Etude Des Vibrations D_une Turbine a Vapeur
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D ép épa ar tem ement ent g énie méca écani nique que Mémoire de fin d’étude en vue de l’obtention du diplôme d’ingénieur d’état en construction
mécanique
S uj ujet et::
E T UDE DE S VI BR AT ATII ON S D’UNE TURBINE TURBINE A VAPEUR
S tag tag e: R affiner ffi nerii e
R éalis er par par : * B ouhe uhed ddouf A bd E lha lham mi d * G uir uira a F ayçal
E ncad ncadr é par : * B our urb bi a M oun unii a
Promotion 2006
• C hap hapi tr e I : présentation de l’entreprise • C hapi tr e I I : Généralité sur les turbines • C hapi tr e I I I : Généralité sur les turbines à vapeur • C hapi tr e I V : Maintenance • C hap hapi tr e V : Problème à étudier (Vibration) • C hapi tr e V I : Mesurage des vibrations • C hapi tr e V I I : Sécurité • Conclusion.
C ha hap pi tr e I I : géné nérr alilitté sur le less tur turb bi ne ness II.1 Définition II.2 Principe de fonctionnement II.3 Types des turbines: 3.1 T ur urb bi ne ness H ydr auli uliq que uess
* T ur bi ne F r anci s * T ur urb bi ne P elt lto on 3.2 T ur urb bi ne à g az urb bi ne à vapeur ( voi r chap chapi tr e suiv sui vant) nt) 3.3 T ur
Chapitre III: Généralité sur les turbines à vapeur III.1 Introduction III.2 Fonctionnement III.3 Schéma de la turbine à vapeur III.4 Classification des turbine à vapeur A) La direction de la vapeur Turbine axiale Turbine radiale
B) Le nombre d’éléments (Nombre d’étage) C) La pression de la vapeur L’admission. l’échappement.
D) Le nombre de corps E) Le lieu ou s’opère la transformation Turbine à action. Turbine à réaction.
E-1 T ur urb bi ne à act ctii on: * Turbine à action monocellulaire * Turbine à action Curtis * Turbine à action multicellulaire E-2 T ur urb bi ne à r éact ctii on E-3 T ur urb bi ne mi xte
Chapitre IV: Maintenance IV.1 Définition de la maintenance IV.2 Objectifs et rôles de la maintenance: L’objectifs Rôles de la fonction maintenance
IV.3 Différents types de maintenance
Maintenance
Maintenance
Maintenance
préventive
corrective
Maintenance
Maintenance
systématique
conditionnelle
Echéancier
Etat du bien
Contrôle
Contrôle
Défaillance Défaillance
Défaillance
partielle
complète
Dépannage
Réparation
Contrôle
A* Maintenance corrective: appelée maintenance amélioratrice. Elle a pour but de la recherche d’amélioration répétitive sur la base des outils scientifiques, cette amélioration vise à réduire les arrêts répétitifs gênants les exploitations, ainsi qu'une consommation exagérée en pièces de rechange.
B* Maintenance préventive: la maintenance préventive est définie comme étant l’ensemble des actions qui s’effectuent selon des critères prés déterminés, dans l’intention de réduire la probabilité d’une défaillance d’un bien ou la dégradation d’un service rendu.
Maintenance préventive systématique:
Maintenance préventive conditionnelle: La maintenance conditionnelle
on dit que la maintenance préventive systématique se définie sur la base du temps, cette méthode garantie la présentation des patrimoines matériel, mais peut engendrer une consommation relativement exagérée en pièces de rechange et lubrifiant. est donc une maintenance dépendant d’une expérience est faisant intervenir les informations recueillis en temps réel, on appelle par fois (maintenance prédictive). L’avantage qu’on peut tirer éventuellement de cette méthode est une consommation rationnelle en pièces de rechanges et lubrifiant.
