Corrige Des Exercices Transformation Des Aliments
October 7, 2022 | Author: Anonymous | Category: N/A
Short Description
Download Corrige Des Exercices Transformation Des Aliments...
Description
CORRIGE D E S EXERCICES : LA TRANSFORMATION D E S ALIMENTS Conclusion : le contenu initial en germes d'un produit doit être impérativement très bas, car la multiplication de ces germes au fifill du temps es estt proportionnelle à ce nombre No de départ. • Cas de Vibrio p , u = 3, ce qui veut dire quee t qu soit 20 m n. tdd = 60/3, soit
Légumes : levures principalement, moisissure et quelques bactéries (lactiques). Viande : bactéries surtout (protéolytiques), less levures ; peu de moisissures et le interviennent. Lait : tout. REMARQUE : les produ its neutres tels
A u N bout= d100 avec 100, p., e 3 x heures, o =vibrio on aura 2 3x3, soit 51 N200 soit 8 fois plus que pour E. E. Coli Coli dans les mêmes conditions. D'où l'importance du type de germe témoin quand il s'agit d'étudier le less altérations d'un produit.
que lait et la viande sont les produits les plus lealtérables.
Exercice 6-page 11
• Altérations secondaires possibles :
ambiant : souillures souillures d e l'air - milieu ambiant et poussières, - eau de lavage d u matériel et des produits ==> obligation d'une eau potable pour tout ce qui touchera le produit, - instruments >obligation du lavage et de la désinfection après chaque usage, - matière première : souillure possible par les autres abats lors d e l'éviscération ==> == > consignes strictes d e préparation d es préparation foies, es foies, - l'homme : bouche, cheveux et mains ==> == > masque et charlotte + gants changés chang és fréquemm ent. • Température d e fabrication conseillée : 3°C, mais pour des raisons de confort de travail, 6°C à 8°C est souvent appliqué au niveau de l'atelier, sachant que la matière première à travailler doit rester à une température inférieure o u égale à 4°C. Exercice 7 -page 11
Halophile : qui aime le sel. Osmophiles : qui supporte des écarts importants de la pression osmotique. less milieux secs. Xérophile : qui supporte le
Exercice 8 -page 11
Fruits
attaqués par
les levures et
moisissures peuvent moisissures seulement; quelques Lactobacilles aussi intervenir, mais c' c'est est assez ma rginal.
Exercice 9 -page 12
• Mécanisme de la Glycolyse : se référer a auu manuel de Biologie en reportant le cycle de production du par Pyruvate déshydrogénations successives. • Importance sur le plan biologique : respiration et fermentation >production de l'énergie assimilable par les cellules.
Exercice 10 -page 13
Dégradations spontanées observées : les fruits on ontt tendance tendance à moisir, moisir, les les légumes légumes à pourrir (levures et bactéries) ; la viande à prendre un u n goût mauvais et à devenir poisseuse (bactéries); le lait tourne (acidification spontanée par les bactéries lactiques) ; les graines moisissent et des aflatoxines graines dangereuses peuvent peuvent se dans de se développer dans dess élevées. conditions d'humidité trop élevées.
