Manual Franceza A1

April 25, 2017 | Author: emylyan88 | Category: N/A
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Manual Limba franceza cu exercitii pentru incepatori . Este luat din cartile si dictionarele de franceza....

Description

MANUAL CURS LIMBA FRANCEZA

in parteneriat cu

NIVEAU DÉBUTANT(A1)

COMMUNICATION 1.

FAIRE CONNAISSANCE EN MILIEU PROFESSIONNEL

1.1 FAIRE CONNAISSANCE

Situation 1 : A. Dujardin : Bonjour, Madame ! Je me présente : je m’appelle Aurélien Dujardin. Je travaille pour la société XD. J. Navarre : Bonjour ! Ravie de faire votre connaissance ! Moi, je suis Juliette Navarre. Je travaille chez BT Online. A. Dujardin : Très heureux de faire votre connaissance ! J. Navarre : Moi aussi, je suis ravie de vous connaître ! Mon patron vous attend déjà dans son bureau. Par là, s’il vous plaît… en fait, je vous accompagne.

Situation 2 : M. Jospin : Bonjour, vous êtes bien madame Monnet ? Mme Monnet : Oui, c’est moi. Vous devez être M. Jospin… Entrez, s’il vous plait ! M. Jospin : Merci ! Comment allez-vous ? Mme. Monnet : Très bien, merci. Et vous ? Vous avez fait bon voyage ? (…)

Situation 3 : M. Dupont : Bonjour ! Vous parlez français ? R. Ionescu : Oui, un peu… M. Dupont : Je suis Michel Dupont. J’ai rendez-vous avec M. Radu Stoica. R. Ionescu : Raluca Ionescu, enchantée. Vous pouvez attendre encore un peu. M. Stoica est en réunion en ce moment. M. Dupont : Oui, oui, j’attends, pas de problème.

1.2. FAIRE CONNAISSANCE Clara L. : Bonjour ! Je peux vous aider ? Vous cherchez quelqu’un ? Daniel D. : Bonjour ! Non, merci. En fait je dois m’installer dans mon bureau. Je suis un nouvel employé. Clara L. : Vous êtes français ? Daniel D. : Non, Madame, je suis roumain. Clara L. : Ah, je vois. Vous savez, c’est vraiment un plaisir de vous connaître. Mes parents sont roumains. Je suis née et élevée en France, mais je parle un peu le roumain aussi… Mais je me présente : je m’appelle Clara Lazare et je suis réceptionniste et assistante du chef du département RH. Daniel D. : Très enchanté ! Moi, je m’appelle Daniel Dima, ingénieur. Je suis en France pour un stage de 10 mois. Clara L. : C’est très bien. En plus, vous parlez très bien le français ! Mais tenez, c’est notre chef de département, M. Fourny. M. Fourny : Salut, Clara ! Tu vas bien ? Clara L. : Oui, très bien ! Bonjour ! Je vous présente Daniel… Daniel Dima, c’est ça ? Daniel D. : Oui. Bonjour M. Fourny ! Très content de vous rencontrer ! Xavier F. : Bonjour, M. Dima ! Enchanté ! Alors, un nom russe… vous êtes russe ?

Daniel D. : Ah non, je suis roumain. Je suis en France pour un stage professionnel dans votre entreprise. Je commence aujourd’hui. Xavier F. : Mais c’est bien, très bien ! Bon courage ! Et félicitations pour votre français; il est vraiment très bon.

1.3. SE PRESENTER. PARLER DE SA FONCTION Xavier D. : Bonjour ! Avant de commencer, je pense que nous allons faire un petit tour de table. Philippe D. : Alors, je passe en premier… Je m’appelle Philippe Dejouy et je suis directeur-produits de la branche packaging. Je suis dans l’entreprise depuis 2007. Un vétéran, on dirait… Caroline D. : Bonjour ! Mon nom est Caroline Duroy et je dirige le service de publicité. Je m’occupe des campagnes publicitaires en collaboration avec notre agence de publicité. Laurent A. : Donc… Laurent Backouche, je dirige le service markenting qui compte environ 35 personnes. Je m’occupe des relations avec nos clients et mon service crée aussi la stratégie marketing du club. Xavier D. : Voilà, je vous présente Danielle Saffar, directrice de Publi-Unions. Je pense que vous allez pouvoir nous présenter votre maison. Danielle S. : Bien sûr ! Je viens d’être nommée directrice d’une maison d’édition spécialisée dans des ouvrages de marketing, comptabilité et gestion. A ce titre, j’assure donc la direction éditoriale. Je suis également responsable de la diversification dans des domaines tels que le droit, l’économie, la santé etc.

1.4. SE PRESENTER. PARLER DE SON PARCOURS Dans une grande entreprise de construction, avant une réunion de travail, le PDG arrive, accompagné d'un nouveau directeur de section. Le PDG : Je vous présente, messieurs, notre nouveau collaborateur, Philippe Aubry, chargé de mettre en place la section urbanisme. Un jeune cadre : Vous prenez du café, Philippe? Il est encore chaud.

P.A.: Oui, merci. Le chef du personnel : Philippe Aubry? C'est vous qui avez écrit « La vie moderne et l'urbanisme », je suppose… P.A. : Oui, oui. C'est un livre de jeunesse, j'étais encore à l'université. Le chef du personnel : Vous aviez à l'époque l'intention d'enseigner à l'université, n'est-ce pas? P.A. : En effet, j'ai enseigné quelques années à l'université de Nanterre, mais j'ai décidé ensuite de me consacrer à la vie active des entreprises. Créativité et compétition, voilà ce que je recherche dans ma vie professionnelle. Le chef du personnel : Alors vous êtes tout de suite entré chez DENO? P.A. : Non. J'ai d'abord été chef de section au ministère de l'Equipement et du Logement. Mais je ne m'entendais pas très bien avec mon patron. Nos conceptions en matière d'urbanisme étaient très différente… Un jeune cadre : Vous avez donc quitté le ministère ? P.A. : Oui, c'est ça. J'ai profité d'une offre de l'Institut de recherche dans le bâtiment de Boston et je suis parti aux Etats-Unis. Un jeune cadre : Et vous êtes restés longtemps aux Etats-Unis ? P.A. : Quatre ans. C'est là que j'ai rencontré monsieur Bouin, lors d'un colloque international. Intéressé par mes travaux, il m'a proposé de rentrer en France comme directeur de sa section urbanisme. Chef du personnel : Vous arrivez donc des Etats-Unis? P.A. : Non, non, je viens déjà de passer une année au siège de Paris. Comme vous savez, monsieur Bouin à décidé de créer une nouvelle section ici. Il m'a chargé d'en prendre la responsabilité. Le P.D.G. : Bon, c'est très bien tout ça, mais c'est déjà l'heure de votre réunion. Alors, bonne chance et à bientôt, M. Aubry !

Bonjour !

Bonjour, Monsieur/Madame/Mademoiselle/Mesdames et messieurs !

Bonsoir !

Bonjour, Monsieur X !

Au revoir !

Au revoir ! Bonne journée !/ Bonne soirée !/ Bon après-midi !/ Bonne fin d’après-midi !/ Bon week-end ! etc.

A plus (tard) !

A tout à l’heure ! A demain ! A lundi ! etc.

S’il vous plaît !

…, s’il vous plaît ! / Je vous prie de… ! (officiel/conseillé à l’écrit) ≈

Merci !

Merci de… (plus direct) Merci de… ! / Je vous remercie pour… ! (officiel/conseillé à l’écrit)

De rien !

Je vous en prie ! (officiel)

Attention ! La politesse n’est pas universelle et chaque pays a son code qu’il faut connaître. En France par exemple, le code est assez formel. Quand on vous demande : « Comment allezvous ? », c’est une question souvent rhétorique. On ne veut pas forcement savoir comment vous allez, mais on engage de cette façon la conversation!

