Business Plan de L'Ecole Familiale d'Agriculture

September 1, 2017 | Author: medoure | Category: Economic Development, Agriculture, Cameroon, Rural Area, Business
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08/08/2011

PROJET INTEGRE

BUSINESS PLAN DE L’ECOLE FAMILIALE D’AGRICULTURE ET D’ELEVAGE

Par L’Expert-Consultant Gilbert Rostand MEDOU – Tel. 74031010- Courriel : [email protected] /AOUT 2011 | ASSOCIATION CAMEROUNAISE POUR L’ENTREPRENEURIAT SOCIAL, B.P 13510 Yaoundé - Cameroun

Sommaire du Business plan de L’Ecole Familiale d’Agriculture et d’Elevage PROJET Partie I - Présentation générale du projet

Page 4

Sommaire exécutif Fiche d’identité de l’entreprise

Partie II - L’école au 15 / 07 / 2011

Page 18

1. Historique 2. Le management 3. Le produit

Partie III - Le Marché III.1 III.2

Évaluation en volume : les tendances Évaluation en valeur : les tendances

III.3 III.4

Taux de croissance du marché et cycle de vie des Formations Barrières à l’entrée/barrières à la sortie et taux de rentabilité du marché

III.5

Page 29

Evaluation de la demande

III.5.1

Etude documentaire – (analyse quantitative)

III.5.2

Etude terrain – (Analyse qualitative) III.5.2.1 Déroulement de l’étude III.5.2.2 Synthèse des résultats

III.6

Etude de la concurrence

III.6.1 III.6.2

Panorama des concurrents Analyse des forces et faiblesses des principaux concurrents

III.6.3

Concurrents directs et choix d’implantation

III.6.4

Analyse SWOT (Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces)

III.7 III.7.1 III.7.2

Stratégie Marketing Mix-marketing (Service/prix/communication/distribution) Stratégie opérationnelle : Quelques précisions

2

IV.

L’environnement IV.1 - L’état de l’art de la technologie IV.2 - Le Contexte

V.

Opportunités de développement / Avantages concurrentiels

Partie IV - Stratégies de développement et plans d’action 1.

Le Business modèle

2.

La Stratégie 2.1 2.2 2.3 2.4

Page 44

- Adéquation produit / marché - Positionnement et prix – Programme de R&D – Protection Industrielle

3.

La stratégie d’approvisionnement 3.1 - Organisation 3.2 - Budget des achats et Coût

4.

La stratégie de production 4.1 - Organisation

5.

Stratégie commerciale 5.1 - Objectifs commerciaux 5.2 - Organisation de la mise sur le marché 5.3 - Plan d’action commerciale

Partie V – Les étapes stratégiques du projet

Page 51

Partie VI - L’organisation des moyens à mettre en œuvre

Page 52

1.

Organisation et Moyens humains

2.

Système de l’école

3.

Structure programmée de l’école et Organigramme

4.

Les moyens techniques

5.

La structure juridique

Partie VII – Bilan des risques et des opportunités PARTIE VIII - L’entreprise à moyen terme Partie IX Conclusions et recommandations Partie X - Dossier financier

Page 54 Page 56 Page 57 Page 58

3

Partie I - Présentation générale du projet Présentation générale de l’Ecole ECOLE FAMILIALE D’AGRICULTURE ET D’ELEVAGE DE BAKASSI – Par YABASSI Exécutive Summary ACTIVITES : l’EFA de Bakassi présente une offre de formation en agriculture, en élevage et en métiers ruraux sur un site à aménager de 27 hectares, dans le village TONDE-Carrefour, Canton WOURI-BWELE, Route Douala - Bonépoupa.



Agriculture ; production végétale et exploitation agricole o o o o o



Cultures vivrières Agrumes Maraichers Légumineuses Cultures intensives.

élevage ; production animale et ferme o o o

aviculture bovins pisciculture

4

o o



porcs, etc. abatage.

Métiers ruraux ; o Entrepreneuriat rural o Entrepreneuriat social o Développement durable o Artisanat et économie rurale

L'activité

Ecole de Bakassi proposera des formations classiques d’agriculture et d’élevage ainsi que des cours d'éveil entrepreneurial dans le secteur agricole pour les jeunes en situation postscolaire. L'école est créée dans une zone rurale, dans le département du Nkam, mais à proximité de Douala. Il s’agit précisément de la zone dite Bakassi, sur la route bitumé Douala – Bonépoupa. Ce qui lui donne une accessibilité naturelle à plus de deux millions de consommateurs potentiels. Toutefois, la zone rurale où se situe le site de l’école peut compter selon estimation plus de 5 000 habitants.

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Les cours théoriques et pratique seront dispensés de 08 h à 16 h de lundi à samedi. L'école sera équipée de trois grandes salles de classes, de deux vestiaires (hommes et femmes séparés) avec douches et d'une salle d'accueil.

Bâtiment à construire

Les fondateurs de l’école, les familles membres du PROJET sont des passionnés et des professionnels de l’agriculture. La création de l'activité nécessite l'aménagement d'un bâtiment. Un local est acquis, des terrains sont également acquis et vont être aménagés.

Marché:

Business to Consumer et Business to Business

Etat du projet : Le GIC a conçu et précisé ses techniques, des engagements sont pris, un terrain est acquis pour les salles de formation et d’accueil et également pour les espaces pour les champs expérimentaux. L’objectif est aujourd’hui de se constituer de solides références et une excellente réputation de qualité. C’est pourquoi, l’étape de l’investissement est enclenchée. C’est ainsi que le projet est à l’étape de l’attente des autorisations administratives, et également à celle de la recherche des partenaires et des associés, les uns pour assurer la qualité – leadership, les autres pour constituer le capital et acquérir les immobilisations. En septembre 2002, la FAO et l’UNESCO ont lancé dans le cadre de l’initiative l’Education pour tous, un Programme phare avec comme priorité l’Education pour les populations rurales.

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L’éclosion du sous-secteur de la formation agricole et rurale au Cameroun, ne pouvant se faire que sur la base d’un projet de développement d’une contrée agricole et rurale, ledit projet répondant dans sa logique d’intervention aux priorités établies par les autorités gouvernementales, à l’analyse des données sur le développement humain publiées par le PNUD dans son rapport annuel, ainsi qu’à plusieurs principes partagés par les autorités camerounaises et les promoteurs de projets de centre de formation agricole et rurale : a)

le Cameroun a pour garantir un développement endogène qui rompe le cercle de la pauvreté, les moyens de par la création d’emploi et de richesses en milieu rural ;

b)

le Cameroun a des potentialités agricoles énormes qui à côté d’autres richesses plus récemment explorées, peuvent rester le socle de son développement ;

c)

la population étant la principale ressource d’un pays, il est urgent de faire des efforts pour l’éducation et la formation des populations, afin de renforcer leurs capacités ;

d)

les principales poches de pauvreté se trouvent en milieu rural, là où se trouvent aussi les potentialités du pays : les paysans, en particulier les jeunes déscolarisés et les femmes et filles.

e)

D’où la nécessité d’unités de formation de proximité, intégrant le modèle du développement communautaire ; notamment l’école familiale d’agriculture.

Le centre de formation agricole et rural est donc une unité de formation des populations rurales, qui se donne comme objectif l’émergence de jeunes entrepreneurs ruraux, appelés à moderniser les exploitations agricoles. Il part d’une approche de terrain : la considération de l’unité familiale comme structure vivante et agissante au village et au campement. Cette approche veut que l’école s’insère dans la logique de l’unité familiale et de son décideur actuel, afin de faciliter l’acceptation et l’appropriation des actions entamées. Cette unité familiale rurale camerounaise peine encore à jouer son rôle dans le contexte changeant actuel mais reste la cellule de base pour toute action en milieu rural. Elle a des priorités qui se traduisent dans leurs décisions journalières. A cause de la pauvreté, ces priorités se réduisent à des besoins élémentaires : -

produire pour se nourrir et pour vendre ; maintenir la cohésion familiale.

C’est ainsi que les EFA se doivent d’adopter une approche de proximité qui tend à éviter toute barrière physique ou culturelle à leur action de formation et de promotion du milieu rural. En quête d’efficacité, l’EFA va réaliser un ciblage particulier dans les actions proposées : -

des groupes de jeunes garçons et les jeunes filles déscolarisés (âges entre 14 et 18 ans), pour des formations adaptés en cycle long ;

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-

des groupes de femmes et d’hommes adultes essentiellement pour l’apprentissage ou le recyclage fonctionnel. Une méthodologie appropriée, à deux niveaux :

-

-

niveau organisationnel : l’EFA réalise une action structurante du milieu, par sa constitution en association locale des bénéficiaires, responsables de l’activité dans son ensemble. niveau d’activités : l’EFA utilise la pédagogie de l’alternance dans deux sens : a) espace/temps, avec un temps de travail sur l’exploitation et un temps de formation sur l’école (du vécu au su) ; b) contenu de la formation, avec un programme évolutif sur trois ans, en unissant des connaissances techniques directement applicables aux connaissances générales, dont la langue nationale.

Ainsi l’EFA met en place elle-même sous réserve des aides, subventions et autres soutiens des partenaires au développement : -

l’élaboration du matériel pédagogique adéquat ; la formation des acteurs : administrateurs et formateurs de l’EFA ; le suivi pédagogique externe ; les aspects promotionnel et institutionnel, au niveau local, régional et national, et international ; la recherche de partenariats et de financements.

C’est pourquoi dans ce marché émerge des entités jeunes et dynamiques, avec des promoteurs très entreprenants à mesure de pallier aux défaillances du monde rural : par des offres de formation adaptées venant compléter cette offre dont la demande est de plus en plus grandissante. Sur ce marché, l’EFA de Bakassi se propose de fournir en avant-garde des formations actualisées, un service complet, à la pointe des exigences de la clientèle rurale aboutissant : -

-

à des jeunes agriculteurs à la qualité correspondant aux normes des meilleurs labels d’agriculture ; de constituer des pôles de développement local accessible aux acheteurs et autres parties prenantes des produits d’agriculture et d’élevage; De satisfaire la niche très porteuse des consommateurs de la métropole de Douala, du pays et de la sous-région Afrique centrale. De réaliser des volumes d’affaires considérables et de promouvoir un cercle d’entrepreneurs ruraux générateur de croissance ; De recruter en avant-garde l’essentiel des compétences locales en matière de formation agricole, de formation en production animale, et de formation en développement et en entrepreneuriat rural ; De créer de la valeur et de contribuer à l’essor de l’agriculture camerounaises et CEMAC. Il s’agit pour se faire d’acquérir essentiellement des équipements et des constructions pour compléter l’aménagement de l’école et de son campus, notamment ;  Les bâtiments et autres matériels didactiques ;  Les utilitaires d’habitation ; lits, pompes à eau potable, appareils électriques et électrogènes, matériels de réfectoire ;  Recruter des formateurs, des gestionnaires, des ingénieurs, des techniciens, etc.

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De même il faudra recruter et former le personnel technique, le personnel d’entretien et de réfectoire et les agents de plantation à la pointe de ce niveau de service. Ces bâtiments et autres matériels seront installés et aménagés directement sur le site acquis de l’école à Bakassi (lieu-dit PK27, à proximité de Douala, Département du Nkam), avec implémentation et mise en fonctionnement immédiate (dès autorisation du MINADER), le personnel clé à même de le faire fonctionner à un niveau optimal ayant déjà été préparé. Le service sera fourni directement à la clientèle qui a déjà été prospectée et est prête à s’inscrire pour les formations initiales.

La salle de cours à aménager.

OPPORTUNITE D’ENTREPRENDRE D’après les nouvelles statistiques de l’UNESCO publiées à l’occasion de la dernière journée mondiale de l’alphabétisation, 36% de la population camerounaise âgée de 15 à 20 ans est analphabète. La province du littoral n’est pas épargnée par ce phénomène qui va croissant. Dans le département du Nkam, les handicaps des jeunes ruraux et des enfants de paysans face à la formation restent importants : Préscolarisation inexistante, éloignement de l’école des domiciles, absence des centres de formation professionnelle ou de lycées dans les territoires ruraux, disparités culturelles, programmes inadaptés aux réalités et aux besoins locaux. Aussi les parents pauvres ne peuvent financer l’éducation de leurs progénitures. Or les enjeux éducatifs du milieu rural sont cruciaux : L’agriculture est la composante essentielle de l’économie camerounaise, le renouvellement des chefs d’exploitation n’est pas assuré, les besoins en main d’œuvre qualifiée augmentent, l’exode rural devient dramatique, le décrochage des jeunes au collège est important, la nécessité des jeunes de s’impliquer activement dans les exploitations familiales est incontournable. Cependant, les groupements de base porteurs de développement sont inexistants.

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Ainsi les jeunes du département du Nkam se trouvent désœuvrés dès le bas âge. En Fait, 55 % des jeunes sont touchés par le chômage parce que ne disposant pas d’armes pouvant leur permettre de s’insérer dans la vie active. Cette situation traduit aussi un sentiment d’exclusion et d’inutilité chez les jeunes non comblés à ce jour et justifiant la démarche de ce groupe de familles soucieuses du devenir de leurs progénitures ; et par ailleurs conscientes de leurs propres limites. Les jeunes désœuvrés sont contraints de rester auprès de leurs parents qui, malgré leur maigre revenu doivent subir avec eux leurs difficultés. Lorsque ces derniers ne peuvent plus résister, ils se dirigent soit vers les grandes métropoles espérant trouver mieux, soit s’adonnent sans formation à des cultures sans résultats. Dans les villes, les problèmes qu’ils rencontrent sont plus énormes ; et le jeune déplacé ne sait plus à quel saint se vouer ; si oui tenter de s’évader en Europe. Les incessantes ruées des jeunes africains sur les côtes du Maroc pour gagner l’Europe par tous les moyens et au péril de leur vie sont un signe et une résultante de cette réalité. Les rares « chanceux » d’entre eux qui ont pu atteindre la rive espagnole vivent dans l’incertitude. Comment briser ce rêve devenu malheur pour les familles. Le PROJET à vocation agricole et rurale, a mesuré toute la nécessité d’offrir aux jeunes des alternatives pour leur éviter de sombrer dans l’incertitude et la débauche ; tout en améliorant leur cadre de vie. Le PROJET se propose par le biais de la construction de cette école agricole familiale de renforcer les capacités par la formation des paysans, de promouvoir l’autoemploi pour faire face aux questions complexes posées par le désengagement de l’Etat, de contribuer à la responsabilisation des paysans, de résoudre les problèmes techniques rencontrés dans les exploitations familiales, de susciter la compétitivité agricole.