Exercice 11 -page 14 Endotoxine : toxine libérée à l'intérieur de
la cellule du microbe qui la produit. La toxine reste interne. L'intoxication a lieu
lors de la lyse cellules du microbe dans l'organisme d e des l'hôte. eurotoxine : toxine qui attaque les centres nerveux. ntérotoxine : toxine qu quii affecte les muqueuses digestives, intestinales surtout (comme le lorériques).. less entérotoxines ch lorériques) Exercice 12 -page 14
• Proliférations possibles d e germes lors d e : arrivée d e matière première (temps d e stockage pouvant générer des pourritures) ; lavage (eau : quali qualité, té, tempéra ture et terre) ; découpe d e s extrémités (matériel contaminé) ; temps d'attente avant traitement trait ement et après déco upe des extrémit extrémités és
DEE S EXERCICES : LA L A TRANSFORMATION D E S ALIMENTS CORRIGÉ D ( portes ouvertes pour l'entrée de germes) ; mauvais barème de stérilisation (botulisme possible) ; mauvaise scellée (microfissures qu quii cassent la stérilité). • Règles de base : traitement de matières premières sain saines es et propres, non altérées ou pourries ==> opérations industrielles très proches proches d leau a récolte. Lavage dene la Lavage eau légèrement désinfectée, su r d e s produit produitss sans sans terre. Matériel vérifié, lavé lavé e ett décontaminé. parr sonde Suivi du barème de stérilisation pa au cœur des boîtes (boîtes tests). Vérification d e s soudures. Tests bactériologiques par sondage d'étuvage d e boîtes prélevées prélevées a u hasard. Exercice 13 -page 14
• HACCP : terme anglais pour Hazard
Analysis Control Control Critical Critical Point. Point. Fondement : étudier étudier le le schéma schéma d e process d e production d'un produit et relever tous ayant d e s less dysfonctionnements ayant le conséquences sur la qualité qualité hygiénique d u produit. Ceci produit. Ceci permet d'identifier d e s points dits critiques , q u i sont d e s points n o n encore maîtrisés maîtrisés et qui qui peuvent être suivis et corrigés. Ensuite, ces points seront particulièrement contrôlés particulièrement contrôlés et des actions de correction d e s dérives, avec correction avec d e s objectifs précis seront précis seront établies. sur des documents des documents pour détailler (S'appuyer sur (S'appuyer méthode ou sur des complètement la la méthode intervenants concernés concernés e n entreprise entreprise ou en Direction des Services des Services Vétérinaires). • Nettoyage et désinfection : les étapes comprennent : 1 - nettoyage global à l'eau chaude, voir au karsher karsher pour éliminer toutes les souillures organiques 2 - désinfection par des trempages successifs dans successifs es bains dans d es bains d e soude soude e t d'acide, ou de de produits spécifiques tels tels q u e (temps d e less ammonium quaternaires (temps le contact et températures à respecter impérativement). 3 - rinçage pour éliminer tous les
produits chimiques produits chimiques de désinfection désinfection..
Produits d e désinfection Produits désinfection : se renseigner auprès de fournisseurs pour avoir des fiches fiches techniques illustrant le type de molécules utilisées et les règles d'application. Exercice 14 -page 14
• Classement en nombre le plus élevé de foyers des TIAC : familial (environ 40 % %), ),
puis restauration (11 ) puis milieu scolaire (15 %). milieu • Classement en nombre d'individus : milieu scolaire (38 %), puis autres collectivités (23 %) puis familles (1 (13 3 %) %).. Remarque : ce Remarque ce sont sont le less foyers privés privés qu i sont le plus souvent concernés. Par contre, l'impact en l'impact en personnes personnes es estt faible. A u contraire, les restaurati restaurations ons coll collecti ectives, ves, pourtant très très contrôlées, quand elles engendrent des TIAC, une population nombreuse est alors alors concernée. • Les erreurs commises :
- milieu familial : nombreuses (voir page 16), mais on retiendra surtout l'usage d'aliments avariés avariés ou mal mal conservés (recongelés). - milieu collectif : les problèmes viennent en en général général d u transport (température) et des (température) des manutentions. Aujourd'hui, toutes les préparations à base d'œufs doivent avoir ét étéé = traitées industriellement au au préalable (omelette conditionnée et thermisée, œufs cassés thermisés ou thermisés ou en poud re...) re...).. • Agents : Salmonelle en premier lieu (d'où la vigilance sur les œufs) puis Staphylocoque aureus (doré), pour les
agents identifiés (laitage (laitage e t viande). • Augmentation du nombre nombre d e TIAC : surtout liée à liée à une meilleure une meilleure déclaration déclaration d e s problèmes. L e nombre problèmes. nombre d e foyers atteints fluctue p e u depuis 1990. Par contre, le / foyer diminue, ce c e ratio nombre nombre d e malade malade / qu i peut s'expliquer s'expliquer par le fait que les restaurations collectives ou restaurants sont d e plus plus en en plus plus vigilants vigilants et que ce ce sont sont le less foyers familiaux qu i deviendraient source d e TIAC (voir point précédent).
CORR IGÉ DES EXERCICES : LA TRANSFORM ATION DES ALIME ALIME NTS PREMIERE PARTIE LES ALTÉRATIONS DES ALIMENTS Chapitre H ; Dégradations non microbiennes Exercice 15 -page 20
• Lipase de de poisson poisson : lipides pour substrat;
basses neutre. températures d'action (0-3°C); pH
Protéase d'ananas : protéines pour substrat; température de 15 à 20°C 20°C ; pH = 4-5. Lactase intestinale : lactose pour substrat ; température du corps (37°C) ; pH intestinal.
