cours de systémes d'information
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Le plan Définition du système d’information 1) les concepts fondamentaux Chapitre I : Le Système • Définition • Les composantes • Les différents types du système Chapitre II : Le Management Chapitre III : l’information • Définition. • Typologies de l’information et les flux d’information • Les théories de l’information o Théorie classique ; o Théorie contemporaine.
2) Fonction des Systèmes d’information et Technologie de l’information. Chapitre I : Les Fonction d’un Système d’information. • L’écoute • La Mémorisation • Le Traitement. • La Diffusion. Chapitre II : Les Technologies de l’information. • Définition. • Les différentes solutions offertes. • Les Différentes approches de l’information : o L’approche Classique ; o L’approche Stratégique.
3) Les deux grands Types de Système d’information. Chapitre I :
Les systèmes d’information internes
Chapitre II : Les systèmes d’information sur L’environnement de l’entreprise ( Veille Stratégique, Intelligence économique)
4) La Fonction Gestion de l’information : Chapitre I : L’organisation de l a fonction gestion de l’information. Chapitre II : Le développement des systèmes d’information. Chapitre III : La gestion économique et Sociale des systèmes d’information.
Définition de système d’information REBERT REIX définit un système d’information comme suit : « l’ensemble
d’éléments (personnel, matériel, logiciel) permettant d’acquérir, traiter, mémoriser et communiquer les informations »
C.DUMOULIN : « le
système d’information peut être définit comme l’ensemble des informations formelle cerclant dans l’entreprise, ainsi que les procédures et les moyens nécessaires pour les définir, chercher, formaliser conserver et distribuer ». le système d’information est un système utilisateur machine intégré qui produit de l’information pour assister les êtres humains dans les fonctions d’exécution, de gestion et de prise de décision. le système utilise des équipements informatiques et des logiciels des bases des données, des procédures manuelles, des modèles pour l’analyse, la planification, le contrôle et la prise de décision ».
GORDON, B.DAVIS et autres : «
un système d’information est un système ou un réseau d’informations formalisé et structuré en fonction des besoins et des possibilités de l’organisation. S’appuyant sur un système évolué de traitement des données pour fournir à tous les managers en temps opportun et sous formes directement utilisables des informations nécessaires pour la direction et la gestion de l’organisation » LUIS RIGAUD : «
HUMBERT LESCA : « le
système d’information de l’entreprise est l’ensemble interdépendant des personnes et des structures d’organisation des technologies de l’information, matériel et logiciel, des procédures et des méthodes qui devraient permettre à l’entreprise de disposer juste à temps des informations dont elle aura besoin pour son fonctionnement courant et pour son évolution »
F.ROWE et R.REIX 2002 : « un
système d’information est un ensemble d’acteurs sociaux qui mémorisent et transforment des représentations via les technologies de l’information et des modes opératoires : * le système d’information est concerné par l’information formelle. * le système d’information a pour finalité de la production de l’information qui est nécessaire pour les différents niveaux de management. * l’information est produite suite à un processus qui est constitué par un certain nombre de moyen » Chapitre I : Le Système 1) Définition d’un système LUIS RIGAUD : « un
système se définie comme un ensemble d’éléments en interaction organisé en vue d’atteindre un objectif commun » J.LUIS et LIMOAGNE : « le système est un objet qui dans son environnement est doté de finalités, exerce une activité, et voire sa structure interne évoluer, ou fil de temps sans qu’il perdre pourtant son identité unique ». La Fonction d’un système est de transformer de entrées vers des sorties.
Transformation Entrées
Soties
Conception fonctionnelle d’un système d’information 2) Les composantes d’un système : Les Eléments : tout élément, quelque soit sa nature, possède des propriétés et des caractéristiques tout en attribue la manifestation externe de l’existence d’un élément et de la manière comme il est observer et connu. le fonctionnement du système a presque toujours pour conséquence de la modification des caractéristiques de ces éléments. le choix des éléments est une tache extrêmement importante dans le système entreprise.
* Les Relations entre les éléments : c-à-d que les éléments du système interagissent entre eux, ce qui fait, ce dernier ne consiste pas en une simple juxtaposition de composantes c-à-d
(Les éléments d’un système doivent entretenir des relations entre eux), ainsi l’apport fondamental de l’approche systémique se résume en grande partie dans le fait que cette dernière mit l‘accent sur les relations entre les éléments qui constituent le système considéré. Elle se distingue en ce la de l’approche analytique qui étudie les éléments séparément les un les autres, ce sont ces liaisons qui présentent les conditions de fonctionnement de système. la place et la fonction d’un élément dans un système dépend à la fois de ses qualités propres et de ses relations avec les autres éléments de système. La Structure d’un système: Le système constitue une entité où les éléments reliés par des liens, dans le système entreprise qui est également une entité, les éléments entretiennent les liens reconnus dénommés structures à fin de former un tout unitaire. Cet ensemble qui est l’entreprise est relié à son environnement par les entrées (en matières première, énergie, produits semi finis, …etc.) et les sorties (en produits finis), et ces résultats réalisés après l’opération de transformation que requiert la mise en œuvre des moyens financiers et personnels. L’objectif d’un système : Le système est constituer donc en vue d’atteindre un but donné commun à l‘ensemble d’éléments, c’est pour cette raison qu’un système est différencié d’un simple ensemble d’éléments ou de relations. Contrôle et régulation : Dans le but de poursuivre en unité, et de poursuivre les objectifs qu’il s’est fixés, le système arrive à un certain stade d’action où il mesure des résultats obtenus. En les comparant aux objectifs afin de détecter des écarts et de passer au stade de correction et de régulation. Ce qui sous entend la réorientation de l’action du système.
entrée
Traitement
sortie
Rétroaction Feed-back Remarque : L’utilisation d’une partie des sorties comme entrée s’appelle : bouchage, rétroaction ou Feed-back. La Frontière : Pour distinguer un système de son environnement, il est importent de lui fixer des limites ou des frontières, celle-ci peuvent être de deux types : physiques ou conceptuelles, et elles sont formées des caractéristiques qui définissent et démarquent le système par rapport a son environnement. L’environnement : Les deux concepts « système et environnement » sont inséparables et se délimitent mutuellement. L’environnement est définit comme étant l’ensemble des éléments qui n’appartiennent pas au système mais dans l’état est susceptible d’affecter ou d’être affecter par ce dernier (l’environnement).