GRAMMAIRE SUJET

Complement d’objet direct/ indirect

je

me//me

tu

te//te

il/elle/on

le/la//lui

nous

nous//nous

vous

vous//vous

ils/elles

les//leur

Observez : S U J E T « Alors, je passe en premier… Je m’appelle Philippe Dejouy et je suis directeur- produits de la branche packaging. » | Qui passe en premier ? (…) Qui est directeur-produits ? : « je » = sujet

C.O.D. et C.O.I. : « Je vous présente, messieurs, notre nouveau collaborateur, Philippe Aubry, chargé de mettre en place la section urbanisme (…). Je veux bien vous le présenter parce qu’il dirige déjà le projet concernant l’aménagement de notre plateau à Pitești.» | A qui je présente Philippe Aubry ? : à vous, je vous (C.O.I.) le présente ; Qui je vous présente ? : Philippe Aubry, je vous le (C.O.D.) présente.

masc.

fém.

pl. (masc. et fém.)

Define

le (l’)

la (l’)

les

Indéfini

un

une

des

L'article défini (« le », « la », « les ») : il accompagne un nom dont le sens est complètement déterminé, c'est-à-dire que l'être ou l'objet accompagné est individualisé, repéré, connu :

Ex. : le secteur automobile, la branche packaging etc. « Je suis également responsable de la diversification dans des domaines tels que le droit, l’économie, la santé etc. » « Oui, c'est très bien le reporting pour le mois de novembre, mais c'est déjà l'heure de la réunion. On s’en va alors ?... C’est bien par là la salle de réunion ? »

L'article indéfini (« un », « une », « des ») : I l accompagne un nom, qu'il distingue des autres noms de la même espèce, mais sans lui apporter plus de précision ou auquel il donne une valeur générale : Ex. : « Je suis un nouvel employé ». « Je viens d’être nommée directrice d’une maison d’édition spécialisée dans des ouvrages de marketing, comptabilité et gestion. »

Les formes contractées : Les prépositions « à » et « de » se contractent avec l’article défini au masculin singulier et au pluriel ; avec la forme « la » et la forme élidée « l’ », il n’y a pas de contraction. ….. Observez : « J’ai parlé ce matin au chef de projet. Nous avons corrigé ensemble les dates fautives du planning initial… Tu as les adresses des autres ? Je veux leur envoyer par mail le nouveau planning. »

« le » (masc. sg.)

« la » (fém. sg.)

« l’ » (masc./fém. sg.)

« les » (masc./fém. pl.)

prép. « de »

Du

de la

de l’

des

prép. « à »

Au

à la

à l’

aux

L’article partitif : C’est un article indéfini employé devant un nom désignant : (a) une réalité indénombrable :

Ex. Il fait du sport chaque jour./ Vous mangez souvent du poisson ? (b) une chose abstraite : Ex. Vous avez du courage pour agir ainsi !/ Marcher dans le parc le printemps… Que ça fait du bien !

Attention ! L’article partitif introduit un groupe nominal qui désigne une partie ou une quantité de quelque chose qu’on ne peut pas compter.

prép. « de »

« le » (masc. sg.)

« la » (fém. sg.)

« l’ » (masc./fém. sg.)

« les » (masc./fém. pl.)

du

de la

de l’

des

ATTENTION ! (a) Ne pas confondre « des », article indéfini et « des », article défini contracté. Pour arriver à faire la différence, mettez le nom déterminé au singulier. Si on peut rmplacer 'des' par 'un' ou 'une', c’est un article indéfini. Ex. : J’ai attrapé des microbes au bord de la mer. J’ai attrapé un microbe au bord de la mer. ( des = article indéfini) Je suis dégoûté des bains de mer. (On ne peut pas remplacer « des » par « un », donc c’est un « article défini contracté ».)

(b) Ne pas confondre « du », article défini contracté et « du », article partitif. Quand « du » est un article partitif, on peut le remplacer par « un peu de ». Ex. : Je bois du café. (Je bois un peu de café > article partitif) ≠ Je suis revenu du voyage.

LES NATIONALITES /Fiche-papier/ Les majuscules pour les nationalités (a) on met une majuscule pour les noms : Ex. : Les Français aiment les fromages. (b) on ne met pas de majuscule pour les adjectifs désignant l’appartenance nationale, linguistique ou culturelle : Ex. C’est un passeport suisse. Il est cubain ; sa femme est russe. Leur enfant parle couramment les deux langues, l’espagnol et le russe.

2. DIVERSITE D’AFFAIRES EN COMMUNICATION

CULTURELLE ET SOCIALE. COMMUNICATION CONTEXTE MULTICULTUREL. ACTES SOCIAUX

2.1. PRESENTER. SE PRESENTER Jean : Excusez-moi, Adrian. Ma collègue voudrait faire votre connaissance. Est-ce que je peux vous présenter ? Miguel : Oui, bien sûr ! (….) Jean : Lisa, tu ne connais pas encore Adrian Munteanu, je crois. Mihai, je vous présente madame Lisa Bruckner, notre chef de projet. Elle est votre responsable de stage. Lisa Bruckner : Bonjour, Adrian. Ravie de vous connaître ! Adrian : B o n j o u r , Madame ! Moi de même. Je suis très heureux de faire votre connaissance ! Lisa Bruckner: C’est votre premier séjour en France ? Adrian : Non, je suis déjà venu en vacances avec des amis. Après ; vous savez… je veux améliorer mon français et j’ai eu la chance de trouver ce stage. Je dois passer un semestre à l’étranger pour mes études.

Lisa Bruckner : Et quelles études vous faites alors ? Adrian : Ingénierie mécanique à la faculté polytechnique, à Bucarest, en Roumanie. Lisa Bruckner : Alors bienvenue à MEDEx, Adrian ! Je vous montre votre bureau ? Adrian : Avec plaisir. Lisa Bruckner : C’est par là ! Le mien est juste à côté. Allons prendre un café ! Vous venez ? Adrian : Je suis désolé, mais le directeur des ressources humaines m’attend… Lisa Bruckner : Ah, je vois. A toute à l’heure, alors ? Adrien : A plus tard ! Merci ! 2.2. PRESENTER. SE PRESENTER Dans une grande entreprise de construction, avant une réunion de travail, le PDG arrive, accompagné d'un nouveau directeur de section. Le PDG : Je vous présente, messieurs, notre nouveau collaborateur, Philippe Aubry, chargé de mettre en place la section urbanisme. Un jeune cadre : Vous prenez du café, Philippe? Il est encore chaud. P.A.: Oui, merci. Le chef du personnel : Philippe Aubry? C'est vous qui avez écrit « La vie moderne et l'urbanisme », je suppose… P.A. : Oui, oui. C'est un livre de jeunesse, j'étais encore à l'université. Le chef du personnel : Vous aviez à l'époque l'intention d'enseigner à l'université, n'est-ce pas? P.A. : En effet, j'ai enseigné quelques années à l'université de Nanterre, mais j'ai décidé ensuite de me consacrer à la vie active des entreprises. Créativité et compétition, voilà ce que je recherche dans ma vie professionnelle. Le chef du personnel : Alors vous êtes tout de suite entré chez DENO? P.A. : Non. J'ai d'abord été chef de section au ministère de l'Equipement et du Logement. Mais je ne m'entendais pas très bien avec mon patron. Nos conceptions en matière d'urbanisme étaient très différente… Un jeune cadre : Vous avez donc quitté le ministère ? P.A. : Oui, c'est ça. J'ai profité d'une offre de l'Institut de recherche dans le bâtiment de Boston et je suis parti aux Etats-Unis.

Un jeune cadre : Et pour combien de temps ? P.A. : Quatre ans. C'est là que j'ai rencontré monsieur Bouin, lors d'un colloque international. Intéressé par mes travaux, il m'a proposé de rentrer en France comme directeur de sa section urbanisme. Chef du personnel : Vous arrivez donc des Etats-Unis? P.A. : Non, non, je viens déjà de passer une année au siège de Paris. Comme vous savez, monsieur Bouin à décidé de créer une nouvelle section ici. Il m'a chargé d'en prendre la responsabilité. Le P.D.G. : Bon, c'est très bien tout ça, mais c'est l'heure de votre réunion. Alors, bonne chance et à bientôt, M. Aubry !