• Coenzyme : groupement non protéique qu i intervient pour permettre l'action de l'enzyme : le coenzyme coenzyme doit être lié à actif soit en l'enzyme pour que le site site actif
fonction.
Exemples : coenzymes métalliques : Zn, Exemples Mn ou Co. d'organométallique : cytochrome de la chaîne respiratoire. vitaminique : groupe B. • Enzyme allostérique : enzyme formée de plusieurs sous-unités identiques possédant des sites régulateurs. • Inhibition compétitive : blocage du site enzymatique par un « analogue » au substrat. Ceci bloque complètement la réaction enzymatique, mais le phénomène est réversible car l'enzyme n'est pas
affectée.
• Inhibition non compétitive : blocage du un poison. L'enzyme est alors site par un site L'enzyme est dissociée. L'inhibition est irréversible (cas des métaux lourds). Exercice 16 -page 21
• Cornichons, câpres : acidification par le vinaigre + salage. • Purée de pomme de terre : contient obligatoirement des antioxydants (acide ascorbique) et des conservateurs (disulfite de sodium). • Brunissement des pommes de terre : action des phénoloxydases phénoloxydases avec l'oxygène. • Le kiwi coupé ne brunit pas car il contient naturellement un antioxydant, antioxydant, la vitamine vitamine C.
Exercice 17 -page 22
• Dégradations sur le fromage blanc : lipolyse de la matière grasse; action des phénoloxydases sur les les pommes coupées (brunissement). • Dégradation de l'avocat : lipolyse (richesse en matière grasse) et brunissement enzymatique. Dégradation de • Dégradation de la viande fraîche : lipolyse > et protéolyse surtout permet l'attendrissement de la viande.
23 Exercice 18 Exercice -page
• Réaction de Maillard sur : - les arachides : protéines de l'arachide (qui est une oléagineuse protéique) + glucides internes (l'arachide est un organe de réserve) + chaleur, - lait UHT : brunissement par action combinée des caséines, du lactose et de la chaleur, - biscuit sec : action du sucre (saccharose) + protéines (saccharose) protéines (du lait lait ou des œufs) + chaleur. • Couleur du canard laqué due à l'action de la chaleur sur le sucre et les protéines de la viande. • Béchamel : chaleur + amidon + protéines d u lait. • Confi Confiture ture de lait : protéines du lait + sucre + chaleur.
CORRIGÉ DES EXERCICES EXERCICES : LA TRANSFORMATION DES ALIMENTS DEUXIÈME PARTIE : TECHNIQUE D E STABILISATION
Chapitre I : Stabilisation pa parr élimination d dee l eau
-page Exercice 20 26
• Altérabilité : dans l'ordre d u tableau : très stable. altérable ; altérable , stable. • Aw respectives : 0,89 ; 0,95 ; 0,83. • Techniques pour garantir la conservation Pain : antioxydant et mise sous vide. Fromage : froid, emballage sous
Pour ces exercices, revoir page L
vide ou sous atmosphère atmosphère contrô contrôlée. lée.
Exercice 19 -page 26
Lait concentré sucré : stérilisation. • Mesure de l'aw : recherche documentaire + fiches de fournisseurs (exemple : matériel de mesure automatique : Cf. fiche 1). technique jointe jointe en annexe annexe 1).
• Étude de l'aw d dee - mie de pain : 0,9 correspond au maximum de croissance de moisissures et de levures. Les bactéries commencent à se multiplier : en particulier, possibilité de trouver d e s staphylocoques aureus (Cf.