La délimitation n’est pas toujours aisée, car il est difficile dans certains cas de dire qu’un éliment ou une relation appartient ou non au système, par conséquence ils sont par fois définis d’une manière arbitraire, pour minimiser l’erreur on se base sur l’objectif du système de façon a ce qu’on néglige des éléments et des relations n’ayons pas d’influence directe sur la finalité poursuivie. Remarque : - le système se trouve à l’intérieur de ses frontières, on dit que l’environnement est un extérieur. - l’environnement contient des données et des contraintes qui constituent un cadre déterminant des performances du système. 3) Les Différents types des systèmes : Trois classifications du système : * Les systèmes Déterministes : Ils fonctionnent d’une manière prévisible (savoir à l’avance les résultats), cas d’un problème fonctionnel seul sur l’ordinateur. * Les systèmes Probabilistes : Se sont les systèmes dont le comportement ou le fonctionnement est accompagné d’un risque d’erreur. * Les systèmes Fermés et Ouverts : Cette distinction est liée au concept d’entropie que peut être positif ou négatif. Entropie : une grandeur thermodynamique permit d’évaluer la dégradation, l’énergie d’un système. L’entropie d’un système caractérise le degré de désordre d’un système. a) Les systèmes Fermés : ils sont définis en physique comme étant ceux qui ce contiennent en eux même, ils n’échangent ni de matière, ni d’énergie, ni d’information avec l’environnement, ils n’ont pas d’interface avec l’environnement, ils sont isolés et finissent par la disparition, ce mouvement est nommé « croissance d’entropie » dans la terminologie des systèmes. b) Les systèmes Ouverts : ce sont ceux qui échangent de l’information, de matière, d’énergie avec l’environnement, ceux-ci résultent à prévenir et à (éliminer) une augmentation d’entropie et permettent au système de s’exister, ce mouvement se désigne par le terme « d’entropie négatif », (exemple les systèmes biologiques et les systèmes organisationnels).
Les systèmes Homme Machines : Ils sont définis par la combinaison entre les facteurs humains et les machines pour l’exécution de certaines taches, les éléments matériels sont relativement fermés et déterministes alors que les éléments humains sont ouverts et probabilistes. Divers combinaisons hommes-machines sont possibles, on peut maître l’accent sur la machine ou sur l’homme.
Chapitre II :
Le Management
Environnement données
Donn système opérationnel
Information système d’information
système de management
Décision
organisation
Détermination de l’information vers le contrôle
système de pilotage
informations de commandement
système d’information
système effectuent des opérations courantes
information du contrôle
Frontière de l’entreprise
1) Le système opérationnel : Il est effectué par la transformation des caractéristiques de l’objectif du système global et sa traduction en missions techniques en administratives telle que la production, le transport, l’entretien. 2) Le sous système de management ou de pilotage : A comme rôle de gérer le système global, il guide le contrôle, et régule les processus techniques, économiques et administratifs. 3) Le système d’information : Joue le rôle d’intermédiaire entre les deux autres systèmes (opérationnel et pilotage) en transmettant des signaux, les règles et les décisions qu’ils échangent. Il assure également le rôle de liaison avec l’extérieur en transmettant les informations utiles en prévenance et à destination de l’environnement. On comprend alors que le Management constitue un système dont les entrées sont des informations et les sorties sont des décisions.
Définition du Management : Les expériences des entreprises liées à la complexité de l’environnement, ont suscité une évolution et reconsidération des modes de direction des organisations, cette évolution
s’est traduite par le passage du stade de l’administration pour aller à ce lui de la gestion pour arriver en fin au Management. L’administration s’explique par l’organisation et une direction au jour le jour aucun effort de prévision ni de planification, c-à-d s’occupe de la situation présente sans accorder de moindre importance au futur. Administration
Expérience des entreprises + évolution de l’environnement
Gestion
Management
La gestion est venue après les limites observées par les dirigeants des entreprises dans l’administration, concluant sur la nécessite de la prévision pour permettre à l’entreprise de maîtriser et contrôler les mutations de l’environnement et s’y adapter. La gestion peut se définir comme le pelotage de toute l’organisation et de sa direction vers un objectif pour une situation qu’elle souhaite a faire. Le management qui est le fruit de cette évolution et pratique qui s’inspire des sciences économiques et sociales. Le concept qui a envahir les langues est un concept anglo-saxon qui est issu de l’italien MANIGIAIRE et de verbe « Manus » (Management). Faire de Management c’est prendre en main, avoir bien en main, autrement dit ; diriger au main ferme. FONESTER : considère le management comme le processus de transformation de l’information en action, un processus qui est équivalant a la prise de décision. Quant aux KAST et RASENZWEIG : le management inclue la coordination des ressources en homme et en matériel pour atteindre un objectif. de ces différentes définitions on conclut que la management a trait principalement à la mise en œuvre des moyens techniques, financiers, organisationnelles et humains dont dispose le manager pour atteindre des objectifs qu’il s’est fixés. Le management consiste alors en la préparation de l’ensemble de l’organisation a la réalisation des taches futures, cette opération repose sur l’élaboration des plans, le choix d’une structure, l’adoption d’un style de direction et la mis en œuvre d’un contrôle. Remarque : la pratique de management varie selon le type de l’entreprise, la stratégie, le type de l’environnement et selon le degré de la complexité de la technologie au quelle on peut être confronté, autrement dit, le management varie en fonction des caractéristiques internes et externes de l’entreprise. Le management n’est pas uniquement une volonté de maîtrise de la situation, il consiste a faire que les événements se réalisent ou lieu qu’attendre qu’ils se produisent spontanément. Le management n’est pas un ensemble de tache mais une activité notamment différentiable des autres grandes fonctions de l’organisation. Elle se décompose en cinq sous fonctions : - la planification ; - l’organisation ; - l’encadrement ; - le commandement ; - le contrôle.
S Y S T E M E D ‘ I N F O R M A T I O N
Finalisation
Organisation
Animation
L’encadrement Le commandement
Contrôle
Le Processus de Management
Les sous fonctions du système du management : Le processus de management comprend cinq sous fonctions qui peuvent être résumées comme suit : 1) La Planification : consiste à prévoir et programmer l’activité future de l’organisation à fin d’atteindre les objectifs. C’est une fonction qui s’exerce à tous les niveaux de l’organisation bien que les caractéristiques de top comme un processus continu de choix entre différentes
la planification est une fonction clé consistant à trouver les moyens les plus approprier pour faire quelque chose ; la planification implique tout d’abord la volonté de préparer la rencontre avec le futur et par la suite de prévoir, de décider à l’avance quoi faire ? Comment le faire ? Et qui doit le faire ? »
alternatives conduisant à des décisions. à ce propos L.RIGAUT dit «
Le processus de planification comprend les étapes suivantes : - Définition des objectifs ; - Définition des politiques ; - L’établissement des plans ; - L’établissement des programmes ; - L’établissement des budgets. 2) L’Organisation : Le mot organiser est un mot grec qui signifie l’harmonie, il recouvre l’ensemble des relations formelles et informelles au sein de l’entreprise et celles qui la relient à son environnement.
