Dossier de presse
Départ de la course 19 octobre 2017
Le phénomène Astérix ! Enfin !!! Deux ans après Le Papyrus de César, Astérix et Obélix sont au départ d’une nouvelle aventure dans toutes les bonnes librairies de Gaule et dans plus de 25 pays du Monde Connu !!! Événement éditorial de l’année, le nouvel album d’Astérix arrive avec sa pluie de baffes et de dents cassées qui ravira les passionnés d’aventures rocambolesques, de jeux de mots inimitables, et d’Histoire revisitée.
Astérix et la Transitalique, est le troisième album réalisé par le duo composé de Jean-Yves Ferri au scénario et Didier Conrad au dessin. Le tout sous l’œil bienveillant d’Albert Uderzo, co-créateur avec le regretté René Goscinny du plus grand succès mondial de la bande dessinée avec plus de 370 millions d’albums vendus depuis la première apparition des deux irréductibles en 1959.
ASTÉRIX EN CHIFFRES 2
- 1959 : Première parution, le 29 octobre, dans le magazine Pilote. - 1961 : Parution du premier album d’Astérix, Astérix le Gaulois. 6 000 exemplaires pour le tirage initial. - 37 : Nombre d’albums parus au 19 octobre 2017 - 111 : Nombre de traductions existantes (langues et dialectes). - 13 : Nombre de films tirés d’Astérix, dont 9 longs métrages animés - 370 000 000 albums vendus dans le monde, soit 8 880 tours Eiffel empilées. Mis bout à bout, les albums font 2 fois le tour de la Terre et, entassés, pèsent 12 900 tonnes, l’équivalent de 400 camions de 35 tonnes !
Prêts pour un nouveau voyage ? 3…2…1… Partez !
Quand René Goscinny et Albert Uderzo créent Astérix Tout commence en 1959, nous sommes sur le balcon d’un HLM à Bobigny chez Albert Uderzo. Il ne reste plus que trois mois avant la sortie du numéro zéro de Pilote, les 2 auteurs René Goscinny et Albert Uderzo sont sous pression. Ils doivent créer une série BD issue de la culture française qui soit totalement originale. Pour créer leurs héros, ils passent en revue l’Histoire de France. Et soudain, entre deux fous-rires : Eurêka ! Ils s’arrêtent sur la période des Gaulois. C’est ainsi qu’Astérix fait sa première apparition le 29 octobre 1959 dans le magazine Pilote. Bientôt cette série BD deviendra culte : Les Aventures d’Astérix le Gaulois.
René Goscinny raconte : « Nous nous sommes donc réunis un après-midi chez Uderzo et nous avons cherché une idée que nous souhaitions drôle et originale. Très rapidement, nous sommes tombés d’accord, Uderzo et moi : nous choisirions comme thème de notre histoire les Gaulois, ces Gaulois qui, assez curieusement, étaient un peu oubliés en France et nous semblaient être un sujet plein de possibilités ! Nous inspirant du nom de Vercingétorix, souvenir des premières leçons d’Histoire de notre enfance, nous baptisons aussitôt nos personnages : Astérix, Obélix, Panoramix, et autres « ix ». Nos romains auront des noms en « us », comme par exemple : « Encorutilfaluquejelesus ». Leurs villes, des noms se terminant en « um » : Babaorum, Aquarium, Petibonum ».