page 11). - confiture : 0,82 conduit a u développement d e moisissures et de levures essentiellement et de quelques bactéries halophiles. • Cas du fromage affiné à moisissure externe : l'évolution de l'affinage est liée à dess espèces la multiplication active de
présentes (levures et moisissures) qu quii sont dans d e bonnes conditions d'aw. • Analyse : Analyse du graphe graphe : O n remarque que la courbe d dee l'oxydation des lipides est atypique : un minimum d'évolution quand aw = 0,2 et deux points maximum : aw = 0 et aw = 0,8. Ceci s'explique ainsi : si aw LAIT CONCENTRÉ Eau = 800 - 80 = 720 kg Eau Ea u = 260-80 = 187 kg (70%) ( (2) 2) (1) : Le lait concentré contient 3 0 % d'extrait sec. Or, l'extrait l'extrait sec reste constant, donc 80 kg représente 30 %, d'où le total d e lait concentré obtenu avec 800 kg est de 267 kg. dans le lait concentré concentré : (2) : Eau Eau contenue dans l'eau évaporée représente : 800 (quantité de lait de départ par heure) - 267 (quantité de lait concentré obtenu) soit 533 kg. Le coefficient de concentration D = 30/10 = 3 3.. Exercice 21 -page 29
• Étapes de fabrication des produits : faire less schémas de process en construire le utilisant les techniques spécifiques de conservation qu quii sont (plusieurs exempl exemples es de schémas possibles suivant le less matières premières choisies et la durée de conservation souhaitée) : - confiture : sucrage (dépression de l'aw) et cuisson (assainissement), - salaisons sèches : déshydratation (dépression de l'aw) et salage (inhibition
CORRIGÉ DES EXERCICES : LA TRANSFORMATION D E S ALIMENTS micro-organismes et et dépression dépression d e d es es micro-organismes l'aw),
morue orue salée : dépression de l'aw, - m
- soupe déshydratée déshydratée : dépression dépression d e l'aw e t traitement thermique, l'aw - café soluble : café déshydraté p a r même technique courant d'air chaud > que la soupe, - café lyophilisé lyophilisé : passage passage par un état congelé d u café liquide e ett évaporation d e l'eau du liquide par sublimation > goût d u produit produit c ar ar aucun arôme meilleur goût ne s'est évaporé.
CHAPITRE II Stabilisation par le froid Exercice 22 -page 31
Recherche documentaire documentaire à mener avec avec le less groupes et avec l'utilisation du CDI, d'Internet et des revues spécialisées.
Exercice 23 -page 33
Observation du graphe ci-dessous : diagramme d es es phases phases du CO2 CO2 (données
partielles)
Pointt critique Poin
Pression en atm. C02 solide
CO 2 gazeux
C O 2 Liquide point triplç
1,5
3000 30
0 ~
195 216,6
Température °K
À - 80°C, le CO2 se présente sous deux forme : solide et gaz. Le changement d'état nécessite de l'énergie, d'où ce « dégagement de froid » perçu. Le CO2 CO2 passe passe d e solide solide à gazeux gazeux en dégageant du froid, d'où l'absence de liquide. Le coefficient d'échange thermique est meilleur que celui de l'eau (voir page 39). La température de changement d'état est à - 78°C contre 0° 0°C C pour l'eau pure.
omparaison des procédés : des : COMPARAISONS
Température ambiante ambiant e Vitesse de traitement
Coût : achat matériel Coût fonctionnement Qualité des produit produitss Température ambiante Vitesse de traitement Coût : achat matériel Coût fonctionnement dess produits Qualité de
Froid mécanique - 45°C minimum Lente (grosse pièce) à
rapide Très él élevé evé (compresseur, évaporateur, structure) Faible (fluide recyclé) Moyenne à bonne (mais Moyenne exsudât important) Froid cryogénique
- 196°CpourN2
Ultra -rapide Peu élevé (détendeur, cuve de stockage stockage du du fluide louée en général) Élevé (fluide « perdu » et coûteux) Excellente
-page Exercice 24 37
- Chaleur dégagée : Q = 1,5 x (20 - 2) x 2,93 = 79,11 kJ - Zéro absolu : - 273,15°C = 0°K correspondant à la valeur la plus basse qu e l'on peut trouver dans dans la la nature nature o u artificiellement. C'est 3 la la réfrigération réfrigération p ar dilution d e l'hélium He qu i permet d e s'approcher d'une valeur très voisine du zéro absolu, mais sans jamais l'atteindre (les lois lois de la la thermodynamique indiquent qu e c'est impossible). 38 Exercice 2 5 -page Exercice
