MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
Dans un monde monde en perpétuelle évolution où les Technologies de l’Information l’I nformation et de la Communication (TIC) occupent une place prépondérante, ceci en raison des échanges d’informations, la suppression des distances, et la sécurité électronique qu’elles favorisent, les entreprises à l’instar de la SEA (Société d’Electromécanique dee plus plus en plus plus pour pour améliorer améliorer le fonctionnem f onctionnement ent de de s et Ascenseurs) les intègrent d autres entreprises. Si le XXIème siècle a été marqué par les Progrès Scientifiques et Techniques (PST), le XXIIème XXIIème est celui de l’essor des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) à travers sa science de traitement rationnelle et automatique de l’information qu’est l’informatique. Cette technologie évoluante prend de l’ampleur et impose son autorité dans la communication et l’échange des données au niveau niveau des des entreprises entre prises en partic particulie ulierr et dans dans la société socié té de façon générale. Dès lors toute structure est soucieuse du devenir de ses ressources dans ce monde planétaire. C’est probablement dans cette optique que l’entreprise SEA nous confie le projet de « Msie en œuvre d’un système de télésurveillance et intégration du protocole ». TCP/IP ». En effet il est question pour nous d’installer un système de télésurveillance utilisant quatre caméras IP dans le site B de la SEA et d’implémenter un proto protocol colee TCP/IP pour la gestion de ce dernier dans dans toute l’entreprise l’entreprise ; raison pour laquelle il fallait au préalable une étude ét ude techniq tec hnique ue du site, site , du du matérie matériell à utilise utiliserr avant avant de passer passer à la réalisation. Dans la suite de ce rapport nous allons dans un premier temps présenter l’entreprise SEA, SEA, en suite dans un second temps le déroulement du stage en insistant sur le serv ser vice techniq tec hnique ue et activ activité ité du stage stage ; et dans dans la deuxième partie partie présenter présente r la pratiquee de la mission pratiqu missio n en insistant sur le conte contexte xte et object obj ectif if de la télésurv télé surveill eillance ance et les concepts d’intégration d’intégration du protocole TCP/IP, les moyens utilisés et les résultats obtenu ; nous finirons pa finirons parr l’ap l’approche proche critique cri tique où o ù nous allons rress essort ortir ir les difficultés diffic ultés le less limites rencontrés et e t les suggestions suggestions apportée apportées. s.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 1
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
1ère partie : Le cadre du stage
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 2
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA CHAPITRE 1
PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE
ISTORIQUE QUE ET PRESEN PRESENTATION TATION Section Sec tion 1 : HISTORI
Née de l’am l’ambition bition d’une d’une initiative personnelle, pers onnelle, la SEA est une une entreprise qui a été créé le 09 Octobre 2005 .Son activité principale est de favorisé l’image de marque de toute entreprise grâce à la Télésurveillance et de ses travaux sur les ascenseurs. Animer par le désir de créer une entreprise digne de ce nom décide d’étendre cette entreprise dans de nouvelle espace. Elle fait en occurrence dans la prestation de service dans les différents domaines suivants : Les travaux travaux sur le couran co urantt fort fo rt et courant faible La télésurveillance Le contrôle d’ d’accès accès
séc urité ; les incend incendies ies ; Les grou groupes pes électrogènes. éle ctrogènes. La sécurité Les ascenseurs et monte-charg monte-chargee
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 3
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA I- SITUATION GEOGRAPHIQUE La SEA (Société d’Electromécanique et Ascenseurs) est située dans la ville ville de Douala Douala Bonan Bonanjo, jo, plus précisément précisé ment à 500 m derrière derriè re Air Air FRANCE. FRANCE.
Cathédrale
Venant vers Akwa
Venant vers Bali
SEA Cameroun
Hôtel de
PLAN DE LOCALI LOCALI SATI SATI ON DE L’ENT L’ENTREP REPRI RISE SE SEA
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 4
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA II - FICHE TECHNIQUE
Raison Rai son sociale
SEA SARL
Siège soc social ial
Douala
Date Dat e de créat création ion
09 /10/2005
Forme ju juridi ridique que
SARL Travau Travaux x
secteur sec teur d’activ d’activité ité
co coura urant nt fo fort rt et faible
Télé Télésurv surveillan eillance ce et c contrôle ontrôle d’accès Séc Sécuri urité té ;
incendie incendie ; groupe électrogène
Asc Ascenseurs enseurs et Mon Monte-charge te-charge Vidéosurveillance
Numéro Nu méro de registre Numéro du contribuable
RC/DL RC/DLA/2005/M A/2005/M/229 /229 P 107 400 465 855 Y
Contacts : -Téléphone -Télép hone :
(237) 33 42 39 00 ; 99 98 86 56
-EMAIL :
[email protected]
-Fax :
(237) 33 42 84 72 ; 33 42 39 00
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 5
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA SECTION II : ORGANISATION
ET FONCTIONNEMENT
II.1.1- La direction générale. Placée sous l’autorité d’un Directeur Général, Elle est l’organe de prise de décisions stratégiques c’est à dire qui définit les objectifs de l’entreprise ainsi que les moyens à mettre en œuvre pour leur réalisation. réalisation.
II II.1.2.1.2- La di di recti on adm admii nistrati ve et financièr financière. e. Elle est placée sous l’autorité d’un Directeur administratif et financier qui assure la gestion administrative et financière de cette dernière. Pour mener à bien cette mission, il est chargé chargé : - De l’orga l’or ganisation nisation de la structure ; -De la coordination des activités de la structure ; -De la gestion des ressources huma humaines ines ; -De la gesti gestion on des approv approvisio isionnements nnements et la tenue de la comptabilité comptabilité générale ;
II.1.3II.1.3- La directi direc tion on technique. technique. Placée sous l’autorité d’un Directeur technique, technique, elle est es t chargée chargée de : - L’élaborati L’élaboration on d’un plan pl an technique de travail travail -La gestion du stock du magasin - La conception des différents projets techniq techniques ues de l’entreprise l’entreprise -La coordination co ordination des trav travau aux x des techniciens. technicie ns.