Les avantages de la maintenance conditionnelle: • • • • • • • •
Prévenir les défaillances La disponibilité des machines (le zéro panne). Augmentation de la longévité du matériel. Amélioration de la gestion du contrôle du matériel. Coût de réparation moins élevé. Amélioration de la productivité de l’entreprise. Diminution des stocks. Amélioration de la sécurité,…etc.
Les opérations de la maintenance: •
Dépannage:
•
La réparation : Intervention définitive et limitée de maintenance corrective après panne
Action sur un bien en panne, en vue de le remettre en état de fonctionnement compte tenir de l’objectif. Une action de dépannage peut être provisoire. ou défaillance.
•
Les inspections :
•
Les révisions :
•
Les contrôles :
Activités de surveillance consistant a relevé périodiquement des anomalies et a effectuer des réglages simple ne nécessitant aucun outillage spécifique, ou d’arrêt des équipements et de production. Ensemble des actions d’examens, de contrôle et d’interventions effectuées en vue d’assurer le bien contre toute défaillance majeure d’unité d’usage donné. Ils correspondent à des vérifications en conformité par rapport à des donnés préétablies suivies d’un jugement.
La gestion de la maintenance assisté par ordinateur (GMAO): o Informatisation de l’ensemble des donnés qui permet l’exploitation en temps réel. o Contrôles, réduction des coûts de la maintenance. o Réduction des temps d’arrêt pour un meilleur choix de la politique de la maintenance. o Utilisation rationnelle de la ressource humaine on augmentant leur productivité. o Réduction de la maintenance curative et systématique au profit de la conditionnelle. o Analyse et exploitation de l’historique en temps réel. o Optimisation de la gestion de stock. o Réduction des coûts globaux des stocks, tout en évitant la rupture des stocks. o Minimiser les stocks dormant.
I ncidents et remèdes (des vibrations) dans les turbines mono-étagées : Causes
Remèdes
Manque d’alignement avec l’arbre entraîné
Contrôler l’alignement quand la turbine est chaude. Si l’accouplement de la turbine est du type à pignons, si l’un des pignons présente un décalage vers le haut, réaligner ce pignon avec ses paliers en charge.
Déséquilibre
Enlever tous dépôts sur les ailettes. S’assurer que la turbine est complètement drainé pendant les longues périodes d’arrêt, pour éviter la formation d’inégales couches de rouille. D’importantes vibrations peuvent provenir de la perte d’ailettes ou morceaux de la bande de liaison.
Frottements
Corriger la position axiale du rotor. Régler la butée à la demande. Soyer certain que la machine entrainée n’exerce pas de poussée sur l’arbre de la turbine.
Déformation de l’arbre
Peuvent être exercées par des paliers trop chauds. Les joints d’étanchéité trop serrés ou des dégâts mécaniques.
C ha hap pi tr e V : P r oblè lèm me à étud udii er ( V i br ati ons) V.1 A Ap ppr éci ati on glo glob bale des machi ne ness tour urna nant nte es : A* Objectif : Les machines sont constituées d’éléments simples, assemblés entre eux. La défaillance de l’un de ces éléments peut être détectée par l’observation des signaux des capteurs qui mesurent les paramètres relatifs à ces éléments. Pour un suivi correct, les machines doivent être jugées à l’aide de paramètres présentant deux qualités essentielles : Simplicité de la prise de mesure ; Signification importante de leur contenu.