Organiser consiste à créer un cadre de travail dans un environnement à fin de surmonter les difficultés qui peuvent créer des incertitudes, et la turbulence de ce dernier (environnement) ce qui ne pourra se faire sans l’accès à l’information. L’organisation peut en fin être assimilée à un processus logique par étape, visant à faire un ensemble de moyen matériels, humains, techniques, un tout fonctionne harmonieusement en vue d’atteindre des objectifs. 3) L’encadrement : Il est reconnu depuis longtemps que l’organisation la mieux dotée en dirigeants est celle où la fonction management est accomplie avec efficacité, celle dont laquelle chacun travail efficacement et apporte avec succès sa participation à l’ensemble de système. La fonction mangement se charge d’une sous fonction très complexe, à savoir l’encadrement qui peut être définie par le choix, la formation et l’appréciation des cadres pour constituer son pôle de manager. L’entreprise se réfère aux marchés des managers à fin d’apprécier les candidatures qui se présentent à elle. l’appréciation est difficile, d’une part, de fait qu’il faudrait avoir une idée précise sur les exigences professionnelles qui sont différents suivant le niveaux hiérarchique, d’autre part, de la connaissance que l’on a de l’expérience passée d’un candidat et de la conséquence de son évolution. Autre la sélection est une opération dans laquelle pourrait intervenir les facteurs subjectifs au détriment des facteurs objectifs. Une fois le candidat retenu, se posent à ce moment les problèmes de formation à fin de réaliser une meilleur adéquation entre les exigences du poste de travail et les connaissances, aussi que les potentialités de candidat admet au poste. Et cela, dont l’objectif d’assurer son adaptation dans l’organisation. La formation implique l’établissement des plans de carrière aux relations des postes, la formation psychologique, l’organisation des conférences, la formation universitaire… etc. en fin, l’encadrement est exigé à tout responsable d’apprécier les cadres placés sous sa responsabilité, tout en visant l’adaptation et l’évolution de ces derniers. De là, nous constatons que l’appréciation, la sélection, aussi la formation constituent une source de décision de la qualité de l’information dont dispose le manager. 4) Commandement : Le commandement est une fonction complexe ayant pour but d’encourager les subordonnés à travailler efficacement pour la réalisation des objectifs à C, M et L terme de l’organisation. La motivation fait que les hommes assurent leurs fonctions dans des conditions psychologiques favorables pour eux et pour l’organisation. Chaque manager applique les politiques de personnel et assure une direction effective en vue de maintenir un climat sociale stable au sein de l’organisation, il faut que ses subordonnés lui inspirent confiance. Il doit de son coté assurer à chacun la sécurité suffisante. La communication qui se définie comme un échange d’information, peut constituer un élément particulièrement important de commandement. La communication vise à créer les liens de confiance, ce qui est le fondement des bonnes relations humaines. Le leadership est le concept qui explicite tout ce qui a été dit précédemment, il se définie comme : l’aptitude d’un manager à inciter les subordonnés au travail avec confiance et esprit de groupe dans le but de respecter les objectifs fixés et de réaliser les résultats souhaités. 5) Le Contrôle : Cette dernière fonction de management qui représente la synthèse des fonctions précédentes, à pour but essentiel d’assurer que l’activité de l’organisation est conforme aux plans établies pour la réalisation des objectifs choisis. Le contrôle, et après prise de conscience des résultats obtenus, implique la modification d’évolution et la réorientation des méthodes de direction. Pour contrôler, il faudrait s’informer continuellement et systématiquement sur l’évolution de l’action à fin d’en déduire les écarts de réalisation par rapport aux objectifs fixés. Le contrôle est un processus qui se décompose en quatre étapes :
L’établissement des standards : les standards sont des critères définis pour servir des bases de comparaisons. Ils représentent, de façon plus technique et quantitative, l’expression des buts de la planification. La mesure des réalisations : L’appréciation des résultats : il consiste en la comparaison des résultats avec les standards. La correction des écarts : la correction est la régulation passent inévitablement par une action sur les causes ayant provoqué les déviations. Intelligence
identification du problème
Conception
Chercher les solutions possibles
Choix
Designer la solution à choisir entre les solutions possibles
Mis en œuvre
Le contrôle
Processus de décision
Les moyens de décision : Pour aller des données à l’action, nous avons trois moyens : Les images : se sont des représentations qu’on se fait de certaines réalités on se basant sur les informations recueillies et sélectionnées. Les opérateurs élémentaires : se sont des transformations simples qu’on applique en données reçues, disponibles à fin de les rendre cohérents avec les informations déjà mémorisées pour qu’elles soient utilisables directement. Les programmes : se sont des règles apprises ou construisent par le décideur, qui lui permettre de combiner divers opérateurs élémentaires. Les types de décision : Pour classer les décisions, il existe plusieurs critères : * selon les fonctions organisationnelles : * selon l’importance de la décision (stratégique, opérationnelle, tactique) * suivant la possibilité de l’individu ou de l’organisation à décrire Le processus décisionnel. * terme de la décision (long, moyen, et court terme) * risque * aléatoire. Pour prendre des décisions, le manager utilise et combine entre plusieurs sources Les plus importantes sont : * l’expérience de manager : joue un rôle capital dans la prise de décision. Les sources de prise de décision : Pour prendre les décisions, un Manager utilise et combine entre plusieurs sources ; les plus importantes sont : - L’expérience du manager : joue un rôle capital dans la prise de décision. Dans le cas des décisions programmables, le dirigeant cerne le problème, il ne trouve pas de problème lors de la prise de décision, c’est dans le cas des problèmes complexes que
l’expérience de Manager est insuffisante. Elle sert à identifier puis évaluer les critères de décision telle que les coûts maîtrisés. Les standards : les entreprise élaborent des politiques et des règles de décision standards qui leurs permettent et leurs fournissent un cadre de référence en se basant sur l’expérience. Les données et les faits : le complexé du domaine de la gestion conduit les managers à connecter un grand nombre de données sur tous les acteurs de l’environnement. Les données leurs permettent de formuler des recommandations et des plans d’actions. Les modèles : l’utilisation des modèles d’aide a la décision devenue un préalable dans le domaine de mangement. La construction des modèles facilite pour les managers une définition précise du problème à résoudre, et une formulation des objectifs poursuivis. Chapitre III : L’information I) Définition : - En un sens général, l’information signifie renseignement, nouvelle connaissance, savoir. Dans le domaine scientifique, plusieurs éléments de définition ont été proposés suivant les disciplines concernées. - En biologie, elle s’est considérée comme étant un élément de maintient de l’organisation. - En cybernétique, l’information désigne n’importe quel signe qui peut être transmit et stocké. La plus petite information qui puisse être transmise et stockée est un caractère ou binaire. - En statistique l’information est définie comme un élément de réduction de l’incertitude. Dans les domaines des systèmes d’information, l’information est définie : - G.B.DAVIS et Autres : « l’information est définie comme étant une image et des faits,
elle les représente elle corrige ou confirme l’idée qu’on se faisait ». Aussi selon les autres, « l’information représente aussi les données transformées sous une forme significative pour la personne qui la reçoit, elle a une valeur réelle ou perçues pour ses décisions et pour ses actions. » - A.MEYERE (1990) : « l’information est ce qui forme ou transforme une représentation dans une relation qui lie un système a son environnement. » - METESE : (1990) « l’information pour un être vivant ou un automate, tout signal, tout GSM, toute conception qui produit un effet sur son comportement ou sur son état cognitif. » Remarque : L’examen de ces définitions permit : * N’est considère comme information que celle qui se traduit par un effet sur le système récepteur. L’action est mise sur le récepteur de l’information et non l’émetteur, par conséquent l’information n’existe pas en soit, mais par rapport a un système sur le quel se traduit par un effet.
