L'Impact Des Nouvelles Technologies de L'information Et de La Communication Sur L'organisation de L'entreprise

 

UNIVERSITÉ ABDERRAHMANE MIRA DE BEJAIA FACULTÉ DES SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES DÉPARTEMENT DES SCIENCES SOCIALES

MÉMOIRE DE FIN DE CYCLE En vue de l’obtention du diplôme de Master en sociologie Option : Sociologie de Travail et des Ressources Humaines

Thème

L’impact des nouvelles technologies de l’information l’information et de la communication sur l’organisation de l’entreprise Cas pratique : Entreprise CEVITAL-Bejaïa

Réalisé par :

Encadré par :

Melle ROUHA Samira

Mr  BARKA Cherif 

Melle SEHILA Nawal

Année Universitaire

 

2013-2014

 

R emer ci cie ements  Au terme de ce modeste travail, nous tenons à remercie DIEU le tout puissant puissant de nous avoir avoir donné donné la force et la patien patience ce pour  mener ce travail à terme. er 

Un chaleureux remerciement à notre promoteur M   BARKA  pour ses précieuses orientations. er 

 Notre remerciement ira aussi à M  . HATRIE pour ses aides durant notre enquête dans l’entreprise CEVITAL

 Merci à tous ceux qui nous ont aides de prés ou de loin pour  l’achèvement de ce travail.

NAWAL NAW AL &SA &SAMIR MIRA A

 

 Dédicace  Je remercie dieu de m’avoir donné le courage et la volonté pour   faire ce modeste travail qui est le fruit d’un grand effort, que je dédier à :  Ma très chère mère, à qui je témoigne ma profonde gratitude et  reconnaissance pour son aide précieuse et son sacrifice, je prie dieu du la protégé, et aussi mon père et à : 

 Mes très chères sœurs : Karima et ces garçons Lounis et   Rayan et Souhila et sa fille Ahlam et Dalila et ces garçons Oualid, Ayman, Issam et Imad.



 Mes très chères frères : Khaled et sa femme Lamia et leur  enfants Abdeslam, et Doudin et sa femme Nagiba, et aussi Souhil et Youssef.



 Mes cousins et cousines



 Mes amis : Salim, Kahina, Salima, Abida, Nadjatte,   Ma binôme :Nawal   À tous ceux qui ont marqué leurs existences, et à tous ce qui m’ont aidé de prés ou de loin.

 SA MI R A

 

 Dédicace  Je remercie dieu de m’avoir donné le courage et la volonté pour   faire ce modeste travail qui est le fruit d’un grand effort, que je dédier à :  Mes chers parents, à qui je témoigne ma pr profonde ofonde gratitude et  reconnaissance pour leurs aides précieuses, leur sacrifice, je  prie dieu de les protéger. 

 Mes très chères sœurs : djahida, Lamia, Sabrina



 Mon frère : Mourad    Mes cousins et cousines. 

 Mes amis sans exception.



 Ma binôme : Samira .

 À tous ceux qui ont marqué leurs existences, et a tous ce qui m’ont aidé de prés oouu de lo loin. in.

NAWAL

 

Sommaire

Liste des abréviations Liste des table tableaux aux Introduction Chapit Cha pitre re 1 : Le ca cadre dre m métho éthodol dologi ogique que : 1.

Les raisons de choix du thème………………………………………………….....…..1

2. Les objectifs de la recherche …………………………………………………......…...1 3. La problématique……………………………………………………………………. 2 4. Les études antérieures………………………………………………………………..5 5. Les hypothèses hypothèses de la recherche……… recherche………………………… ………………………………… …………………………. …………... 7 6. le cadre conceptuel ……………………………………………………………….…. 8 7. Méthode Méthode et technique technique de recherche……… recherche………………………… ………………………………… ………………….….. ….….. 14 8. Les obstacles de la recherche…………… recherche……………………………… ………………………………… ………………………. ………. 20

La partie théorique   : Chapitre Chapit re 2 : Les NT de l’inform l’information ation et de la communi communication cation La section section 1 : La La Génér Généralit alitéé sur sur les NTIC NTIC

1. Définition Définition des NTIC…………………… NTIC………………………………… …………………………… ………………………….2 ………….21 1 2. Les caractér caractéristi istique quess des NTIC…… NTIC…………… ………………… ………………… ……………… ……………… ……….. .. 22 3. Les composantes composantes des NTIC………………… NTIC………………………………… ……………………………… ……………….… .… 22 22 4. La nature des NTIC………………… NTIC………………………………… ……………………………… ………………………… ………… 24 5. Les rôles rôles des NTIC…………… NTIC…………………………… ……………………………… ……………………………… ……………… .. 25 6.

  Le dévelop développement pement historique historique des NTIC……… NTIC………………………… ………………………………. ……………. 26

La section 2 :L’information :L’information dans l’entreprise.

1. L’informatio L’information n dans l’entreprise l’entreprise…………… ……………………………… ………………………………… ……………….. . 28 2. L’informati L’information on et communication…… communication…………………… …………………………… ………………….……. …….……..... .... 28

 

3. Les sources sources de l’information l’information……………… …………………………… …………………………… ………………….…. ….…. 29 4. La diffusion diffusion de l’informatio l’information…………… n………………………… …………………………… ………………………. ………. 30 5. Les chemins chemins de l’informatio l’information…………… n………………………… …………………………… ………………………..3 ………..30 0 La section section 3 : La communicat communication ion organisatio organisationnell nnellee dans l’entreprise l’entreprise

1. Communicatio Communication n organisationn organisationnelle……… elle…………………… …………………………… ……………………... ……... . 32 2. Le développemen développementt de la communicatio communication n organis organisationn ationnelle……… elle……………….…3 ……….…33 3 3. Les moyens moyens de la communic communication ation organis organisationn ationnelle….. elle…..……….… ……….……….... ……....…. …. 34 4. Les modèles modèles de communication communication organisatio organisationnelle… nnelle………………… …………………………3 …………37 7 5.

  Les objectifs de de la communication communication organisationnelle…………………………38

Chapitre 3 : Les apports des NTIC dans l’entreprise La section 1 :L’internet

1. Définition Définition de l’intern l’internet et ……………………………… ……………………………………………… ………………………. ………. 40 2. Les services services de l’interne……… l’interne……………………… ……………………………… ……………………………… ……………… 40 40 3. Les fonctionna fonctionnalités lités de l’internet l’internet dans l’entreprise…… l’entreprise…………………… ……………………… ……… 42 4. L’internet L’internet et la performance performance des entreprise entreprises……………… s……………………………… …………………..43 …..43 La section 2 : Le commerce électronique

1. Définition Définition de commerce commerce électroniq électronique………… ue………………………… ……………………………… ………………44 44 2. Les caractéris caractéristiques tiques du commerc commercee électroniq électronique………… ue………………………… ……………………44 ……44 3. Les diversités diversités des applications applications du commerce commerce électronique électronique……………… ……………………46 ……46 4. Les objectifs objectifs de commerce commerce électroni électronique que ………………………………… …………………………………….. ….. 49

Chapitre 4 : L’impact des NTIC sur l’entreprise. La section 1 : Les NTIC dans l’entreprise.

1. Comment Comment réussir l’introduct l’introduction ion des NTIC dans dans l’entreprise……… l’entreprise…………….…… …….…… 51 2. La taille de de l’entreprise l’entreprise et les NTIC NTIC ……………………… ……………………………………. ……………..…….5 .…….52 2 3. Les investissemen investissements ts dans les NTIC NTIC ………………………………… ……………………………………..……. …..……. 53 53 4. La stratégie stratégie des entreprises entreprises face face au NTIC………………… NTIC……………………………… ………………….. …….. 55 5.

  Les limites des NTIC…………………………………………………….…… 57

 

La section 2  :  L’impact des NTIC

1. L’impact L’impact des NTIC sur sur la performance performance de l’entreprise… l’entreprise………………… …………………….. …….. … 58 2. L’impact L’impact des NTIC NTIC sur sur le changemen changementt organisation organisationnel……… nel…………………… ………………… …… . 59 3. L’impact L’impact des NTIC sur les conditions du travail travail ……………………….... ………………………......... .......... .........6 ....61 1 4. L’impact L’impact des NTIC sur les ressources ressources humaine humainess ………………………… ………………………………... ……...62 62 5. L’impact L’impact des NTIC sur sur l’économie. l’économie. …………………………… ………………………………………… …………… ..… ..… 64

La partie pratique : Chapitre 5 : Présentation de l’organisme et l’analyse et l’interprétation des résultats. La section 1 : Présentation de l’organisme

1. La présentation présentation de de CEVITAL……………… CEVITAL………………………………… ………………………………… ………………… … …66 2. Les valeurs valeurs de CEVITAL……… CEVITAL………………………… ………………………………… ……………………………. …………….…. …. 67 3. Les clients clients de CEVITAL……… CEVITAL……………………… ……………………………… ……………………………… ……………………68 ……68 4. Les activités activités de CEVITAL CEVITAL……………… ……………………………… ……………………………… ………………………… ………… 68 5. LA DG et mission des direction directions…………… s……………..………… ..………………………… ………………….... …......... ........ ... . 71 La section 2 : l’analyse et l’interprétation des résultats

1. L’analyse L’analyse et l’interprétation l’interprétation des des résultats………………… résultats………………………………… …………………….…. …….…. 78 2. Vérification Vérification de l’hypothès l’hypothèse…………… e…………………………… …………………………… …………………….. ……….. … .. 102 Conclusion Liste bibliographique Annexes

 

Liste des abréviations

Liste des abbreviation:

B2A:

business to administration

B2C:

business to consumer.

B to C :  business

to consumer en français, « des entreprises aux particuliers ».

B2B:

acronyme anglais de business to business

B2G:

business to gouvernement.

CNIL  :

Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés.

CIL :  Correspondant

Informatique et Liberté.

C2C:  consumer

to consumer.

DG :  directions

générale.

E-commerce  :

EDI :

le commerce électronique.

Electronic Data Interchange en français échange de données informatisées.

GRH :  Gestion

des Ressources Humaines.

ERP ER P:

Entreprise Ressource Planning IP :

Internet Protocol.

MIP-S:

Mannheim Innovation Panel in Services.

NTIC  :

Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication.

OCDE :  Organisation

PME :  Petit

de Coopération et de Développement Economiques.

et Moyen Entreprise.

 

Liste des abréviations

SIG :

Système d’Information Général.

TIC :  Technologie

TCP/IP  :

Web :

Transmission Protocol Control / Interne Protocol

World Wide Web, signifiant toile d'araignée « toile mondiale ».

Troisi isième ème 3G :Tro mobile)

de l’Information et de la Communication.

Générat Génération ion.. (Qui (Qui augment augmentee les vit vitess esses es de tél télécha écharge rgemen mentt sur son

 

Liste des tableaux

Liste des tableaux

Tableaux

Titre de tableaux

page

N° 1

  La répartition de l’échantillon selon de sexe.

N° 2

  La répartition de l’échantillon selon l’âge.

N° 3

  La répartition de l’échantillon selon le niveau d’instruction.

N° 4

  La répartition de l’échantillon selon la categorie professionnelle.

 

81

N° 5

  La répartition de l’échantillon selon l’expérience professionnelle.

 

82

N° 6

  La répartition de l’échantillon selon la connaissance de la signification

 

78

 

79

 

80

83

des NTIC.

N° 7

  La répartition de l’échantillon selon l’utilisation des outils

84

informatiques.

N° 8

  La corrélation entre l’utilisation des outils informatique et leurs

85

efficacités.

N° 9

  La corrélation entre l’expérience professionnelle et l’accès l’accès a l’internet.

orrélation entre l’accès à l’internet et la connexion connexion utilisée. N° 10   La ccorrélation

 

 

86

87

 

Liste des tableaux

répartition partition de l’échantillon selon la vitesse de la connexion utilisée N° 11   La ré

88

 pour et du transfère d’information d ’information sur internet.

N° 12   L’objectif de site web personnalise de votre entreprise.

 

répartition partition de l’échantillon selon leurs recrutements par un un site web N° 13   La ré

89

90

de l’entreprise.

épartition de l’échantillon selon les moyens de de communication N° 14   La rrépartition

91

utilisée le plus souvent.

épartition de l’échantillon selon l’utilisation de l’intranet à N° 15   La rrépartition

92

l’intérieu l’int érieure re de votre entreprise. entreprise.

répartitio tition n de l’échanti l’échantillon llon selon selon le moyen moyen ou le client client tient tient au au N° 16   La répar

93

courantt de nouveau produit. couran produit.

N° 17   La répartition de l’échantillon selon l’outil à informé.

 

94

répartition partition de l’échantillon selon les moyens utilisés utilisés pour effectuer  effectuer  N° 18   La ré des réunions entre les responsables ou cadres.

95

répartition partition de l’échantillon selon le personnel spécialisé dans le N° 19   La ré

96

domaine des NTIC.

corrélation ation entre la formation et les catégories concernées par cette N° 20   La corrél formation.

97

 

Liste des tableaux

effets des NTIC sur l’organisation. l’organisation. N° 21   La corrélation entre le sexe et les effets

 

répartition partition de l’échantillon selon l’impact l’impact des des NTIC sur le chiffre chiffre N° 22   La ré

98

99

d’affaire.

répartition partition de l’échantillon selon l’intérêt l’intérêt des NTIC NTIC pour la DRH. N° 23   La ré

répartition partition de l’échantillon selon l’influence l’influence des NTIC sur la gestion gestion N° 24   La ré organisationnelle de l’entreprise.

 

100

101

 

 Introduction

Introduction

Le monde dispose aujourd’hui de plus en plus de moyens de communication qu’il n’y en à jamais eu au cours de l’histoire. Le vertigineux développement des technologies de l’information et de la communication touche ainsi toutes les zones de la planète et occu occupe pent nt un unee plac placee pa part rtic icul uliè ière re au se sein in de no notr tree vi vie, e, Cet Cet impa impact ct à donn donnéé li lieu eu à la qual qualif ifiicati cation on de « socié ociété té de l’in l’infforma ormattion ion »

pour pour déf défin inir ir la

modif odific icat atio ion n

de

l’environnement. La diffusion des NTIC s’est fait plus rapidement qu’il ne l’avait été prévu, plus de la moitie de la population mondial à aujourd’hui accès aux NTIC notamment grâce à la révolution de la téléphonie mobile, l’accès à ces nouvelles technologies devient plus aisé leur rôle dans le développement socio-économique des pays, notamment arabes, est une thèse de plus mise en avant. Actuellement les nouvelles économies, Net économique, Ecommerce, font l’objet de nombreuses recherche, c’est pourquoi l’évolution technologique à conduit les sociétés sociétés modernes à adopter des nouvelles formes formes de travail. travail. L’introduction des NTIC et sa rapide propagation dans la société, de même que la reconnaissance dans son utilité ont rendu ce media populaire, de les NTIC concernent toutes les activités de l’entreprise, leur implantations dans le milieu professionnel à généré  beaucoup de transformations et de changement organisationnel. Les usages des NTIC do doiv ivent ent être être él élab abor orés és en ét étro roit itee co conce ncert rtat atio ion n avec avec le less ut util ilis isat ateu eurs rs,, car il ilss mo modi difi fien entt  profondément les façons de travailler. Leur utilisation est devenue cependant un problème majeur maj eur pour pour les employeur employeurs, s, car l’usage l’usage se fait fait dans un cadre cadre person personnel nel surtou surtoutt avec avec l’implantation des premiers systèmes informatique de messagerie électronique, l’internet et l’intranet. De no nomb mbre reus uses es orga organi nisa sati tion onss font font ap appe pell au aux x nouv nouvel elle less te tech chno nolo logi gies es de l’in l’info form rmat atio ion n et de la co comm mmun unic icat atio ion n da dans ns le but de perfe perfect ctio ionn nner er leurs leurs do doma main ines es,, d’augmenter leur productivités et de minimiser leur couts, étant donné que ces moyens  permettent l’amélioration des activités et assurent plus d’efficacité dans le travail. t ravail.

 

 Introduction Compte tenu de l’évolution extrêmement rapide à la fois des technologies et des usages associés, et les transformations que les entreprise qui sont oblige d’affronté, Cette  présente étude se penche sur cet aspect ou nous voulons découvrir la réalité d’usage des  NTIC et leurs impacte sur l’organisation dans le milieu professionnel par les cadres de CEVI CE VITA TAL L et le leur ur typo typolo log gie ies. s. Cett Cettee de dern rniè ière re s’ s’ar arti ticu cule le au to tour ur de ci cinq nq ch chap apit itre ress  prandiaux : Le prem premier ier chapi chapitr tree co conc ncer erne ne le ca cadre dre métho méthodo dolog logiq ique ue de la re reche cherc rche he:: la  problématique de la recherche, les hypothèses, définition des concepts, la méthode, les techniques utilisées et échantillonnage. Quand à la deuxième partie théorique que nous l’avons repartie en trois chapitres dans dans le prem premie ierr on à pa parl rléé sur sur le less nouv nouvel elle less te tech chno nolo log gie iess de l’ l’in info form rmat atio ion n et la communication qui devise en trois section la premier on à aborde la généralité sur les  NTIC et dans la deuxième sur l’information dans l’entreprise, en finir sur la communication organisationnelle. Et en suite dans le deuxième chapitre on à aborde les apports des NTIC qui luis contiens deux section, la première sur l’internet et la deuxième sur le commerce électronique. En fin le troisième chapitre les NTIC dans l’entreprise qui lui aussi contiens deux section la premier l’introduction des NTIC dans l’entreprise dans la deuxième l’impacte de cette dernière sur l’entreprise. En dernier lieu la partie pratique ou nous avons présente l’organisme d’accueil et l’analyse des données et enfin la vérification des l’hypothèses.

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

1. Les ra raison isonss de choix choix du thèm thèmee :

Le choix de thème « les NTIC et leur impacte sur l’organisation de l’entreprise » il contient plusieurs motifs qu’on peut récapituler comme suite : Pour enrichir nos connaissance dans le domaine de la communication en général et acquérir des informations dans le domaine des NTIC en particulier. La question de la Nouvelle Technologie est un fait qui à marqué l’actualité on Algérie « comme la 3G » qui à fait on Algérie un grand débat. Savoir comment les entreprises interprètent les NTIC et aussi comment les NTIC aident les entreprises dans la gestion organisationnelle. Par rapport à notre parcours et à notre spécialité, « organisation de travail » nous voulons savoir à quelle niveaux niveaux les NTIC contribuent à l’évolution et le développement de l’entreprise qui adopte ces technologies. 2. Les obje objectifs ctifs de la rech recherche erche :

Dans tout travail intellectuel il faut déterminer les objectifs qui nous permettent de mieux guider la recherche et de mieux concentrer notre attention sur certain éléments  précise concernant les Nouvelle Technologies. Less obje Le object ctifs ifs de cette cette étud étude, e, es estt de mont montre rerr l’ l’imp impor orta tanc ncee et l’ l’ut utili ilisa satio tionn de dess no nouv uvel elle less tech techno nolo loggies ies de l’in l’info form rmat atio ionn et de la co comm mmun unic icat atio ionn da dans ns le mili milieu eu  professionnel. On tente de justifier si les entreprises et spécialement l’entreprise de Cevital de Beja Be jaia ia utili tilise se ces ces mo moyyens ens dan dans l’ac l’acccomp mpli liss sseeme ment nt de le leur urss ta tacche hess à des fi fins ns  professionnelles ou à des fins personnelles.  Nous voulons aussi démontrer l’impacte des NTIC sur l’entreprise et dans quelle mesure contribue à l’organisation de l’entreprise.

1

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

3. La p probl robléma ématiqu tiquee

Le monde change change d’ère d’ère,, et vit une révolut révolution ion technolog technologique ique avec le passage passage de la société socié té indus industrielle trielle matéri matérialiste aliste,, poss possédan édantt de lo lourds urds moyens moyens de prod production uction à la société société de l’informatio l’informationn immaté immatérielle rielle.. Il est nécessa nécessaire ire de domine dominerr cette mutation mutation technologiq technologique ue et de se l’appropr l’approprier ier l’ère de l’énerg l’énergie ie qui perm permis is à l’homm l’hommee de dome domestique stiquerr la nature et cédé la plac placee à l’ère de l’informatio l’informationn qu’on aappelle ppelle « nouvelle nouvelle économ économie ie ou en vende vende et on achète de l’information ». « Le déve dévelo lopp ppem emen entt de dess nouv nouvel elle less tech techno nolog logie iess de l’ l’in infor forma matio tionn et de la commun com munica ication tion ain ainsi si que l’é l’émerg mergen ence ce de la nou nouve velle lle économ économie ie on ontt consid considéra érable blemen mentt modifié les modèles économiques connus. Le monde est devenu global et la concurrence de plus en plus forte »1. Less NTIC Le NTIC co const nstitu ituent ent un fac facteu teurr d’accé d’accélér lérati ation on d’écha d’échange ngess co comme mmerci rciaux aux qui  permis de circuler la formation qui transforme la planète en petit village selon  DRUCKER  Peter  «   « derrière ces changements changements,, il ya l’informatique, les ordinateurs qui communiquent communiquent  plus vite est mieux que les diverses strate de cadre moyen, il existe également des utilisateurs qu’ils sachent transformés leurs données en informations pour en connaissance nouvelle »2 « La rapidité avec le quelle se propage l’utilisation des NTIC, Le monde change à cause ou grâce à elle, les exigences des consommateurs croissent celles des apporteurs de capitaux. L’entreprise est interpellée par ces mouvements, et leur fonctionnements en se  bouleversés, essayons de savoir à présent les changemen changements ts majeurs intervenus ou à 32

intervenir dans chacune des grandes fonctions d’entreprise» Et les avantages qu’elles offrent à leur utilisateur, les placent parmi les premières occupations de toute entreprise souciés de son avenir dans un contexte en perpétuel

1

CADIAT Anne-Christine, DE MOERLOOSE Chantal, l’impact d’internet sur la gestion de la relation client, Université Catholique Catholique de Louvain-la-Neuve, Belgique, Belgique, 2000, p 4, DOC. 2

mémoire MBA Dauphine SIRH-et-GRH-PDF-adobeReader.

3

eme

BOULOC Pierre, NTIC : comment en tirer profit, 8

édition RIA, paris, 2003, p 112. 2

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

mutation une réflexion s’impose à toute entreprise de définir un stratège qui lui apparait la  plus approprie à cet égard. « La mise en place et l’utilisation des NTIC dans une organisation implique de nombreux changement changement tant sur le plan organisationnel que sur le plan des infrastruc infrastructures. tures. Cela implique un investissement matériel plus ou moins important, une restructuration et une redéfinition des tâches. Les NTIC modifient la façon de travailler, d’exécuter ses tâches, de collecter l’information de l’analyser et de communiquer. Avec l’usage des NTIC des nouvelles missions se créent, évoluent ou disparaissent naisse des nouvelles exigences en matière de compétence. L’usage des NTIC permet aussi aux managers d’avoir une meilleure maîtrise des flux d’informations, des flux économiques et une meilleure sécurité des inf inform ormati ations ons de l’entr l’entrep epris rise, e, elle elle per permet met de surcro surcroît ît et d’évite d’éviterr les dép déperd erditio itions ns d’information »1. Les NTIC ne se réduisent pas aux ventes entreprises à clients (B to C). Les NTIC aident également les entreprises à gérer de manière efficace l’information. Elles peuvent également aider à créer de nouvelles structures de réseaux entre les sociétés et au-delà des frontières. Elles profiteraient aux PME en particulier en leur permettant de mettre en commun des activités fragmentées de rechercher des fournisseurs et des marchés dans le monde. Les NTIC mettent à disposition une énorme source d’information, rapidité d’accès, interactif, transversalité, disponibilité immédiate. Less NTI Le NTIC C introdu introduite ite dans dans l’o l’orga rganis nisati ation on (ty (type, pe, en enver vergu gure, re, intég intégrati ration) on) et de dess  processus, l’utilisation et de la gestion de ces technologies qui en retour, provoquent des changements stratégiques, structuraux et opérationnelle dans l’entreprise et éventuellement dans son environnement d’affaires. L’utilisation des NTIC reste parcellaires, très localisée et centrée sur la résolution des problèmes opérationnels et de court terme, hors d’une conception stratégique et d’une vue globale des activités de l’entreprise. Less NTI Le NTIC C ne sont plus un outil outil sup supplé plémen mentai taire, re, mais devienn deviennent ent le suppor supportt de modification voire de transformation dans l’entreprise. Face à ces exigences telle que (mondi (mo ndiali alisat sation ion : ouv ouvert erture ure du mar marché ché de l‘e l‘entre ntrepri prise se doi doitt s’ada s’adapte pterr et adapte adapterr son

1

T DES TIC SUR LE MANAGEMENT, LES TIC ET LE MANAGEMENT, htm http://COMMUNICATION/IMPACT http://COMMUNICATION/IMPAC

3

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

organisation avec les outils appropries. En cela les technologies de l’information et de la communication, offrent une meilleure opportunité pour l’entreprise »11. Les NTIC proposent également d’importants développements pour la gestion des re rela latio tions ns autre autress qu quee po pour ur la gest gestio ionn in inte tern rnee et in inté tégr grée ée à la ge gest stio ionn fi fina nanc nciè ière re et organisationnelle d’une entreprise. Notre objectif est de savoir dans quel mesure les NTIC contribuent telles aux développements des entreprises, le recours intensif au travail en équipe, la restructuration des niveaux hiérarchiques, ainsi qu’une plus grande polyvalence condui con duise sent nt au dév dévelo eloppe ppemen mentt d’o d’orga rganis nisati ation on app appren renan ante. te. A ce niv nivea eauu se situe situe notre notre  préoccupation qui concerne les NTIC et leur impact sur l’organisation de l’entreprise, allons de cet objectif, les questions qui nécessite d’être posée : -Comment -Comm ent les Nouve Nouvelles lles Techn Technologie ologiess de l’informatio l’informationn et de la Communica Communication tion exercent une influence sur l’organisation l’entreprise ?

1

Martine BOUTARY, TIC et PME : Des usages aux stratégies, L’HARMATTAN édition, paris, 2003, p 16. 4

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

4. Les étu études des an antér térieur ieures es :

L’avancée de la technologie est parmi les changements qui ont manque à tout  jamais nos sociétés, nos économies, nos politiques et plus particulièrement l’entreprise.  S.COTT  S.C OTT M OR ORTON TON M i ch cha ael  « l’entreprise compétitive au futur : technologie de

l’information et transformation de l’organisation » en 1995. Le programme de la recherche à été lancé en 1984 pour étudier l’important d’impacte des technologies de l’information sur les organi organisat sation ionss de tous tous genre genres. s. Il avait avait pour pour missio missionn d’exam d’examine inerr commen commentt les technologies de l’information risque de modifie la façon dont les organisations arriveront à survivre et à prospérer dans l’environnement concurrentiel des années 90 et suivantes. Le  présent ouvrage constitue le « rapport final » du programme. Le programme de la recherche à été confiée la taches, d’examiner l’impact des NTIC sur les organisations, l’objectif étant de voir en quoi les organisations des prochaines années vont se distinguer  de celles qui existent actuellement.1 BOULOC Pierre « NTIC : comment en tire profit » en mai 2002. Il à réalisé une

étude sur l’utilisation des NTIC dans les PME. Ces NTIC touchent potentiellement tout individu qu’il soit étudiant ou retraite, chef d’entreprise ou salarie. Au niveau économique, de plus en plus d’entreprise sont cyber connectées, se mettent en réseau grâce à l’intranet, dé déve velo lopp ppen entt des des si site tess We Webb pour pour prom promou ouvo voir ir et ve vend ndre re de dess pr prod oduis uis.. La ré réfl flex exio ionn fondamentale sur les NTIC était assez foisonnant, en revanche, les applications pratiques  pour chaque filière faisaient largement défaut. Or, ce qui intéresse le décideur, que ce soit dans une petite en dans entre trepris prisee ou grande grande en entre trepris prise, e, c’e c’est st bie bienn de savou savourée rée en quoi quoi ce cess technique pourront interférer dans sont propre environnement et luis apporter pour son développement.  Nous sommes nombreux à penser que l’internet et les NTIC sont à la fois une chance et une obligation pour les entreprises. L’interne est loin d’être la seul application de dess NT NTIC IC da dans ns les les entr entrep epri rise ses. s. L’in L’intro trodu duct ctio ionn de nu numé mériq rique ue da dans ns le less sy syst stèm èmes es de

1

MORTON Michael S. S Michael, l’entreprise compétitive au future technologie de l’information en transformation de l’organisation, Édition d’organisation, paris, 1995.p: 2-3 5

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

 production, une gestion informatisée des appelés, des échanges des données informatisés, l’informatisation des déclarations administrative sont autant d’applications diverses que  permettent aujourd’hui ces nouvelles technologies. Dans un domaine en mutation  permanente ou l’évolution technologique est de plus en plus rapide, ou aucune norme, qu’elle soit éthique ou légale, n’assure un fonctionnement optimal pour le bien de tous. On peu donc affirmer que ces nouvelles technologies auront à court terme et pour  tout individu une influence forte sur les comportements de consommation, les modes de  pensée et les méthodes de travail. 1 V aler ler i ane E té, C le lem menti nti ne L epai s e ett Sam Sama antha ntha V ache chezz « Géopolitique des TIC au

Moyen-Orient : entre compétitivité étatique et stratégie de contrôle » en 2011. Le monde dispose aujourd’hui de plus de moyens de communication qu’il n’y en a jamais eu cours de l’histo l’h istoire ire.. Le ver vertig tigine ineux ux dével développ oppeme ement nt des des techno technolog logies ies de l’infor l’informat mation ion et de la communication touche ainsi toutes les zones de la planète. Formes en géographie, en droit, en science politique, les auteurs de cette remarquable monographie soulignent pourtant les ambivalences de cette évolution : en effet, si les TIC constituent dans cette partie du monde une infrastructure au service de l’impulsion de la science-technique-industrie, c’est-à-dire du développement et de profit, elles servent aussi de support aux Etats qui s’en servent  pour réaffirmer leur domination. Ce stato-centrage stato-centrage,, ici décrit, cherche à réagir à l’internationalisation de mouvements politique et sociaux qui s’emploient à dénoncer et à critiquer les excès de régimes souvent peu démocratiques.les TIC apportent à cette partie du monde diverse par ses niveaux de développement, un élément nouveau de complexité.la diffusion des TIC s’est faite plus rapidement qu’il ne l’avait prévu. Plus de la moitie de la  population mondial aujourd’hui ont accès aux TIC notamment grâce à la révolution de la téléphonie mobile.2

1

BOULOC Pierre, NTIC : comment en tire profit, 8 eme Edition RIA, Paris, 2003. p 3

2

Valeriane Eté, Clementine L’Harmattan, paris, 2011.p 2Lepais et Samantha Vachez . Géopolitique des TIC au Moyen-Orient, Edition 6

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

4.   L’hypothèse:

«L’hypothèse une proposition de réponse à la question posée. Elle tend à formuler  un unee re relat latio ionn entr entree des des faits faits sign signif ifica icatif tifs. s. Mê Même me pl plus us au moin moinss pr préc écise ise ; el elle le ai aide de à sélectionnes les faits observées. Ceux-ci ressembles, elle permet de les interprétés, de leur  11 donner une signification » « L’hyp L’hypoth othès èsee dan danss une recherc recherche he ou dans dans une étud étudee naisse naissent, nt, le plus plus sou souven vent,t, selon une logique de transfère, d’où le besoin de connaitre le mieux possible les manières d’appréhenderr tthéoriquement d’appréhende héoriquement et empiriquement les phénomènes sociaux, les idées viennent  par détournement, si possible contrôle, d’une problématique».  2 «  2 Cette formulation d'hypothèse(s) doit aussi s'accompagner d'une explicitation des mani ma nièr ères es et moy moyen enss de vé vérif rific icat atio ion, n, conf confir irma matio tionn et et/o /ouu in infi firm rmat atio ionn de ce cess mê même mess hypothèses. Cela constituera en fait l'objet véritable de l'effort de recherche »3 

  Les Nouvelles Technologie Technologie de l’Information et de la Communication exercent exercent

un unee fo forte rte influ influen ence ce su surr de dess prat pratiq ique uess org organ anisa isatio tionn nnel elle le qu quii so sont nt pe perf rfor orme ment nt po pour  ur  l’organisation de l’entreprise CEVITAL. 5.1.. 5.1

Discut Discution ionss de l’ l’hyp hypot othè hèse se :

Dans la première première hypot hypothèse hèse on va essay essayer er de démontrer démontrer l’impacte l’impacte des NTIC sur  l’organisation de l’entreprise par la confirmation de la stratégie de l’entreprise face à cette technologie, la rapidité avec le quelle se propage l’utilisation des NTIC et leur avantage quelle offrent à leur utilisateur, elle à également d'importants développements pour la GRH autres que pour la gestion interne et intégrée à la gestion financière d'une entreprise, est aussi important de démontrer l’influence des NTIC sur les pratiques organisationnelle qui sera en règle général multi canal ce qui nécessite une grande coordination entre différent  point de contact avec le client et une mise à jour de l’information en temps réel et leur 

1

GRAWITS Madeleine, méthode des sciences sociales, 11 emeedition DALLOZ, paris, 2001, p 398.

2

SINGLY De François, L’enquête et ces méthodes : le questionnaire, 2eme édition COLIN, Parise, 2005, p 30.