II II.1.4.1.4- Le secrétariat. Ce service s’occupe: s’occupe: - De l’accueil de tout étranger -De la communication communication interne et externe - D’assurer la qualité du contact commercial avec tout client. -Direction générale
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 6
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA -Direction financière et administrative -Direction technique technique -Secrétariat L’organisation interne de l’entreprise ainsi conçue lui permet d’entretenir avec d’autres structures des relations de bonne intelligence.
Directeur Général
Responsable Administratif-Marketing Finance
Secrétaire Secréta ire générale
Responsable Responsa ble qualité et
Responsable Responsa ble Techn Technique ique
service généraux
et des opérations
Logistique
Mécanique et
Electricité Electr icité et
Fabrication
Maintenance
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Télécoms & Réseaux
Page 7
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA CHAPITRE 2
DEROULEMENT DU STAGE
Section 1 : P RESENTATION DU SERVICE SERVICE D’ACCUIEL La SEA(Société d’Electromécanique et Ascenseurs) est une entreprise dont
les employés utilisent des fiches qui leur sont communes par conséquent ont besoin d’ d’êtr êtree
dan danss un groupe de de travail travail pour pour faciliter facilit er les les échanges entre les différents
ordinateurs .Pour que tout ceci soit mis en œuvre, il est important de comprendre c omprendre son fonctionnement, fonctionnemen t, les ééqu quipemen ipements ts choisit et la raison de leur utilisation. utilisation.
I-
Chronogramme des activités
A la SEA, le travail commence à 8h00 et se termine à 18h les jours ordinaires et à 12h30 le samedi. Tout employé possède une fiche de présence pour le mois en cours .Ainsi, il a le devoir de faire un pointage quotidien dans cette fiche, en mentionnant l’heure d’arrivée (à son arrivée) et, son heure de départ (à son départ) et de sa signature. signature. Cette fiche est sup supervisée ervisée par le responsable du perso personnelle. nnelle. Aussi, une réunion se tient chaque lundi matin, présidée par le Directeur général, dans l’optique de faire un bilan de la semaine précédente et d’établir un profil pour la semaine en cours cours.. Au cours de cet cette te réunion, l’expressio l’expression n de chaq chaque ue employé, e mployé, dans son domaine de compétence et surtout dans le but de l’améliorat ion et de l’évolution de la structure est inconditionnellement salutaire. salutaire.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 8
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA Le bâtiment proprement dit de de la SEA est constitué d’un niveau supérieur et d’ d’un un niveau niveau infér inférieur. ieur. Au Au niv niveau eau infér inférieur, ieur, on retrouv retr ouvee le serv se rvice ice d’accueil
qui est
dirigée par une secrétaire qualifié et très accueillante ensuite, nous avons le bureau du directeur général de la SEA à savoir M. YOMI Jean. Le bâtiment supérieur est constitué en principe des différents ateliers à savoir : l’atelier d’informatique d’informatique (Télésurveillance et Vidéosurveillance) ou nous avons pris part de l’état des lieux et s’imprégnerr d’avantage. L’atelier d’électronique s’imprégne d’électronique et d’électricité d’électricité ;et de nombreux magasin de stockage du matériels pour les différentes prestations offertes par l’entreprise. l’entreprise.
II- Présentation du service technique Le service technique de la SEA est constitué de quatre ingénieurs chargés de résoudre tous les problèmes techniques aussi bien en interne qu’en externe dans les différents secteurs sec teurs en entreprise. entreprise . En effet se sont ces derniers qui qui font des installa installations tions de systèmes de vidéosurveillance et Télésurveillance chez les clients. C’est dans ce service que nous avons effectué notre stage.
II.1 II.1 Acti vités vité s du stage Durantt les Duran le s 02 mois de stage passes à la SEA, SEA, nous av avons effectué effe ctué plusie plusieurs urs tâches suivant un ordre chronologique. Nous devons dans un premier temps récapituler ces tâches effectuées effec tuées et dans dans un second seco nd temps la justification du thème.
