Le Solfege (Mlle Pincherle)

March 19, 2017 | Author: asroba | Category: N/A
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Le Solfege (Mlle Pincherle)...

Description

&Jt UtUOTHàftUt BU Journal

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(0

(D

is.

Par un moyen

fort simple qui consiste

mdiquant la mesure simple par Ex.

l'expression fractionnaire -

:

4

Questionnaire. l'indication

à,



mettre au

65-65

hig.

Quelle

commencement de

— ^ 3o _ .

est .a

portée lorsque la blanche n'a plus que la valeur d'une noire? 66. Les mesures composées



à multiplier

la fraction

„•

6 ^s"



correspondent^elles à des mesures simples? 67-67 bis. Comment peut-on reconnaître la mesure composée correspondante d'une mesure simple et quel est le moyen pratique à tmployer?

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

22

Mesures simples ou binaires.

im.

3^3 4*2

Mesures composées ou ter-

\

correspon-

i

dantes obtenues en

\

68.

naires

multipliant

E

4 y 3 4*2

î 3 w 8*2 t»

S ^

S

l'expression

fractionnaire

^

par chacune des indications

des mesures simples. 69. Quelles sont les principales

mesures composées?

Les principales mesures composées sont

La mesure à composée de

six-huit

La mesure

sur laquelle on compte deux temps et qui est

(g)

six huitièmes

à neuf-huit

:

de ronde ou six croches;

U

j

sur laquelle on compte trois temps et qui est

composée de neuf huitièmes de ronde ou neuf croches.

La mesure

à douze-huit

/12\ (

^-

)

sur laquelle on compte quatre temps et

qui est composée de douze huitièmes de ronde ou douze croches.

Ex.

2 temps par mesure.

:

^ 3

É^

wz:

temps par mesure.

#

m m m

t/

^

4 temps par mesure.

mmmfêmmmmmm W

70.

Observation.

— La mesure à

>.0

o g,

malgré sa physionomie analogue

dans son indication aux mesures composées ou ternaires, est une mesure binaire ou simple (voir page 18). Chacun de ses trois temps se compose d'un huitième de ronde ou croche valant deux doubles croches et non trois.

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

Comment doit-on battre Ici mesure? Nota. La mesure étant une des



étant une

toute importance de

mettre

solfier,

une espèce de balancier

Le premier temps d'une mesure .

Comment se

la

et ce dernier

musique,

il

est

de

aux élèves à battre nettement la divisions à l'aide de la main, afm

les

(1).

est toujours frappé et le dernier levé.

battent les différentes

Mesure à 2 temps.

à 3 temps.

2? temps

3? temps

mesures ?

Mesure

Mesure à 4 temps. A^.

>2f temps 1^.''

de

de chanter, de jouer en mesure. Aussi doit-on

mesure, c'est-à-dire à en marquer

71

du rythme

même

plus grand soin à apprendre

le

d'établir

parties

des lois essentielles, naturelles

23

temps

temps

î^^èmps

•-^

1®.''

l^''temps

3? temps

temps

GAMMES 73. Qu'est-ce

qu'une

gamme?

une série de sons ou de degrés qui se succèdent et qui sont disposés par mouvement conjoint (2). 74.

C'est

Questionnaire.

— 66.

Quelle est la mesure

composée correspondant à la mesure simple -

ou^

.3

68. Quelle est la mesure composée correspondant î

à

la

mesure simple - ? o

o

-

68.

-?

— 69.

principales mesures composées?

remarque convient-il de

Quelles sont les



70.

Quelle 3

mesure à - ? o 71. Comment se battent les différentes mesures? 72. Quelle est la meilleure manière de battre la mesure? 73. Qu'est-ce que Ja faire sur la



68.

68.

-îouC?

— — gamme? — 74. Qu'appelle-t-on mouvement conjoint? — 75. Que mot conjoint? signifie le

(1) 72. Battre la mesure mentalement est préférable. C'est ce que font bon nombre d'instrumentistes, les pianistes, par exemple; la battre avec le pied est disgracieux. (2) 75. Sons qui se succèdent suivant l'ordre de la gamme en passant d'un degré quelconque à un autre degré immédiatement supérieur ou immédiatement Inférieur comme

dOt ré,

ou

si,

la.

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

24

76. Quelle est la

n-lS. La

comprend répète

le

gamme type?

gamme type

sept sons

:

est la

gamme

de do qui un huitième, do, qui (1)

premier.

Mouvement

conjoint

ascendant.

80.

diatonique majeure

do, ré, mi, fa, sol, la, si, et

80 ^^s.

descendant.

i

4- é ^

#'

Mouvement

^

disjoint

ascendant.