Près de 58 ans plus tard… le succès perdure. « Je ne sais pas pourquoi cela marche comme ça. Cela nous dépasse, je ne remercierai jamais assez les fidèles lecteurs d’Astérix, ils ont toutes ma gratitude et reconnaissance ! » dit Albert Uderzo. La potion magique de René Goscinny et Albert Uderzo : une bonne dose d’humour, une pincée d’humilité, un trait exceptionnel, une intelligence de la narration, un zeste de génie, beaucoup d’amitié, une farouche volonté, une franche camaraderie et l’énorme talent conjugué de deux grands créateurs doués d’un sens aigu de l’observation… Et de la dérision… Le 5 novembre 1977 tombe la sinistre nouvelle : Goscinny nous quitte lors d’un test d’effort effectué dans le cadre d’un bilan de santé. Il avait 51 ans. Le choc est terrible pour son ami Albert Uderzo. À partir de ce moment-là, Albert Uderzo reprend, seul, les aventures du héros gaulois et crée les Éditions Albert René. Fort de ses 26 années de complicité avec René Goscinny, Albert Uderzo écrit et dessine de nouveaux albums plébiscités par des lecteurs d’Astérix toujours plus nombreux. En 2011, Albert Uderzo décide de poser les crayons, mais il continue de travailler sur ses personnages avec enthousiasme et accompagne avec bienveillance Jean-Yves Ferri et Didier Conrad dans leur travail artistique.
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Jean-Yves Ferri et Didier Conrad : Interview croisée Parlez-nous de la genèse de ce nouvel album.
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J-Y.F : Par rapport aux deux premiers albums que nous avons conçus en tandem (Astérix chez les Pictes, 2013 / Le Papyrus de César 2015), notre méthode de travail est rodée. A l’époque, je ne connaissais de Didier que son œuvre. C’est Astérix qui nous a réunis ! Il faut savoir que nous habitons à plus de 8 000 kilomètres l’un de l’autre, et que la plupart de nos échanges se font par mail, par téléphone ou par Skype ! Ce n’était pas évident au début, mais on s’y est fait désormais, et le travail en commun devient beaucoup plus aisé. D.C : Nous savions qu’il fallait trouver pour cette nouvelle aventure une destination en dehors des frontières gauloises, et l’Italie, proposée par JeanYves, est rapidement devenue une évidence pour nous. C’est la première étape. Ensuite, il faut trouver une bonne histoire. Jean-Yves est un scénariste de talent, il lui a fallu peu de temps pour trouver l’idée de la traversée de l’Italie sous la forme d’une course d’étapes. Une fois le synopsis accepté par Albert Uderzo, Anne Goscinny et les Éditions Albert René, je n’ai plus qu’à attendre le storyboard de Jean-Yves, et le travail commence pour
moi : de longues nuits blanches à dessiner des personnages bien connus dans le monde entier. Je ne vais pas vous mentir, cela peut être épuisant et très stressant : on ne veut décevoir ni les lecteurs, ni Albert. L’erreur n’est pas une option !
Justement comment décririez-vous votre collaboration avec Albert Uderzo ? J-Y.F : Notre collaboration est devenue très fluide au fil des albums. Lorsque nous lui avons montré les premières pages de notre premier album, Albert avait des remarques à nous faire, que ce soit au niveau de l’histoire ou du dessin. Pour ce nouvel album, il a mis les points sur les « i », au sens propre, car il manquait juste, en couverture, un point « sur les « i » du logo « Transitalique » ! En dehors de cela, il nous a apporté son soutien sur l’ensemble du projet : ses interventions sont des encouragements plus que des critiques. D.C : Effectivement, après 3 albums, nous pouvons considérer que nous commençons à nous approprier à la fois le style de René Goscinny, et le trait, reconnaissable par tous, d’Albert Uderzo. Ce sont deux maîtres absolus. Reprendre leurs aventures est une immense fierté pour nous.