MARCHE ET CONCURRENCE

A ce jour, le réseau des EFA du Cameroun compte 52 EFA1 fonctionnelles réparties sur les 10 régions que compte le pays. . Le réseau compte 143 formateurs, 1150 jeunes et 726 parents en formation. Le concept école familiale agricole et son rôle pour le développement rural camerounais Une École Familiale Agricole (EFA) est une Association de familles, personnes et institutions, d’une zone rurale déterminée, qui cherchent à résoudre une problématique commune de développement et de promotion locale, à travers des activités de formation, principalement de jeunes, sans exclure les adultes. Les éléments fondateurs de l’EFA sont : 1.

1

La responsabilité directe des parents et des autres acteurs du milieu, qui se concrétise par la constitution d’une association propriétaire et responsable à plein titre du centre de formation EFA ; l’association est constituée par les parents, les responsables locaux et les agents économiques de la

UNEFAC

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région. Un Conseil d’Administration dirige l’Association et gère l’école, en liaison avec l’équipe pédagogique. 2.

3.

Le recours à la pédagogie de l’alternance ; l’objectif de cette formation est éminemment pratique. Ce qui est visé est l’insertion professionnelle des jeunes et la professionnalisation du milieu. La méthode est aussi très pratique : la formation est dispensée en alternance, selon une succession de séjours à l’école (une semaine) et de travail sur l’exploitation familiale (deux semaines). Cela permet d’associer la formation dispensée en cours à des connaissances qui ne s’acquièrent que dans une situation réelle de travail. Les jeunes sont ainsi confrontés aux problèmes réels et concrets de chaque jour, que sont mis en relation de manière articulée avec la formation donnée au centre. La motivation du jeune est élevée, car il cherche des solutions à des problèmes tangibles, des solutions qui vont lui permettre d’améliorer ses rendements. Derrière le jeune, c’est son parent qui se voit touché par une vague de questions (qui remettent en cause sa manière de travailler) suivie des solutions techniques apportées après la semaine de cours. L’EFA n’est donc pas une île de savoir qu’isole le jeune de son milieu, le poussant en cas, aussi bien de réussite que d’échec, à l’exode rural. Le jeune se forme dans son milieu et tire du milieu vers le haut dans une démarche solidaire au sein de sa famille. Un caractère intégral de la formation, qui ne se limite pas à donner une formation professionnelle mais qui a une finalité plus ambitieuse d’éducation des adolescents. La formation technique est doublée d’une formation générale,

Le dispositif public de formation professionnelle Le MINADER et le MINEPIA disposent d’un système d’enseignement et de formation professionnelle. Il s’articule d’une part sur des centres orientés vers la formation des producteurs et d’autre part sur les établissements de formation initiale préparant à des diplômes techniques.

Les centres de formation des producteurs (cf. carte 6) Le MINADER compte 35 centres de formation agricole (24 Centres de Formation Rurale [CFR] et 11 Centres de Formation des Jeunes Agriculteurs [CFJA]) qui forment environ 3 500 producteurs chaque année. Les formations sont non-diplômantes, de type modulaire et à la demande. Elles ont une durée de 1 à 2 jours pour les CFR et d’un an pour les CFJA. Les bénéficiaires de ces formations sont des producteurs en activité ou des personnes en quête d’emplois (retraités, déflatés, jeunes en situation post primaire…) Les centres reçoivent du MINADER une dotation annuelle de 1 million FCFA environ par centre. Leur personnel se résume le plus souvent à un directeur, responsable du centre, qui est le principal formateur assisté de un à deux personnels d’appui. Les CFR disposent en moyenne d’une surface de 4 hectares, d’un bloc administratif (un bureau, un magasin et une salle de formation) et d’un matériel didactique sommaire.

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Les CFJA, conçus pour accueillir de manière résidentielle des couples (un exploitant et son épouse) s’exerçant à l’activité productrice disposent quant à eux de 100 hectares en moyenne et sont dotés d’un complexe comprenant un bloc administratif, des salles de formation, des ateliers, des dortoirs, des magasins, des logements d’astreinte, une ferme de production, des aires de loisir ainsi que des équipements et matériels didactiques. Le MINEPIA dispose de 16 centres spécialisés dans le petit bétail (2), le gros bétail (2), la pêche artisanale maritime (2), la pêche continentale (2) et l’aquaculture (8). La formation dure de 1 à 3 mois. Les centres reçoivent du MINEPIA une dotation annuelle de 1,2 million FCFA environ par centre. Leur personnel se résume le plus souvent à un directeur, responsable du centre, qui est le principal formateur assisté de un à deux personnels d’appui. Les centres disposent en moyenne d’une surface de 30 hectares, d’un bloc administratif (un bureau, un magasin et une salle de formation) et d’ateliers d’application (étangs, porcheries, poulaillers…).

Remarques : 1. Il est à noter que les centres tant du MINADER que du MINEPIA ne dispensent pas à ce jour de formation post primaire sanctionnée par un diplôme et s’adressant aux jeunes qui envisagent de devenir agriculteurs, éleveurs ou pêcheurs. 2. Par la suite, nous utiliserons les termes centres pour désigner les centres privés ou publics sous tutelle du MINADER et du MINEPIA, qui ont pour mission la formation des producteurs et des jeunes en situation post primaire.

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Le dispositif privé de formation professionnelle L’enseignement privé agricole est dispensé dans 2 établissements secondaires, 47 centres de formation laïcs ou confessionnels, 22 écoles/ maisons familiales rurales.

Les établissements secondaires Les établissements secondaires dispensent une formation diplômante conduisant à l’obtention du Certificat d’Aptitude Professionnelle en 4 ans après le CEP et du Baccalauréat agricole en 3 ans après le BEPC. Les établissements secondaires, qui disposent d’une filière agricole, ont une configuration identique à celle des établissements secondaires d’enseignement général et technique.

Les centres de formation et les écoles/ maisons familiales Les centres, maisons et écoles familiales rurales forment environ un millier de producteurs par an. Les centres de formation dispensent des formations modulaires de durée variable à l’issue desquelles les apprenants reçoivent une attestation de formation. Les écoles et maisons familiales rurales dispensent une formation par alternance organisée de manière modulaire et qui s’étend sur une période de 3 ans, à l’issue de laquelle les apprenants reçoivent un certificat de fin de formation. Il importe de souligner que la formation, dispensée dans les centres, les écoles et les maisons familiales rurales, met un accent particulier sur la pratique en vue de faciliter l’insertion des formés dans leur milieu. Les apprenants reçoivent une formation basée aussi bien sur les productions animales et végétales que sur les métiers para agricoles. Les écoles et maisons familiales ont constitué une Union Nationale des Ecoles Familiale Rurales (UNEFR). L’Union Nationale des Maisons Familiales d’Education et d’Orientation (UNMFREO) de France vient de notifier à l’UNEFR un protocole d’accord de partenariat sur l’appui à la mise en réseau des Maisons Familiales Rurales et Ecoles Familiales Rurales du Cameroun et le renforcement des capacités. Cette opération, d’une durée de 3 ans coûtera 59 548 euros. Les centres de formation et les écoles/maisons familiales disposent généralement des infrastructures qui comprennent des salles et des ateliers de formation, des dortoirs, ainsi que d’un patrimoine foncier.

Les autres intervenants Il existe aussi une offre de service de formation importante pour des enseignements professionnels ne conduisant pas aux diplômes d’Etat. Cette offre est conduite par des entrepreneurs opportunistes qui identifient les créneaux rentables, par des entreprises qui assurent elles-mêmes la formation de leur main d’œuvre, par de nombreux ONG et organismes qui ciblent des clientèles particulières.

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Toutefois, les données chiffrées relatives au patrimoine, aux diverses ressources et au fonctionnement de ces établissements ne sont pas disponibles du fait qu’ils ne font pas encore l’objet du suivi prescrit dans les textes organiques du MINADER et du MINEPIA.

EQUIPE L’équipe de l’EFA de Bakassi sera composée de 10 personnes aux profils complémentaires (gestionnaires, ingénieurs, techniciens, logisticiens, professionnels d’agriculture, chauffeurs, formateurs, gardiens).

STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT ET MOYENS L’EFA de Bakassi souhaite développer progressivement sa contribution à l’éclosion d’une jeunesse très dynamique dans le monde rural camerounais. L’objectif global du projet étant la contribution à l'implication des jeunes dans le secteur rural afin de les aider à mener une vie saine et responsable. Le développement de la société est prévu en 3 phases : Phase 1 : (Amorçage) 

Concevoir un système d’apprentissage spécifique au milieu rural de la zone de Bakassi pour permettre aux jeunes une meilleure valorisation de leur capacité.



Contribuer à la mobilisation des ressources humaines disponibles dans le département du Nkam et dans le département du Wouri pour le développement économique et social en milieu rural.



Mettre en œuvre des programmes spécifiques de vulgarisation pour toutes innovations techniques susceptibles de répondre aux besoins exprimés par les jeunes.



Améliorer l’encadrement épanouissement ;

des

jeunes

ruraux

et

favoriser

leur



Elaborer les programmes d’éducation prenant en compte: Les métiers qui tournent autour de la production agro-pastorale, l'amélioration de la qualité de vie dans les villages ; La santé et les soins ; la vulgarisation des moyens de lutte contre les IST et le SIDA ; la promotion de la participation des jeunes à l’effort d’analyse et d’appropriation des actions de développement. Phase 2 :(Exercice 1) Début de l’exploitation– accueil des élèves et lancement des enseignements et des formations. Phase 3 :(Exercices 2,3) Intensification du développement de l’EFA de Bakassi.

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Prévisions d'activité (en F CFA) Phase 1 (Amorçage) En Fcfa CA HT Résultats Nets Effectifs Besoin en Financement Exterieur

-10 20 000 000

Phase 2 (Exercice 1)en F CFA

(Exercice 2) F CFA

Phase 3 (Exercice 3) F CFA

10 000 000-Non significatif-15-

15 000 000 Non significatif 30

---

19 000 000

-30 000 000 - Non significatif -30-

Le besoin en capitaux extérieurs est de 20 000 000 F CFA, destiné à couvrir l’acquisition des nouveaux équipements, le besoin en fonds de roulement, l’effort de markéting de recrutement des élèves et le renforcement rapide de l'équipe technique pour terminer l'appropriation des techniques d’agriculture, l’approvisionnement de l’école et la recherche et développement : -

10 000 000 F CFA en fonds d'acquisition des équipements, 5 000 000 F CFA pour le besoin en fonds de roulement et 5 000 000 F CFA pour le renforcement rapide de l’équipe technique.

Projet de site à aménager

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Fiche d’identité de l’entreprise au 01 / 06 / 2011 EFA de Bakassi – PK27 par Douala, Département du Nkam. Titre activité : Formations agricoles et rurales. Nom : Ecole Familiale d’Agriculture Forme juridique : GIC Date de création : Août 2011 Effectifs:10 personnes CA ht prévisionnel (au 31 / 12 / 2011) : Indéterminé

Siège social : PROJET, Bakassi par Bonépoupa Tél : + 237 77 76 79 12 Fax : Mail : [email protected] Http://www.fedejaf.com

Nom du dirigeant : Allain Serges PETTOUN KETCHA, Transitaire, Délégué du GIC FEDEJAF Répartition du capital : non pertinent

Financements obtenus : Autofinancement Partenaires : - Délégation Départementale du MINADER du NKAM, - Délégation d’Arrondissement MINADER de Yabassi, - Concertation Nationale des Organisations Paysannes du Cameroun – Région du Littoral, - Union des Porciculteurs du Wouri, - F.N.E (Fonds National de l’Emploi)

Partenaires potentiels : Coordination Nationale des Ecoles Familiales Agricoles du Cameroun (CNEFAC) MINADER -

Etc.

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Partie II - L’école au 15 / 06 / 2011 L’EFA de Bakassi au 2ème Trimestre 2011

1.

Historique

La question de la formation des jeunes en milieu rural a toujours retenu l’attention des membres du PROJET ; compte tenu de la fragilité de cette couche ; et du vécu au quotidien des familles. L’analyse des particularités et des contraintes de l’emploi en milieu rural montre une réticence des jeunes aux emplois ruraux. Ceci est dû à l’absence d’une formation pratique aux emplois ruraux et au découragement consécutif aux maigres résultats de leurs activités ; et enfin des difficultés d’accès à la mécanisation. Une action en faveur de l’emploi des jeunes en milieu rural ne peut en effet être menée sans une formation préalable au développement du milieu rural et agricole. Bien plus, l’atteinte par le Cameroun du point d’achèvement de l’initiative PPTE entraînera une relance de l’activité économique et aussi agricole. Le département du Nkam et celui du Wouri ne peuvent plus se contenter de se refléter dans le miroir de leurs potentiels naturels, au risque d’être comme des géants affamés assis sur un tas de vivre. Il faut aujourd’hui avoir la lucidité de constater que le département du Nkam en général est dans une pente négative, marquée par un mouvement tendanciel d’appauvrissement en dépit de toutes ses richesses. Parce qu’à force de se préoccuper de l’immédiat nous avons abdiqué toute réflexion pour anticiper l’avenir. L’idée de la création d’une école agricole familiale à Bakassi (village TONDE CARREFOUR), canton Wouri–Bwele, près de Douala, route de Bonépoupa, dans le département du Nkam s’inscrit dans la logique du développement rural pour permettre un épanouissement réel et durable dans les villages du département.

Déroulement du développement des offres du PROJET : Voir annexes 24 Juin 1999 Première étape : Création du Groupement d’Initiative Commune « Professionnel D’Education, D’Encadrement et de Communication Pour le Jeune du Cameroun » -

Réflexions et recherches approfondies sur l’opportunité génératrices de revenus Constat du potentiel très fort inhérent à ce projet Mise en place du réseau de partenaires et de parties prenantes

d’activités

2000 à 2009 : Deuxième étape : déploiement d’activités diverses de plantations et d’élevages  

Recherche des références techniques et qualitatives, études de marché, rapports de faisabilité Mise en place des structures et autres agencements Négociation avec les partenaires bancaires.