A- Ch Chronogramm ronogrammee des acti acti vités Du 04-11 04 -11 juin : -Prise -Pr ise de contact aav vec le perso personnel nnel de la SEA SEA ; - Sertissage Sertissage des câb c âbles les RJ-4 RJ-45 5 et BN BNC C - Etude Etude du réseau rés eau exis existant tant : informatiqu infor matique, e, vidéosurv idéos urveill eillance ance du site A, téléphonique ;
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 9
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA Du 12-19 12-1 9 Juin : -Prise de contact avec les équipements informatique de vidéosurveillance et de Télésurveillance ; --Formation sur la vidéosurveillance et la télésurveillance; -C -Collecte ollecte des informations en vue d’une amélioration amélioration Du 20-05 Aout --Installation des caméras et DVR ; -Configuration de la DVR ; -C -Configuration onfiguration de l’accès aux images via le réseau local -C -Confi onfiguratio guration n de la LIVE LIVE BOX pour l’accès l’accè s aux images via via internet interne t ; -Câblage du site B ; Du 06 au 02 Aout : -Recherche -Rec herche des types de de caméras et DVR DVR avec avec leur mode de fonctionnement fonctio nnement ; -R echerche echer che d’ d’un un système de téléphonie télé phonie ad adéquat équat ; -E -Etude tude technique et test d’un système d’alarme sans fil avec transmetteur téléphonique vocal : AL800 ; -Visualisation des images vidéo via les PC ; -Installation des caméras et DVR ; -Configuration de la DVR ; -C -Configuration onfiguration de l’accès aux images via le réseau local -C -Confi onfiguratio guration n de la LIVE LIVE BOX pour l’accès l’accè s aux images via via internet interne t ;
III. DIFFICULTES RENCONTREES Les difficultés rencontrées en entreprise peuvent être mentionnées sur deux plans. Le plan concer c oncerna nant nt la gestio gestion n de temps en entrepri entreprise se : Nous No us av avons ons constaté const até contraire c ontrairement ment à ce qui se passe dans la vie estudiantine qu’il était difficile de se faire un emploi de temps stable s table en
entreprise entrepri se ; car le l e domain do mainee dans lequel nous nous av avons ons exercé exerc é est un
domaine qui est sujet de beaucoup d’intervention d ’intervention momentanée. Ce qui déjà nous a freiné dans la réalisation de nos différents projets académiques sans oublier nos cours
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 10
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA que nous aav vions eu de de la peine à lire
parce parce que parfo parfois is tracassés p par ar cer certains tains
programmes journaliers. journaliers . La deuxième difficulté diffic ulté réside rés ide da dans ns les différents différ ents secteurs sec teurs où nous avions avions été appelé appeléss à nous faire valoir. valoir. Négligeant le cas des serv ser vices ice s du secrét sec rétariat ariat et nous intére intéressant ssant au cas de la maintenance téléphonique et les travaux d’installation des abonnés, nous pouvons dire que
la vérit véritab able le difficulté re rencontré ncontréee dans dans le sect secteur eur de de la maintenance maintenance provient provient de
peine qu qu’il ’il y a à diagnostiquer et à localiser le problème d’un téléphone en panne car, Ici on a affaire à, des micros composants et quand bien même on y parvient, il n’est pass toujours pa toujo urs aisé de cchan hanger ger un composant c omposant déf défect ectueux ueux si on est pas astucieux. astucie ux. Concernant les le s travaux d’installation, nous avons souvent rencontré des sites qui nécessitent non seulement la force physique mais aussi un peu de courage et d’ingéniosité de la part du technicien. Par exemple, il n’est pas donné à tout le monde de placer une radio ou un Acce Access ss point au sommet d’un pylône d’env d’enviro iron n 40 40m m de hauteur ou bien de fixer un support radio en altitude pour ne prendre que ces cas.
REMARQUES ET SUGGESTIONS L’entreprise SEA (Société d’électromécanique et Ascenseur ) joue un rôle très important dans dans les domaines domaines de la télésurveillance et des aasce scendeurs ndeurs au Cameroun, mais ma is loin lo in d d’être ’être l’entreprise idéale. idéale. Plusieurs insuffisan insuffisances ces restent à noter noter : :
a- Secteur d’ESP ( Elevat or Se rvice Prov Provider ider ) Compte tenu du fait que ce secteur demande une grande mobilité de la part de ses techniciens, nous pouvons noter :
Moyens de locomotion;
Le nombre de techniciens;
L’ L’étroite étroitesse sse des loc locau aux x de l’en l’entreprise; treprise;
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 11
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA Ainsi, pour améliorer l’efficacité, la qualité de services ainsi que les conditions de travail trav ail pour ses employés, la struct structure ure doit doit rrev evoir oir les points suivan suivants ts :
L’achat des nouveaux logiciels de reprogrammation et de déblocage des
téléphones mobiles, ainsi que des équipements pour faciliter le diagnostic pour la GSC,
La mise mis e sur pied d’un service permanent qui assurera l’intermédiation
entre les techniciens de dépannage et les clients, ce qui éviterait de déconcentrer les techniciens à tout moment. Ce service pourrait avoir la charge de recevoir les clients et de cerner leurs difficultés à travers un entretien et de pouvoir être capable de mieux expliquer techniquement aux dépanneurs,
L’extension du champ d’activité de l’entreprise par l’introduction des
serv ser vices ice s nouveaux nouveaux comme par par exemple e xemple : Le dépannage des autres équipements électroniques et non uniquement
les téléph té léphones ones comme co mme présentement. présentement. La distribution des images. La Télésurveillance sur IP
CONCLUSION Au terme de cette partie, il convient de mentionner que le stage académique, dans son déroulement avec tout ce qu’il comporte, est une autre école de la vie professionnelle car les le s réalités rencontré re ncontrées es sur le terrain sont d’ d’un un apport apport indénia indéniable ble pour pour la formation for mation des futurs employés d’entreprise que nous sommes. Par ailleurs, à voir
la période
pendant penda nt laqu laquelle elle le stage acad académique émique est généralement prévue prévue pour le cas de notre filière fili ère et vu vuee certaines ce rtaines difficultés diffi cultés enregistrée enregist réess quant quant à ce qui est de suivre suivre le stage stage av avec en plus la pres pressio sion n de de certaines ce rtaines unités de valeurs valeurs à fa faire ire après le dit stage, on se demande deman de bien si cette cet te période pério de ne pourrait pas pas être êtr e revue revue ? En eff effet et il faut avouer avouer une une chose : av avec tous les détails sus mentionnés, ccee n’est n’est vraiment vraiment pas pas facile. facile .