* Un système ne fonctionne, et n’est dynamique que s’il est alimenté en informations, quelque soit leurs origine, interne ou externe, c’est la réaction du système a chaque réception de l’information. * Il y a distinction entre donnée et information, la première c’est la matière première tandis que la deuxième c’est le résultat. L’information et le processus sont le résultat de rencontre d’une donnée et d’une question préalable ou potentielle que se pose le récepteur. La donnée est une formule écrite, enregistrée, graphique, textuelle…etc. Le système d’information sert donc à transformer les données en informations - L’information est utilisée pour la prise de décision, et dans d’autres action comme : la motivation et la mobilisation du personnel, la production, mais elle n’a de valeur que si elle exerce une influence donnée sur ces actions et ces décisions. Les flux d’information : il existe trois flux d’information : L’entreprise
Information de l’intérieur vers l’extérieur
de l’intérieur vers l’extérieur
de l’extérieur vers l’intérieur
Environnement
* Les flux interne : ce sont tous les flux qui naissent en un point de l’entreprise pour aboutir vers un autre point, les informations en question sont produites par l’entreprise pour son propre usage. * Les flux orienté de l’intérieur vers l’extérieur : ce sont les flux d’information qui émanent de l’entreprise vers les acteurs extérieurs. * Les flux orienté de l’extérieur vers l’intérieur : ce sont les flux d’information qui émanent de l’extérieur de l’entreprise et acheminent vers celle-ci. Les critères de l’information de valeur : A fin de pouvoir assurer leurs différents rôles, les informations doivent rependre à un certains nombre de caractéristique : La vitesse ou la rapidité : c’est le temps où l’information va de son émetteur vers son récepteur. L’accessibilité : c-à-d la possibilité à toute personne de l’entreprise d’aboutir à l’information désirée ou moment voulu et sans obstacles. L’intelligibilité : c’est la capacité d’une information à être perçue, comprise et utilisée par son destinataire. La pertinence : c’est la capacité d’une information à rependre à un problème posé. L’exhaustivité : c’est la capacité de l’information à représenté d’une façon complète un objet ou un événement. La fiabilité : c’est la capacité d’une information à être une image fidèle et sure d’un objet ou d’un événement, c’est sa crédibilité.
La précision : c’est la mesure plus au moins exacte d’un phénomène. La valeur : c’est le coût économique ou le gain réalisé grâce à des meilleures décisions prendre en disposant de l’information. En fait, ces critères dépendent de système d‘information lui-même, de moment que les informations ne sont que son produit. Typologie de l’information : Il est important de classer l’information pour les raisons suivantes : - avec le développement scientifique et technologique, l’information est développée, elle est devenue très volumineuse, ce qui ne permet pas de la trouver en un ensemble (Volume). - Il faut déterminer les caractéristiques de l’information recherchée. Pour en définir les sources, différentes typologies sont proposées par les auteurs, en se basant sur les critères divers à savoir : - la source et support de l’information ; - la forme et la classe de l’information ; - la nature de l’information ; - l’importance de l’information ; - la finalité de l’information.
1) L’information selon ses sources et ses supports : Deux catégories d’information sont distinguées en fonction de ce critère : Les sources formalisées : définissent toutes les informations dont la caractéristique est d’être enregistrée sur un support quelconque, papier, magnétique, micro fichier, film, CD. Les sources informelles : concernant toutes les informations qui ne font pas partie de la première catégorie, généralement, ces informations sont détenues à base des échanges personnels entre individus. 2) L’information selon sa forme et sa classe : D’après ces critères, l’information peut être alphabétique, alphanumérique, numérique et ce distingue en information brute ou élaborée. Information brute : est celle qui est acquise directement sans qu’elle avoir subit aucune transformation, elle peut être primaire (documents originaux prévenants de périodiques, ouvrages, thèses, brevets.. etc) ou secondaire (après avoir subit au préalable un traitement de commentaire). L’information élaborée : est celle qui est obtenue suite à un ou plusieurs traitements de l’information brute. Ce travail consiste en une validation, un contrôle, une traduction, un recoupement ou autre, est donne à l’information une valeur supplémentaire, il s’agit d’une véritable valeur ajouté de l’information. 3) L’information selon sa nature : Par ce critère on cherche à délimiter les domaines (à l’intérieur comme à l’extérieur de l’entreprise), objet d’une recherche d’information, à savoir les domaines : scientifique technique, technologique, technico-économique et complémentaire (réglementaire et de contrainte).