Barèmes d e conservation : un barème es estt u n couple (température, temps). E n utilisant utilisant le le graphe, d e nombreux barèmes peuvent être donnés. donnés. O n peut peut p a r exemple utiliser exemple utiliser le less trois températures températures d u graphe qui apparaissent apparaissent : - 30°C, - 20°C, - 10°C, et on aura alors respectivement les temps d dee : - Fruits rouge : 36 jours - 22 jours - 5 jours - Pois : 36 jours - 19 jours - 5 jours - Légumes verts : 24 jours - 13 jours - 5 J - Poisson maigre : maigre : 14 jours jours - 10 jours jours - 4 J - Poisson gras : 9 jours - 5 jours - 4 jours Commentaires : ces valeurs correspondent pour ne pas pas observer observer d e a u x durées pour modifications gustatives sur le produit. O n remarque donc que : basse, plus - plus la température est basse, conservation es estt longue. L a température la conservation de - 10°C n'assure pas la conservation de
optimale,
CORRIGÉ D DEE S EXERCICES : LA TRANSFORMATION D DEE S ALIMENTS - les fruits, fruits, acides, ont ont une meilleure tolérance à la conservation par le froid, - les légumes sucrés et peu aqueux se conservent mieux également également (pois), - par contre, les les produits issus de chair animale ont une tolérance très faible à la au x basses températures, conservation, même aux
interviennent de dess altérations au bout puisque d'une dizaine d e jours. E t elles sont plus marquées sur des produits plus gras. Conclusion : le froid ne peut en aucun aucun cas ne peut cas « améliorer » un produit et des modifications interviennent (souvent enzymatiques), très lentement, mais de façon irréversibles, même aux au x bass basses es températures. Exercice 26 page 39
dee PLANCK : Formule d V (h) = = A A H / ( T p - T f ) x M v x D / N x ( D /
+ 1 / a)
avec : V (h) : vitesse de congélation en
heure
Tp : température du produit T f : température du fluide de congélation M v : masse volumique d u produit D : diamètre N : épaisseur o u largeur A : conductivité du produit a : coefficient d'échange du fluide
Exercice 27 -page 41
• Contact mécanique ;
: mécanique ; tunnel : bande transporteuse :
mécanique ou cryogénique ; lit fluidisé : cryogénique ; immersion : fluide cryogénique ; azote : cryogénique. • Tunnel : adapté aux grosses pièces, car espace vaste et assure une congélation progressive. • Développement des plats préparés congelés ou surgelés : les altérations à craindre portent sur les matières grasses (œufs, canard) avec la lipolyse et sur les pois avec l'altération du goût et de la couleur par brunissement enzymatique. • Suggestions : blanchir les pois; cuire séparément les matières premières et surgeler séparément, très rapidement, par un système
cryogénique, tel que le lit fluidisé bien adapté pour avoir des parties bien différenciées dans l'emballage final. Exercice 28 -page 42
Revoir page page 9 9 : N = No x 2 * => Nl = 1 04 x 2 l x 4 = 1 6 . 10 4 = 1 04 x2 3 x4 =4,096. 107
Chapitre III : Stabilisation
p ar l laa chaleur
Exercice 29 -page 46
Remarque : affectation des vitamines très variable suivant les produits et les conditions de préparation. Tous les produits végétaux du tableau ont été préalablement lavés et blanchis. Les asperges, carottes, champignons champignons ont été en plus épluchés. Calcul de pourcentage moyen de perte : B6 : 64,8 % (sur 5 produits) ; Bl : 64 % (avec un écart fort entre le minimum à 16% et le maximum à 80%); acide folique : 60,42 % ; B2 : 52 % (mini : 25 et maxi : 64). Les vitamines A et PP sont thermorésistantes et résistantes aux traitements préalables. Les vitamines du groupe B sont thermosensibles mais aussi hydrosolubles. Pour les vitamines Bl et B2, le lavage et Pépluchage semblent avoir un impact bien aussi important que le traitement thermique surr les pertes (en compara su comparant nt avec la tomate). Au niveau niveau de de l'acide folique, il est difficile de faire la part de dess choses, mais il soient semblerait que les pertes essentiellement dues au traitement thermique : les épinards, énormément énormément lavés, mais ayant un barème de stérilisation plus court, sont moins affectés. Exercice 30 -page 46
Voir page 8. Voir page 8.
Exercice 31 -page 47
T2 > Tl car pente de la courbe plus forte, T2 donc D plus petit.
CORRIGE D DES ES EXERCICES : LA TRANSFORMATION DES ALIMENTS Exercice 3 5 -page 50
Exercice 3 2 -page 48
Valeur pasteurisatrice totale = somme des valeurs pasteurisatrices partielles prises ==> > minute p par ar minute == Pt = 0,032 + 0,100 + 0,159 + 0,251 + 0,501 + 1 + 1,585 + 1,995 + 3,162 + 3,162 +3,162 + 1,995 + 1 + 0,316 + 0,159 + 0,079+ 0,065 = 18,723 mn Avec D70 = 2,95 mn et 8 réductions décimales, on obtient Pô = 23,6 mn II manque 4,877 minutes > il faudra mn,, soit 2 rester 4,877 / 3,162 = 1,54 mn minutes d e plus minutes plus à 75°C pour assurer pleinement Pô.