B* Les différentes formes de vibrations : Vibrations harmoniques : Une vibration harmonique est une vibration dont le diagramme amplitude-temps représenté par une sinusoïde (Fig1.1 (Fig1.1). ). Elle est décrite par l’équation suivante : .sin (ω.t + ) x (t ) = X .sin
(1.1)
Vibrations périodiques : Une vibration périodique est telle qu’elle se reproduit exactement exactement après un certain temps appelé pé péri ode (Fig1.2). Elle est décrite par l’équation suivante :
Vibrations apériodiques :Une vibration apériodique est telle que son comportement temporel est quelconque, c’est-àc’est -à-dire dire que l’on n’observe jamais de reproductibilité reproductibilité dans le temps (Fig1.3 (Fig1.3). ). Elle est décrite par l’équation suivante :
C* Vocabulaire : Ce chapitre fait appel à un vocabulaire qu’il convient de définir au préalable. (Grandeurs remarquables) remarquables)
D* Les grandeurs de mesure : déplacement vitesse accélération
Déplacement vibratoire s (t) : Le déplacement s (t) d’une variable harmonique est décrit par l’équation suivante : )= S .sin (ω.t + ) s(t )=
(1.4)
Vitesse vibratoire v (t) : La vitesse v (t) de cette vibration s’obtient par dérivation de l ‘équation précédente :
Accélération vibratoire a (t):
L’accélération a (t) de cette vibration s’obtient par
la dérivation de l’équation précédente :
Relations entre A, V et S : Il ressort des équations précédentes les relations suivantes entre les modules et les phases :
Modu dule less : Mo
hase sess : Pha
F ig.9 : R elati lation on de de Phase entr ntre e A , V et S
La mesure de A, V et S dans la pratique : Mesures possibles à l’aide d’un moyen électronique
E* Les modes de détection :
Valeur efficace
Valeur crête Valeur crête à crête
Relation entre les différents modes de détection :
Les points de mesurage :
La plupart des vibrations de machines sont issues des parties
tournantes ou oscillantes. Elles peuvent être d’origine mécanique, électromagnétique, hydraulique, etc. On conçoit aisément que les meilleurs points de mesurage dans le cadre de la maintenance des machines sont les paliers et qu’il serait déraisonnable de prendre des mesures sur le cadre (Fig.15 Fig.15). ).
Mesure de vibration relative et absolue (Fig.16 Fig.16)) Vibrations absolues de paliers :Dans ce type de mesure, nous allons appréhender les vibrations apparaissant à la surface de la machine, et plus particulièrement particulièrement sur les paliers. La grandeur de mesure est la vitesse v itesse vibratoire efficace Veff. Elle est définit par les équations suivantes :
Où V neff neff est la vitesse vibratoire efficace de la composante à la fréquence fn.
La norme française AFNOR E 90-301 préconise des relevés vibratoires sur chaque palier, support et bride, dans trois directions perpendiculaires entre elles. Elle propose des seuils de jugement, en fonction des types de fixation (rigide ou souple), qui déterminent les domaines suivants :
NIVEAU D ’ALARME en fonction des classifications
Classe 1 : petites machines jusqu’à 15 KW Classe 2 : machines moyennes à grandes 15-75 KW ou jusqu’à 300 KW sur support spécial Classe 3 : grandes machines sur fondations rigides et lourdes d’une fréquence naturelle supérieure à la fréquence de fonctionnement de la machine Classe 4 : grandes machines de fréquence opératoire supérieure à la fréquence naturelle de la fondation (ex : instr. Turbomachines). vitesse en mm/s 45 28
non admissible
18
non admissible
non admissible
non admissible
11.2
tolérable
7.1
tolérable
4.5
tolérable
2.8 1.8
tolérable
acceptable acceptable
1.12 0.71
acceptable
bon
0.45 0.28 0.18
acceptable
bon
bon
bon
•
Vibrations relatives d’arbre :
On entend par vibration relative d’arbre les
mouvements rapides de l’arbre par rapport à ses paliers. Elles représentent les réactions du rotor aux forces alternatives agissant sur lui. Par exemple, un rotor balourdé est le siège de vibrations d’arbre : son so n centre de masse se déplace sur une orbite appelée or bi te ci ciné nétique tique. On dispose deux capteurs sans contact dans les paliers. Ces capteurs doivent être situés à 90° 90 ° l’un l’un de l’autre dans un même plan (Fig.20 (Fig.20). ).