2.3. PRESENTER SON EQUIPE Juliette N. : Nous sommes dix personnes. C'est une petite équipe d'ingénieurs. Nous sommes dynamiques, travailleurs et nous sommes tous unis par la même philosophie: tradition et innovation. Yann D. : Comment se compose votre équipe? Juliette N. : Nous avons trois architectes spécialisés dans la restauration. Deux autres ont une formation d'ingénieurs qualifiés dans le traitement des nouveaux matériaux. Yann D.: Votre agence est assez connue. Quelle est la clé de votre succès? Juliette N. : C'est d'abord la qualité des personnes de cette entreprise. Ils sont créatifs, flexibles, ouverts et ingénieux. Et ils sont avant tout compétitifs. Ils l'ont démontré en gagnant le concours de la bibliothèque municipale, l'année dernière. (…) Yves R. : Notre compagnie est spécialisée dans la distribution d'ordinateurs. C'est une des plus grandes compagnies dans cette activité. Elle a été fondée en 1985. Nous avons commencé seulement avec dix employés et très vite nous avons doublé nos profits… Grâce à cette réussite, nous avons pu étendre notre réseau de distribution à un niveau international. Mais avant tout, nous sommes une entreprise familiale fière de pouvoir satisfaire nos clients avec un service excellent et toujours personnalisé.

RETENEZ!

Pour saluer :

Salut! Ça va? (informel) Bonjour, Madame/Mademoiselle/Monsieur (Mesdames/Mesdemoiselles/Messieurs) ! Vous allez bien ? (formel) Enchanté/-e ! Ravi/-e de vous connaître ! Très heureux/-euse de faire votre connaissance !

Pour souhaiter la bienvenue :

Bienvenue chez nous/Assystem etc. Bienvenue en Roumaine/France etc. Bienvenue à Bucarest/ à Paris etc.

Pour interpeller/attirer l’attention de quelqu’un :

Excusez-moi, Madame/Mademoiselle/Monsieur !... Pardon! Je voudrais… Dis-moi, s’il te plaît…/Ditez-moi, s’il vous plaît… Au fait… / A propos…

Pour accepter/refuser poliment une invitation :

Oui, bien sûr !/ Avec plaisir ! Je suis désolé(e)/Excusez-moi, mais…

Pour introduire une Tu ne connais pas… / Vous ne connaissez pas…, je crois. présentation : Est-ce que je peux te/vous présenter… ? Je voudrais te/vous présenter… Permettes-moi de vous présenter… Ma/Mon collègue voudrait faire votre connaissance…

Jouez la situation à trois. Vous êtes dans une soirée/un dîner d’affaires et vous présentez les relations suivantes : ami/-e, collègue, époux/-ouse etc.

GRAMMAIRE: LE PRÉSENT DES VERBES RÉGULIERS ET IRRÉGULIERS

LA NÉGATION Observez les séquences soulignées : « Le chauffeur : Bonsoir ! Vous êtes Monsieur Thomas, n’est-ce pas? M. Thomas : Oui, c’est moi. Et vous… vous êtes le chauffeur de la société ARFEX ? Le chauffeur : Oui, oui, je suis le nouveau chauffeur. Je m’appelle Nejeib Barka. M. Thomas : Pardon ? Vous avez dit comment ? Le chauffeur : Barka. Nejeib Barka. B.A.R.K.A. M Thomas: Ah! Barka. Vous êtes français? Le chauffeur: Mais non, je suis tunisien. M. Thomas : Oh! Excusez-moi! Je ne comprends pas. Je ne parle pas français. Le chauffeur : Oh, ça ne fait rien. Moi, je ne parle pas anglais. » Pour former une négation on utilise les mots « ne »… « pas » qui encadrent le verbe : Ex : « Je ne parle pas français ». Quand le verbe commence par une voyelle « ne » se transforme en « n' »: Ex: Peut-on se voir demain? Je n'ai pas de temps aujourd’hui. Avec verbe à l’infinitif: «Ne» et «pas» sont collés et se placent devant le verbe à l'infinitif. Ex : Nous avons décidé de ne pas aller à la réunion.

LES PRONOMS NEGATIFS. EMPLOI

Les pronoms négatifs peuvent être sujets ou objets du verbe, excepté nul qui peut seulement être sujet. On les distingue des déterminants aucun, nul et pas un par le fait que les déterminants se rapportent toujours directement à un nom, alors que les pronoms le remplacent. 1. Aucun(e), nul(le) signifient zéro. ≠ plusieurs, quelques-uns, tous, un. Aucun(e) = nicunul/niciuna ; niciun/nicio Ex. J'ai analysé quelques propositions, mais aucune ne m'intéresse. (sujet) Avez-vous des ennemis? - Non, je n'en ai aucun. (objet)

As-tu rencontré quelques difficultés? - Non, je n'en ai rencontré aucune. (objet) Nul(le)... ne = niciunul/niciuna (il est plus littéraire que aucun). Ex. Nul ne peut le remplacer.

2. Personne... ne (sujet) et Ne... personne (objet) ≠ quelqu'un, tout le monde Ex. Personne ne l'aime. (sujet) As-tu vu quelqu'un dans la salle? - Non, je n'ai vu personne. (objet) Il a décidé de ne voir personne aujourd'hui. (objet) As-tu parlé à quelqu'un? - Non, je n'ai parlé à personne. (objet) Je n'ai trouvé personne. (objet) Il est parti sans voir personne. (objet) REMARQUES Quand personne est suivi d'un adjectif, il faut ajouter de et l'adjectif est invariable. Ex. J'ai bien regardé, mais je n'ai vu personne d'intéressant. Quand personne est suivi d'un infinitif, ajoutez à. Ex. Nous n'avons personne à voir aujourd’hui.

3. Rien... ne (sujet) et Ne... rien (objet) ≠ quelque chose, tout. Ex. Je m'ennuie et rien ne m'intéresse. (sujet) Qui ne risque rien n'a rien. (objet) (proverbe) Je te demande de ne rien dire à mon père. (objet) Il n'a rien gagné à Las Vegas. (objet) Je ne veux rien du tout, merci. (objet) Quand rien est suivi d'un adjectif, il faut ajouter de et l'adjectif est invariable. Ex. Il n'y a rien de drôle dans cette affaire. Quand rien est suivi d'un infinitif, il faut ajouter à.

Ex. As-tu quelque chose à dire? - Non, je n'ai rien à dire. Faites bien la distinction entre rien et aucun. Ex. Je n'ai rien vu de plus beau. ("Nu am văzut ceva mai frumos") Je n'en ai vu aucun de plus beau. ("Nu am văzut niciunul/nici unul mai frumos")

4. Ne... pas grand-chose Ex. As-tu bien travaillé hier? - Non, parce que je n'avais pas grand-chose à faire. Il ne possède pas grand-chose. Le conférencier n'a pas dit grand-chose d'intéressant. Qu'est-ce qu'il y a de nouveau dans le journal? - Oh, pas grand-chose. Il a décidé de ne pas faire grand-chose. LES ADJECTIFS POSSESIFS Observez : « Mon » bureau est juste à côté. | un bureau, n. masc. « Ma » collègue, Lisa Bruckner veut faire votre connaissance | une collègue, (ici) n. fem.

un objet masc. mon son

fém. ton ma ta sa

notre votre leur

plusieurs objets masc. et fém. mes tes ses

nos vos leur

!!! « ami », n. masc. > mon ami, mais « amie », n. fém. > mon amie | mon/ton/son idée

mon/ton/son armoire ; mon/ton/son automobile etc. Aimez-vous les tapis turcs ?

3.

LE MILIEU DE TRAVAIL. AU BUREAU

COMMUNICATION 3.1. S’ORIENTER DANS L’ENTREPRISE Situation 1: - Pardon, je cherche le laboratoire, s’il vous plaît. - Au premier étage, salle 13. - C’est où exactement? -

Vous prenez l’ascenseur, en sortant, en face, il y a un couloir. C’est la première salle à

gauche dans le couloir. - Merci beaucoup. - De rien. Situation 2: - La réunion se passe où aujourd’hui ? - Dans la nouvelle salle. - La nouvelle salle?! - Oui, derrière la réception. - Ah, oui, je me rappelle. Merci! Situation 3: - Excusez-moi, le bureau 25 s’il vous plaît ? - Au deuxième étage, dans le petit couloir à droite, la grande porte à gauche. - Merci. Où est l’escalier? - Derrière vous. Mais vous avez l’ascenseur juste à droite. - Merci.