3

Omar, methodologie des sciences sociales et approche qualitative et organisation, Québec, 1987,  pAKTOUF 44 7

 

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le cadre méthodologique

conséquences sur la performance de l’organisation de travail ainsi que la fidélisation du métier et la réalisation des objectifs prescrits et la maitrise du métier. 6. Le cad cadre re con conce ceptu ptuel el :

Le cadre conceptuel consiste à faire ressortir les concepts clé de son hypothèse et de les clarifiées par des définitions, les concepts qu’on à déterminés dans notre hypothèse sont les suivants :    Les nouvelles technologies de l’information et de la communication

(NTIC)

« Le Less NTI NTIC C représ représen enten tentt l’e l’ense nsembl mblee des techno technolog logies ies de dess traite traiteurs urs des proce processu ssuss intellectuels faisant appel à l’ensemble des différentes technologies basées sur l’électronique disponible et accessible via des infrastructures des réseaux, soit au plan local (entreprise) soit au pla plann mon mondia dial.l. Le Less nouve nouvelle lless tec techno hnolog logies ies de l’in l’infor format mation ion et de la co commu mmunic nicati ation on dé dési sign gnen entt l’e l’ens nsem embl blee des des tech techno nolog logie iess utili utilisé sées es da dans ns le traite traiteme ment nt et la tr tran ansm smis issi sion on d’information. Ceconcept Ce concept dont la définition reste imprécis, concerne les innovations issues de l’informatique, de l’électronique et de télécommunication et de l’audio visuel, notamment inte intern rnet et et le télé téléph phon onee mo mobi bile le.. Il es estt né du ra rapp ppro roch chem emen entt en entr tree in info form rmat atiq ique ue et télécommunication à partir de l’année 1990. D'ailleurs ces technologies ne sont plus vraiment nouvelles, d'ou le nom de NTIC, l'ordinateur portable, la télévision, le téléphone portable, la tablette interactive, l'internet cons constit titue ue l'en l'ense semb mble le des des te tech chno nolog logie iess d' d'in infor forma matio tionn et de co comm mmun unic icat atio ionn ap appa paru ruee  principalement dans les années 1930, elles se sont peu à peu développées développées jusqu'à ce jour, où elles ne connaissent toujours pas leur apogée. Les NTIC sont un ensemble de technologies utilisées pour traiter, modifier et écha échange ngerr des inf inform ormatio ations, ns, plus plus spé spécif cifiqu iqueme ement nt des don donné nées es num numéri érisée sées. s. D'a D'autr utres es définitions comme celle d'HERBERT SIMON : (prix Nobel des sciences économiques 1998) et qui paraît la plus acceptée, est basée sur les caractéristiques des TIC. Selon cet auteur ces technologies aident à rendre :"Toute information accessible aux hommes, sous

8

 

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forme verbale ou symbolique, existera également sous forme lisible par ordinateur; les livres et mémoires seront stockés dans les mémoires électroniques..." » 1    L’entreprise

Entité ou organisation autonome de production de bien ou de service à finalité marchande. Le sens actuel est double, il désigne soit une tentative de faire quelque chose (projet, dessin, aventure,…) soit une organisation prestataires de service ou de bien à caractère marchande. « L’entreprise est une unité économique autonome qui combine et rémunère des facteurs de production pour produire et vendre des biens et des services sur le marche afin de réaliser des profits. L’entreprise est en gestion une organisation finalisée qui coordonne différentes activité dans le cadre de fonction complémentaire. Les sortes diverses tant par  leurs structure juridique que par leur origine des capitaux que la taille et leur types d’activité»21 L’entreprise un gréement humain, ordonné rationnellement, en vue d’objectifs déterm dét erminé inéss carac caractér térise ise par la div divisi ision on de tra travai vail,l, du pou pouvoi voirr des respon responsab sabilit ilités és,, des réseaux de communication planifient. 

  Le travail

  32

Le tr trav avai aill es estt form formes es d’un d’un ense ensemb mble le d’ d’ac activ tivité ité ré réal alis isee in indi divi vidu duel elle leme ment nt ou collectivement en vue d’obtenir un résultat utile. En règle générale le travail est une activité rémunérée. Il est donc nécessaire de distinguer le travail domestique, le travail salarie et le travail non salarie. En économie c’est un facteur de production (se combinant à du capital et à des des matériaux) caractérise par une utilité et un coût. Le travail est éga également lement l’accomplissement d’une activité professionnelle, d’un métier. La nature du travail peut 1

Http:// Définition des TIC-Les technologie de l’information et de COMMUNICATION/deacutefinition-des-

tic.html. mardi, 15/04/2014, 15 :00h 2

DE BOI BOISLA SLANDE NDELL LL Hen Henri ri Mahi Mahi,, Opcit, p 147.

3

DE BOISLANDELL Paris, 1998, P 455. Henri Mahi, Dictionnaire de gestion vocabulaire : concept et outil , Edition economica, 9

 

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le cadre méthodologique

être manuelle, intellectuelle, commerciale… Son organisation peut être variable (de très souple à très structurée) contraignante (hiérarchisée) ou autonome.   L’organisation

:

L’organisa L’org anisation tion rela relatives tives au concept concept d’organis d’organisation ation son multip multiples, les, évolutive évolutivess et  parfois contradictoires. P Par ar exemple l’action organisée exige la coopération entre plateure individus dans le but de réaliser un projet en commun. Cette action d’organisée peut générer des processus de structuration variables allant de l’informel au très structuré. « Une organisation est une unité de coordination, dotée des frontières repérables, fonctionnant dans la durée en vus d’atteindre un objectif partagé par ses membres » (P. Robbins, 1990). La structure d’une organisation peut être définie simplement comme total des moyens employés pour diviser le travail comme taches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces taches ». 1    L’innovation technologique

 2

Le concept d’innovation technologique à été formule pour la première fois par  l’économiste J. Schumpeter  dans  dans les années 1930. L’innovation technologique est prise en considération dans les sciences de gestion depuis le milieu des années 1970. Sa définition est délecte car elle est proche des concepts d’ d’in inve vent ntio ionn et de chan change geme ment nt.. L’in L’inno nova vatio tionn se ca cara ract ctér éris isee pa parr la mise mise en va vale leur  ur  économ éco nomiqu iquee d’i d’inve nventi ntion on ou de techno technolog logie ie nou nouvel velles les au sein sein d’u d’une ne en entre trepri prise. se. Pour  Pour   beaucoup d’entreprise la gestion de l’innovation technologique est devenue un moyen de répondre à la crise que connaissent les économies depuis le choc pétrolier de 1973. Elle  peut permettre de déjouer les menaces en les transformant en opportunités et augmenter les capacités d’adaptation. Des entreprises face aux incertitudes. Les innovations peuvent  porter sur les produits ou sur les procès de production.

1

DE BOISLA BOISLANDE NDELL LL Hen Henri ri Mahi, Mahi, op cit, cit, p 300-30 300-301. 1.

2

Ibid Ibid,, p 182 182

10

 

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le cadre méthodologique

   Technologie

« C’est l’art de mettre en   œuvre dans un contexte local et pour un but précise tout les sciences techniques et règles fondamentales qui entrent aussi bien dans la conception des produits que dans les procèdes de fabrication, les méthodes de gestion ou des systèmes d’information de l’entreprise »1 « La technologie est l’élaboration et le perfectionnement des méthodes permettant l’utilisations efficace des techniques diverses prises isolement, en groupe ou dans leur  ensemble qu’il s’agisse de technique ou mécanique, physique ou intellectuelle en vus d’as d’ assu suré réss le fonc foncti tion onne neme ment nt de dess méca mécani nism smes es de pr prod oduc ucti tion on,, co cons nsom omma mati tion on de l’information, de la communication, des loisirs, de la construction et de la destruction, ainsi que des activités de la recherche artistique et scientifique. La technologie est un ensemble de savoir, de procédé et d'outil qui mettent en   œuvre les découvertes et les applications scie scient ntif ifiq iquues les les plus lus réc récentes tes dans les les do doma main inees de l'l'in info form rmat atiq iquue et de la communication »2    L’information

« L’ L’in info form rmat atio ionn es estt un unee do donn nnée ée,, tra trans nsfo form rmée ée et st stru ruct cturé uréee so sous us un unee fo form rmee conventionnelle et intelligible pour être insérée dans une dynamique de diffusion et/ou d’échange (pour être communiquée). L’information seule n’est pas un savoir. Pour qu’elle le devienne, il lui faut des structures conceptuelles qui la supportent et lui donnent du sens. L’information n’est pas neutre ». 3 Une entreprise ne pourra survivre que si elle dispose d’un ensemble d’informations suffisantes (information disponible, pertinente, fiable, précise et récente) pour pouvoir agir  avec efficacité c’est-à-dire prendre les bonnes décisions au bon moment. La mise en place d’un système d’information est donc essentielle.

1

DE BOISLANDELL Henri Mahi, Op cite, p 144.

2

Dictionnaire, Microsoft Encarta, 2009, 1993-2008 Microsoft Corporation.

3

BOULC Stephan, Donnée information communication tentative de définition, COTA édition, 2005, PDF, p

1. 11

 

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le cadre méthodologique 1

   La communication

La comm commun unic icat atio ionn en géné généra rale le se défi défini nitt co comm mmee un unee ap appr proc oche he gl glob obal alee de l’ens l’e nsem embl blee des des comm commun unic icat atio ions ns,, elle elle rech recher erch chee la co cohé hére renc ncee en entre tre le co cont nten enuu de dess messages, la réalité de l’entreprise, des marques et des produits ainsi que les objectifs qu’elle poursuivit.  1 « La communication est l’action, le fait de communiquer d’établir une relation avec autrui, de transmettre quelques chose à quelqu’un, l’ensemble des moyens et techniques  permettant la diffusion d’un message auprès d’une audience plus ou moins vaste et hétéro hét érogè gène ne .e .ett l’a l’acti ction. on. D’i D’info nforme rmerr et de promou promouvoi voirr son ac activi tivité té au auprè prèss du pub public lic,, d’entretenir son image, par tout procédé médiatique….alors la communication c’est existe aux yeux de grand public qui se situe à l’extérieur de l’entreprise. La communication est d’une autre manière un ensemble d’interaction, c’est-à-dire  permanentes de sort qu’il est difficile de trouver un début et une fins au processus de communication du fait de sa circularité. On ne peut pas ne pas communique, c’est à la diversité des modes et formes d’expression qu’il est fait références : parole, écrit, mais aussi le regard, les gestes, les actions, sont des moyens de communication. La communication n’est satisfaisante que si tous les acteurs de la communication sont d’accord sur la nature de la relation »2.    La performance.

Le terme de la performance véhicule de sens différent selon les utilisateurs. La  performance est le résultat de l’action. La mesure de la performance peut être entendue comme la mesure de poste de résultats obtenus (cette acception est détachée de tout  jugement de valeur). Il s’agit en gestion du sens le plus courant et le plus pertinente. Dans le même sens la per perfor forman mance ce exprim exprimee le deg degré ré d’a d’acc ccomp omplis lissem semen entt de dess objec objectifs tifs poursu poursuivis ivis pa parr une

1

http://www,revue-hermes-la-revue-2006-1-page57_fichiers/système_d’information_fichiers/191462.html.

2

LAMIZET LAMIZE T Bernard, Bernard , SJLEM dictionn ionnaire aire encyclop encyclopédi édique que de scie science ncess de l’in l’inform formati ation on et de la , paris, pari s, 1997 1997Ahmed .p 121.  dict communication ,

12

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

organisation. La performance est évaluée grâce à des indicateurs quantitatifs ou qualitatifs de résultat. Les indicateurs peuvent exprimes un rapport entre un résultat obtenu et des moyennes mises en   œuvre (ils mesurent dans ce cas des degrés d’efficience), ils peuvent exprimer un rapport entre un résultat obtenu et un objectif visé (il mesure dans ce cas un degré d’efficacité)   1 Les performances d’une entreprise, de ses centres sont indiquées par le rapport entre le coût et la performance des ressources mise en   œuvre, le taux d’emplois des capacités de travail qu’elles représentent, des indicateurs de maitrise des processus de travail et des contributions »2    Gestion d’entreprise

Est un ensemble de moyens par lesquels une entreprise est dirigée ou gérée. Le terme en français une signification précise et limitée d’administration de biens et ne devrait  pas s’appliquer aux personnes, en tant que science, la gestion c’est séparée de l’économie  politique en conservant un caractère plus appliqué. Certains auteurs réduisent le domaine de la gestion à l’entreprise d’autre à toute organisation et même par une extension abusive, il est utilisé comme façon d’entreprendre une action, de conduire une stratégie d’où les expressions : gérer sa carrière, son divorce…. 3    La stratégie

A toutes chances de provoquer des discussions. Il nous semble suffisant, ici comp compte te tenu tenu du but but pour poursu suiv ivi, i, de cons consid idér érer er la st stra raté tégi giee co comm mmee un en ense semb mble le de connaissances et d’hypothèses sur l’organisation, les buts, les objectifs, les actions, les  jalons, les budgets et les plans, le tout basé sur un fond de connaissa connaissances nces relatives aux clients formulation et mise en   œuvre de la stratégie représentent la principale tache des dirigeants. Le sujet général de l’étude d’une stratégie et de sa mise en œuvre est loin d’être

1

DE BOISLANDELL Henri Mahi, Dictionnaire de gestion vocabulaire : concept et outil , economica Edition, Paris, 1998, p 318-319. 2

TREILLE Jean-Michel, Le pilotage l’entreprise opérationnel de, d’organisation Edition, paris, 2004, p 254.

3

GRAWITZ Madeleine, Lexique des sciences sociales, 7 eme édition, Ed. Dalloz. Paris, 2000, P193. 13

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

absent de la littérature. On dénombre en effet un vaste ensemble de processus stratégiques vantes ou réalisés par les formateurs et les consultants. 1    La gestion des res ressources sources hum humaines aines (GRH)

« Désigne une démarche de gestion appliquée aux ressources humains dans une organi org anisat sation ion on peut peut ent enten endre dre par GRH l’ense l’ensembl mblee des opérati opérations ons effe effectu ctuée ée pa parr une entreprise dans le but de constituer et de développer un potentiel humain, c’est-à-dire un capital humain capable de produire de se développer et de s’adapter aux changements auxque aux quels ls l’e l’entr ntrep epris risee est soumis soumise. e. Ces ch chang angeme ements nts so sont nt de dess foncti fonctions ons des str straté atégie giess techno-économiques techno-économiqu es autonomes ou imposées par l’environnement ».2 7. Méthode et technique de recherche :

« À l’in l’insta starr de dess sc scien iences ces de la nature, nature, les sci scienc ences es humaine humainess ont mis au point des moyens pour découvrir la réalité, une fois avait fixé le problème de recherche, il importe de s’organiser pour recueillir les données nécessaires à la signification des hypothèses ».3 13

7.1. La méthode de recherche :

La méthode est souvent connue comme étant la manière que le chercheur utilise pour  arriver à la résolution de la problématique qui est considérer comme « L’art de bien organisé l’enchainement de plusieurs idées, que ce soit pour arriver à une vérité qu’ont ignore ou pour la démontré, aux autres, car nous la connaissons »41.4 « Elle est est aussi constitué de l’ensemble des op opérations érations intellectuelles par le lesquelles squelles une discipline cherche à atteindre les variétés qu’elle poursuit, les démontrés, les vérifiés cette conception de la méthode dans le sens générale de procédure logique inhérente à toute

1

MORTON Michael S. S Michael, l’entreprise compétitive au future : technologie de l’information en transformation de l’organisation, Édition d’organisation, paris, 1995, p 98. 2

DE BOISLANDELL Henri Mahi, Op cite, P 188.

3

ANGERS Maurice, Initiation pratique a la méthodologie des sciences humaines, Edition Casbah Université, Alger, 1997, P130. 1

Le petit Larousse, illustre, 2001, P846. 14

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

déma dé marc rche he scie scient ntif ifiq ique ue,, perm permet et de la cons consid idér éréé co comm mmee un en ense semb mble le de dess rè règgle less indépendantes de toute recherche »2.131 Si la méthode est un procédé utilisé pour la réalisation d’une recherche scientifique, cela ne veut pas dire qu’on va la soumettre à notre intérêt, mais la soumettre aux exigences de la recherche qu’on traite. Pour découvrir les principales raisons de notre étude et connaitre le degré de corrélation entre l’aspect théorique et l’aspect pratique, de se fait nous avons écarté à la méthode quantitative. Donc, l’objectif est de décrire et d’analyser le phénomène étudié  puis expliqué et comparer les causes. La méthode quantitative se présente comme suite : Less mé Le méth thod odes es quan quantit titat ativ ives es so sont nt des des mé méth thod odes es de re rech cher erch chee se fo fond ndan antt su surr un unee épistémologie positiviste ou post-positiviste, utilisant des outils d'analyse mathématiques et statistiques, en vue de décrire, d'expliquer et prédire des phénomènes par le biais de concepts opérationnalisés sous forme des variables mesurables. Elles se distinguent ainsi des méthodes dites qualitatives. « L’enquête quantitative permet de mesurer des opinions ou des comportements. Elle  permet également de décrire les caractéristiques d’une population ayant une opinion ou un compor com portem tement ent par partic ticuli ulier, er, L’enq L’enquêt uêtee qua quantit ntitati ative ve se rat rattac tache he à une vision vision str strict icteme ement nt  positive et empiriste, inspirée des sciences de la nature. Au-delà du simple décompte d’individus émetta d’individus émettant nt une opinion ou faisa faisant nt état d’un comp comportem ortement, ent, elle vise à teste testerr des hypothèses et à illustrer des théories par la mise en évidence de corrélations entre des variables. Elle mesure, sur les variables du questionnaire, des inégalités de distribution et les corrèles avec d’autres distributions ». 12 12 7.2. Choix de la technique :

2

GRAWITZ Madeleine, Méthode des sciences sociales, 11 eme édition, Ed. DALLOZ, Paris, 2001, P351.

1

COUVREUR Agathe, LEHUEDE Franck, Essai de comparaison de méthodes quantitatives et qualitatives, °

cahier de recherche N 176, CREDOC, Paris, 2002, PDF, p 2. 15

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

« Toute recherche on application de caractère scientifique en science sociale comme danss les scien dan science cess en génér générale ale,, doit doit co compo mporte rterr l’u l’utili tilisa sation tion de dess procé procédés dés opé opérat ratoir oires es ri riggour ureeux, ux, bie bien défi défini niss. La tec techniqu niquee est comm mmee la mé méth thod odee, une ré répo pons nsee à un « comment ? ». C’est un moyen d’atteindre un but, qui se situe au niveau des faits ou des étapes pratiques. les techniques sont des moyens d’aborder les problèmes, lorsque ceux-ci sont précisés. Les techniques sont des outils, misent à la disposition de la recherche et organisé par la méthode dans se but, elles sont limitées et connues à la plupart des sciences sociales ». 1 « Le choix de ces tech technique niquess dépe dépend nd de l’objectif poursu poursuivie, ivie, lequel est lie lui-même à la méthode de trava travail il »2. Il s’agit de sélectionner les techniques et moyens de recueillir les données. La méthode est constituée d'un ensemble des règles qui dans le cadre d'une science donnée, sont relativement indépendantes des contenus et des faits particuliers étudiés en tant que tels. Elle Elle se trad tradui uitt su surr le terr terrai ain, n, par par de dess proc procéd édur ures es co conc ncrè rète tess da dans ns la pr prép épar arat atio ion, n, l'organisation et la conduite d'une recherche. 3 Parmi les techniques de recherche qu’on à utilisées durant la réalisation de notre recherche sont : 7.2.1. Pré enquête :

« La pré enquête est une phase de terrain assez précoce dont les buts essentiels sont d'aider à constituer une problématique plus précise et surtout à construire des hypothèses qui soient valides, fiables, renseignées, renseignées, argume argumentées ntées et justifiées. De même, la pré-enquête

1

GRAWITZ GRAWIT Z Madeleine Madeleine,, Op cite, p 352-353.

2

GRAWITZ GRAWIT Z Madelei Madeleine, ne, Op cite, p 352.

3

, Initiation pratique a la méthodologie des sciences humaines, Edition Casbah ANGERSAlger, Maurice Université, 1997, P102.

16

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

 permet de fixer, en meilleure connaissance de cause, les objectifs précis, aussi bien finaux que partiels, que le chercheur aura à réaliser pour vérifier ses hypothèses »1 On à pro procé cédé dé à la pré enqu enquête ête en pre premie mierr lieu à trave travers rs les visite visitess qu’on fait fait aux différents départements ou ses derniers sont subdivisées en plusieurs services dont on à essayé de réaliser un questionnaire sur un échantillon limité des responsables des différents départements des salariés en vue de faire connaissance de notre terrain de recherche, d’éclairer et préciser notre champ d’études, et de déterminer la technique de recherche la  plus adéquate a notre thème, et aux problèmes de notre recherche. La réalisation du pré enquête nous à aidé à : 

 

La possibilité de réaliser notre étude de recherche sur le terrain.



 

Limité notre échantillonnage d’étude.

  Dét Déterm erminé iné notre notre champ champ d’ét d’étude ude su surr le terrain terrain,, afin de relier relier entre entre l’aspec l’aspectt théorique théor ique et pratiq pratique. ue. 

7.2.2. L’observation L’observation

Afin de complète la technique utilise et pour enrichir les donnée collectée, nous avons également procédé à une autre technique qui est celle de l’observation, qui se défini selon Madeline GRAWITZ comme étant « la constatation exacte d’un fait à laide de moyens d’investigation et d’étude appropriée à cette constatation ».  Nous s’appuyons sur cette technique pour mieux interpréter les résultats. Lors de stage effectué effec tué nous avo avons ns remarqu remarquéé que dan danss tou touss les bureaux bureaux des usagers usagers il ya un micromicroordinateur qu’est connectée à l’internet et une photocopieuse, les usages font appel à ces outils qui peuvent les aides à accomplis leurs taches. Nous avons également remarque qu’il y’a une suffisance de matériel informatique et tous de nouveaux model, et chaque usage à de notre échantillon son propre ordinateur.

1

AKTOUF Omar, Méthodologie des et sciences sociales et approche quantitative des organisations, introduction à la démarche classique une critique, presse de l’université du Québec, 1987, P27. 17

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

On conclura que dans l’entreprise de Cevital les NTIC occupe une place très important dans leur travail et leur permet de mieux s’organisé. 7.2.3. Le questionnaire :

D’après Mucchilli  « le questionnaire se présente comme un document sur la quelle sont notés les réponses ou la réaction d’un sujet déterminer »1 Donc en déduit que « un questionnaire est une série des questions méthodologique  posée et organisée en vus d’une enquête, une question étant une demande énoncée sous forme interrogative »2 La technique de questionnaire est considéré comme une technique secondaire qui est définie défin ie comme « une techniq technique ue directe de collecte des informa informations tions et de constituer constituer des relati rel ations ons mét méthod hodiqu iques es et fai faitt des des com compar parais aisons ons num numéri érique que » Le que questi stionn onnair airee tradui traduiss l’objectif de la recherche en question présente selon une logique qui sera analysées et interpr inte rprété étée. e. Le questio questionna nnaire ire est sauva sauvant nt uti utilis liséé lor lorsqu squee le volume volume d’é d’écha chanti ntillo llonn est import imp ortant ant ce cela la jus justifi tifiee not notre re tec techni hnique que.. Il à per permis mis une interp interprét rétati ation on sta statis tistiqu tiquee des données d’une part et la vérification d’hypothèse d’autre part. Le choix du questionnaire est du à la nature du système du travail applique par  l’entreprise Cevital, ce choix du questionnaire est dicte aussi par notre souci de donné aux fonctionnaires la possibilité de refondre refondre en liberté et anonymement aux ques questions tions posée. 

Présentation de questionnaire :

 Notre questionnaire est composé de trois axes : 

 

Il conc concern ernee les données données per person sonne nelle lless telle telless que : le se sexe, xe, l’âge l’âge,, le nivea niveauu

d’instruction et la catégorie professionnelle. 

 

Les outils des NTIC utilisent dans l’entreprise.



 

L’organisation de l’entreprise par les moyens des NTIC.

1

JAVEAU Claude, l’enquête par questionnaire, 3 eme Edition, Parise, 1999, p 29.

2

BEEKANDT Cylvie et autre, communication en sante et action social, Ed Nathan, Paris, 1999, p 98 . 18

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

7.3. L’enquête :

 Nous avons procédé a une enquête, durant le 23 mars 2014, au pré de l’entreprise de CEVITAL de Bejaia, où nous avons l’opportunité de questionner un nombre important de collaborateurs, dans le but de : 

  Collecter des informations nécessa nécessaires ires pour découvrire certaines caractéristiques

des membres de notre échantillon. 

  Compléter notre questionnaire qui contient 30questions devise en trois axes.



  Confirmer ou infirmer nos hypothèses. hypothèses.

7.4. La population d’étude : 7.4.1 L’échantillon L’échantillon :

Cevi Ce vita tall de Beja Bejaia ia es estt cons constit titué uée, e, de 112 112 ag agen ents ts de maitr maitris ise, e, 66 ca cadr dres es.. Dans Dans le département de GRH. Le cho choix ix d’e d’entr ntrete etenir nir cet cette te ca catég tégori oriee soc sociop ioprofe rofessi ssionn onnell ellee « les ca cadre dre » revien revientt à  plusieurs facteurs dont nous citons le niveau d’instruction où 90% des cadres et agent de maitr ma itris isee ont ont suiv suivis is une une form format atio ionn un univ iver ersi sita tair iree ce qu quee no nous us fa faci cilit litee à ré réal alis isee no notr tree questionnaire, ils sont mieux branchés à ce genre de moyens où la majorité les connaissent avant d’être recrutés dans cette organisme. La plus part des NTIC leur usage est favorise à eux, mais pas aux autres catégories comme exécuteurs, leur degré d’appropriation et de maitrise est très élève et même différent par apport aux autres. 7.4.2. Le choix de l’échantillon :

Affin d’avoir accès à notre population d’étude, il à été nécessaire de faire recoure à la méthode métho de d’échantil d’échantillonna lonnage ge aléatoire aléatoire simple qui est définie comme « prélèvemen prélèvementt d’un échantillon par un tirage au hasard parmi les éléments de la population de recherche », dont la procédure du choix des éléments aléatoire simple. Celle-ci est un prélèvement au hasard parmi les éléments de la recherche, afin de donner  à chaque individu la d’être sélectionné. Cela est justifie par la difficulté de connaitre les catégories socioprofessionnelles que contiens l’organisme d’accueil surtout au niveau des différents départements et services de l’entreprise CEVITAL. 19

 

Chapitre 1

le cadre méthodologique

On a pris un échantillon de 30 personnes dont la totalité de l’effectif de l’entreprise est 178 du la population mère. 8. Les obstacles rencontrés

Chaque recherche recherche scientifique est susce susceptible ptible d’être confronte à des problèmes d’ordres différents tant sur le plan théorique que sur le plan pratique qui constitue lui même une contrainte. En effet on à rencontre plusieurs obstacles pour réaliser ce travail, récapitulés comme suite : La pénurie des encadreurs au niveau de l’université se qu’il nous à retarde le démarrage de notre recherche. r echerche. La difficulté d’accéder au terrain d’étude vu le désengagement de plusieurs entreprise de collaborer avec l’université. La difficulté de distribué plus de 30 questionnaire et le refus de répondre à certaine question comme les questions ouvert, malgré que notre thèmes il n’est pas sensible. L’indisponibilité de certain enquêté par motif de pas trouvé de temps pour nos le consacré. La fatigue physique par manque de sommai.

20

 

Chapitre2

Les NT de l’information et de la communication

  Section1 : La généralité sur les NTIC

1. Déf Définit inition ion d des es NT NTIC IC

« Les Les Tech Technologies nologies de L'information et de la Communication, oouu NTIC, représentent l'ense l'ensembl mblee de dess tec techno hnolog logies ies inf inform ormati atique quess qui co contr ntribu ibuen entt à une vérita véritable ble rév révolu olutio tionn socioculturelle, mais principalement leurs applications dans le champ économique. D'ailleurs ces technologies ne sont plus vraiment nouvelles, d'où le nom de NTIC l'ordinateur portable, la télévision, le téléphone portable, la tablette interactive, l'internet constitue l'ensemble des technologies d'information et de communication. 1 «Laa déf «L défini inition tion interna internation tionale ale qui retient retient co comme mme cha champ mp de dess NTIC NTIC des ac activ tivité itéss économiques qui contribuent à la visualisation, au traitement, au stockage et à la transmission de l’information par les moyens électroniques. D’autre définition comme celle d’HERBERT SIMO SIMON N (p (pri rixx No Nobe bell de dess sc scie ienc nces es Écon Économ omiq ique uess 19 1978 78)) qu quii s’es s’estt pe penc nché héee su surr le less caractéristiques de celles ci. Selon HERBERT les NTIC aident à rendre : « Toute information accessible aux hommes, sous forme verbale ou symbolique, existera également sous forme lisi lisibl blee pa parr or ordi dina nate teur ur ; les les livr livres es et mémo mémoir ires es se sero ront nt st stoc ocké késs da dans ns le less mé mémo moir ires es électroniques… » Ainsi les nouvelles technologies d’information et de communication Peuvent être définies comme étant l’ensemble des technologies informatiques et de télécommunication, elles sont les résultats d’une convergence entre technologies. Elles permettent l’échange des informations ainsi que leur traitement. Elles offrent aussi de nouveaux moyens et méthodes de communication. Toute entreprise doit réagir en temps réel et être en mesure de sauvegarder  voir d’améliorer supposition compétitive dans le marché »21 « Les NTIC équipement informatique plus ou moins sophistique, télécopie, réseaux spécialises types interne, banques, de données et d’images, messageries, édition électronique. Ces techno technolog logie ie et leu leurr app applic licati ation on tenten tentent,t, malgr malgréé de dess multip multiples les résist résistanc ances es de deven venir ir un composant incontournable de la vie scientifique ». 3

1

http://www.lesNTIC/technolohie-de-information-et-de-communication.html. 2  Les enjeux des NTIC dans l’entreprise,  Université de Tlemcen, p 3. 3 BOUHENNA Ali, LAMIZET LAM IZET Bernar Bernard, d, SJLEM SJLEM Ahmed, Ahmed, dic dictio tionna nnaire ire encyc encyclop lopédi édique que de scien sciences ces de l’inform l’informati ation on et de la communication, paris, 1997, p 140. 21

 

Chapitre2

Les NT de l’information et de la communication

2. Les car caractérist actéristiques iques d des es NTIC : 

  Plus : les TIC nous apportes des moyens nouveaux en plus de ceux que nous avions déjà,

de nouveaux moyens de communiquer, de s’exprimer, de créer, de travailler, d’apprendre, et ce phénomène se perpétue à une vitesse qui semble toujours en s’accélérant. 

  Plus Plus vite vite :   ce que l’on pouvait faire avant sans les TIC, on peut le faire dorénavant

 beaucoup plus rapidement avec des TIC, et encoure toujours t oujours de plus en plus rapidement. 

  Plus petit petit : la miniaturisation est une caractéristique importante des TIC,ce la se manifeste

tant au niveau des appareils que des supports d’information. 

  Plus abordable (cout, (cout, convivialité) convivialité) : le cout de l’acquisition et de l’utilisation des TIC est,

semble-t-il, constamment à la baisse pour un niveau d’utilisation donné, ce qui les rend accessibles à une partie toujours croissante de la population donnant ainsi a chacun des moyens puissants 

  Plus puissant, plus grand :   les possibilités des outils TIC (appareils et logiciels) vont

constamment en s’accroissant, permettant un maximum d’effet.    La multicanalité multicanalité :  Les TIC utilisent trois canaux à savoir le canal textuel, le canal image et le canal son. 

  Le canal textuel : information concernant l’utilisation du cédérom ou du site.



  Le canal image : fixe, animée, de synthèse, icones.



musique,, cha chanso nsons, ns, parole paroless (di (dialo alogu gue, e, monolo monologue gue,, ins instru tructi ctions ons   Le ca cana nall sono sonore re :   musique concernant l’utilisation du cédérom ou site) 1 3. Les co compo mposant santss des N NTIC TIC :

Les NTIC regroupent l’ensemble des ressources nécessaires pour manipuler de l’information et particulièrement des ordinateurs, programmes et réseaux nécessaires pour  convertire, stocker, gérer, transmettre et retrouver. 

  L’ordinateur:  Est une machine informatique qui permet de manipuler des données sous

forme for me binair binairee (ou bits), bits), ce cette tte mac machin hinee permet permet de traite traiterr des inform informatio ations ns se selon lon des séquencess d’instruction prédéfinies. séquence

1

http://fr.scribd.com/doc/56664224/expose-NTIC.

22

 

Chapitre2 

Les NT de l’information et de la communication

  Le modem modem: Est un périphérique servant à communiquer avec des utilisateurs distants.

Il per permet met par exe exempl mplee d’é d’écha change ngerr (en (envoi voi / récept réception ion)) de dess fichie fichiers, rs, des fax, fax, de se connecter à internet, d’échanger des e-mails, de téléphoner et de recevoir la télévision. 

  Le téléphone: Est un appareil de communication, initialement conçue pour transmettre

la voix pour fonctionner le téléphone nécessite une infrastructure terrestre ou spatiale, le réseau téléphonique. 

appar pareil eil éle électr ctroni onique que qui co conve nvertis rtis l’i l’imag magee de   Le télé télécop copie ieur ur ou téléfa téléfax x: Est un ap document en impulsion électrique pour les transmettre à un destinataire.