V.2 Eléments communs aux différentes machines tour to urna nant ntes es : Relation Relati on entre le phénomène phénomène physique physique et la mesure mesure :
Les vibrations ressenties ou
mesurées sur une machine ne sont en fait que la réponse de la structure à la somme des excitations internes ou externes (Fig.23 ( Fig.23). ).
Le signal mesuré est complexe et riche en informations. Pour simplifier, nous allons nous attacher à montrer quelques exemples de diagnostique par analyse vibratoire.
A* Les rou roulem lement entss :
Paliers et roulements sont des éléments de machines très sollicités. La durée de vie prévisionnelle est donnée par le constructeur pour des conditions de charge déterminées. déterminées. Cette estimation n’est cependant valable que
sous des conditions idéales. Eléments d’un roulement
Causess et types Cause types de dégâts dégâts : Un récapitulatif des causes les plus fréquentes se trouve ci-dessous. Stade
Cause des dégâts
Fabrication
Matériaux non homogène Tolérance sur les cotes
Stockage/Transport
Emballage in i nsuffisant Vibrations
Montage
Chocs Mauvaise précontrainte Erreur de cote Erreur de lignage
Service
Surcharge Manque ou excès de graisse Corps étranger (poussière) Substance étrangère (gaz agressif, humidité) Charge thermique
Génération de vibrations sur un roulement défectueux La figure ci-dessous (Fig.26) montre un défaut sur la bague externe. Lorsque la bille passe sur ce défaut, elle génère un choc sur la bague. Ce choc provoque une vibration qui se propage sur la bague, puis sur la cage externe du roulement. On parle ici d’ impulsion.
Ainsi, suivant le défaut, on aura quatre fréquences typiques d’impulsions. L’ordre de grandeur du temps de montée et d’impulsion est de quelques dizaines de microsecondes.
Fréquences de défaillance des éléments de roulements
(Fig.27 Fig.27))
F or orm mules sim si mpliliffi ées pour pour le calcul calcul des fr f r éque uence ncess caract caracté ér i sti stiq que uess de défaut autss B* Les engr engrena enages ges :
(Fig.28 Fig.28))
Les engrenages sont des éléments de construction directement
générateurs de chocs en cas d’usure ou de mauvais fonctionnement.
Exemples de types d’engrenage
Quel que soit le type d’engrenage rencontré, droit, hélicoïdal (simple ou double), ou encore pignons de renvoi d’angle, les considérations ci-après ci-après pourront être prises en compte. On va pouvoir calculer une fréquence fréquence d’engrènement d’engrènement des dentures qui corresponde corresponde à l’effort transmis par le pignon à l’engagement de la dent. La fréquence d’engrènement d’engrènement est commune aux deux pignons.
Chapitre VI : Mesurage des vibrations 1* Intérêt du mesurage des vibrations : Le but est évidemment de préserver et prolonger la durée de vie des machines stratégiques. Pratiquement ces dernières peuvent être affectées par les facteurs suivants :
Les machines elles-mêmes ne sont pas parfaites : Finition insuffisante, Jeux de fonctionnement trop importants, Mauvais équilibrages qui provoquent des balourds.
Un mauvais montage : Mauvais alignements fréquents, Des serrages mal faits, des boulons déforment les pièces, Les fondations ne sont pas suffisamment résistantes.
En marche : Les variations de température provoquent des dilatations, Les charges conduisent à des torsions, des flexions, L’usure accroît les jeux.
2* Mesurage des vibrations : Nous avons choisi comme technique de surveillance les mesures vibratoires, car elles donnent une image réelle de l’état de la machine, au moment de la mesure, et elle offre également des avantages tel que :
Mesure effectuée en marche. Mesure sans démontage. Mesure en continue ou en périodique. Moins coûteuse.