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 12
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
ère
2 partie : MISE EN ŒUVRE DU PROCESSUS
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 13
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA CHAPITRE 1
MISE EN ŒUVRE D’UN SYSTEME
DE TELESURVEILLANCE ET DU
PROTOCOLE TCP/IP
INTRODUCTION Le terme de « télésurveillance » revêt généralement une connotation sécuritaire de la visualisation réalisée à distance à l’aide d’un système vidéo. La « télésurveillance sur IP » est un système de visualisation visualisation réalisée réalisé e à distance basé basé sur le protocol proto colee IP. Le terme « télésurveillance IP » désigne autant cette notion que celle qui consiste toujours de manière distante à surveiller, examiner, inspecter, contrôler des sites, des installations, des actions, des biens ou des personnes .Nous allons présenter tout au long de cet exposé les origines et les différents modules de cette technologie révolutionnaire
SECTION I :
MISE EN ŒUVRE DE LA TELESURVEILLANCE
I-
Le besoin de voir à distance distance
Le besoin de voir à distance les personnes, les biens ou les événements augmente chaque jour. Les applications courantes du marché couvrent des utilisations allant de la vidéosurveillance traditionnelle à la visualisation distante de magasins, de chaînes de production, de point de concentration de trafic, de bureaux et plus encore, cette cet te liste n’aya n’ayant nt rien d’exha d’exhaustif ustif et pouvan pouvantt être êtr e étendue à bien bien d’autres d’autres domaines. domaines. Au cours de 20 dernières années, le développement de la visualisation distante et de la vidéosurveillance a été couvert par une technologie analogique appelée CCTV (Close Circuit Télévision) ou circuit de télévision fermé. Malgré une indiscutable
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 14
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA popularité popula rité,, cette cet te technologie tec hnologie n’ n’aa jamais jamais été en mesure de satisfai re les besoins de toutes les applications. Les systèmes reposant sur le CCTV requièrent un niveau de maintenance élevé, la mise en place d’un câblage spécifique, souffrent d’une incapacité d’accès et de contrôle distant et sont notoirement difficiles à int égrer dans d’autres systèmes. systèmes.
I.1-La révolution révolution de la vidéosur vidéos urveillance veillance ssur ur IP IP La technologie de la vidéosurveillance analogique (souvent reconnue sous l’appellation CCTV ou Close Circuit Télévision) est née il y’a y’a quelques 20 ans. Malgré quelques défauts de jeunesse, les fonctionnalités et le prix compétitif offerts parr cet pa cette te technologie tec hnologie ont rapidement prouvés prouvés un fort for t pouv pouvoir oir d’attractio d’attraction n da dans ns les marchés de l’industrie et de la sécurité. Avec l’arrivée récente de la vidéosurveillance IP développée par Axis Axis Communications, ces mêmes marchés peuvent s’appuyer à présent prése nt sur une technolo t echnologie gie véritablement révolutionnaire.
I.1.1--En quoi consiste la vidéosurveillance sur IP ? I.1.1 IP est l’abréviation d’Internet nternet Protocol e , le protocole le plus couramment utilisé pour les communications d’ordinateurs connectés en réseau et via l’Internet. Avec 90% des réseaux d’entreprises répondant aujourd’hui à l’utilisation de ce protocole, la vidéosurveillance IP développée par Axis Communications est fondée sur une technologie de communication éprouvée, prête pour les évolutions futures. Elle génère des flux vidéo composés d’images numérisées, transférés à travers un réseau informatique, permettant de visualiser ces images à distance, aussi loin que l’on puisse se connecter au réseau rés eau par le biais de l’Internet. Sa facilité de mise en place et de déploiement à grande échelle la rend attirante non seulement pour étendre et revitaliser les systèmes de vidéosurveillance existants mais également dans un grand nombre de nouvelles applications.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 15
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
F ig ure 1 : Système de télésurveillance IP
Elle s’affranchie des contraintes, des solutions propriétaires dans la mesure où vous n’aurez pas besoin d’un équipement spécial pour visualiser les images, il suffit d’un ordinateurs or dinateurs de bureau, bureau,
portatif por tatif,, PDA équipé d’un d’un simple simpl e navigateur navigateur web
(Internet explorer, Netscape, …). Elle offre également une grande flexibilité au niveau du serveur, pas besoin d’un équipement spécial d’un constructeur bien précis, il suffit d’un ordinateur remplissant les exigences et contraintes des besoins en termes de RAM et espa es pace ce de stockage. stockage.
I.1.2-les avantage avantagess pour pour l’u l’utili tilisate sateur ur Une nouvelle technologie technologie doit être en mesure d’offrir un certain nombre de bénéfices bénéfic es réels rée ls et mesurables tout en répondan répondantt à une grande grande popularité popularité et à un succès succè s commercial important. Avec un certain nombre d’avantages cités ci-après, ci -après, la
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 16
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA vidéosurveillance IP n’est pas en manque m anque dans ce domaine. Dans un éventail assez large, larg e, ce ceux ux-ci -ci sont considérés comme les plus importants importants :
Accès distant aux images via un terminal non dédié Haute qualité des images Faible besoin de maintenance des éléments Accè ccèss aisé via via un simple simple navigateur navigateur Inter Internet net Utilisation de l’infrastructure réseau existante pour la diffusion des images Cycle de vie allongé du produit par la présence de fonctions pérennes Fa Facili cilité té de distribution et d’ d’échang échangee des images images avec avec d’au d’autres tres applications applications
La vidéosurveillance vidéosurveillance IP peut aller n’importe où : Elle n’est pas limitée par l’utilisation d’un média particulier et est aujourd’hui couramment utilisée sur des réseaux commutés Ethernet 10BaseT, 100BaseT ou Gigabit Ethernet, les réseaux sans fil 802.11b, Numéris, PSTN et autres réseaux GSM GPRS. Le choix du moyen de transmission transmissio n peut être réalisé en fonction fonctio n du type d’ d’ap application plication qui a été dévelo développé. ppé. Comme dans toutes les révolutions technologiques qui débutent, ce ne sont pas les grands acteurs déjà implantés sur le marché qui font le premier pas vers la nouveauté mais plutôt des entreprises innovantes en haute technologie susceptibles d’apporter une approche nouvelle pour solutionner les problèmes existants. existants.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 17
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
II- CONFIGURATIONS ET COMPOSANTS D’UN SYSTEME DE
TELESURVEILLA TELESURVEILLANCE NCE IP
L’essentiel en ce qui concerne les configurations effectuées lors d’une installation d’un système de vidéosurveillance vidéo surveillance sur IP repose sur l’établissement de paramètre d’accession aux images et de sécurité. sécurité.