18

2009 à 2011

Intensification de la projection du GIC -

Lettre au chef du Registre Provincial COOP – GIC de la Région du Littoral Etudes et recherche de partenariat Participation à la formation de jeunes agriculteurs comme référant des programmes gouvernementaux : AFOP, PNDP, PAJA, PACA, etc. Rédaction du Business Plan du projet d’école familiale d’agriculture et d’élevage du GIC

Coût des investissements à ce jour : 1 000 000 F CFA, pour les réunions, les enquêtes et le montage du business plan

Etapes futures à engager sur la phase d'amorçage et les 3 premiers exercices Activités agricoles diverses à mettre en œuvre (ferme expérimentales) :

19

Poulets

Lapins.

20

Porcs

Aulaccodes.

21

Grenier

Installations pour eau potable.

Octobre 2011 Troisième étape : Mise en place et implémentation du projet sur la base du business plan - Installation et aménagement des salles de cours, des dortoirs, des réfectoires et des équipements didactiques en même temps que des équipements de vie; -

Acquisitions de véhicules (pick-up) pour déplacement et utilités développement des sites de cours pratiques et de cours théoriques, perfectionnement des process vers les méthodes de l’étiquette KANBAN (O délais, O stock, O retard, O coût), etc.

-

Recrutement des élèves et lancement des cours et autres formations.

22

2012 (1er et 2ème Trimestre) Quatrième étape: Croissance -

Apurement progressif des dettes contractées par réalisation des remboursements ; Positionnement comme formateur de référence dans le monde rural; Réorganisation et réaffectation du personnel et des équipements pour des offres adaptées aux exigences des nouvelles approches de formation agricoles détectables (Moyen Orient, Afrique du nord, Afrique orientale et australe, pacifique et Océanie).

2013 Cinquième étape    

: Réorganisation stratégique

Montage d’une stratégie de grandeur à moyen terme ; Réalisation d’une exploitation sur la base des principes Kai zen (amélioration continue) ; Epurement des dettes ; Etudes pour déploiement d’une école de niveau universitaire.

2014 Sixième étape : Installation et aménagement d’une usine grandeur nature -

Réalisation de l’école de niveau universitaire

2015 (1er Trimestre) Septième étape : rodage de l’équipe à la nouvelle technologie acquise -

Equipement et déploiement régional de l’école. Formation du personnel, recrutement et déploiement des formations et des enseignements.

2015 (2ème et 3ème et 4ème Trimestre) Neuvième étape : préparation à l’acquisition de l’équipement complet de formation agricole -

Lancement du service d’études supérieures ; Prise de position partagée dans les niches de marché opportunes ; Augmentation de chiffre d’affaire de près de 200% automatiquement, par récupération des services ajoutés ; Installation et relookage des nouveaux sites pilotes ; Maitrise des process et développement des nouvelles offres.

23

2016 :

Intensification du développement international et commercial

Le projet, aujourd'hui est de créer une école familiale d’agriculture et d’élevage « EFA de Bakassi » destinée au déploiement d’offres premiums de formation des jeunes et des parents aux métiers agricoles et ruraux, avec une implantation à Yabassi et ses environs. L'équipe est constituée en quasi-totalité (il manque juste quelques formateurs techniques temporaires pour les formations). Les équipements et les process sont identifiés et maitrisés, le GIC est à la cruciale étape de la recherche de financement complémentaire pour l’acquisition – implémentation des constructions et des aménagements sur site et le lancement concret de l’école.

2. LE MANAGEMENT DE L’EFA de Bakassi

Allain Serges PETTOUN KETCHA, délégué du PROJET a initié le projet Ecole Familiale d’Agriculture et d’Elevage de Bakassi sur des concepts issus de son expérience acquise dans diverses recherches et autres riches partenariats avec de grands experts nationaux d’agriculture, puis validée dans l’activité de formation et d’exploitation agricoles auprès des professionnels tel Mr. KONDE Jean Claude, Ingénieur d’Agriculture, Délégué Départemental du MINADER2 pour le NKAM, et de Mr Pierre FENJOU – Délégué d’arrondissement du MINADER pour Yabassi, nombreuses associations, Groupement d’intérêts Commun et ONG d’envergure. Il a établi avec des experts projet de haute facture les concepts et la méthodologie de l'offre, assumé la responsabilité du développement et la majeure partie des frais de gestion jusqu’à l’heure. Il a été soutenu par les conseils de Mr. Gilbert Rostand MEDOU, Expert Consultant ès Business Development, pour toute la faisabilité et le montage de la stratégie et du business plan. De nombreux autres professionnels sont intervenus, notamment des universitaires chercheurs, le centre pasteur, des constructeurs d’écoles, des professionnels de l’agriculture, et des experts de la formation. Actuellement, Allain Serges PETTOUN KETCHA, eu égard à sa riche expérience de conduite généralisé de projets orientés agriculture, se met en position de leadership.

Les fondateurs de la société Allain Serges PETTOUN KETCHA Agriculteur professionnel, Commissionnaire en Douanes. Responsable de la filière Avicole pour la CNOP – CAM Littoral, Référent du programme AFOP pour le CFR de Bonamatoumbè, VicePrésident de l’Union des Porciculteurs du Wouri Délégué du GIC et Directeur de l’école. Sosthène BASSA, Nutritionniste, Promoteur d’école d’Hôtellerie et de Restauration à Makèpè, Douala 5è, lieu-dit carrefour lycée « Centre d’Initiation des Goûts et Saveurs », Projet pilote FNE.

2

Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural du Cameroun

24

Délégué adjoint du GIC prendra la charge de l’administration de l’Ecole comme Directeur Adjoint – Secrétaire Général. Marlyse KOUETCHA, Trésorière du GIC occupera la charge de la Division commercial, du marketing et de la logistique de l’école.

Points forts de l'Equipe 

Les expériences professionnelles L'expérience approfondie des métiers de l’agriculture d’Allain, et les qualifications de formateur Sosthène. La capacité d’Allain à animer des équipes et "coacher" et dynamiser les jeunes. La créativité de Marlyse pour le management moderne.



Les motivations et les idées L'équipe partage une passion commune de l'école et une vision convergente sur son évolution, la mise en valeur des forces vives issues de la compétence des acteurs jusqu'aux niveaux opérationnels. Dans cet esprit, l’EFA de Bakassi offre des outils et une démarche créative et rigoureuse pour que les acteurs du monde agricoles puissent disposer, sans préjugés habituel, de ressources à la pointe de leurs exigences.

Points faibles actuels de l'Equipe Les ressources en R & D, pour lesquels les financements recherchés sont très attendus.

3. Les Produits l’EFA de Bakassi

Les produits EFA DE BAKASSI, c’est des formations aux métiers agricoles et ruraux à la pointe des normes internationales du troisième millénaire. Notamment :   

Agriculture ; production végétale et exploitation agricole ; élevage ; production animale et ferme ; Métiers ruraux et entrepreneuriat social.

25

3.1 Fonctionnement de l'offre produit / service Les activités entreprises seront rentables à plusieurs niveaux. Nous pouvons citer quelques retombées significatives: 

La création d'emplois pour des jeunes désespérés en milieu rural ; les emplois créés seront génératrices de revenus.



La lutte contre la pauvreté en milieu rural.



La réduction de l'exode rurale



La valorisation des produits et du savoir-faire local;



La disponibilité à proximité des services financiers, fournisseurs d’intrants et divers services artisanaux etc. ;



La disponibilité des professionnels de proximité et le développement du village ;



La promotion d'un développement harmonieux entre la campagne et le milieu urbain ;



Le développement du tourisme ;



L’autonomie progressive des villageois ;



L’accroissement des rentrées fiscales.

EFA DE BAKASSI appartiendra donc à la nouvelle génération d’écoles d’une Afrique émergente, "La Valeur Ajouté Camerounaise"

Etat d'avancement en juillet 2011 -

Les principales informations sont à dispositions, les partenaires potentiels sont répertoriés et contactés. Le projet prévoit le siège à Tonde-carrefour. L’entreprise entre dans la phase du montage de son plan d’affaires. Des prospects sont déjà contactés.

Rupture technologique EFA DE BAKASSI sera la seule école Familiale agricole du pays à disposer de ressources capable de produire des compétences personnalisées. Déjà au Cameroun, elle ne partagera ce privilège avec aucune autre. travaillants beaucoup plus sur des standards locaux peu variés.

Les autres écoles

Des inscriptions de principes sont en cours de conclusions avec de nombreux jeunes de la communauté villageoise.

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La technologie Le service générique de l’EFA de Bakassi repose sur un ensemble Référence Label – Know How - Technologie. L'environnement de l’EFA de Bakassi est ouvert :  

Espace et bureau conviviaux, recruteurs nombreux ; Techniciens, formateurs et managers compétents, disponibles et avenants.

Types d'application Le but est de rendre plus compétitifs les processus opérationnels critiques, en permettant un traitement complet du besoin de l’élève, avec l’aménagement d’espace de formation à équipement complet, l’emploi d’un personnel maitrisant les techniques agricoles en tous points et le savoir-faire commercial du Directeur et des membres du GIC (Marketing de réseaux – Marketing de marque). L’offres EFA de Bakassi est très denses, mais pour réduire l'effort commercial sur les deux premiers exercices, la société visera en priorité 2 niches clés : les populations de Bonépoupa et Yabassi, et les populations de Douala PK 14 et Logbessou. En fonction du niveau d’exigence dans le service de l'école, les offres se positionnent de la façon suivante (voir annexe – offres de formation pour la première année) :

27

Partie III - Le Marché III.1 Évaluation en volume : les tendances La stratégie de développement du secteur rural camerounais se fixe comme objectif à l’échéance de 10 ans : 

De former 30 000 producteurs par an ;



D’appuyer l’installation de 15 000 jeunes par an.

Par ailleurs l’étude des potentialités du marché du travail et de définition des niches pour la formation professionnelle et technique réalisée en 2002 estime à 5 700 les besoins annuels de formation dans les métiers situés en amont et en aval de la production agricole. Enfin, il est probable que les besoins annuels de formation en agents de développement agricole et rural travaillant en appui aux exploitations, aux organisations professionnelles et aux communautés rurales soient de l’ordre de 500. Or, les flux de formation actuels dans les centres et établissements publics et privés sont d’environ : 

4 500 pour les producteurs ;



800 pour les agents techniques, techniciens et techniciens supérieurs.

En conclusion, il apparaît que le dispositif actuel de formation n’est pas en capacité de répondre à ces besoins et doit par conséquent être rénové et développé pour répondre aux besoins actuels et futurs de formation dans les métiers agricoles et para agricoles en accordant une priorité à la formation des producteurs et des jeunes qui ont le projet de s’installer comme agriculteurs, éleveurs ou pêcheurs. Pour cela il convient que les établissements construisent leur offre de formation à partir d’une identification des besoins et des demandes des acteurs de développement agricole et rural. Cela exige une relative autonomie de ces établissements qui permette à leurs responsables, dans le cadre d’une gestion décentralisée et en concertation avec leurs partenaires, de construire une offre de formation adaptée.

III.2

Évaluation en valeur : les tendances

A ce jour, le réseau des EFA du Cameroun compte 52 EFA fonctionnelles réparties sur les 10 régions que compte le pays. . Le réseau compte 143 formateurs, 1150 jeunes et 726 parents en formation. On l’estime à plus de 2 milliards F cfa au moins pour l’an 2009, selon des rapports du MINADER.

III.3 Taux de croissance du marché et cycle de vie du service L’Institut national de la statistique (INS), analysant le 2è trimestre 2010, constate que le solde de la balance commerciale du Cameroun est resté déficitaire, l’ampleur s’étant aggravée par rapport au deuxième trimestre 2009.

28

Cette évolution s’explique principalement par les importations de pétrole brut, qui se sont envolées alors que, sur la production intérieure, les différents secteurs de l’économie ont connu des fortunes diverses. Ainsi, dans le primaire, la reprise des activités d’exploitation forestière se poursuit alors que la production des produits agricoles d’exportation marque une baisse. L’industrie, pour sa part, enregistre une hausse globale de 2,4% par rapport au second trimestre 2009. Une croissance portée par l’agroalimentaire.

Le cycle de vie Schéma :

Les étapes du cycle de vie

Cycle de vie Les produits passent généralement par cinq stades différents, à condition de ne pas "avorter" lors des premières phases (taux d'échec généralement important) : 1. Déploiement de l’EFA de Bakassi : " Gamme complète de service " ; en 06 MOIS o coûts très importants o recettes à 45 Jour du lancement o pertes très vite compensées par la démultiplication du chiffre d’affaires, et les apports des partenaires en dons et assistance techniques ; 2. Introduction du service sur le marché : 01 mois o o o 3. Stade o o o o

coûts élevés : promotion et markéting réseaux ; volume de vente des inscriptions, et ventes des séminaires très lucratifs ; prix élevés. de croissance : pendant 03 ans coûts réduits par les économies d'échelles ; croissance très importante des volumes de vente ; profits croissants pour l'école et marges élevées ; Domination du marché local ;

29

o

début de simplification du marché: les grandes écoles voudront acquérir notre école innovante.

4. Stade de maturité : à partir de la quatrième année o o o o o o o o o 5. Stade venir o o o o

III.4

marges réduites, disparition des compétiteurs incapables d'économies d'échelle (absorption, retrait, faillite, oligopoles, stabilisation des parts de marché) ; coûts de production faibles, mais coûts de promotion commerciale et de services aux élèves et autres apprenants élevés ; maximum des volumes de vente ; forte sensibilité à la conjoncture ; profits encore très importants mais stagnants ; fortes segmentations: les gammes de produits se sont diversifiées pour répondre à une demande exigeante ; tendance à la baisse des frais de formation en raison de la concurrence ; anticipation de services de remplacement par la recherche et le développement. Montage intégral d’une école de niveau supérieure et universitaire. de déclin : à partir de la 10ème année ; en raison des changements technologiques à diminution des ventes diminution des profits diminution des frais apparition de services substituts plus menaçants.