Valeurs de D de Valeurs de plus plus e n plus fortes avec avec la thermorésistance des germes (65°C). Choix de D à 35°C car cette population se développe au froid et 35°C est la température létale. S u r les courbes, on a Dl = 2 m n et D2 = 0,8 mn. O n peut utiliser la relation N = No x 10
o u prolonger prolonger la la courbe pour atteindre atteindre le less 10'.
O n trouve alors : Tl, l, NI = 100 000 x 10 •10/2 = 10 5 x 10 -5 à T soit NI = 1 à T2, N2 = 10 5 x 10 •10/0'8 = 3,2 10 * et bien en évidence l'importance Ceci m et Ceci bien en l'importance d e la température choisie su r l'efficacité d u traitement.
Exercice 3 6 -page 52
• On veut Pô de l'ordre de 30 minutes. On On
élimine donc donc le less valeurs inférieures à inférieures à 72°C, 72°C, c ar elles elles n e correspondent pas. Pour les deux températures de 72 et 71°C, il faut calculer le less valeurs cuisatrices avec Z = 38 et Z = 40 pour répondre aux objectifs d'aspects et de goût. 0,183x65 71 0,200 x 6 5 0,200 = 11,895 = 13
Exercice 3 3 -page 48
E n utilisant d duu papier « log », les valeurs d e NI et N2 sont reportées directement. Mais, less élèves on le ontt souvent du mal à utiliser ce support. Aussi, après calcul (colonnes »),, o n peut reporter « logNl » et « logN2 logN2 ») su r u n graphique normal normal d e papier millimétré (pour la première courbe, faire u n e droite médiane médiane car les les points d'expérience ne sont pas complètement alignés). Résultats: D65 = 1,5 à 2 m n (suivant droite)
71
0,173x75 = 12,975
0,188x75
= 14,1
Conclusion : le barème (72°C, 65') est le meilleur (valeurs minimums). • Fabrication de plats cuisinés sous vide : quelques éléments quelques éléments de réponse ( à étoffer) :
D70 = 1,3 mn
Barème de 32,45 mn à 70°C > devient 32,45 / 0,316 = 102,68 mn à 65°C e t 32,45 /1,585 = 20,47 m mn n à 72°C Ceci es Ceci estt parfaitement cohérent cohérent : plus plus la température est basse, plus la durée doit
- Avantages Avantages : traitement thermique à température plus basse (sous vide = pression très faible, donc mise mise en ébullition d e l'eau du produit à température basse), avec u n effet pasteurisateur qu i peut être élevé Saveurs préservées. Effet anti-oxydant naturel par le sous-vide. - Inconvénients : modification enzymatique de couleur de couleur possible. Risque de sous cuisson sur les produits « durs » nécessitant u n e cuisson préalable. Risque de mauvais goût sur certains
longue pour respecter l'objectif (ici 11 réductions décimales).
légumes si il n'y a pas d e dégazage (fenouil, légumes si chou par exemple).
Les valeurs sont parfaitement logiques : la
forte plus température donne l donne laa valeur valeur d e D faible. la plus Calcul de Z :
log(2)-log(l,3) = ( 7 0 - 6 5 ) / Z , d'où Z = 26,88°C, soit en arrondissant
27°C.
Exercice 3 4 -page 50
être
de
10
LA TRANSFORM ATION DES ALI ALIMENTS CORRIGE DES EXERCICES : LA Solution : blanchir le less pommes afin d e détruire une partie d e s enzymes (rapidement pour garder le coté cru, croquant) ou ajouter de l'acide ascorbique; mettre impérativement impérativement sous vide.