© Anna Rosati
JEAN-YVES FERRI Jean-Yves Ferri est né, comme Astérix, en 1959 dans le Sud-Ouest de la France. Dès sa plus tendre enfance, passée à lire le magazine Pilote, sa vocation est née : il sera auteur de bande dessinée ! Après un passage par la bande dessinée enfantine dès 1990, il s’attèle à son premier album, Les Fables Autonomes (Fluide Glacial, 2 tomes parus avant de créer son célèbre personnage d’enquêteur rural Aimé Lacapelle (Fluide Glacial, 4 tomes parus entre 2000 et 2007). La rencontre avec son comparse Manu Larcenet en 1995 débouche sur la création d’une des plus célèbres bande dessinée, la série Le Retour à la terre (Fluide Glacial, 7 tomes parus), suivie de Correspondances en 2006. Il signe en 2007 et 2010 les deux tomes du Sens de la vis (Ed. les Rêveurs), et De Gaulle à la Plage (Dargaud) dont la suite, De Gaulle à Londres, est très attendue. Entre temps, Jean-Yves Ferri rencontre en 2013 un certain Didier Conrad…
Avez-vous rencontré des difficultés particulières lors de la réalisation de l’album ? J-Y.F : La principale contrainte est le temps ! Deux ans pour concevoir un album d’Astérix, c’est peu. Au début, on se dit « je n’y arriverai pas ». la difficulté est de parvenir à faire rentrer l’univers d’Albert et de René, si riche et foisonnant, dans un récit ne devant pas dépasser 44 planches. Le cahier des charges est ainsi fait, mais au final, cet exercice s’avère être extrêmement stimulant.
D.C : Je pense avoir un avantage sur nombre de mes camarades : à l’instar d’Albert, j’adore dessiner les chevaux, malgré la grande difficulté de la tâche. Et pour la réalisation de ce 37e album, j’ai pu me faire plaisir ! Également, j’ai souhaité pour cet album peaufiner les détails. Chaque planche m’a demandé environ 30 heures de travail, contre 20 pour les deux précédentes aventures. J-Y.F : Je suis sûr que les lecteurs vont être impressionnés par tes dessins ! D.C : Et vont vraiment bien rigoler avec tes gags !
© Anna Rosati
DIDIER CONRAD Didier Conrad est né en 1959, également comme Astérix, à Marseille. Sa première bande dessinée, Jason, est publiée en 1978. Il se lance ensuite dans l’animation des hauts de pages du magazine Spirou en compagnie du scénariste Yann, avec qui il crée par la suite la série mythique les Innommables. Suivront de nombreuses productions pleines d’humour, notamment Bob Marone (1980), L’Avatar (1984) et Le Piège Malais (avec Wilbur). À la fin des années 90, Didier Conrad s’exile à Houston aux Etats-Unis et commence la série Kid Lucky qui raconte l’enfance de Lucky Luke de Morris ainsi que Cotton Kid, autre série pour enfant dans l’univers du Western. Il poursuit ses collaborations avec Wilbur pour Tigresse Blanche (2005), la série RAJ (2007) et Marsu Kids (2011). Il rencontre en 2013 un certain Jean-Yves Ferri…
À vos marques, prêts… Tournez !
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La couverture, enfin !
Le coup de crayon de Didier Conrad nous plonge d’emblée dans l’univers de l’album. Pins parasol, architectures antiques, voies romaines, les décors majestueux de l’Italie antique s’offrent à nous, ce qui ne sera pas pour déplaire à Albert Uderzo, d’origine vénète ! Retrouver le dynamisme, la finesse de trait, et l’humour qui font la potion magique des couvertures d’Astérix n’a pourtant rien de simple, comme le confie Didier Conrad : « Réaliser une couverture d’album est tout un art », nous raconte-t-il. « Cela peut paraître évident, mais résumer l’univers de toute une saga, rendre hommage à des personnages connus de tous et révéler les nouvelles têtes, dégager les thématiques de la nouvelle histoire tout en apportant un certain type d’humour propre à la tradition « Goscinny et Uderzo », le tout en un dessin unique, croyez-moi, c’est un véritable casse-tête ! ». Le décor est désormais planté, et le doute n’est plus permis : c’est bien une course de chars, menée tambour battant par nos héros, qui est au cœur de cette nouvelle aventure ! 6
Alors attelez les chevaux et faites rutiler les chars : Astérix et Obélix vous emmènent à un rythme effréné dans leurs nouvelles aventures italiennes. Pardon, leurs nouvelles aventures italiques !!!