Barrières à l’entrée/barrières à la sortie et taux de rentabilité du marché

Le marché de la formation agricole et rural est de type contestable, car c’est un marché sur lequel la concurrence potentielle (la « menace » d’entrée d’une entreprise concurrente) garantit les prix concurrentiels, même si le marché est en réalité dominé par une seule ou par plusieurs écoles.

Barrières à l'entrée En économie, on désigne par barrières à l'entrée les obstacles qu'a à surmonter une entreprise désirant se lancer sur un nouveau marché. Les barrières à l'entrée sont établies par les acteurs déjà en place sur le secteur en question. Ici, L'entrée sur le marché est libre, gratuite, et absolue : pas de barrières juridiques, technologiques, ni financières ; l’entrée est immédiate (l’entreprise monopoleur n’a pas de temps pour réagir) et l’opérateur entrant est en position d’égalité avec l’entreprise ancienne (l’accès égal aux moyens de production, au savoir-faire, les consommateurs peuvent choisir librement), sauf pour l’approvisionnement pour lequel même les plus expérimenté peuvent connaître des difficultés.

30

Les barrières naturelles Coûts fixes importants décourageants pour des entrants potentiels, comme des coûts de recherche-développement importants pour démarrer et le coût des équipements de production et de contrôle qualité, difficultés grandes à développer un réseau de clientèle. De plus, il vaut mieux être en zone franche pour bénéficier des régimes d’exonération, seule avantage à même de permettre de récupérer rapidement du coût élevé des investissements.

Les barrières artificielles Dépenses de publicité, d’adaptation : Qualité – certifications - délais Des dépenses de marketing de réseaux, dépenses d’équipement, Monopole naturel de l’Etat du Cameroun.

Barrières à la sortie 1. La sortie du marché est libre et sans coût : pas de barrières juridiques ; coût fixes parfaitement recouvrables (peut être récupéré à la sortie du marché, moins l’usure), donc pas de coût irrécupérables (sunk-costs). Le marché est parfaitement concurrentiel sans un très grand nombre de concurrents. Taux de rentabilité du marché Ce marché est très rentable, les tendances sont à près de 50% de marge brut.

III.5

Evaluation de la demande

La stratégie de développement du secteur rural camerounais se fixe comme objectif à l’échéance de 10 ans :  De former 30 000 producteurs par an ;  D’appuyer l’installation de 15 000 jeunes par an. Le canton WOURI-BWELE, les centres de Bonépoupa et de Yabassi, et la ville de Douala donnent près de cent mille élèves potentiels.

31

III.6 III.6.1

Etude de la concurrence Panorama des concurrents

L’enseignement privé agricole est dispensé dans 2 établissements secondaires, 47 centres de 3 formation laïcs ou confessionnels, 22 écoles/ maisons familiales rurales .

Les établissements secondaires Les établissements secondaires dispensent une formation diplômante conduisant à l’obtention du Certificat d’Aptitude Professionnelle en 4 ans après le CEP et du Baccalauréat agricole en 3 ans après le BEPC. Les établissements secondaires, qui disposent d’une filière agricole, ont une configuration identique à celle des établissements secondaires d’enseignement général et technique.

Les centres de formation et les écoles/ maisons familiales Les centres, maisons et écoles familiales rurales forment environ un millier de producteurs par an. Les centres de formation dispensent des formations modulaires de durée variable à l’issue desquelles les apprenants reçoivent une attestation de formation. Les écoles et maisons familiales rurales dispensent une formation par alternance organisée de manière modulaire et qui s’étend sur une période de 3 ans, à l’issue de laquelle les apprenants reçoivent un certificat de fin de formation. Il importe de souligner que la formation, dispensée dans les centres, les écoles et les maisons familiales rurales, met un accent particulier sur la pratique en vue de faciliter l’insertion des formés dans leur milieu. Les apprenants reçoivent une formation basée aussi bien sur les productions animales et végétales que sur les métiers para agricoles. Les écoles et maisons familiales ont constitué une Union Nationale des Ecoles Familiale Rurales (UNEFR). L’Union Nationale des Maisons Familiales d’Education et d’Orientation (UNMFREO) de France vient de notifier à l’UNEFR un protocole d’accord de partenariat sur l’appui à la mise en réseau des Maisons Familiales Rurales et Ecoles Familiales Rurales du Cameroun et le renforcement des capacités. Cette opération, d’une durée de 3 ans coûtera 59 548 euros.

Les établissements sous tutelle du MINEPIA Pour ce qui est du MINEPIA, le dispositif de formation se compose de trois Centres Nationaux de Formation Zootechnique et Vétérinaire (CNFZV) dont : 

2 spécialisés dans les domaines de la santé et de la production animale ;



1 spécialisé dans les domaines de la production animale, de la pêche et de l’aquaculture.

Ces centres préparent aux Brevets de Techniciens Supérieurs et de Techniciens (Infirmier vétérinaire, technicien d’élevage, technicien des pêches et technicien d’aquaculture) et aux Brevets d’Etudes Professionnelles (infirmier vétérinaire adjoint, technicien adjoint d’élevage et technicien adjoint d’aquaculture). 3

Rapports statistiques du MINADER, Etat du Cameroun.

32

Les flux annuels de formation par catégorie d’établissement et par niveau de formation sont récapitulés dans le tableau ci-dessous : Tableau n°2 : Niveaux et flux de formation des écoles du MINEPIA Types d’établissements

Niveau de formation Brevet d’études professionnelles

Brevet de Technicien

Brevet de Technicien Supérieur

Total

CNFZV Maroua

50

60

0

110

CNFZV Jakiri

50

60

0

110

CNFZV Foumban

50

90

0

140

150

210

0*

360

TOTAL

* Le cycle des brevets de techniciens supérieurs retenu dans les CNFZV n’est pas encore opérationnel Ces établissements publics du MINADER et du MINEPIA ont pour mission de former des cadres et agents de développement rural. Les formations sont d’une durée de deux ans et s’adressent aux jeunes diplômés de l’enseignement secondaire titulaires : 

d’un BEPC ou d’un CAP pour la préparation aux diplômes d’Agent Technique et Brevet d’études professionnelles ;



d’un Probatoire ou d’un diplôme d’Agent Technique/ Brevet d’Etudes Professionnelles pour la préparation aux diplômes de Techniciens ;



d’un Baccalauréat scientifique ou d’un Brevet de technicien pour la préparation aux diplômes de Techniciens Supérieurs.

Les établissements de formation initiale agropastorale et halieutique publics disposent d’un important patrimoine humain, foncier et infrastructurel. S’agissant des ressources humaines, celles-ci se composent généralement d’un personnel administratif (directeur, chef de division/ directeur adjoint, responsable Administratif et Financier, chef de Service des Etudes et Stages, chef de Ferme, Surveillant Général…), d’un personnel formateur (permanent ou vacataire) et d’un personnel d’appui (secrétaire, gardien, chauffeur, agent d’entretien, cuisinier). Tous les établissements de formation agricole, en élevage et halieutique disposent d’une ferme d’application dont la superficie varie de 10 à 80 hectares. Les infrastructures quant à elles se composent d’un bloc administratif, de salles de classe, de laboratoire/atelier/clinique, de dortoirs, d’un réfectoire, d’une cuisine, d’une infirmerie et d’aires de loisirs. Les établissements reçoivent de leurs ministères de tutelle une dotation annuelle de 10 à 21 millions FCFA en fonction du niveau de leurs cycles d’études. Il est demandé une contribution de 50 000 FCFA par an aux élèves de nationalité camerounaise et de 150 000 à 350 000 FCFA pour les nationaux parrainés par les sociétés de développement et les étrangers. De plus, il est prévu que les fermes d’application puissent par les bénéfices qu’elles pourraient dégager contribuent au financement de la formation.

33

Le MINADER compte 35 centres de formation agricole (24 Centres de Formation Rurale [CFR] et 11 Centres de Formation des Jeunes Agriculteurs [CFJA]) qui forment environ 3 500 producteurs chaque année. Les formations sont non diplômantes, de type modulaire et à la demande. Elles ont une durée de 1 à 2 jours pour les CFR et d’un an pour les CFJA. Les bénéficiaires de ces formations sont des producteurs en activité ou des personnes en quête d’emplois (retraités, déflatés, jeunes en situation post primaire…) Les centres reçoivent du MINADER une dotation annuelle de 1 million FCFA environ par centre. Leur personnel se résume le plus souvent à un directeur, responsable du centre, qui est le principal formateur assisté de un à deux personnels d’appui. Les CFR disposent en moyenne d’une surface de 4 hectares, d’un bloc administratif (un bureau, un magasin et une salle de formation) et d’un matériel didactique sommaire. Les CFJA, conçus pour accueillir de manière résidentielle des couples (un exploitant et son épouse) s’exerçant à l’activité productrice disposent quant à eux de 100 hectares en moyenne et sont dotés d’un complexe comprenant un bloc administratif, des salles de formation, des ateliers, des dortoirs, des magasins, des logements d’astreinte, une ferme de production, des aires de loisir ainsi que des équipements et matériels didactiques. Le MINEPIA dispose de 16 centres spécialisés dans le petit bétail (2), le gros bétail (2), la pêche artisanale maritime (2), la pêche continentale (2) et l’aquaculture (8). La formation dure de 1 à 3 mois. Les centres reçoivent du MINEPIA une dotation annuelle de 1,2 million FCFA environ par centre. Leur personnel se résume le plus souvent à un directeur, responsable du centre, qui est le principal formateur assisté de un à deux personnels d’appui. Les centres disposent en moyenne d’une surface de 30 hectares, d’un bloc administratif (un bureau, un magasin et une salle de formation) et d’ateliers d’application (étangs, porcheries, poulaillers…).

Les établissements de formation initiale Les établissements sous tutelle du MINADER S’agissant de la formation initiale, le dispositif du MINADER se compose de :  trois Collèges Régionaux d’Agriculture (CRA) et de neuf Ecoles Techniques d’Agriculture (ETA),  trois Ecoles de Formation des Spécialistes de Développement Communautaire (EFSDC) et deux Ecoles de formation des Spécialistes en Coopération (EFSC),  une Ecole de formation des Spécialistes en Equipements et Aménagements Ruraux (EFSEAR). Les 3 CRA préparent aux diplômes de Technicien Supérieur et de Technicien d’Agriculture. Les 9 ETA préparent au diplôme d’Agent Technique d’Agriculture. Les 3 EFSDC et les 2 EFSC forment des agents techniques et des techniciens dans les domaines du développement communautaire et de la gestion des coopératives.

34

L’EFSEAR forme des agents techniques en équipements et aménagements ruraux. Les flux annuels de formation par catégorie d’établissement et par niveau de formation sont récapitulés dans le tableau ci-dessous : Tableau n°1 : Niveaux et flux de formation des écoles du MINADER Types d’établissements

Niveau de formation Agents techniques

Techniciens

Techniciens supérieurs

Total

CRA

-

90

85

175

ETA

175

-

-

175

EFSDC

45

62

-

107

EFSC

20

35

-

55

EFSEAR

25

-

-

25

TOTAL

265

187

85

537

III.6.2

Analyse des forces et faiblesses des principaux concurrents

Les structures potentiellement concurrentes sont en réalité complémentaires à notre offre selon toute expertise. En effet, le très faible taux de présence des centres de formation agricole et rural impose une union des formateurs.

III.6.3

Concurrents directs et choix d’implantation

Les concurrents directs sont inexistants au Cameroun.

35

III.6.4

Analyse SWOT (Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces)

TABLEAUX SWOT FORCES - Bonne couverture et bonne notoriété locale

FAIBLESSES - Manque de visibilité sur les offres - difficultés de communication

- Personnel très compétent et très efficace - Les moyens relativement faibles - Management très dynamique et avant gardiste - manque de soutien de l’Etat

OPPORTUNITES

MENACES

- avec l’acquisition de l’équipement complet, L’EFA de Bakassi pourra se positionner Troubles politiques comme le formateur moyen du Nkam et être rapidement un intervenant de poids dans ce marché au Cameroun

- dispose de la confiance des partenaires financiers

-

le marché est en plein essor

Fébrilité du marché, Région d’implantation, littoral Cameroun, très dynamique avec les métropoles de Choix et paramétrage des références à Douala, de Limbé et de Kribi au voisinage implémenter réseau

Catastrophes naturelles

36

III.7

Stratégie Marketing

Pour le marketing de gestion (ou marketing-management) la stratégie marketing est une démarche d’étude et de réflexion dont le but est de s'approcher au plus près de l’adéquation offredemande. Cette démarche s'inscrit au sein de la stratégie de l'entreprise. Il s'agit d'un travail qui vise à augmenter le chiffre d'affaires, les parts de marché et la permanence des clients par différenciation, motivation ou adaptation de l'offre solvable augmentant ainsi les économies d'échelle. Dans ce cadre, le marketing stratégique, composante de la stratégie marketing, s'assure auprès des autres fonctions clés de l'entreprise (gestion de la qualité, logistique, management du système d'information, gestion des ressources humaines) de la faisabilité de l'offre. Pour le marketing de gestion, la stratégie marketing se confond souvent avec la stratégie d'entreprise notamment dans les organisations faisant appel à un nombre restreint de métiers (de DAS) et négocie ainsi directement l'optimisation des synergies (ou flexibilité) de l'organisation et la rentabilité attendue par le service financier. En fait, elle se résume souvent à l'élaboration d'un marketing-mix dont la cible désignée est... le client.

Sur la base des trois stratégies génériques de Porter Michael Porter est célèbre pour ses travaux sur les forces environnementales qui plombent les possibilités d’une rentabilité qu’on souhaiterait toujours meilleure. Les stratégies à appliquer sont les réponses logiques à ces menaces. La première est la domination par les coûts. Les produits ne se distinguent pas de la concurrence, sauf par des prix de vente très bas. Synonyme de gestion hyper serrée. La deuxième est la stratégie de différentiation. Cette fois-ci, notre entreprise propose quelque chose d’unique. Bien sûr, c’est un peu plus cher mais que voulez-vous, il faut bien amortir les frais de recherche ou de marketing qui ont permis cette différentiation… La troisième est celle de la concentration. C’est une clientèle de niche qui est visée. Un judicieux couplage avec une domination par les coûts ou une différentiation évite aux petits malins de venir troubler ce nid douillet.