81

^is

descendant.

m

il

m

j

Gamme

en DO (type).

o

^- xr

-^ Xi:

-o-

3a:

o -o- 3X

r Voir encore ^ page 29.

8« son, répétition de

la tonique.

DEGRÉS 82. Qu'appelle-t-on degrés ?

On appelle degrés les sons quiïorment la gamme. 83.

Comment s'appelle le premier degré d'une gamme?

84.

Le premier degré d'une gamme quelconque

(1) 79.

la

s'appelle tonique;

Diatonique signifie par ton. Cette gamme est ainsi désignée par opposition avec les sons se succèdent par demi-tons et appelée chromatique.

gamme où

AUX BREVETS DE CAPACITÉ

LE SOLFÈGE

85.

Et

le

25

septième s'appelle noie sensible^ ou simplement sensible^

c'est-

à-dire qui fait pressentir la tonique; 86.

La cinquième s'appelle dominante;

87.

Entre

dominante^

la tonique et la

il

y a

le

troisième degré ou troi-

sième note appelée médiante. 88.

La réunion de

la tonique,

de

la

médiante et de la dominante forme

ce qu'on appelle Vaccord parfait.

Ex.

Accord parfait majeur,

:

tonique.

médiante.

dominante.

-O-

^

I

accord parfait.

E^

quinte jiâst^

Ex.:

Accord parfait mineur.

31



xï:

1

quinte juste L'accord parfait mineur se différencie de l'accord parfait majeur par sa tierce qui est mineure, c'est-à-dire ayant un intervalle d'un ton et demi,

majeure de l'accord parfait majeur a un intervalle de deux tonSy soit entre les deux accords une différence d'un demi-ton. Dans l'un comme dans l'autre cas la quinte est juste. alors

que

la tierce



gamme — Qu'est-ce que76. gamme diatonique? — 78. De77. combien de sons gamme type composée? — Toute gamme diatonique autre que composée du m?me nombre gamme type de sons? — 79. Que mot diatonique? — 80. Qu'appelle-t-on mouvement conjoint cendant? — 80 Qu'appelle-t-on mouvement conjoint descendant? — sl. Qu'appelle-t-on mouvement disjoint ascendant? — 81 Qu'appelle-t-on mouvement disjoint descendant? — 82. Qu'appellc-t-on degrés? — 83-84. Qu'est-ce qse tonique! — 85. Qu'est-ce que note sen» — 86. Qu'est-ce ou simplement Questionnaire.

type?

Quelle est la

la

cst-ello

la

la

est-elle

signifie le

as-

bis.

bis.

la

stble

la

sensible f



87. Qu'est-ce que la m^Qu'appelle-t-on accord parfait* 80. Ecrivez en clef de sol et en Devoirs. rondes, avec indication de la mesure à la clef 1° une gamme ascendante par mouvement conZQbis. 2° une joint commençant par do (grave). gamme descendante par mouvement conjoint commençant par rfo (médium. 3* interligne). 88. Ecrivez sur la portée en rondes et en clef de sol 1° la 3° la do2° la médiante, tonique (do grave), Même exercice que le précédent; 1° la minante. tonique étant fa {V* interligne), 2° la tonique étant sol (2* ligne). Dites en outre ce que constitue chacun des exercicos précédents.

que

la

diantef

dominante?

— 88.



:









— —

:

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

26

89.

D'où

les

autres degrés tirent-ils leur

Les autres degrés tirent leur nom de port à la tonique et à la dominante. 90. l«r

Ex.

la place qu'ils

2"

degré.

3'

degré.

4'

degré.

Médiante.

Sous-dominante.

Ty

^^-

XE

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Dominante.

Sus-dominante,

degré. Sensible ou sous-tonique,

^

3X

-e-



degré.

91.

degré.

Sus-tonique.

7*



occupent par rap-

:

Tonique.

i

nom?

degré.

Chaque son peut

8'

degré ou octave. Répétition de la tonique.

Tl"

être la première note, le premier d«gré d'une

gamme semblable à celle de do, 92. Quelle

remarque y

a-t-il

La gamme diatonique

à faire sur

la

gamme diatonique? une autre se partage en

prise d'une octave à

deux moitiés semblables. l^e

à^ 93.

Chacune de

2« moitié.

moitié.

-©- 1% 3

2

4

5

6

o

*^

7

8

-

ces moitiés est formée de quatre sons et se

tétracorde. {Voir diU Lexique.)

»^ 94.

o

o

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tJ

i

xs:

1'^

(1)

Pour

le

o p

tétracorde.