INTRODUCTION La télésurveillance ou vidéo sur IP est souvent appelé IP surveillance dans le cadre d’application spécifique de vidéosurveillance, de sécurité et de contrôle distant. C’est un système qui permet à ses utilisateurs utilis ateurs de de visualiser visualiser et d’enregistrer des images vidéo via un réseau IP (LAN/WAN/INTERNET). A la différence des systèmes analogiques, la vidéo sur IP utilise le réseau informatique plutôt qu’un système de câblage point à point pour transmettre les informations. infor mations. Le terme vidéo sur IP englobe à la fois foi s les sources vidéo et audio véhiculées par le système. Dans une application de vidéo sur IP, les flux d’images vidéo numériques peuvent être transférés n’importe où dans le monde via un réseau IP câblé ou sans fil, permettant une visualisation et un enregistrement vidéo en tout point du réseau. De nombreuses entreprises font le choix du et cette tendance va s’accentuer dans l’avenir. Dans le cadre de notre travail, nous allons implémenter la vidéo sur IP local au réseau
de
TEG
COMPUTER
AND
TECHNOLOGIE
et
le
mot
sera beaucoup plus utilisé. Il est à remarquer que le réseau informatique de la société TEG regorge un système de vidéosurveillance analogique qui sera transformé en vidéos vidéosurv urveill eillance ance numéri numéri que dans dans la suite de de notre travail. travail.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 18
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
A- PRINCI PRINCIP P E DE FONCTIONNEMEN FONCTIONNEMENT T DE LA TELESURVEILLANCE La vidéosurveillance est basée sur le principe de sécurité. Son implémentation demande une étude sur la géographie du lieu et des équipements à choisir surtout de la camera. Installer un système de vidéosurveillance numérique présente peu de difficultés techniques, car il est basé sur une technologie existante : le protocole IP. Les caméras sont raccordées au poste de travail du superviseur par le rése au de l’entreprise, Internet ou un réseau dédié. Le branchement s’effectue par une simple prise RJ -45. Mais on peut aussi aussi utiliser utilise r une une antenne antenne et un pont WiWi-Fi Fi pour une liaison sans fil. Le système de surveillance vidéo est piloté à partir de n’importe que l ordinateur, via un navigateur Internet grâce à un contrôle ActiveX ou une applet Java. Chaque utilisateur définit les paramétrages pa ramétrages en foncti f onction on de ses besoins : enregistrement enregist rement 24 heures/2 heures/24 4 sur une période pério de glissante (limitée à 30 jours par la loi) ou déclenché par des alarmes, en local ou à distance, prise de photos à la volée, couplage ou pas avec un système de détection d’intrusions, d’alertes par SMS... SMS... Remarquons aussi que la vidéo surveillance est basée sur un équipement maître : la camer aa.. Une caméra réseau peut être définie comme l’association d’une caméra et d’un ordinateur, elle capture et transmet des images en direct sur un réseau IP ce qui permet aux utilisateurs autorisés de suivre en local ou à distance, d’enregistrer et de gérer la vidéo à l’aide d’une infrastructure réseau IP standard. Elle possède possè de sa propre adres adresse se IP connect connectéé au réseau. rés eau. Elle intègre notamment un serveur s erveur web, un serveur FTP, un client FTP, un client émail, la gestion des alarmes, des possibilités possibili tés de programma programmation tion et bien plus encor encore. e. Une caméra réseau n’a pas besoin d’ d’être être connecté à connecté à un un PC : elle fonctionne fonct ionne de façon indépendan indépendante te et e t peut être installé en tout lieu disposant d’une connexion au réseau IP. Une caméra web (Webcam) est quant à elle tout à fait différente. Pour fonctionner, elle doit obligatoirement être connectée au port USB ou IEEE 1394 d’un pc. Ce dernier devant nécessairement être
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 19
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA allumé. Les caméras réseaux permettent la surveillance vidéo et audio d’intérieure et extérieure extér ieure et bien d’au d’autre tress avanta avantages ges comme co mme : : supérieure ; - une quantité d’image supérieure ;
- une connexion au réseau IP sans fil ou filaire ; - un support simultané des flux vidéo Motion GPEG et MPEG-4 ; - un syste system m indépendant avec avec serveur se rveur Web ; - un logiciel supplémentaire pour visualiser et transférer les images ; - fonction avancée de gestion des événements ; - alarmes avec détection dé tection de mouvement et la mémorisation d’images pré et post-alarmes ;
- une configuration et contrôle d’état à distance à l’aide des outils de gestion ;
-
B - TELESURVEILLANCE ANALOGIQUE/NUMERIQUE (sur IP
La vidéo sur IP est souvent appelée IP Surveillance dans le cadre d'applications spécifiques de vidéosurveillance, de sécurité et de contrôle distant. C'est un système qui permet à ses utilisateurs de visualiser et d'enregistrer des images vidéo via un réseau rés eau IP IP (LAN/WA (LAN/WAN/In N/Inter ternet). net).