L’information scientifique : elle se situe en autant de fait de son caractère théorique, elle est produite essentiellement par les centres et laboratoires de recherche comme résultats des travaux des chercheurs, et particulièrement bien maîtrisable parce qu’elle est couverte de façon satisfaisant par plusieurs sources (revues scientifiques, banques de donnée, thèses, rapports de recherche, coptes rendus des congrès). L’information technique : concernant le développement des produits, elle est souvent publiée dans des brevets et des bases de donnée, c’est une information disponible mais requiert d’importance recherchée, elle ce situe dans le cadre de la politique de la propriété industrielle de l’entreprise. L’information technologique : se caractérise par son aspect pratique, car elle est orientée vers les applications industrielles, c’est une information difficile à chercher et à collecter, car elle concerne le savoir faire technologique (know how), l’ingénieur et l’assistance technique. L’information technico-économique : concernant les données macroéconomiques et commerciales relatives aux produits et leurs marchés, aux concurrents, aux fournisseurs et aux clients, c’est une information assez difficile à acquérir, non pas pour sa rareté, mais son important volume nécessitant des traitements élaborés pour en dégager celle qui est pertinente. L’information complémentaire : concernant la législation et la réglementation relative aux normes, à la sécurité de l’environnement naturel de l’entreprise, c’est une information disponible en général, et elle a un caractère de gratuité pour l’entreprise. Remarque : Cette classification est en partie liée aux processus d’innovation de produit qui débute par la phase recherche et développement et se termine par la commercialisation. 4) L’information selon son importance : Pour ce critère on peut distinguer plusieurs classifications de l’information : En fonction de sa nécessité et de son utilisation progressive dans le processus de décision où nous avons : - L’information fatale : représente l’importance flou qui submerge (couvre) l’entreprise, elle est difficilement évitable et n’a aucun intérêt. - L’information intéressante : c’est l’information qui suscite une certaine curiosité mais que ne repend pas vraiment à un besoin précis, elle est beaucoup moins volumineuse que le premier et susceptible de développer un intérêt très relatif. - L’information utile : elle est susceptible de représenter un intérêt quelconque dans un avenir plus au moins proches, c’est une information destinée à être exploitée et nécessite un regard attentif. - L’information critique : elle est vitale, nécessaire et absolument indispensable pour le processus de décision stratégique. C’est la plus difficile à obtenir et son coût en général très élevé. En fonction de son utilisation dans l’organisation hiérarchique et fonctionnelle de l’entreprise : On distingue : - L’information stratégique : nécessaire au management des décisions à Met L terme permettant le pilotage de l’entreprise. - L’information de gestion : relève des domaines de gestion courante. - L’information tactique : concernant les projets et les produits. - L’information sociale : concernant les hommes. - L’information de convivialité : nécessaire au développent de l’esprit d’équipe.
- L’information de commentaire et cognitive : concernant l’organisation et les réseaux externes à l’entreprise. En fonction de sa position dans le système d’information : On distingue : - L’information stratégique : qui alimente le système de décision stratégique. - L’information tactique : concerne la conception de méthodes et la détermination des moyens à mettre en place pour la réalisation des objectifs de la stratégie. - L’information opérationnelle : destinée à alimenter le système de gestion des activités courantes de l’entreprise. 5) L’information selon sa finalité : On distingue trois types d’information : -L’information de fonctionnement : ce sont des informations indispensables au fonctionnement quotidien de l’entreprise, elles sont donc liées aux taches répétitives et sans elles, les taches courantes de l’entreprise ne pourraient être réalisées et contrôlées. Cette information est très formalisée en son caractère répétitif. - L’information d’influence : c’est celle qui est destinée, ou dans l’objectif d’influer sur le comportement des acteurs pertinents pour les entreprises, qu’ils soient intérieurs ou extérieurs. - L’information d’anticipation : c’est l’information qui permet à l’entreprise de prévoir à l’avance certains changements de son environnement à fin d’extraire un avantage ou bien d’éviter un risque. Ce type d’information est lié à des taches peu répétitives dans un contexte d’incertitude. En fin, il y a lieu de constater que ces classifications indiquées ne sont pas exhaustives, on pourrait bien en avoir d’autres. Les théories de l’information : Pour prendre connaissance de l’évolution et de la réflexion de l’information, il est important d’étudier les différentes théories qu’a évaluées le domaine. Théorie classique : (première période) 1920-1960 : le courant le plus ancien lié à l’étude des systèmes de transmission : NYPUIS, HARTLY et LASWELL en 1948
- Qui ? - PAR quels ? - Avec quels effets
Compléter par BRADDOK
- Qui ? - dit quoi ? - A quoi ? - dans quelles circonstances ? - Par quel canal ? - Avec quel ? - Avec quels effets ?
L’ingénieur des télécommunications SHANNAN a formulé la chaîne de communication récepteur
entreprise
canal bruit
feed back
bruit
Weiner : le fondateur de la cybernétique
Le courant des théories psychosociologiques : C’est l’étude des relations qui entraîne naturellement l’étude des relations entre leur membres, à ce propos, la communication est définie comme le comportement total de l’acteur et non selon le message ou l’information transmise qui se représente que 35% de la communication, il y a ce qu’on appelle un Niéta-message qui repose sur la relation entre les acteurs. Les défenseurs de ce courant sont en d’autres, MAYO qui considère la communication comme un stimulant et un moyen de motivation au travail, et un facteur d’adaptation et d’épanouissement de chaque élément appartenant à ce groupe. Les apports de théorie classique : Remarque : *la chaîne de communication n’est pas assez simple de fait d’intervention du relais (intermédiaire), les relais sont de deux sortes : certains ont une fonction de décomposition (synthèse). * dans une entreprise on trouve plusieurs types de lignes de communication, celles-ci (lignes) ont des fonctions complémentaires et peuvent être classé selon plusieurs points de vue Qu’éclaire l’intérêt de chaque mode : Selon la structure de l’organisation : On a des lignes de communication hiérarchiques (ascendantes, descendantes) et des lignes de communication fonctionnelles (entre les mêmes niveaux). Selon le degré d’institutionnalisation : on a : Communications formelles Communications informelles. Les premières sont constituées par la volonté des dirigeants, et ont un caractère obligatoire pour tous les membres de l’organisation. Les secondes ne sont pas prévues par les textes de l’organisation, elles naissent spontanément à la nécessité de travail. Selon les destinations des communications : Les niveaux de communication :
WEANTER (1949) :
1) Le niveau technique : où on se demande : avec quelle précision l’information est transmise, à ce niveau, on s’intéresse à l’aspect qualitatif de l’information et on le définit comme étant : le nombre des bits devant être transmise pour identifier un message donné. 2) Le niveau scientifique (sens) : en communiquant, avec quelle précision les symboles transmis apportent-ils la signification désirée ? L’interprétation des messages sujette (conduit) aux malentendus et parfois même à l’incompréhension pour plusieurs raisons relatives aux individus participant à la communication, aux méthodes utilisées pour la transmission et aux opérations qui permettent de contrôler le contenu et la distribution des messages. La perturbation à ce niveau vient donc de plusieurs sources. 3) Le niveau d’efficacité : ( la qualité ou l’utilité de l’information ) À ce stade, on peut savoir jusqu’a quel degré le message va motiver l’action. Le niveau d’efficacité de l’information est déterminé par la valeur de changement qu’il introduit dans le processus décisionnel, cette unité dépend de quatre éléments : (Selon G.B DAVIS) -le format -le temps -le lieu -la disponibilité Puisqu’il est difficile dans un contexte organisationnel de déterminer l’amélioration de la qualité de la décision au fonction de l’un de ces éléments, alors on utilise comme mesure le degré de satisfaction qu’exprime le décideur à l‘égard de système d’information formel. (l’effet de l’information sur la décision et fonction de la qualité). Théorie Contemporaine de l’information : Cette période débute à partir des années 1970, elle est marquée par la multiplicité et la richesse des travaux dans le domaine de l’information. Nous avons : La théorie de la relation limitée, la théorie de l’asymétrie : H.SIMON : pour élaborer sa théorie, il s’est inspiré de ces processus des théories classiques
