langue et termino. resume du 1er et 2eme chapitre suivant l'ouvrage du prof louhmadi
May 6, 2017 | Author: QùeenSara'h | Category: N/A
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S2. résumé du 1er chap ''le diagnostic et la détermination de la croissance Economique nati...
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CHAPITRE1 : LE DIAGNOSTIC ET LA DETERMINATION DE LA CROISSANCES ECONOMIQUE NATIONALE : L’amélioration de niveau de vie de la population et la garantie du bien être social sont des objectifs principaux des pouvoirs publics. Mais, ces objectifs ne peuvent être atteints sans une croissance économique soutenue et durable. Donc qu’est ce qu’une croissance économique marocaine? Et quelles sont ses sources ?
I. Le diagnostique de la croissance économique : La croissance économique est un objectif de long terme et son amélioration se fonds sur la croissance de ses sources et ses déterminants. Les déterminants de La croissance économique du Maroc
a. Les facteurs de production
- Au Maroc la mauvaise et la faible utilisation des ressources humaines – par exemple- le chômage des jeunes et surtout les diplômes, ce qui a élevé le taux de chômage des jeunes a 32,7. - La création d’emploi temporaire dans les entreprises –traditionnellesreste élevée en comparaison avec les emplois permanents. Ce qui note que le Maroc présente un indice de rigidité des mécanismes de régulation du marché du travail des plus élevés. - La réalisation d’une croissance économique forte impose l’accumulation du capital physique que malgré le dynamisme constate depuis le début des années 90. Son niveau réalise depuis présent reste insuffisant et caractérise par une faible productivité. Ce qui rend une croissance économique modérée.
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L’enjeu pour l’économie marocaine est de relevé la productivité des investissement par l’amélioration des connaissances et des compétences de la population et cela ne peut être réaliser que par la mobilisation effective des potentialités du système éducatif national et du système technologique pour les rendre plus efficace en favorisant les transferts des nouvelles technologies et en assurant la protection des droits de priorité.
b. Structure de production
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secteur agricloe
l'industrie
- un poids important dans l'economie.
-conserve des specialisation traditionnelles a l'exploitation.
-emploi la majorite de la population active -assure apres de 4,6 de l'emploi nationale
-l'industrie manufacturiere insuffisament ''14% de population active et 17% a la valeur ajoute totale.
la production a petite echelle a cause du faible penetration technologique et un exploitation de petit taille.
-l'industrie chimique satisfait sa demande par des intrants provient de l'exterieur.
service marchands
commerce
- le tourisme ( 8% de PIB, principale source de devise, service technologique faible)
exportation de produitsagroalimentaire et textile. -ne correspond pas a la demande mondiale.
-transport et communication(38% de la valeur ajoutee, essor avec le processus rivalisation.
entreprise -faible niveau de creation d'entreprise -faible reactivite des grande entreprises.
==> developpement des PME -niveau technologique inferieur a ux niveau intern -main d'oeuvre peu qualifie -cout de financement eleve -transtfert des technologies entre les entreprises macro et etrangers sont limites -manque d'idee ( de baisse croissance, baisse investissement, baisse rendement.)
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II. Les déterminants de la croissance économique : La problématique de la croissance modérée de l’économie marocaine a accompagnée d’une utilisation no optimale des facteurs de production, d’une faible intégration et d’un manque de dynamisme des entreprises La croissance économique peut être réalisé grâce a deux choses :
Comptable: savoir le capital, le travail, et la productivité.
Empirique: quantifier l’impact d’un ensemble de déterminants de la croissance.
1. La structure de la politique de production macroéconomique : La politique budgétaire : elle n’a pas pu contenir tout les déficits a cause de plusieurs contraintes tel que » la baisse des recettes douanières, la forte pression d’une demande sociale et la rigidité a la baisse des dépenses de fonctionnement, la masse salariale. La politique de gestionnaire : elle a conservé les dettes extérieures du pays mais le recours a l’endettement intérieur s’est inscrit dans une tendance haussière. La politique monétaire : le dynamisme récente du système financier et l’autonomisation de ‘’Bank al Maghreb’’ constituent la première phase pour pallier aux contraintes dans ce domaine, ils ont réalise un reforme du cadre réglementaire des banques et du marche monétaire et l’établissement d’un marché de change. Le système bancaire marocain sain mais son action reste limitée. La politique de change : elle a réaménagé de préserver la compétitivité des produits marocains a cause de la difficulté de gestion des liquidités avec des entrées massives de capitaux, et les déficits budgétaires structurels élevés qui ont finances par une partie des recettes des privatisations.
