Les Théories Des Cercles Vicieux de La Bureaucratie
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Les théories des cercles vicieux de la Bureaucratie. Ce document résume de manière très synthétique les différentes théo...
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Les théories théorie s des cercles vicieux de la bureaucratie bureaucr atie : Dans le langage courant, quand on parle de bureaucratie, on caractérise une organisation qui a tendance à mal fonctionner. Cela Cela s’applique à des entreprises et à des administrations. Le mot bureaucratie fut inventé sous la révolution française pour dénoncer les abus de pouvoirs des comités révolutionnaires. La première bureaucratie moderne fut mise en place dans la Prusse au !è siècle. "u départ de la sociologie des organisations, #a$ %eber étudie le p&énomène bureaucratique en considérant la bureaucratie comme un instrument de rationalité 'manière de pensée fondée sur la raison et la logique(. " partir des années )*, les sociologues américains tels que #erton, +ouldner, Croier, -elnic s’intéresse au$ effets de la bureaucratie. Contexte Context e historique histori que :
/in du 0è siècle et début du !è siècle, cette période a été marqué par 1 • • • • • • •
L’émergence L’émergence du Capitalisme et la constitution des classes ouvrières et leurs premières luttes. l uttes. Le D2P de la pensée #ar$iste Les révolutions scientifiques et tec&nologiques Les mvt de colonisation La crise de 030 Les deu$ guerres mondiales La propagation des idéologies notamment le fascisme 'régime autoritaire(
Max Weber Weber et la Bureaucratie Bureaucratie Wébérienne : 4l distingue entre 5 t6pes de légitimité. Pour lui la légitimité la plus efficace est la légitimité légale 'acceptée par tout le monde, on doit l’accepter comme un 7uge( et rationnelle 'on 7uge qu’on s’est servis de notre cerveau pour mettre en 8uvre l’ensemble des règles(. 9n ne peut comprendre ce qui se passe à l’intérieur d’un groupe de personne qu’à travers 1
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La logique scientifique 1 c&erc&er à comprendre les raisons qui ont poussé un individu à agir de telle ou telle manière ainsi que les conséquences de son action. Pour anal6ser les actions sociales, #a$ %eber va construire une représentation de la réalité, une image, une façon de la concevoi concevoirr afin afin de pouvoir pouvoir élaborer élaborer des &6pot&èse &6pot&èsess et de les compare comparerr à cette cette réalité. réalité. 9n appelle appelle cela un : idéalt6pe ; les et non entre individus. I 4ntériorisation des règles de l’organisation au point quGelles apparaissent comme des fins en soi et non plus des mo6ens dGatteindre des fins, c’est ce que #erton a appelé 'J déplacement des buts’’( I "ugmentation de l’utilisation des catégories comme tec&nique de prise de décision 1 La bureaucratie contribue à créer des catégories privilégiées en raison du niveau d’étude de plus en plus nécessaire pour entrer dans l’administration. Cela donne lieu à 5 d6sfonctions ma7eures Rigidité des conduites des exécutants 1 Kui leur interdit de répondre au$ e$igences concrètes de leur tc&es dGoM, finalement, une très grande inefficacité dans l a poursuite des buts officiellement rec&erc&és. Possibilités de défense de l'activité individuelle 1 la régularité est le gérant de stabilité de la pace de c&aque individu au sein de la société. Déplacement des buts une 3è fois, puisque l’ob7ectif devient la défense en cas d’abus d’autorité, et non la réalisation des ob7ectifs de la société. 4nsatisfaction des clients 1 L’observance des règles accentue le caractère impersonnel des rapports entre la bureaucratie et la clientèle. Cette dernière a souvent l’impression d’?tre mal servie, d’?tre considérée comme autant de numéros Netc. Cet auteur fournit deu$ contributions ma7eures 1
D’abord il propose la notion de fonctions : manifestes ; et de fonctions : latentes ;. Les fonctions : manifestes ; correspond à un effet bénéfique qui est consciemment rec&erc&é par les acteurs sociau$, tandis que les fonctions : latentes ; sont des conséquences non prévues ou inattendues de l’action. 4l préconise que lus les bureaucraties se rapproc&ent de l’idéalt6pe Fébérien plus des conséquences non prévues 'fonctions latentes(, sous forme de d6sfonctions, paral6sent l’activité de l’organisation.
Le modèle de ouldner : Les travau$ de +ouldner s’articulent autour de la bureaucratisation et la règle. 4l étudie une entreprise de production de pltre oM l’on a instauré un nouveau s6stème basé sur la rationalité et l’idéal t6pe Fébérien qui a remplacé un ancien s6stème reposant sur une relation de confiance de t6pe paternaliste.
Ancien système 1 Le directeur entretient avec son personnel des relations sociales en de&ors de l’entreprise
"pres la mort de l’ancien directeur
Nouveau système 1 le ' ici la délégation ( produit une cascade de conséquences imprévues.
Il va étudier la délégation de l’autorité tout au long de l’échelle hiérarchique d’une une agence gouvernementale, la Tenesse Valley Authority: les supérieurs délèguent des compétences à leurs suordonnés les plus compétents, con!ormément d’ailleurs au" théories de #$%$&' (ormalement, les compétences devraient )tre par!aitement réparties' *r, chaque spécialiste a tendance à ne percevoir que ses intér)ts propres et oulier les +nalités communes de l’organisation' Il y a de plus en plus de conits entre des spécialistes diérents, ce qui se traduit par des écarts de plus en plus importants entre les o.ecti!s initiau" et les o.ecti!s redé+nis par ces spécialistes, ce qui olige à une délégation supérieure de compétences, puisque ces spécialistes sont les seuls capales de pouvoir régler les prolèmes qu’ils ont eu"-m)mes dé+nis' /$01(I23 conseille alors au" dirigeants, pour éviter ces dys!onctionnements :
4e s’assurer que la motivation des agents co5ncide avec les uts de l’ensemle de l’organisation' 46entretenir des relations équilirées avec l’environnement'
$t pour cela, il suggère de !aire participer au" décisions, aussi ien les e"perts, que les représentants des intér)ts concernés par l6administration'
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