LES TE CHNIQUE S DE S UR VEILLANCE A NA LY S E VIB R ATOIR E caractérisation des efforts dynamiques générés par les pièces en mouvement
caractérisation des impédances mécaniques des structures porteuses (paliers, supports, ...)
(balourd, délignage, instabilité des paliers hydrodynamiques, usures des roulements, dégradations des engrènements, défauts électromagnétiques,...)
Chaîne de mesurage : D’une manière générale, tout système de mesurage des vibrations comprend essentiellement les blocs suivants : Un capteur, Des circuits de conditionnement du signal, Des circuits de traitement de signaux,
Caractéristiques d’un instrument de mesurage des vibrations : Comme tout système mesurage, un instrument de mesure des vibrations doit avoir les caractéristiques suivantes : Une sensibilité suffisante, Un temps de réponse très court, Une bonne fiabilité, Une haute précision, Une très haute fidélité, Masse relativement faible pour ne pas affecter les mesures, Une gamme de fréquence qui couvre la gamme de mesure
souhaitée, Dans certain cas, une bonne isolation contre les températures élevées, les
condensations et les chocs qui fausseraient les mesures.
Techniques de mesurage : Trois paramètres (reliés entre eux) sont caractéristiques des vibrations : - le déplacement, - la vitesse, - l’accélération. Les capteurs associés transforment la vibration mécanique en un signal électrique : capteur de proximité, capteur de vitesse, accéléromètres. La mesure de déplacement s'effectue à l'aide de capteur de proximité (champs magnétiques).. La mesure de vitesse s'effectue à l'aide de capteur de vitesse (courant induit dans une bobine ; Cette technique est peu utilisée). Les capteurs de mesure de l’accélération les plus utilisés sont les accéléromètres piézoélectriques. A partir de l'accélération, on peut calculer par intégration successive la vitesse et le déplacement.
A.
Syst Sy stèm èmes es de me mesu sura rage ge de dess vib vibra rati tion onss li liné néai aire ress ab abso solu lues es :
Disposition du capteur :
Cas des machines de petites et moyennes tailles : les capteurs de vibrations sont généralement généralement placés sur les couvercles de paliers (voir figure 32). 32). Il s’agit donc d’une mesure de vibrations mécaniques de l’enveloppe extérieure de cette partie de la machine.
Cas des machines de grandes dimensions : les capteurs peuvent être logés à l’intérieur des paliers (voir figure 33). 33).
Cette disposition nécessite une sortie du câble du capteur par presse-étoupe qui se fera de préférence dans la partie fixe de la machine et non dans le couvercle du palier.
B. Systèmes de mesurage des déplacements linéaires relatifs (capteurs (capt eurs de déplacem déplacement) ent) : Il existe plusieurs types de capteurs de déplacement ; néanmoins ils peuvent être classés en deux familles :
-
les capte capteurs urs de déplac déplacem ement ent avec avec cont contact act,,
-
les capte capteurs urs de déplac déplacem ement ent sans sans cont contact act..
Capteurs de déplacement à contact : Ces capteurs peuvent être du type transfo différentiel dans lequel une tige solidaire d’un des points fait varier l’induction mutuelle entre deux bobines.
Ces capteurs ont des réponses limitées en fréquence en raison de la masse apportée à la structure à mesurer et des résonances de la tige. Pour ces raisons, on leur préfère généralement les capteurs de déplacements sans contact.
Capteurs de déplacement sans contact :
Dans ce cas la mesure est prise sans contact physique direct avec l’élément sujet aux vibrations. Il existe pratiquement trois types dans cette famille : les capteurs magnétiques, les capteurs capacitifs et les capteurs à courant de Foucault. Dispositio Dispo sition n du capteu capteurr :
Cas des machines de petites et moyennes tailles : les capteurs de vibrations relatives sont généralement tenus par des adaptateurs qui à leur tour sont fixés sur le couvercle des paliers (voir figure 34). 34).