Pourquoi l’Italie ? Aussi surprenant que cela paraisse, Astérix et Obélix, n’ont encore jamais parcouru l’Italie ! Seule Rome a fait l’objet de visites des Irréductibles Gaulois, lors d’un premier passage en 1964 (Astérix Gladiateur) puis en 1972 (Les Lauriers de César). Mais ce magnifique pays ne se résume heureusement pas à sa capitale, tout comme les habitants de l’Italie ne sont pas tous romains, au contraire ! Vénètes, Ombriens, Etrusques, Osques, Messapes, Apuliens : c’est toute une diversité de peuples qui font la péninsule, et tous n’acceptent pas si facilement l’autorité romaine.
« L’Italie ne se résume pas à César, Rome et son Colisée ! Nous nous sommes rendu compte qu’il était enfin temps pour Astérix et Obélix de se faire une idée plus précise de ce qu’était vraiment l’Italie ! » Didier Conrad et Jean-Yves Ferri Albert Uderzo ne pouvait rêver plus beau cadeau de la part des auteurs du nouvel album : une aventure se déroulant dans le pays de ses origines. Au menu de cette 37e aventure : gastronomie succulente et généreuse, monuments antiques de toute beauté, et paysages sublimes à traverser, peuplés de personnages hauts en couleurs. 9
Il paraîtrait même que certains d’entre eux pourraient évoquer des personnalités contemporaines bien connues de tous...
Une course de char à travers les voies romaines Afin d’affirmer le prestige de Rome et l’unité des peuples de la péninsule italique, Jules César approuve l’organisation d’une course ouverte à tous les peuples du Monde Connu, et visant à démontrer de manière éclatante l’excellence des voies romaines. Aux organisateurs de l’événement, César pose une condition sine qua non : l’attelage romain doit IMPÉRATIVEMENT franchir la ligne d’arrivée en vainqueur (il semblerait qu’à l’époque, sport, politique et spectacle étaient déjà intimement liés…) ! Hélas pour César, c’était sans compter l’inscription à la course de nos deux champions gaulois qui risquent de chambouler ses rêves de grandeur... Pour Jean-Yves Ferri et Didier Conrad commence alors le long travail de création des nombreux équipages que la course verra s’affronter. Mais arrêtonsnous un instant sur le char de nos deux héros gaulois, magnifiquement orné du symbole gaulois par excellence : le coq. Un détail, et pas des moindres, saute immédiatement aux yeux : c’est bien notre ami Obélix qui est l’aurige (le conducteur du char) de l’équipe de Gaule, Astérix s’en tenant au rôle de copilote ! 10
« Tous les personnages créés par le tandem Goscinny-Uderzo possèdent un petit quelque chose qui les rend unique. Astérix, Idéfix, Abraracourcix, Falbala… La liste est longue ! Mais je partage l’avis de la plupart des lecteurs assidus de la saga : mon préféré reste ce grand enfant au grand cœur et un peu pataud ! Tout le monde adore Obélix, et moi le premier ! Je me suis dit, que pour ce nouvel album, il fallait lui rendre hommage de manière un peu plus appuyée. Je n’ai eu aucune difficulté à rallier Didier à ma cause ! » Jean-Yves Ferri
« Obélix est moins simple qu’il en a l’air. C’est le personnage le plus enfantin de la série, et donc le plus susceptible d’évoluer. Anatomiquement, c’est le plus fantaisiste. Au fur et à mesure des albums, ses proportions ont beaucoup varié. Il nous a semblé logique à Jean-Yves et moi de lui donner un rôle plus important que d’habitude. Cette fois, c’est bien Obélix qui dirige la course et l’histoire. » Didier Conrad
Dans cette planche où la course bat son plein, les esprits s’échauffent : le story-board de Jean-Yves Ferri évoque des Hell’s Angels version 50 avant Jésus-Christ, tandis que le copilote de l’aurige romain s’exprime dans un argot réservé jusque-là dans la série à des optione et décurions de second rang. Ils sont fous, ces auriges !
Dessinée par Didier Conrad, cette planche nous entraîne à 100 à l’heure, les héros fuyant vers la droite de la page pour nous entraîner vers la suite de l’aventure. Autour d’eux, les auriges concurrents, venus de tout le monde connu, sont chacun à leur tour figés dans des expressions hilarantes.