- Je vous en prie. Situation 4: - Pardon, est-ce qu’il y a un distributeur de boissons ? - Oui, regardez, là, à droite. Vous avez la cafétéria et au fond, il y a le distributeur. - Faites attention à la marche ! - Ah oui, merci. - Je vous en prie. Situation 5: - Bonjour, j’ai rendez-vous avec M. Martino à 15h00. - Oui, il vous attend déjà. Son bureau est au rez -de-chaussée, juste après la baie vitrée. - Merci, je connais le chemin. Situation 6: - Vous cherchez quelqu’un? - Oui, je crois que je me suis égaré. Je cherche l’atelier de dessin. - Oh, c’est complètement à l’opposé. - Ah oui, je crois que j’ai tourné en rond. - Ce n’est pas étonnant, quand on ne connaît pas ici. Situation 7: -

Excusez-moi, je dois aller en salle de conférence mais je ne sais pas où elle est, je suis

nouveau. - Laquelle? - Euh, je ne sais pas… Pourquoi, il y en a combien ? - 3, une grande et deux plus petites. - Je pense que c’est la grande, c’est pour la réunion d’information sur le nouveau projet -

C’est sûrement la salle « Manet », c’est celle du dernier étage. Vous ne pouvez pas vous

tromper.

Situation 8: - Vous pouvez m’indiquer les toilettes, s’il vous plaît ? -

Celles de cet étage, sont actuellement en travaux, vous devez aller au premier. C’est

indiqué. - Merci. Situation 9: -

Excusez-moi, l’entrepôt, c’est bien par là ?

- Oui, vous traversez la cour et vous le voyez tout de suite. - Merci ! Situation 10: -

Pardon…

-

Oui ?

-

Ou se trouve le distributeur le plus proche ?

-

Au fond du couloir, par-là.

-

A droite ?

-

Non, c’est la porte plus loin, sur la gauche.

-

Merci !

-

De rien.

!

Je cherche… (la salle de réunion/ le laboratoire/ le distributeur etc.)

C’est où exactement ? (la réunion/la fête/la réception etc.) … se passe où aujourd’hui ? (le bureau 13, l’ascenseur etc.) … s’il vous plaît ? Où est … (l’escalier, le bureau du chef de département etc.) ? Est-ce qu’il y a… (un distributeur d’argent/ un bureau de poste etc.) ?

Vous cherchez… (qui/ quelqu’un/ M. Durand) ? Je dois aller… (en salle de conférences/ à la réception etc.). Vous pouvez m’indiquer… (les toilettes, l’ascenseur etc.) s’il vous plaît ! (l’entrepôt, le bureau administratif etc.)… c’est bien par là ?

Qui parle à qui ? Est -ce que les interlocuteurs sont deux membres de l’entreprise (communication interne) ou non (communication externe) ? Faites des hypothèses sur leur fonction.

L’INTERROGATION

QUI ? QUE ? QUOI ? OÙ ? QUAND ? COMMENT ? POURQUOI ? COMBIEN ? QUEL/QUELS ? QUELLE/QUELLES ?

A.

Formulation formelle et à l’écrit : « Où vas -tu ? » = /mot interrogatif + verbe + sujet/

B. Formulation très classique (souvent employée à l’oral) : « Où est -ce que tu vas ? » = /mot interrogatif + ‘est-ce que’ + sujet + verbe/ C. Formulation familière et typique à la langue parlée (fort déconseillée dans un contexte formel ou écrit) : « Où tu vas ? » // « Tu vas où ? » = /mot interrogatif + sujet + verbe/ totalement exclue dans un contexte formel ou écrit.

Interroger… …à propos d'une personne :

Qui a fait ça ? / A qui pensez-vous en disant ça ? / De qui parlez-vous en fait ? Avec qui peut-on s’associer ? Pour qui fait-on tout ça ? Contre qui agit-il ? etc.

… à propos d’une chose :

Que faites-vous ? / Vous faites quoi ? A quoi pensez-vous ? - De quoi parlez-vous ? Avec quoi ....? Sur quoi ...? etc.

… à propos d’un lieu :

Où se trouve le distributeur ? - Dans quelle rue ? - A quel endroit ? Quand êtes-vous parti ? - A quelle heure/date ? Depuis quand êtes-vous ici ? - Depuis combien de temps ...? Il est parti pour combien de temps ? Pendant combien de temps a-t-il été là ?

… à propos du temps : … à propos de la cause :

3.2.

Pourquoi est-il parti ? - Pour quelle raison ?

5 REGLES POUR MIEUX VIVRE DANS LES BUREAUX OPEN-SPACE

Aujourd’hui plus de 65% des entreprises sont organisées en open-space. Personne ne remet plus en cause cette organisation du travail. Nous passons plus de temps au bureau qu’en famille, c’est pourquoi des codes de “bonnes conduites” se sont installés, plus ou moins bien acceptés par l’ensemble des collaborateurs. On vous propose de mettre en place les 5 règles essentielles du bien vivre dans un bureau open-space. 1. Parler à mi-voix au téléphone. Utiliser un casque permet d’une part un confort d’écoute renforcé, et d’autre part la possibilité de parler à mi -voix, grâce à la qualité des

micros. 2. S’isoler ou s’éloigner lors de ses conversations téléphoniques personnelles. Eviter de gêner son équipe, et placer son téléphone sur le mode “vibreur”. 3. Se solidariser des membres de son équipe lors d’intrusions externes. Exemple : “Mon manager a le chic lorsqu’il rentre dans le bureau d’oublier que nous sommes en openspace; De sa voix sonore, il interpelle l’un d’entre nous sans se préoccuper de voir si nous sommes en conversation avec un client, ou en train de finaliser la rédaction d’un dossier complexe!” Pour pallier ce type d’intrusion, placer sur la porte un panneau déclinant un code de bonne conduite en 3 points : (a)

Je rentre avec le sourire…

(b)

Je ne claque pas la porte…

(c)

Je vais directement voir mon collaborateur, sans faire de détour…

Apprendre la tolérance. Dans un bureau open space, il y a ceux concentrés sur un dossier, qui ont besoin de calme, et d’autres qui ont envie de se détendre et de partager une blague. Savoir observer, être à l’écoute des autres, et attendre s’il le faut que chacun soit disponible pour échanger une plaisanterie permet une attention “à l’autre”.

4. Je range mon espace le soir. Avant, dans “mon” bureau, les dossiers s’empilaient… Maintenant, je m’oblige à laisser mon espace propre et rangé… Aménager, c’est manager ! De grandes entreprises, (Microsoft, Sanofi, LCL etc.) optimisent leurs m2, et pour cela s’entourent de professionnels : architectes d’intérieur, ergonomes, psychologues du travail… afin d’aménager au mieux ces espaces de vie : des petits bureaux où l’on peut travailler à 3 ou 4, des espaces silences sans téléphone, des lieux conviviaux privilégiant échanges et détentes, confortablement installés sur des canapés… Passer plus de 7 heures sur un plateau, à supporter le regard de chacun, à se sentir contrôler, à ne plus avoir de moment d’intimité pour téléphoner à ses proches, à se justifier si l’on part exceptionnellement à 16 heures… ont fait de cette organisation du travail, une machine à générer du stress !

Les années 2000 voient apparaître des comportements curieux : Sur le plateau, chacun travail en silence, casque musical sur les oreilles. On envoie à son voisin des mails, alors qu’il est à quelques mètres . C’est la politique du « chacun pour soi », pour se protéger; La communication est nulle et l’esprit d’équipe inexistant… Depuis, l’organisation maîtrisée et réfléchie des bureaux en open -space apporte une meilleure efficacité de chacun dans son travail. Finalement, en appliquant ces quelques règles de bon sens, avec des espaces biens « pensés », on est mieux en open-space, que tout seul dans son petit bureau ! 3.3.

