Présentation Controle Produits Blancs

October 3, 2022 | Author: Anonymous | Category: N/A
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LE CONTRÔLE D’EXECUTION DES PRODUITS BLANCS

1

 

Contrôle des produits blancs

Différentes étapes d’exécution d’une route

Implantation de la route

Décapage de la terre végétale

Terrassements Couche de fondation

Couche de base

Drainage

Couche de roulement

Equipements & Signalisation 2

 

Étapes de contrôle des trav travaux aux de constructio construction n d’une route Implantation de la polygonale

contrôle de l’implantation de l’axe + Réception du terrain naturel

contrôle du  du  décapage

contrôle de la plateforme en déblai

contrôle de la couche de forme + Contrôle du corps de chaussée

Contrôle des travaux d’exécution des ouvrages rages   de drainage

contrôle de la couche de roulement + trottoirs Contrôle de l’installation des équipements et de la signalisation

3

 

Implantation d’une route  Axe de la route 

STk 

PTi-1   PT i   PT i+1

STk+1





Stations du réseau polygonal (ST)

Profils en Travers (PT)

•  Une polygonale est constituée d’un   nombre de points STi  de coordonnées

(Xi,Yi,Zi) implantés tout le l e long du tracé de la route projetée.

suite

4

 

La polygonale

de base pour : • Le réseau polygonal servira de base  –   Les Les levés  levés topographiques topographiques nécessaires  nécessaires aux études  –   l’implantation des différents éléments de la route  –   et le le contrôle  contrôle géométrique géométrique des  des travaux dans toutes ses étapes.

• Dès le début du chantier, chantier, l  l’entreprise reçoit de l’administration :  –   le plan de re repérage pérage du ré réseau seau po polygonal lygonal  stations »  »  –   la tabulation (X,Y (X,Y,Z) ,Z) de tous les points du réseau appelés « stations

suite

5

 

Vérification de la polygonale de base

L’en entr trep epri rise se ma maté téri rial alis ise e la po poly lygo gona nale le su surr te terr rrai ain n La vérification de la polygonale de base consiste à vérifier sur terrain que : • les les coor coordo donn nnée ées s (X (X,Y ,Y,Z ,Z)) de ch chaq aque ue stat statio ion n son sontt cell celles es indi indiqu quée ées s sur la

tabulation • chaque chaque sta station tion porte porte l’indication de son numéro et est matérialisée par un

piquet en acier maçonné

retour 

6

 

Réception de l’implantation de l’axe et du TN

Dès le début du chantier, l’entreprise reçoit de l’admin administrat istration ion les éléme éléments nts nécessaires pour implanter l’axe de la route projetée, à savoir : − l’axe en plan − la tabulation (X,Y) des profils en travers (PT)

Sur la base de ces mêmes documents, l ’administration fera la réception de l’implantation de l’axe et du levé du terrain naturel (TN) faits par l’entreprise : ’ Il s agit de vérifier les coordonnées (X,Y (X,Y,Z) ,Z) des différents points de chaque PT PT..

Attention : Dans le bu butt de pouv uvo oir rét éta ablir les diff ffé érent nts s po poiints de l’axe en cas de perte, il faut s’assurer que l’en entr trep epri rise se a ré réal alis isé é le les s dé dépo port rts s né néce cess ssai aire res. s. retour 

7

 

Contrôle du décapage



Le décapage consiste à enlever la terre végétale dans les parties ou il est prévu de

mettre du remblai. 

Le décapage se fait au moins moins sur une épaisseur de 20 cm et sur la largeur de

l’emprise. Mais si au bout de cette épaisseur, les végétations existent encore, il faut décaper d’avantage jusqu’à élimination complète de toute trace de ces dernières. 

Il est nécessaire et primordial d’effectuer un levé des surfaces décapées

contradictoirement pour déterminer les volume et épaisseur des terres végétales. v égétales. 