A la différence différ ence des systèmes analogiques, analogiques, la vidéo
sur IP utilise le réseau informatique plutôt qu'un système de câblage point à point pour transmettre tran smettre les informations. informations. Le terme vidéo vidéo sur IP IP englobe à la fois les sources so urces vidéo vidéo et audio véhiculées par le système. Dans une application de vidéo sur IP, les flux d'images vidéo numériques peuvent être transférés n'importe où dans le monde via un réseau IP câblé ou sans fil, permettant une visualisation et un enregistrement vidéo en tout point du réseau. De nombreuses entreprises font le choix du « tout IP » et cette tendance tendan ce va s'accentuer s 'accentuer dan danss l'avenir. l'avenir. Les caméras IP IP off offrent rent de nombreux avan avantages tages :
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 20
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA a. Avantages du numérique par rapport à l’analogique : Faciles à installer, souples so uples d’utilisation, fiables, inter opérables... les systèmes vidéos sur IP présentent des avantages indéniables face aux solutions analogiques. La disponibilité de réseaux Internet haut débit de type ADSL ou câble et le recours à des techniques de digitalisation digitalisation et compression d’image et de sécurisation sophistiquées (cryptage, mot de passe, allocation sécurisée des flux vidéo, etc.), permettent désormais aux images et aux informations provenant des sites surveillés d’être consultées en temps réel : de partout, en même temps, uniquement par les personnes habilitées. Il suffira dorénavant d’avoir un navigateur Web et un PC raccordé à l’Internet ou même un Pocket PC (connecté en GPRS) pour vérifier et valider visuellement le bienfondé d’une alarme reçue sur un écran, une messagerie électronique ou via un simple téléphone mobile GSM ou bien pour accéder à tout moment à vos caméras.
b. Tran Transmissi smissi on d'ima d'i mage ge universel l e peu coûteuse coûteuse : Tous les réseaux de communication, tels que le WLAN, DSL, RNIS, GSM et Ethernet, peuvent être utilisés pour transmettre les images de façon peu coûteuse. L'accès aux caméras est possible depuis n'importe quel endroit du monde via une ligne téléphonique fixe ou le réseau Internet. Un câblage analogique supplémentaire n'est pass nécessaire. pa néces saire. Comme il n'est plus néces nécessaire saire de se limiter limite r à la norme vidéo analogique, la résolution d'image ne connait plus de véritables restrictions. Ainsi, les premières premièr es caméras de surv surveill eillan ance ce à rés résolutio olution n méga pixel sont dé désor sormais mais disponibles sur le marché.
c. Une technologie Web disponible sans licence : Les images des caméras réseau sont accessibles via Internet à l'aide d'un navigateur Web (Explorer, Netscape) installé sur n'importe quel ordinateur. Aucuns frais de licence ou de maintenance ne sont à payer, indépendamment du système d'exploitation et du nombre d'utilisateurs de la caméra.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 21
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA d. Un niveau de sécurité élevé : Contrairement à un câble vidéo analogique pouvant être "écouté" relativement facilement par des moyens électroniques, les caméras réseau peuvent être protégées de nombreuses manières. En plus des techniques de cryptage logicielles connues, tels que PGP (Pretty Good Privacy), elles prennent également en charge les routeurs sécurisés RPV (Réseau Privé Virtuel) via Internet.
e. Un Unee év é volutivité sans sans li mite : De nombreux ordinateurs sont reliés en réseau dans de grandes sociétés, afin d'enregistrer les données de façon centralisée sur un serveur. De la même façon, des centaines centain es de caméras réseau rése au p peuv euvent ent êtr êtree reliées reliée s entre-elles. entre -elles. La structure réseau permet permet de faire évoluer le système de caméras sans le moindre problème. Si nécessaire, cela peut être fait sur la base base d'un réseau ré seau local loc al sans fil (WLA (WLAN).Les N).Les avan avantages tages majeurs de la vidéosurveillance sont :
la prévention de la délinquance par la dissuasion
la protection du stock et magasin
les interventions interventions et arrestations des malfaiteurs malfaiteurs facilitées
la fourniture d’indices aux forces de l’ordre l’ordre
Les fonctions principales d’un système de vidéosurveillance sont : La l evée de d doute oute vidéo en cas d’alarme
En autorisant la levée de doute vidéo, la vidéosurveillance permet en cas d’alarme : d’avoir la certitude par l’image qu’une intrusion ou une effraction sont d’alarme intervenues dans le périmètre des caméras et d’accélérer l’intervention et de réduire les déplacements intempestifs.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 22
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
l ’Internet. ternet. La consultation consultati on rapid rapide des archives d’images via l’In
La digitalisation des images rend possible leur stockage systématique ou événementiel
sur
disque.
Les
images
archivées
peuvent
être
consultées
immédiatement et de partout grâce à l’horodatage ou à leur lien avec les alarmes enregistrées par le système. Le stockage numérique hébergé à distance permet de s’affranchir totalement totalement : des contraintes et des risques d’erreurs humaines posées par la manipulation des cassettes vidéo. La vidéosurveillance sur IP se révèlerait également, également, à l’usage, plus économique que les solutions de vidéo traditionnelles. Grâce à leurs technologies de compression vidéo sophistiquées, les solutions sur IP génèrent des économies significatives en espace de stockage (fin des kilomètres de bande ban de qu’ qu’il il fallait parcourir pour visionner une séquence de 10 secondes), en puissance puissan ce infor informatiqu matique, e, en infrastruct infrastructure ure et en maintenance. maintenance. Vue les multiples avantages qu’a la vidéo surveillance sur IP par rapport à la vidéo surveillance analogique, nous pouvons dir e que la vidéo surveillance sur IP reste l’un des meilleurs si non la meilleur des systèmes de vidéos surveillance actuels. Le schéma ci-dessous illustre parfaitement le système de surveillance sur IP dans un local.