Stratégie choisie L’EFA de Bakassi choisit une stratégie de différentiation : un service d’excellente qualité, et des frais un peu plus élevé que ceux des concurrents.

37

III.7.1

Mix-marketing (Service/prix/communication/distribution)

Le plan de marchéage est le suivant 



Produit : o Formation agricole o Formation à l’élevage o Formation aux métiers ruraux o Formation à l’entrepreneuriat social et à l’entrepreneuriat rural Price : o écrémage, prix totalement différenciés o Paiement cash par tranches



Place (distribution) : formations et séminaires sur le site de l’école



Promotion : marketing direct - relations publiques.

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III.7.2

Stratégie opérationnelle : Quelques précisions

L’EFA de Bakassi se veut être une entreprise qui se voudra très dynamique et haut de gamme avec un personnel rompu à la tâche et des process techniques et agricoles rôdés ; la mise en place d’une stratégie de croissance tous azimuts passera uniquement par une mise à niveau managériale de l’entreprise, via un manuel de procédure et la spécialisation des ressources humaines.

IV.

L’environnement

IV.1 - L’état de l’art de la technologie

La Côte d’Ivoire compte 8 transformateurs de fèves de cacao en activité, contre 5 il y a cinq ans, et 4 groupes ont annoncé l’implantation imminente de nouvelles usines (Oct Holding, Ivcao, Tafi et choco Ivoire). En plein essor, la filière attire de plus en plus d’investisseurs nationaux. Probinex, Condicaf, SN Chocodi, Susco : la moitié des sociétés appartiennent désormais à des privés ivoiriens, alors que les 4 premières usines de transformation de cacao – Saco, Unicao, Cargill Cocoa SA et Cemoi – sont des filiales de multinationales. Pourtant, les chiffres ne suivent pas le dynamisme affiché. « Nous avons produit les fèves de cacao pendant cinquante ans, il est temps maintenant de les transformer », martèle régulièrement le président, Laurent Gbagbo, lorsqu’il fait allusion à la production cacaoyère… et constate que les statistiques, pour 2009, indiquent que seulement 33 % des fèves produites dans le pays y ont été transformées. Aujourd’hui, le pari des autorités est de transformer en produit semi-fini 50 % des fèves de cacao pour leur apporter une valeur ajoutée. Un pari que le pays n’est pas loin de gagner puisque, cette année, la capacité de l’ensemble des unités de transformation est de 507 000 tonnes, soit 40 % de la production nationale. Une capacité qui classe, potentiellement, la Côte d’Ivoire au rang de premier broyeur mondial de fèves de cacao, supplantant les Pays-Bas (460 0000 tonnes). Cependant, selon un industriel de la filière, la cherté de l’énergie et les « frais d’approche » (transport, racket…) pourraient freiner cette ambition. « Il serait illusoire de vouloir atteindre une transformation de 50 % dans le contexte actuel. Si l’État ne fait rien pour améliorer l’environnement économique, il sera difficile d’édifier une véritable économie chocolatière, explique-t-il, et l’industrialisation du cacao s’arrêtera au conditionnement de base avant export. » Plus de 50 entreprises et coopératives de producteurs se disputent le marché pour rendre les fèves conformes aux normes d’exportation, mais le pays est encore loin de disposer d’une industrie chocolatière qui intègre à la fois l’amont et l’aval de la filière, c’est-à-dire aussi bien la culture des cacaoyers que les chocolateries, en passant par les unités de première et de seconde transformation, sans oublier les activités connexes ou dérivées, telles que la sacherie et le négoce.

39

Par ailleurs4 en 2010, le Président de la République de Côte d’Ivoire, Sem Laurent Gbagbo, a invité les opérateurs économiques Ivoiriens, à davantage mettre l`accent sur la transformation sur place des produits de l`agriculture ivoirienne. Citons entre autres, le café, le cacao, le coton etc. "C`est ici le chemin. Il nous faut continuer, à produire du coton, le cacao et l`huile de palme. Mais, si nous ne faisons que ça, nous allons stagner. Il faut qu`on avance. Avec l`appui de ceux qui achètent le café et le cacao, il faut aller à la transformation sur place. Car, les tentatives de transformation du cacao en Chine sous Bédié qu’aux Usa sous Gbagbo, ont échoué lamentablement. Ça nous a coûté de l`argent et cela à aider à enrichir des voleurs ", a indiqué le Président Gbagbo. L’heure est à la formation locale dans le secteur agricole.

IV.2 - Le Contexte

5

De Yaoundé à Libreville en passant par Douala, les chefs d’entreprise se plaignent de la pression fiscale, de la difficulté d’accéder aux crédits bancaires, des relations tendues avec l’administration… Les entrepreneurs camerounais ne cachent pas leur inquiétude dès qu’ils évoquent l’avenir. Climat politique peu propice à la mobilisation des financements, manque de performances de l’administration, absence de vision globale claire et partagée… les critiques émises par les membres du patronat ne manquent pas. Chacun évoque ses doutes et les pesanteurs qui gangrènent le « système ». Mais tous estiment que les choses peuvent changer. Même s’ils sont unanimes pour dénoncer « l’incroyable gâchis dans l’utilisation des ressources humaines et financières du pays. » Cette situation est notamment illustrée par les dernières statistiques macroéconomiques : en 2008, le Cameroun verra son PIB croître de 2,8 %, contre 3,3 % un an plus tôt. Une dégradation qui va à l’encontre de la tendance générale des principaux pays de la sous-région. La Guinée équatoriale a vu son PIB augmenter de 8,7 % en 2007, et la croissance du Gabon a atteint 5,6 %. On pourra objecter que ces deux pays ont été portés par des revenus pétroliers exceptionnels. Mais que dire alors de ceux, infiniment moins doté en ressources naturelles, qui affichent pourtant une croissance bien supérieure à celle du Cameroun. Patron de presse, Haman Mana a lancé, il y a un an à Yaoundé, le quotidien Le Jour sur un marché très réduit. Ce qui n’empêche pas à sa publication d’employer une quarantaine de personnes, pour un chiffre d’affaires de 200 millions de F CFA. Selon lui, « il existe dans ce pays quelque chose d’évident et d’inexplicable qui bloque tout, inhibe l’initiative et conduit les gens à mieux s’entendre pour la destruction que pour la construction ». « On ne fait rien pour encourager les gens à investir », regrette Robert Nkouamou, patron d’une imprimerie employant une vingtaine de personnes à Yaoundé, pour un chiffre d’affaires de 150 millions de F CFA. Ce que corrobore Charles Metouck, directeur général de la Société nationale de raffinage (Sonara) et président du Syndicat des industriels du Cameroun (Syndustricam) : cet immobilisme tient au manque d’outils de financement des affaires dans un environnement pesant, où la fiscalité résonne comme un « facteur aggravant » qui réduit les liquidités disponibles et incite les entrepreneurs à l’attentisme.

4

Le 14 novembre 2009 par le Temps - Profitant de la cérémonie d`inauguration de l`Unité de Fabrication et de Requalification de la Société nationale d`Opération pétrolière (Petroci), 5

Article de presse économique

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Pour Olivier Behle, fondateur du cabinet Behle & Associés (200 millions de F CFA de chiffre d’affaires) et président du Groupement interpatronal du Cameroun (Gicam), cette situation s’explique aisément : « L’État doit se livrer en permanence à un arbitrage difficile : il doit collecter les recettes et, simultanément, satisfaire la forte demande en infrastructures qui émane des opérateurs économiques et les besoins sociaux de la population. » Cela conduit à une allocation de ressources qui n’est pas toujours optimale, se plaint-on parmi les adhérents du Gicam. Ainsi le budget de 2008 était-il encore largement consacré aux dépenses de fonctionnement. Les entrepreneurs se plaignent donc d’être une sorte de « vache à lait d’un système qui tourne dans le vide », explique Robert Nkouamou. Haman Mana, dont le quotidien est en tête des ventes dans la capitale, décrie quant à lui les dérives d’un « État dont la conception et l’application des lois visent à distribuer des prébendes. Il laisse prospérer des zones grises d’où naissent des entreprises qui ne mériteraient pas d’exister », explique-t-il. C’est ainsi que, dans le secteur de la presse, par exemple, « les journaux sont taxés selon le même régime fiscal que les boulangeries ». Du coup, fustige Olivier Behle, beaucoup continueront de choisir l’informel, qui représente encore, à ce jour, quelque 70 % du secteur productif. Une situation que risque d’aggraver les effets de la libéralisation sur les échanges commerciaux, à savoir l’intensification de la concurrence, selon Charles Metouck. Ainsi, dans l’imprimerie, secteur qui concerne aussi bien Robert Nkouamou que Haman Mana, un récent renchérissement du prix du papier importé a entraîné une augmentation du prix des tabloïds, passé de 300 à 400 F CFA. L’économie camerounaise est donc particulièrement exposée à divers risques conjoncturels qui grèvent sa compétitivité. Pour le Gicam, il est impératif d’améliorer le financement des entreprises, de développer les infrastructures et l’exploitation des matières premières, de libérer les énergies humaines et d’assainir la gouvernance globale. Mais comment se doter de nouveaux outils de production lorsque le taux d’intérêt généralement pratiqué par les banques locales ne descend pas en deçà de 15 % ? Le Cameroun estil voué à être toujours moins attractif que la Chine, par exemple, où l’on ne prête qu’à 6 %. « Il n’y a aucune chance que l’actuelle crise financière puisse améliorer cette situation », prévient un banquier de Douala. Olivier Behle juge ces freins au financement « anachroniques » et suggère, comme remèdes, une baisse des taux d’intérêt de la Banque centrale, et la mise en place d’un mode de financement spécifique pour les PME. Le secrétaire exécutif du Gicam, Martin Abega, suggère pour sa part la constitution rapide de « pôles de compétitivité » en même temps que serait mise en œuvre une « vraie politique de recherche scientifique ». Mais sans doute est-ce plutôt sur ce que les économistes nomment le « facteur résiduel » que se trouve l’essentiel du débat : la question de la confiance. Pour Haman Mana, il est possible d’espérer un « sursaut national ». Le Cameroun, insiste-til, ne saurait progresser dans l’actuel « climat d’adversité » qui y règne. Trop de tensions empoisonnent les relations sociales. Ce n’est pas un hasard si la Direction générale des impôts a dû organiser, le 15 octobre dernier, une journée de « friendly partnership » destinée à améliorer ses relations avec les milieux d’affaires. Reste à savoir si cette initiative isolée portera ses fruits. Si la question de la stabilité politique suscite l’appréhension des patrons camerounais, elle figure en revanche parmi les arguments invoqués par la Confédération patronale gabonaise (CPG) pour encourager les investisseurs à miser sur ce pays. Le climat est, sans conteste, bon pour les

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affaires. Mais, pour l’année 2009, les entrepreneurs sont dans l’expectative. « Nous vivons dans une économie de rente qui dépend étroitement des cours du baril du pétrole. Si la tendance à la baisse se poursuit, l’État, qui est notre premier client, risque d’appliquer des mesures de restrictions budgétaires. Et cela affecterait fatalement nos activités », s’inquiète le promoteur d’une start-up basée à Libreville et spécialisée dans la fourniture de consommables informatiques. Outre les aléas liés à la variation des cours auxquels sont soumis les produits d’exportation du Gabon, les entrepreneurs montrent du doigt l’environnement juridique des affaires. Certes, le cadre réglementaire est relativement attractif. « Nous avons les meilleurs textes du monde. Le problème se pose au niveau de leur application », souligne Dieudonné Bussamb, directeur d’Afric Construction, une PME opérant dans le BTP. Selon lui, les PME gabonaises, qui ne contribuent qu’à hauteur de 10 % à la formation du produit intérieur brut (PIB), pourraient être plus performantes si la réglementation était mieux respectée. En effet, lorsqu’un marché bénéficie d’un financement provenant de bailleurs de fonds multilatéraux, les majors du BTP qui raflent la plupart des appels d’offres ont obligation de sous-traiter auprès des PME locales pour au moins 10 % de la valeur du contrat. Dans la réalité, il n’en est rien. Les poids lourds des travaux publics jugent les petites entreprises gabonaises, souvent à tort, « inorganisées et incapables de prestations de qualité ». Compte tenu de l’importance des travaux d’infrastructures (stades, routes, etc.) destinées à accueillir la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en 2012, « les grands groupes devraient partager le gâteau », estime Fidèle Waura, directeur général de Triangle des constructeurs, une entreprise de BTP. La procédure de passation des marchés publics fait également l’objet de critiques de la part des petits entrepreneurs. En effet, en cas d’appel d’offres, la plupart d’entre elles sont éliminées par les conditions posées. « Ils nous demandent des cautionnements bancaires et de justifier d’un chiffre d’affaires de 500 millions de F CFA sur les trois dernières années pour répondre aux appels d’offres. Comment va-t-on parvenir à un tel volume d’activité si nous n’avons pas accès aux marchés de l’État ? » se plaint Dieudonné Bussamb. Pour sa part, Fidèle Waura se plaint du recours abusif au mode d’attribution de gré à gré des marchés publics. Une de ses entreprises, Kentra, qui exploitait un remorqueur de 360 chevaux, a fait faillite faute de marché. Au bout d’un an d’inactivité, la PME a fermé ses portes. « J’ai perdu 60 millions de F CFA dans cette affaire », conclut-il. Les entrepreneurs attendent aussi que l’on réduise les obstacles liés au financement de l’activité des PME. « Nous manquons de fonds propres », soupire l’un d’entre eux. Les opérateurs tentent bien de solliciter les établissements de crédit. Mais les banques exigent un apport minimal de 20 % du coût de l’investissement. Lorsque le prêt est refinancé par la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC), ce taux peut être porté à 29 %. Les conditions de remboursement imposées par les banquiers sont également très contraignantes, les taux d’intérêts atteignant parfois 17 % à 18 %. Grâce au guichet unique de l’Agence de promotion des investissements privés (Apip), créé en février 2000, la plupart des opérateurs économiques reconnaissent que l’administration est parvenue à raccourcir les délais de création d’une entreprise. Le traitement des dossiers, qui impliquait plusieurs administrations, atteignait couramment six mois. Pour l’obtention d’un seul document, la multiplicité des interlocuteurs compliquait les formalités administratives. Depuis la réforme du guichet unique, il s’est créé 10 020 entreprises dans la seule ville de Libreville entre 2004 et 2007, estime l’Apip. À titre de comparaison, en 1985, le pays n’en comptait que 10 555. Enfin, comme au Cameroun, les PME structurées subissent la concurrence déloyale du secteur informel, qui demeure important au Gabon. Ces entreprises, qui ne sont pas enregistrées auprès de l’administration, exercent notamment dans le petit commerce, l’artisanat et les services aux particuliers. Leurs promoteurs sont généralement des ressortissants d’Afrique de l’Ouest. Résultat :

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l’Apip et les patrons de PME gabonais déplorent la trop forte présence des étrangers dans l’économie du pays. Les Gabonais ne possèdent que 5,2 % du capital des entreprises installées et seulement 15 % de ces entreprises leur appartiennent, selon l’agence. Aussi les entrepreneurs locaux souhaitent-ils un renforcement de la concertation État-privé pour parvenir à un meilleur contrôle de l’activité économique.

