
98 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Une fracture du plateau tibial externe : A - Comporte souvent un enfoncement B - Peut entraîner une désaxation en varus du genou C - Se manifeste souvent par une hémarthrose D - Est souvent associée à une luxation postérieure de hanche (syndrome du plateau de bord) E - Peut s'accompagner d'une paralysie du nerf sciatique poplité externe
Dans l'arthrose fémoro-tibiale, le traitement fait appel : A - Réduction d'un excès pondéral B - Tonification musculaire (muscles stabilisateurs du genou) C - Physiothérapie sédative D - Prescription d'AlNS lors des poussées E - Infiltration intra-articulaire au rythme de trois par mois Une infiltration est souvent plus efficace qu'un AINS mais elle n'est utilisée qu'en cas de poussée congestive en association à une "décharge" (repos) et elle ne doit pas être renouvelée itérativement.
Bonne(s) réponse(s) : A C E Les fractures du plateau tibial externe sont secondaires, le plus souvent à un valgus forcé. Il peut exister un enfoncement et les lésions du nerf sciatique poplité externe ne sont pas rares surtout en cas de fracture du péroné associée.
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20 Question à complément simple.
13 Question à complément simple.
Indiquez, parmi les suivantes, la proposition exacte concernant les fractures de l'extrémité supérieure du radius de l'enfant : A - Elles représentent la lésion la plus fréquente des traumatismes du coude de l'enfant B - Ce sont plus souvent des fractures de la tête que des fractures du col C - Elles s'accompagnent souvent d'une paralysie de la branche postérieure du nerf radial D - Elles peuvent accompagner une luxation du coude E - Elles peuvent être traitées par résection de la tête et du col
Indiquez, parmi les suivantes, la proposition exacte concernant les fractures de l'extrémité supérieure du radius de l'enfant : A - Elles représentent la lésion la plus fréquente des traumatismes du coude de l'enfant B - Ce sont plus souvent des fractures de la tête que des fractures du col C - Elles s'accompagnent souvent d'une paralysie de la branche postérieure du nerf radial D - Elles peuvent accompagner une luxation du coude E - Elles requièrent un traitement chirurgical
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Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D La tête radiale est encore cartilagineuse et seul le col peut se fracturer. A - La plus fréquente est la fracture supracondylienne. B - Il s'agit le plus souvent d'une fracture du col. C - La lésion de la branche postérieure est possible mais rare (le périoste chez l'enfant reste souvent continu). Cette branche est protégée par le court supinateur. E - Leur traitement est la réduction orthopédique ou chirurgicale associée le plus souvent au brochage (de Metaizeau).
36 Question à compléments multiples. La fracture de l'extrémité inférieure du radius chez l'adulte : A - N'est instable après réduction que si elle est articulaire B - Se déplace en général vers l'arrière C - Présente un risque de pseudarthrose si le traitement n'est pas correct D - Consolide souvent vicieusement E - Est surtout stable si on l'immobilise en extension Bonne(s) réponse(s) : B D L'instabilité dans la fracture de Pouteau Colles est postérieure habituellement. L'immobilisation (plâtre brachio-palmaire) se fait en légère flexion palmaire et inclinaison cubitale, la pseudarthrose est rare (fracture métaphyso épiphysaire).
53 Question à compléments multiples. Indiquez, parmi les suivantes, la(les) proposition(s) exacte(s) concernant la fracture de l'extrémité supérieure du radius de l'adulte : A - Elle limite l'extension du coude B - Elle peut être traitée par rééducation immédiate C - Elle peut être traitée par résection de la tête radiale D - Elle s'accompagne souvent d'une paralysie de la branche postérieure du nerf radial E - Elle peut entraîner une raideur de la prono-supination Bonne(s) réponse(s) : A B C E D - L'atteinte de la branche postérieure est exceptionnelle. B - Vrai pour les fractures peu déplacées. C - Est le traitement des fractures déplacées ou après échec du traitement orthopédique, du fait de A et E.
102 Question à compléments multiples. Une fracture de l'extrêmité inférieure du radius : A - Résulte le plus souvent d'une chute en hyperflexion qu'en hyperextension du poignet B - Une paralysie par compression du nerf médian est fréquente C - Consolide en moyenne entre 45 et 60 jours D - Donne souvent des pseudarthroses E - Donne souvent une algodystrophie Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
102 Question à compléments multiples. Une fracture de l'extrémité inférieure du radius : A - Résulte plus souvent d'une chute en hyperflexion qu'en hyperextension du poignet B - Se complique fréquemment d'une paralysie par compression du nerf médian C - Entraîne, dans sa forme typique, un déplacement postérieur et externe de l'épiphyse radiale D - Donne souvent des pseudarthroses E - Donne souvent une algodystrophie Bonne(s) réponse(s) : B C E Le mécanisme le plus fréquent est une chute sur la main, le poignet en hyperextension. La pseudarthrose est rare mais le cal vicieux est fréquent en raison du défect cortical postérieur et du déplacement secondaire.
91 Question à compléments multiples. La fracture de l'extrémité inférieure du radius : A - Répond dans sa forme la plus fréquente à un mécanisme de compression flexion B - Crée une baïonnette interne par déplacement cubital de la main C - Se réduit facilement mais se déplace aussi facilement D - A pour principale complication un syndrome algodystrophique E - Consolide entre 40 et 60 jours Bonne(s) réponse(s) : C D E
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La fracture de Pouteau-Colles est une fracture après chute sur la main, poignet en hyper-extension. Il existe donc un tassement avec déplacement postéro-externe engrené ou comminutif. Elle consolide en 45 jours en moyenne avec des risques de déplacement secondaire, 558 NADJI 85 d'instabilité du carpe, d'algodystrophie ou de syndrome du By canal carpien.
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26 Question à compléments multiples. La fracture de l'extrémité inférieure du radius : A - Répond dans sa forme habituelle à un mécanisme de compression-flexion B - Crée une baïonnette interne par déplacement cubital de la main C - Se déplace facilement après réduction D - A pour principale complication un syndrome algodystrophique E - Consolide entre 30 et 45 jours Bonne(s) réponse(s) : C E Dans sa forme habituelle de Pouteau-Colles, elle réalise une fracture déplacée en haut en dehors (Radial et non cubital : B) et en arrière (mécanisme de compression extension). La comminution postérieure la rend instable après réduction : C. D - N'est pas spécifique, se rencontre après de nombreux traumatismes. La principale complication est le déplacement secondaire. Mais la réponse C, D, E, serait possible, question mal formulée.
42 Question à complément simple. Quelle est la fracture de l'extrémité inférieure du radius la plus fréquente chez une femme âgée ? A - Fracture sus-articulaire de Pouteau-Colles B - Fracture comminutive, de l'extrémité inférieure du radius C - Fracture décollement épiphysaire du radius D - Fracture articulaire marginale antérieure E - Fracture en bois vert de l'extrémité inférieure du radius Bonne(s) réponse(s) : B B - Les traits de refend articulaires (différence avec A) sont fréquents sur os ostéoporotique. D. E - Chez l'enfant. D - Mécanisme différent, moins fréquent que la chute sur le poignet en hyperextension et pronation (A,B).
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92 Question à compléments multiples. En cas de luxation antérieure du semi-lunaire la réduction doit être urgente parce que : A - Le nerf médian peut être comprimé B - La luxation devient irréductible rapidement C - L'artère radiale est comprimée D - La nécrose du semi-lunaire est à prévenir E - La réduction est le meilleur traitement de la douleur Bonne(s) réponse(s) : A D Luxation antérieure du semi-lunaire : luxation péri-lunaire postérieure de degré III. Le carpe est sous le radius, le semi-lunaire est en avant, parfois totalement libre ; ses ligaments antérieurs et postérieurs sont rompus. Le risque de nécrose est alors classiquement majeur.
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54 Question à compléments multiples. Une ou plusieurs des propositions suivantes concernant l'ostéomyélite aiguë à staphylocoques est(sont) juste(s). Laquelle ou lesquelles ? A - La radiographie est normale au début B - La vitesse de sédimentation est normale C - Le dosage de la C réactive protéine est très utile au diagnostic D - La mise en route du traitement peut être retardée E - L'ostéomyélite est sans conséquence sur la croissance de l'os atteint Bonne(s) réponse(s) : A C B - Non, au contraire. C : CRP utile chez l'enfant D - Non, le traitement doit être immédiat (après hémocultures ± ponctionaspiration du foyer).
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Question à compléments multiples. Parmi ces propositions concernant l'ostéomyélite aiguë de l'enfant, quelles sont celles qui vous semblent erronées? A - La diffusion du germe se fait par voie hématogène B - La fixation métaphysaire est la plus fréquente C - Le cartilage de croissance ne peut être traversé par les germes D - L'articulation est protégée par sa vascularisation indépendante E - L'absence de nécrose explique la rapidité de la réparation osseuse Bonne(s) réponse(s) : C D E A et B : Evident. C : Stupide, c'est une complication classique. D : Vrai, après 18 mois seulement. E : Oui, et d'ailleurs c'est en présence de nécrose osseuse que surviennent les complications les plus redoutables.
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73 Question à complément simple. L'ostéomyélite aiguë hématogène débute habituellement au niveau : A - D'une épiphyse d'un os long B - Du corps d'un os plat C - De la métaphyse d'un os long D - Du périoste d'un os long E - De la diaphyse d'un os long Bonne(s) réponse(s) : C A la suite d'une bactériémie inapparente, le germe se fixe le plus souvent au niveau des sinus veineux métaphysiciens. En particulier, les métaphyses "fertiles" sont le plus souvent touchées : "près du genou, loin du coude".
108 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant l'ostéomyélite aiguë, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? A - La localisation de l'infection est d'abord épiphysaire B - L'ostéomyélite aiguë atteint avec prédilection les enfants C - En l'absence de diagnostic certain. mieux vaut attendre avant de commencer le traitement D - Le germe en cause est le plus souvent le staphylocoque dore E - La drépanocytose est une cause favorisante Bonne(s) réponse(s) : B D E L'ostéomyélite aiguë touche surtout l'enfant de 1 à 15 ans et elle débute au niveau des métaphyses. Des les prélèvements faits, le traitement antibiotique doit être mis en oeuvre. Les ostéites sont beaucoup plus fréquentes au cours de la drépanocytose et l'ostéomyélite à salmonelle est une des variétés préférentiellement découverte sur ce terrain.
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Question à compléments multiples. L'ostéomyélite des membres du nourrisson : A - A généralement pour origine une infection ORL B - Entraîne une impotence précoce C - Peut atteindre l'articulation du voisinage D - Comporte un risque élevé de séquelles ostéo-articulaires E - Nécessite toujours une antibiothérapie par voie parentérale Bonne(s) réponse(s) : B C D E Due au staphylocoque doré dans la majorité des cas. La recherche et le traitement d'une porte d'entrée sont fondamentaux.
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Question à compléments multiples. Quels sont les caractères cliniques significatifs d'une ostéomyélite aiguë de l'extrémité inférieure du fémur d'un enfant vu précocement? A - Fièvre brutale isolée B - Douleur suraiguë localisée C - Raideur articulaire sus et sous-jacente D - Altération rapide de l'état général E - Impotence du membre atteint Bonne(s) réponse(s) : B D E L'association douleur localisée, impotence, altération de l'état général, fièvre doit faire évoquer une ostéomyélite en premier lieu. L'item A est à refuter car la fièvre n'est pas isolée.
Question à complément simple. Retenez la (les) proposition(s) qui s'applique(nt) à l'ostéomyélite des membres du grand enfant : A - Elle résulte habituellement d'une extension directe à l'os d'une infection cutanée de voisinage B - Le germe le plus souvent en cause est l'hémophilus influenzae C - La localisation la plus fréquente est l'extrémité supérieure du fémur D - L'atteinte initiale est métaphysaire E - L'infection diffuse fréquemment à l'articulation la plus proche Bonne(s) réponse(s) : D L'ostéomyélite aiguë est une infection osseuse généralement d'origine hématogène. Elle touche volontiers l'extrémité inférieure du fémur. Le germe le plus souvent en cause est le staphylocoque doré.
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2 Question à complément simple.
55 Question à compléments multiples.
La hauteur utérine au terme de 28 semaines d'aménorrhée gravidique est normalement de : A - 20 cm B - 24 cm C - 28 cm D - 33 cm E - 35 cm
Mme DUPONT a fait une fausse couche à 3 mois pour sa grossesse précédente. Elle a depuis été abandonnée par son "ami". Actuellement elle est célibataire, a déclaré normalement sa grossesse avant 15 semaines, et est enceinte de jumeaux. A - Elle a droit à 6 semaines de congé prénatal B - Elle a droit à 20 semaines de congé post natal C - Elle pourra prétendre à l'allocation parent isolé D - Elle pourra prétendre à une allocation d'éducation spécialisée E - Son emploi reste acquis et son statut professionnel inchangé quand elle reprendra son travail à l'issu de son congé
Bonne(s) réponse(s) : B B : Règle des 4 28 semaines soit 6 mois que multiplie 4 = 24 cm.
44 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A E
On teste la fonction du fléchisseur commun superficiel lors d'une plaie de la main : A - En demandant au sujet de fermer le poing B - En immobilisant la paume fortement et en demandant de fléchir P1 C - En immobilisant P2 fortement et en demandant de fléchir P3 D - En immobilisant en extension les doigts voisins et en demandant la flexion du doigt lésé E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : D - L'impossibilité de fléchir le doigt lésé lorsque les autres doigts sont maintenus en extension prouve la section du FCS (car on élimine ainsi l'action du FCP). - La section d'un FCP est mise en évidence devant l'impossibilité de fléchir P3 sur P2 lorsque l'IPP est bloquée.
8 Question à compléments multiples.
Connaissances.
83 Question à compléments multiples. Une toxoplasmose survenant chez une femme enceinte de 68 semaines comporte : A - Un risque d'avortement spontané B - Un risque d'atteinte néonatale de 40% C - Un risque de malformation des membres D - La présence d'lgM dans le sang foetal dès la 15e semaine E - La présence d'IgM et d'IgG dans le liquide amniotique dès la 17e semaine Bonne(s) réponse(s) : A C D
Au cours de l'évolution d'une forme grave de maladie des membranes hyalines chez un prématuré né à 28 semaines d'aménorrhée, la radiographie du thorax de face peut vous montrer : A - Un bronchogramme aérien étendu B - Un pneumomédiastin C - Un pneumothorax D - Des bulles d'emphysème interstitiel E - De l'air sous les coupoles diaphragmatiques Bonne(s) réponse(s) : A B C D
B : En cas de naissances multiples le congé post natal est allongé de 2 semaines (soit 12 semaines) D : réservée aux enfants handicapés. C : Non elle peut être accueillie gratuitement dans des maisons maternelles à partir du 7ème mois de grossesse jusqu'à 3 à 6 mois après la naissance.
B : Pas à ce terme C : atteinte métaphysaires D : Que l'on peut retrouver par le prélèvement de sang foetal sous écho
48 Question à complément simple. Au troisième trimestre de la grossesse, l'âge gestationnel peut être donné avec une précision de plus ou moins une semaine par : A - Le rapport L/S dans le liquide amniotique B - Le taux de bilirubine dans le liquide amniotique C - La radiographie du contenu utérin D - L'échographie E - Aucune des propositions ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire
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70 Question à complément simple.
99 Question à compléments multiples.
Une deuxième geste, césarisée lors de la première grossesse (hystérotomie segmento-corporéale) est adressée en urgence, à 34 semaines d'aménorrhée pour état de choc avec hémorragie peu abondante, noirâtre. L'examen retrouve une TA élevée à 16/10, une contracture utérine et une souffrance foetale aiguë. Ce tableau clinique fait évoquer : A - Un syndrome du sinus marginal B - Une rupture utérine C - Un décollement prématuré du placenta normalement inséré D - Un décollement prématuré du placenta bas inséré E - Un infarctus myométrial
La survenue d'un syndrome mononucléosique quelques semaines après une transplantation rénale fait évoquer une infection à : A - Cytomégalovirus B - HIV C - Staphylocoque D - Virus herpès type 2 E - Plasmodium falciparum
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A B B - Bien que le dépistage des anticorps anti-VIH a été réalisé chez le donneur, il faut toujours évoquer cette possibilité (période présérologique où les anticorps anti-VIH ne sont pas détectables, alors que le donneur est infecté).
Tableau typique
30 Question à complément simple.
35 Question à compléments multiples. Un blessé se présente à une consultation hospitalière de traumatologie. Un médecin l'examine, traite les blessures et ne juge pas l'hospitalisation nécessaire. Le blessé regagne son domicile. Le médecin peut, le lendemain, délivrer un certificat de constation des blessures : A - Au blessé lui-même B - Au père du blessé mineur en l'absence de son enfant C - Au père du blessé majeur en l'absence de son enfant D - Au tuteur d'un incapable majeur E - Au conjoint du blessé en l'absence de celui-ci Bonne(s) réponse(s) : A B D
Un patient de 75 ans a subit une cholecystectomie il y a un an. On découvre maintenant un calcul cholédocien résiduel de 7 mm. Quel est le traitement que vous proposeriez parmi les propositions suivantes ? A - Réintervention pour choledocotomie et extraction du calcul B - Sphinctérotomie endoscopique C - Lithotrypsie extra-corporelle D - Traitement médical par Ursolvan® E - Pas de traitement Bonne(s) réponse(s) : B La sphinctérotomie endoscopique (SE) est le procédé idéal pour le traitement de la lithiase résiduelle après cholécystectomie car elle nécessite une hospitalisation de courte durée ce qui diminue le coût du traitement. De plus les complications (angiocholite, pancréatite aiguë ) sont rares. La SE doit donc être proposée quelque soit l'âge du patient.
A, C et E : Evident. B et D : Sans commentaire.
71 Question à compléments multiples. A propos du récepteur pour l'antigène des lymphocytes T humains: A - C'est une immunoglobuline de membrane B - Sa diversité de reconnaissance résulte de réarrangements de plusieurs gènes C - Les fluctuations jonctionnelles ne jouent pas un rôle dans la génération du répertoire D - Ses gènes sont l'objet de fréquentes mutations somatiques E - Son expression nécessite l'expression conjointe du complexe CD4
74 Question à compléments multiples. Parmi les signes suivants, lesquels sont évocateurs d'une plaie du nerf médian à la main ? A - Paralysie de l'opposition du pouce B - Un signe de Froment C - Un signe de Phalen (hyperflexion palmaire du poignet) D - Une anesthésie au niveau de la pulpe de l'index E - Une griffe des 2 derniers doigts Bonne(s) réponse(s) : A D B et E font partie du tableau de paralysie du cubital.
Bonne(s) réponse(s) : B D Ce QCM choix simple est probablement mauvais, car deux réponses sont possibles : B et D. En effet, comme pour les immunoglobulines, la diversité du répertoire T repose sur de nombreux phénomènes, dont deux sont cités ici : les réarrangements géniques (V, D, J C) et la fréquence des mutations somatiques. D'autres phénomènes interviennent : conversion génique, ambiguïté d'épissure, dégénérescence du système (réactions croisées)...
9 Question à complément simple. Actuellement, la vaccination antirabique à usage humain, après morsure : A - Se fait grâce à un vaccin attenué B - Comporte 3 injections à un mois d'intervalle suivies de rappels tous les 5 ans C - Peut entraîner une encéphalite dans 1% des cas D - Est formellement contre-indiquée en cas de comitialité E - Doit être complétée si l'animal est inconnu Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
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12 Question à complément simple.
99 Question à compléments multiples.
En échographie ultra-sonore, I'estimation de l'âge gestationnel entre 7 et 9 semaines d'aménorrhée est la meilleure avec : A - La distance bipariétale B - La longueur fémorale C - La distance cranio-caudale D - Le périmètre crânien E - Le périmètre abdominal
Dans l'hydatidose humaine, le mode de contamination se fait : A - Lors de contacts avec un chien porteur de taenia B - Lors de l'abattage de bovins ou ovins parasités C - Par l'ingestion d'aliments souillés par les déjections d'un chien parasité D - Par l'ingestion de membrane hydatique ou de scolex dans une viande parasitée E - En dépeçant un renard mort
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A C C - Connaissance. Sans commentaire.
51 Question à complément simple.
9 Question à compléments multiples.
Une femme de 50 ans consulte pour un "engourdissement douloureux" nocturne des deux mains intéressant le pouce, la face palmaire de l'index, du majeur et de la moitié de l'annulaire. Quelle affection évoquez-vous ? A - Une acrodynie B - Un syndrome du canal carpien C - Une maladie de Raynaud D - Un syndrome des scalènes E - Une compression des nerfs cubitaux au coude
Quelle(s) habitude(s) thérapeutique(s) est(sont) maintenant contre-indiquée(s) ? A - B tabloquants pour ralentir le coeur B - Poursuite ou augmentation de la théophylline C - Corticoïdes D - Ventoline aérosol E - Arr t de théophylline à libération prolongée Bonne(s) réponse(s) : A B
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire. Sans commentaire.
48 Question à complément simple.
63 Question à complément simple. Un patient de 60 ans consulte une semaine après une perte de connaissance à début et fin brutaux ayant duré 30 secondes ; l'examen cardiaque ne retrouve en tout et pour tout qu'un hémibloc gauche antérieur et un bloc complet de la branche droite. Quel est l'examen complémentaire que vous demandez en priorité pour chercher l'étiologie de cette perte de connaissance ? A - Enregistrement continu de l'électrocardiogramme selon la méthode de Holter B - Echocardiographie C - Enregistrement endocavitaire du potentiel hisien D - Epreuve d'effort E - Doppler cervical Bonne(s) réponse(s) : C La conjonction d'une perte connaissance évocatrice de syncope d'Adams Stokes (PC à l'emporte pièce, de survenue inopinée, sans prodromes, à début et fin busques, de durée brève en règle inférieure à 30 secondes sans obnubilation ni déficit neurologique post-critique) et d'un ECG de surface intercritique inscrivant un trouble conductif intraventriculaire (bloc bifasciculaire) oriente d'emblée vers un bloc auriculoventriculaire de haut degré paroxystique infranodal. Compte tenu du contexte (âge, pas de prise de médicamenteuse...), celui-ci est probablement dégénératif (maladie de Lenègre) chronique. Le Holter n'est pas un examen adapté : le caractère capricieux et parfois l'extrême rareté des épisodes de BAV expliquent les nombreux faux négatifs. C'est à l'exploration électrophysiologique endocavitaire que l'on demandera de trancher Sont en faveur d'un BAV paroxystique à l'origine de la syncope : - l'existence d'un trouble de conduction infranodal à l'état basal intervalle HV supérieur à 60 ms ou allongement et/ou de doublement du potentiel hisien. - l'allongement de l'intervalle HV qui devient supérieur à 100 ms après administration IV codifiée d'ajmaline - la création d'un BAV du 2e ou du 3e degré infranodal pour des fréquences de stimulation auriculaire inférieures à 150/mim ou après administration IV d'ajmaline.
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Une semaine après, Monsieur X garde la conviction isolée que les allemands étaient bien dans sa chambre lors de son épisode. Comment qualifieriez-vous cette conviction ? A - Hallucinose des buveurs B - Psychose hallucinatoire chronique C - Ecmnésie résiduelle D - Délire chronique paranoïaque E - Idée fixe post-onirique Bonne(s) réponse(s) : E E : Evolutions possibles des épisodes confusionnels sont : - Idées fixes post-oniriques, où l'idée délirante "s'enkyste" sans enrichissement ultérieur, isolé. - Délire chronique d'évocation post-onirique, extensif. - Amnésie lacunaire de l'épisode, complication la plus fréquente. - Mort par épuisement de l'organisme ou par l'étiologie de l'épisode confusionnel.
36 Question à complément simple. S'il s'agit d'une lithiase urique, à quels chiffres faut-il maintenir le pH des urines ? A-4à5 B-5à6 C-6à7 D-7à8 E-8à9 Bonne(s) réponse(s) : D Le pH urinaire doit être compris entre 7,5 et 8.
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60 Question à compléments multiples. Le lendemain de son admission le malade fait une hémoptysie de 200 cc de sang rouge. Il est dyspnéïque. Vous prescrivez alors : A - Vous transfusez 3 culots globulaires en urgence B - Vous prescrivez un vaso constricteur type Diapid® (glypressine) C - Vous prescrivez de l'oxygène 2 I/min. D - Vous surélever les jambes E - Vous administrez de la thrombase en aérosol Bonne(s) réponse(s) : B C B et C : C'est le traitement symptomatique d'urgence de l'hémoptysie menaçante. A : Les hémoptysies graves ne meurent "jamais" de spoliation sanguine mais "toujours" d'asphyxie par inondation alvéolaire.
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569 Annales INTERNAT TRAUMATO-ORTHOPEDIE 20
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Madame L., 3e geste, 3e pare est enceinte de 38 semaines. Elle vous appelle car elle a une température à 39°C évoquant un syndrome grippal. L'examen clinique et obstétrical est normal. Quelle conduite immédiate proposezvous?
Quels sont les examens souhaitables à recommander dans les 15 premières semaines de grossesse?
A - Vous prescrivez du paracétamol et vous surveillez l'évolution B - Vous demandez un examen cytobactériologique des urines C - Vous demandez un MNI-test D - Vous demandez une hémoculture E - Vous prescrivez de l'ampicilline 3 g/jour Bonne(s) réponse(s) : B D E
A - Sérologie de la syphilis B - Sérologies de la toxoplasmose et de la rubéole en l'absence de preuve d'immunisation C - Sérologie VIH D - Glycosurie, albuminurie E - Groupage A, B, O, Rhésus Bonne(s) réponse(s) : A B D E A, B, D, E : Sont obligatoires. C : Est recommandé, mais nécessite l'accord de la patiente.
Toute fièvre en cours de grossesse doit faire rechercher une listériose. Mademoiselle L..., âgée de 23 ans, nullipare, vient vous consulter parce qu'elle présente un retard de règles de 8 semaines et croit être enceinte. Vous confirmez le diagnostic de grossesse. Votre patiente n'a pas eu d'examen de santé depuis deux ans.
Question à complément simple. Le nombre total d'enfants morts entre la 28e semaine de gestation et la 1re semaine de vie rapporté au nombre total de naissances permet d'établir le taux de : A - Mortinatalité B - Mortalité périnatale C - Mortalité néonatale D - Mortalité fÏto-infantile E - Mortalité infantile
Question à complément simple. Vous faites pratiquer tous les mois un sérodiagnostic de la toxoplasmose. L'examen pratiqué à la 20e semaine de grossesse est positif. Le taux des anticorps et la date de la dernière sérologie négative vous permettent de dater la contamination à la 13e semaine de grossesse. Quelle attitude thérapeutique adopter?
Bonne(s) réponse(s) : B Mortinatalité : Décès d'enfants mort-nés. Mortalité néonatale : Décès d'enfants nés vivants du 1er au 28e jour. Mortalité fÏto-infantile : Décès d'enfants mort-nés et d'enfants jusqu'à l'âge de 1 an. Mortalité infantile : Décès d'enfants jusqu'à l'âge de 1 an.
A - Abstension thérapeutique B - Spiramycine C - Pyriméthamine D - Sulfadoxine-pyriméthamine E - Sulfaméthoxazole-triméthoprime Bonne(s) réponse(s) : B Q.C.M. ambiguë : le traitement doit associer, en cas de contamination prouvée (amniocentèse et ponction de sang fÏtal), pyriméthamine et sulfadiazine. En l'absence d'atteinte fÏtale, seul le traitement par spiramycine (B) est justifié. Ce traitement sera mis en route d'emblée, en attendant les résultats des examens plus poussés.
Question à compléments multiples. Le lendemain, l'état clinique reste stable. Quel(s) traitement(s) preconisez-vous? A - Bêtabloquants per os B - Héparine IV C - Digitaliques per os D - Aspirine E - Diurétiques
Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A B D B : les modalités de l'héparinothérapie après thrombolyse IV font l'objet de controverses (héparinothérapie IV à doses hypocoagulantes pendant 72 heures puis héparinothérapie à doses isocoagulantes).
L'examen ORL, pratiqué 2 jours plus tard, montre une lésion ulcéro-bourgeonnante de l'amygdale gauche de 2 cm de diamètre, indurée et saignante au contact. Le reste de l'examen est normal. Compte tenu de ces éléments complémentaires, quel diagnostic vous paraît maintenant le plus probable? A - Amygdalite chronique cryptique B - Chancre syphilitique C - Angine de Vincent D - Cancer de l'amygdale E - Phlegmon périamygdalien Bonne(s) réponse(s) : D Le diagnostic déjà fortement suspecté chez cet homme d'âge mžr alcoolo-tabagique présentant une otalgie isolée, devient maintenant évident devant cette tumeur ulcéro-bourgeonnante et indurée de l'amygdale gauche. La classification TNM de cette tumeur est T1NOMx (T1 car tumeur de grand axe inférieur ou égal à 2 cm).
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570 Annales INTERNAT TRAUMATO-ORTHOPEDIE 21
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
L'ingestion de viande de porc insuffisamment cuite, infestée peut être à l'origine de certaine(s) parasitose(s) humaine(s), laquelle (lesquelles)?
Cette jeune fille joue au basket une fois par semaine, de 15 h à 16 h. Que doit-elle faire le jour du match?
A - Ascaridiose B - Téniasis C - Trichinose D - Bothriocéphalose E - Anguillulose Bonne(s) réponse(s) : B C A : Consommation par ingestion d'oeufs embryonnés avec les aliments ou l'eau de boisson. B : Viande de boeuf (T. saginata) ou de porc (T. solium) mal cuite. C : Viande de porc ou de sanglier mal cuite. D : Ingestion de poissons crus ou mal cuits. E : Pénétration transcutanée active. IR : 4/89
Question à compléments multiples. Quelles sont les attitudes thérapeutiques adéquates face à un patient maniaco-dépressif récidivant dont l'état maniaque actuel s'avère résistant à 300 mg de Largactil prescrits depuis 3 semaines?
A - Diminuer l'insuline rapide du midi sans modifier les glucides B - Prévoir une boisson sucrée ou une collation pendant l'exercice physique C - Augmenter les apports glucidiques du repas pris à 12h30 et précédant l'exercice physique D - Ne rien modifier par rapport aux autres jours E - Diminuer l'insuline à 19 h avant le dîner du soir, la veille de l'exercice physique Bonne(s) réponse(s) : B C A : Pas suffisant, il faut augmenter les glucides B et C : Il faut qu'elle augmente son apport en glucides, pendant et même après l'exercice physique, ci celui-ci a été particulièrement intense. Sinon, elle court le risque de faire une hypoglycémie. Cette supplémentation glucidique doit être apportée sous la forme de glucides lents. La boisson sucrée n'est à utiliser qu'en cas de malaise hypoglycémique. D, E : Non, évident
Question à complément simple. La constatation d'un oedème de la main avec cyanose fait rechercher :
A - Augmenter les doses B - Changer de neuroleptique C - Pratiquer des sismothérapies D - Ajouter un carbamate (Equanil®) E - Ajouter du lithium Bonne(s) réponse(s) : A B C E A : Les doses de Largactil peuvent être augmentées jusqu'à 600 mg/j. B : L'utilisation d'un autre neuroleptique ou d'une association de neuroleptiques (Haldol®-Majeptil) est classique. C : La sismothérapie est le traitement de choix des formes résistantes. E : Le lithium est prescrit d'un façon curative au cours des accès maniaques.
A - Un arrachement du confluent veineux sous-clavier jugulaire B - Une compression de la veine céphalique C - Une ischémie par rupture de l'artère axillaire D - Une compression de la veine axillaire E - Un réflexe vasoconstricteur distal Bonne(s) réponse(s) : D Connaissances anatomiques. La clinique évoque une compression veineuse. A et B n'appartiennent pas à la région axillaire Il faudra rechercher systématiquement une compression de la veine axillaire, une atteinte du plexus brachial.
Question à compléments multiples. Une tentative de rémission à la pompe pendant 3 semaines ayant échoué, quel(s) est (sont) le(s) schéma(s) d'insulinothérapie adapté(s) au cas présent? A - Une insuline biphasique matin et soir B - Une insuline lente C - Une insuline rapide matin, midi et soir associée le soir à une insuline retard D - Une insuline à la pompe intrapéritonéale E - Une insuline intermédiaire matin et soir associée à une insuline rapide Bonne(s) réponse(s) : A C E C : C'est souvent le meilleur schéma d'insulinothérapie chez un jeune diabétique insulinodépendant : plus de liberté dans l'horaire des repas, l'activité physique, mais, nécessité d'une autosurveillance draconienne A : Moins contraignant que C E : Equivalent à A avec possibilité de moduler le pourcentage d'insuline rapide
Une jeune fille de 25 ans, élève ingénieur, est hospitalisée à la suite de la découverte d'un diabète insulinodépendant.
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571 Annales INTERNAT TRAUMATO-ORTHOPEDIE 22
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Une primigeste est adressée en urgence, à 34 semaines d'aménorrhée pour état de choc avec hémorragie peu abondante, noirâtre. L'examen retrouve une T.A. élevée à 16/10 cm de Hg, une contracture utérine et une souffrance fÏtale aiguë. Le diagnostic le plus probable est :
Lors d'une plaie de la main, sur quel signe affirmez-vous que le nerf médian est lésé?
A - Une rupture du sinus marginal B - Un placenta praevia C - Un décollement prématuré du placenta normalement inséré D - Un décollement prématuré du placenta bas inséré E - Un infarctus myométrial
A - Difficulté d'abduction du pouce B - Perte de la pronation C - Insensibilité de la pulpe du médius D - Impossibilité de l'écartement des doigts E - Signe de FROMENT Bonne(s) réponse(s) : C A : Le nerf médian n'innerve que le court abducteur du pouce ; il subsiste donc le long abducteur.
Bonne(s) réponse(s) : C Ou hématome rétro-placentaire dont c'est le tableau typique.
Question à complément simple. Question à compléments multiples. Quel(s) est (sont) le(s) diagnostic(s) à évoquer devant une femme de 25 ans enceinte, à 12 semaines d'aménorrhée, chez qui la hauteur utérine est mesurée à 17 cm?
Un jeune garçon de 6 ans, sans antécédents pathologiques, est amené par ses parents pour une dysphonie datant de quelques semaines et qui s'est nettement aggravée après la rentrée scolaire. Il n'y a pas de dyspnée et l'examen fait par le médecin généraliste est normal. Vous évoquez avant tout : A - Stridor laryngé B - Dysphonie fonctionnelle C - Papillomatose laryngée D - Paralysie récurrentielle E - Angiome sous-glottique
A - Retard de croissance intra-utérin B - Grossesse môlaire C - Grossesse gémellaire D - Fibromyomatose utérine E - Erreur de terme
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : B C D E Sans commentaire.
L'absence de signe objectif, et la chronologie de l'anamnèse font évoquer un premier lieu une dysphonie fonctionnelle.
Question à complément simple.
Question à complément simple.
Quel est l'examen permettant de faire le diagnostic de certitude de diabète gestationnel après 24 semaines d'aménorrhée?
Un enfant de deux ans a une communication interventriculaire bien tolérée, est-il indiqué de le vacciner dès maintenant contre la rougeole?
A - Glycosurie B - Glycémie à jeun C - Glycémie post prandiale D - Hyperglycémie provoquée par voie orale E - Mesure de l'hémoglobine glycosylée AlC
A - Non, car il est trop âgé B - Pas maintenant, seulement après l'intervention réparatrice C - Oui, car la rougeole risquerait d'être grave chez lui D - Non, car le vaccin est contre indiqué en cas de malformation cardiaque E - Non, sauf s'il doit séjourner en crèche
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C B et C associés : Dépistage E : Surveillance sous traitement
Les cardiopathies et bronchopneumopathies chroniques peuvent être sévèrement aggravées par la rougeole.
Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Parmi les antibiotiques suivants, le(s)quel(s) peut-on utiliser pour traiter une infection staphylococcique de la main à Staphylococcus aureus producteur de pénicillinase?
Au cours des 6 semaines qui font suite à un accouchement, il est courant d'observer:
A - Méthicilline (Flabelline®) B - Oxacilline (Bristopen®) C - Pénicilline V (Ospen®) D - Ampicilline (Totapen®) E - Pristinamycine (Pyostacine®)
ABCDE-
Un état dépressif Le Çpost-partum blueÈ L'aggravation d'une schizophrénie préexistante Une décompensation névrotique L'absence de tout trouble psychique
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
C, D : Caractérisés par les pénicillinases des staphylocoques (présentes dans pratiquement 100% des cas). A B : Efficaces si staphylocoque méthi-S.
Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Quelle affection parmi les suivantes correspond à la chaîne épidémiologique? agent pathogène : bactérie, source d'infection : humaine, transmission : aérogène réceptivité de l'hôte modifiée dans certains cas par une vaccination non obligatoire en France.
Une semaine plus tard, il n'y a plus d'hémorragie mais l'hémogramme montre une anémie à 9 g d'hémoglobine pour 100 ml. Quelles attitudes vous paraissent logiques?
A - Typhoïde B - Tuberculose C - Méningite cérébrospinale D - Tétanos E - Rubéole
A - Dosage de la férritinémie B - Transfusion de trois concentrés de globules rouges C - Prescription d'érythropoïétine D - Vitamine B 12 E - Nouveau dosage de l'hémoglobine un mois plus tard Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Question à compléments multiples. Pendant les semaines qui suivent, Mr G. prend régulièrement son traitement par énalapril. Il n'est plus essoufflé. A la dose maximale d'énalapril recommandée, sa pression artérielle est de 152/98 mmHg. Parmi les options thérapeutiques suivantes, lesquelles peuvent être proposées : A - Essayer une dose plus élevée d'énalapril B - Associer à l'énalapril un régime désodé strict C - Associer à l'énalapril un traitement par un diurétique D - Interrompre l'énalapril et donner un antagoniste calcique E - Ne rien changer au traitement
Six semaines après son retour à domicile, elle consulte son médecin pour asthénie. A l'examen, celui-ci note un subictère. Quels examens sont utiles pour établir le diagnostic? A - Recherche d'agglutinines irrégulières B - Coombs direct C - Dosage des transaminases et de la bilirubine D - Sérologie de l'hépatite B E - Recherche des anticorps spécifiques de l'hépatite C Bonne(s) réponse(s) : C D E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C D A : Dose déjà maximum. B : Cruel et peu efficace. C, D : Essayer une autre monothérapie ou passer à une bithérapie antihypertensive.
Question à compléments multiples. Quelle(s) attitude(s) thérapeutique(s) est (sont) maintenant contre-indiquée(s)?
Question à complément simple. Le lendemain, une nouvelle douleur survient avec augmentation du sus-décalage de ST en V2, V3, V4 et V5 et qui persiste depuis 30 minutes. Quelle attitude adopterezvous immédiatement? A - Maintien du traitement antérieur en augmentant les doses B - Thrombolyse intraveineuse C - Contre pulsion par ballonnet intra aortique D - Injection de morphine S.C. E - Arrêt de tout traitement et transfert en chirurgie cardiovasculaire
A - Bêtabloquants pour ralentir le coeur B - Poursuite ou augmentation de la théophylline C - Corticoïdes D - Ventoline® aérosol E - Arrêt de la théophylline à libération prolongée Bonne(s) réponse(s) : A B Les bêta-bloquants sont bronchoconstricteurs. Du fait de l'intoxication actuelle, il faut interrompre le traitement par théophyllline.
Bonne(s) réponse(s) : B Menace d'extension de son IDM depuis plus de 30 mn malgré le traitement en cours.
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104 Question à complément simple.
103 Question à compléments multiples.
Devant une suspicion de spondylodiscite d'allure subaiguë, alors que les hémocultures sont négatives et que le début des symptômes cliniques semble remonter approximativement à quatre semaines, quelle est la démarche la plus utile à entreprendre ? A - Refaire des hémocultures B - Demander un examen scannographique C - Faire une ponction vertébrale en tenant compte de l'information fournie par les clichés tomographiques D - Mettre en oeuvre une antibiothérapie à large spectre sous couvert d'une immobilisation plâtrée E - Faire faire une scintigraphie osseuse
Le ou les signes d'une algodystrophie au niveau de la main est ou sont : A - Douleur B - Oedème C - Hypoesthésie dans le territoire du médian D - Abolition des pouls E - Hypersudation
Bonne(s) réponse(s) : C C - Ponction pour examen bactério, cyto, et anatomo pathologique. A - Les hémocultures peuvent rester négatives de façon répétée (spondylodiscite tuberculeuse). B - Le T D M a un grand intérêt d'autant plus que l'on peut faire des ponctions sous scanner. Il recherche l'abcès paravertébral, du psoas, précise l'étendue de l'atteinte discale et somatique. D - Il faut essayer d'adapter le traitement au germe isolé avant de traiter à l'aveugle. E - Pas le plus utile.
4 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B E L'algodystrophie est responsable de douleurs et de troubles vasomoteurs.
66 Question à compléments multiples. Vous êtes en présence d'une femme de 25 ans présentant depuis une semaine un tableau de polyarthrite aiguë des mains, coudes, épaules, genoux, cliniquement isolée. Notez 2 éléments de la thérapeutique que vous pouvez conseiller lors de cette consultation, dans l'attente des explorations complémentaires : A - D-penicillamine B - Antipaludéen de synthèse C - Indométacine D - Paracétamol E - Immobilisation plâtrée des genoux Bonne(s) réponse(s) : C D
Le ou les signes faisant craindre l'apparition d'une algodystrophie au niveau de la main est ou sont : A - Douleur B - Oedème C - Perte de sensibilité superficielle D - Abolition des pouls E - Hypersudation
Il ne peut être question d'utiliser un traitement de fond avant d'avoir réalisé le bilan de cette polyarthrite.
40 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A B E C D - N'ont pas de raison d'être. Il s'agit d'un trouble parasympathique.
66 Question à complément simple. Une femme de 35 ans présente depuis 4 mois une polyarthrite diffuse intéressant les épaules, les coudes, les genoux, les articulations interphalangiennes distales des mains et les articulations sacro-iliaques. Parmi les suivants, quel signe d'examen a un intérêt d'orientation étiologique ? A - Splénomégalie B - Staphylococcie cutanée C - Souffle cardiaque valvulaire D - Psoriasis cutané E - Angine Bonne(s) réponse(s) : D Un rhumatisme touchant les sacroiliaques et les interphalangiennes distales est un rhumatisme psoriasique.
Parmi les circonstances suivantes, laquelle n'entraîne pas de syndrome épaule-main (algodystrophie du membre supérieur) ? A - Chute sur l'épaule au cours d'une crise comitiale B - Prise régulière de Gardenal® C - Ablation neuro-chirurgicale d'un méningiome intracrânien D - Exploration thyroïdienne par iode radioactif E - Prise quotidienne de Mogadon® pour insomnies Bonne(s) réponse(s) : E Les trois premières propositions sont très classiques.
96 Question à compléments multiples. Au cours de l'examen d'une main traumatique on propose de tester les mobilités à partir des bases suivantes : laquelle ou lesquelles est (sont) exacte(s) ? A - Le fléchisseur profond des doigts fléchit P2 sur P1 B - Le fléchisseur superficiel du pouce fléchit P2 sur P1 C - Les interosseux et les lombricaux fléchissent les métacarpo-phalangiennes et étendent les interphalangiennes D - Un signe d'atteinte des interosseux est l'impossibilité d'écarter ou de rapprocher les doigts E - Les tendons extenseurs et fléchisseurs coulissent dans des gaines synoviales surtout développées sur la face dorsale des doigts Bonne(s) réponse(s) : C D Note : Le pouce a deux fléchisseurs : le long fléchisseur (qui fléchit P2/P1) et le court fléchisseur (innervé on le rappelle par le médian et le cubital, car il a 2 faisceaux).
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6 Question à complément simple.
57 Question à compléments multiples.
L'uricémie après 3 semaines de traitement par 300 mg d'allopurinol est passée de 600 micromol/l à 320 micromol/l. Cet effet hypouricémiant est dû : A - A une inhibition de la réabsorption tubulaire de l'acide urique B - A une diminution de l'absorption intestinale des purines C - A une diminution de la dégradation des purines D - A une inhibition de la xanthine oxydase et à une diminution de la purinosynthèse de novo E - A la transformation de l'acide urique en allantoïne par stimulation de l'uricase
Dès la reprise du travail, une récidive survient, avec diminution importante de la force musculaire des péroniers latéraux, persistante après une semaine de traitement médical bien conduit. Les explorations neuro-radiologiques confirment la présence d'une hernie discale exclue L4-L5. Que proposez-vous ? A - Reprise du traitement médical : repos au lit, infiltration B - La mise en place d'un lombostat plâtré C - Une chimionucléolyse D - Un traitement chirurgical de la hernie discale E - La mise en tractions continue
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : D
L'allopurinol est un inhibiteur de la xanthine-oxydase.
Il s'agit d'une sciatique parésiante qui résiste au traitement médical bien conduit avec l'image d'hernie discale à la radiculographie, l'intervention chirurgicale s'impose.
2 Question à compléments multiples. A l'examen clinique, vous maintenez votre suspicion en trouvant : A - Une tuméfaction du poignet droit B - Une douleur métaphysaire C - Une verticalisation de la ligne bistyloïdienne D - Une dépression sus-articulaire dorsale E - La possibilité de quelques mouvements discret Bonne(s) réponse(s) : A B D E B. E - La fracture est sus articulaire. La douleur élective est donc métaphysaire et le poignet relativement libre. C - Elle est horizontalisée par l'ascension de la styloïde radiale ( la radio confirme l'ascension de la ligne de Laugier). D - La dépression correspond à la zone de comminution postérieure, en amont du dos de fourchette.
24 Question à complément simple. Quelle déformation des doigts gêne la fonction de la main chez cette malade ? A - Coup de vent cubital B - Main de singe C - Doigts en boutonnière D - Doigts à ressorts E - Doigts en col de cygne Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaires. Une femme de 64 ans souffre depuis 12 ans d'une polyarthrite rhumatoïde. Le traitement a uniquement comporté des corticoïdes et des anti inflammatoires non stéroïdiens : elle reçoit actuellement 15 mg/j de Prednisone et 125 mg/j d'indométacine. Toute tentative de réduction des corticoïdes s'accompagne d' une reprise des douleurs. Les signes d'hypercorticisme sont évidents. Deux motifs à son hospitalisation : des difficultés de préhension de la main droite, des douleurs du membre inférieur gauche à la marche depuis deux mois. Examen clinique : 1 ) Les difficultés de préhension s'expliquent par une déformation fixée des 2 et 3èmes doigts : hyperextension des interphalangiennes proximales (IPP), flexion des métacarpophalangiennes (MCP) et des interphalangiennes distales. 2) La douleur gênant la marche, siège à la face antérieure de la cuisse et s'arrête au dessus du genou. Les genoux sont secs, froids et stables depuis une synoviorthèse à Lynrium 90 faite trois ans auparavant. L'abduction et les rotations de la cuisse réveillent la douleur. Les radiographies : arthrites radiocarpiennes et des métacarpophalangiennes bilatérales. Les IPP et IPD sont radiologiquement normales. - genoux : discrets pincements des interlignes. - bassin de face : les interlignes coxofémoraux sont normaux ; à gauche, la structure de la tête fémorale est hétérogène, le contour a perdu sa sphéricité. - rachis : tassement de D7 et L3.
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71 Question à complément simple. Un jeune homme de 20 ans après accident de motocyclette présente une fracture plurifragmentaire des deux os de la jambe ouverte de type 3, sans lésion vasculo-nerveuse des axes jambiers. Quel traitement local est justifié ? A - Ostéosynthèse par plaque vissée B - Parage et fixateur externe C - Plâtre fermé cruropédieux D - Enclouage verouillé E - Traction continue Bonne(s) réponse(s) : B Le traitement comporte trois volets : - Parage des parties molles - Stabilisation par fixateur externe - Prévention des complication (antibiothérapie, anticoagulants)
71 Question à compléments multiples. Une fracture ouverte de jambe : A - Exige un parage des parties molles B - Peut demander la mise en place d'un fixateur externe C - Consolide moins vite qu'une fracture équivalente fermée D - Nécessite souvent la pose immédiate d'une plaque vissée E - Peut conduire à l'amputation Bonne(s) réponse(s) : A B C E QCM discutable. Le temps de consolidation des fractures ouvertes de jambe dépend du mode de stabilisation. Par fixateur externe, il est d'environ 190 jours, alors qu'il est d'environ 90 jours dans les fractures simples fermées, traitées orthopédiquement ou par enclavage centro-médullaire. Dans les fractures complexes avec dévascularisation, on peut être conduit à amputer d'emblée, mais on sort alors du simple cadre de la fracture ouverte décrite ici.
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Question à compléments multiples. Quelles données cliniques sont évocatrices de l'ulcère de jambe d'origine veineuse? A - Localisation au tiers supérieur de jambe B - Douleur intense C - Antécédent de phlébite profonde D - Abolition des pouls distaux E - Association d'une dermite ocre Bonne(s) réponse(s) : C E A : Les ulcères de jambe siègent habituellement : - au niveau des régions malléolaires, surtout internes, plus rarement externes en cas d'origine veineuse - au niveau des régions sous-malléolaires (dos du pied, talons...) en cas d'origine artérielle B : Compatible avec une origine artérielle ou un ulcère capillaritique D : Evocateur d'un ulcère artériel
Question à complément simple. Parmi ces défauts de réduction d'une fracture de jambe, quel est celui qui chez l'enfant est inacceptable? A - Chevauchement B - Angulation frontale C - Angulation sagittale D - Défaut de rotation E - Translation Bonne(s) réponse(s) : D A, B, C et E : Le chevauchement, les angulations frontale et sagittale et la translation sont des déformations susceptibles de se corriger avec la croissance contrairement aux troubles de rotation qui demanderaient une intervention chirurgicale correctrice (ostéotomie)
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39 Question à complément simple.
11 Question à compléments multiples.
Un homme de 30 ans, portant un plâtre pour fracture de jambe datant de 4 jours ressent une violente douleur latérothoracique avec polypnée aiguë. La radiographie pulmonaire est normale. La scintigraphie montre une lacune du lobe supérieur droit. Gaz du sang normaux. Le plâtre enlevé, la phlébographie montre une thrombose poplitée. Quel traitement proposez-vous ? A - Ostéosynthèse de la fracture pour éviter la mobilisation du caillot B - Héparinothérapie préventive C - Fibrinolytique D - Héparinothérapie à dose anticoagulante E - Interruption partielle de la veine cave inférieur
Vers le cinquième jour après l'accident, devant une élévation thermique à 38,5 degrés avec douleur de la jambe, il fallait évoquer : A - Compression par plâtre trop serré B - Déplacement secondaire des fragments C - Infection du foyer de fracture D - Thrombo-phlébite E - Escarre sous plâtre Bonne(s) réponse(s) : C D L'infection du foyer de fracture est l'accident le plus redouté après une fracture ouverte mais il faut également toujours penser à la thrombophlébite.
Bonne(s) réponse(s) : D B - L'héparinothérapie préventive est dépassée : la phlébite est constituée. C et D - Ne se conçoivent que devant une embolie massive (C) et pour un thrombus cave démontre.
90 Question à compléments multiples.
94 Question à compléments groupés.
La fracture transversale de jambe ouverte stade II : A - Comporte un risque de nécrose cutanée secondaire B - Impose en urgence une antibiothérapie prophylactique C - Doit être en urgence parée D - Contre-indique une ostéosynthèse interne E - Peut être temporairement immobilisée par une broche transcacalnéenne
La compression d'un foyer de fracture de jambe : 1 - Est une technique de plâtrage 2 - Est le nom du pansement que l'on met autour du membre fracturé 3 - Est le nom donne à toutes les méthodes qui maintiennent la réduction des extrémités fracturées 4 - Est une précontrainte que l'on réalise avec des vis ou avec une plaque vissée ou avec un fixateur externe Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
Bonne(s) réponse(s) : D A savoir.
100 Question à compléments multiples. Le traitement des fractures ouvertes de jambe de stade III (Cauchoix-Duparc) doit comporter : A - Une prévention antitétanique B - Un parage soigneux des parties molles C - Une fermeture cutanée primitive D - Une ostéosynthèse des lésions osseuses par plaque vissée E - Une immobilisation des lésions osseuses par fixateur externe Bonne(s) réponse(s) : A B E Connaissance La fermeture cutanée primitive n'est possible que si elle se fait sans tension (stades 1,2).
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Question à compléments multiples. La fracture déplacée du condyle externe de l'humérus de l'enfant peut entrainer : A - Une déviation en valgus B - Une pseudarthrose C - Une paralysie cubitale D - Un cubitus varus E - Une ankylose temporaire de l'articulation du coude Bonne(s) réponse(s) : A B C E C : Oui, indirectement par la déviation en valgus. E : Il s'agit plus exactement d'une raideur.
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Question à compléments multiples. Pour traiter un eczéma apparu autour d'une plaie de jambe, il est indiqué de prescrire : A - Néomycine crème B - Pommade antiprurigineuse (type Phénergan®) C - Application d'eau micronisée D - Corticothérapie générale E - Application d'un dermocorticoïde Bonne(s) réponse(s) : E Traitement de l'eczéma provoqué par les détergeants et autres produits actifs sur une plaie. A et B sont deux topiques pouvant être cause d'eczéma de contact. En dehors des réponses proposées, il faut bien sžr supprimer, avant tout, la cause, c'est-à-dire le produit mis sur la plaie de la jambe.
Question à compléments multiples. Une femme de 50 ans est traitée par réduction et plâtre cruropédieux pour une fracture diaphysaire fermée des deux os de la jambe. Quelles sont au dixième jour après la réduction les deux complications les plus fréquentes? A - ƒpanchement intra-articulaire du genou B - Phlébite sous plâtre C - Suppuration du foyer de fracture D - Ouverture secondaire du foyer de fracture E - Déplacement secondaire sous plâtre Bonne(s) réponse(s) : B E En moyenne, 3 à 4 semaines d'immobilisation puis rééducation (jamais plus). B : Le traitement préventif par HBPM à dose iso-coagulante est indispensable E : Dž à la fonte musculaire de l'oedème sous plâtre
Question à compléments multiples. Par rapport au traitement orthopédique, le traitement chirurgical d'une fracture de jambe à foyer ouvert a les inconvénients suivants : A - Nécessité de contrôles radiographiques répétés B - Consolidation retardée C - Risque de raideur D - Risque infectieux E - Risque thrombo-embolique Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. En présence d'un ulcère de jambe, vous retenez en faveur d'une étiologie artérielle? A - Surinfection B - Douleurs de décubitus. C - Localisation au dos du pied D - Aspect nécrotique de l'ulcère E - Présence d'une dermite ocre. Bonne(s) réponse(s) : B C D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Les ulcères de jambes d'origine veineuse pure : A - Peuvent être associés à une dermite ocre B - Sont souvent de siège sus-malléolaire externe C - Sont indolores en l'absence de surinfection D - Peuvent mettre à nu les tendons E - Peuvent apparaître en dehors de toute thrombose veineuse profonde Bonne(s) réponse(s) : A D E B : Plutôt interne. C : Peu douloureux spontanément mais très douloureux au toucher.
Question à complément simple. Chez un blessé atteint de fracture de jambe et porteur d'un plâtre cruro-pédieux placé sous anesthésie, la constatation au réveil d'une douleur de la face externe et antéro-externe de la jambe et de troubles paresthésiques des orteils doit évoquer : A - Un syndrome ischémique aigu B - Un syndrome de loge antérieure de jambe C - Une compression du sciatique poplité externe au niveau du col du péroné D - Une thrombose veineuse profonde E - Un déplacement du foyer de fracture Bonne(s) réponse(s) : C Le seul diagnostic à discuter est B mais l'installation des troubles dès le réveil fait opter pour C.
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581 Annales INTERNAT TRAUMATO-ORTHOPEDIE 32
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2 Question à complément simple.
89 Question à compléments multiples.
Chez un sujet obèse et âgé, le traitement de la fracture engrenée en abduction du col chirurgical de l'humérus est traitée de préférence par : A - La mise en place d'une prothèse B - Un simple plâtre thoraco-brachial C - Une ostéosynthèse D - Un bandage avec mobilisation assistée progressive E - La résection simple de l'extrémité supérieure de l'humérus
La fracture de l'humérus peut se compliquer de paralysie radiale qui : A - Entraîne une perte de l'extension des doigts B - Entraîne une perte de l'extension du poignet C - Entraîne une perte de l'adduction du pouce D - Traduit une section du nerf radial E - Nécessite un complément électromyographique initial
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) :
QUESTION ANNULEE
Traitement par Dujarrier 3 semaines et rééducation dès la 3è semaine car le risque de raideur de l'épaule est important.
113 Question à compléments multiples. La fracture du col chirurgical de l'humérus : A - Entraîne peu de nécrose de la tête humérale B - Sa pseudarthrose est fréquente C - Sa principale complication est une paralysie du nerf radial D - Son mécanisme lésionnel fait qu'elle est très souvent une fracture ouverte E - Une ostéosynthèse est indiquée chez le vieillard Bonne(s) réponse(s) : A La fracture du col chirurgical est plus fréquente chez la femme âgée ostéoporotique. Elle survient après un traumatisme indirect modéré. Elle est engrenée et consolide avec un simple traitement orthopédique. La principale complication est fonctionnelle : la raideur. L'examen aux urgences doit rechercher une lésion du circonflexe. La nécrose de la tête humérale se rencontre au cours des fractures du col anatomique.
104 Question à compléments multiples. La fracture du col chirurgical de l'humérus : A - Entraîne peu de nécrose de la tête humérale B - Se complique souvent de pseudarthrose C - Se complique fréquemment d'une paralysie du nerf radial D - Est très souvent une fracture ouverte E - Nécessite un simple coude au corps chez le vieillard Bonne(s) réponse(s) : E Le traitement consiste en une immobilisation par Dujarrier pendant 15 jours à 3 semaines, suivi d'une rééducation active. La nécrose est fréquente au cours des fractures du col anatomique. Le nerf le plus souvent lésé est le circonflexe.
38 Question à compléments multiples. La fracture du col chirurgical de l'humérus : A - N'entraîne pas de nécrose de la tête humérale B - Evolue souvent vers la pseudarthrose C - A pour principale complication, une paralysie du nerf radial D - Est très souvent une fracture ouverte E - Est traitée chez le vieillard, par une osthéosynthèse Bonne(s) réponse(s) : A Consolide en règle générale très bien en 3 semaines avec un traitement orthopédique. Un petit déplacement est souvent très bien toléré, et on le néglige d'autant plus volontiers que le patient est âgé. C - Concerne bien sûr les fractures diaphysaires et non du col.
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Annales INTERNAT TRAUMATO-ORTHOPEDIE 33
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91 Question à compléments multiples.
55 Question à compléments multiples.
Les signes de début d'une arthrite aiguë staphylococcique du genou chez l'adulte comportent : A - Douleur vive B - Fièvre C - Tuméfaction articulaire D - Elévation du taux de la protéine C réactive E - Pincement de l'interligne à la radiographie
Les lésions traumatiques du ligament croise antérieur du genou : A - Peuvent être isolées B - Peuvent être partielles et ne porter que sur un faisceau du ligament C - Entraînent toujours une instabilité du genou D - Peuvent être associées à une lésion du ménisque interne E - Peuvent porter sur l'insertion condylienne du ligament
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E : N'est pas un signe de début
Bonne(s) réponse(s) : A B D E
24 Question à compléments multiples. L'existence d'une hydarthrose chronique du genou est compatible avec un ou plusieurs diagnostics suivants : A - Nécrose du condyle interne B - Lésion méniscale C - Patella bipartita D - Chondromalacie rotulienne E - Ostéochondrite disséquante
Les lésions isolées du LCA se rencontrent dans les mouvements forcés de rotation interne pure du genou et de shoot dans le vide. Une lésion isolée du LCA peut pendant très longtemps être bien tolérée et n'être à l'origine d'une instabilité que si, secondairement, apparaissent des lésions du compartiment interne. La rupture peut siéger à trois niveaux : - insertion tibiale avec arrachement osseux (de pronostic favorable si réinséré en urgence) - insertion condylienne - en plein corps ligamentaire (la réparation en urgence se solde souvent par un échec. Cette lésion est donc de mauvais pronostic et nécessite souvent une plastie ligamentaire secondaire).
Bonne(s) réponse(s) : A B D E C - Anomalie constitutionnelle asymptomatique (par noyau d'ossification rotulien supplémentaire ne se soudant pas au noyau principal). Les autres causes d'hydarthrose du genou sont : l'arthrose, l'algodystrophie, les lésions ligamentaires ou ostéochondrales.
29 Question à complément simple. Pour protéger contre le tétanos un enfant de 7 ans vacciné correctement et qui s'est écorché le genou dans une cour de ferme, quelle prophylaxie spécifique doit être adoptée ? A - Vaccination seule B - Séroprophylaxie seule C - Chimioprophylaxie seule D - Séroprophylaxie et vaccination E - Autre conduite à tenir Bonne(s) réponse(s) : E E - Désinfection de la plaie.
84 Question à compléments multiples. L'étude cytologique d'un liquide articulaire de genou donne les résultats suivants - éléments par mm3 : 450 polynucléaires : 5 % - cellules mononuclées : 95 %. Parmi les affections suivantes quelle(s) est (sont) celle(s) qui sont compatibles avec ce résultat ? A - Hydarthrose par lésion du ménisque interne B - Arthrose fémoropatéllaire C - Algoneurodystrophie D - Crise aiguë de chondrocalcinose E - Polyarthrite rhumatoïde Bonne(s) réponse(s) : A B C A, B et C : Il s'agit d'un liquide mécanique.
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Question à compléments multiples. La fracture engrenée, peu déplacée du col chirurgical de l'humérus chez le vieillard : A - Est la conséquence habituelle d'une chute sur le moignon de l'épaule B - Nécessite un traitement chirurgical par ostéosynthèse C - Nécessite une immobilisation de 45 jours D - Est habituellement de bon pronostic E - Est souvent compliquée de nécrose de la tête humérale Bonne(s) réponse(s) : D A : Le plus souvent par choc indirect B : Pas pour les fractures peu déplacées et engrenées (stables) E : Se voit surtout dans les fractures du col anatomique
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Immédiatement après une entorse du genou, lequel de ces signes témoigne le mieux de la gravité de l'entorse :
Cliniquement, à la suite du traumatisme, vous retenez en faveur d'une entorse grave du genou :
A - Douleur B - Impotence fonctionnelle C - Existence d'un tiroir D - Choc rotulien E - Ecchymose locale
A - La notion de craquement à l'interrogatoire B - La sensation franche d'instabilité à la reprise de la marche C - Une douleur vive D - La présence d'un épanchement intra-articulaire E - Une impotence fonctionnelle
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B E
L'impotence fonctionnelle immédiate associée à une sensation d'instabilité franche sont des signes de gravité.
On retient en pratique comme critères de gravité d'une entorse grave du genou : - notion de traumatisme appuyé - craquement articulaire perçu par le blessé - sensation franche d'instabilité à la reprise de la marche - impression initiale de baillement - impossibilité absolue de reprendre les activités sportives La douleur vive n'est pas en tant que telle un critère de gravité. Elle est présente dans les entorses bénignes même si elle disparaît rapidement avec une possibilité de reprendre les activités en cours. L'épanchement articulaire peut manquer dans les entorses graves signant la présence d'une brèche capsulaire importante permettant l'évacuation de l'hémarthrose dans les tissus cellulaires sous-cutanés.
Question à compléments multiples. Lors du traumatisme, le diagnostic de rupture du ligament croisé antérieur peut être envisagé sur un mouvement forcé du genou en : A - Valgus - flexion - rotation externe B - Varus - flexion - rotation interne C - Rotation interne isolée D - Hyperflexion E - Hyperextension
Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B C E Le ligament croisé antérieur est l'élément ligamentaire le plus fragile du genou. Il peut se rompre dans des positions très variables sur un simple mouvement forcé, car il participe au contrôle de toutes les positions de stabilité. - valgus, flexion, rotation externe : ce mouvement entraîne successivement des lésions des formations externes (LLI, PAPI), du ménisque interne et du LCA (Triade de O'Donoghu), puis si le traumatisme se poursuit, risque d'atteinte du ménisque externe, LCP réalisant alors la Pentade de Trillat - varus, flexion, rotation interne : est à l'origine d'une rupture de la bandelette de Maissiat, LLE, ménisque externe et du LCA - hyperextension (shoot dans le vide), rotation isolée à l'origine de ruptures isolées du LCA
Monsieur B., âgé de 23 ans, a présenté il y a une semaine environ, lors d'un match de football, une douleur du genou droit. Le genou a gonflé. Un diagnostic d'entorse a alors été évoqué et un strapping mis en place. Monsieur B. ayant toujours des douleurs vient consulter pour bilan.
L'examen clinique du genou peut retrouver lors d'une rupture isolée du ligament croisé antéro-interne : A - Un test de Lachman positif (tiroir antérieur à 10° de flexion) B - Un tiroir antérieur de grande importance à 90° de flexion C - Un tiroir postérieur D - Un ressaut rotatoire antérieur en valgus - flexion rotation interne E - Une laxité latérale interne Bonne(s) réponse(s) : A D Le tiroir antérieur direct à 90° est de grande importance lorsque les formations latérales sont également lésées.
Question à compléments multiples. La présence d'une hémarthrose du genou peut faire évoquer comme diagnostic(s) : A - Rupture du ligament croisé antérieur B - Rupture de plica C - Désinsertion ménisco-synoviale D - Fracture ostéochondrale E - Rupture du ligament croisé postérieur Bonne(s) réponse(s) : A C D E Les plica sont des structures avasculaires.
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Question à compléments multiples. Dans l'entorse grave du genou, quels sont les éléments anatomiques les plus fréquemment atteints, avec le ligament croisé antérieur? A - Ménisque interne B - Ménisque externe C - Ligament latéral interne D - Ligament croisé postérieur E - Ligament latéral externe Bonne(s) réponse(s) : A C Le mécanisme le plus fréquent se faisant en rotation externe + valgus.
Question à complément simple. Ce traitement a été bien toléré et a amélioré grandement la malade. Toutes les arthrites se sont éteintes sauf deux : une radio carpienne et un genou. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, laquelle devez-vous adopter d'abord? A - Kinésithérapie B - Repos presque complet pendant une semaine C - Renforcement du traitement A.I.N.S D - Injection intra-articulaire de corticoïdes dans les 2 arthrites résiduelles E - Synoviorthèse isotopique de ces 2 articulations Bonne(s) réponse(s) : D Traitement des arthrites résistantes au traitement de fond.
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Question à complément simple. Un genou est suspect d'arthrite tuberculeuse. Quel est, de ces 5 examens complémentaires, celui qui peut donner le plus rapidement le diagnostic? A - Radiographie B - Culture du liquide articulaire C - Biopsie synoviale D - Intradermo-réaction à la tuberculine E - Scintigraphie Bonne(s) réponse(s) : C La découverte de granulomes tuberculoïdes fournit le diagnostic immédiatement, contrairement aux cultures de liquide synovial nécessitant 6 à 8 semaines en moyenne.
Question à compléments multiples. Un gros genou fébrile d'apparition brutale chez un homme de 70 ans doit faire rechercher une : A - Gonarthrose B - Chondrocalcinose C - Arthrite septique D - Algodystrophie E - Goutte Bonne(s) réponse(s) : B C E Devant un épanchement articulaire avec fièvre, les causes mécaniques (AD) sont a priori exclues.
Question à compléments multiples. Après un traumatisme du genou, on constate par ponction l'existence d'une hémarthrose de sang pur ; il peut s'agir : A - D'une rupture du ligament croisé antérieur B - D'une luxation de rotule C - D'une fracture articulaire D - D'une anse de seau méniscale E - D'une ostéochondrite disséquante stade III Bonne(s) réponse(s) : A B C : Donne une lipohémarthrose. D et E : Donnent des hydarthroses.
Question à complément simple. Parmi les examens biologiques suivants, un seul paraît nécessaire pour rechercher l'étiologie de cette atteinte du genou : A - Dosage des ASAT et des ALAT B - Sérodiagnostic de la brucellose C - Recherche de l'antigène HB D - Prélèvement urétral E - Dosage de l'uricémie Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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4 Question à complément simple.
100 Question à compléments multiples.
La nécrose de la tête fémorale après fracture cervicale vraie du fémur est dûe à : A - Une mauvaise immobilisation B - Une pseudarthrose C - Une ischémie par lésion des branches de l'artère circonflexe postérieure D - Une infection postopératoire E - Le siège intra ou extracapsulaire du trait de fracture
Indiquez parmi les propositions suivantes la ou les affirmations exactes concernant les fractures transcervicales du fémur engrenées en coxa valga, chez un adulte jeune : A - Elles ne comportent pas de risque de nécrose ischémique B - Elles peuvent se déplacer dans les premières semaines après l'accident C - Elles sont traitées habituellement par arthroplastie D - Elles sont traitées habituellement par suspension simple E - Elles comportent un risque important de pseudarthrose
Bonne(s) réponse(s) : C Rappel anatomique : La tête fémorale est vascularisée par trois pédicules qui se comportent comme des artères terminales. (l) - Le plus important est le pédicule supérieur. Sa section entraîne l'ischémie de (presque) toute la tête. Or il est très vulnérable entre ses 2 extrémités fixes : capsule et pénétration céphalique. Il est déchiré à tout coup par un déplacement en hauteur du fragment distal - (Garden 4) (Judet, Trueta). Ce pédicule est la terminaison de la circonflexe postérieure qui longe le bord postéro supérieur du col et pénètre la tête près de son bord cartilagineux. (2) - Le pédicule INF., issu également de la circonflexe postérieure, chemine dans les frenulae capsulae, et vascularise le 1/4 inféro externe de la tête, le Merckel et le bord inférieur du col. Il est plus souvent épargné. (3) - L'interne - ligament rond, pas toujours fonctionnel.
118 Question à compléments multiples. Un ou plusieurs des éléments cliniques suivants est(sont) compatible(s) avec le diagnostic de fracture du col du fémur : A - Attitude vicieuse en rotation externe du membre inférieur B - Attitude vicieuse en adduction du membre inférieur C - Raccourcissement du membre inférieur D - Aucune déformation apparente E - Attitude en flexion de la cuisse sur le bassin Bonne(s) réponse(s) : A B C D La déformation visible dépend du déplacement du foyer de fracture (affirmé par les clichés de face et profil). - nulle dans les fractures ,non, ou peu déplacées (Garden 1,2) (D). - le plus souvent visible (A,B,C) dans les fractures déplacées (A,B,C) en varus et bascule postérieure (Garden 3,4).