en ce qui concerne les le comportement des dirigeants d’entreprise en matière de prise de décision. Ce dernier été sensé d’optimiser son choix en fonction d’un ensemble d’informations. Dans ses réflexions sur le processus de décision et ses relation avec l’information, H.SIMON a met en évidence les caractères systémiques de ce processus. les étapes de veille et d’analyse d’action jouent un rôle primordiale du moment que les étapes de suivi et de contrôle, de plus, le processus décisionnel ne peut être considéré comme relevant de seul sommet hiérarchique, les actions des décisions sont indispensables et incombent à l’organisation toute entière, consistant l’identification des limites aux comportements rationnels, ces derniers ne se résument pas uniquement aux entraves ( obstacles ) extérieurs à l’optimum, mais elles sont liées aux caractéristiques même de l’être humain dans ses capacités de résoudre les problèmes et de traiter l’information. L’être humain ne dispose usuellement que d’une connaissance fragmentaire des conditions dans lesquelles il agit, il n’a pas une intuition vague des compétences futures de ses choix potentiels, même lorsque ses connaissances sont améliorées par le biais de l’outil informatique, ces capacités ne lui permettent pas d’accomplir la totalité des taches et de respecter les délais de repenses. Pour ce la H.SIMON insiste sur l’importance de recours continue à la collecte et à l’analyse de toutes les informations pourront améliorer leurs capacités d’action et leurs garantir une meilleur prise de décision.
Théorie de L’asymétrie de L’information et le Conflit D’intérêts : cette théorie est le résultat d’une observation vérifiée dans le cas d’une information détenue par un agent ( individu, entreprise ) au détriment des autres, il se forme des asymétries informationnelles dont les acteurs bénéficiers ont cherché à tirer partie pour leurs propres intérêts, ce qui explique aux sein d’une même entreprise les individus et les groupes qu’ils la constitue ne possèdent pas un même objectif, mais poursuivent des objectifs personnels qui sont caractérisés par fois concurrent. Par conséquence, CROSIER et FRID BURG 1977 : relèvent que l’information devient un enjeu et un instrument dans les luttes et les pratiques de pouvoir, chacun compte d’influencer sur ces décisions par l’utilisation judicieuse de l’information. Les Fonction de système d’information : traitement
Ecoute
Acquisition Saisie Recherche Collecte
stockage ( mémorisation )
Diffusion
Conservation
schéma : les fonctions de système d’information
D’après la définition de système d’information, on a quatre types de fonctions principales : L’Ecoute : Dit aussi acquisition, saisie, recherche, collecte… : mais celles-ci font partie de la fonction écoute selon l’expression de C.DUMOULIN. « Le
système d’information ne doit pas se contenter de ce qu’est existe, l’information est repérée, il doit participer et permettre la recherche d’informations nouvelles susceptibles d’être intéressantes donc il doit remplir la fonction d’écoute ».
La Saisie : consiste à représenter sur un support donnée (moyen, papier,) les événements à l’instant où ils survient, ce qui donne lieu à ce qu’on désigne par donnée de base, pour éviter les déformations, les lacunes (manques) et les inexactitudes qui risquent de se produire suite à les défaillances de la mémoire humaine. La saisie doit se faire et vue que cette tache se fait en des lieux et ordre dispersés, alors il faut regrouper les données sur place. Cette fonction fait recours à deux obstacles : - la multiplicité des captures - la variété des formes de l’information ( la nature de l’information ) la multiplicité des captures d’information à mettre en œuvre : l’entreprise dispose d’un grand nombre des agents qui peuvent s’informer sur l’environnement interne ou externe, le
problème qui se pose est comment faire pour acheminer ces captures , et pour assurer l’acheminement rapide des informations ?
La fonction d’utilisation : C’est la conservation, stockage de l’information dans le temps à fin de pouvoir c’y référer, ceci se faisait avant sur papier mais à présent, en utilise progressivement des supports informatiques. L’avantage de ce remplacement consiste notamment dans des gains de surface (espace de stockage), vitesse de traitement et de restitution. La mémoire s’organise sous forme de fichiers et de base de données. Un fichier consiste dans un ensemble d’articles de même nature, ce mode d’organisation pose le problème de redondance (répétition) des données, et les bases de donnée viennent pour résoudre se problème car les données ne sont mémorisées qu’une seule fois, et en peut y accéder par différents chemins. Les fonctions de mémorisation incluent deux paramètres fondamentaux : Capacité de mémoire : c’est les quantités d’information qui peuvent en emmagasiner par la mémoire, l’unité de mesure de cette capacité est le caractère. Les modes d’organisation : c’est l’accès a la mémoire qui conditionne la rapidité de consultation, ceci implique un temps d’accès c-à-d la durée nécessaire ou mécanismes de mémorisation pour accéder et délivrer l’information souhaitée dans le cas d’une recherche, ou l’enregistré dans le cas de mise en mémoire. Le Traitement : C’est une transformation de l’information de l’information initiale en information résultat susceptible d’être exploitée. Une information initiale ou plusieurs traitement information résultat Ceci grâce à l’application des procédures arithmétiques, numidiques, des fonctions fondamentale (et, ou, non, ni) d’algorithmes, … etc. ces procédures permettent donc d’effectuer des opérations d’extraction, de regroupement de comparaison, de contrôle…etc, sur des données initiales. La transmission (la diffusion) : Elle sert à coordonner entre les différents systèmes de l’entreprise, du même que leurs bon fonctionnement, c’est la mise à la disposition des utilisateurs des informations dont ils en besoin, ceci implique la notion de communication qui met en relation deux interlocuteurs ou plus, ces derniers peuvent être des individus, des ordinateurs ou même des organisations, comme ils peuvent être dans un même lieu, ou dispersés géographiquement. Dans les entreprises, les communications prennent en général la forme d’un réseau, vue la multiplicité des participants et des relations entre eux. La question qui se pose est comment assurer cette transmission des données ? Ceci ce fait par le transport de support de l’information par des personnes, par la poste ou bien par le biais des moyens de la transmission modernes (télécommunication) qui évitent les problèmes inhérents. L’outil technologique le plus spectaculaire dans ce domaine est la téléinformatique, qui permet de construire des réseaux. Un Réseau : il et composé des lignes liées par des nœuds, qui ont un rôle d’orienter les messages dans leurs cheminements, comme ils comportent aussi des protocoles qui sont des règles de construction des messages à fin qu’ils arrivent correctement aux destinataires. Les réseaux peuvent prendre divers formes suivant deux caractères : * la distance : on a les réseaux locaux : qui signifie que la distance entre les nœuds (ordinateurs) est petite (ne les séparent pas quelques kilomètres, réseaux internes a un bâtiment par exemple). et quand la distance dépasse cette norme on aura des réseaux à grandes distances.