;S

s

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-^ ÎT -O-

2 » 33L (1)

2''

tétracorde.

tableau des tétracordes, voir pages 32 et 33.

nomme

LE SOLFÈGE

.UX BREVETS DE CAPACITÉ

2V

former une nouvelle gamme en prenant pour tonique une do? On peut former une nouvelle gamme en prenant pour tonique une autre note que do^ pourvu que les notes formant cette nouvelle gamme soient disposées de môme que les notes de la gamme de do^ c'est-à-dire que le premier demi-ton soit placé du troisième au quatrième degré et le second du septième au huitième degré (1). Le chant de la nouvelle gamme est le même que celui de la gamme de (/o. 95. Peut-on

autre note que

Ex.

le

ai

w

•^

•» -Q.

CL

U3

Of Q.

O.

O.

M •»

00' ^

Q_

OL,

CD

La note /a est élevée d'un 1/2 ton pour conserver entre elle et la note qui la suit l'inlervalle caractéristique que présentela gamme de do.

Les notes /a, d», soi sont élevées d'un 1 /2ton pour conserver entre elles et la note qui les suit l'intervalle caractéristique que présente la

gamme

de do.

La note si est baissée 12 ton pour con-

d'un

server entre elle et la note qui la suit l'intervallecaractéristlqueque présente la gamme de do.

Les notes si, mi sont baissées d'un 1,2 ton pour conserver entre elles et la note qui le^suit l'intervalle caractéristique que présente la

gamme



Questionnaire. 89. D'où les autres degrés tirent-ils leur nom? 90. Qu'est-ce que la su8-toniqueî \?i sou«-doininantef la sns-domi' fiante? Ia sous-tonique? 91. Ne peut-il y avoir



— —

— que tonique? — Chaque son no«e do qui peut-il être première note, premier degré d'une gamme :;emblable à de — 9 1-95. Peut-on former une nouvelle gamme diatonique majeure avo» une autre note que do comme tonique? — 92. Quelle remarque y sur gamme diatonique? — 93. Qu'appelle-t-on tétracorde? —



soit

la

la

le

celle

do.'

le

a-t-il



iV

faire

la

94. Où se trouve le demi-ton dans chacun des tétracordes d'une gamme? Devoirs. 90. Ecrivez en rondes et en clef de sol, en commençant par do (grave), toutes les notes de la gamme; indiquez ensuite au-dessus de chacune d'elles le degré qu'elles occupent dans l'échelle musicale; 2



j

I

ton.

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ton. I

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I

dsgré 8^ degré 1/2 ton. 1

ton.

|

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

TABLI^AU DES TÉTRAGORDES

33

(suite)

Génération des bémols. Tétracorde supérieur.

Tétracorde inférieur. !•'

2« degré

degré

1

3« degré

I

ton.

I

ton.

ton.

1

degré 1/2 ton.





degré ton.

1

I



degré ton.

I

I



degré ton.

1

|

degré 1/2 ton.



JGXHOlS

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

34

121. Qii'appelle-t-on notes enharmoniques?

Les notes enharmoniques sont celles qui ont une intonation à peu près semblable tout en ayant des noms différents; ainsi dor( et ré b, faUf et sol b sont des notes enharmoniques (*). 122. Par conséqneniV enharmonie est

le

passage d'une note à une autre

note qui est sa synonyme.

Ex.

:

P^

FaH

Ml naturel etFAi?

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SOltf etLAl>

etSOLl?

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SI

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INTERVALLES 124. Qa'appelle-t-on intervalle?

On

appelle intervalle la distance d'un son à

125. }\

Combien y

y a deux

Les 2° Les i

a-t-il

un

autre.

de sortes d'intervalles?

sortes d'intervalles

:

intervalles simples; intervalles redoublés

ou composés.

126. Qu'appelle-t'on intervalles simples?

On

appelle intervalles simples ceux qui ne dépassent pas huit degrés,

c est-à-dire Yociave.



(•k) Remarque. Théoriquement, \Q&on n'est pas le même pour deux notes enharmoniques; cependant, la différence qui existe, le comma. (1), est inappréciable pour l'oreille. Cette différence n'existe pas dans les instruments à sons fixes, tels que l'orgue, le piano, la flûte, le piston et tous les instruments à clefs.

(1)

123.

Le comma (du grec

division) est

un

intervalle d'un neuvième de ton.

LE SOLFÈGE AUX BKEVETS DE CAPACITÉ

35

127. L'intervalle qui sert de point de départ est celui d*un seul degré

ou unisson (1). Les intervalles simples sont 128.

