HCA M1 Architecture Coloniale Partie5

 

DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

ARCHITECTURE COLONIALE HISTOIRE D’ARCHITECTURE M1 SETIF

ARCHITECTURE MODERNE EN ALGERIE 1920-1962 DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

L’ARCHITECTURE MODERNE EN ALGÉRIE 

Vaste champ d’expérimentation d’idées nouvelles, Alger accueille accue ille dès le début des années 1930 les propositions de Le Corbusier ainsi que l’étude du plan d’extension et d’embellissement pensé par les urbanistes Danger, Prost et Rotival. L’organisation d’expositions sur l’architecture et l’urbanisme moderne, moderne , en 1933 et en 1936, propulse la ville sur le devant de la scène internationale.

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Si les édifices qui sont inaugurés à cette occasion intègrent les enjeux de la nouvelle orientation de l’administration et ceux de la puissance politique ils assurent aussi la diffusion d’une certaine cer taine modernité locale à tra travers vers lescoloniale, images architecturales qu’ils véhiculent.

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A. L’EFFET LE CORBUSIER

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C’est au début des années trente (1931),d’Alger, à l’occasion rencontre sur à l’urbanisme organisée par les architectes qu’il d’une débarque, puis revient plusieurs reprises avec sa valise pleine de projets. Ses conférences enthousiastes, qui stimulent de jeunes architectes acquis à ses doctrines doc trines (De Maisonseul, Emery, entre autres) et son projet fracassant d’aménagement d’Alger sont sans doute à l’origine d’une "école corbusiste" algérienne à laquelle se joignirent de bons architectes comme Miquel ou Simounet. DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

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Le Corbusier à Alger

 

LA DÉCOU DÉCOUVER VERTE TE

Ce n’est qu’au bout de quelques jours qu’il découvre cette médina “admirable” en utilisant une méthode dont il ne s’est jamais départi : « La clé c’est regarder...

regarder/observer/voir/imaginer regarder/obser ver/voir/imaginer inventer inventer,, créer. »

Ses premiers carnets d’Alger n’existent malheureusement malheureuseme nt plus — d’après Le Corbusier lui-même

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1-PLAN OBUS

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projet d’Alger fut baptisé " projet Obus" parce qu’il pulvérisait toutes les idées reçues : le long du littoral, de Saint-Eugène à Maison Carrée (de Bologhine à El-Harrach), dans un geste magistral, Le Corbusier faisait sinuer un immeuble immeubl e de plus plus de dix kilomètres, dont la toiture était une autoroute. Cet immeuble était conçu comme un meuble à casiers, chaque casier

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pouvant être logement, sa propre façade, au gré de l’occupant ; onaménagé pourra en même y faire avec du néo-mauresque, la notion rue et des parois faisant face-à-face disparut et laissa la place à la barre. Un projet de cité pour 200.000 habitants

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Projet Obus

 

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projet Obus

 

Si l'œuvre de cet architecte a fait l'objet de centaines de livres, ce plan d'urbanisme est, lui, relativement méconnu. . Il est pour pourtant, tant,laà notre avis, un desméconnu plus intéressants dans pensée de Le Corbusier qui, à cette occasion, a exploré de façon provocante la problématique de la verticalisation des logements et des résistances qu'elle entraîne. DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

Maquette en bois : projet de gratte-ciel à Alger Alger de Le Corbusier

 

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GRATTE CIEL DE LA MARINE LE CORBUSIER

 

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Lotissemen Loti ssementt Durand Durand,, Oued Ouc Ouchaia haia,, Alger,Alg Algérie érie,, 1933

 

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Immeuble Immeuble,, maison locative Lafon, Alger Alger,, Algérie Algérie,, 1933 (un immeuble pont)

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L’HÉRITAGE 

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Bien que n'aya n'ayant nt réalisé aucun de ces projets en Algérie, le Corbusier aura une grande influence sur les architectes à Alger (selon Jean.Jacques.Deluz). Algérie. Son Le modernisme va constituer un épisode majeur de l'histoire de l’architecture coloniale en Algérie. expression obéit a un certain particularisme par ticularisme sous l'influence d'un environnement social, physique politique et culturel. Ses conférences enthousiastes, qui stimulent sti mulent de jeunes j eunes architectes acquis à ses doctrines (De Maisonseul, Emeryy, entre Emer e ntre aut autres) res) Son projet d’aménagement d’Alger est à l’origine d’une "école corbusiste" algérienne à laquelle se joignirent des architectes comme Miquel ou Simounet

