Rapport Tp RDM
Short Description
Download Rapport Tp RDM...
Description
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger
Rapport des Travaux Pratiques Résistance des matériaux Réalisé par : TOUHAMI ALAMI Nouha LALAMI Kenza BOUHID Yassine RAKOTONIRINA Manoa Justin
Encadré par : Mr SARSRI
Table des matières : Manipulations Pratiques :…………………….3 Traction simple……………………………………………………4 Flexion simple…………………………………………………..10 Déformation dans une structure ………………………19
Utilisation de RDM 6 :…………………………28 Flexion ……………………………………………………………..29 Ossature Plane …………………………………………………46 Ossature Spatiale ……………………………………………..49
2
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Première partie Manipulations pratiques
3
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Chapitre 1
Traction simple 1 .1 Objectifs : Les buts de cette manipulation sont :
ϵ ϵ
• Mettre en évidence expérimentalement expérimentalement la loi de comportement : effort (F), allongement ( ), F = f ( ). • Déterminer le module d’élasticité longitudinale pour les matériaux étudiés
expérimentalement.
1.2 Expérience de traction : Voici une petite description du système :
Le treillis de base repère 1 est constitué de plat d’acier, montés pour former un système triangulé rigide. L’éprouvette d’essai repère 2 est placée entre la chape supérieure, repère 4 et la chape inférieure repère 4. La mise en charge est réalisée { l’aide du volant, repère 5. La lecture de l’effort appliqué se fait sur le comparateur, repère 6, lié à une poutre dynamométrique, repère 7. Ce comparateur gradué en 1/100 mm est placé à la position qui correspond à 1 daN par graduation g raduation du cadran. Les déplacements des éprouvettes sont mesurés { l’aide de deux comparateurs 8
et 9.
4
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
1.3 Mode opératoire Les expériences portent sur la lecture de l’allongement de l’éprouvette en fonction de l’effort appliqué pour les éprouvettes d’essai suivantes : 1. Eprouvette 1 : Acier, section 1mm x 19.8 mm. 2. Eprouvette 2 : Alliage léger, section 1mm x 19.8 mm. 3. Eprouvette 3 : Alliage léger, section 2mm x 19.9 mm. 4. Eprouvette 4 : P.V.C, section 1.9 mm x 20.4 mm. L’éprouvette d’essai repère 2 étant placée entre les chapes supérieure et inférieur, on peut étudier l’allongement relatif de l’éprouvette en fonction de la charge appliquée. Pour chaque éprouvette d’essai : -
On remet à zéro le comparateur de mesure de la flèche dynamométrique en
-
tournant le volant dans le sens des aiguilles d’une montre. On augmente la charge jusqu’{ 1500 N sans relever les déplacements, On
vérifie si le comparateur comparateur est en contact avec le point de mesure et dévie. -
On décharge l’éprouvette en la ramenant { charge nulle. On charge l’éprouvette { 5N.
-
On remet le comparateur de mesure de la charge et le comparateur de mesure de déplacement de l’éprouvette { zéro.
-
On charge l’éprouvette par palier, en augmentant par incréments de 20 daN
-
la charge en tournant le volant dans le sens horaire. On relève sous différentes charges le déplacement relatif fourni par le comparateur de mesure de déplacement. On recommence trois fois cette procédure et on o n obtient les résultats suivants.