129. grés)

La

(1

seconde

degré)

(2

;

de-

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;

30.

1

U unisson

:

La

tierce (3 degrés)

;

-o-

131. LagMar/e(4degrés);

XE

•^ 132.

La quinle (5 degrés)

;

-^

133.

134.

La

sixte (6 degrés);

La

septième (7 de-



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1

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XE

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grés);

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LE SOLFÈGE Al>X BREVETS DE CAPACITÉ

167.

La gamme mineure ancienne

41

ne se distinguait- elle pas de la

gamme

mineure actuelle?

Au

tons et de demi-tons les 2e et 3«, 5® et 6^

Tous

les airs

degrés; mais la sensible n'existait pas.

de cette époque ont ce caractère spécial. 2"

l«f

Degrés.

Iton.

cl

gamme mineure comptait le même nombre de que la gamme majeure. Ceux-ci étaient placés entre

seizième siècle, la



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majeur). 19 à 21.

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7z

^

AUX BREVETS DE CAPACITÉ

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i

-^

(relatif

Un DIÊSÈ .^-ii jJir'rfrrii'r i

i

JT]

peu a peu,

Exercices en MI mineur

73

m

^

i=i

de

SOL

^

S

majeur).

y^ O- 2± o

'o

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

D.M.

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85

,,Andante 60=J

^

i

74 7^3B

5

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D.M

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75 •J

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morefido.

J

76 ./

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LE SOLFÈr.E AUX BREVETS DE CAPACITÉ

86

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poco a poco.

Exercices en

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majeur.

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Deux DIÈSES

2Z

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II

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Allegro.

79



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116

^

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i

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LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

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F D. M.

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Andantino.

80 A^V-#-r

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87

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ï=ï

riïard.

^

LE SOLFKGE AUX BREVETS DE CAPACITE

88

m

Allegretto. 100 = J

D.M.

I

81

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Menuet.

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LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

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83

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pppir' i^'P'pirl'pppiPrP %

nyr^ lï^^^w^^

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ri (a ni.

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITE

90

Lento. 54 rJ bien rythmé.

I

1

84

A

A

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85

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D.M. i

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LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITE

91

trt^^-XTP Exercices en SI mineur (relatif de

^ A

D. M.

87

^1

a

majeur).

Deux DIÈSES

Absence de

86



HT

i

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la i

note sensible.



i

Jj-'jjj-JlJTJiJpjjJTJ^J'S

I

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1

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109

LE SOLFEGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

¥^ m^ m #^ff# f'^in\\^\ f^lJTT^.^^ ^J^^-^ ^ m ^ m

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perdendosi.^^/r^^ perdant)

SPÉCIAL AU BREVET SUPÉRIEUR Clef de FA Exemple.

S

128 Notess de la clef de Sol

,

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136

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LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITE

,« ^ D. M.

137

Mouvt de A

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113

Valse,

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LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

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Moderato. 72rJ

D.M.

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139



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D.M.

N° 78)

(Voir

Lento. 62 rJ

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140

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LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

% Andantino

D.M.

7o=J

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I

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LE SOLFÈGK AUX BREVETS DE CAPACITÉ

116

i

i^

D.M.

143

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i

Lento. 52 = J a.

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Moderato.

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Lt SOLFEGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

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f

T7"

LE SOLFÈGE AUX BREVETS

118

DE CAPACITÉ

LE TAMBOURIN Paroles de Emile

ANDRE

(Fragment

(•)

RAMEAU (1683-1764)

Musique de

Français

^

Allegro.

k

^s.

é é

d

J^

c'est la fa-ran-do-le Vive et

^^m -rin Dit

^^ J) Ji i^

fol - le,Doiit le

rr ?">jijjij^ i i

i

re-frain.

le

Lamu-settey

tambou-

ï^

me -le Sa voix

k

i ^HJ

pp r'ipppp

Jj^J'ii^^^r^pc

i

Et de

frê -le, Fil-les et gar-çons Galopons et val-sons!

ih

jJiJ f

-chère

A

ji^J

la clai

-

j

rie-re,

p

la ja-

Dp ir-J^

p

Et de la ri-vière

A

la

iM^^'^\m}\mt\^T\ -yè-re Ah!

Ah!

Ah'

Ah!

Ah!