120 Question à compléments multiples. Chez un polytraumatisé porteur d'une fracture récente de la diaphyse du fémur immobilisée en traction., ne embolie graisseuse doit être suspectée devant : A- Elévation de la pCO2 B - Baisse de la paO2 C - Présence de pétéchies sur la paroi thoracique D - Pétéchies au fond d'oeil E - Image d'amputation à la scintigraphie pulmonaire en ventilation perfusion Bonne(s) réponse(s) : B C D B et C - (Signes cutanés et du FO) sont très évocateurs d'embolie graisseuse, surtout associés à un tableau de détresse cardio respiratoire et à une atteinte neurologique (désorientation,coma). A - Faux - dans l'embolie la p C.0.2 baisse. E - La scinti est le plus souvent normale : atteinte distale, des petits vaisseaux (oblitération par micro-embols graisseux ou vascularite due à la libération d'acides gras libres).
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Bonne(s) réponse(s) : B D A - La nécrose est rare (Garden 1 ) mais toujours possible. Les fractures en coxa valga sont stables, engrenées, la vascularisation de la tête (de type terminal) est le plus souvent respectée. C - S'adresse aux fractures Garden 3, 4 chez le sujet âgé ou après échec d'ostéosynthèse. D - Elles peuvent être traitées orthopédiquement (traction suspension) ou beaucoup plus volontiers par ostéosynthèse (clou plaque, lame plaque,...) permettant la verticalisation précoce. E - Faux (se voit pour les Garden 4 surtout).
15 Question à complément simple. Les fractures pertrochantériennes de l'extrémité supérieure du fémur sont plus exposées dans leur évolution que les fractures transcervicales au risque de : A - Pseudarthrose B - Cal vicieux C - Complications de décubitus D - Nécrose ischémique de la tête fémorale E - Raideur secondaire de la hanche Bonne(s) réponse(s) : B A - Est exceptionnelle (région métaphysaire bien vascularisée). C et D : Non spécifiques de l'une ou l'autre. D - Menace surtout les cervicales Garden 3 et 4. B - Le cal vicieux se fait volontiers en raccourcissement et rotation externe.
107 Question à compléments groupés. Une fracture transcervicale du fémur du type Garden IV chez un octogénaire : 1 - Consolide généralement en trois mois 2 - Crée souvent un cal vicieux 3 - Nécessite rarement la pose d'une prothèse 4 - Entraîne un pourcentage de décès d'au moins 20% dans les trois mois Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : D 4 - Connaissance. Le risque majeur est la nécrose de la tête par lésion du pédicule vasculaire dans ces formes à grand déplacement postérieur. Le traitement est chirurgical ; orthoplastie le plus souvent (âge, risque de nécrose après ostéosynthèse, complications de décubitus). D'où 1 - 3 faux.
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32 Question à compléments multiples.
100 Question à compléments multiples.
La nécrose de la tête fémorale après fracture cervicale vraie du fémur : A - Peut être due à un retard thérapeutique B - Se révèle toujours avant le 6ème mois C - Est due à une lésion des branches de l'artère circonflexe postérieure D - Ne se voit qu'après une fracture à grand déplacement E - Est lié au siège intracapsulaire de la fracture
La nécrose de la tête fémorale après fracture du col du fémur : A - Est favorisée par un trait de fracture intra-articulaire B - Est favorisée par une fracture à grand déplacement C - Peut être diagnostiquée par scintigraphie D - Se manifeste habituellement trois mois après la fracture E - Doit être traitée le plus souvent par prothèse si elle est mal tolérée
Bonne(s) réponse(s) : A C
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
La nécrose de la tête fémorale peut survenir précocement ou tardivement et elle n'épargne aucune variété de la fracture. Elle est liée à une lésion du pédicule artériel principal supéro-externe, branche de l'artère circonflexe postérieure.
A - Car la capsule joue le rôle de porte-vaisseaux. B - Par déchirure des vaisseaux (terminaux). D - Non. La date de révélation est habituellement beaucoup tardive (plusieurs mois ou années).
64 Question à complément simple.
109 Question à compléments multiples.
Chez un polytraumatisé de 25 ans présentant depuis 3 jours une fracture du 1/3 supérieur du fémur immobilisée en traction, l'apparition brutale d'une agitation, d'une polypnée, de pétéchies conjonctivales et d'une baisse de la PaO2, doit faire évoquer en premier chef : A - Une embolie pulmonaire B - Une hémorragie interne C - Un hématome intracrânien D - Un pneumothorax traumatique méconnu E - Une embolie graisseuse
La pseudarthrose après fracture du col du fémur : A - Est favorisée par un trait de fracture vertical B - Elle est plus fréquente après fracture de la région trochantérienne qu'après fracture cervicale vraie C - Peut s'accompagner de nécrose de la tête fémorale D - Est habituellement traitée par mise en place d'une prothèse E - Est de plus en plus fréquente avec le vieillissement
Bonne(s) réponse(s) : E L'apparition retardée (48 heures) d'une détresse respiratoire dans les suites d'une fracture d'un os aussi important que le fémur peut faire évoquer une embolie pulmonaire mais la présence de pétéchies conjonctivales est caractéristique d'une embolie graisseuse (avec des images de "tempête de neige" à la radiographie de thorax).
Bonne(s) réponse(s) : A C E A - Les composantes de force en cisaillement prédomineront sur les celles de compression au niveau du trait de fracture. B - C'est le contraire, les pseudarthroses de fractures pertrochantériennes sont très rares. D - Après échec des autres méthodes conservatrices.
98 Question à compléments multiples.
103 Question à compléments multiples. Une fracture transcervicale du fémur, chez le vieillard, type Garden IV : A - Consolide habituellement en trois mois B - Crée souvent un cal vicieux C - Nécessite en général une arthroplastie céphalique D - Entraîne un pourcentage moyen de décès de 20% E - Est très thrombogène
Une fracture du fémur per-trochantérienne : A - Entraîne 50 % de nécroses et pseudarthroses de la tête fémorale B - Se diagnostique cliniquement par la position du membre inférieur en abduction et rotation interne C - Se traite par une ostéosynthèse D - Entraîne à 3 mois, chez le vieillard, une mortalité moyenne de 15 à 20 % E - Est opérée en extrême urgence
Bonne(s) réponse(s) : C D E
Bonne(s) réponse(s) : C D
Dans le Garden IV, il n'y a pas d'engrènement et les risques de nécrose sont majeurs, ainsi que les risques thrombo-emboliques. Chez le sujet âgé, l'indication d'une prothèse est impérative.
Cette fracture consolide en règle général très bien après ostéosynthèse et ne s'accompagne pas de nécrose de la tête fémorale. Le type d'ostéosynthèse le plus moderne est actuellement la vis-plaque à compression du type THS ou DHS, qui permet une remise en charge immédiate et a beaucoup diminué les complications de décubitus. D - Est litigieux. Autrefois, la mortalité était importante, mais avec la variété des ostéosynthèses pratiquées, donc de la date de remise en charge, les séries ne sont pas homogènes.
100 Question à compléments multiples. Un cal vicieux du fémur peut se définir par le ou les éléments suivants : A - Une consolidation avec hypertrophie du cal B - Une absence de consolidation C - Une consolidation avec raccourcissement de 3 cms D - Une consolidation avec angulation en valgus de 10° E - Une consolidation avec un décalage de 30° en rotation interne Bonne(s) réponse(s) : C D E Le cal vicieux est la consolidation d'un foyer de fracture en position vicieuse. Le cal hypertrophique n'estTome gênant"que un os superficiel. RESIDANAT EN POCHE I "-sur QCM - QCS
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102 Question à compléments multiples.
52 Question à complément simple.
Une fracture transcervicale du fémur chez le vieillard type Garden IV : A - Consolide généralement en trois mois B - Crée souvent des cals vicieux C - Nécessite rarement une arthroplastie céphalique D - Entraîne en moyenne un pourcentage de décès de 20 % dans les trois mois E - Est très thrombogène
Le traitement le plus adapté à une fracture transcervicale du fémur du vieillard est-il ? A - La suspension traction par broche transosseuse B - La synthèse de la fracture C - La mise en place d'une prothèse cervico-céphalique D - La mise en place d'une cupule sur la tête du fémur E - L'enclouage élastique de Ender à travers la diaphyse fémorale
Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : C
(Ou réponse D). Question mal posée. "Souvent" est source de litige : - Ces fractures déplacées, à grand risque de nécrose, sont le plus souvent traitées par Arthroplastie. - Si une réduction avec ostéosynthèse est effectivement tentée (difficile) et si la consolidation est obtenue, les cals vicieux sont effectivement fréquents...
C - Permet la mise au fauteuil et la reprise de l'appui précoces (3e jour). D'autre part, le risque de nécrose céphalique élevé du fait du déplacement (garden 3 avec comminution postérieure, très préjudiciable à la vascularisation) incite à pratiquer d'emblée l'arthoplastie (prothèse de Moore ou analogue : C) A - Traitement orthopédique de certaines fractures du cotyle. B. E - Traitement de choix conservateur chez le sujet jeune, dans les fractures peu déplacées. D - Traitement des nécroses céphaliques chez le sujet jeune. Suppose un col intact.
49 Question à compléments multiples. L'attitude du membre inférieur atteint de fracture transcervicale du fémur type 3 de Garden comporte : A - Rotation interne B - Allongement C - Raccourcissement D - Rotation externe E - Adduction Bonne(s) réponse(s) : C D E Rappel : la fracture garden 3 comporte un déplacement en varus et bascule postérieure de la tête. Le garden 3 est la plus fréquente des fractures cervicales (45%).
50 Question à complément simple. Le risque le plus important encouru par un vieillard atteint de fracture du fémur est-il ? A - La raideur de la hanche B - La pseudarthrose C - Un risque vital D - La nécrose post traumatique de la tête fémorale E - Le cal vicieux
57 Question à compléments multiples. Après une sédation d'une dizaine de jours, des douleurs pulsatiles nocturnes apparaissent localisées au fémur. Quelle(s) complication(s) recherchez-vous ? A - Une arthrite du genou B - Une phlébite C - Un abcès sous périosté D - Un décollement épiphysaire E - Une escarre sous plâtre Bonne(s) réponse(s) : C En faveur de la collection : les douleurs pulsatiles nocturnes. L'abcès est la première complication des ostéomyélites : persistance ou reprise des signes locaux (douleur) et généraux (fièvre). La radio confirme le décollement périosté avec une image liquidienne d'abcès. La métaphyse est irrégulièrement décalcifiée. Le traitement est chirurgical (inefficacité du traitement antibiotique sur un abcès collecté).
Bonne(s) réponse(s) : C La mortalité globale par fracture du col fémoral dans cette tranche d'âge est de 15%, en raison des tares associées. D'où la règle de mise au fauteuil la plus précoce possible (2e jour) après traitement chirurgical.
51 Question à complément simple. Le traitement de principe d'une fracture du col du fémur à 85 ans chez une femme encore valide est-il ? A - L'abstention thérapeutique B - L'immobilisation simple au lit C - Le traitement chirurgical D - L'immobilisation en plâtre pelvipédieux E - La rééducation précoce avec kinésithérapie Bonne(s) réponse(s) : C Pour les raisons évoquées à la question précédente (complications de décubitus).
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590 Annales INTERNAT TRAUMATO-ORTHOPEDIE 41
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82 Question à complément simple.
75 Question à complément simple.
Une seule de ces propositions est fausse. L'arthrite aiguë du genou d'origine goutteuse : A - Est une localisation éventuelle de cette affection B - S'observe plus souvent dans la goutte féminine que masculine C - Peut représenter la localisation inaugurale de l'affection D - Peut être soulagée par la prise de colchicine E - S'observe dans la goutte primitive et dans la goutte secondaire
Parmi ces lésions ligamentaires du genou, quelle est celle qui se caractérise par un Jerk-test positif (signe du ressaut antéro-externe) ? A - Lésion du ligament latéral interne B - Lésion du ligament croise postéro-interne C - Lésion du ligament croise antéro-externe D - Lésion du ligament latéral externe E - Lésion du point d'angle postéro-interne Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B La goutte est une maladie le plus souvent masculine et ne touche jamais la femme en période d'activité génitale. L'atteinte du genou peut être inaugurale.
21 Question à compléments multiples. Chez un malade présentant une douleur du pli de l'aine irradiant a la face antérieur de la cuisse et ne dépassant pas le genou, on peut évoquer : A - Une cruralgie B - Une coxarthrose C - Une lésion osseuse d'une branche pubienne D - Une méralgie paresthésique E - Une tendinite du moyen fessier Bonne(s) réponse(s) : A B C A - la radiculalgie L4 irradie à la face antérieure de la cuisse, du genou, et le long de la crête tibiale. Lorsque celle-ci est tronquée elle peut s'arrêter au dessus du genou. B - La douleur de l'aine irradiant au genou est évocatrice. La douleur de coxarthrose peut être trochantérienne, postérieure, et plus rarement interne. Elle peut se résumer à une gonalgie isolée qui doit toujours faire pratiquer un examen des hanches et une radio du bassin. C - Les fractures du cadre obturateur peuvent avoir la même topographie douloureuse que les douleurs de coxarthrose. D - La Méralgie est une paresthésie du fémoro cutané et intéresse une zone "en raquette" sur la face antéro externe de cuisse. E - La tendinite du moyen fessier siège en regard du grand trochanter sur la face externe de cuisse et est accentuée par l'abduction de hanche.
47 Question à compléments multiples. L'étude cytologique d'un liquide articulaire de genou donne les résultats suivants : - éléments par mm3 450 - cellules mononuclées 95 % - polynucléaires 5 % Parmi les affections suivantes quelle(s) est(sont) celle(s) qui est(sont) compatibles avec ce résultat ? A - Hydarthrose par lésion du ménisque interne B - Arthrose fémoropatellaire C - Algoneurodystrophie D - Accès de goutte aiguë E - Lupus érythémateux aigu Bonne(s) réponse(s) : A B C Il s'agit en effet d'un liquide de formule mécanique que l'on peut rencontrer au cours de l'algoneurodystrophie.
73 Question à complément simple.
74 Question à complément simple. Un homme de 50 ans a une douleur isolée mécanique du genou droit. L'examen clinique du genou est normal de même que les radiographies du genou. Quel est l'examen complémentaire à proposer en premier ? A - Scintigraphie osseuse B - Biopsie synoviale C - Radiographie du bassin D - Tomodensitométrie du genou E - Ponction articulaire Bonne(s) réponse(s) : C La gonalgie isolée doit faire rechercher une pathologie de la hanche (coxarthrose,...). Il s'agit d'une douleur projetée, parfois révélatrice..Y penser +++.
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A et D - Donnent des instabilités dans le plan frontal, genou en légère flexion (15°). E - Donne une laxité également dans le plan frontal mais genou en extension complète. B et C - Donnent des laxités dans le plan frontal, et des instabilités rotatoires. Le Jerk test, ou ressaut rotatoire (subluxation du plateau tibial externe perçue à la manoeuvre de flexion, rotation interne et abduction de la jambe) traduit avec le signe de Lachman, une lésion du croisé antéro externe.
Un homme de 50 ans a présente à la suite d'une longue marche une arthrite d'un genou, qui a début brutalement, et a guéri en trois jours sans séquelles grâce à la seule prescription d'un anti inflammatoire non stéroïdien. Quelle est parmi les maladies suivantes celle qui sémiologiquement correspond le mieux à cette description ? A - Rhumatisme articulaire aigu B - Arthrite rhumatoïde C - Arthrite septique D - Accès aigu de goutte E - Pseudo-polyarthrite rhizomélique Bonne(s) réponse(s) : D Seul l'accès aigu de goutte peut donner ce tableau parmi les hypothèses proposées.
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51 Question à compléments multiples.
66 Question à compléments multiples.
Devant un traumatise récent du genou. indiquez le(s) signe(s) clinique(s) qui fait(font) suspecter une lésion isolée du ligament croisé antérieur : A - Une ecchymose antérieure B - Un épanchement articulaire de constitution rapide C - Un recul de la tubérosité tibiale antérieure, genou fléchi D - Une laxité à la fois interne et externe en demi-flexion E - Un tiroir antérieur recherché le fémur fléchi à 10 degrés
Vous êtes en présence d'une femme de 25 ans présentant depuis une semaine un tableau de polyarthrite aiguë des mains, coudes, épaules, genoux, cliniquement isolée. Notez 2 éléments de la thérapeutique que vous pouvez conseiller lors de cette consultation, dans l'attente des explorations complémentaires : A - D-penicillamine B - Antipaludéen de synthèse C - Indométacine D - Paracétamol E - Immobilisation plâtrée des genoux
Bonne(s) réponse(s) : B E A - Evoque plutôt l'atteinte du croisé postérieur. C - Tiroir postérieur spontané idem A. D - Atteinte des ligaments latéraux. E - Très évocateur c'est le signe de Lachman. Rechercher aussi un ressaut rotatoire, ou Jerk Test positif.
Bonne(s) réponse(s) : C D Il ne peut être question d'utiliser un traitement de fond avant d'avoir réalisé le bilan de cette polyarthrite.
66 Question à complément simple.
62 Question à compléments multiples.
Une femme de 35 ans présente depuis 4 mois une polyarthrite diffuse intéressant les épaules, les coudes, les genoux, les articulations interphalangiennes distales des mains et les articulations sacro-iliaques. Parmi les suivants, quel signe d'examen a un intérêt d'orientation étiologique ? A - Splénomégalie B - Staphylococcie cutanée C - Souffle cardiaque valvulaire D - Psoriasis cutané E - Angine
Chez un traumatise du genou. l'entorse grave du plan ligamentaire externe est suspectée devant la constatation : A - D'une latéralité en valgus flexion rotation externe B - D'une douleur à l'insertion des muscles de la patte d'oie C - D'un tiroir antérieur rotatoire externe D - D'une latéralité en varus flexion rotation interne E - D'un arrachement de la tête du péroné avec déplacement
Bonne(s) réponse(s) : D Un rhumatisme touchant les sacroiliaques et les interphalangiennes distales est un rhumatisme psoriasique.
34 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : C D E L'entorse grave du plan ligamentaire externe est responsable d'une laxité en varus très importante, des mouvements de tiroir et des arrachements osseux périphériques ou centraux. Une lésion du S.P.E. est possible. Les ruptures musculaires intéressent le poplité et le biceps.
1 Question à compléments multiples.
Chez une patiente de 55 ans, vous retenez en faveur d'une chondrocalcinose plutôt que d'une goutte devant une atteinte inflammatoire d'un genou : A - Femme ménopausée B - Hyperparathyroïdie connue C - Uricémie normale D - Liquide de ponction contenant 3 500 éléments/mm3 E - Fer sérique élevé à 350 gamma dans le sang
Une arthrite du genou évoluant depuis 6 mois sans aucune lésion radiologique doit faire évoquer : A - Une tuberculose B - Une monoarthrite rhumatoïde C - Une poussée congestive d'arthrose D - Une arthropathie tabétique E - Aucune des propositions précédentes
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Bonne(s) réponse(s) : A B
La goutte est exceptionnelle chez la femme en période d'activité génitale et bien qu'elle puisse survenir après la ménopause, la C.C.A. reste l'arthropathie microcristalline la plus fréquente sur ce terrain. La C.C.A. peut être secondaire à un hyperparathyroïdisme, une goutte, une hémochromatose et à d'autres causes plus rares (ochronose...)
Une monoarthrite chronique du genou doit faire évoquer en priorité une polyarthrite rhumatoïde ou un autre rhumatisme inflammatoire (psoriasis, spondylarthropathie...). On doit éliminer une atteinte subaiguë infectieuse (tuberculose, brucellose). L'arthropathie nerveuse est plutôt responsable d'un genou instable, peu ou pas douloureux, avec de grosses destructions radiologiques.
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67 Question à complément simple.
105 Question à compléments multiples.
En présence d'une monoarthrite du genou, parmi les éléments suivants, lequel est le plus spécifique de son origine goutteuse ? A - Sujet de sexe masculin, obèse B - Hyperuricémie à 480 micromol/l (81 mg/l) C - Présence de cristaux intracellulaires d'urate de sodium dans le liquide de ponction du genou D - Antécédents connus d'accès aigus goutteux E - Sensibilité à la colchicine
Les blocages du genou sont symptomatiques d'une ou plusieurs des lésions suivantes. Indiquez laquelle ou lesquelles : A - D'une distension ligamentaire B - D'une lésion méniscale C - D'un épanchement intra-articulaire D - D'un corps étranger intra-articulaire E - D'une inégalité de longueur des membres inférieurs Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : C La découverte de micro-cristaux à extrémités effilées intra et extracellulaires biréfringents en lumière polarisée est l'argument le plus spécifique en faveur de l'origine goutteuse d'une arthrite.
Un épanchement peut limiter les amplitudes articulaires mais il ne donne pas de blocage.
97 Question à compléments multiples.
74 Question à compléments multiples. La ponction d'un genou douloureux ramène un liquide trouble et non visqueux. contenant 15000 cellules/mm3, sans cristaux. Parmi les diagnostic suivants, le(s)que(s) est(sont) à envisager ? A - Arthrose B - Arthrite staphylococcique C - Arthrite tuberculeuse D - Arthrite rhumatismale E - Goutte
Les arthrites à pyogènes du genou : A - Sont souvent la complication d'injections intraarticulaires de corticoïdes B - Leur diagnostic nécessite le recours à la ponction pour étude bactériologique du liquide articulaire C - Le traitement initial comporte le plus souvent des ponctions évacuatrices répétées D - L'antibiothérapie doit être commencée dès que le germe responsable est connu E - L'immobilisation du genou doit être poursuivie tant que les signes inflammatoires locaux persistent
Bonne(s) réponse(s) : B C D
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Les arthrites inflammatoires et infectieuses sont à envisager en priorité. Dans le cas d'une crise de goutte qui dure depuis 4 à 5 jours, les cristaux peuvent être partiellement dissous et peu identifiables (débris arrondis).
Les injections articulaires de corticoïdes ne sont qu'une cause favorisante des arthrites (à staphylocoque le plus souvent). Il faut insister sur l'absolue nécessité d'isolement du germe. L'antibiothérapie n'est pas urgente à quelques heures près, en cas de mise en décharge et d'immobilisation de l'articulation et en l'absence de signes de septicémie.
74 Question à compléments multiples. En faveur du diagnostic d'arthrite du genou, vous retenez : A - Des douleurs permanentes et nocturnes B - Une instabilité et des craquements articulaires C - Un genou enflé et chaud D - Un signe du rabot E - Des blocages articulaires Bonne(s) réponse(s) : A C B D E sont en faveur d'une pathologie dégénérative qui peut s'exprimer par une symptomatologie aiguë.
65 Question à compléments multiples. Au genou, un épanchement intra-articulaire abondant entraîne : A - Un signe du rabot B - Un signe de Smillie C - Un choc rotulien D - Un effacement des méplats latéro-rotuliens E - Une perte de la flexion complète Bonne(s) réponse(s) : C D E Sans commentaire.
77 Question à compléments multiples. Chez un malade présentant une douleur du pli de l'aine irradiant à la face antérieure de la cuisse et ne dépassant pas le genou, on peut évoquer : A - Une cruralgie B - Une coxarthrose C - Une lésion osseuse d'une branche pubienne D - Une méralgie paresthésique E - Une tendinite du moyen fessier Bonne(s) réponse(s) : A B C Les douleurs de la méralgie et de la tendinite du moyen fessier sont plus externes.
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74 Question à complément simple.
102 Question à compléments multiples.
Chez un sujet suspect d'arthrite septique du genou dans les suites d'une infiltration de corticoïdes, quel est le premier geste à visée diagnostique que l'on doit réaliser : A - Faire une NFS, VS B - Faire des radiographies et en particulier des tomographies C - Evacuer l'articulation par ponction pour vérifier l'aspect puriforme du liquide d'épanchement D - Faire une scintigraphie osseuse E - Faire une ponction articulaire et demander un examen cytobactériologique du liquide d'épanchement
Une arthrite rhumatoïde évoluée du genou stade IV de Steinbrocker avec un genu valgum de 15° chez une patiente en bon état général justifie : A - Une synoviorthèse B - Une arthroplastie totale tri-compartimentaire C - Une ostéotomie fémorale de varisation D - Une arthroplastie uni-compartimentaire externe E - Une arthroscopie avec lavage articulaire
Bonne(s) réponse(s) : E Il faut isoler le germe absolument (staphylocoque). L'arthrite septique survient généralement après la 24ème heure après l'infection. Avant, il s'agit plutôt d'une réaction à microcristaux de corticoïdes.
97 Question à compléments multiples. Le pronostic d'une fracture articulaire du genou au niveau des compartiments fémoro-tibiaux dépend : A - De l'ouverture du foyer B - Du volume de l'hémarthrose initiale C - De la possibilité de rééducation précoce du genou D - De la régularité des surfaces articulaires obtenue en fin de traitement E - De l'importance de la comminution métaphysaire Bonne(s) réponse(s) : A C D E A - Détermine le risque septique. C - Prévient le risque de raideur, qui est majeur dans ces fractures articulaires du genou. Elle dépend du mode de traitement choisi : le plâtre l'empêche, une ostéosynthèse solide par contre l'autorise. D - Fondamental (vrai pour toute fracture articulaire ; du genou, exemple typique). E - Détermine l'axe mécanique des fractures des plateaux tibiaux : il faut relever le tassement métaphysaire).
54 Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) le ou les élément(s) pathognomonique(s) du diagnostic de goutte aiguë devant une monoarthrite isolée du genou ? A - Hyperuricémie B - Absence d'élévation de la VS C - Disparition rapide de l'inflammation sous Colchicine D - Présence de cristaux d'urate de sodium dans le liquide synovial E - Aspect radiologique normal Bonne(s) réponse(s) : D Seule la présence de cristaux d'urate de sodium est pathognomonique du diagnostic. Il faut ponctionner toute monoarthrite et mettre le liquide en culture.
Bonne(s) réponse(s) : B Les autres propositions sont dépassées car il s'agit du stade le plus évolué de l'arthrite rhumatoïde, avec destruction complète de l'interligne.
77 Question à compléments multiples. Après un traumatisme du genou, on constate par ponction, l'existence d'une hémarthrose de sang pur ; il peut s'agir : A - D'une rupture du ligament croisé antérieur B - D'une luxation de rotule C - D'une fracture articulaire D - D'une anse de seau méniscale E - D'une ostéochondrite disséquante stade III Bonne(s) réponse(s) : A B C - L'anse de seau ou la lésion méniscale donnent en général un épanchement modéré, non sanglant ou sérosanglant (pas de "sang pur"). - L'ostéochondrite disséquante donne également un épanchement inflammatoire.
9 Question à complément simple. Un genou est suspect d'arthrite tuberculeuse. Quel est, de ces 5 examens complémentaires, celui qui vous donnera le plus rapidement le diagnostic ? A - Radiographie B - Culture du liquide articulaire C - Biopsie synoviale D - Vitesse des sédimentation E - Scintigraphie Bonne(s) réponse(s) : C L'examen anatomopathologique de la synoviale peut apporter le diagnostic en quelques jours s'il retrouve le granulome à cellules épithélioïdes avec du caséum ou le BK. De plus il sera mis en culture pendant 8 semaines.
4 Question à compléments multiples. Le genou gauche a été ponctionné. Quel(s) résultat(s) vous paraîtrai(en)t incompatible(s) avec le diagnostic d'arthrite gonococcique ? A - 500 éléments/mm3 dont 70 % de Iymphocytes B - 7 500 éléments/mm3 dont 90 % de polynucléaires neutrophiles C - 15300 éléments/mm3 dont 70 % de polynucléaires neutrophiles D - 6000 éléments/mm3 dont 70 % de Iymphocytes E - 2000 éléments/mm3 dont 60 % de polynucléaires eosinophiles Bonne(s) réponse(s) : A D E
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Piège classique : il faut cocher les réponses fausses. La ponction ramènera un liquide exsudatif avec une hypercytose avec prédominance de polynucléaires.
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39 Question à complément simple. Une ponction du genou a été effectuée avant la mise au traitement par l'allochrysine. Parmi les formules du liquide articulaire, quelle est celle qui s'adapte le mieux au diagnostic retenu de polyarthrite rhumatoïde ? Eléments/mm3 Cristaux.
Polynucl Rapport
Lymphoc.
Monoc.
compl.articul. A - 8 700 B - 8 700 C - 8 700 + D - 8 700 E - 500 -
compl.sérique 75 % 0,15 75 % 0,50 75 % 0,25 10 % 0,50 10 % 0,25
15 %
10 %
15 %
10 %
15 %
10 %
10 %
75 %
65 %
25 %
Bonne(s) réponse(s) : B Il s'agit d'un liquide inflammatoire contenant plus de 2 000 cellules par mm3 à prédominance de polynucléaires, avec absence de cristaux et abaissement du complément par rapport au complément sérique.
12 Question à compléments multiples. Pour connaître la cause des douleurs actuelles du genou, quel(s) examen(s) complémentaire(s) apporte(nt) le plus simplement la réponse A - Radiographies standard du genou en charge B - Tomodensitométrie du genou C - Radiographies des membres inférieurs en totalité et en charge D - Arthrographie E - Scintigraphie osseuse Bonne(s) réponse(s) : A Les cals vicieux angulaires en varus sont les moins bien tolérés car ils provoquent des douleurs et des retentissements articulaires sus et sousjacents dès qu'ils atteignent 10°. Le cliché standard en charge recherchera un pincement localisé.
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95 Question à compléments multiples. La pseudarthrose après fracture du col du fémur : A - Est favorisée par un trait de fracture vertical B - Est plus fréquente après fracture de la région trochantérienne qu'après fracture cervicale vraie C - Peut s'accompagner de nécrose de la tête fémorale D - Est habituellement traitée chez le vieillard par la mise en place d'une prothèse E - Est traitée chez le jeune par une ostéotomie Bonne(s) réponse(s) : A C D E - La pseudarthrose se voit essentiellement dans les fractures du col fémoral à trait vertical, et/ou garden IV et/ou à grosse comminution postérieure. - La région trochantérienne est une zone spongieuse richement vascularisée ; de ce fait, la pseudarthrose est moins fréquente (sauf dans les formes à grand déplacement). - Lors des pseudarthroses du col fémoral chez le jeune, on pratique des ostéotomies de valgisation + translation interne de façon à remplacer les contraintes de cisaillement en contraintes axiale. - Chez le vieillard grabataire, on préférera la mise en place d'une prothèse totale de hanche (solution beaucoup plus facile à manager dans les suites opératoires).
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Question à compléments multiples. A propos des fractures de l'extrémité supérieure du fémur, quelle est ou quelles sont la ou les proposition(s) exacte(s)? A - Les fractures per trochantériennes consolident bien B - Les fractures transcervicales consolident avec des cals vicieux fréquents C - La fracture transcervicale du vieillard est traitée par la mise en place d'une prothèse cervico-céphalique D - La vis-plaque est un des meilleurs traitements des fractures per trochantériennes E - On situe entre 10 et 20% le taux de mortalité à 3 mois postopératoires des fractures de l'extrémité supérieure du fémur chez le vieillard Bonne(s) réponse(s) : A C D E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Quels sont les caractères cliniques significatifs d'une ostéomyélite aiguë de l'extrémité inférieure du fémur d'un enfant vu précocement? A - Fièvre brutale isolée B - Douleur suraiguë localisée C - Raideur articulaire sus et sous-jacente D - Altération rapide de l'état général E - Impotence du membre atteint Bonne(s) réponse(s) : B D E L'association douleur localisée, impotence, altération de l'état général, fièvre doit faire évoquer une ostéomyélite en premier lieu. L'item A est à refuter car la fièvre n'est pas isolée.
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22 Question à complément simple. L'évolution d'une fracture de la clavicule vers la pseudarthrose : A - Ne se voit jamais B - Se voit surtout après traitement chirurgical C - Ne se voit jamais après traitement orthopédique D - Se voit surtout en l'absence de traitement E - N'a pas de conséquence fonctionnelle Bonne(s) réponse(s) : B Les complications du traitement chirurgical sont : - l'ostéite, - la pseudarthrose +++ de la clavicule, - les troubles cutanés, - vasculo nerveux. Le traitement orthopédique donne surtout des cals vicieux. La pseudarthrose peut être gênante : douleur, perte de force.
107 Question à compléments multiples. Une fracture du 1/3 moyen de la clavicule : A - Entraîne souvent des lésions de la veine sous-clavière B - Consolide en moyenne en 90 jours C - Laisse en règle un cal en baïonnette exubérant D - Relève d'une réduction anatomique avec une contention interne solide E - Est traitée par un bandage coude au corps Bonne(s) réponse(s) : C La fracture du 1/3 moyen de la clavicule donne surtout des problèmes cutanés, elle peut entraîner des lésions vasculaires, des lésions du plexus brachial et des lésions pleuro-pulmonaires. Le traitement est orthopédique dans la plupart des cas par réduction manuelle et contention (bandage en 8, boléro plâtré, simple écharpe). Elle consolide en 4 semaines avec souvent un cal vicieux inesthétique et rarement on voit une pseudarthrose. Les complications sont souvent secondaires à la chirurgie.
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87 Question à compléments multiples. Une fracture du 1/3 moyen de la clavicule : A - Entraîne souvent des lésions de la veine sous-clavière B - Consolide en moyenne en 90 jours C - Laisse dans la règle un gros câl en balonnette D - Relève d'une réduction anatomique avec une contention interne solide E - Est traitée par un plâtre thoraco-brachial Bonne(s) réponse(s) : C QCM discutable, la réponse C semble la plus appropriée. - Les complications vasculaires sont exceptionnelles. - Délai moyen de consolidation de 3 semaines à 1 mois. - La chirurgie est exceptionnelle et relève d'indications bien précises. Fractures ouvertes, fractures avec complications vasculaires, avec complications pulmonaires, fractures bilatérales... - Immobilisation par anneaux, bandage en 8 de chiffre.
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Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
Vous suspectez en premier lieu une fracture de la clavicule sur :
Le délai habituel de consolidation d'une fracture de la clavicule est :
A - Présence d'une angulation apparente de la clavicule avec saillie del'extrémité distale du fragment interne B - Abaissement et antépulsion discrète du moignon de l'épaule C - Ecartement du bord spinal de l'omoplate de la ligne des épineuses D - Diminution de la distance acromio-sternale E - Hématome pulsatile
A - 1 semaine B - 2 semaines C - 4 semaines D - 8 semaines E - 10 semaines Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'hématome pulsatile doit faire craindre une lésion artérielle (telle artère sous-clavière).
Pierre, 21 ans, est amené aux urgences pour une chute en vélo sur le moignon de l'épaule droite. Il se plaint d'une violente douleur à ce niveau et d'une impotence fonctionnelle du membre supérieur.
Question à complément simple. Le siège anatomique le plus fréquent des fractures de la clavicule se situe au : A - 1/3 interne B - 1/3 moyen C - 1/4 externe D - Plaque coracoïdienne E - Zone d'insertion du ligament costo-chondro-claviculaire Bonne(s) réponse(s) : B Les fractures du tiers moyen représentent 75 % des fractures de la clavicule.
Question à compléments multiples. La radiographie de la clavicule de face vous confirme le diagnostic en montrant : A - Un trait simple, oblique en bas, en dedans et en arrière B - Une comminution fréquente du foyer de fracture C - Un fragment claviculaire interne déplacé en haut et en avant D - Un fragment claviculaire externe déplacé en bas et en arrière E - Un chevauchement (fréquent) des 2 fragments claviculaires Bonne(s) réponse(s) : A E La comminution est rare dans les fractures de la clavicule. Il s'agit le plus souvent d'un trait oblique en bas, en dedans, et en arrière, avec un fragment interne déplacé en haut et en arrière par le muscle sternocleïdo-mastoïdien, et un fragment externe déplacé en bas et en avant par le poids du membre supérieur et le deltoïde. Le chevauchement est fréquent diminuant ainsi l'espace acromio-sternal.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
La réapparition des troubles mictionnels chez un homme opéré 5 ans auparavant d'un adénome prostatique par taille, doit faire craindre en premier lieu : A - Une sclérose du col vésical B - Un rétrécissement de l'urètre bulbaire C - Une récidive de l'adénome prostatique D - Un cancer de la coque prostatique restante E - L'apparition secondaire d'une perte de capacité vésicale
Un adénome prostatique peut se révéler par : A - Infection urinaire B - Dysurie C - Hématurie D - Rétention aiguë d'urine E - Incontinence Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : D
E - L'incontinence est liée à une rétention vésicale chronique avec des mictions par regorgement.
D est l'hypothèse la plus défavorable, donc celle à craindre ; cependant il faut souligner l'ambiguïté de la question, ne précisant pas le type de l'opération. S'il s'agit d'une chirurgie par voie haute, c'est effectivement le premier diagnostic à évoquer ; si par contre il s'agit d'une résection par voie endo-uréthrale, c'est la récidive qui est la plus fréquente des éventualités. A peut également se produire, mais de façon plus exceptionnelle.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple. Un homme de 76 ans a subi la résection trans-urétrale d'un adénome prostatique cliniquement bénin. L'examen anatomopathologique montre qu'au sein d'un adénome bénin existe, sur un seul des copeaux de résection, un foyer d'adénocarcinome bien différencié. La recherche de métastases est négative. La conduite à conseiller est : A - Le Distilbène® per os à la dose de 1 mg/jour B - L'orchidectomie bilatérale C - La radiothérapie prostatique D - La surveillance régulière E - Le Distilbène® per os à la dose de 5 mg/jour Bonne(s) réponse(s) : D
Un adénome prostatique peut se compliquer de : A - Rétention vésicale complète B - Insuffisance rénale C - Incontinence par regorgement D - Lithiase urétérale E - Lithiase prostatique Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Les complications précoces possibles de la résection endoscopique de l'adénome prostatique incluent : A - Hématurie massive B - Sténose du col vésical C - Incontinence d'urine D - Fistule recto-uréthrale E - Infection
Compte tenu de la lenteur évolutive du cancer de la prostate, l'expectative est justifiée pour les néoplasies dont l'extension est limitée à la prostate. En effet, 50 % de ces patients décèderont sans traitement d'une cause indépendante du cancer.
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
Un patient opéré d'un adénome prostatique il y a 3 mois revient parce qu'il est à nouveau dysurique. La ou les causes à évoquer en priorité dans la récidive de la dysurie est ou sont : A - La sténose de l'urètre au bec de la prostate B - La récidive de l'adénome C - La sténose rétro-méatique D - Le cancer de la coque restante E - La sclérose du col vésical
Parmi les complications suivantes, l'une d'entre elle ne peut être rattachée systématiquement au traitement chirurgical de l'adénome prostatique, laquelle ? A - Hémorragie B - Impuissance C - Rétrécissement uréthral D - Incontinence E - Embolie pulmonaire
Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A C D Les deux autres items constituent des causes tardives de récidive de la dysurie.
Sans commentaire.
Question à complément simple. Question à complément simple. Une de ces thérapeutiques est efficace en cas d'insuffisance rénale obstructive par adénome prostatique : A - La radiothérapie à haute énergie B - La castration C - L'adénomectomie prostatique D - Un traitement médical à base d'alpha bloqueurs E - Les diurétiques thiazidiques Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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L'indication d'exérèse de l'adénome prostatique est formelle dans un des cas suivants : A - Pollakiurie B - Pyurie C - Résidu post-mictionnel inférieur à 100 ml D - Hématurie macroscopique E - Dilatation du haut appareil Bonne(s) réponse(s) : E L'apparition d'un retentissement de l'adénome sur le haut appareil est une indication chirurgicale formelle car il y a risque d'insuffisance rénale et de complications infectieuses sévères (pyélonéphrite septicémie, choc à gram négatif).
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Question à complément simples La constatation de ces signes doit faire penser à un adénome prostatique sauf un, lequel ? A - Une pollakiurie B - Des impériosités mictionnelles C - Une hématurie terminale D - Un jet faible E - Une dysurie initiale Bonne(s) réponse(s) : C L'hématurie terminale signifie lésion vésicale et non prostastique.
Question à complément simple. Un homme de 65 ans a une dysurie avec pollakiurie en rapport avec un adénome prostatique. Lequel de ces antiarythmiques devez-vous éviter de prescrire ? A - Quinidine "retard" B - Flecaïnide (Flécaïne®) C - Disopyramide (Rythmodan®) D - Propafénone (Rythmol®) E - Amiodarone (Cordarone®) Bonne(s) réponse(s) : C En raison d'un effet indésirable de type atropinique.
Question à complément simple. En présence d'un malade de 65 ans, porteur d'un adénome prostatique, dont la créatinémie est à 400 micromoles/l, indiquez l'examen à pratiquer en urgence : A - Biopsie rénale B - Artériographie rénale C - Echographie rénale D - Scintigraphie E - Uréthrocystographie rétrograde Bonne(s) réponse(s) : C C - Recherchera un retentissement sur le haut appareil urinaire de l'adénome (dilatation urétéro-pyélo-calicielle bilatérale).
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Quel est le caractère qui caractérise l'hématurie du cancer du rein de l'adulte ? A - Elle est constante B - Elle est fréquente C - Elle est rare D - Elle est initiale lors de la miction E - Elle est provoquée par l'effort
Les modifications biologiques suivantes évocatrices d'un syndrome para-néoplasique peuvent se rencontrer chez un malade porteur d'un cancer du rein : A - Hypercalcémie B - Hypophosphorémie C - Polyglobulie D - Augmentation des phosphatases alcalines E - Hyperuricémie
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B C D Sans commentaire.
Question à complément simple.
- L'hypercalcémie tumorale maligne est liée à une hyperparathyroïdie paranéoplasique, avec augmentation de la calcémie, diminution de la phosporémie et augmentation des phosphatases alcalines. - La polyglobulie est liée à une augmentation de la synthèse d'érythropoïétine par le rein.
Chez un patient de 58 ans, présentant une masse lombaire et une hématurie, les examens morphologiques peuvent montrer en faveur d'un cancer du rein tous les résultats suivants, sauf un, indiquez lequel ? A - Rein muet B - Masse échogène C - Hypervascularisation artérielle D - Lacune de la veine cave inférieure E - Greffe vésicale de la tumeur Bonne(s) réponse(s) : E Ce sont les cancers des voies urinaires qui métastasent en aval et non la tumeur parenchymateuse. Par ailleurs l'item A est très rare mais non impossible.
Question à complément simple. La forme habituelle du cancer du rein de l'adulte (dite encore tumeur de Grawitz) est : A - Un adénocarcinome B - Un sarcome C - Un néphroblastome D - Une tumeur paramalphigienne E - Une tumeur urothéliale Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Dans le cancer du rein, les examens radiologiques peuvent révéler : A - Un rein muet B - Un rein mastic C - Une hypervascularisation artérielle D - Une lacune dans la veine cave inférieure E - Une sténose de l'uretère pelvien Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Chez un enfant de 10 ans, accidenté, non choqué, présentant des douleurs lombaires, une hématurie et une mutité rénale gauche à l'urographie, indiquez parmi les suivants, l'examen à demander en urgence : A - Scintigraphie rénale B - Angiographie numérisée C - Etude tomodensitométrique abdominale D - Cystoscopie E - Urétrocystographie rétrograde
Que vous évoque en premier l'association hématurie totale + gros rein unilatéral chez un homme de plus de 60 ans sans antécédents ? A - Une polykystose rénale B - Un cancer du rein C - Une tuberculose rénale D - Une anomalie de la jonction pyélo-urétérale E - Aucune de ces étiologies Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire. Le diagnostic à évoquer en premier est une atteinte du pédicule rénal qui doit être exploré par une artériographie. Si l'on peut en disposer, une angiographie numérisée, moins agressive, peut avantageusement remplacer cet examen.
Question à complément simple. Quel est le caractère qui caractérise l'hématurie du cancer du rein de l'adulte ? A - Elle est constante B - Elle est fréquente C - Elle est rare D - Elle est initiale lors de la miction E - Elle est provoquée par l'effort
Question à complément simple. Indiquez parmi les suivants, le signe qui permet d'affirmer l'origine rénale d'une hématurie : A - Hématurie terminale B - Hématurie totale à l'épreuve des trois verres C - Association de douleurs lombaires bilatérales basses D - Présence d'un rein unique E - Ejaculation urétérale sanglante à la cystoscopie Bonne(s) réponse(s) : E QCM critiquable car il peut s'agir d'un saignement urétéral.
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Question à complément simple. On note en faveur de l'origine rénale ou même glomérulaire d'une hématurie, les éléments suivants sauf un, lequel ? A - L'existence de cylindres hématiques B - L'association à une protéinurie C - Le déclenchement par un épisode infectieux focal D - Le caractère terminal de l'hématurie E - L'absence de signe de cystite Bonne(s) réponse(s) : D
Question à compléments multiples. Parmi les 5 propositions suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? La découverte d'une hématurie chez un enfant européen ayant toujours vécu en France fait soupçonner à son origine : A - Une glomérulonéphrite B - Une bilharziose C - Une lithiase urinaire D - Une néphronophtise E - Des valves de l'urèthre postérieur Bonne(s) réponse(s) : A C Il n'y a pas de bilharziose autochtone en France. Les items D et E ne sont pas responsables d'hématurie.
Sans commentaire. Séméiologie élémentaire.
Question à complément simple. Chez un patient de 58 ans, présentant une masse lombaire et une hématurie, les examens morphologiques peuvent montrer en faveur d'un cancer du rein tous les résultats suivants, sauf un, indiquez lequel ? A - Rein muet B - Masse échogène C - Hypervascularisation artérielle D - Lacune de la veine cave inférieure E - Greffe vésicale de la tumeur
Question à complément simple. Quelle origine topographique attribuez-vous de prime abord à une hématurie terminale ? A - Haut appareil B - Vessie C - Urètre D - Organes génitaux E - Aucune des origines ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : E Ce sont les cancers des voies urinaires qui métastasent en aval et non la tumeur parenchymateuse. Par ailleurs l'item A est très rare mais non impossible.
Question à complément simple. Un homme de 50 ans a eu une hématurie totale isolée et une hématurie terminale clinique. L'échographie rénale et l'urographie intraveineuse sont normales. Indiquez l'examen qu'il convient de réaliser en premier lieu : A - Une biopsie rénale B - Une artériographie rénale C - Une uréthrocystographie rétrograde D - Une cystoscopie E - Un néphrogramme isotopique
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Bonne(s) réponse(s) : D
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Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Une hématurie terminale évoque une origine : A - Rénale B - Urétérale C - Vésicale D - Prostatique E - Uréthrale
Un homme de 65 ans consulte pour une hématurie terminale. L'urographie montre un calcul radio-opaque dans le calice inférieur gauche et aucune autre anomalie. Les urines sont stériles. Quel examen demandez-vous en priorité ? A - Une cystoscopie B - Une tomographie rénale C - Un bilan phospho-calcique D - Une uréthrographie rétrograde des urines E - Une numération des hématies-leucocytes minute
Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A
Question à complément simple. Une hématurie macroscopique est un mode de révélation fréquent de : A - Une amylose rénale B - Une tubulopathie C - Un diabète rénal D - Une glomérulonéphrite mésangiale à dépôts d'IgA E - Une glomérulopathie de diabète Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à complément simple. Un sujet de 43 ans à présenté à trois reprises une hématurie macroscopique importante. La dernière a duré trois jours avec des douleurs modérées lombaires gauches. Il n'y a pas de protéinurie. Une urographie intraveineuse, faite il y a deux ans, est normale. L'échographie montre un gros pôle inférieur du rein gauche sans cône d'ombre. Vous évoquez prioritairement : A- Glomérulonéphrite subaiguë B - Néphrite tubulaire toxique C - Cancer du rein D - Lithiase pyélique E - Bilharziose vésicale Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Notez le ou les élément(s) suivant(s) qui oriente(nt) vers une origine glomérulaire de l'hématurie : A - Présence de cylindres hématiques B - Présence d'une protéinurie constante à 1gr 0/00 C - Hématurie macroscopique terminale D - Douleurs rénales unilatérales E - Bactériurie significative
Le caractère terminale de l'hématurie est très évocateur d'une atteinte vésicale et faite suspecte de principe, compte tenu de l'âge, une pathologie néoplasique. La lithiase trouvée fortuitement dans le calice ne doit pas faire errer la démarche diagnostique. En cas d'hématurie macroscopique, enfin, la pratique d'un ECBU, mais non celle d'un HLM, est justifiée.
Question à complément simple. Chez une jeune femme de 32 ans, chez qui a été découverte une association protéinurie-hématurie, les éléments cliniques suivants sont notés : état sub-fébrile de 37 à 38°C, syndrome polyarticulaire migrateur. On note une leucopénie à 3500 globules blancs. Parmi les diagnostics proposés, quel est celui qui, à priori, est le plus vraisemblable ? A - Amylose B - Lupus érythémateux disséminé C - Intoxication au plomb D - Pyélonéphrite aiguë E - Automédication à l'aspirine Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Question à complément simple. Un sujet de 26 ans présente depuis un an une hématurie microscopique. Il a fait à trois reprises depuis un mois une hématurie strictement terminale indolore. Il s'agit d'un coopérant revenant du Niger. Vous évoquez prioritairement : A - Glomérulonéphrite subaiguë B - Néphrite tubulaire toxique C - Cancer du rein D - Lithiase pyélique E - Bilharziose vésicale Bonne(s) réponse(s) : E Il s'agit d'une hématurie d'origine vésicale. Compte tenu de l'âge et du séjour en zone d'endémie bilharzienne, l'item E est le seul possible.
Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Une hématurie d'origine vésicale peut être : A - Totale B - Terminale C - Initiale D - Isolée E - Associée à des troubles mictionnels Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Devant l'absence de néphrogramme droit sur une U.l.V. pratiquée en urgence dans les suites d'une contusion lombaire droite avec hématurie totale, l'examen à demander en urgence est : A - Scintigraphie rénale B - Artériographie rénale C - Scanner abdominal D - Cystoscopie E - Cystographie rétrograde
Une femme de 67 ans, ancienne directrice d'école, sédentaire, tabagique, a présenté trois mois auparavant une phlébite traitée par des anti-vitamines K. Ceux-ci ont entraîné une hématurie macroscopique qui s'est reproduite à deux reprises malgré l'arrêt du traitement. Elle est légèrement fébrile depuis quelques semaines. Une numération formule a révélé une polyglobulie. Vous évoquez prioritairement : A - Glomérulonéphrite subaiguë B - Thrombose veineuse rénale C - Cancer du rein D - Tumeur vésicale papillomateuse E - Bilharziose vésicale
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaires.
Bonne(s) réponse(s) : C
Question à complément simple. Un sujet de 28 ans présente le lendemain du début d'une sinusite fébrile. une hématurie macroscopique avec protéinurie à 1g 0/00 : un épisode identique un an et trois ans auparavant après une angine. La protéinurie avait disparu en 48 heures. La tension artérielle et le taux plasmatique de la créatinine sont normaux. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique par hyalinose segmentaire et focale B - Glomérulonéphrite à dépôts d'IgA de type maladie de Berger C - Myélome à chaînes légères D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale
L'hématurie est le syndrome le plus fréquemment révélateur des cancers du rein de l'adulte (50 % des cas).
Question à compléments multiples. Parmi les 5 propositions suivantes quelle est celle (quelles sont celles) que vous retenez ? Devant une hématurie macroscopique récidivante, vous retenez en faveur du diagnostic de syndrome d'Alport : A - Antécédents familiaux B - Hypoacousie C - Elévation des Ig A sériques D - Anomalies rétiniennes E - Baisse du taux du complément sérique
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B D
Il s'agit d'un syndrome néphritique, déclenché au décours immédiat d'un épisode infectieux.
Pathologie de transmission autosomique dominante, s'accompagnant d'hypoacousie de perception et d'anomalies ophtalmologiques. C'est la plus fréquente des glomérulopathies héréditaires.
Question à complément simple. Un homme de 58 ans commerçant rapatrié de Thio, présente une hématurie microscopique et macroscopique à trois reprises. La créatininémie est à 198 micromoles/l. La pression artérielle est élevée, il y a des oedèmes et une protéinurie à ++++. Il y a un an, bilan de santé normal. Vous évoquez prioritairement : A - Glomérulonéphrite B - Thrombose veineuse rénale C - Cancer du rein D - Tumeur vésicale papillomateuse E - Tuberculose vésicale Bonne(s) réponse(s) : A Là également, les éléments d'un syndrome néphritique : hématurie, protéinurie, HTA et insuffisance rénale sont réunis.
Question à complément simple. En présence d'une contusion rénale entraînant une hématurie, quel est le premier examen complémentaire à demander ? A - Une échographie B - Une urographie intraveineuse C - Une cystoscopie D - Une artériographie E - Un examen scanographique Bonne(s) réponse(s) : B Devant une hématurie après contusion rénale la survenue d'une hématurie doit faire pratiquer une UIV à la recherche de signes de fuite (rupture capsulaire), de caillots dans la voie excrétrice, d'aspect de rein "muet" évoquant une lésion pédiculaire. Cependant, actuellement, l'échographie tend de plus en plus à se substituer à l'UIV. Enfin, l'UIV permet l'exploration non seulement du rein, mais de l'arbre urinaire.
Question à complément simple. L'origine rénale d'une hématurie macroscopique peut-être affirmée si : A - Elle est totale B - Elle comporte des caillots C - On trouve des cylindres hématiques D - Elle a un caractère récidivant E - Elle est accompagnée de fièvre Bonne(s) réponse(s) : A
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La présence de cylindres hématiques résulte du transit tubulaire des hématies d'origine glomérulaire. La formation de rouleaux résulte de l'agglutination des hématies au sein d'un squelette protéique constitué par la protéine de Tamm-Horsfall. La présence de rouleaux signe 608 parenchymateuse de l'hématurie. By NADJI 85 l'origine
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Question à compléments multiples.
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Une hématurie survenant dans les suites d'un traumatisme du rein isolé : A - Contre-indique l'urographie intraveineuse B - Est un signe de gravité C - Est une indication opératoire capsulaire D - Affirme une rupture capsulaire E - Affirme une effraction des voies excrétrices
La découverte d'une hématurie chez un enfant européen ayant toujours vécu en France fait soupçonner à son origine une ou plusieurs des propositions suivantes : A - Une glomérulonéphrite B - Une maladie de Berger C - Une lithiase urinaire D - Une néphronophtise E - Des valves de l'urèthre postérieur
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : A B C A - Il s'agit au contraire d'une indication à l'IUV en urgence B - L'hématurie n'est pas un indice de gravité mais un signe d'appel C - Les indications opératoires en urgence sont : syndrome hémorragique, rupture pédiculaire, désinsertion pyélourétérale. D - Le diagnostic de rupture capsulaire est porté à l'UIV ou à l'échographie.
Quelle que soit l'origine géographique du patient les 3 premiers items sont fréquemment révélés par une hématurie. Les 2 derniers exceptionnellement. On rappelle que la néphronophtyse est une atteinte interstitielle héréditaire se transmettant sur un mode autosomique et se traduisant par un syndrome tubulaire, avec en particulier un syndrome de perte de sel. L'évolution se fait plus ou moins rapidement vers l'insuffisance rénale.
Question à compléments multiples. Dans les cancers de la vessie, l'hématurie : A - Est totale si l'hémorragie est abondante B - Est terminale si l'hématurie est peu importante C - Est le témoin d'une lésion infiltrante D - Est constante si les localisations sont multiples E - Impose la cystectomie Bonne(s) réponse(s) : A B L'hématurie est un symptôme fréquent imposant une exploration étiologique. Elle ne permet pas de préjuger de la nature de la lésion responsable du saignement ni de son extension.
Question à compléments multiples. Dans les traumatismes du rein, l'hématurie est un signe : A - De gravité particulière B - D'atteinte de la voie excrétrice C - De fracture parenchymateuse D - Constant si le parenchyme est fracturé E - Qui contre-indique l'UIV en urgence Bonne(s) réponse(s) : A C Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Une hématurie macroscopique peut être un des symptômes de révélation fréquent de : A - Une tuberculose urinaire B - Une pyélonéphrite chronique C - Une bilharziose D - Un diverticule caliciel E - Une fibrose rétropéritonéale Bonne(s) réponse(s) : A C Sans commentaire, connaissance pure.
Question à complément simple. Chez un sujet de 68 ans, la présence d'une hématurie de 500.000 hématies par minute fait soupçonner en premier : A - Une amylose rénale B - Un myélome C - Une tubulopathie toxique D - Un lupus érythémateux disséminé E - Une tumeur maligne vésicale Bonne(s) réponse(s) : E E Une pathologie tumorale est à rechercher de principe devant toute hématurie. Il faut d'ailleurs souligner que les autres items sont rarement sources d'hématuries macroscopiques initiales.
Question à complément simple. Avant tout examen complémentaire radiologique, on peut suspecter l'origine glomérulaire d'une hématurie macroscopique sur : A - Présence de caillots B - Leucocyturie 50 000 éléments/minutes C - Protéinurie 3 g/24 h D - Scintigraphie rénale isotopique E - Le caractère normal du cliché de l'appareil urinaire sans préparation Bonne(s) réponse(s) : C Toute hématurie s'accompagne d'une protéinurie en rapport, mais modérée (ici elle est trop importante). Un autre argument quasi formel de l'origine glomérulaire d'une hématurie est la présence de cylindres hématiques.
Question à compléments multiples. Une hématurie totale peut être consécutive à : A - Un cancer du rein B - Un cancer de la vessie C - Un adénome de prostate D - Un calcul pyélique E - Une lithiase vésicale Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Une hématurie totale ne donne pas de renseignements topographiques. Toute hématurie abondante, même d'origine vésicale ou cervicoprostatique, peut être totale. On pourrait discuter C, mais il existe des adénomes prostatiques entraînant une hématurie totale (c'est rare).
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Un sujet de 53 ans présente des hématuries macroscopiques répétées depuis trois semaines avec douleurs lombourétérales droites. Abdomen sans préparation normal, urographie : dilatation pyélocalicielle et urétérale jusqu'à la portion iliaque. Vous évoquez prioritairement : A - Glomérulonéphrite subaiguë B - Néphrite tubulaire toxique C - Cancer du rein D - Lithiase urétérale E - Bilharziose vésicale
L'association d'une hématurie totale et d'un rein palpable chez un homme de 60 ans, sans antécédent urologique évoque en premier lieu : A - Polykystose rénale B - Cancer du rein C - Tuberculose rénale D - Syndrome de jonction pyélo-urétérale E - Aucune de ces étiologies Bonne(s) réponse(s) : B
La dilatation pyélocalicielle indique un obstacle urétéral.
Le cancer du rein est plus fréquent actuellement que la tuberculose rénale. La polykystose se révèle plus précocement, et il existe deux gros reins. Le syndrome de la jonction ne donne pas d'hématurie.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
Une hématurie microscopique, détectée à la bandelette peut orienter vers : A - Une lithiase des voies urinaires B - Une infection des voies urinaires C - Une maladie glomérulaire D - Une tumeur de la vessie E - La consommation excessive de sang d'origine animale (viande, boudin, etc...)
Une hématurie d'origine rénale est totale car : A - Elle est toujours de grande abondance B - L'urine sanglante se dilue dans l'urine vésicale C - Il s'agit d'une hématurie distillante D - Il s'agit d'une hématurie répétitive E - Il s'agit de sang incoagulable
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
E. Donne une pigmenturie et non une hématurie.
Question à complément simple. Question à complément simple. Une hématurie macroscopique est, habituellement, retrouvée dans toutes les éventualités suivantes, sauf une. Laquelle ? A - Lithiase B - Néphropathie du purpura rhumatoïde C - Néphrose lipoïdique D - Maladie de Berger E - Glomérulonéphrite aiguë post-streptococcique
Un sujet de 28 ans présente après une angine une hématurie macroscopique. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique par hyalinose segmentaire et focale B - Glomérulonéphrite à dépôts d'IgA de type maladie de Berger C - Myélome à chaînes légères D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B
Sans commentaire.
ACD et E - Ne donnent pas d'hématurie macroscopique. B - Une angine ou une infection des voies aériennes supérieures sont une classique circonstance entraînant une hématurie macroscopique au cours de la maladie de Berger (intervalle libre de quelques heures à 48 heures).
Question à compléments multiples. Face à une hématurie macroscopique totale sous anticoagulants : A - L'association à une colique néphrétique signe l'obstacle lithiasique B - L'UIV s'impose toujours C - L'artériographie rénale s'impose toujours D - L'UIV n'est pratiquée qu'en l'absence de lésions vésicales à la cystoscopie E - La présence d'un kyste rénal connu contre-indique l'UIV Bonne(s) réponse(s) : B A. Une tumeur obstruant les voies urinaires hautes peut donner le même tableau qu'une lithiase. Pour le reste : pas de commentaires.
Question à complément simple. Devant l'apparition d'une hématurie totale, indolore, chez un homme de 50 ans alors que l'urographie a mis en évidence un syndrome de masse polaire supérieure gauche. Quel est le premier examen à demander ? A - Lymphographie B - Echographie du rein et de la veine cave C - Artériographie D - Cystographie E - Cavographie Bonne(s) réponse(s) : B Le diagnostic suspecté fortement est celui de cancer du rein. L'échographie rénale retrouvera le plus souvent une masse hyperéchogène, sauf si le cancer est totalement nécrosé.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Parmi les lésions traumatiques suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) qui ne s'accompagne(nt) d'aucune hématurie ? A - Fracture du rein sans ouverture capsulaire B - Fracture du rein avec ouverture capsulaire C - Rupture de l'uretère D - Rupture du pédicule rénal E - Contusion rénale
Une hématurie survenant dans les suites d'un traumatisme du rein isolé : A - Contre-indique l'urographie intraveineuse B - Est un signe de gravité C - Est une indication opératoire capsulaire D - Affirme une rupture capsulaire E - Affirme une effraction des voies excrétrices
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) :
Une seule réponse (D) semble possible.
QUESTION ANNULEE
Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Dans les cancers de la vessie, l'hématurie : A - Est totale si l'hémoragie est abondante B - Est terminale si l'hématurie est peu importante C - Est le témoin d'une lésion infiltrante D - Est constante si les localisations sont multiples E - Impose la cystectomie
Une hématurie macroscopique peut être un des symptômes de révélation fréquent de : A - Une tuberculose urinaire B - Une pyélonéphrite chronique C - Une bilharziose D - Un diverticule caliciel E - Une fibrose rétropéritonéale
Bonne(s) réponse(s) : A B
Bonne(s) réponse(s) : A C Sans commentaire. Sans commantaire.
Question à complément simple. Question à compléments multiples. Lors d'un épisode de pollakiurie avec dysurie, brûlures mictionnelles et hématurie initiale, on découvre chez un homme de 78 ans, une infection urinaire à coli-bacille (10 puissance 5/ml) et un taux sérique d'antigène prostatique spécifique à 25 nanogrammes par ml. La prostate est lisse, hypertrophiée,son poids est cliniquement évalué à 30 g. L'échographie sus-pubienne montre une zone hypoéchogène centrale. Le débit urinaire est à 8 ml/seconde. Quelle attitude adoptez-vous ? A - Echographie trans-rectale avec biopsies B - Résection trans-uréthrale de prostate à visée biopsique C - Cytoponction prostatique des deux lobes D - Dosage des phosphatases acides prostatiques E - Prescription de Norfloxacine 2 x 400 mg par jour et nouveau dosage de l'antigène prostatique spécifique 1 mois plus tard Bonne(s) réponse(s) : E E - Une élévation du PSA n'est pas synonyme de carcinome prostatique, surtout s'il existe un adénome.
Question à compléments multiples. Parmi les éléments suivants, quels sont ceux qui argumentent le caractère glomérulaire d'une hématurie ? A - Association à la présence de leucocytes altérés B - Association à une protéinurie supérieure à 1 g/24 h C - Elévation de la bêta 2 microglobuline urinaire D - Caractère terminal de l'hématurie E - Présence de cylindres hématiques Bonne(s) réponse(s) : B E Sans commentaire.
Dans les cancers de la vessie, l'hématurie : A - Est totale si l'hémorragie est abondante B - Est terminale si l'hématurie est peu importante C - Est le témoin d'une lésion infiltrante D - Est constante si les localisations sont multiples E - Impose la cystectomie Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
Question a complément simple. Une jeune femme marocaine est en France depuis 4 ans. Elle tousse, a maigri, la température matinale est de 38°. Elle accuse une symptomatologie de cystite avec hématurie microscopique. L'uroculture est stérile avec une leucocyturie importante. Vous évoquez prioritairement : A - Glomérulonéphrite subaiguë B - Thrombose veineuse rénale C - Cancer du rein D - Tumeur vésicale papillomateuse E - Tuberculose urinaire Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
Question à complément simple. Chez un sujet de 68 ans, la présence d'une hématurie de 500.000 hématies par minute fait soupçonner en premier : A - Une amylose rénale B - Un myélome C - Une tubulopathie toxique D - Un lupus érythémateux disséminé E - Une tumeur maligne vésicale Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Indiquez parmi les investigations ci-dessous, la plus appropriée chez un patient de 30 ans chez lequel ont été découvertes une protéinurie à 2 g/24 h et une hématurie microscopique. La P.A. est à 130/80 mmHg, la clairance de la créatinine à 1,7 ml/sec (100 ml/mn). Il n'y a pas d'anomalie morphologique des reins et des voies excrétrices urinaires à l'U.I.V. A - Echographie B - Scintigraphie rénale C - Biopsie rénale D - Urétéro-pyélographie rétrograde E - Aucune des investigation ci-dessus
L'hématurie terminale de ce patient peut a priori être rapportée à : A - L'adénome de prostate B - La lithiase vésicale C - Au syndrome tumoral du rein gauche D - A une éventuelle tumeur de vessie associée E - Aucune de ces causes
Bonne(s) réponse(s) : C C - Néanmoins, la PBR sera toujours précédée d'une échographie rénale bilatérale afin d'éliminer formellement des kystes rénaux.
Question à compléments multiples. Notez le ou les élément(s) suivant(s) qui oriente(nt) vers une origine vésicale de l'hématurie : A - Présence de cylindres hématiques B - Présence d'une protéinurie constante à 0,5 gr 0/00 C - Hématurie macroscopique terminale D - Douleurs rénales unilatérales E - Dilatation urétérale Bonne(s) réponse(s) : B C B - Une protéinurie de 0,5 g/l peut encore être expliquée par une hématurie macroscopique.
Question à compléments multiples. Dans les traumatismes du rein, l'hématurie est un signe : A - De gravité particulière B - D'atteinte de la voie excrétrice C - De fracture parenchymateuse D - Constant si le parenchyme est fracturé E - Qui contre indique l'UIV en urgence
Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire. Un patient de 60 ans, en bon état général, présente depuis 2 ans une dysurie objectivée par la débitmétrie (débit maximum = 8 ml/s pour une miction de 150 cc) et une pollakiurie nocturne (4 à 5 fois). Il signale, par ailleurs, des épisodes d'hématurie terminale. Le toucher rectal trouve un adénome évalué en échographie à 80 g. Les urines sont troubles à l'émission et l'examen cytobactériologique des urines met en évidence une infection à colibacille (105 germes/ml). La fonction rénale est normale. L'urographie intraveineuse montre un haut appareil fin avec un syndrome tumoral pur du pôle inférieur du rein gauche, une lithiase vésicale radio-opaque de 3 cm de diamètre, une vessie de lutte avec large empreinte prostatique bilobée et un résidu post-mictionnel d'environ 100 cc.
Question à complément simple. Quand une étiologie glomérulaire est trouvée à ces hématuries microscopiques isolées. Il s'agit le plus souvent d'une glomérulopathie. De quel type ? A - Extramembraneux B - Membranoprolifératif avec dépôts d'lgA C - Prolifératif extracapillaire D - Mésangial à dépôts d'IgA et/ou de C3 E - Changements glomérulaires minimes Bonne(s) réponse(s) : D Ou maladie de Berger.
Bonne(s) réponse(s) : B C Sans commentaire.
Question à complément simple. A plusieurs reprises, l'hématurie macroscopique a revêtu un caractère terminal. Ce caractère évoque surtout : A - Une origine rénale haute B - Une glomérulonéphrite hématurique C - Une malformation vasculaire intrarénale D - Une tumeur du rein E - Une cause vésicale Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
Question à complément simple. Dans le contexte clinique décrit, quelle parasitose évoquezvous comme possible à l'origine de ces hématuries ? A - Filariose loa loa B - Ankylostomose C - Lambliase ou giardiase D - Schistosomose E - Distomatose Bonne(s) réponse(s) : D
RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM - QCS Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Quel élément clinique prouve qu'il s'agit bien d'une hématurie ? A - Les urines rouges sont émises pendant la miction B - Les mictions sont indolentes C - La coloration persiste à ébullition D - La présence de caillots E - Les urines sédimentent au repos
La malade refusant toute hospitalisation, il a été décidé en l'absence d'hématurie ou d'insuffisance rénale associées de faire un traitement actif. Quel est le schéma choisi parmi les suivants ? A - Cyclosporine 10 mg/kg/jour pendant six mois B - Cyclophosphamide 3 mg/kg/jour pendant trois mois C - Prednisone 0,10 mg/kg/jour pendant six mois D - Prednisone 0,10 mg/kg/jour pendant quatre semaines E - Prednisone 1,5 mg/kg/jour pendant quatre semaines
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : E
Mr Z., 56 ans, agent d'assurance, vient consulter pour des hématuries d'apparition récente. C'est la veille que le malade a constaté, en allant aux toilettes, que ses urines étaient uniformément rouge foncé, et depuis, toutes ses mictions indolentes et normalement espacées sont colorées, avec quelques caillots. Mr Z. est très inquiet mais ne décrit aucun autre trouble fonctionnel. Dans les antécédents vous notez : - une appendicectomie à 20 ans - une crise de colique néphrétique droite à 42 ans suivie de l'expulsion d'un petit calcul d'acide urique - à 52 ans une artérite des membres inférieurs ayant nécessité un pontage ilio-fémoral, avec un résultat fonctionnel excellent Depuis l'intervention, il prend régulièrement des antivitamines K (Sintrom® 0,5 à 1.5 cp/j) - il s'agissait d'un grand fumeur qui a définitivement arrêté de fumer après l'intervention. A l'examen clinique : - l'état général est floride - les urines recueillies dans deux verres, en début de consultation, sont uniformément colorées de sang - l'abdomen est souple : il n'y a pas de masse perceptible abdominale ou lombaire - les organes génitaux externes sont normaux - au TR, la prostate est ferme, de taille et de consistance normales - fréquence cardiaque 70, TA 18/10 cm Hg. Mr Z. apporte le résultat de ses derniers examens sanguins effectués l'avant veille de l'apparition du saignement : taux de prothrombine 43 %, urée sanguine 6 mmol/l, créatinine 90 micromol/l, hématies 5 800 000, leucocytes 6 500, hémoglobine 46 g/l, glycémie 5 mmol/l.