LA MISE EN SCÈNE DE SON ESPACE DE TRAVAIL

L'aspect d'un bureau de travail peut parfois traduire l'état d'ésprit ou des traits de caractères de son occupant. « Chaque profil d'employé a une façon de mettre en scène son espace de travail. Cette mise en scène peut à la fois être consciente ou inconsciente, et révéler des p ans de leur personnalité » analyse Hamid Aguini. Le rêveur (10% de la population européenne) est un profil que l'on retrouve souvent dans les métiers où il faut travailler seul, en petit comité, et surtout avec peu de contacts humains. Le rêveur a besoin de tranquillité, et de retrait par rapport à l'ambiance de l'entreprise. Sur le bureau du rêveur, on retrouvera des images de paysages, ou des objets rappelant la nature, où il peut se ressourcer dès qu'il le peut, s'y sentir à l'aise. Il travaille dans u n endroit qu'il esthétise lui-même, et qui correspond à son havre de paix. L'empathique (30% de la population européenne) est le profil le plus répandu. Il a besoin d'être en contact avec son entourage, d'évoluer dans un environnement où ça bouge, où les gens autour de lui le sollicitent. Il a besoin d'être reconnu pour ce qu'il fait. C'est pourquoi son espace de travail sera rempli d'éléments vivants, qui vont de pair avec son tempérament: des photos d'êtres humains (famille, relations professionnelles, amis, idoles...) qui signifient quelque chose à ses yeux. L'empathique ressent un besoin constant de se sentir entouré, jusque dans la décoration et l'aménagement de son bureau. Le « travaillomane » (25% de la population européenne) est quelqu'un qui est complètement focalisé sur le travail. Employé compétent et bosseur, son burea u rappellera l'entreprise dans laquelle il évolue: tableaux siglé du logo de l'entreprise, fournitures de bureau de l'entreprise (stylos, mugs, coque de téléphone), le travaillomane est très «corporate» et son environnement de travail est entièrement dédié à son entreprise. On retrouve le retrouve souvent à des postes de responsabilité. Comme l'empathique, le travaillomane a besoin d'être reconnu.

Le persévérant (10% de la population européenne) est lui-aussi focalisé sur le travail. Mais il l'est davantage pour les normes qui sont liées à sa profession. Le persévérant est entièrement dévoué à l'entreprise, et se battra pour que ses valeurs soient respectées. Ainsi, son espace de travail sera aussi pragmatique que lui, et assez similaire à celui du travaillomane: un espace plutôt froid, impersonnel, et très bien rangé. À l'intérieur, très peu de fioritures où d'objets qui pourraient dévoiler des indices sur sa personnalité. promoteur, on retrouve des gadgets éparpillés, des éléments de décoration insolites ou à la mode, que n'importe qui remarquera en passant lui rendre visite, et lui fera remarquer. Le rebelle (20% de la population européenne) est un profil qui, comme le promoteur, aime attirer l'attention. À la différence qu'il agira dans un esprit de déca lage avec celui de l'entreprise. Il prend le contrepied de son entreprise, et cherche à surprendre en faisant le contraire de ce que l'on attend. Il se démarque aussi par son humour et son second degré, qu'il cherche à tout prix à mettre en avant. Il veut être connu pour cela. Dans l'espace de travail du rebelle, on retrouvera tout ce qui n'a pas sa place dans l'entreprise: des éléments drôles et/ou excentriques dans un milieu strict et vice-versa, par exemple.

Compréhension du texte: 1.

Quels sont les profils d'employé? Discutez-les.

2. Quel est votre profil? Donnez des exemples qui mettent en évidence votre profil d'employé 3. Commentez la phrase suivante: « Chaque profil d'employé a une façon de mettre en scène son espace de travail. » en tenant compte de votre espace de travail 4. Comment pourriez-vous décrire votre bureau? A-t-il une influence sur votre méthode de travail? Utilisez le vocabulaire ci-dessous. LE LEXIQUE DU BUREAU (a) Les objets de bureau :

un/le bureau

une/la corbeille

un/le adhésif

un/l’armoire

une/l’agrafeuse

un/le scotch

ruban

un/le dossier

un/le trombone

un/le photocopieur

des/les documents

un/le presse-papiers

etc.

une/la serviette

une/la punaise

(b) Et quelques expressions « de bureau » (mais pas seulement) : se rendre compte tenir compte

mettre de côté

avoir besoin

mettre à jour

avoir raison

prendre en compte

mettre en évidence

prendre note

faire preuve. GRAMMAIRE: LE NOM. FORMATION. NOMBRE ET GENRE

4.

L’HORAIRE. L’ORGANISATION DU TEMPS

COMMUNICATION 4.1. ORGANISER L’AGENDA

M. Marin : Aline, vous pouvez-venir pour qu’on puisse voir ensemble le planning de la semaine prochaine, s’il vous plaît. Aline : Oui, bien sûr, je prends l’agenda et j’arrive. Le téléphone sonne… Aline : (au téléphone) Allô ! Oui, justement je dois voir cela avec lui… Je lui demande tout de suite…

Aline : (à M. Marin) Excusez-moi, monsieur, le téléphone. M. Marin : Bon alors, comment se présente la semaine Aline : C’était M. Birot, monsieur, vous savez qu’il part à Madrid avec Mme Puira la semaine prochaine et ils aimeraient vous rencontrer avant leur départ. M. Marin : C’est déjà la semaine prochaine ! J’avais totalement oublié. Bien sûr qu’il faut programmer une demi-journée de travail à trois dans la semaine. Quand partent -ils exactement ? Aline : Mardi prochain. M. Marin : Bien. Nous sommes le 26, demain c’est un peu juste. Est-ce que jeudi, c’est bon ? Je n’ai rien de spécial ? Aline : Si, jeudi vous avez deux choses de programmées : un rendez -vous le matin chez Fremi à 10 heures et une réunion l’après-midi avec le comité d’entreprise. Elle a été convoquée à 14 heures et ça risque de durer. M. Marin : Ah, c’est vrai. C’est pas le moment de la manquer. Alors vendredi ? Aline : Vendredi matin, vous n’avez rien puisque le réunion avec la production a été reportée. M. Marin : Parfait. On va dire 9h30. Prévenez-les. Dites-leur que c’est pour la matinée. En ce qui concerne la semaine prochaine, vous pouvez me rappeler ce qui est déjà prévu. Aline : Oui, bien sûr. Alors, mardi à 9 heures, il y a la réunion avec la production… M. Marin : Et mon déjeuner avec Boulois a été confirmé ? Aline : Oui, j’y venais, mardi à 13 heures. M. Marin : Mercredi, je n’ai rien ? Aline : Non, rien de spécial. Et vous avez reçu ce matin une invitation pour l’inauguration de FRT. M. Marin : Ah, ils ont changé de bureaux, je ne savais pas. C’est quand ? Aline : Jeudi à 18 heures. Voici le carton. M. Marin : « … vous convie à ……février … heures ». D’accord, j’irai. Répondez-leur. C’est tout ? Aline : Pour l’instant, oui mais nous ne sommes qu’en début de semaine… M. Marin Oui, oui. Bien. Appelez Beaulieu et dites-lui de venir me voir dans la matinée. Merci, Aline !

4.2. PARLER DE SON EMPLOI DU TEMPS Caroline : Tiens Julie, ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vues. Tu as quelques minutes ? Je t’offre un café ? Julie : Oui, avec plaisir. Caroline : Comment ça va, tu as l’air fatiguée… Julie : Oui, j’ai beaucoup de travail en ce moment avec la préparation du congrès. Avanthier, je suis partie à 20 heures, ce matin, je suis arrivée à 8 heures. La semaine dernière, il y a même eu une réunion le samedi matin. Vivement que ça se termine car je n’en peux plus. Caroline : Chaque année, c’est toujours la même chose, toujours des trucs à faire dans l’urgence, au dernier moment. Avant de changer de service, je faisais aussi partie de l’équipe, je m’en souviens très bien, on n’avait plus d’horaires ! Il a lieu quand, cette année, le congrès ? Julie : Le mois prochain, il commence le 6, c’est-à-dire dans 18 jours exactement et il y a encore tant de choses à mettre au point ! Il y a des jours, je suis découragée ! Actuellement, je travaille plus de 40 heures par semaine. On est loin des 35 heures… Mais toi, tu travailles à mi-temps maintenant. Comment ça se passe ? Caroline : C’est parfait. Julie : Tu travailles tous les jours ? Caroline : Non, seulement trois jours par semaine : le lundi, le mardi et le jeudi. Julie : Tu as les mêmes horaires qu’avant ? Caroline : Presque. Le lundi et le mardi, je commence à 9 heures et je termine à 18 heures et le jeudi, je ne travaille que le matin, de 9 heures à 13 heures. Julie : C’est bien. Tu as vraiment plus de temps libre. Caroline : Oui, je ne regrette pas mon choix. Oh, excuse-moi, le téléphone sonne dans mon bureau. Bon courage et bonne chance pour le congrès ! Julie : Merci !... Merci aussi pour le café et à bientôt !