 L Lee télé téléph phon onee mobil e : Est une infras infrastru tructu cture re de tél téléc écomm ommuni unica catio tionn qui permet permet de

communiquer par téléphone sans être reliées par câble à un central. 

  Global positioning positioning system (GSM) : Le global positioning system plus connu par son

sigle GPS, que l’on peut traduire en français par system de positionnement mondial´ ou encore (en respectant le sigle) repositionnement par satellite, est le principale système de positionnement par satellite actuelle. 

  Le réseau informatique informatique: Il s’agit d’un ensemble d’appareils électroniques (ordinateur)

géogr ographiqu iquement

éloign ignés

les les

uns

des

autres,

in inte terrconnecté téss

par

des

téléc télécomm ommuni unica catio tions, ns, génér générale alemen mentt perma permanen nentes tes qui permet permetten tentt d’écha d’échange ngerr des inform inf ormati ations ons en entre tre eux .Les .Les opérat opération ionss réseau réseau sont sont un co conce ncept pt d’orga d’organis nisati ation on qui emploie de technologies informatiques1. 

 : :

  Internet 

« Réseaux mondial associant des ressources de télécommunication et des ordinateurs, serve serveurs urs et client clients, s, destin destinéé à l’éc l’écha hange nge de messag messagee électr électroni onique ques, s, d’in d’infor format mation ionss multimédias et de fichiers, il fonctionne en utilisant un Protocol commun « Protocol IP »   2 

  Intranet  :  :

« Réseau Réseau utilisant les mèmes tec technologies hnologies que l’interne Protocol Protocol et application TCP/IP maiss uniqu mai uniqueme ement nt pour commun communiqu iques es à l’intérieu l’intérieure re d’une d’une organisa organisatio tionn ou sur

son

réseau local ou sur un grand réseau privé. intranet à pour avantage de pouvoir relier des systèmes informatique hétérogènes et d’intégrales implication existantes messagerie internet de l’entreprise, serveur web, forums de discussion… »32

1

Http://fr.scribd.com/doc/56664224/expose-NTIC BOULOC Pierre, NTIC : comment en tire profit, 8 Edition, RIA, Paris, 2003, p 229. 3 Ibid, p 130 2

23

 

Chapitre2 

Les NT de l’information et de la communication

  Extranet   ::

« Réseau internet privé de l’entreprise qui utilise les technologies internet « protocoles applic app licati ation on TCP TCP/IP /IP »pour »pour rel relier ier parten partenair aires, es, fou fourni rnisse sseurs urs,, sou souss tra traita itants nts et cli client entss de l’ent l’e ntre repr pris ise, e, et am amél élio iorer rer la qual qualité ité et la rapi rapidi dité té de dess éc écha hang nges es en entre tre ce cess dif diffé fére rent ntss acteurs »1.1 4. La Na Natur turee des ((NTI NTIC) C)

« Il est généralement fréquent d’associer les nouvelles technologies d’information et de Communication à la société d’information ce qui donne une dimension sociétale à ces technologies vu leur impact étendu. Autrement dit avec le développement et la diffusion des  NTIC on assistera à des modifications de la l a société elle même voir même de la civilisation et on dit fréquemment qu’à chaque invention ou développement technologique correspond une ère civilisationnelle nouvelle. A cet égard on peut s’attendre à différentes réactions et thèses qui s’affrontent aussi bien pessimiste qu’optimiste comme c’est souvent le cas lorsque des nouve nou veaut autés és Tec Techno hnolog logiqu iques es ap appar parais aisse sent. nt. Néanmo Néanmoins ins,, ce cess nouve nouvelle lless techno technolog logies ies son sontt relativement hétérogènes et complexes et font appelle à plus d’un secteur (informatique, télécommunication …) Aussi, ces technologies ne sont pas toutes nouvelles comme nous laisse laisse ent entend endre re le co conce ncept pt NTIC. NTIC. Les Les techni technique quess d’i d’info nforma rmation tion pa parr exempl exemplee sont sont plus plus ancien anc ienne ness qu’ qu’intr intran anet et ou interne internet.t. La pre premiè mière re ap appar paritio itionn de ce cette tte derniè dernière re remont remontee au auxx années 70 à l époque ou leur utilisation étaient strictement militaire. La nouveauté dans ce secteur peut donc concerner les produits issus pour la plupart du temps des différentes technologies préexistantes à tout comme par exemple le multimédia. A l’aube du nouveau millénaire on assiste à la création de nouveaux produits hybrides qui combinent à la fois ordinateur et télécommunication en même temps que se développent la création et la diffusion du son de l’image, de la reconnaissance vocale du langage parlé ou écrit associé au téléphone mobile. La nouveauté de ces technologies peut s’identifier à travers les caractéristiques suivantes : ambivalence des NTIC ; La capacité d’hybridation des NTIC. 

1

  La rapide obsolescence des NTIC.

BOULOC BOULO C Pierre, op cite, cite, P131. 24

 

Chapitre2 

Les NT de l’information et de la communication

  En plus de ces caractéristiques les NTIC ont un aspect multidimensionnel, économique, social, politique, culture.., ce qui les rendent très complexes à analyser et à cerner à tous les niveaux »  1 .21 1 5. Les rrôles ôles des N NTIC TIC

La technologie est donc un instrument, mais pas n’importe lequel. C’est un instrument stratégique, à travers lequel s’expriment des objectifs et des intérêts. Dans le domaine qui nous occupe, c'est-à-dire le rôle des TIC dans le changement organisationnel, il est utile de distinguer différents rôles assignés à la technologie. 

  Le cas le plus répondu est sans doute celui où la technologie joue un rôle de facilitateur des changements. Les TIC permettent en effet une meilleure efficience dans la gestion de la production et dans la gestion des ressources humaines. Dans cette optique, les TIC offrants une panoplie d’outils, modulables et adaptables.



  La technologie peu peutt aussi jouer un rôle plus fort, quand elle fournie une une infrastructure dess serv de servic ices es fina financ ncie iers rs.. Le Less TI TIC C ne so sont nt pa pass se seul ulem emen entt un fa faci cili lita tate teur ur de re rest stru ruct ctur urat atio ions ns de la banq banque ue et de l’a l’ass ssur uran ance ce,, el elle less co cons nstit titue uent nt ég égal alem emen entt l’inf l’infra rast stru ruct cture ure de base base de dess no nouv uvea eaux ux se serv rvic ices es : monn monnai aiee él élec ectri triqu que, e, gu guic iche hets ts automa aut omatiqu tiques, es, ban banque que et as assur suranc ancee en ligne, ligne, centre centress d’appe d’appel,l, etc. etc. Dans Dans ce certa rtains ins secteurs, les TIC ne sont pas seulement une panoplie d’outils de changement, elles constituants le support même de l’activité.



  La tec techn hnol olog ogie ie peut peut joue jouerr un rôle rôle pl plus us dy dyna nami miqu que, e, qu quan andd el elle le se sert rt d’ d’in inci cita tant nt à l’innovation. Par exemple, le livre numérique, la presse en ligne, l’édition multimédia sont des opportunités d’innovation que des entreprises de presse et d’édition ont peut saisir en profitant du développement de l’internet et s’emparant de certaines de ses potentialités. D’une manière générale, le caractère ouvert des TIC est un incitant à l’innovation de produits, alors que nombreux auteurs déplorent que les TIC aient été jusqu’ici essentiellement utilisés utili sés comme facilitateurs d’innovations des procédés.



  En ra rais ison on de sa natu nature re sy syst stém émiq ique ue,, la te tech chno nolog logie ie pe peut ut au auss ssii jo joue uerr un rô rôle le du tradu tra duct cteu eur, r, c'es c'est-à t-à-d -dire ire ma maté téri rial alis iser er une une st stra ratég tégie ie de ré réorg organ anis isat ation ion ab abst stra raite ite.. Les progiciels de gestion intégrée (ERP ou Entreprise Ressource Planning) jouets ce rôle : ils traduisent en procédure le travail en applications informatiques une stratégie

1

BOUHENNA Ali, Les enjeux des NTIC dans l’entreprise, Université de Tlemcen, p 2. 25

 

Chapitre2

Les NT de l’information et de la communication

dérationalisation de la gestion comptable, logistique et administrative d’une entreprise. Enfi En fin, n, comb combie ienn de fois fois la tech techno nolo logi giee ne jouejoue-tt-el elle le pa pass si simp mple leme ment nt un rô rôle le de prétexte, quand elle est accusée d’être la cause du changement organisationnelle raté, de procédures inefficaces ou de dysfonctionnement mal gérés. 6.   Le d développ éveloppement ement historiqu historiquee d des es N NTIC TIC

Dans les années 80 et 90, le développement des NTIC s’est mesuré essentiellement par  l’augmentation du nombre des lignes téléphoniques fixes. C’est précisément, en date du mai 1844 que   Samuel MORSE   envoyait envoyait pour la première fois dans l’histoire, le premier  message public sur une ligne télégraphique reliant les villes de Washington à Baltimore aux Etats-Unis d’Amérique, et de simple fait, il signait « l’entre de l’humanité dans l’ère des télécommunications », après un certain temps, le service télégraphique se généralise d’une façon fulgurant à l’intérieur de l’immense territoire Américain; mais aux frontières de l’état se dressent déjà des obstacles tel que la transcription, la traduction pour permettre la circulation de l’information dans les pays voisins. Pour surmonter cette difficulté, le message est décodé puis remis de main en d’un cote ou de l’autre de la frontière pour le transcrire de nouveau sur le réseau de pays voisin. Cela occasionnait beaucoup de lenteurs et de difficultés. difficultés. La nécessite nécessite fonc fonctionne tionnelle lle du service télégra télégraphiqu phiquee crée le besoin de coordonner avec d’autres pays et donne lieu à la création de l’union internationale de télégraphie en date du 17 mai 1865. La première convention internationale en la matière à été adoptée et signée à Paris, une vingtaine des membres fondateurs. Un monde sans frontière est né dans la circulation de l’information et radiocommunication.1 On peut distinguer quatre phases dans l’évolution des applications des TIC en matiè ma tière re d’in d’info form rmat atio ionn et d’or d’orie ient ntat atio ion. n. La pr prem emiè ière re ét étai aitt ce celle lle de l’ l’in info form rmat atiq ique ue centralisée, depuis le milieu des années 60 jusqu’à la fin des années 70. Un certain nombre

des systèmes d’orientation assistés par ordinateur ont été élaborés et ont montré le potentiel de ces technologies. La seconde phase à été celle du  micro-ordinateur,  depuis le début des années 80  jusqu’au milieu des années 90. L’avèneme L’avènement nt du micro-ordinateur à rendue l’utilisation interactive beaucoup plus économique. La troisième phase à été celle de l’utilisation d’ Internet   àà la fin des années 90. L’arrivée d‘internet signifiait qu’au lieu de systèmes de 1

DOTIER Jean Froncios, Dictionnaire des sciences humains, paris 2004 p 388. 26

 

Chapitre2

Les NT de l’information et de la communication

libree ac libr accès cès,, situ situés és dans dans des ce centr ntres es d’orie d’orienta ntation tion,, on pouva pouvait it créer créer des sites sites In Inter ternet net accessibles instantanément par les individus à partir d’une grande diversité de lieux, y compris leur domicile. La quatrième étape est celle du  numérique  dans laquelle nous entrons actuellement. Les technologies distinctes, jusqu’ici à caractère analogique, que constituaient l’ordinateur, la télévision et le téléphone sont en train de fusionner dans un ensemble numérique intégré 1 « Le déve dévelo lopp ppem emen entt de dess TIC TIC et la diff diffus usio ionn ré réce cent ntee de le leur ur mise mise en ré rése seau au constituent des vecteurs potentielles forts de banalisation de ces échanges et des opérations de traduction afférentes. Cette banalisation peut prendre appuie sur l’effet combiné de la diminu dim inutio tionn des des co couts uts de la fac facilit ilitati ation on de l’a l’accè ccès, s, et de l’intro l’introduc duction tion de dispos dispositif itifss informatisés de Co- production. Elle tire partie de la diffusion progressive de savoir-faire en matière d’utilisation de ces technologies, et de ces traitements formalises d’information et de codification de l’information, qui prendre appuie sur les TIC, favorise l’extension du domaine des échanges banalisés d’information de ceux qui s’établissent entre acteur sans liens personnalisé préexistants »2

1

Rôle des TIC dans un système intègre d’information et d’orientation, Document préparé pour un examen des  politiques concernant les services d’information, d’orientation et de conseil, Novembre 2001 , p 3, PDF 2 LE MOENNE Christian,   sciences de la société : la communication organisationnelle en débat, la presses universitaires du MIRAL, Parise, 2000, p 101. 27

 

Chapitre 2

les NT de l’information et de la communication

L’information on dans l’entrepri l’entreprise se    La section 2 : L’informati 1. L’informati L’information on dans l’entre l’entreprise prise A notre époque, l’information l’information à pris une ampleur considérablemen considérablement, t, renforce par  les moyens puissants de diffusion : la presse, l’édition, la radio, le film. L’entreprise ne  peu rester indifférente aux événements, du monde dont elle est un élément actif elle doitt suivre doi suivre l’évolu l’évolution tion de son économ économie, ie, les mouvem mouvement entss politiq politiques ues et sociau sociaux, x, les  progrès scientifiques et techniques, tout en maintenant en fonctionnement un réseau in inter terne ne de trans transmi missi ssion on ap apte te à aider aider l’ l’exe exerc rcice ice de co comm mman ande deme ment nt et la pa parf rfait aitee co conn nnai aiss ssan ance ce de la port portée ée et l’ l’ef effi fica caci cité té de ch chaq aque ue tâ tâch che. e. Ceci Ceci né néce cess ssit itee un unee organisation organ isation spéciale, spéciale, car il est préférable préférable de discipliner l’informatio l’information. n.1 Une entrepr entreprise ise ne pourra pourra surviv survivre re que si elle dispose dispose d’un d’un ensemb ensemble le d’infor d’informati mations ons suffisantes (information disponible, pertinente, fiable, précise et récente). L’information est une donnée, transformée et structurée sous une forme conventionnelle et intelligible  pour être insérée dans une dynamique de diffusion et/ou d’échange (pour être communiquée). L’information dans l’entreprise permet de facilité la prise de décision « diminu diminuee le risque risque et l’incer l’incertitu titude de ». Elle Elle est consid considérée érée comme comme un instru instrumen mentt de liaison avec l’environnement « communication avec les clients, fournisseurs, … »elle au aussi ssi un facte facteur ur de motiv motivati ation on de dess sa salar larié iéss et même même un facteu facteurr d’ d’eff effica icaci cité té av avec ec le quotidien quoti dien de l’entreprise l’entreprise « traitement traitement des commandes »2 .

2. L’infor L’informatio mation n et com communic munication ation Les deux termes, l’information et communication sont souvent confondus, ils méritent cependant une nette distinction. Ainsi, l’information n’est qu’un objet qu'on dé dépl plac ace, e, qu qu'o 'on n stocke stocke,, qu qu'o 'on n classe classe,, qu qu'o 'on n envoi envoie. e... ..El Elle le re renv nvoi oiee simpl simplem emen entt à la transm tra nsmissi ission on des données données structu structurées rées,, concern concernee les situatio situations ns dans dans lesquell lesquelles es seul seul le récepteur joue un rôle actif et correspond à la simple mise en relation de personnes avec des faits. En revanche, la communication consiste en des échanges d’informations en vue de changer le comportement d’autrui, traite des relations interactives et consiste en

1

 NGUYEN-THANH Fannelly, la communication une stratégie au service de l’entreprise,   Edition economica, Parise, 1999, p 55. 2DE DEMO MONN-LU LUGO GOL L Lila Lilain inee et au autr tres es,, commu communi nica cati tion on des des en entr trep epris risee str strat atég égie iess et prati pratiqu ques, es, 2eme Edition,Armont collin, paris, 2006, p 95. 28

 

Chapitre 2

les NT de l’information et de la communication

la mise en relation des personnes entre elles. En outre, la communication se distingue  par la compréhension ou le sens qui résulte de l’interprétation de l’information transm tra nsmise. ise. C’est C’est ainsi ainsi que que faire faire circule circulerr de l’infor l’informat mation ion en envoya envoyant nt des messag messages es véhiculés véhic ulés directement ou en utilisant la technolog technologie. ie. La communication communication c'est autre chose qu’une technologie de l’information.

3. Les sou sources rces d d’infor ’information mationss Les sources d’informations pour une entreprise sont nombreuses :    Les informations d’ordres d’ordres comptables : donnent donnent une idée sur la situation patrimoniale patrimoniale

d’une entreprise (ensemble de ses avoirs et de ses dettes), sur sa capacité à dégager un  profit (compte de résultat) et permettent aussi de calculer ses coûts de production (comptabilité analytique) et de fournir une idée de ses marges de manœuvre futures (analyse financière).    Les informations d’ordre commerciale commerciales: s:  (provenant du réseau de vente de l’entreprise)

 permettent de mesurer le niveau d’adéquation entre la production d’une entreprise et la demande qui lui est adressée, d’évaluer l’impact d’une politique de prix ou de fournir  des informations quant aux évolutions des modes de consommation (évolution de la part de marché…).    Les informations d’ordre d’ordre technique : permettent à l’entreprise de définir son mode de

 production en tenant compte entre autre des contraintes qui y sont associées (pla (plani nifi fica cati tion on des des tâch tâches es…) …).. La maît maîtri rise se de ce cess in info form rmat atio ions ns te tech chni niqu ques es es estt indispensable pour définir un processus productif le plus efficace possible. estt in indi disp spen ensab sable le da dans ns le sens sens ou elle elle dé déter termi mine ne le    L’informat L’information ion d’ordre d’ordre social  social   : es champ d’action des différents acteurs de l’entreprise soit à travers de la définition claire des fich fiches es de po post stee (qui (qui fa fait it qu quoi oi,, so sous us le co cont ntrô rôle le de qui ui…) …) so soit it à trav traver erss la connaissance conn aissance des droits et devoirs devoirs relatifs à ces différents acteurs (code du travail…).    L’information d’ordre juridique est essentielle lors par exemple de la création de

L’entreprise (aspects juridiques de l’entreprise) mais aussi plus généralement car elle détermine le cadre dans lequel l’entreprise va exercer son activité (activité licite/illicite,  pratiques anticoncurrentielles, anti concurrentielles, règles environnementales…).1

1

http://master.firum.com/t173-topic 29

 

Chapitre 2

les NT de l’information et de la communication

4. La diff diffusion usion d dee l’in l’informa formation tion Le principal avantage et le plus connu des NTIC restes sans contestes, la rapidité de diffu iffusi sio on de l’ l’in info form rmat atio ion n à la fois fois po pou ur le less co conn nnai aiss ssan ance cess in intr trin insè sèq que uess fondamentales et pour les connaissances thématiques sur un sujet donné. On l’a déjà soul soulig igné né,, la ra rapi pidi dité té de diff diffus usio ion n de l’ l’in info form rmat atio ion n pe perm rmet et ég égal alem emen entt sa mise mise à disposition à la fois aux initiés comme aux profanes. De même, cette mise à disposition rapidee de l’information, rapid l’information, en suscitant suscitant des réactions réactions constructive constructives, s, se raffine et s’améliore s’améliore  jusqu’à sa validation définitive. La rapidité de la diffusion de l’information offerte par les NTIC devra permettre d’attei d’a tteindr ndree une cible cible de gr grand andeur eur expone exponenti ntielle elle.. Ainsi, Ainsi, contrai contrairem rement ent aux époque époquess antérieures antéri eures où le profane profane devait faire preuve d’une curiosité particulière particulière pour rechercher  rechercher   puis établir un contact physique avec l’institution maçonnique par personne interposée, la disponibilité rapide et quasi universelle des informations de première main est rendue  possible grâce aux NTIC. Cela permet bien évidemment d’accélérer le processus de recrutement de profanes, avec l’avantage d’élargissement accéléré de la chaîne d’union qui en découle. Et il y à une corrélation positive entre l’élargissement rapide de la chaîne et la vitesse de diffusion des valeurs maçonniques au sein de la société : plus il y à des frères francs-maçons formés aux enseignements et principes maçonniques, plus nombreux deviennent les formateurs, et en conséquence, plus rapidement se diffusent les enseignements enseignements et valeurs maçonniques maçonniques pour le perfectionne perfectionnement ment progressif et rapide rapide de l’humanité. La facilité de formatage et de diffusion de l’information devra être également ex expl ploi oitée tée po pour ur as assu sure rerr à l’ l’in insti stitu tutio tion n maço maçonn nniq ique ue un unee ce certa rtain inee ré réact activ ivité ité fa face ce au aux x grandes questions qui agitent notre humanité. Nous y reviendrons dans la formulation de notre stratégie de communication adossée aux avantages qu’offrent les NTIC.

5. Les chem chemins ins de ll’info ’informati rmation on Que ce soit dans l’entreprise l’entreprise ou partout partout ailleurs, ailleurs, l’information l’information doit circuler, circuler, mais dans dans l’en l’entr trep epri rise se,, ce cett impé impéra rati tiff s’ s’in insc scri ritt da dans ns un unee lo logi giqu quee éc écon onom omiq ique ue,, se selo lon n l’enchaînement communication-motivation-productivité. Car on ne peut pas demander à des individus de participer à une

uvre collective en aveugles. Le chef doit informer les

œ

30

 

Chapitre 2 subo subord rdon onné néss

les NT de l’information et de la communication des des

obje object ctif ifss

à

atte attein indr dree « l’in l’info form rmat atio ion n

de desc scen enda dant ntee »,

il

doit doit

réciproquement être renseigne sur le travail accompli et s’informer de l’état d’esprit du groupe auquel il commande « information ascendante ». En outre il doit recevoir, le  plus rapidement possible et sans que ses subordonnes fassent écran autour de lui, les renseignements que les services ont peut recueillir sur l’extérieure : clients fournisseurs, administratio admin istration, n, conjoncture. conjoncture. « Information Information transversal » Pour plus d’explication d’explication :1    Une voie voie ascendante ascendante :

Elle Elle à été été long longte temp mpss négl néglig igée ée et il es estt to tou ujo jour urss da dans ns le less or orga gani nisa sati tion onss au auto tocr crati atiqu ques es ca carr co cons nsidé idéré réee co comm mmee so sour urce ce de dess pe pertu rturba rbatio tions ns et de dess trou troubl bles es en entreprise. Elle est par conséquent peu formalisée et ses supports sont le plus souvent des voix informelles directes, des échanges verbaux, des tracts, des lettres ouvertes ou in indi dire rect ctes, es, de dess br brui uits, ts, de dess ru rume meur urs. s... .. Le dé déplo ploie ieme ment nt d’ d’en enqu quête ête et de ba baro romè mètre tre s’inscrivent dans une logique de communication ascendante. D’autres pratiques telles que : forum d’opinions, focus groupes et réunions participent également. L'information ascendante est celle qui part du subordonné au supérieur hiérarchique. Elle circule sous forme des notes d'information, des réunions, des rapports.    Une voie descendante :

La plus plus co conn nnue ue,, la plus plus utili utilisée sée : les messag messages es pa part rten entt d’ d’un un ce cert rtain ain ni nive veau au hiérarchique. L’information est diffusée vers les équipes et les collaborateurs de façon directe, direct e, ou en cascade via le management. management. Ses supports supports sont : journal interne, affichage, affichage, réunion, note de service, information vidéo, e-mails... .L'information descendante est celle qui va de la direction de l'entreprise vers les salariés. Elle est à différencier de l'info l'informa rmation tion ascenda ascendante. nte. L' L'inf inform ormatio ation n descen descendan dante te est celle celle qui part part du supérie supérieur  ur  hiérarchique vers le subordonné. Elle est soit orale (circulé de bouche à oreille, soit par  téléphone), soit écrite (note de service, ordre, circulaire, fiche d'instruction).    Une voie transversale transversale :

Cette communication naturelle aux petites structures irrigue souvent plus difficilement les les str struc uctu ture ress moye moyenn nnes es ou gr gran ande des. s. Au sein sein de dess gr gran ande dess struc structu tures res elle elle se trad tradui uitt souvent par des groupes projet, mêlant des équipes des différents horizons.

1

AUDIGIER Guy, DECAUDIN Jean Marc, communication et publicité, Edition Dunod, paris, 1992, p 92 31

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

  La section 2 : La communication organisationnelle dans l’entreprise 1.   communication organisationnelle

Selon Selo n DETERI DETERIE E

PHILIP PHILIPE: E: la commun communicat ication ion est un ensemble ensemble des principe principes, s,

d’action d’actio n et des pratiques pratiques visant à donner des sens, pour favoriser l’appr l’appropriati opriation on à donner  de l’âm l’âme, e, po pour ur fa favo vori riser ser la co cohé hésio sion n et in inci citer ter ch chac acun un à mieu mieux x co commu mmuni niqu quer er po pour  ur  favoriser favor iser le travail en commun. commun.1 1.1.. La commu 1.1 communica nication tion pens pensée ée par le système système de de Taylor Taylor :

« Le taylor taylorism ismee est un un systèm systèmee d’orga d’organisa nisatio tion n du trav travail ail qui qui à profon profondém dément ent modi mo difi fiee le stat statut ut des des comp compét éten ence cess tech techni niqu quee et le less in info form rmat atio ions ns né néce cess ssai aire ress à la  production mais il peut auss aussii être regardé comme la première information d’organisation. Pou Po ur Tay Taylor, lor, l’ l’u unive nivers rs de l’ l’or org ganis anisat atio ion n es estt de dev visé isé en ex exéc écu uta tan nts et en concepteurs, entre les deux pôles (exécutants, concepteurs) la communication se réduit aux documents d’information, écrits par les seul concepteurs ou dirigeants. Or la seule oc occa casio sion n réelle réelle de commu communi nica catio tion n en entr tree op opera erateu teurs rs et co conc ncep epte teur urss vi vien ent, t, soit soit de dess diff difficu iculté ltéss à ap appl pliq ique uerr les les no norm rmes es impo imposée sées, s, soit soit de dess dé déra rapag pages es ob obser servé véss pa parr les organismes de contrôle ».   2 1.2.La 1.2 .La commun communicat ication ion pensée pensée par le systèm systèmee des des relatio relations ns huma humaines ines :

Avec Av ec la pr pris isee en co comp mpte te de l’ l’in info form rmat atio ion n de dess re rela lati tion onss hu huma main ines es po pour ur la compétitivité de l’organisation est plus particulièrement en tant que système, commence à émerger éme rger dans dans les organis organisatio ations ns est un sy systèm stèmee qui prend prend en compte compte les relatio relations ns entre la culture, cultur e, l’organisation l’organisation et les individus sous ses formes formes et tous les niveaux niveaux hiérarchiques. hiérarchiques. La communication organisationnelle vient de la conscience qu’un système uniquement fondé sur le transfert d’informatio d’information n ne peut seul prendre en compte, les fonctio fonctionneme nnements nts et les

1

DETRIE Philippe Philippe et BOYER Catherine, Catherine, la comm communica unication tion intern internee au serv service ice de m managem anagement ent ,2 édition éditio n liaisons, liaisons, 2001, p 42. 2

 NGUYEN – THANH Fannelly,   la commun communicati ication on une stratég stratégie ie au servic servicee de l’entr l’entreprise eprise,, édition, édition, economica, paris, 1991, p 17. 32

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

dy dysfo sfonct nctio ionn nnem emen ents ts d’ d’un unee or orga gani nisa satio tion n qu quel el qu quee soit soit et ne pe peut ut ga garan rantir tir la mise mise en application des stratégies décidés par la direction générale. On comprend comprend par la, que la communica communication tion organisatio organisationnelle nnelle cherche cherche à aboutir aboutir à un rapprochem rapprochement ent entre les différentes unités unités afin de construire construire un homogène homogène ou il y aura un partage partage commun de valeur. valeur.

2.Le développement de la communication au sein des entreprises : La communication communication organisation organisationnelle nelle n’est pas une préoccupatio préoccupation n récente, on peut voir son émergence dans les années d’après-guerre, même si des journaux d’entreprise existaient depuis plus d’un siècle, sa prise en compte se concrétise officiellement par la création créatio n des comités d’entrepr d’entreprise ise et par le lancement des des premiers supports supports d’information d’information in inter terne ne à gran grande de diffu diffusio sion n la cr créat éatio ion n de « LUJJE LUJJEF F » en 19 1947 47 qu quii do donn nnee un statu statuee à l’information l’info rmation dans l’organisatio l’organisation. n. La pé pério riode de ap après rès 19 1968 68 au aux x an anné nées es 19 1980 80 vo voit it ap appa para raitr itree un no nouv uvea eau u flux flux d’info d’i nforma rmation tion d’ail d’ailleu leurs rs des textes textes législa législatifs tifs ont ont été promulg promulgues ues dans dans ce sens portan portantt su surr le dé déve velo lopp ppem emen entt de la co conc ncer ertat tatio ion n av avec ec le pe perso rsonn nnel el d’ d’en encad cadrem remen entt : « le ch chef  ef  d’entr d’e ntrepr eprise ise doit doit recherc rechercher her les moye moyens ns d’amé d’amélio liorer rer l’infor l’informat mation ion et de de dével développ opper er

la

consult con sultatio ation n du person personnel nel d’enca d’encadre dremen mentt dans dans les domain domaines es intére intéressan ssantt la politiq politique ue géné généra rale le de l’en l’entr trep epri rise se en vue vue de perm permet ettr tree à se pe pers rson onne nell de mieu mieux x ex exer erce cerr

le less

responsabilités qui lui incombent ». 1 « A partir des années 1982 le salarie à le droit d’expression les salaries bénéficient d’un d’u n droit droit à l’expr l’expressi ession on directe directe et collect collective ive sur le conten contenu u et l’orga l’organis nisatio ation n de leur  leur  travail, trav ail, ainsi ainsi que que sur la définit définition ion et la mise mise en

uvree d’actio uvr d’action n destiné destinées es à amélio améliorer rer les

œ

conditi con ditions ons de travail travail dans dans l’entrep l’entreprise rise ».   2 Dep Depuis uis quelques quelques années années,, la communica communicatio tion n orga organi nisat satio ionn nnell ellee se rap rappr proc oche he du mana manage gemen ment. t. Le dé déve velo lopp ppem emen entt de dess struc structu ture ress  participatives avec les cercles de qualités et autres groupes de progrès (création de l’asso l’a ssocia ciatio tion n fran françai çaise se de dess ce cerc rcles les de qu qual alité itéss en 19 1981 81). ). La vo volo lont ntéé de re renf nfor orcer cer la

1

DETERIE Philippe Philippe et BRO BROYER YER Cathe Catherine rine , la commun communicatio ication n interne interne au sservice ervice de ma managem nagement ent ,2 édition, édition, éditio édition n liaiso liaisons, ns, pari pariss ,2001, ,2001,p39. p39. 2

Ibid, p 40. 33

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

co cohé hésio sion n avec avec la cé célé lébra bratio tion n de dess va valeu leurs, rs, les au audi dits ts de cu cult ltur uree et de va valo lori risat satio ion n de l’histoire de l’entreprise.

3. Les moyen moyenss de la communicati communication on org organisat anisationnel ionnelle le : L’organisati L’org anisation on utilise utilise un ensemble ensemble des moyens moyens et d’outils d’outils pour permettre l’accès à l’information et assurer sa circulation au sein de l’entreprise pour mieux informer et faire  participer les travailleurs à la prise de décision. d écision.

3.1. Les moyens oraux La commu communic nicati ation on ne peut peut se concev concevoir oir sans sans écoute écoute ni ni analyse analyse prov provenan enantt des Cibles Cib les.. C’est C’est la la base base de tou toute tess élabo élabora ratio tion n de dess messa message gess et éva évalu luat ation ion série sérieus usee de dess actions de communication, c’est l’outil essentiel qui permettra de vérifier dans quelques mesuress les objectifs auront été atteints. mesure atteints.1 

  Les réunions réunions   : Les Les réunion réunionss préparé préparées es sont sont

une occasion occasion particuli particulièrem èrement ent

 propice pour passer la communication fonctionnelle et la communication interpersonnelle. La cohésion cohésion d’une équipe équipe de travail se construise construise autour autour des objectifs objectifs de l’entreprise l’entreprise ou de servic service, e, optimi optimiser ser l’effic l’efficaci acité té des réunio réunions ns de travail travail nécessi nécessite te une une réflexi réflexion on sur les thèmes suivants suivants : Les objectif objectifss des réunio réunions, ns, la réparti répartition tion des rôles. rôles.    Les réunionss (de travail, travail, d’informati d’information, on, de prise prise de décision) décision)    Les types de réunion    Les facteurs facteurs d’efficacité d’efficacité des réunio réunions ns (animateur, (animateur, moyen, moyen, méthode méthode)) 

2

  Le téléphone téléphone :   Il constitu constituait ait traditio traditionne nnellem llement ent un outil outil de commun communica ication tion

interpe inte rperso rsonne nnelle, lle, or or avec le dével développ oppeme ement nt des numéro numéross verts verts et des téléco téléconfér nférenc ences es le télép télépho hone ne do doit it être être co consi nsidé déré ré co comm mmee un ou outil til de co comm mmun unic icati ation on de l'en l'entre trepr prise ise,, la téléc télécon onfér férenc encee pe peut ut ré résou soudr dree les les pr prob oblè lème mess liés liés à la no non n di disp spon onib ibili ilité té ph phys ysiq ique ue de dess  personnes, notamment lors des réunions de travail, le téléphone peut aussi être utilisée

1

BEAU Dominique et DAUDEL Sylian, stratégie d’entreprise et communication, édition Dunod, Paris, 1992, p 84 2

Ibid, p 145. 34

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

 pour diffuser un certain nombre d’informations par la mise à disposition permanente de  personnel d’un numéro-information. 