E - Il s'agit du traitement d'un syndrome néphrotique pur. Théoriquement, chez l'adulte, il faut faire une ponction-biopsie rénale pour faire le diagnostic du type histologique, car il ne s'agit pas le plus souvent d'une néphrose lipoïdique, cortico-sensible, comme chez l'enfant.
Question à complément simple. Après trois mois d'évolution, le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 gr/24 h, hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr pour mille, pas d'insuffisance rénale. Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion sera trouvé ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'lgA C - Artériolite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Rein optiquement normal Bonne(s) réponse(s) : D Par argument de fréquence, c'est parmi les items proposés celui qui est le plus souvent responsable de syndrome néphrotique, souvent impur chez l'adulte. A noter que l'histologie la plus fréquemment retrouvée au cours des syndromes néphrotiques de l'adulte est la hyalinose segmentaire et focale.
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Question à complément simple. Quel élément clinique prouve qu'il s'agit bien d'une hématurie ? A - Les urines rouges sont émises pendant la miction B - Les mictions sont indolores C - La coloration persiste à ébullition D - La présence de caillots E - Les urines sédimentent au repos Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE. M. Z. , 56 ans, agent d'assurance, vient consulter pour des hématuries d'apparition récente. C'est la veille que le malade a constaté, en allant aux toilettes, que ses urines étaient uniformément rouge foncé, et, depuis, toutes ses mictions indolores et normalement espacées sont colorées, avec quelques caillots; M. Z. est très inquiet, mais ne décrit aucun autre trouble fonctionnel. Dans les antécédents vous notez : - une appendicectomie à 20 ans - une crise de colique néphrétique droite à 42 ans suivie de l'expulsion d'un petit calcul d'acide urique - à 52 ans une artérite des membres inférieurs ayant nécessité un pontage ilio-fémoral, avec un résultat fonctionnel excellent. Depuis l'intervention, il prend régulièrement des antivitamines K (Sintrom® : 0,5 à 1,5 c/j) - il s'agissait d'un grand fumeur qui a définitivement arrêté de fumer après l'intervention. A l'examen clinique : - l'état général est floride - les urines recueillies dans deux verres, en début de consultation, sont uniformément colorées de sang ; - l'abdomen est souple : il n'y a pas de masse perceptible abdominale ou lombaire. - les organes génitaux externes sont normaux. - au TR, la prostate est ferme, de taille et de consistance normales - fréquence cardiaque 70, TA 18/10 cm Hg M. Z. apporte le résultat de ses derniers examens sanguins effectués l'avant veille de l'apparition du saignement : taux de prothrombine 43 %, urée sanguine 6 mmol/l, créatinine 90 micromol/l, hématies 5 800 000/mm3, leucocytes 6500/mm3, hémoglobine 14,6 g/dl, glycémie 5 mmol/l.
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Question à complément simple. Après trois mois d'évolution, sous traitement le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 g/24 h hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr 0/00, pas d'insuffisance rénale. Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion peuton s'attendre à trouver ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'IgA C - Vascularite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Lésions glomérulaires minimes Bonne(s) réponse(s) : D La glomérulonéphrite extramembraneuse est le plus souvent corticorésistante.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Parmi ces différentes affirmations concernant les hyponatrémies, quelle est celle que vous retenez ? A - L'hyponatrémie est due à un hyperaldostéronisme B - L'hyponatrémie est liée à une diminution du capital sodé de l'organisme C - L'hyponatrémie entraîne une hyperhydratation cellulaire D - Quelqu'en soit le mécanisme, l'hyponatrémie se corrige par des apports sodés E - La baisse de la natrémie stimule la sécrétion d'ADH
Dans quelle(s) circonstance(s) parmi les suivantes peut on rencontrer une hyponatrémie ? A - Hyperlipidémie B - Syndrome de Conn C - Glycémie élevée D - Hypercalcémie E - Traitement par thiazides
Bonne(s) réponse(s) : C Il existe dans la formulation de ce QCM des erreurs qui le rendent critiquable. En effet toute diminution de l'osmolarité plasmatique entraînera en proportion inverse une diminution de l'hydratation intracellulaire, le nombre d'osmoles du milieu intracellulaire étant fixe, équilibré, l'osmolarité intracellulaire ne peut varier qu'en fonction de l'hydratation intracellulaire. L'ambiguïté dans le QCM, ici, vient du terme hyponatrémie. Habituellement, la natrémie et l'osmolarité évoluent de façon parallèle, cependant il existe des cas où il y a dissociation entre la natrémie et l'osmolarité (on utilise parfois les termes de fausse hyponatrémie). Ces cas surviennent lorsqu'il existe d'autres agents osmotiquement actifs en grande quantité (acidocétose, coma hyperosmolaire, dysprotéinémie monoclonale, dyslipidémies extrêmes, utilisation de mannitol etc...). A cette réserve près, la seule réponse possible est la C. L'aldostérone entraîne une rétention hydrosodée, jouant sur le secteur extracellulaire et non sur le secteur intracellulaire, donc sans modification de la natrémie. La diminution du capital sodé entraîne par contre une déshydratation extracellulaire. Les apports sodés corrigent une diminution du volume extracellulaire et ne jouent pas sur le secteur intracellulaire. Le stimulus principal de la sécrétion d'ADH est la déshydratation intracellulaire, habituellement associée une hypernatrémie.
Question à compléments multiples. Une hyponatrémie à 125 mmol/l associée à une hypochlorémie à 70 mmol/l et une alcalose métabolique fait suspecter chez un malade déshydraté : A - L'abus de diurétiques et/ou de laxatifs B - Une cirrhose alcoolique C - Une insuffisance cardiaque D - Une sténose pylorique E - Une insuffisance rénale organique Bonne(s) réponse(s) : A D A la réserve suivante : l'abus de diurétiques thiazidiques ou de diurétiques de l'anse peut être responsable de tels tableaux ; par contre, l'abus de laxatifs entraîne beaucoup plus rarement une alcalose.
Bonne(s) réponse(s) : A C E A C - Représentent des cas de "fausses hyponatrémies", où la natrémie n'est plus le reflet de l'osmolarité plasmatique en raison de l'existence d'autres osmoles. Dans le cas des hyperglycémies, ce tableau se rencontre dans les comas hyperosmolaires. Au cours du traitement par un diurétique il peut y avoir hyponatrémie lorsque la perte en sel excède la perte en eau. Cela correspond au tableau d'hyponatrémie par déplétion. Dans le syndrome de Conn, il y a rétention hydrosodée avec hyperhydratation extracellulaire pure et le secteur intracellulaire est normal ; il peut même y avoir hypernatrémie, en raison de l'activité "hydrourétique". c'est à dire anti ADH des corticoïdes. Un homme de 65 ans est hospitalisé pour dyspnée d'apparition récente et troubles confusionnels. Sont également cliniquement notés : - des antécédents de bronchite chronique sur un tabagisme ancien - une HTA évoluant depuis 10 ans et traitée par Modurétic® et Catapressan® - une altératIon récente de l'état général - la T.A. est à 130/85, la T° à 37° - à l'auscultatIon pulmonaire, diminution du murmure vésiculaire à gauche et râles bronchiques. Le reste de l'examen clinique est normal. Dans le sang : hémoglobine 11,8 g/100ml, hématocrite 37 %, G.B 9 800, urée 0,20 g/l, créat 10 mg/l, uricémie 30 mg/l, protidémie 70 g/l, cholestérol 2,6 g/l, natrémie 115 mEq/l, chlore 80 mEq/l, kaliémie 4,5 mEq/l, osmolalite plasmatique 230 mOsm/kg, cortisolémie normale, bicar 28 mEq/l. Dans les urines : prot 0, glycosurie 0, densité 1020, osmolalité 496 mOsm/kg. La radiographie du thorax montre une atélectasie lobaire supérieure gauche avec épanchement pleural du même côté.
Question à complément simple. La correction de l'hyponatrémie dans ce contexte nécessite : A - La prise d'antialdostérone B - Un apport de soluté salé à 9 g pour mille intraveineux (deux litres) C - Un apport de soluté bicarbonaté a 14 g pour mille intraveineux (deux litres) D - Des coticoïdes en flash intraveineux, 1 g de prednisone E - Une ultrafiltration par une technique d'hémodialyse Bonne(s) réponse(s) : E Le traitement de l'insuffisance rénale chronique arrivée au stade ultime de son évolution. Notons que l'administration d'antialdostérone est formellement contre-indiquée en raison du risque d'hyperkaliémie... qui est de toute façon déjà constituée. L'apport de soluté salé isotonique ne ferait qu'accroître l'hypervolémie extracellulaire de cette patiente. Le soluté bicarbonaté isotonique aurait le même effet. L'administration de prednisone n'a jamais constitué le traitement d'une hyponatrémie.
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Question à compléments multiples. Pour porter le diagnostic d'hydronéphrose par maladie de jonction pyélo-urétérale, il est indispensable de constater : A - Diminution de l'index parenchymateux B - Dilatation pyélique ou pyélocalicielle C - Retard à la visualisation de l'uretère D - Diminution de la valeur fonctionnelle du rein E - Rein muet Bonne(s) réponse(s) : ANNULEE
Question à compléments multiples. Chez un patient en anurie par calcul radio-opaque de 12 mm de diamètre bloqué à la jonction pyélo-urétérale sur un rein unique, en bon état général sans déséquilibre biologique important, et sans fièvre, indiquez les attitudes thérapeutiques possibles : A - Faire une pyélolithotomie (ou chirurgie percutanée) B - Monter une sonde urétérale de drainage C - Prescrire des anti-inflammatoires D - Mettre en diurèse forcée pour expulser le calcul E - Faire une lithotritie extracorporelle Bonne(s) réponse(s) : A B Sans commentaire.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Chez un homme de 40 ans obèse, hospitalisé d'urgence pour crises de colique néphrétique gauche, les clichés tardifs de l'U.I.V. objectivent une lithiase radiotransparente de l'uretère lombaire gauche. Vous posez une indication opératoire d'urgence pour une des raisons suivantes : A - Les douleurs sont très vives B - Le calcul a plus de 1 cm de diamètre C - Il existe depuis 48 heures une fièvre à 40°C D - Il s'agit d'une lithiase urique E - Le calcul est de siège lombaire
Un homme obèse a présenté une crise de colique néphrétique dont l'exploration biologique et radiologique a montré qu'il s'agissait d'une lithiase urique ; le traitement médical, pour éviter la récidive, comporte : A - Alcalinisation urinaire B - Urico-éliminateur C - Inhibiteurs de la xanthine-oxydase D - Cure de diurèse E - Colchicine Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : C Les indications chirurgicales en urgence lors des coliques néphrétiques sont les suivantes : douleurs persistantes et rebelles au traitement, anurie, blocage d'urine infectée avec fièvre.
Les uricoéliminateurs sont contre-indiqués en cas de lithiase urique. L'utilisation d'un traitement hypouricémiant par inhibiteurs de la xanthine oxydase n'est indiqué qu'en cas d'hyperuricémie associée.
Question à complément simple. Question à complément simple. Les lithiases rénales phospho-amoniaco-magnésiennes traduisent : A - Une hyperphosphorémie B - Une hypophosphorémie C - Une infection à germes uréasiques D - Une hypercalciurie E - Une hyperuraturie Bonne(s) réponse(s) : C
Chez un homme de 59 ans porteur d'une lithiase pyélique droite radio-transparente non obstructive, l'uricémie est à 400 micromol/l, l'uricosurie de 4200 micromol/24h, le pH urinaire varie entre 5 et 5,5 et les urines sont stériles, indiquez la nature de la lithiase : A - Oxalate de calcium B - Acide urique C - Phosphate ammoniaco-magnésien D - Cystine E - Phosphate de calcium
Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : B
Question à compléments multiples.
On rappelle que les lithiases radiotransparentes sont les lithiases uriques et xanthiques, les lithiases radio opaques sont les lithiases oxalocalciques, phosphatocalciques et cystiniques.
Indiquez parmi les médicaments suivants, celui ou ceux qui sont uricosurique(s) et risque(nt) de créer une lithiase urique : A - Allopurinol B - Thiopurinol C - Benziodarone (Amplivix®) D - Acide orotique E - Urate oxydase Bonne(s) réponse(s) : C A B D - Sont des inhibiteurs de la synthèse de l'acide urique, agissant respectivement au niveau de la xanthine oxydase pour l'allopurinol et au niveau de la synthèse de la xanthine pour le thiopurinol. C'est un puissant uricosurique, contre indiqué en cas d'uraturie>700mg par jour. E - Est une enzyme transformant l'acide urique en allantoïne.
Question à complément simple. Parmi les moyens suivants, un est parfaitement adapté au traitement de la lithiase urique, lequel ? A - Diurèse 1,5 l/24 h B - Diurétiques thiazidiques C - Alcalinisation urinaire D - Acidification des urines E - Imurel® (azathioprine) Bonne(s) réponse(s) : C Permet la dissolution de la lithiase. La précipitation de l'acide urique est favorisée par le milieu acide.
Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) la(les) forme(s) de lithiase urinaire radiotransparente(s), parmi les suivantes ? A - Phosphates ammoniaco-magnésiens B - Urique C - Phosphates de calcium D - Xanthique E - Oxalique Bonne(s) réponse(s) : B D Les lithiases uriques et xanthiques sont radiotransparentes. Les lithiases calciques sont radio-opaques (la lithiase oxalique est faite de cristaux d'oxalate de calcium). Les lithiases phospho-ammoniaco-magnésiennes et cystiniques sont faiblement radio opaques.
Question à complément simple. Parmi les compositions chimiques des lithiases urinaires chez l'homme quelle est celle dont la fréquence est la plus élevée ? A - Oxalates de calcium B - Acide urique C - Cystine D - Médicamenteux E - Phospho-ammoniaco-magnésienne Bonne(s) réponse(s) : A Après A, il s'agit de B puis de E. C et D sont très rares.
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Question à compléments multiples.
Question à complément simple.
La lithiase vésicale chez l'homme peut entraîner : A - Des signes de cystite B - Une anurie réflexe C - Une hématurie initiale D - Une hématurie terminale E - Des mictions en 2 temps
Quelle attitude devra-t-on adopter vis-à-vis de cette lithiase ? A - Réaliser rapidement une pyélotomie B - Attendre une migration spontanée C - Proposer une alcalinisation prolongée D - Mettre le malade sous diurétiques E - Monter une sonde urétérale
Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) réponse(s) : C
L'anurie signifie qu'il n'y a pas d'urine ou moins de 300 cc dans la vessie. L'hématurie initiale est en faveur d'une pathologie urétrale.
Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Un patient de 40 ans présente des coliques néphrétiques récidivantes. La calciurie est mesurée à 450 mg/24 heures, l'analyse du calcul est en faveur d'une lithiase d'oxalate de calcium. Quelle(s) mesure(s) diététique(s) conseillez-vous à ce patient ? A - Consommation régulière de 2 litres d'eau par jour B - Diminution de la ration calcique à moins de 600 mg/24 h C - Eviter de boire de l'eau "Volvic" D - Le chocolat sera évité E - L'alcalinisation des urines par consommation d'eau de Vichy Bonne(s) réponse(s) : A B D A - Une diurèse abondante diminue la cristallisation d'oxalate de calcium. B - Il existe une hypercalciurie, d'où l'intérêt de diminuer la ration calcique. C - L'eau de Volvic est riche en calcium et donc à éviter. D - Le chocolat est riche en oxalate, et donc à éviter. E - Le Ph urinaire n'influence pas la cristallisation de l'oxalate de Ca.
Question à compléments multiples. L'hypothèse diagnostique d'une lithiase reconnaît comme élément(s) caractéristique(s) : A - Le pH urinaire B - La calciurie C - La phosphorémie D - L'uraturie E - L'absence d'infection urinaire Bonne(s) réponse(s) : A D L'acidité favorise la précipitation de l'acide urique. L'uraturie élevé (> 750 mg par jour) aussi...
Question à complément simple. On constate I'existence d'une lithiase transparente de la taille d'une cerise siègeant dans le bassinet droit sans distension marquée des cavités sus-jacentes. Quelle est la nature chimique probable de ce calcul ? A - Oxalocalcique B - Phospho-amoniaco-magnésienne C - Urique D - Cystinique E - Phosphocalcique
Question à compléments multiples. Pour prévenir la survenue d'une lithiase urique, vous conseillez : A - Une diminution des apports calciques B - Une diminution des apports glucidiques C - Une alcalinisation des urines D - Des gels d'alumine pour abaisser le phosphore E - Des boissons abondantes Bonne(s) réponse(s) : C E Le traitement préventif de la lithiase urique (c'est la forme neutre acide qui précipite) repose sur l'hyperdiurèse alcaline.
Question à compléments multiples. Les urgences chirurgicales de la lithiase des voies excrétrices supérieures comprennent : A - L'anurie B - La pyurie C - L'hématurie D - La colique néphrétique E - La rétention purulente d'urine Bonne(s) réponse(s) : A E - L'anurie s'observe lorsqu'il y a un obstacle sur un rein unique, ou lorsque l'obstacle est bilatéral et expose à l'hyperkaliémie. - La rétention purulente expose au choc septique à bacille gram négatif avec hypotension artérielle et insuffisance cardiocirculatoire.
Question à compléments multiples. Quel(s) aurait (auraient) pu être le(s) traitement(s) de cette lithiase calicielle avant son enclavement ? A - Une lithotripsie extra-corporelle B - Une urétéroscopie C - Une néphrolithotomie D - Une alcalinisation des urines E - La surveillance Bonne(s) réponse(s) : A C L'alcalinisation des urines serait une erreur, puisqu'il ne s'agit pas d'un calcul d'acide urique (lithiase radiotransparente). La surveillance simple expose à la migration calculeuse et aux complications infectieuses.
Bonne(s) réponse(s) : C On rappelle que les lithiases radiotransparentes sont les lithiases uriques et xanthiques, les lithiases radio-opaque sont oxalocalciques, phosphatocalciques et cystiniques. Les lithiases phosphoamoniacomagnèsiennes sont radio-opaques de façon variable.
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Question à complément simple. On constate l'existence d'une lithiase transparente de la taille d'une cerise siègeant dans le bassinet droit sans distension marquée des cavités sus-jacentes. Quelle est la nature chimique probable de ce calcul ? A - Oxalo-calcique B - Phosphoamoniaco-magnésienne C - Urique D - Cystinique E - Phospho-calcique Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à complément simple. Quelle attitude devra-t-on adopter vis-à-vis de cette lithiase ? A - Réaliser rapidement une pyélotomie B - Attendre une migration spontanée C - Proposer une alcalinisation prolongée D - Mettre le malade sous diurétiques E - Monter une sonde urétérale Bonne(s) réponse(s) : C C - L'alcalinisation va solubiliser le calcul uratique, à condition que le pH urinaire soit maintenu en permanence entre 7 et 8.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
La réapparition des troubles mictionnels chez un homme opéré 5 ans auparavant d'un adénome prostatique par taille, doit faire craindre en premier lieu : A - Une sclérose du col vésical B - Un rétrécissement de l'urètre bulbaire C - Une récidive de l'adénome prostatique D - Un cancer de la coque prostatique restante E - L'apparition secondaire d'une perte de capacité vésicale
Un homme de 25 ans, sans antécédent urologique, présente une fièvre à 40° associée à des brûlures mictionnelles, une dysurie, une pollakiurie et une pyurie. Ce tableau doit faire évoquer : A - Une pyélonéphrite aiguë B - Une tuberculose rénale C - Une urétrite aiguë D - Un cancer du rein E - Une prostatite aiguë
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : E D est l'hypothèse la plus défavorable, donc celle à craindre ; cependant il faut souligner l'ambiguïté de la question, ne précisant pas le type de l'opération. S'il s'agit d'une chirurgie par voie haute, c'est effectivement le premier diagnostic à évoquer ; si par contre il s'agit d'une résection par voie endo-uréthrale, c'est la récidive qui est la plus fréquente des éventualités. A peut également se produire, mais de façon plus exceptionnelle.
Question à complément simple. Une fillette urine normalement et sans douleur, mais entre les mictions, il existe une perte continue et peu abondante d'urine. Quel le diagnostic à envisager dans la liste suivante ? A - Cystite B - Lithiase vésicale C - Duplicité des voies excrétrices, avec abouchement ectopique D - Vessie neurologique E - Vessie instable Bonne(s) réponse(s) : C L'existence conjointe de mictions normales et d'une perte continuelle d'urine ne peut s'expliquer que par duplicité des uretères, l'un s'abouchant dans la vessie, l'autre le plus souvent au niveau du vagin.
Question à complément simple. Une femme de 22 ans, originaire de Guadeloupe a depuis 48 heures, des brûlures vésicales et urétrales et une pollakiurie. Chaque miction depuis la veille au soir est hématurique. La réaction de grossesse est positive. Vous évoquez prioritairement : A - Néphropathie gravidique B - Thrombose veineuse rénale C - Cystite aiguë D - Tumeur vésicale papillomateuse E - Bilharziose vésicale Bonne(s) réponse(s) : C Par argument de fréquence. Pour mémoire la bilharziose à S. haematobium responsable de la forme urinaire ne se rencontre pas aux Antilles.
Question à compléments multiples. Les mictions par regorgement se rencontrent chez les malades ayant : A - Un faible résidu post-mictionnel et des fuites d'urines B - Un résidu post-mictionnel important et pas de fuites d'urines C - Un résidu post-mictionnel important et des fuites d'urines D - Pas de résidu post-mictionnel et des fuites d'urines E - Un faible résidu post-mictionnel et pas de fuites d'urines Bonne(s) réponse(s) : C
E La survenue brutale chez un sujet jeune d'une infection urinaire fébrile doit faire discuter a priori une pyélonéphrite aiguë ou une prostatite aiguë. L'importance des troubles mictionnels et l'absence de signes lombaires sont en faveur de cette dernière hypothèse. Le diagnostic repose sur le toucher rectal.
Question à compléments multiples. Les fuites involontaires d'urines, à besoin normal et à miction conservée, de nuit comme de jour, peuvent chez la jeune fille de 16 ans être en rapport avec : A - Une incontinence urinaire d'effort B - Une malformation portant sur l'urèthre C - Une vessie neurologique D - Un abouchement anormal d'un uretère E - Un syndrome de la jonction pyélo-urétérale Bonne(s) réponse(s) : D A. Fuite d'urines lors des efforts, donc en général uniquement diurnes. B. Donne des rétentions avec éventuellement mictions par regorgement. C. Besoins et mictions ne sont pas conservés. D. Notamment, abouchement de l'uretère dans le vagin (souvent en cas de bifidité) urétérale. E. Ne donne pas de fuite d'urine.
Question à compléments multiples. Les fuites involontaires d'urines.(à mictions conservées), de nuit comme de jour, peuvent chez la jeune fille de 16 ans être en rapport avec : A - Une incontinence urinaire d'effort B - Une malformation portant sur l'urèthre C - Une vessie neurologique D - Un abouchement anormal d'un uretère E - Un syndrome de la jonction pyélo-urétérale Bonne(s) réponse(s) : ANNULEE
Question à complément simple. Un homme de 25 ans, sans antécédent urologique, présente une fièvre à 40° associée à des brûlures mictionnelles, une dysurie, une pollakiurie et une pyurie. Ce tableau doit faire évoquer : A - Une uréthrite aiguë B - Une tuberculose rénale C - Un cancer du rein D - Une prostatite aiguë E - Une pyélonéphrite aiguë Bonne(s) réponse(s) : D La dysurie signe la prostatite aiguë lorsqu'il existe une fièvre à 40°. La pyélonéphrite aiguë ne donne pas de dysurie. L'uréthrite ne donne pas de fièvre.
Par définition, les mictions par regorgement sont des pertes involontaires d'urine sur une vessie distendue. Il s'agit d'une "fausse" incontinence.
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Question à complément simple. Un examen cytobactériologique des urines effectué chez une femme qui présente une douleur sus-pubienne et des brûlures mictionnelles fournit les renseignements suivants (par mm3) : leucocytes : 5, hématies : 3, à l'examen direct : staphylocoques et entérocoques 10 exposant 5 /mm3. Quelle attitude convient-il d'observer ? A - Traiter l'infection par un antibiotique auquel les deux germes sont sensibles B - Faire pratiquer une urographie intra-veineuse C - Faire une recherche de B.K. dans les urines D - Refaire l'examen des urines un mois après E - Faire une cystoscopie Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Question à complément simple. Lors d'un épisode de pollakiurie avec dysurie, brûlures mictionnelles et hématurie initiale, on découvre chez un homme de 78 ans, une infection urinaire à coli-bacille (10 puissance 5/ml) et un taux sérique d'antigène prostatique spécifique à 25 nanogrammes par ml. La prostate est lisse, hypertrophiée,son poids est cliniquement évalué à 30 g. L'échographie sus-pubienne montre une zone hypoéchogène centrale. Le débit urinaire est à 8 ml/seconde. Quelle attitude adoptez-vous ? A - Echographie trans-rectale avec biopsies B - Résection trans-uréthrale de prostate à visée biopsique C - Cytoponction prostatique des deux lobes D - Dosage des phosphatases acides prostatiques E - Prescription de Norfloxacine 2 x 400 mg par jour et nouveau dosage de l'antigène prostatique spécifique 1 mois plus tard Bonne(s) réponse(s) : E E - Une élévation du PSA n'est pas synonyme de carcinome prostatique, surtout s'il existe un adénome.
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Question à compléments multiples. Une prostatite aiguë peut reconnaître comme étiologie(s) : A - Une urétrite B - Une épididymite C - Une orchite D - Un foyer d'infection O R L E - Une manoeuvre instrumentale endo-urétrale Bonne(s) réponse(s) : A D E Il est à noter que certaines orchiépididymites peuvent se compliquer d'une atteinte prostatique.
Question à complément simple. Toutes les propositions suivantes sont exactes concernant le traitement d'une prostatite aiguë, sauf une, laquelle ? A - Prescription d'antibiotiques B - Bains de siège C - Repos au lit D - Cathétérisme de l'urètre si rétention d'urine E - Incision en cas d'abcès Bonne(s) réponse(s) : D Contre indication formelle, la pratique de manoeuvre endo-uréthrales risquant d'entraîner une septicémie ou un choc septique.
Question à compléments groupés. Un tableau clinique de prostatite aiguë isolée peut comporter : 1 - Ecoulement urétral 2 - Fièvre 3 - Hématurie 4 - Rétention d'urine Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
Question à compléments multiples. La prostatite aiguë peut être responsable de : A - Fièvre B - Brûlures à la miction C - Dysurie D - Infection urinaire E - Rétention vésicale complète Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sans commentaire.
Question à complément simple. Les propositions suivantes concernent la prostatite aiguë, sauf une, laquelle ? A - Une prostate douloureuse B - Une rétention aiguë d'urine C - Brûlures mictionnelles D - Une prostate dure et pierreuse E - Une fièvre élevée Bonne(s) réponse(s) : D D - Signe le cancer.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
Une protéinurie est dite glomérulaire sélective lorsque l'électrophorèse des protéines urinaires permet de mettre en évidence dans les urines des protéines de poids moléculaires compris entre : A - 5 et 50 000 B - 50 000 et 90 000 C - 90 000 et 200 000 D - 200 000 et 300 000 E - Supérieur à 300 000
Un sujet de 43 ans à présenté à trois reprises une hématurie macroscopique importante. La dernière a duré trois jours avec des douleurs modérées lombaires gauches. Il n'y a pas de protéinurie. Une urographie intraveineuse, faite il y a deux ans, est normale. L'échographie montre un gros pôle inférieur du rein gauche sans cône d'ombre. Vous évoquez prioritairement : A- Glomérulonéphrite subaiguë B - Néphrite tubulaire toxique C - Cancer du rein D - Lithiase pyélique E - Bilharziose vésicale
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : C
Question à complément simple. Une protéinurie orthostatique chez une fille de 12 ans : A - A toutes les chances d'être bénigne B - Indique une maladie rénale sérieuse C - Est un signe habituel d'une glomérulonéphrite D - Dépasse 10g par jour E - Est associé à une hyperazotémie Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire.
Question à complément simple. Chez un enfant de 4 ans, à l'occasion d'une visite systématique, on découvre une protéinurie à 0,20 g/24h. L'examen cytobactériologique des urines pratiqué donne les résultats suivants : leucocytes : 20 000/ml, E. Coli 10 exposant 6 Après traitement, toutes les anomalies urinaires disparaissent : Quelle prescription faites-vous ? A - Doser la protéinurie, 2 mois après B - Faire une clairance de la créatinine C - Rechercher l'hématurie D - Faire une urographie intraveineuse E - Aucun examen à prescrire Bonne(s) réponse(s) : D Toute infection urinaire de l'enfant impose la mise en oeuvre d'une enquête étiologique.
Question à complément simple. Un sujet de 17 ans présente une protéinurie permanente avec cytologie urinaire normale. Le dosage pondéral est de 7,3 g/24 heures. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique B - Glomérulonéphrite subaiguë C - Protéinurie de Bence-Jones D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale
Sans commentaire.
Question à complément simple. Chez une jeune femme de 32 ans, chez qui a été découverte une association protéinurie-hématurie, les éléments cliniques suivants sont notés : état sub-fébrile de 37 à 38°C, syndrome polyarticulaire migrateur. On note une leucopénie à 3500 globules blancs. Parmi les diagnostics proposés, quel est celui qui, à priori, est le plus vraisemblable ? A - Amylose B - Lupus érythémateux disséminé C - Intoxication au plomb D - Pyélonéphrite aiguë E - Automédication à l'aspirine Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
Question à complément simple. Un sujet de 28 ans présente le lendemain du début d'une sinusite fébrile. une hématurie macroscopique avec protéinurie à 1g 0/00 : un épisode identique un an et trois ans auparavant après une angine. La protéinurie avait disparu en 48 heures. La tension artérielle et le taux plasmatique de la créatinine sont normaux. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique par hyalinose segmentaire et focale B - Glomérulonéphrite à dépôts d'IgA de type maladie de Berger C - Myélome à chaînes légères D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale Bonne(s) réponse(s) : B Il s'agit d'un syndrome néphritique, déclenché au décours immédiat d'un épisode infectieux.
Bonne(s) réponse(s) : A Les deux diagnostics à discuter devant une protéinurie aussi importante sont syndrome néphrotique ou protéinurie monoclonale. L'age du patient plaide contre cette seconde hypothèse. L'électrophorèse des protéines urinaires lèvera les derniers doutes.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Un homme de 58 ans commerçant rapatrié de Thio, présente une hématurie microscopique et macroscopique à trois reprises. La créatininémie est à 198 micromoles/l. La pression artérielle est élevée, il y a des oedèmes et une protéinurie à ++++. Il y a un an, bilan de santé normal. Vous évoquez prioritairement : A - Glomérulonéphrite B - Thrombose veineuse rénale C - Cancer du rein D - Tumeur vésicale papillomateuse E - Tuberculose vésicale
Une protéinurie à 0,15 g/24 heures rend peu probable(s) le(s) diagnostic(s) de : A - Néphrose lipoïdique B - Glomérulonéphrite post-streptococcique en période aiguë C - Néphropathie toxique des analgésiques D - Polykystose rénale E - Glomérulonéphrite chronique Bonne(s) réponse(s) : A B E Les néphropathies glomérulaires s'accompagnent le plus souvent de protéinurie supérieure ou égale à 1 g/jour.
Bonne(s) réponse(s) : A Là également, les éléments d'un syndrome néphritique : hématurie, protéinurie, HTA et insuffisance rénale sont réunis.
Question à compléments multiples. Parmi ces différentes propositions concernant les protéinuries, quelle(s) est(sont) celle(s) qui vous parai(ssen)t exacte(s) ? A - L'orthostatisme renforce toutes les protéinuries B - La protéine de Bence Jones est méconnue par la technique des bandelettes C - La protéinurie orthostatique s'accompagne d'une hématurie microscopique D - La protéine de Tamm-Horsfall est un des constituants de la protéinurie physiologique E - L'existence d'une protéinurie implique la prescription d'un régime hyperprotidique Bonne(s) réponse(s) : A B D A - L'orthostatisme et l'effort modifient la protéinurie, à la fois en modifiant la perméabilité, glomérulaire et le débit de filtration glomérulaire. B - Le bleu de bromophénol est un réactif coloré spécifique de l'albumine. C - Par définition, l'existence d'une anomalie urinaire associée doit faire réfuter le diagnostic de protéinurie orthostatique. D - Protéine sécrétée par le tubule et responsable en particulier de la formation des rouleaux. E - Le régime hyperprotidique n'est conseillée que lorsque la protéinurie est importante, réalisant le syndrome néphrotique. En cas d'insuffisance rénale, de nombreux auteurs estiment qu'un excès d'apports protidiques peut accélérer l'évolution de l'insuffisance rénale. En cas d'insuffisance rénale sévère, un apport supérieur à 1 g/kg/jour entraîne une hyperphosphorémie, une acidose et une élévation de l'urémie.
Question à complément simple. Un adulte de 60 ans présente une protéinurie qui n'est pas détectée à la bandelette, elle apparaît à la chaleur, puis disparaît à l'ébullition. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique B - Glomérulonéphrite subaiguë C - Protéinurie de Bence-Jones D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale Bonne(s) réponse(s) : C L'énoncé rappelle la définition initiale chimique du phénomène de Bence Jones.
Question à compléments multiples. Un diabétique traité à l'insuline depuis 25 ans est porteur d'une rétinopathie diabétique. Il n'a pas de protéinurie. On trouve une hypertrophie prostatique avec un résidu de 100 ml. Il existe une bactériurie importante à E.Coli. Parmi les affirmations suivantes, cochez celle(s) qui est(sont) exacte(s) : A - Le risque de pyélonéphrite aiguë est important B - L'infection urinaire est facilitée par les troubles de vidange vésicale C - Les troubles de tonicité vésicale liés au diabète peuvent favoriser l'infection ascendante D - En cas de pyélonéphrite aiguë, le risque de nécrose papillaire est important E - Une poussée d'infection urinaire aiguë peut décompenser le diabète Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Question à complément simple. Un sujet de 58 ans ne présente aucun antécédent, pression artérielle à 155/98 mmHg. A un dosage pondéral de protéinurie, la réponse est 3 g/24 heures. La recherche à la bandelette est négative, le taux de protéines sanguines est a 82g/l et la calcémie à 2,65 mmol/l. Quelle hypothèse diagnostique choisissez-vous pour orienter les investigations ? A- Polykystose rénale B - Lupus polyviscéral C - Purpura rhumatoïde D - Reflux vésico-urétéral E - Myélome Bonne(s) réponse(s) : E Seule une protéinurie monoclonale peut en première approche, expliquer une protéinurie à 3 g/jour, non détectée par le bleu de bromophénol, spécifique de l'albumine.
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Tous les items sont exacts, le diabétique prostatique étant un sujet à haut risque pour l'infection urinaire.
Question à compléments multiples. Sans antécédent clinique évocateur, quel(s) est(sont) le(s) signe(s) qui pour vous, évoque(nt) plutôt une glomérulonéphrite chronique devant un tableau de protéinurie isolée ? A - Présence en abondance de bêta 2 microglobuline B - Tous les paramètres d'exploration fonctionnelle rénale sont normaux sauf l'épreuve d'acidification C - La protéinurie est toujours supérieure à 2,5 g/24 heures D - A l'urographie intraveineuse, il existe des signes focaux de rétraction et de nécrose papillaire E - La patiente a fait pendant la période d'observation une hématurie terminale Bonne(s) réponse(s) : C D A - Protéine de faible PM. B - Evoque une tubulopathie. E624 - Plutôt atteinte vésicale.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
A propos de la protéinurie orthostatique il est exact que : A - Elle débute dans la première année de la vie B - Elle n'est jamais présente après une position de clinostatisme prolongée (position couchée) C - Elle apparaît en orthostatisme D - Elle ne doit pas empêcher de réaliser les vaccinations utiles E - L'immunoélectrophorèse indique qu'elle est riche en préalbumine et en bêta 2 microglobuline
La protéinurie orthostatique de l'enfant est caractérisée par : A - L'âge de détection est habituellement antérieur à 5 ans B - Elle est une manifestation mineure d'une maladie rénale chronique C - Elle est majorée en position verticale D - Elle disparaît en décubitus E - Elle s'accompagne d'une hématurie microscopique Bonne(s) réponse(s) : C D
Bonne(s) réponse(s) : B C D
Il n'y a jamais d'hématurie au cours d'une protéinurie orthostatique.
A. Non, la protéinurie orthostatique débute à la puberté et se poursuit pendant la croissance. B.C.D. Evidents. E. Non, cette protéinurie est constituée en majorité d'albumine.
Question à complément simple.
Question à compléments multiples. La protéinurie orthostatique est caractérisée par le(s) fait(s) suivant(s) : A - L'âge de détection usuel est la 2ème décennie de la vie B - C'est habituellement une manifestation mineure de maladie rénale chronique C - Il y a majoration de la protéinurie quand le patient est en position verticale D - Il y a disparition de la protéinurie en décubitus E - La protéinurie de 24 h n'excède que rarement 1 g
On découvre lors d'un examen systématique d'urine chez une fillette de 12 ans en bonne santé apparente, une protéinurie modérée de l'ordre de 0,60 g/l, I'examen cytologique urinaire montre la présence de 50 hématies et de 9 leucocytes/mm3. Quelle est la proposition fausse ? A - Une protéinurie orthostatique B - Une forme fruste de glomérulonéphrite aiguë C - Une néphropathie hématurique familiale D - Une glomérulonéphrite chronique idiopathique E - Une néphropathie lupique Bonne(s) réponse(s) : A A - Ne s'accompagne pas d'hématurie microscopique. Néanmoins, B et surtout E sont très peu vraisemblables.
Bonne(s) réponse(s) : A D E QCM dont le libellé est discutable. C : Difficile de dire qu'il y a majoration de la protéinurie en orthostatisme, puisque par définition, il n'y a pas de protéinurie en clinostatisme (réponse D).
Question à compléments multiples. La protéinurie orthostatique : A - Apparaît dès la naissance et persiste toute la vie B - Entraîne un syndrome néphrotique C - Est le premier signe d'une maladie glomérulaire de mauvais pronostic D - Nécessite la pratique d'une biopsie rénale E - Est de bon pronostic Bonne(s) réponse(s) : E Elle apparaît à la puberté et disparaît vers l'âge de 20 ans, surtout chez des adolescents longilignes. De bon pronostic, elle ne nécessite pas de P.B.R. sauf si la protéinurie persiste à l'âge adulte.
Question à compléments multiples. La protéinurie orthostatique : A - Se rencontre surtout chez les jeunes entre 12 et 16 ans B - Entraîne parfois un syndrome néphrotique C - Est sans gravité D - Nécessite une dispense d'activité sportive E - S'accompagne souvent d'une hématurie macroscopique Bonne(s) réponse(s) : A C Elle n'est pas liée à une maladie rénale, mais probablement à un trouble de la perméabilité capillaire, spontanément régressif.
Question à complément simple. Un sujet de 58 ans ne présente aucun antécédent, pression artérielle à 155/95 mmHg. La protéinurie est de 3 g/24 heures. La recherche à la bandelette est négative, le taux de protéines plasmatiques est à 82 g et la calcémie à 2,65 mmol %°. Compte tenu de l'orientation diagnostique choisie, quel examen pratiquez-vous en priorité ? A - Artériographie rénale B - Scanner C - Biopsie rénale sous échographie D - Myélogramme E - Urographie intraveineuse avec triple dose et clichés d'urétro-cystographie Bonne(s) réponse(s) : D La constatation d'une protéinurie sur le recueil des urines des 24 heures, alors que la bandelette est négative, signifie qu'il s'agit de chaînes légères et impose la recherche d'un myélome par une ponction sternale dans un premier temps, puis si besoin par une biopsie médullaire.
Question à compléments multiples. Une femme enceinte de 7 mois et demi a une pression artérielle de 16/10 cm de Hg, des oedèmes malléolaires, une uricémie élevée,une protéinurie à 2 g/24 h. L'auscultation cardiopulmonaire est normale. Parmi les traitements suivants lequel (ou lesquels) vous paraissent devoir être envisagé(s) ? A - Aldomet® B - Zyloric® (Allopurinol) C - Lasilix® D - Repos E - Césarienne Bonne(s) réponse(s) : A D
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L'Aldomet® est le traitement classique de l'HTA gravidique associé au repos en décubitus latéral gauche, pour favoriser la croissance du bébé. Le zyloric et le lasilix sont dangereux et n'ont pas d'indication. La césarienne ne s'imposera qu'en cas d'échec du repos associé à l'Aldomet® (retard de croissance in utéro, souffrance foetale, 625 ByHTA NADJI 85 incontrôlable).
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Un sujet de 58 ans ne présente aucun antécédent, pression artérielle à 155/95 mmHg. La protéinurie, est de 3 g/24 heures. La recherche à la bandelette est négative, le taux de protéines sériques est à 82 g/l et la calcémie à 2,65 mmol/l. Quelle hypothèse diagnostique choisir ? A - Polykystose rénale B - Lupus polyviscéral C - Purpura rhumatoïde D - Reflux vésico-urétéral E - Myélome
La découverte d'une protéinurie orthostatique chez un adolescent nécessite : A - La prescription d'un régime sans sel B - La prescription d'un régime modérément hypoprotidique C - L'arrêt de toute activité sportive D - L'interruption des vaccinations entreprises E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : E E - Une seule bonne réponse semble possible. L'interruption des vaccinations entreprises n'est plus une notion classique.
Bonne(s) réponse(s) : E Même commentaire que pour la question 1.1.QUESTION N°40.
Question à compléments multiples. Un taux de protéinurie à 0,15 g/24 heures rend peu probable le(s) diagnostic(s) de : A - Néphrose lipoïdique B - Glomérulonéphrite post streptococcique en période aiguë C - Néphropathie toxique des analgésiques D - Polykystose rénale E - Glomérulonéphrite chronique Bonne(s) réponse(s) : A B E Une protéinurie à 150 mg/24 h est presque à la limite de la protéinurie physiologique (100 mg/24 h).
Question à complément simple. Un adulte de 60 ans présente une protéinurie qui n'est pas détectée à la bandelette, elle apparait à la chaleur, puis disparait à l'ébullition. Le diagnostic le plus probable est : A - Syndrome néphrotique B - Glomérulonéphrite subaiguë C - Protéinurie de Bence-Jones D - Protéinurie orthostatique fonctionnelle E - Tubulopathie congénitale Bonne(s) réponse(s) : C C - Il s'agit d'une protéinurie composée de chaînes légères.
Question à compléments multiples. Parmi ces différentes propositions concernant les protéinuries, quelle(s) est ou sont celle(s) qui vous parai(ssen)t exacte(s) ? A - L'orthostatisme renforce toutes les protéinuries B - La protéine de Bence Jones est méconnue par la technique des bandelettes C - La protéinurie orthostatique s'accompagne d'une hématurie microscopique D - La protéine de Tamm-Horsfall est un des constituants de la protéinurie physiologique E - L'existence d'une protéinurie implique la prescription d'un régime hyperprotidique
Question à compléments multiples. Chez une patiente qui a eu de nombreux épisodes d'infection du haut appareil urinaire, la présence d'une protéinurie permanente à 0,6 g/24 heures avec créatinémie normale, une fois traitée la bactériurie avec efficacité : A - Est en faveur d'une pyélonéphrite chronique B - Est due à un effet toxique des anti-infectieux C - Impose une urographie intra-veineuse D - Est liée au type bactériologique de l'infection E - Justifie un nouveau traitement anti-bactérien Bonne(s) réponse(s) : A C A - La néphropathie tubulo-interstitielle chronique par pyélonéphrite chronique ne donne classiquement pas de protéinurie supérieure à 1 g/24 heures. B - La toxicité rénale des aminosides utilisés dans le traitement des pyélonéphrites se caractériserait par une élévation de la créatininémie. C - L'UIV est importante car elle permet de faire le diagnostic d'une éventuelle uropathie malformative (reflux vésico-urétéral, lithiase, etc...) qui pourrait nécessiter un traitement propre.
Question à complément simple. Indiquez parmi les investigations ci-dessous, la plus appropriée chez un patient de 30 ans chez lequel ont été découvertes une protéinurie à 2 g/24 h et une hématurie microscopique. La P.A. est à 130/80 mmHg, la clairance de la créatinine à 1,7 ml/sec (100 ml/mn). Il n'y a pas d'anomalie morphologique des reins et des voies excrétrices urinaires à l'U.I.V. A - Echographie B - Scintigraphie rénale C - Biopsie rénale D - Urétéro-pyélographie rétrograde E - Aucune des investigation ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : C C - Néanmoins, la PBR sera toujours précédée d'une échographie rénale bilatérale afin d'éliminer formellement des kystes rénaux.
Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
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Après trois mois d'évolution, le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 gr/24 h, hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr pour mille, pas d'insuffisance rénale.
Quel(s) est(sont) à votre avis le(s) élément(s) qui est(sont) en faveur d'une protéinurie tubulaire ? A - Faible taux par litre et par 24 heures B - Présence d'une hématurie microscopique associée C - Abondance de bêta 2 microglobuline D - Protéinurie non sélective E - Présence d'haptoglobine et d'immunoglobuline
Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion sera trouvé ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'lgA C - Artériolite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Rein optiquement normal Bonne(s) réponse(s) : D Par argument de fréquence, c'est parmi les items proposés celui qui est le plus souvent responsable de syndrome néphrotique, souvent impur chez l'adulte. A noter que l'histologie la plus fréquemment retrouvée au cours des syndromes néphrotiques de l'adulte est la hyalinose segmentaire et focale.
Question à compléments multiples. Devant une protéinurie massive de ce type avec oedème, un certain nombre de complications sont envisageables. Laquelle ou lesquelles dans ce contexte ? A - Embolie pulmonaire B - Insuffisance cardiaque C - Choc hypovolémique D - Ascite et épanchement pleural E - Hypolipémie importante Bonne(s) réponse(s) : A C D Sans commentaire.
Question à complément simple. La patiente a été traitée. Au bout de dix ans, la créatinine est à 125 micromoles pour mille, la protéinurie est à 3,5 g/24 heures, les oedèmes sont discrets sans traitement. Devant cette notion évolutive, quel est votre choix diagnostic (il peut être différent ou identique du diagnostic initial) ? A - Rupture rénale incomplète B - Rupture intima des artères rénales C - Blessure, puis sténose urétérale D - Syndrome néphrotique E - Thrombose des veine sus-hépatiques Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
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Bonne(s) réponse(s) : A C Les protéinuries tubulaires se caractérisent par leur taux relativement modeste (A) et par la large prédominance de protéines de bas poids moléculaire, qui normalement, après avoir été filtrées par le glomérule doivent être réabsorbées par le tubule. Leur présence dans l'urine traduit l'altération de cette fonction tubulaire. La bêta 2 microglobuline est une de ces protéines de poids moléculaire inférieur à celui de l'albumine (C). La présence d'une hématurie associée est un élément militant en faveur d'une origine glomérulaire avec sans doute des lésions de prolifération. Le caractère sélectif ou non de la protéinurie, quand celle-ci est composée en majorité d'albumine est un indice permettant de différencier lésions glomérulaires minimes ou lésions glomérulaires histologiquement décelables. Mais il s'agit toujours de protéinurie glomérulaire (D). L'item E est également un indice de non sélectivité. Mademoiselle G, est suivie depuis l'enfance dans un service de néphrologie pédiatrique. Elle a suivi les indications thérapeutiques jusqu'à l'âge de 15 ans où elle a fait une fugue. Elle refuse depuis 2 ans l'avis de sa mère pour consulter en médecine d'adulte. Elle présente une insuffisance rénale : dernier dosage il y a 1 an à 196 micromol pour mille de créatinine. La protéinurie est de faible taux : 20 cg pour mille, diurèse moyenne de 2500/24 heures.
Question à complément simple. Le traitement s'est avéré efficace. Il survient trois rechutes dans les six mois suivants. La derniere rechute s'avère résistante. La protéinurie et les oedémes persistent. Quelle est l'attitude à adopter ? A - Traitement symptômatique des oedèmes B - Traitement symptômatique des oedèmes et antiagrégants plaquettaires C - Poursuite du traitement corticoïde à faible dose D - Poursuite du traitement corticoïde à forte dose E - Néphrectomie bilatérale Bonne(s) réponse(s) : B La poursuite de la corticothérapie étant inefficace, le traitement étiopathogénique devra être guidé par les résultats de la PBR. Par ailleurs il convient de poursuivre un traitement symptomatique (restriction sodée, alimentation hyperprotidique et enrichie en potassium, sauf si insuffisance rénale, diurétique) associé à un traitement préventif de la survenue d'accidents thromboemboliques, car une des grandes complications des syndromes néphrotiques est la survenue de phlébothrombose, le risque étant corrélé à l'importance de la protéinurie et de l'hypoprotidémie.
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Question à complément simple.
Question à complément simple.
La protéinurie dans le tableau fourni est compatible avec le diagnostic suivant : A - Syndrome néphrotique pur (néphrose lipoïdique) B - Hypertension artérielle malignisée C - Glomérulosclérose diabétique D - Toxicité des diurétiques thiazidiques E - Trouble de perméabilité glomérulaire
Après trois mois d'évolution, sous traitement le tableau clinique et biologique est le suivant : oedèmes importants remontant jusqu'aux lombes, protéinurie 24 g/24 h hématurie microscopique discrète, albuminémie 18 gr 0/00, pas d'insuffisance rénale. Une biopsie rénale étant pratiquée, quel type de lésion peuton s'attendre à trouver ? A - Glomérulonéphrite proliférative endocapillaire B - Glomérulonéphrite intercapillaire à dépôts d'IgA C - Vascularite avec lésions nécrosantes D - Glomérulonéphrite extramembraneuse E - Lésions glomérulaires minimes
Bonne(s) réponse(s) : E Par définition, un syndrome néphrotique comporte une protéinurie > 3 g/24h. On ne peut donc cocher A. Aucun argument pour une HTA maligne dans cette observation. La glycémie à jeun est normale, ce qui élimine un rein diabétique qui survient lors de diabètes anciens déséquilibrés. La toxicité rénale des thiazides ne donne pas de protéinurie. Un sujet de 64 ans est adressé à la consultation pour une protéinurie de découverte récente : 2,6 g/24 h sans hématurie microscopique ni bactériurie. Il existe une hypertrophie prostatique à l'examen clinique non compliquée. Il n'y a pas de symptômes cliniques à l'interrogatoire, le sujet est obèse, sa glycémie à jeun est normale. L'échographie rénale montre une lithiase pyélique gauche sans dilatation en amont, il n'y a pas d'anomalie de la voie excrétrice ou de la morphologie rénale, le sujet est traité depuis trois ans pour hypertension modérée par association Aldactone® + diurétique thiazique. Ce jour, à l'examen, la pression artérielle est à 158/94 mm de mercure. Le taux de protéines sanguines est à 81g/l, la VS est élevée, la créatinine à 178 micromol/l.
Bonne(s) réponse(s) : D La glomérulonéphrite extramembraneuse est le plus souvent corticorésistante.
Question à compléments multiples. Devant une protéinurie massive de ce type avec oedème, un certain nombre de complications sont prévisibles. Laquelle ou lesquelles peuvent survenir dans ce contexte ? A - Embolie pulmonaire B - Insuffisance cardiaque C - Choc hypovolémique D - Ascite et épanchement pleural E - Hypolipémie importante
Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Parmi les examens suivants, quel est ou quels sont celui ou ceux qui vous paraît(ssent) utile(s) au diagnostic étiologique de la protéinurie ? A - Cytologie en contraste de phase B - Dosage de l'hémoglobine glycosylée C - Immuno-électrophorèse des protéines plasmatiques et urinaires D - Echographie hépatique E - Myélogramme
QUESTION ANNULEE. Le syndrome néphrotique expose aux complications thromboemboliques, à l'hypovolémie par hypoalbuminurie et aux épanchements séreux.
Bonne(s) réponse(s) : C E C - Permet la caractérisation du pic monoclonal et sa quantification. E - Pose le diagnostic de myélome en montrant plus de 15 % de plasmocytes dystrophiques.
Question à compléments multiples.
Question à complément simple. La patiente a été traitée. Au bout de dix ans, la créatinine est à 125 micro- moles par litre, la protéinurie est à 3,5 g/24 heures, les oedèmes sont discrets, sans traitement. Devant cette notion évolutive, quel est votre choix diagnostique ? (il peut être différent ou identique du diagnostic initial). A - Rupture rénale incomplète B - Rupture intima des artères rénales C - Blessure, puis sténose urétérale D - Syndrome néphrotique E - Thrombose des veines sus-hépatiques Bonne(s) réponse(s) : D
Le traitement s'est avéré inefficace. La protéinurie et les oedèmes persistent Quelle est l'attitude à ce moment là ? A - Traitement symptomatique des oedèmes B - Traitement symptomatique des oedèmes et antiagrégants plaquettaires C - Poursuite du traitement corticoïde à faible dose et hypolipémiant si nécessaire D - Poursuite du traitement corticoïde à forte dose E - Ponction biopsie rénale
La persistance du syndrome néphrotique après 10 ans d'évolution et l'apparition d'une petite insuffisance rénale sont très en faveur d'une glomérulonéphrite extramembraneuse.
Bonne(s) réponse(s) : A E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. Une indication opératoire dans l'adénome prostatique est formelle quand : A - Débit mictionnel maximum contrôle inférieur à 8 ml/s malgré un traitement alphabloquant B - Infection urinaire récidivante C - Résidu post-mictionnel supérieur à 100 ml D - Dilatation urétéro-pyélo-calicielle E - Volume prostatique supérieur à 50 grammes Bonne(s) réponse(s) : D La seule indication formelle est la dilatation urétéro-pyélo-calicielle signifiant un retentissement sur le haut appareil par l'obstacle prostatique donc une souffrance rénale. Les autres items sont des indications relatives. Cela dit, si les infections urinaires récidivantes sont en rapport avec la présence d'un adénome prostatique, l'indication opératoire est quasi formelle... "Théoriquement", à partir de 50 ou 60 grammes, on propose une adénomectomie par voie haute, c'est-à-dire par chirurgie classique. En deçà, on propose une résection endoscopique. Cela dit, la limite varie selon les écoles et les chirurgiens !
Question à compléments multiples. Quels sont chez ce patient les signes qui pourraient être expliqués par la présence de l'adénome prostatique? A - L'hématurie totale B - La pollakiurie nocturne C - La pollakiurie diurne D - Les bržlures mictionnelles E - L'hydrocèle gauche Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les bržlures mictionnelles peuvent être expliquées soit par une adénomite, soit par une épididymite et par le fait que toute stagnation des urines favorise l'infection.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Chez une jeune femme de 25 ans, polyarthralgique et fébrile, la découverte d'une protéinurie à 4 g/24 h avec hématurie microscopique et créatinine à 180 µmol/l, 3 mois après un accouchement normal, fait évoquer surtout :
Quelle(s) étiologie(s) de cette hématurie totale peut-on déjà éliminer?
A - Une glomérulonéphrite virale B - Une maladie périodique familiale C - Une pyélonéphrite D - Les suites d'une toxémie gravidique E - Une glomérulonéphrite lupique Bonne(s) réponse(s) : E Protéinurie abondante et hématurie évoquent une atteinte glomérulaire ; le diagnostic de glomérulonéphrite lupique est évoqué chez cette femme jeune, avec atteinte extra-rénale (articulations). La grossesse favorise les poussées lupiques.
Question à complément simple. Indiquez parmi les investigations ci-dessous, la plus appropriée chez un patient de 30 ans chez lequel ont été découvertes une protéinurie à 2 g/24h et une hématurie microscopique. La P.A. est à 130/80 mmHg, la clairance de la créatinine à 1,7 ml/s (100 ml/mn). Il n'y a pas d'anomalie morphologique des reins et des voies excrétrices urinaires à l'U.I.V. A - Echographie B - Scintigraphie rénale C - Biopsie rénale D - Urétéro-pyélographie rétrograde E - Aucune des investigations ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : C L'association protéinurie-hématurie évoque une atteinte glomérulaire qui ne peut être identifiée précisement que par la biopsie rénale. En l'absence de signes extrarénaux, on peut évoquer une maladie de Berger (dépôts mésangiaux d'IgA) et alors hésiter avec la réponse E car aucun traitement ne serait nécessaire. En présence de signes extrarénaux (cutanés, articulaires, neurologiques...), l'indication de la biopsie rénale est formelle.
A - Rupture du rein B - Pathologie tumorale vésicale C - Cystite D - Pathologie tumorale rénale E - Adénome prostatique Bonne(s) réponse(s) : A Cette question est mal posée et en toute logique aucune étiologie ne peut vraiment être éliminée. On ne voit pas vraiment ce qu'est une "rupture du rein" (dans les traumatismes du rein il existe des contusions du parenchyme, des fractures du parenchyme, des lésions pédiculaires et des ruptures de la voie excrétrice !). Cela dit, il n'y a pas eu d'hématurie franche (attention dans les lésions pédiculaires, l'hématurie peut être absente), il n'y a pas d'empâtement ni de défense de la fosse lombaire ou du flanc et il n'y a qu'une sensibilité de la fosse lombaire. Aucune pathologie tumorale ne peut être éliminée bien sžr. Un adénome prostatique peut saigner et même abondamment par le développement de gros lobes médians endo-vésicaux. Le diagnostic de "cystite" chez l'homme n'est pas vraiment très précis et ne veut pas dire grand chose (il peut s'agir d'un adénome, d'une prostatite, d'un carcinome in situ,...) mais dans ce cas clinique, l'existence de bržlures mictionnelles ne peut faire éliminer cette hypothèse et une cystite peut être hématurique.
Un patient de 63 ans est accidenté (chute de bicyclette avec contusion lombaire droite). Il n'est pas hospitalisé. 48 heures plus tard, il remarque une hématurie et consulte en urologie. L'interrogatoire précise : - intoxication tabagique de 40 cigarettes/jour - sujet retraité qui travaillait dans l'industrie chimique (colorants) - le caractère total de l'hématurie - l'existence d'émission d'urines claires après l'accident - l'existence d'une pollakiurie nocturne et d'une dysurie évoluant depuis 2 ans mais plus récemment (2 mois) accompagnées de pollakiurie diurne et bržlures mictionnelles. A l'examen clinique : - les urines sont limpides - la fosse lombaire droite est légèrement sensible, on ne palpe pas de gros rein - la fosse lombaire gauche est normale - au toucher rectal, un gros adénome prostatique - organes génitaux externes : lame d'hydrocèle gauche - état général : normal Un culot urinaire est réalisé au cours de la consultation et démontre l'absence de leucocyturie ou d'hématurie.
Question à compléments multiples. Une hématurie d'origine vésicale peut être : A - Totale B - Terminale C - Initiale et terminale D - Isolée E - Associée à des troubles mictionnels Bonne(s) réponse(s) : A B D E Tout hématurie abondante peut être totale, quelque soit l'origine.
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Question à complément simple. Chez une patiente de 50 ans, présentant une cystocèle avec des troubles urinaires à type d'impériosité mictionnelle, quel examen est indispensable pour la conduite à tenir thérapeutique? A - Cystoscopie B - Urographie intraveineuse C - Colpocystogramme D - Epreuves urodynamiques E - Echographie pelvienne Bonne(s) réponse(s) : D Le bilan uro-dynamique est indispensable. Il permet de réaliser la débimétrie urinaire, la cystomanométrie (mesures des pressions intravésicales) et la sphinctérométrie (mesures des pressions uréthrales). Il est souvent couplé aux épreuves électrophysiologiques associant un E.M.G. du sphincter strié, des potentiels évoqués, des vitesses de conduction...
Question à compléments multiples. Les fuites involontaires d'urines, à besoin normal et à mictions conservées, peuvent chez une jeune fille de 16 ans être en rapport avec : A - Une incontinence urinaire d'effort B - Une malformation portant sur l'urèthre C - Une vessie neurologique D - Un abouchement ectopique d'un uretère E - Un syndrome de la jonction pyélo-urétérale Bonne(s) réponse(s) : A B C D Cette Q.C.M. est imprécise, confuse et très ambiguë ! E : Est à éliminer évidemment. D : Est l'étiologie la plus probable. Pour le reste, tout est possible encore que... On ne sait pas si les troubles mictionnels sont récents ou présents depuis le jeune âge, ce qui est fondamental pour le diagnostic étiologique. Une incontinence d'effort à 16 ans n'est pas banale mais cela peut se voir. Une malformation uréthrale est possible. Une vessie neurologique, c'est vraiment très vague et dans ce contexte peu précis, cela ne veut rien dire mais en toute logique il faut l'évoquer. Au total, cette Q.C.M. est trop mal posée.
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Question à compléments multiples. Un adénome prostatique peut se compliquer de : A - Rétention vésicale complète B - Insuffisance rénale C - Incontinence par regorgement D - Lithiase urétérale E - Lithiase prostatique Bonne(s) réponse(s) : A B C Les lithiases secondaires à la stase urinaire se forment en amont de l'obstacle. IR : 6/89.
Question à compléments multiples. Quels éléments poussent à une décision chirurgicale chez un patient porteur d'un adénome prostatique? A - L'intensité de la dysurie et de la pollakiurie B - Le volume de l'adénome C - L'existence de calcifications prostatiques à l'échographie D - L'existence de lithiases vésicales E - La persistance d'un résidu post-mictionnel avec dilatation du haut appareil Bonne(s) réponse(s) : A D E Les indications chirurgicales sont : - Dysurie et gêne fonctionnelle importante, - Retentissement sur le haut appareil urinaire, - Infections urinaires récidivantes, - Lithiases récidivantes. Les infections et les lithiases sont secondaires à la stase urinaire.
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Question à compléments multiples. Les modifications biologiques suivantes évocatrices d'un syndrome paranéo-plasique peuvent se rencontrer chez un malade porteur d'un cancer du rein : A - Hypercalcémie B - Hypophosphorémie C - Polyglobulie D - Augmentation des phosphatases alcalines E - Hyperuricémie Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les principaux syndromes paranéoplasiques en cas de cancer du rein sont : - Fièvre en dehors de toute infection, - Hématologiques : polyglobulie - anémie, - Hépatomégalie non métastatique de Stauffer (réponse D), - Entéropathies exsudatives, - Maladies thrombo-emboliques, - Polynévrite, - Amylose rénale, - Endocrinologiques avec sécrétion de Cortisol ou ACTH like, ADH, PTH (réponses A et B), Rénine, Erythropoïetine (réponse C).
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Question à complément simple. Un sujet de 17 ans, sujet aux amygdalites, se présente à la consultation avec un visage bouffi et un léger oedème malléolaire. L'examen clinique montre en outre une pression artérielle à 155/105 mm de mercure. Dans le sang, les antistreptolysines sont à 600 unités, la créatinine à 220 micromol/l. A la cytologie urinaire une hématurie abondante d'origine glomérulaire avec de nombreux cylindres. La protéinurie est à 2 g/24 h. Il s'agit de : A - Syndrome néphrotique pur B - Syndrome néphrotique impur C - Hépatite aiguë D - Glomérulonéphrite post-streptococcique E - Glomérulonéphrite hématurique avec dépôts d'IgA mésangiaux Bonne(s) réponse(s) : D Association d'oedème, d'HTA, d'insuffisance rénale et de protéinurie glomérulaire dans un contexte évocateur. E : La maladie de Berger est surtout contemporaine des infections O.R.L.
Question à compléments multiples. Dans les cancers de la vessie, l'hématurie : A - Est totale si l'hémorragie est abondante B - Est terminale si l'hématurie est peu importante C - Est le témoin d'une lésion infiltrante D - Est constante si les localisations sont multiples E - Impose la cystectomie Bonne(s) réponse(s) : A B IR : 5/90 - 3/90 - 3/87 A : Toute hématurie peut être totale, réelle et abondante. B: . Hématurie initiale = lésion prostatique ou uréthrale. . Hématurie terminale = lésion vesicale.
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Question à complément simple.
Question à compléments multiples.
Parmi les signes cliniques suivants, quel est le seul permettant au cours d'une cholecystite aiguë de suspecter une lithiase de la voie biliaire principale?
Pour éliminer une lithiase de la voie biliaire principale, vous demanderiez :
A - Grosse vésicule B - Fièvre C - Ictère D - Douleur provoquée de l'hypochondre droit E - Douleur à irradiation scapulaire
A - Cholecystographie orale B - ASP debout C - Biligraphie intraveineuse D - Scintigraphie hépatique E - Cathétérisme rétrograde de la papille Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C QCM : 1/89/1 Il ne s'agira plus d'une cholécystite mais d'une angiocholite.
Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) la(les) forme(s) de lithiase urinaire radiotransparente(s) parmi les suivantes? A - Phosphates ammoniaco-magnésiens B - Lithiase urique C - Phosphates de calcium D - Xanthique E - Lithiase oxalique Bonne(s) réponse(s) : B D IR : 5/88 B : Cause la plus fréquente des lithiases radio-transparentes. D : Cause beaucoup plus rare. A, C, E : Lithiases calcifiées (donc radio-opaques) à des degrés différents.
C'est le seul examen parmi ceux proposés qui permet de répondre à la question. Cependant, la patiente n'est pas ictérique, et on peut douter de l'existence d'un obstacle sur la VBP. L'échoendoscopie est moins invasive et permettrait de trancher.
Une femme de 60 ans porteuse d'une lithiase vésiculaire connue se présente aux urgences pour une violente douleur abdominale, accompagnée d'une fièvre à 38°C. L'examen trouve une défense de l'hypochondre droit. La NFS montre : GB : 11 000/mm3 dont 88 % de polynucléaires neutrophiles. VS : 25-40 Elle n'a pas d'antécédent pathologique particulier et était jusque-là en bonne santé.
Question à complément simple. Quel est l'examen le plus sensible pour la détection de la lithiase vésiculaire? A - Scanner abdominal B - ƒchographie abdominale C - Cholecystographie orale D - ASP E - Biligraphie intraveineuse Bonne(s) réponse(s) : B
Question à compléments multiples.
Sans commentaire
Quelles sont les dangers possibles d'une sous-maxillectomie faite par voie cutanée pour lithiase sous-maxillaire? A - Plaie de la carotide externe B - Lésion du nerf lingual C - Lésion du nerf spinal (XI) D - Lésion du filet mentonnier du facial (VII) E - Lésion du nerf grand hypoglosse (XII) Bonne(s) réponse(s) : B D La sous-maxillectomie par voie cutanée expose essentiellement au risque de lésion du rameau mentonnier du nerf facial, et à un degré moindre à la blessure du nerf lingual. Le nerf lingual peut également être lésé lors de l'exérèse d'un calcul du canal de Wharton par voie endobuccale.
Question à compléments multiples. Les manifestations mécaniques de la lithiase sous maxillaire : A - Inaugurent toujours le tableau clinique B - Sont rythmées par les repas C - Se traduisent par un gonflement de la loge (hernie) D - Peuvent s'accompagner de douleur (colique) E - Peuvent précéder des manifestations inflammatoires Bonne(s) réponse(s) : B C D E IR : 3/88 La pathologie peut être révélée indifféremment par les manifestations mécaniques ou infectieuses.
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Question à compléments multiples. Parmi les antibiotiques suivants, tous efficaces sur l'Escherichia coli, isolé par examen cytobactériologique des urines chez un homme de 40 ans qui présente un tableau clinique de prostatite aiguë, le ou lesquels choisissez-vous? A - Ampicilline B - Cotrimoxazole (Bactrim®) C - Péfloxacine D - Aminoglycoside E - Colimycine Bonne(s) réponse(s) : B C IR : 1/90 Le Bactrim® et les fluoro-quinolones ont une bonne pénétration prostatique (but recherché en cas de prostatite aiguë). Il faut rechercher et traiter une éventuelle MST associée.
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Question à compléments multiples. Quel(s) est (sont) le (les) signe(s) clinique(s) parmi les suivants ceux qui peuvent être en rapport avec un cancer du rein : A - Polyglobulie B - Masse abdominale donnant le contact lombaire C - Fièvre au long cours D - Hématurie terminale E - Douleur lombaire Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
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Question à complément simple. Un jeune homme de 18 ans présente en même temps qu'une douleur pharyngée et une température à 38°, une hématurie macroscopique sans autre manifestation. Il s'agit d'un deuxième épisode. Le diagnostic le plus probable est : A - Infection urinaire B - Lithiase vésicale C - Reflux vésico-urétéral D - Glomérulonéphrite aiguë post-streptococcique E - Glomérulonéphrite mésangiale à dépôts d'lgA Bonne(s) réponse(s) : E E : Hématurie macroscopique contemporaine d'une infection ORL. Dans le cas d'une GNA post streptococcique, l'hématurie macroscopique est possible mais survient 2 à 3 semaines après l'infection.
Question à complément simple. Une hématurie survenant dans les suites d'un traumatisme du rein isolé : A - Contre-indique l'urographie intraveineuse B - Est un signe de gravité C - Est une indication opératoire capsulaire D - Affirme une rupture capsulaire E - Affirme une effraction des voies excrétrices Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Quel(s) est (sont) le(s) risque(s) évolutif(s) de la lithiase vésiculaire?
Quelles circonstances, permettent de porter le diagnostic de lithiase sous-maxillaire très probable?