^^|ajjii^)jiji^ -ra!

i

J

Lajoy-euse fou- le se dé

-

III

Ah! L'on saute-

rou-le Comme uniongser-

1:

V^=^

r^^Jr

n-f iJ-.Ji^

-peiitRam-paat,Grim-pant, Et ^*T.*< morct'au «st

Mqut;, !^,

Rue^d

reprduit par autorisation spécial«

Hautefille.

la

dt» la

I

bru-

^^

le

i

danse

maiw)!)

pas-se

JGCBERT,

d

é Dans

edilnur

d^

les-

mu-

AUX BRKVETS DE CAPACITÉ

LE SOLFËGE

119

pa-ce Ainsi que lé -clair, que le-clairQui fend

ARMIDE OPÉRA

QUINAULT

Poésie de

K

l'air.

(Fragment/*^

(1777 )Air de la Naïade Mflsique de

1635-1688)

GLUCK (1714-1787)

Allemand

Andante.

On

m

J -vel

s'é-ton-nerait

jivv.'Mr -

W^' ^' et

Re

le

^S

vînt sans

-

^^ les

ner

-

Re

phyrs,

-

fleurs

les

U^^

p

|

-

P^

iQ

J)77J-' zé

sai-sonnou-

la

'^=*=i

me

a-

vînt sans

a

-

-^

.-X



-ner

que

w=^

-0-

les

moins

fleurs



les

et

-

Que de

phyrs,

M ^ ^ f pr pp g M ^P^^^^ iF

de nos

ans

la

sai-son la plus bel

(•)/

C»*

les

JeuA

et

mi)rct»«u •si reproduit p.ir HutoriRation sp^'oiilr

25,RuH

-

le

XIÏ

fr—t^

Mijue,

i

i

k

Sans

j—_^.

i

V

voir

me

d'Haule»ille

sans

d»-

1

1

les

niHison

plai

-

sirs

JOLB^EKr, éditeur dn

rnu

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

120

k s 11 tt=ê

ns

N.

-ta

I***!

iï gi

—r

III J

que

vient

trop

temps

ne

il

ne

B ^^ K

V

I



temps

son

r"'^ *

I

g

<

La

sa - gesse

êw=^

il

jeu-nesse en par-

la

^^^W

tôt

^

Lais-

IJ^Ji^kJ'

>

La sa -gesse a

ge

-

J

â

[g

plai - sirs.

yeux

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jivj.Jir

J

n

jo

sans

et

J"J J'3

-sons aux

ï

j^ux

les

Ji J'

ih

^d I

Sans

ih

jSl

r9-

23:

vient

a

son

È

i trop

([ue

PAUVRE JACQUES (18?

tôt.

Siècle/'^

ROMANCE Paroles et Musique de la Marquise de

^ Andante.

Refrain

^

g

J9



t

rf^/c^.

Pau

-

vre

^^ ^m Jae

-

ques,(ïuand j'ë-tais près de _ toi,

^^ ^

b -K

V'.*^

GAUVI.N

fi

Fils

,

Editeur

ma mi

^5

Mzzai

22

K JVi-'l J

Je ne sentais pas

TRAVANET

-

se

.

re;

Mais

de musique, 5, Place de Valois, P/^-is -Royal.

à pré-

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITE

^^ m

M

que tu

-sent

vis

J^ilJj

^t> J

tout sur la

ter

y

*

i?

ter-

I

tu ve-nais

-vaux,

^^

^)

I

ma

ta

p

iv

j)

me ren-dra

I)

J^)

che

-

jours

tous les

sou-vient-il,

r=ith Qui

icjrp

p

mes

la

tra-

fe muzzjÊ

trou -vais

Je

par-ta-ger

^^ s ^

i

T'en

^

Couplet

Quand

re.

-

pl^^

man-que de tout sur

Je

re,

-

n—w

Je man-que de

P

p

p

JZ

é "^

moi

J

FIN.

m

m

loin de

I

121

J



é-



-

re

talent beaux.

^—

1i^

temps pros-pè

ce

-

re!

LA PRISE DE JERICHO (Fragment?

^)

,

OPFBJ

rAir)

Musique de Volfg^ang MOZART (1756-1791) Allemand É.ii^iiuiiiiit;. Andante.

C

1^ daJce,

Eh pour- quoi ^ Cp morcHau est reproduit Rue d Hautuvillu

Kique, 25,

?

^

me faire un

par HutorisatioD spéciale de

la

maisoD

^

r

J

cri-

me

'

JOLBERT,

v.

=^=

Da-voir éditeur de

mu-

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

12-

»

I ^

J

Ji^J

i'iJ

j.