Exercice 37 page 53
• II faut convertir le less nombres en une même unité. Par exemple, en gardant l'unité germes/g, on obtient en réductions décimales respectivement 11, 9 et 11 11.. Cela donne le s valeurs suivantes : FI = 1 1 x 1,4= 15,4 m n F2 = 9 x 1,4 1,4 = 12,6 m mnn F3 = l l x 1,4= 15,4 mn • F total = somme des F partielles par 0,245 + minutes = 0,024 + 0,097 + 0,245 + 0,388 + 0, 774 + 1,3855 ((1,227 -l,544)/2 + 1,227) + 2,448 + 2,448 + 0,774 + 0,122 + 0,024 = 8,7295 m n . • F total réel est t trop rop court par rapport à la valeur de FI qui est de 15,4 mn. Il faut donc garder un chambrage plus long à 125°C : il manque (15,4 - 8,7295) = 6,6705 mn à la valeur d e F totale. E n utilisant le coefficient à 125°C : 6,67 / 2,448 = 2,72 minutes supplémentaires sont nécessaires >ajout de 3 mn à 125°C pour être assurer d'avoir FI.
TROISIÈME PARTIE : L ALIMENTAIRES E S EMBALLAGES
Chapitre I : Données techniques Exercice 40 -page 71
Ultra frais laitier : emballage plastique PP Ultra ou PVC ou verre, mais le plus souvent, emballage de type composite com posite plasti plastique. que. Beurres et margarines : plastique PVC ou less fonds polypropylène (boîte : regardez le pour avoir le type de plastique); ou papier aluminium percé, sulfurisé à l'intérieur (mottes). Juss de fruits : briques composites (PE, Ju papier, aluminium) ou bouteille de verre. Produit frais : polystyrène + film.
Plats cuisinés : complexe p lastique barrière. barrière. Conseils : emporter différents emballages plastiques et regarder les compositions indiquées dans le cas des mono-matériaux.
56 Exercice 3 8 -page Exercice
Temps total d e trai traitemen temen t en - stérilisation conserve : environ 80 m inutes inutes;; chambrage 30 minutes envi environ, ron, - stérilisation UHT indirecte : environ 70 minutes; chambrage quelques secondes, mais montée lente (10 mn environ pou r redescendre à 80°C), - stérilisation directe : environ 60 m inut inutes es ; chambrage : quelques
Exercice 4l -page 72
Travaux pratiques d e « désossage » d e boîte : à faire prudemm ent ent..
Exercice 42 -page 73
secondes et montée montée rapide. Conséquences : le descente produit très est mieux préservé sur le plan organoleptique par le traitement UHT direct que par tous les autres.
: la Travail de recherche documentaire connaissance des matériaux d'emballage demande de rester très au courant de l'actualité, car les complexes évoluent très vite, dans un souci d'écologie et de gain économique. La lecture de dess revues spécialisées, le passage sur des salons du matériel sont importants pour rester dans l'actualité.
Chapitre IV : Les autres techniques d dee stabilisation Exercice 3 9 -page 65
• Recherches : à faire, avec d'autres produits au besoin. Produit nouveau : problème du
brunissement oxydatif et enzymatique (voir brunissement
premier chapitre). il
DEE S EXERC ICES LA TRANSFORM ATI CORRIGÉ D CORRIGÉ CES : LA TRANSFORM ATION ON D E S ALI ALIMEN MEN TS CONCLUSION : Voici quelques exemples d'exercices, qu i peuvent s'enrichir s'enrichir d e beaucoup beaucoup d e travaux d e recherches documentaires, thématiques filières (lait ( lait - viande - poisson - fruits p ar filières et légumes - grains et farine - corps gras boissons) ou de travaux sur la conception d e produits innovants, en utilisant le less éléments techniques étudiés (exemple : faire créer des produits alimentaires, par groupe de 3 ou 4 : élaboration de la recette; tests des ingrédients; tests de matériel et de traitements technologiques, conception de l'emballage, au besoin, recherche recherche d e nom et d e plan marketing...). Il est important d'habituer les élèves à LIRE, à OBSERVER les produits alimentaires et les emballages dans les points de vente (composition du produit, informations consommateurs, éléments de l'étique-tage, DLC ou DLUO, ad ad ditifs.. ditifs...).) et à aller aller s u r INTERNET pour compléter compléter d e s notions techniques, connaître les entreprises et s'ouvrir s'ouvrir au monde. Il est important de rendre l'élève (ou l'étudiant) actif et acteur de sa formation. Cett ouvrage, no Ce non n exhaustif, vise cet objectif. Et Et,, sa présentation en feuillets découpables a été conçue pour pouvoir insérer au fil des chapitres des éléments complémentaires issus du savoir de chacun dess enseignants et des recherches de personnell personnelles es des formés. Bon Bo n courage et bonnes bonnes découvertes.