S’assurer que la terre végétale dans l'emprise du projet sera mise en dépôt

provisoire en cas d’ éventuelle réutilisation

retour 

8

 

Contrôle de la plateforme en déblai  Avant

d’ent entame amerr tou toutt tra travai vaill de ter terras rassem sement ent,, l’en entr trep epri rise se doi doitt four fourni nirr un dos dossi sier  er  d’ex exéc écut utio ion n ap appr prou ouvé vé et ré réal alis iser er au mo moin ins s de des s es essa sais is d ’ident identificati ification on et   CBR   de la plateforme 

Le dossier d’exécution doit comprendre : •   le tracé en plan & profil en long de la route •   le cahier des profils en tra travers vers courants •   le cahier des profils en travers type •   le calcul de cubature •   les plans d’implantation et de détails des carrefours et giratoire s’ils existent •   les plans d’exécution des ouvrages de drainage : − implantation − coupes et détails − coffrage − ferraillage − et notes de calculs si nécessaires •   et les plans détails des équipements et signalisation

suite

9

 

ESSAI CBR B ut de l es s ai : ’ 

L’indice CBR est un nombre sans dimension exprimant en % le rapport entre les pressions prod produi uisa sant nt un en enfo fonc ncem emen entt do donn nné é da dans ns le maté matéria riau u étud étudié ié,, d’un une e pa part rt,, et da dans ns un matériau type, d’autre part. Cette notion permet d’évaluer les épaisseurs du corps de chaussée en fonction : − de la charge maximale par roue − du trafic des véhicules

P ri rincipe ncipe de l es s ai : ’ 

1. Prépa Préparer rer en environ viron 5,5 k kg g de matéria matériau u se sec c et l’humidifier à w=7%

2. Comp Compacte acterr dans un moule CB CBR R le matéria matériau u en 5 couches à rais raison on de 25 coups par  couche 3. Pla Placer cer le mo moule ule so sous us la pre presse sse CB CBR R et le soum soumett ettre re à l’enfoncement de son poinçon surchargé

retour 

10

 

Contrôle de la plateforme en déblai La réception d’une plateforme en déblai consiste à : 1. Un contrô contrôle le géométriqu géométrique e  

vérifier la conformité des PT exécutés par rapport au cahier des PT courants : 

  Côtes



  Largeurs



  Pentes des talus

2. Un con contrô trôle le de l’état de surface et de la compacité    vérifier

le réglage de la surface qui doit être être assez régulier :



  longitudinalement*



  Et transversalement

   Vérifier

la compacité relative compacité relative du sol qui doit être > 90%

Si on constate la présence de zones plus ou moins plastiques, on doit les le s pu purg rge er et le les s su sub bst stit itue uerr pa parr de des s mat atér éria iaux ux de bo bonn nne e qu qual alit ité é. retour 

11

 

Détermination de la compacité relative d’un sol La détermination de la compacité relative d’un sol revient revient au calcu calcull de son in indice dice de

compactage : Déterminée par l’essai au densitomètre à  à  membrane

densité en place (d a) Indice de compactage (Ic) = densité sèche maximale (d s.opt)

Déterminée par l’essai de Proctor 

retour 

12

 

ESSAI PROCTOR L'e L'ess ssa ai Pr Proc octo tor  r , de l'l'in ingé géni nieu eurr Ra Ralp lph h R. Pr Proc octo torr (1 (193 933) 3) es estt un es essa saii qu quii pe perm rmet et de déterminer la densité maximale du sol et des granulats analysés. L'essai consiste à tester la compacité du sol pour une teneur en eau variable. L'optimum est alors déterminé par le point maximal de la courbe qui donne la teneur en eau optimal pour  une compacité maximum.

suite

13

 

ESSAI PROCTOR

Pour bien comprendre le test, il suffit de faire l'expérience sur une plage : en allant vers la mer, le sable en amont est très sec. On s'enfonce facilement dedans. Sa compacité est très faible. Plus on avance vers la mer, plus la teneur en eau augmente, et moins on s'enfonce en

marchant sur le sable jusqu'à obtenir une compacité optimum. Le sable est alors très dur  sous les pieds (il est proche de la saturation: il n'y a presque plus d'air présent dans le sol). Ensuite, quand on s'approche encore de la mer, on s'enfonce de nouveau. Le sable est satu sa turé ré en ea eau u et sa co comp mpac acit ité é es estt amo amoind indri. ri. La co cour urbe be dé déte termi rminé née e pa parr l'l'es essa saii Proc Procto tor  r  diminue alors. Il faut bien comprendre que ce résultat dépend de chaque sol et n'est donc pas théorique mais expérimental.

La densité sèche maximum et la teneur en eau maximum sont déterminées à partir des résultats de cet essai.

retour

14

retour   

ESSAI AU DENSITOMETRE A MEMBRANE Principe de l’essai : 1.On réalise une cavité dans le sol et on extrait la l a masse de matériaux y compris 2.On mesure le volume de la cavité avec l ’appareil du densitomètre à membrane



V

3.On détermine par pesage au labo le poids de la masse extraite après séchage



P

densité apparente : da=P/V Le densitomètre à membrane c ’est un cylindre dans lequel coulisse un piston poussant de l’eau ; à sa base on adapte une membrane en caoutchouc déformable ; en actionnant le piston on pousse l ’eau qui elle-même pousse la membrane, de sorte que la membrane épouse de manière précise le volume disponible (en l ’occurrence le volume qui

était

occupé

par

l’échanti tilllon

de

te terrre

remanié).