dans le premier cas, le réseau peut être construit ou tour d’une centrale téléphonique de l’entreprise, dans le deuxième type, les réseaux sont gérés par des organisations publiques de télécommunication propre à chaque pays. Exemple TRANSPAC en France, TELENET ou TYMNET à l’USA. * l’organisation : on a plusieurs configurations connues dont on distingue celles-ci : Les réseaux étoilés : qui sont de deux sortes : ordinateur
Les réseaux étoilés simples : c’est La forme la plus ancienne chaque ordinateur est relié à un certains nombres de terminaux de départ comme à l’arrivé, un modem modulateur et démodulateur permet de convertir les signaux machine en signaux de la ligne de transmission et vis versa.
adaptation de communication
terminaux
réseau étoilé simple ordinateur
concentrateur
Les réseaux étoilés de grandes extensions : Ils assurent des liaisons à grandes distances alors on recours à des concentrateurs ( mini-ordinateurs programmés) qui regroupent les communications de la localité dans laquelle ils sont situés, et l’ordinateur centrale effectue les traitements. concentrateur
réseaux étoile de grande extension
Les réseaux à structure maillée : Le type de réseaux est constitué d’un certain nombre d’ordinateur reliés par des lignes téléphoniques Quant au traitement, il est assuré par un ordinateur Au quel est relie le réseau.
Réseau a structure
Ordinateur
D’après cette étude des fonctions de system d’information Deux constatations peuvent être faites : Les fonctions d’un système d’information : ont des buts, une nature, un rôle indépendant du support physiques et technique utilises, car se sont des éléments permanents qui existent bien avant la genèse de ces outils, mais malgré cette indépendance, l’efficacité et l’efficience de ces fonctions s’améliorent beaucoup plus en utilisant ces moyens. La qualité de l’information est le fruit de bon déroulement de ces quatre fonctions, par conséquence, cette première peut être perturbée au cours de fonctionnement du système d’information sur les différents plans et a cause de multiples facteurs.
Chapitre V I : Le système informatique. L’informatique : l’informatique est consiste en un traitement électronique que de l’informatique comprend deux élément.
c’est la machine, l’ordinateur qui se constitue d’une unité centrale qui assure le traitement des données, d’une mémoire centrale, mémoire auxiliaire, périphérique d’entrée et de sortie ». SOFT WARE : « ce sont les instruction donnée a la machine, pour lui permettre de faire les traitements attendus, se sont donc les programmes désignes aussi par des logiciels » HARWARE : «
- Les télécommunications ; - Les téléinformatiques : issues de la combinaison entre l’informatique et les moyens de la télécommunication. - Un système informatique est l’ensemble des composantes gravitant autour d’une machine électronique. De traitement de l’information en particulier le matériel HARWARE, le logiciel SOFT WARE, les autre, les analyses changés de la conception des traitements et les programmes qui rédigent les programmes d’application. Ainsi l’information (les ordinateurs) est au cœur du système d’informatique.
de plus, même historiquement le concept de système d’information est lie a l’application de l’informatique a la gestion, toute fois il ne faut pas confondre entre les deux, car le système informatique n’est que le contenant du système d’informatique ».
L.RIGAUD : «
Les différentes solutions informatiques : nous allons aborder l’organisation des technologies de l’information en fonction de la contrainte qu’impose l’organisation de l’entreprise. M, DARBELET et J.M.LANGINE : 1) la répartition du travail entre l’entreprise et ses partenaires. 2) le degré de centralisatrice qui conditionne ce type d’ordinateur et leur implantation. 3) la souplesse et la vitesse de réaction de l’organisation : dans le degré influence sur la rapidité de transmission et traitement. Les solutions correspondantes seront illustrées : 1) L’informatique et L’impartition : consiste a savoir si c’est l’entreprise elle-même qui s’occupe de traitement et de programme ou bien elle va les externaliser. a) les traitements interne ou externe : le traitement interne signifie que l’entreprise réalise elle-même le déférent traitement dont elle a besoin. Car elle set dote des moyens nécessaires. Le traitement externe consiste a faire réaliser tout ou parte de ces traitements informatique par une société spécialisée (société de service informatique), ou par une autre entreprise disposent des capacités supplémentaire. b) L’élaboration des programmes : a ce niveau, l’entreprise a à choisir entre deux possibilités ; les logiciels et les progiciels.
- Les logiciels : le prêt à porter, c’est un ensemble complet de programme conçu par les SSII (société et service d’ingénierie informatique) ou des constructeurs commercialises au près de plusieurs utilisateurs en vue d’une même application. Les progiciels : sont donc une forme des près apporté et ils on des formes : Progiciel d’application universel : qu’on utilise dans tout les services de l’entreprise comme la gestion des données. Progiciel d’application horizontal : ce sont des progiciel qui correspondes a une fonction qui existe dans toutes les entreprise comme la pie. Progiciel d’application vertical : qui sont destiner a des secteurs d’activités Les logiciels spécifiques : un logiciel est un produit sur mesure élaboré par le service informatique de l’entreprise où sous traite a des constructeurs où a des SSII. 2) L’informatique et la Centralisation : ce s’est concerne la structure d’organisation de la mémoire dont d’organisation se dote, le degré d’acer a l’information avec la variété des moyens disponible de nos jours, cette mémoire peu prendre devers configuration. le traitement centraliser par fichier : ce la revient a confier l’ensemble des applications a un ordinateur central unique placé avec l’ensemble des ses périphérique dans une salle spécialisée. Dans ce type d’organisation en trouve souvent un directeur informatique responsable de l’ensemble du service informatique.