  Les séminaires séminaires :   Formation, Formation, animatio animation, n, la formation formation est est un lieu privilégié privilégié de

commun com munica ication tion de de nombreu nombreuses ses sociét sociétés és maintie maintienn nnent ent des cycles cycles de forma formatio tion n dans dans le seull but de renforc seu renforcer er la cultur culture, e, la motiva motivatio tion n ou le sentime sentiment nt d’appa d’apparten rtenanc ancee de leur   personnel.1 

  Les circuits circuits informels informels  :  Ils se créent tout au long long de l’histoire l’histoire de l’entreprise, l’entreprise,

ils so sont nt gé géné néra ralem lemen entt plus plus ef effi ficac caces, es, mais mais plus plus cr créd édib ibles les qu quee les circu circuits its fo form rmels els,, ils s’enraci s’en racinen nentt dans dans les relation relationss existan existantes tes entre entre les groupe groupess cultur culturels, els, l’utilis l’utilisatio ation n des circu cir cuits its in info form rmel elss es estt pa parti rticu culiè lière reme ment nt impor importan tante te po pour ur dé désam samor orcer cer les ru rume meur urs, s, ou créd crédib ibili iliser ser de dess messa message gess allan allantt à l’enc l’encon ontre tre de ce ceux ux ha habi bitu tuell ellem emen entt di diff ffus uses es da dans ns l’entreprise. 

  Les portes portes ouvertes, ouvertes, les les visites d’entreprise d’entreprise :   Elles Elles permett permettent ent d’augm d’augmente enter  r 

l’inter l’in terpré prétati tation on de trois trois univer univers, s, l’entr l’entrepr eprise, ise, le person personnel nel et l’envi l’environ ronnem nement ent externe externe lo loca cal. l. Elles Elles pe perm rmett etten entt au aussi ssi de fa faire ire co conn nnai aitre tre le milie milieu u de trava travail il du pe pers rson onne nell à la famille ; d’approfondir la connaissance de l’entreprise.2

3.2. Les moyens visuels classiques de l’entreprise, l’entreprise, qu’elles qu’elles se présentent sous la    Les affiches  : Elles sont des outils classiques forme for me traditio traditionne nnelle lle de papier papier ou d’affic d’affiches hes lumineu lumineuses, ses, elles elles sont sont généra généralem lement ent bien bien utilisées en communication organisationnelle.  :les films films d’ent d’entrep reprise rise sont sont trop trop souven souventt vus comme comme le moye moyen n privil privilégi égiéé de la    Les films  :les communicatio commu nication n organisationne organisationnelle lle ; or ils ne sont pas adaptes adaptes à toutes les situations situations et leurs effets eff ets sont sont limite, limite, car des fois fois ils ne permette permettent nt pas de résoud résoudre re sur le problè problème me liée à la communicatio commu nication, n, soit parce qu’ils qu’ils ne corresponden correspondentt pas ou plus aux attentes attentes et aux besoins besoins du personnel.

1

2

Ibid, p 103. DETRIE Philipe et BROYER Catherine, Opcit, p 135. 35

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

3.3. Les moyens écrits L’écrit L’écr it est le premier vecteur vecteur de communicatio communication n organisationne organisationnelle. lle. Bien utilise, il  permet de transformer des obligations de communication (diffusion, transmission d’instruction d’instr uctions, s, publication publication de résultats) résultats) en occasions occasions des contacts. contacts. Si la commun communicat ication ion écrite écrite reste reste domina dominante, nte, son support support évolue évolue : le papier papier est  progressivement remplacé par les moyens électroniques même si peu d’entreprise ont réussis à imposer « zéro papier ». 1 

 

Not Notee de service service :  La note de service telle qu’elle est utilisée dans les entreprises est

 plus un outil de management qu’un outil de communication dans la mesure où elle arrive à ce cett effet effet perver perverse se que le sa salar larie ie ne la lit plus plus pour pour être être in info form rméé car soit soit il est dé déjà jà informé, inform é, soit il considère que ce que contient la note d’info d’informatio rmation n ne le concerne concerne pas. La notee de service not service est indispe indispensa nsable ble pour pour confirm confirmer er certain certaines es inform informatio ations ns donnée donnéess par  l’intermédiaire.2 

  Le compte compte rendu de réunion réunion :  C’est un résumé résumé des différentes différentes interventions interventions faites au

cours d’une d’une réunion, c’est un document document de référence synthétique synthétique et fidèle qui est diffusé aux personnes personnes ayan a yantt assisté à la réunion. réunion. d’entreprise :  Il permet de rappeler l’appartenance des salaries à un groupe    Le journal d’entreprise

ou une société de créer une vie de groupe, groupe, une vie collective collective et de donner des informations informations  jugées nécessaires et intéressantes sur la vie collectives et sur celle de l’entreprise. Le  journal d’entreprise peut

devenir le lien entre les salaries quelque que soit

leur 

rattachement, rattach ement, c'est-à-dire c'est-à-dire conçu comme mode mode participatif participatif amenant amenant ainsi les personnes personnes à s’impliquer en devenant source d’information ou collaborateur du journal. 3

1

DEMONT-Lugol L iliane et autres, communication des entreprises strategies et pratique, 2 Armand colin, 2006, p 206. 2

3

eme

edition,

 NGUYEN-THANH Flannelly, op cit, p 104. Ibid, p 105. 36

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

3.4. Les moyens technologiques 

Les message messageries ries :   les système systèmess de message messageries ries sont peut peut être moyens moyens

 

d’endiguer d’end iguer c’est la marée blanche mais elle suppose suppose un changement changement de comportement comportement de la  part des cadres.    Télécopie et télex :   Ce sont des moyens rapides de communication entre

établissement établiss ement et entre filiale.    Internet :  Le net, dit-on couramment donne à ses usagers la clé d’un monde

virtuell ; ce considère parmie virtue parmie les medias de masse qui sont apparus apparus au cours de se siècle.1 l’in intra trane nett facili facilite te et ac accro croit it co cons nsid idéra érabl blem emen entt les éc échan hange gess    Intranet   : l’ informationn inform ationnels els de tous types entre les collaborateurs collaborateurs

4. Les mod modèle èless de com commu munica nication tion organi organisat sationn ionnell ellee Less modèles Le modèles de commun communicat ication ion organi organisati sationn onnelle elle représe représente ntent nt les différe différentes ntes manières dont l’information est transmise au sein d’une organisation il existe plusieurs types d’orientatio d’orientation n de la communication communication possible possible dans une entreprise tout d’abord selon  Isabelle LAURIN, il LAURIN,  il est possible possible de reconn reconnaitr aitree une communi communicati cation on descen descenden dentt (vers (vers le  bas), une communication ascendante (vers le haut) et une communication horizontale (latérale).    la communication communication descendante descendante (vers le bas) :

Hi Hist stor oriq ique ueme ment nt appa appart rten enai aitt aux aux diri dirige gean ants ts au se sein in

de dess or orga gani nisa sati tion onss une une

dimension dimens ion tactique, tactique, c'est-à-dire c'est-à-dire de soutien soutien à la bonne exécution exécution des décisions, décisions, plutôt que stratégiques stratég iques celle celle de la participation participation à la prise prise de décision, décision, la communica communication tion vers vers le bas réalise à la direction direction informé informé et transmet des messages messages à ses employés. communication n ascendante ascendante (vers le haut)    La communicatio

1 BA BAYL YLON ON Chris Christia tian n et MIG MIGNO NOT T Xa Xavi vier er,, la commu communi nica cati tion on : le less outil outilss et le less form formes es de la eme communication ; une présentation méthodique et illustrée, 2 edition, Nathan, p 388-309.

37

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

La commun communicat ication ion ascend ascendant antee se définit définit par l’ensemb l’ensemble le des pratiqu pratiques es visant visant à faire faire remon remonte ter, r, vers vers la ha haut utee dire direct ctio ion, n, les les atten attente tess et les be beso soin inss d’ d’in info form rmati ation on de dess employ emp loyés. és. La comm communi unicat cation ion orga organisa nisatio tionne nnelle lle ne saur saurait ait être efficace efficace si elle elle ignora ignorait it ce volet (remonter (remonter l’information l’information vers la haute direction). direction).

selon   KATZ   et   KAHN 1987 , les les mess messag ages es gén énér éral alem emen entt tran transm smis is da dans ns ce cett ttee forme d dee communication communication peuven peuventt consister consister en information information relative relative aux aux problèmes problèmes et au rend rendem emen entt de dess empl employ oyés, és, de l’i l’inf nfor orma matio tion n to touc ucha hant nt le less po polit litiq ique uess et le less méth méthod odes es organi org anisati sationn onnelle elle ou bien bien de l’in l’infor formati mation on sur sur les directi directives ves pour pour effectu effectuer er une une tache tache,, les outils outils utilisé utilisées es dans dans le cadre cadre d’une d’une communi communicati cation on ascend ascendante ante sont sont entre entre autre autre les réunions réunio ns de service, les sondages sondages auprès auprès des salaries et les boites à idées. communication horizontale (latérale) (latérale)    La communication

La communication latérale est celle qui intervient entre deux personnes occupent des des post postes es de même même nive niveau au hiér hiérar arch chiq ique ue ou de ni nive veau au hi hiér érar arch chiq ique ue di diff ffér éren ent. t. la co comm mmun unic icati ation on en entr tree les sa salar larie iess do doit it en même même te temp mpss être être en enco cour uragé agéee et co cont ntrô rôlée lée en milieu de travail. travail.

5. Les obj object ectifs ifs de la com commun municat ication ion organi organisati sationne onnelle lle L’ob L’objec jectif tif de co comm mmun unica icatio tion n or orga gani nisat satio ionn nnell ellee co cons nsist istee à gé gére rerr de mani manièr èree optima opt imale le couple couple demande demande / offre d’in d’infor formati mation on dans dans l’orga l’organis nisatio ation n sa veut dire dire que que les messagess qu’elle message qu’elle produit produit doivent doivent être être reçus compris, compris, ils ils doivent doivent passer. 

  Au service du projet d’entreprise d’entreprise

La co comm mmun unica icatio tion n or orga gani nisa satio tionn nnel elle le

ac acco comp mpag agne ne le socio socioéc écon onom omiq ique uess de

l’en l’entr trep epri rise se dont dont pr prés ésen ente te les les obje object ctif ifss et le less moda modali lité tés. s. La co comm mmun unic icat atio ion n da dans ns l’entrep l’en treprise rise repose repose sur des projets projets concret concretss découl découlant ant d’obje d’objectif ctifss réel. réel.    Accompagner le management

Chaq Ch aque ue ty type pe d’ d’or org gan anis isat atio ion n corr corres espo pond nd à un sty style de mana manage geme ment nt et de communication. l’organisation   Taylorienne   décomp décompos oséé soig soigne neus useme ement nt les rô rôles les et les tach taches es de chac chacun un dans dans un cadr cadree marq marqué ué par par le sile silenc ncee et l’ap l’appl plic icat atio ion n muet muette te de dess

38

 

Chapitre 2

Les NT de l’information et de la communication

directives. directi ves. La La recherche recherche actuelle actuelle des modes de management management plus plus participatif participatifss suppose suppose le développement de relation, de dialogue et d’écoute. La communication organisationnelle participe à la construction d’une image unifier  et positive positive de l’entreprise l’entreprise l’image l’image que le salarie salarie à de son entreprise, entreprise, des des qualités qualités requises requises  pour y réussir, et de son fonctionnement globale, conditionne en grande partie la motivation motiva tion et l’implication l’implication de chacun. chacun. La communica communication tion organisatio organisationnelle nnelle sert aussi à : Sensibilis ilises es le person personnel nel aux object objectifs ifs de l’entr l’entrepr eprise, ise, et ce par divers divers outils, outils, réunio réunions ns    Sensib sur des programmes programmes de formation. formation.    aide aiderr la hiér hiérar arch chie ie à fa fair iree desc descen endr dree et re remo mont nter er l’in l’info form rmat atio ion n qu quii jo joue ue un rô rôle le

fondamental fonda mentalement ement dans l’évitement l’évitement de la circulation circulation des rumeurs. rumeurs.    Faire connaitre connaitre les différentes différentes facettes de l’entreprise l’entreprise (projet, réorganisation réorganisation interne, interne, l’audit

de commun communica ication tion)) pour pour avoir avoir une bonne bonne percept perception ion de notre notre image image en en externe externe construire un esprit d’équipe d’équipe et renforcer renforcer l’adhésion du personnel personnel dans le but d’impliquer  d’impliquer     construire le personnel personnel à son son organisation. organisation.

39

 

Chapitre 3

  Section

Les apports des NTIC

1 : L’internet

1. Défin Définition ition de l’ l’inter internet net C’est un mot anglais des Etats-Unis composé d’« inter » et « net » tiré du network  (réseau (rés eau)) « interco interconne nnected cted net Works Works », c’est c’est un réseau réseau mondia mondiall de télécom télécommun municat ication ion reliant entre eux des ordinateurs ou des réseaux locaux et permettent l’acheminement des données numérisées de toute sorte (message électronique, image, texte, sons,…). « Rése Réseau aux x mond mondia iall as asso soci cian antt des des re ress ssou ourc rces es de té télé léco comm mmun unic icat atio ion n et de dess ordi ordina nate teur urs, s, serv serveu eurs rs et clie client nts, s, dest destin inee à l’éc l’écha hang ngee de mess messag agee él élec ectr tron oniq ique ues, s, d’information d’info rmationss multimédias multimédias et de fichiers, il fonctionne fonctionne en utilisant utilisant un Protocol commun IP « Protocol internet ».1

2. Les se services rvices de l’i l’intern nternet et  Nous allons décrire les principales utilisations par l’internet en débutant par le plus médiatisé médiati sé d’entre eux : a) L’intra L’intranet net :

L’intranet est un réseau informatique local c’est-à-dire utilisé uniquement à l’intérieure d’une d’u ne entrep entreprise rise ou d’une d’une organi organisati sation on quelco quelconqu nque. e. Ce réseau réseau local local utilise utilise les mêmes mêmes technologies techno logies que l’internet. l’internet. Plus précisément, précisément, il s’agit d’un système « utilisateur-serveu utilisateur-serveurr ». Toutt comme Tou comme lors lors de l’utilis l’utilisatio ation n d’un d’un naviga navigateu teurr (mozill (mozilla, a, intern internet et explor explorer, er, opéra, opéra,…), …), l’usage envoie la requête au serveur qui à son toure va renvoyer une réponse à un autre usager. L’intranet est par définition interne à l’entreprise, c’est-à-dire que seules les personnes autorisées ont accès aux données du système d’information général (SIG). Toutefois, la  plus part des réseaux intranet sont également crées afin d’être accessibles depuis n’importe où dans le monde à condition d’avoir accès à un poste de travail connecte a l’internet et de  posséder les identifiant et mot de passe nécessaire. 2 b) L’extr L’extrane anett

L’extranet élargit l’accès à l’internet à un publique extérieur à l’entreprise, public restreint et sélectio sélectionné nné (client (clients, s, fourni fournisseu sseurs) rs) en réalité réalité l’extran l’extranet et n’exist n’existee pas dans dans l’entr l’entrepr eprise, ise, mais il y à une liaison entre le poste et la société dont on utilise un mot de passe pour entré

1

BOULOC BOUL OC Pier Pierre, re, NT NTIC IC : comm comment ent en tir tire e prof profit, it, 8 Editi Edition, on, RIA, Paris Paris,, 2003.p 229.

2

LAMIZET Bernar LAMIZET Bernard, d, SJLE SJLEM M Ahm Ahmed, ed, dic dictio tionna nnaire ire ency encyclo cloped pediqu iquee de sci scienc ences es de l’in l’inform formati ation on et de la communication, Edition Ellipses, paris, 1997.p 199. 40

 

Chapitre 3

Les apports des NTIC

dans le réseau de la poste afin de consulter le compte de la société et de transmettre les données au service finance et comptabilité.1 c) Le Groupwa Groupware re

C’est C’e st un process processus us de travail travail de gr group oupee désigna désignant nt les outils outils inform informatiq atique ue facilita facilitant nt le travail trav ail d’équip d’équipee de projet. projet. Il offre offre ainsi ainsi une meilleu meilleure re complé complémen mentair tairee à la message messagerie rie électronique. C’est aussi un logiciel qui permet un ensemble des personnes de travailler en grou groupe pe.. Ce

ge genr nree de logic logiciel iel utilise utilise tous tous ty types pes de résea réseaux ux pu publ bliq ique ue ou privé privé et bi bien en

entendue internet, intranet, extranet. Ce dernier ouvre la voie vers une nouvelle façon de travail,, car il permet la coordination travail coordination,, la coopération et la communicati communication on2. d) Le Workflo Workflow w

C’est C’e st un ensemb ensemble le de disposit dispositifs ifs techni technique que permetta permettant nt la diffus diffusion ion,, l’admin l’administr istratio ation n et l’exécution d’un flux d’information au sien de groupe de travail. Le champ d’application du Workflow est une forme de travail impliquant un nombre limite de personnes devant accomplir, en un temps limite, des taches articulées autour d’une procédure, définie et ayant un projectif global. Son intérêt c’est d’optimiser la cohérence entre les intervenants et les temps de réponses et également de simplifier le travail de chacun en lui précisant les taches en prévoyant des procédures prédéfinies. 3 e) Micros Microsoft oft Outloo Outlook  k 

Microsoft Outlook est un gestionnaire d’informations personnelles et un client de courrier  électro élec troniq nique ue proprié propriétair tairee édité édité par Microso Microsoft. ft. Il fait partie partie de la suite suite bureau bureaucrat cratiqu iquee Microsoft Office. Cet outil est une application de courrier électronique qui propose une organisation efficace des taches et des contacts, il propose une fonction de multi-utilisation  pour l’organisation comme le partage de courrier et la gestion de l’emploie du temps. Cet outi outill de gesti estion on perm permet et la fa faci cili lite te de la comm commun unic icat atio ion n et la bo bonn nnee ci circ rcul ulat atio ion n de l’information l’info rmation dont l’objectif principale, facilite de l’utilisation l’utilisation de courrier courrier électronique électronique par  le personnel d’une organisation4. f) E-mail E-mail (courrier (courrier électronique) électronique)

Le message permet d’envoyer toute sorte de messages directement à son interlocuteur et contourne les problèmes d’absence ou de ligne occupée. On peut, de plus, envoyer le message à plusieurs plusieurs personnes personnes très facilement. facilement. 1

eme

Lilaine Demont Lilaine Demont-Lugol -Lugol et autres autres,, commu communicat nication ion des entreprise stratégies et pratiq pratiques, ues, 2 Edition,Armont collin, paris, 2006,p 122. 2 eme Marie- Hilene Westtphalen, communicator : le guide de la communication d’entreprise, 3 Edition, Dunod, Paris, 2001, p 222. 3 Ibid, p 222. 4 Ibid, p233. 41

 

Chapitre 3

Les apports des NTIC

La messagerie offre tous les avantages de l’écrit sur l’oral. Le temps de l’écriture favorise la réflexion et la précision. Le commerce électronique n’est ni une technologie ni un utile isol isolé. é. Il résu résult ltee d’ d’un unee comb combin inai aiso son n de tech techno nolo log gie ie,, d’ d’ap appl plic icat atio ion, n, de stra straté tég gie ie,, d’organisation et de processus. Il ne peut être mise en   œuvre par une seule entreprise fonctionnant isolement. Il exige de nombreux participants. En résume, le commerce en ligne est affaire de liaisons. liaisons.1

3. Les fonctio fonctionnali nnalités tés de l’internet l’internet dans l’entrepr l’entreprise ise. 

  L’interaction : Internet est un média interactif qui permet la construction d’une relation

entre fournisseur fournisseur et client mais également également entre clients. L’interactivi L’interactivité té client-fourni client-fournisseur  sseur   permet entre autre le développement du profil du client, l’évaluation en ligne des  besoins du client, la gestion des plaintes,… L’interactivité entre clients peut développer  la confiance des clients envers l’entrepri l’entreprise se et diminuer diminuer le service après-vente. après-vente. 

  La fidélis fidélisation ation  : Internet à ouvert des nouvelles voies dans ce domaine. Au-delà des

 programmes de fidélisation classiques qui peuvent exister sur le Net, le développement de la connaissance client via ce média permet à l’entreprise de mieux satisfaire les atten attentes tes de ce celu lui-c i-cii et dé déve velo lopp pper er sa fidéli fidélité. té. In Inter terne nett pe peut ut égale égaleme ment nt co cont ntri ribu buer er à l’augmentation des coûts de transfert. 

  La communication : Internet constitue un média supplémentaire pour informer le client

et entrer en contact avec celui-ci. La communication est envisagée ici sous l’angle du conten con tenu u inform informatio ationne nnell faisant faisant l’obje l’objett de la relatio relation. n. Au-del Au-delàà du site en lui-mêm lui-même, e, l’entreprise peut communiquer avec ses clients à travers des  E-mails, de newsletters ou de forums. 

  La transaction : L’entreprise peut via internet réaliser des devis, gérer la commande et

recevoir recev oir le paiement paiement des clients. 

  Le servic servicee et service service ajouté  ajouté  :   : Internet permet à l’entreprise d’élargir le service offert au

client, soit simplement en offrant un nouveau média ou en innovant et développant de nouveaux services complémentaires. 

  Le multimédia  : Internet permet la diffusion des textes, des sons et des messages vidéos.

Grâce au multimédia, le client pourra par exemple obtenir une meilleure visualisation des produits produits de l’entreprise sur le  Web  que sur un imprimé.

1

Lilaine Demon Lilaine Demont-Lugo t-Lugoll et autres autres,, comm communicat unication ion des entrepri entreprise se straté stratégies gies et pratiques, pratiques, 2 collin, paris, 2006,p144

eme

Edition,Armont

42

 

Chapitre 3 

Les apports des NTIC

  L’ergonomie : la commodité de l’organisation des pages et du site va attirer et retenir 

l’internaute. 

  : la disponibilité 24heures/24 et 7jours/7 est un des grands avantages   La disponibilité  : d’internet d’inte rnet pour la gestion gestion de la relation client.1

4. L’int L’internet ernet et la perf performanc ormancee des entrepri entreprises ses Internet Intern et représente représente plus particulièrement particulièrement un accélérateur accélérateur de développeme développement nt pour les PME. Notre étude met en lumière l’existence d’une corrélation forte entre l’utilisation des technol tech nolog ogies ies Web par des salaries salaries des entrepr entreprises ises ainsi que leur leur client client et fourni fournisseu sseurs, rs, d’un d’unee pa part rt,, leur leur ry ryth thme me de cr croi oissa ssanc ncee et leur leur ca capac pacité ité à ex expo port rter er.. Au co cour urss de dess trois trois dernières années, les entreprises « à forte intensité Web » ont crue deux fois plus vite que les autres (7%, contre 3%). Elles ont aussi exporté deux fois plus (réalisant en moyenne 4 % de leur chiffre d’affaires a l’export, contre 2,6 % pour celles à intensité web moyenne et 2 % pour celle intensité Web). Par ailleurs, les PME françaises à très forte croissance se caractér cara ctérisen isentt par une utilisat utilisation ion plus plus intensi intensive ve de dess techno technolog logies ies Web et sont sont égalem également ent celle qui crée le plus d’emplois. Les PME bénéficient de l’usage d’internet à plusieurs titres. L’internet permet à toutes d’améliorer leur rentabilité, l’internet apparait de surcroit comme un accélérateur de dévelo dév eloppe ppemen mentt pour pour les PME, PME, d’une d’une part, part, et leur leur ry rythm thmee de croissa croissance, nce, ainsi que leur  capacité d’export, d’autre part. Ce sont la les principaux enseignements qui ressortent de deux études que nous avons menées successivement pour évaluer l’impact d’internet sur  les entreprises. Plusieu Plu sieurs rs élément élémentss de cette cette enquêt enquêtee ayant ayant révélé révélé un impacte impacte particu particulièr lièreme ement nt important d’internet sur la croissance et la compétitivité des PME. L’internet permet aux entreprises de réaliser des gains de rentabilité ,  les entreprises déclarent leur à permis de réaliser 15% de gains de rentabilité en moyenne, à la fois grâce à l’amélioration de leur  ch chif iffre fre d’af d’affai faires res et à la rédu réducti ction on de leur leurss co cout uts. s. Il s’agi s’agitt la d’ d’un unee améli amélior orat atio ion n très très substantielle, substan tielle, si on applique ce ratio au résultat d’exploitation d’exploitation de ensemble des entreprises entreprises en 2009, on à aboutit a un montant comparable à la contribution d’internet. Au cours de la seul période. 2

1

CADIAT Ann CADIAT Anne-C e-Chri hristin stine, e, DE MOERLOO MOERLOOSE SE Chanta Chantal, l, l’im l’impac pactt d’in d’intern ternet et sur la ges gestion tion de la rel relati ation on client,Université Catholique de Louvain-la-Neuve, Belgique, 200 2000, 0, p 16, DOC. 2 SAINT-ETIENNE Christian, l’impacte d’internet sur l’économie française : comment l’internet transforme notre pays, France, France, mars 2011, p 17, PDF. 43

 

Chapitre 3

Les apports des NTIC

   La section 2 : Le commerce électr électronique onique

1. Défini Définition tion de com commerce merce él électroni ectronique que : Selon la définition de l’OCDE, le commerce électronique ou E-commerce en anglais anglais est la vente ou l’achat de bien ou de service eff effectue ectue par une entreprise, entreprise, une administration, ou toute autre entité publique ou prive et réaliser au moyen d’un réseau électronique. On distingue : L’échangee électro électroniq nique ue entre entre les entrep entreprise rises, s, souven souventt appelé appelé B2B (acrony (acronyme me    L’échang anglais angla is de business to business). business).    Le co comm mmer erce ce élect électro roniq nique ue à de desti stina natio tion n de dess pa parti rticu culie liers rs,, B2C B2C (b (busi usine ness ss to

consumer), consu mer), il s’agit de site web marchand, marchand, type télé-achat.    Le commerc commercee électro électroniq nique ue entre entre particu particulier lier ou C2C (consume (consumerr to consume consumer), r), il

s’agit s’ag it des sites sites web permet permettan tantt la vente vente entre entre particu particulier lier (immob (immobiles iles,, bourses bourses,, annonces, échanges).    l’échan l’échange ge

électro électroniq nique ue entre entre les entreprise entreprisess privées privées et gouvern gouverneme ement, nt, souvent souvent

appelé B2G (business to gouvernement) ou B2A (business to administration).

2. Caract Caractéristi éristiques ques du ccommer ommerce ce él électron ectroniques iques : 2.1. La gestion de flux :

La gestion de flux caractérise caractérise le commerce électroniqu électroniquee par opposition opposition à la gestion des stocks qui structure l’organisation d’une usine de montage ou d’un commerce de proximité, les systèmes de gestion des bases des données constituent des sto toccks qui ont un imp impacte sur les pro roccessu ssus de l’entre rep prise, mais l’encombrement des entrepôts des données n’est pas comparable à celui des stocks  physiques de marchandises .et leur gestion ne pose pas les mêmes problèmes de manute man utentio ntion. n. le commer commerce ce électro électroniq nique ue vise vise à coordo coordonne nnerr des flux flux de nature naturess différentes :    Les transactio transactions ns commercia commerciales les et financières financières..    Les flux des marchandises, matérielles et immatérielles.    Les flux d’information d’information (procédure (procédure administrativ administratives es de déclaration, déclaration, saisie dans les

 bases des données).    Les flux de client (profils et comportements). comportements). 44

 

Chapitre 3

Les apports des NTIC

Ces flux ne sont pas tous dématérialisés dématérialisés .l‘enjeu du comme commerce rce électronique électronique est de gérer et d’ordonner ces flux afin de maximiser la satisfaction du client.1 2.2. L’interactivité L’interactivité des échanges échanges

La deuxième deuxième caractéristique caractéristique de commerce commerce électronique électronique est l’interactivité l’interactivité qu quii est est favo favoris risée ée pa parr la glob global alisa isatio tion n

de dess éc écha hang nges es.. L’in L’inter terac acti tivi vité té est soit soit

asynchrone, soit en temps réel. L’interactivité en mode asynchrone se manifeste  par exemple dans les applications de messagère la réaction à l’émission d’in d’info form rmat atio ion n n’ n’es estt pas pas im immé médi diat ate. e. en fo fonc ncti tion on de l’in l’inte terf rfac acee ch choi oisi siee pa par  r  l’entreprise l’entre prise l’émetteur l’émetteur reçoit un accuse accuse de réception et il sait si le message envoyé envoyé a été consulte. Quant au récepteur, il choisit de répondre ou de laisser le message en attentes. attentes. L’interactivité peut aussi être en temps réel comme c’est le cas pour les marche marc hess spot spotss et les les vent ventes es au aux x ench enchèr ères es:: le less ac ache hete teur urss pr prés ésen ents ts su surr le site site réagissent réagis sent a l’annonce des prix proposes, proposes, soit pour surenchérir soit en abandonn abandonnant ant la pa parti rtie. e. Grâce Grâce à la glob globali alisat satio ion n de dess échan échange gess

él élect ectro roni niqu ques, es, ce cess pl place acess de

marche connaissent un grand succès, tant auprès du consommateur final que des entreprises. 2.3. La transparence transparence des applications applications pour l’utilisateur l’utilisateur

Une autre caractéristique du commerce électronique est la transparence des applica app licatio tions ns pour pour l’utili l’utilisate sateur ur final. final. En effet effet la global globalisat isation ion des échange échangess et l’interc l’in terconn onnexio exion n des système systèmess permet permetten tentt à l’utilis l’utilisateu ateurr de faire faire appel appel à grand grand nombre d’application sans qu’il rende compte. Cette transparence est renforcée par  la mutualisation des ressources en particulier le partage des bases de données ainsi, une application n’est pas associée à une base d’information mais s’appuie sur un système global. De plus, la reprise reprise de l’existant et la complexité des des systèmes intégrés intégrés font qu’une même information peut souvent être obtenue de différentes manières. De fait, l’utilisateur ils s’attachent à la valeur de l’information qu’il recherche et non à la manière manière dont celle-ci celle-ci lui est livrée livrée par le sys s ystème tème.. Le mode de déploieme déploiement nt du 1

BITOUZET Christine, le commerce électronique, hermès science publication, paris, 1999, p 93. 45

 

Chapitre 3 co comm mmer erce ce élec électr tron oniq ique ue qui qui

Les apports des NTIC mobi mobili lise se les les

utili tilisa sate teur urss

po pour ur id iden enti tifi fier er le less

fonctionna fonct ionnalités lités des applications à développer développer contribue à mainte maintenir nir la transparence transparence des applications vis-à-vis de l’utilisateur final. En conclusion, la transparence des applica app licatio tions ns tend à croitre croitre : tandis tandis que le traiteme traitement nt des données données se complexi complexifie, fie, la convivialité convivialité des interfaces interfaces augmente augmente et permet à l’utilisateur l’utilisateur d’interag d’interagir ir avec la machine sans apprentissage spécifique.1

3. La diversi diversité té des applicat applications ions de comm commerce erce électron électronique ique 31. Les applications applications externes externes 3.1.1. 3.1. 1. Relatio Relation n interen interentrep trepris rises es

« Les relations relations interentreprises interentreprises sont caractérisées caractérisées par la technologie utilisée, ou par le besoin besoin de service auque auquell elles tenten tententt de répondr répondre. e. En effet il y a une ce certa rtain inee prog progre ressi ssion on dans la co comp mple lexi xité té et l’expe l’expert rtise ise néces nécessai saire re à la mise mise en uvre uvre des des tech techno nolo logi gies es,, qui qui va de pair pair av avec ec la cr croi oiss ssan ance ce du no nomb mbre re de dess

œ

fonctionnalités. Cepe Ce pend ndan ant, t, il es estt tr très ès diff diffic icil ilee de ca cara ract ctér éris iser er le co comp mpor orte teme ment nt de dess entrep ent repris rises es quant quant à leur leur choix choix en matière matière des technol technologi ogies es de l’infor l’informati mation on car  celui-ci celuici dépond non seulement seulement des qualités qualités techniques techniques des technologies technologies mais aussi de l’organisation interne de l’entreprise et de son environnement ». 2 3.1.2. Relation concernant les administration administrationss :

Less ap Le appl plic icati ation onss de co comm mmer erce ce élect électro roni niqu quee mises mises en  

uvr vree pa parr le less

œ

adminis adm inistrat tration ionss sont sont caract caractéris érisées ées par la nature nature des servic services es fourni fournis. s. Mais Mais cette cette ty typo polog logie ie es estt très très liée liée à l’ l’en envir viron onne neme ment nt socio socioéc écon onom omiq ique ue et po polit litiq ique ue.. le less applications applic ations de commerce électronique électronique avec les administration administrationss remplissent quatre grandes fonctions :    L’information des entreprises entreprises et des citoyens citoyens

simplification des procédures procédures déclaratives déclaratives    La simplification    La production des statistiques. 1

2

BITOUZET Christine, OP cite, p104-105. Ibid,.p 55. 46

 

Chapitre 3

Les apports des NTIC

   L’automatisation de certaine transaction.