LES NUMERAUX CARDINAUX ET ORDINAUX

Observez : « Après plus de 75 ans de succès sur tous les fronts de la compétition, en 1975, Renault s'engage en Formule 1, et choisit un moteur V6 de 1.500 cm3 suralimenté par un turbocompresseur pour faire concurrence aux spécialistes de la F1, tout comme à leurs moteurs V8 ou V12 atmosphériques de 3.000 cm³. Tout le monde est sceptique, notamment les ingénieurs de Porsche, et pourtant Renault obtient 15 victoires entre 1979 et 1983 et impose le turbo en Formule 1. »

0

(zéro)

11

onze

20

vingt

1

(un/une)

12

douze

30

trente

2

(deux)

13

treize

40

quarante

3

(trois)

14

quatorze

50

cinquante

4

(quatre)

15

quinze

60

soixante

5

(cinq)

16

seize

6

(six)

7

(sept)

17

8

(huit)

18

9

(neuf)

19

dixsept dixhuit dixneuf

100 (cent)

200, 300 (deux cents, trois cents) 1000 (mille) 3000 (trois milles)

70

(soixante-dix)

71

(soixante-onze) etc. 1 000 000 (un million)

10 (dix)

80

(quatre-vingts)

(…)

90

(quatre-vingt-dix)

1 000 000 000 (un milliard)

B. LES NUMERAUX ORDINAUX (a) Les adjectifs numéraux ordinaux indiquent un rang, un ordre (d'où le nom « adjectif numéral ordinal »). A chaque adjectif numéral cardinal correspond un ordinal. Ex. Il a allumé sa quatrième cigarette. J’ai vu les deux premiers. Puis, le troisième s'est approché de moi.

(b) Les adjectifs numéraux ordinaux se forment sur les adjectifs cardinaux à l'aide du suffixe « -ième » : Ex. 7 : sept > septième ; 32 : trente-deux > trente deuxième etc.

(b).1. Des cas particuliers sont à noter :

Pour l'adjectif cardinal « un », on a la forme ordinale « premier », qui s'accorde avec le nom non seulement en nombre mais aussi en genre : Ex. le premier homme, la première femme Mais, pour les adjectifs composés, c'est la forme « unième » qui est utilisée : Ex. 21 = vingt et unième ; 31 = trente et unième. Pour l'adjectif cardinal "deux", on a deux formes ordinales : "deuxième" et "second". Cette dernière s'utilise quand il n'y a que deux objets, tandis que "deuxième" est utilisé quand il y a au moins trois objets. La forme "second" varie en genre : le second étage, la seconde femme

Les adjectifs cardinaux se terminant par « -e » le perdent pendant la formation des ordinaux correspondants : Ex. quatre → quatrième

B.1. ABRÉGER LES ORDINAUX Il existe une seule façon d’abréger correctement les adjectifs ordinaux, c’est d’ajouter un « e » placé en exposant juste après le chiffre, sans espace. Seul le rang « premier » fait exception en s’abrégeant ainsi au masculin 1er tandis que l’abréviation de « première » est 1re. Ex. : 6e, 44e, 2.456e , François 1er, 1re place etc.

C. PRONONCIATION DES NOMBRES Certains des numéraux/adjectifs-numéraux ont des prononciations variables selon leur place dans le contexte : « Six » et « dix » sont prononcés [si] et [di] devant une consonne : Ex. six femmes [sifam], dix livres [dilivr] Ils sont prononcés [siz] et [diz] devant une voyelle ou un h muet : Ex. six arbres [sizarbr], dix histoires [dizistwar] Ils sont prononcés [sis] et [dis] devant une pause : Ex. Des voitures, il en a dix devant l’immeuble

« Huit » perd la prononciation de la consonne finale devant une consonne : Ex. huit femmes [uifam]

« Neuf » et « sept » conservent la prononciation de la consonne finale en toute position : Ex. neuf amis [nefami], sept femmes [sètfam] D. L’ACCORD DU NUMERAL Seuls les adjectifs numéraux « vingt » et « cent » peuvent recevoir le "s" du pluriel s'ils sont précédés d'un nombre (Ex. : quatre-vingts, deux cents) mais ils n'en reçoivent pas quand ils sont suivis d'un autre nombre (Ex. : quatre-vingt-deux, trois cent huit).

L’HEURE Il est…

L’heure officielle

L’heure dans la conversation

6h00

Six heures

Six heures du matin

11h10

Onze heures dix(minutes)

Onze heures dix(du matin)

12h00

Douze heures

Midi

12h30

Douze heures trente

Midi et demi

16h15

Seize heures quinze

Quatre heures et quart

16h30

Seize heures trente

Quatre heures et demi

17h45

dix-sept heures quarante-cinq

Six heures moins le quart

18h10

dix-huit heures dix

Six heures dix (du soir)

19h50

dix-neuf heures cinquante

Huit heures moins dix

20h00

Vingt heures

Huit heures du soir

23h00

Vingt-trois heures

Onze heures du soir

0h00

Zéro heure

Minuit

0h05

Zéro heure cinq

Minuit cinq

Demander l’heure: Pardon, Monsieur/Madame/Mademoiselle, vous pouvez me dire l’heure, s’il vous plait? Il est quelle heure?

S’il vous plait, quelle heure est-il? Excusez-moi, est-ce que vous avez l’heure? Vous pouvez me donner l’heure, s’il vous plait?

LA DATE

/« le » + jour/ + /numéro + mois/ Nous sommes le mardi, trois mai. / Nous sommes le trois (mai) = fam. LA DATE Attention ! : On est 1er décembre. Le 1er mai, c’est le jour mondial du travail.

lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche LE JOUR Aujourd’hui c’est mardi/on est mardi. Lundi, j’ai fini le travail avant même la pause-déjeuner. (un lundi) Le mercredi je suis déjà fatigué et attends le week -end. (tous les mercredis)

janvier, février, mars, avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre, LES MOIS novembre, décembre

5.

LA COMMUNICATION PAR TELEPHONE

COMMUNICATION 5.1. COMMUNIQUER PAR TELEPHONE EN SITUATIONS DE TRAVAIL Situation 1 : - Société MERO, j’écoute. - Bonjour, je voudrais parler à M. Louis, s’il vous plaît ? - De la part de qui ? - L’assistante de M. Beaumont. - Ne quittez pas, je vous le passe. Situation 2 : - CCIP, bonjour. - Pourrais-je parler à monsieur Leblanc, s’il vous plaît ? - Qui dois-je annoncer ? - Madame Limus. - Un instant, s’il vous plaît, je vous mets en relation avec lui. Situation 3 : - Société Carton, à votre service. - Bonjour, je souhaiterais parler à madame Castex, s’il vous plaît. - Vous êtes… ? - Mme Surer. - Veuillez ne pas quitter. - Oui, merci. - Allô - Oui ? - Madame Castex est en communication, souhaitez-vous attendre ? - Non, merci. Situation 4 : - Pourriez-vous me passer le service comptable, s’il vous plaît ?