Quand d'un Dieu

plaint des mal- heu-reux

#

*

ï

ir

A mon

•bH-me

i



«5^

^

Cet

in

-



fS#^

par

coeur

3

n-L

i)

^

i

doux,

si

Qui ne Té-prou

m ^PE3 # CP Ot

P^

peut

eom

ve

S

r- >J'|J

me

SE

^'

t H'

^

#

sau

La

^

p

E

mal- heu-reux

-

rait

r^

pomv'qxioimetaire

€g=ra plaint des

Ne

"^

Eh

loi

moi

J-'VrJ£fl C;

dé-fen-dre

le

me

-

g

^

ten-dre

si

iiy

-

I

s

1»—?7



Français

É.Anaanie. Andante.

A ^'

J'Jil.

peine au sor-tir

^*V>r morceau est repniduil ^ar rtulonsalmi» Chaussée d'Autio.

de l'en -fan

^5 è

ir^

ans au plus je comp - tais

de Id

^^^

.

Je

^^JrClill»'

sui

-

-

ee,Qua-torze

^^

vis

a-vee

des t^diteurs (^OSTALLAT

con-ii-

^\

C

T

60,Ku«'

LE KOLPÈCK AUX HHKVtTS

-an

t

-

De méchants

ce

v^

fre

Dans Si-

res que j'ai -mais.

-

r^^p p^ir/TTpip pf

ehem au gras pâ-tu-ra

p'r

io^

I

-

M

p

p

p

^^^^\î'

P'^^^^

:'•

p

ge,Nous pais-sions de nombreuxtrou-

â

.

ge

Ti-





f

m

if

i^

^'

^

\^

^^'

^V*

P

f^p

r

1

-peaux. Je tais sim-ple comme au jeune

P'

\

il.

i^

f

com-memes

CENDRILLON

a

-

î

gneaux,

(•)

ofè'Eà féerie. Musique de -_

,

NICOLO (Nicolas

Moderato.

ïçw i ? ^

^d |^^^J^lr -pas

-

se

Re-dou-ble

'*|Ct! morceau est reproduit siquHj36,Rue d'HauteTiJlw.

jivpc

Tau

-

^'^'i

da-ce Qui brûle en nos

autorisation spéciale de

la

maisyo JODBKRT,editeur demu„,

.

AUX BREVETS DE CAI'ACITÊ

LE SOLFflOE

** ï

i

^M

=*i L'ar

coeurs.

-

1^ f

que

deur

:m±=àfe don

nous

Le

ne

-

te

r cor

pi

1-29

p

p

re

(jui

i'

i

ne

Ja

son

-

• I

r

\u^' -

^''

J

J'

I

V

mais

-

Cou

^Mr

i=î

-J

J^^

Le

cerf hors d'ha-lei

M

jT^

p pei-ne

Le daim,

^^

tf

h-^

F

dans

la

^^

p

nom-bre,C'est

-7""'

-

p ne,Sur-pren-dre sans

ui

r

son

r

I

Le

soir,

p

^

au bois

È ^§

i'^-r-

om-breDes eou-pessans

^V

l^^i^

di

^^=^

p

cha-mois.

le

som-bre,Vi- der sous

m.

F

fc

#

plal-ne

rir

-



ban-

-

r

I

^

-don- ne L'es-poir des pi- queurs.

feEi

n'a

•>

J

^^

#

-

rr^*-^

g;ne des

La

rois.

s



ff

1 ^é^-^

la

la

la

'

' H^n-frirjvr'-r rf-r^ V Y '

la

la

la

la la

la

la

'

la

la

la

r

y

r

Li

la

la

r

\,

la

la

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

130

o

^ à

r Hv la

i^j^j'i JiJii

"

If g P

la la la la

la la la la

la la la

L'ÉLOGE^ des

.1

p

i

la la

la.

LARMES (FragmeittF

,

MÉLODIE Paroles françaises de

Emile

Musique de

DESCHAMPS Assez

SCHUBERT (1797-1828)

Franz

Allemand

lent.

L'il-r,\^ f^ Quel-le

J

J'.

mys-tè

quel

g;râ - ce,

il re,

-

^ (ju'u-ne

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lar-me dans

J.3J

/^

-tai -

m

re

Jxil

-^

I

-

s

m ^

rdir l'herbe

cieux.

pli

Se

e

re

-

-

le

la

ro

-

3

vgi^-

les

Cj^PI

voit sous

des prés, re

Sous

k'-g

ve

par_

#1

#-^

#1

-g;rés;"Comme on

i?

se

des

â

CIf.^ -

^

— ^^ r î— s ^^ >

bri

sa- lu-

-

ilJ,r^^l('

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pleurs j lame

i

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Qui pour nous descend

PLfp

bau

yeux! Cest

lés

P

se

-

e

^

de-

Re-ver-

zz:

î

ver-dir Iher-be des prés.