5
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
1.4 Résultats de l’expérience 1.4.1 Eprouvette : Acier, section 1x19.8 mm Allongement ∆l en mm
Charge en
daN
N°1
0 20 40 60 80 100 120 140 160
N°2
0 0,0200 0,0420 0,0610 0,0710 0,0800 0,0950 0,0985 0,1100
0 0,01 0,05 0,071 0,088 0,0901 0,0901 0,0905 0,0912
N°3 0 0,019 0,031 0,07 0,081 0,088 0,089 0,105 0,11
Déformation є=∆l/l0 en μm/m
Contrainte σ=F/S
moy 0 0,0163 0,0410 ,0673 0,0800 0,0860 0,0914 0,0980 0,1037
en Mpa 0 10,204 20,408 30,612 40,816 51,020 61,224 71,429 81,633
N°1 0 55,56 116,67 169,44 197,22 222,22 263,89 273,61 305,56
N°2
N°3
0 27,78 138,89 197,22 244,44 250,28 250,28 251,39 253,33
0 52,78 86,11 194,44 225,00 244,44 247,22 291,67 305,56
moy 0 45,370 113,889 187,037 222,222 238,981 253,796 272,222 288,148
Remarque : On ajoute une colonne dans laquelle afin de calculer la valeur moyenne
des trois mesures. La déformation est exprimée en μm/m. La longueur initiale de l’éprouvette, L0 = 0.36 m
On obtient les deux courbes suivantes : 180 160 140 120 100 F en [N] 80 60 40 20 0
y = 444,57x Série1 Linéaire (Série1) 0
0,2
∆l en [mm]
0,4
45 40 35 30 σ en 25 [MPa] 20 15 10 5 0
y = 41029x
Série1 Linéai (Série
0
0,0005
0,001
Déformation ε
On obtient : Raideur de l’éprouvette : K= 1271,4 N.mm -1 Module de Young : E= 233 315 MPa
Remarque : La courbe de déformation ε est exprimée sans unités c.à.d. [m/m] Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
6
1.4.2 Eprouvette 2 : alliage léger, section 2 mm x 19.8 mm Allongement ∆l en mm
Charge en
daN
N°1
0
N°2 0
N°3 0
Déformation є=∆l/l0 en μm/m
Contrainteσ=F/S en Mpa
moy
N°1
N°2
N°3
moy
0
0
0
0,000
0,000
0,000
0
20
0,015 0,040 0,019
0,025
10,204
41,667
111,111
52,778
68,519
40
0,060 0,055 0,061
0,059
20,408 166,667
152,778
169,444
162,96
60
0,080 0,080 0,085
0,082
30,612 222,222
222,222
236,111
226,85
80
0,090 0,100 0,100
0,097
40,816 250,000
277,778
277,778
268,52
100
0,110 0,120 0,150
0,127
51,020 305,556
333,333
416,667
351,85
120
0,130 0,125 0,121
0,125
61,224 361,111
347,222
336,111
348,15
140
0,135 0,142 0,141
0,139
71,429 375,000
394,444
391,667
387,04
160
0,140 0,150 0,159
0,150
81,633 388,889
416,667
441,667
415,74
Remarque : On ajoute une colonne dans laquelle afin de calculer la valeur moyenne
des trois mesures. La déformation est exprimée en μm/m. La longueur initiale de l’éprouvette, L0 = 0.36 m
On obtient les deux courbes suivantes : 180 160 140 120 100 F en [N] 80 60 40 20 0
y = 925,26x Série1 Linéaire (Série1) 0
0,1
∆l en [mm]
0,2
45 45 40 40 35 35 30 30 25 σ en 25 σ en [MPa] [MPa] 20 20 15 15 10 10 5 5 0 0
= 41029x y =y 41029x
Série1 Série1 Linéaire Linéai (Série1) (Série
0 0
0,0005 0,0005 Déformation ε Déformation ε
0,001 0,001
On obtient : Raideur de l’éprouvette : K=925,26 N.mm -1 Module de Young : E= 195 017MPa
Remarque : La courbe de déformation ε est exprimée sans unités c.à.d. [m/m] 7
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
1.4.3 Eprouvette 3 : alliage léger, section 2 mm x 19.8 mm Allongement ∆l en mm
La charge N
N°1
N°2
N°3
Contrainteσ=F/S en Mpa
moy
Déformation є=∆l/l0 en μm/m N°1
N°2
N°3
moy
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
20
0,009
0,01
0,015
0,0113
5,025
25,000
27,778
41,667
31,481
40
0,016
0,021
0,017
0,0180
10,050
44,444
58,333
47,222
50,000
60
0,02
0,049
0,031
0,0333
15,075
55,556 136,111
86,111
92,593
80
0,029
0,051
0,051
0,0437
20,101
80,556 141,667
141,667 121,296
100
0,03
0,052
0,052
0,0447
25,126
83,333 144,444
144,444 124,074
120
0,04
0,069
0,069
0,0593
30,151
111,111 191,667
191,667 164,815
140
0,049
0,07
0,07
0,0630
35,176
136,111 194,444
194,444 175,000
160
0,05
0,075
0,075
0,0667
40,201
138,889 208,333
208,333 185,185
Remarque : On ajoute une colonne dans laquelle afin de calculer la valeur moyenne
des trois mesures. La déformation est exprimée en μm/m. La longueur initiale de l’éprouvette, L0 = 0.36 m
On obtient les deux courbes suivantes :
180 160 140 120 100 F en [N] 80 60 40 20 0
y = 444,57x
Série1 Linéaire (Série1)
0
0,1
0,2
∆l en [mm]
0,3