Une graduation à vernier le long du piston permet de mesurer avec précision les variations de volume (V = V 2 - V1) 15

retour   

Contrôle des matériaux de la couche de forme matéri tériaux aux d emprun e mpruntt : R éce écept ption ion de dess  g î tes de ma ’  ’ 

a)

Dés le comm commence encement ment des trav travaux, aux, l’Entreprise doit remettre la provenance et l ’emplacement

des gîtes d’emprunt qu’elle prévoit exploiter avec les essais internes. b)

De ch chaqu aque e gît gîte e de des s pré prélèv lèveme ements nts d’échantillons de matériaux se font contradictoirement en

vue de faire les essais de labo pour identifier la qualité de ces matériaux. Ces prélèvements proviennent du fond de fouilles de profondeur minimale de 1m effectuées manuellement ou par  pelle mécanique. c) La qual qualité ité de ces ma matéria tériaux ux doit ré répond pondre re aux ex exigenc igences es défin définies ies dans le cah cahier ier des ch charge arges s du projet à savoir qualité intrinsèque et de fabrication, notamment :  –   Les llimite imites s d Atterberg  ’Atterberg notamment L notamment  L’indice de plasticité (IP)     généralement : IP doit

être ≤ 15

d)

 –   Et la granulométrie  courbe étalée et bien graduée Si les ré résulta sultats ts des es essais sais po pour ur cha chaque que gî gîte te sont a accep cceptés tés alo alors rs l’entreprise est autorisée à

l’exploiter exploiter.. Sinon, elle doit l’abandonner. e)

L’entreprise doit décaper la couche supérieure de terre végétale du gîte avant d ’entamer 

l’extraction.

suite

L’entreprise doit assurer un nombre suffisant de gîtes dont le vol olum ume e de mat atér éria iaux ux à ex extr tra air ire e co cou uvre se ses s be bes soi oins ns en re remb mbla laiis.

16

 

Contrôle des matériaux de la couche de forme prunt nt : R écep ception des matériaux riaux d empru ’  ’ 

Au cours de l’approvisionnement des matériaux d’apport du gîte, il y a lieu de contrôler  leur qualité par les essais nécessaires sur des échantillons prélevés régulièrement soit du gîte, soit du stock sur chantier et selon et selon cadence du CCTP CCTP..

• Résultats d’essais positifs  accepter les matériaux • Résultats d’essais négatifs



dégager les matériaux

• Le Les s pr prél élèv èvem emen ents ts do doiv iven entt se fa fair ire e co cont ntra radi dict ctoi oire reme ment. nt. • L’en entr trep epri rise se do doit it in info form rmer er l’ad admi mini nist stra rati tion on av avan antt d’ou ouv vrir un no nouv uvea eau u gî gîte te • L’in ing gén énie ieur ur est se seul ul jug uge e de la fr fré équ quen enc ce de des s es essa sais is à ré réa ali lis ser er..

17

suite  

LIMITES D’ATTERBERG : IP

ωL

 

ωP

 

ωR

ωL : teneur en eau qui sépare l’état liquide de l’état plastique ω : teneur en eau qui sépare l’état plastique de l’état solide P ωR

: teneur en eau qui sépare l’état solide avec retrait de l’état solide sans retrait 18

suite  

LIMITES D’ATTERBERG : IP L’indice de plasticité est par définition Ip = ωL -   ωP Cet indice donne une indication sur l’étendue du domaine plastique

19

retour   

20

20

retour   

Contrôle des matériaux du corps de chaussée

R écept éception ion des des g ra rave vess concas concas s és et G R H : 

Dès le commencement du chantier, les provenances des matériaux qui seront utilisés pour les besoins des travaux devront être soumises à l ’agrément de l’ingénieur.



réception   tant à la fourniture La qualité des matériaux sera contrôlée par des essais de réception qu’avant la mise en œuvre, conformément au CCTP.



Un

scalpage

avant

le

concasseur

primaire

éliminera

tous

les

granulométrie < 40 mm est exigé. 

Les matériaux doivent être placés sur des aires dures, propres et nivelées.