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MOUVEMENT MODERNE EN ALGÉRIE LES «MÉDITERRANEISTES » OU « L’ÉCOLE D’ALGER » DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

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En effet, tout en restant perméable à l’architecture de la métropole, la scène algérienne adopte adopte une position spécifique vis-à-vis de la modernité. modernité. Elle fait de la réinterprétation du patrimoine architectural local et méditerranéen sa composante essentielle. essentielle . Des architectes tels que Paul EMERY, Louis Miquel, Pierre Bourlier, Xavier Salvador, Marcel et beaucoup d’autres encore, Lathuillière, Jacques Guiauchain prônent une architecture plus proche proche et mieux intégrée au contexte local ainsi qu’un modernisme adapté aux conditions climatiques et esthétiques du pa pays. ys.

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La construction moderne en Algérie, très prolifique, est soutenue par l’implantation l’implantati on de succursales d’entreprises de construction françaises telles que les agences Hennebique et Perret. Les ingénieurs Charles Bonduelle ou Henri Dop collaborèrent avec avec les architectes Charles Charles Montaland, René Lugan ou Paul Guion. C’estpremier ainsi que s’élève de en grande 1930 l’immeuble du Gouvernement général d’Alger, d’Alger, rebaptisé aujourd’hui aujourd’hu i Palais du Gouvernement, bâtiment hauteur construit à Alger.

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(Jacques Guiauchain, architecte; architecte; Perret Frères, entrepreneurs, 1928)

 

GUIAUCHAIN, MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE’AGRICULTURE- ALGER

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Une revue est fondée en 1928 à Alger Alger,, « Chantiers Nord africains », elle parait jusque en 1960, cette revue est fondée avant les premières publications françaises soutenus par le mouvement modernes telle que « l’Architecture d’aujourd’hui », qui apparu en 1930 et « Technique et Architecture » en 1941, selon Aleth picard Architecture et urbanisme en Algérie. D'une rive à l'autre (1830-1962),

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Les jeunes architectes du Mouvement moderne sont souvent qualifiés de « to tout ut pur puris iste tess », voi oirre de de « br bruta utalilist stes es « . Il le leur ur es estt rep reprroc oché hé d’ d’êt êtrre sans sans grande chez Le Lepersonnalité, Corbusier Corbusi er.. et de ne puiser leur inspiration uniquement que un petit groupe groupe se détache détache dans ce marasme marasme architect architectural ural et constituera constituera ce qu’ont,aBize, appelé l’Ecole Simounet, Ducollet, Ducolle Geiser et corbuséenne: de Maisonseul MaisonseulMiquel, (peintreEmery, (peintr e et urbaniste). CeBourlier, dernier est à cette époque le directeur départemental de de l’Urbanisme à Alger et sera de ce fait souvent leur porte-parole auprès des instances administratives.

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Bien qu’aucun projet connu de Le Corbusier n’ait été réalisé en

Algérie, ses idées ont donné lieu, plus à de subtiles réinterprétations, notamment dans lestard, réalisations de Louis Miquel, tels l’immeuble l’immeuble d’habitation Eugène-Étienne (1952), le bâtimen bâtimentt de l’Aéro-hab l’Aéro-habitat itat (1954(1954-1955) 1955) à Alger Alger,, le centre culturel culturel Albert-Cam Albert-Camus us (1955-1956) à Chlef (Orléan (Orléanville ville).). DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

Miquel, lui, y apporte la mesure, la nuance, l’attention scrupuleuse aux conditions particulières de chaque opération. Il n’a pas réalisé beaucoup de grandes opérations, mais l’Aéro-habitat il a montré toute l’étendue de son talent d’architecte . DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

ROLAND SIMOUNET

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Roland Simounet: parmi les architectes favorisés par Chevallier, malgré son désaccord avec Pouillon, l’ architecte en chef. Il était très influencé par les travaux de Le Corbusier. Mais il était aussi un grand admirateur de l’architecture locale en Algérie. Son architecture architecture était marquée par la construction spontanée et la vie quotidienne de la population algérienne. 1er projet conçu en collaboration avec avec des architectes Parisiens A. Daure et H. Béri, Béri, qui ont déjà gagné en 1955 le concours du complexe complexe de de la cité- Montagne, destiné à la population musulmane.