45 45 40 40 35 35 30 30 25 σ en 25 σ en [MPa] [MPa] 20 20 15 15 10 10 5 5 0 0
= 41029x y =y 41029x
Série1 Série1 Linéaire Linéai (Série1) (Série
0 0
0,0005 0,0005 Déformation ε Déformation ε
0,001 0,001
On obtient : Raideur de l’éprouvette : K=2156 N.mm -1 Module de Young : E= 195 017 MPa
Remarque : La courbe de déformation ε est exprimée sans unités c.à.d. [m/m]
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
8
1.4.4 Eprouvette 4 : PVC section 1.9 x 20.4 mm La charge Allongement ∆l en mm Contrainteσ=F/S Déformation є=∆l/l0 en μm/m en daN N°1 N°2 N°3 moy en Mpa N°1 N°2 N°3 Moy 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 20 0,019 0,012 0,049 0,0265 5,160 52,778 31,944 136,111 73,611 40 0,105 0,175 0,125 0,1350 10,320 291,667 486,111 347,222 375,000 60 0,0165 0,22 0,19 0,1422 15,480 45,833 611,111 527,778 394,907 80 0,205 0,27 0,23 0,2350 20,640 569,444 750,000 638,889 652,778
On obtient : 100
50 y = 352,47x
80
F en [N]
40
60
Série1
40 Linéaire (Série1)
20 0
σ en30 [MPa] 20
y = 41029x
Série1 Linéaire (Série1)
10 0
0
0,2
∆l en [mm]
0,4
0
0,0005
0,001
Déformation ε
On obtient : Raideur de l’éprouvette : K= 325 ,47 N.mm -1 Module de Young : E= 41 029 MPa
9
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Chapitre 2
Flexion simple Etude d’une poutre de section rectangulaire sur un appui simple, soumise à une charge
concentrée à mi-portée.
2.1 Objectifs : Les buts de cette manipulation sont : Mettre en évidence expérimentalement la loi de comportement : flèche à miportée (f), effort(F), f=f(F). Vérifier l’influence : - Du moment quadratique - De la portée -
Du module d’élasticité longitudinale E du matériau
2.2 Etude théorique : 2.1 : déterminons le moment quadratique I Gz de la poutre posée à plat, le contact avec les appuis simples se fait suivant la longueur b. (Réponse sur feuille à part). 2.2 : déterminons le moment quadratique I Gz de la poutre posée sur chant, le contact aves les appuis simples se fait suivant la longueur a. (Réponse sur feuille à part). 2.3 : déterminons le déplacement vertical du point M en fonction de x, F, L et IGz. (Réponse sur feuille à part).
10
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Diagramme de l’effort tranchant :
Diagramme du moment fléchissant :
2.4 : en déduire la flèche à mi-portée (f). (réponse sur feuille à part). 11
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
2.3 Expérience de flexion :
Le treillis de base est constitué de plats d’acier, montés pour former un système triangulé rigide.
La poutre d’essai repère 1 est placée sur les appuis constitués par les deux
piges repère 2. Pour un essai des poutres à plat, tourner les rondelles étagées repère 3, de façon à faire porter les poutres à chant, tourner les rondelles étagées de façon à faire porter les poutres sur le niveau supérieur des rondelles étagées.
La mise en charge est réalisée { l’aide du volant, repère 4. La lecture de l’effort appliqué se fait sur le comparateur, repère 5, lié à une
poutre dynamométrique, repère 6. Ce comparateur gradué en 1/100 mm est placé à la position qui correspond à 1daN par graduation du cadran. Le déplacement total du point de chargement de la poutre est mesuré à
l’aide du comparateur, repère 7. Le déplacement de l’appui gauche de la poutre est mesuré { l’aide du
comparateur, repère 7.
2.4 Mode opératoire : Les expériences portent sur la lecture de la flèche en fonction de l’effort appliqué pour les poutres d’essai suivantes
Poutre
N° 1
N° 2
N° 3
N° 4
Composition
Acier
Acier
Alliage léger
Alliage léger
Posée
Sur chant
A plat
Sur chant
Sur chant
Section (mm²)
15×30
15×30
15×30
15×30
500
500
500
400
200 000
200 000
700 000
700 000
Distance entre appuis (mm) Module d’Young (MPa)
12
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Les poutres d’essai étant placée entre ses deux appuis, on peut étudier la flèche miportée en fonction de la charge appliquée. Pour chaque éprouvette d’essai :
Effectuer un zéro grossier du comparateur de mesure de la flèche dynamométrique en tournant le volant de ma nœuvre dans le sens des aiguilles d’une montre.