A - Lithiase du cholédoque B - Cancer de la vésicule C - Cancer du pancréas D - Hémorragie digestive E - Pancréatite aiguë
A - Tuméfaction chronique et circonscrite au sein de la glande, sans signe inflammatoire B - Douleur sous-angulo-mandibulaire au cours d'un repas C - Tuméfaction sous-angulo-mandibulaire se produisant par instants pendant les repas D - Diminution significative de la quantité de salive, lors des repas E - Tuméfaction inflammatoire du plancher buccal antérolatéral, avec ostium du Wharton Ïdématié et rouge
Bonne(s) réponse(s) : A B E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Question à compléments multiples. Cocher parmi les médicaments suivants, le ou les médicaments qui sont contre-indiqués en cas de lithiase urique urinaire : A - Allopurinol (Zyloric®) B - Benziodarone (Amplivix®) C - Colchicine D - Benzbromarone (Desuric®) E - Indométacine (Indocid®)
A, évoque une sous-maxillite chronique dont l'étiologie la plus fréquente est une lithiase passée inaperçue jusqu'alors ; B, évoque une colique salivaire, surtout par son apparition lors des repas ; de même, C évoque une hernie salivaire par arrêt incomplet du flux salivaire. E évoque une péri-Whartonite. La diminution significative de salive est toujours difficile à chiffrer (test de Blatt dans les paralysies faciales), et lors des lithiases salivaires, le patient signale plutôt une "chasse" salivaire importante, à un moment donné.
Bonne(s) réponse(s) : B D B : Benziodarone n'est plus commercialisée.
Question à compléments multiples. Quelle(s) est (sont) le(s) mode(s) de révélation possible(s) d'une lithiase sous-maxillaire? A - Une hernie salivaire B - Une colique salivaire C - Une Whartonite D - Une sous-maxillite aiguë E - Un écoulement de pus à l'orifice du canal de Sténon Bonne(s) réponse(s) : A B C D A et B sont des complications mécaniques de la lithiase, C et D sont des complications infectieuses. La hernie est une tuméfaction gênante plus que douloureuse ; la colique se caractérise par une douleur violente associée à une tuméfaction sous-maxillaire par blocage de la lithiase dans le canal de Wharton, responsable d'une dilatation en amont, selon le même princique que la crise de colique hépatique ou de colique néphrétique. Ces 2 symptômes sont caractéristiques lorsqu'ils sont rythmés par les repas ++. L'écoulement de pus peut être présent à l'ostium du Wharton et non du Sténon car il s'agit ici d'une lithiase sousmaxillaire et non parotidienne.
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Question à compléments multiples. Un homme de 25 ans, sans antécédent urologique, présente une fièvre à 40°C associée à des bržlures mictionnelles, une dysurie, une pollakiurie et une pyurie. Ce tableau doit faire évoquer : A - Une pyélonéphrite aiguë B - Une tuberculose rénale C - Une urétrite aiguë D - Un cancer du rein E - Une prostatite aiguë Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire.
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43 Question à compléments multiples.
62 Question à compléments multiples.
Madame R. 50 ans, consulte pour des métrorragies. Quel(s) élément(s) vous font dire qu'elle est à haut risque de cancer de l'endomètre ? A - Elle n'est pas ménopausée B - Elle n'a pas eu d'enfants. ayant été traitée sans succès pour stérilité C - Elle pèse 70 kg pour 1 m50 D - Sa pression artérielle est de 170/100 mmHg E - Elle prend des progestatifs depuis plusieurs mois pour régulariser son cycle
Le cancer de l'endomètre est : A - Très fréquent entre 40 et 50 ans B - Révélé par des métrorragies post ménopausiques C - Fréquent chez les femmes soumises à une hyperoestrogénie D - Fréquent chez les obèses E - Traité habituellement par les progestatifs seuls
Bonne(s) réponse(s) : B C D Les facteurs de risque de cancer de l'endomètre sont les causes ou les conséquences d'une hyperoestrogénie relative ou absolue : - obésité, grande taille, stérilité non mécanique, fausses couches répétées, syndrome prémenstruel, dysménorrhée, ménopause tardive > ou égal à 55 ans, traitement oestrogénique isolé - diabète et HTA sont associés de façon significative.
63 Question à compléments multiples. Parmi les symptômes suivants observés après la ménopause, lequel (lesquels) doi(ven)t faire rechercher un cancer de l'endomètre ? A - Métrorragie B - Adénopathie inguinale C - Hydrorrhée D - Polype accouché par le col E - Leucorrhée avec brûlures vaginales Bonne(s) réponse(s) : A D Toute métrorragie chez la femme ménopausée doit faire rechercher un cancer de l'endomètre, ainsi que le polype accouché par le col dit "sentinelle" qui se développe sur le même terrain que le cancer. Les cancers de l'endomètre ne métastasent jamais dans le territoir inguinal. Une hydrorrhée doit faire rechercher un cancer de la trompe.
59 Question à complément simple. Toutes les conditions suivantes sont des facteurs de risque de cancer de l'endomètre, sauf une. Laquelle ? A - Obésité B - Ménopause tardive C - Grande multiparité D - Traitement oestrogénique post-ménopausique E - Tumeurs féminisantes de l'ovaire Bonne(s) réponse(s) : C La grande multiparité est un facteur de risque du cancer du col. Les autres facteurs de risque proposés ont en commun le climat d'hyperoestrogènie relative.
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Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le cancer de l'endomètre est le plus fréquent des cancers gynécologiques après 40 ans. Il survient sur un terrain d'hyperoestrogénie relative (traitement oestrogénique isolé - obésité périménopause). Toute métrorragie post-ménopausique doit avoir un examen anatomopathologique de l'endomètre.
51 Question à compléments multiples. Les facteurs de risque de cancer de l'endomètre comportent : A - Obésité B - Diabète C - Hyperplasie de l'endomètre D - Femme jeune E - Cancer du col familial Bonne(s) réponse(s) : A B C L'hyperplasie atypique de l'endomètre est une lésion précancéreuse. Le risque est également augmenté sur un terrain d'hyperoestrogénie relative (obésité - diabète gras) C'est un cancer de la femme ménopausée ou en périménopause, sans relation avec le cancer du col.
16 Question à complément simple Quel est le traitement complémentaire après hystérectomie pour un cancer de l'endomètre stade I grade I chez une femme de 65 ans chez laquelle l'examen de la pièce opératoire à montré un envahissement du myomètre jusqu'au tiers externe ? A - Chimiothérapie B - Hormonothérapie C - Radiothérapie pelvienne D - Hormonothérapie + radiothérapie E - Chimiothérapie + hormonothérapie Bonne(s) réponse(s) : C En l'absence de lymphadénectomie et donc de renseignement sur l'envahissement lymphatique on pratiquera une radiothérapie pelvienne d'autant plus que la tumeur envahie le 1/3 externe du myomètre. La chimiothérapie n'est pas utilisée dans le traitement initial et l'indication de l'hormonothérapie est discutée et ne fait pas encore l'objet d'un consensus clinique.
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41 Question à compléments multiples.
32 Question à compléments multiples.
Parmi les éléments ci-dessous, vous retenez comme facteur(s) de risque de cancer de l'endomètre ? A - Polype endocol B - Ménopause précoce C - Obésité diabète D - Multiparité E - Ovaires micropolykystiques
Quel(s) élément(s) du tableau clinique peu(ven)t être associé(s) au cancer de l'endomètre ? A - Premières règles à 14 ans B - Trois enfants C - Obésité D - Ménopause à 52 ans E - Diabète
Bonne(s) réponse(s) : A C E
Bonne(s) réponse(s) :
Les facteurs de risques du cancer de l'endomètre sont ceux qui favorisent ou révèlent un climat d'hyperoestrogénie relative : insuffisance lutéale des ovaires micropolykystiques, ménopause tardive, obésité, diabète, polype de l'endomètre, hyperplasie endométriale, nullipare, traitements oestrogéniques isolés.
QUESTION ANNULEE
42 Question à compléments multiples. Parmi les éléments suivants vous retenez comme intervenant(s) dans le pronostic du cancer de l'endomètre : A - Age B - Pénétration dans le myomètre C - Envahissement ganglionnaire D - Situation par rapport à l'isthme E - Embols vasculaires
34 Question à compléments multiples. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) permet(tent) d'affirmer le diagnostic de cancer de l'endomètre ? A - Biopsie au novack B - Echographie pelvienne C - Frottis vaginal D - Curetage utérin E - Scanner pelvien Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
Bonne(s) réponse(s) : B C D E Le pronostic du cancer de l'endomètre dépend comme pour toute tumeur de la différenciation cellulaire et de l'envahissement ganglionnaire et à distance (présumé sur la présence d'embols vasculaires). Compte-tenu de la richesse du drainage Iymphatique de l'isthme, son atteinte est de mauvais pronostic ainsi que la pénétration myométriale. L'âge n'intervient pas directement.
43 Question à complément simple. La localisation métastatique la plus fréquente du cancer de l'endomètre est : A - Poumons B - Foie C - Ovaires D - Vagin E - Cerveau Bonne(s) réponse(s) : D L'extension est d'abord locorégionale vers le vagin (15%), puis aux annexes (10%), enfin par voie hématogène au foie et aux poumons.
85 Question à complément simple. Chez cette patiente, quel est le meilleur examen pour éliminer ou affirmer l'existence d'un cancer de l'endomètre ? A - Cytologie endo-utérine B - Biopsie à la canule de Novak C - Echographie D - Curetage sous anesthésie générale E - Coelioscopie Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire. Il s'agit d'une patiente de 62 ans, mère de 3 enfants, ménopausée à 50 ans qui consulte pour des pertes rosées ayant duré une semaine. Elle mesure 163 cm, pèse 69 kilos et est en bon état général. L'examen général, l'examen des aires ganglionnaires, l'examen des seins et du col est normal. L'utérus est de volume normal, les annexes ne sont pas RESIDANAT EN POCHE Tome " I "- QCM QCS régulière du fond percues. L'hystérographie met en évidence une-lacune utérin.
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63 Question à complément simple.
31 Question à compléments multiples.
Parmi les agents infectieux suivants, lequel peut vraisemblablement intervenir dans la genèse du cancer du col ? A - Trichomonas B - Gonocoque C - Chlamydia D - Papillomavirus E - Mycoplasme
La stadification du cancer du col en stade I ou II se fait lors : A - De l'urographie intraveineuse B - De la lymphographie C - Du scanner D - Du toucher vaginal sous anesthésie générale E - De la colposcopie
Bonne(s) réponse(s) : D Les papilloma virus (virus des condylomes plans) et certains sous type d'herpès virus, ont été retrouvés dans le génome des cellules cervicales cancéreuses.
36 Question à compléments multiples. A propos d'un cancer du col de l'utérus T3 non vaginal, indiquez la(les) affirmation(s) exacte(s) : A - Le T.R. retrouve un envahissement paramétrial jusqu'à la paroi pelvienne B - L'atteinte des paramètres est toujours bilatérale C - Le traitement initial est une curiethérapie D - Le traitement initial est la chirurgie E - Le traitement initial est la radiothérapie externe Bonne(s) réponse(s) : A E Le stade T3 non vaginal est l'envahissement de un ou deux paramètres en totalité, ne laissant pas d'espace libre entre la tumeur et le mur pelvien. Le traitement en est la radiothérapie externe, seule ou associée à la curiethérapie.
59 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : C D E La stadification du cancer du col est clinique et se fait par l'appréciation lors d'un toucher vaginal au mieux sous anesthésie générale, d'une infiltration vaginale et/ou paramétriale. La colposcopie peut renseigner sur une invasion de la muqueuse vaginale mais est insuffisante à elle seule. La sensibilité du scanner est encore inférieure à la sensibilité de l'examen clinique mais est souvent pratiquée dans le bilan d'invasion. L'urographie et la lymphographie n'interviennent pas dans les stades I à II.
82 Question à compléments multiples. Les frottis cervico-vaginaux pour le dépistage du cancer du col de l'utérus : A - Ne doivent être pratiqués que chez les femmes non ménopausées, et jusqu'à 5 ans après la ménopause B - Doivent être pratiqués jusqu'à 65 ans chez toute femme exposée au cancer du col C - Doivent être répétés dans les 6 mois si le compterendu ne mentionne pas la présence de cellules endocervicales D - Doivent toujours être réalisés au moyen d'un prélèvement effectué par examen au spéculum non lubrifié et avant le T.V. E - Doivent être suivis d'une colposcopie en cas d'anomalie cytologique sans lésion cliniquement visible au spéculum Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Un cancer du col au stade IB peut correspondre à toutes les caractéristiques suivantes sauf une. Laquelle ? A - Cancer épidermoïde du col utérin B - Adénocarcinome du col utérin C - Cancer micro-invasif D - Cancer limité au col E - Cancer avec extension Iymphatique Bonne(s) réponse(s) : C La classification repose sur l'examen clinique et ainsi exclut l'envahissement lymphatique qui peut exister ou non. Le cancer micro-invasif est un cancer "préclinique" correspondant au stade IA. La nature anatomopathologique du cancer n'intervient pas dans la stadification.
Le risque de cancer du col augmente progressivement jusqu'à la cinquantaine puis se stabilise ensuite.
17 Question à complément simple. Quel est, éventuellement, le facteur de risque de cancer du col utérin chez cette femme ? A - 1ère grossesse précoce B - Grande multiparité C - Antécédent personnel de cancer du sein D - Antécédent familiaux d'adénocarcinomes E - Aucun Bonne(s) réponse(s) : A B Première grossesse précoce et grande multiparité sont les facteurs de risques classiques de cancer du col, en fait discutés sur les dernières études... Une femme de 40 ans, mère de 10 enfants, le premier à l'âge de 17 ans, des antécédents personnels de cancer du sein et familiaux de cancers du côlon et de l'endomètre, se présente chez son gynécologue pour la réalisation de frottis cervicovaginaux. La surveillance des frottis est régulière depuis une vingtaine d'années à raison d'un frottis tous les 3 à 4 ans environ, ceux-ci étant toujours normaux (classe 1).
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18 Question à compléments multiples. Quel(s) type(s) de virus est(sont) impliqué(s) dans l'histoire naturelle du cancer du col utérin ? A - Virus d'Epstein Barr B - Virus de la rougeole C - Herpès virus D - Papillomavirus E - Aucun Bonne(s) réponse(s) : C D C'est le papilloma virus qui est considéré comme un facteur causal des dysplasies et cancers du col utérin. L'herpès virus est souvent retrouvé et est considéré par certains comme un "co-carcinogène".
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63 Question à complément simple.
31 Question à compléments multiples.
Parmi les agents infectieux suivants, lequel peut vraisemblablement intervenir dans la genèse du cancer du col ? A - Trichomonas B - Gonocoque C - Chlamydia D - Papillomavirus E - Mycoplasme
La stadification du cancer du col en stade I ou II se fait lors : A - De l'urographie intraveineuse B - De la lymphographie C - Du scanner D - Du toucher vaginal sous anesthésie générale E - De la colposcopie
Bonne(s) réponse(s) : D Les papilloma virus (virus des condylomes plans) et certains sous type d'herpès virus, ont été retrouvés dans le génome des cellules cervicales cancéreuses.
36 Question à compléments multiples. A propos d'un cancer du col de l'utérus T3 non vaginal, indiquez la(les) affirmation(s) exacte(s) : A - Le T.R. retrouve un envahissement paramétrial jusqu'à la paroi pelvienne B - L'atteinte des paramètres est toujours bilatérale C - Le traitement initial est une curiethérapie D - Le traitement initial est la chirurgie E - Le traitement initial est la radiothérapie externe Bonne(s) réponse(s) : A E Le stade T3 non vaginal est l'envahissement de un ou deux paramètres en totalité, ne laissant pas d'espace libre entre la tumeur et le mur pelvien. Le traitement en est la radiothérapie externe, seule ou associée à la curiethérapie.
59 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : C D E La stadification du cancer du col est clinique et se fait par l'appréciation lors d'un toucher vaginal au mieux sous anesthésie générale, d'une infiltration vaginale et/ou paramétriale. La colposcopie peut renseigner sur une invasion de la muqueuse vaginale mais est insuffisante à elle seule. La sensibilité du scanner est encore inférieure à la sensibilité de l'examen clinique mais est souvent pratiquée dans le bilan d'invasion. L'urographie et la lymphographie n'interviennent pas dans les stades I à II.
82 Question à compléments multiples. Les frottis cervico-vaginaux pour le dépistage du cancer du col de l'utérus : A - Ne doivent être pratiqués que chez les femmes non ménopausées, et jusqu'à 5 ans après la ménopause B - Doivent être pratiqués jusqu'à 65 ans chez toute femme exposée au cancer du col C - Doivent être répétés dans les 6 mois si le compterendu ne mentionne pas la présence de cellules endocervicales D - Doivent toujours être réalisés au moyen d'un prélèvement effectué par examen au spéculum non lubrifié et avant le T.V. E - Doivent être suivis d'une colposcopie en cas d'anomalie cytologique sans lésion cliniquement visible au spéculum Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Un cancer du col au stade IB peut correspondre à toutes les caractéristiques suivantes sauf une. Laquelle ? A - Cancer épidermoïde du col utérin B - Adénocarcinome du col utérin C - Cancer micro-invasif D - Cancer limité au col E - Cancer avec extension Iymphatique Bonne(s) réponse(s) : C La classification repose sur l'examen clinique et ainsi exclut l'envahissement lymphatique qui peut exister ou non. Le cancer micro-invasif est un cancer "préclinique" correspondant au stade IA. La nature anatomopathologique du cancer n'intervient pas dans la stadification.
Le risque de cancer du col augmente progressivement jusqu'à la cinquantaine puis se stabilise ensuite.
17 Question à complément simple. Quel est, éventuellement, le facteur de risque de cancer du col utérin chez cette femme ? A - 1ère grossesse précoce B - Grande multiparité C - Antécédent personnel de cancer du sein D - Antécédent familiaux d'adénocarcinomes E - Aucun Bonne(s) réponse(s) : A B Première grossesse précoce et grande multiparité sont les facteurs de risques classiques de cancer du col, en fait discutés sur les dernières études... Une femme de 40 ans, mère de 10 enfants, le premier à l'âge de 17 ans, des antécédents personnels de cancer du sein et familiaux de cancers du côlon et de l'endomètre, se présente chez son gynécologue pour la réalisation de frottis cervicovaginaux. La surveillance des frottis est régulière depuis une vingtaine d'années à raison d'un frottis tous les 3 à 4 ans environ, ceux-ci étant toujours normaux (classe 1).
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18 Question à compléments multiples. Quel(s) type(s) de virus est(sont) impliqué(s) dans l'histoire naturelle du cancer du col utérin ? A - Virus d'Epstein Barr B - Virus de la rougeole C - Herpès virus D - Papillomavirus E - Aucun Bonne(s) réponse(s) : C D C'est le papilloma virus qui est considéré comme un facteur causal des dysplasies et cancers du col utérin. L'herpès virus est souvent retrouvé et est considéré par certains comme un "co-carcinogène".
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64 Question à complément simple.
58 Question à compléments multiples.
Tous les médicaments suivants peuvent être utilisés dans le traitement d'une menace d'accouchement prématuré, sauf un. Lequel ? A - Progestérone B - Aspirine C - Bêta-bloquant D - Indométacine E - Salbutamol.
Une menace d'accouchement prématuré peut se traduire par : A - Contractions utérines douloureuses B - Métrorragies C - Douleurs ligamentaires D - Modification du col E - Hypertension artérielle Bonne(s) réponse(s) : A B D
Bonne(s) réponse(s) : C 3 classes de médicaments sont utilisés dans la menace d'accouchement prématuré : les béta+ mimétiques (salbutanol), les progestatifs naturels et les A.I.N.S. pour leur action antiprostaglandine myorelaxante. Les bétaà l'inverse ont un risque théorique de favoriser l'accouchement prématuré (bien que les béta- sélectifs soient parfois utilisés dans le traitement de l'HTA gravidique).
67 Question à complément simple. Quelle est la circonstance qui ne constitue pas un risque de menace d'accouchement prématuré ? A - Placenta praevia B - Grossesse gémellaire C - Infection urinaire D - Anencéphalie sans hydramnios E - Diabète Bonne(s) réponse(s) : D Le placenta praevia, qui favorise la rupture prématurée des membranes, la grossesse gémellaire et le diabète ou l'hydramnios, est souvent associé et l'infection urinaire, par le biais de l'amniotite secondaire, sont des causes possibles d'accouchement prématuré.
63 Question à compléments multiples. Madame L..., employée de bureau, âgée de 25 ans, est enceinte pour la troisième fois. Elle a déjà accouché à la deuxième grossesse à 33 semaines. Sa nouvelle grossesse est normale, mis à part des métrorragies au troisième trimestre. Vous retenez en faveur d'un risque d'accouchement prématuré : A - Employée de bureau B - 25 ans C - Antécédent d'accouchement prématuré D - Métrorragies au troisième trimestre E - Grossesse unique Bonne(s) réponse(s) : C D Un antécédent d'accouchement prématuré majore le risque de prématurité pour les grossesses suivantes. Les métrorragies du 3ème trimestre sont à rapporter en premier lieu à une pathologie placentaire (placenta praevia, hématome rétroplacentaire) mais peuvent être le prélude d'une menace d'accouchement prématuré lorsque toute autre étiologie a été éliminée.
Les métrorragies sont dues au décollement du pôle inférieur de l'oeuf lors des contractions utérines.
21 Question à complément simple. La menace d'accouchement prématuré cesse à : A - 34 semaines d'aménorrhées révolues B - 35 semaines d'aménorrhées révolues C - 36 semaines d'aménorrhées révolues D - 37 semaines d'aménorrhées révolues E - 38 semaines d'aménorrhées révolues Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
54 Question à compléments multiples. La décision d'accouchement prématuré dans un tel cas est prise : A - Sur la constatation d'une maturité foetale suffisante B - Sur un ralentissement du rythme cardiaque foetal C - Sur la notion d'antécédents familiaux de toxémie gravidique D - Sur la constatation de variation tensionnelle importante malgré le traitement E - Sur la notion d'une activité rénine élevée Bonne(s) réponse(s) : A B D L'extraction foetale est impérative en cas d'échappement au traitement ou de souffrance foetale aiguë. En l'absence d'urgence maternelle ou foetale, on temporisera jusqu'à obtention de la maturité pulmonaire.
42 Question à compléments multiples. Parmi les examens suivants, le(s)quel(s) fait (font) partie du bilan étiologique à réaliser devant cette menace d'accouchement prématuré (M.A.P.) ? A - L'échographie obstétricale B - Prélèvement cervico-vaginaux C - Le dosage de l'uricémie D - L'amniocentèse E - L'amnioscopie Bonne(s) réponse(s) : A B L'échographie recherche une cause (malformation, hydramnios...) et permet d'apprécier la maturité foetale. Les prélèvements urinaires et cervico-vaginaux recherchent une cause infectieuse. L'hyperuricémie n'est pas une cause directe de MAP.
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48 Question à complément simple. Devant cette menace d'accouchement prématuré, quelle doit être parmi les décisions suivantes, celle qui s'impose ? A - Prescription d'un repos simple avec arrêt de travail B - Traitement à domicile par repos et progestatif type rétro-progestérone C - Repos simple à domicile avec auscultations bihebdomadaires par un service de sages-femmes à domicile D - Hospitalisation d'urgence pour examens complémentaires et traitement tocolytique E - Hospitalisation d'urgence pour cerclage du col Bonne(s) réponse(s) : D La menace d'accouchement prématurée est sévère (contractions rapprochée et modification du col) et impose l'hospitalisation pour bilan étiologique et traitement tocolytique. Le cerclage du col est inefficace au 3ème trimestre. Une femme de 27 ans, institutrice de classe maternelle, mère de trois enfants, est à 31 semaines d'aménorrhée gravidique. Elle habite à 40 kms de son lieu de travail et doit chaque jour accomplir ce trajet en voiture. On retrouve dans ses antécédents : trois accouchements qui se sont normalement déroulés, à terme, une appendicectomie dans l'enfance, deux interruptions volontaires de grossesse à 25 et 26 ans. Depuis quarante-huit heures, elle se plaint de douleurs lombaires droites, de nausées et depuis quelques heures elle ressent des brûlures mictionnelles. Sa température est à 38°. Enfin, elle se plaint depuis deux heures de contractions utérines survenant toutes les dix minutes, de plus en plus longues (trente secondes) et douloureuses depuis une heure. Le col utérin est long, ouvert à l'orifice externe, déhiscent à l'orifice interne. La hauteur utérine est de 27 cm. Le foetus, dont les dimensions échographiques ont toujours été concordantes avec le terme, est vivant : Mouvements actifs et bruits du coeur sont présents. Il n'y a jamais eu d'hypertension artérielle, ni de glycosurie, Mais la recherche de protéinurie avec des bandelettes est positive.
50 Question à compléments multiples. Une menace d'accouchement prématuré est favorisé par : A - Longs trajets quotidiens en voiture B - Multiparité et charges de famille C - Métier d'institutrice de maternelle D - Infection urinaire E - Antécédents d'avortements provoqués Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les avortements provoqués favorisent les avortements spontanés tardifs par béance du col du synéchie utérine.
51 Question à compléments multiples. En cas d'accouchement prématuré le nouveau-né est particulièrement menacé par : A - Maladie des membranes hyalines B - Hémorragie de Benkiser C - Ictère néo-natal D - Infection septicémique néo-natale acquise in utero E - Hypotrophie Bonne(s) réponse(s) : A C D La fièvre maternelle fait craindre l'infection néonatale. A 31 SA la maladie des membranes hyalines est à redouter (immaturité pulmonaire). L'ictère néo-natal est plus fréquent en cas de prématurité. Le petit poids n'est pas synonyme d'hypotrophie enfin l'hémorragie de Ben Kiser se voit lors de la rupture des membranes en cas d'insertion vélamenteuse du cordon.
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99 Question à compléments groupés.
49 Question à complément simple.
Après un accouchement normal, quelques minutes après la délivrance, une hémorragie génitale survient. Cette hémorragie peut être causée par : 1 - Rétention du cotylédon 2 - Hypotonie utérine 3 - Plaie vaginale 4 - Plaie cervicale Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
L'utérus de cette patiente doit être évacué, et parmi les mesures thérapeutiques suivantes destinées à éviter l'hémorragie de la délivrance laquelle choisissez-vous ? A - Cinq flacons de 20 ml de PPSB B - Perfusion intraveineuse d'un antifibrinolytique C - Injection immédiate de 500 U/kg d'héparine standard D - Quatre unités de plasma frais congelé plus 4 grammes de fibrinogène E - Un flacon de 250 000 unités de streptokinase
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : D
Les hémorragies de la délivrance sont soit traumatiques (déchirure cervico-vaginale, rupture utérine) soit liées à l'inertie utérine qui impose la révision utérine à la recherche d'une rétention placentaire.
Il faut apporter en urgence les facteurs de coagulation présents dans le plasma frais congelé supplémenté en fibrinogène.
84 Question à complément simple. L'utérus de cette femme doit être évacué, mais vous craignez une hémorragie de la délivrance. Parmi les éléments de son bilan d'hémostase, lequel permet effectivement de prévoir ce risque ? A - Thrombocytopénie à 110000/mm3 B - Fibrinogène à 0,50 g/l C - L'allongement du TCA D - Taux d'accélérine à 40 % E - Taux de prothrombine à 45 %
45 Question à complément simple. L'utérus de cette femme doit être évacué, mais vous craignez une hémorragie de la délivrance. Parmi les éléments de son bilan d'hémostase, lequel, plus que d'autres, fait craindre ce risque ? A - Thrombocytopénie à 110 000/mm3 B - Fibrinogène : 0,50 g/l C - L'allongement du TCA D - Taux d'accélérine à 40 % E - Taux de prothrombine à 45 % Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : B Le critère de gravité est ici la diminution importante du fibrinogène < 1 g/l (Nale = 5 g/l). Les autres critères sont thrombopénie < 50 000.
85 Question à complément simple. Parmi les mesures thérapeutiques suivantes destinées à éviter l'hémorragie de la délivrance, laquelle choisissez-vous ? A - Cinq flacons de 20 ml de PPSB B - Perfusion intraveineuse d'un antifibrinolytique C - Injection immédiate de 100 u/kg d'héparine standard D - Quatre unités de plasma frais congelé plus 4 grammes de fibrinogène purifié E - Un flacon de 250 000 unité d'urokinase plus 100 u/kg d'héparine standard Bonne(s) réponse(s) : D
La thrombopénie n'est inquiétante qu'au dessous de 50000/mm3 et doit alors faire prescrire des transfusions de concentrés plaquettaires avant l'évacuation utérine. En revanche, l'effondrement du fibrinogène doit être compensé.
46 Question a complément simple. Parmi les mesures thérapeutiques suivantes destinées à éviter l'hémorragie de la délivrance, laquelle choisissez-vous ? A - Cinq flacons de 20 ml de PPSB B - Perfusion intraveineuse d'un antifibrinolytique C - Injection immédiate de 100 U/kg d'héparine standard D - Quatre unités de plasma frais congelé plus 4 grammes de fibrinogène purifié E - Un flacon de 250000 unités d'urokinase plus 100 U/kg d'héparine standard Bonne(s) réponse(s) : D
Le plasma frais congelé apporte l'ensemble des facteurs de la coagulation et les inhibiteurs physiologiques marquant. La dose habituelle est de 10 à 15 ml/kg. Les antifibrinolytiques ne s'utilisent pas en préventif. Le PPSB contient souvent des facteurs activés, donc est déconseillé. L'héparine et l'urokinase ne sont pas utilisées en raison du risque hémorragique.
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La fibrinolyse est une défense contre la CIVD et la prescription d'un antifibrinolytique peut être désastreuse. L'héparine doit être preoscrite avant l'accouchement en raison de l'augmentation du risque hémorragique. Le plasma frais congelé est habituellement suffisant. L'urokinase n'a pas sa place en préventif.
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101 Question à complément simple.
62 Question à compléments multiples.
Quel est l'examen le plus sensible pour le dépistage des cancers du sein ? A - La thermographie B - La mammographie C - L'autopalpation D - L'échographie E - Le dosage sérique de l'A.C.E.
Madame D, vous consulte pour une tumeur du sein. Quel(s) est (sont) le(s) élément(s) qui vous fait (font) penser qu'elle est à haut risque de cancer du sein ? A - Elle a été opérée d'une mastopathie bénigne B - Elle a eu 4 enfants C - Elle prend la pilule D - Sa mère a eu un cancer du sein E - Elle a eu ses premières règles tard - 16 ans
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A D La mammographie permet de dépister des tumeurs infracliniques (groupement de microcalcifications par exemple), la thermographie et l'échographie sont moins sensibles pour les tumeurs inférieures ou égales à 1 cm. L'ACE est utilisé dans la surveillance des tumeurs traitées et non dans le dépistage.
7 Question à complément simple. Les cancers du sein qui comportent à la fois des récepteurs d'oestradiol et des récepteurs de progestérone sont hormonosensibles dans un certain pourcentage de cas. Lequel ? A - 10 % B - 20 % C - 30 % D - 80 % E - 100 % Bonne(s) réponse(s) : D L'étude de Mc Guire regroupant 5 publications rapporte 80 % de réponse aux antioestrogènes dans les formes porteuses de récepteurs. Les autres auteurs estiment que 60 % environ de ces tumeurs répondent à l'hormonothérapie.
28 Question à complément simple. Parmi les examens suivants, lequel est le plus sensible pour le dépistage des cancers du sein après cinquante ans ? A - La thermographie B - La mammographie C - L'autopalpation D - L'échographie E - Le dosage sérique de l'A C.E. Bonne(s) réponse(s) : B La mammographie est particulièrement performante dans les seins peu denses, en involution lipomateuse des femmes ménopausées et permet de dépister des tumeurs infracliniques.
41 Question à compléments multiples.
Les mastopathies bénignes multiplient par deux le risque de cancer du sein, en particulier la maladie fibrokystique avec hyperplasie proliférante et atypies cellulaires. De même un cancer du sein chez un ascendant ou collatéral multiplie par 2 ce risque. Le risque est augmenté chez les femmes nulli ou paucipares ou au 1er enfant tardif, dont les 1ères règles sont précoces (< 13 ans) et la ménopause tardive (> 50 ans). La majorité des enquêtes ne mettent pas en évidence de relation significative avec la prise de contraceptif oral.
64 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, concernant le cancer du sein, laquelle (lesquelles) est(sont) vraie(s) ? A - L'épithélioma du sein représente le cancer le plus fréquent chez la femme B - Le risque de cancer du sein est augmenté chez la patiente dont la soeur a présenté un carcinome mammaire C - L'augmentation de l'antigène carcino-embryonnaire est toujours en rapport avec une métastase hépatique D - Un écoulement sanglant témoigne toujours d'un carcinome intragalactophorique E - Une poussée évolutive d'un cancer du sein contreindique la mastectomie immédiate Bonne(s) réponse(s) : A B E Un écoulement sanglant doit toujours faire rechercher un carcinome intra-galactophorique parfois responsable. L'ACE est augmenté dans environ 20% des cas non métastatiques. Le taux annuel de mortalité par cancer du sein est de 28/100 000 soit le 1er rang avant les cancers digestifs.
39 Question à complément simple. La maladie de Paget du sein : A - Se transmet par l'allaitement B - Est une atteinte du mamelon souvent associée à un cancer méconnu sous-jacent C - Est un comédo-carcinome D - Est plus fréquente chez les asiatiques E - Apparaît avant 40 ans Bonne(s) réponse(s) : B
Le risque de cancer du sein est augmenté en cas de : A - Antécédents familiaux de cancer du sein B - Multiparité C - Nulliparité D - Adénofibrome E - Hypertrophie mammaire Bonne(s) réponse(s) : A C D Risque 2 fois plus élevé. C - Risque augmenté de même chez les femmes ayant eu leur premier enfant tardivement (après 35 ans). D - Le fibroadénome isolé chez la femme jeune ne semble pas constituer un facteur de risque, par contre chez la femme de plus de 40 ans où il rentre souvent dans le cadre de la maladie fibrokystique, il augmente le risque.
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La maladie de Paget du sein est une lésion d'allure eczémateuse du mamelon plus fréquente après 40 ans et très souvent associée à un cancer sous-jacent à composante canalaire. Le comédo-carcinome est un cancer invasif à composante canalaire, de bon pronostic, caractérisé par de nombreuses microcalcifications à la mammographie.
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83 Question à complément simple.
108 Question à compléments multiples.
Une lymphangite du sein lors de l'allaitement maternel est responsable de tous les signes suivants, sauf un, lequel ? A - Température à 40° B - Rougeur localisée ou traînée rouge C - Ganglions axillaires sensibles D - Existence de pus dans le lait E - Seins tendus très douloureux
Parmi les antécédents suivants, lesquels doivent être considérés comme facteurs de risque du cancer du sein ? A - Cancer du sein chez sa mère B - Première règles précoces avant 10 ans C - Grossesse avant 20 ans D - Allaitement maternel des 2 enfants E - Hyperprolactinémie
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B
L'existence de pus dans le lait témoigne de la colonisation bactérienne et donc du stade de galactophorite voir d'abcès du sein.
Cf. commentaire [339].
67 Question à compléments multiples. Concernant le fibroadénome du sein : A - Il s'agit d'une tumeur plus fréquente avant 35 ans B - A la mammographie l'opacité est homogène entourée d'un halo clair C - La ponction est nécessaire D - La conduite a tenir consiste à répéter la mammographie 3 mois plus tard E - Il s'agit d'une tumeur qui dégénère souvent Bonne(s) réponse(s) : A B C L'adénofibrome dégénère exceptionnellement (on retrouve dans 4 % des pièces de tumorectomie pour fibrome un adénocarcinome associé). L'examen clinique régulier et la mammographie tous les ans sont préconisés en cas de traitement conservateur mais l'exérèse chirurgicale est la plus souvent pratiquée.
13 Question à complément simple. L'une des propositions suivantes est considérée comme un facteur de risque pour le cancer du sein. Laquelle ? A - Multiparité B - Bas niveau socio-économique C - Premières règles tardives D - Première grossesse après 30 ans E - Ménopause précoce
109 Question à compléments multiples. Dans le cancer du sein, il est important, pour surveiller la patiente, de disposer de certains dosages; lesquels ? A - Dosage du CA 15/3 B - CA 125 C - Dosage de la prolactine D - Dosage de la ferritine dans le lait E - Dosage de la béta HCG Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
110 Question à compléments multiples. Madame D vous consulte pour une tumeur du sein Quels sont le ou les éléments qui vous font penser, qu'elle est à haut risque de cancer du sein ? A - Elle a 45 ans B - Elle a eu 4 enfants C - Elle prend la pilule D - Sa mère a eu un cancer du sein E - Elle a eu ses premières règles tard (après 16 ans) Bonne(s) réponse(s) : A D Le cancer du sein est d'autant plus fréquent que l'âge augmente. Le rôle de la pilule n'a pu être confirmé (nombreuses études contradictoires). La pilule doit être arrêtée dès que l'on suspecte une tumeur maligne.
Bonne(s) réponse(s) : D Les facteurs de risque de cancer du sein sont : - antécédents familiaux - premières règles précoces - pathologie mammaire bénigne - nulli ou panciparité - première grossesse tardive - ménopause tardive.
119 Question à compléments multiples.
27 Question à complément simple. Parmi ces cinq signes, lequel d'entre eux doit être considéré comme spécialement évocateur d'un cancer du sein ? A - Douleur B - Rétraction du mamelon C - Rougeur D - Ecoulement du mamelon E - Hypertrophie unilatérale du sein Bonne(s) réponse(s) : B
Dans le cancer du sein, les métastases atteignent avant tout trois organes; lesquels ? A - Les os B - Le foie C - Les ovaires D - Le thymus E - Les poumons
L'écoulement unipore, surtout lorsqu'il est sanglant, doit faire pratiquer un examen cytologique et radiologique à la recherche d'un cancer mais la rétraction récente du mammelon doit également faire pratiquer un examen radiologique recherchant une tumeur.
Bonne(s) réponse(s) : A B E Le bilan du cancer du sein comprend donc un cliché des poumons, une échographie hépatique et une scintigraphie osseuse.
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40 Question à compléments multiples.
55 Question à compléments multiples.
Vous retiendriez comme facteur(s) de risque de cancer du sein chez cette malade : A - Père décédé d'un infarctus du myocarde B - Mère décédée d'un tumeur du sein C - Célibataire D - Cycles réguliers E - Mastodynite prémenstruelle
Le bi!an d'extension de ce cancer du sein comporte dès lors en première intention : A - Le dosage de l'ACE B - Un scanner cérébral C - Des clichés de squelette axial D - Une échographie hépatique E - Des tomographies pulmonaires
Bonne(s) réponse(s) : B C E
Bonne(s) réponse(s) : A C D E
Les antécédents familiaux (ascendant ou collatéraux) de cancer du sein et la nulli ou pauciparité ont été démontrés alors que les mastodynies prémenstruelles (hyperoestrogénie relative) sont un facteur de risque encore controversé.
L'A.C.E. est positif dans 20 % des formes non métastasées initialement. L'échographie hépatique et le bilan biologique hépatique (phosphatases alcalines, gamma GT) élimine une métastase muette cliniquement. Les clichés du squelette axial remplacés actuellement par la scintigraphie osseuse au technétium et les tomographies pulmonaires recherchent les 2 autres localisations métastatiques fréquentes. Le scanner cérébral n'est pratiqué qu'en cas d'anomalie clinique.
Mademoiselle X..., 52 ans, secrétaire de direction, a subi il y a 10 ans une mastectomie totale gauche avec curage axillaire ayant révélé l'envahissement néoplasique d'un des six ganglions prélevés. Elle se plaint de douleurs nocturnes de la région dorsolombaire apparues progressivement depuis deux mois. Elles sont exacerbées par les efforts de toux. L'état général est conservé. Il existe un nodule au niveau de la cicatrice de mastectomie; son prélèvement confirme la récidive. Le dosage des récepteurs hormonaux est positif (oestradiol et progestérone). Le sein controlatéral est d'aspect normal. Il n'existe pas d'adénopathie axillaire, ni sus-claviculaire. L'examen neurologique et cardio-respiratoire est normal. Le foie n'a pas augmenté de volume.
34 Question à complément simple.
62 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : D
Les 3 localisations le plus souvent envahies par des métastases du cancer du sein sont : A - Squelette distal des membres B - Le foie C - Le cerveau D - Le poumon E - Le squelette axial Bonne(s) réponse(s) : B D E Le squelette distal est exceptionnellement atteint et le cerveau est atteint plus tardivement.
51 Question à compléments multiples. Quel(s) facteur(s) de risque de cancer du sein retrouvez-vous chez cette patiente ? A - Antécédents familiaux B - L'âge aux premières règles C - L'âge à la première grossesse D - Hystérectomie pour fibrome E - L'âge à la ménopause
Quel est le facteur de risque de cancer du sein présenté par cette malade ? A - Première grossesse à l'âge de 32 ans B - Allaitement prolongé C - Prise de contraceptifs oraux pendant 5 ans D - Fibroadénome E - Mère décédée d'un cancer Les antécédents de mastopathie bénigne surtout de découverte tardives (30 ans) augmentent le risque de cancer du sein. Les grossesses tardives > 35 ans multiplient par 2 ce risque et certains auteurs ont montré que le risque relatif était plus élevé chez des primipares de plus de 25 ans que chez celles de moins de 25 ans. Seuls les antécédents familiaux de cancer du sein augmentent le risque. Une femme de 40 ans, non ménopausée, consulte pour un nodule du sein gauche. L'interrogatoire retrouve dans les antécédents personnels : 2 grossesses menées à terme à 32 et 34 ans, avec allaitement prolongé, la prise de contraceptifs oraux pendant 5 ans, un fibroadénome opéré il y a 10 ans ; des antécédents familiaux : mère décédée d'un cancer du col de l'utérus. L'examen note une lésion du quadrant supéro-externe de 3 cm, dure avec dépression cutanée en regard, non fixée et une adénopathie axillaire homolatérale dure. La mammographie objective une opacité irrégulière, étoilée, mesurant 2 cm, entourée d'un halo d'oedème et associée à un épaississement cutané. Des micro-calcifications sont notées dans l'opacité. Une intervention chirurgicale est pratiquée. Voici les résultats : - adénocarcinome infiltrant grade 3 de Scarff et Bloom, avec lésions multifocales - 12 ganglions sur 18 sont envahis dont certains avec rupture capsulaire et embols Iymphatiques - récepteurs hormonaux sur la tumeur : oestrogène 200 fentomoles, progestérone 8 fentomoles (seuil de positivité pour la méthode : 10).
Bonne(s) réponse(s) : A E Les antécédents familiaux et la ménopause tardive > 55 ans augmentent le risque, qui est augmenté également lorsque la 1ère grossesse survient après 35 ans et si les 1ères règles sont précoces avant 13 ans. Une femme de 58 ans consulte pour un bilan mammaire systématique. La mère de la patiente a été traitée pour cancer du sein à l'âge de 50 ans. Sur le plan personnel, les premières règles sont survenues à l'âge de 15 ans, la patiente a eu 2 enfants à l'âge de 28 et 30 ans qu'elle n'a pas allaités. Deux ans plus tôt (56 ans), une hystérectomie totale avec castration a été réalisée pour de volumineux fibromes ; la patiente avait des cycles réguliers avant l'intervention. Le bilan mammaire est demandé, car cette patiente bénéficie d'une hormonothérapie substitutive. L'examen clinique note un bon état général. La palpation des seins est strictement normale. La mammographie met en évidence du coté droit sur le rayon de 3 H un amas de microcalcifications nombreuses, denses.
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12 Question à compléments multiples. Chez cette malade, parmi les antécédents suivants, on retient comme facteur de risque reconnu pour le cancer du sein ? A - Puberté précoce-ménopause tardive B - Antécédent d'abcès du sein C - Première grossesse tardive D - Tabagisme E - Cholecystectomie Bonne(s) réponse(s) : A C L'hyperoestrogénie relative est le point commun de tous les facteurs de risque du cancer du sein auquel s'ajoute un facteur héréditaire ainsi que l'effet protecteur d'une maturation précoce du sein lors d'une grossesse jeune. Une femme de 55 ans, non ménopausée, consulte pour un nodule du quadrant supéro-externe du sein droit apparu 2 mois auparavant. L'interrogatoire retrouve la notion d'un cancer du sein chez la grand-mère maternelle, une puberté à l'âge de 10 ans, une première grossesse à l'âge de 32 ans sans allaitement en raison d'un abcès du sein et enfin une cholecystectomie pour lithiase à 49 ans. Cette malade a régulièrement fumé 1/2 paquet de cigarettes par jour pendant 30 ans. A l'examen : la tumeur est mobile mais s'accompagne d'une attraction cutanée bien visible à jour frisant ; elle mesure 2,5 cm dans son plus grand diamètre. A la palpation de l'aisselle homolatérale, on retrouve un ganglion de 1 cm de diamètre les autres territoires ganglionnaires sont normaux ; il n'existe pas d'hépatomégalie, il n'y a pas de douleurs osseuses et l'état général est conservé.
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37 Question à complément simple.
26 Question à compléments multiples.
Parmi ces propositions concernant le fibrome et la grossesse, laquelle est fausse : A - Le fibrome peut gêner le diagnostic d'une grossesse jeune B - Si on constate qu'il existe un fibrome au 3ème trimestre d'une grossesse, il faut faire une myomectomie C - La nécrobiose aseptique est plus fréquente D - On observe plus souvent des présentations anormales E - Le fibrome peut constituer un obstacle à l'accouchement
La présence d'un fibrome utérin et d'une grossesse implique la connaissance de certains risques et attitudes thérapeutiques, parmi lesquels vous retenez : A - Indication de cerclage systématique en raison du risque d'avortement tardif B - Administration de progestatifs durant le premier trimestre de la grossesse C - Césarienne systématique à terme D - Risque d'accouchement prématuré E - Surveillance accrue de la délivrance (risque d'hémorragie par inertie utérine)
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : D E Au cours de la grossesse, le fibrome peut se compliquer plus fréquemment de nécrobiose aseptique et entraîner une expulsion prématurée ou une dystocie lors de l'accouchement (obstacle praevia, présentation anormale) ; enfin, en déformant l'utérus il gêne l'appréciation de la hauteur utérine surtout pour une grossesse jeune. En l'absence de complication, il est illicite de proposer une myomectomie au 3è trimestre.
92 Question à complément simple. Le traitement non chirurgical du fibrome utérin comporte en général : A - L'administration d'oestrogènes B - L'administration d'androgènes C - L'administration de progestatifs D - Un traitement radiothérapique E - Une association de plusieurs de ces thérapeutiques
Le fibrome risque de se compliquer pendant la grossesse (torsion, nécrobiose) et de compliquer la grossesse : accouchement prématuré, obstacle praevia, hémorragie de la délivrance. Il nécessite donc une surveillance accrue mais aucun geste préventif systématique n'est indiqué.
7 Question à complément simple. On prescrit souvent des progestatifs en cas de ménorragies d'importance moyenne en relation avec un fibrome utérin ; à quelle époque du cycle les prescrit-on généralement ? A - Pendant les règles B - Du 5ème au 14ème jour du cycle C - Du 10ème au 20ème jour du cycle D - Du 16ème au 25ème jour du cycle E - En continu
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : D
Le fibrome utérin a une physiopathologie encore mal connue mais est favorisé par une hyperoestrogénie locale, on administrera donc un antioestrogène (progestatif ou LH-RH). Les oestrogènes et les androgènes (transformation métabolique en oestrogènes) sont contre-indiqués. La radiothérapie est inefficace.
Les ménorragies sur utérus fibromateux sont souvent dues à l'hyperplasie endométriale généralement associée et c'est elle que l'on traite en prescrivant des progestatifs en 2è partie de cycle.
19 Question à complément simple. 8 Question à complément simple. La complication la plus fréquente du fibrome sous-muqueux est : A - La torsion B - L'infection C - Les métrorragies D - La transformation en cancer E - La nécrobiose aseptique Bonne(s) réponse(s) : C L'anomalie de la muqueuse utérine au contact du fibrome est responsable de sa principale complication : les métrorragies. La torsion concerne les fibromes sous séreux pédiculés. La dégénérescence sarcomateuse est exceptionnelle.
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Quel est le fibrome utérin pour lequel le traitement chirurgical est le plus souvent nécessaire ? A - Fibrome sous-séreux pédiculé B - Fibrome fibreux intra-cavitaire C - Fibrome de l'isthme D - Fibrome intra-mural E - Fibrome du col Bonne(s) réponse(s) : B Tous ces types de fibromes peuvent être "chirurgicaux" en raison de complication (torsion du sous-séreux pédiculé, nécrobiose de l'intramural, surinfection du fibrome du col stérilité ou obstacle praevia du fibrome isthmique) mais la complication la plus fréquemment observée est les ménométrorragies en rapport avec le fibrome (polype fibreux) intra-cavitaire nécessitant un geste chirurgical (curetage, myomectomie sous hystéroscope ou hystérectomie).
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101 Question à compléments multiples.
62 Question à complément simple.
Parmi les propositions suivantes, indiquez celle(s) qui s'applique(nt) aux fibromes intra-cavitaires ? A - Ils peuvent coexister avec un utérus de volume normal B - Ils s'associent fréquemment à des ménorragies C - Ils résistent au traitement progestatif D - Ils donnent une ballonnisation de l'utérus à l'hystérosalpingographie E - Leur traitement est chirurgical
Une échographie pelvienne a été demandée. Habituellement, les fibromes utérins non compliqués se traduisent à l'échographie par : A - Une image arrondie juxta-utérine, anéchogène B - Une image arrondie, peu échogène, contenant des cloisons C - Une image arrondie, peu échogène, avec renforcement des échos postérieurs D - Une image arrondie, échogène avec atténuation des échos postérieurs E - Une image arrondie très échogène avec absorption des ultra-sons et "cône d'ombre" postérieur
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Les myomes intra-cavitaires ou sous-muqueux sont responsables de métrorragies par l'altération de la muqueuse qui les recouvre ou par l'hyperplasie muqueuse associée. Ils déforment régulièrement les contours de la cavité utérine à l'H.S.G. qui est dite "soufflée" ou "ballonisée".
2 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant les fibromes utérins quelles sont celles qui sont fausses ? A - Dégénérescence maligne dans 10 % des cas après la ménopause B - Incontinence urinaire à l'effort C - Clivage chirurgical possible D - Cause de stérilité E - Augmentation de volume sous l'effet des oestrogènes Bonne(s) réponse(s) : A B La compression vésicale par le fibrome peut donner des signes d'irritation vésicale (impériosités, pollakiurie). Il ne dégénère qu'exceptionnellement en sarcome. Son rôle éventuel dans la stérilité est contesté (obstacle tubaire, obstacle à la nidation).
Bonne(s) réponse(s) : D Les fibromes se traduisent par une image arrondie de même nature que le myomètre donc échogène. Il y a atténuation des faisceaux par absorption tissulaire donc atténuation des échos postérieurs. L'absorption totale serait en rapport avec une structure gazeuse ou osseuse. Le renforcement postérieur en rapport avec un kyste liquidien.
63 Question à compléments multiples. Un certain nombre d'examens (complémentaires) permettent de faire le diagnostic de localisation exacte du fibrome, en particulier, il est possible de faire le diagnostic de fibrome sous-muqueux à l'aide de : A - Echographie B - Hystéroscopie C - Coelioscopie D - Colposcopie E - Hystérosalpingographie Bonne(s) réponse(s) : B E
61 Question à compléments multiples. Un certain nombre de signes cliniques simples sont susceptibles de distinguer un kyste de l'ovaire d'un fibrome utérin interstitiel. En cas de fibrome interstitiel : A - La masse perceptible est mobilisable B - Il existe un sillon net de séparation entre l'utérus et la masse perçue C - Les mouvements donnés au col de l'utérus ne sont jamais transmis à la masse palpée D - La masse perçue est soit antérieure soit postérieure mais jamais latéro-utérine E - Le volume de la masse perçue est toujours inférieur à 10 cms Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
L'échographie est peu sensible pour la localisation de petits fibromes sous-muqueux mieux vus en hystéroscopie ou hystérographie et invisibles en coelioscopie ou colposcopie.
65 Question à compléments multiples. L'hystérosalpingographie a pu être réalisée et plaide en faveur d'un myome utérin sous-muqueux. Parmi les signes hystérographiques suivants, vous retenez en faveur de ce type de fibrome : A - Cavité utérine de petite taille et régulière B - Lacune intracavitaire, irrégulière C - Cavité utérine agrandie, ballonnisée D - Lacune intracavitaire à bords réguliers E - Latérodéviation globale de la cavité utérine sans déformation Bonne(s) réponse(s) : C D La régularité de la lacune et la modification des contours intra-utérins permettent de diagnostiquer un fibrome sous-muqueux.
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66 Question à compléments multiples. L'hystérosalpingographie confirme l'existence d'un fibrome intracavitaire. Quelle(s) option(s) thérapeutique(s) proposezvous à votre patiente qui ne souhaite plus d'enfants ? A - Hystérectomie totale avec conservation ovarienne B - Myomectomie C - Surveillance simple D - Traitement martial visant à corriger l'anémie associée E - Traitement oestroprogestatif Bonne(s) réponse(s) : A C D La myomectomie est sans intérêt compte tenu de l'âge, de l'absence de désir de grossesse et du risque de récidive. Le traitement oestroprogestatif est une contre-indication.
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57 Question à compléments multiples. La grossesse extra utérine à une fréquence accrue dans la(les) circonstance(s) suivante(s) : A - Antécédent de stérilité B - Antécédent de salpingite C - Antécédent d'avortement spontané du deuxième trimestre D - Contraception par oestro-progestatif normo-dosé E - Contraception par stérilet Bonne(s) réponse(s) : A B E La grossesse extra utérine est favorisée par les lésions tubaires (salpingite, endométriose, plastie tubaire...) elle est retrouvée classiquement de façon plus fréquente en cas de stérilet, d'antécédent de stérilité et de contraception microprogestative. Par contre sa fréquence n'est pas modifiée par une contraception oestroprogestative normodosée ni par les A.T.C.D. d'avortements spontanés du 2è trimestre.
26 Question à complément simple. Vous suspectez une GEU (Grossesse Extra Utérine) chez une patiente. Votre examen clinique est normal. Vous devez : A - Revoir la patiente cliniquement 4 à 5 jours plus tard B - Faire une coelioscopie C - Faire une hystéroscopie D - Faire un dosage de HCG et une échographie E - Faire un dosage de progestérone Bonne(s) réponse(s) : D En l'absence de signes d'hémorragie abdominale (examen clinique normal) qui imposeraient la coelioscopie, le dosage des bêta HCG et l'échographie permettent d'affirmer la grossesse et de montrer l'absence de sac intra-utérin avec éventuellement un épanchement abdominal et/ou une masse annexielle suspecte, plus rarement l'image précise de la GEU.
53 Question à complément simple. Au terme de votre démarche diagnostique, vous décidez d'une coelioscopie, au cours de laquelle vous découvrez une grossesse extra utérine droite de 1 cm de diamètre, ampullaire ; la trompe controlatérale est recouverte d'adhérences et présente un phimosis complet du pavillon. Quel geste thérapeutique vous semble le plus adapté ? A - Conservation tubaire par césarienne tubaire B - Salpingectomie droite C - Salpingectomie bilatérale D - Salpingectomie droite et plastie tubaire gauche E - Salpingectomie droite et ligature tubaire controlatérale Bonne(s) réponse(s) : A Compte-tenu de la petite taille de la grossesse et du mauvais état de la trompe controlatérale, on propose une chirurgie conservatrice.
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15 Question à complément simple.
58 Question à complément simple.
Le moyen le plus précoce pour diagnostiquer une grossesse est : A - L'examen clinique B - La courbe thermique C - La réaction immunologique de grossesse dans les urines D - Le dosage de Bêta HCG plasmatique E - L'échographie
Lorsque l'examen clinique semble normal, dans le cas d'une suspicion de grossesse extra-utérine, que faut-il faire : A - Reconvoquer la malade quinze jours plus tard pour nouvel examen B - Faire une coelioscopie C - Demander un dosage de bêta HCG et une échographie D - L'opérer immédiatement E - Aucune de ces actions n'est correcte
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C
Le dosage des béta HCG plasmatiques est le plus performant et est positif (> ou égal 10 UI) au 10è jour de grossesse alors que la courbe thermique de nécessite un plateau prolongé de plus de 16 jours après le décalage et que les réactions immunologiques classiques de grossesse (seuil 31000 UI) ne se positivent qu'au 20è jour de grossesse environ, en même temps que le seuil de sensibilité échographique : visualisation du sac ovulaire vers la 5è SA.
En l'absence d'anomalie clinique évocatrice, toute suspicion de GEU doit faire demander un dosage des BHCG dont l'évolution sur 48 heures renseigne sur l'évolutivité de la grossesse, et une échographie qui permet d'écarter le diagnostic lorsqu'elle retrouve une image intra-utérine et de la suspecter en cas d'utérus vide avec une image annexielle et/ou liquidienne dans le douglas. C'est après avoir réuni un faisceau d'arguments cliniques et paracliniques que l'on posera l'indication opératoire (coelioscopie).
37 Question à complément simple. Parmi ces propositions concernant le fibrome et la grossesse, laquelle est fausse : A - Le fibrome peut gêner le diagnostic d'une grossesse jeune B - Si on constate qu'il existe un fibrome au 3ème trimestre d'une grossesse, il faut faire une myomectomie C - La nécrobiose aseptique est plus fréquente D - On observe plus souvent des présentations anormales E - Le fibrome peut constituer un obstacle à l'accouchement Bonne(s) réponse(s) : B Au cours de la grossesse, le fibrome peut se compliquer plus fréquemment de nécrobiose aseptique et entraîner une expulsion prématurée ou une dystocie lors de l'accouchement (obstacle praevia, présentation anormale) ; enfin, en déformant l'utérus il gêne l'appréciation de la hauteur utérine surtout pour une grossesse jeune. En l'absence de complication, il est illicite de proposer une myomectomie au 3è trimestre.
51 Question à complément simple. La découverte d'une bactériurie significative à Protéus totalement asymptomatique chez une femme sans antécédent au 3ème mois de la grossesse : A - Doit faire pratiquer une urographie et une cystographie rapidement B - Doit être traitée par des anti infectieux adaptés C - Impose le port d'une sonde à demeure D - Peut être négligée E - Impose le repos au lit trois semaines Bonne(s) réponse(s) : B Toute bactériurie significative (> ou égal 10 exposant 4 germes/ml) doit être traitée par un antiseptique urinaire ou un antibiotique efficace (antibiogramme systématique) en raison du risque de pyélonéphrite chez la mère et de complication de la grossesse (accouchement prématuré, hypotrophie foetale, mort in utéro). L'urographie et la cystographie ne se discutent qu'en cas d'infection haute ou de cystites à répétition et seulement à distance de l'accouchement. Le repos au lit n'est indiqué qu'en cas de contraction utérine ou de modification associée du col.
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57 Question à compléments multiples. La grossesse extra utérine à une fréquence accrue dans la(les) circonstance(s) suivante(s) : A - Antécédent de stérilité B - Antécédent de salpingite C - Antécédent d'avortement spontané du deuxième trimestre D - Contraception par oestro-progestatif normo-dosé E - Contraception par stérilet Bonne(s) réponse(s) : A B E La grossesse extra utérine est favorisée par les lésions tubaires (salpingite, endométriose, plastie tubaire...) elle est retrouvée classiquement de façon plus fréquente en cas de stérilet, d'antécédent de stérilité et de contraception microprogestative. Par contre sa fréquence n'est pas modifiée par une contraception oestroprogestative normodosée ni par les A.T.C.D. d'avortements spontanés du 2è trimestre.
85 Question à compléments multiples. Un médicament tératogène, administré du 28ème au 35ème jour de la grossesse, peut entraîner une atteinte : A - De l'oeil B - Du système nerveux central C - Du coeur D - Des membres E - Des organes génitaux externes Bonne(s) réponse(s) : A B C D La période correspondante à la 6è semaine de grossesse (28è au 30è jour de grossesse) est la formation des ébauches d'organes (embryogénèse). Seuls les organes génitaux externes seront développés au début de la période foetale.
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77 Question à complément simple.
65 Question à compléments multiples.
Les propositions suivantes sont fausses, sauf une Le bilan d'une aménorrhée secondaire chez une femme de 35 ans montre une selle turcique normale, un taux élevé de FSH et de LH plasmatiques, un taux normal de prolactine et de testostérone, un test de grossesse négatif, un taux très bas de progestérone, un examen gynécologique normal. Le diagnostic s'oriente vers : A - Une dysgénésie gonadique B - Une syndrome de Stein et Leventhal C - Une tumeur hypophysaire D - Une ménopause précose E - Une aménorrhée psychogène
Parmi les examens complémentaires demandés lors de la déclaration de grossesse lequel(lesquels) est (sont) obligatoire(s) : A - Groupe sanguin B - Protéinurie C - Glycémie D - Recherche de la sérologie de la syphilis E - Radio pulmonaire
Bonne(s) réponse(s) : D L'augmentation de FSH et LH signe l'origine basse de l'aménorrhée. La dysgénésie gonadique est responsable d'une aménorrhée primaire et dans le syndrome de Stein Leventhal, l'élévation de FSH et LH est dissocié et l'examen retrouve en général de gros ovaires polykystiques et un hirsutisme (hyperandrogénie).
81 Question à complément simple. La vitalité de la grossesse au terme de 8 semaines d'aménorrhée avec métrorragies peut être vérifiée par : A - Mesure de la hauteur utérine B - Auscultation des bruits du coeur au stéthoscope à ultrasons C - Un dosage des bêta HCG D - Echographie E - Courbe de température Bonne(s) réponse(s) : C Seule l'échographie, par la recherche de battements cardiaques et de mouvements actifs foetaux, permet d'affirmer la vitalité ovulaire. Les bruits du coeur ne sont pas toujours perceptibles à ce terme au stéthoscope à ultra-sons et aucun des autres examens ne permet isolément ce diagnostic.
82 Question à complément simple. Lorsque surviennent des métrorragies, rouges et abondantes, au 3ème trimestre de la grossesse, sans lésion du col, quel est l'examen complémentaire à demander pour affirmer l'étiologie ? A - Une amniocentèse tardive B - Un dosage d'oestriol C - Une échographie D - Un enregistrement du rythme cardiaque foetal E - Un dosage de prégnandiol Bonne(s) réponse(s) : C Le premier diagnostic évoqué est le placenta praevia et seule l'échographie permet de préciser la localisation placentaire.
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Bonne(s) réponse(s) : A B D La loi prévoit à titre obligatoire le groupe sanguin, la protéinurie et la sérologie syphilitique. Il est conseillé de pratiquer une glycémie à jeun. La radiographie pulmonaire n'est réservée qu'en cas d'anomalie clinique ou de terrain à risque de tuberculose.
6 Question à complément simple. Le terme d'une grossesse est calculé précisément grâce à l'échographie : A - A la 34ème semaine d'aménorrhée B - Au 15ème jour de gestation C - Entre la 16ème et la 20ème semaine d'aménorrhée D - Entre la 28ème et la 32ème semaine d'aménorrhée E - Entre la 24ème et la 28ème semaine d'aménorrhée Bonne(s) réponse(s) : C Plus l'échographie est réalisée précocément plus le calcul du terme est précis : - 6 à 8 S.A ± 5 jours (sac ovulaire) - 8 à 12 S.A ± 3 jours (distance crâniocaudale) - 13 à 24 S.A ± 1 semaine. Au 15è jour de gestation le sac ovulaire n'est pas encore visible.
81 Question à complément simple. Parmi les causes d'avortements tardifs énumérées cidessous, l'une est fausse. Laquelle ? (On désigne par avortement tardif, un avortement survenant au deuxième trimestre de la grossesse) A - Malformation du corps utérin B - Placenta extra-chorialis C - Béance cervico-isthmique D - Aberration chromosomique E - Infection du pôle inférieur de l'oeuf Bonne(s) réponse(s) : D Les avortements tardifs sont principalement d'origine utérine (malformation, béance) lorsque le foetus est vivant, et ovulaire (anomalie du placenta et du cordon, infection : listériose et syphilis surtout) lorsqu'il est mort. Les aberrations chromosomiques ne sont plus en cause (1ère cause au 1er trimestre).
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94 Question à complément simple.
87 Question à complément simple.
Chez une femme de 28 ans, le bilan d'hypertension a mis en évidence une sténose de l'artère rénale gauche. Depuis un an, la tension artérielle est maintenue à la normale par un traitement bêtabloquant (400 mg d'acébutolol par jour). Elle vient consulter pour un arrêt de règles de 8 semaines, les réactions biologiques de grossesse sont positives. Vous devez décider : A - Une interruption de grossesse en raison du risque tératogène B - Une interruption du traitement C - Une interruption du traitement et son remplacement par un régime désodé et un diurétique D - Une interruption du traitement et contrôle des lésions par une nouvelle artériographie E - Poursuite du traitement sous surveillance obstétricale et tensionnelle
Une jeune femme primigeste de 28 ans, en 39ème semaine d'aménorrhée, consulte pour céphalées et sensations de "mouches volantes''. Il existe : albuminurie(+ + +), oedèmes des membres inférieurs et supérieurs, prise de poids de 21 kg depuis le début de la grossesse. La T A est à 150/105. Le tracé cardiaque foetal est parfait. Le col utérin est long de 2 cm, ouvert à 1 cm sur toute sa longueur : A - Vous prescrivez un traitement anti-hypertenseur à cette patiente en lui précisant de revenir consulter dans une semaine, si elle n'a pas accouché B - Vous prescrivez un bilan d'hypertension à faire en ambulatoire : créatinine, urée, acide urique, clearance, avant tout traitement anti-hypertenseur C - Vous demandez une UIV pour apprécier la fonction sécrétoire du rein D - Vous hospitalisez cette patiente immédiatement pour bilan et surveillance E - Vous interrompez la grossesse dans le plus bref délai
Bonne(s) réponse(s) : E La poursuite du traitement par les béta-bloquants est possible comptetenu d'une surveillance obstétricale et tensionnelle, en effet : les béta- ne sont pas tératogènes et le risque théorique d'hypoglycémie, de bronchospasme néonatal ou d'accouchement prématuré n'a pas été démontré et est facilement traité. L'hypertension est aggravée par la grossesse et peut se compliquer d'une toxémie surajoutée. L'artériographie et les diurétiques sont contre-indiqués (majoration de l'hypovolémie, irradiation foetale).
34 Question à compléments multiples. Parmi les 5 vaccins suivants, citez celui(ceux) que l'on peut prescrire sans arrière pensée pendant la grossesse : A - BCG B - Vaccin antipolyomyélitique buvable C - Vaccin antirubéolique D - Vaccin antigrippal E - Vaccin antihépatite B Bonne(s) réponse(s) : D E Les vaccins vivants même atténués sont contre-indiqués pendant la grossesse car susceptibles d'un passage transplacentaire. Le vaccin antigrippal est inactivé et celui de l'hépatite B est un vaccin antigénique donc peuvent être prescrits.
33 Question à complément simple. L'examen complémentaire le plus important pour établir le diagnostic d'un arrêt spontané d'évolution de la grossesse entre 8 et 15 semaines d'aménorrhée est : A - Le dosage des HCG urinaires B - Le dosage des HCG plasmatiques C - Le dosage urinaires de prégnandiol et oestrogènes D - L'échographie E - L'enregistrement du rythme cardiaque foetal Bonne(s) réponse(s) : D Seule l'échographie peut faire le diagnostic de grossesse arrêtée sur l'absence de battements cardiaques, de mouvement actif puis le chevauchement des os du crâne, l'ascite foetale etc... Les dosages hormonaux A et B isolés sur un dosage ne permettent en aucun cas d'affirmer le diagnostic (c'est sans intérêt) et la recherche des bruits du coeur aux ultrasons est souvent aléatoire à ce terme.
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Bonne(s) réponse(s) : E Il s'agit d'un syndrome prééclamptique chez une femme à terme nécessitant de toute urgence le sauvetage maternel et foetal par l'interruption de grossesse (compte-tenu de l'absence de souffrance foetale et de l'état du col, un déclenchement est possible) associé à un traitement antihypertenseur sous surveillance clinique accrue.
26 Question à compléments multiples. La présence d'un fibrome utérin et d'une grossesse implique la connaissance de certains risques et attitudes thérapeutiques, parmi lesquels vous retenez : A - Indication de cerclage systématique en raison du risque d'avortement tardif B - Administration de progestatifs durant le premier trimestre de la grossesse C - Césarienne systématique à terme D - Risque d'accouchement prématuré E - Surveillance accrue de la délivrance (risque d'hémorragie par inertie utérine) Bonne(s) réponse(s) : D E Le fibrome risque de se compliquer pendant la grossesse (torsion, nécrobiose) et de compliquer la grossesse : accouchement prématuré, obstacle praevia, hémorragie de la délivrance. Il nécessite donc une surveillance accrue mais aucun geste préventif systématique n'est indiqué.
112 Question à compléments multiples. Dans les dix premières semaines de la grossesse des métrorragies peuvent être causées par : A - Grossesse molaire B - Menace d'avortement spontané C - Insertion basse du placenta D - Hématome rétro placentaire E - Grossesse extra-utérine Bonne(s) réponse(s) : A B E Les complications placentaires nécessitent l'individualisation de celui-ci qui n'a lieu qu'au 2ème trimestre.
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76 Question à complément simple.
52 Question à complément simple.
Quel est en pratique le premier examen à demander pour affirmer le diagnostic de grossesse devant un retard de règles de 10 jours ? A - Test immunologique de grossesse B - Dosage oestradiol plasmatique C - Dosage progestérone plasmatique D - Dosage d'oestriol urinaire E - Echographie
Madame X présente après une aménorrhée de 2 mois et demi des métrorragies d'abondance modérée. Parmi les examens ci-dessous, quel est celui qui permet d'affirmer l'évolutivité de la grossesse ? A - Le dosage de l'HCG urinaire B - Le dosage de l'HCG bêta plasmatique C - Le dosage de la progestérone plasmatique D - Le diagnostic immunologique de grossesse E - L'échographie
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
110 Question à compléments groupés. La grossesse entraîne un certain nombre de modifications biologiques. Quelle(s) est(sont) la(les) propositions qui est(sont) correcte(s) ? 1 - Hyperleucocytose 2 - Hémodilution 3 - Hypercholestérolémie 4 - Accélération de la vitesse de sédimentation Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E Au cours de la grossesse, on note une augmentation du volume plasmatique d'où une anémie par hémodilution responsable d'une accélération de la VS. Il existe par ailleurs une hyperleucocytose (9000 à 15000) et une hypercholestérolémie.
Aucun dosage hormonal isolé (HCG plasmatiques ou urinaires, bétaHCG) ne permet d'affirmer l'évolutivité d'une grossesse (le dosage de la progestérone n'y participe en aucun cas) seule l'échographie par la recherche de mouvements actifs et battements cardiaques permet de rassurer la patiente dans le cas échéant. P.M : Dans une grossesse môlaire, il existe une augmentation des HCG sans développement embryonnaire.