- Restez en ligne, s’il vous plaît, je vous le passe. - La ligne est occupée. Vous patientez ? - Oui, merci. Situation 5 : - Fedex, bonjour, Martine, je vous écoute. - Bonjour, j’aimerais parler à M. Pilou, s’il vous plaît. - Ah. M. Pilou est absent pour la journée. Vous désirez lui laisser un message ? - Non, merci, je rappellerai demain. Situation 6 : Bonjour ! Je voudrais parler à Monsieur Dubois. -

Malheureusement, il est en réunion en ce moment.

-

Je peux lui laisser un message ?

-

Je vous écoute.

-

J'aimerais lui présenter nos nouveaux ordinateurs.

-

Et quand est-ce que vous voulez le voir ?

-

Je serai à Lyon mardi et mercredi, c'est-à-dire le 19 et le 20 mars.

-

Mardi, il n'est pas libre. Mercredi 10heures, ça vous va?

-

Parfait !

-

Voilà. c'est noté pour mercredi. Et c’est de la part de qui, ce message ?

-

Pierre Dupont, de la société InfroPRO. Je vous donne mon téléphone: 01 44 45 76 66

-

Merci, Monsieur Dupont !

-

Moi merci ! Au revoir, Mademoiselle !

Situation 7 : Sur un répondeur téléphonique Répondeur : « Vous pouvez laisser un message après le signal » Catherine : Bonjour, Dominique. C'est Catherine. Je t'appelle du magasin parce que j'ai un petit service à te demander. Voilà : j'assure habituellement la permanence au magasin le jeudi soir jusqu'à 20 heures. Mais la semaine prochaine, jeudi 23, j'ai un empêchement. Te serait-il possible de me remplacer, exceptionnellement ? A charge de revanche, bien sûr ! Si tu veux me joindre, mon numéro de portable est le 06 38 41 12 80. Merci de me rappeler rapidement pour que je puisse m'organiser. Au revoir!

Quand on décroche:

Pour demander de parler à quelqu’un:

Pour demander qui appelle:

Pour demander d’attendre :

Pour dire que la personne ne peut pas répondre :

Pour mettre en relation deux personnes :

-

Société X, j’écoute/à votre service.

-

Société X, bonjour !

Je voudrais/souhaiterais/aimerais parler à… -

Pourrais-je parler à… ?

-

Pourriez-vous me passer… ?

-

Vous êtes… ?

-

De la part de qui ?

-

Qui dois-je annoncer ?

-

Ne quittez pas, s’il vous plait !

-

Un instant, Madame/Monsieur !

-

Veuillez ne pas quitter !

-

Souhaitez-vous attendre ?

-

Restez en ligne.

-

Vous patientez ?

-

M. est en communication…

-

La ligne est actuellement occupée.

-

M. X est absent/n’est pas là.

-

Je vous passe M. X

-

Je vous mets en relation avec M. X

RETENEZ AUSSI LES EXPRESSIONS POUR : - Demander d’épeler :

Comment est-ce que ça s’écrit ?

- Vérifier le numéro appelé :

Allô, je suis bien au 0721 543 119 ?

- Indiquer l’objet de l’appel :

C’est pour une réservation, s’il vous plaît.

- Demander de répéter :

Pardon ? // Vous avez dit comment ?

- Vérifier le numéro entendu :

Vous avez dit 0744 225 320

- Demander le numéro:

Est-ce que vous pouvez me donner votre numéro, s’il vous plait ?

- Répéter un message

Vous voulez que Monsieur Duchamp vous rappelle avant 15h00 ?

- Terminer un appel :

Merci d’avoir appelé !

- Demander personne :

Je voudrais parler à Monsieur Lebegue, s’il vous plaît !

une

- Dire que l’auteur de l’appel a fait une erreur:

Ah non, Madame, vous vous trompez. Ici vous êtes chez un particulier.

6.

L’AUTOMOBILE MODERNE. L’INDUSTRIE-AUTOMOBILE

COMMUNICATION 6.1. UNE VOITURE ELECTRIQUE DEPASSE LES 500 KM/H 515 km/h en pointe, pour un record de 495 km/h : c’est la nouvelle référence mondiale de vitesse pour une voiture électrique. Elle a été établie le 24 août sur le fameux lac salé de Bonneville (Etat d’Utah) par la Venturi Jamais Contente, véhicule construit par une équipe de l’Université d’Etat de l’Ohio avec le soutien du constructeur de voitures de sport français Venturi. Cette performance, réalisée par pilote américain Roger Schroer, pulvérise le record de 394 km/h détenu depuis 1999 par la voiture White Lightning. Comme la procédure d’homologation l’exige, le nouveau record a été établi à partir de la moyenne de deux courses lancées d’un km, prises dans deux parcours de 20 km en direction opposée (afin d’annuler les effets possibles du vent). La voiture, un prototype de record construit pour l’occasion, disposait pour sa propulsion d’un pack spécial de batteries lithiumion de 600 kW alimentant un moteur électrique de 800 CV. Le nom français de Jamais Contente (différent du nom Bullet Buckeye 2.5 porté aux EtatsUnis) rend hommage à la voiture électrique du même nom, premier véhicule à passer la barre des 100 km/h sur route en 1899. LES RELATIFS SIMPLES Ils remplacent : A.

Le sujet du verbe

1. J’aime les pâtes qui sont cuites ‘al dente’ (« les pâtes » sont cuites) 2. Je connais les élèves qui sont dans cette classe (« les élèves » sont dans cette classe) B.

L’objet direct du verbe (Verbe + quoi/qui)

1. J’aime les pâtes que prépare ma mère (ma mère prépare quoi ? -> les pâtes) 2. Je connais les élèves que tu as dans ta classe (tu as qui dans ta classe ? -> les élèves)

C. Une expression de temps ou un lieu - L’année où j’ai rencontré ta maman, j’étais étudiant. (je l’ai rencontrée quand ? -> Cette année là) - Le restaurant où je l’ai invitée était fermé ! (je l’ai invitée où ? -> au restaurant) D. Une structure avec de + quelque chose 1. C’est quelque chose dont tout le monde est friand … (être friand de qqch) = LE CHOCOLAT ! 2. C’est un parfum dont la créatrice s’appelait Coco Chanel … (la créatrice de ce parfum) = LE 5 ! 3. C’est un objet dont on a besoin quand il pleut… (avoir besoin de qqch) = UN PARAPLUIE!

6.2. LA VOITURE HYBRIDE

Les fondamentaux de la voiture hybride Tout comme une automobile classique, qu’elle consomme de l’essence ou du diesel, une voiture hybride fonctionne avec un moteur thermique. La différence réside dans le fait qu’elle dispose également de batteries, et inévitablement d’un moteur électrique. C’est ce dernier qui donne tout son intérêt à l’hybride : il accompagne le moteur thermique en donnant plus de puissance à la voiture, ou fonctionne de manière autonome : le moteur thermique reste donc éteint. La voiture hybride roule alors en “tout-électrique”. Le rechargement des batteries se fait en récupérant l’énergie libérée lors de chaque freinage. Constat : la voiture hybride début 2013 Aujourd’hui, les modèles de voiture hybride commercialisés permettent de rouler en toutélectrique uniquement à faible vitesse. Les deux moteurs, thermique et électrique, fonctionnent en même temps en phase de forte accélération, afin de délivrer au véhicule une puissance maximale. La technologie hybride trouve donc son réel intérêt dans les parcours à vitesse réduite, en ville ou dans les embouteillages. Lorsque l’on roule à vitesse plus élevée, sur autoroute par exemple, la consommation est quasiment la même que celle d’un véhicule classique.

La voiture hybride s’annonce être le meilleur compromis actuel : Elle répond à la problématique écologique via la limitation des émissions polluantes des voi tures, et dispose d’une autonomie correcte. Tous les grands constructeurs voient en elle un énorme potentiel, et développent de nouveaux modèles qui devraient rapidement arriver en masse sur le marché automobile. 1.

Quelle est la définition de la voiture hybride?

2.

Qu’est-ce que vous savez sur l’histoire de ce type de voiture?

3.

Quelle est la différence entre une voiture hybride et une voiture normale?

4.

Quels sont les avantages d’une voiture hybride?