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N.B: l’efficacité des politiques macroéconomiques poursuives dans le futur, dépendra de leur capacité a encourager l’initiative privée pour investir et créer de la richesse.
2. Infrastructure économique : Le Maroc dispose au présent d’un réseau d’infrastructures routières, portuaires, ferroviaires et aéroportuaires relativement moderne couvrant l’essentiel du territoire et permettant de dépendre aux besoins du pays dans ce domaine et en plus il a des ressources humaines qu’on doit améliorer leur développement car c’est l’élément essentiel de toute évolution et il faut réduire des disparités régionales et des inégalités entre zones urbaines et rurales.
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N.B : afin de corriger le déséquilibre entre le rural et l’urbain ainsi qu’entre les régions, on a lance des projets tel que : port Tanger- méd., port dans les provinces sahariennes, plan azur, autoroutes Marrakech, Agadir, Fès et Oujda.
3. Gouvernance : La bonne gouvernance joue un rôle très important dans l’amélioration de l’environnement des affaires, de la compétitivité et de l’attractivité du pays et de la gestion efficiente du capital humain, c’est pourquoi les pouvoirs publics au Maroc ont entamé un ensemble de reformes importantes concernant la rationalisation des structures administratives et leur déconcentration ainsi que la transparence de leur mode de fonctionnement et l’amélioration du système de contrôle.
NB: le niveau de gouvernance dépendra de toute les reformes qui pourront être impulsées au sein de la société.
4. Capital humain : L’indice de développement humain s’est inscrit dans une tendance à la hausse, mais reste menacé par le rythme d’évolution des indices de l’alphabétisation et 6
du niveau de vie et la pauvreté et du chômage qui risquent de freiner sérieusement l’évolution actuelle vers un développement humain durable. Système d’éducation : faible qualité de l’enseignement et son rendement interne et externe en raison de son inadéquation avec son environnement socioéconomique. Sanitaire : la sante des marocaines demeure marquée par surmortalité infantile et maternelle constituant un réel problème de sante publique. Pauvreté : le taux de pauvreté au Maroc est réduit grâce à l’emploi, le développement
N.B : le niveau du développement humain de notre pays est incapable de réaliser une croissance économique forte et durable. Donc, il exige une intensification des efforts de tous les acteurs pour combler les écarts persistants qui séparent les Maroc a d’autres pays de même niveau de développement.
CHAPITRE 2 : LE ROLE DES PME DANS LE DEVELOPPEMENT DE L’ECONOMIE : I.
Le financement de la PME :
a) Définition de la PME : i) par la charte, il considère trois critères :
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Propriété du capital
La taille
Administration (propriétaires actionnaires)
ii) par L’ANPME, selon le chiffre d’affaire :
Très petite entreprise petite entreprise Moins de 3 millions de DH DH
moyenne entreprise
entre 3 et 10 millions de DH
entre 10 et 175 millions de
b) Le PME dans l’industrie manufacturière : Selon le chiffre d’affaire hors taxes
Le grande entreprise
PME
très petite entreprise 8
Supérieur a 175 millions de dh
Inferieur de 10 milles dh **montant global des créances détenues de crédit est supérieur a 2 millions dhs.**
Inferieur a 10 millions dh **le montant global des créances détenues est inferieur a 2 millions dhs.**
II. DEFIS DES PME MAROCAINES :
Malgré leur dominance en nombre dans le tissu économique marocain, la contribution des PME marocaines a la croissance réelle du pays demeure en deca des pays industrialises cette faiblesse a cause de :
Facteurs externes
facteurs intrinsèques
-lourdeurs administratives. - la fiscalité désavantageuse.
-problème de Financement :
-prudence des banques à financer les PME lors de la création. -méconnaissance des entrepreneurs des produits financiers -manque d’adaptation des productions financières.
-fragilité de structure. -sous capitalisation. -manque de moyens techniques et financiers. -manque d’encadrement du capital humain. -sous performance.