3.1.3. Relation aux particuliers particuliers :

Less ap Le appl plic icat atio ions ns de comm commer erce ce élec électr tron oniq ique ue ex exte tern rnes es co couv uvre rent nt le less entreprises, entrep rises, les les administrations administrations et et les particuliers. particuliers. Celles Celles qui concernen concernentt le grand grand  public peuvent être décrite en fonction des acteurs impliques. Les applications de commerce comme rce qui s’adressent s’adressent au grand public public comprennen comprennentt les services des entreprises entreprises aux consommateurs, les services administratifs et les échanges individuels. Parm Parmii les les se serv rvic ices es

au con conso somm mmat ateu eurr fina final, l, on di dist stin ing gue ceu ceux qu quii

s’adressent à une clientèle cible bien connue des entreprises et ceux qui visent à drai draine nerr de nouv nouvea eaux ux clie client nts. s. Les pr prod odui uits ts de gra rand ndee co cons nsom omma mati tion on so sont nt commandes et payes en ligne, puis livres au domicile du client. Le site web est ou ouve vert rt a to tous us les les in inter terna naut utes, es, l’obje l’objecti ctiff étan étantt

d’ d’ad adre resse sserr la cible cible la plus plus la larg rgee

 possible pour augmenter son chiffre d’affaires. Par ailleurs les exploitations des technologies internet pour identifier le profil des clients réguliers et analyser leur  comportemen compo rtementt à permis de développer développer un service de conseil personnalise personnalise auprès auprès de sa clien clientèl tèlee fidèle fidèle.. Enfin Enfin les ap appl plica icatio tions ns de co comm mmerc ercee en entr trep epri rise sess au aux x particu particulie liers rs

vise visent nt

él élect ectro roniq nique ue de dess

so souv uven entt à co cons nstit titue uerr une commu communa naut utéé

de

clients clie nts sur internet, internet, ce qui se tradui traduitt parfois parfois par la créatio création n de clubs qui donnent donnent des avantages à leurs adhérents.1 3.2. Les applications internes 3.2.1 Typologies fonction fonctionnelle nelle des applications applications internes

Les applica applicatio tions ns de commer commerce ce électron électroniqu iquee interne interness sont classées classées selon selon deux grandes grandes fonctionnalités, fonctionnalités, l’informatio l’information n et la communication communication à l’intérieur de l’ent l’e ntrep repri rise se et la ge gesti stion on de la co coop opér érat atio ion n et du trava travail il en gr grou oupe pe,, le be beso soin in d’informatio d’inf ormation n et de la communication communication émane à la fois des individus individus et des services intern int ernes es ,la général généralisat isation ion

des échanges échanges électro électroniq niques ues offre des opport opportuni unités tés

nouvelle en terme de contenu et de mode de diffusion de l’information le besoin d’information et de communication dans l’entreprise est donc très important, en quantité et en qualité, ce besoin est renforce par l’accélération des processus de 1

BITOUZET Christine, Op cite p 68. 47

 

Chapitre 3 chan chang gemen ements ts lies lies à

Les apports des NTIC l’ l’év évo oluti lution on de

l’ l’en env viro ironn nnem emen entt

co con ncu curr rren enti tiel el et au

développem dével oppement ent des nouvelles nouvelles technologies technologies de l’information l’information .dans une organisation organisation en mouvement, les individus ont besoins de connaitre la stratégies globale dans laquelle s’inscrit leur action, le premier objectif du développement des échanges électroniqu électro niques es est l’amélioration l’amélioration de l’informatio l’information n et de la communication communication entre entre les unités au sein d’une d’une entrep entreprise rise ce qui est très souvent souvent avance, c’est la nécessite nécessite de renfor ren forcer cer la commun communica ication tion transv transversa ersale le entre entre les équipes équipes afin afin de mieux coller coller à l’organisation par projet prônée par les directions d’entreprise.1 3.2.2. Les objectifs des projets projets internes internes

« Les objectifs énoncés pour les projets de commerce électronique internes sont rarement en parfaite adéquation avec les fonctionnalités mises en ouvres. Cela tient à ce que d’une part objectifs peuvent être formules à posteriori pour justifier  les investissements, cependant, les objectifs des projets de commerce électronique reflètent le choix de la méthode de mise en   œuvre, ainsi lorsque les objectifs sont nombreux et diversifies, cela se traduit au niveau de la démarche de déploiement  par des tensions dont la résolution crée la dynamique du projet.    Informer et communiquer

La pr prem emie ierr ob objec jecti tiff du dé déve velo lopp ppem emen entt de dess échan échange gess élect électro roni niqu ques es est l’amélio l’am éliorat ration ion de l’inform l’informatio ation n et de la commun communicat ication ion entre entre les unités unités au sein d’une d’u ne entrep entreprise rise,, ce qui est très souven souventt avance, avance, c’est c’est la nécessit nécessitéé renforce renforcerr la communication transversale entre les équipes afin de mieux coller à l’organisation  par projet prônée par les directions d’entreprise. Les applications de commerce électronique interne renforce la communication par la mobilisation de ressource autour d’un projet d’équipe ». 2 technologie    Tester une technologie

Less ap Le appl plica icatio tions ns de co comm mmer erce ce élect électro roni niqu quee inter interne ness es estt de tester tester le less technol tech nolog ogies ies de l’inform l’informatio ation n et de la commun communica icatio tion n avant avant d’entre d’entrepre prendr ndree un

1 2

BITOUZET Christine, OP cite, p 71. BITOUZET Christine, OP cite, p 76. 48

 

Chapitre 3

Les apports des NTIC

 projet plus vaste. Les technologies internet se prêtent d’autant plus volontiers à cette approche qu’elles permettent de concevoir un module. Intégrer les technologies internet internet dans un projet stratégique    Intégrer

La

contrib contributi ution on à un projet projet stratég stratégiqu iquee global global de l’entr l’entrepr eprise ise constitue constitue

l’objectif des applications de commerce électronique. Les démarches d’intégration  peuvent être de deux sortes, soit le développement des échanges électroniques est impose par la direction, direction, soit ce sont sont les acteurs acteurs concernés concernés qui élisent élisent les nouveaux nouveaux us usag ages. es. Par Par aille ailleur urs, s, l’i l’int ntég égrat ratio ion n de dess no nouv uvel elles les te tech chno nolo logi gies es de comme commerc rcee électro élec troniq nique ue résulte résulte aussi d’une d’une démarch démarchee de long long terme terme de sensibilis sensibilisatio ation n et de formation format ion des acteurs dans l’entreprise l’entreprise.. Les utilisateurs sont concertes concertes au sein de groupe de travail pour déterminer la démarche et les modalités d‘exploitation des no nouv uvea eaux ux ou outi tils. ls. Ai Ains nsi, i, les les us usag ages es du co comm mmerc ercee élect électro roni niqu quee émerg émergen entt d’ d’un un  processus interactif de coopération entre les techniciens du système d’information, les directions directions métiers pour le contenu contenu des services et les utilisateurs. utilisateurs.1

4.

Les object objectifs ifs de com comme merce rce éle électr ctroni onique que Les principes qui fondent le développement des échanges sociaux sont la

recherc rec herche he ou le maintien maintien du pouvoi pouvoir, r, le capital capital de confia confiance nce qui existe existe entre les interlocuteurs et la volonté de pérenniser les échanges de même, le commerce élec électr tron oniq ique ue s’ s’ap appu puie ie su surr un équi équili libr bree entr entree ce cess troi troiss pô pôle less : le po pouv uvoi oir, r, la confiance et la fidélisation. 4.1. Traiter l’information

Du point de vue des utilisateurs, la dématérialisation des échanges facilite la recherche d’information .celle-ci s’effectue au moyen de moteurs de recherche d’annuaires d’ann uaires ou par l’intermédiaire l’intermédiaire des portails. Par ailleurs, ailleurs, l’information l’information est mise à disposition sur des portails dont l’audience se mesure à la rapidité avec laquelle ils permettent permettent à l’utilisateur l’utilisateur d’accéder d’accéder aux informations informations recherchées. recherchées. Cependant, Cependant, les portails sont financés par les bandeaux publicitaires publicitaires et les entreprises entreprises qui se font répertorier répert orier sur le site.

1

Ibid, p 77-78. 49

 

Chapitre 3 4. 4.1. 1.

Les apports des NTIC

Parta Partager ger le less ressou ressource rcess

Pour les entreprises, le développement des échanges sur internet permet de mettre met tre en commun commun des ressou ressources rces capacité capacitéss d’inves d’investiss tisseme ement, nt, infrast infrastruct ructure ures, s, compétence compé tence technique technique et expérienc expériences es pour les les ressources ressources marketing marketing qui qui peuvent peuvent être pa être parta rtagé géee en entre tre les les en entre trepr prise isess pa parr ex exem empl ple, e, la co cons nstit titut utio ion n d’ d’un unee ga gale lerie rie commerciale en ligne conduit à créer une identité ou une marque. Or l’effet de marque mar que et de notor notoriété iété est très très import important ant sur le réseau réseau car il génère génère notoriét notoriétéé et aud audienc iencee su surr le si site te.. Don oncc la part partic icip ipat atio ion n à un unee gale galeri riee ré rédu duit it le less co cout utss d’enregistrem d’enr egistrement ent du commerçant commerçant sur les moteurs de recherche recherche.. 4.2. Créer Créer et gérer gérer la confia confiance nce

La mise en   œuvr uvree du commerce commerce électro électroniq nique ue se heurte heurte au problè problème me de la reconn rec onnais aissanc sancee entre entre les parties parties de l’échan l’échange, ge, accrue accrue par l’absen l’absence ce de contac contactt  physique entre les acteurs, pour une entreprise, il s’agit en particulier de s’assurer  que l’émetteu l’émetteurr n’usur n’usurpe pe pas l’ident l’identité ité du porteu porteurr de message message,, de plus, plus, la date date d’émission à parfois valeur de preuve. En effet, la confiance entre les partenaires externes, extern es, fournisseurs fournisseurs et clients ou prestataires ou internes, internes, est déterminante déterminante pour la réus réussit sitee de dess af affai faire res, s, en gé géné néra rall la co confi nfian ance ce est al alime iment ntée ée pa parr de dess re rela latio tions ns fréq fréque uent ntes es entr entree les les indi indivi vidu dus, s, l’ l’év évol olut utio ion n de dess pr prob oblè lème mess co comm mmun unss et la constit con stituti ution on de dossier dossiers(c s(comm ommand andes, es, accusés accusés de récepti réception, on, facteur facteur reformi reforming ngss régu réguli lier erss

qui qui fo fond nden entt la rela relati tion on,, ains ainsi, i, la dé déma maté téri rial alis isat atio ion n

de dess éc écha hang nges es

co comp mpliq lique ue la cr créa éatio tion n et le main maintie tien n de la co conf nfian iance ce en entre tre le less en entit tités és.. Cette Cette co conf nfian iance ce es estt d’ d’au auta tant nt plu pluss né néce cessa ssaire ire au ni nive veau au de dess PME PME qu quee ce celle lless-ci ci ne se lance lan cent nt pa pass se seule ule su surr des pr proj ojets ets de co comm mmerc ercee élect électro roni niqu quee et re rech cherc erche hent nt au contrai con traire re des partena partenaria riats ts et des ressour ressources ces compléme complémenta ntaires ires,, c’est c’est pourqu pourquoi oi le dévelo dév eloppe ppemen mentt des échang échanges es électro électroniq niques ues s’accompag s’accompagne ne

de nouveau nouveau modes

d’action d’acti on qui visent visent à créer et gérer gérer la confiance confiance entre les acteurs. acteurs.   1

1

BITOUZET Christine, OP cit, p 160-169. 50

 

Chapitre 4

L’impacte de d es N NT TIC ssu ur l’entreprise

  La section 1 : Les NTIC dans l’entreprise

1. Comm Comment ent réussir l’i l’introduc ntroduction tion des NTIC dans l’entr l’entreprise eprise

« Afin de réussir l’introduction des nouvelles technologies au sein d’une entreprise il faut s’assurer que : 

  Avan Avantt de s’aventure s’aventure dans de telle technolog technologie, ie, il est prudent prudent de créer créer des grou groupes pes de travail pour observer les concurrents et le marché et pour réfléchir sur le potentiel usage qu’il peut en être fait.



  La création des projets pilotes permet de mettre en place des équipes techniques Compétentes pour mesurer l’impact sur l’organisation, puis valider les choix avant la généralisation de la nouvelle technologie à l’ensemble de la firme. Avec cette méthode  pragmatique on diminue le risque d’échec et de rejet.



  En outre, pour que la greffe réussisse, il est souvent préférable que les novelles  pratiques viennent cohabiter voir hybrider les anciennes et s’appuyer sur elles. Cela veu veut dir iree une une fois fois on im impplan lante Inte nterne rnet, pa parr ex exeemp mple le,, la sub ubst stit itut utio ionn de dess commun com munica icatio tions ns électr électroni onique quess au auxx ancien ancienne ness doi doitt s’o s’opér pérer er par étape. étape. Ain Ainsi, si, on commence par mettre en ligne des services publiques simples et incontournables comme le répertoire téléphonique ou la messagerie, en les doublants en premier temps  par les supports classiques papiers qui disparaîtront ensuite progressivement ».1 « Avec les NTIC ; la performance technique n’est plus un critère déterminant de

succ succès ès,, ma mais is c’es c’estt l’a l’app ppro ropr pria iatio tionn de dess proj projet etss pa parr l’ l’en ense semb mble le du pe pers rson onne nell qu quii le less légitiment. C’est ainsi qu’une information à partir d’internet ne sera d’aucune utilité si les indi indivi vidu duss ne comm commun uniq ique uent nt pa pass à trav traver erss ce cett ttee in info form rmat atio ionn et pa parr co cons nséq éque uent nt l’investissement conçu en NTIC sera inutile. L’arrivée des NTIC à provoqué une rapide évolution des métiers et afin de suivre cette mutation la firme doit adopter une politique de formation continue aux nouvelles méthodes de travail, aux nouveaux modes de gestion de l’information.

1

Ali BOUHENNA, Les enjeux des NTIC dans l’entreprise, Université de Tlemcen, p 8, PDF 51

 

Chapitre 4

L’impacte de d es N NT TIC ssu ur l’entreprise

Enfin, tous les acteurs de l’entreprise doit être inclus dans le changement ce qui leur   permet de se sentir bien positionnés et bien motives dans leur nouvelles environnement, environnement, sans cette motivation le projet des NTIC ne peut atteindre ses objectifs » 1 2. La tail taille le de l’e l’entrepr ntreprise ise et le less NTIC

Plusieurs études ont porté sur la relation entre les TIC et la taille de l’entreprise. Cette relation peut s’exprimer de différentes façons. La première question est de savoir s’il existe une différence dans l’adoption des TIC par groupe de tailles. Cette question à été examinée dans un grand nombre d’études dans plusieurs pays [par exemple Dunne (1994)  pour les États-Unis ; Baldwin et Diverty (1995) pour le Canada ; ou Bartelsman et al. (1 (199 996) 6) po pour ur les les Pays Pays-B -Bas as]. ]. La pl plup upar artt de ce cess ét étud udes es ob obse serv rven entt qu quee l’ l’ad adop optio tionn de technologies de pointe, comme les TIC, augmentent avec la taille des entreprises et des établissements. Confirme ce résultat pour le Royaume-Uni, au moyen de données récentes concernant diverses technologies de réseau, utilisées dans des combinaisons différentes. Elle montre que les grandes entreprises de plus de 250 salariés sont plus susceptibles que les petites, d’utiliser des technologies de réseau comme les intranet, internet ou l’EDI ; elles elles sont sont ég égare aremen ments ts d’a d’avan vantag tagee susce susceptib ptibles les de dispos disposer er de leur leur propre propre sit sitee Web. Web. Toutefois, les petites entreprises comptant de dix à 40 salariés sont davantage susceptibles d’utili d’u tiliser ser int intern ernet et co comme mme unique unique tec techno hnolog logie ie de résea réseau. u. Les gra grande ndess ent entrep repris rises es so sont nt également davantage susceptibles d’utiliser une combinaison »2 « Les entreprises utilisant l’intranet, l’EDI et internet et disposant également de leur   propre site Web représentent plus de 38 % de l’ensemble des grandes entreprises  britanniques, mais moins de 5 % des petites. De plus, près de 45 % de l’ensemble des grandes entreprises utilisent déjà des technologies à haut débit alors que la proportion est de moins de 7 % parmi les petites. Ces différences sont dues en partie à des usages différents des technologies de réseau dans les grandes et petites entreprises. Less gra Le grande ndess entrep entrepris rises es pe peuve uvent nt uti utilis liser er ce cess techno technolog logies ies pou pourr réorga réorganis niser er la circulation circu lation de l’informa l’information tion et la comm communica unication tion au plan intern internee et intég intégrer rer ces flux dans l’ensemble du processus de production. Certaines petites entreprises n’utilisent Internet qu qu’à ’à de dess fi fins ns de ma mark rketi eting ng.. De plus plus,, dans dans les les gr gran ande dess en entre trepr pris ises es,, le less ca cadr dres es et le less employés qualifiés aident souvent à faire fonctionner la technologie. 1 2

Ali BOUHENNA, Les enjeux des NTIC dans l’entreprise, Université de Tlemcen, p 9, PDF Les TIC et la croissance économique , Panorama des industries, des entreprises et des pays des Organisation des coopérations des développements économiques   (L’OCDE), Edition OCDE, Paris , 2003, p79, PDF 52

 

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L’impacte de d es N NT TIC ssu ur l’entreprise

On peut également se demander si les TIC ont une incidence sur la taille des entreprises, ou redessinent les limites des entreprises au fil du temps. Cette question est liée à l’ l’id idée ée que que les les TI TIC C po pour urra raie ient nt aide aiderr à abai abaiss sser er le less co coût ûtss de tr tran ansa sact ctio ionn et do donc nc modifieraient les fonctions et les tâches qui devraient être réalisées en interne et celles qui  pourraient être réalisées à l’extérieur de l’entreprise. Cette question n’a été examinée que  par un nombre limité d’études au niveau de l’entreprise, qui pour la plupart utilisent des données de sources privées. Ainsi, Hitt (1998) a constaté que l’utilisation accrue des TIC était associée à un recul de l’intégration verticale et un accroissement de la diversification. De plus, on à enreg enregistré istré parmi les entre entreprises prises qui étaient étaient moins intégrées intégrées verticale verticalement ment et davantage diversifiées une plus forte demande de capital des TIC. Motohashi (2001) a observé que les entreprises équipées en réseaux informatiques externalisaient davantage d’activités. L’interaction entre la taille et l’âge est également importante, car elle fournit un lien avec la création de l’entreprise. Était assez faible. Luque (2000) à confirmé ce résultat, mais à observé que l’âge  pourrait avoir un rôle, selon la taille de l’entreprise. Les petits établissements nouveaux sont sont da dava vant ntag agee su susc scep eptib tible less d’ad d’adop opte terr des des te tech chno nolo logi gies es de po poin inte te qu quee le less pe petit titss établissements anciens ».1 3. Les inve investissem stissements ents dans les NTIC

La part des TIC dans l’investissement est un indicateur essentiel de leur diffusion. En effet, investir dans des TIC, c’est mettre en place l’infrastructure de leur utilisation (les réseaux de TIC) et apporter aux entreprises des matériels et logiciels productifs. Par  rapport à ceux des États-Unis, les investissements dans les TIC ont été nettement moindres dans de nombreux pays européens. La forte croissance des investissements dans les TIC a été alimentée par la chute rapide des prix relatifs du matériel informatique et l’extension du champ d’application de ces technologies. En raison des progrès technologiques rapides de la production des principales TIC – comme par exemple les semi-conducteurs – et de la forte pression concurrentielle qui marque leur production, leurs prix se sont contractés de 15 % à 30 % par an, ce qui a rendu l’investissement dans les TIC intéressant pour les entreprises. Les effets bénéfiques de la baisse des prix des TIC se sont fait sentir dans toute la zone de l’OCDE, car ses bénéficiaires ont été à la fois les entreprises qui ont investi dans ces technologies et les consommateurs qui ont acheté des biens et des services 1

économique, Op  Op cite, p80 ,PDF Les TIC et la croissance économique, 53

 

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des TIC. Par ailleurs, le coût n’est pas le seul élément : les TIC sont porteuses, pour les entreprises, d’importantes retombées positives potentielles, par exemple l’amélioration des flux d’information et de la productivité. 1 2

   Le dirigeant confronte à la décision décision d’investissement en tic.

Au cours des deux dernières décennies, des investissements en TIC ont marque la vie des entreprises, toutes tailles confondues la modalité d’usage de ces technologies son disparates selon les entreprises, et le degré d’appropriation est très variable selon les acteurs économiques. La généralisation des ces investissements n’a pas eu à court et moyen terme les effets escomptes sur la performance financière et organisationnelle des entrep ent repris rises es.. Cet Cette te situ situati ation on a suscit suscitee une interr interroga ogation tion,, rendue rendue célèb célèbre re sous sous le nom de « Paradoxe Paradoxe eett Solow »».. Aujou Aujourd’hu rd’hui,i, quinze années plus tard, la ques question tion du retour retour sur  inves inv estiss tisseme ement nt des dé dépon pones es consac consacrée réess a l’in l’inform formati atisat sation ion ne trouve trouve en encor coree que des réponses partielles ( Askenzy et grianlla, 2000 ) font pourtant apparaitre le rôle, sur la  production globale des facteurs, des efforts de réorganisation interne postérieurs aux décisions d’investissement informatique, ces auteurs ajoutent que l’informatisation seule n’amél n’a mélior iorera erait it en rien rien les perfo performa rmance ncess des des entrep entrepris rises. es. Lorsq Lorsque ue on limi limite te le champ champ d’analyse au seules PME l’impacte du recours au TIC apparait encoure plus complexe à analyser. Les applications apportées sont nombreuse: 

  Une rentab rentabilité ilité des investiss investissemen ements ts en TIC plus faible dans des PME que dans la grande grande entreprise.



  Une démarche stratégique qualifiée d’émergen d’émergente. te. L’absence de la décision structurée dans une PME freine la mise en place d’une veille qui dépasse le cadre des technologies en usage dans un secteur d’activité.



  La faiblesse de la congruenc congruencee des investissemen investissements ts en TIC avec la stratégie des PME. Less inv Le inves estiss tisseme ements nts en TIC pré présen senten tentt une origina originalité lité par rappor rapportt aux au autre tress investissements et en accroitre la complexité pour le dirigeant de PME. Ces technologies ouvrent en effet des nouvelles perspectives productives (automatisation de certaine tache). Cette décision d’investissement doit donc être prise dans un contexte général que nous pouvons qualifier encore aujourd’hui de sou-information ou de sou-connaissance. sou-connaissance.

1 2

cite,, p 22, PDF Les TIC et la croissance économique, Op cite BOUTARY Martine, TIC et PME : des usages aux stratégies, L’ARMATTAN, paris, 2003, p 27. 54

 

Chapitre 4

L’impacte de d es N NT TIC ssu ur l’entreprise

« Auj Aujour ourd'h d'hui, ui, il dev devien ientt imp import ortan antt pou pourr les dirigea dirigeants nts d'e d'entre ntrepri prise se de prendr prendree conscience des difficultés liées à la mise en place de projet NTIC, le risque est d'autant  plus grand quand on s'aventure à essayer dd'intégrer 'intégrer d'une manière totalement désordonner  sans qu'il y est réellement une étude qui prend en charge tous les aspects décrits, de plus, on constate que tout projet informatique comporte des risques, même lorsqu'il est mené par  des personnes expérimentés et on peut citer deux risques majeurs qui peuvent surgirent : • La solution choisie n'est pas livrée du tout ou à temps • La solution livrée ne correspond pas aux attentes »1 4. La stratég stratégie ie des entr entreprise eprisess face au NTIC

« Le ou les les dirig dirigea eant nts, s, grâc grâcee à leur leur fo form rmat ation ionss de le leur ur ou ouve vert rture uress d’ d’es espr prit, it, s’in s’inté tére ress ssen entt aux aux TIC TIC et cher cherch chen entt les les util utilis iser er po pour ur re redé défi fini nirr le leur ur po posi sitio tionn nnem emen entt stratégique, leur produits et leur organisations. Les applications dont ils effectuent ou suggèrent la mis en place son multiples, leurs résultats peuvent être tout fois visibles ou seulement attendus. Ces stratèges évoquent avec un réel enthousiasme, les différentes étapes de leur  démarches, leur perspectives à moyen et longe terme, même si leur résultats actuels ne sont  pas toujours à la hauteur des investissements personnels et financiers ».2 « Le Less NT NTIC IC on ontt un effe effett su surr la cultu culture re de l'e l'ent ntre repr pris ise, e, si el elle less réus réussis sisse sent nt à s'impl s'implan anter ter ave avecc les mét méthod hodes es traditi traditionn onnell elles es de trava travail, il, c'est c'est que l'entre l'entrepri prise se à bien bien déterminé l'impact des NTIC dans sa stratégie,» Se donner une stratégie fait gagner en rapidité"»3 « La rapidité avec laquelle se propage l’utilisation des NTIC et les avantages Qu’elles offrent à leurs utilisateurs, les placent parmi les premières occupations de toute, on identifie deux stratégies possibles : la Stratégie d’attente, et la stratégie offensive.

1

M. S. Boudjebbour, Les Projets NTIC: source de performance de l'entreprise, Division Systèmes d'Information, CER1ST, Ben Aknoun, Alger, Algérie, p 161, PDF. 2 BOUTARY Martine, Op cite. P 30 3 M.S. Boudjebbour, Les Projets NTIC: source de performance de l'entreprise ,  CER1ST,  Ben Aknoun, Alger,

Algérie, P 157, PDF. 55

 

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L’impacte de d es N NT TIC ssu ur l’entreprise

   Stratégie d’attente.

Less tena Le tenant ntss de cette cette stra stratég tégie ie,, qual qualifi ifiés és de pes pessi simi mist stes es et pe peuu se sens nsibl ibles es au auxx change cha ngemen ments. ts. Que peu peuven ventt ap appor porter ter les nouvel nouvelles les techno technolog logies ies d’info d’informa rmation tion et de communication, ne croient pas à leur nécessités, ou du moins pas pour le moment. Les arguments qu’utilisent les dirigeants qui freinent ce déploiement, sont tout à 1 fait légitime ». « Pour eux, ces nouveaux outils sont inadaptés à un travail sérieux, ce n’est pas un objectif prioritaire pour l’entreprise, investir dans de tel outil coûte très cher pour le peut de résultats qu’il peut rapporter pour l’entreprise. Lorsqu’ils s’aperçoivent de l’importance du phénomène ils réagissent mais cette Réaction risque de venir trop tard surtout en matière de maîtrise de ces techniques et l’effet de l’expérience de l’apprentissage est des phénomènes phénomènes clé de la compétitivité. A cet égard VAN LIEFLAND soutient l’idée « qu’en général les gens qui ne sont pas attires par le changement y viennent plus tard ne serait ce que par le désir de faire partie de la communauté même s’ils ne sont pas intéresses par la maîtrise technologique ». 1 Cependant l’économiste PHILIP EVANS affirme qu’ « une stratégie attentiste est généralement mauvaise, mieux vaut échouer cinq fois de suite pour avoir essayer trop taux que d’échouer une seule fois pour avoir essayer trop tard. ».Dans ce cas l’échec est définitif.    La stratégie offensive. offensive.

Cette stratégie d’engagement, paraît la plus approprie pour toute entreprise qui veut  jouer un rôle moteur et conforter son image. En effet, l’introduction des NTIC dans l’entreprise va permettre d’améliorer la productivité (bien qu’elle ne soit pas évidente généralement on parle de productivité organisationnelle) et la qualité des prestations, ce qui valorise leur image sur le marché. Une telle stratégie va leur permettre également de s’intégrer dans l’univers des NTIC et de faire face à la globalisation. La stratégie offensive  permet aux clients de l‘entreprise l ‘entreprise à surmonter le passage vers la l a mondialisation. La mise en   œuvre de cette stratégie dépend aussi du profil du manager s’il est le genre qui aime prendre le risque, avoir un comportement d’engagement, un mordu de la techno tec hnolog logie, ie, vou vouloir loir app appren rendre dre et amélior améliorer er ses co conna nnaiss issan ances ces.. Ado Adopte pterr la deuxiè deuxième me

1

BOUHENNA Ali, Les enjeux des NTIC dans l’entreprise, Université de Tlemcen, p 4. 56

 

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L’impacte de d es N NT TIC ssu ur l’entreprise

stratégie, la stratégie offensive pour l’acquisition des nouvelles technologies n’est plus une question de choix mais plutôt une exigence, un impératif »1 5. Les li limi mites tes des des NTI NTIC C

 N’importe qu’elle surveillance via internet doive être déclarée à la CNIL qui est la (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés).

L’employeur doit indiquer le

 but de cette surveillance et la durée de conservation des donnés qui ne doivent pas être excessive. De même même,, l’e l’emp mploy loyeu eurr ne peut peut pas pas sa sanc nctio tionn nner er un sa sala lari riéé su surr la ba base se d’ d’un un traitement non déclaré. Or les traitements pour lesquels lesquels l’employeur à désigné un CIL (un Correspondant Informatique et Liberté) ne sont pas obligés de faire la déclaration. Or le salarié de l’entreprise peut être sous pression et il n’est pas couvert par la protection des représentants du personnel. Dans chaque cas l’employeur doit informer les salariés et les responsables du personnel de la mise en place d’un dispositif de cyber surveillance. En effet, même au travail le salarié à le droit au respect de sa vie privée. Tout document informatique ou papier présent sur l’ordinateur ou dans le bureau du salarié sont considérés professionnels sauf s’ils sont clairement identifiés comme personnels. Toute fo fois is ce cess do docu cume ment ntss pers person onne nels ls pe peuv uven entt en pré prése senc ncee du sa sala larié rié êt être re co cons nsul ulté téss pa par  r  l’employeur. Or, l’employeur peut interdire l’utilisation des NTIC à des fins personnelles. En cas de non respect, le salarié peut être sanctionné. Cependant, si la jurisprudence définit que l’utilisation est raisonnable elle ne peut pas justifier un licenciement. En 2008, sur 100 personnes interrogées 74 déclarent qu’ils utilisent leur ordinateur  de travail pour des tâches personnelles, 15 nient qu’il l’utilise à des fins personnelles et 11  préfèrent ne pas répondre. Cet histogramme nous montre le pourcentage de personnes qui en 2008 déclaraient lors d’un sondage qu’ils envoyaient des e-mails, qu’ils visionnaient des sites internet, leurs informations bancaire, qu’ils faisaient des achats sur internet, qu’ils écou écouta taie ient nt de la mu musi sicc ou rega regarda rdaie ient nt films films et imag image, e, qu qu’il ’ilss « ch chata ataie ient nt » ou qu qu’i ’ils ls laissaient des commentaires sur des blogs.