V.

Opportunités de développement / Avantages concurrentiels

L’EFA de Bakassi se propose de se mettre à niveau par l’acquisition directe des équipements et autres matériels didactiques pour le site. Afin de pourvoir fournir rapidement des services respectant toutes les normes et références internationales.

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Partie IV - Stratégies de développement et plans d’action 1.

Le Business modèle

Le business modèle de l’EFA de Bakassi est très proche de celui de tout formateur de cacao, à savoir une offre produit / service vendue à travers une organisation commerciale directe. Ainsi, la structure des revenus de l’EFA de Bakassi sera la suivante

Formation en Elevage 15%

Formations en Entrepreneuriat 11%

Formation en métiers ruraux 11%

2.

Formation en Production Végétale 63%

La Stratégie produit

2.1. Adéquation Produit ou Gamme de Produits / Marché La conception de l'offre EFA DE BAKASSI fournit des services premiums, complets et efficients, répondant aux grandes caractéristiques et tendances du marché fragmenté et très exigeant de la formation.



EFA DE BAKASSI permet de disposer de ressources humaines agricoles avec des compétences de pointe, ce qui les rendra très attractives face aux besoins très différenciés des entreprises désirant optimiser la qualité de leurs production agricoles, tout en promouvant l’auto-emploi des jeunes formés.



EFA DE BAKASSI peut couvrir des besoins dits personnalisés, faisant appel à la créativité et au génie conceptuel.



Le coût et les délais de fourniture chez EFA DE Bakassi de l'ordre de quelques semaines dans les cas courants sont environ 10 fois moins importants que les standards actuels des concurrents.



EFA DE BAKASSI sera bien intégré dans le circuit socioéconomique camerounais, ce qui le rendra peu sensible aux instabilités conjoncturelles de la demande nationale.

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Le développement de l’EFA DE BAKASSI repose donc moins sur une gamme de service à développer que sur une gamme de besoins d'entreprise à bien cerner dès la phase d'amorçage pour concentrer le business sur des besoins où la compétitivité de l’EFA DE BAKASSI sera maximum.

2.2 - Positionnement La formation Des programmes seront élaborés pour mettre en œuvre les différentes formations. Le temps de formation sera divisé en deux : Une partie sera réservée à la formation théorique et une partie à la formation pratique sur le terrain et dans les parcelles des familles des élèves ou les parcelles du GIC mises à la disposition de l’école. Il est prévu deux types de formations : 

Une formation triennale diplômante (10 élèves la première année et 60 au bout de 3 ans) du GIC. La dernière année sera réservée à l’apprentissage des techniques de création, de gestion d’une exploitation.



Une formation modulaire à la demande et sur la base des besoins exprimés par les jeunes et les femmes : Recyclages par filières

Suivi des jeunes dans le processus d'insertion Pour les jeunes en préparation pour l'insertion, chacun fera l'objet de suivi individuel rapproché par l’école. Des prestataires privés seront recrutés sur contrat par le GIC et chacun dans son domaine sera responsable de la réussite des activités spécifiques. Les jeunes qui après leur formation et leur insertion dans les activités professionnelles seront suivis par l’école afin d'apprécier la pertinence des thèmes traités conformément aux réalités sur le terrain. Chacun sera doté d'un fonds d'insertion pour chaque exploitation en création après étude du dossier par la coopérative. Ce fonds sera remboursé au bout d'une période à déterminée ensemble. Ces fonds proviendront de la caisse villageoise de crédit qui sera mise sur pied avec l’épargne des membres du PROJET et des populations locales. Ils serviront aussi à appuyer d'autres jeunes de la communauté dans le développement de leur exploitation près une formation.

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Produits concurrents

Positionnement relatif de EFA DE BAKASSIS.A -

EFA DE BAKASSI propose une dernière année réservée à l’apprentissage des techniques de création et de gestion d’une exploitation.



EFA

formation triennale diplômante

formation modulaire à la demande

DE

BAKASSI

recyclage par filières

propos

un

Avantage concurrentiel de EFA DE BAKASSIS.A -

Le rapport de coûts et délais entre l’offre de l’EFA DE BAKASSI et ses concurrents est inégalé au Cameroun. EFA DE BAKASSI étant un GIC à équipement modulable et adaptable.

-

Idem supra EFA DE BAKASSI va tout faire pour bénéficier d’une solide réputation de qualité et d’excellence

En résumé, l'offre EFA DE BAKASSI sera d’excellente qualité, elle sera personnalisable à souhait. L’EFA DE BAKASSI pourra donc être valorisé en rapport aux services personnalisés qu’elle offrira par de grandes niches de clientèle et échapper ainsi au marché très concurrencé des offres standardisées. Sur les deux segments de marché, la politique de prix de vente prendra deux formes différentes :

Types de clients

Politique de frais de formation -

Service facturé au coût réel (-- F cfa/an/ élève) 150 000 F cfa

-

Service facturé au coût réel (-- F cfa/an/ Parent) 300 000 F cfa

Jeunes agriculteurs

Parent

2.4 – Protection Industrielle Une proposition d'étude sur la possibilité de développer des méthodes de travail et de formation propres à l’EFA DE BAKASSI a été faite, des démarches seront faites auprès de L’O.A.P.I pour étudier les possibilités de protéger de tels acquis.

3 La stratégie de l’EFA Les personnes concernées par les problèmes d’insertion sont reparties comme suit : 

Les jeunes ruraux, non scolarisés, non coupés de leur milieu, qui exercent des activités d’agriculture, d’élevage ou d’artisanat, mais ne maîtrisant pas les techniques modernes leur permettant d’accroître leur ou valoriser leur production ;

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Les jeunes ruraux scolarisés, diplômés ou non, et qui sont revenus vivre dans leur milieu. Ceux-ci ont perdu l’aptitude aux durs labeurs de la campagne, et montrent très peu d’initiative pour s’en sortir. Leur finalité est l’exode rural définitif, ou alors ils deviennent une charge permanente pour leurs parents ;



Les jeunes de retour d’un exode temporaire (émigration). Ils reviennent avec des idées et des initiatives généralement heureuses et peuvent contribuer à changer positivement leur milieu. Cette jeunesse n’a pas de problème de réinsertion, car elle a vécu ici, est partie et est revenue avec justement l’ambition de contribuer au développement de la communauté ;



Les jeunes diplômés sans emploi, originaires ou non du milieu rural, et qui ne rechignent pas à s’installer en milieu rural, si les conditions leur permettent de mettre en œuvre les talents pour lesquels ils ont été formés.



Les parents des jeunes qui ne tirent pas profit de leurs efforts puisque pratiquant l’agriculture avec les techniques rudimentaires ; soucieux d’acquérir des « best practice ».



Les touristes qui seront attirés par les infrastructures et par l’environnement de l’école.

Localisation du projet L’école familiale agricole que le PROJET envisage de construire sera située dans le département du Nkam, sur l’axe routier Douala – Bonépoupa et à 27 km de la ville de Douala à 1000 m de l’axe bitumé ; sur un espace de 27 hectares don de la communauté villageoise au PROJET. Le site de par sa situation géographique est une zone agricole par excellence qui a beaucoup de potentialité du point de vue agro-pastoral. La pression démographique dans la zone est préoccupante dans la mesure où on assiste à un vaste mouvement migratoire des populations dans la zone. Cette population migrante et les jeunes résidents éprouvent des difficultés à s’adapter au monde rural ; du fait d’une absence de toute formation en la matière. Malgré la disponibilité des terres fertiles au bord du Nkam. Ce sont ces difficultés que l’EFA tentera de résoudre.

Les activités à réaliser par le projet Les constructions 

Construction des salles de classe :

Pour permettre aux jeunes de recevoir les enseignements dans des bonnes conditions, trois salles de classe seront construites par les populations par valorisation du matériel local et équipées par le GIC. La durée de la formation est de trois ans sanctionnés par un diplôme. Il est prévu la formation de 50 à 100 jeunes au bout de trois ans dont les meilleurs seront appuyés dans leur projet à la fin de la formation. Au travers d’une coopérative que le PROJET envisage de créer dans le village.

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La construction d’un réfectoire et d’un dortoir :

Le réfectoire sera construit par le GIC. La construction sera la contribution des élites du village et se fera par valorisation des matériaux locaux. Le réfectoire servira de lieu de restauration et en même temps de cadre de réunion du conseil d’administration de l’école. Le dortoir sera divisé en deux parties une pour les filles et l’autre pour les garçons. Il sera un cadre convivial où seront logés les élèves qui remplissent les conditions prévues par le règlement de l’école. 

La construction d’un forage :

Ce forage permettra aux élèves ainsi qu’aux populations riveraines de combler leur besoin en eau potable. Bien plus le manque d’eau de bonne qualité est la cause de plusieurs maladies dans la zone. 

La construction d’une infirmerie :

Pour faciliter les soins des élèves et des habitants du quartier, des membres du conseil d’administration de l’école, une infirmerie viendra compléter ces réalisations. Image prévu du site à terme :

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4 Stratégie commerciale 4.1

Objectifs commerciaux

La structure commerciale est constituée du Directeur et de la Direction commerciale. La productivité commerciale, a été testée pendant l’étude de marché soit, discussion pour obtenir une inscription aux programmes de formation.

2 heures de

Nous avons considéré qu’avec une moyenne d’affaires de 150 000 F cfa par élève et un suivi d’affaire de deux ans par affaire, chaque chargé de recrutement pourra signer jusqu’à 1,5 Millions F Cfa par an.

4.2 Organisation de la mise sur le marché L'offre de l’EFA DE BAKASSI sera déployée par 2 voies : 

Directement, avec des équipes de chargé de recrutement ;



Dans le cadre des contrats avec la communauté villageoise.

4.3 Plan d’action commerciale Les différentes actions de promotion et de communication sont développées ci-dessous par nature Communiqués de presse. 

Annoncer l’acquisition des dernières technologies par EFA DE BAKASSI dans la presse spécialisée (Lettre d’information aux Dirigeants, agroalimentaire, agricole, commerce, financière)… ;



Communiquer sur les aides octroyées et sur les partenariats avec les organismes financiers qui ont aidé EFA DE BAKASSIS.A.

Marketing direct.  

Organisation de demi-journée d’intervention à destination des chefs d’entreprise agricoles ; Organisation de demi-journée d’intervention à destination des responsables de Corporations Métiers.

Salons. 

Présence dans des salons spécifiques à l’industrie agricole, au commerce et à l’agroalimentaire, dès le premier exercice.

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Adhésion à L’UNEFAC6

Web.  

Sur le site EFA DE BAKASSI Sarl : Information en ligne, FAQ’s, Quiz en ligne définissant l’opportunité de besoin en offres de EFA DE BAKASSI; Référencement sur des moteurs de recherches spécifiques, référencement sur les recherches liées à la qualité du service clients, la formation agricole …

Lettre d’information. 

Elle est mensuelle, par courrier et par mail, elle traite de l’évolution de l’EFA DE BAKASSI et du monde de la formation agricole et rurale.

Amorçage

Exercice 1

Exercice 2

Exercice 3

Recherche de sites Pilotes 4 sites Plan de communication

communiqués presse Référencement Web

Séminaires / Journées d’information ciblées

2 Sessions

Recherche de partenariats

1 cabinet de conseil

Publicité presse 1 salon Communiqués presse

3 Salons dont 1 hors Cameroun

5 salons

12 Sessions

24 Sessions 24 Sessions dont 2 en zone Afrique

2 Cabinets de conseil + 10 agences de certifications et de référencement commercial dont 3 hors Cameroun

4 Cabinets de conseil + 20 agences de certifications et de référencement commercial dont 3 hors Cameroun

15 Cabinets de conseil + 40 agences de certifications et de référencement commercial

Communication Internationale Afrique/Europe Monde

6

Union Nationale des Ecoles de Formation Agricole et Rurale.

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Partie V – Les étapes stratégiques du projet Le projet de développement de l’EFA DE BAKASSI comporte trois grandes phases, une première étape d'amorçage suivie de deux phases de montée en puissance. L'objectif est d'être implanté en zone CEMAC au cours de la 2ème année et à l'International en 3ème année. La première phase d'amorçage de l'ordre de 6 mois repose sur 3 activités menées en parallèle qui déboucheront sur une équipe complétée et formée et sur un plan précis de développement commercial Activité 1 -

: Réalisation de sites pilotes. Installation et aménagement de tout le site Création des flyers et des supports communication de l’EFA DE BAKASSIS.A Communication agressive sur les offres et les capacités spéciales de l’EFA DE BAKASSI pour créer un effet bugs.

Activité 2 : Mise en place d’innovations dans la structure et le système de l’EFA DE BAKASSI (organisation, culture, finalités et visions). -

-

A partir de l'expérience et de conseils de consultants professionnel en développement d’entreprises, création des supports de formation du personnel interne de "formation" et mise en place de nouvelles procédures. Agrandissement progressif de l'équipe et formation.