(•)/

Ce morceau est reproduit par autorisation spéciale de stque, 25, Rue d'Haut^yijjÊ.

la

maison JOUBERT, éditeur de

rr'

131

LE SOLFÈGE AUX UREVETS DE CAPACITE

CHANSON DU PRINTEMPS

LA

Fragment:

MÉLODIE Musique de

Paroles de

BARBIER

JvUes

MENDELSSOHN

BARTH0LDY'i%09-i%4'î) Allemmid

w.^

%\^P

qi-azioso.

m % y—r

4Ètp^ Sa

iB^ \^^

P-^

p

-breux, Ruis-seaux

^^^ pu

M^

:p

-ments

-

-

om-

* * w

seurs, lumie-re

douce

et

^^

chos

loin

-

tains, fré -mis -se-

dim.

f #-!-

ja

S E

r

^

"^^

re,

-

d

prin- temps, honneur des bols

lut

-

±:

=P=Iih

\^ ^-.-y

,

joy

-

Sa-

eux,

lut,

K=^ *=¥

5;

=fc=M

î;

-x=ë-

^

beau jour,

re-veil

de

la

na-

2?

W -tu

-

if

-5^

re!

-tu

^^ les

tf

L'oi-

j-i

i,

buissons

mo

I

-

r

r.f more*-;!!!

tique,

25

,

Hui'

-

se »j

le

re

-

Jm

I

#^

jours. Tout

tn

tour

Du

gaiprin-temps et des beaux

i'

JiJi

ti^



-te

le

l

F

r

1;

^

-tour.

voix,

les

coeurs. Tout

g

Les voix,

les



^

coeurs,Tout

fê-te son

arcg:

I

pour tou -jours, Ç.y siqu^»'

Htiuleville

,

Sa,



Ma

ly-resfetait

ffl%^Ji

'''J';'| |j-i.j'

Et du pauvre po

morct'au pst reproduit par aulorisaùoii spt'ciale de

,25, RuH d

iP

(Fragmenta

coupe de mes Jours,

pviJ

re.-.tour.

^

f

dolce.

la

^ ^

^m ^

^m. 5 bu

son re-

Musique de CHÔPINClSlo-lMÔÏ Polonais (dorigme frauçaise)

Afidante expressive

J'ai

te

Mii|iJ';JiJ'

ANDRE

TZZ.

-

^

MARCHE FUNÈBRE

m

L

dim,

±

j,

re -tour Du gai printemps et des beaux

cresc.

Paroles de Emile

;,

^ J'-lJ) j J^

.

i

j-,

dim.

^

Les

g

p

cresc

jours.

grè-ve,Tout

P

I



^

^ ^

^^

sons* Tout ehan-te sur la

ap-pof-te les



cresc.

^

-*-^

j) J'

j y^ \

-

li*

-

è

te,Lavoixde-

maison JODBERT,*''diteur de

mu

AUX nUEVETS DE

LE SOLFÈGE

^^J>

mu -

-mairi.la voix se-ra

dernier chant,

et

-

^

jN n • " j'

5

re

-

!

La

vie

k, '

^^ j t*

t^

une é

est

-

-j

ge, Et le

pas- se n'est

SOUMET

i

L'a -ve-nirestmen-

Cemorreau swue,^R, Rue

BALOCHI

All^

Musique de (1792-1S6S> Italien

,

moderato.

f^^^f^ y y

yn Chef

1

d'un

peu

-

est reproduit par autorisation spécialf de la d.'Hautevillfe.

(Operaf'

G. ROSSINI

F=p t;

jung

f.

plus,a'est plus (ju'un songe!

ï^aroles de de TAcadémie Française et

nuit,

^^=s

LE SIÈGE DE CORINTHE A.

p'H

r

pais-se

rijjJl'^»>j'i'iipL"gl"p' -

r

zz

présentdevant nous s'enfuit,

-son

>

y

^^^ f^

Le

cygiie,c'est le

la mortins-pi- re,Chant qu'il sou-pi -re Lorsqu'ilex-

SÊ^ ï 2^ê

E ^

Chant plus su-blimeet plus touchant,

.

pi

Du

te

k J..i^i.i^jM.j7;, Chaàtque

133

^

m

^^

j3p

CAPACIlfi

pie,

m i^ia

d'un peuple

s y

indouip*

maisoo JOCBKRT, éditeur dn

mu.-..