1

BOUHENNA Ali, Les enjeux des NTIC dans l’entreprise, Université de Tlemcen, p 5. 57

 

Chapitre 4   La

L’impact des NT N TIC sur l’entreprise section 2 : L’impact des NTIC

1. L’imp L’impact act des NTIC sur la p perform erformance ance de l’entr l’entreprise eprise :

« Les performances des TIC dans les entreprises ne sont pas simplement liées à leurs performances intrinsèques. Le degré d’intégration et d’utilisation de ces technologies dépendent pour une large part des conditions dans lesquelles elles sont mises en   œuvre et accompagnées. Les TIC participent aux nouveaux modes d’organisation des firmes comme des outils à mobiliser et non comme des éléments structurants prédéfinis. Ce ne sont pas les technologies en soi qui sont opérantes, mais la façon dont les entreprises saisissent l’opportunité de leur adoption pour se transformer, se restructurer, redéfinir leur potentiel stratégique et leur métier, en remettant en cause leur fonctionnement précédent. Pour être effec eff ective tives, s, les rel relati ations ons entre entre les nou nouvel velles les form formes es d’o d’orga rganis nisati ation on des firm firmes es et les technologies de l’information ne se réduisent donc pas à des relations de causalité : les deux registres interagissent en performance. Le poids important des conditions de mise en œuvre sur les performances et les effets des technologies explique la grande variabilité des développements et des utilisations de ces technologies dans les entreprises. La recherche de régularités s’avère tout particulièrement difficile et on pourrait d’ailleurs avancer que ce sont souvent les conditions même de la mise en   œuvre qui constituent le facteur de régularité le plus marqué. Ne serait-ce que parce que le déploiement des TIC est fortement influencé par les recommandations de consultants et de fournisseurs qui contribuent à reprod rep roduir uire, e, d’u d’une ne en entrep trepris risee à l’a l’autre utre,, de dess app applic licati ations ons et des modes modes d’orga d’organis nisati ations ons semblables. Cette constatation n’est en rien spécifique de la situation française. Différents auteurs ont déjà noté des résultats du même ordre. Ainsi, les différentes contributions   Scott Morton  (1991) soulignent toute l’importance de ces conditions de mises réunies par  Scott en   œuvre et relèvent que la diffusion des équipements et des services de TIC varie considérablement selon les firmes, les secteurs industriels et les pays.  Ciborra  (1996) note égalem éga lement ent que les sys systèm tèmes es d’info d’informa rmatio tionn qui ont du suc succè cèss ne na naiss issent ent pas d’une d’une démarche stratégique rationnelle et planifiée, comme le laisse entendre la littérature, mais d’un processus »1

1

Benghozi Pierre-Jean et Patrick   L'organisat L'organisation ion de la productio production n et de la décision décision face face aux TIC, TIC, brousseau.info, 1999, p 203, PDF. PDF . ,

58

 

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L’impact des NT N TIC sur l’entreprise

« D’innovation à l’intérieur de l’entreprise, porté par des acteurs puis repris par les directions générales. Une des caractéristiques de la mise en   œuvre tient à la façon dont s’est constitué le système technique. Less TIC Le TIC pé pénè nètre trent nt dans dans une une entre entrepr prise ise do donn nnée ée en fo fonc nctio tionn de l’h l’hist istoi oire re de l’inf l’infor orma matis tisat atio ionn et de la cultu culture re sp spéc écifi ifiqu quee de l’ent l’entre repr prise ise.. Le Less en entr trep epri rise sess so sont nt confronté confro ntées es,, san sanss tou toujou jours rs s’e s’enn rendre rendre clairem clairement ent co compt mpte, e, à de dess infras infrastru tructu ctures res qui s’autonomisent et suscitent leur propre mode de fonctionnement, leurs propres contraintes, leur propre logique de développement »1 De nombreuses études fournissent des indications sur les incidences des TIC sur les  performances des entreprises. Ainsi, selon une étude sur les États- Unis s’appuyant sur des donn donnéées extra xtrait itees d’en ’enquê quête tess sur la tec techn hnol olog ogie ie le less éta tabl blis isse seme mennts le less pl plus us technologiquement en pointe versaient déjà des salaires plus élevés avant l’adoption des nouvelles technologies et ils étaient plus productifs, aussi bien avant qu’après avoir adopté des technologies de pointe ».2 2. L’imp L’impact act des NTIC sur le cchangem hangement ent orga organisati nisationnel onnel

L’impact des TIC sur le changement organisationnelle c’est notamment le cas des dépenses consacrées à l’amélioration des qualifications ou au changement organisationnel. Less étu Le études des montre montrent nt en gén généra érale le que les retomb retombée éess des TIC son sontt maxima maximales les quand quand l’ l’in inve vest stis isse seme ment nt da dans ns ces ces tech techno nolo logi gies es es estt as asso soci ciés és à d’ d’au autr tres es ch chan ange geme ment ntss or orga gani nisa satio tionn nnel els, s, te tels ls que que nouv nouvel elle less stra stratég tégies ies,, no nouv uvea eaux ux pr proc oces essu suss et pr prat atiq ique uess industrie indust rielle lless ou nou nouvel velles les struc structur tures es organi organisat sation ionne nelle lles. s. Comme Comme ces ch chang angeme ements nts organisationnels varient en général selon l’entreprise, les études économétriques indiquent en moyenne une incidence positive de l’investissement dans les TIC, mais avec des variations considérables selon les organisations. Plusieurs études utilisant des statistiques officielles des États-Unis ont examiné le lien entre les TIC et le capital humain et le changementt organisationnel. changemen TIC et du changement organisationnel sur les performances. Ils ont constaté que les changements dans les pratiques visant les ressources humaines, comme le développement 1

Benghozi Bengh ozi Pierre-J Pierre-Jean ean et Patrick Op cite, p 204, PDF. ,

2

Les TIC et la croissance économique, panorama des industries des entreprises et des pays L’organisation de coopération et de développement économiques (OCDE),  EDITION OCDE, France, Parise, P 65-66 PDF. 59

 

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L’impact des NT N TIC sur l’entreprise

du trava travail il en éq équip uipee et le rac racco courc urciss isseme ement nt des cha chaîne îness hiérar hiérarch chiqu iques, es, n’ava n’avaien ientt pas sensiblement modifié les élasticités de la production de l’entreprise par rapport au capital de TIC, TIC, au cap capita ital hors hors TI TIC C et à la main main-d -d’’œuv uvre re.. Elle Elle à ce cepe pend ndan antt mont montré ré qu quee l’introduct l’intro duction ion de changeme changements nts orga organisa nisationne tionnels ls aug augmenta mentait it la productiv productivité ité glob globale ale du travail.1 « Le Less perspe perspecti ctive vess offe offerte rtess par par ce cess change changemen ments ts organ organisa isation tionnel nelles les pou pourra rraien ientt to tout utef efoi oiss être être affe affect ctée éess par par des des barr barriè ière ress de na natu ture re po polit litiq ique ue.. Les Les en entr trep epri rise sess qu quii  permettaient la communication interne et qui innovaient au niveau organisationnel organisationnel semblaient davantage en mesure de créer les conditions d’une adoption fructueuse des techno tec hnolog logies ies de pointe pointe.. De plu plus, s, ce cess change changemen ments ts sem sembla blaien ientt égaleme également nt accroî accroître tre la capaci cap acité té de l’en l’entre trepri prise se à s’a s’adap dapter ter à l’é l’évol volutio utionn des co condi nditio tions ns du mar march chéé grâce grâce à l’innovation technologique et la réduction des stocks. Pour le Royaume-Uni, Caroli et Van Reen Re enen en (1 (199 999) 9) ont ont expl exploi oité té l’en l’enqu quêt êtee su surr le less re rela lati tion onss so soci cial ales es da dans ns l’ l’en entr trep epri rise se (Workplace Industrial Relations Survey), qui comportait des questions sur l’introduction de la mi micr croé oéle lect ctro roni niqu quee et les les chan change geme ment ntss orga organi nisa satio tionn nnel elle les. s. Il Ilss on ontt mont montré ré qu quee le changement organisationnel, la technologie et les qualifications étaient complémentaires, et notamment que le changement organisationnelles réduisait la demande de travailleurs sans qualifications, qu’il était retardé par le creusement des écarts régionaux dans la rémunération des qualifications et qu’il avait la plus forte incidence sur la productivité dans les établissements les mieux dotés initialement en qualifications. Pour les Pays-Bas, Broersma et McGuckin (2000) ont également observé que l’utilisation de l’ordinateur était liée à l’introduction de pratiques d’emplois flexibles, comme par exemple le recours accru au tra trava vail il temp tempor orai aire re et à temp tempss part partie iel. l. Po Pour ur la Suis Suisse se,, Arv Arvan antis tis (20 (2003 03)) a ex exam amin inéé l’influence des TIC, des nouvelles pratiques en matière d’organisation du lieu de travail, de l’instruction et de la formation liée au travail »2 De gestion et de décision dans l’entreprise. S’il est difficile de parler d’impact sur  l’organisation, c’est aussi qu’on ne peut implanter les TIC avec succès que dans des entrep ent repris rises es à mêm mêmee de les recevo recevoires ires ou bien bien co corre rresp spond ondan antt au mode mode d’orga d’organis nisati ation on

1 2

Ibid, Ibid, p  p 78, PDF. Les TIC et la croissance économique, Op cit, p79, PDF. 60

 

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impl im plic icit itee po port rtéé pa parr ces ces tech techno nolo logi gies es.. Le Less TI TIC C ex expr prim imen entt en ef effe fett un unee vi visi sion on de l’organisation qui intègre déjà les nouvelles pratiques de management » 1 3. L’imp L’impact act de dess NTIC sur le less conditions conditions du tr travail avail

L’ L’in intro trodu duct ctio ionn des des TIC TIC dans dans les les orga organi nisa satio tions ns co cond ndui uits ts à s’in s’inte terr rrog oger er su sur  r  leurs possibles effets sur le travail et les conditions de sa réalisation. En effet, il convient  plutôt de parler d’interaction entre les technologies et le travail. Car les novelles techno tec hnolog logies ies change changent nt bie bienn sûr le tra travai vail,l, mais mais de dess nou nouvel velles les organi organisat sations ions du trava travail il appe appelle llent nt en re reto tour ur l’é l’éme merg rgen ence ce d’ou d’outil tilss adap adapté téss à un co cont ntex exte te en év évol olut utio ion. n. Les Les  perceptions de l’impact sur les conditions de travail sont très variées et dépendent  beaucoup des types de TIC, « traditionnelles » ou « récentes ». « En effet, les impacts directs ou induits des TIC sur les conditions de travail sont

nombreux nombr eux et varié variés, s, à la mesure de la pluralité de leurs fonc fonctions tions et des contextes contextes de mise en œuvre. La course à l’innovation dont elles ont fait l’objet devant se poursuivre à court et moyen terme, leurs impacts vont certainement continuer à s’étendre et à se renforcer». 2 « Paul Osterman  est l’auteur de « l’impacte des technologies de l’information sur  le less post postes es de trav travai aill es estt les les sp spéc écia ialit lités és des des pe pers rson onne nels ls » au fu furr et à mesu mesure re qu quee le less technologies de l’information modifient la façon de travailler, elles affectent le profit de compétences exige des collaborateurs et leur lieu de travail. Transformation qui affecte à son tour la formation et l’apprentissage, et aussi les compétences de l’encadrement »3 « Cette perception favorable est aussi le reflet d’une affirmation peu discutée : les TIC ont amélioré les conditions de travail. Si la Fondation européenne pour l’amélioration des conditions de vie et de travail constate une corrélation positive entre l’utilisation de l’ordinateur et la satisfaction professionnelle, une telle appréciation n’a cependant pas fait l’objet d’études approfondies. Le changement permanent dont les TIC sont à la fois objets et facteurs implique que leurs effets sur les utilisateurs sont rarement étudiés.

1

Benghozi Pierre-Jean et Patrick ,  L'organisation de la production et de la décision face aux TIC , brousseau.info, 1999, p181, PDF. 2 Tristan Klein, Daniel Ratier, L’impact des TIC sur les conditions de travail ,   centre d’analyse stratégique, Direction générale Du travail, France, Février 2012, p 9, PDF 3 MORTON MOR TON Michae Michaell S. S Michae Michael, l, l’entre l’entrepri prise se com compét pétiti itive ve au fut future ure : techno technolog logie ie de l’i l’info nforma rmatio tionn en transformation de l’organisation, Édition d’organisation, paris, 1995, p 9 61

 

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L’impact des NT N TIC sur l’entreprise

Le risque de n’obtenir qu’une analyse provisoire, rapidement datée et donc sujette à caution, à sans doute été un facteur défavorable au lancement de telle étude. Il dem demeur euree auj aujour ourd’h d’hui ui et co const nstitu ituee un problè problème me persis persistan tantt pour pour l’ana l’analys lysee de l’impact des TIC sur les conditions de travail. Certaines caractéristiques de l’impact des 1

TIC sur le contenue du travail n’ont pas moins été établies » « Pour chacune de ces tendances, les effets produits sur les conditions de travail  peuvent être favorable ou négatif mais rarement neutre. Ils sont apparus au fil de la diff di ffus usio ionn de dess tech techno nolo logi gies es no nouv uvel elle less da dans ns le less en entr trep epri rise ses, s, en se cu cumu mula lant nt.. Des Des interrogations ont peut se faire en dépit d’un regard globalement positif sur les TIC. Il  paraît donc opportun de donner à la relation entre l’homme et la technologie l’importance qui lui revient en suscitant et en éclairant le débat sur ce qu’il est possible et souhaitable dans un tel domaine. Pour cela, l’exploration de l’impact des TIC sur les conditions de travail constitue une approche pertinente face aux enjeux »2. « L’impacte L’impacte des tech technologies nologies de l’information sur les emplois particuliers impacte impacte qui représente un point de départ approprie, mais qui reséquerais à la longue de conduire à une sous-estimation des problèmes à résoudre. Les technologies nouvelles en particulier les  NTI, resèquent de transformer bien plus fondamentalement le travail en particulier ces technologies risquent de modifie la nature même des spécialités et d’altérer au sien de ferme les interrelations entre l’emploi et fonctions c’est verre ces phénomènes que nous allons maintenant nous tourner »3

4. L’imp L’impact act de dess NTIC sur le less ressources ressources h humain umaines es

« Da Dans ns un clim climat at de chan change geme ment nt accé accélè lère re pr prov ovoq oqué ué pa parr le less te tech chno nolo logi gies es de l’inf l’infor orma matio tion, n, l’imp l’impor orta tanc ncee des des ress ressou ourc rces es hu huma main ines es né néce cess ssai aire ress po pour ur ré réal alis iser er le less  potentialités des nouvelles technologies de l’information fait maintenant l’objet de  beaucoup d’attention. Au fur et à mesure que les chercheures étudiaient les succès et les échecs des tentatives d’adoption et de mise en place des technologies de l’information, 1

Tristan Klein, Daniel Ratier, Op cite, p 11, PDF. Tristan Klein, Klein, Daniel Ratier, L’impact des TIC TIC sur les conditions de travail, centre centre d’analyse stratégique, Direction générale Du travail, France, Février Février 2012, p 12, PDF. 3 MORTON MORTO N Michael Michael S. S Michael, Michael, l’entreprise l’entreprise compétitive compétitive au future future : technologie technologie de l’informati l’information on en

2

transformation de l’organisation, Édition d’organisation, d’organisation, paris, paris, 1995, p290 62

 

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L’impact des NT N TIC sur l’entreprise

l’importance et la complexité des problèmes des ressources humaines se sont de plus en  plus manifestés. Alors qu’autrefois on ne se préoccupait que des seules conséquences conséquences des technologies de l’information sur le personnel de l’organisation, on pense maintenant aussi à celles qui exercent les technologies de l’information, la culture de l’entreprise et les ressources humaines. Des travaux récents ont fait clairement apparaitre l’importance des no norm rmes es inte intern rnes es de la ferm fermee et de ces ces po poli liti tiqu ques es du pe pers rson onne nell da dans ns le ch choi oixx de dess technologies de l’information, de leur mode d’implantation et de leur plus ou moins réussite dans la poursuite des objectifs de la direction ».1 « L'impact humain est très important dans la mise en place des NTIC car on considère qu'un manager doit participer au développement de l'entreprise, savoir réagir  dans des délais très courts et y faire face. Il existe plusieurs type de manager dont ceux qui se demandent s'il ne vont pas disparaître par la perte de pouvoir due au partage de l'information, et d'autres, attachés à un mode de fonctionnement hiérarchique classique et qui s'adapte à ces nouveaux schémas d'organisation basés sur la transversabilité et la circu cir culat lation ion de l'infor l'informat mation ionss "C'es "C'estt le statut statut de l'infor l'informat mation ion et ce celui lui de l'a l'acti ction on de s'informer qui à changé avec en toile de fond l'association détention de l'information détention du pouvoir qui disparaît", comme l'affirme dans son article. Ceci nous ramène à dire qu'il faudra des profondes mutations dans les façons de travailler et surtout que chacun est capable d'innover et d'anticiper les changements duse aux nouvelles organisations. A  partir de là, on dir diraa que pour mieux réussir, il faut un nouvel état d'esprit, c' c'est-à-dire, est-à-dire, avoir  la conv convic ictio tionn qu quee la réus réussi site te dépe dépend nd de l'ét l'état at d'es d'espr prit it de ce ceux ux qu quii co cond ndui uise sent nt le less changements. C'est-à-dire, que deux dimensions s'introduisent dans le management qui relève d'une part du   traitement  de l'information et d'autre part de la   gestion  de l'information. Cependant, il est clair que toute nouvelle fonction installée induit pour les employés un changement de culture en profondeur car c'est lui qui offre le plus de résistance, et ont constate qu'aujourd'hui, les modes de fonctionnement des organisations n'ont pas favorisé ni la transparence ni le partage de l'information » 2.

1 2

MORTON Michael S Michael, cite,source p 106.de performance M. S. Boudjebbour, Boudje bbour,S.Les Projets Op NTIC: performance de l'entrepris l'entreprisee,   CER1ST,  Ben Aknoun, Alger,

Algérie, P 157, PDF. 63

63

 

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« Black et Lynch (2001) ont observé que l’introduction des pratiques visant les ressources humaines est importante pour la productivité, comme le fait de donner aux empl em ploy oyés és d’ d’av avan antag tagee da dans ns la pris prisee de déci décisi sion on,, ou l’ l’in intro trodu duct ctio ionn de dess méca mécani nism smes es d’intéressement au bénéfice ou des nouvelles pratiques en matière de relations sociales. GRH »1 5. L’i L’impa mpact ct de dess NTI NTIC C sur l’écon l’économi omiee

« L’impact économique des TIC dépend étroitement de l’ampleur de la diffusion des diff différ éren entes tes tec techn hnol olog ogie iess conc concer erné nées es au se sein in de dess éc écon onom omie iess de l’ l’OCD OCDE. E. Ce Ceci ci es estt  partiellement dû à la nature réticulaire des TIC : plus il y à de personnes et d’entreprises utilisatrices du réseau, plus nombreux sont ses effets bénéfiques. La diffusion des TIC varie considérablement d’un pays de l’OCDE à l’autre, car certains d’entre eux ont investi d’avantage ou plus tôt dans ces technologies. Un second élément déterminant du point de vue de l’impact économique des TIC est la taille du secteur des TIC, c’est-à-dire du secteur producteur des biens et des services des TIC. Le fait de disposer d’un secteur producteur de ces technologies peut avoir son importance, car leur production s’est distinguée par des progrès technologiques rapides et à rencontré une demande très soutenue. Ce secteur à donc connu une croissance très rapide et contribué cont ribué largeme largement nt à la croissanc croissancee écon économiqu omique, e, à l’emploi l’emploi et aux exportations. exportations. En outre outre,, l’existence d’un secteur des TIC fort peut aider les entreprises désireuses d’utiliser ces technologies, car la proximité de producteurs des TIC peut comporter des avantages pour le dével développ oppeme ement nt d’a d’appl pplica icatio tions ns des des TIC ; elle elle pe peut ut au aussi ssi con contrib tribue uerr à faire faire naître naître les compétences que suppose un usage bénéfique des TIC, et enfin déclencher des disposition d’entreprises comme cela à été le cas dans la Silicon Valley ou dans d’autres systèmes  productifs locaux. Ainsi, l’existence d’un secteur des TIC peut soutenir llaa croissance, mais comme l’ont montré des travaux antérieurs de l’OCDE, il ne s’agit pas d’une condition  préalable (OECD, 2001) ».2 « Le troisième facteur déterminant l’impact des TIC dans les différents pays de l’OCDE est la distribution de ces technologies au sein de l’économie. A l’opposé du fameux apophtegme de Solow « Les ordinateurs sont partout, sauf dans les statistiques de 1

Les TIC et la croissance économique, panorama des industries des entreprises et des pays L’organisation de coopération et de développement économiques (OCDE),   EDITION OCDE, France, Parise, Parise, 2003, p 78, PDF. 2 Ibid, p  p 22, PDF. Ibid,

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 productivité», les ordinateurs or dinateurs sont en fait fortement concentrés dans le secteur des services, comme l’indique pour les États-Unis. Elle illustre la part de l’ensemble du stock matériel et logiciel qui est de nature informatique. Le terme de "nouvelle économie" est utilisé pour désigner la hausse de croissance générée à partir de la fin des années 1990 1990 par les NTIC aux Etats-Unis. Le chiffre d'affaires directement généré par Internet, qui était estimé à 4 milliards de dollars en 1994, aurait atteint 301 milliards de dollars (soit 318 milliards d’euros) en 1998, chiffre comparable à celui des industries phares de l'économie américaine (350 milliards de dollars pour le secteur sec teur auto automobile mobile). ). En Franc France, e, les NTIC aura auraient ient contribué contribué à 5 % du PIB, 3,5 % de la richesse nationale et 15 % de la croissance économique en 1998 ». 1

1

Les TIC et la croissance économique, Op cite cite,, p24, PDF.

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Chap Ch apit itre re 5

pr prés ésen enta tati tion onss de l’ l’or orga gani nism smee et l’an l’anal aly yse et in inte terp rpré réta tati tion on de dess ré résu sult ltat atss

  La section 1 : Présentation de l’organisme

1. La pré présentation sentation de CE CEVITAL VITAL Les entreprises de Bejaïa ont réussi un défi majeur celui de faire partie du marché mondial. En 2011, En 2011, les  les entreprises de la wilaya de Bejaïa ont exporté. CEVITAL est CEVITAL  est parmi les entreprises algériennes qui ont vues le jour de l’entrée de no notre tre pays pays en éc écon onom omie ie de marc marché hé elle elle co cont ntrib ribue ue l’ag l’agré réme ment nt au dé déve velo lopp ppem emen entt de l’industrie l’indu strie agroalimentaire agroalimentaire national et elle vise à s’imposer s’imposer dans le marche interactionne interactionnelle. lle. CEVITAL est CEVITAL  est une Société par Actions au capital privé de  68 ,760 milliards ,760  milliards de DA. Elle a été crée en Mai 1998. Mai  1998. Elle  Elle est est implantée implantée à l’extrême l’extrême –Est –Est du port port de Bejaia. Bejaia. Elle est l’un des fleurons fleurons de l’industr l’industrie ie agroalimentair agroalimentairee en Algérie qui qui est constituée constituée de plusieurs plusieurs unités de production équipées de la dernière technologie et poursuit son développement par  divers projets projets en cours de réalisation. réalisation. Son expansion expansion et son développemen développementt durant durant les   5 dernières derniè res années, années, font d’elle un important pourvoyeur pourvoyeur d’emplois d’emplois et de richesses. richesses. CEVITAL  CEVITAL Food est passé de 500 de  500 salariés  salariés en 1999 en  1999 à  à 3996   3996  salariés  salariés en 2008. en  2008. CEVITAL   FOOD FOOD do donn nnee un unee gr gran ande de impo importa rtanc ncee au co cont ntrô rôle le de qu quali alité té de ses  produits. Cela s’est traduit par l’engagement de la direction dans le Processus de certi cer tific ficat atio ion n ISO ISO 22 2200 000 0 ve vers rsio ion n 20 2005 05.. Tout Toutes es le less un unité itéss de pr prod oduc uctio tion n

di disp spos osen entt de

labor lab orat atoi oire ress (mic (micro ro biolo biologi giee et co cont ntrô rôle le de qu qual alité ité)) éq équi uipé péss d’ d’ou outil tilss d’ d’an analy alyse se très très  performants. CEVITAL   ell ellee es estt à l’ l’ar arri rièr èree port port de Beja Bejaia ia à 20 200 0 ML du quai quai : Ce te terr rrai ain n à l’origine l’orig ine marécageux marécageux et inconstructib inconstructible le à été récupéré en partie d’une décharge décharge publique, viabilisé avec la dernière technologie de consolidation des sols par le système de colonnes  ballastées (337 KM de colonnes ballastées de 18 ML chacune ont été réalisées) ainsi qu’une partie à gagner sur la mer.  Pour plus d’information, ci-dessous les coordonnées: Bejaia. Adresses: Nouveau quai port de Bejaia.

+213 (0) (0) 34 20 20 20 00 / Fax: Fax: +213 +213 (0) (0) 34 21 21 27 73 Tél:   +213

Site internet  : www.cevital-agro-industrie.com

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2. Les v valeurs aleurs de C CEVITA EVITAL L Un référentiel des valeurs à été mis en   œuvre. Leurs applications doivent être le reflet d’un comportement exemplaire   . Nous  Nous prônons des valeurs, qui doivent inciter les collaborateur collab orateurss à créer la confiance confiance et la solidarité entre eux, basées sur le respect mutuel:    Ecoute Ecoute et Respect  Respect     Intégrité et Transparence    solidarité et Esprit d’équipe    initiative et persévérance

Courage et Engagem Engagement ent de perform performance ance    Courage 

  Ecoute et respect  Nous demandons à nos collaborateurs d’avoir de l’écoute et du respect mutuel. Les relations saines sont la base de toute communication entre les personnes. Nous prenons ég égal alem emen entt en co comp mpte te no noss clien clients ts et fo four urni nisse sseur urs, s, no noss parte partena naire iress comme commerc rcia iaux ux et institutionnels, nos concurrents et l’ensemble de la communauté. Nos collaborateurs sont  porteurs de l’image de l’entreprise, nous attendons d’eux un respect à tout instant de l’environnement.



  Intégrité et transparence  Nous demandons à nos collaborateurs d’avoir un haut niveau éthique professionnel et d’intégrité accompagnés d’une grande transparence dans tous les actes de gestion et de management. manag ement. Dire ce que l’ont fait



  Solidarité et esprit d’équipe Enco ncourag urager er et agir agir dans ans le se sens ns du pa part rtag agee per erma mane nen nt et du sa savo voir ir et de l’expér l’ex périen ience. ce. Valori Valoriser ser les collab collabora orateu teurs rs et contrib contribuer uer à l’espri l’espritt d’équip d’équipee : favori favoriser  ser  l’implication l’implic ation et l’entraide entre les salariés et les équipes équipes / business business unité, etc.



  Initiative et persévérance persévérance  Nous attendons de nos collaborateurs d’aller plus loin que les actions planifiées  pour imaginer d’autres solutions immédiates aux problèmes posés, d’anticiper sur des

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 problèmes potentiels. Nous attendons de nos salariés la ténacité nécessaire pour contourner  les obstacles qui se présentent présentent à eux à l’intérieur l’intérieur comme à l’extérieur l’extérieur de l’entreprise. l’entreprise. 

  Courage et engagement engagement de performance performance Chacun est jugé sur ses actes et sur le niveau de respect de ses engagements. Nous attendons de nos collaborateurs qu’ils s’engagent et s’impliquent dans ce qu’ils réalisent  pour mieux relever des défis d éfis de l’entreprise. Avoir le l e ccourage ourage de ses opinions.

3. Les cclients lients de C CEVIT EVITAL AL La sati satisf sfac acti tion on du clie client nt es estt la devi devise se de l’en l’entr trep epri rise se.. La ra rais ison on de vi vivr vree de l’entreprise l’entre prise est de vendre. Les clients de l’entreprise l’entreprise sont divers et variés: variés:    Représentants    Grossistes    Industriels

administrations    Institutionnels et administrations Ils Ils sont sont pour pour la gra rand ndee majo majori rité té des des in indu dust stri riel elss de l’ag l’agro roal alim imen enta tair iree et de dess distributeurs, ces derniers se chargent de l’approvisionnement de tous les points de vente ou qu’ils soient. 

  Notre Devise Devise : des des produits de Qualité Qualité : CEVI CE VITAL TAL FOOD FOOD do donn nnee un unee gr gran ande de impor importa tance nce au co cont ntrô rôle le de qu qual alité ité de se sess  produits. Cela s’est traduit par l’engagement de la direction dans le Processus de certi cer tific ficat atio ion n ISO ISO 22 2200 000 0 ve vers rsio ion n 20 2005 05.. Tout Toutes es les un unité itéss de pr prod oduc uctio tion n di disp spos osen entt de labor lab orat atoi oire ress (mic (micro ro biolo biologi giee et co cont ntrô rôle le de qu qual alité ité)) éq équi uipé péss d’ d’ou outil tilss d’ d’an analy alyse se très très  performants.

4.   Les activit activités és de CE CEVITAL VITAL CEVITAL CEVI TAL Agro-industrie Agro-industrie Implantée Implantée au sein du port de Bejaia (Algérie), (Algérie), CEVITAL offre des produits de qualité supérieure à des prix compétitifs, grâce à son savoir-faire, ses un unité itéss de prod produc uctio tion n ultra ultramo mode dern rnes, es, so son n co cont ntrô rôle le str strict ict de qu qual alité ité et son son ré résea seau u de distribution.

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Elle couvre les besoins nationaux et à permis de faire passer l’Algérie du stade d’importateur à celui d’exportateur pour les huiles, les margarines et le sucre. Ses produits se vendent aujourd’hui dans plusieurs pays, notamment en Europe, au Maghreb, au Moyen Orient et en Afrique de l’Ouest. Aujourd’hui, CEVITAL Agro-industrie est le plus grand comple com plexe xe privé privé en Algérie Algérie.. Ses outils de produc productio tion n ultra ultra perfor performan mants ts est composée composée de  plusieurs unités de production telles que :    Huiles Végétales.    Margarinerie et graisses végétales.    Sucre blanc.    Sucre liquide.    Silos portuaires.    Boissons. 

  Huiles Végétales Végétales :

   Les huiles huiles de table table :  : elles sont connues sous les appellations appellations suivantes suivantes :

 Fleurial    plus :100%  Fleurial  :100% tourneso tournesoll sans cholestérol, cholestérol, riche riche en vitamine (A, D, E)   (Elio et Fridor):se Fridor):se sont des huiles 100% végétales végétales sans cholestérol, cholestérol, contiennent contiennent de la vitamine vitamine E Elle Elless sont sont issues issues essent essentie ielle lleme ment nt de la gr grai aine ne de to tour urne neso sol, l, Soja et de Palme, Palme, conditi con ditionn onnées ées dans dans des bouteille bouteilless de diverses diverses conten contenanc ances es allant allant de (1 à 5 litres) litres),, après après qu’elles qu’ell es aient subi plusieurs plusieurs étapes de raffinag raffinagee et d’analyse. d’analyse. •

  Capacité de production : 570 000 tonnes /an

•

  Part du du marché marché national national : 70%

•

  Exportations Exportations vers vers le Maghreb Maghreb et le moyen moyen orient, orient, en projet projet pour l’Euro l’Europe. pe.



  Margarinerie Margarinerie et et graisses graisses végétales végétales : Cevi Ce vita tall pr prod odui uitt un unee ga gamm mmee va varié riéee de marg margari arine ne riche riche en vi vita tamin mines es A, D, E Certaines Certain es margarines margarines sont destinées destinées à la consommation consommation directe directe telle que  Matina, Rania, le d’autres sont spécialeme spécialement nt produites produites pour les les besoins besoins de la beurre beur re gourmant gourmant et Fleurial  Fleurial , d’autres  pâtisserie moderne ou traditionnelle, à l’exemple de la parisienne et MEDINA  «  SMEN   » » Capacité de production : 180.000 tonnes/an / Notre part du marché national est de 30%

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sachant que nous exportons une partie de cette production vers l’Europe, le Maghreb et le Moyen-Orient. 

  Sucre Blanc : Il est issu du raffinage raffinage du sucre roux de canne riche en saccharose. saccharose. Le sucre sucre raffiné est Conditionné Condi tionné dans dans des sachets de 50Kg et aussi commercialisé commercialisé en morceau dans dans des boites d’1k d’1kg. g. CEVI CEVITA TAL L pr prod odui uitt au auss ssii du sucr sucree liqu liquid idee po pour ur le less be beso soin inss de l’in l’indu dust stri riee agroalimenta agroal imentaire ire et plus précisément précisément pour les producteurs producteurs des boissons gazeuses gazeuses. ème

   Entrée en production 2

semestre 2009.

tonnes/an avec extension extension à 1 800 000 tonnes/an tonnes/an    Capacité de production  :  650 000 tonnes/an    Part du marché marché national national : 85%

Exportations : 350 000 tonnes/an en 2009 , CEVITAL CEVITAL FOOD prévoit 900 000 tonnes/an    Exportations dès 2010. 

  Sucre liquide : Capacité Capac ité de production production : matière sèche : 219 000 tonnes/an Exportations : 25 000 tonnes/an en prospection.



  Silos Portuaires Portuaires :  Existant :  Le complexe CEVITAL CEVITAL Food dispose dispose d’une capacité capacité maximale 182 000 tonn tonnes es et d’un d’un term termin inal al de dé déch charg argem emen entt po port rtua uair iree de 20 2000 00 T pa parr he heur ure. e. Un pr proj ojet et d’extension d’exten sion est en cours de réalisation. La capacité de stockage actuelle est de 120 000T en 24 silos verticaux et de 50 000 T en silo horizontal. La capacité de stockage Horizon au 1 er trimestre 2010 sera de 200 000 T en 25 silos verticaux verticaux et de 200 000 T en 2 silos horizontaux horizontaux..



  Boissons : A Tizi Tizi Ouzou Ouzou :

Agouni Gueghrane Gueghrane :  : au cœur du massif montagneux du Djurdjura qui culmine à plus de    A Agouni 2300 mètres : L’Unité L’Uni té d’Eau Minérale Minérale Lalla Khedidja a été inaugurée en juin 2007. 2007.

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 Eau minérale, Jus de fruits, Sodas L’eau minérale   Lalla Khedidja Khedidja   depuis depuis des siècles prend prend son son origine origine dans dans les monts monts enneigé enneigéss à plu de 2300 mètres du du Djurdjura Djurdjura qui culminent. En s’infiltrant très lentement à travers la roche, elle se charge naturellement en minéra min éraux ux essentie essentiels ls à la vie (Calciu (Calcium53 m53,, Potassiu Potassium m 0.54, 0.54, Magnésiu Magnésium m 7, Sodium Sodium 5.5 5.5 Sulfate 7, Bicarbonate Bicarbonate 162,….) 162,….) tout en restant d’une légèreté légèreté incomparable. incomparable. L’eau minérale Lalla khedidja pure et naturelle est directement captée à la source au cœur du massif montagneux montagneux du Djurdjura Djurdjura.. Lancement de la gamme d’eau minérale « Lalla Khadidja Khadidja » et de boissons gazeuses avec    Lancement capacité de production production de 3 000 000 bouteilles bouteilles par jour. Réhabilitation de l’unité l’unité de production production de jus de fruits  «  EL KSEUR  ».    Réhabilitation

5. la DG et Miss Mission ion des di direct rections ions L’organisation mise en place consiste en la mobilisation des Ressources humaines matérielles matérie lles et financières financières pour atteindre atteindre les les objectifs demandés demandés par par le groupe. groupe. La Direction Direction générale générale est composée composée d’un secrétariat secrétariat et de 19 19 directions: directions: 

  La direction direction Marketing: Marketing: Pour Po ur attei atteind ndre re les ob objec jectif tifss de l’ent l’entre repr prise ise,, le Mark Market eting ing CEVI CEVITA TAL L pi pilo lote te les marq ma rque uess et les les gamm gammes es de pr prod odui uits ts.. Son Son prin princi cipa pall le levi vier er es estt la co conn nnai aiss ssan ance ce de dess cons consom omma mate teur urs, s, leur leurss beso besoin ins, s, leur leurss usag usages es,, ai ains nsii qu quee la veil veille le su surr le less marc marché héss inte intern rnat atio ion nau aux x

et

su surr

la

conc concur urre ren nce. ce.

