1 - Les causes politiques et socio-économiques de l’act l’a ctivi ivité té am ambul bulant ante e:
«Les raisons du commerce sont toujours les plus fortes .»1. Giroud réclame que les gens gens se dirigent dirigent au commerce commerce puisque leurs raisons sont vraiment fortes , leur besoin des soins médicaux élémentaires , d’une maison, d’un minimum de confort et de ne ne pas avoir à s’inquiéter du lendemain leur pousse a chercher une source pour avoir de l’argent l’argent , dans un pas musulman comme le !aroc les gens pensent a l’éloigner de tout ce qui est "#$#! et donc se dirigent vers le commerce qu’il soit légal ou illégal. %’argent est nécessaire pour vivre sereinement.
1/ selon les citoyens :
# peu prés de &'( des citoens interrogés pensent que le commerce ambulant est la conséquence de l’exode rural. )ne partie non négligeable de *' ( évoque qu’il répond aux besoins de la population. %a culture semble +tre un déterminant par excellence. %’ensemble des citoens privilégient les marchés du quartier « sou » par rapport aux autres marchés modernes modernes de commercialisation commercialisation puisque les prix sont abordables. #insi la ma-orité des citoens marocains évitent de traiter avec les commerants commerants ambulants ambulants a cause du manque manque de l’hgiénité et d’autre d’autre préf/rent préf/rent puisqu’il trouve un prix plus ou mois bas . 2/selon les commerçants ambulants
0lus de 1 ( des commerants c ommerants ambulants avancent que les mauvaises conditions matérielles de la famille sont la cause principale de ce phénom/ne. # peu prés de '( l’exercent l’exercent parce qu’ils n’ont pas trouvés d’autres alternatives, 2 ( évoque l’incapacité d’avoir un local pour vendre leurs produits et pour 1* ( il s’agit d’un métier qui rapporte sans charges 3xes et pour * ( c’est un métier des parents. 4n peut en déduire donc que la crise économique et le taux élevé du ch5mage sont les raisons principales qui poussent les gens à adopter ce genre de commerce.
%es autorités locales pensent que le phénom/ne est une réponse à la situation socio7économique de certaines catégories de ménages qui sou=rent de l’exclusion sociale ainsi qu’ils a>rment que le commerce informel est un résultat direct de l’émigration rurale vers les grandes villes qui est selon eux la conséquence de la sécheresse, de l’insu>sance des infrastructures et les services de bases et de l’absence de stratégies locales de développement communautaire. ?ertains responsables évoquent comme causes directes l’absence de réglementation du secteur. @’autres pensent que ce tpe de commerce est A facile d’acc/s et non encore organisé B gén/re des pro3ts faciles ,non contr5lés par le dispositif de l’Ctat ,ne demande pas un grand budget mais qui gén/re des pro3ts escomptes d’imp5ts. Duoi qu’il en soit, il s’agit d’une mani/re de faire face au ch5mage pour les personnes sans emploi, Enhérent à une économie urbaine en di>culté.
3- sources d’approvisionnements des produits :
5.1- pprovisionnement :
?ertains commerants s’approvisionnent des produits de l’artisanat aupr/s des artisans, marchés de gros et grossistes. %es commerants de la contre bande divulguent rarement leurs sources. El prétend que les produits proviennent des usines
marocaines qui fabriquent exclusivement pour une client/le étrang/re. Els préf/rent parler de contre bande plut5t que de la contre faon ,vu que cela pourra leur causer des probl/mes avec les agents de l’Ctat.
5.2- !ri"ine des #onds mobilisés dans le commerce ambulants :
%e "aut ?ommissariat du plan de !en/s nous a convié l’origine des fonds des commerants en 1'F'F*'1H.
Graphique x A 4rigine des fonds du commerce. @ans l’ensemble, le secteur bancaire n’accorde pas de crédits aux commerants ambulants. ?es derniers continuent à 3nancer l’essentiel de leurs activités par leurs propres moens. )ne meilleure organisation des relations entre le secteur bancaire et les circuits de 3nancement informel serait
réciproquement béné3que pour les deux secteurs et permettrait ainsi de développer d’avantage les potentialités des acteurs de l’informel à enregistrer leurs petites entreprises, mais généralement ces secteurs refusent de 3nancer ce genre de commerce car ils -ugent que leur taux dIendettement est trop élevé, ainsi que ces commerants généralement n’ont pas de garants J leurs pro3ls ne conviennent pas pour en prendre des crédits bancaires.
$ / %uelques solutions pour lutter contre le commerce ambulant :
%e commerce ambulant présente un vrai dé3 pour l’Ctat , puisqu’il ne respecte pas les fonds du commerce et est requise pour avoir droit au statut des baux commerciaux, et en particulier à lIindemnité dIéviction. %Iexistence dIun fonds de commerce est déterminée conformément aux termes de lIarticle % 1271 du ?ode de commerce. )n fonds de commerce requiert
un local
un bail
une client/le
une inscription au $egistre du commerce et des sociétés
des actes de commerce
Koilà quelques solutions que nous proposons pour lutter contre le commerce ambulant A
$éduire le taux de ch5mage en créant des postes de travail pour la catégorie de personnes qui exercent de genre de commerce.
#ssurer des endroits et des locaux spéciaux pour les commerants ambulants.
$éduire les taux des imp5ts sur les commerants stables .
:ensibilisation sur le danger des produits vendus par les commerants ambulants.
%’élaboration des stratégies et des politiques pour la promotion des veuves.
)ne stratégie de promotion de la femme s’impose dans l’immédiat par une action d’acc/s sur la lutte contre la pauvreté.
Emposer des proc/s verbaux pour les exerants de ce commerce.
Entégration de la femme dans le complexe artisanal et assurer l’égalité chances et ses droits sociaux.
Libliographie A •
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!onnet, M. N*''HO. L’ambulantage A Représentation du commerce ambulant ou informel et métropolisation . 0aris « ?ber géo A $evue européenne de géographie A httpAFFPPP.cbergeo.presse.fr. :antos, !. N1;
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