Faire une montée en charge jusqu'à 1500 N environ sans relever les déplacements. Vérifier que les comparateurs de mesure des déplacements de la poutre dévient bien et sont donc en contact avec les points de mesure sur l’étendue de la mesure prévue.
Décharger la poutre en la ramenant à la charge nulle. Charger légèrement la poutre 5 N environ. Régler à zéro le comparateur de mesure de la charge appliquée. Régler à zéro les deux comparateurs de mesure des déplacements de la poutre. Charger la poutre par palier, en augmentant par incréments de 20 daN la charge en tournant le volant dans le sens horaire.
2.5 Travail à faire :
Relever sous les différentes charges la flèche à mi-portée qui correspond au déplacement du comparateur 7. Recommencer trois fois cette procédure. Pour chaque poutre étudiée, comparer les mesures expérimentales avec le calcul théorique. Commenter les résultats obtenus.
13
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
2.5.1 Poutre N°1 :ACIER sur chant.
Charge en [daN]
0 20 40 60 80 100 120 140 160
Flèche Flèche expérimentale Moyenne théorique en [mm]
N°1 0 0,145 0,289 0,39 0,479 0,562 0,645 0,725
N°2 0 0,1 0,223 0,309 0,45 0,48 0,48 0,675
N°3 0 0,08 0,175 0,29 0,355 0,425 0,585 0,605
Erreur en [%]
en [mm]
0 0,108 0,229 0,33 0,428 0,489 0,57 0,668
0 0,077 0,154 0,231 0,309 0,386 0,463 0,54
N°1 0
N°2 0
N°3 0
88,31 87,66 68,83 55,02 45,60 39,31 34,26
29,87 44,81 33,77 45,63 24,35 3,67 25,00
3,90 13,64 25,54 14,89 10,10 26,35 12,04
Acier su chant 0,9 0,8 0,7 0,6 Flèche 0,5 en[mm] 0,4 0,3 0,2 0,1 0
y = 0,0049x
Série1 Linéaire (Série1)
0
100
200
Charge en [daN]
Calcul de la raideur expérimentale de la poutre : Sachant que F=Kexp.y m A partir du graphe on déduit que Kexp= 1 kN/mm
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
14
Calcul de la raideur théorique de la poutre : A partir de la même relation précédente on calculera K thé. Kthé = 666,67 N/mm
2.5.2 Poutre N°2 :ACIER à plat. Charge en [daN]
0 20 40 60 80 100 120 140 160
Flèche expérimentale en [mm]
N°1 0 0,300 0,650 0,880 1,295 1,495 1,815
N°2 0 0,310 0,590 0,910 1,201 1,500 1,805
Moyenne
N°3 0 0 0,310 0,307 0,610 0,617 0,920 0,903 1,130 1,209 1,550 1,515 1,870 1,830
Flèche théorique en [mm]
0 0,309 0,617 0,926 1,235 1,543 1,852
Erreur en[ %]
N°1 0 2,91 5,35 4,97 4,86 3,11 2,00
N°2 0 0,32 4,38 1,73 2,75 2,79 2,54
N°3 0 0,32 1,13 0,65 8,50 0,45 0,97
Acier à plat 3
y = 0,0152x
2,5 2
Flèche en 1,5 [mm] 1
série2 Linéaire (série2)
0,5 0 0
50
100
150
200
Charge en [daN]
15
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Calcul de la raideur expérimentale de la poutre : Sachant que F=Kexp.y m A partir du graphe on déduit que Kexp= 1,785 kN/mm Calcul de la raideur théorique de la poutre : A partir de la même relation précédente on calculera K thé. Kthé = 2,6 kN/mm
2.5.3 Poutre N°3 :ALLIAGE LEGER sur chant 500mm
Charge en daN
0 20 40 60 80 100 120 140 160
Flèche expérimentale en mm
N°1 0 0,220 0,450 0,670 0,905
N°2 0 0,210 0,421 0,635 0,865
Flèche
Erreur en %
Moyenne théorique en
N°3 0 0 0,195 0,208 0,400 0,424 0,610 0,638 0,820 0,863
mm
0 0,220 0,440 0,660 0,880
Alliage léger
N°1 0
N°2 0
N°3 0
0,000 2,273 1,515 2,841
4,545 11,364 4,318 9,091 3,788 7,576 1,705 6,818
y = 0,0107x
1,2 1 0,8
Flèche en 0,6 [[mm] 0,4
série3 Linéaire (série3)
0,2 0 0
50
100
150
Charge en [daN]
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
16
Calcul de la raideur expérimentale de la poutre : Sachant que F=Kexp.y m A partir du graphe on déduit que Kexp= 13,157 kN/mm Calcul de la raideur théorique de la poutre : A partir de la même relation précédente on calculera K thé. Kthé = 9,1 kN/mm
2.5.3 Poutre N°4 :ACIER LEGER :sur chant.400 Charge en daN
0 20 40 60 80 100 120 140 160
Flèche expérimentale Flèche en mm Moyenne théorique
N°1 0 0,130 0,225 0,378 0,510 0,630 0,725
N°2 0 0,195 0,410 0,605 0,740 0,850 1,000
N°3 0 0 0,165 0,163 0,340 0,325 0,550 0,511 0,690 0,647 0,775 0,752 1,000 0,908
en mm