*

LE SOLFÈGE AUX BREVETS DE CAPACITÉ

t34

^^ m -ta-ble

^

r'

dun

Chef

fe

f

»

^''-^'

iJ

-r

vail

A-'i

j

-

i

F-^B I

v.i

^

lan

j

.

peu-ple,d'un peuple indomp- ta

ce,

-

H^

-

Me

et gui-

inn^ir^i^ •'

j

*

sa

laa

vail

iKr^â [i\ \ a

^i-y

ma >

-vers,

^

• f

-daul

vais

Jl I

_sa

gui-dant

et

^

zfc=i ]

puis

7

j, jFe

san

-

J^J-'ir"ô ci -

j

I

Je

ce.

vais

«ou-mettre

ce

rj'

Ji

ma

à

J'

lu

[

—puis-saiL

-

^ -

ni -

ce^

_Je

à^i'C/V p^'Jl^a-Vfflj/jil vais

p .

à ma puissarirce- soumet

.j.>-

*V^r8y

^Ê. -met

-

tre

soumet-trelu-

ni-

5i>ggJj.J3ir^^jn"y^ Je

vais

à

ma

Lr-^ir~ £jg tre

lu

^

puis- san-ee soumettre sou-

m

-

N vers.

>

Je

AUX BREVETS DE CAPACITÉ

LE SOLFÈGE

i r^r J ma

135

«-

r

r-

\

^^

y

tre

lu - ni -

i

i

i

vais

puis

a

san

-

i

sf

^

ma

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i :Sqf

met

-

-

''

ii^jiJj'iJ. -vers.

sou

ce

-

puis

rr

i

-

ZZ

n

'

r-

i

pr-^

san-ee sou-met-treru-ni-

^

f

-vers, sou-mettre lu-iii-ver§,soumet-tre 1 uni -vers k

^m

i

-san

-

ce

• .

^fS

sou- met

iP

-

LES DRAGONS DE OPmA

ma puis^

^m lu

tre

-

i

ni

-

vers.

VILLARS^*^

COMIQUE

MAILLART (1817-187i)

Musique de

Français

4ndante sans lenteur. ^Tres

lié,

avec beaucoup d'expression et de mystère.

g S K Ne

*

par

^^ p"

-ohéL

e,

Car

-

iilJ.

J>

pas,

Ro

le

^ me

Nul ne

I

^-

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hir

J-j,ji Du

^u. Mais

|

les

i

p 'r é

-

les

J:7'l r

i^'^

dn

|d

1.

e-

"^^

i)

i

J

i

i

prés et les fon-

JiiA de

chos, les bois, les

spt^ciale

f p

r

tris-te ré - cit

r

j

les

^

Je

p.

nos

./.

tir

P

Ce morceau «st reproduil par aulunsaliou 25|Rue d^auteviile.

itiqut*.

j-i^j.

^

re-ten

fais

é-clai-ré

ait

r

11'

-tai

- leil

^

V



so

le

l

mes

f'pTPi prés et les ruis«

maison JODBKRT, éditeur de

mu-

AUX BREVETS DE CAPACITE:

LE SOLFÈGE

.

j^|'

yf

r

I

^^

r

peu-vent sou

Ne

se aux

J

ir

la

-

Mais

-nest-

les

J

r^

é-ehos, les bois, les prés et les ruis-

ii.''r^r'ir FiJ^i -seaux Ne

^

J

pei

I, iir

.

i

p

^^

mes

ger

-

k r

139

peuvent soula

-

=^^^

F=F=

ger mes pei

nés.

LA FILLE

M)

DE MADAME ANGOT comique

(Fragment)^

opEjR.4

Musique de Ch.

Français.

Allegro

h^:^ En

^S r"

J'

F

I

bal

-

Ion

el

^^

airs;

les

J-

p

jiiij' j'ij voi-là dans

I

^^

s La

te.

^=^

^=K=¥



1^1 ^

/:

Et plus tard elle af - fron-te

PI^

mers

mon -

^

--t-

i) J)

j^

I

le

-

k "

LECOCQ

— — —#

•* i^ ^ VM m^^^ ^

#* giZ

1

# t:

i

Les

g

#^

ve

La

i

-

r.

gra-ve.

et

P.p

'

P

p

Folle

Folle

^'

rV .^fl

r¥^

#

^'

N'eût pu fai

An-got,

i'

4-^-^

Bal -Ion

I

re

J^J

i) Bal

-



là -bas!

i\

l

ve

-

EJp

i.

i-'i'

bra

ton-ner

-dame

â

le

P

Le

mo-de

jjJ\

1\

^

Tr

ve, C'est la

-

très large.

ma - dame An-got.

1er

LES CLOCHES

DE CORNE VILLE

(Fraçment)^-

OPÉRA COMIQUE \

Rondeau-Valse

'

CLAIRVILLE etCh.GABET Musique

Taroles de

de R.

T
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