82 Question à complément simple. Une infection urinaire en cours de grossesse comporte les risques évolutifs suivants, sauf un. Lequel ? A - Mort in-utéro en cas de pyélonéphrite aiguë B - Risque de prématurité ou de retard pondéral C - Risque important (30%) de pyelonéphrite aiguë D - Constitution de lésions interstitielles rénales de pyélonéphrite chronique E - Risque de stérilité secondaire Bonne(s) réponse(s) : E
10 Question à complément simple.
L'infection urinaire, en cours de grossesse, peut être grave pour les 4 premières raisons et doit donc être soigneusement recherchée. La physiopathologie de la stérilité n'a rien à voir avec l'infection urinaire qui ne se propage jamais aux annexes.
Au cours des grossesses extra-utérines, la site d'implantation ectopique le plus fréquent est : A - Le pavillon tubaire B - L'ovaire C - La portion isthmique de la trompe D - L'ampoule tubaire E - La portion interstitielle de la trompe
101 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : D Toutes les localisations ont été décrites lors d'une grossesse extrautérine mais la plus fréquente est la grossesse ampullaire (78 %) contre 20 % pour l'isthmique.
Une femme au 8ème mois de sa grossesse présente les résultats suivants. L'un d'entre eux est anormal, indiquez lequel : A - Taux d'hémoglobine : 9 g/dl B - Fer sérique : 90 microg/dl (16 micromol/l) C - Leucocytes : 12 x 109 /l (12000/mm3) D - Fibrinogène : 4 g/l E - Vitesse de sédimentation globulaire : 30 mm en 1 heure Bonne(s) réponse(s) : A
84 Question à compléments multiples. Parmi les antibiotiques suivants, quel(s) est (sont) celui (ceux) contre-indiqué(s) les 3 derniers mois de la grossesse : A - Tétracylines B - Ampicilline C - Aminosides D - Chloramphénicol E - Macrolides
La grossesse s'accompagne d'une hyperleucocytose (9 000 à 15 000 GB/mm3), d'une accélération de la VS, d'une augmentation du fibrinogène (supérieur ou égal à 4 g/l) et d'une anémie modérée par hémodilution (Hb supérieur à 11g/l) avec baisse du fer sérique supérieur ou égal à 80 mg/100 ml. Dans ce cas, une Hb à 9 g doit faire rechercher une autre cause.
Bonne(s) réponse(s) : A C D Les tétracyclines absorbées par les dents provoquent une coloration et un hypoplasie dentaire. Les aminosides utilisés à fortes doses cumulées sont responsables de toxicité auditive et sont donc à éviter. Le chloramphénicol est contre-indiqué pendant toute la grossesse (syndrome gris du nouveau-né).
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55 Question à complément simple.
4 Question à complément simple.
Le meilleur paramètre échographique permettant d'apprécier l'âge d'une grossesse dont la date de début est imprécise est : A - La mesure du bi-pariétal à partir de la 13ème semaine d'aménorrhée B - La mesure du sac gestationnel à 7 semaines d'aménorrhée C - La mesure de la longueur fémorale à 24 semaines d'aménorrhée D - La mesure de la longueur cranio-caudale de l'embryon à 8 semaines d'aménorrhée E - La mesure du diamètre abdominal transverse à 24 semaines d'aménorrhée
Si une grossesse survient chez une femme qui porte un stérilet et est dans l'incertitude sur la poursuite de la grossesse, quelle est la conduite à tenir ? A - Avortement thérapeutique B - IVG C - Ablation du stérilet D - Section des fils du stérilet E - Abstention et surveillance échographique
Bonne(s) réponse(s) : D La précision pour ces différentes mesures est : - bi-pariétal après 13 SA ± 1 semaine - sac gestationnel 7 SA + ou - 5 jours - fémur 24 SA ± 1 semaine - crâniocaudale 8 SA ± 3 jours - abdominal transverse 24 SA, critère de croissance pondérale.
19 Question à complément simple. Quelle est la cause la plus fréquente des avortements spontanés du 1er trimestre de la grossesse ? A - Causes hormonales B - Malformations utérines C - Fibromes D - Béance de l'isthme E - Anomalies chromosomiques de l'oeuf Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C L'ablation du stérilet, quand elle est possible, est impérative, le risque morbide étant plus important lorsqu'il reste en place. La grossesse sur stérilet est entachée de complications précoces (avortement spontané, infection) plus fréquentes mais ne justifie pas en elle-même l'avortement thérapeutique.
5 Question à compléments multiples. Au 7ème mois d'une grossesse normale, on s'attend à trouver : A - Une créatinine sérique à 120 micromoles/litre B - Une uricémie à 200 micromoles/litre C - Une protéinurie de 0,60 g/24 h D - Une pression artérielle à 145/90 mmHg E - Une bactériurie de 104 germes/ml Bonne(s) réponse(s) : B La créatininémie est abaissée (< ou égale à 70 micromol/l) ainsi que l'uricémie (< ou égale à 240 micromol/l). Il n'y a pas de protéinurie ni de bactériurie, la pression artérielle est strictement inférieure à 140 mm Hg pour la systolique et 90 mmHg pour la diastolique.
Les malformations utérines, les fibromes utérins et la béance cervicoisthmique sont responsables d'avortements tardifs du 2ème trimestre avec foetus vivant. Les anomalies chromosomiques et l'insuffisance lutéale sont responsables d'avortements du 1er trimestre, les 1ères étant les plus fréquentes (40 à 60% des cas).
42 Question à compléments multiples.
30 Question à complément simple.
Quels sont les deux moyens les plus précoces pour poser le diagnostic de grossesse ? A - L'examen clinique B - La courbe thermique C - La réaction immunologique de grossesse dans les urines D - Le dosage de Béta HCG plasmatique E - L'échographie
Quel est l'examen le plus fiable pour diagnostiquer une souffrance foetale in utéro au 3ème trimestre de la grossesse ? A - Dosage de l'oestriol B - Dosage de H.P.L. (hormone lactogène placentaire) C - Amnioscopie D - Enregistrement du rythme cardiaque foetal E - Echographie Bonne(s) réponse(s) : D L'enregistrement du rythme cardiaque foetal (R.C.F.) est le plus sensible pour dépister une souffrance foetale au 3ème trimestre. Il recherche un tracé aréactif : absence de phases d'accélération (voire décélération), diminution de l'amplitude des fluctuations, au maximum rythme sinusoïdal, bradycardie de gravité extrême. L'amnioscopie apporte des informations au moment du terme lorsque le col est ouvert (couleur du liquide amniotique). L'échographie renseigne sur la croissance foetale et les mouvements actifs mais malgré les scores définis (Magnin), la valeur prédictive est inférieure à l'enregistrement du R.C.F. L'H.P.L. d'origine exclusivement placentaire et l'oestriol témoin du bienêtre du couple foeto-placentaire sont moins sensibles et moins spécifiques (nombreuses sources d'erreur). Le dosage de l'oestriolémie n'est considérée comme significative de souffrance foetale que lorsque la chute est supérieure à 40 % de la moyenne des 3 valeurs précédentes.
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Bonne(s) réponse(s) : B D Les béta HCG urinaires sont positives au 10ème jour de grossesse. Le plateau thermique > ou égal à 16 jours permet de suspecter une grossesse débutante. La R.I.G. classique urinaire (seuil de positivité 1000 UI) est positive au 21ème jour d'une grossesse normale. L'échographie ne permet de voir un sac ovulaire qu'à la 4ème semaine de grossesse.
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61 Question à complément simple.
16 Question à complément simple.
Devant des métrorragies, rouges et abondantes, au 3ème trimestre de la grossesse, sans lésion du col, l'examen complémentaire à demander est : A - Une amniocentèse B - Un dosage d'oestriol C - Une échographie D - Une amnioscopie E - Un dosage de prégnandiol
Toutes ces étiologies peuvent donner une hémorragie génitale externe en fin de grossesse, sauf une. Laquelle ? A - Insertion basse du placenta B - Hématome rétro-placentaire C - Polype endocervical décidualisé D - Nécrose d'un fibrome pédicule sous séreux E - Rupture d'un utérus cicatriciel Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C Le premier diagnostic à évoquer devant des métrorragies isolées de sang rouge au 3ème trimestre est le placenta bas inséré diagnostiqué par l'échographie.
64 Question à complément simple. Une femme jeune présente des métrorragies d'installation récente et l'examen clinique trouve une masse latéro-utérine douloureuse de volume modéré. Parmi les cinq éléments suivants, quel est celui qui vous permet pratiquement d'éliminer une grossesse extra-utérine en activité ? A - Absence de retard de règles B - Kyste de l'ovaire connu C - Test de grossesse standard négatif D - Existence d'un stérilet en place E - Taux de la bêta-HCG plasmatique inférieur à 5 milliunités/ml
Un fibrome sous-séreux pédiculé n'est pas en contact avec la muqueuse endométriale et ne provoque pas de métrorragie en cas de nécrobiose.
24 Question à complément simple. Dans le monitorage du rythme cardiaque foetal au cours de la grossesse, quel est l'élément de bon pronostic ? A - Rythme plat B - Rythme sinusoïdal C - Episodes d'accélération lors des mouvements foetaux D - Tachycardie permanente, même en l'absence de mouvements foetaux E - Bonne récupération après un ralentissement induit par une contraction utérine Bonne(s) réponse(s) : C Toutes les autres propositions sont des tracés de souffrance foetale avec dans l'ordre de gravité croissante E.D.A.B.
Bonne(s) réponse(s) : E Les bêta HCG sont sécrétées par le trophoblaste dès son individualisation (9ème jour après l'ovulation). C'est donc le dosage le plus sensible, avec un seuil de positivité à 5 UI/ml et le plus précoce.
97 Question à compléments multiples.
76 Question à compléments multiples.
Indiquez, parmi les conditions suivantes, celle(s) qui peut (peuvent) être cause(s) de grossesse extra-utérine : A - Salpingite B - Stérilet C - Malformation tubaire D - Progestatifs microdosés E - Antécédents de plastie tubaire
Parmi les 5 infections ci-dessous, indiquer celle(s) qui fait (font) courir un danger pour la grossesse ou le foetus : A - Herpès génital B - Cytomégalovirus C - Toxoplasmose D - Virus de l'hépatite B E - Listeria
Bonne(s) réponse(s) : A C D E Les progestatifs microdosés altèrent la motilité tubaire et les mouvements ciliés et ralentissent ainsi le transport de l'oeuf dans la trompe. Le stérilet ne protège pas de la GEU mais ne la provoque pas.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E L'herpès génital peut être responsable d'encéphalite herpétique chez le nouveau-né (contamination le plus souvent au moment de la naissance) : - le cytomégalovirus est responsable de mort foetale in utéro ou de malformations céphaliques - la toxoplasmose est responsable de mort in utéro et d'atteinte oculaire ou neurologique - la listériose est responsable de mort in utéro, de méningite, hépatite ou septicémie néonatale. Enfin le virus de l'hépatite B ne donne pas de malformation mais peut provoquer une mort foetale in utéro ou une hépatite néonatale (rare) et un accouchement prématuré.
7 Question à complément simple. Au cours d'une grossesse normale débutante, le taux plasmatique de l'HCG : A - Double en 12 heures B - Double en 2 jours C - Double en 5 jours D - Double en 8 jours E - Aucune de ces propositions n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : B Le maximum est atteint entre la 8ème et la 12ème semaine puis chute jusqu'à la 20ème semaine où il se maintient alors autour de 5 000 UI/24 h et disparaît dans les 5 jours suivant l'accouchement.
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54 Question à compléments multiples.
103 Question à compléments multiples.
A propos de "grossesse et pression artérielle" choisir la(les) proposition(s) exacte(s) : A - Le volume plasmatique s'accroît au cours de la grossesse normale B - La pression artérielle s'élève au cours de la grossesse normale C - Les résistances périphériques s'abaissent au cours de la grossesse normale D - Il existe une liaison statistique entre hypertension artérielle de la grossesse et trouble de la croissance du foetus E - Le régime sans sel est la base du traitement de l'HTA de la grossesse
Dans les dix premières semaines de la grossesse, des métrorragies peuvent être causées par : A - Grossesse molaire B - Menace d'avortement spontané C - Insertion basse du placenta D - Décollement prématuré du placenta normalement inséré E - Prise d'aspirine Bonne(s) réponse(s) : A B E Les hémorragies d'origine placentaire nécessitent l'individualisation de ce dernier (15ème SA).
Bonne(s) réponse(s) : A C D Chez la femme enceinte, il existe une augmentation de la volémie avec bilan sodé positif, augmentation de la filtration rénale et baisse des résistances périphériques d'où baisse de la tension artérielle. Dans la toxémie, il existe une hypovolémie avec bilan sodé moins positif, le régime sans sel est donc dans ce cas un facteur d'aggravation. L'hypertension artérielle granidique est statistiquement liée à l'hypotrophie foetale (ischémie utéroplacentaire).
16 Question à complément simple. Parmi les cinq propositions suivantes toutes sont exactes,sauf une. Laquelle ? Une grossesse comportant un risque vasculo-rénal est surveillée sur : A - La créatininémie B - L'urémie C - L'uricémie D - La protéinurie des 24 heures E - La prise de la tension artérielle Bonne(s) réponse(s) : B L'urémie est un très mauvais critère de surveillance de la grossesse à risque vasculo-rénal. Elle baisse chez la femme enceinte mais son augmentation dans la grossesse toxémique est perturbée par de nombreux facteurs métaboliques.
45 Question à complément simple. Parmi les schémas évolutifs suivants, lequel correspond à l'évolution habituelle de la tension artérielle chez la femme au cours d'une grossesse ? A - Abaissement tensionnel pendant la première moitié de la grossesse puis retour à la normale sur la fin B - Elévation tensionnelle progressive pendant toute la grossesse C - Elévation tensionnelle pendant les 2 premiers trimestres D - Abaissement au 3ème trimestre E - Aucune variation tensionnelle au cours de la grossesse
1 Question à complément simple. Une patiente, habituellement bien réglée, est vue pour la première fois en milieu de grossesse. Quel est le meilleur moyen pour préciser le terme de cette grossesse ? A - L'échographie B - Les dosages sanguins répétés de l'H.P.L. (hormone lacto-placentaire) C - Le calcul à partir de la date des dernières règles D - La hauteur utérine E - Les dosages urinaires répétés d'H.C.G. (hormone gonado-chorionique) Bonne(s) réponse(s) : C Lorsque les cycles sont réguliers, c'est la date des dernières régles qui donne la meilleure approximation sur le terme. En effet l'échographie entre 20 et 26 SA donne une précision de plus ou moins huit jours, ce qui la met en seconde position.
61 Question à compléments multiples. Parmi ces antibiotiques, il est possible d'utiliser sans risque foetal au cours de la grossesse : A - Céfalotine® B - Vibramycine® C - Erythromycine D - Claforan® E - Chloramphénicol Bonne(s) réponse(s) : A C D En l'absence d'allergie maternelle, les antibiotiques du groupe des béta Lactamines (Céfalotine® - Claforan®) et les Macrolides® (Erythromycine) sont utilisables sans danger pour le foetus contrairement à la Vibramycine (hypoplasie et coloration des dents) et les phénicols ("Grey Syndrome" du nouveau né).
Bonne(s) réponse(s) : A La tension artérielle est légèrement abaissée dans la 1ère moitié de la grossesse. Elle est aussi plus labile au détriment de la systolique. Elle doit être strictement inférieure à 14/9.
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63 Question à compléments multiples.
70 Question à compléments multiples.
Madame L..., employée de bureau, âgée de 25 ans, est enceinte pour la troisième fois. Elle a déjà accouché à la deuxième grossesse à 33 semaines. Sa nouvelle grossesse est normale, mis à part des métrorragies au troisième trimestre. Vous retenez en faveur d'un risque d'accouchement prématuré : A - Employée de bureau B - 25 ans C - Antécédent d'accouchement prématuré D - Métrorragies au troisième trimestre E - Grossesse unique
Parmi les 5 propositions suivantes concernant les antibiotiques autorisés pendant la grossesse, indiquez celle(s) qui est(sont) exacte(s) : A - Tétracyclines B - Cotrimoxazole C - Amoxicilline D - Spiramycine E - Chloramphénicol
Bonne(s) réponse(s) : C D Un antécédent d'accouchement prématuré majore le risque de prématurité pour les grossesses suivantes. Les métrorragies du 3ème trimestre sont à rapporter en premier lieu à une pathologie placentaire (placenta praevia, hématome rétroplacentaire) mais peuvent être le prélude d'une menace d'accouchement prématuré lorsque toute autre étiologie a été éliminée.
64 Question à compléments multiples. Madame R. est enceinte pour la deuxième fois. La première grossesse s'est déroulée normalement. Vous avez noté sur son dossier : son groupe sanguin ORh+, sérologie rubéole 1/20, sérologie toxoplasmose négative. Vous devez obligatoirement prescrire pour la déclaration de sa deuxième grossesse : A - Sérologie rubéole B - Sérologie toxoplasmose C - Sérologie syphilis D - Agglutinines irrégulières E - Sucre et albumine dans les urines
Bonne(s) réponse(s) : C D Les sulfamides (cotrimoxazole) sont responsables d'éventuels ictères nucléaires par hémolyse du nouveau-né. Les phénicols (chloramphénicol) sont responsables de "grey syndrome" à la naissance et les tétracyclines, d'hypoplasie et coloration dentaire. béta lactamines et macrolides sont utilisés sans danger.
36 Question à complément simple. Au cours d'une grossesse normale, tous les phénomènes biologiques suivants sont habituels, sauf un. Lequel ? A - Diminution du taux d'hémoglobine B -.Diminution de la masse globulaire C - Diminution des réserve de fer D - Augmentation de la vitesse de sédimentation E - Stabilité du chiffre des plaquettes Bonne(s) réponse(s) : B La masse globulaire augmente au cours de la grossesse moins vite que la masse plasmatique d'où une diminution relative du taux d'hémoglobine et une diminution des réserves de fer. Cette "anémie" relative est responsable d'une accélération de la VS. Les plaquettes sont stables.
Bonne(s) réponse(s) : B C E La sérologie de la rubéole étant positive lors de la 1ère grossesse il n'est pas nécessaire de la redemander. Une recherche d'agglutinines irrégulières est recommandée pour rechercher une immunisation dans les autres groupes (E,E, Kell) mais non obligatoire pour la déclaration puisque la patiente est rhésus positif.
54 Question à compléments multiples. La grossesse ne contre-indique pas la prise de : A - Tétracyclines B - Pénicilline C - Amoxicilline D - Rovamycine E - Chloramphénicol
52 Question à complément simple. Parmi ces propositions concernant l'interprétation du dosage de créatininémie pendant la grossesse, une réponse est exacte. Laquelle ? A - La créatininémie est inchangée pendant la grossesse normale B - La limite supérieure de la norme est élevée en raison d'une diminution de la filtration glomérulaire C - La limite supérieure de la norme est abaissée en raison d'une augmentation de la filtration glomérulaire D - La limite supérieure de la norme est élevée en raison d'une augmentation des catabolismes E - La limite supérieure de la norme est abaissée en raison d'une diminution des catabolismes Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B C D Les béta lactamines et macrolides sont sans danger pendant la grossesse. Les tétracyclines sont contre-indiquées (hypoplasie et coloration dentaire) ainsi que le chloramphénicol ("Grey syndrome" du nouveau-né).
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La créatininémie s'abaisse de 25 % en cours de grossesse en raison d'une augmentation de la filtration glomérulaire malgré l'augmentation du catabolisme.
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116 Question à compléments multiples.
61 Question à compléments multiples.
Chez une femme au huitième mois de grossesse, indiquez le ou les résultats qui vous semble(nt) anormal(aux) : A - Vitesse de sédimentation globulaire à 30 mm à la première heure B - Leucocytes = 11 000 / mm3 C - Taux d'hémoglobine = 9 g/dl D - Réticulocytes = 200 000 / mm3 E - Plaquettes = 600 000 / mm3
Les facteurs de risques de grossesse extra-utérine comportent : A - Les antécédents de salpingite aiguë B - Les microprogestatifs C - Le stérilet D - Les antécédents d'appendicectomie E - L'âge supérieur à 40 ans Bonne(s) réponse(s) : A B C
Bonne(s) réponse(s) : CD Au troisième trimestre de la grossesse il existe une anémie par hémodilution responsable en partie d'une accélération de la VS, néanmoins le taux d'hémoglobine doit rester supérieur à 11 g/dl. Les polynucléaires neutrophiles sont élevés et entraînent une augmentation des globules blancs jusqu'à 15 000/mm3. Les plaquettes sont inchangées ainsi que les réticulocytes.
38 Question à compléments multiples. Vous avez la certitude d'une séro-conversion pour la toxoplasmose au 7ème mois de grossesse de Madame X... Quel(s) élément(s) vous permettront d'affirmer que le nouveau-né de cette femme n'est pas contaminé ? A - Examen clinique initial normal B - Absence d'IgM spécifiques à la sérologie néo-natale C - Négativation de la sérologie chez l'enfant dans les premiers mois D - Fond d'oeil et radiographie du crâne normaux E - Traitement maternel par la spiramycine pendant les trois derniers mois de la grossesse
Toute lésion tubaire infectieuse, endométriosique ou chirurgicale, est un facteur de risque de GEU ainsi que les microprogestatifs (effet non retrouvé dans les nouvelles spécialités) par diminution du brossage et du flux intra-tubaire. Le stérilet prévient la grossesse intra-utérine et non la grossesse extrautérine dont le taux relatif est donc plus important.
50 Question à complément simple. Une deuxième geste, césarisée lors de la première grossesse est adressée en urgence, à 34 semaines d'aménorrhée pour état de choc avec hémorragie peu abondante, noirâtre. L'examen retrouve une T.A. élevée à 16/10, une contracture utérine et une souffrance foetale aiguë. Le diagnostic le plus probable est : A - Un syndrome du sinus marginal B - Une rupture utérine C - Un décollement prématuré du placenta normalement inséré D - Un décollement prématuré du placenta bas inséré E - Un infarctus myométral Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
54 Question à complément simple. La complication foetale la plus fréquente des infections urinaires au cours de la grossesse est : A - L'infection ovulaire B - La prématurité C - L'hématome rétro-placentaire D - La macrosomie foetale E - La mort du foetus in utéro Bonne(s) réponse(s) : B L'infection urinaire est souvent responsable du déclenchement du travail avec risque de prématurité sans qu'il y ait obligatoirement infection ovulaire. La mort in utéro est rare mais possible.
Les réponses A, B, C, D correspondent à un tableau de choc hémorragique avec souffrance foetale aiguë, mais A et D entraînent une hémorragie abondante de sang rouge et B une hypercinésie initiale et non une contracture ; enfin l'HTA est plus souvent en rapport avec C.
20 Question à complément simple. Un test immunologique dépistant des quantités de bêta-HCG de l'ordre de la milliunité-internationale par ml de sang permet le diagnostic de grossesse au plus tôt A - Après un seul jour de retard des règles B - Au 10 ème jour du cycle C - Dès la fécondation D - Au 12ème jour post-ovulatoire E - Après 8 jours de retard de règles Bonne(s) réponse(s) : D L'unité Bêta de l'HCG est spécifique de la grossesse et détectable à partir du 11ème jour après l'ovulation dans le sang. Il existe une détection dans les urines réalisable par des tests pharmaceutiques qui permettent un diagnostic théorique après un seul jour de retard.
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79 Question à complément simple.
90 Question à complément simple.
Parmi les éléments de surveillance de la vitalité d'un foetus en fin de grossesse, quel est celui qui apporte le maximum de renseignements ? A - L'amnioscopie B - Le comptage des mouvements actifs C - L'échotomographie D - L'enregistrement du rythme cardiaque foetal E - L'amniocentèse
La grossesse contre-indique : A - Les injections d'immunoglobulines humaines B - La vaccination antirabique C - La vaccination antigrippale D - La vaccination antirubéolique E - La vaccination antipoliomyélitique par voie parentérale
Bonne(s) réponse(s) : D L'échographie avec la réalisation d'un score de Maning est l'examen le plus complet. L'enregistrement du RCF est le plus facilement reproductible et donc le plus utilisé dans la surveillance de fin de grossesse.
86 Question à complément simple. Parmi les signes cliniques ci-dessous, quel est celui qui ne fait pas partie du tableau de l'inondation par rupture cataclysmique de grossesse ectopique ? A - Douleurs scapulaires B - Douleur hypogastrique brutale C - Tachycardie D - Contracture abdominale E - Douleur du cul de sac de Douglas Bonne(s) réponse(s) : D La contracture abdominale accompagne la péritonite et non l'hémopéritoine.
13 Question à compléments multiples. Devant une hémorragie du 3ème trimestre de la grossesse, choisir parmi les propositions suivantes celle(s) qui est(sont) compatible(s) avec le diagnostic de placenta praevia. A - Présence d'accélérations transitoires sur le rythme cardiaque foetal B - Fibrinogène à 0,9 g/l C - Uricémie à 511 mmol/l D - Absence de protéinurie E - Utérus contracté par intermittence Bonne(s) réponse(s) : A D E Le placenta praevia (recouvrant ou bas inséré) provoque une hémorragie de sang rouge de type mécanique par décollement du pôle inférieur de l'oeuf (contractions, T.V.) et est donc indépendant d'une toxémie (C) ou d'un trouble de la coagulation (B). Si l'hémorragie est peu abondante le rythme cardiaque foetal peut rester normal (A).
34 Question à compléments multiples. La prise de barbituriques au cours de la grossesse : A - Augmente le risque malformatif B - Augmente le risque de détresse respiratoire C - Augmente le risque de postmaturité D - Expose à un syndrome de sevrage chez le nouveau-né E - Expose le nouveau-né à des troubles hémorragiques
Bonne(s) réponse(s) : D Les vaccinations à virus vivant atténué sont contre-indiquées pendant la grossesse mais le vaccin antigrippal est réputé sans danger. En aucun cas une vaccination faite en début de grossesse n'est une indication à un avortement thérapeutique.
18 Question à compléments multiples. Pour la déclaration de grossesse, indiquez les examens que vous devez obligatoirement prescrire à la femme qui vient vous consulter pour sa première grossesse : A - Groupe sanguin B - Examen cyto bactériologique des urines C - Glycosurie/Albuminurie D - Sérologie HIV E - Agglutinines irrégulières Bonne(s) réponse(s) : A C E Les agglutinines irrégulières ne sont obligatoires que chez les femmes rhésus (-) mais conseillées dans les autres cas. CBU et sérologie HIV sont recommandés mais non obligatoires.
66 Question à compléments multiples. La grossesse normale entraîne la(les) modification(s) biologique(s) suivante(s) chez la femme enceinte : A - Diminution de la vitesse de sédimentation B - Hypovolémie C - Hyperleucocytose D - Hyperuricémie E - Hypercholestérolémie Bonne(s) réponse(s) : C E La V.S. est accélérée au cours de la grossesse et du post partum. L'hypovolémie et l'hyperuricémie font partie du tableau de toxémie.
42 Question à complément simple. Une jeune femme désire une grossesse et elle est atteinte d'un diabète insulinodépendant depuis l'enfance. Parmi les propositions suivantes, quelle est celle qui est fausse ? A - Grossesse à éviter en cas de rétinopathie proliférante B - Education à l'autosurveillance glycémique si celle-ci n'est pas effectuée C - L'hyperglycémie au moment de la conception n'a pas de signification péjorative D - Il peut être utile de conseiller le port d'une pompe à insuline pendant la grossesse E - L'équilibre pourra être surveillé par l'hémoglobine glycosylée pendant la grossesse
Bonne(s) réponse(s) : A B D
Bonne(s) réponse(s) : C
Les benzodiazépines ont été accusées aux USA d'augmenter le risque de malformation (fente labiale) et sont contre-indiquées au 1er trimestre de grossesse aux USA et non en Europe. Ils sont responsable d'un syndrome de sevrage dans les 1ers mois de la vie et l'Apgar à la naissance est statistiquement diminué.
L'hyperglycémie au moment de la conception est accusée d'augmenter les malformations congénitales. La grossesse chez la diabétique doit donc être programmée afin d'équilibrer parfaitement le diabète au moment de la conception.
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38 Question à complément simple.
106 Question à compléments multiples.
Le terme de la grossesse peut être déterminé avec une précision de plus ou moins 2 jours, par : A - Le dosage de HCG urinaire B - La détermination de la longueur crânio-caudale C - Le dosage de l'HPL plasmatique D - La mesure du diamètre bipariétal E - L'étude de la courbe ménothermique
Chez une femme enceinte, au troisième trimestre de la grossesse, qui se plaint de fièvre apparemment isolée à 40°C avec frissons, quels sont les deux diagnostics à évoquer en priorité ? A - Listériose B - Pneumonie atypique C - Grippe D - Infection des voies urinaires E - Infection par le cytomégalovirus
Bonne(s) réponse(s) : E La précision de la longueur crânio-caudale et bipariétal est fonction du terme de la grossesse. La courbe de température lorsqu'elle est interprétable permet une bonne précision sur le terme (quelque soit l'âge de la grossesse !)
10 Question à compléments multiples. Pendant la grossesse une bactériurie asymptomatique peut se compliquer de : A - Une pyélonéphrite B - Une métrorragie C - Une menace d'accouchement prématuré D - Une mort foetale in utéro E - Une septicémie néo-natale Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'infection urinaire en cours de grossesse pose un double problème : - maternel lié à l'atonie relative des voies urinaires sous l'effet de la progestérone qui favorise l'infection urinaire haute - foetal lié à la contamination possible responsable d'amniotite, d'infection néo-natale et d'accouchement prématuré, voir de mort in utéro. Se méfier de l'expression pauli symptomatique de l'infection urinaire en cours de grossesse qui justifie la prescription systématique d'ECBU.
29 Question à complément simple. Dans le monitorage du rythme cardiaque foetal au cours de la grossesse, quel est l'élément de bon pronostic ? A - Rythme plat B - Rythme sinusoïdal C - Episodes d'accélération lors des mouvements foetaux D - Tachycardie E - Bradycardie Bonne(s) réponse(s) : C Le tracé évoque une souffrance foetale chronique lorsque les fluctuations disparaissent (tracé plat) au maximum tracé sinusoïdal. Tachycardie et bradycardie sont des signes de souffrance foetale aiguë.
120 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A E Listériose et infection à CMV sont à évoquer en priorité, non pour leur fréquence mais pour leur gravité sur le foetus (mort in utéro). L'infection des voies urinaires sera recherchée systématiquement mais est rarement asymptomatique à ce degré.
19 Question à complément simple. A quel terme de la grossesse, en semaines d'aménorrhée, commence-t-on à observer en échographie une activité cardiaque foetale ? A-4 B-7 C - 10 D - 13 E - 15 Bonne(s) réponse(s) : B En fait, dès six semaines et demi d'aménorrhée sur appareils performants ou avec les sondes endovaginales.
107 Question à compléments multiples. Devant une jeune femme mère de deux enfants, qui a eu la veille un rapport non protégé et craint une grossesse non désirée, que proposez-vous ? A - La prise de Microval® 2 comprimés, puis 2 autres comprimés 12 heures plus tard B - La prise de Stédiril® 2 comprimés, puis 2 autres comprimés,12 heures plus tard C - La pose d'un stérilet dans les 72 heures D - 50 gamma d'Ethinyl oestrediol en 1 seule prise E - La prise de 2 comprimés d'Adépal®, puis 2 autres comprimés 12 heures plus tard Bonne(s) réponse(s) : B C Adépal® et Microval® sont trop peu dosées pour être efficaces de même 50 µ d'EE est insuffisant. En l'absence de contre-indications (infection, nulliparité) la pose d'un stérilet dans les 72 heures empêche la nidation d'une éventuelle grossesse (jusqu'à 5 jours après le rapport) avec un taux d'échec < à 1 %.
Parmi les éléments biologiques suivants, le(s)quel(s) est (sont) augmenté(s) physiologiquement au cours de la grossesse normale ? A - Hématocrite B - Fibrinogène C - Facteur Willebrand (VIII Ag ou VIII WF) D - Uricémie E - Glycémie à jeun Bonne(s) réponse(s) : B C Hématocrite, uricémie et glycémie sont abaissées pendant la grossesse. Sont considérés comme pathologiques des chiffres de glycémie à jeun supérieurs à 1 g (5,6 mmol/l) et à 1,4 g (7,8 mmol/l) en post-prandial. Le fibrinogène peut être augmenté jusqu'à 6 g/l et le facteur VIII est augmenté ainsi que les facteurs VII, X et XII.
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15 Question à complément simple.
66 Question à complément simple.
Chez une femme au 8è mois de sa grossesse quel est le résultat anormal ? A - Taux d'hémoglobine : 105 g/dl. B - Fer sérique : 90 microg/dl ( 16 micromol/l) C - Leucocytes : 12.109 /l (12.000/mm3) D - Fibrinogène : 4 g/l E - Aucun des examens ci-dessus
Quelle est la période de la grossesse où le risque de contamination foetale est le plus élevé en cas de primoinfection toxoplasmique ? A - Le premier mois B - Les trois premiers mois C - Du 4ème au 6ème mois D - Les trois derniers mois E - Le risque est identique tout au long de la grossesse
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : D Il existe une anémie de dilution à partir de la 10ème semaine d'aménorrhée mais le chiffre couramment admis comme limite inférieure est 11 g/100 ml. Les leucocytes sont élevés surtout les PNN ainsi que le fibrinogène jusqu'à 5-6 g/l.
36 Question à complément simple. Toutes les propositions suivantes sont exactes sauf une, Indiquez laquelle ? Au cours d'une grossesse normale on observe : A - Une augmentation du pool sodique B - Une augmentation minime de la TA C - Une baisse de la créatininémie D - Une baisse de l'uricémie E - Une augmentation de la quantité de glucose filtré Bonne(s) réponse(s) : B
Le risque de contamination est de < 20 % en début de grossesse contre 70 % en fin de grossesse. En revanche, la gravité de l'infection est beaucoup plus élevée en début de grossesse (maximum entre 10 et 17 semaines d'aménorrhée) où l'on trouve les formes léthales et les atteintes pluriviscérales.
18 Question à complément simple. Au cours de la grossesse, chez la mère : A - Le débit cardiaque augmente de 65 % B - La fréquence cardiaque diminue de 65 % C - Le volume d'éjection systolique est stable D - Un souffle diastolique est fréquent E - Le débit cardiaque reste élevé dans l'heure qui suit l'expulsion Bonne(s) réponse(s) : E
La TA s'abaisse physiologiquement pendant la grossesse malgré l'augmentation du pool sodique par vasodilatation. L'augmentation du débit rénal entraîne une augmentation du glucose filtré (réabsorbé) et une baisse de l'uricémie et de la créatininémie.
8 Question à compléments multiples. Au cours du 3ème trimestre de la grossesse chez une patiente diabétique insulinée, quels sont les éléments qu'il faudra faire intervenir dans la décision obstétricale (choix du moment du mode d'accouchement) ? A - Parité B - Echographie C - Rythme cardiaque foetal D - Equilibre diabétique E - Notion d'utérus cicatriciel Bonne(s) réponse(s) : A B C E La parité intervient dans le choix du mode d'accouchement (ATCD de césarienne, voie basse, poids des enfants à la naissance). L'échographie renseigne sur la biométrie (macrosomie) et le bien-être foetal (score de Magnin). L'enregistrement du RCF dépiste une souffrance foetale éventuelle. La notion d'utérus cicatriciel intervient dans la décision de césarienne.
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Le débit cardiaque, la fréquence cardiaque et la masse sanguine augmentent pendant la grossesse. L'augmentation du débit cardiaque est dû d'abord à l'augmentation du volume d'éjection systolique, il augmente encore lors de l'accouchement et se normalise dans les premières semaines post-partum.
89 Question à complément simple. En cas de séroconversion toxoplasmique au cours d'une grossesse : A - Le foetus est toujours contaminé B - Le foetus a plus de risque d'être contaminé si l'infection a lieu en début de grossesse C - Le foetus peut posséder des anticorps antitoxoplasmatiques de classe IgG D - Le titre des anticorps antitoxoplasmatiques du foetus est toujours supérieur à celui de la mère E - Le foetus possède toujours des anticorps antitoxoplasmatiques de classe IgM Bonne(s) réponse(s) : C La contamination foetale est d'autant plus fréquente et d'autant moins grave qu'elle a lieu tard dans la grossesse. Le foetus possède les anticorps transmis par la mère (IgG) et parfois des anticorps spécifiques (IgM) dont l'absence ne permet pas d'éliminer l'infection foetale.
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1 Question à compléments multiples.
25 Question à compléments multiples.
Madame C., primigeste de 25 ans, sans pathologie à la déclaration de grossesse, présente au 5ème mois une T.A. à 14,5/8 cm Hg à deux reprises lors de votre consultation. Parmi les attitudes suivantes, lesquelles préconisez-vous ? A - Arrêt de travail immédiat B - Surveillance tensionnelle régulière en ambulatoire C - Hospitalisation immédiate D - Bilan cardiovasculaire en service spécialisé E - Exploration rénale
Au cours de cette grossesse, les examens légaux à réaliser chez la mère comprendront : A - Une vérification du groupe sanguin ABO et Rhésus B - Une recherche des anticorps irréguliers antiérythocytaires C - Un titrage de ces anticorps si la recherche précédente est positive D - Une recherche des anticorps immuns anti-A et/ou anti-B E - Un dosage de la bilirubine
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B C
La tension diastolique reste normale et dans un premier temps un simple contrôle est justifié. Les autres mesures ne se discutant qu'en cas de minima > ou = à 9.
Il faut systématiquement revérifier le groupe sanguin, rhésus, et les agglutinines irrégulières qu'il faut doser (référence pour la surveillance ultérieure). La bilirubinémie n'a d'intérêt que chez le foetus.
26 Question à complément simple. Vous suspectez une GEU (Grossesse Extra Utérine) chez une patiente. Votre examen clinique est normal. Vous devez : A - Revoir la patiente cliniquement 4 à 5 jours plus tard B - Faire une coelioscopie C - Faire une hystéroscopie D - Faire un dosage de HCG et une échographie E - Faire un dosage de progestérone Bonne(s) réponse(s) : D En l'absence de signes d'hémorragie abdominale (examen clinique normal) qui imposeraient la coelioscopie, le dosage des bêta HCG et l'échographie permettent d'affirmer la grossesse et de montrer l'absence de sac intra-utérin avec éventuellement un épanchement abdominal et/ou une masse annexielle suspecte, plus rarement l'image précise de la GEU.
52 Question a compléments multiples. Au 3ème mois d'une grossesse non compliquée chez une femme dont la fonction rénale était normale antérieurement à la grossesse, il est habituel de constater : A - Une baisse des chiffres de pression artérielle B - Une baisse du taux d'urée sanguine C - Une baisse du taux de créatinine plasmatique D - Une baisse de l'uricémie E - Une protéinurie à 0,80 g/24h Bonne(s) réponse(s) : A B C D Une protéinurie à 0,80 g/24 h est anormale et doit faire rechercher une infection urinaire, une pathologie rénale préexistante ou une toxémie surajoutée.
83 Question à complément simple. Quel traitement proposez-vous si la patiente désire une grossesse ? A - Clomid® B - Acétate de cyprostérone C - Résection cunéiforme des ovaires D - Parlodel® E - Séquence H.M.G - H.C.G
Une femme enceinte de groupe sanguin AB rhésus négatif (éé dd ee) présente dans son sérum un allo-anticorps anti-D (Rho) résultant d'une immunisation antérieure par grossesse.
64 Question à compléments multiples. Outre la grossesse, d'autres terrains peuvent favoriser la pathogénicité de ce germe relativement rare ; ainsi vous retenez : A - Enfance B - Adulte jeune C - Cirrhose éthylique D - Cancer digestif E - Asthme Bonne(s) réponse(s) : C D Toutes les situations d'immunodépression cellulaire favorisent le développement de ce germe ubiquitaire qui devient alors virulent. Cette femme de 32 ans, enceinte de 3 mois, est hospitalisée pour un syndrome méningé modérément fébrile, un état sub-comateux et une paralysie oculomotrice. La ponction lombaire montre un liquide opalescent dont l'examen bactériologique révèlera la présence de Listéria Monocytogènes.
66 Question à compléments multiples. Quelle(s) est (sont) la (les) possibilité(s) prévisible(s) d'évolution de la grossesse ? A - Accouchement à terme d'un enfant normal B - Accouchement à terme d'un enfant porteur d'une cardiopathie C - Accouchement proche du terme d'un enfant porteur d'une listériose néonatale D - Avortement au cours de l'évolution de la méningite E - Aucune des manifestations précédentes Bonne(s) réponse(s) : A D La listériose est grave pour le foetus responsable d'avortement et de septicémie foetale en l'absence de traitement précoce adapté. Elle n'est pas responsable de malformation foetale (cardiopathie) et l'absence d'avortement signifie que le foetus est indemne lorsque le traitement est adapté.
Bonne(s) réponse(s) : A La résection cunéiforme des ovaires était le traitement classique peu efficace visant à favoriser l'ovulation ; on utilise actuellement le Clomid® qui est compétitif avec l'oestradiol au niveau hypothalamique et supprime le rétro-contrôle hypophysaire d'où libération de FSH et maturation folliculaire.
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53 Question à complément simple.
55 Question à complément simple.
Au terme de votre démarche diagnostique, vous décidez d'une coelioscopie, au cours de laquelle vous découvrez une grossesse extra utérine droite de 1 cm de diamètre, ampullaire ; la trompe controlatérale est recouverte d'adhérences et présente un phimosis complet du pavillon. Quel geste thérapeutique vous semble le plus adapté ? A - Conservation tubaire par césarienne tubaire B - Salpingectomie droite C - Salpingectomie bilatérale D - Salpingectomie droite et plastie tubaire gauche E - Salpingectomie droite et ligature tubaire controlatérale
La patiente est revue actuellement au 4ème mois d'une deuxième grossesse. Les chiffres de pression artérielle sont de 140/100 mm de mercure. Elle ne présente aucun symptôme. Il n'y a pas de protéinurie. Au plan du pronostic, il serait défavorable de constater : A - Hypo-uricémie B - Elévation modérée de la filtration glomérulaire, signe d'une hyperfiltration C - Volume plasmatique élevé par rapport à Ia mesure théorique avant grossesse D - Activité rénine plasmatique augmentée de 20 % par rapport à la valeur théorique avant grossesse E - Baisse du flux plasmatique rénal
Bonne(s) réponse(s) : A Compte-tenu de la petite taille de la grossesse et du mauvais état de la trompe controlatérale, on propose une chirurgie conservatrice.
Bonne(s) réponse(s) : E
39 Question à compléments multiples.
La baisse du flux plasmatique rénal (augmenté ainsi que le volume plasmatique dans une grossesse normale) manifesté par une hyperuricémie est le mécanisme physiopathologique de la toxémie gravidique et serait donc de mauvais pronostic dans le cadre d'une hypertension précoce.
Si l'échographie met en évidence une grossesse intra-utérine évolutive avec un stérilet en situation isthmique, il faut : A - Enlever le stérilet B - Réaliser un avortement médical C - Prescrire une antibiothérapie D - Réaliser une cerclage du col utérin E - Prescrire un traitement hormonal estroprogestatif
63 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A C Le risque morbide est supérieur lorsque le stérilet est laissé en place et entretient l'infection. Il faut, quand c'est possible, l'enlever en sachant que le risque abortif est important. L'avortement thérapeutique n'est pas justifié car si elle évolue, la grossesse évoluera normalement. Toute fièvre en cours de grossesse doit être traitée par une antibiothérapie adaptée.
60 Question à complément simple. Si une grossesse survient sous traitement, il faut : A - Réaliser une interruption médicale de grossesse B - Interrompre le traitement en cours, même si la patiente n'est pas euthyroïdienne C - Prescrire de la progestérone dès la constatation de la grossesse D - Adapter le traitement en appréciant cliniquement et biologiquement l'état thyroïdien maternel E - Contre-indiquer la prescription de bromocriptine dans le post-partum Bonne(s) réponse(s) : D L'insuffisance thyroïdienne ne contre-indique pas la grossesse mais doit être parfaitement équilibrée afin d'éviter un retentissement foetal, en particulier cérébral. Les doses doivent en pratique être augmentées par rapport à la période précédent la grossesse.
Cette femme ne revient vous voir que quelques jours avant l'accouchement au neuvième mois de grossesse. Depuis la dernière visite, elle n'a pas eu de récidives manifestes d'herpès et l'examen gynécologique ne montre pas de lésions. La poche des eaux n'est pas rompue. Si cette femme accouche par voie basse, le risque d'herpès pour le nouveau-né peut être estimé à : A - 85 % B - 50 % C - 20 % D-5% E - 1/1000 Bonne(s) réponse(s) : B Le risque est de 10 % si l'on pratique une césarienne avant ou dans les 4 heures suivant la rupture des membranes.
20 Question à complément simple. N'ayant aucune notion sur les résultats d'examens de ses précédentes grossesses, le(s)quel(s) allez-vous demander ? A - Groupe sanguin rhésus B - Réactions syphilitiques C - Sérologie rubéole D - Sérologie toxoplasmose E - Agglutinines irrégulières Bonne(s) réponse(s) : A B C D E En l'absence d'examens antérieurs il est obligatoire de prescrire un groupe sanguin, rhésus, phénotype complet. La recherche d'agglutinines irrégulières n'est obligatoire que chez les femmes rhésus négatif mais est conseillée chez toute femme en début de grossesse afin de rechercher une immunisation aux autres sous-groupes. Les sérologies de syphilis rubéole toxoplasmose et la recherche de glycosurie et d'albuminurie viendront compléter ce bilan.
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22 Question à complément simple.
51 Question à compléments multiples.
Le diagnostic de grossesse arrêtée est confirmé, apparaissent des douleurs pelviennes régulières dans les heures qui suivent. Que proposez-vous ? A - Une coelioscopie B - Une mise en observation pour aspiration éventuelle C - Le repos alité avec traitement progestatif D - Une ponction du Douglas E - Une laparotomie
La toxoplasmose congénitale peut entraîner à cet âge de grossesse : A - Hydrocéphalie B - Anomalies des membres C - Choriorétinite D - Ascite E - Atrésie duodénale Bonne(s) réponse(s) : A C
Bonne(s) réponse(s) : B L'expulsion spontanée est préférable en toute circonstance, néanmoins il est, en régle, nécessaire à ce terme de pratiquer un curetage pour vérifier la vacuité utérine. En aucun cas on ne cherche à maintenir une grossesse anormale ou à empêcher une fausse-couche spontanée du premier trimestre car le risque d'anomalie chromosomique est majeur.
Les formes à localisation oculo-céphalique (10 %) comportent hydrocéphalie ou microcéphalie avec choriorétinite. Les formes évolutives polyviscérales sont rares, 1 %, mais en aucun cas ne sont responsables de malformations des membres ou du tube digestif.
53 Question à compléments multiples. 55 Question à compléments multiples. A quel(s) risque(s) serait exposée cette grossesse ? A - Fausse couche tardive B - Anomalie chromosomique C - Retard de croissance intra-utérin D - Prématurité E - Mort périnatale Bonne(s) réponse(s) : A B D La malformation utérine est un facteur de risque de FC précoces, tardives et de prématurité. L'âge maternel est un facteur de risque d'anomalie chromosomique.
Si la grossesse allait à terme, à la naissance, que proposezvous ? A - Dosage des anticorps antitoxoplasmiques au cordon B - Inoculation à la souris du sang foetal C - Poursuite du traitement par Rovamycine D - Radio de crâne E - Mise en culture du placenta Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Sont réalisés systématiquement à la naissance : NFS, plaquettes, radio de crâne, fond d'oeil, échographie transfontanellaire prélèvement sanguin avec dosage des IgG, IgM spécifiques en parallèle avec le dosage maternel et inoculation à la souris de sang foetal et de LCR. Le sang du cordon peut être souillé par des IgM maternelles et doit être contrôlé. Mise en culture du placenta (frais stérile) par inoculation à la souris systématique. Si le nouveau né est cliniquement sain on poursuivra le traitement par Rovamycine en attendant les résultats.
35 Question à compléments multiples. Il s'agit donc d'une grossesse dont le point de départ est imprécis. Parmi les examens suivants, quel est celui(ceux) qui va(vont) permettre de connaître approximativement la date de l'accouchement ? A - Dosage plasmatique d'oestradiol B - L'échographie avec mesure du bipariétal, du biabdominal et du fémur C - L'appréciation échographique des mouvements foetaux D - L'enregistrement du rythme cardiaque foetal E - La mesure de la hauteur utérine et du périmètre ombilical Bonne(s) réponse(s) : B C E Les mouvements apparaissent à la 9ème SA. Madame X..., primipare de 25 ans, consulte parce qu'elle n'a plus ses règles depuis quelques mois, sans pouvoir préciser exactement la date de ses dernières règles. Elle pense qu'elle est enceinte puisqu'elle "sent des mouvements intra-utérins" depuis dix jours. L'examen général est normal. L'examen obstétrical révèle un utérus gravide, atteignant l'ombilic, les bruits du coeur foetal sont perçus. Au toucher, le col est long, fermé et postérieur. La prise de poids a été de 10 kgs. L'analyse d'urine ne montre pas d'albumine mais une glycosurie à trois croix.
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1 Question à compléments multiples. Quelle(s) pouvait(ent) être la (les) cause(s) des troubles des règles de cette patiente avant la grossesse ? A - Syndrome de Stein-Leventhal B - Cause psychogène C - Dystrophie ovarienne D - Hyperprolactinémie E - Bloc enzymatique surrénalien Bonne(s) réponse(s) : A B C D Il existe des hyperprolactinémies modérées sans galactorrhée responsables d'hypofertilité et de troubles des règles. Madame U...C..., 25 ans. Premières règles à 16 ans, irrégulières survenant entre 30 et 90 jours. Mariage à 20 ans. Contraception par estroprogestatifs entraînant la régularisation des cycles. Arrêt à 23 ans en vue d'une grossesse. Exploration à partir de décembre 1986. Taille 1,62m, poids 55 kg, T.A. 11/7, pilosité normale, pas de galactorrhée. A la suite de ces explorations, administration de CLOMID qui permet une grossesse lors du premier cycle de traitement. Dernières règles : 25 mars 1987. Premier examen de grossesse le 16 juin 1987. L'immunité vis à vis de la rubéole et de la toxoplasmose n'a jamais été recherchée. Les premiers résultats sont les suivants : rubéole + 50 UI toxoplasmose : Immunofluorescence + 50 UI - Remington négatif groupe sanguin O Rh +. L'examen clinique note un corps utérin ramolli, antéversé, plus gros que l'âge théorique de la grossesse. Le col est fermé. Activité cardiaque foetale perçue à l'auscultation Doppler.
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3 Question à complément simple.
7 Question à complément simple.
Quelle est la cause probable de l'augmentation de volume de l'utérus supérieure à l'âge théorique de grossesse ? A - Une erreur de terme B - Un môle hydatiforme C - Une grossesse gémellaire D - Un hydramnios E - Une malformation foetale
Le titre de 400 UI avec présence d'lgM spécifiques permet de penser que la date de contamination présumée remonte à quelle période de la grossesse ? A - Au cours du 1 er mois de grossesse B - Au début du 2ème mois de grossesse C - Au début du 3ème mois de grossesse D - Au début du 4ème mois de grossesse E - Au début du 5ème mois de grossesse
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : E L'erreur de terme est la cause la plus fréquente d'absence de corrélation clinique avec la hauteur utérine. En 2ème lieu on évoquera la grossesse gémellaire plus fréquente sous Clomid. Il s'agit plus exceptionnellement d'une môle hydatiforme (l'activité cardiaque serait négative) ou d'un hydramnios précoce, toujours associé à une malformation.
La sérologie toxoplasmique est dosée tous les mois chez les femmes séronégatives. De plus, les IGM sont fugace : 3 semaines en moyenne, et signent une infection récente surtout en cas d'élévation des taux sur 2 prélèvements.
4 Question à complément simple.
9 Question à complément simple.
La grossesse évolue normalement et se termine le 2 décembre 1987 par une césarienne. Suites normales. Allaitement artificiel. Consulte le 15 mars 1988 pour absence de retour de couches. Examen clinique et échotomographique normaux. A quelle date aurait dû théoriquement se produire le retour de couches ? A - 2 février 1988 B - 2 mars 1988 C - 20 janvier 1988 D - 2 janvier 1988 E - 20 février 1988
Chez cette jeune femme, le traitement antitoxoplasmique instauré jusqu'à la fin de la grossesse, diminue le risque de contamination foetale approximativement dans quel pourcentage ? A - 10% B - 25% C - 50% D - 75 % E - 100%
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : D Le traitement antitoxoplasmique fait passer le taux d'infection foetale de 25 % à 8 %, d'après l'étude de Desmorts.
En l'absence d'allaitement, le retour de couche se produit théoriquement au 40ème jour après l'accouchement. Il faut s'inquiéter de l'absence de retour de couche après 8 semaines de post-partum.
80 Question à compléments multiples. 5 Question à complément simple. Au début de sa grossesse, elle a reçu les conseils hygiénodiététiques suivants ; l'un d'entre eux est-il superflu vis à vis de la toxoplasmose ? A - Ne pas consommer de viande saignante B - Bien laver salades et crudités C - Eviter le contact avec les chats D - Stériliser la litière des chats à l'eau de javel E - Faire vacciner les chats contre la toxoplasmose Bonne(s) réponse(s) : E Il n'existe pas de vaccination contre la toxoplasmose. Le parasite se rencontre dans la viande ou dans les déjections des chats, susceptibles de souiller la terre. Une jeune femme de 31 ans, sans antécédents particuliers, présente une séroconversion toxoplasmique durant sa grossesse. En effet, alors qu'elle a toujours été séronégative, sa sérologie toxoplasmique du 6ème mois s'est positivée à 400 UI, avec présence d'lgM spécifiques. L'examen clinique est strictement normal. L'état général est satisfaisant, en dehors d'une légère asthénie depuis 3 semaines, mise sur le compte de sa grossesse. Depuis son enfance cette jeune femme a toujours été entourée d'animaux de compagnie ; actuellement deux chats.
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Pendant la grossesse, on est autorisé d'effectuer la vaccination contre : A - La grippe B - La tuberculose C - L'hépatite B D - La rubéole E - La coqueluche Bonne(s) réponse(s) : A C Les vaccination contre la grippe et l'hépatite B sont réputés sans risque en cours de grossesse. Les autres vaccins comportent des virus ou bactéries vivantes et sont à éviter. Une femme âgée de 28 ans est agricultrice. En ramenant à l'étable son troupeau de vaches, elle reçoit un coup de sabot. Elle est hospitalisée avec plaie profonde et contuse du genou droit et ouverture de l'articulation. La radiographie ne décèle aucune fracture. On apprend qu'elle est enceinte, ses dernières règles remontant à deux mois. Le traitement chirurgical comporte un parage de la plaie et une immobilisation de l'articulation par une gouttière plâtrée. Comme la patiente n'est pas à jour dans sa vaccination antitétanique, elle reçoit des gamma globulines spécifiques et la première injection de vaccin. Enfin une antibiothérapie est prescrite avec Oxacilline (Bristopen), 5 g par jour.
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74 Question à compléments multiples. Au début de sa grossesse, elle a reçu les conseils hygiénodiététiques ci-dessous. A votre avis lesquels sont licites ? A - Ne pas consommer de viande saignante B - Bien laver salades et crudités C - Eviter le contact avec les chats D - Stériliser les litières du chat à l'eau de javel ou à l'ammoniaque E - Faire bouillir le lait de vache Bonne(s) réponse(s) : A B C D Le parasite se rencontre dans la viande rouge ou dans la terre ou les endroits souillés par les déjections des chats. Le parasite est détruit par la cuisson et la congélation. Une jeune femme de 31 ans, sans antécédent particulier, présente une séroconversion toxoplasmique durant sa grossesse. En effet, alors qu'elle a toujours été séronégative, sa sérologie toxoplasmique du 6ème mois s'est positivée à 400 UI, avec présence d'IgM spécifiques. L'examen clinique est strictement normal. L'état général est satisfaisant, en dehors d'une légère asthénie depuis 3 semaines, mise sur le compte de sa grossesse.
76 Question à complément simple. Le titre de 400 UI avec présence d'IgM spécifiques permet de penser que la date de contamination présumée remonte à quelle période de la grossesse ? A - Au cours du 1er mois de grossesse B - Au début du 2ème mois de grossesse C - Au début du 3ème mois de grossesse D - Au début du 4ème mois de grossesse E - Au début du 5ème mois de grossesse Bonne(s) réponse(s) : E Les taux ascendants d'Ac témoignent d'une infection de moins de 2 mois.
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101 Question à compléments groupés. L'hématome rétro-placentaire dans sa forme complète : 1 - Se traduit par une contracture du corps utérin 2 - Peut se compliquer de coagulopathie de consommation 3 - Entraîne souvent la mort du foetus in utéro 4 - Ne récidive jamais lors d'une grossesse ultérieure Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : A L'HTA gravidique survient classiquement chez la primipare dans le dernier trimestre de la grossesse et ne récidive pas ; par contre, l'hématome rétro placentaire, qui peut mais n'est pas obligatoirement une conséquence de cette première, peut récidiver.
7 Question à compléments multiples. Chez une femme enceinte de 36 semaines d'aménorrhée, amenée aux urgences pour hémorragie utérine, vous évoquez un hématome rétro-placentaire. Quel(s) signe(s) oriente(nt) vers ce diagnostic ? A - Contracture utérine B - Fièvre à 38°5 C - Absence de douleurs D - Disparition des bruits du coeur foetal E - Impression de gros enfant Bonne(s) réponse(s) : A D L'hématome rétroplacentaire associe typiquement métrorragies, contracture utérine douloureuse et disparition des bruits du coeur (mort foetale).
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42 Question à complément simple.
Madame X est enceinte et présente une aménorrhée de dix semaines. Elle a des hémorragies génitales modérées. Parmi les examens ci-dessous, lequel permet d'affirmer la vitalité de l'oeuf ? A - Les dosages d'HCG urinaire B - Les dosages d'oestrogènes et de pregnandiol urinaires C - L'échographie utérine D - Le dosage de HPL E - Aucun de ces examens
Quelle est la cause la plus fréquente d'hémorragie génitale de la femme en période pubertaire ? A - Hémopathie bénigne B - Corps étranger vaginal C - Adénocarcinome vaginal D - Insuffisance lutéale E - Endométriose
Bonne(s) réponse(s) : C Seule l'échographie, par la recherche de battements cardiaques (visibles dès 7 SA) et de mouvements foetaux, permet d'affirmer la vitalité ovulaire. Les HCG peuvent augmenter en l'absence d'embryon (grossesse môlaire) et un seul dosage d'HPL ne permet pas de conclure.
Bonne(s) réponse(s) : D La dysovulation, fréquente en période pubertaire, est responsable d'insuffisance du corps jaune et donc d'hémorragie génitale, dûe à l'hyperoestrogénie relative (défaut de sécrétion de progestérone). Elle se traduit par des cycles irréguliers et des régles abondantes. Il faut néanmoins évoquer, en cas d'hémorragie génitales abondantes répétés chez une jeune fille bien réglée, une hémopathie bénigne dont elle est souvent le 1er symptôme révélateur. L'adénocarcinome et le corps étranger vaginal sont des causes rares et l'endométriose exceptionnelle à cette période.
99 Question à compléments groupés. Après un accouchement normal, quelques minutes après la délivrance, une hémorragie génitale survient. Cette hémorragie peut être causée par : 1 - Rétention du cotylédon 2 - Hypotonie utérine 3 - Plaie vaginale 4 - Plaie cervicale Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : E Les hémorragies de la délivrance sont soit traumatiques (déchirure cervico-vaginale, rupture utérine) soit liées à l'inertie utérine qui impose la révision utérine à la recherche d'une rétention placentaire.
53 Question à compléments multiples. Dans l'hémorragie rétroplacentaire typique, on observe en association avec les métrorragies : A - Une contracture utérine B - Une douleur abdominale violente C - Un état de choc D - Une diminution de la hauteur utérine E - Une souffrance foetale Bonne(s) réponse(s) : A B C E Malgré la contracture utérine, l'hématome entraîne une augmentation de la hauteur utérine. La souffrance foetale aiguë et la CIVD maternelle sont à prévenir en urgence par l'extraction foetale et la réanimation.
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53 Question à complément simple. Madame X. est enceinte et présente une aménorrhée de dix semaines. Elle a des hémorragies génitales modérées. Parmi les examens ci-dessous, lequel permet d'affirmer !a vitalité de l'oeuf ? A - Un dosage d'H.C.G. plasmatique B - Les dosages d'oestrogènes et de pregnandiol urinaires C - Le dosage de prolactine D - Le dosage de H.P.L. E - Aucun de ces examens Bonne(s) réponse(s) : E L'échographie est le meilleur moyen à ce terme d'affirmer la vitalité ovulaire (activité cardiaque - mouvements actifs) et de rechercher une étiologie éventuelle aux métrorragies. Un seul dosage d'HCG ou HPL ne permet pas de renseigner sur l'évolutivité d'une grossesse.
50 Question à complément simple. Une deuxième geste, césarisée lors de la première grossesse est adressée en urgence, à 34 semaines d'aménorrhée pour état de choc avec hémorragie peu abondante, noirâtre. L'examen retrouve une T.A. élevée à 16/10, une contracture utérine et une souffrance foetale aiguë. Le diagnostic le plus probable est : A - Un syndrome du sinus marginal B - Une rupture utérine C - Un décollement prématuré du placenta normalement inséré D - Un décollement prématuré du placenta bas inséré E - Un infarctus myométral Bonne(s) réponse(s) : C
Toutes ces étiologies peuvent donner une hémorragie génitale externe en fin de grossesse, sauf une. Laquelle ? A - Insertion basse du placenta B - Hématome rétro-placentaire C - Polype endocervical décidualisé D - Nécrose d'un fibrome pédicule sous séreux E - Rupture d'un utérus cicatriciel
Les réponses A, B, C, D correspondent à un tableau de choc hémorragique avec souffrance foetale aiguë, mais A et D entraînent une hémorragie abondante de sang rouge et B une hypercinésie initiale et non une contracture ; enfin l'HTA est plus souvent en rapport avec C.
Bonne(s) réponse(s) : D Un fibrome sous-séreux pédiculé n'est pas en contact avec la muqueuse endométriale et ne provoque pas de métrorragie en cas de nécrobiose.
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13 Question à compléments multiples.
48 Question à compléments multiples.
Devant une hémorragie du 3ème trimestre de la grossesse, choisir parmi les propositions suivantes celle(s) qui est(sont) compatible(s) avec le diagnostic de placenta praevia. A - Présence d'accélérations transitoires sur le rythme cardiaque foetal B - Fibrinogène à 0,9 g/l C - Uricémie à 511 mmol/l D - Absence de protéinurie E - Utérus contracté par intermittence
Cette femme a été hospitalisée et mise sous antibiotique. Après 21 jours, elle ne saigne plus et n'a plus de fièvre. Quels sont le (les) examen(s) complémentaire(s) qui vous parai(ssen)t indispensable(s) pour définir la cause de l'hémorragie : la NFS montre 3.600.000 G R, 6 500 G B et la VS est à 6-14. A - Hystéroscopie B - Coelioscopie C - Scannographie pelvienne D - Dosage plasmatique des stéroïdes sexuels E - Hystérosalpingographie
Bonne(s) réponse(s) : A D E Le placenta praevia (recouvrant ou bas inséré) provoque une hémorragie de sang rouge de type mécanique par décollement du pôle inférieur de l'oeuf (contractions, T.V.) et est donc indépendant d'une toxémie (C) ou d'un trouble de la coagulation (B). Si l'hémorragie est peu abondante le rythme cardiaque foetal peut rester normal (A).
20 Question à complément simple. Madame X. est enceinte de 8 semaines et a des hémorragies génitales modérées. Parmi les examens ci-dessous, quel est celui qui permet d'affirmer la vitalité de l'oeuf ? A - Les dosages d'HCG urinaire B - Les dosages d'oestrogènes et de pregnandiol urinaires C - L'échographie utérine D - Le dosage de HPL E - Aucun de ces examens Bonne(s) réponse(s) : C A 8 semaines les battements cardiaques sont bien visibles et l'échographie permet en outre de visualiser un décollement du pôle inférieur de l'oeuf ou l'expulsion d'un 2ème jumeau, éventuellement responsables des hémorragies.
7 Question à compléments multiples. Chez une femme enceinte de 36 semaines d'aménorrhée, amenée aux urgences pour hémorragie utérine, vous évoquez un hématome rétro-placentaire. Quel(s) signe(s) oriente(nt) vers ce diagnostic ? A - Contracture utérine B - Fièvre à 38°5 C - Absence de douleurs D - Disparition des bruits du coeur foetal E - Impression de gros enfant Bonne(s) réponse(s) : A D L'hématome rétroplacentaire associe typiquement métrorragies, contracture utérine douloureuse et disparition des bruits du coeur (mort foetale).
47 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : A E L'infection étant jugulée, il est possible, en l'absence de saignement, de pratiquer selon les possibilités une hystérosalpingographie et/ou une hystéroscopie afin de visualiser la cause du saignement (fibrome sousmuqueux probable). Le scanner est un mauvais examen pour apprécier une lésion endo-utérine à fortiori la coelioscopie.
84 Question à complément simple. L'utérus de cette femme doit être évacué, mais vous craignez une hémorragie de la délivrance. Parmi les éléments de son bilan d'hémostase, lequel permet effectivement de prévoir ce risque ? A - Thrombocytopénie à 110000/mm3 B - Fibrinogène à 0,50 g/l C - L'allongement du TCA D - Taux d'accélérine à 40 % E - Taux de prothrombine à 45 % Bonne(s) réponse(s) : B Le critère de gravité est ici la diminution importante du fibrinogène < 1 g/l (Nale = 5 g/l). Les autres critères sont thrombopénie < 50 000.
85 Question à complément simple. Parmi les mesures thérapeutiques suivantes destinées à éviter l'hémorragie de la délivrance, laquelle choisissez-vous ? A - Cinq flacons de 20 ml de PPSB B - Perfusion intraveineuse d'un antifibrinolytique C - Injection immédiate de 100 u/kg d'héparine standard D - Quatre unités de plasma frais congelé plus 4 grammes de fibrinogène purifié E - Un flacon de 250 000 unité d'urokinase plus 100 u/kg d'héparine standard Bonne(s) réponse(s) : D Le plasma frais congelé apporte l'ensemble des facteurs de la coagulation et les inhibiteurs physiologiques marquant. La dose habituelle est de 10 à 15 ml/kg. Les antifibrinolytiques ne s'utilisent pas en préventif. Le PPSB contient souvent des facteurs activés, donc est déconseillé. L'héparine et l'urokinase ne sont pas utilisées en raison du risque hémorragique.
Quel est votre choix parmi ces différents traitements pour arrêter rapidement l'hémorragie ? A - Corticothérapie par voie orale B - Antiseptiques locaux C - Oestrogénothérapie parentérale D - Curetage hémostatique E - Prescription de bromocriptine per os (Parlodel) Bonne(s) réponse(s) : C On utilise classiquement les oestrogènes injectables (ex : Prémarin®) dans un premier temps afin de réserver le curetage (le risque de perforation est le contexte infectieux) en cas d'échec. RESIDANAT ENaugmenté POCHE par Tome " I "- QCM - QCS
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49 Question à complément simple. L'utérus de cette patiente doit être évacué, et parmi les mesures thérapeutiques suivantes destinées à éviter l'hémorragie de la délivrance laquelle choisissez-vous ? A - Cinq flacons de 20 ml de PPSB B - Perfusion intraveineuse d'un antifibrinolytique C - Injection immédiate de 500 U/kg d'héparine standard D - Quatre unités de plasma frais congelé plus 4 grammes de fibrinogène E - Un flacon de 250 000 unités de streptokinase Bonne(s) réponse(s) : D Il faut apporter en urgence les facteurs de coagulation présents dans le plasma frais congelé supplémenté en fibrinogène.
45 Question à complément simple. L'utérus de cette femme doit être évacué, mais vous craignez une hémorragie de la délivrance. Parmi les éléments de son bilan d'hémostase, lequel, plus que d'autres, fait craindre ce risque ? A - Thrombocytopénie à 110 000/mm3 B - Fibrinogène : 0,50 g/l C - L'allongement du TCA D - Taux d'accélérine à 40 % E - Taux de prothrombine à 45 % Bonne(s) réponse(s) : B La thrombopénie n'est inquiétante qu'au dessous de 50000/mm3 et doit alors faire prescrire des transfusions de concentrés plaquettaires avant l'évacuation utérine. En revanche, l'effondrement du fibrinogène doit être compensé.
46 Question a complément simple. Parmi les mesures thérapeutiques suivantes destinées à éviter l'hémorragie de la délivrance, laquelle choisissez-vous ? A - Cinq flacons de 20 ml de PPSB B - Perfusion intraveineuse d'un antifibrinolytique C - Injection immédiate de 100 U/kg d'héparine standard D - Quatre unités de plasma frais congelé plus 4 grammes de fibrinogène purifié E - Un flacon de 250000 unités d'urokinase plus 100 U/kg d'héparine standard Bonne(s) réponse(s) : D La fibrinolyse est une défense contre la CIVD et la prescription d'un antifibrinolytique peut être désastreuse. L'héparine doit être preoscrite avant l'accouchement en raison de l'augmentation du risque hémorragique. Le plasma frais congelé est habituellement suffisant. L'urokinase n'a pas sa place en préventif.