0 0,113 0,226 0,339 0,451 0,564 0,677
Erreur en %
N°1 0
N°2 0
N°3 0
15,04 0,44 11,50 13,08 11,70 7,09
72,57 81,42 78,47 64,08 50,71 47,71
46,02 50,44 62,24 52,99 37,41 47,71
17
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Alliage sur chant 400 y = 0,0078x
1,4 1,2 1
Flèche 0,8 en[mm] 0,6
série4
0,4
Linéaire (série4)
0,2 0 0
50
100
150
200
Calcul de la raideur expérimentale de la poutre : Sachant que F=Kexp.y m A partir du graphe on déduit que Kexp= 16,667 kN/mm Calcul de la raideur théorique de la poutre : A partir de la même relation précédente on calculera K thé. Kthé = 18,181 kN/mm
18
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Chapitre 3
Déformation dans une structure
3.1 Introduction On s’intéresse { la structure suivante :
FIGURE 3.1 : Schéma du treillis Il s’agit d’un treillis en flexion sur deux appuis. La structure est de type fermette, avec
les caractéristiques suivantes : -
Matériau : acier module de Young : coefficient de Poisson section des barres :
Les barres sont équipées de cinq paires de jauges de déformation de facteur de jauge
Les objectifs de cette manipulation sont :
Mettre en évidence des déformations infiniment petites, Vérifier les déformations des barres constituant une structure sollicitée en flexion, Vérifier les déplacements de points de la structure sollicitée en flexion,
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
19
Comparer les mesures expérimentales avec un calcul théorique.
3.2 Principe des jauges de déformation La mesure des déformations avec un pont d’extensométrie et des jauges de déformations est en fait une mesure de variation relative de résistance d’un conducteur
ohmique.
Les jauges collées sur les structures sont des circuits résistifs de résistance définis par :
Avec :
Pour un conducteur de section rectangulaire de largeur a et d’épaisseur b, La différentiation de l’équation de R donne :
Si ce conducteur est soumis à un champ de contrainte uniforme parallèle à sa longueur L, les déformations dans sa sections sont reliées à sa déformation longitudinale par le coefficient de Poisson :
L’observation montre que la résistivité d’un matériau est fonction de sa dilatation
volumique
la loi de BRIDGMAN exprime cette variation par :
Avec :
.
La variation relative de la résistance s’exprime donc finalement par :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
20
Avec :
3.3 Mesure des variations de résistance des jauges de déformations : les variations de résistance de jauges de déformations soumises à des déformations sont donc assez faibles . La mesure de cette variation peut se faire par une mesure de tension de déséquilibre d’un pond de quatre résistances de valeurs très voisines.
Le schéma de principe suivant se compose :
D’un pont de deux paires de résistances de
valeurs . Les quartes résistances sont des jauges de déformations.
D’une alimentation continue de tension V
entre les point A et B.
D’un microvoltmètre mesurant le
déséquilibre e entre les deux points diagonaux C et D du pont.
FIGURE 1 : Pont de wheatston L’application de la loi d’Ohm donne le déséquilibre entre les points C et D.
Si on considère des variations faibles autour de leurs résistances nominales, la variation du déséquilibre s’exprime pour des facteurs de jauges égaux par :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
21
OBJECTIFS :
La structure étudiée (Figure .2) est un treillis en flexion sur deux appuis. La structure est de type fermette, en acier (Module de Young E = 210 GPa, coefficient de Poisson constituée de barres de section 2.5*15mm, longueur 560 mm équipée de 5 parties de jauges de déformation de facteur de jauge
Les buts de cette manipulation sont :
Mettre en évidence des déformations infiniment petites Vérifier les déformations des barres constituant une structure sollicitée en flexion Vérifier les déplacements de points de la structure sollicitée en flexion Comparer les mesures expérimentales avec un calcul théorique.