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III. Profil des PME marocaines : Le tissu économique marocain est constitue de petites entreprises qui s’souffrent d’une fragilité du structure de l’actif a cause de sa nature elle-même et elles se caractérisent par :
-faiblesse des actifs immobilisés.
-Faiblesse des actifs incorporels.
-dominance de l’actif circulant.
-Niveau excessif de stocks.
-manque de réinvestissement. Immobilise des liquidités Augment les besoins de financement
N.B: le niveau élevé de stock pourrait être à l’ origine d’une: -mauvaise gestion de la part de l’entreprise. -qualité et cout de logistique -concurrence sur le marché commandé de grandes quantités pour bénéficier des remises.
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VI. LE FINANCEMENT DES PME AU MAROC : Une palette de produits variée
Crédit bancaire
Les PME et TPE préfèrent les voues de financement bancaire car elles ne peuvent pas recourir au marches des capitaux aussi facilement que les grandes entreprises mais elles trouvent des difficultés a cause de la fragilité même des PME et du déséquilibre du coupe risque/rentabilité. Marches Le financement des PME marocaines via les financiers marchés financiers capitaux et dettes est très marginal en raison de l’étroitesse et des conditions exigées par ces marchés. Les PME ne peuvent pas pénétrer au marche boursier compare aux PME marocains. Capital L’activité du capital risque au Maroc est très marginal a risque cause de la rigidité des critères d’éligibilité des sociétés de capital risque et la structure financière déséquilibre des PME et l’insuffisance de leur encadrement financier et technique et le manque de transparence tout ca limitent l’acces de PME a ce type de financement.
V. L’appui financier indirect aux PME : Les fondes et mécanismes de garanties
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les fonds de garanties
les mesures de l'appui selon l'ANPME
• la caisse centrale de garantie • les garanties de financement • les fonds de garantie ''FOGAM'' • le fonds de depollution industriel ''FODEP''
• IMTIAZ aide les PME a renforcer leurs actifs corporels et incorporels (20% du montant total de l'investissement) • MOSSANADA accompagne les entreprises dans leur demarche de modernisation et d'amelioration de leur competitivite (60% du cout total la prestation) • MOUKAWALATI gantie des prets a la creation de la jeune entreprise. • FOPEP garantie des credits d'ivestissement • NTIC developpe la garantie
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VI.
Mesures potentilles a entretenir : a. L’accès au marché boursier :
Dans un contexte de manque de liquidité, de grande compétition pour les crédits bancaires et le nombre réduit des ventures capitalistes et leurs exigences, le marché boursier se présente comme une solution idéale pour le financement mais ce marché exige certains règles comptables que les PME ne peuvent pas se financer via ce marché. La solution : la création d’un marché libre qui pourrait prévoir la possibilité de mettre en place un régime de proximité a l’appréhension du risque en réservant les négociations aux investisseurs qualifiés, donc au Maroc deux hypothèses pourraient réalisées :
Compartiment boursier
nouveau marché distinct La réglementation de la
Compartiment officiel
compartiment libre
création de l’organisation et du fonctionnement de ce nouveau marché.
B) les mesures potentielles de l’ANPME : Malgré les programmes d’appui IMTIAZ et MOSSANADA m les PME marocaines ne semblent pas tirer profit des opportunités offertes par les prestations de l’ANPME. C’est pourquoi, plusieurs modifications sont prévues : La révision des conditions d’éligibilité : une dérogation pourrait être prévue pour les entreprises qui n’ont pas respecté les conditions, afin d’obtenir le quitus permettant de postuler pour les programmes d’appui.
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La réduction des délais de traitement de dossiers : le délai d’attente des dossiers est de 150 jours donc la solution est d’avoir accès a la situation de l’entreprise au lieu d’attendre. L’augmentation des enveloppes : possibilité d’augmenter les montants des aides en les indexant sur les chiffres d’affaires des PME candidates.
c) Le progrès de loi sur les délais de paiement : Certains clients des TPE et des IME augmentent leurs délais de règlement, ca consiste l’une des principales causes de défaillance des entreprises, alors le projet de loi est : De fixer le délai de paiement a une durée définie lorsque le délai pour régler les sommes dues n’est pas convenu entre les parties. Un système de pénalité de retard pour compenser les intérêts bancaires supporte par les fournisseurs. De changer les commissaires aux comptes de vérifier le respect de cette réglementation.
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