C-
TELESURVEILLA TELESURVEI LLANCE NCE SUR IP IP LOCAL : LE PROTOCOLE IP
IP (Internet Protocol) protocole de la couche 3 du modèle OSI (couche réseau) contenant des informations d’adressage et certaines informations de contrôle permettan permett antt le ro routag utagee des paq paquets. uets. Sur un segment Ethernet, il n’est pas nécessaire d’utiliser une couche matérielle ou ou Logicielle pour remplir les fonctions de liaison. Les protocoles de niveau 2 sont utilisées uniquement sur des liens séries ou parallèles, ou tout autre interface ou équipement ne disposant pas d’adresse MAC (ex. ( ex. le PPP ou SLIP pour les accès IP via modem). Chaque trame circulant sur le réseau possède par le jeu des encapsulations successives plusieurs entêtes. Une trame de données a donc au minimum un entête lié
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 23
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA au média utilisé (généralement Ethernet). C’est le cas de l’ARP (Address Résolution Protocol). Proto col). Les trames utilisant utilisant les adresses IP auront en plus plus des information informationss d’en d’entête tête IP. Les informations contenues dans cette entête fixe de 20 octets (au minimum, voire plus si des options optio ns IP sont utilisé utilisées) es) rensei rense i gnent sur la station émettrice émett rice (adresse IP), l’adresse l’a dresse du destinataire, destinataire, le checksum (somme (s omme de contrôle), contrôle ), le protocole, protocole , la version. Le
schéma
ci- dessous ci-dessous
nous
présente
le
câblage
d’un
système
de
vidéosurveillance sur IP local. C’est un système qui se fait dans d ans une zone limitée. limité e. Ici nous n’avons pas besoin d’une connexion Internet mais des équipements tels qu’une ou plusieurs caméras IP, un Switch Ethernet, un moniteur de contrôle, des câbles Ethernet Eth ernet (paire (paire torsadée).
Fig2 : schémas de fonctionnement d’une caméra IP
D’après le schéma présenté ci-dessus, local viewing représente le réseau local où
les images sont so nt vues vues en directe. directe . Les machines machines de de ce réseaux rés eaux sont reliées relié es à un
Switch Ethernet 24 ports sur lequel vient se connecter nos cameras IP. Les cameras ici filaire pouvaient pouvaient être rempla re mplacée céess par par des camera sans ffils ils au cas d’u d’un n rés réseau eau sans sans fil. fil .
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 24
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA D -
SECURITE
La mise sur pied d’un system de vidéosurveillance est assurée lorsqu’on a une sécurité accrue des images sauvegardées. De ce fait, l’utilisation des serveurs tels que les VPN (Virtual Private network) et les pare-feu sont une solution à ces problèmes. Mais nous nous intéresserons uniquement aux solutions apportées par le pare-feu car il existe déjà sur notre réseau informatique. Son but ici sera de bloquer certains ports aux personnes perso nnes qui ne sont pa pass autorisées et d’activer pour des personnes autorisées à visiter les images.
III-COMPOSANTS D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE V i éo surveillance locale
Caméras
Caméra Dôme
Oui
Caméra Microphone
V i éo su survei ance Mode d’u d’utilisation tilisation
déportée
non
El Ellles existe existent nt en modèle intérieur et extérieur, en jour e ett nuit, en noir et blanc ainsi qu’en couleur faible luminosité.
Ici, Un systè système me de prise de son est intégré à la la cam caméra. éra. Oui
oui
C'est une caméra avec une mémoire
Caméra autonome
Caméra motorisée
Caméra jour/n jo ur/nuit uit
Oui
Non
Oui
non
intégrée.
oui
El Ellle dispose la capacité de rotation horizontalle et vertical horizonta verticale. e. E Ellles peuvent être GPIO, Ethernet ou Wif Wifi. i.
oui
Elles permettent une surveillance de nuit et jour. Elles peuvent être installées install ées en intérieur et en extér extérieur ieur mais certaines sont spécial spécialement ement
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 25
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA Il existe une multitude d’équipements pour la vidéo surveillance mais nous nous intéresserons essentiellement aux équipements de base. Ces différents équipements sont :
A. Les camér c améras as C’est l’élément incontournable de la vidéo surveillance, le choix de la caméra doit se faire avec précaution et surtout avec une grande attention. La qualité q ualité de l’image représente indéniablement l’un des éléments les plus importants d’une caméra. Ceci est particulièrement vrai dans les domaines de la surveillance, de la sécurité et du contrôle distant, où des vies et des biens peuvent être en jeu. Nous distinguons plusieurs types de caméra, nous allons les classer c lasser dans un tableau comprenan co mprenantt : 1.