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Malgré un contexte et des conditions difficiles(site accidenté, budgets réduits), la cité Djenan Dje nan El Hassa Hassann (cité (cité destinée destinée aux plus plus démunis) démuni s) de Roland Simounet Simounet (1956), avec ses proportions harmonieuses et la pureté de ses volumes, a ouvert des horizons nouveaux à la création architecturale. S’il est vrai que le geste de l’architecte restera restera impuissant face à la misère sociale de la population, elle n’en demeure pas moins un exemple d’architecture de grande Qualité.

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Parlant de l’œuvre de Roland Simounet en Algérie, et notamment de son projet de Djenan-el-Hassan à Alger (1954-1957), Joseph Joseph Abram écrit :

« En recentrant le travail travail de conception sur les ressources ressources de l’art l’ar t de bâtir, bâtir, sans jamais perdre de vue l’usage, Simounet donne une forme tangible aux aspirations de toute une génération d’architectes, d’architectes, …

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….qui voient dans le vernaculaire et la culture populaire un moyen de renouveler la modernité. Il appartient bien à ce courant « brutaliste », qui se manifeste lors des CIAM et en particulier au Congrès d’Aix-enProv Pr ovence ence auquel il participe. partic ipe. »

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L’IMMEUBLE-PONT BURDEAU BURDEAU (1952) de Pierre Marie, Marie , conçu selon le principe des immeubles viaducs imaginés par Le Corbusier. L’immeuble a été construit sur un ravin. Sa toiture-terrasse, d’une longueur de 18 mètres reçoit la chaussée et les trottoirs de cette voie. Sous cette chaussée toiture-te toiture-terrasse, rrasse, sur laquelle circulent automobiles et piétons, 82 logements ont été aménagés. L’immeuble possède un un accès à partir partir de la rue haute, haute , une autre dans sa partie par tie basse au creux du ra ravin. vin. On peut également se servir ser vir d’un ascenseur ou d’un escalier pour accéder soit à la route sur la terrasse soit à la rue au bas du ravin ravin DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

L’IMMEUBLE-PONT BURDEAU DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

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Les énormes projets de logements sociaux devaient constituer l’essentiel d’un plan directeur qui fut fut mis en place dès 1953, 1953, et pour lesquels le maire n’avait pas hésité à faire f aire appel à un architecte marseillais, Fernand Pouillon, qui avait rénové et construit ou reconstruit le vieux port de Marseille et ce, ce , à la grande “surprise “ des architectes algérois.

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FERNAND POUILLON

•Chevallier nomma Pouillon Pouillon comme architecte architecte en chef de la cité et lui confia la conception de Diar el-Mahçoul. •Pouillon: élève à l’ Ecole des Beaux-arts à Marseille, puis les Beaux-arts à Paris. Il s’ établit d’abord à Aix-en-Provence et Marseille; vers les années 1950. Un record en réalisation des édifices publics et privés. •Libre de tout courant architectural, son architecture représente un amalgame d’architecture moderne, d’ héritage local et méditerranée méditerranéen, n, et du classicisme. Il tra travailla vailla en Algérie même pendant après l’independence. l’in dependence. •Diar el-Mahçoul, se situe dans un site difficilement aménageable qui nécessita un terrassement terrassement de 100,000 m2 et de long murs de soutènement. •Le projet de Diar El-Mahsoul, appro approx. x. : 1500 unités: cité confort normal et cité simple confort ! Le 1er faisant face à la mer et offrant de belles vues est attribué aux européens, le 2eme est désigné aux autochtones. DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

DI DIAR AR MA MAHS HSOU OULL 19 1955 55 15 1550 50 LO LOGT GTSS

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Pouillon, Diar el-Mahçoul, plan d’une cellule confort normal : (1) salon, (2) chambre, (3) SDB, (4) Cuisine, Cuis ine, (5) Entree, En tree, (6) patio.