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28 Question à compléments multiples. Chez une jeune fille aménorrhéique par un syndrome de Turner, l'origine d'une hypertension artérielle constatée peut être : A - Un syndrome de Conn B - Une malformation rénale C - Un phéochromocytome D - Une coarctation aortique E - Une malformation des voies excrétrices urinaires Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
57 Question à compléments multiples. Devant une hypertension artérielle dans ce contexte : A - Le traitement est inutile, l'élévation de la minima est physiologique au cours du 2ème trimestre B - Le risque de complication foetale placentaire augmente avec le chiffre tensionnel C - L'abaissement tensionnel requis rend inutile le repos, sauf exception D - L'interruption thérapeutique de grossesse est inévitable à ce stade E - L'accouchement doit être prévu à proximité d'un centre de néonatologie Bonne(s) réponse(s) : B E La grossesse peut être poursuivie à condition d'être étroitement surveillée et traitée. L'hospitalisation en milieu spécialisé s'impose à terme pour programmer l'accouchement. Le repos est impératif jusqu'à l'accouchement
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57 Question à compléments multiples. Quelles sont, des 5 situations gestationnelles suivantes, les deux qui ont le plus fréquemment responsables d'hypotrophie foetale ? A - Le diabète insulinoprive B - Le tabagisme C - L'hypertension artérielle D - La primo-infection toxoplasmique E - L'infection urinaire Bonne(s) réponse(s) : B C Le diabète est responsable de macrosomie foetale. L'infection urinaire donne des menaces d'accouchement prématuré ou des infections foetales aiguës.
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63 Question à complément simple.
31 Question à compléments multiples.
Parmi les agents infectieux suivants, lequel peut vraisemblablement intervenir dans la genèse du cancer du col ? A - Trichomonas B - Gonocoque C - Chlamydia D - Papillomavirus E - Mycoplasme
La stadification du cancer du col en stade I ou II se fait lors : A - De l'urographie intraveineuse B - De la lymphographie C - Du scanner D - Du toucher vaginal sous anesthésie générale E - De la colposcopie
Bonne(s) réponse(s) : D Les papilloma virus (virus des condylomes plans) et certains sous type d'herpès virus, ont été retrouvés dans le génome des cellules cervicales cancéreuses.
36 Question à compléments multiples. A propos d'un cancer du col de l'utérus T3 non vaginal, indiquez la(les) affirmation(s) exacte(s) : A - Le T.R. retrouve un envahissement paramétrial jusqu'à la paroi pelvienne B - L'atteinte des paramètres est toujours bilatérale C - Le traitement initial est une curiethérapie D - Le traitement initial est la chirurgie E - Le traitement initial est la radiothérapie externe Bonne(s) réponse(s) : A E Le stade T3 non vaginal est l'envahissement de un ou deux paramètres en totalité, ne laissant pas d'espace libre entre la tumeur et le mur pelvien. Le traitement en est la radiothérapie externe, seule ou associée à la curiethérapie.
59 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : C D E La stadification du cancer du col est clinique et se fait par l'appréciation lors d'un toucher vaginal au mieux sous anesthésie générale, d'une infiltration vaginale et/ou paramétriale. La colposcopie peut renseigner sur une invasion de la muqueuse vaginale mais est insuffisante à elle seule. La sensibilité du scanner est encore inférieure à la sensibilité de l'examen clinique mais est souvent pratiquée dans le bilan d'invasion. L'urographie et la lymphographie n'interviennent pas dans les stades I à II.
82 Question à compléments multiples. Les frottis cervico-vaginaux pour le dépistage du cancer du col de l'utérus : A - Ne doivent être pratiqués que chez les femmes non ménopausées, et jusqu'à 5 ans après la ménopause B - Doivent être pratiqués jusqu'à 65 ans chez toute femme exposée au cancer du col C - Doivent être répétés dans les 6 mois si le compterendu ne mentionne pas la présence de cellules endocervicales D - Doivent toujours être réalisés au moyen d'un prélèvement effectué par examen au spéculum non lubrifié et avant le T.V. E - Doivent être suivis d'une colposcopie en cas d'anomalie cytologique sans lésion cliniquement visible au spéculum Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Un cancer du col au stade IB peut correspondre à toutes les caractéristiques suivantes sauf une. Laquelle ? A - Cancer épidermoïde du col utérin B - Adénocarcinome du col utérin C - Cancer micro-invasif D - Cancer limité au col E - Cancer avec extension Iymphatique Bonne(s) réponse(s) : C La classification repose sur l'examen clinique et ainsi exclut l'envahissement lymphatique qui peut exister ou non. Le cancer micro-invasif est un cancer "préclinique" correspondant au stade IA. La nature anatomopathologique du cancer n'intervient pas dans la stadification.
Le risque de cancer du col augmente progressivement jusqu'à la cinquantaine puis se stabilise ensuite.
17 Question à complément simple. Quel est, éventuellement, le facteur de risque de cancer du col utérin chez cette femme ? A - 1ère grossesse précoce B - Grande multiparité C - Antécédent personnel de cancer du sein D - Antécédent familiaux d'adénocarcinomes E - Aucun Bonne(s) réponse(s) : A B Première grossesse précoce et grande multiparité sont les facteurs de risques classiques de cancer du col, en fait discutés sur les dernières études... Une femme de 40 ans, mère de 10 enfants, le premier à l'âge de 17 ans, des antécédents personnels de cancer du sein et familiaux de cancers du côlon et de l'endomètre, se présente chez son gynécologue pour la réalisation de frottis cervicovaginaux. La surveillance des frottis est régulière depuis une vingtaine d'années à raison d'un frottis tous les 3 à 4 ans environ, ceux-ci étant toujours normaux (classe 1).
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18 Question à compléments multiples. Quel(s) type(s) de virus est(sont) impliqué(s) dans l'histoire naturelle du cancer du col utérin ? A - Virus d'Epstein Barr B - Virus de la rougeole C - Herpès virus D - Papillomavirus E - Aucun Bonne(s) réponse(s) : C D C'est le papilloma virus qui est considéré comme un facteur causal des dysplasies et cancers du col utérin. L'herpès virus est souvent retrouvé et est considéré par certains comme un "co-carcinogène".
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41 Question à compléments multiples.
13 Question à complément simple.
Le risque de cancer du sein est augmenté en cas de : A - Antécédents familiaux de cancer du sein B - Multiparité C - Nulliparité D - Adénofibrome E - Hypertrophie mammaire
L'une des propositions suivantes est considérée comme un facteur de risque pour le cancer du sein. Laquelle ? A - Multiparité B - Bas niveau socio-économique C - Premières règles tardives D - Première grossesse après 30 ans E - Ménopause précoce
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) : D Risque 2 fois plus élevé. C - Risque augmenté de même chez les femmes ayant eu leur premier enfant tardivement (après 35 ans). D - Le fibroadénome isolé chez la femme jeune ne semble pas constituer un facteur de risque, par contre chez la femme de plus de 40 ans où il rentre souvent dans le cadre de la maladie fibrokystique, il augmente le risque.
62 Question à compléments multiples.
Les facteurs de risque de cancer du sein sont : - antécédents familiaux - premières règles précoces - pathologie mammaire bénigne - nulli ou panciparité - première grossesse tardive - ménopause tardive.
119 Question à compléments multiples.
Madame D, vous consulte pour une tumeur du sein. Quel(s) est (sont) le(s) élément(s) qui vous fait (font) penser qu'elle est à haut risque de cancer du sein ? A - Elle a été opérée d'une mastopathie bénigne B - Elle a eu 4 enfants C - Elle prend la pilule D - Sa mère a eu un cancer du sein E - Elle a eu ses premières règles tard - 16 ans
Dans le cancer du sein, les métastases atteignent avant tout trois organes; lesquels ? A - Les os B - Le foie C - Les ovaires D - Le thymus E - Les poumons
Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : A B E
Les mastopathies bénignes multiplient par deux le risque de cancer du sein, en particulier la maladie fibrokystique avec hyperplasie proliférante et atypies cellulaires. De même un cancer du sein chez un ascendant ou collatéral multiplie par 2 ce risque. Le risque est augmenté chez les femmes nulli ou paucipares ou au 1er enfant tardif, dont les 1ères règles sont précoces (< 13 ans) et la ménopause tardive (> 50 ans). La majorité des enquêtes ne mettent pas en évidence de relation significative avec la prise de contraceptif oral.
Le bilan du cancer du sein comprend donc un cliché des poumons, une échographie hépatique et une scintigraphie osseuse.
64 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, concernant le cancer du sein, laquelle (lesquelles) est(sont) vraie(s) ? A - L'épithélioma du sein représente le cancer le plus fréquent chez la femme B - Le risque de cancer du sein est augmenté chez la patiente dont la soeur a présenté un carcinome mammaire C - L'augmentation de l'antigène carcino-embryonnaire est toujours en rapport avec une métastase hépatique D - Un écoulement sanglant témoigne toujours d'un carcinome intragalactophorique E - Une poussée évolutive d'un cancer du sein contreindique la mastectomie immédiate Bonne(s) réponse(s) : A B E Un écoulement sanglant doit toujours faire rechercher un carcinome intra-galactophorique parfois responsable. L'ACE est augmenté dans environ 20% des cas non métastatiques. Le taux annuel de mortalité par cancer du sein est de 28/100 000 soit le 1er rang avant les cancers digestifs.
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108 Question à compléments multiples. Parmi les antécédents suivants, lesquels doivent être considérés comme facteurs de risque du cancer du sein ? A - Cancer du sein chez sa mère B - Première règles précoces avant 10 ans C - Grossesse avant 20 ans D - Allaitement maternel des 2 enfants E - Hyperprolactinémie Bonne(s) réponse(s) : A B Cf. commentaire [339].
109 Question à compléments multiples. Dans le cancer du sein, il est important, pour surveiller la patiente, de disposer de certains dosages; lesquels ? A - Dosage du CA 15/3 B - CA 125 C - Dosage de la prolactine D - Dosage de la ferritine dans le lait E - Dosage de la béta HCG Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
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110 Question à compléments multiples.
62 Question à compléments multiples.
Madame D vous consulte pour une tumeur du sein Quels sont le ou les éléments qui vous font penser, qu'elle est à haut risque de cancer du sein ? A - Elle a 45 ans B - Elle a eu 4 enfants C - Elle prend la pilule D - Sa mère a eu un cancer du sein E - Elle a eu ses premières règles tard (après 16 ans)
Les 3 localisations le plus souvent envahies par des métastases du cancer du sein sont : A - Squelette distal des membres B - Le foie C - Le cerveau D - Le poumon E - Le squelette axial Bonne(s) réponse(s) : B D E
Bonne(s) réponse(s) : A D Le cancer du sein est d'autant plus fréquent que l'âge augmente. Le rôle de la pilule n'a pu être confirmé (nombreuses études contradictoires). La pilule doit être arrêtée dès que l'on suspecte une tumeur maligne.
27 Question à complément simple. Parmi ces cinq signes, lequel d'entre eux doit être considéré comme spécialement évocateur d'un cancer du sein ? A - Douleur B - Rétraction du mamelon C - Rougeur D - Ecoulement du mamelon E - Hypertrophie unilatérale du sein Bonne(s) réponse(s) : B L'écoulement unipore, surtout lorsqu'il est sanglant, doit faire pratiquer un examen cytologique et radiologique à la recherche d'un cancer mais la rétraction récente du mammelon doit également faire pratiquer un examen radiologique recherchant une tumeur.
40 Question à compléments multiples. Vous retiendriez comme facteur(s) de risque de cancer du sein chez cette malade : A - Père décédé d'un infarctus du myocarde B - Mère décédée d'un tumeur du sein C - Célibataire D - Cycles réguliers E - Mastodynite prémenstruelle Bonne(s) réponse(s) : B C E Les antécédents familiaux (ascendant ou collatéraux) de cancer du sein et la nulli ou pauciparité ont été démontrés alors que les mastodynies prémenstruelles (hyperoestrogénie relative) sont un facteur de risque encore controversé. Mademoiselle X..., 52 ans, secrétaire de direction, a subi il y a 10 ans une mastectomie totale gauche avec curage axillaire ayant révélé l'envahissement néoplasique d'un des six ganglions prélevés. Elle se plaint de douleurs nocturnes de la région dorsolombaire apparues progressivement depuis deux mois. Elles sont exacerbées par les efforts de toux. L'état général est conservé. Il existe un nodule au niveau de la cicatrice de mastectomie; son prélèvement confirme la récidive. Le dosage des récepteurs hormonaux est positif (oestradiol et progestérone). Le sein controlatéral est d'aspect normal. Il n'existe pas d'adénopathie axillaire, ni sus-claviculaire. L'examen neurologique et cardio-respiratoire est normal. Le foie n'a pas augmenté de volume.
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Le squelette distal est exceptionnellement atteint et le cerveau est atteint plus tardivement.
51 Question à compléments multiples. Quel(s) facteur(s) de risque de cancer du sein retrouvez-vous chez cette patiente ? A - Antécédents familiaux B - L'âge aux premières règles C - L'âge à la première grossesse D - Hystérectomie pour fibrome E - L'âge à la ménopause Bonne(s) réponse(s) : A E Les antécédents familiaux et la ménopause tardive > 55 ans augmentent le risque, qui est augmenté également lorsque la 1ère grossesse survient après 35 ans et si les 1ères règles sont précoces avant 13 ans. Une femme de 58 ans consulte pour un bilan mammaire systématique. La mère de la patiente a été traitée pour cancer du sein à l'âge de 50 ans. Sur le plan personnel, les premières règles sont survenues à l'âge de 15 ans, la patiente a eu 2 enfants à l'âge de 28 et 30 ans qu'elle n'a pas allaités. Deux ans plus tôt (56 ans), une hystérectomie totale avec castration a été réalisée pour de volumineux fibromes ; la patiente avait des cycles réguliers avant l'intervention. Le bilan mammaire est demandé, car cette patiente bénéficie d'une hormonothérapie substitutive. L'examen clinique note un bon état général. La palpation des seins est strictement normale. La mammographie met en évidence du coté droit sur le rayon de 3 H un amas de microcalcifications nombreuses, denses.
55 Question à compléments multiples. Le bi!an d'extension de ce cancer du sein comporte dès lors en première intention : A - Le dosage de l'ACE B - Un scanner cérébral C - Des clichés de squelette axial D - Une échographie hépatique E - Des tomographies pulmonaires Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'A.C.E. est positif dans 20 % des formes non métastasées initialement. L'échographie hépatique et le bilan biologique hépatique (phosphatases alcalines, gamma GT) élimine une métastase muette cliniquement. Les clichés du squelette axial remplacés actuellement par la scintigraphie osseuse au technétium et les tomographies pulmonaires recherchent les 2 autres localisations métastatiques fréquentes. Le scanner cérébral n'est pratiqué qu'en cas d'anomalie clinique.
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34 Question à complément simple. Quel est le facteur de risque de cancer du sein présenté par cette malade ? A - Première grossesse à l'âge de 32 ans B - Allaitement prolongé C - Prise de contraceptifs oraux pendant 5 ans D - Fibroadénome E - Mère décédée d'un cancer Bonne(s) réponse(s) : D Les antécédents de mastopathie bénigne surtout de découverte tardives (30 ans) augmentent le risque de cancer du sein. Les grossesses tardives > 35 ans multiplient par 2 ce risque et certains auteurs ont montré que le risque relatif était plus élevé chez des primipares de plus de 25 ans que chez celles de moins de 25 ans. Seuls les antécédents familiaux de cancer du sein augmentent le risque. Une femme de 40 ans, non ménopausée, consulte pour un nodule du sein gauche. L'interrogatoire retrouve dans les antécédents personnels : 2 grossesses menées à terme à 32 et 34 ans, avec allaitement prolongé, la prise de contraceptifs oraux pendant 5 ans, un fibroadénome opéré il y a 10 ans ; des antécédents familiaux : mère décédée d'un cancer du col de l'utérus. L'examen note une lésion du quadrant supéro-externe de 3 cm, dure avec dépression cutanée en regard, non fixée et une adénopathie axillaire homolatérale dure. La mammographie objective une opacité irrégulière, étoilée, mesurant 2 cm, entourée d'un halo d'oedème et associée à un épaississement cutané. Des micro-calcifications sont notées dans l'opacité. Une intervention chirurgicale est pratiquée. Voici les résultats : - adénocarcinome infiltrant grade 3 de Scarff et Bloom, avec lésions multifocales - 12 ganglions sur 18 sont envahis dont certains avec rupture capsulaire et embols Iymphatiques - récepteurs hormonaux sur la tumeur : oestrogène 200 fentomoles, progestérone 8 fentomoles (seuil de positivité pour la méthode : 10).
12 Question à compléments multiples. Chez cette malade, parmi les antécédents suivants, on retient comme facteur de risque reconnu pour le cancer du sein ? A - Puberté précoce-ménopause tardive B - Antécédent d'abcès du sein C - Première grossesse tardive D - Tabagisme E - Cholecystectomie Bonne(s) réponse(s) : A C L'hyperoestrogénie relative est le point commun de tous les facteurs de risque du cancer du sein auquel s'ajoute un facteur héréditaire ainsi que l'effet protecteur d'une maturation précoce du sein lors d'une grossesse jeune. Une femme de 55 ans, non ménopausée, consulte pour un nodule du quadrant supéro-externe du sein droit apparu 2 mois auparavant. L'interrogatoire retrouve la notion d'un cancer du sein chez la grand-mère maternelle, une puberté à l'âge de 10 ans, une première grossesse à l'âge de 32 ans sans allaitement en raison d'un abcès du sein et enfin une cholecystectomie pour lithiase à 49 ans. Cette malade a régulièrement fumé 1/2 paquet de cigarettes par jour pendant 30 ans. A l'examen : la tumeur est mobile mais s'accompagne d'une attraction cutanée bien visible à jour frisant ; elle mesure 2,5 cm dans son plus grand diamètre. A la palpation de l'aisselle homolatérale, on retrouve un ganglion de 1 cm de diamètre les autres territoires ganglionnaires sont normaux ; il n'existe pas d'hépatomégalie, il n'y a pas de douleurs osseuses et l'état général est conservé.
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64 Question à complément simple.
2 Question à complément simple.
Tous les médicaments suivants peuvent être utilisés dans le traitement d'une menace d'accouchement prématuré, sauf un. Lequel ? A - Progestérone B - Aspirine C - Bêta-bloquant D - Indométacine E - Salbutamol.
Les bêta-mimétiques utilisés dans la menace d'accouchement sont contre-indiqués en cas de : A - Hydramnios chronique B.- Myopie C - Hyperuricémie D - Asthme E - Troubles du rythme cardiaque
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Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : C 3 classes de médicaments sont utilisés dans la menace d'accouchement prématuré : les béta+ mimétiques (salbutanol), les progestatifs naturels et les A.I.N.S. pour leur action antiprostaglandine myorelaxante. Les bétaà l'inverse ont un risque théorique de favoriser l'accouchement prématuré (bien que les béta- sélectifs soient parfois utilisés dans le traitement de l'HTA gravidique).
62 Question à complément simple. Une femme enceinte de 1 mois (6 semaines d'aménorrhée) présente une menace d'avortement. Que conseillez-vous ? A - Bêta-mimétiques B - Abstention thérapeutique C - Progestatifs norstéroïdiens D - Oestrogènes E - Cerclage Bonne(s) réponse(s) : B
Les cardiopathies, troubles du rythme cardiaque et hypertension sont des contre-indications aux Bêta + et imposent un E.C.G avant tout traitement. En cas d'hydramnios chronique on préfèrera utiliser les antiprostaglandines qui ont également pour effet de diminuer la quantité de liquide amniotique.
58 Question à compléments multiples. Une menace d'accouchement prématuré peut se traduire par : A - Contractions utérines douloureuses B - Métrorragies C - Douleurs ligamentaires D - Modification du col E - Hypertension artérielle Bonne(s) réponse(s) : A B D Les métrorragies sont dues au décollement du pôle inférieur de l'oeuf lors des contractions utérines.
L'abstention thérapeutique est de règle au premier trimestre où les anomalies ovulaires (anomalies chromosomiques) sont une cause importante d'avortement spontané.
21 Question à complément simple. 67 Question à complément simple. Quelle est la circonstance qui ne constitue pas un risque de menace d'accouchement prématuré ? A - Placenta praevia B - Grossesse gémellaire C - Infection urinaire D - Anencéphalie sans hydramnios E - Diabète
La menace d'accouchement prématuré cesse à : A - 34 semaines d'aménorrhées révolues B - 35 semaines d'aménorrhées révolues C - 36 semaines d'aménorrhées révolues D - 37 semaines d'aménorrhées révolues E - 38 semaines d'aménorrhées révolues Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D Le placenta praevia, qui favorise la rupture prématurée des membranes, la grossesse gémellaire et le diabète ou l'hydramnios, est souvent associé et l'infection urinaire, par le biais de l'amniotite secondaire, sont des causes possibles d'accouchement prématuré.
40 Question à complément simple. Une femme enceinte de 7 semaines présente une menace d'avortement. Quelle attitude recommandez-vous ? A - Bêta-mimétiques B - Abstention thérapeutique C - Progestatifs norstéroïdiens D - Oestrogènes E - Cerclage
67 Question à complément simple. Une femme enceinte de un mois présente une menace d'avortement. Quelle orientation thérapeutique prenez-vous ? A - Bêta-mimétiques B - Abstention C - Progestatifs norstéroïdiens D - Estrogènes E - Cerclage Bonne(s) réponse(s) : B Les fausses couches spontanées précoces sont liées le plus souvent à une anomalie chromosomique et tout geste visant à maintenir artificiellement la grossesse est absurde.
Bonne(s) réponse(s) : B L'abstention thérapeutique est de règle au 1er trimestre dans les menaces d'avortement spontané car les causes ovulaires, en particulier les anomalies chromosomiques, tiennent la place.
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42 Question à compléments multiples. Parmi les examens suivants, le(s)quel(s) fait (font) partie du bilan étiologique à réaliser devant cette menace d'accouchement prématuré (M.A.P.) ? A - L'échographie obstétricale B - Prélèvement cervico-vaginaux C - Le dosage de l'uricémie D - L'amniocentèse E - L'amnioscopie Bonne(s) réponse(s) : A B L'échographie recherche une cause (malformation, hydramnios...) et permet d'apprécier la maturité foetale. Les prélèvements urinaires et cervico-vaginaux recherchent une cause infectieuse. L'hyperuricémie n'est pas une cause directe de MAP.
48 Question à complément simple. Devant cette menace d'accouchement prématuré, quelle doit être parmi les décisions suivantes, celle qui s'impose ? A - Prescription d'un repos simple avec arrêt de travail B - Traitement à domicile par repos et progestatif type rétro-progestérone C - Repos simple à domicile avec auscultations bihebdomadaires par un service de sages-femmes à domicile D - Hospitalisation d'urgence pour examens complémentaires et traitement tocolytique E - Hospitalisation d'urgence pour cerclage du col Bonne(s) réponse(s) : D La menace d'accouchement prématurée est sévère (contractions rapprochée et modification du col) et impose l'hospitalisation pour bilan étiologique et traitement tocolytique. Le cerclage du col est inefficace au 3ème trimestre. Une femme de 27 ans, institutrice de classe maternelle, mère de trois enfants, est à 31 semaines d'aménorrhée gravidique. Elle habite à 40 kms de son lieu de travail et doit chaque jour accomplir ce trajet en voiture. On retrouve dans ses antécédents : trois accouchements qui se sont normalement déroulés, à terme, une appendicectomie dans l'enfance, deux interruptions volontaires de grossesse à 25 et 26 ans. Depuis quarante-huit heures, elle se plaint de douleurs lombaires droites, de nausées et depuis quelques heures elle ressent des brûlures mictionnelles. Sa température est à 38°. Enfin, elle se plaint depuis deux heures de contractions utérines survenant toutes les dix minutes, de plus en plus longues (trente secondes) et douloureuses depuis une heure. Le col utérin est long, ouvert à l'orifice externe, déhiscent à l'orifice interne. La hauteur utérine est de 27 cm. Le foetus, dont les dimensions échographiques ont toujours été concordantes avec le terme, est vivant : Mouvements actifs et bruits du coeur sont présents. Il n'y a jamais eu d'hypertension artérielle, ni de glycosurie, Mais la recherche de protéinurie avec des bandelettes est positive.
50 Question à compléments multiples. Une menace d'accouchement prématuré est favorisé par : A - Longs trajets quotidiens en voiture B - Multiparité et charges de famille C - Métier d'institutrice de maternelle D - Infection urinaire E - Antécédents d'avortements provoqués Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les avortements provoqués favorisent les avortements spontanés tardifs par béance du col du synéchie utérine.
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64 Question à complément simple.
21 Question à complément simple.
Tous les médicaments suivants peuvent être utilisés dans le traitement d'une menace d'accouchement prématuré, sauf un. Lequel ? A - Progestérone B - Aspirine C - Bêta-bloquant D - Indométacine E - Salbutamol.
La menace d'accouchement prématuré cesse à : A - 34 semaines d'aménorrhées révolues B - 35 semaines d'aménorrhées révolues C - 36 semaines d'aménorrhées révolues D - 37 semaines d'aménorrhées révolues E - 38 semaines d'aménorrhées révolues Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : C
Sans commentaire.
3 classes de médicaments sont utilisés dans la menace d'accouchement prématuré : les béta+ mimétiques (salbutanol), les progestatifs naturels et les A.I.N.S. pour leur action antiprostaglandine myorelaxante. Les bétaà l'inverse ont un risque théorique de favoriser l'accouchement prématuré (bien que les béta- sélectifs soient parfois utilisés dans le traitement de l'HTA gravidique).
42 Question à compléments multiples.
67 Question à complément simple. Quelle est la circonstance qui ne constitue pas un risque de menace d'accouchement prématuré ? A - Placenta praevia B - Grossesse gémellaire C - Infection urinaire D - Anencéphalie sans hydramnios E - Diabète
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Parmi les examens suivants, le(s)quel(s) fait (font) partie du bilan étiologique à réaliser devant cette menace d'accouchement prématuré (M.A.P.) ? A - L'échographie obstétricale B - Prélèvement cervico-vaginaux C - Le dosage de l'uricémie D - L'amniocentèse E - L'amnioscopie Bonne(s) réponse(s) : A B L'échographie recherche une cause (malformation, hydramnios...) et permet d'apprécier la maturité foetale. Les prélèvements urinaires et cervico-vaginaux recherchent une cause infectieuse. L'hyperuricémie n'est pas une cause directe de MAP.
Bonne(s) réponse(s) : D Le placenta praevia, qui favorise la rupture prématurée des membranes, la grossesse gémellaire et le diabète ou l'hydramnios, est souvent associé et l'infection urinaire, par le biais de l'amniotite secondaire, sont des causes possibles d'accouchement prématuré.
2 Question à complément simple. Les bêta-mimétiques utilisés dans la menace d'accouchement sont contre-indiqués en cas de : A - Hydramnios chronique B.- Myopie C - Hyperuricémie D - Asthme E - Troubles du rythme cardiaque Bonne(s) réponse(s) : E Les cardiopathies, troubles du rythme cardiaque et hypertension sont des contre-indications aux Bêta + et imposent un E.C.G avant tout traitement. En cas d'hydramnios chronique on préfèrera utiliser les antiprostaglandines qui ont également pour effet de diminuer la quantité de liquide amniotique.
58 Question à compléments multiples. Une menace d'accouchement prématuré peut se traduire par : A - Contractions utérines douloureuses B - Métrorragies C - Douleurs ligamentaires D - Modification du col E - Hypertension artérielle
48 Question à complément simple. Devant cette menace d'accouchement prématuré, quelle doit être parmi les décisions suivantes, celle qui s'impose ? A - Prescription d'un repos simple avec arrêt de travail B - Traitement à domicile par repos et progestatif type rétro-progestérone C - Repos simple à domicile avec auscultations bihebdomadaires par un service de sages-femmes à domicile D - Hospitalisation d'urgence pour examens complémentaires et traitement tocolytique E - Hospitalisation d'urgence pour cerclage du col Bonne(s) réponse(s) : D La menace d'accouchement prématurée est sévère (contractions rapprochée et modification du col) et impose l'hospitalisation pour bilan étiologique et traitement tocolytique. Le cerclage du col est inefficace au 3ème trimestre. Une femme de 27 ans, institutrice de classe maternelle, mère de trois enfants, est à 31 semaines d'aménorrhée gravidique. Elle habite à 40 kms de son lieu de travail et doit chaque jour accomplir ce trajet en voiture. On retrouve dans ses antécédents : trois accouchements qui se sont normalement déroulés, à terme, une appendicectomie dans l'enfance, deux interruptions volontaires de grossesse à 25 et 26 ans. Depuis quarante-huit heures, elle se plaint de douleurs lombaires droites, de nausées et depuis quelques heures elle ressent des brûlures mictionnelles. Sa température est à 38°. Enfin, elle se plaint depuis deux heures de contractions utérines survenant toutes les dix minutes, de plus en plus longues (trente secondes) et douloureuses depuis une heure. Le col utérin est long, ouvert à l'orifice externe, déhiscent à l'orifice interne. La hauteur utérine est de 27 cm. Le foetus, dont les dimensions échographiques ont toujours été concordantes avec le terme, est vivant : Mouvements actifs et bruits du coeur sont présents. Il n'y a jamais eu d'hypertension artérielle, ni de glycosurie, Mais la recherche de protéinurie avec des bandelettes est positive.
Bonne(s) réponse(s) : A B D Les métrorragies sont dues au décollement du pôle inférieur de l'oeuf lors des contractions utérines.
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50 Question à compléments multiples. Une menace d'accouchement prématuré est favorisé par : A - Longs trajets quotidiens en voiture B - Multiparité et charges de famille C - Métier d'institutrice de maternelle D - Infection urinaire E - Antécédents d'avortements provoqués Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les avortements provoqués favorisent les avortements spontanés tardifs par béance du col du synéchie utérine.
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13 Question à compléments multiples. Devant une hémorragie du 3ème trimestre de la grossesse, choisir parmi les propositions suivantes celle(s) qui est(sont) compatible(s) avec le diagnostic de placenta praevia. A - Présence d'accélérations transitoires sur le rythme cardiaque foetal B - Fibrinogène à 0,9 g/l C - Uricémie à 511 mmol/l D - Absence de protéinurie E - Utérus contracté par intermittence Bonne(s) réponse(s) : A D E Le placenta praevia (recouvrant ou bas inséré) provoque une hémorragie de sang rouge de type mécanique par décollement du pôle inférieur de l'oeuf (contractions, T.V.) et est donc indépendant d'une toxémie (C) ou d'un trouble de la coagulation (B). Si l'hémorragie est peu abondante le rythme cardiaque foetal peut rester normal (A).
3 Question à compléments multiples. Le placenta praevia : A - Est un facteur de rupture prématurée des membranes B - Peut ne se manifester qu'à l'accouchement C - Favorise les présentations dystociques D - Nécessite toujours une césarienne E - Peut entraîner une contracture utérine Bonne(s) réponse(s) : A B C La rupture prématurée des membranes, plus fréquente, est due à la moindre résistance de celles-ci, près de l'insertion placentaire. L'obstacle praevia que constitue le placenta favorise les présentations anormales. Si le placenta est non recouvrant, la voie basse est possible lorsque l'hémorragie génitale est contrôlée.
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60 Question à compléments multiples. La (les) conséquence(s) de la rupture prématurée des membranes peut(vent) : A - La prématurité B - Placenta praevia C - La présentation de la face D - La procidence du cordon E - La dysgravidie Bonne(s) réponse(s) : A D La rupture prématurée des membranes (avant tout début de travail) entraîne un risque de procidence du cordon, (la présentation n'appliquant pas nécessairement sur le segment inférieur), et d'accouchement prématuré provoqué par l'infection amniotique. Le placenta bas inséré peut être un facteur étiologique (et non une conséquence) de cette rupture. La présentation de la face n'est pas plus fréquente.
28 Question à compléments multiples. La (les) conséquence(s) de la rupture prématurée des membranes peut(vent) être : A - L'infection ovulaire B - Le placenta praevia C - La présentation de la face D - La procidence du cordon E - La dysgravidie Bonne(s) réponse(s) : A D La procidence du cordon est favorisée par une présentation non appliquée et le flux rapide de liquide amniotique. La dysgravidie est éventuellement une cause mais non une conséquence.
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64 Question à complément simple.
58 Question à compléments multiples.
Tous les médicaments suivants peuvent être utilisés dans le traitement d'une menace d'accouchement prématuré, sauf un. Lequel ? A - Progestérone B - Aspirine C - Bêta-bloquant D - Indométacine E - Salbutamol.
Une menace d'accouchement prématuré peut se traduire par : A - Contractions utérines douloureuses B - Métrorragies C - Douleurs ligamentaires D - Modification du col E - Hypertension artérielle Bonne(s) réponse(s) : A B D
Bonne(s) réponse(s) : C 3 classes de médicaments sont utilisés dans la menace d'accouchement prématuré : les béta+ mimétiques (salbutanol), les progestatifs naturels et les A.I.N.S. pour leur action antiprostaglandine myorelaxante. Les bétaà l'inverse ont un risque théorique de favoriser l'accouchement prématuré (bien que les béta- sélectifs soient parfois utilisés dans le traitement de l'HTA gravidique).
67 Question à complément simple. Quelle est la circonstance qui ne constitue pas un risque de menace d'accouchement prématuré ? A - Placenta praevia B - Grossesse gémellaire C - Infection urinaire D - Anencéphalie sans hydramnios E - Diabète Bonne(s) réponse(s) : D Le placenta praevia, qui favorise la rupture prématurée des membranes, la grossesse gémellaire et le diabète ou l'hydramnios, est souvent associé et l'infection urinaire, par le biais de l'amniotite secondaire, sont des causes possibles d'accouchement prématuré.
63 Question à compléments multiples. Madame L..., employée de bureau, âgée de 25 ans, est enceinte pour la troisième fois. Elle a déjà accouché à la deuxième grossesse à 33 semaines. Sa nouvelle grossesse est normale, mis à part des métrorragies au troisième trimestre. Vous retenez en faveur d'un risque d'accouchement prématuré : A - Employée de bureau B - 25 ans C - Antécédent d'accouchement prématuré D - Métrorragies au troisième trimestre E - Grossesse unique Bonne(s) réponse(s) : C D Un antécédent d'accouchement prématuré majore le risque de prématurité pour les grossesses suivantes. Les métrorragies du 3ème trimestre sont à rapporter en premier lieu à une pathologie placentaire (placenta praevia, hématome rétroplacentaire) mais peuvent être le prélude d'une menace d'accouchement prématuré lorsque toute autre étiologie a été éliminée.
Les métrorragies sont dues au décollement du pôle inférieur de l'oeuf lors des contractions utérines.
21 Question à complément simple. La menace d'accouchement prématuré cesse à : A - 34 semaines d'aménorrhées révolues B - 35 semaines d'aménorrhées révolues C - 36 semaines d'aménorrhées révolues D - 37 semaines d'aménorrhées révolues E - 38 semaines d'aménorrhées révolues Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
68 Question à complément simple. Un accouchement prématuré fébrile avec tableau pseudogrippal doit faire suspecter avant tout une des maladies suivantes. Laquelle ? A - La toxoplasmose B - La rubéole C - La listériose D - L'herpès E - La mononucléose infectieuse Bonne(s) réponse(s) : C La listériose, maladie bénigne en dehors de la grossesse, se manifeste par un tableau pseudo-grippal fébrile qui peut entraîner une mort in utéro ou un travail prématuré. Toute fièvre en cours de grossesse impose donc la recherche d'une listériose et l'antibiothérapie adaptée.
54 Question à compléments multiples. La décision d'accouchement prématuré dans un tel cas est prise : A - Sur la constatation d'une maturité foetale suffisante B - Sur un ralentissement du rythme cardiaque foetal C - Sur la notion d'antécédents familiaux de toxémie gravidique D - Sur la constatation de variation tensionnelle importante malgré le traitement E - Sur la notion d'une activité rénine élevée Bonne(s) réponse(s) : A B D L'extraction foetale est impérative en cas d'échappement au traitement ou de souffrance foetale aiguë. En l'absence d'urgence maternelle ou foetale, on temporisera jusqu'à obtention de la maturité pulmonaire.
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42 Question à compléments multiples.
51 Question à compléments multiples.
Parmi les examens suivants, le(s)quel(s) fait (font) partie du bilan étiologique à réaliser devant cette menace d'accouchement prématuré (M.A.P.) ? A - L'échographie obstétricale B - Prélèvement cervico-vaginaux C - Le dosage de l'uricémie D - L'amniocentèse E - L'amnioscopie
En cas d'accouchement prématuré le nouveau-né est particulièrement menacé par : A - Maladie des membranes hyalines B - Hémorragie de Benkiser C - Ictère néo-natal D - Infection septicémique néo-natale acquise in utero E - Hypotrophie Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) : A B L'échographie recherche une cause (malformation, hydramnios...) et permet d'apprécier la maturité foetale. Les prélèvements urinaires et cervico-vaginaux recherchent une cause infectieuse. L'hyperuricémie n'est pas une cause directe de MAP.
La fièvre maternelle fait craindre l'infection néonatale. A 31 SA la maladie des membranes hyalines est à redouter (immaturité pulmonaire). L'ictère néo-natal est plus fréquent en cas de prématurité. Le petit poids n'est pas synonyme d'hypotrophie enfin l'hémorragie de Ben Kiser se voit lors de la rupture des membranes en cas d'insertion vélamenteuse du cordon.
48 Question à complément simple. Devant cette menace d'accouchement prématuré, quelle doit être parmi les décisions suivantes, celle qui s'impose ? A - Prescription d'un repos simple avec arrêt de travail B - Traitement à domicile par repos et progestatif type rétro-progestérone C - Repos simple à domicile avec auscultations bihebdomadaires par un service de sages-femmes à domicile D - Hospitalisation d'urgence pour examens complémentaires et traitement tocolytique E - Hospitalisation d'urgence pour cerclage du col Bonne(s) réponse(s) : D La menace d'accouchement prématurée est sévère (contractions rapprochée et modification du col) et impose l'hospitalisation pour bilan étiologique et traitement tocolytique. Le cerclage du col est inefficace au 3ème trimestre. Une femme de 27 ans, institutrice de classe maternelle, mère de trois enfants, est à 31 semaines d'aménorrhée gravidique. Elle habite à 40 kms de son lieu de travail et doit chaque jour accomplir ce trajet en voiture. On retrouve dans ses antécédents : trois accouchements qui se sont normalement déroulés, à terme, une appendicectomie dans l'enfance, deux interruptions volontaires de grossesse à 25 et 26 ans. Depuis quarante-huit heures, elle se plaint de douleurs lombaires droites, de nausées et depuis quelques heures elle ressent des brûlures mictionnelles. Sa température est à 38°. Enfin, elle se plaint depuis deux heures de contractions utérines survenant toutes les dix minutes, de plus en plus longues (trente secondes) et douloureuses depuis une heure. Le col utérin est long, ouvert à l'orifice externe, déhiscent à l'orifice interne. La hauteur utérine est de 27 cm. Le foetus, dont les dimensions échographiques ont toujours été concordantes avec le terme, est vivant : Mouvements actifs et bruits du coeur sont présents. Il n'y a jamais eu d'hypertension artérielle, ni de glycosurie, Mais la recherche de protéinurie avec des bandelettes est positive.
50 Question à compléments multiples. Une menace d'accouchement prématuré est favorisé par : A - Longs trajets quotidiens en voiture B - Multiparité et charges de famille C - Métier d'institutrice de maternelle D - Infection urinaire E - Antécédents d'avortements provoqués Bonne(s) réponse(s) : A B C D Les avortements provoqués favorisent les avortements spontanés tardifs par béance du col du synéchie utérine.
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60 Question à compléments multiples. La (les) conséquence(s) de la rupture prématurée des membranes peut(vent) : A - La prématurité B - Placenta praevia C - La présentation de la face D - La procidence du cordon E - La dysgravidie Bonne(s) réponse(s) : A D La rupture prématurée des membranes (avant tout début de travail) entraîne un risque de procidence du cordon, (la présentation n'appliquant pas nécessairement sur le segment inférieur), et d'accouchement prématuré provoqué par l'infection amniotique. Le placenta bas inséré peut être un facteur étiologique (et non une conséquence) de cette rupture. La présentation de la face n'est pas plus fréquente.
28 Question à compléments multiples. La (les) conséquence(s) de la rupture prématurée des membranes peut(vent) être : A - L'infection ovulaire B - Le placenta praevia C - La présentation de la face D - La procidence du cordon E - La dysgravidie Bonne(s) réponse(s) : A D La procidence du cordon est favorisée par une présentation non appliquée et le flux rapide de liquide amniotique. La dysgravidie est éventuellement une cause mais non une conséquence.
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64 Question à complément simple. Comment classez-vous un cancer de l'endomètre avec extension à la vessie ? A - Stade I B - Stade II C - Stade III D - Stade IVa E - Stade IVb Bonne(s) réponse(s) : D IVa = T4a (cancer envahissant vessie et rectum) N0 ou N1, M0.
56 Question à complément simple. Toutes les conditions suivantes sont des facteurs de risque de cancer de l'endomètre sauf une, laquelle ? A - Obésité B - Ménaupose tardive C - Grande multiparité D - Traitement oestrogénique seul de la ménaupose E - Tumeurs féminisantes de l'ovaire Bonne(s) réponse(s) : C C - Au contraire.
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94 Question à compléments multiples. On a réalisé un dépistage du cancer du col de l'utérus chez 5 000 femmes par l'analyse cytologique de frottis vaginaux : 50 femmes avaient un frottis anormal. Les bilans ultérieurs ont confirmé l'existence d'un cancer chez 10 d'entre elles. Une femme dont les frottis étaient normaux a présenté pendant la durée de l'étude un cancer du col. Deux rapports parmi les suivants expriment la sensibilité et la spécificité de ce test de dépistage (frottis) ; lesquels ? A - 10/50 B - 1/1 1 C - 10/1 1 D - 50/5000 E - 4949/4989 Bonne(s) réponse(s) : C E Cancer Cancer Frottis + Frottis -
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Pas de 40 4949
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50 4950 4989
5000
C : Sensibilité : probabilité que le test soit positif chez les malades : 10/11 E : Spécificité : probabilité que le frottis soit négatif chez les femmes sans cancer : 4949/4989.
45 Question à complément simple. La principale évolution du cancer du col de l'utérus est : A - Une extension loco-régionale B - Une métastase pulmonaire C - Une métastase hépatique D - Une métastase cérébrale E - Une métastase osseuse Bonne(s) réponse(s) : A A : Le cancer se propage en direction de l'exocol et de l'endocol puis vers le vagin par contiguïté et par perméation lymphatique : Vessie et rectum (à un moindre degré) sont atteints de proche en proche. L'atteinte des paramètres se fait surtout par voie lymphatique.
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94 Question à compléments multiples. On a réalisé un dépistage du cancer du col de l'utérus chez 5 000 femmes par l'analyse cytologique de frottis vaginaux : 50 femmes avaient un frottis anormal. Les bilans ultérieurs ont confirmé l'existence d'un cancer chez 10 d'entre elles. Une femme dont les frottis étaient normaux a présenté pendant la durée de l'étude un cancer du col. Deux rapports parmi les suivants expriment la sensibilité et la spécificité de ce test de dépistage (frottis) ; lesquels ? A - 10/50 B - 1/1 1 C - 10/1 1 D - 50/5000 E - 4949/4989 Bonne(s) réponse(s) : C E Cancer Cancer Frottis + Frottis -
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C : Sensibilité : probabilité que le test soit positif chez les malades : 10/11 E : Spécificité : probabilité que le frottis soit négatif chez les femmes sans cancer : 4949/4989.
45 Question à complément simple. La principale évolution du cancer du col de l'utérus est : A - Une extension loco-régionale B - Une métastase pulmonaire C - Une métastase hépatique D - Une métastase cérébrale E - Une métastase osseuse Bonne(s) réponse(s) : A A : Le cancer se propage en direction de l'exocol et de l'endocol puis vers le vagin par contiguïté et par perméation lymphatique : Vessie et rectum (à un moindre degré) sont atteints de proche en proche. L'atteinte des paramètres se fait surtout par voie lymphatique.
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94 Question à compléments multiples. On a réalisé un dépistage du cancer du col de l'utérus chez 5 000 femmes par l'analyse cytologique de frottis vaginaux : 50 femmes avaient un frottis anormal. Les bilans ultérieurs ont confirmé l'existence d'un cancer chez 10 d'entre elles. Une femme dont les frottis étaient normaux a présenté pendant la durée de l'étude un cancer du col. Deux rapports parmi les suivants expriment la sensibilité et la spécificité de ce test de dépistage (frottis) ; lesquels ? A - 10/50 B - 1/1 1 C - 10/1 1 D - 50/5000 E - 4949/4989 Bonne(s) réponse(s) : C E Cancer Cancer Frottis + Frottis -
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C : Sensibilité : probabilité que le test soit positif chez les malades : 10/11 E : Spécificité : probabilité que le frottis soit négatif chez les femmes sans cancer : 4949/4989.
45 Question à complément simple. La principale évolution du cancer du col de l'utérus est : A - Une extension loco-régionale B - Une métastase pulmonaire C - Une métastase hépatique D - Une métastase cérébrale E - Une métastase osseuse Bonne(s) réponse(s) : A A : Le cancer se propage en direction de l'exocol et de l'endocol puis vers le vagin par contiguïté et par perméation lymphatique : Vessie et rectum (à un moindre degré) sont atteints de proche en proche. L'atteinte des paramètres se fait surtout par voie lymphatique.
3 Question à compléments multiples. Parmi les signes de l'observation quels sont ceux qui sont plus en faveur d'une occlusion par volvulus du colon pelvien que d'une occlusion par cancer du colon sigmoïde ? A - Début brutal B - Absence de vomissement C - Arr t des matières et des gaz précoce et brutal D - Météorisme asymétrique E - Absence de péristaltisme Bonne(s) réponse(s) : A D La forme la plus fréquente du volvulus du côlon pelvien est la forme subaigue, le début est le plus souvent progressif, marqué par une crise de constipation associée à des vagues douleurs de la fosse iliaque gauche. Cet épisode n'a pas inquiété initialement ce constipé chronique chez qui d'autres épisodes douloureux et sub occlusifs se sont déjà succédés, cédant spontanément ou grâce à des lavements, mais cette fois les signes se prolongent et s'aggravent brutalement. L'existence de cette aggravation brutale dans un 2° temps oriente plus en faveur d'une volvulus que d'un cancer du sigmoïde.
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36 36 Question à complément simple.
82 Question à compléments multiples.
L'un des éléments suivants n'est pas retenu comme un critère de haut risque de cancer du sein. Lequel ? A - Antécédents familiaux de cancer du sein B - Première grossesse tardive C - Puberté précoce D - Ménopause tardive E - Antécédent personnel d'abcès du sein
Parmi les facteurs suivants, quel est celui ou quels sont ceux qui, s'ils sont présents chez une femme, sont associés à un risque élevé de cancer du sein ? A - Prise d'oestrogène par la mère pendant la grossesse B - Cancer du sein controlatéral C - Traumatisme mammaire D - Cancer du sein chez la mère et une tante maternelle E - Allaitement
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B D A : Antécédents familiaux multiplient par 2 ou 3 le risque de cancer du sein et par 10 si la mère et une soeur sont touchées. B, C et D : Hyperoestrogènie relative. E : Mastopathie bénigne : facteur de risque lorsqu'il s'agit d'une maladie fibrokystique (risque relatif de 1,6)
B - Classique. C - Non, car non chronique. D - Risques multipliés par 5. E - Non, c'est le contraire.
11 Question à complément simple.
96 Question à compléments multiples.
Parmi les médicaments suivants, quel est celui qui est un anti-estrogène utilisé dans le traitement du cancer du sein ? A - Diéthylstilbestrol (Distilbène®) B - Tamoxifène (Nolvadex®) C - Prednisolone (Cortancyl®) D - Acétate de cyprotérone (Androcur®) E - Méthoxyprogestérone (Prodasone®)
Certains signes radiologiques sont évocateurs d'un cancer du sein. Parmi les suivants, lequel ou lesquels retenez-vous : A - Micro-calcifications groupées en amas B - Epaississement et rétraction cutanés C - Involution graisseuse D - Opacité régulière à limites nettes E - Accentuation diffuse de la trame conjonctive
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : A B
Sans commentaire.
A : Microcalcifications groupées en amas : La plupart des petits cancers sont détectés par de petites calcifications< 5mm. Des microcalcifications même groupées ne sont pas toutes malignes. Les microcalcifications malignes sont le plus souvent punctiformes, irrégulières ou vermiculaires. B : Rétraction cutanée en regard de la tumeur et épaississement fréquent.
8 Question à complément simple. Pour déterminer s'il existe une relation entre le cancer du sein et l'usage prolongé de contraceptifs oraux, une enquête a été réalisée. Ont été interrogées 963 femmes atteintes d'un cancer du sein, et 858 femmes n'ayant pas de cancer de sein, appariées sur l'âge. S'agit-il : A - D'une enquête de cohorte B - D'une enquête de prévalence C - D'une enquête expérimentale D - D'une enquête cas-témoins E - D'une enquête descriptive Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit d'une enquête rétrospective comparant malades (cas) et témoins, pour rechercher un facteur de risque.
34 Question à complément simple. Comment évalue-t-on l'efficacité d'une campagne de dépistage du cancer du sein ? A - Au nombre de nouveaux cas diagnostiqués B - Au pourcentage de malades ayant un traitement à visée curative C - A la durée de l'intervalle libre entre diagnostic et traitement D - A la durée de survie E - A la diminution de la prévalence du cancer du sein Bonne(s) réponse(s) : A Ce qui est le but recherché par la campagne, en même temps qu'un diagnostic le plus précoce possible.
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68 Question à compléments multiples. Le cancer du sein a pour facteur de haut risque : A - L'âge élevé B - La nulliparité C - La ménopause précoce D - Un antécédent familial de cancer du sein E - L'allaitement maternel Bonne(s) réponse(s) : A D A - Non B - Oui, cela multiplie le risque par 3 C - Non, au contraire D - Oui E - Non, au contraire, l'absence d'allaitement est un facteur de risque Une patiente de 54 ans, mère de 3 enfants et ménopausée depuis l'âge de 49 ans, présente une tuméfaction de 4 cm de diamètre au niveau du prolongement axillaire du sein gauche. Cette tuméfaction est libre de toute adhérence profonde ou superficielle et ne s'accompagne d'aucun signe inflammatoire. Il existe une adénopathie axillaire homolatérale suspecte. La mammographie montre une image aux contours spiculés de 3 cm de diamètre. La cytologie par ponction décèle des cellules malignes. Le bilan pré thérapeutique exclut des métastases pleuro-pulmonaires, osseuses ou hépatiques. L'examen anatomo-pathologique extemporané confirme le néoplasme du sein. Une opération de Patey (mammectomie avec curage axillaire) est effectuée. L'examen histologique met en évidence l'envahissement de 10 ganglions sur 16 et établit un score histopronostique de grade III. Enfin les récepteurs hormonaux sont positifs, aussi bien pour l'oestradiol que pour la progestérone. Une chimiothérapie adjuvante est instaurée selon le protocole F.A.C. associée à une hormonothérapie comportant du Novaldex®.
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71 Question à complément simple. Quel est l'ordre hiérarchique, en allant du plus grave au moins grave, des trois principaux éléments de pronostic du cancer du sein (T étant la taille de la tumeur, N étant la présence de ganglions et PeV étant la présence de signes inflammatoires) : A - T, N, PeV B - N, T, PeV C - PeV, N, T D - T, PeV, N E - N, PeV, T Bonne(s) réponse(s) : C C - Oui, connaissances.
73 Question à compléments multiples. Cette patiente, ayant été traitée pour un cancer du sein gauche, a un risque élevé de développer un cancer du sein droit. A titre de dépistage, vous lui proposez : A - L'auto-examen B - Une thermographie annuelle C - Une échographie annuelle D - Une mammographie annuelle E - Une cytologie mammaire annuelle Bonne(s) réponse(s) : A D A - Oui, il doit être complété par un examen clinique par le médecin. D - Oui. Met en évidence des lésions infracliniques inférieures à 5 mm. B et C - Sont peu performants.
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32 Question à compléments multiples. Une femme enceinte de 7 mois et demi présente une cervicite. Le prélèvement effectué à ce niveau montre un Chlamydia trachomatis. Quelle(s) est(sont) la(les) décision(s) à prendre ? A - Eviter l'acouchement par voies naturelles B - Traiter par Doxycycline® 200 milligrammes par jour pendant 15 jours C - Effectuer un traitement local uniquement au moment de l'acouchement D - Traiter par une bétalactamine pendant 10 jours E - Traiter la patiente par un macrolide pendant 10 jours Bonne(s) réponse(s) : E E : Traitement par Macrolides par voie générale.
9 Question à compléments multiples. Parmi les propositions, suivantes laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) en ce qui concerne le chlamydia ? A - Germe intracellulaire B - Germe saprophyte C - Germe sexuellement transmissible D - Examen direct dans le vagin de grande valeur diagnostique E - Germe sensible aux ampicillines Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
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38 Question à complément simple.
6 Question à compléments multiples.
La limite d'âge légale pour la délivrance de contraceptifs sans autorisation parentale est : A - 12 ans B - 14 ans C - 16 ans D - 18 ans E - Aucune limite d'âge
Si une contraception est souhaitée par la patiente, vous pouvez proposer: A - Un stérilet B - Une contraception locale (diaphragme, spermicides ) C - Une contraception oestro-progestative normo-dosée D - Une contraception oestro-progestative mini-dosée E - Une contraception progestative norstéroïde
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) :
Connaissances.
QUESTION ANNULEE.
47 Question à compléments multiples.
45 Question à compléments multiples.
La prescription de contraceptifs oraux : A - Nécessite l'autorisation des parents pour les mineurs B - N'est pas renouvelable C - Est limitée à une durée d'un mois de prescription D - Est renouvelable dans la limite d'un an de prescription E - N'est pas soumise à une prescription médicale
Après un accident de la voie publique, elle devient épileptique. Sa contraception par oestroprogestatifs n'est pas remise en cause, Quel(s) médicament(s) anticonvulsivant(s) peut(vent) interférer avec celle-ci en l'inactivant ? A - Valproate de sodium (Dépakine®) B - Phénobarbital (Gardénal®) C - Phénytoïne (Dihydan®) D - Carbamazépine (Tégrétol®) E - Diazepam (Valium®)
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
8 Question à complément simple.
A : Ce n'est pas un inducteur enzymatique B, C et D : Inducteur enzymatique. E : Oui, bien que discuté...
Pour déterminer s'il existe une relation entre le cancer du sein et l'usage prolongé de contraceptifs oraux, une enquête a été réalisée. Ont été interrogées 963 femmes atteintes d'un cancer du sein, et 858 femmes n'ayant pas de cancer de sein, appariées sur l'âge. S'agit-il : A - D'une enquête de cohorte B - D'une enquête de prévalence C - D'une enquête expérimentale D - D'une enquête cas-témoins E - D'une enquête descriptive Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit d'une enquête rétrospective comparant malades (cas) et témoins, pour rechercher un facteur de risque.
20 Question à complément simple. Les oestro-progestatifs sont utilisés en contraception : A- Du 5e au 25e jour du cycle normal B - Du 10e au 25e jour du cycle normal C - Pendant 28 jours à partir du 3e jour des règles précédentes D - Par périodes de 21 jours entrecoupées d'arrêt de 7 jours E - En continu, y compris pendant les règles Bonne(s) réponse(s) : D D - Evident.
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89 89 Question à compléments multiples.
Parmi les signes cliniques suivants, quels sont ceux qui sont témoins d'une menace d'accouchement prématuré ? A - Contractions utérines ressenties douloureusement B - Métrorragies C - Douleurs ligamentaires D - Présentation du siège E - Modification du col Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
12 Question à compléments multiples. Quel est le bilan étiologique à réaliser devant cette menace d'accouchement prématuré ? A - Echographie B - ECBU C - Dosage de l'uricémie D - VS E - Amnioscopie Bonne(s) réponse(s) : A B C E A : Systématique B : Recherche d'infection urinaire C : Recherche de souffrance foetale D : Aucun intérêt. E : Recherche d'une rupture des membranes ou fissuration.
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38 Question à complément simple. La limite d'âge légale pour la délivrance de contraceptifs sans autorisation parentale est : A - 12 ans B - 14 ans C - 16 ans D - 18 ans E - Aucune limite d'âge Bonne(s) réponse(s) : E Connaissances.
13 Question à compléments multiples. La délivrance est normale car : A - La durée est normale B - Non hémorragique C - Dirigée D - Spontanée E - Le placenta est complet Bonne(s) réponse(s) : A B D E A - Inférieure à 30 mn. B - Evident D - Evident E - Evident
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34 Question à complément simple.
L'un des éléments suivants n'est pas retenu comme un critère de haut risque de cancer du sein. Lequel ? A - Antécédents familiaux de cancer du sein B - Première grossesse tardive C - Puberté précoce D - Ménopause tardive E - Antécédent personnel d'abcès du sein
Comment évalue-t-on l'efficacité d'une campagne de dépistage du cancer du sein ? A - Au nombre de nouveaux cas diagnostiqués B - Au pourcentage de malades ayant un traitement à visée curative C - A la durée de l'intervalle libre entre diagnostic et traitement D - A la durée de survie E - A la diminution de la prévalence du cancer du sein
Bonne(s) réponse(s) : E A : Antécédents familiaux multiplient par 2 ou 3 le risque de cancer du sein et par 10 si la mère et une soeur sont touchées. B, C et D : Hyperoestrogènie relative. E : Mastopathie bénigne : facteur de risque lorsqu'il s'agit d'une maladie fibrokystique (risque relatif de 1,6)
11 Question à complément simple. Parmi les médicaments suivants, quel est celui qui est un anti-estrogène utilisé dans le traitement du cancer du sein ? A - Diéthylstilbestrol (Distilbène®) B - Tamoxifène (Nolvadex®) C - Prednisolone (Cortancyl®) D - Acétate de cyprotérone (Androcur®) E - Méthoxyprogestérone (Prodasone®)
Bonne(s) réponse(s) : A Ce qui est le but recherché par la campagne, en même temps qu'un diagnostic le plus précoce possible.
82 Question à compléments multiples. Parmi les facteurs suivants, quel est celui ou quels sont ceux qui, s'ils sont présents chez une femme, sont associés à un risque élevé de cancer du sein ? A - Prise d'oestrogène par la mère pendant la grossesse B - Cancer du sein controlatéral C - Traumatisme mammaire D - Cancer du sein chez la mère et une tante maternelle E - Allaitement
Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : B D
Sans commentaire.
B - Classique. C - Non, car non chronique. D - Risques multipliés par 5. E - Non, c'est le contraire.
8 Question à complément simple. Pour déterminer s'il existe une relation entre le cancer du sein et l'usage prolongé de contraceptifs oraux, une enquête a été réalisée. Ont été interrogées 963 femmes atteintes d'un cancer du sein, et 858 femmes n'ayant pas de cancer de sein, appariées sur l'âge. S'agit-il : A - D'une enquête de cohorte B - D'une enquête de prévalence C - D'une enquête expérimentale D - D'une enquête cas-témoins E - D'une enquête descriptive
96 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : D
Bonne(s) réponse(s) : A B
Il s'agit d'une enquête rétrospective comparant malades (cas) et témoins, pour rechercher un facteur de risque.
A : Microcalcifications groupées en amas : La plupart des petits cancers sont détectés par de petites calcifications< 5mm. Des microcalcifications même groupées ne sont pas toutes malignes. Les microcalcifications malignes sont le plus souvent punctiformes, irrégulières ou vermiculaires. B : Rétraction cutanée en regard de la tumeur et épaississement fréquent.
50 Question à complément simple.
Certains signes radiologiques sont évocateurs d'un cancer du sein. Parmi les suivants, lequel ou lesquels retenez-vous : A - Micro-calcifications groupées en amas B - Epaississement et rétraction cutanés C - Involution graisseuse D - Opacité régulière à limites nettes E - Accentuation diffuse de la trame conjonctive
Un nodule du sein régulier, de 1 cm de diamètre, sans adénopathie satellite découvert chez une femme sans antécédents particuliers 2 ans après la ménopause est le plus probablement : A - Un adénofibrome B - Un kyste C - Une mastose sclérokystique D - Une maladie de Paget E - Un adénocarcinome Bonne(s) réponse(s) : E A - Non : femme jeune. B - Plutôt femme jeune. C - Pas cet aspect. D - Pas cet aspect. E - Le plus probable.
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68 Question à compléments multiples. Le cancer du sein a pour facteur de haut risque : A - L'âge élevé B - La nulliparité C - La ménopause précoce D - Un antécédent familial de cancer du sein E - L'allaitement maternel Bonne(s) réponse(s) : A D A - Non B - Oui, cela multiplie le risque par 3 C - Non, au contraire D - Oui E - Non, au contraire, l'absence d'allaitement est un facteur de risque Une patiente de 54 ans, mère de 3 enfants et ménopausée depuis l'âge de 49 ans, présente une tuméfaction de 4 cm de diamètre au niveau du prolongement axillaire du sein gauche. Cette tuméfaction est libre de toute adhérence profonde ou superficielle et ne s'accompagne d'aucun signe inflammatoire. Il existe une adénopathie axillaire homolatérale suspecte. La mammographie montre une image aux contours spiculés de 3 cm de diamètre. La cytologie par ponction décèle des cellules malignes. Le bilan pré thérapeutique exclut des métastases pleuro-pulmonaires, osseuses ou hépatiques. L'examen anatomo-pathologique extemporané confirme le néoplasme du sein. Une opération de Patey (mammectomie avec curage axillaire) est effectuée. L'examen histologique met en évidence l'envahissement de 10 ganglions sur 16 et établit un score histopronostique de grade III. Enfin les récepteurs hormonaux sont positifs, aussi bien pour l'oestradiol que pour la progestérone. Une chimiothérapie adjuvante est instaurée selon le protocole F.A.C. associée à une hormonothérapie comportant du Novaldex®.
71 Question à complément simple. Quel est l'ordre hiérarchique, en allant du plus grave au moins grave, des trois principaux éléments de pronostic du cancer du sein (T étant la taille de la tumeur, N étant la présence de ganglions et PeV étant la présence de signes inflammatoires) : A - T, N, PeV B - N, T, PeV C - PeV, N, T D - T, PeV, N E - N, PeV, T Bonne(s) réponse(s) : C C - Oui, connaissances.
73 Question à compléments multiples. Cette patiente, ayant été traitée pour un cancer du sein gauche, a un risque élevé de développer un cancer du sein droit. A titre de dépistage, vous lui proposez : A - L'auto-examen B - Une thermographie annuelle C - Une échographie annuelle D - Une mammographie annuelle E - Une cytologie mammaire annuelle Bonne(s) réponse(s) : A D A - Oui, il doit être complété par un examen clinique par le médecin. D - Oui. Met en évidence des lésions infracliniques inférieures à 5 mm. B et C - Sont peu performants.
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98 Question à compléments multiples. La grossesse extra utérine a une fréquence accrue dans la ou les circonstance(s) suivante(s) : A - Antécédent de stérilité B - Antécédent de salpingite C - Antécédent d'avortement spontané D - Contraception par oestro-progestatif normo-dosé E - Contraception par stérilet Bonne(s) réponse(s) : A B E C - Non, aucun rapport. D - Non, ce sont les microdosés. E - Multiplie par 10 le risque de grossesse extra-utérine.
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36 Question à complément simple. Une des complications suivantes ne s'observe jamais dans l'évolution des fibromes utérins: A - Nécrose B - Torsion C - Hémorragies D - Hydronéphrose E - Dégénérescence épithéliomateuse Bonne(s) réponse(s) : E E : La dégénérescence est exceptionnelle, discutée et sarcomateuse.
28 Question à complément simple. Parmi les complications possibles des fibromes sous séreux, indiquer celle qui est la plus fréquente pendant la grossesse ? A - Torsion B - Nécrobiose septique C - Nécrobiose aseptique D - Compression urétérale E - Métrorragies Bonne(s) réponse(s) : C C - Evident.
72 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes concernant les fibromes (myomes) utérins, laquelle retenez-vous ? A - Les fibromes sous séreux peuvent être directement la cause d'avortement spontané B - L'apparition et l'augmentation de volume rapide d'un "fibrome" utérin doit faire évoquer le diagnostic de sarcome C - La nécrobiose septique constitue une complication exceptionnelle des fibromes pédiculés D - Tout fibrome utérin doit bénéficier d'une intervention chirurgicale E - A toute hystérectomie pour fibrome doit être associée une annexectomie Bonne(s) réponse(s) : C A - Pas directement car non intracavitaire. B - Non, dégénérescence discutée. C - Oui, habituellement aseptique. E - Aberrant.
22 Question à complément simple. Quel examen paraclinique permet d'apprécier au mieux les caractères anatomiques des fibromes sous-muqueux ? A - Hystéroscopie B - R.M.N. C - Biopsie de la cavite utérine D - Hystérographie E - Echographie utérine Bonne(s) réponse(s) : D D - Car bombent dans la cavité utérine.
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32 Question à complément simple.
48 Question à complément simple.
Chez une jeune fille de 17 ans, célibataire, de nationalité algérienne, désireuse de subir une interruption volontaire de grossesse, toutes les pièces justificatives suivantes sont nécessaires, sauf une indiquez laquelle ? A - Justification de résidence de 3 mois B - Autorisation écrite des deux parents C - Demande écrite de l'intéressée D - Certificat de consultation médicale E - Attestation nominative de consultation sociale
Au troisième trimestre de la grossesse, l'âge gestationnel peut être donné avec une précision de plus ou moins une semaine par : A - Le rapport L/S dans le liquide amniotique B - Le taux de bilirubine dans le liquide amniotique C - La radiographie du contenu utérin D - L'échographie E - Aucune des propositions ci-dessus Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire B : Faux, l'autorisation écrite d'un seul parent suffit.
66 Question à complément simple. Les mesures suivantes sont indiquées chez une femme diabétique pendant la grossesse, sauf une. Laquelle ? A - Surveillance de l'hémoglobine glycosylée 1 fois par mois B - Poursuite des sulfamides hypoglycémiants C - Régime comportant au moins 150 g d'hydrate de carbone D - Interruption de grossesse vers la 37è semaine si l'équilibre glycémique n'est pas parfait et si le foetus présente à l'échographie une macrosomie E - Insulinothérapie par pompe sous-cutanée éventuelle en cours de grossesse
70 Question à complément simple. Une deuxième geste, césarisée lors de la première grossesse (hystérotomie segmento-corporéale) est adressée en urgence, à 34 semaines d'aménorrhée pour état de choc avec hémorragie peu abondante, noirâtre. L'examen retrouve une TA élevée à 16/10, une contracture utérine et une souffrance foetale aiguë. Ce tableau clinique fait évoquer : A - Un syndrome du sinus marginal B - Une rupture utérine C - Un décollement prématuré du placenta normalement inséré D - Un décollement prématuré du placenta bas inséré E - Un infarctus myométrial Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : B Tableau typique Les antidiabétiques sont proscrits au cours de la grossesse. Les sulfamides passent la barrière placentaire et stimulent la cellule bêta du pancréas foetal.
76 Question à complément simple. 55 Question à compléments multiples. Mme DUPONT a fait une fausse couche à 3 mois pour sa grossesse précédente. Elle a depuis été abandonnée par son "ami". Actuellement elle est célibataire, a déclaré normalement sa grossesse avant 15 semaines, et est enceinte de jumeaux. A - Elle a droit à 6 semaines de congé prénatal B - Elle a droit à 20 semaines de congé post natal C - Elle pourra prétendre à l'allocation parent isolé D - Elle pourra prétendre à une allocation d'éducation spécialisée E - Son emploi reste acquis et son statut professionnel inchangé quand elle reprendra son travail à l'issu de son congé
A propos des liens entre grossesse et pression artérielle, quelle est la proposition fausse ? A - Le volume plasmatique s'accroit au cours de la grossesse normale B - La pression artérielle s'élève au cours de la grossesse normale C - Les résistances périphériques s'abaissent au cours de la grossesse normale D - Il existe une relation statistique entre HTA au cours de la grossesse et trouble de la croissance foetale E - Le régime sans sel n'est pas indiqué dans l'HTA gravidique Bonne(s) réponse(s) : B C'est le contraire, elle a tendance à s'abaisser pour baisse des résistances périphériques et vasodilatation systémiques artérielles.
Bonne(s) réponse(s) : A E B : En cas de naissances multiples le congé post natal est allongé de 2 semaines (soit 12 semaines) D : réservée aux enfants handicapés. C : Non elle peut être accueillie gratuitement dans des maisons maternelles à partir du 7ème mois de grossesse jusqu'à 3 à 6 mois après la naissance.
95 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, citez les facteurs de risque de grossesse extra-utérine: A - Pilule microprogestative B - Antécédent de salpingite C - Antécédent de chirurgie pelvienne D - Kyste de l'ovaire E - Dispositif intra-utérin Bonne(s) réponse(s) : A B E
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A : Par altération de la mobilité tubaire B : Classique C : Non, mais la chirurgie des trompes oui. E : Classique
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51 51 Question à compléments multiples.
31 Question à compléments multiples.
L'interruption de grossesse pour motif thérapeutique : A - Ne peut avoir lieu qu'après examen par deux médecins B - Peut-être effectuée à tout moment de la grossesse C - Peut-être refusée par la patiente D - Peut-être demandée par le conjoint E - Doit avoir lieu avant la 10e semaine de grossesse
Une jeune fille de 16 ans, à la charge des ses parents, vient consulter pour une interruption volontaire de grossesse. Quel(s) est(sont) le(s) document(s) indispensable(s) pour la réalisation de l'interruption ? A - Un certificat médical attestant la grossesse B - Une attestation d'entretien social C - Son propre consentement écrit D - L'autorisation des deux parents E - L'autorisation du Juge des enfants
Bonne(s) réponse(s) : A B C A : L'un exerce dans un établissement hospitalier. L'autre est un inscrit sur la liste des experts près de la cour d'appel ou de cassation. B : Du moment que la grossesse met en péril la santé de la mère ou qu'il existe une forte probabilité que l'enfant naisse avec une affection grave incurable. D et E : Elle peut être demandée par la femme à tout moment de la grossesse.
28 Question à complément simple. Parmi les complications possibles des fibromes sous séreux, indiquer celle qui est la plus fréquente pendant la grossesse ? A - Torsion B - Nécrobiose septique C - Nécrobiose aseptique D - Compression urétérale E - Métrorragies Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : A B C A B C : Documents obligatoires, que la patiente soit mineure ou pas. D : Le consentement de l'un des parents seulement suffit, ou du tuteur légal.
66 Question à compléments multiples. Parmi les principaux traitements de l'hypertension artérielle, lesquels sont utilisables en cours de grossesse ? A - Inhibiteur de l'enzyme de conversion B - Inhibiteurs calciques C - Anti-hypertenseurs centraux D - Diurétiques E - B tabloquants Bonne(s) réponse(s) : C E Sans commentaire.