Les matériaux pollués avec de la terre doivent être refusés

matériaux

de

21

suite  

Contrôle des matériaux du corps de chaussée

MATERIAUX

Grave concassée

Grave reconstituée humidifiée : GRH

QUALITE A CONTROLER

ESSAI

Limites d’Atterberg

Indice de plasticité : Ip

dureté

Los Angeles : LA Deval humide : DH granularité analyse granulométrique Équivalent de sable ES Limites d’Atterberg Indice de plasticité : Ip dureté

Los Angeles : LA Deval humide : DH granularité analyse granulométrique Équivalent de sable ES

RESULTATS OBSERVATION EXIGES S GENERALEMENT

non mesurable LA < 30 DH > 4 courbe  fuseau ES > 40 non mesurable LA < 30 DH > 3 courbe  fuseau ES > 40

Cadences selon CCTP

retour 

22

 

Contrôle des matériaux du corps de chaussée

C ompos omposition ition de la la G R H 0/20 0/20 : 

La GRH est reconstituée en centrale à partir de deux fractions 0/6 et 6/20.



La composition des deux fractions est celle qui donne un matériau dont la courbe

granulométrique appartient au fuseau spécifié dans le CCTP CCTP.. 

En général les taux des deux fractions sont avoisinants de 50%.



Le dosage en eau est celui correspondant à la teneur en eau optimale déduite de

l’essai Proctor modifié.

23

suite  

Contrôle des matériaux du corps de chaussée C ontrôle ontrôle de fabri fabricat cation ion de la G R H :

Il consiste à vérifier : 

  la séparation séparation des trémies trémies doseurs ;

   l’arrêt

automatique

de

la

centrale

en

cas

l’écoulement des matériaux ;    les

dosages des des différents constituants par pesée 

tolérance admise = ±5%.

de

perturbation

dans

suite

24

 

Contrôle des travaux de la couche de forme et du corps de chaussée C ontrôle ontrôle au cours cour s des des travaux ravaux : 

Les matériaux de chaque couche à l’exception de la GRH doivent être arrosés

et malaxés à l’eau avant d’être réglés pour assurer : - une meilleure cohésion meilleure cohésion - et un meilleur compactage 

l’arrosage et le malaxage des matériaux doit être effectué : - en stock - et sur section après étalage



Les remblais Les  remblais sont  sont mis par couches superposées d’épaisseur comprise entre 15

cm et

30 cm.

suite

25

 

Contrôle des travaux de la couche de forme et du corps de chaussée 

Les gros éléments de dimensions > 15 cm doivent être éliminés.



Pour chaque couche, il faut prévoir une sur largeur d’au moins 25 cm de part et d’autre pour assurer le bon compactage des rives. 

Pour le compactage, il faut :  –   Faire une planche d’essai pour déterminer : •   Les engins de de l’atelier de compactage •   Le nombre nombre de passes •   Et l’épaisseur de la couche à compacter   –   vérifier par rapport aux exigences du CCTP : •  la pression de gonflement des pneumatiques des engins de compactage •   le poids poids des rouleaux rouleaux vibrants lourds. lourds.

suite

Attention : Il est strictement int nte erdit d’exécuter de des s couches minces d’épaisseur < 15 cm

car ell lle es ne tie ien nnent pas.

26

 

Contrôle des travaux de la couche de forme et du corps de chaussée C ontrôle ontrôle après exécution des trava travaux ux : Chaque couche confectionnée doit faire l’objet :

1. D’un contrôle géométrique qui consiste à vérifier : 

  La largeu largeurr de la cou couche che & sa symétrie par rappor rapportt à l’axe



  Le nivellement de chaque PT les remblais : l ’épaisseur moyenne de la couche doit être comprise entre 15 cm et 30 cm    pour

   pour

les couches de forme, de fondation et de base : la

tolérance admise / profils théoriques est +1 cm et – 2 cm.

suite

27

 

Contrôle des travaux de la couche de forme et du corps de chaussée

2. D’un cont contrô rôle le de compa compacta ctage ge à di diff ffér éren ents ts poin points ts de la co couc uche he sel selon on cadence du CCTP  Si

les résultats ne répondent pas aux exigences du CCTP

compacter d’avantage jusqu’à atteindre le seuil demandé.