Cas des machines de grandes dimensions : Les capteurs peuvent être logés à l’intérieur l’intérieur des paliers (voir figure 35). 35). Cette solution nécessite une sortie par presse-étoupe du câble du capteur qui se fera de préférence dans une partie fixe et non un couvercle.
3* Fixation des capteurs :
La surface de fixation doit être examinée avec soin en ce qui concerne sa propreté et son poli.
On ne doit pas négliger un défaut quelconque d’alignement entre l’axe sensible du capteur et la direction du mesurage car celui-ci celui- ci risque d’entraîner des erreurs comme celles qui sont provoquées par la sensibilité transversale. Les modes de fixation les plus utilisés sont :
F ixation par goujon, vis ou boulon : - les surfaces doivent être propres, unies et polies à la machine, - surfaces conformes aux tolérances indiquées par le fabricant lorsqu’elles s ont spécifiées, - Les axes des trous de fixation doivent être normaux à la surface de fixation, - On doit utiliser le couple de serrage recommandé par le fabricant pour obtenir une fixation solide sans abîmer le capteur, - Un film léger ou de graisse entre les surfaces permet d’avoir un bon contact et assure ainsi une raideur maximale, - Le goujon ou la vis ne doivent pas toucher le fond des trous de fixation de façon à ne pas perdre sa rigidité au système,
F ixation par collage : Ce mode est utilisé lorsque la structure mise à l’essai ne peut pas être percée, ou lorsque l’isolation électrique du capteur est nécessaire ou bien lorsque la planéité de la surface est insuffisante. On utilise souvent un goujon fileté à une extrémité muni d’un disque plat à l’autre extrémité pour collage sur la structure. Les points suivants doivent être respectés : - la surface doit être nettoyée conformément aux recommandations du fabricant, - en général une fine couche de colle est recommandée car c’est le système qui présente le plus de rigidité, - les colles dures du type thermodurcissables sont préférables aux colles siccatives (ces dernières ont tendance à rester molles à l’intérieur et de ce fait à diminuer la fréquence de résonance),
F ixations diverses :
Beaucoup d’essais de routine peuvent être effectués avec succès en fixant le capteur avec une fine couche de cire à prise rapide dure, en utilisant du ruban adhésif à double face que l’on peut fixer par pression ou bien en utilisant un mode magnétique de fixation.
Partie expérimentale : Mesure des vibrations globales sur une turbine à vapeur
Méthode de surveillance adoptée :
La plupart des méthodes qui sont utilisées industriellement peuvent se regrouper en trois grandes catégories ; celles qui comparent un niveau vibratoire à un seuil fixé par avance, celles qui font appel à la trajectographie et celles qui mettent en œuvre l’analyse fréquentielle. La méthode que nous allons appliquer sur notre turbine sera la suivante :
La méthode des seuils vibratoires :
Les procédés de surveillance classés dans cette première catégorie sont parmi les plus simples et les plus employés. Leur principe repose sur la comparaison d’un indicateur du signale vibratoire avec un seuil fixé. Considérons la vie normale d’une machine ; en fonction du temps, le niveau des vibrations présente une forme dite « en cuvette ». Dans la pratique, quand le niveau dépasse le seuil choisi, une alarme sonore ou optique prévient le responsable du fonctionnement où provoque l’arrêt automatique de la machine. La fiabilité de la méthode dépend donc directement du choix judicieux du signal vibratoire retenu et du seuil d’intervention.
Choix ix du du signa signall : Pour chaque machine, il convient donc de choisir les lieux de captage les Cho plus appropriés (sur bâti, sur un palier, prés d’un accouplement…). Souvent il est nécessaire de disposer plusieurs capteurs, en divers emplacements et suivant des directions différentes. Au choix du signal vibratoire, il faut associer celui de l’indicateur dont l’évolution sera à surveiller. Pour cette méthode, la valeur efficace du signale est le plus souvent retenue dans l’industrie.