3.4 Etude théorique : Le relevé des dimension sur le dessin de la fermette nous permet de tracer le schéma suivant :
3.4.1 Détermination des actions extérieures : Prenons comme système d’étude le treillis tout entier. Les torseurs aux appuis s’écrivent :
En A (articulation) :
En B (appuis simple) :
En M (effort appliqué) :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
22
Le principe fondamental de la statique (PFS) s’écrit :
En résultante : En moments (en A) :
Par conséquent (figure 3.4),
,
FIGURE 3.4 : Applications du PFS D’où le treillis est isostatique extérieurement.
3.4.3 Détermination des actions intérieurs : On a dans notre treillis, l’équation d’hyperstaticité intérieur :
Avec :
est vérifiée.
Donc le système est intérieurement isostatique.
le système est parfaitement symétrique. On se limitera logiquement à une partie (la partie gauche dans notre cas). Equation d’équilibre :
au point A :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
23
au point B :
au point D : au point
au point C :
avec :
La résolution du système obtenu donne les résultats suivants :
En prenant les valeurs absolues des résultats ci-dessus, et tenant compte de on trouve :
24
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
3.5 Manipulations 3.5.1 Mesure de la flèche
Les expériences portent sur la lecture de la flèche au milieu de la fermette, pour différentes valeurs de la charge appliquée. La valeur de la flèche correspond à la valeur du déplacement de la pige de chargement. Les quatre séries de mesures effectuées sont regroupées dans le tableau, pour des incréments de 200N de la charge appliquée.
F [dAn]
0
0
0
0
0
0
20
-62,5
53
32,5
-35,5
-15
40
-123
100
62,5
-37,5
-30,5
60
-187,5
148
90
-63
-60
80
-256
192
115,5
-90
-85
100
-320
239
144
-113
-109
120
-387
284
169
-139,5
-135
140
-457
327
195
-164
-157,5
160
-522
370
220
-188
-184
Tableau de déformation : essaie 1
Flèche de l’essaie 1
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
25
F [dAn]
0
0
0
0
0
0
20
-70
47,5
22
-30
-58
40
-138
89
48
-57
-55
60
-205
135
74
-84
-80
80
274
179
95
-109
-105
100
-344
222
125
-134
-132
120
-410
265
150
-159
-159
140
-480
309
175
-185
-177
160
-535
360
209
-205
-201
Tableau de déformation : essaie 2
FLECHE 2 1,4 1,2 1 0,8 FLECHE 2
0,6
Linéaire (FLECHE 2)
0,4 0,2 0 0
50
100
150
200
Flèche : essaie 2
3.5.2 Mesure des déformations des poutres: Le banc d’extensométrie permet de connaître la valeur des déformations pour chacune des poutres sur lesquelles sont fixées des jauges de déformation. L’indicateur numérique donne une valeur qui est égale au double des déformations des poutres chargées (puisqu’on utilise des paires de jauges). Il suffit donc de diviser
par deux pour obtenir la valeur de . Les différents résultats expérimentaux sont regroupés dans les tableaux, tandis que les valeurs théoriques, elles sont obtenues à partir de la loi de HOOKE, q ui s’écrit : Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
26
Donc : avec : le module d’Young Par conséquent, on a la relation suivante :
Avec : dessus :
(MPa) où
et N est donné par le tableau ci-
Table 3.3 : Effort normaux N dans chaque poutre (en fonction de F) On peut donc en déduire les valeurs théoriques de la déformation
3.5.3 : Détermination de la raideur : Déterminons maintenant la raideur expérimentale
, définie par :
A partir du graphique de la figure 3.9, on peut déterminer le coefficient directeur est sensiblement proche d’une droite, . En effet, le nuage de points nous pouvons donc effectuer une régression linéairement pour charge série de mesures (fig. 3.10), et en déduire quatre valeurs expérimentales pour le coefficient directeur. On en déduira alors une valeur moyenne qui servira pour le calcul de la raideur, donnée par :
FIGURE 3.10 : Régression linéaires avec coefficients de détermination (R²) Sur le graphique de la figure 3.10, on lit les différentes valeurs des coefficients directeurs des droites de régression. Leur valeur moyenne vaut :
On en déduit la raideur expérimentalement :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
27
Deuxième partie Utilisation de RDM 6
28
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Chapitre 4
Flexion 4.1
Poutre en T
Soit la poutre modélisée comme suit :
Figure 4.1 : Modèle de la poutre la poutre droite de longueur L=1 m est encastrée dans 1. la section droite est un T à ailes égales, telles que t = 10 mm. Le module de Young du matériau vaut E = 200 000 MPa. La poutre porte sur toute sa longueur une charge uniformément répartie d’intensité p = 1 000 daN/M = 10 000 N/m.