Activité 3 : Identification de la stratégie commerciale optimale et des cibles les plus attractives. La deuxième phase de commercialisation (exercice 1) repose sur 3 activités menées en parallèle Activité 4 : Développement de recrutements directs par valorisation des expériences pilotes Activité 5 : Développement de partenariats. Activité 6 : Développement d'un plan de R&D précis pour l'adaptation/spécialisation des offres génériques aux différents marchés La troisième phase de montée en puissance (exercices 2 et 3) repose sur 2 activités menées en parallèle Activité 7 : Développement d'une offre produit "personnalisation et disponibilité en masse". Activité 8 : Internationalisation via la négociation de partenariats à l'international et à la zone CEMAC

51

Partie VI – L'organisation des moyens à mettre en œuvre 1. Moyens humains L'effectif de l’EFA DE BAKASSI, au-delà de l'équipe de base avec des recruteurs spécialisés.

se renforcera immédiatement

L'encadrement de la formation sera constitué de professionnels possédant une expérience d'agriculture, mûrs et motivés par le management des écoles de formation agricole. Résultats

Situation de départ

Situation future

Groupe cible

Formation des jeunes

Un cadre de formation pour

Existence d’infrastructures

Jeunes ruraux

ruraux.

des jeunes n’existe pas

pour

la

formation

Groupe cible

Activités Construction et

et

équipement d'une

l’apprentissage

école familiale.

des jeunes Lutte contre la pauvreté

Les parents à revenu faible subissent Création le chômage des nouvelles sources

Communauté

de leurs enfants. Une situation de qui revenus créé un : les jeunes formés

villageoise

appauvrissement indescriptible. Les familles mettent

entière

Formation des jeunes et toute

des

parents

(formation

continue et formation

se déplacent pour les soins de

à profit leur formation et se lancent

modulaire) ; suivi des jeunes

santé

dans les activités

dans le processus d’insertion.

primaires ; les maladies

bénignes

s’aggravent

et

conduisent souvent à la mort.

agricoles. ils répercutent les - Construction de l’infirmerie.

enseignements au niveau de leur parent.

La

vulgarisation

des

techniques agricoles prend de l’ampleur et l’accroissement de la

production

s’en

suit.

Les

populations bénéficient des soins de santé primaires. Valorisation des

Des produits locaux sont mal

Grâce

de

la

produits et matériaux

exploités et très peu connus ;

l’artisanat,

à

l’apprentissage

de

communauté,

leur

locaux.

l’utilisation des matériaux locaux

les produits locaux sont mieux

parent,

dans la zone cible est un signe de

exploités par les jeunes. La mise

populations

pauvreté.

en valeur des matériaux locaux

riveraines

notamment dans les constructions contribue

à

la

réalisation

Jeunes

les

formation des jeunes ; vulgarisation de l’utilisation des matériaux locaux.

et

les

visiteurs.

des

économies. Contribuer à un

Disproportion du développement

La campagne commence à réduire

développement

entre la campagne et la ville

l’écart de développement avec les

Jeunes ruraux

permanents et de

Création des emplois

harmonieux entre

centres urbains. Les jeunes peuvent

quelques emplois

la campagne et

se former sans avoir besoin de se

temporaires ; Formation des

le milieu urbain

déplacer.

jeunes ; Formation des associations

de

(formation

(modulaire) ;

femmes

information et orientation des jeunes. Développement du tourisme

Il n’existe aucun facteur pouvant attirer Desles nombreux touriste touristes viendront visiterElites intérieures et et autre visiteurs.

Faire connaître l’école, et la

l’école ; acheter les produits artisanaux.extérieures ; touristes venus de tousrégion du Nkam ; vulgarisation horizons.

de l’école ; par la création du site Internet de l’école par exemple.

Jeunes villageois

Formation ; suivi du processus d’insertion des

Autonomie progressive

Les villageois pour survivre sont obliger Lesde villageois faire destravailleront pour leur

des villageois

travaux

propre compte et pourront s’auto gérer tirer profit de

jeunes. Mise en place des

temporaires dans les

leur travail

«best practice ».

parcelles des élites qui ont créé leurs plantations Accroissement des rentrées

Le paiement de l’impôt est ignoré

Les villageois payent la TVA sur les

fiscales

dans les zones rurales. Ceci est

intrants et autres matériels agricoles

du à l’absence des activités

qu’ils

génératrices de revenus

également la

ont

achetés ;

ils

Jeunes en activités

Meilleure connaissance des taxes liées à la profession

payent

taxe sur les revenus

issus de leur activité.

52

Organigramme à 3 ans:

DIrecteur

Chargé de la scolarité

Comptable Finances logistique

-

Directeur adjoint (chargé des études

Chargé de la ferme

2. Moyens techniques: Voir Budget en Annexe

Les Fournisseurs Le besoin en fournisseurs portera essentiellement sur les équipements, le matériel didactique, l’eau et l’électricité, et la nourriture pour le réfectoire, ce seront les fournisseurs du Nkam et ceux de Douala qui approvisionneront l’école.

53

Partie VII – Bilan des risques et des opportunités LES MOYENS Les sources de financement Comme sources de financement, elles sont de trois types : les subventions, les dons et les legs, et l’autofinancement (apport des membres du PROJET). Gestion du budget affecté au projet Le budget affecté au projet sera géré par le comité de gestion du GIC, avec la supervision des représentants des organismes donateurs. Pourra aussi intervenir le représentant de la communauté locale. Coordination et exécution des travaux de construction Les travaux de construction seront confiés à une entreprise de travaux publics ayant une expérience avérée dans le domaine de la construction des écoles après appel d’offres. les organismes d’appui Les organismes qui nous solliciterons dans la mise en œuvre du projet sont : les ministères des PME de l’économie sociale et de l’artisanat, de l’agriculture et du développement rural, de l’emploi et de la formation professionnelle, de la jeunesse ; le corps de la paix et d’autres organismes capables de nous apporter leur appui technique et financier. ANALYSE DES RISQUES 1. Risques techniques : Mauvais choix du site ; technologie inappropriée et obsolète utilisée par l’entreprise de travaux publics. Risque d’ores et déjà maîtrisé par la présence dans le GIC d’une ressource expérimentée en construction. 2. Risques de gestion de projet tels que les lacunes relatives à la répartition du temps et des ressources : Expertise du GIC acquise en la matière pour avoir déjà piloté deux autres projets. 3. Les risques externes tels que la modification des priorités chez les partenaires. On y palliera en modulant le projet en plusieurs sous projets à financer progressivement par les ressources du GIC.

54

Opportunités Pour l'instant, aucun acteur majeur de la métropole de Douala ne s'est orienté vers une offre complète et personnalisé en formation agricole et leurs business model ne les y poussent pas dans le court terme. C’est pourquoi tous les indicateurs sont au vert pour ce projet.

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PARTIE VIII – L’entreprise à moyen terme En résumé, le projet de développement de l’EFA DE BAKASSI se déroulera en trois phases : Etapes

Phase 1 ( amorçage )

Phase 2 ( exercice 1 )

Phase 3 ( exercices

Durée (mois)

6

12

12

12

Actions

Acquisition des équipements

Mise en place de partenariats et densification du chiffre d’affaire par effet volume

Internationalisation

diversification

Réaménagement des sites pilote. Apports en capitaux 10 000 000 (F Cfa) Effectif moyen n. dét. annuel CA HT (F Cfa)

Non significatif

2

et

3)

10 000 000

10 000 000

30 000 000

n. dét.

n. dét.

n. dét.

15 000 000

- 15 000 000

- 30 000 000

56

Partie IX -

Conclusions et recommandations

Au terme de ces trois phases, l'ambition de l’EFA DE BAKASSI est de devenir le leader CEMAC des solutions de formation en agriculture et métiers ruraux sur le marché régionale de la fourniture en offres de formation. La part de marché acquise par l’entreprise pourra alors être valorisée auprès de grandes structure internationales, déployeurs de solutions de formation agricoles (GIZ, FIDA, FAO, PNUD,

etc.). L’objectif de l’entreprise est de rechercher auprès de son marché les moyens de se développer pendant la phase d'amorçage et le premier exercice, de manière à pouvoir se diversifier à la troisième année.

Les financements recherchés sont de 50 millions de F Cfa sur la phase d'amorçage et les deux premières années, dont 20 millions en phase d'amorçage. Ces financements sont destinés à couvrir le Besoin en Fonds de Roulement, l’acquisition des équipements et du matériel et le développement commercial (cf Budget en annexes).

57

Partie X – Dossier financier

58

VII. BUDGET DES AMENAGEMENTS(en F cfa) N°

DESIGNATION I - INSTALLATION DU CHANTIER

U

QTE

P.U

P.T

Préparation du site

ens

1

250 000

250 000

Implantation des ouvrages y compris toutes sujétions

ens

1

150 000

150 000

Installation y compris emmenée et repli du matériel

TOTAL I

400 000

II – INFRASTRUCTURE Fouilles, rigoles et puits pour semelles y compris dressage des parois

m3

113,25

béton de propreté dosé à 150 kg/m3

m3

7,45

50 000

372 500

béton armé pour semelles, amorces et longrines dosé à 300 kg/m3

m3

13,8

120 000

1 656 000

béton armé treillis soudés pour dallage

m3

23,67

80 000

1 893 600

58,57

1 500

87 855

remblai de fouille autour de la fondation y compris compactage

1 500

169 875

lissage du sol au mortier

m2

473,6

200

94 720

Fermeture et pose agglo de 15 bourrés pour sous bassement

m2

224,1

5 500

1 232 550

TOTAL II

5 507 100

III – SUPERSTRUCTURE Béton armé dose à 300 kg/m3 pour poteau, linteau, chaînage y compris toutes sujétions

m3

19,5

100 000

1 950 000

Fourniture et pose d'agglos de 15 pour mur

m2

800,2

4 500

3 600 900

enduit double face sur murs au mortier dosé à 450 kg/m3

m2

1600,4

1 200

1 920 480

Fourniture et pose de charpente en bois de Latui y compris toutes sujétions de traitement

ens

1

500 000

500 000

Fourniture et pose de tôles 5/10 y compris les accessoires de pose et flash bande pour protection des têtes de pointe

m2

603,8

5 000

3 019 000

TOTAL III

10 990 380

IV - MENUISERIE BOIS ET METALLIQUES Fourniture et pose de fenêtre métalliques avec battant type persienne ouvrant à la française de dimension 200 X 100

u

10

45 000

450 000

150 X 100

u

7

40 000

280 000

65 X 70

u

1

25 000

25 000

80 X 100

u

16

35 000

560 000

100 X 100

u

2

35 000

70 000

90 X 220

u

10

80 000

800 000

80 X 220

u

11

70 000

770 000

u

8

60 000

480 000

m2

473,75

2 500

1 184 375

Fourniture et pose portes métalliques de dimension

70 X 220 Fourniture et pose de plafond en contre-plaqué de 4mm y compris solivage et toutes sujétions

0

TOTAL IV



DESIGNATION

4 619 375

U

QTE

P.U

P.T

59

V - GROS ŒUVRE PLOMBERIE Fourniture et pose canalisation d'eau potable en tuyaux pression diamètre 21 pour alimentation toilettes et cuisines y compris toutes les accessoires de raccordements

ml

250

2 000

500 000

Fourniture et pose vanne d'arrêt type boisseau y compris toutes sujétions

u

20

4 000

80 000

Fourniture et pose tuyaux pour évacuation EV en tuyaux PVC de 100 y compris les accessoires de raccordement

ml

150

5 000

750 000

Fourniture et pose tuyau pour évacuation EU en tuyaux PVC de diamètre 63 y compris les accessoires de raccordement

ml

200

3 500

700 000

construction de la fosse sceptique

ens

1

140 000

140 000

Construction de puisard de 15m de profondeur

ens

1

130 000

130 000

Construction des regards dim 50 x 50

ens

8

25 000

200 000

TOTAL V VI - GROS ŒUVRE ELECTRICITE Alimentation générale y compris toutes sujétions Fourniture et pose de coffret modulaire à encastrer

2 500 000

ens u

1 3

400 000 25 000

400 000 75 000

Fourniture et pose de goulotte pour alimentation diverses

u

6

9 500

57 000

Fourniture et pose gaine orange de 11 mm

rlx

25

10 000

250 000

Fourniture et pose boîtiers y compris toutes sujétions

u

70

250

17 500

Fournitures et pose des boîtes de dérivation 180X140X80

u

12

12 000

144 000

TOTAL VI

943 500

Fourniture et pose lavabo sur colonne et robinetterie y compris toutes sujétions

u

6

40 000

240 000

Fourniture et pose WC complet à chasse basse

u

6

80 000

480 000

Fourniture et pose porte serviettes

u

4

7 500

30 000

Fourniture et pose de porte savon y compris toutes sujétions

u

4

3 000

12 000

Fourniture et pose évier de cuisine

u

1

53 000

53 000

Fourniture et pose de robinet de puisage

u

2

8 000

16 000

Fourniture et pose colonne de douche complète

u

4

15 000

TOTAL VII

60 000 891 000

Fourniture et pose de prises 2P+T

u

12

2 500

30 000

Fourniture et pose d'interrupteur va et vient

u

10

2 500

25 000

Fourniture et pose d'interrupteur simple allumage

u

12

2 350

28 200

Fourniture et pose de réglettes de 1,20

u

14

11 000

154 000

Fourniture et pose d'ampoules y compris douilles

u

2

1 900

3 800 225 000

Fourniture et pose de câbles HOV de 1,5m2

rlx

15

15 000

Fourniture et pose de vernis sur plafond

m2

473,75

1 600

758 000

TOTAL IX

5 569 950

TOTAL GENERAL

32 191 305

60

VIII. REPARTITION DES FINANCEMENTS(en Fcfa )

Nature des dépenses

Donateurs

1.TRAVAUX Travaux préparatoires Fondations Superstructure Charpente bois et métallique Plomberie et électricité Peinture Total Travaux

320000 3304260 7143747 3233563 3351240 2682820 20 035 630

2.MAITRISE D'ŒUVRE Main-d'œuvre spécialisée Main-d'œuvre non spécialisée Total Maîtrise d'oeuvre