Choix du Choix du seuil seuil : La valeur vibratoire à ne pas dépasser peut être fixée de différentes différentes manières. Si le nombre de machines surveillées est grand, si elles sont identiques, si elles fonctionnent dans les mêmes conditions et si de plus il est envisageable de laisser le niveau vibratoire augmenter jusqu’à la destruction de la machine alors il devient possible de fixer empiriquement un niveau qu’il ne faudra plus dépasser.
Définiti Défi nitions ons des points points de mesure mesure : Les paliers ont une durée de vie limitée puisqu’ils
supportent des charges statiques et dynamiques continuellement ce qui finis par la fatigue de la matière et cela est relié directement au rôle qu’ils jouent et qui consiste à une liaison entre les parties fixes et les parties en rotation d’une machine et de plus qu’ils soient hydrodynamiques ou à roulement sont eux-mêmes eux-mêmes la cause de vibration spécifique. La disposition des points de mesures
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6,4
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Conclusion : On suppose qu’il pourrait avoir un problème de lignage entre la turbine et le compresseur et cela à vue d’œil du comportement des paramètres. Cette détérioration pourra être justifié par la surcharge de marche de cette turbine car le cumule d’heures est trop élevé par rapport aux autres machines voisines.
Chapitre VII: Sécurité VII.1) Introduction : VII.2) Définition : La sécurité est l’ensemble des méthodes ayant objet de supprimer les risques s inon au moins de minimiser les conséquences des défaillances ou des incidents dont un dis positif ou une installation peuvent être l’objet des conséquences qui ont un effet destructif sur le personnel, le matériel ou l’environnement de l’un et de l’autre.
•
•
•
Causes matérielles : – Défauts sur machine. – Imperfection (travailler avec de mauvais matériel). – Absence de dispositif de sécurité. – Absence d’information sur l’utilisation. Causes humaines : – Négligence des consignes de sécurité – Manque de formation (incompétence) – Fatigue – Plaisanteries Causes d’environnement : – Pollution – Agent agressif (bruit, chaleur, odeur,…)
A* Accidents: 1* Les dommages pouvant survenir sur le lieu de travail : L’objectif prioritaire c’est légal du chef d’entreprise principale des risques encourus par les salaries et de garantir l’intégrité physique et morale de ceux-ci on distingue trois catégories de risques : - L’accident de travail. - La maladie professionnelle. - L’accident de trajet.
•
L’accident de travail :
Est un évènement a caractère soudain et violant qui provoque immédiatement des lésions corporelles par ailleurs on a deux sortes d’accidents du travail : – Accident de travail grave qui entraîne au moins un arrêt de travail. – Accident de travail bénin qui ne nécessite que sur place.
•
La maladie professionnelle :
Est un phénomène cumulatif, résultant d’une exposition plus ou moins longue à un risque t provoquant une dégradation progressive de l’état de santé de l’individu. Il arrive que, dans de nombreux cas, la limite entre ces deux évènements soit difficile à appréhender.
•
L’accident de trajet :
Bien qu’il soit assimile a l’accident du travail t indemnise comme tel par la sécurité sociale reste a part, car il s’agit de trajet effectué en dehors de l’entreprise et sur lesquels sa possibilité d’action est moindre.
B* Incendies : Est un feu qui se développe sans limite dans le temps, ni dans l’espace.
Le feu : Est le résultat des effets physiques de la combustion, qu’elle-même, est une réaction chimique qui se met en œuvre lorsque l’on réunit trois conditions : * présence de combustible : (matière inflammable) * présence de comburant : (oxygène de l’air) * présence d’une température suffisante, d’une étincelle, ou d’une flamme permettant la mise en œuvre de la réaction. Si un seul de ces éléments vient à manquer, il ne peut y avoir combustion. Cette réaction est exothermique Elle peut avoir plusieurs formes : vive dès l’origine avec dégagement de flamme et de chaleur intense. Feu couvert, sans dégagement de flamme ni de chaleur vive, pendant une durée
indéterminée (feu de bois, papier, cartons, par exemple) Cependant, quelque soient les matériaux combustibles, dès qu’il y a dégagement de flamme et de chaleur, les montées de température sont rapides et intenses.