4.1.1
Etude théorique
Action mécanique en 1
En 1, on a un encastrement : l’application du PFS { la poutre donne, en projection sur x :
En projection sur y :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
29
Equation des moments par rapport à 1 :
Par conséquent, l’action mécanique en 1 peut être modélisée par le torseur suivant :
Position du centre de gravité
On cale la figure dans le premier quadrant (pour que toutes les abscisses et les ordonnées soient positives).
FIGURE 4.3 : Calcul du centre de gravité : section calée dans le premier quadrant
Soit G le centre de gravité de la section S et soient ses coordonnées. Soient également les coordonnées du centre de gravité Gi de la surface Si. G est défini par la relation :
On en déduit que
, puis que
Finalement,
Et il suffit maintenant de projeter selon x et y :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
30
Or
par symétrie,
et
.
Enfin,
(ce que l’on aurait pu trouver directement par symétrie de la section).
De même,
Soit :
Calcul du moment quadratique
Soient les axes définis à la figure 4.4
FIGURE 4.4 : Calcul du moment quadratique : axes de calcul Pour la surface 1, on a, par rapport { l’axe 1 :
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
31
Par conséquent, par rapport { l’axe G , on a :
Pour la surface 2, on a, par rapport { l’axe 2 :
Par conséquent, par rapport { l’axe G , on a :
Finalement :
Calcul de la contrainte normale
Effectuons une couple en un point G d’abscisse x et étudions l’équilibre de la partie
gauche : On obtient, en résultantes :
Et en moments par rapport à G :
On en déduit :
D’où le torseur de cohésion :
Ce qui permet de tracer les diagrammes de l’effort tranchant et du moment fléchissant
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
32
On est maintenant en mesure de calculer la contrainte normale :
Pour la section 1
Pour la fibre supérieure
, on a donc :
on a :
Effort tranchant
Moment fléchissant
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
33
Pour la fibre inférieure
Calcul des déplacements Pour déterminer les déplacements { l’extrémité droite de la poutre, on doit d’abord calculer l’expression générale de la déformée, donnée par :
Par intégrations successives :
Les conditions aux limites s’écrivent :
Soit finalement,
Et, pour
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
34
Application numérique :
4.1.2
Validation par RDM6
Dans cette partie , on se propose de comparer les résultats théoriques aux résultats numérique obtenus par le logiciel RDM6. Contraintes normales :
Poutre droite de section droite en forme de T , subissant une contrainte normal.
Fig. 4.7.1 Contraintes normales
Comme on le voit sur la figure, au niveau de la section 1, on a pour la fibre inférieure σ1;inf. = -212.10 MPa , et pour la fibre supérieure σ1;sup = 90.90 MPa . Déplacement
(a) Flèche :
35
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
(b) Pente :
Figure 4.8: Flèche et pente – RDM6
La figure 4.8a donne la flèche maximale v( x = L) = -3; 75mm, et la figure 4.8b la pente maximale v ( x = L) = -5:10−3 rad . ′
Tous les résultats précédents sont très proches des valeurs théoriques obtenues au paragraphe 4.1.1.
4.2 Optimisation d’une poutre en équilibre hyperstatique 4.2.1 Etude Théorique :
36
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
a- Les actions mécaniques en A, B et C : Etude statique : Les actions mécaniques extérieures exercées sur la poutre sont :
En A, En B,
En C,
{τA} = A
{τB} = B
{τC} = C
Et en D {τD} = D
=
A
=A
=A
En appliquant le PFS on a :
A
A
A
A
Ainsi :
On a deux équations et 3 inconnues, par conséquent le système est hyperstatique d’ordre 1 Appliquons alors le principe de superposition, décomposons le système en deux systèmes (S1) et (S2) Où
37
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Et
D’après le formulaire au point B on a :
vB1=
=
et
VB2 =
Finalement pour le système (S), la déformée au point B est la suivante :
VB= VB2+vB1
=
Or, l’appui au point B impose VB =0
Ainsi
par conséquent,
Revenons à l’équation fournie par le PFS :
ainsi
ainsi
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
38
Finalement les actions mécaniques s’écrivent :
En A,
{τA} = A
En B,
En C,
{τB} = B
{τC} = C
=A
=B
=
4.2.2 Simulation numérique a- sur RDM 6 la poutre sera modélisée en prenant comme section un IPN80 qui les caractéristiques suivantes : Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
39
Remarque : la liaison appui double sera modélisée par une appui simple puisqu’elle
donne les même résultats, et aussi pour que nous puissions faire sa modélisation par le logiciel. b- Comparaison des résultats avec celles obtenus en calcul théorique : Actions mécaniques : Efforts intérieurs
-
La valeur maximale de
l’effort
Tranchant vaut :
=2,969.