Les

éq équi uipe pess

mark market etin ing g

pro rod dui uise sent nt

des des

recommandat recomm andations ions d’innovation d’innovation,, de rénovation, rénovation, d’animation d’animation publi-prom publi-promotionn otionnelle elle sur les marques et métiers CEVITAL. Ces recommandations, validées, sont mises en   œuvre par  des groupes de projets pluridisciplinaires (Développement, Industriel, Approvisionnement, Commercial, Finances) coordonnés par le Marketing, jusqu’au lancement proprement dit et à son évaluation évaluation.. 

  La direction direction des Ventes Ventes & Commerciale: Commerciale: Elle lle à en char charge ge de comm commer erci cial alis iser er to tout utes es le less gamme ammess des des pr pro odu duit itss et le développement du Fichier clients de l’entreprise, au moyen d'actions de détection ou de

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 promotion des projets à base de hautes technologies. En relation directe avec la clientèle, elle possède des qualité qualitéss relationnell relationnelles es pour susciter l'intérêt des prospects. prospects. 

  La direction direction Système d’informations: d’informations: Elle Elle assu assure re la mi mise se en plac placee des des moy moyen enss de dess te tech chno nolo logi gies es de l'in l'info form rmat atio ion n né néce cessa ssaire iress po pour ur supp suppor orte terr et améli amélior orer er l'acti l'activit vité, é, la str strat atég égie ie et la pe perf rfor orma manc ncee de l'en l'entr trep epri rise se.. Elle Elle doit doit ains ainsii veil veille lerr à la cohé cohére renc ncee de dess moy moyen enss in info form rmat atiq ique uess et de communication mises à la disposition des utilisateurs, à leur mise à niveau, à leur maîtrise techniq tech nique ue et à leur leur disponi disponibili bilité té et opérat opération ionnal nalité ité perman permanent entee et en toute toute sécurité sécurité.El .Elle le défini déf init, t, égalem également ent,, dans dans le cadre cadre des plans plans pluria pluriannu nnuels els les évoluti évolutions ons nécessa nécessaires ires en fonction des objectifs de l'entreprise et des nouvelles technologies.



  La direction direction des Finances Finances et et Comptabilité: Comptabilité:

   Préparer Préparer et mettre à jour les budgets budgets

comptabilité et préparer les états comptables comptables et financiers selon les norme normess    Tenir la comptabilité    Pratiquer Pratiquer le contrôle contrôle de gestion    Faire le Reporting périodique périodique 

  La direction direction Industrielle: Industrielle: Chargéé de l'évolution industrielle Charg industrielle des sites de production production et définit, définit, avec la direction direction générale, les objectifs et le budget de chaque site. Analyse les dysfonctionnements sur  ch chaq aque ue sit sitee (équ (équip ipem emen ents, ts, or orga gani nisa satio tion. n... ..)) et re rech cherc erche he les solu solutio tions ns techn techniq ique uess ou humain hum aines es pour pour amélio améliorer rer en permane permanence nce la product productivi ivité, té, la qualité qualité des produi produits ts et des co cond nditi ition onss de tr trav avai ail. l. Antic Anticip ipee les be beso soin inss en matér matérie iell et supe superv rvise ise leur leur achat achat (étud (étudee technique, tarif, installation...). Est responsable de la politique environnement et sécurité Participe aux études de faisabilité des nouveaux produits.



  La direction direction des Ressources Ressources Humaines Humaines Défin Dé finit it

et pr prop opos osee à la dire directi ction on gé géné néral ralee le less pr prin incip cipes es de Gesti Gestion on re resso ssour urce cess

hu huma main ines es en supp suppor ortt av avec ec les ob obje jecti ctifs fs du bu busi sine ness ss et en ligne ligne av avec ec la po polit litiq ique ue RH groupe. grou pe. Assure un support support administratif de qualité à l’ensemble l’ensemble du personnel personnel de CEVITAL CEVITAL Food Fo od.. Pi Pilo lote te les ac activ tivité itéss du so soci cial. al. Assis Assiste te la di dire rect ctio ion n gé génér nérale ale ainsi ainsi qu quee to tous us les manager manag erss sur to tous us les les as aspe pect ctss de ge gesti stion on resso ressour urce cess hu huma main ines, es, ét étab ablit lit et maitr maitrise ise les  procédures.

72

 

Chap Ch apit itre re 5

pr prés ésen enta tati tion onss de l’ l’or orga gani nism smee et l’an l’anal aly yse et in inte terp rpré réta tati tion on de dess ré résu sult ltat atss

   Assure le recrutement. recrutement.

Chargé de la gestion gestion des carrières, identifie identifie les besoins en mobilité.    Chargé    Gestion de la performance performance et des rémunérations. rémunérations.    Formation du du personnel personnel

direction générale et les managers dans les actions disc disciplinai iplinaires res    Assiste la direction    Participe Participe avec la direction générale générale à l’élaboration l’élaboration de la politique politique de communication communication afin

de développer l’adhésion du personnel aux objectifs fixés par l’organisation •

  La direction direction Approvisionnements Approvisionnements Dans le cadre de la stratégie globale d’approvisionnement et des budgets alloués (inves (in vestiss tisseme ement nt et fonctio fonctionne nnemen ment). t). Elle Elle met en place place les mécani mécanismes smes permet permettan tantt de satisfaire les besoins matière et services dans les meilleurs délais, avec la meilleure qualité et au moindre moindre coût afin de permettre la réalisation réalisation des objectifs objectifs de production production et de vente.

•

  la direction Logistique Expédie Expéd ie les produits produits finis (sucre, huile, margarine, margarine, Eau minérale, minérale, …), qui consiste à charger les camions à livrer aux clients sur site et des dépôts Logistique. Assure et gère le transport de tous les produits finis, que ce soit en moyens propres (camions (camio ns de CEVITAL), CEVITAL), affrétés ou moyens moyens de transport transport des clients. Le service transport transport assure aussi l’alimentation l’alimentation des différentes différentes unités de production production en quelques matières premières intrants et packaging et le transport pour certaines filiales du groupe (MFG, SAMHA, Direction Projets, NUMIDIS, ….). Gère les stocks de produits finis fin is dans dans les différ différent entss dépôts dépôts locaux locaux (Bejaia (Bejaia et enviro environs) ns) et Région Régionaux aux (Alge (Alger, r, Oran, Oran, Sétif, …).



  La direction direction des Silos:

décharge les matières premières vrac arrivées arrivées par navire ou camions vers les points de    Elle décharge stockage.    Elle stocke dans dans les conditions optimales optimales les matières premières. premières.

différents utilisateurs utilisateurs de ces produits dont l’alimentation l’alimentation    Elle Expédie et transfère vers les différents de raffinerie de sucre et les futures futures unités de trituration. trituration. entretient et maintient maintient en état des services services les installations installations des des unités silos silos    Elle entretient

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Chap Ch apit itre re 5



pr prés ésen enta tati tion onss de l’ l’or orga gani nism smee et l’an l’anal aly yse et in inte terp rpré réta tati tion on de dess ré résu sult ltat atss

  La direction direction des Boissons Le Pôle Boissons et plastiques comprend trois unités industrielles situées en dehors du site de Béjaia :

KHEDIDJA domiciliée domiciliée à Agouni-gu Agouni-gueghran eghranee (Wilaya (Wilaya de TIZI OUZOU) OUZOU) à    Unité LALLA KHEDIDJA  pour vocation principale la production d’eau minérale et de boissons carbonatées à partir  de la célèbre source de LLK  Unité plas plastiq tique ue,, in insta stallé lléee da dans ns la même même loca localit lité, é,    Unité

as assu sure re la pr prod oduc uctio tion n de dess be beso soin inss en

emba em balla llage gess po pour ur les pr prod odui uits ts de Marg Margar arin inee et les Huile Huiless et à terme terme de dess pa palet lettes tes,, de dess étiquettes etc.    Unité COJEK, implantée implantée dans la zone industrielle industrielle d’El Kseur, Cojek est une SPA filiale de

CEVI CE VITA TAL L et qu quii à po pour ur vo voca catio tion n la trans transfo form rmati ation on de frui fruits ts et lé légu gume mess frais frais en Jus, Jus,  Nectars et Conserves. Le groupe ambitionne d’être Leader dans cette activité après la mise en œuvre d’un important plan de développement 

  la direction direction Corps Gras : Le pole corps gras est constitué des unités de production suivantes :une raffinerie d’huile de 1800 T/J, un conditionnement d’huile de 2200T/J, une margarinerie de 600T/J qui sont sont toutes toutes opérati opérationn onnelle elless et une unité unité inter inter estérif estérificat ication ion – Hydrog Hydrogéna énation tion –pate –pate chocolatière choco latière –utilités –utilités actuellement actuellement en chantier chantier à El kseur. Notre mission principale principale est de raffinerr et de conditionner raffine conditionner différentes différentes huiles végétales végétales ainsi que la production de différe différents nts types typ es de margari margarines nes et beurre beurre.. Tous Tous nos produits produits sont destinés destinés à la consomma consommatio tion n d’où d’où notre préoccupation est de satisfaire le marché local et celui de l’export qualitativement et quantitativement.



  la direction direction Pôle Sucre : Le pôle sucre est constitué de 04 unités de production : une raffinerie de sucre solide 2000T/J, 2000T/J, une raffinerie raffinerie de sucre solide 3000T/J, une unité de sucre liquide 600T/J, et une unité de conditionnement de sucre 2000 T/J qui sera mise en service en mars 2010.Sa vocatio voc ation n est de produi produire re du sucre solide solide et liquid liquidee dans dans le respec respectt des normes normes de qualité, qualité, de la prése préserv rvati ation on du milieu milieu na natu ture rell et de la sé sécu curi rité té des pe perso rsonn nnes. es.no noss pr prod odui uits ts sont sont destinés aux industriels et aux particuliers et ce pour le marché local et à l’export. »

74

 

Chap Ch apit itre re 5



pr prés ésen enta tati tion onss de l’ l’or orga gani nism smee et l’an l’anal aly yse et in inte terp rpré réta tati tion on de dess ré résu sult ltat atss

  La direction direction QHSE: Met e en place, mainti maintient ent et amélior amélioree les différ différent entss systèmes systèmes de managem management ent et référentiels référen tiels pour se conformer conformer aux standards standards internationaux internationaux Veille au respect des exigences règlementaires règlem entaires produits, produits, environneme environnement nt et sécurité sécurité Garantit Garantit la sécurité sécurité de notre personnel personnel et la pé pére renn nnité ité de no noss insta installa llati tion onss Cont Contrô rôle le,, assur assuree la qu qual alité ité de to tous us le less pr prod odui uits ts de CEVITAL et réponse aux exigences client.



  la direction direction Energie Energie et et Utilités: Utilités: C’est la production la  production et la distribution pour distribution  pour les différentes unités, avec en prime une qualité propre à chaque Process : D’environ 450 m3/h d’eau (brute, osmoses, adoucie et ultra pure) ; de la vapeur   vapeur   Ultra Ultra haute pression   300T/H 300T/H et   basse pression pression   500T/H. 500T/H. De l’Electricité   Haute Haute Tension, Tension, Moyenne Moyenne Tension Tension   et   Basse Tension Tension, avec une capacité de 50MW.



  La direction direction Maintenance Maintenance et et travaux neufs:

   Met en place et intègre de nouveaux nouveaux équipements équipements industriels et procédés procédés

Planifie et assure la Maintenance Maintenance pour l’ensemble l’ensemble des installations. installations.    Planifie    Gère Gère et dépl déploi oiee avec avec le Di Dire rect cteu eurr In Indu dust stri riel el et le less Di Dire rect cteu eurs rs de Pôle Pôless le less pr proj ojet etss

d’investisseme d’inv estissement nt relatifs relatifs aux lignes de produc production, tion, bâtiments bâtiments et

énergie/utilit énergie/utilitéé (depuis (depuis la

définition du processus jusqu’à la mise en route de la ligne ou de l’atelier)    Rédige Rédige les cahiers des charges charges en interne.

Négocie avec les fournisseurs fournisseurs et les intervenants intervenants extérieurs. extérieurs.    Négocie

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Organigram Organ igramme me de la Direct Direction ion des Ressources Humaines

Directeur  Ressources Humaines Assistante

Département

Département

Administration

Département

Moyens

RH

Généraux

RH

Service Administration du Personnel

Service Formation 04 Pax

Parc léger 28 Pax

08 Pex Service

Gestion des Emplois & Compétences 02 Pax

Paie 05 Pax

Cantine 14 Pax

Service Social 03 Pax

Service Recrutement/ intégration 04 Pax

Moyens communs 12 Pax

 

Organigramme de la macro Structure Cevital Agro industrie

Direction Exploitations

Direction QHSE

Direction Générale  

Direction Ressources Humaines

Direction Finances & Comptabilité

Direction Marketing

 

 

 

 

Direction Commerciale

Direction Stratégie et Planification  

Direction Système information  

Direction Approvisionnement  

Direction Logistique  

Direction Recherche et Développement  

Direction Energie & Utilité

Direction Opérations Portuaires  

Direction Maintenance Centrale & Travaux Neufs

Pôle Sucre

Pôle Corps Gras

Pole Boissons

 

 

Direction  sucre 3000T

Direction Raffinerie Huile

Direction Eau minéral « LaLaKhédidja »

Direction Transit  

Direction  sucre 2000T

Direction Margarinerie

Direction  sucre Liquide

Direction Conditionnement huile

Direction « Jus Cojek »

Direction  Plastique  

Direction Conditionnement  

S :\IS O 22000\5 Res pons abi l i té de l a di rec ti on\5.4 Res pons abi l i té et autori té\F- RH-006 O rgani gramme

1

 

Ch Chapi apitre tre 5

présen présentat tation ionss de l’org l’organi anisme sme et l’a l’anal nalyse yse et interp interprét rétat ation ion des résult résultats ats

   Section 2 : l’anal l’analyse yse et l’interpréta l’interprétation tion des rrésultat ésultatss

Tableau n° 1 : la répartition répartition de l’échant l’échantillon illon selon le sexe :

Sexe

Effectifs

%

Masculin

 

16

53%

Féminin

 

14

47%

30 30

100%

Total

 

Selo Selon n les do donn nnées ées recue recueill illis is sur sur le terra terrain in la re repré prése sent ntati ation on d’ d’étu étude de es estt reparties repar ties comme suite, notre notre population population est de l’ordre de 30 individus individus qui représente 53%

de sexe sexe ma masculin et et le sex sexe

fémin éminin in

avec

un tau taux de 47 47% de no notre tre

échantillons. la prem premiè ière re

rema remarq rque ue

su surr notre notre enqu enquêt ête, e, est est que le sexe sexe masc mascul ulin in

es estt

domina dom inant nt dans dans l’entre l’entrepris prisee par rappor rapportt aux sexe fémini féminin n est que certaine certainess tache tachess danss l’entrep dan l’entreprise rise demand demandent ent des des effort efforts, s, et des déplace déplacemen ments ts ce qui fait fait qu’il qu’il il ya que les les ho homm mmes es qui qui peu euv vent ent

as assu sure rerr

ces ces tach taches es

co comp mple lexe xess ,le trava travail il dan dans

l’entreprise demande beaucoup d’efforts et plus de responsabilité.

78

 

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Tableau n° 2 : la répartition de l’échantillon selon l’âge :

Age

Effectif

%

18-27 ans

 

8

27%

28-37ans

 

17

57%

38-47 ans

 

5

17%

30 30

100%

Total

 

Concernant la structure d’âge de notre échantillon, les résultats on révèle que le plus grande pourcentage est enregistre dans la tranche d’âge (28-37 ans) avec un taux de 57%, suive par la tranche d’âge entre 28-37 ans est de 27%, puis en trouve la tranchee d’âge (38-47) tranch (38-47) ans est avec 17%. 17%. la catégorie (28-37 (28-37 ans) est la plus nombreuse nombreuse ce qui montre que l’entreprise l’entreprise CEVI CE VITAL TAL co comp mpte te sur sur ce cette tte catég catégor orie, ie, ce cett ttee de dern rniè ière re pr proc ocure ure à l’entr l’entrep epris risee no non n seulem seu lement ent leur leur compéte compétence nce mais aussi aussi leur leur dynamis dynamisme, me, leur leur motivatio motivation n et surtout surtout leur jeunesse jeunesse qui joue un rôle rôle très important important dans le le développ développement ement de l’entrepris l’entreprise. e.

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Tableau n° 3 : la répartition de l’échantillon selon le niveau d’instruction :

Niveau d’instruction

 

Moyen

Effectif

%

3

10 %

Secondaire

 

5

17 %

Universitaire

 

22

73 %

30

100 %

Total

 

D’ap D’ aprè rèss les les donn donnée éess de terr terrai ain, n, La pr prem emiè ière re ca caté tégo gori riee po pour ur le ni nive veau au d’inst d’i nstruc ructio tion n est d’un d’un taux de73% de73% univer universita sitaire ire,, suivie suivie par le niveau niveau d’instru d’instructio ction n secondaire secon daire 17%, 17%, en dernier le niveau niveau d’instruction d’instruction moyen moyen 10%, La première catégorie est d’un taux 73% puisque la population de recrutement dans l’entrepri l’entreprise se qui exige exige un diplôme diplôme supérieur supérieur beaucoup beaucoup plus à cause des taches taches et les outils outils technol technolog ogiqu iques es utilisée utilisée (les micros micros ordina ordinateu teur, r, les machin machines). es).C’e C’est st pour  cela que l’entreprise prend en considération considération un niveau d’instruction d’instruction comme condition condition de recrutement. Aussi avec le développemen développementt des NTIC les entreprises exige sur leurs leurs niveaux d’instructio d’inst ruction n pour éviter les frés et le temps perdue perdue en formation dans l’informatique. l’informatique.

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Tableau n°4 : la répartition de l’échantillon selon la catégorie professionnelle :

Catégorie professionnelle

Cadre

 

%

22

73 %

8

27 %

30

100 %

 

Agent de maitrise

Total

Effectif

 

D’aprèss les donnés, D’aprè donnés, la catégorie profession professionnelle nelle est composé de trois : cadre, cadre, agent de maitrise, maitrise, agent d’exécution d’exécution.. D’après ces résultats résultats on trouve un taux élevés de 73% des cadres suivie de 27% pour les agents de maitrise ce qui montre que l’en l’entr trep epri rise se CEVI CEVITA TAL L la majo majorit ritéé so sont nt de dess ca cadr dres es vu vues es les re resp spon onsa sabi bilit lités és da dans ns l’entreprise l’entr eprise aussi aussi un autre facteur facteur celui de de l’ancienneté l’ancienneté professionne professionnelle. lle. Cette résultat résultat est justifie par la qualification qualification de personnel personnel et son inadéquation inadéquation aux nouvelle nouvelle technologies technologies de gestion et une préparation préparation à l’acquisition l’acquisition du nouveau nouveau maté ma térie riel, l, do donc nc nous nous dédu déduiso isons ns que que la gran grande de resp respon onsab sabili ilité té es estt as assu sumée mée pa parr les cadres, ainsi nous remarquons une certaine harmonie dans les taches, ce qui générera une bonne gestion dans différents service.

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Tableau n° 5 : la répartition de l’échantillon selon l’expérience professionnelle :

Expérience professionnelle

Effectif

%

1-2 ans

 

4

13 %

3-4 ans

 

12

40 %

14

47 %

30

100 %

 

5 ans et plus

Total

 

Les résultats résultats de l’enquête l’enquête révèle que la première première catégorie catégorie représente représente un un taux de 47% de (5ans et plus) tandis que (3-4 (3-4 ans) et de 40%, et en dernier 13% entre (1-2 (1-2 ans). Le taux élevé entre 5 ans et plus (3-4 ans) explique que l’entreprise CEVITAL, CEVITAL, ses ses salar salaries ies sont sont an ancie ciens ns Puisq Puisque ue l’exp l’expér érie ienc ncee jo joue ue un rô rôle le fo fond ndam amen enta tale le da dans ns l’entreprise l’entr eprise pour la réalisation réalisation des taches et la maitrise des moyens technologiques technologiques.

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Tableau n°6 : la répartition de l’échantillon selon l’utilisation des outils informatiques informatiques dans l’entreprise:

L’utilisation de l’outil informatique

Effectif

%

Oui

 

30

100 %

Non

 

0

0%

Total

 

30

100 %

Less résultats Le résultats de l’enquê l’enquête te révèle révèle que la majorité majorité des enquêté enquêtéss soit le taux de 100%.  Nous constatons d’après ses résultats que la connaissance de l’utilisation de l’outi l’o utill inform informatiq atique ue est nécessa nécessaire ire vue sont sont importa importance nce dans dans l’améli l’améliora oration tion et la  perfection de ses informations, ou il faut introduire l’usage des NTIC dans tous ces unités et particulièrement dans la direction des ressources humaines.

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Tabl Ta blea eau u

n°7 n°7 : la répa répart rtit itio ion n de l’éc l’écha hant ntil illo lon n selo selon n l’ou l’outi till

informatique le plus efficace :

L’outil informatique

 

Micro bureau

 

Ordinateur portable

 

Les deux

Total

 

Effectifs

%

13

43%

8

27%

9

30%

30 30

100%

D’après D’ap rès les les résu résulta ltats ts ob obten tenus us da dans ns ce tablea tableaux ux no nous us co cons nstat taton onss qu quee le less enquêt enq uêtés és ont rependu rependuee à l’utili l’utilisat sation ion des outill outilles es inform informatiq atiques ues 43% des enquêt enquêtés és utilise des micros burea bureau, u, suivi de 30% pour les deux types types (micro bureaux-ord bureaux-ordinateur  inateur   portable) et seulement 27% des enquêtés utilise des ordinateurs portable. Cela Ce la nous nous amèn amènee à comp compre rend ndre re que que to tout ut le less en enqu quêt êtes es ut util ilis isee de dess ut util iles es informatique pour effectue toute leurs taches à faire dans leur service pour assurer une meil me ille leur uree comm commun unic icat atio ion n et une une bonn bonnee circ circul ulat atio ion n d’ d’in info form rmat atio ion n au se sein in de l’entreprise. Et l’outil le plus utilisé dans l’entreprise et le micro bureau car il est le  plus adapté à leur l eur travail à ssavoir avoir que la plus part de leur l eur tache t ache s’effectue au bureau.

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Tableau n° 8: la corrélation entre l’expérience professionnelle et

l’accès à l’internet :

L’accès à L’internet

Oui

Non

Total

Expérience professionnelle

Effectifs

%

Effectif

%

Effectif

%

1-2 ans

 

4

13%

 

/

/

 

4

13 %

3-4 ans

 

12

40%

 

/

/

 

12

40 %

5 et plus

 

14

47%

 

/

/

 

14

30

100%

 

/

/

 

30

Total

 

47 %

100 %

Les résultats de l’enquête l’enquête montrent que la population population d’étude ont répondue par  oui à 100% pour l’accès à l’internet, dont 47% de ce qui ont l’expérience de (5 ans et  plus ) qui ont plus accès à l’internet, suivi de 40% pour (3-4 ans) et en dernier lieux 13 %pour %pour l’expérience l’expérience de (1-2 (1-2 ans). D’après ces donnés on comprend que tous les enquêtés ont accès à l’internet, vu ce pource pourcentag ntagee élevé, élevé, l’intern l’internet et permet permet de répond répondre re à la rapidi rapidité té de l’écha l’échange nge d’in d’info form rmat atio ion n néces nécessai saires res à l’ l’exé exécu cutio tion n de dess tache taches. s. Ont Ont co cons nstat tatee qu quee pl plus us il y a d’expé d’e xpérien rience ce profess profession ionnel nelle le et d’ancien d’ancienneté neté plus il y’ y’aur auraa de respon responsabi sabilité lité,, qui nécessite nécess ite un accès considérable considérable et favorable à l’internet l’internet.

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Tableau Tablea u n° 9 : la corrélation corrélation entre l’accè l’accèss à l’internet et la conn connexion exion utilisée :

accès à Oui

Non

Total

L’internet connexion

Effectifs

%

Effectif

%

Internet fixe (connexion fil)

18

60%

Mobile ou sans fil (wifi)

3

Effectif

%

 

/

/

 

18

60 %

10%

 

/

/

 

3

10 %

9

30%

 

/

/

 

9

30 %

30

100%

 

/

/

 

30

100 %

utilisée

 

Les deux

Total

 

D’aprè D’a prèss les résult résultats ats obtenu obtenuss nous nous constat constatons ons que que 100% 100% des enquê enquêtés tés ont rependus oui à l’accès à l’internet, la majorité avec 60% utilise l’internet fixe, contre 30% il adhérent pas la différence entre les deux (internet fixe, mobile ou sans fil) est seulement 10% utilise l’internet sans fil. Cela s’explique que l’internet fixe est plus adopte à leur travaille en sachant qu quee to tout utee leur leur tache tache s’eff s’effect ectue uent nt au aux x bu bure reau aux, x, do donc nc moin moinss de dé dépl place aceme ment nt,, ce cela la n’exige pas un internet mobile.

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Tableau n° 10 : la corrélation entre l’accès a l’internet et la vitesse de la connexion et et du transfère d’infor d’information mation sur inte internet rnet : accès à L’internet Oui

Non

Total

La vitesse De la connexion

 

satisfaisante

Lente

 

 

Très lente

total

 

Effectifs

%

Effectif

%

17

57%

12

 

/

/

40%

 

/

1

3%

 

30

100%

 

Effectif

%

 

17

57 %

/

 

12

40 %

/

/

 

1

3%

/

/

 

30

100 %

D’après les résultats D’après résultats obtenus obtenus l’accès l’accès a l’internet l’internet est de 100%, 100%, pour pour la vitesse vitesse de la connexion, nous constatons que 57% de notre population d’étude on répondu satisfaisante, contre 40% trouve que la connexion lente. Ains Ainsii nous nous dédui déduiso sons ns

que que l’ l’en entr trep epri rise se à met met à la dispo disposi siti tion on de leur  leur 

fonctio fon ctionna nnaires ires une connexio connexion n qui leur permet permet de faire faire plus plus de tache, car une bonne bonne connex con nexion ion joue joue un un rôle rôle très très import important ant sur le le proces processus sus de de change changemen mentt aux nive niveaux aux de l’entreprise, et sur la motivation du personnels. Cela explique l’existence d’une rela relati tion on

inte interd rdép épen end dan ance ce

rendements.

entr entree les les NTI NTIC C

et le le per perso sonn nnel elss

ai ain nsi

dan anss leur  leur 

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Tableau n° 11 :l’objectif de site web personnalise de votre entreprise entrepr ise :

L’objectif de site web personnalisé

 

Présentation Présenta tion de l’entreprise l’entreprise

 

Facilite la communication communication

 

Publicité

 

Sans opinion

Total

 

Effectif

%

9

30 %

5

17 %

13

43 %

3

10 %

30

100 %

Les résultats de l’enquête révèle que 43% des enquêtés montre l’objectif de site web personnalisé de l’entreprise, il permet de faire la publicité pour l’entreprise suivie par 30% et enfin juste 17% est d’un object objectif if de facilite la communication. communication. A cet effet nous remarquons que le site Web dans l’entreprise est très important et à  plusieurs fonctions. La majorité des enquêtés pensent que le site web et pour faire la  publicité et de connaitre connaitr e à ces clients ses différents produits et ses marques. Le site web dans l’entreprise l’entreprise CEVITAL est d’une place primo primordiale rdiale et ainsi pour ces multiples multip les fonctions que on peut citer : publicité et faire savoir à leur client ces nouveaux nouveaux produits. produits.    Faire la publicité présentation de l’entreprise l’entreprise (donn (donner er une bonne image image de l’entreprise). l’entreprise).    La présentation    Facilite la communication.

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Tableau n° 12 : la répart répartition ition de l’éch l’échantillon antillon se selon lon leurs recrutements par un site web de l’entreprise

Le recrutement par site web

Effectif

%

Oui

 

28

93 %

Non

 

2

7%

Total

 

30

100 %

D’aprèss les résultats obtenus D’aprè obtenus de l’enquête l’enquête sur le terrain majoritairem majoritairement ent avec 93% des recrutements se passent à travers des sites internet, et seulement 7% des recrutements se passe avec d’autres moyens. A travers ces résultats on constate la plus grande part des recrutements ce  passe a travers des sites internet de l’entreprise, sur les 30 effectifs interrogé 28 entre eux ont été recrute sur internet, internet, cela nous à amène à comprendre comprendre que l’entreprise l’entreprise elle utilise dans dans la plus sensible de ces fonctions car cette techniq technique ue de recrutement recrutement évite  beaucoup de travail est gagne de temps, l’internet et de plus en plus utilisé pour le recr recrute uteme ment nt en pa parle rle de l’ l’en entre trepr pris isee recru recrutem temen ent, t, le less pl plus us gr gran andes des en entre trepr prise isess commun com muniqu iquant ant direc directem tement ent leur leur postes postes pouvoi pouvoirr sur un un site interne internett en confi confient ent ces  postes à des sites spécialisé bien que la tendance à utilisée internet sur le marché de travaill par les demandeurs travai demandeurs d’emplois. Comm Co mmee les les en entr trep epri rises ses ne so soit it pa pass en enco core re pa parv rven enue ue à na natu tura ralit litéé certai certain n changement chang ement de ses marches se révèlent révèlent déjà ainsi de la relation nouvelle nouvelle qui s’installe entre les demandeurs demandeurs d’emplois et ses futurs employeurs employeurs par le bais de site internet. internet.

89

 

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Tableau n° 13 : les répartitions de l’échantillon selon les moyens de communication utilisée le plus souvent : Les moyens de communication communic ation utilisée

Effectif 

 

Téléphone fixe

 

Téléphone mobile

E-mail

 

 

Tous ces utiles

Total

 

 

%

8

27%

7

23%

12

40%

3

10%

30 30

100%

D’aprè D’a prèss les donnée donnéess de terrain terrain pour pour les moyens moyens de commun communica ication tion utilisée utilisée 40% des enquêté enquêté utilise E-mail, E-mail, dont 27% utilise le téléphone téléphone fixe. D’après ces résultats on comprend que E-mail c’est le moyen le plus adapté  pour leur travaille. Il facilite la transmission des documents car c’est un moyen rapide et moins cher, donc il suffit d’avoir accès à l’internet, il peut aussi réduire les délais des réalisation réalisationss des actes administrativ administratives. es.

90

 

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Tableau n° 14: la répartition répartition de l’éch l’échantillon antillon selon l’utili l’utilisation sation de l’intranet l’intranet à l’intér l’intérieure ieure de votre ent entreprise reprise :

L’utilisation de L’utilisation l’intranet

Effectif

%

Oui

 

23 23

77%

Non

 

7

23%

Total

 

30 30

100%

Selon les donnés que on à recullis sur le terrain de l’utilisation de l’intranet,  parmi 30 de notre not re échantillon 23 d’entre eux que représente tente 77 % sont favorable à l’ut l’util ilis isat atio ion n de l’ l’in intr tran anet et,, et 7 au autr tree repr représ ésen ente te 23 23% % qu quii so sont nt dé défa favo vora rabl blee

à

l’utilisation de l’intranet. Cela explique que l’intranet et une nouvelle technologie de l’information et de la commun communica ication tion qui provoq provoque ue des change changemen ments ts import important antss qui relier relier un nombre nombre multip mul tiple le de directi direction on dans l’entrep l’entreprise rise,, par le bais d’un d’un réseau local dans le but de facilit fac ilitee leur leur commun communicat ication ion,, il partici participe pe même même à l’évolu l’évolutio tion n des config configura uration tionss co cont nten enus us et po posit sitio ionn nnem emen ents ts de dess diff différe érent ntss foncti fonction onss da dans ns l’ent l’entre repr prise ise,, il of offr free l’avantage pour l’utilisateur de disposer d’une interface identique quelque que soit le  poste de travail auquel il connecte.

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Tableau n° 15: la répartition répartition de l’éch l’échantillon antillon selon le moyen ou le client tient au courant de nouveau produit : Le moyen ou le client tient au courant de nouveau produit  

Effectif

%

7 23%

Panneaux publicitaire publicitaire

 

Exposition

 

Publicité sur internet

 

Télévision

 

Tous ces types

Total

 

6

20%

3

10%

11

37%

3

10%

30

100%

D’après les résultats 37% des clients tiennent au courant de nouveau produit  par la télévision, est de23 % par les panneaux publicitaire, 20% par exposition, en dernier derni er 10 % par publicité publicité sur internet. internet. L’utilisation de la télévision pour l’entreprise c’est pour faire savoir à ses clients de leur nouveau produits, car c’est un moyen le plus facile qui accède à ce large publique celle-ci anticipe les besoins et supervise leur achat produit et anticipe aux études de faisabilité des nouveaux produits, cela permet une hausse de la productivité et une  baisse des couts et donner une bonne image de l’entreprise.