C - Evident.
57 Question à complément simple. Quel est le médicament psychotrope qui, prescrit pendant la grossesse, expose le plus à une malformation foetale de manière indiscutable ? A - Barbiturique B - I.M.A.O. C - Halopéridol D - Anti-dépresseur tricyclique E - Lithium Bonne(s) réponse(s) : E Avec les barbituriques et les antidépresseurs tricycliques (A et D) le risque tératogène est faible ; c'est pour cette raison qu'un traitement par barbiturique efficace dans une épilepsie, est maintenu pendant la grossesse.
27 Question à complément simple. A cette période de la grossesse : A - Le risque de toxoplasmose congénitale est nul B - Le risque de toxoplasmose congénitale est faible ( < 10%) mais si il y a une atteinte, elle est sévère C - Le risque de toxoplasmose congénitale est faible ( < 10%) et si il y a une atteinte, elle est généralement légère D - Le risque de toxoplasmose congénitale est important (voisin de 80 %) et l'atteinte est sévère E - Le risque de toxoplasmose congénitale est important ( voisin de 80 %) mais l'atteinte est alors légère Bonne(s) réponse(s) : B Connaissance
30 Question à compléments multiples. 98 Question à compléments multiples. La grossesse extra utérine a une fréquence accrue dans la ou les circonstance(s) suivante(s) : A - Antécédent de stérilité B - Antécédent de salpingite C - Antécédent d'avortement spontané D - Contraception par oestro-progestatif normo-dosé E - Contraception par stérilet Bonne(s) réponse(s) : A B E C - Non, aucun rapport. D - Non, ce sont les microdosés. E - Multiplie par 10 le risque de grossesse extra-utérine.
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Si vous laissez se poursuivre la grossesse, quels examens demandez-vous à l'accouchement pour l'enfant ? A - FO B - Echographie transfontanellaire C - Ponction lombaire D - Potentiels évoqués auditifs E - Echocardiogramme Bonne(s) réponse(s) : A B C A : Recherche de choriométimite toxoplasmique B : Montre la dilatation ventriculaire ou les calcifications intracranniènnes C : Doit être faite systématiquement. D : Pas à la naissance car nécessite une participation qui, à cet âge, est plus que limitée... E : Sans signe d'appel.
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66 Question à compléments multiples.
35 Question à complément simple.
A la suite de ce cas index, une épidémie de rubéole se développe dans l'école maternelle que fréquente Cédric. Cinq jeunes femmes du personnel sont enceintes, avec une grossesse de moins de 4 mois. Vous les interrogez sur leurs antécédents (maladies éruptives, vaccinations); vous vous faites apporter le carnet de santé et les résultats des examens sérologiques qu'elles ont subis. En fonction des données suivantes, auxquelles de ces jeunes femmes pouvez-vous garantir qu'elles n'ont aucun risque de rubéole ? A - La sérologie de la première était positive lors du bilan prénuptial il y a un an B - La seconde a été vaccinée contre la rubéole il y a 5 ans C - La troisième apporte un carnet de santé sur lequel est mentionné "rubéole" il y a 20 ans D - La quatrième, qui est entrée dans l'établissement il y a une semaine vient de se faire faire une sérologie : elle est positive avec absence d'IgM E - La cinquième a une sérologie négative : elle n'a jamais été en contact avec Cédric
Vous lui dites qu'il serait mieux d'arrêter le traitement avant la grossesse parce que les benzodiazépines : A - Sont tératogènes dans l'espèce humaine B - Induisent les contractions utérines C - Favorisent l'apparition d'un ictère néonatal D - En fin de grossesse, augmentent le risque de détresse respiratoire chez le nouveau -né E - Modifient la fertilité
Bonne(s) réponse(s) : A D B - Il aurait fallu contrôler la sérologie après vaccination. C - Diagnostic clinique non fiable. E - Mais il y a épidémie et elle a pu l'attraper avec un autre enfant.
72 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : D Si le QCM était à complément multiple, il faudrait songer à retenir A, car les benzodiazépines sont faiblement tératogènes, sans preuve formelle en pratique.
76 Question à compléments multiples. Quelle(s) mesure(s) thérapeutique(s) peu(ven)t être envisagée(s) pour traiter l'hypercalcémie ? (sans tenir compte de la grossesse) A - Diurèse forcée induite par le furosémide + chlorure de sodium B - Diurèse forcée induite par les thiazidiques + chlorure de sodium C - Administration de thyrocalcitonine D - Corticothérapie, prednisone 100 mg/jour E - Résine échangeuse d'ions type Kayexalate® Bonne(s) réponse(s) : A C D
Le tableau d'hypertension sévère au cours de la deuxième grossesse évoque : A - Un décollement prématuré du placenta B - Une incompatibilité rhésus C - Une malformation utérine D - Une toxémie gravidique compliquant une hypertension pré-existante E - Aucune des possibilités ci-dessus
Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D L'hypertension labile puis permanente est responsable des accidents vasculo-renaux des 2 grossesses. Pour parler de toxémie gravidique, il faudrait que l'HTA soit associée à une protéinurie, ce qui est probable car la protéinurie est retrouvée 6 mois après l'accouchement. Une femme de 31 ans consulte pour hypertension artérielle. Celle-ci a d'abord été trouvée au cours de l'adolescence et alors qualifiée de labile. Son père et son grand-père sont hypertendus. Une première grossesse a été marquée par une hypertension modérée au cours du dernier mois traitée par clonidine (Catapressan®). Une deuxième grossesse a dû être interrompue au 6e mois pour hypertension incontrôlée et arrêt de croissance foetale. La patiente est vue six mois après l'intervention. La pression artérielle est en moyenne à 170/110 mmHg. Il existe une discrète hypertrophie ventriculaire gauche, le fond d'oeil est de stade Il. Un premier bilan a apporté les résultats suivants : créatininémie à 100 micromoles/l, potassium 3,9 mmol/l, sodium 138 mmol/l. Dans les urines de 24 heures : sodium 107 mmol, potassium 98 mmol, protéinurie 1,80 g. On sait qu'il n'est pas trouvé de souffle vasculaire et que la taille du rein gauche sur la radiographie simple est réduite de 3 cm dans son grand axe par rapport au droit. Il n'y a pas d'image de calcul. La cytologie urinaire est normale.
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10 10 Question à compléments multiples. Chez une femme à terme, amenée aux urgences pour hémorragies utérines, vous évoquez un hématome rétroplacentaire. Parmi les signes suivants lequel ou lesquels retenez-vous en faveur de cette hypothèse : A - Contracture utérine B - Disparition des bruits du coeur C - Douleur scapulaire D - Albuminurie E - Fièvre Bonne(s) réponse(s) : A B D A : Dans la forme typique B : Argument en faveur C : Pas de signes péritonéaux D : Car souvent 1 HTA gravidique est associée.
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2 Question à complément simple.
82 Question à compléments multiples.
Quel examen radiologique doit être réalisé pour confirmer l'origine réno-vasculaire d'une hypertension artérielle ? A - Echographie abdominale B - Artériographie rénale C - Phlébographie surrénalienne D - Lymphographie E - Scanner abdominal
Parmi les arguments suivants, quels seraient les deux compatibles avec le caractère essentiel d'une hypertension artérielle ? A - Antécédent familial d'hypertension artérielle B - Inversion du rapport sodium/potassium urinaire C - Elévation progressive de la pression artérielle avec l'âge D - Elévation de la concentration intra-érythrocytaire de calcium E - Existence d'une surcharge pondérale associée
Bonne(s) réponse(s) : B Artériographie rénale numérisée : - Par voie veineuse périphérique avec clichés urographiques : examen de dépistage des lésions artérielles rénales. - Par voie artérielle (cathétérisme fémoral selon la méthode de Sedlinger) qui n'est pas un examen anodin mais qui reste la meilleures méthode pour explorer les sténoses artérielles rénales.
93 Question à compléments multiples. A l'examen du fond d'oeil d'un sujet atteint d'hypertension artérielle, quelles sont les lésions que l'on peut retrouver ? A - Des exsudats B - Des nodules dysoriques C - Des signes du croisement artérioveineux D - Des artères rétrécies, rigides E - Des hémorragies Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Les réponses C et D désignent l'atteinte oculaire par athérosclérose. Les réponses A B E désignent la rétinopathie hypertensive avec rupture de la barrière hémato-rétinienne.
92 Question à compléments multiples. La constatation d'une hypertension artérielle gravidique impose les mesures suivantes : A - Recherche au moins mensuelle de la protéinurie B - Dosage au moins mensuel de l'uricémie C - Prescription d'un diurétique thiazidique D - Prescription d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion E - Interruption de toute activité physique importante
Bonne(s) réponse(s) : A E L'HTA essentielle est souvent associée à une obésité, à une notion d'HTA familiale, et la pression artérielle s'élève avec l'âge...
30 Question à complément simple. Parmi les traitements suivants, indiquer celui qui est susceptible de contrôler l'hypertension artérielle avant l'exérèse de la tumeur surrénalienne gauche : A - Dexaméthasone (Decadron®) B - OP'DDD C - 9 alpha fluoro-hydrocortisone (Florinef®) D - Spironolactone (Aldactone®) E - Furosémide (Lasilix®) Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
24 Question à complément simple. Le médicament le plus logique pour traiter l'hypertension artérielle par hyperaldostéronisme primaire est : A - Thiazidique B - Spironolactone C - Béta-bloquants D - Dihydralazine E - Furosémide Bonne(s) réponse(s) : B B : Diurétique antialdostérone.
Bonne(s) réponse(s) : A B A, B : Systématique C, D , E : Aberrant
66 Question à compléments multiples. Parmi les principaux traitements de l'hypertension artérielle, lesquels sont utilisables en cours de grossesse ? A - Inhibiteur de l'enzyme de conversion B - Inhibiteurs calciques C - Anti-hypertenseurs centraux D - Diurétiques E - B tabloquants Bonne(s) réponse(s) : C E
45 Question à complément simple. Le médicament le plus logique pour traiter l'hypertension artérielle par hyperaldostéronisme primaire est : A - Thiazidique B - Spironolactone C - Béta-bloquants D - Dihydralazine E - Furosémide Bonne(s) réponse(s) : B Les diurétiques distaux antagonistes spécifiques de l'aldostérone (spironolactone 100-150 mg/j) ou pseudo antialdostérone (triamterène ou amiloride) mieux tolérés permettent habituellement de controler l'hypokaliémie et l'hypertension artérielle.
Sans commentaire.
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47 Question à complément simple. Devant cette hypertension artérielle votre attitude est la suivante : A - Vous mettez en route un traitement hypertenseur B - Vous commencez un bilan biologique de cette hypertension simultanément à la mise en route d'un traitement C - Vous allez demander à la patiente de revenir en consultation pour une nouvelle prise tensionnelle D - Vous mettez la patiente à un régime sans sel strict E - Vous rassurez la patiente car il s'agit d'une hypertension artérielle labile et dites que vous n'avez pas besoin de la revoir Bonne(s) réponse(s) : C C - L'hypertension artérielle se définie selon l'OMS par une tension systolique supérieure ou égale à 160 et/ou par une tension artérielle diastolique supérieure ou égale à 95, à trois reprises au cours d'au moins deux consultations. Une femme de 28 ans vient consulter pour un renouvellement d'ordonnance d'un contraceptif oral. L'examen clinique note que la pression artérielle est à 170/98. Cette pression artérielle est symétrique aux 2 bras et la fréquence cardique est à 85. L'interrogatoire retrouve un tabagisme à 1/2 paquet/jour. La patiente est tout à fait asymptomatique et le reste de l'examen est normal.
48 Question à compléments multiples. Devant une hypertension artérielle d'un sujet jeune il faut s'attacher à rechercher une hypertension artérielle secondaire. Vous rechercher en particulier : A - Palpation des pouls fémoraux B - Auscultation des artères rénales C - Recherche d'une hypokaliémie D - Recherche de notion de malaises avec sueurs, pâleur, douleurs abdominales E - Notion de consommation de réglisse Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A - Coarctation de l'aorte. B - Sténose d'une artère rénale. C - Hyperaldostéronisme primaire ou secondaire. D - Triade symptomatique : céphalées, sueurs et palpitations du phéochromocytome. E - Intoxication à la glycérrhizine.
51 Question à complément simple. Parmi les thérapeutiques suivantes quelle est celle pouvant convenir au traitement de cette hypertension artérielle si vous décidez de donner un traitement médicamenteux ? A - Bétaxolol (Kerlone®) B - Alpha méthyl dopa (Aldomet®) C - Diltiazem (Tildiem®) D - Dihydralazine (Nepressol®) E - Spironolactone (Aldactone®) Bonne(s) réponse(s) : A A - Hypertension artérielle du sujet jeune.
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89 89 Question à compléments multiples.
Parmi les signes cliniques suivants, quels sont ceux qui sont témoins d'une menace d'accouchement prématuré ? A - Contractions utérines ressenties douloureusement B - Métrorragies C - Douleurs ligamentaires D - Présentation du siège E - Modification du col Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
57 Question à compléments multiples. Les béta-mimétiques utilisés dans la menace d'accouchement sont contre-indiqués en cas de : A - Hydramnios chronique B - Myopie C - Hypéruricémie D - Asthme E - Troubles du rythme cardiaque Bonne(s) réponse(s) : E B - Non, c'est le glaucome. C - Non, c'est l'hypercalcémie D - Non, bien au contraire
12 Question à compléments multiples. Quel est le bilan étiologique à réaliser devant cette menace d'accouchement prématuré ? A - Echographie B - ECBU C - Dosage de l'uricémie D - VS E - Amnioscopie Bonne(s) réponse(s) : A B C E A : Systématique B : Recherche d'infection urinaire C : Recherche de souffrance foetale D : Aucun intérêt. E : Recherche d'une rupture des membranes ou fissuration.
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10 10 Question à compléments multiples. Chez une femme à terme, amenée aux urgences pour hémorragies utérines, vous évoquez un hématome rétroplacentaire. Parmi les signes suivants lequel ou lesquels retenez-vous en faveur de cette hypothèse : A - Contracture utérine B - Disparition des bruits du coeur C - Douleur scapulaire D - Albuminurie E - Fièvre Bonne(s) réponse(s) : A B D A : Dans la forme typique B : Argument en faveur C : Pas de signes péritonéaux D : Car souvent 1 HTA gravidique est associée.
11 Question à complément simple. L'examen macroscopique du placenta permet dès la naissance le diagnostic d'une des cinq infections néonatales suivantes, laquelle ? A - Infection à pneumocoque B - Infection à streptocoque B C - Listériose D - Infection à escherichia coli E - Infection à staphylocoque Bonne(s) réponse(s) : C Microabcès au niveau du placenta.
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8 Question à compléments multiples. Au cours de l'évolution d'une forme grave de maladie des membranes hyalines chez un prématuré né à 28 semaines d'aménorrhée, la radiographie du thorax de face peut vous montrer : A - Un bronchogramme aérien étendu B - Un pneumomédiastin C - Un pneumothorax D - Des bulles d'emphysème interstitiel E - De l'air sous les coupoles diaphragmatiques Bonne(s) réponse(s) : A B C D Connaissances.
89 89 Question à compléments multiples.
Parmi les signes cliniques suivants, quels sont ceux qui sont témoins d'une menace d'accouchement prématuré ? A - Contractions utérines ressenties douloureusement B - Métrorragies C - Douleurs ligamentaires D - Présentation du siège E - Modification du col Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
36 Question à complément simple. Un accouchement prématuré fébrile avec tableau pseudogrippal doit faire suspecter avant tout une des maladies suivantes : Laquelle ? A - La toxoplasmose B - La rubéole C - La listériose D - L'herpès E - La mononucléose infectieuse Bonne(s) réponse(s) : C C - Fièvre et naissance doit faire évoquer une listériose.
12 Question à compléments multiples. Quel est le bilan étiologique à réaliser devant cette menace d'accouchement prématuré ? A - Echographie B - ECBU C - Dosage de l'uricémie D - VS E - Amnioscopie Bonne(s) réponse(s) : A B C E A : Systématique B : Recherche d'infection urinaire C : Recherche de souffrance foetale D : Aucun intérêt. E : Recherche d'une rupture des membranes ou fissuration.
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Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant le cancer de l'endomètre, laquelle ou lesquelles est ou sont vraies? A - Il s'agit le plus souvent d'un cancer épidermoïde B - Il s'agit d'un cancer souvent hormonodépendant C - L'atteinte du col utérin définit le stade II D - La conservation ovarienne est possible chez les femmes non ménopausées E - La curiethérapie vaginale diminue le taux de récidive locale Bonne(s) réponse(s) : C E A : Non, adénocarcinome B : Oui, responsabilité essentielle des Ïstrogènes C : Définit le stade II D : Hystérectomie totale élargie avec lymphadénectomie iliaque externe sont toujours de mise dans les stades chirurgicaux plus ou moins colpectomie E : Curiéthérapie intra-vaginale destinée à réduire le risque de récidive vaginale
Question à complément simple. Parmi les examens suivants, quel est celui qui permet avec le plus de certitude de porter le diagnostic de cancer de l'endomètre? A - Examen clinique B - Frottis endométrial C - Echographie D - Hystérographie E - Curetage biopsique Bonne(s) réponse(s) : E E : Le diagnostic de certitude est toujours histologique. Le curetage biopsique se fait sous anesthésie générale. L'examen est facilité par l'hystéroscopie ou la microhystéroscopie. B : Le frottis ne fournit des arguments diagnostiques que lorsque la cytologie est positive mais ne dispense jamais d'une histologie
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Question à compléments multiples. L'urétrite à Chlamydia trachomatis : A - A une incubation de durée indéterminée B - Donne un écoulement non ou peu purulent C - Se complique parfois d'arthrite et de conjonctivite D - Est d'observation exceptionnelle E - Se traite par bêta-lactamines Bonne(s) réponse(s) : B C A : L'incubation au cours de l'uréthrite à Chlamydia est relativement longue, de l'ordre de 15 à 21 jours B : Chez l'homme, l'uréthrite est subaiguë dans 70 % des cas, associant bržlures mictionnelles modérées et urines claires, écoulement uréthral peu abondant et séreux, simple "goutte matinale" ; l'uréthrite est aiguë dans 10 % des cas, avec écoulement abondant purulent et bržlures mictionnelles vives C : Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter ou syndrome uréthroconjonctivo-synovial, est une complication possible de l'uréthrite à Chlamydia, le plus souvent chez l'adulte jeune (90 % des cas) avec groupe HLA B27 D : Les infections uro-génitales à Chlamydia représentent les maladies sexuellement transmissibles les plus fréquentes E : Le traitement de choix repose sur les cyclines per os, par exemple doxycycline (Vibramycine®) : 200 mg/jour pendant 15 jours ou sur les macrolides (Spiramycine®)
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3 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les étiologies possibles de l'hémorragie de la délivrance? A - Atonie utérine B - Rétention placentaire C - Déchirure vaginale D - Insertion fundique du placenta E - Toxémie gravidique Bonne(s) réponse(s) : A B C Sans commentaire.
5 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant la délivrance, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? A - La délivrance naturelle doit se faire au maximum dans les 15 minutes après l'expulsion du fÏtus B - La révision utérine est contre-indiquée chez une femme qui a déjà eu une césarienne C - La découverte d'un placenta découronné à l'examen impose une révision utérine D - En l'absence de décollement placentaire dans un délai normal après l'expulsion du fÏtus, il faut faire une traction sur le cordon E - Il n'y a jamais de contraction utérine lors de la délivrance Bonne(s) réponse(s) : C A : Non, le délai physiologique maximal est de 30 minutes B : Non, au contraire, la révision utérine est réalisée pour vérifier l'intégrité de la cicatrice C : Il s'agit d'une désinsertion entre les membranes et le bord placentaire
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3 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les étiologies possibles de l'hémorragie de la délivrance? A - Atonie utérine B - Rétention placentaire C - Déchirure vaginale D - Insertion fundique du placenta E - Toxémie gravidique Bonne(s) réponse(s) : A B C Sans commentaire.
5 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant la délivrance, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? A - La délivrance naturelle doit se faire au maximum dans les 15 minutes après l'expulsion du fÏtus B - La révision utérine est contre-indiquée chez une femme qui a déjà eu une césarienne C - La découverte d'un placenta découronné à l'examen impose une révision utérine D - En l'absence de décollement placentaire dans un délai normal après l'expulsion du fÏtus, il faut faire une traction sur le cordon E - Il n'y a jamais de contraction utérine lors de la délivrance Bonne(s) réponse(s) : C A : Non, le délai physiologique maximal est de 30 minutes B : Non, au contraire, la révision utérine est réalisée pour vérifier l'intégrité de la cicatrice C : Il s'agit d'une désinsertion entre les membranes et le bord placentaire
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Question à compléments multiples. Quelles sont les méthodes utiles dans le dépistage des cancers du sein? A - Examen clinique B - Mammographie C - Thermographie D - Echographie E - Immuno-scintigraphie Bonne(s) réponse(s) : A B D A : Sensibilité = 70 % et spécificité = 80 %. VPP = 97 % Limites : cancer < 1 cm notamment. B : Diagnostic exact dans 85 à 90 % des cas. Limites liées à la qualité de l'examen et la compétence du médecin. C : Valeur diagnostique limitée D : Valeur diagnostique liée à la taille de la tumeur. Dans les T > 2 cm, valeur comparable à la mammographie.
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94 Question à compléments multiples.
94 Question à compléments multiples.
Le traitement d'un diabète au cours d'une grossesse est incompatible avec la ou les propositions suivantes. Indiquez laquelle ou lesquelles :
A propos de l'interruption volontaire de grossesse (IVG), il est exact que :
A - Apport glucidique réduit B - Traitement par un biguanide C - Trois injections quotidiennes d'insuline D - Traitement par une sulfonylurée E - Insulinothérapie par pompe portable Bonne(s) réponse(s) : B D
A - L'IVG est pratiquée à la demande du médecin traitant B - L'IVG doit être impérativement réalisée avant la 10e semaine de gestation C - L'IVG est réalisée par une sage-femme D - L'IVG peut être réalisée à domicile E - Sous certaines conditions, l'IVG peut être réalisée sur une mineure Bonne(s) réponse(s) : B E
Sans commentaire.
20 Question à complément simple. La plus fréquente des complications d'un fibrome au cours de la grossesse est : A - Dégénérescence Ïdémateuse B - Dégénérescence sarcomateuse C - Nécrobiose aseptique D - Nécrobiose septique E - Calcification Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
33 Question à complément simple. Parmi les propositions suivantes concernant la grossesse extra-utérine, laquelle est fausse? A - Elle survient plus souvent chez une femme traitée pour stérilité tubaire B - Elle est favorisée par la prise de pilules contraceptives estro-progestatives C - Une échographie pelvienne normale ne suffit pas à éliminer le diagnostic D - Un taux plasmatique d'H.C.G. bêta inférieur à 5 UI est suffisant pour éliminer le diagnostic de grossesse extrautérine évolutive E - Ce sont les grossesses tubaires isthmiques qui exposent le plus au risque de rupture cataclysmique Bonne(s) réponse(s) : B B : Non, la grossesse extra-utérine est favorisée par la prise de pilule progestative micro-dosée
A : Non. L'interruption volontaire de grossesse est pratiquée à la demande de la patiente. B : Connaissances C : Non, elle doit être réalisée par un médecin D : Non, elle doit être réalisée dans un établissement public ou privé agréé E : Oui, le consentement de l'un des parents est exigé. Le consentement de la mineure célibataire doit être donné en dehors de la présence des parents.
69 Question à compléments multiples. Une interruption volontaire de grossesse peut légalement être pratiquée : A - Dans une clinique privée, par un gynécologue B - Dans une maternité, par une sage femme C - Dans un hôpital, par un médecin généraliste D - Dans un cabinet en ville, par un gynécologue E - A domicile, par un médecin généraliste Bonne(s) réponse(s) : A C A : oui, la clinique doit être agréée B : non, seul un médecin peut pratiquer l'interruption volontaire de grossesse C : oui. Tout médecin, à l'hôpital, peut pratiquer une interruption volontaire de grossesse. D, E : non, elle doit être pratiquée dans un établissement hospitalier public ou privé agréé
11 Question à compléments multiples. Quels sont les examens souhaitables à recommander dans les 15 premières semaines de grossesse? A - Sérologie de la syphilis B - Sérologies de la toxoplasmose et de la rubéole en l'absence de preuve d'immunisation C - Sérologie VIH D - Glycosurie, albuminurie E - Groupage A, B, O, Rhésus Bonne(s) réponse(s) : A B D E A, B, D, E : Sont obligatoires. C : Est recommandé, mais nécessite l'accord de la patiente.
Mademoiselle L..., âgée de 23 ans, nullipare, vient vous consulter parce qu'elle présente un retard de règles de 8 semaines et croit être enceinte. Vous confirmez le diagnostic de grossesse. Votre patiente n'a pas eu d'examen de santé depuis deux ans.
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13 Question à compléments multiples. Votre patiente vous interroge sur les risques pour l'enfant d'une contamination par le toxoplasme pendant la grossesse. Quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s)? A - L'atteinte embryonnaire est rare au cours du premier trimestre B - L'atteinte de l'enfant est particulièrement grave en fin de grossesse C - L'infection fÏtale est le plus souvent bénigne en fin de grossesse D - Les lésions oculaires sont systématiques en cas de contamination précoce E - Le traitement de la mère par la spiramycine supprime tout risque pour l'enfant Bonne(s) réponse(s) : A C Le traitement par spiramycine (E) diminue seulement le passage transplacentaire du parasite.
14 Question à complément simple. Vous faites pratiquer tous les mois un sérodiagnostic de la toxoplasmose. L'examen pratiqué à la 20e semaine de grossesse est positif. Le taux des anticorps et la date de la dernière sérologie négative vous permettent de dater la contamination à la 13e semaine de grossesse. Quelle attitude thérapeutique adopter? A - Abstension thérapeutique B - Spiramycine C - Pyriméthamine D - Sulfadoxine-pyriméthamine E - Sulfaméthoxazole-triméthoprime Bonne(s) réponse(s) : B Q.C.M. ambiguë : le traitement doit associer, en cas de contamination prouvée (amniocentèse et ponction de sang fÏtal), pyriméthamine et sulfadiazine. En l'absence d'atteinte fÏtale, seul le traitement par spiramycine (B) est justifié. Ce traitement sera mis en route d'emblée, en attendant les résultats des examens plus poussés.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Parmi les signes cliniques suivants, indiquez ceux que l'on peut observer au cours d'une hypertension artérielle maligne :
L'hypertension artérielle pulmonaire en cas de bronchite chronique peut être la conséquence de :
A - Douleurs lombaires B - Décollement du vitré C - Oedème papillaire D - Hémorragies rétiniennes E - Hyphéma
A - L'obstruction bronchique B - La vasoconstriction artérielle pulmonaire C - L'insuffisance ventriculaire droite D - La polyglobulie E - L'hypercapnie
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) : B D
A : On peut observer des douleurs lombaires en particulier dans les crises catécholergiques (phéochromocytome) ou lorsque la crise hypertensive se complique de dissection aortique ou de rupture d'un anévrysme de l'aorte abdominal préexistant B : Une hypertension artérielle maligne compliquée de rétinopathie Ïdémateuse peut être à l'origine d'un décollement de rétine
L'hypoxémie est responsable d'une vasoconstriction artérielle pulmonaire. Elle est également responsable d'une polyglobulie. Cette polyglobulie favoriserait des thromboses in situ, qui aggraveraient l'hypertension artérielle pulmonaire.
Question à compléments multiples. Question à compléments multiples. L'hypertension artérielle associée à une hypokaliémie doit faire rechercher : A - Un hyperaldostéronisme primaire B - Une sténose de l'artère rénale C - Une intoxication par la réglisse D - La prise d'un diurétique thiazidique E - Un phéochromocytome Bonne(s) réponse(s) : A B C D - hyperaldostéronisme primaire (rénine basse, aldostérone élevée) : * adénome corticosurrénalien (syndrome de Conn) * hyperplasie bilatérale des surrénales - hyperaldostéronisme secondaire (rénine élevée, aldostérone élevée) : * H.T.A. traitée par diurétiques hypokaliémiants * H.T.A. maligne * sténose ou occlusion d'une artère rénale - hyperminéralocorticisme sans hyperaldostéronisme (rénine basse, aldostérone basse) : * abus de réglisse (pastis sans alcool, antésite...) * excès de désoxycorticostérone ou d'autres minéralocorticoïdes : déficits enzymatiques surrénaliens congénitaux, certains syndromes de Cushing par cancer surrénalien
Quel(s) produit(s) peut-on utiliser pour traiter son hypertension artérielle? A - Bêtabloquants B - Vasodilatateurs C - Antialdostérones D - Thiazidiques E - Antihypertenseurs d'action centrale Bonne(s) réponse(s) : A B E Les antialdostérones sont formellement contre-indiquées en cas d'insuffisance rénale organique, car ils risquent d'induire une hyperkaliémie majeure. Les thiazidiques sont inefficaces à ce stade d'insuffisance rénale. Les antihypertenseurs d'action centrale sont moins efficaces et ont plus d'effets secondaires mais peuvent être employés.
Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant l'hypertension artérielle maligne, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s)? A - Le fond d'Ïil montre des exsudats et des hémorragies B - Il peut exister une anémie hémolytique C - La prise de contraceptifs oraux peut déclencher l'affection D - L'altération de la fonction rénale est définitive E - Il peut exister une hypovolémie Bonne(s) réponse(s) : A B C E D : Si la crise se prolonge, les lésions secondaires à la nécrose artériolaire fibrinoïde et à l'ischémie aiguë entraînent une atrophie rénale rapidement progressive et une détérioration foudroyante de la fonction rénale E : Les diurétiques de l'anse ne seront prescrits qu'en cas d'inflation hydrosodée manifeste (Ïdème pulmonaire aigu...)
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19 Question à complément simple. L'examen macroscopique du placenta permet dès la naissance le diagnostic d'une des cinq infections néonatales suivantes. Laquelle? A - Infection à pneumocoque B - Infection à streptocoque B C - Listériose D - Infection à Escherichia coli E - Mononucléose Bonne(s) réponse(s) : C Existence de micro-abcès sur la surface placentaire.
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19 Question à compléments multiples. Parmi les cinq items suivants, quels sont les deux facteurs de risque les plus importants d'accouchement prématuré? A - Milieu défavorisé B - Nulliparité C - Grossesse multiple D - Antécédent de 2 enfants nés prématurément E - Age maternel entre 35 et 40 ans Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire.
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Question à complément simple. Quel est le type histologique le plus fréquemment rencontré dans le cancer de l'endomètre? A - Adéno-acanthome B - Carcinome épidermoïde C - Carcinome mixte D - Adénocarcinome E - Adénocarcinome à cellules claires Bonne(s) réponse(s) : D Connaissance.
Question à compléments multiples. Madame R., 50 ans, consulte pour des métrorragies. Quel(s) élément(s) vous fait (font) dire qu'elle est à haut risque de cancer de l'endomètre? A - Elle n'est pas ménopausée B - Elle n'a pas eu d'enfants, ayant été traitée sans succès pour stérilité C - Elle pèse 70 kg pour 1m50 D - Sa pression artérielle est de 170/100 mmHg E - Elle prend des progestatifs depuis plusieurs mois pour régulariser son cycle Bonne(s) réponse(s) : B C D A : Non, c'est la ménopause tardive (> 53 ans) qui est facteur de risque B : Hyperoestrogénie relative C : L'obésité est un facteur de risque D : HTA est un facteur de risque E : Plutôt protecteur
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65 Question à compléments multiples. Le cancer du col utérin : A - Est le plus souvent un adénocarcinome B - Reconnaît dans sa pathogénie une association avec certaines infections virales C - Dissémine surtout par voie veineuse D - Est plus fréquent en cas de niveau socio-économique bas E - Est plus fréquent chez les multipares Bonne(s) réponse(s) : B D E A : Non, le plus souvent épidermoïde B : Oui (papilloma virus 16-18) C : Non surtout, extension locorégionale et lymphatique D : C'est un facteur de risque E : C'est un facteur de risque à partir de 5 enfants
29 Question à complément simple. Quel examen doit-on faire pour confirmer l'hypothèse d'un cancer du colon? A - ƒchographie pelvienne B - Coloscopie avec biopsie C - Lavement baryté en double contraste D - Scanner abdominal E - Toucher rectal Bonne(s) réponse(s) : B Seul examen permettant de faire le diagnostic de certitude car permettant un examen anatomopathologique sur les biopsies.
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53 Question à compléments multiples. Dans un cancer du sein (quadrant supéro-externe) T1 NO : A - La tumeur mesure au maximum 5 cm dans sa plus grande dimension B - La tumeur mesure au maximum 2 cm dans sa plus grande dimension C - La tumeur mesure au maximum 1 cm dans sa plus grande dimension D - Il n'existe pas de ganglions axillaires homolatéraux palpables E - Il existe des ganglions homolatéraux fixés et envahis Bonne(s) réponse(s) : B D T1 : tumeur ² 2 cm T2 : tumeur > 2 cm et ² 5 cm T3 : tumeur > 5 cm T4 : extension à la peau et/ou paroi thoracique quelque soit la taille de la tumeur N1 : ganglions axillaires homolatéraux MOBILES N2 : ganglions axillaires homolatéraux FIXƒS N3 : ganglions mammaires internes HOMOLATƒRAUX M1 : métastase à distance y compris les ganglions sus-claviculaires et les ganglions mammaires internes controlatéraux
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Question à compléments multiples. Parmi ces affirmations sur les infections à Chlamydiae, vous retenez : A - Chlamydia trachomatis est un agent intracellulaire obligatoire B - 20 à 50 % des sujets sont porteurs d'anticorps antichlamydiae C - Chlamydia peut infecter toutes les muqueuses D - Les salpingites aiguës sont toujours bruyantes E - Chlamydia est résistant aux tétracyclines Bonne(s) réponse(s) : A B C C : Conjonctivites à inclusion. E : Les cyclines constituent le traitement de choix.
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97 Question à compléments multiples. La contraception par oestroprogestatifs est souhaitable en raison de son effet thérapeutique associé sur : A - Les mastodynies B - L'endométriose C - L'hyperandrogénie d'origine ovarienne D - La nécrobiose des fibromes E - L'hyperprolactinémie Bonne(s) réponse(s) : C Exemple de la pilule DIANE. B : Non, progestatif seul.
51 Question à compléments multiples. Après un accident de la voie publique, elle a présenté plusieurs crises convulsives. Sa contraception par Minidril® n'est pas remise en cause. Quels traitements anticonvulsivants peuvent interférer avec celle-ci en l'inactivant? A - Valproate de sodium (Dépakine®) B - Phénobarbital (Gardénal®) C - Phénytoïne (Dihydan®) D - Carbamazépine (Tégrétol®) E - Diazepam (Valium®) Bonne(s) réponse(s) : B C D A savoir (Vidal) = médicaments inducteurs enzymatiques.
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Question à compléments multiples. Dans un cancer du sein (quadrant supéro-externe) T1 NO : A - La tumeur mesure au maximum 5 cm dans sa plus grande dimension B - La tumeur mesure au maximum 2 cm dans sa plus grande dimension C - La tumeur mesure au maximum 1 cm dans sa plus grande dimension D - Il n'existe pas de ganglions axillaires homolatéraux palpables E - Il existe des ganglions homolatéraux fixés et envahis Bonne(s) réponse(s) : B D T1 : tumeur ² 2 cm T2 : tumeur > 2 cm et ² 5 cm T3 : tumeur > 5 cm T4 : extension à la peau et/ou paroi thoracique quelque soit la taille de la tumeur N1 : ganglions axillaires homolatéraux MOBILES N2 : ganglions axillaires homolatéraux FIXƒS N3 : ganglions mammaires internes HOMOLATƒRAUX M1 : métastase à distance y compris les ganglions sus-claviculaires et les ganglions mammaires internes controlatéraux
Question à compléments multiples. En cas d'allaitement maternel, la survenue d'un abcès du sein : A - Nécessite l'arrêt de l'allaitement B - Se traite par antibiothérapie C - Contre-indique l'allaitement lors d'une grossesse ultérieure D - Doit être incisé et évacué E - Est souvent secondaire à la survenue de crevasses Bonne(s) réponse(s) : A B D E Contrairement à la lymphangite, il faut arrêter l'allaitement. L'évacuation de l'abcès est nécessaire comme dans tout abcès collecté ; ainsi que le traitement de la porte d'entrée (crevasses).
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Question à compléments multiples. Quelles sont les complications possibles des fibromes utérins? A - Anémie ferriprive B - Nécrobiose aseptique C - Torsion d'un fibrome pédiculé D - Compression urétérale E - Dégénérescence sarcomateuse Bonne(s) réponse(s) : A B C D E A : Par saignement chronique B : Surtout pendant la grossesse, le traitement est d'abord médical associant repos, antalgiques, antibiothérapie, anti-inflammatoires stéroïdiens ; puis secondairement, traitement chirurgical (en dehors de la grossesse) E : Possible mais rare et même discuté pour certains
Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) caractérise(nt) un fibrome utérin? A - Se manifeste le plus souvent par des dysménorrhées B - Est souvent associé à une dysménorrhée tardive C - Est parfois visible sur l'ASP D - A un risque de dégénérescence quasi nul E - Nécessite toujours une hystérectomie Bonne(s) réponse(s) : C D A, B : Les fibromes sont responsables de ménorragies et non pas de règles douloureuses B : Se voit dans l'endométriose C : Calcification possible D : Dégénérescence sarcomateuse (et pas épithéliomateuse) E : Le traitement varie de l'abstention thérapeutique à l'hystérectomie totale en fonction de : l'âge, les caractères du fibrome, le terrain, les complications éventuelles
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20 Question à complément simple. Un test immunologique dépistant des quantités de bêta-HCG de l'ordre de la milliunité-internationale par ml de sang permet le diagnostic de grossesse au plus tôt : A - Après un seul jour de retard des règles B - Au 10 ème jour du cycle C - Dès la fécondation D - Au 12ème jour post-ovulatoire E - Après 8 jours de retard de règles Bonne(s) réponse(s) : D QCM : 3/89/I bHCG se positive au 12ème jour post-ovulatoire. Son taux double tous les 2 jours pour devenir maximum vers la 10ème semaine d'aménorrhée. En conséquence, le diagnostic peut être porté avant un retard des règles.
60 Question à compléments multiples. Les pyélonéphrites aiguës au cours de la grossesse : A - Sont toujours en rapport avec une infection vaginale B - Sont le plus souvent droites C - Sont un facteur d'éclampsie D - Sont un facteur d'accouchement prématuré E - Peuvent se compliquer d'hépatite infectieuse Bonne(s) réponse(s) : B D Sans commentaire.
68 Question à compléments multiples. Quelles sont, parmi les suivantes, les complications qui peuvent se rencontrer lors d'une grossesse chez une femme diabétique? A - Hydramnios B - Toxémie gravidique C - Souffrance foetale chronique D - Infection urinaire E - Macrosomie Bonne(s) réponse(s) : A B C D E Il s'agit d'une grossesse à risque qui devrait être programmée avec contrôle strict de la glycémie avant même la conception : seule l'insuline est autorisée pendant la grossesse. Une surveillance obstétricale et endocrinologique stricte est nécessaire.
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Question à compléments multiples. Dans le traitement de l'hypertension artérielle essentielle, les diurétiques thiazidiques : A - Peuvent être associés entre eux avec effet synergique B - Sont tous hypokaliémiants C - Sont recommandés en association avec d'autres antihypertenseurs D - Sont particulièrement efficaces en cas d'insuffisance rénale associée E - Peuvent être indiqués en première intention Bonne(s) réponse(s) : B C E A : Peuvent être associés à des diurétiques épargneurs de potassium
Question à compléments multiples. L'hypertension artérielle réno-vasculaire répond à certaines de ces propositions, lesquelles? A - Elle peut se compliquer d'HTA accélérée B - Elle peut s'accompagner d'hypokaliémie C - Elle peut s'accompagner d'un souffle abdominal D - Son diagnostic peut être évoqué à l'urographie intraveineuse E - Après 50 ans, elle se rencontre surtout chez la femme Bonne(s) réponse(s) : A B C D B : Association très fréquente (hypersécrétion de rénine et d'aldostérone). C : Traduction clinique de la sténose vasculaire. D : Les signes UIV évocateurs sont : 1) Diminution de la taille du rein, 2) Retard d'apparition du néphrogramme sur les clichés précoces, 3) Hyperconcentration unilatérale sur les clichés à 10 - 15 mn (aspect de trop belle image), 4) Retard d'évacuation du produit de contraste.
Question à compléments multiples. Dans un programme de dépistage de l'hypertension artérielle, on hésite entre deux seuils de "normalité" pour la minima tensionnelle : 90 mmHg (test A) et 100 mmHg (test B). On peut prévoir que : A - Le test A sera plus sensible que le test B B - Le test A sera plus spécifique que le test B C - Le nombre de faux positifs sera plus grand avec le test A qu'avec le test B D - Le nombre de faux négatifs sera plus grand avec le test A qu'avec le test B E - On ne peut rien prédire, puisqu'on ne connaît pas la prévalence de l'hypertension dans la population soumise au dépistage Bonne(s) réponse(s) : A C La sensibilité et la spécificité sont inversement proportionnelles : Sensibilité = Nombre de Vrais Positifs/Vrais Positifs + Faux Négatifs. Spécificité = Vrais Négatifs/Vrais Négatifs + Faux Positifs.
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19 Question à compléments multiples. Parmi les cinq items suivants, quels sont les deux facteurs de risque les plus importants d'accouchement prématuré? A - Milieu défavorisé B - Nulliparité C - Grossesse multiple D - Antécédent de 2 enfants nés prématurément E - Age maternel entre 35 et 40 ans Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire.
7 Question à complément simple. A la suite d'une chute de cheval, une jeune femme présente un traumatisme crânio-facial sans perte de connaissance avec impact au niveau du menton. L'examen neurologique est normal. On trouve une limitation d'ouverture buccale et un trouble d'articulé dentaire avec contact molaire prématuré droit. De quelle fracture peut-il s'agir? A - Fracture de l'apophyse coronoïde de la mandibule B - Fracture de l'arcade zygomatique C - Fracture de l'étage antérieur de la base du crâne D - Fracture mandibulaire de la région symphysaire E - Fracture du condyle mandibulaire droit Bonne(s) réponse(s) : E Déjà tombé en IR : 7/88 Devant l'impact au niveau du menton, il faut rechercher systématiquement une fracture condylienne et une fracture symphysaire ou parasymphysaire. Mais le trouble de l'articulé et le contact molaire prématuré évoquent la fracture condylienne.
27 Question à complément simple. Un nouveau-né prématuré est défini par : A - Poids de naissance inférieur à 2 kg B - Taille inférieure à 40 cm C - Age gestationnel inférieur à 37 semaines D - Poids de naissance inférieur au 3ème percentile E - Aucune des propositions précédentes Bonne(s) réponse(s) : C Enfant né entre la date de viabilité légale (180ème jour de gestation) et inférieure à 36 semaines de gestation révolues (ou inférieure à la 37ème semaine de gestation). Nota : son poids est généralement inférieur à 2 200 g.
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Question à compléments multiples. Le cancer de l'endomètre frappe plus volontiers : A - La femme en période d'activité génitale B - Les multipares C - Les femmes obèses D - Les femmes ayant pour unique traitement substitutif de la ménopause des oestrogènes E - Les femmes ayant eu leur ménopause avant 50 ans Bonne(s) réponse(s) : C D Sans commentaire.
Question à complément simple. Le diagnostic du cancer de l'endomètre est posé avec le plus de certitude grâce à : A - L'examen clinique B - L'échographie C - Le curetage biopsique D - L'hystérographie E - La cytologie intra-utérine Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
Question à complément simple. Dans un cancer de l'endomètre avec métastases, les meilleurs résultats sont généralement obtenus avec : A - La cis-platinum B - L'acétate de médroxyprogestérone C - L'adriamycine D - L'endoxan E - Le tamoxifène Bonne(s) réponse(s) : B Outre l'association radio-chirurgicale, le traitement des formes étendues fait appel à l'hormonothérapie (progestatifs à fortes doses).
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28 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes concernant les contraceptifs oraux, laquelle (lesquelles) est (sont) vraie(s)? A - Prescription de 3 mois avec une ordonnance renouvelable B - Peuvent être distribués gratuitement dans les Centres de Planification et d'ƒducation Familiale C - Leur prescription et leur délivrance aux mineures nécessite l'autorisation parentale D - Remboursés à 100% E - Disponibles dans certaines grandes surfaces Bonne(s) réponse(s) : A C Sans commentaire.
15 Question à complément simple. Face à une hémoptysie chez une jeune femme fumeuse prenant un contraceptif oestrogénique, vous devez évoquez prioritairement : A - Carcinoïde bronchique B - Tuberculose pulmonaire C - Maladie bronchectasiante D - Embolie pulmonaire E - Bronchite aiguë Bonne(s) réponse(s) : D Car c'est le diagnostic qui impose une attitude thérapeutique d'urgence et car le terrain est évocateur.
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79 Question à complément simple.
40 Question à compléments multiples.
La grossesse contre-indique :
Devant une hémorragie du 3ème trimestre de la grossesse, choisir parmi les propositions suivantes celle(s) qui est (sont) compatible(s) avec le diagnostic de placenta praevia :
A - Le vaccin antitétanique B - La vaccination antirabique C - La vaccination antirubéoleuse D - La vaccination antigrippale E - La vaccination antiméningococcique Bonne(s) réponse(s) : C Les seuls vaccins contre-indiqués sont les vaccins à virus vivant (ROR*, BCG, Fièvre jaune, Polio buvable).
A - Antécédent du myomectomie B - Fibrinogène à 0,9 g/l C - Uricémie à 511 mmol/l D - Absence de protéinurie E - Utérus contracté par intermittence Bonne(s) réponse(s) : A D E B et C seraient évocateurs d'un décollement placentaire, de même qu'une protéinurie ou une contracture utérine permanente.
18 Question à complément simple. Parmi les signes cliniques ci-dessous, quel est celui qui ne fait pas partie du tableau de l'inondation par rupture cataclysmique de grossesse ectopique? A - Douleurs scapulaires B - Douleur hypogastrique brutale C - Tachycardie D - Contracture abdominale E - Douleur du cul de sac de Douglas Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
44 Question à complément simple. L'examen de certitude en matière de grossesse extra-utérine avant rupture est : A - L'échographie B - La coelioscopie C - L'hystéroscopie D - La colposcopie E - La radiographie
16 Question à compléments multiples. Le diagnostic d'herpès génital étant fait, cette femme se trouve enceinte A trois mois de grossesse, elle a une nouvelle récidive d'herpès génital au niveau de la petite lèvre Vous préconisez : A - De rechercher l'HSV dans le liquide amniotique B - De rechercher des IgM spécifiques d'HSV dans le sang foetal, à partir de la 22ème semaine C - De traiter cette femme au Zovirax® par voie orale durant deux semaines D - D'envisager une IVG. en raison du risque d'embryofoetopathie herpétique E - De ne prendre aucune de ces mesures Bonne(s) réponse(s) : E Le risque d'embryopathie herpétique par contamination in utero est exceptionnel en cas de récidive herpétique génitale. Par contre, ce risque existe lors d'une primo-infection herpétique génitale. Le Zovirax® est un médicament sans pouvoir tératogène chez l'animal. Cependant, il n'a pas l'A.M.M. chez la femme enceinte. Sa prescription sera faite en fonction de la balance bénéfice/risque.
Bonne(s) réponse(s) : B Sans commentaire.
11 Question à compléments multiples. La transfusion sanguine antérieure à la grossesse chez la femme jeune peut entraîner des complications gravidiques qu'il faut rechercher ; quelles sont les complications? A - Une immunisation dans les sous-groupes rhésus, même chez la femme du groupe D B - Une immunisation dans un barème rare de groupe sanguin C - Une infection par le (VIH) virus de l'immunodéficience humaine D - Une infestation du fÏtus par le trichomonas E - Une infection par le virus de l'hépatite C Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
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Question à complément simple. Dans l'hypertension artérielle, quel est le signe observé au niveau du fond d'oeil, qui objective une évolution "maligne"? A - Des signes de croisements artério-veineux B - Des artères de calibre réduit C - Des hémorragies rétiniennes ponctiformes D - Un oedème de la pupille optique E - Aucune de ces propositions Bonne(s) réponse(s) : D La rétinopathie hypertensive est révélatrice d'une rupture de la barrière hémato-rétinienne et survient lorsque les mécanismes d'autorégulations de la tension artérielle sont dépassés. Au fond d'Ïil on note : des hémorragies rétiniennes, des nodules cotonneux, des exsudats secs et dans la forme maligne, un Ïdème papillaire (le pronostic vital est en jeu).
Question à complément simple. Chez une fillette vous découvrez à l'occasion d'infections urinaires récidivantes, une hypertension artérielle modérée ; l'urographie intraveineuse montre que certains calices affleurent la périphérie des deux reins, aux deux pôles supérieurs. Parmi les examens suivants, indiquez celui qui est indispensable pour le diagnostic étiologique: A - Une échotomographie rénale B - Une artériographie rénale C - Une cystographie rétrograde D - Une biopsie rénale E - Une scintigraphie rénale Bonne(s) réponse(s) : C Le tableau est évocateur de pyélonéphrite chronique. La recherche d'un reflux vésico urétéral par cystographie rétrograde est indispensable pour orienter la stratégie thérapeutique (médicale et éventuellement chirurgicale).
Question à compléments multiples. Dans le contexte d'une rétinopathie diabétique proliférante, I'existence d'une hypertension artérielle : A - Est négligeable B - Est indispensable au déclenchement de l'hémorragie intra-vitréenne C - Constitue un facteur aggravant essentiel D - Constitue une priorité thérapeutique avant toute action chirurgicale sur le vitré E - Peut être à l'origine d'une oblitération vasculaire rétinienne associée Bonne(s) réponse(s) : D E Sans commentaire.
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40 Question à compléments multiples. Devant une hémorragie du 3ème trimestre de la grossesse, choisir parmi les propositions suivantes celle(s) qui est (sont) compatible(s) avec le diagnostic de placenta praevia : A - Antécédent du myomectomie B - Fibrinogène à 0,9 g/l C - Uricémie à 511 mmol/l D - Absence de protéinurie E - Utérus contracté par intermittence Bonne(s) réponse(s) : A D E B et C seraient évocateurs d'un décollement placentaire, de même qu'une protéinurie ou une contracture utérine permanente.
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40 Question à compléments multiples. Devant une hémorragie du 3ème trimestre de la grossesse, choisir parmi les propositions suivantes celle(s) qui est (sont) compatible(s) avec le diagnostic de placenta praevia : A - Antécédent du myomectomie B - Fibrinogène à 0,9 g/l C - Uricémie à 511 mmol/l D - Absence de protéinurie E - Utérus contracté par intermittence Bonne(s) réponse(s) : A D E B et C seraient évocateurs d'un décollement placentaire, de même qu'une protéinurie ou une contracture utérine permanente.
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42 Question à complément simple. Le contact molaire unilatéral prématuré est le signe d'une fracture : A - De la symphyse mandibulaire B - Du malaire C - Du coroné D - Du temporal E - De la branche montante mandibulaire Bonne(s) réponse(s) : E Il s'agit d'une fracture de la portion postérieure de la mandibule. Si elle est déplacée, il y a latérodéviation et contact molaire prématuré du côté fracturé. La fracture symphysaire entraîne une béance antérieure, sans contact molaire prématuré. Les autres fractures ne sont pas responsables de trouble de l'occlusion.
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4 Question à compléments multiples.
36 Question à complément simple.
Un patient consulte pour un syndrome appendiculaire subaigu. A l'examen abdominal, vous ne trouvez pas des signes physiques aussi nets que vous étiez en droit d'attendre ; vous hésitez, mais le patient est obèse et l'examen difficile. Vous retenez parmi les propositions suivantes : A - L'absence de défense de la fosse iliaque droite infirme le diagnostic évoqué B - La langue très saburrale est un signe reconnu d'orientation C - Un nombre normal de globules blancs mais avec une lymphocytose confirme le diagnostic D - En l'absence d'urgence, un lavement baryté apporte des informations utiles pour confirmer l'atteinte appendiculaire E - Une fébricule à 38° C incite a prescrire le repos et un traitement antibiotique quelques jours
Huit jours après appendicectomie, le patient se plaint de dysurie, de pollakiurie, d'un ralentissement du transit qui avait repris au 3ème jour post-opératoire. On note l'apparition de glaires rectales, la température est à 38°9C, la numération dénombre 20 000 G.B./mm3 dont 90% de polynucléaires neutrophiles. Quel diagnostic évoquez-vous en premier lieu ? A - Abcès de la paroi B - Fistule caecale C - Hémopéritoine D - Abcès du Douglas E - Abcès méso-coeliaque Bonne(s) réponse(s) : D La fièvre et l'hyperleucocytose suggèrent un processus infectieux. L'apparition de glaires rectales et les signes urinaires évoquent une infection.
Bonne(s) réponse(s) : B D A - L'absence de parallélisme anatomo-clinique est classique en matière d'appendicite aiguë.
56 Question à compléments multiples. Dans le cas d'une appendicite aiguë, en position iliaque, de l'adolescent : A - La bradycardie, quand elle existe, est un bon signe d'orientation diagnostique B - La douleur au début peut être épigastrique C - Les nausées ou les vomissements sont des symptômes souvent retrouvés D - La langue saburrale est un bon élément diagnostique E - Les signes locaux d'examen sont, dans la majorité des cas, péri-ombilicaux Bonne(s) réponse(s) : B C D Evident.
102 Question à compléments multiples. Devant une péritonite aiguë généralisée, on retiendra en faveur de son origine appendiculaire (non ectopique) : A - Les antécédents de crise douloureuse de la fosse iliaque droite B - Une douleur au toucher rectal C - Existence de fièvre au début D - Le début des signes au niveau de la fosse iliaque droite E - L'existence d'une défense de l'hypochondre droit Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'item B est discutable car la douleur au toucher rectal est en faveur d'une péritonite et non de son étiologie...
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73 Question à compléments multiples. Parmi les propositions suivantes relatives au diagnostic des appendicites aiguës, citez celle(s) qui est (sont) exacte(s) : A - L'appendicite mésocoeliaque peut simuler une salpingite aiguë B - L'appendicite pelvienne peut être révélée par des signes urinaires C - La défense de la fosse iliaque droite est un signe clinique essentiel D - Le toucher rectal est toujours douloureux E - Il existe souvent une hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles sur la numération formule sanguine Bonne(s) réponse(s) : B C E L'appendicite méso-coeliaque se révèle habituellement par une occlusion fébrile avec douleur provoquée proche de l'ombilic. L'appendicite pelvienne peut être révélée par des signes urinaires et/ou simuler une salpingite aiguë notamment. Le toucher rectal n'est pas douloureux près d'une fois sur deux, mais il est indispensable à l'examen clinique.
68 Question à compléments multiples. Parmi les complications précoces (inférieures à 6 jours) qui peuvent suivre une appendicectomie, citez celle(s) qui est(sont) exacte(s) : A - Occlusion sur bride B - Péritonite post-opératoire C - Ileus paralytique D - Eventration sur la cicatrice E - Abcès de paroi Bonne(s) réponse(s) : B C D E L'occlusion sur bride est une complication tardive.
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101 Question à compléments multiples.
46 Question à compléments multiples.
Parmi les différentes formes topographiques d'appendicite, on peut retrouver : A - Rétro-coecale B - Sous-hépatique C - Intra herniaire D - Méso-coeliaque E - Pelvienne
Le plastron appendiculaire : A - Est une péritonite localisée B - Est dû à une agglutination d'anses intestinales et d'épiploon autour de l'appendice C - Est souvent favorisé par les antibiotiques D - Se traduit par une masse de la fosse iliaque droite E - Nécessite une intervention chirurgicale d'urgence
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D
La forme la plus fréquente n'est pas mentionnée ; c'est la forme latérocaecale gauche.
Une intervention urgente n'est pas indispensable ; les patients porteurs d'un plastron appendiculaires sont volontiers opérés après traitement médical antibiotique intensif.
112 Question à compléments multiples.
11 Question à compléments multiples.
L'appendicite aiguë d'un adulte jeune, indemne d'autre pathologie, peut se révéler par : A - Une occlusion intestinale B - Une dysphagie intermittente C - Une péritonite D - Des vomissements E - Une septicémie à Gram Bonne(s) réponse(s) : A C D
Quels sont les 2 signes les plus spécifiques du diagnostic d'appendicite aiguë ? A - Ballonnement B - Défense de la fosse iliaque droite C - Nausées D - Douleur à droite au toucher rectal E - Pouls accéléré Bonne(s) réponse(s) : B D
Une septicémie à Gram - peut être un mode révélateur d'une appendicite aiguë chez un sujet débilité ou sous corticothérapie.
98 Question à compléments multiples. Une appendicite, sans préjuger de sa forme anatomoclinique, opérée par une incision de Mac Burney, chez un adulte jeune indemne de toute autre pathologie peut se compliquer : A - D'un abcès de paroi B - D'une éviscération C - D'une éventration D - D'une fistule caecale E - D'une fistule du grêle
B - Prédominant point de Mac Burney. Un adolescent de 17 ans, sans antécédent, est hospitalisé pour syndrome abdominal aigu douloureux. A 9 h du matin, il a présenté une douleur épigastrique vive avec malaise et nausées. Après une accalmie de quelques heures, la douleur s'est localisée dans la fosse iliaque droite. La température est à 38°C, le pouls à 110, la tension artérielle à 110 maxima. Le malade se plaint de nausées, ballonnement, arrêt des gaz. A l'examen, on retrouve une douleur de la fosse iliaque droite et un psoïtis : il y a une défense au niveau de la fosse iliaque droite ; le toucher rectal est douloureux à droite. Le reste de l'abdomen est souple, la matité hépatique est conservée, les fosses lombaires sont libres. La radiographie de l'abdomen sans préparation est normale. Biologie : GR 4 800 000 - GB 14 500 - PN 83 %. Culot urinaire normal.
Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
13 Question à complément simple.
B, C, D, E - Complications exceptionnelles.
65 Question à compléments multiples. Parmi les affirmations suivantes concernant l'appendicite aiguë en position habituelle citer celle(s) qui est (sont) exacte(s) : A - Le début de la symptomatologie peut être épigastrique B - Le diagnostic d'appendicite aiguë est clinique C - L'hyperleucocytose est peu fréquente D - Le toucher rectal est toujours douloureux E - La défense de la fosse iliaque droite confirme le diagnostic
Parmi les éléments suivants, lequel est spécifique du diagnostic d'appendicite aiguë rétro-coecale ? A - Fièvre à 38,5°C B - Ballonnement C - Psoïtis D - Défense du flanc droit E - Pouls à 110 Bonne(s) réponse(s) : C (Connaissance non commentée)
Bonne(s) réponse(s) : A B E A - Possible, mais peu fréquent. D - Le T.R est souvent douloureux à droite.
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14 Question à compléments multiples. En cas de septicémie d'origine appendiculaire, quels sont les 2 germes le plus souvent rencontrés aux hémocultures ? A - Staphylocoque doré B - Salmonelle C - Streptocoque bêta hémolytique D - Escherichia coli E - Bactéroïdes fragilis Bonne(s) réponse(s) : D E D - La flore aérobie est dominée par E.coli. E - Bacteroide fragilis est un anaérobie non sporulé responsable d'état septicémique et de suppuration.
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55 Question à complément simple.
42 Question à compléments multiples.
Huit jours après appendicectomie, le patient se plaint de dysurie, de pollakiurie, d'un ralentissement du transit qui avait repris au 3e jour post-opératoire. On note l'apparition de glaires rectales, la température est à 38,9°C, la numération dénombre 20 000 GB/mm3 dont 90% de polynucléaires neutrophiles. Quel diagnostic évoquez-vous en premier lieu?
Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui correspond(ent) à l'attitude à avoir chez l'enfant devant un syndrome appendiculaire cliniquement douteux :
A - Abcès de paroi B - Fistule cæcale C - Hémopéritoine D - Abcès du Douglas E - Abcès méso-cÏliaque
A - Réalisation de clichés d'abdomen sans préparation B - Examens cliniques répétés dans les heures qui suivent C - Indication opératoire de principe car manque de parallélisme anatomo-clinique D - Mise en observation en milieu chirurgical E - Réalisation d'un lavement baryté Bonne(s) réponse(s) : A B D Logique. Bon sens médical !
Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
1 Question à compléments multiples. 67 Question à compléments multiples.
Les signes typiques d'une péritonite appendiculaire comportent :
Les manifestations habituelles d'une appendicite en position pelvienne comportent : A - Une rétention aiguë d'urines B - Un abcès du cul-de-sac de Douglas C - Un psoïtis D - Une douleur précise au toucher rectal E - Une pneumaturie
A - Contracture généralisée abdominale B - Début et prédominance des signes à droite C - Douleur au TR D - Niveaux hydroaériques centraux E - Syndrome infectieux majeur Bonne(s) réponse(s) : A B C E Sans commentaire.
Bonne(s) réponse(s) : D B : Survient en cas de péritonite C : Se rencontre dans l'appendicite retro-cæcale E : La pneumaturie se voit en cas de fistulisation dans la vessie d'un segment du tube digestif mais pas l'appendice
73 Question à compléments multiples. Parmi les complications précoces (inférieures à 6 jours) qui peuvent suivre une appendicectomie, citer celle(s) qui est (sont) exacte(s) : A - Occlusion sur bride B - Péritonite post-opératoire C - Iléus paralytique D - Eventration sur la cicatrice E - Abcès de paroi
Une jeune fille de 15 ans, sans antécédent particulier, est hospitalisée en urgence à 18 h. Le tableau initial dans la matinée était marqué par des douleurs de la fosse iliaque droite avec malaise, nausée et fièvre à 37,8°C. Après une accalmie de quelques heures, sont progressivement apparues des douleurs abdominales diffuses et des vomissements avec arrêt du transit. L'examen de l'abdomen montre une contracture abdominale diffuse prédominant dans la fosse iliaque droite. La température est à 39,8°C ; il y a une leucocytose à 23 700 globules blancs. L'abdomen sans préparation debout de face met en évidence des niveaux hydroaériques centraux multiples.
4 Question à compléments multiples. Quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes s'applique(nt) au traitement chirurgical des péritonites appendiculaires?
Bonne(s) réponse(s) : B C E A : L'occlusion sur bride survient plus tardivement C : L'iléus paralytique est banal après toute intervention abdominale
A - Appendicectomie de principe B - Intervention d'urgence C - Laparotomie médiane sus ombilicale D - Toilette péritonéale E - Entérostomie de vidange Bonne(s) réponse(s) : A B D La toilette péritonéale est indispensable au traitement de la péritonite. La laparotomie est habituellement sous ombilicale.
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5 Question à compléments multiples. Quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes s'applique(nt) à l'antibiothérapie des péritonites appendiculaires? A - Hémocultures avant l'antibiothérapie B - Examen bactériologique aéro et anaérobie du liquide péritonéal au cours de la laparotomie C - Antibiothérapie dirigée contre les streptocoques D et les serratia D - Antibiothérapie à large spectre incluant le métronidazole (Flagyl®) E - Démarrage de l'antibiothérapie avant la laparotomie Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
6 Question à compléments multiples. Quelles sont, parmi les suivantes, les trois complications les plus fréquentes après chirurgie pour péritonite appendiculaire? A - Fistule du grêle B - Abcès du Douglas C - Occlusion post-opératoire D - Hémorragie digestive E - Suppuration pariétale Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire.
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16 Question à compléments multiples. Dans la péritonite appendiculaire généralisée d'emblée par perforation : A - L'état général est altéré B - La température est à 38°5 ou plus C - L abdomen respire normalement D - La contracture est permanente, invincible E - Le toucher rectal est indolore Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
72 Question à compléments multiples. En faveur de l'origine appendiculaire d'une péritonite, vous retenez : A - L'âge jeune B - L'existence d'un pyrosis C - L'absence de pneumopéritoine D - L'irradiation vers la base thoracique droite de la douleur E - Le début des signes dans la FID Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire.
73 Question à compléments multiples. Retenez parmi les signes cliniques suivants ceux habituellement rencontrés dans l'appendicite aiguë de l'enfant âgé de 5 à 10 ans : A - Douleur de la fosse iliaque droite B - Fièvre C - Nausées ou vomissements D- Diarrhée E - Défense à la palpation de la fosse iliaque droite Bonne(s) réponse(s) : A B C E Les vomissements sont présents dans 2/3 des cas, la fièvre est modérée. La diarrhée est plutôt l'appenage des appendicites du nourrisson.
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Question à complément simple. Quel est le critère le plus précis pour apprécier l'importance d'une hémorragie digestive haute aiguë? A - L'hématocrite B - Le volume de sang aspiré par la sonde gastrique C - Le nombre d'unités de sang et de soluté perfusés pour le maintien hémodynamique D - La baisse de la pression artérielle E - La pression veineuse centrale initiale Bonne(s) réponse(s) : C Sans commentaire.
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63 Question à complément simple.
58 Question à complément simple.
Pour le diagnostic étiologique d'une hémorragie digestive haute, quel examen vous paraît le plus performant : A - Le transit oesogastroduodénal B - L'angiographie digitalisée C - L'artériographie sélective coeliomésentérique D - L'angiographie couplée à la tomodensitométrie E - L'endoscopie
Indiquez le diagnostic étiologique le plus vraisemblable de cette hémorragie digestive d'après les données de l'anamnèse, de l'interrogatoire et de l'examen : A - Cancer gastrique B - Hypertension portale C - Ulcère gastroduodénal D - Gastrite hémorragique E - Syndrome de Mallory-Weiss
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : B Evident. Chez ce patient éthylique chronique, une cirrhose est probable : hépatomégalie ferme, circulation veineuse collatérale. La cause principale d'hématémèse chez le cirrhotique est la rupture de varices oesophagiennes. Il n'en demeure pas moins qu'une hémorragie d'un ulcère gastroduodénal est possible ; seule une endoscopie haute permettra d'établir avec certitude l'origine de l'hémorragie.
78 Question à compléments multiples. Parmi les médicaments suivants, citez celui ou ceux pouvant favoriser d'une hémorragie digestive chez un malade ayant un ulcère duodénal : A - Glafénine B - Aspirine C - Paracétamol D - Anti-inflammatoire non stéroïdien E - Gardénal Bonne(s) réponse(s) : B D Les mécanismes de la toxicité gastrique de l'aspirine et des AINS sont multiples. Ils inhibent la synthèse locale de prostaglandines, d'où hypersécrétion acide et hypoxie relative sensibilisant la barrière gastrique à cette agression.
Un homme de 55 ans, éthylique chronique, présente brutalement à 16 heures, un vomissement de sang rouge mêlé de débris alimentaires. Cet épisode se répète à 16h15 et à 17h. Le médecin, appelé d'urgence, constate une pâleur des téguments et des muqueuses, des sueurs, une tachycardie à 120. La TA est à 90/60 mmHg. A l'arrivée à l'hôpital, l'interne de garde constate une hépatomégalie ferme, non douloureuse, débordant le rebord costal de 5 cm, une circulation collatérale abdominale. Il n'y a pas de matité dans les flancs ni de splénomégalie. A l'interrogatoire, on ne retrouve aucun antécédent digestif. Le malade est placé d'urgence en réanimation chirurgicale. Vers 21h l'hémorragie digestive se reproduit, le malade émet un méléna. Les premiers examens de laboratoire montrent un hématocrite à 24 %, une hémoglobine à 7 g pour 100, un taux de prothrombine à 35 %.
58 Question à compléments multiples. 59 Question à complément simple. Parmi les situations cliniques suivantes, indiquez celle qui contre-indique la réalisation d'une fibroscopie gastrique, devant une hémorragie digestive : A - Thrombopénie isolée à 60 plaquettes par mm3 B - Infarctus du myocarde ancien de 6 mois et stabilisé C - Existence d'un pneumopéritoine à la radiographie de l'abdomen sans préparation D - Notion d'une ingestion récente (moins de 12 h) de caustique E - Hémorragie digestive bien compensée Bonne(s) réponse(s) : C L'existence d'un pneumopéritoine, témoignant d'une perforation digestive dans la cavité péritonéale, est une contre-indication à la fibroscopie gastrique en raison des risques d'aggravation de la perforation liés à l'insufflation d'air par le fibroscope.
En cours d'hospitalisation le malade fait une hématémèse. Celle-ci est suivie de coma avec astérixis, rigidité extrapyramidale, foetor hepaticus, respiration calme sans pause. En dehors de l'hémorragie digestive quelle est ou quelles sont les autres causes déclenchantes d'une telle encéphalopathie chez un cirrhotique ? A - Insuffisance rénale B - Hépatite alcoolique aiguë C - Réime hypoprotidique D - Prescription de Valium® E - Anastomose porto-cave Bonne(s) réponse(s) : B D E Les autres causes déclenchantes (en dehors de l'hémorragie digestive) sont : les infections, les déosrdres hydro-électrolytiques provoqués par les diurétiques. Lorsqu'aucun facteur déclenchant n'a pu être mis en évidence, le pronostic est sombre.
37 Question à complément simple. Quel est le critère le plus précis pour apprécier l'importance de la perte sanguine au cours d'une hémorragie digestive haute aiguë ? A - L'hématocrite B - Le volume de sang aspiré par la sonde gastrique C - Le nombre d'unités de sang et de soluté perfusées pour le maintien hémodynamique D - La baisse de la pression artérielle E - Les signes cliniques : pâleur, soif Bonne(s) réponse(s) : C C'est le critère essentiel, utilisé pour poser l'indication opératoire.
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22 Question à complément simple.
43 Question à complément simple.
Un appendice montre histologiquement des plages de nécrose étendue, des images de thrombose vasculaire, un infiltrat inflammatoire peu important. Il s'agit : A - D'un appendice normal B - D'une appendicite catarrhale C - D'une gangrène appendiculaire D - D'un abcès appendiculaire E - D'une endo-appendicite subaiguë
Parmi les signes suivants, indiquez celui qui est toujours absent dans la péritonite généralisée d'origine appendiculaire : A - Les douleurs abdominales B - La contracture C - La fièvre D - Un syndrome occlusif E - Un pneumopéritoine
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : E
B : L'appendice serait congestive. C : Oui, du fait de la nécrose. D : Non, il y aurait du pus (polynucléaires altérés).