Les types de caméra et leur mode d’utilisation
a. CAMERA CAMERA COULEUR COULEUR INFRAROUGE INFRAROUGE SP986E SP98 6E (MM) Imperméable Capteur CCD SHARP 1/4 pouces Résolution 420 lignes Sen Sensibilité sibilité 0Lu 0 Lux x (lampes (lampes infrarouges infrarouges éteintes) éte intes) Ob Objectif jectif 6 mm Fonctionnement automatique de nuit comme de jour Angle de rayonnement 45° Distance du rayon infrarouge supérieure à 30 mètres Signal système syst ème
PAL 120 0 mA (400 (40 0 mA en mode infraro infrarouge) uge) Alimentation 12 V DC 12 Poids 970 g
b. CAMERA DOME COULEUR INFRAROUGE INF RAROUGE SP 977D 97 7D
Fonctionnement automatique de nuit comme de jour Capteur CCD SHARP 1/3 pouces Signal système syst ème PAL Résolution 420 lignes Sensibilité 0 Lux (lampe infrarouge éteinte) Angle de rayonnement 45° Objectif Ob jectif 3,6 mm Distance du rayon infrarouge supérieure à 15 mètres
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 26
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA
Alimentation 12 V DC 12 120 0 mA (400 (40 0 mA en mode infrarouge) Poids 0,25 Kg
c. Camera Camera coul c ouleur eur à détecti détec ti on de mouvement mouvement K-586C
Filme de jour jo ur comme de de nu nuit it Fonctionnement à détection de mouvement Alime limentatio ntation n 12 V DC / 24 V AC Filtre détachable pour image noir et blanc ou couleur automatique Contrôlable à grande distance Haute résolution Alarme d’entrée / sortie sortie
B. Les enreg enregistreur istreurss L'enregistrement des images peut se faire sur des enregistreurs types numériques (disque dur) ou analogiques (sur bandes). L’enregistrement numérique se fait à partir d’un ordinateur qui enregistre les données sur un disque dur ou sur tout autre équipement conçu essentiellement essentiell ement pour cet effet à l’exemple du DVR. L’enregistrement analogique se fait sur bandes magnétiques grâce à un magnétoscope ou tous autres équipements analogiques qui peuvent enregistrer. Il est souvent conseillé d’utiliser les disques durs de très grande capacité de l’ordre des To T o pour les enregistrements numériques. Pour l’enregistrement à partir d’un ordinateur il suffit de disposer d’une carte DVR qui vient avec un pilote que l’on installe avant toute utilisation. L’avantage ici est au niveau de l’encom brement du matériel matér iel et au niveau niveau du coût car l’ensemble d’un équipement de vidéosurveillance ordinaire coûte énormément chère. Enregistreur numérique pour 8 camera IP + 1To.Réf: GGM NVR 8500Go
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 27
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA DVR STANDALO STANDALO NE 4 CANAUX CANAUX signal vidéo NTSC / PAL 4 canaux d’entrée vidéo vidéo 1 canal d’extension de DVR 1 canal pour connexion au moniteur Type de connexion BNC
d’enregistreme rement nt en continue, co ntinue, détection détect ion de mouvement, mouvement, sensoriel senso riel et Mode d’enregist programmable programma ble Disque dur de sauvegarde sauvegarde Max 1To Go x 2 Sortie USB pour connexion PC Commutation automatique Détection automatique de moniteur Alarme intégrée Alimentation DC 12V 4A Dimension 430mm x 300mmm X 48 mm (WxDxH) Poids 3,5 KG
2. Les moniteurs Les moniteurs moniteurs permettent le contrôle des des images images issues des caméras. Ils sont de 3 types typ es et de tailles d'afficha d'affichage ge différentes selon v vos os besoins : - Les moniteurs noir et e t blanc blanc - Les moniteurs moniteurs couleurs c ouleurs - Les moniteurs LCD Danss ccertains Dan ertains anciens anciens systèmes systè mes de de vidéos vidéosurv urveill eillan ance ce,, le contrôleur contrô leur avait avait plusieurs écran écr anss dev devan antt lui ce qui était pénible pénible et difficile diffic ile à gérer. gérer . De nos jours la
majorité
des grand grandes es struct structures ures utilisent utilise nt des écran écr anss performants perfo rmants et moins moins encombrants qui sont so nt gérés par par des logicie lo giciels. ls. Ainsi, nous avons avons un moniteur qui affi affiche che sur son écran écr an les images des différentes différ entes caméras installées. installée s. Voici oic i le moniteur proposé pro posé par la SEA SEA et ses caractéristiques.
Rapportt rrédigé Rappor édigé et soutenu par : GUETSOP Giresse Idric Idrice e
Page 28
MISE EN OEUVRE D’UN SYSTEME DE TELESURVEILLANCE TE LESURVEILLANCE ET INTEGRATION DU PROTOCOLE TCP/IP : cas de SEA MONITEUR COULEUR 17’’ 17 ’’ LCD COULEUR AV AVEC EC QUADR QUADRA AN TS
Type 17’’ TFT LCD LCD Signal système PAL / NTSC Couleur noire Système d’alarme d’alarme de détectio détec tion n de mouvement mouvement et de perte de signal vidéo vidéo 4 canaux BNC d’entrée de vidéo vidéo 1 canal d’entrée vidéo pour play-back play -back 1 sortie so rtie vidéo vidéo pour enregistrement (DVR) (DVR) Un menu système de configuration Possibilité d’afficha d’affichage ge de plus de 16 vidéos simultanément Alimentation 12V DC 5A
3. Les switchers
Les switchers sont les équipements de connexion. En vidéo surveillance, elles permettent permett ent de connecter connect er les différentes différ entes caméras à l’enregistreur l’enregistre ur ou au moniteur de contrôle co ntrôle.. Son Son choix s’effec s’effectue tue en fonctio fonction n du du système de vidéo surveill surveillance ance que nous souhaitons installée car il existe une multitude de Switch qui se caractérisent par leurs ports d’entrer et de soti sotie. e.
SWIT SW ITCH CH DE SYNCHRON SYNCHRONIS ISATIO ATION N VIDEO ET AUDIO AUDIO 8 CANAUX CANAUX
8 canaux pour entrer le signal vidéo (Camera) : 1.0Vp- p 75 Ω Ω,, co connecteurs nnecteurs BNC 8 canaux pour entrer le signal audio (Microphone) :