Les équipages Petit état des lieux des équipes en lice pour gagner la grande course de la Transitalique, à laquelle participent des représentants de nombreux peuples antiques. C’est tout le Monde Connu qui veut briller !
Les Gaulois sauront-ils déjouer les pièges tendus par les redoutables Romains ? Et parmi les nombreuses autres équipes, viendront-ils à bout des intrépides Bretons ? Seront-ils plus rapides que les Perses ou les Sarmates ? Ne perdront-ils pas leur avance face aux valeureux Goths ?... Sans compter les chars d’autres peuples italiques qui voient d’un mauvais œil l’hégémonie de Rome…
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Char breton
Char perse
Char goth
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Char sarmate
L’aurige masqué « Meilleur est le méchant, meilleur est le film ». René Goscinny et Albert Uderzo, grands cinéphiles, ont retenu la leçon du maître Alfred Hitchcock dans la confection des antagonistes qui viennent régulièrement perturber la vie tranquille au village de leurs héros gaulois. Pour ne donner qu’un exemple, le sourire diabolique d’Amonbofis, s’écriant « je viens d’avoir une idée horrible ! » dans Astérix et Cléopâtre, est digne des méchants les plus diaboliques du grand cinéma. Dans Astérix et la Transitalique, Jean-Yves Ferri et Didier Conrad innovent en introduisant le mystérieux aurige masqué : Coronavirus, le champion romain aux MCDLXII victoires ! Ne reculant devant rien pour voler la vedette à ses adversaires, et souhaitant obtenir une nouvelle victoire pour sa gloire et celle de Rome, Coronavirus est un concurrent redoutable dont le sourire figé ne dit rien qui vaille à Obélix.
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Pour ce personnage atypique, Didier Conrad a dessiné une dizaine de masques proposant des options narratives variées. « J’ai travaillé un peu dans toutes les directions possibles » explique-t-il. « Il vaut toujours mieux choisir en fonction du récit, le design devant suivre, et j’ai donc eu besoin de poser à Jean-Yves beaucoup de questions. Doit-il avoir une gestuelle précise ? Est-il sérieux ou fanfaron ? Parle-t-il et, si oui, comment s’exprime-t-il ? Jusqu’au où aller dans le côté dramatique ? »
Pour le masque, les propositions de Conrad vont du design épuré au masque de Zeus / Jupiter, de l’option « hilare » à la version effrayante, en passant par des variations de casques grecs. Jusqu’à un masque « double » (drame / hilarité), inspiré par la figure de Janus, le dieu romain à 2 têtes. Ferri fait son choix selon des critères très précis : « Je le voulais fanfaron, c’est sûr ! Mais surtout ironique, car pour moi ce que le masque devait exprimer en premier, c’était une supériorité sur les autres concurrents. Le masque permet aussi de jouer sur le mystère de l’identité, à la manière de quelques méchants célèbres de la bd. »
ALORS… QUI SE CACHE DERRIÈRE CE MASQUE ??? 17
Astérix et la Transitalique : les éditions en langue française Le 19 octobre 2017
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Édition Classique 9,95 € 48 pages 218 x 287 mm 1er tirage : 2 millions ex.
Édition Luxe 39,00 € 128 pages. Dos carré toilé, tranchefile 365 x 260 mm 1er tirage : 10 000 ex.
Le 30 novembre 2017
Numérique 7,99 €
Art Book 199,95 € Livre : 112 pages. Dos carré toilé, tranchefile Pochette de 12 ex libris dont 1 signé par Didier Conrad et 1 signé par Jean-Yves Ferri 290 x 370 mm Tirage limité à 1 400 ex. numérotés
Astérix et la Transitalique : les éditions internationales en 2017
Anglais
Allemand
Asturien
Basque
Castillan
Catalan
Danois
Finnois
Galicien
Italien
Mirandais
Néerlandais
Norvégien
Polonais
Portugais
Suédois
Tirage total : 5 millions d’exemplaires
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