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Tableau n° n° 16 : la répartitio répartition n de l’échantillon l’échantillon selo selon n l’outil à informé :

L’outil à informé

Effectif

%

Appele téléphonique

 

2

7%

Message par internet

 

12

40%

9

30%

3

10%

4

13%

30

100%

 

Affichage sur un site local

 

Conférence ou réunion

 

Tous ces moyens

Total

 

 Notre enquête révèle que l’outil le plus utiliser pour informer et le message  par internet qui regroupe le plus grande pourcentage qui est de 40%, suivie par le site local qui est de 30%. L’entreprise CEVITAL assiste sur l’internet dans toute ces fonctions est entre en force dans dans l’entre l’entrepri prise se notammen notammentt dans dans la foncti fonction on des ressour ressources ces humaine humainess est  permet un dialogue en ligne favorisant le management à distance, de plus une efficacité efficac ité des échanges échanges d’information d’information et le suivie des activités des collaborateur collaborateurs. s.

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Tableau n°17 : la répartition de l’échantillon selon les moyens utilisés pour effectuer des réunions entre les responsables ou cadres :

Les moyens utilisés

Effectif

 

Contact direct

 

Par le moyen de l’audio visuel

 

Les deux

Total

 

%

21

70 %

0

0%

9

30 %

30

100 %

D’aprè D’a prèss les donné donnéss de terrain terrain 70% des enquê enquêtés tés estimen estimentt que les réunion réunionss entre les responsable responsabless ou cadres s’effectuent s’effectuent par contact direct direct et 30 % estiment que les réunions réunions s’effectuent s’effectuent par (contact (contact direct) et par le moyen de l’audio l’audio visuel. Le contact contact direct direct est mieux mieux placée placéess pour pour faire faire les réunio réunions ns est de gérer gérer les situations situatio ns afin de mieux communiquer communiquer et de transfert transfert d’information d’information entre entre eux. Malgré le développement des télécommunications, mais le contact direct est l’un des moyens efficaces efficac es pour les réunions. réunions.

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Tableau n° 18 : la répartition de l’échantillon selon le personnel spécialisé dans le domaine des NTIC :

Le personnel spécialisé

Effectif

%

Oui

 

28 28

93%

Non

 

2

7%

 

30 30

100%

Total

A parti partirr de la lectu lecture re de ce tabl tablea eaux ux,, les résul résulta tats ts es estt de 93 93% %

de notr notree

échantillon échan tillon ont répondue répondue oui aux personnels personnels spécialisé dans le domaine domaine des NTIC. NTIC. Cela peut être expliqué que les 93% estiment qu’il ne peut pas sans passé d’un tech techni nici cien en in info form rmat atiq ique ue da dans ns l’ent l’entre repr prise ise,, qu quii jo joue ue un rô rôle le très très impo importa rtant nt da dans ns l’entr l’e ntretie etien n et la répartitio répartition n des machine machiness et même dans dans l’infor l’informat matisat isation ion des outils outils  pour éviter toute dégradation. dé gradation.

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Tableau n° 19 : la corrélation entre la formation dans les NTIC et les catégories concernées par cette formation :

Formation Oui

Les catégories catégories

 

Les deux

 

Total

D’ap D’ aprè rèss

%

Effectif

%

Effectif

%

7

23%

1

3

8

27 %

4

13%

2

7

6

20 %

16

53%

0

16

53 %

27

90%

3

30

100 %

 

Agent de maitrise

Total

Effectifs

 

Cadre

Non

 

/

 

10

notr notree enqu enquêt ête, e, il tr trou ouve ve que que 53 53% % on ontt ré répo pond ndue ue

qu quee le less de deux ux

catégories (cadre-agent catégories (cadre-agent de maitrise) maitrise) sont concernées concernées par cette formation, formation, l’entrep l’entreprise rise CEVITAL CEVI TAL organise organise ces formations formations pour les deux catégories. catégories. Cess résulta Ce résultats ts amèn amènee à dire que que la fo form rmat atio ion n est un outil outil de dévelo développ pper er le less capacités capacit és de jugement jugement ,développe ,développerr ses compétences compétences tous en améliorant améliorant les niveaux niveaux de qualifi qualificat cation ion et la possibilit possibilitéé de mieux mieux acquérir acquérir les connai connaissan ssances ces nouvel nouvelle le et d’être d’ê tre compét compétitiv itivee

par la bonne bonne maitris maitrisee de ces moyens, moyens, ainsi ainsi que le bon bon climat, climat, et

créer un un sentiment sentiment d’apparte d’appartenance nance des des salaries salaries en vers leur leur organisation, organisation, et favorise favorise un unee meill meilleu eure re pe perce rcept ptio ion n de leur leur milieu milieux x de trav travai aille lle et accro accroitr itree ch chez ez le salar salarié ié l’estime de soi.

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Tableau n° 20: La répartition répartition de l’éc l’échantillo hantillon n selon les effets des NTIC sur l’organisation :

Effet des NTIC

Effectifs

%

4

13%

13

43%

13

43%

30 30

100%

Créent une motivation  

entre les salaries Diminuée les conflits  

aux travaille Gagne Gag ne de temps temps dans les les transmissions

 

d’information.

Total

 

A partir partir de l’analy l’analyse se statisti statistique que pour pour les effets effets des des NTIC NTIC sur l’orga l’organis nisatio ation n

,

nous constaton constatonss que 43% pensent pensent que NTIC diminue diminue les conflits conflits au travail et gagne gagne de temps temps dans les transmissi transmissions ons d’info d’informa rmatio tion n contre contre 13%

pensent pensent que les NTIC NTIC

créentt une motivation entre les salarie. créen Cela Ce la no nous us a mèn mène à comp compre rend ndre re que

le poi oint nt de vue vue

so son nt diffé iffére ren nts ,

l’intég l’in tégrati ration on des NTIC NTIC aide aide à diminué diminuéee les conflit conflitss aux travai travaill et gagne gagne de temps, temps, celaa évite cel évite les problè problèmes mes entre entre les les fonctio fonctionna nnaire, ire, . Donc Donc les les NTIC NTIC est un un instru instrumen mentt de liais liaison on

av avec ec l’env l’enviro ironn nnem emen entt (c (com ommu muni nicat cation ion av avec ec les cl clien ients) ts) et un fa fact cteur  eur 

d’efficacité d’eff icacité avec le quotidien quotidien de l’entreprise. l’entreprise.

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Tableau n° 21 : la répartition de l’échantillon selon l’impact des NTIC sur le chiffre d’affaire :

Impact des NTIC

Effectif

%

Oui

 

30 30

100%

Non

 

0

0%

Total

 

30 30

100%

D’ap D’ aprè rèss

les les résu résult ltat atss obte obtenu nuss dans dans ce ta tabl blea eaux ux no nous us

co cons nsta tato tons ns qu quee la

majo ma jori rité té des enqu enquêt êtés és on repen rependu duss ou ouii pour pour l’impac l’impacte te des NTIC NTIC sur

leur leur chiffre chiffre

d’affaire d’affa ire dans l’entreprise l’entreprise avec un taux de 100%, 100%, Cela Ce la expliq explique ue que les NTIC NTIC éc écon onom omiq ique ue,, es estt un unee

améli amélior orat atio ion n

se serai raien entt un facteu facteurr impo import rtan antt de croiss croissan ance ce de l’imag l’imagee de marqu marquee de l’ent l’entre repri prise, se, et un

nouvea nou veau u circuit circuit de productio production n gr grâce âce à l’exten l’extension sion du marche marche potent potentiel iel (commer (commerce ce électronique).

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Tableau n° 22 : la répartition de l’échantillon selon l’intérêt des NTIC pour la DRH :

L’intérêt des NTIC pourr la DRH pou Permet aux salaries d’accéderr aux d’accéde informations

 

Facilite la gestion organisationnelle de la mobilité interne

 

 

Le travail collaborateur

 

Total

Effectif

%

3

10%

21

70%

6

20%

30 30

100%

Selon les les enquêtés enquêtés on constate constate que l’intérêt l’intérêt des NTIC pour pour la DRH facilite facilite la ge gesti stion on organ organis isati ation onne nelle lle de la mobili mobilité té in inte terne rne à 7o % co cont ntre re 20% consta constate te qu quee l’intérêt des NTIC est pour le travaille collaboratif, en dernier 10% pensent que les  NTIC permet aux salaries s alaries d’accéder aux informations. i nformations. Cela s’explique s’explique que l’intérêt l’intérêt des NTIC NTIC pour DRH est est à la fois un contexte contexte de réseau rés eaux x interne interne qui qui ouvre ouvre notamm notamment ent la voie voie à la société société et qui contr contribu ibuent ent a une véri vérita tabl blee révol révolut utio ion n

soci socioc ocul ultu ture rell llee

su surt rtou outt

le leur ur appl applic icat atio ion n

da dans ns le cha champ mp

économ éco nomiqu iquee et aux macro organi organisme sme humain humain et aux commerce commerce électron électroniqu iquee sans sans négliger négl iger l’intérêt l’intérêt d’échange d’informati d’information on et de communication communication qui est un travaille de groupe complémentaire .

99

 

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Tableau n° 23: la répartition répartition de l’échantillon l’échantillon selon l’influe l’influence nce des NTIC sur la gestion organisationnelle de l’entreprise :

L’influence des NTIC sur la gestion organisationnelle organisat ionnelle de l’entreprise l’entreprise

Effectif

%

Oui

 

27

90 %

Non

 

3

10 %

Total

 

30

100 %

A la question de savoir l’influence des NTIC sur la gestion organisationnelle de l’entreprise on à 90 % des effectives, qui pensent que les NTIC influence sur la gestion organisationnelle, et seulement 10% qui sont contre. Celaa nous Cel nous amène amène à compre comprendr ndree que les fonctio fonctionna nnaire iress on ontt sentis sentis la valeur  valeur  d’intégration des NTIC dans leur travail. Les effectives confirme à 90% l’influence des NTIC sur la gestion organisationne organisationnelle lle par :    Gagner Gagner de temps temps et moins moins de déplacemen déplacement. t.

Facilite la communicati communication on à l’intérieure l’intérieure et à l’extérieure l’extérieure de l’entreprise. l’entreprise.    Facilite et une meilleure meilleure collaboration collaboration entre l’entreprise l’entreprise et ses clients.

100

 

Chapitre 5

Vérification de l’hypothèse

Vérification de l’hypothèse D’après l’étude de terrain mené au prés de l’entreprise CEVITAL de Bejaia et selo selon n les les ré résu sulta ltats ts ob obte tenu nus, s, sans sans do dout utee l’hy l’hypo poth thèse èse fo form rmul ulée ée pr précé écéde demm mmen entt se confirme. En premier lieu l’introduction des NTIC revêtent une importance primordiale au sein sein de l’ent l’entre repr pris isee et de ce fait fait doive doivent nt être être str strat atég égiq ique ue contri contribu buen entt

da dans ns un unee larg largee mesu mesure re

co cons nsid idér érer er

co comm mmee un

se sect cteu eur  r 

au dé déve velo lopp ppem emen entt éc écon onom omiq ique ue et

sociale,, vue son impacte sociale impacte et son influen influence ce sur le système système de gestion gestion des relations relations et des  pratiques organisationnelle qui sont performent pour l’entreprise puisque il joue un rôle très très impor importan tantt sur sur le rende rendeme ment nt du perso personn nnel el de l’ent l’entrep repris rise, e, et en secon second d lieu lieu il  permettent une meilleure efficience dans la gestion de la production ,la gestion commerciale et dans la gestion des ressource humaines ainsi les nouvelles technologies de l’in l’info forma rmatio tion n et de la co comm mmun unica icatio tion n pe perme rmett de ga gagn gner er de te temp mpss et facili facilite te la communicatio commu nication n que sois à l’intérieure l’intérieure ou à l’extérieure de l’entreprise. l’entreprise. la première hypothèse hypothèse se confirmé par rapport aux person personnels nels interrogés interrogés dont la majorité majori té ont constaté constaté un changement changement dans leur leur travail, ainsi ainsi dans leur rendement rendement après l’utilisation des NTIC, cette dernières influence positivement sur leur chiffre d’affaire avecc un taux de 100% ave 100% , et influence influence sur la gestio gestion n organi organisati sationn onnell ellee de l’entrepri l’entreprise se CEVITAL avec 90 % qui représente le rôle jouer par ces NTIC sur le processus du changement chang ement dans les relations et dans le rendement rendement des fonctionnaires fonctionnaires de l’entreprise. l’entreprise. Au-del Audelàà des différen différentes tes NTIC NTIC que possède possède l’entrepr l’entreprise ise CEVITAL CEVITAL de BEJIA, BEJIA, ains ainsii leur leurss avan avanta tage gess appo apport rten entt aux aux empl employ oyés és et à l’en l’entr trep epri rise se,, la pr prév évis isio ion n de l’intégration l’intég ration es nouvelles nouvelles technologies technologies de l’information et de la communicatio communication n dans les années futures est due à la satisfaction des employés de la quantité et la qualité de ces outils. En plus il faut que les responsables de l’entreprise essayent de procurer toute les conditio ition ns nécessa saiires pour un bon usage de ces outils tils et ce cella néce cess ssit itee incontestabl incon testablement ement une bonne formation formation de l’ensemble l’ensemble du personnel personnel sur les NTIC et leur  fonctionnement. L’analyse et l’interprétation des donnés collecter justifient cette constatation, à

 partir de la nous pouvons déduire les nouvelles technologies de l information et de la 102

 

Chapitre 5

Vérification de l’hypothèse

communication au sein de l’entreprise CEVITAL de Bejaia influencent sur le système de gestion des relations et des pratiques organisationnelle. Enfin nous avons à dire que la majorité des fonctionnaires trouve à l’égard des  NTIC une forte influence sur la gestion des relations et des pratiques organisationnelles qui sont performant pour l’entreprise.

103

 

Conclusion Conclusion

A travers ce sujet nous avons essayé de développer et montrer l’importance des  NTIC en étudiant les domaines sur lesquels ils exerçaient une influence, tant au niveau de l’individu qu’au niveau des entreprises. Issues d’une technologie récente, l’essor des  NTIC a été fulgurant avec des conséquences non négligeables sur le comportement des individus, le dynamisme des économies et des entreprises mais aussi sur le creusement des inégalités au niveau mondial. A ce jour, l’utilisation des ces nouvelles technologies de l’information et de la communication ont séduit bon nombre. On peut s’interroger  cependant sur l’impact des NTIC. En effet, l’impact sur la vie privée, l’organisation mais aussi sur l’emploi l’emploi et les disparités disparités économiques économiques nous orientent orientent sur une société trop dépendante et donc fragilisée. Dans notre ère, les NTIC revêtent une importance au sein de la société. De ce fait, elles doivent être considérées comme un secteur stratégique contribuant dans un large mesure au développement économique et social. En Algér Algérie ie,, l’i l’inv nvest estiss isseme ement nt de ce cess moyen moyenss es estt recon reconnu nu par des gr gran ande dess moyennes entreprises surtout avec le lancement de projet E-Algérie 2013 dont l’un de ces treize axe est de développer les mécanismes et les mesures incitatives permettant l’accès à tout type d’organisation aux équipements et aux réseaux des NTIC, et son investissemen invest issementt dan la troisième génération génération qui à fais sont lancement lancement en Algérie en 2014. En effet, nous avons confirmé que les NTIC existe au niveau de l’entreprise CEVITAL CEVIT AL jouent jouent un rôle très import important ant sur la rentab rentabilit ilitéé de person personnel, nel, comme en souligne l’importance accordée par les employés à ces nouvelles technologies, et cela à  partir du degré de fréquentation à ces derniers et leur usage dans la réalisation des différent taches, vu le climat favorable des relations existantes entre les employés et leurs leu rs respon responsab sabilit ilités, és, ainsi ainsi que la cohésio cohésion n qui existe existe entre entre les différe différent nt servic servicee et département, ce qui facilite le travail collectif en répondant aux et à la dispersion des sour source cess et de dess de desti stina natai taire res, s, à l’actu l’actuali alisat satio ion n de dess in info form rmat atio ions ns,, de plus plus le less NTIC NTIC  permettent la collecte, le traitement et l’accès organise des données et documents de l’entreprise CEVITAL. En autre, nous avons vu comment l’introduction des nouvelles technologies de

l’informatio l’info rmation n et de la communication communication représente représente un enjeu de taille pour l’organisation l’organisation

 

Conclusion de l’entreprise et les formes de travail qui y coexistent. C’est une vraie révolution des ment me ntal alité itéss qu quii s’ s’imp impos osee à CEVI CEVITA TAL L av avec ec de dess no nouv uvell elles es fo form rmes es de mana manage geme ment nt.. L’entreprise doit donc repenser leur organisation, et se reconfigurer pour faire face à de nouveaux comportements et s’intégrer dans un nouveau environnement. On assiste donc à la mise en place des méthodes de veille stratégique qui constitue une véritable vigie  pour l’entreprise. Dans ce contexte le téléphone portable, l’internet, l’intranet, groupware, workflow, se positionnent comme un exemple de ces nouveaux outils dont il  peut disposer l’entreprise pour faire face à ce nouveau environnement concurrentiel et l’impact des NTIC peut induire des changements au niveau de l’organisation du travail au sein de l’entreprise. l’entreprise.

 

Liste bibliographique Les ouvrages : 1.

AUDIGIER Guy, DECAUDIN Jean Marc, communication et publicité, Edition DUNOD,  paris, 1992.

2.

BOULOC Pierre, NTIC : comment en tire profit, 8 eme Edition RIA, Paris, 2003.

3. BOUT BOUTARY ARY Martine, TIC et PME : des usages usages aux stratégie stratégies, s, L’ARMATTAN L’ARMATTAN Edition,  paris, 2003. 4. BITOUZET Christine Christine,, le commerce commerce électronique, hermès scie science nce publication, paris, 1999. 5. BEEK BEEKANDT ANDT Cylvi Cylviee et autre autre,, communi communicatio cationn en sante et action social social,, Ed Nath Nathan, an, Paris, 1999. 6.   BAYLON Christian et MIGNOT Xavier, la communication : les outils et les formes de la communication ; une présentation méthodique et illustrée, 2eme Edition, Nathan.

7. Demont-Lugol Lilaine et aautres, utres, commu communication nication des entreprise stratég stratégies ies et pra pratiques, tiques, 2eme Edition, Armont collin, paris, 2006. 8.   DETRI DETRIE E Philipp Philippee eett BOYE BOYER R Cather Catherine, ine, la comm communicati unication on intern internee au serv service ice de manag management ement ,2 édition liaisons, 2001.

9. LE MOENNE Christian, science sciencess de la société société : la ccommunication ommunication organisationnelle organisationnelle en débat, PUM Edition, Toulouse, Mai/octobre 2000. 10. LIBAERT Thierry, introduction a la communication, DONOD Edition, paris, 2009. 11. MAGAKIAN Jean-Louis, 100 Fiches pour comprendre la stratégie d’entreprise, Bréal édition, paris, 2002. 12. MORTON Michael S. S Michael, l’entreprise compétitive au future : technologie de l’information en transformation de l’organisation, Édition d’organisation, paris, 1995. NGUYEN YEN – THA THANH NH Fannel Fannelly ly,   la com commun municat ication ion une str stratég atégie ie au serv service ice de l’entr l’entrepr eprise ise,, 13. NGU édition, economica, paris, 1991

14. PHILIPPE Gil, formation : NTIC et reengmeering de la formation professionnel, DUNOD Edition, paris, 2000. 15. TREILLE Jean-Michel, Le pilotage opérationnel de l’entreprise, d’organisation Edition,  paris, 2004. 16. Valeriane Eté, Clementine Lepais et Samantha Vachez.  Géopolitique des TIC au Moyen-Orient, Edition L’Harmattan, paris, 2011

17. Westtphalen Marie- Hilene, communicator : le guide de la communication d’entreprise, 3eme Edition, Dunod, Paris, 2001,

 

Liste bibliographique Les ouvrages Méthodologie :

1. ANGERS ANGERS Maur Maurice ice,   Initiation pratique a la méthodologie des sciences humaines, Editionn Casb Editio Casbah ah Unive Université, rsité,

Alger Alger,, 1997

2. AKTO AKTOUF UF Omar, Méthodolo Méthodologie gie des sciences sciences sociale socialess et approche approche quantitative quantitative des organisations,   intro introduc duction tion à la démar démarche che classi classique que et une critiqu critique, e, presse presse de l’université du Québec, 1987. 3. COUVRE COUVREUR UR Aga Agathe the,, LE LEHUE HUEDE DE Fra Franck nck,, Essai Essai de co compa mparai raison son de méthod méthodes es quantitatives et qualitatives, cahier de recherche N ° 176, CREDOC, Paris, 2002, 4. GRAWITZ Ma Madeleine, deleine, Méthode Méthode de dess scien sciences ces so sociales, ciales, 11eme édition, Ed. DALLOZ, Paris, 2001. 5. JAVEAU Claude, l’enquête par questionnaire, 3eme Edition, Parise, 1999, p 29. 6.   SING SINGLY LY De Franç François, ois, L’enqu L’enquête ête et ces méthodes : le questionn questionnaire, aire, 2 eme édition COLIN, Paris, 2005.

Les dictionnair dictionnaires es :

1. DE BOISLAN BOISLANDELL DELL Henr Henrii Mahi, Dicti Dictionna onnaire ire de gestion gestion vocabulair vocabulairee : concept et outil, economica Edition, Paris, 1998. 2. DOTIER Jea Jeann Froncios, Dictionnaire de dess sciences sciences humains, paris 2004. 2004. 3. LAMIZ LAMIZET ET Bernard, SJLEM Ahmed, Ahmed, dictionnair dictionnairee encyclope encyclopedique dique de sciences sciences de l’information et de la communication, communication, Edition Ellipses, Ellipses, paris, 1997. 4. Le pe petit tit Lar Larouss ousse, e, illustre, illustre, 2001 2001..

Les documents électroniques : 1. BOULC Stephan, Donnée information communication tentative de définition, COTA

édition, 2005. Jeudi 20/03/2014 à 17h17 http://www.cota.be/download/fo-com/Donne...entative http://www.cota.be/downloa d/fo-com/Donne...entative_de_definitions.pd _de_definitions.pd 2. BOUH BOUHENNA ENNA Ali, Les enjeux des NTIC dans l’entr l’entreprise eprise,, Université Université de Tlemcen, Tlemcen, fseg.univ-tlemcen.dz/.../Microsoft%20Word%20-%20Ali%20BOUHENNA Ali...Mardi 25/02/2014 à 20h50 3. BENG BENGHOZI HOZI P Pierre ierre-Jea -Jeann et P Patric atrick  k ,  L'organisation de la production et de la décision face aux TIC, brousseau.info, 1999. http://brousseau.info/pdf/tic_plan/TICOPEChap2.PD http://brousseau.info/pd f/tic_plan/TICOPEChap2.PDF. F. Mardi 15/04/2014 à 10h33.

 

Liste bibliographique 4. CROS CROSTE TE Em Emma manu nuel el,, Util Utilis isat atio ionn de l’in l’inte tern rnet et da dans ns le ca cadr dree de l’ l’ex exer erci cice ce  professionnel, Thèse pour l’obtention du diplôme d’état de docteur en médecine, Université Bordeaux, Le 14 février 2005. Samedi 15/02/2014 à 13h16 http://www.medicalistes.org/spip/IMG/pdf/Internet-Medecine-Generale.pdf. 5. CADIAT CADIAT Ann Anne-C e-Chri hristi stine, ne, DE MOERLO MOERLOOSE OSE Cha Chanta ntal,l, l’impa l’impact ct d’inte d’interne rnett sur la gestion de la relation client, Université Catholique de Louvain-la-Neuve, Belgique, 2000, DOC. Lundi 13/01/2014 à 14h30 http://app.iemn-iae.univ-nantes.fr/emark...ket20 http://app.iemn-iae.univ-na ntes.fr/emark...ket2002/articles/cadiat.doc 02/articles/cadiat.doc.. 6. KLEIN Tristan, RATIER Daniel, L’impact des TIC sur le less conditions de travail, centre d’analyse stratégique, Direction générale Du travail, France, Février 2012. www.strategie.gouv.fr/.../raptic _web_light_final28022  _web_light_final28022012.pdf.pdf_0.PD 012.pdf.pdf_0.PDF F . JJeudi eudi 20/03/2014, à 17h29 7. M. S. Boud Boudje jebb bbou our, r, Le Less Proj Projet etss NT NTIC IC:: so sour urce ce de pe perf rform orman ance ce de l'l'en entre trepr pris ise, e, icle_7-2.pdf  CER1ST,  Ben Aknoun, Alger, Algérie,   www.webreview.dz/IMG/pdf/ar  www.webreview.dz/IMG/pdf/ar ttic 15/12/2013 à 15h30

8. Les TIC eett la croissanc croissancee économique économique,, panorama des industries ddes es entreprises et des  pays L’organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), EDITION OCDE, France, France, Parise, 2003, PDF. Merc Mercredi redi 22/01/2014 à 118h42. 8h42. 9. SAINT-ETIENNE Christian, l’impacte d’internet sur l’économie française : comment l’internet

transforme

notre

pays,

France,

mars

2011,

PDF.

http://www.economie.gouv.fr/files/rapport-mckinsey http://www.economie.g ouv.fr/files/rapport-mckinsey-company.pdf.ven -company.pdf.vendredi dredi 11/04/2014, 18h25. 10. Rôle des TIC dans un système intègre d’information et d’orientation, Document  préparé pour un examen des politiques concernant les services d’information, d’orientation et de de conseil, OECD Edition, Novembre 20 2001 01. http://www.oecd.org/fr/edu/recherche/2698242 http://www.oecd.org /fr/edu/recherche/2698242.pdf. .pdf. Lundi 12/05/2014 à 12h57. Les sites internet :

1. Htt://www.lexique-l’ADN/les nouvelles TECHNOLOGIE d’ic/communication-interne, 50.html. samedi 21/12/2013, 15 :47h 2. Http://www.revue-hermes-la-re Http://www.revue-hermes-la-revue-2006-1-page vue-2006-1-page 57_fichiers/Système-l‘information fishier/191462.html. samedi 21/12/2013, 16 :03h

3. Http:// Http://maste master.firs r.first-foru t-forum.com m.com/t173/t173-topic topic. dimnche 05/01/2014, 18:07h

 

Liste bibliographique 4. Http://www.olats.org/schoffe Http://www.olats.org/schoffer/deftech.htm r/deftech.htm. jeudi 13/03/2014, 10:00h 5. Http://www.unige.ch Http://www.unige.ch/fapse/pegei/Methodolog /fapse/pegei/Methodologie/plan/hypothese ie/plan/hypothese.html .html.mardi 15/04/2014, 14:38h 6. Http:// D Définit éfinition ion de dess TIC-Les TIC-Les tec technolo hnologie gie de de l’info l’informatio rmationn et de COMMUNICATION/deacutefinition-des-tic.html. COMMUNICATION/deac utefinition-des-tic.html. mardi, 15/04/2014, 15 :00h 7. file:///E:/circulation.php.htm. dimanche, 04/05/2014, 20h 8. Downloads/Que Downloads/Quest-ce-que-la-communic st-ce-que-la-communication-organisationnelle-208 ation-organisationnelle-20899.htm 99.htm

 

R épub ubliliq que algé lg ér i enne démocrat cratii que et populair ulaire e  Mi nist nistè ère de l’e l’ens nse eig igne nem ment su sup péri eur et de la rec reche herche rchesc scii ent ntii fiq fi que F aculté culté des le letttre tress et des sci sci ence ncess hum huma ai ne ness UniversitéA.MiradeBejaia D épar te tem ment de : soci soci ologi logie e Optti on : so Op sociolo ciologi gi e de trav trava ai l et des r esso ssour urce cess hum huma ai ne ness

 Sous  So us le thèm hème : « Les nouvelles nouvelles techno technologies logies de l’inf l’information ormation et de la communication et leur impact sur l’organisation de l’entreprise »

E TE DE DE CAS : E nterpris rprise e de CE VI TAL

Préparé par:

Melle ROUHA Samira

Encadrer par :

Mer BARKA Cherif 

Melle SEHILA Nawal

Ce questionnaire sera exploité dans le cadre de notre mémoire qui s’intitule les nouvelles technologies de l’information et de la communication et leur impact sur l’organisation l’organisation de l’entreprise. l’entreprise. Pour l’obtention l’obtention de notre diplôme de fin d’étude en sociologie option sociologie de travail et des ressources humaines.

Il à pour objectif d’évaluer la progression et l’impacte de l’usage des nouvelles technologies de l’information et de la communication dans l’entreprise CEVITAL.vos réponses à ce questionnaire permettent de recueillir des points de repères important qui nous aiderons à compléter notre recherche et répondre à notre problematique.la qualité de vos réponses et donc un élément essentiel à la réussite de cette enquête.

 

Axe I - Question d’ordre personnel 1. Sexe Masculin

féminin

18-27 ans

28-37ans

2.âge

38-47ans

47 ans ou plus

3. Niveau d’instruction Primaire

moyen

Secondaire

universitaire

4. catégorie professionnelle Cadre

agent de maitrise

agent d’exécution

5. Expérience professionnelle 1-2ans

3-4ans

5ans ou plus

Axe II : Les outils des NTIC utilisent dans l’entreprise 66- Connaissez-vous  Connaissez-vous la signification des NTIC ? Oui

Non

7- connaissez-vous connaissez-vous l’utilisation de l’outil informatique ? Oui

Non

8-est ce que vous utilisez des outils informatiqu informatiques es dans votre travail ? Oui

Non

9- D'après vous quelle quelle sont les outils les plus efficaces efficaces ? Micro bureau Ordinateur portable

Tous ces types

 

1010- Avez-vous- un accès à l’internet l’internet dans votre micro -ordinateur ou micro portable? Oui

Non

1111- Dans le cas –oui- via une connexion à : Internet fixe (connexion fil) Mobile ou sans fil (wifi) Les deux

12 12 - Que pensez-vous de la vitesse de la connexion et du transfert d’information sur  internet? Satisfaisante

Lente

Très lente

1313- Quel Quel es estt po pour ur vo vous us l’obj l’objec ecti tiff d’un d’un site site pe pers rson onna nalis lisee de vo votr tree en entr trep epri rise se ? Justifier ? ………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………… ……………………………………………… ……………………… …………………………. …. . 14-est 14-est ce que vous êtes êtes recruté par un site web web de l’entreprise ? Oui

Non

15 -  Quel moyen moyen de communication communication utilisez-vous utilisez-vous le plus souvent ? Téléphone fixe

Téléphone mobile

Tous ces moyens 16-Utilisez 16-Utilisez –vous –vous l’intranet l’intranet à l’intérieure l’intérieure de votre entreprise ? Oui

Non

Axee III. Ax III. L’orga L’organis nisati ation on de l’entr l’entrepr eprise ise par le moyen moyen NT NTIC IC 17- Comm 17 Comment ent votre client tient au courant de votre nouv nouveau eau produit ? Panneaux publicitaire

Exposition

Publicité sur internet

Télévision

Tous ces moyens

E-mail

 

18 18 - Par quel outil seriez-vous informe ? Appel téléphonique Message par internet (MSN, Yahoo, E-mail) Affichage sur un site local de votre entreprise (intranet) Conférence ou réunions Tous ces moyens

19. 19. Les réunions entre les responsables ou cadres dans votre entreprise s’effectuent  par ? Contact direct (présence dans la salle des réunions) Par le moyen de l’audio –visuel (vision conférence). Les deux

2020- vo votre tre en entr trep epri rise se empl emploi oiee tell tell du pe pers rson onne nell sp spéc écia ialis liséé da dans ns le do doma maine ine de dess technologies de l’information et de la communication (spécialiste en TIC) ? Oui

Non

2121- des formatio formations ns ont –elles –elles été organis organisée éess pour déve dévelop loppe perr ou compéten com pétences ces dans le domaine domaine des des NTIC NTIC ? Oui

am améli éliore orerr les

Non

2222- Quel sont les catégories catégories les plus concer concerne ne par cette formation? formation? Cadre

agent de maitrise

les deux

23-Quel 23-Quel sont les effets effets des NTIC sur l’organisation l’organisation de votre entreprise ? - Créent une motivation entre les salaries - Diminuée les conflits au travail

- gangue de temps temps dans les transmissions transmissions d’informations

 

2424- Pensez-vous Pensez-vous que l’utilisation des NTIC à un impacte sur votre chiffre d’affaire? Oui

Non

25 25 - Quel est l’intérêt des NTIC pour la DRH? - Permet à chaque salaries d’accéder aux informations qui lui concerne. - Facilite la gestion organisationnelle de la mobilité interne. - Le travail collaboratif.

2626- est ce que les NTIC influence sur la gestion organisationnelle de votre entreprise ?

Oui

Non

 

BROCHU

E D’ ACCUEIL

CEVI AL FOOD

 

VFFFEGF

Introduction

 

Chapitre 1 : Le cadre méthodologique

 

La partie théorique

 

Chapitre 2 : Les NT de l’information et de la communication

 

Chapitre 3 : Les apports des NTIC dans l’entreprise

 

Chapitre 4 : L’impact des NTIC sur  l’entreprise

 

La partie pratique

 

Chapitre 5 : 1-La présentation de l’organisme et l’analyse et l’interprétation des résultats

 

1- Présentation de l’organisme

 

2- l’analyse et L’interprétation des résultats

 

La Liste bibliographique

 

Conclusion

 

Les annexes