Sans commentaire.
54 Question à complément simple.
86 86 Question à compléments multiples.
Sur une radiographie simple de l'abdomen prise en position debout chez un enfant de 10 ans suspect d'appendicite aiguë, quelle est, parmi les anomalies suivantes, celle qui évoque le plus spécifiquement ce diagnostic ? A - Une image de pneumopéritoine B - Une image d'épanchement liquidien intra-péritonéal C - Une distension aérique des anses grêles et du côlon D - Une image d'occlusion du grêle E - Une image de fécalithe dans la fosse iliaque droite
Une péritonite appendiculaire impose : A - Intervention chirurgicale en urgence B - Prélèvement de pus à visée bactériologique C - Toilette péritonéale D - Vidange rétrograde du grêle E - Résection iléo-caecale Bonne(s) réponse(s) : A B C La vidange rétrograde du grêle est indiquée dans les occlusions du grêle, en particulier en cas de distension intestinale importante.
Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
35 Question à complément simple. Un appendice tuméfié à sa partie distale montre une destruction de la partie interne de la paroi avec de nombreux polynucléaires altérés à l'histologie. Quel diagnostic vous convient ? A - Appendicite subaiguë B - Appendicite catarrale C - Abcès appendiculaire D - Appendicite chronique oblitérante E - Gangrène appendiculaire Bonne(s) réponse(s) : C A B - L'appendice serait congestif C - Oui, les polynucléaires altérés forment le pus E - Il s'agit d'une nécrose qui peut être localisée ou diffuse
39 Question à complément simple. Une HTA essentielle est mise en évidence chez un homme de 40 ans qui présente comme antécédents un asthme, une hernie inguinale droite opérée et une appendicectomie. Son bilan biologique est le suivant : créatinine 100 micromoles, cholestérol 8,5 mmol/l, uricémie 550 micromoles/l, urée 4 mmol/l, glycémie 5 mmol/l, potassium 4 mmol/l, natrémie 139 mmol/l. Quel traitement antihypertenseur de première intention prescrivez-vous ? A - B ta-bloquant B - Diurétique thiazidique C - Furosémide D - Inhibiteur des canaux calciques E - Népressol Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE
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Question à complément simple. Deux mois après le début de votre traitement, votre malade présente un mælena en rapport avec un ulcère de l'estomac méconnu. Vous êtes obligé de changer de thérapeutique au profit de la ticlopidine (Ticlid®). Quel examen de laboratoire vous paraît nécessaire pour surveiller la tolérance de ce médicament? A - Numération des plaquettes B - Hémogramme C - Temps de Quick D - Temps de céphaline activée E - Glycémie Bonne(s) réponse(s) : A NFS avant le traitement puis tous les 15 jours pendant 3 mois en raison du risque d'agranulocytose.
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Question à complément simple. Le cancer de l'oesophage thoracique est le plus souvent : A - Un adénocarcinome B - Un épithélioma glandulaire C - Un sarcome D - Un carcinome épidermoïde E - Un lymphome Bonne(s) réponse(s) : C ƒvident (QCM : 2/86/I - 5/87/I - 5/89/I) Carcinome épidermoïde Prédomine : . Lèvre . Cavité buccale . Pharynx/Larynx . Oesophage
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102 Question à compléments multiples.
67 Question à compléments multiples.
La ou les lésions de l'oesophage qui nécessite(nt) une surveillance endoscopique au long cours est ou sont : A - Les diverticules épibronchiques B - L'oesophagite par reflux avec endobrachy-oesophage C - L'achalasie (mégaoesophage) D - Les sténoses caustiques E - L'oesophagite mycosique
Le cancer de l'oesophage : A - Touche préférentiellement la femme jeune B - Est responsable d'une dysphagie paradoxale C - Histologiquement, est habituellement un carcinome épidermoïde D - Nécessite une fibroscopie oesophagienne pour son diagnostic positif E - Peut être révélé par une adénopathie de Troisier
Bonne(s) réponse(s) : B C D
Bonne(s) réponse(s) : C D E Ces lésions exposent à un risque de dégénérescence, peut être liée à la survenue de dysplasie épithéliale sévère.
Le cancer de l'oesophage touche surtout l'homme alcoolo-tabagique.
113 Question à compléments groupés.
54 Question à compléments multiples.
Un aspect radiologique de dilatation de l'oesophage peut être observé au cours : 1 - D'un cancer du cardia 2 - D'un cancer du tiers inférieur de l'oesophage 3 - D'une maladie de Chagas 4 - D'une maladie des spasmes diffus de l'oesophage Compléments corrects : 1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E
Parmi les propositions suivantes quelle(s) est(sont) celle(s) qui représente(nt) un risque particulier de cancer de l'oesophage ? A - L'oesophagite peptique par reflux B - Les tumeurs bénignes de l'oesophage C - L'alcoolo-tabagisme D - Le cancer du pharynx E - L'ulcère du collet d'une hernie hiatale
Bonne(s) réponse(s) : A
Bonne(s) réponse(s) : A C D
3 - Trypanosomiase Sud-Américaine, la maladie de Chagas entraîne une destruction du système nerveux intrinsèque de l'oesophage aboutissant à une achalasie, source de stase puis de dilatation.
La question est mal posée car les réponses mélangent une lésion susceptible de se cancériser (l'oesophagite), des facteurs carcinogènes (alcoolo-tabagisme) et une association pathologique fréquente (cancer du pharynx).
58 Question à compléments multiples.
91 Question à complément simple.
Laquelle (ou lesquelles) des propositions suivantes s'applique(nt) au cancer épidermoïde de l'oesophage ? A - Il s'associe assez souvent à un autre cancer de localisation stomatologique ou ORL B - Les cancers du tiers moyen de l'oesophage sont de traitement chirurgical plus difficile que ceux du tiers inférieur C - La survenue d'une dysphonie doit faire craindre un envahissement du nerf récurrent droit D - Le taux de survie à 5 ans après exérèse présumée radicale est de l'ordre de 5 à 10% E - Un pyrosis s'associe habituellement à la dysphagie Bonne(s) réponse(s) : A B D Association d'un cancer ORL dans 15% des cas environ. B - En raison du croisement de l'aorte et de l'oesophage C - C'est le gauche et non le droit D - Plus d'1/3 des patients ont une contre indication opératoire.
72 Question à complément simple. Le cancer de l'oesophage est le plus souvent : A - Un épithélioma cylindrique B - Un sarcome C - Un épithélioma colloïde D - Un épithélioma malpighien E - Un adénocarcinome
Parmi les facteurs suivants, tous sont susceptibles de favoriser l'apparition d'un cancer de l'oesophage sauf un. Lequel ? A - Oesophagite peptique B - Sténose caustique de l'oesophage C - Mycose aérophagienne oesophagienne D - Dysphagie sidéropénique E - Intoxication alcoolo-tabagique Bonne(s) réponse(s) : C La dysphagie sidéropénique ou syndrome de Plummer-Vinson est rare en France. Un haut risque de survenue de cancers du tractus digestif supérieur y est associé.
103 Question à compléments groupés. Le cancer du tiers moyen de l'oesophage : 1 - Est dans la plupart des cas un épithélioma cylindrique 2 - Est sensible à la radiothérapie 3 - Est la conséquence directe d'une hernie hiatale 4 - Est susceptible de métastaser au niveau des ganglions coeliaques Compléments corrects :1,2,3=A 1,3=B 2,4=C 4=D 1,2,3,4=E Bonne(s) réponse(s) : B
Bonne(s) réponse(s) : D Au niveau du 1/3 inférieur de l'oesophage, on peut avoir un adénocarcinome.
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Il s'agit d'un carcinome épidermoïde. La question est ambiguë car la sensibilité à la radiothérapie n'est pas nulle. Toutefois, la radiothérapie seule n'est pas habituelle.
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11 Question à complément simple.
61 Question à compléments multiples.
Quelle est la tumeur la plus fréquente du 1/3 inférieur de l'oesophage ? A - Léiomyome B - Angiome C - Epithélioma malpighien D - Epithélioma glandulaire E - Schwannome
Dans le cancer de l'oesophage, la radiothérapie est contreindiquée en cas de : A - Nécrose tumorale B - Localisation au tiers moyen C - Dysphagie totale D - Fistule oeso-bronchique E - Association à un cancer ORL
Bonne(s) réponse(s) : C
Bonne(s) réponse(s) : D
Quelque soit le niveau de l'oesophage, la tumeur la plus fréquente est l'épithélioma malpighien.
D - La radiothérapie comporterait des risques d'aggravation d'une fistule oeso-bronchique.
33 Question à compléments multiples.
66 Question à compléments multiples.
Pour traiter un cancer épidermoïde du 1/3 moyen de l'oesophage, vous pouvez proposer : A - Gastrectomie polaire supérieure B - Oesophagectomie segmentaire C - Oesophagectomie totale avec gastroplastie D - Oesophagectomie totale avec coloplastie E - Oesophagectomie totale et gastrectomie totale
Citer la ou les thérapeutiques utilisées dans le traitement de l'achalasie de l'oesophage (méga-oesophage idiopathique) : A - La vagotomie tronculaire + pyloroplastie B - La gastrectomie pôlaire supérieure C - La myotomie extramuqueuse de Heller D - Les dilatations pneumatiques E - Une fundoplicature de l'oesophage
Bonne(s) réponse(s) : C D
Bonne(s) réponse(s) : C D
Une oesophagectomie partielle avec gastrectomie polaire supérieure peut également être proposée.
C et D sont en compétition ; les dilatations pneumatiques ont volontiers la préférence de la plupart des équipes dans le traitement, au moins initial, du mégaoesophage idiopathique.
66 Question à complément simple.
89 Question à compléments multiples.
Parmi les propositions suivantes concernant le traitement du mégaoesophage idiopathique, quelle est celle qui est exacte ? A - Oesophagoplastie B - Oesogastrectomie polaire supérieure C - Oesophagectomie totale D - Cardiomyotomie extra-muqueuse E - Cardiomyotomie séreuse Bonne(s) réponse(s) : D
A propos de l'achalasie de l'oesophage, il est exact que : A - La dysphagie est généralement d'apparition progressive B - La dysphagie est parfois douloureuse C - La dysphagie est souvent paradoxale D - Les hémorragies hautes sont abondantes et fréquentes E - La sténose est irrégulière, décentrée et siège au niveau du tiers moyen Bonne(s) réponse(s) : B C
Le traitement du mégaoesophage idiopathique ou achalasie oesophagienne est au mieux réalisé par l'oesocardiomyotomie de Heller qui concerne les 2 couches musculaires de l'oesophage et respecte la sous muqueuse et la muqueuse. Une autre possibilité thérapeutique est réalisée par les dilatations endoscopiques.
Voir commentaires de la question n° 48.
87 Question à compléments multiples. 13 Question à compléments multiples. Le traitement du mégaoesophage idiopathique fait appel à l'intervention Heller, qui consiste en : A - Gastrotomie avec dilatation oesophagienne per opératoire B - Oeso-myotomie avec vagotomie tronculaire C - Résection oeso-gastrique D - Oeso-cardio-myotomie extra-muqueuse E - Oeso-cardio-gastrotomie Bonne(s) réponse(s) : D On dispose de deux méthodes de traitement du mégaoesophage idiopathique : la myotomie de Heller et les dilatations pneumatiques ou hydrostatiques du cardia. Les résultats à long terme de la myotomie de Heller sont bons dans la très grande majorité des cas. L'inconvénient majeur de cette technique est l'oesophagite post-opératoire ; c'est pourquoi une intervention antireflux est volontiers associée à ce geste.
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Un endo-brachy-oesophage est un oesophage : A - Dont le cardia anatomique et le cardia muqueux ne coïncident pas B - Dont la longueur est globalement raccourcie C - Dont la partie terminale de la muqueuse est le siège de remaniements inflammatoires superficiels D - Dont la muqueuse normale dans ses derniers centimètres est remplacée par une muqueuse gastrique E - Dont le calibre est diminué Bonne(s) réponse(s) : A D Le terme de d'endobrachyoesophage ( ou oesophage de Barett) est employé pour désigner un état dans lequel la muqueuse tapissant la partie inférieure de l'oesophage est cylindrique de type cardial, conséquence d'une métaplasie liée à un reflux gastro-oesophagien.
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17 Question à compléments multiples.
77 Question à compléments multiples.
Selon les cas, le cancer de l'oesophage peut être traité par : A - Dilatation endoscopique B - Exérèse chirurgicale C - Radiothérapie externe D - Pose d'une prothèse endoluminale E - Exérèse curative par voie endoscopique
Un endobrachyoesophage peut venir compliquer un reflux gastro-oesophagien. Cochez la(les) proposition(s) exactes concernant cette complication : A - Il est constitué par un raccourcissement congénital de l'oesophage B - Il favorise l'apparition d'un carcinome épidermoïde au niveau du bas oesophage C - Le transit baryté oesophagien permet le diagnostic d'endobrachyoesophage D - La muqueuse du bas oesophage est remplacée par une muqueuse glandulaire de type gastrique E - Il favorise l'apparition d'un adénocarcinome au niveau du bas oesophage.
Bonne(s) réponse(s) : B C D Manquent dans la grille de réponse comme thérapeutiques possibles : - le laser, pour vaporiser la tumeur (palliatif), - la chimiothérapie, utilisant le cisplatine (+ 5FU ou vindésine bléomycine) qui, associée à la radiothérapie externe, augmente le taux de résécabilité de la tumeur.
Bonne(s) réponse(s) : D E
16 Question à compléments multiples.
Une surveillance endoscopique s'impose avec biopsies.
Indiquer la ou les proposition(s) exacte(s) concernant le cancer de l'oesophage : A - Entraîne la mort à 5 ans de plus de 80 % des malades B - Est associé à l'alcoolisme et au tabagisme C - La radiographie est l'examen le plus sensible D - La radiothérapie est un des traitements E - Est rarement un adénocarcinome
60 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A B D E A - Survie globale à 5 ans de l'ordre de 5 %. C - La fibroscopie oesophagienne est l'examen de détection le plus sensible. D - L'exérèse à visée curative n'est réalisable que dans 10 % des cas...Ce taux pourrait être augmenté par une radio-chimiothérapie préopératoire. E - 95 % : épidermoïde, 5 % : adénocarcinome.
Le principal mécanisme antireflux est constitué par le sphincter inférieur de l'oesophage (SIO). Chez le sujet normal, cochez la(les) proposition(s) exacte(s) concernant ce sphincter : A - Le SIO se relâche à la déglutition B - Le SIO a une pression de 1 à 5 cm d'eau C - Le SIO est constitué par un anneau musculaire palpable D - La pression du SIO augmente après injection de gastrine E - Le SIO subit des influences médicamenteuses Bonne(s) réponse(s) : A D E (Idem 59).
113 Question à compléments multiples. La dysphagie du cancer de l'oesophage : A - Témoigne d'une extension médiastinale B - Est d'abord marquée pour les aliments solides C - Apparaît dès le début de la croissance tumorale D - Est d'évolution capricieuse E - Est palliée par des traitements non chirurgicaux Bonne(s) réponse(s) : B La dysphagie du cancer de l'oesophage est habituellement marquée pour les solides, d'évolution progressive, d'apparition récente. En fait, tout signe d'appel oesophagien peut révéler un cancer.
74 Question à compléments multiples.
62 Question à compléments multiples. Un endobrachyoesophage peut venir compliquer un reflux gastro-oesophagien. Cochez la(les) proposition(s) exacte(s) concernant cette complication : A - Il est constitué par un raccourcissement congénital de l'oesophage B - Il favorise l'apparition d'un carcinome épidermoïde au niveau du bas oesophage C - Le transit baryté oesophagien permet le diagnostic d'endobrachyoesophage D - La muqueuse du bas oesophage est remplacée par une muqueuse glandulaire de type gastrique E - Le cardia anatomique et le cardia muqueux ne sont pas situés au même niveau Bonne(s) réponse(s) : D E
Le principal mécanisme antireflux est constitué par le sphincter inférieur de l'oesophage (SIO) Chez le sujet normal, cochez la(les) proposition(s) exacte(s) concernant ce sphincter : A - Le SIO se relâche à la déglutition B - Le SIO a une pression constante de 1 à 5 cm d'eau C - Le SIO est constitué par un anneau musculaire palpable D - La pression du SIO augmente après injection de gastrine E - Le SIO subit des influences médicamenteuses
L'endobrachyoesophage est une lésion acquise secondaire à la cicatrisation d'une oesophagite ulcérée. Cette cicatrisation se fait par extension de la muqueuse gastrique qui remplace la muqueuse oesophagienne détruite. Le diagnostic est endoscopique avec biopsie, le risque de dégénescence à type d'adénocarcinome du bas oesophage est de 10 %.
Bonne(s) réponse(s) : A D E Sans commentaire.
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59 Question à complément simple.
60 Question à compléments multiples.
Le cancer de l'oesophage peut être en rapport avec les facteurs étiopathogéniques suivants, sauf un : A - Brûlures caustiques de l'oesophage B - Ethylo-tabagisme C - Diverticule épiphrénique D - Endo-brachyoesophage E - Méga-oesophage idiopathique
Un endobrachyoesophage peut venir compliquer un RGO. Cochez la(les) proposition(s) exacte(s) concernant cette complication : A - Il est constitué par un raccourcissement congénital de l'oesophage B - Il favorise l'apparition d'un carcinome épidermoïde au niveau du bas oesophage C - Le transit baryté oesophagien permet le diagnostic d'endobrachyoesophage D - La muqueuse du bas oesophage est remplacée par une muqueuse glandulaire de type gastrique E - Le cardia anatomique et le cardia muqueux ne sont pas situés au même niveau
Bonne(s) réponse(s) : C L'éthylo-tabagisme est en France le principal facteur étiopathogénique.
60 Question à complément simple.
Bonne(s) réponse(s) : D E
Quelle caractéristique évolutive n'est pas observée dans le cancer de l'oesophage thoracique ? A - Envahissement des ganglions coeliaques B - Fistule oeso-aérienne C - Atteinte du nerf récurrent droit D - Métastases hépatiques E - Hématémèse massive Bonne(s) réponse(s) : C Le récurrent droit ne descend pas en-dessous de la sous clavière. Par contre, une paralysie récurrentielle gauche peut s'observer dans le cancer de l'oesophage thoracique car le récurrent G a un trajet thoracique (il passe sous la crosse de l'aorte).
1 Question à compléments multiples. L'hypothèse d'un cancer de l'oesophage serait appuyée au plan épidémiologique par la notion de : A - Antécédents de tuberculose pulmonaire B - Alcoolisme chronique C - Tabagisme D - Contact avec l'amiante E - Antécédent de cancer ORL Bonne(s) réponse(s) : B C E L'association entre cancer de l'oesophage et cancer ORL est statistiquement significative. Un homme de 60 ans a une dysphagie évoluant depuis trois mois. Il s'y associe un amaigrissement de cinq kilos sans anorexie. Le malade se plaint également d'épigastralgies depuis plusieurs années. L'examen clinique de l'abdomen et l'examen pleuropulmonaire sont normaux.
57 Question à compléments multiples. A propos du sphincter inférieur de l'oesophage, il est exact que normalement : A - Il se relâche à la déglutition B - Il constitue le principal mécanisme anti-reflux C - Il est constitué par un anneau musculaire palpable D - Sa pression augmente après injection de gastrine E - Il subit des influences médicamenteuses Bonne(s) réponse(s) : A B D E Les anticholinergiques en particulier diminuent sa pression.
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Les cancers développés sur endobrachyoesophage sont des adénocarcinomes.
64 Question à compléments multiples. Le principal mécanisme antireflux est constitué par le sphincter inférieur de l'oesophage (SIO). Chez le sujet normal, cochez la ou les propositions exactes concernant ce sphincter : A - Le SIO se relâche à la déglutition B - Le SIO a une pression constante de 1 à 5 cm d'eau C - Le SIO est constitué par un anneau musculaire palpable D - La pression du SIO augmente après injection de gastrine E - Le SIO subit des influences médicamenteuses Bonne(s) réponse(s) : A D E Le SIO est une entité physiologique, identifiable par la manométrie qui découvre sur 2 à 4 cm une zone de haute pression généralement comprise entre +20 et +40 cm d'eau par rapport à la pression gastrique. Le SIO possède 2 propriétés essentielles : 1) Il est le siège d'un tonus permanent. 2) Il se relaxe lors de la déglutition et de la distension oesophagienne, pendant toute la durée du parcours de l'onde péristaltique.
67 Question à compléments multiples. Un endobrachyoesophage peut venir compliquer un reflux gastro-oesophagien. Cochez la ou les propositions exactes concernant cette complication : A - Il est constitué par un raccourcissement congénital de l'oesophage B - Il favorise l'apparition d'un carcinome épidermoïde au niveau du bas oesophage C - Le transit baryté oesophagien permet le diagnostic d'endobrachyoesophage D - La muqueuse du bas oesophage est remplacée par une muqueuse glandulaire de type gastrique E - Il favorise l'apparition d'un adénocarcinome au niveau du bas oesophage Bonne(s) réponse(s) : D E L'endobrachyoesophage (EBO) ou oesophage de Barrett est caractérisé par le remplacement de la muqueuse malpighienne normale du bas oesophage par une muqueuse glandulaire. Cette métaplasie est généralement acquise et résulte d'agressions répétées de la muqueuse malpighienne par un RGO pathologique. La prévalence de l'adénocarcinome lié à l'EBO est de l'ordre de 10 à 15%, par contre son incidence est beaucoup plus faible, de l'ordre de 2 à 20 pour 1000 patients/année.
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61 Question à compléments multiples. Le risque de sténose ultérieure de l'oesophage est d'autant plus grand que : A - Les lésions oesophagiennes sont plus étendues B - Les lésions oesophagiennes sont plus profondes C - Les lésions oesophagiennes sont circonférencielles D - Les lésions buccales initiales sont plus importantes E - La tentative de suicide a eu lieu à jeun Bonne(s) réponse(s) : A B C Une corticothérapie parentale administrée d'emblée semble utile pour prévenir les sténoses sauf dans les brûlures graves ; où elle majore les risques de perforation et d'infection.
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49 Question à compléments multiples.
98 Question à compléments multiples.
Une sténose permanente sur un transit baryté de l'oesophage fait discuter : A - Une hernie hiatale B - Une complication d'un reflux gastro-oesophagien C - Un diverticule D - Un cancer E - La séquelle d'une ingestion de caustique
Le cancer de l'oesophage : A - Entraîne la mort de plus de 90 % des malades B - La chirurgie est contre-indiquée C - La radiographie barytée est l'examen le plus sensible D - La radiothérapie est un des traitements E - Est rarement un adénocarcinome Bonne(s) réponse(s) : A D E
Bonne(s) réponse(s) : B D E A : Pronostic effroyable : survie à 5 ans de 2% B : Le traitement à visée curative est chirurgical mais les C.I. sont fréquentes (35% des cas) C : Non, c'est l'endoscopie d : En palliatif ou en complément de la chirurgie (pré ou post-opératoire) (cobaltothérapie : 60Gy) E : En cas d'endobrachyoesophage.
Sans commentaire.
87 Question à compléments multiples. Un cancer du tiers moyen de l'oesophage peut envahir ou comprimer par envahissement local : A - Le nerf récurrent droit B - La crosse aortique C - Le péricarde D - La bronche souche gauche E - La veine azygos Bonne(s) réponse(s) : B C D E A - Le nerf récurrent droit nait à la base du cou, le gauche dans le thorax B - Risque hémorragique grave (5%) C - Existe par extension régionale dans 5% des cas D - Arbre trachéobronchique atteint dans 8% des cas, donc moins fréquemment que la plèvre (atteinte dans 20% des cas). E - Veines azygos atteintes dans 3% des cas, veines pulmonaires dans 2% des cas.
92 Question à compléments multiples. Parmi les facteurs suivants, certains sont des facteurs favorisants du cancer épidermoïde de l'oesophage : A - L'endobrachy-oesophage B - Intoxication alcoolo-tabagique C - Consommation alimentaire de nitrites D - Achalasie E - Diverticule de Zenker Bonne(s) réponse(s) : B C D A : Responsable d'adénocarcinome B : Retrouvée dans 90% des cancers de l'oesophage en France. C : Nitrés : excès de nitrites et nitrates avec production de nitrosamines cancérigènes.
94 94 Question à compléments multiples. Quelles sont en France les lésions précancéreuses les plus fréquentes de l'oesophage qui nécessitent une surveillance endoscopique ? A - Oesophagite caustique B - Mégaoesophage idiopathique C - Endobrachyoesophage secondaire à une oesophagite peptique D - Syndrome de Plummer-Vinson (ou de Kelly-Paterson) E - Syndrome de Mallory-Weiss Bonne(s) réponse(s) : A B C A - Un cancer de l'oesophage peut se développer sur le rétrécissement cicatriciel séquellaire d'une brûlure caustique (3% des cancers de l'oesophage). Temps moyen entre la survenue de la lésion caustique et le cancer de l'oesophage est de 40 ans. Cancer de type malpighien. B - Délai d'apparition de 20 ans. Risque de survenue d'un cancer sur le mégaoesophage est de 3%. De plus rareté du mégaoesophage. C - Un oesophage de Barett se définit par le remplacement de la muqueuse malpighienne normale du bas oesophage par une muqueuse glandulaire cylindrique. Considéré comme un processus de cicatrisation des lésions oesophagiennes secondaires au reflux gastro-oesophagien d'où nécessité d'opérer ces reflux pour stabiliser voire faire régresser ces lésions. Prévalence d'adénocarcinomes oesophagiens sur les endobrachyoesophages est de 10 à 20%. Absence de certitude que le risque soit suffisamment important pour justifier une surveillance endoscopique régulière. D - Dysphagie sidéropénique est susceptible de se cancériser. Répandue dans les pays scandinaves. Le cancer de l'oesophage compliquerait 5% des syndromes de Plummer-Vinson. Très rare en France. E - Dilacération du bas oesophage sous l'effet de traumatismes variés responsables d'hémorragies digestives.
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23 Question à compléments multiples. Un examen échographique est pratiqué et trouve une augmentation de volume et un aspect hétérogène de la tête du pancréas vous pouvez évoquer : A - Pancréatite aiguë oedémateuse B - Cancer de la tête du pancréas C - Pancréatite aiguë lithiasique D - Pancréatite chronique E - Pseudokyste de la tête du pancréas Bonne(s) réponse(s) : B D A,C : La normalité de l'amylasémie élimine le diagnostic de pancréatite aiguë. E : Un pseudo-kyste de la tête du pancréas se traduit échographiquement par une zone arrondie hypoéchogène, homogène à renforcement postérieur.
26 Question à complément simple. Parmi les examens suivants lequel vous parait être le plus susceptible d'affirmer le cancer du pancréas ? A - Splénoportographie B - Artériographie C - IRM avec injection de Gadolinium D - Ponction percutanée à l'aiguille fine sous controle scanographique E - Cholangiographie transhépatique Bonne(s) réponse(s) : D Seule la mise en évidence de cellules néoplasiques après ponction percutanée pancréatique permet d'affirmer le diagnostic de cancer du pancréas.
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13 Question à compléments multiples. Un cancer de l'estomac peut être révélé par : A - Douleurs épigastriques B - Vomissements alimentaires C - Hématémèse D - Phlébites récidivantes E - Constipation Bonne(s) réponse(s) : A B C D Evident non commenté.
72 Question à complément simple. Parmi les chaînes ganglionnaires suivantes, quelle est celle qui est le plus souvent envahie au cours du cancer de la petite courbure verticale de l'estomac ? A - Cardiotubérositaire B - Gastro-épiploïque droite C - Mésentérique supérieure D - Coronaire stomachique E - Pylorique Bonne(s) réponse(s) : D Question d'anatomie, viennent ensuite B et E.
65 Question à compléments multiples. Le cancer muco-érosif de l'estomac : A - Peut évoluer spontanément pendant plus de 5 ans, en donnant un minimum de signes cliniques B - Est associé, après traitement, à un taux de survie supérieur à 80% à 5 ans C - Représente 35% des cancers gastriques en France D - Peut être confondu avec une ulcération bénigne de l'estomac E - Peut se révéler par une perforation gastrique Bonne(s) réponse(s) : A B D Le cancer muco-érosif est un cancer superficiel dont le diagnostic, difficile, repose sur l'endoscopie avec biopsies (parfois simple dépoli de la muqueuse). Il est rare en France mais fréquent au Japon.
43 Question à compléments multiples. Parmi les signes suivants, indiquer celui ou ceux qui peut(vent) révéler un cancer de l'estomac : A - Syndrome ulcéreux B - Anémie C - Un ganglion de Troisier D - Une hyperamylasémie E - Un diabète Bonne(s) réponse(s) : A B C A - Il peut s'agir de douleurs atypiques, et il existe des formes indolores. B - Anémie par saignement, présente plus de 2 fois sur 3. C - Témoignant d'une extension métastatique, de très mauvais pronostic.
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6 Question à compléments multiples.
66 Question à compléments multiples.
Une rupture traumatique du pancréas au niveau de l'isthme peut entraîner : A - Une pancréatite aiguë B - Un cholépéritoine C - Un hémopéritoine D - Un hématome rétropéritonéal E - Une hémobilie
Un cancer de la queue du pancréas exocrine se révèle préférentiellement par : A - Une hémorragie digestive B - Une tumeur de l'hypochondre gauche C - Une tumeur ombilicale D - Des douleurs épigastriques violentes E - Aucune de ces propositions
Bonne(s) réponse(s) : A C D
Bonne(s) réponse(s) :
B, E - Au niveau de l'isthme du pancréas, il n'y a pas de voies biliaires au contact.
QUESTION ANNULEE.
108 Question à compléments multiples.
105 Question à compléments multiples. Le cancer de la tête du pancréas est caractérisé au plan clinique et dans sa forme typique : A - Par un ictère généralisé B - Par un prurit C - Par un amaigrissement D - Par une grosse vésicule E - Par une température à 39 degrés
Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) qui peut(vent) révéler un cancer du pancréas exocrine : A - Amaigrissement isolé important B - Diabète C - Diarrhées D - Des phlébites à répétition E - Un ictère choléstatique Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
Bonne(s) réponse(s) : A B C D En fait, les douleurs représentent la symptomatologie la plus fréquente. D - La grosse vésicule au cours d'un ictère témoigne d'un obstacle complet situé en amont de l'union du cystique et du cholédoque. Il s'agit donc en règle d'un cancer de la tête du pancréas.
24 Question à compléments multiples. 94 Question à compléments multiples. Une ou plusieurs des propositions suivantes concernant le pseudokyste du pancréas est ou sont exacte(s). Laquelle ou lesquelles ? A - Il peut communiquer avec le canal de Wirsung B - Sa paroi interne présente un revêtement épithélial C - Il peut être à l'origine d'une hypertension portale segmentaire D - Il peut engendrer un ictère cholestatique E - Il peut s'intégrer dans le cadre d'une maladie polykystique
Vous suspectez la survenue d'un faux kyste du pancréas : que recherchez vous à l'examen clinique en faveur de ce diagnostic ? A - Une splénomégalie B - Yne hépatomégalie C - Une masse palpable au creux épigastrique D - Une encéphalographie pancréatique E - Un souffle systolique au creux épigastrique Bonne(s) réponse(s) : C Survenant dans les semaines suivant une poussée aiguë, les faux kystes sont visualisés au mieux par l'échographie.
Bonne(s) réponse(s) : A C D L'hypertension portale segmentaire et la cholestase sont dues à la compression des axes vasculobiliaires.
69 Question à compléments multiples. Quand on suspecte un cancer du pancréas à l'origine d'un ictère à bilirubine conjuguée, quel est (ou quels sont) Il'(les) examen(s) complémentaire(s) utile(s) au diagnostic ? A - Echographie pancréatique B - Scanner abdominal C - Duodénoscopie avec cholangiographie et wirsungographie rétrogrades D - Cholangiographie intra-veineuse E - Abdomen sans préparation Bonne(s) réponse(s) : A B C En cas de forte suspicion clinique de cancer du pancréas, l'examen complémentaire le plus rentable est le scanner abdominal. L'échographie abdominale a plus d'intérêt comme examen de "débrouillage diagnostique" d'un ictère. Il est rare que l'on ait besoin de faire appel à la cholangiopancréatographie rétrograde par voie endoscopique (en cas de normalité de l'échographie et du scanner).
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Question à complément simple. L'échographie porte le diagnostic d'obstacle extra-hépatique cause d'ictère si : A - Les voies biliaires extra-hépatiques sont normales B - Il existe des calculs dans la vésicule C - Le foie est hyperbrillant mais homogène D - Les voies biliaires intra-hépatiques sont dilatées E -Il existe une ascite Bonne(s) réponse(s) : D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. Six semaines après son retour à domicile, elle consulte son médecin pour asthénie. A l'examen, celui-ci note un subictère. Quels examens sont utiles pour établir le diagnostic? A - Recherche d'agglutinines irrégulières B - Coombs direct C - Dosage des transaminases et de la bilirubine D - Sérologie de l'hépatite B E - Recherche des anticorps spécifiques de l'hépatite C Bonne(s) réponse(s) : C D E Sans commentaire.
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6 Question à complément simple.
67 Question à compléments multiples.
Une hépatosplénomégalie est habituelle dans toutes les causes suivantes d'ictère néonatal, sauf une, laquelle ? A - Infection maternofoetale B - Foetopathie C - Incompatibilité foetomaternelle Rhésus D - Hépatite néonatale E - Ictère au lait de mère
Parmi les affections suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui est(sont) susceptible(s) de donner un ictère à bilirubine conjuguée ? A - Lithiase du cholédoque B - Maladie de Gilbert C - Hépatite virale commune D - Hépatite médicamenteuse E - Lithiase vésiculaire non compliquée
Bonne(s) réponse(s) : E
Bonne(s) réponse(s) : A C D E - Evident. B : La maladie de Gilbert, due à un déficit partiel en glucoronyl conjugase, est responsable d'un ictère à bilirubine non conjugée.
67 Question à complément simple. Une dilatation des veines sus-hépatiques associée à un ictère vous évoque : A - Un syndrome de Budd-Chiari B - Un foie cardiaque C - Une maladie de Caroli D - Une cirrhose E - Un hépatocarcinome Bonne(s) réponse(s) : B Le foie cardiaque aigu ou "foie de choc" survient généralement chez des patients ayant une cardiopathie chronique décompensée par un événement aigu en particulier un trouble du rythme cardiaque. Le "foie de choc" est biologiquement caractérisé par une cinétique particulière des transaminases (+++) sérique 12 à 24 heures après l'événement suivie d'une normalisation en une huitaine de jours (l'échographie met en évidence des cavités droites et des veines sus-hépatiques dilatées.
44 Question à complément simple. Dans une famille du sud de la France, on relève la pathologie suivante : la fille est atteinte d'un ictère néo-natal intense, sa mère a subi une splénectomie à 15 ans (elle en ignore la raison), la tante maternelle et le grand-père maternel ont subi une cholécystectomie respectivement à 20 ans et à 25 ans. Quel est le diagnostic le plus probable de maladie constitutionnelle rendant compte de tous les cas pathologiques : A - B ta thalassémie B - Alpha thalassémie C - Déficit en G6PD érythrocytaire D - Maladie de Gilbert E - Sphérocytose héréditaire Bonne(s) réponse(s) : E C - Non, car transmission le plus souvent liée à l'X. E - Ictère néonatal + splénectomie + lithiase biliaire.
75 Question à compléments multiples. Un nouveau-né de 2 h de vie est admis pour ictère. Le poids de naissance est de 3 kg 100, la taille de 50 cm, le PC de 35 cm. Il présente une hépatosplénomégalie. Sa mère est O Rh négatif. Il est O Rh négatif. Le test de Coombs est positif. Quelles sont les propositions exactes ? A - Il s'agit d'une immunisation dans le système ABO B - Il peut s'agir d'une immunisation dans le système Rhésus C - Il faut rechercher une immunisation pour d'autres systèmes d'antigènes érythrocytaires D - C'est un ictère immunologique puisque le test de Coombs direct est positif chez l'enfant E - Puisque mère et enfant sont du même groupe ABO, il s'agit obligatoirement d'une incompatibilité dans le système HLA Bonne(s) réponse(s) : B C D B - Immunisation par d'autres antigènes du système Rhésus : FeCC. C - Les principaux antigènes érythrocytaires responsables d'immunisation sont K, Fya, JKa, S dans les autres systèmes.
10 Question à complément simple.
9 Question à compléments multiples. Cette malade a un ictère dû à : A - Une insuffisance hépatocellulaire B - Une cystolyse C - Une cholestase D - Une hémolyse E - Aucun de ces mécanismes Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE. Madame X..., 60 ans, sans antécédents, est hospitalisée pour un ictère évoluant depuis 5 jour. L'ictère a été précédé l'avant veille de douleurs épigastriques intenses puis de frissons. La malade reste fébrile (38°5C). L'examen clinique est normal en dehors de l'ictère. Les urines sont foncées et les selles décolorées. Bilan biologique : taux de prothrombine = 50%. Facteur V = 90% ASAT = 45 Ul/l(N 16 000/, glycémie > 12/mmol/l à l'admission, LDH 16 000 GB D - Hyperamylasémie E - Hyperglycémie Bonne(s) réponse(s) : D L'hyperamylasémie est un critère diagnostique de pancréatite aiguë, qui peut d'ailleurs manquer dans certains cas.
B - C'est une intervention lourde et mutilatrice, surtout réalisée en cas doute avec un cancer de la tête du pancréas.
89 Question à compléments multiples. Parmi ces signes cliniques, les deux plus fréquents au cours de la pancréatite chronique sont : A - Douleur épigastrique B - Ictère C - Diarrhée avec stéatorrhée D - Amaigrissement E - Pâleur Bonne(s) réponse(s) : A D
22 Question à complément simple.
A - Poussées de pancréatites aiguës. D - Signe quasi constant.
Parmi les propositions suivantes, citer celle qui est le plus souvent responsable d'une pancréatite aiguë : A - Alcool B - Lithiase biliaire C - Obésité D - Clofibrate E - Hyperparathyroïdie Bonne(s) réponse(s) : B A - L'alcool est le plus souvent responsable de pancréatite chronique. C et D : N'est pas une cause de pancréatite.
99 Question à compléments multiples. Parmi ces affections, quelle(s) est (sont) celle(s) qui peu(ven)t provoquer une poussée de pancréatite aiguë ? A - Hyperparathyroïdie B - Microlithiase de la voie biliaire principale C - Traumatisme abdominal D - Alcoolisme aigu E - Une hypertriglycéridémie de type Bonne(s) réponse(s) : A B C D E
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Les causes principales sont l'alcoolisme et la lithiase de la voie biliaire principale. D'autres causes sont possibles : post-opératoire, post cholangiographie rétrograde, infections virales notamment oreillons et CMV, médicaments (corticoïdes, azathioprine, diurétiques, L asparaginase), angéite nécrosante, sans oublier l'ulcère perforé bouché dans le pancréas... 781 By NADJI 85 E - Il s'agit d'une hypertriglycéridémie de type I.
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100 Question à compléments multiples. Le traitement chirurgical en cas de pancréatite chronique chez l'adulte est indiquée en cas de : A - Crises douloureuses répétées et rebelles B - Stéatorrhée importante par déficit sécrétoire externe C - Existence d'un ictère durable D - Existence d'une sténose duodénale E - Apparition d'un diabète Bonne(s) réponse(s) : C D C D - Sténoses de la voie biliaire principale et duodénum, accessibles à une chirurgie. Les autres indications sont essentiellement les faux kystes pancréatiques.
21 Question à compléments multiples. Le diagnostic de pancréatite chronique est retenu. Parmi les caractères de la douleur, quel(s) est (sont) celui(ceux) en faveur de son origine pancréatique : A - Siège épigastrique B - Post-prandiale tardive C - Calmée par l'antéflexion D - Calmée par l'alimentation E - Irradiation dorsale transfixiante Bonne(s) réponse(s) : A C E Connaisssance Un homme de 43 ans consulte pour des douleurs épigastriques associées à un amaigrissement récent de 4 kg et une diarrhée faite de 4 selles par jour. semi-liquides, graisseuses. Ces douleurs surviennent par crises, depuis 5 ans, poste-prandiales tardives, à irradiation dorsale transfixiante, calmées par l'antéflexion et parfois par l'alimentation. Il avoue la consommation quotidienne de 2 litres de vin ordinaire en moyenne. A l'xamen clinique, le poids est de 62 kg pour une taille de 1m70. L'épigastre est tendu et douloureux à la palpation. Le poids des selles est de 600 g/24H ; la stéatorrhée est à 20g/24H le temps d'apparition du carmin est de 9 H avec un temps de disparition de 20 H. L'abdomen sans préparation montre des calcifications de l'aire pancréatique.
5 Question à compléments multiples. Quel(s) argument(s) est(sont) en faveur du diagnostic de pancréatite aiguë ? A - Lithiase biliaire connue B - Absence de contracture abdominale C - Baisse de la T.A. D - Ethylisme avéré E - Taches ecchymotiques péri-ombilicales Bonne(s) réponse(s) : A D E L'absence de contracture abdominale et la baisse de la TA peuvent parfaitement accompagner un infarctus mésentérique ou un infarctus du myocarde qui sont des diagnostics différentiels importants. Un homme de 54 ans, porteur d'une lithiase biliaire connue,éthylique chronique présente depuis 24 heures un syndrome douloureux épigastrique d'apparition brutale accompagné de vomissements. Lorsque vous l'examinez vous notez : - Une TA systolique à 8 cmHg - Une tachycardie = 11 2/mn - Une polypnée - L'auscultation cardiaque est normale - L'examen de l'abdomen montre que ce dernier respire mais vous notez quelques tâches ecchymotiques péri-ombilicales. La palpation met en évidence un météorisme, une légère défense diffuse à tout l'abdomen sans contracture. La température est à 37°8 . Les touchers pelviens sont normaux. Vous évoquez le diagnostic de pancréatite aiguë.
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20 Question à complément simple.
7 Question à compléments multiples.
En cas d'impossibilité d'occlusion de la paupière, le nerf touché est : A - Le nerf facial B - Le nerf moteur oculaire commun C - Le nerf moteur oculaire externe D - Le sympathique E - Le nerf ophtalmique
Quel(s) est(sont) parmi les éléments radiologiques suivants celui(ceux) qui témoigne(nt) d'une occlusion organique par un cancer sténosant du sigmoïde ? A - Distension harmonieuse, essentiellement gazeuse, des anses grêles et du côlon B - Images hydroaériques périphériques plus hautes que larges C - Présence d'air dans le rectum D - Epaississement des parois des anses grêles avec "effacement des valvules conniventes" E - Volumineuse image hydroaérique en arceau pelviabdominale basse médiane
Bonne(s) réponse(s) : A La paralysie du III entraine un ptosis par atteinte du releveur de la paupière supérieure.
Bonne(s) réponse(s) : A B D
63 Question à compléments multiples.
Sans commentaire.
L'occlusion de la veine centrale de la rétine : A - S'accompagne d'une perte totale de la vision de cet oeil B - S'accompagne d'une amputation quadrantique du champ visuel C - Est généralement provoquée par une artériosclérose D - Peut se compliquer d'un glaucome E - Peut justifier la réalisation d'une photocoagulation au laser YAG Bonne(s) réponse(s) : QUESTION ANNULEE.
85 Question à compléments multiples. Quelles sont, parmi les suivantes, les deux causes les plus fréquentes d'occlusion organique colique en dehors du cancer sigmoïdien chez un adulte ? A - Le volvulus du sigmoïde B - La colite ischémique C - La rectocolite ulcéro-hémorragique D - La sigmoïde diverticulaire E - L'invagination colo-colique Bonne(s) réponse(s) : A D
68 Question à compléments multiples.
Sans commentaire
L'occlusion du tronc de l'artère centrale de la rétine est diagnostiquée devant : A - Une amaurose brutale B - Des douleurs oculaires C - Un oedème ischémique de la rétine D - Des hémorragies rétiniennes périphériques E - Une macula "rouge cerise" Bonne(s) réponse(s) : A C E Les douleurs oculaires évoquent un glaucome aigu, une iridocyclite ou une kératite. Les hémorragies rétiniennes périphériques évoquent une occlusion de la veine centrale de la rétine.
44 Question à compléments multiples. Devant une occlusion intestinale quel(s) est (sont) le (les) élément(s) en faveur d'une occlusion du grêle par strangulation ? A - Le début progressif de la douleur B - L'existence d'une cicatrice abdominale C - L'absence de matières au toucher rectal D - Le caractère permanent de la douleur E - L'absence de niveaux hydroaérique sur la radiographie de l'abdomen sans préparation Bonne(s) réponse(s) : B
84 Question à compléments multiples.
Sans commentaire
Les occlusions intestinales par strangulation peuvent résulter de certaines des affections suivantes, lesquelles ? A - Etranglement herniaire B - Cancer du côlon C - Volvulus intestinal D - Infarctus intestinal E - Bride cicatricielle
92 Question à compléments multiples.
Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire.
Indiquez parmi les suivants, le(s) caractère(s) que prend le météorisme abdominal en cas d'occlusion intestinale lorsqu'il réalise un signe de von Wahl : A - Disposition en cadre B - Tympanisme à la percussion C - Consistance élastique à la palpation D - Présence d'ondulations péristaltiques E - Contracture abdominale Bonne(s) réponse(s) : B C Le signe de Von Wahl correspond à un tympanisme asymétrique, immobile sans ondulations péristaltiques avec une résistance élastique à la palpation.
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783 Annales INTERNAT CHIRURGIE-GENERALE 35
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100 Question à compléments multiples.
2 Question à complément simple.
Lors d'une occlusion de l'artère centrale de la rétine, on constate à l'examen du fond d'oeil : A - Une macula rouge cerise B - Une dilatation veineuse C - Des hémorragies rétiniennes importantes D - Une rétine pâle au pôle postérieur E - Un oedème papillaire
Parmi les causes d'occlusion du gros intestin quelle est celle qui est la moins probable ? A - Sigmoïdite B - Cancer du colon sigmoïde C - Volvulus du colon pelvien D - Volvulus du caecum E - Occlusion par iléus biliaire
Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : E
La dilatation veineuse, les hémorragies rétiniennes et l'oedème papillaire sont des signes en faveur d'une occlusion de la veine centrale de la rétine.
L'iléus biliaire est responsable d'occlusion du grêle.
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3 Question à compléments multiples.
59 Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) parmi les éléments radiologiques suivants celui(ceux) qui vous permet(tent) de diagnostiquer une occlusion de l'intestin grêle sur les cliches d'abdomen urgent ? A - Images hydroaeriques centrales B - Opacités des gouttières latéro-vesicales "en oreille de chien" C - Présence de bosselures et d'haustrations épaissies sur les parois des anses distendues D - Aérobilie E - Croissant clair gazeux sous-diaphragmatique Bonne(s) réponse(s) : A Sans commentaire
Parmi les signes de l'observation quels sont ceux qui sont plus en faveur d'une occlusion par volvulus du colon pelvien que d'une occlusion par cancer du colon sigmoïde ? A - Début brutal B - Absence de vomissement C - Arr t des matières et des gaz précoce et brutal D - Météorisme asymétrique E - Absence de péristaltisme Bonne(s) réponse(s) : A D La forme la plus fréquente du volvulus du côlon pelvien est la forme subaigue, le début est le plus souvent progressif, marqué par une crise de constipation associée à des vagues douleurs de la fosse iliaque gauche. Cet épisode n'a pas inquiété initialement ce constipé chronique chez qui d'autres épisodes douloureux et sub occlusifs se sont déjà succédés, cédant spontanément ou grâce à des lavements, mais cette fois les signes se prolongent et s'aggravent brutalement. L'existence de cette aggravation brutale dans un 2° temps oriente plus en faveur d'une volvulus que d'un cancer du sigmoïde.
1 Question à compléments multiples. Parmi les signes de l'observation quels sont ceux qui sont compatibles avec le diagnostic d'occlusion basse du gros intestin ? A - Vomissement précoce B - Début brutal C - Arr t des matières et des gaz précoce D - Peu de douleurs abdominales E - Météorisme important Bonne(s) réponse(s) : C D E Sans commentaire
Quels sont les caractères angiographiques que l'on peut retrouver dans une forme oedèmateuse d'occlusion veineuse au début : A - Ralentissement circulatoire B - Dilatation capillaire C - Oedème rétinien diffus avec ou non oedème maculaire D - Oedème maculaire cystoïde E - Nombreuses zones d'ischémie Bonne(s) réponse(s) : A B C
Madame D... Henriette, âgée de 78 ans, est hospitalisée pour syndrome occlusif. Elle présente depuis ce matin un arrêt des matières et des gaz net et absolu, un météorisme important. Elle présente des antécédents de troubles du transit. Le début il y a 3 ou 4 jours a été marqué par de vagues douleurs abdominales à type de coliques, un état nauséeux. Cette période a fait suite à un syndrome douloureux abdominal brutal à début franc ce jour, peu intense, fait de douleurs diffuses prédominant en hypogastrique dans le "bas ventre". Il s'agit d'un syndrome douloureux permanent sans crise paroxystique. La patiente signale un petit vomissement au début du syndrome douloureux puis un simple état nauséeux sans vomisement. L'arrêt du transit a été précoce et absolu à la fois pour les matières et les gaz. Elle n'est pas choquée, il n'existe pas d'hyperthermie. L'examen montre un météorisme important, volumineux, et asymétrique à l'inspection, il n'existe pas d'ondulations péristaltiques, I'auscultation ne met pas en évidence de bruits hydro-aériques. La palpation retrouve un ventre non douloureux, une sensation de rénitence, le ventre est tympanique à la percussion, les orifices herniaires sont libres. Le toucher rectal montre un bombement de la paroi antérieure du rectum, refoulé par une tuméfaction élastique, la muqueuse rectale est normale par ailleurs.
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56 Question à compléments multiples.
L'oedème maculaire cystoïde est une complication tardive de la forme oedémateuse.
58 Question à compléments multiples. Quelles sont les méthodes de traitement de cette occlusion partielle ? A - Anti-agrégants plaquettaires B - Fibrinolytique C - Photocoagulation des oedèmes rétiniens D - Anticoagulants E - Photocoagulation des zones d'ischémie Bonne(s) réponse(s) : A D L'utilisation d'antiagrégants plaquettaires et/ou d'anticoagulants est préconisée selon les auteurs pour éviter l'extension de la thrombose au tronc de la veine centrale de la rétine. Le laser des zones ischémiques n'est pas à effectuer dans cette forme apparemment oedémateuse (absence de nodules dysoriques et d'hémorragies intrarétiniennes) mais une surveillance angiographique au 784cours est indispensable. By NADJI 85 long
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7 Question à compléments multiples. Parmi les signes cliniques présentés par ce patient, le(s)quel(s) est (sont) en faveur du diagnostic de forme ischémique d'occlusion de la veine centrale de la rétine ? A - Baisse d'acuité visuelle sévère B - Oedème papillaire C - Dilatation veineuse D - Hémorragies intrarétiniennes E - Nombreux nodules dysoriques Bonne(s) réponse(s) : A D E Les signes en faveur d'une forme ischémique sont : une acuité visuelle effondrée ; un vaste scotome central du champ visuel ; au fond d'oeil : placards hémorragiques intrarétiniens, nodules cotonneux et confluents, peu ou pas d'oedème rétinien, artères rétrécies, irrégulières.
9 Question à compléments multiples. Quel(s) signe(s) tardif(s) d'occlusion de la veine centrale de la rétine peu(ven)t être observé(s) dans les mois qui suivent l'accident initial ? A - Néovaisseaux prérétiniens B - Neuropathie optique C - Hémorragie du vitré D - Décollement de rétine par traction E - Glaucome néovasculaire Bonne(s) réponse(s) : A C D E L'évolution de la forme ischémique se fait vers un glaucome néovasculaire, une hémorragie intravitréenne et un décollement de rétine par traction.
10 Question à compléments multiples. Parmi les complications suivantes, quelle(s) complication(s) spécifique(s) de la forme ischémique d'occlusion de la veine centrale de la rétine devez-vous craindre chez ce patient ? A - Oedème maculaire B - Neuropathie optique C - Hémorragie du vitré D - Décollement de rétine par traction E - Glaucome néovasculaire Bonne(s) réponse(s) : B C D E QCM difficile : la neuropathie optique apparaît au bout de plusieurs années d'évolution (dégénérescence des fibres optiques). Elle existe dans les formes ischémiques et mixtes.
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65 Question à complément simple.
1 Question à complément simple.
Parmi les caractères suivants, indiquez celui qui s'applique à l'iléus biliaire : A - Est la conséquence de l'enclavement d'un calcul au niveau de la région cervico-cystique B - Son évolution est dominée par le risque de suppuration intra-hépatique C - Est toujours associé à une vésicule volumineuse, tendue, palpable D - Est responsable d'une occlusion du grêle E - Le calcul est toujours pur, constitué de bilirubinate de calcium
L'iléus biliaire peut être la conséquence d'une fistule : A - Cholécysto-colique B - Cholécysto-duodénale C - Cholécysto-cholédocienne D - Cholédocho-cholédocienne E - Hépatico-gastrique Bonne(s) réponse(s) : B Plus rarement, il peut s'agir d'une fistule cholécysto-gastrique.
Bonne(s) réponse(s) : D Il s'agit d'un complication rare des fistules cholécystoduodénales ; cliniquement elle réalise une occlusion évoluant par accès avec migration des douleurs. Radiologiquement, le signe pathognomonique de la fistule est la présence d'air dans les voies biliaires (aérobilie).
110 Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) parmi les signes radiologiques suivants, celui(ceux) qui traduit(sent) un iléus biliaire : A - Croissant clair gazeux sous-diaphragmatique B - Images hydroaériques de l'intestin grêle C - Pneumobilie (aérobilie) D - Elargissement des gouttières pariéto-coliques E - Image de pariétographie gazeuse des anses grêles Bonne(s) réponse(s) : B C B - Traduit l'occlusion du grêle. C - Affirme l'existence d'une communication biliodigestive.
7 Question à complément simple. Au cours de l'iléus paralytique, tous les signes suivants sont fréquents sauf un. Lequel ? A - Distension abdominale B - Augmentation des bruits hydroaériques à l'auscultation C - Douleur abdominale discrète D - Distension radiologique du grêle et du côlon E - Peu de niveaux hydroaériques Bonne(s) réponse(s) : B Le début est progressif, le météorisme est diffus immobile et silencieux. Il existe une distension du grêle et du colon.
3 Question à complément simple. Une des définitions suivantes correspond à l'iléus biliaire. Laquelle ? A - Un empierrement cholédocien B - Une péritonite par perforation vésiculaire C - Une occlusion inflammatoire du grêle au contact d'une cholécystite aiguë D - Une occlusion du grêle par migration d'un calcul vésiculaire E - Aucune des propositions précédentes n'est exacte Bonne(s) réponse(s) : D La migration se fait à la faveur d'une fistule cholécysto-duodénale ou cholécysto gastrique. Le blocage du calcul survient plus souvent dans l'iléon que dans le jéjunum.
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86 86 Question à compléments multiples. Une péritonite appendiculaire impose : A - Intervention chirurgicale en urgence B - Prélèvement de pus à visée bactériologique C - Toilette péritonéale D - Vidange rétrograde du grêle E - Résection iléo-caecale Bonne(s) réponse(s) : A B C La vidange rétrograde du grêle est indiquée dans les occlusions du grêle, en particulier en cas de distension intestinale importante.
43 Question à complément simple. Parmi les signes suivants, indiquez celui qui est toujours absent dans la péritonite généralisée d'origine appendiculaire : A - Les douleurs abdominales B - La contracture C - La fièvre D - Un syndrome occlusif E - Un pneumopéritoine Bonne(s) réponse(s) : E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples.
Question à compléments multiples.
Les signes typiques d'une péritonite appendiculaire comportent :
Quelles sont, parmi les suivantes, les trois complications les plus fréquentes après chirurgie pour péritonite appendiculaire?
A - Contracture généralisée abdominale B - Début et prédominance des signes à droite C - Douleur au TR D - Niveaux hydroaériques centraux E - Syndrome infectieux majeur
A - Fistule du grêle B - Abcès du Douglas C - Occlusion post-opératoire D - Hémorragie digestive E - Suppuration pariétale
Bonne(s) réponse(s) : A B C E
Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire. Sans commentaire. Une jeune fille de 15 ans, sans antécédent particulier, est hospitalisée en urgence à 18 h. Le tableau initial dans la matinée était marqué par des douleurs de la fosse iliaque droite avec malaise, nausée et fièvre à 37,8°C. Après une accalmie de quelques heures, sont progressivement apparues des douleurs abdominales diffuses et des vomissements avec arrêt du transit. L'examen de l'abdomen montre une contracture abdominale diffuse prédominant dans la fosse iliaque droite. La température est à 39,8°C ; il y a une leucocytose à 23 700 globules blancs. L'abdomen sans préparation debout de face met en évidence des niveaux hydroaériques centraux multiples.
Question à compléments multiples. Quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes s'applique(nt) au traitement chirurgical des péritonites appendiculaires? A - Appendicectomie de principe B - Intervention d'urgence C - Laparotomie médiane sus ombilicale D - Toilette péritonéale E - Entérostomie de vidange Bonne(s) réponse(s) : A B D La toilette péritonéale est indispensable au traitement de la péritonite. La laparotomie est habituellement sous ombilicale.
Question à compléments multiples. Quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes s'applique(nt) à l'antibiothérapie des péritonites appendiculaires? A - Hémocultures avant l'antibiothérapie B - Examen bactériologique aéro et anaérobie du liquide péritonéal au cours de la laparotomie C - Antibiothérapie dirigée contre les streptocoques D et les serratia D - Antibiothérapie à large spectre incluant le métronidazole (Flagyl®) E - Démarrage de l'antibiothérapie avant la laparotomie Bonne(s) réponse(s) : A B D E Sans commentaire.
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Question à compléments multiples. Dans la péritonite appendiculaire généralisée d'emblée par perforation : A - L'état général est altéré B - La température est à 38°5 ou plus C - L abdomen respire normalement D - La contracture est permanente, invincible E - Le toucher rectal est indolore Bonne(s) réponse(s) : A B D Sans commentaire.
Question à compléments multiples. En faveur de l'origine appendiculaire d'une péritonite, vous retenez : A - L'âge jeune B - L'existence d'un pyrosis C - L'absence de pneumopéritoine D - L'irradiation vers la base thoracique droite de la douleur E - Le début des signes dans la FID Bonne(s) réponse(s) : A C E Sans commentaire.
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29 Question à complément simple.
116 Question à compléments multiples.
Un seul des signes suivants est caractéristique d'une occlusion par volvulus du sigmoïde. Lequel ? A - Fièvre précoce B - Météorisme oblique C - Sang au toucher rectal D - Distension de l'ensemble du cadre colique à l'abdomen sans préparation E - Niveaux liquides coliques
L'occlusion par cancer du sigmoïde se caractérise par : A - Début progressif B - Météorisme abdominal important C - Forte intensité des coliques abdominales D - Un grand nombre de niveaux hydro-aériques E - Des niveaux hydro-aériques plus hauts que larges
Bonne(s) réponse(s) : B D - Cela se voit en règle dans les occlusions incomplètes réalisées habituellement par les obstructions terminales.
5 Question à compléments multiples. En faveur d'un mécanisme de strangulation au cours d'une occlusion intestinale aiguë on retient : A - Existence d'ondulations péristaltiques B - Silence abdominal à l'auscultation C - Début progressif D - Présence d'une cicatrice abdominale E - Douleur avec toucher rectal Bonne(s) réponse(s) : B D A C - Sont en faveur d'une obstruction. D - L'existence d'interventions antérieures favorise la formation de brides sur lesquelles les anses grêles se volvulent.
Bonne(s) réponse(s) : A B E E - Plus longues que hautes dans les occlusions du grêle.
24 Question à compléments multiples. Un mécanisme d'obstruction dans une occlusion intestinale aiguë est évoqué devant : A - Ondulations péristaltiques B - Silence abdominal a l'auscultation C - Asymétrie du météorisme D - Vacuité de l'ampoule rectale au toucher E - Conservation de l'état général Bonne(s) réponse(s) : A C B - Au contraire, entraîne une lutte avec augmentation des bruits hydroaériques. E - Au contraire, déshydratation et choc sont précoces par création d'un troisième secteur.
49 Question à compléments multiples.
41 Question à compléments multiples. Une occlusion par strangulation du grêle sur bride se manifeste par : A - Un début brutal B - Des douleurs vives C - Des vomissements tardifs D - Des images hydro-aériques avec des plis haustraux sur les radiographies de l'abdomen sans préparation E - Des images hydro-aériques où l'on voit le plissement du grêle Bonne(s) réponse(s) : A B E
L'occlusion du grêle par strangulation se caractérise par : A - Début brutal B - Météorisme abdominal important C - Forte intensité des coliques abdominales D - Précocité des vomissements E - Niveaux hydro-aériques plus hauts que larges Bonne(s) réponse(s) : A C D E C'est le contraire, les niveaux sont plus larges que haut.
11 Question à complément simple.
Non évident.
71 Question à complément simple. Les occlusions aiguës du grêle par strangulation sont caractérisées par les signes suivants, sauf un. Lequel ? A - Vomissements abondants B - Douleur abdominale intense C - Début brutal D - Contracture abdominale E - Absence de fièvre
A l'occasion d'une occlusion intestinale aiguë quelle est, parmi les propositions suivantes, celle que vous retenez ? A - Pneumopéritoine B - Niveaux hydro-aériques plus hauts que larges C - Volumineux météorisme abdominal D - Contracture abdominale E - Aucune de ces propositions Bonne(s) réponse(s) : E Annulée car pas de question posée.
Bonne(s) réponse(s) : C La contracture signerait une perforation d'une anse sphacèle et témoignerait d'un retard considérable au diagnostic.
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790 Annales INTERNAT CHIRURGIE-GENERALE 42
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101 Question à compléments multiples.
54 Question à compléments multiples.
Un mécanisme de strangulation dans une occlusion intestinale aiguë est évoqué devant : A - Douleurs permanentes B - Signe de Von Wahl C - Bruits hydro-aériques à l'auscultation D - Contracture abdominale E - Hoquet
Une occlusion fébrile peut être la forme révélatrice de : A - L'appendicite pelvienne B - L'appendicite méso-coeliaque C - L'appendicite rétro-caecale D - L'abcès appendiculaire E - La péritonite appendiculaire Bonne(s) réponse(s) : B E
Bonne(s) réponse(s) : A B Le signe de VON WAHL est le météorisme abdominal immobile, rénitent, tympanique par distension de l'anse sus-jacente à la strangulation.
La question est intriguante car toutes les réponses proposées peuvent évoluer vers une occlusion fébrile. Mais ce sont essentiellement B et E qui sont révélée par une occlusion fébrile.
67 Question à compléments multiples.
103 Question à compléments multiples. La localisation au niveau de l'intestin grêle d'une occlusion intestinale aiguë par strangulation est évoquée devant : A - Météorisme central péri-ombilical B - Présence d'ondulations péristaltiques C - Disposition asymétrique du météorisme D - Précocité et abondance des vomissements E - Contracture abdominale
Parmi les affections proposées comme étant responsables d'une occlusion inflammatoire, citez celle(s) qui est(sont) exacte(s) : A - Iléus biliaire B - Colique néphrétique C - Cholécystite D - Sigmoïdite E - Péritonite
Bonne(s) réponse(s) : A D
Bonne(s) réponse(s) : B C D E
Connaissance.
L'iléus biliaire est la conséquence, rare, d'une fistule cholécystoduodénale avec migration dans la lumière intestinale d'un volumineux calcul qui se bloque dans l'iléon, provoquant ainsi une occlusion intestinale. A noter par ailleurs le problème de diagnostic différentiel posé au cours d'une poussée de sigmoïdite entre une occlusion inflammatoire et une occlusion mécanique sur sigmoïdite pseudo-tumorale.
1 Question à compléments multiples. Quel(s) est(sont) parmi les éléments radiologiques suivants celui(ceux) qui vous permet(tent) de diagnostiquer une occlusion de l'intestin grêle sur les clichés simples d'abdomen sans préparation ? A - Images hydroaériques centrales B - Images hydroaériques plus hautes que larges C - Présence de bosselures et d'haustrations épaissies sur les parois des anses distendues D - Aérobilie E - Croissant clair gazeux sous-diaphragmatique Bonne(s) réponse(s) : A B C - C'est ce qu'on observe dans les occlusions coliques.
101 Question à compléments multiples. Parmi les causes suivantes d'occlusion par strangulation proposées, quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) exacte(s) ? A - Maladie de Crohn B - Hernie inguinale étranglée C - Volvulus sur bride D - lléus biliaire E - Invagination intestinale aiguë Bonne(s) réponse(s) : B C A - Peut occasionner (rarement) une occlusion par sténose iléale. D - Occlusion par obstruction de l'iléon par un calcul biliaire.
41 Question à complément simple. En présence d'un syndrome d'occlusion intestinale aiguë, tous les signes suivants peuvent être observés au cours d'une occlusion paralytique à l'exception d'un seul. Indiquez lequel : A - Important ballonnement abdominal B - Absence de fièvre C - Rétention d'urine réflexe D - Ondulations péristaltiques E - Hoquet Bonne(s) réponse(s) : D Voir question n° : 143.
5 Question à compléments multiples. Chez une patiente de cet âge. une occlusion par strangulation peut être également causée par : A - Iléus biliaire B - Occlusion sur bride C - Volvulus du sigmoïde D - Infarctus intestino-mésentérique E - Cancer du sigmoïde Bonne(s) réponse(s) : B C A E - Sont des occlusions par obstacle. D - Est une occlusion fonctionnelle par ischémie.
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791 Annales INTERNAT CHIRURGIE-GENERALE 43
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1 Question à compléments multiples. Le siège colique de cette occlusion est évoqué devant : A - Précocité de l'arrêt des gaz B - Ballonnement oblique et asymétrique C - Contracture abdominale D - Vacuité de l'ampoule rectale au toucher E - Altération de l'état général Bonne(s) réponse(s) : A B D A - Témoigne d'une occlusion d'origine basse. B - Le météorisme est plus important en cas d'occlusion colique, il est volontiers oblique. D - Est en faveur d'une occlusion mécanique (volvulus du côlon pubien). Un homme de 80 ans est hospitalisé en raison de douleurs abdominales évoluant par crises, s'accompagnant d'un arrêt des matières et des gaz et d'un état nauséeux. Chez ce malade, constipé chronique, les troubles ont débuté deux à trois jours auparavant. Plusieurs crises analogues relevées dans les antécédents avaient cédé spontanément ou après un lavement. A l'examen existe un ballonnement abdominal important. Oblique et asymétrique. Le malade est apyrétique, l'état général est médiocre. Le diagnostic de syndrome occlusif est évoqué.
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792 Annales INTERNAT CHIRURGIE-GENERALE 44
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118 Question à compléments multiples.
44 Question à compléments multiples.
Parmi les caractères suivants concernant le péritonite par perforation d'ulcère duodénal, lequel(lesquels) est(sont) exact(s) ? A - La douleur initiale est de siège sous-ombilical B - La douleur débute brutalement C - Il existe une fièvre élevée D - Il existe une douleur au cul-de-sac de Douglas E - La douleur se localise secondairement dans la fosse iliaque gauche
Parmi les affirmations suivantes sur les péritonites aiguës généralisées, citer celle(s) qui est (sont) exacte(s) : A - Elles ont le plus souvent un début clinique brutal B - Elles surviennent chez des sujets en mauvais état général C - Leur diagnostic est en général basé sur l'examen clinique D - Sur l'abdomen sans préparation il existe toujours un pneumopéritoine E - La contracture abdominale est habituellement présente
Bonne(s) réponse(s) : B D
Bonne(s) réponse(s) : A C E Connaissance pure. B - Chez les sujets en mauvais état général, âgés, ou sous corticothérapie, la sémiologie des péritonites aiguës peut être trompeuse. D - Le pneumopéritoine n'existe qu'en cas de péritonite aiguë par perforation en péritoine libre d'un organe creux.
102 Question à compléments multiples. Devant une péritonite aiguë généralisée, on retiendra en faveur de son origine appendiculaire (non ectopique) : A - Les antécédents de crise douloureuse de la fosse iliaque droite B - Une douleur au toucher rectal C - Existence de fièvre au début D - Le début des signes au niveau de la fosse iliaque droite E - L'existence d'une défense de l'hypochondre droit Bonne(s) réponse(s) : A B C D L'item B est discutable car la douleur au toucher rectal est en faveur d'une péritonite et non de son étiologie...
43 Question à complément simple. Dans le cadre d'une péritonite aiguë généralisée du sujet jeune, quelle constatation à l'examen clinique est à elle seule une indication opératoire formelle ? A - Météorisme abdominal B - Toucher rectal sensible C - Contracture abdominale D - Faciès vultueux E - Douleur provoquée de la fosse iliaque droite Bonne(s) réponse(s) : C Toute péritonite aiguë généralisée (s'accompagnant habituellement chez le sujet jeune, sans antécédents particuliers, d'une contracture abdominale) est une indication opératoire formelle et urgente.
114 Question à compléments multiples. Dans une péritonite aiguë, l'infection peut gagner la séreuse péritonéale : A - Par effraction traumatique B - Par suppuration d'un organe intra-abdominal C - Par rupture intra-abdominale d'une suppuration D - Par voie sanguine E - Par voie Iymphatique Bonne(s) réponse(s) : A B C D E B est la circonstance de loin la plus fréquente ; la rupture intraabdominale d'une suppuration, plus rare, définit la péritonite en deux temps.
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ﺳﻮﺭﺓ ﻳﻮﻧﺲ ﺁﻳﺔ ﺭﻗﻢ 10
}ﻮﺍﻫﻢ ﻓﻴﻬﺎ ﺳﺒﺤﺎﻧﻚ ﺍﻟﻠﻬﻢ ﻭﺗﺤﻴﺘﻬﻢ ﻓﻴﻬﺎ ﺳﻼﻡ ﻭﺁﺧﺮ ﺩﻋﻮﺍﻫﻢ ﺃﻥ ﺍﻟﺤﻤﺪ ہﻠﻟ ﺭﺏ ﺍﻟﻌﺎﻟﻤﻴﻦ{
795
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