 

DIAR AR ES SAA SAAD DA 732 732 LOG LOGTS TS 19 1954 54 DI

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CLIMA CLIMAT T DE FRANCE

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En 1954, on chargea chargea les les architec architectes tes Léon Clar Claroo et Jacques Jacques Darbe Darbeda da de construi construire re l'éco l'école le des des beaux arts dans les jardins jardins du Parc Parc Gatliff (aujourd'hui Parc Zyriab)

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L’ APOG APOGÉE ÉE DE L’ ARCHIT ARCHITECTURE ECTURE MODER MODERNE NE

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La nouvelle technologie de construction véhiculée par les matériaux nouveaux: l’acier, le verre et le béton. Le mouvement hygi hygiénique énique envahit l’architecture. Les façades monotone en damier reflétant la « pureté » des formes et de la géométrie. L’ architecture moderne domine les équipements publics: les hôpitaux, les casernes, les prisons, les écoles, les logements sociaux et les usines à partir des années 1950.

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PLAN DE CONST CONSTANTINE ANTINE

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Alors que La guerre d'Algérie avait avait déjà approfondi les traumatismes de la colonisation, Le plan de de Constantine est 1’« ultime tentative de récupération du du pays", comme le souligne Jean-Jacques Deluz.

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Lors de son quatrième voyage en Algérie, le 3 octobre 1958, le général De Gaulle expose à Constantine l’idée d’un plan de développement économique et social afin de transformer le pays. pa ys. C’est dans ce contexte que d’importants d’importants chantiers chantiers sont lancés dans les les banlieues banlieues et en particulier particulier à Alger Alger,, où les bidonvilles bidonvilles sont détruits d’y être remplacés de grands quartiersafin comme comme Diar El Kef Kef oupar Hussei Hussein n Dey Dey ensembles. se couvre couvrent ntDes d’immeubles changeant la ph physionomie du paysage paysage urbain de la ville.

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Toutes les villes d'Algérie sont un chantier d’habitat d’habitat

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PROGRAMME 

La con constr struct uction ion de 200 000 log logeme ements nts,, per permet mettan tantt d'héb d'héberg erger er 01 01 mill million ion de pers personne onness ;

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la red edis istr trib ibut utio ionn de 25 2500 00 0000 he hect ctar ares es de te terrres ag agri rico cole less ;

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le dév développem eloppement ent de l'ir l'irrigati rigation on ; la cr créa éattio ionn de 40 4000 00 0000 em empl ploi oiss ind ndus ustr triiel elss ;

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la scolarisati scolarisation on de tous les enfants en âge d'êtr d'êtree scolarisés scolarisés à l'horizon de 1966 1966 ;

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l'emploi d'une proportion accrue de Français musulmans d'Algérie d'A lgérie dans la fonction publique (10 %) ; l'alignement des salaires et revenus revenus sur la métropole. DR ALIKHODJA NADIR IAST SETIF

 

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Aux préoccupations locales fondées sur un respect des sites

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naturel et urbain, de l’échelle du du savoir faire 1ocalat qualité vont se substituer des humaine, occupation territoire, un dénidedula site et du caractère local, un savoir-faire importé et une approche exclusivement quantitative quantitative des questions questions urbaines et architecturales. Le rapport général publié en 1960 par la Délégation générale du gouvernement en Algérie définit la politique d’extension urbaine

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RAPIDITÉ DE RÉALISA RÉALISATION TION ET QUALITÉ PERDUE

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L’ urbanisme résultant du plan de Constantine reflétait l esprit hâtif et par conséquent le manque de soucis pour la qualité.

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Des logements médiocres et manquant l’isolation thermique et phonique.

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Réponse surtout aux exigence de la rapidité d’ exécution et de réalisation, et le coût bas.

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Système de préfabrication: éléments produits et assemblés sur site. site .

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Une typologie de cellule d’ »existence minimale » avec des couloirs et des cages d’escalier appar apparents, ents, rendant l’entretien très difficile. diffic ile. (Espaces publics anonymes anonymes).).

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Les barres avec corridor: réduisant le logement en abris

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Marcel Lathuillière Lathuillière et Nicholas Di Martino, Martino, Cité Haouch Oulid Add Adda, a, plan d’ une cellule d’ habitation, 1959. (1) living room, (2) bedroom, (3) water closet, (4) kitchen, kitche n, (5) entry entr y, (6) loggia, l oggia, (7) public hallway.

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ex diar diar Nak Nakhla hla (a (avan vantt dé démol molitio ition) n)

 

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FIN

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