Les classes des feux : * Classe A : (Feux secs) - bois, papier, carton, tissu, charbon, etc… tous matériaux qui en brûlant forment des braises.
* Classe B : (Feux d’hydrocarbures) - Essence, fuel, huile, graisse, alcool, acétone, solvant, etc…
* Classe C : (Feux de gaz) - Butane, propane, acétylène. * Classe D : (Feux de métaux)
- Magnésium, sodium, aluminium, etc…
Moyens de lutte contre les incidents : a* Extincteurs : Les appareils portatifs de lutte contre les incendies sont appelés extincteurs et sont classés suivant la nature du feu :
pour les feux de la classe (A) c'est-à-dire feux de bois, papier etc… l’extincteur est spécifié par une étoile de couleur bleu. Pour ces feux l’agent extincteur est l’eau.
–
Pour les feux de la classe (B) c'est-à-dire les feux des liquides l’extincteur porteront une étoile blanche. Les agents extincteurs utilisés sont :
La mousse, la ^poudre, (CO2) l’eau pulvérisée n’est efficace que pour les hydrocarbures lourds, et pour le refroidissement des installations. –
Pour les feux électriques l’extincteur porte une étoile noire, l’agent extincteur est la poudre.
–
Pour les feux d’ordre chimique classe (C) l’extincteur porte une étoile verte.
b* Robinets d’incendie armés : Les robinets d’incendie armés sont alimentés par l’eau anti-incendie sous une pression assez élevée.
c* Colonnes sèches : Les colonnes sèches sont des colonnes verticales, vides destinées à faciliter la défense des installations ou les robinets armés ne peuvent être utilisés soit parce qu’ils seraient insuffisamment puissant, ou qu’ils seraient soumis au gel.
VII.3) Rôle du service de sécurité dans l’unité : Le rôle essentiel du service de sécurité est l’animation, l’information, le conseil et l’inspection, il aura remplir et accomplir quatre mission :
•
Mission de recherche : – Analyser tous les accidents afin de déterminer les causes et tirer les renseignements qui servent à l’élimination du retour des faits similaires. – Elaborer les statistiques du secteur, de l’atelier et de l’unité. – Constitué une documentation technique règlementaire. – Etudie les suggestions inscrites sur le cahier de sécurité par l’inspecteur de travail.
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Mission de liaison : – Les différents organismes extérieurs avec lesquels le service de sécurité devra avoir une liaison technique sont : la protection civile, caisse de sécurité sociale, inspection de travail… – Dans le cadre de ses différentes liaisons, le service de sécurité de l’unité devra être en liaison avec le service de sécurité sociale. – Les copies des études d’accident – Les P.V et les commissions d’hygiène et de sécurité. – Les rapports ou les statistiques – Les déclarations d’accidents
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Mission fonctionnelle : – Collaboré à étudier les projets de fabrication. – Participé à étudier le processus de fabrication et d’entretien. – Proposé à la direction et la commission d’hygiène et de sécurité consignes de sécurité concernant certains risques spécifiques tel que consignes d’incendies. – Etude des postes de travail conjointement avec le médecin de travail et la commission d’hygiène et de sécurité. – Participé à la réception des nouvelles machines et installations et les nouveaux équipements.
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Mission opérationnelle : – – – – – –
coordonner les visites des organismes agrée animer les compagnes des sécurités accueil des nouvelles embouches formation des auxiliaires de sécurité et de secouristes sensibilisation des agents de maîtrise et de travailleurs procédé à des visites dans les ateliers de l’unité pour déceler les conditions des actions dangereuses afin d’informer les responsables.
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