N
40
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
-
On trouve la valeur maximale du Moment Fléchissant vaut :
=3 ,047.
N.m
Les valeurs obtenues par la simulation RDM6 correspondent très bien avec celles obtenues en calcul théorique . Optimisation - cahier de charges
Comme cité précédemment, le cahier de charges impose : – une contrainte normale inférieure à 90 MPa, – une fèche maximale de 1 mm. Pour notre poutre modélisée avec un , le logiciel donne une contrainte maximale σmax = 2,969. MPa et une Fèche maximale ymax =6, 838 mm. Ces valeurs ne sont pas en accord avec le cahier de charges. Pour optimiser la structure, on a recours au
menu “Optimiser”.
4.3 Autres exemples 4.3.1 Exemple 1
41
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
La section est rectangulaire, de base B et de hauteur H. La poutre est encastrée aux extrémités (sections1 et 6) et repose sur trois appuis simples (en 2,3 et 4). Elle est soumise { une charge concentrée d’intensité P (en 5) ainsi qu’{ une charge répartie de
densité linéique p (entre 1 et 3). b- Déplacements nodaux
La modélisation avec RDM 6 permet de trouver les déplacements nodaux (Fèche et pente), en cliquant avec le bo uton droit de la souris sur le noeud auquel on s’intéresse (ou en utilisant Fichier ! Éditer). Ainsi, on obtient les résultats suivants : Noeud Flèche Pente 1 2 3 4 5 6
0.000000 0.000000 0.000000 0.000000 -0.000079 0.000000
0.000000 -0.000129 0.000514 -0.000341 0.000085 0.000000
OU PAR EXEMPLE CLICK DROIT SUR LE NOEUD
c- Actions de liaison
f max = v (1,714) = 7, 56283 . f min = v (1,080) = -1, 27185. +-------------------------------------+
| Action(s) de liaison [ daN daN.m ] | +-------------------------------------+ Noeud Noeud Noeud Noeud Noeud
1 2 3 4 6
RY = RY = RY = RY = RY =
mm mm
671.65 MZ = 75.05 1513.39 653.13 136.61 325.22 MZ = -61.30
d- Le moment de flexion maximal, et indication de son lieu :
LA valeur maximale vaut : 94,9 daN.m Il est positionné au nœud 2.
42
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
4.3.2 EXEMPLE 2 : On considère la poutre continue de section droite constante, représentée sur la figure suivante :
La section droite est en I à ailes égales de dimensions : – hauteur H=120 mm, – base L=100mm, – largeur de l’âme tw = 5 mm, – largeur des ailes tf = 6 mm. Après déformation notre poutre aura l’air suivant :
Figure :déformation
Déterminons les déplacements nodaux (rotation et translation ) des différents nœuds
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
43
Déplacements nodaux :
La modélisation avec RDM 6 permet de trouver les déplacements nodaux (flèche et pente), en cliquant avec le bouton droit de la souris sur le nœud auquel on s’intéresse (ou en utilisant Fichier ! Éditer). Ainsi, on obtient les résultats suivants : Au nœud 1 :
Au nœud 2 :
Au nœud 3 :
Au nœud 4 :
Au nœud 5 :
44
Les diagrammes suivant représentent respectivement l’effort tranchant ainsi que le moment fléchissant : Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Figure1 : Effort tranchant
Moment fléchissant maximal : Le moment flé chissant maximal est situé au point d’abscisse 4.20m et vaut 4.810E+03 N.m.
Figure 2 : moment fléchissant
45
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
Chapitre 5
Ossature Plane : 5.1 Schémat : L’ossature plane représentée sur la figure est constituée de 3 poutres droites soudées entre elles. L’ensemble est lié à l’extérieur par un appui simple en 1 et une articulation en 4.
5.2-Etude théorique : Determination des efforts au niveau des liaisons: Application du PFS exprimé au point numero 1 on trouve :
+
+
+
+
+
= {0}
D ou on peut tirer que: Avec
2000 ;
=2000
;
=1000
;q=1000 .
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Tanger | TP résistance des matériaux
46
=0
=2321 daN daN
=4679 daN
Torseur des efforts intérieurs Pour
0
View more...
Comments