28

suite  

Contrôle des travaux de la couche de forme et du corps de chaussée

3. D’un cont contrô rôle le de l’ét état at de su surf rfac ace e : on do doit it vé véri rifi fier er la régu régula lari rité té du surfaçage

à

la

règle

de

trois

(3)

mètres

longitudinalement

transversalement transversalem ent : 

Si on constate des zones de ségrégation  les matériaux

devront être à nouveau homogénéisés par brassage à la niveleuse. 

si on constate des bosses  il faut les écrêter 

et

retour 

29

 

Contrôle des travaux de drainage Veiller à ce que : 

l’implantation et le calage de l’ouvrage soit juste pour qu’il assure correctement sa fonction de drainage 

les fonds de fouilles des différents ouvrages (regards, dalots, buses, etc …) soient consolidés et bien compactés : prévoir des couches d’épaisseur minimale 20 cm en TV arrosé et bien compacté 



la qualité des éléments préfabriqués soit conforme aux spécifications du CCTP 

provenance (vérifier les bons de livraison)

 morpholog hologie ie   morp

(pas de fissures, fissures, pas de ségrégation ségrégations, s, pas de cassur cassures es importantes au niveau des joints, etc…) 

géométrie (dimensions, épaisseur, angles, etc…)



  si né néce cess ssai aire re,, ca cass sser er un éc écha hant ntil illo lon n pour pour véri vérifi fier er le ferr ferrai aill llag age e

(dia (d iamè mètr tre, e, nomb nombre re de na napp ppes es,, et etc c…)  vérifier les notes de calcul

suite

30

 

Contrôle des travaux de drainage Veiller à ce que :   le

jointement entre les différents éléments se fait correctement de l’intérieur  comme de l’extérieur :    pour

les fossés, les joints doivent être en mastic de bitume pour  permettre la dilation et le retrait de l ’ouvrage sous l’effet de l’eau

   le

badi badige geon onna nage ge avec avec du flin flintko tkote te ou prod produi uitt sim simil ilai aire re so soit it effe effectu ctué é ava avant nt remblaiement remblaieme nt de l’ouvrage    le

remblai con contigu tigu soit réalisé correctement correctement : 

avec du sable, TV ou matériaux sélectionnés de bonne qualité



par couches de 20 cm d ’épaisseur au maximum



méthodiquement compacté



compactage hydraulique pour le cas du sable confiné



avec dame sauteuse ou cylindre selon la largeur du remblai

retour 

31

 

Contrôle des travaux de trottoirs Veiller à ce que :    les

matériaux de rembla remblaiement iement de trottoirs soient de bonne bonne qualité 

   le

éviter les matériaux de rebus utilisés souvent s ouvent par les entreprises

compactage de ces matér matériaux iaux soit réalisé correctement

qualité des bord bordures ures soit la requise (dosage, (dosage, dimensions, etc…)   la nature, l’épaisseur et le compactage du lit de pose en sable sous pavés

   la

épai aisse sseur ur    l’ép

du pavé pavé au auto to-b -blo loqu quan antt carrossable ou non 

soit soit re resp spec ecté tée e se selo lon n qu que e le tr trot ottoi toirr soit soit

pour les trottoirs carrossables : épaisseur min = 6 cm  pour les trottoirs non carrossables : épaisseur min = 4 cm

retour   

Contrôle des équipements et de la signalisation

Veiller à ce que :    l’entreprise a remis les plans approuvés des équipements et de signalisation    la

qualité des équi équipements pements soit conforme aux spécifications du CCTP : − type de peinture homologué peinture homologué − validité  validité du  du produit pour les peintures − la  la galvanisation chaud des équipements en acier   galvanisation à chaud des



les entreprises sous-traitantes soient agrées



une planche d’essai pour la peinture soit réalisée



les surfaces qui recevront des peintures soient bien nettoyées



les massifs d’ancrage soient en béton armé



les panneaux directionnels soient libellés en arabe et en français

32

retour   

 ANNEXES

33

34  

TENEUR EN EAU

La te tene neur ur en ea eau u es estt dé défi fini nie e co comm mme e le rap appo port rt de la diff différ éren ence ce en entr tre e la ma mass sse e de ’



l éc écha han nti till llon on à sa te tene neur ur en ea eau u en l ét état at et sa ma mass sse e sè sèch che, e, à la ma mass sse e sè sèch che e de ’

l échantillon :

ω

= (M - M’s) / Ms x 100 [%]

Ma’ : Masse de l’échantillon à sa teneur en eau en l’état. Ms’ : Masse de l’échantillon après lavage et séchage à 105 C. M’s : Mas Masse se de l’échantillon séché à 105 C sans lavage préalable. °

°

Retour 

35

 

COMPACITE DES MATERIAUX



La compacité d un matériau est la proportion de son volume réellement occupé par la matière solide qui le constitue :

C = Vs / Va x 100 [%].