TOTAL GENERAL

Coût total du projet (hors taxe)

20 035 630

Total

80000 2202840 3846633 1385813 1303260 1149780 9 968 326

400 000 5 507 100 10 990 380 4 619 375 4 654 500 3 832 600 30 003 955

2 500 000 1 000 000 3 500 000

2 500 000 1 000 000 3 500 000

13 468 326

33 503 955

33 503 955 Fcfa HT

Montant Hors taxe Contribution financière des donateurs Part du bénéficiaire

Bénéficiaire

20 035 630 13 468 326

Répartition

59,80% 40,20%

61

ANNEXES Programme de formation : EFA de Bakassi

62

PROGRAMME DE FORMATION 1ere ANNEE EFA DE BAKASSI Objectif Général : initier les élèves à l’élevage et aux techniques culturales modernes pour les préparer à devenir de bons agriculteurs. Période

Thèmes

Objectifs

Mise en commun

10-14/09/11

Tomate

Savoir mener la culture de la tomate

1-5/10/11

Aulacco des

22-26/10/11

Ignames

12-16/11/11

Elevage de porc

Intéresser l’apprenant à l’élevage Initiation à la culture Initier l’élève à l’élevage

Les maladies et les ennemies Choix de la souche

03-07/12/11 21/12/11 1-11/01/12 21-25/01/12 11-15/02/12

3-7/03/12

17-21/03/1228/03/12 14-18/04/12

5-9/05/12

31/06/2012

Restaura tion Poulet de porc Restaura tion

Savoir faire la cuisine Initier l’élève à l’élevage Manipulation des ustensiles

Poulet de chair

Arriver à soigner les poulets

Mais

Producti on d’œufs

Amélioration de la production locale Intéresser l’apprenant aux pondeuses

Choix des boutures Choix des porcelets

Choix des matériels Race de porcs Description des ustensiles Maladies et ennemies

Variétés

Valorisatio n de l’œuf et sa conservatio n

Champ d’expériment ation Exploitation du PROJET

Interventio n extérieure Exploitant agricole

Cours techniques

Apprentissag e

Matières générales

Tomate

Piquetage

Français, Maths ; sciences naturelles ;

IRAD Banga

Directeur extérieur

Aulaccodes

Fabrication des cages

Exploitation du PROJET EFA de Bakassi

Parents d’élèves Directeur de l’EFA

Ignames

Construction des billons Construction des enclos

Comptabilité, sciences naturelles ; Comptabilité, français. Maths, éducation à la citoyenneté.

Douala

EXAMENS Congés de noël Consultant

Une ferme

Consultant

Restaurant

Restaurateur

Une ferme

Eleveur

examens Congés de paques Exploitation Minader agricole

Une ferme

Eleveur

Elevage de porc

Restauration Poulet de chair Installation d’un buffet

Cours de cuisine Les maladies du porc

Puériculture Vente Gestion

Maladies des poulets de chair

Fabrication des abreuvoirs.

Initiation au droit

Mais

Construction des clips

Informatique ; sciences naturelles.

Pondeuses

Construction des pondoirs

Comptabilité ; environnement

Examens de fin d’année

63

PROGRAMME DE FORMATION DE 2Eme ANNEE - EFA DE BAKASSI Objectifs généraux : approfondir les connaissances. Période

Thèmes

Objectifs

Mise en commun

/1721/09/12-

Poivron

Semence

8-12/10/12

Porc

Rentabiliser la production locale Améliorer la porcherie

29-2/11/12

Pastèqu e et Melon simple Porc

Connaissanc e de la culture de Melons Condition d’hygiène

19-21/11/12

10-14/12/12 24-4/01/13 7-11/01/13

Pomme de terre

28-01/02/13

Chèvre

18-22/02/13

Culture du soja

3-7/03/13

Elevage de la vache laitière

17-21/04/13 28/03/13 7-21/04/13 5-9/05/13

19-23/05/13 01/06/13

Manioc Apicultu re et Hélicicu lture

Champ d’expériment ation Un champ familial

Intervention extérieure

Cours technique

Apprentissag e

Matières générales

PROJET

Poivron

Piquetage

Protection de l’environnement

L’aliment du porc

Ferme de la localité

Un éleveur

Aménagement des porcheries

Santé de la reproduction

Variété

Champ familial

PROJET

Engraisse ment du porc Choux

Traitement phytosanitaire

IST/ VIH sida

Les maladies du porc

Ferme de la localité (Bakassi)

Un éleveur

Maladies du porc

Construction de la porcherie sur pilotis

Maths ; aménagements paysagers

Pomme de terre

Buttage

Secrétariat : maîtrise des logiciels Word et Excel

Maîtriser les techniques de multiplicati on rapide Intéresser l’élève à l’élevage Connaître le traitement du soja

Boutures améliorées

Rentabiliser les cheptels

Améliorer le rende ment Apprendre la fabrication des niches

Examens Congés de noël Exploitation Minader agricole Yabassi

Race de chèvre

Bonépoupa

Minepia

Chèvres

Fabrication des abreuvoirs

Initiation au droit

Ennemies et maladies du soja

Exploitation agricole Nkondjock

Minader

Maladies du soja

Maths, éducation à la citoyenneté

Maladies de la vache

Nkondjock

Minepia

Vaches laitières

Application des insecticides et fongicides Fabrication des mangeoires

Fabrication des butes

Santé de la reproduction Français, Maths ; sciences naturelles ;

Boutures améliorées Localisation du site

Examens Congés de paques Champ Membres du familial PROJET Apiculteur et Les produits Héliciculteur de l’apiculture

Manioc Extraction du miel

Français ; technologie.

Examens Fin d’année

PROGRAMME DE FORMATION 3ème ANNEE ECOLE AGRICOLE FAMILIALE DE BAKASSI 64

Périodes

Thèmes

Objectifs

Mise en commun

Champ d’expérimentation

Intervention extérieure

Cours techniques

1721/09/13

Faire face aux maladies de porc Avoir l’idée sur l’utilisation des engins agricoles

Les porcs de plusieurs races

Une ferme

Minepia

Les maladies du porc

0812/10/13

Apprentissa ge des techniques vétérinaires Les engins agricoles

Apprentiss age pratique Les remèdes de premiers soins

Exploitation familiale

Consultant/ Minader

Maintenanc e des engins agricoles

Utilisation des engins agricoles

2912/11/13

Les intrants agricoles

Connaissanc es des différents intrants agricoles

Exploitations familiales

Minader/ Ader

Utilisation des intrants agricoles

Sélection des intrants.

Biologie ; les techniques phytosanitaire s

1923/11/13

Irrigation des champs

Apprentissa ge des techniques d’irrigation

Les engins disponibles dans l’exploitatio n du PROJET Les fertilisants, les pesticides, les fongicides. Le matériel d’irrigation

Exploitations familiales

Consultant

Adduction d’eau

Comment irriguer un champ

Les notions de la fiscalité.

1014/12/13 244/01/13 711/01/14

Congés de noël

Etude économique et financière

1822/02/14

Entretien de la vache laitière

037/03/14

Etudes commercial es

5-9/05/14

1923/05/14 01/06/14

Sciences naturelles ; mathématique s. Français ; gestion..

Examens

12801/02/14

1721/03/14 28/03/14 721/04/14

Matières générales

Connaissanc e technique du schéma Savoir le coût d’investisse ment et le gain Apporter les soins à la vache laitière. Connaître les techniques de vente

Consultant

Suivi d’une activité

.

Les outils de gestion

Exploitations familiales

Consultant

Etablir le compte d’exploitati on générale

Exploitation d’un compte de résultats

Comptabilité ; gestion

Les soins vétérinaires

Mbanga

Minepia

Extraction du lait

Conservatio n du lait

Les produits cultivés

Exploitation du PROJET

Consultant

marketing

Aborder le prospect, présenter ses produits.

Hygiène ; Instruction civique ; Français. Biologie animale

Examen

Viabilité et conclusion Soutenance et évaluation

S’assurer de la longévité de l’activité S’assurer que les élèves sont capables

/

Congés de paques / Les organismes d’appui

/

/

/

Examens Remise des bulletins de fins d’année

IMAGES DU SITE 65

66

67

FICHE QUESTIONNAIRE POUR COLLECTE DES DONNEES

Questionnaires Questionnaire pour les usagers : 1.

Dans quel secteur évolue votre activité?   

Agriculture (Plantations, cultures vivrières) Élevage, pèche Autres métiers ruraux (Vannerie, poterie, environnement, chasse, producteurs de vins et de liqueurs traditionnelles).

2.

Combien de collaborateurs avez-vous dans votre activité ?  Moins de 5  5 à 10  10 à 30  30 à 50  50 à 100  Plus de 100

3.

Quels sont vos défis dans l’amélioration des performances de votre activité (par ordre de criticité – 1 à 5) ? Encerclez la ou les cases correspondantes  Accès aux financements -1 0 1 2 3 4  Compétence de votre équipe -1 0 1 2 3 4  Accès aux marchés d’écoulement -1 0 1 2 3 4 5  Efficacité de votre stratégie -1 0 1 2 3 4 5  motivation de votre équipe -1 0 1 2 3 4 

5 5 5

Accès à l’information sur les aides et appuis techniques et financiers du gouvernement et des ONGs) -1 0 4 5

1

2

3

4.

Parmi les raisons suivantes, quelles sont celles pour lesquelles, vous avez déjà sollicité de l’assistance ou suivi une formation en agriculture ou en métier rural? Cochez la ou les cases correspondantes :  Accès au financement  Maitrise des compétences techniques nécessaires  Accès aux marchés d’écoulement  Efficacité de votre stratégie  Motivation de votre équipe  Accès à l’information sur les aides et appuis techniques et financiers du gouvernement et des ONGs)

5.

Comment avez-vous trouvé le service (ou la formation suivie) dont vous avez bénéficié ? Cochez la ou les cases correspondantes :     

6.

Pensez-vous solliciter les services d’un centre de formation agricole et rural dans le futur pour relever les défis de vos activités agricoles et rurale ? cochez la ou les cases correspondantes :     

7.

Correspond à mes besoins – m’a permis de relever mes défis agricoles ou ruraux Passable Peu adapté à mes besoins et à mes attentes Ne correspondait pas du tout à ce à quoi je m’attendais Autre avis ; à préciser ______________________________________________

Assurément Certainement mais ça dépend Pourquoi pas Il y a peu de chance Je ne pense pas

Préciser : ________________________________________________________

Qu’est-ce qui devrait être offert pour que vous sollicitiez à nouveau des services de centre de formation agricole et rural (par ordre de criticité – 1 à 5) ? Encercler la ou les cases correspondantes :     

Bonne expérience des formateur La méthodologie de formation L’écoute et l’orientation client L’originalité des solutions proposées Le prix et les conditions de paiement

-1

-1 -1 0 -1 -1

0 0 1 0 0

1 1 2 1 1

2 2 3 2 2

3 3 4 3 3

4 4 5 4 4

5 5 5 5

8.

Parmi les défis suivants, quels sont ceux pour lesquels vous pourriez solliciter les services d’un conseil/consultant/formateur de la formation agricole et rurale dans le futur ? Cochez la ou les cases correspondantes :  Accès aux financements  Amélioration des compétences de vos ressources humaines  Accès aux marchés d’écoulement  Aide au montage d’une stratégie efficace  Accès à l’information sur les aides et les appuis techniques et financiers

9.

Suivant quelle fréquence vous pourriez solliciter ces services ?  Sur une base régulière  De temps en temps  En cas de besoin  Presque jamais  Jamais

10.

Quel devrait être la durée d’une formation pour que vous y participez (ou fassiez participez vos employés) ?

68

      11.

Quel devrait être le coût d’une formation (de deux à six mois) pour que vous y participiez (ou fassiez participer votre équipe) ? cochez la ou les cases correspondantes :     

12.

Un mois 2 à 3 mois 3 à 6 mois 6 mois à 1 an 1 an à 2 ans 2 ans

Moins de 50.000 (maximum) 50.000 à 80.000 (maximum) 80.000 à 115.000 (acceptable) 115.000 à 145.000 (acceptable) 145.000 à 195.000 (acceptable)

Quel mode de facturation vous conviendrait pour les services que vous pourriez solliciter (par ordre de préférence) ? Cochez la case correspondante :  

Contrat annuel avec redevance mensuelle (fixe) Facturation ponctuelle

13.

Quel est votre chiffre d’affaires annuel ? cochez la ou les cases correspondantes :  Moins de 500.000  500.000 à 1000.000  1000. 000 à 1500.000  1500. 000 à 2500.000  Plus de 2500.000

14.

Quel part de votre chiffre d’affaires seriez-vous prêt à consacrer à la sollicitation de services de formation des centres de formation agricole ?     

15.

Parmi les médias suivants, quels sont ceux que vous suivez (utilisez plus) (par ordre d’intérêt) ? Encercler la case correspondante :     

16.

Moins de 50 000 50 000 à 100 000 100 000 à 200 000 200 000 à 500 000 Plus de 500 000

Internet : 1 TV : 1 Radio : 1 Journal (quotidien) : 1 Magazine (hebdomadaire & mensuel) : 1

2 2 2 2 2

3 3 3 3 3

4

4 4 4 4 5

5 5 5 5

Parmi les moyens suivants, quels est le plus adapté pour vous contacter (garder contact) avec vous ?

Cocher la ou les cases :      

17.

E-mail (Newsletter) Téléphone/mobile TV Radio Brochure, Magazine, Journal La poste

à préciser _______________________________ à préciser _______________________________

Quelle distance seriez-vous prêt à parcourir pour accéder à un centre de formation agricole et rural pour votre formation ?

____________________________________________________________________________Km 18. Quel jugement faites-vous de l’impact du PROJET dans votre environnement ? Cochez la case correspondante  Bonne retombées économiques et social  Plus, notre développement futur, pourrait bien venir de ce centre  Ça ne vous dit rien  Passable  Ce centre n’a aucun impact pour vous 19.

Quels sont vos conseils et suggestions pour l’efficacité dans la prestation des services de formation agricole ou rurale?

_________________________________________________________________________________________________________________________________________________ _____________________________________________________________

Merci de votre contribution.

69

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