5. Comment pourriez-vous commenter la phrase: « La voiture hybride s’annonce être le meilleur compromis actuel ».

6.3. QUELLE SERA LA VOITURE DE L’ANNEE 2014 ? Les 58 membres du jury de la Voiture de l'année viennent de désigner les sept modèles, sur trente éligibles, qui restent en lice pour le titre 2014. Sur les trente modèles éligibles cette année au titre de Voiture de l'année 2014, les 58 membres européens du jury, dont un journaliste du Figaro, ont désigné sept finalistes. Il ressort de ce nouveau millésime qu'il sera placé sous le signe de l'in novation avec, en premier lieu, la BMW i3 et la Tesla Model S, deux voitures électriques hors normes. Et une limousine tout aussi extraordinaire, la Mercedes Classe S qui restera dans les annales comme étant la première automobile à proposer une conduite totalement automatisée. Innovants aussi et dotés d'un excellent rendement, les moteurs-essence et diesel Skyactiv de Mazda ont certainement contribué à offrir à la berline compacte Mazda 3 son ticket d'entrée pour la finale. Si les Renault ZOE et Captur, ou le Peugeot 2008 n'ont pas été retenus, on recense malgré tout deux françaises au sein des sept finalistes. Il s'agit de deux modèles compacts appartenant au groupe PSA, le monospace Citroën C4 Picasso et la berline Peugeot 308. On note enfin la sélection de la Skoda Octavia. La berline tchèque reprend les recettes qui ont mené l'an passé la Volkswagen Golf au succès, en les resservant sous une forme épurée, débarrassée notamment des coûteuses variantes électrique et hybride. Le vote final aura lieu en fév rier prochain, après un dernier round qui se déroulera en terre française, sur les pistes d'essai du CERAM, au nord de Paris. La Voiture de l'année 2014 sera révélée le 3 mars, au Salon de Genève.

7.1. LA PROFESSION. LA MOTIVATION PROFESSIONNELLE. LES PROJETS PROFESSIONNELS COMMUNICATION RÉPONDEZ : Quelle est, d’après vous, la profession la plus prestigieuse/passionnante/ dangereuse/ennuyante ? Pourquoi ? Quel métier rêviez -vous d’exercer quand vous étiez enfants ? Avez-vous changé d’avis depuis ? Pourquoi ? Y a-t-il dans votre famille des traditions professionnelles ? métier.

Expliquez oralement, puis notez les raisons qui vous ont poussé à choisir votre

LEXIQUE DU TRAVAIL : -

travailler (-er) = bosser, boulonner, trimer (familiers)

Ex. Elle travaille dans une multinationale/petite entreprise etc. Son mari, il travaille pour IBM-France. Ils gagnent très bien tous les deux. -

(le) travail :

Ex. II fait un travail très dangereux. J'aime beaucoup mon travail. C’est intéressant et toujours provoquant. avoir un emploi = avoir un travail = avoir un job, avoir un boulot (familiers) = avoir une situation Ex. : Et ton mari ? A-t-il un emploi en ce moment ? Ma sœur cadette, elle a une bonne situation. Elle est avocate stagiaire dans un cabinet important. -

occuper un poste = avoir un travail bien précis

[N.B. un poste = un emploi; "une position" signifie une situation physique : debout, assis, couché etc.] Ex. Elle est candidate à un poste dans notre service. avoir un métier : savoir faire quelque chose de précis, avoir reçu une formation professionnelle. Ex. Il a un bon métier, il est ingénieur. exercer un métier : on peut avoir un métier, mais ne pas ou ne plus l'exercer. Ex. Il est médecin, mais il n'exerce plus, il est à la retraite. Il est ingénieur, mais il est sans travail pour le moment. -

gagner sa vie

Ex. Mon fils n'a pas besoin d'aide, il gagne bien sa vie. -

toucher de l'argent /combien?/

Ex. Elle touche 2.000 € par mois. / Elle touche un salaire de 2.000 € par mois . -

un/-e salarié/-e = une personne qui travaille et touche un salaire ;

un/-e/ employé/-e/= une personne qui travaille pour quelqu'un, d'habitude dans un bureau; -

un travailleur = terme employé surtout par les communistes et les socialistes ;

-

un travailleur manuel = un homme qui travaille avec ses mains.

-

les horaires (m.) = les heures de travail

-

travailler à mi -temps = à temps partiel // travailler à temps complet

-

un travail à temps complet = 35 heures par semaine (en France)

travailler au noir = travailler sans déclarer son salaire (donc sans payer d'impôts ni de charges sociales) et donc en situation irrégulière.

7.2. PARLONS CARRIERE Je suis rentré dans le groupe EXCEDO il y a déjà 20 années, puisque je suis entré en 1994. J’ai commencé par faire la technique ; j’ai travaillé tout d’abord au service contrôle qualité. Ensuite, j’ai participé à la mise en route de la première ligne de fabrication de film polypropylène à l’usine de Quimper. Ensuite j’ai fait de la production dans deux usines de papier d’EXCEDO Technologies à Quimper et à Scaer et, petit à petit, j’ai été amené à travers ces activités techniques à travailler avec le personnel et donc à prendre la fonction « personnel » assez rapidement.

PARLONS CARRIERE J’ai fini mes études en 2007. J’ai passé une maîtrise en économie et j’ai effectué un stage de 3 mois dans une banque suisse. Evidemment ce n’était pas bien payé, mais cela m’a donné une bonne expérience. Quand j’étais encore étudiant, je pensais encore que les diplômes étaient plus importants que l’expérience. Mais quand j’ai commencé ma recherche d’emploi, j’ai vite changé d’avis ! On me proposait tout le temps un travail à temps partiel. Je crois bien que j’ai envoyé plus de 1000 CV, alors je lisais les petites annonces tous les jours et je répondais à celle que je trouvais intéressantes. Finalement, j’ai trouvé un poste de commercial dans une petite entreprise de plastique. Je gagnais le SMIC avec un intéressement sur les bénéfices. Comme je ne pouvais pas monter les échelons facilement, j’décidé de démarcher une autre société 5 ans après. Les conditions de travail étaient merveilleuses avec quelques avantages en nature comme une voiture de fonction et des tickets restaurants. Mais cela n’a pas duré, car j’ai été licencié 1 mois plus tard. Je me suis retrouvé au chômage et j’ai dû m’inscrire à l’ANPE pour toucher mes allocations. Vocabulaire à retenir: « un stage » ; « une recherche d’emploi » ; « changer d’avis » ; « un travail à temps partiel » ; « une entreprise » ; « le SMIC » ; « un intéressement sur les bénéfices » ; « démarcher » ; « un avantage en nature » ; « le chômage » ; « l’ANPE » ; « une allocation ».

GRAMMAIRE: LE FUTUR PROCHE. LE FUTUR SIMPLE COMPLETEZ. OBSERVEZ ET RETENEZ LES STRUCTURES : Mes projets d’avenir? Le premier à rappeler concerne _________. Un autre grand projet concerne ____________. J’en ai aussi d’autres, par exemple: __________, _____________. Mais il faut rester quand même réaliste et faire la différence entre projet, rêve e t idéal. Tout cela dépend du marché de l’emploi, des tendances de la société, de mes proches. Mais ce que je viens de dire, ce sont tous des projets à court et à moyen terme. A long terme, je pense ___________ (me lancer dans les affaires) et _________(fonder une famille).

LE MAIL. Les formules de politesse: Madame/Monsieur – sans le nom de la personne Madame/Monsieur le + titre: Monsieur le directeur/Madame le maire Formule d’introduction: Suite à votre mail, je vous informe que… Formule pour envoyer: Veuillez trouver ci-joint… Je vous envoie ci-joint… Formule pour demander: Pourriez-vous me faire parvenir… Merci de m’envoyer (au plus vite)… Formule pour informer: Je me permets d’attirer votre attention sur le fait que… Formule pour demander des excuses: Je suis vraiment désolé de ce qui s’est passé et j’éspère que vous voudrez bien me pardonner Formule de conclusion: Je vous remercie d’avance; Nous restons en contact; Je reste à votre entière disposition; Je vous souhaite une excellente journée; Cordialement; Bien cordialement; Bien sincèrement; Bien à vous; Amitiés; Je vous embrasse; Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Monsieur le (titre), l'expression de ma très haute consideration

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