Vas : Volume de l’’échantillon à l’’état naturel. de compacité absolu.

Retour   

ANALYSE GRANULOMETRIQUE

But de l’essai : Déte Dé terrmi mine nerr la gross rosse eur de des s diffé iffére rent nts s gra rain ins s con co nstit stitua uant nt un gra granula nulatt et le les s po pour urce cent ntag ages es pondéraux des différentes familles de ces grains.

Principe de l’essai : L’ess essai ai co cons nsist iste e à cl clas asse serr le les s di diff ffér éren ents ts gr grai ains ns constituant consti tuant l’échantillon en utilisant une série de tamis, emboités les uns sur les autres, dont les dimensions des ouvertures sont décroissantes du haut vers le bas.

36

37

suite  

ANALYSE GRANULOMETRIQUE Défini Déf initio tions ns 1 :  –   Tamisa amisage ge : c’est l’opération qui consiste à séparer un matériau en différentes fractions au moyen d’une série de tamis de caractéristiques connues.  –   Tamisâ amisâtt : c’est la partie du matériau qui passe à travers le tamis.  –   Refus : c’est la partie retenue par le tamis.  –   Mod Module ule de fines finesse se : éga égall au 1/10 1/100 0 de la somme des refu refus, s, exprim exprimés és en % sur les

différents tamis. Défini Déf initio tions ns 2 : Il exist existe e cinq classes granu granulaires laires principa principales les caract caractérisée érisées s par les dimens dimensions ions extrêmes (D et d) des granulats rencontrés :



  Les fines :

0/D

avec

D ≤ 0,08 mm



  Les sables :

0/D

avec

D ≤ 6,3 mm



  Les gravillons :

d/D

avec

d ≥ 2 mm et D ≤ 31,5 mm

d/D 0/D

avec avec

d ≥ 20 mm et D ≤ 80 mm 6,3 mm ≤ D ≤ 80 mm



  Les cailloux :    Les graves :

suite  

ANALYSE GRANULOMETRIQUE Expression des résultats :

Courbe granulométrique

38

suite

39

 

ANALYSE GRANULOMETRIQUE Fuseaux granulométriques de référence : Le fuseaux granulométrique est la zone délimitée par deux courbes granulométriques

suite  

ANALYSE GRANULOMETRIQUE Fuseaux granulométriques de référence :

40

41

suite  

ANALYSE GRANULOMETRIQUE

Présence de palier qui montre le manque d’une fraction granulaire d/D

Courbe continue

Courbe discontinue

42

suite  

ESSAI ESS AI MIC MICRO RO - DEV DEVAL AL But de l’essai : Mesurer L’usure des granulats par frottements réciproques. Principe de l’essai : Il consiste à placer dans un appareil micro-Deval tournant pendant un temps t : 

  un gran granulat ulat de classe d/D,



  une charge abrasive,

   et

de l’eau si l’essai est effectué en présence d ’eau.

Puis recueillir le granulat et le tamiser à travers un tamis 1,6 mm.

1

2

 Appareil Micro-DEVAL

Suite

Tamis d’ouverture 1.6 mm 43

 

ESSAI ESS AI MIC MICRO RO - DEV DEVAL AL

Expressi Expr ession on des résultats résultats :

Le coefficient micro-Deval (sec MDS ou en présence d’eau MDE) est par définition :

MD = 100 m / M

masse sèche de la fraction du matériau passant après l’essai au tamis 1,6 mm

masse sèche en grammes de L’échantillon pour essai

44

Retour   

ESSAI DEVAL But de l’essai : Mesure Mesu rerr L’us usur ure e des des gr gran anul ulat ats s par par frot frotte teme ment nts s ré réci cipr proq oque ues s et les les ch choc ocs s modé mo déré rés s des des él élém émen ents ts d’un éc écha hant ntil illo lon n de gr gran anul ulat ats s de class classe e 25 25/5 /50 0 mm (utilisés généralement pour le ballast des voies ferrées). Principe de l’essai : Il consiste à placer dans un appareil Deval : granulat de classe 25/50 mm (4,2 kg de 25/40 + 2,8 kg de 40/50 40/50), ),  un granulat 

et de l’eau si l’essai est effectué en présence d ’eau.

Puis recueillir le granulat et le tamiser à travers un tamis 1,6 mm.

D = 2800 / m sec DS en présence d’eau

masse sèche de la fraction du matériau

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