Traitement centralisé par base de données : d’après J.CHAUMIER : « une
base de donnée est un ensemble de donnée organisées en vue de son utilisation par des programmes correspondent a des applications distinctes t de manière a facilite l’évolution ».
Cette solution évite donc la redondance des données relative a la structure en fichier, mais nécessite la mis en point d’un système de chaînage ( hiérarchique, en réseau) des informations pour les reliées entre elles du moment qu’elles ne sont plus classées selon un critère unique, de plus , il faut disposer d’une taille mémoire suffisante au niveau de l’unit é centrale pour permettre le fonctionnement d’un logiciel spécial de création, de mise à jour et d’interrogation de la base des données appelé « SGBD » (système de gestion à base de données). Cette structure permet à l’accès à l’information à cause des services intéressés, mais ceux impliquent un problème de sécurité et de confidentialité des informations, par conséquent, la nécessité de définir pour chaque utilisateur des clés d’accès pour la partie des données. L’information Répartie : c’est remplacé l’ordinateur central ou le compléter par les matériels répartie entre les divers établissements (entité, service, agence), autrement dit chaque unité est dotée de son propre système informatique, cette solution consiste donc en une décentralisation de l’outil informatique. L’information Distribuée : c’est une organisation de matériels informatique sous forme de réseau, en associant généralement des petits ordinateurs à un puissant ordinateur central et les lignes de communication, la répartition des traitement et des données et fonction des lieu de besoin et d’utilisation des données. Le Données locales : sont celles aux quelles on accède souvent en ce lieu pour la consultation, et la mise en jour. Les données centralisées : sont celles aux elles on accède souvent de plusieurs endroits. les données. .. …… : c’est une solution médiane entre les deux présidentes.
L’information Personnelle : c’est le rapprochement de l’ordinateur de son utilisateur rendu possible par l’évolution des matériels, logiciels et langage dans ce domaine de l’information des systèmes informatiques personnels, on a : la bureautique et la micro informatique. Bureautique : signifie l’automatisation de touts les traitements administratifs des bureaux en utilisant des machines (spécialisées) dédiées. Micro informatique : c’est l’utilisation des ordinateurs professionnels polyvalents, dont leurs fonctions est le traitement des textes et courriers électroniques ; cette solution est plus avantageuse que la bureautique parce qu’elle ferme des applications plus vaste que les machines dédiés. 2) L’informatique et la Rapidité des Traitements : Les choix dans ces domaines conditionnent la rapidité et la souplesse de réaction de l’entreprise, plusieurs possibilités sont offertes à ce propos suivant trois critères : Le Traitement Sélectif ou le Traitement par Lot : ceci concerne la qualité des informations traitées par lot, il consiste à regrouper toutes les informations concernant les traitements qui s’effectuent périodiquement en vue de traiter successivement le cas de bulletin de paie. Le traitement sélectif consiste à traiter chaque opération individuellement comme la mise a jour de fichier stock. le traitement diffère ou en temps réel : consiste à ce qu’un long délai, sépare la série, des données, les entrés de la mise à jour des fichiers et l’obtention des documents souhaités (les sorties). Traitement au temps réel c’est opter pour l’obtention immédiate des sorties compte tenu de temps de traitement faible à l’échelle humain. C) Le télétraitement : ceci consiste a constituer un réseau de connexion a un ordinateur central a un généralement ou a plusieurs utilisateur éloignés. Dans ce sens logique les terminaux sont nombreux, l’ordinateur central doit être prévu pour fonctionner en temps partagé, il signifie que l’utilisateur accèdent a l’unité centrale a tour de rôle pendant des délais très courts (exemple les PTT). À l’aide de ce moyen plusieurs possibilités sont offerte : - la saisi a distance : la terminale serve des demandes d’entrées.
- le télétraitement par lot : on regroupe les traitements et on les envoyé a la fois. - le télétraitement en temps réel : c’est qu’en reçoivent la réponse sur place. - le télétraitement conversationnel : langage homme machine (rôle de serveur),
d’après l’étude de système informatique et le fonctionnement du système d’information, deux remarques qui peuvent être soulignées :
* l’informatique influence profondément l’organisation du système d’information, sur son fonctionnement et ses performances, à cause de la variété des choix offertes et des caractéristiques fonctionnelles de ses outils. En ce sens, l’informatique est plus adaptée plus que l’homme dans les opérations répétitives. Permit aussi le traitement des opérations plus complexes, aux plusieurs variables en interaction, vitesse et précision, le stockage de volume importent d’information.
* ni ou moins l’informatique n’est qu’un outil puissent que le système d’information utiliser pour servir le manager, car il y a des domaines ou l’intervention des humains reste inévitable (problèmes stratégiques). A ce propos M.BARBLET et J.M. LAUGINE
« l’informatique déplace la frontière de la répartition du travail entre l’homme et la machine ». Avant la machine remplace l’homme dans le travail physique mais actuellement dans des taches intellectuelles, en raison de la variété des TIC l’entreprise est libre dans le
choix du système d’information a mettre en place (centralise ou non centralise), il y a lieur de souligner que : Le système d’information et la structure le l’entreprise s’influencent mutuellement. Le système d’information et de gestion peuvent affecter la structure organisationnelle future. la structure actuelle peut influencer la conception des systèmes d’information, le succès de leurs implantations et leurs utilisations.
les approches des technologies d’information et de communication ( TIC ) on a deux approches d’informatique :
- approche classique ; - approche stratégique. 1) l’approche classique : depuis l’avènement de l’informatique dans les années 1950 de point de vue qui a dominer la réflexion des possibilités des offertes par les TIC elle été unique, ce dernier consiste a ce que pour l’entreprise l’objectif d’implication de l’informatique il suit de l’automatisation des procédures, ou bien de fournir des information pour le but de la prise de décision .
- automatisation des procédures. - la production de l’information nécessaire a la prise de décision. cette conception conduit a privilégier les flux d’information, les bases de données et l’écart lie a la planification et la gestion, c'est-à-dire, une méthode par le haut ayons pour but de ce concentrer sur les taches critiques ou la décision est prise a l’intérieur de l’entreprise. et de former le type d’information pour le manager pour accomplir ses taches et prendre des décision par conséquent pour les tenants de cette approche refroidissement aux système d’information envisageable ils les recherches dans les catégories suivantes :
- le système opérationnel ; - le système d’aide au management.
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