12
tripette Olrenaud agro
MESURE DE L ACTIVITÉ DE L EAU
a
w
AQUALAB C X3
CX3T
Approuvé AOAC * / Technique de l hygronom étri étriee à miroir RAPIDE
m oye nne nne p a m : Seulement 3 m inut inutes es e n m r esure. Lecture e n point continu. point final ou en continu.
SIMPLE
: Sans calibration préalable.
Me su r e dire cte s u échantillon, r solide, liquide, p âte ux.
PRÉCIS
: ± 0,003 à 0,100 à 1,000 a né e . w à une t e m p é r a t u r e d o n né
ÉVOLUTIF : Possibilité de de the rmostatisation (C X3T), X3T), S orti ortiee série 23 2. * Association of Analytical Chemists
L AQUALAB CX3: TECHNIQUE D E L HYGRONOM ÉTRI ÉTRIEE A M I R O I R :
QU EST-CE QUE L aw ? L a notion d'activité de l'eau (Activity of W a t e r ) c orre spon d a u degré d e
L'hygronometre à miroir mesure, par la température
disponibilité de l'eau dans un produit,
d u point d e rosée, la pression de vapeur d'eau à u n e coupelle u l'équilibre d'un produit contenu dans coupelle et donc I I'' a
c e l l e - c i étant plus o u moins liée à c e
dernier. L'eau pure ayant arbitrairement la valeur de 1 soit , 100 d'humidité relative à l'équilibre.
POURQUOI MESURER L
SIMPLE : Pas de calibration, calibration, u ne vérification simplifiée e n 2 points, p as d e préparation d'échantillon préala préalable. ble. L Aqu ala utilisa able alabb es t utilis en Recherche et Développement comme en en production.
aw ?
• RAPIDE : Mesurer le point de rosée avec un une e convection forcée permet permet u unn temps de réponse de 3 minutes en moyenne (possibilité de lecture e n continu) continu)
L a durée d dee co nse r v a t io io n, comme l'odeur, la couleur ou la texture d'un produit sont autant de caractéristiques liées à I I'' a w.
E n effet, l'activité de l'eau va influencer le s réactions chimiques, enzymatiques et less développements microbiologiques. le
FIABLE : La précision de la technique technique fait d e
l'Aqualab u n appareil performant s suu r toute l laa
gamme de mesure mesu re (0,100 à 1,000 aw) avec un e répétabilité de ± 0,003 a,.,, w APPROUVÉ : L'Aqualab depuis plus d e 10 1 0 a ns
Contrôler l'a w d'un produit permet de mieux connaître son comportement et son évolution dans le temps. Dans de nombreux domaines, cette mesure est
utilise u ne méthode approuvée p ar l'AOAC. l'AOAC.
L Aqualab Aqualab et sa technique depuis 1987 o n t fait leurs preuves dans presque tous tous les secteurs de l alimentaire et de la chimie.
d e v e nu e indispensable.
CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES TECHNIQUES (CX3)
Conditions d'utilisation entre : 5 et 43 'C et
d e 20 à 85 d'humidité relative Contenance utile de la coupelle coupelle : 7 ml Alimentation électrique électrique : 110 ou 220 V 50/60 Hz Hz
Sortie série RS 232 232 Compatible 9600 Bauds
Miroir refroidi
Possibilité d e thermostatisation thermostatisation (CX3T) Gamme de lecture lecture 0,100 : à 1 a
Chambre de mesure
(Pour valeurs inférieures, nous consulter)
Flux d'air
- Coupelle
a
Double Doubl e affichag af fichage e LCD :
Echantillon
à 1 %. Température à 0,1 'C Température w
Tiroir
Dimensions nettes : 24,1 x 22,9 x 8,9 Poids brut : 5,2 kg
Poids net : 3,2 kg
tripette & &renau renaud d agro
EQUIPEMENTS EQUIP EMENTS POUR CONTROLES ET PROCESS INGENIERIE DE LABORATOIRE 20, AVENUE MARCELLIN BERTHELOT. 1 1 DU VAL DE SEINE. 92396 VILLENEUVE-LA-GARENNE VILLENEUVE-LA-GARENN E CEDEX CEDE X- FRANCE TEL. FRANCE : 01 41 47 50 41 - TEL EXPORT : +331 41 47 50 47 • TELECOPIE : 01 41 47 50 4242- TELEX : 620 237
14
View more...
Comments